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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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loi
16 décembre 2013

Argentine, la population se soulève contre la « méga-usine » de Monsanto

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Monsanto annonçait en juin 2012 la construction en Argentine de sa plus grande fabrique de semences de maïs transgéniques (OGM) d’Amérique Latine, le pays déjà deuxième producteur mondial d’OGM est en passe de devenir un producteur de semences GM bon marché pour l’exportation. Sur le terrain, le bras de fer entre les habitants et la firme devient des plus musclés. L’endroit choisi pour ce projet de « méga-fabrique » se nomme Malvinas Argentinas dans la proche banlieue de Cordoba, une ville entourée de soja GM et dont les habitations sont régulièrement soumises à des fumigations intempestives.

Face au mutisme des autorités qui cautionnent le projet, des associations de défense de l’environnement, des organisations sociales, et des habitants bloquent désormais l’accès au chantier depuis fin septembre 2013. Rapidement après l’annonce du projet, l’Assemblée des Habitants de Malvinas en Lutte pour la Vie s’est constituée à l’initiative de mères de famille et de résidents fatigués de subir cette pollution quotidienne. Les habitants ont vainement réclamé des informations à la municipalité et au gouvernement provincial. En novembre 2012, l’Assemblée a commencé à exiger que la population de Malvinas Argentinas puisse se prononcer par référendum. Le maire Daniel Arzani et le gouverneur José Manuel de la Sota ont à nouveau refusé l’initiative.

Les habitants exigent également le respect de la Loi Générale de défense de l’environnement qui oblige la réalisation d’une étude d’impact environnemental, mais faute d’avoir été réclamé par les autorités, Monsanto s’est affranchie sans difficulté de cette contrainte. Occupation et résistance Le 19 septembre 2013 un festival populaire, un « Printemps sans Monsanto », se tenait sur le site marquant le lancement d’une opération de blocage qui dure depuis deux mois. Depuis, les entreprises de construction avait retiré leurs machines et les ouvriers ne se rendaient plus sur le site. Mais face à la résistance qui s’installe, Monsanto cherche à intimider les leaders locaux et menace de traîner en justice les habitants participants à l’occupation.

Le 31 octobre dernier, Monsanto a accusé Sofia Gatica de l’organisation des Mères de Ituzaingo et Eduardo Quispe, de l’Assemblée de Malvinas Argentinas, de « porter atteinte à la sécurité publique » en raison du blocage, tout en dénonçant de supposés « actes de violence contre le personnel » du chantier. En 2012, Sofia Gatica recevait le prix Goldman Environmental Prize pour son combat des mères argentines contre les pollutions agrochimiques affectant la santé des enfants. Les avocats de Monsanto accusent ces militants d’occuper illégalement le terrain, ce qui, selon le code pénal argentin pourrait leur valoir des peines de prison allant jusqu’à trois ans et de lourdes amendes au civil pour préjudices économiques. Dernier rebondissement marquant une détérioration du conflits, le 28 novembre au matin, un groupe d’environ 60 « gros bras » s’est présenté sur le site pour saccager le camp. Les militants ont dénoncé la participation du délégué d’un syndicat de la construction (UOCRA), des engins de chantier et des camions étant par ailleurs immobilisés sur le site depuis plusieurs jours après une première tentative de déloger les occupants.

Un mouvement qui prend de l’ampleur Deux enquêtes d’opinion révèlent que 63,2% des argentins sont contre l’installation de la multinationale dans la province et 66,8% soutiennent le mouvement de résistance des habitants. Trois universités nationales ont également dénoncé publiquement la légalité de l’installation de Monsanto. Les professeurs de droit de l’Université Catholique, celle de Rio Cuarto (UNRC) et celle de Cordoba ont souligné le fait que la construction ait été autorisée sans la réalisation préalable d’une évaluation d’impact environnemental ni consultation publique, deux dispositions pourtant obligatoires. Elles ont également rappelé l’existence d’un « principe de précaution » argentin, des mesures de protection devant être prises lorsque il y a des risques sur la santé publique et l’environnement. Depuis, la grogne s’étend dans la province voisine de San Luis et reçoit un soutien grandissant dans la capitale.

« Monsanto promeut un modèle d’agriculture industrielle, elle fait déboiser des milliers d’hectares pour y semer ses cultures transgéniques de maïs et de soja pour en tirer des graines, elle y fait régulièrement pulvériser des produits hautement dangereux pour la santé durant le cycle de culture, sans le consentement de notre communauté », a dénoncé l’Association Paysans de la Vallée Conlara, réunissant les familles rurales voisines de l’entreprise. Pour les paysans argentins, « ce modèle n’a pas créé d’emplois, il ne produit pas d’aliment pour notre région et menace notre santé », dénonçant également les fumigations à proximité de leurs maisons, dont les effets terrifiants ont été démontrés par une enquête récente d’Associated Press. Au pays des soyeros tout puissant, tenant la presse et la politique, la population argentine a décidé d’affronter Monsanto sur le terrain, ils auront besoin de soutien ! Source : Dos meses de bloqueo, Dario Aranda, Pagina12, 23 novembre 2013.http://www.pagina12.com.ar/diario/sociedad/3-234192-2013-11-23.html

Via le blog Mediapart de Benjamin Sourice

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9 novembre 2013

Pole emploi autorisé à consulter vos comptes bancaires

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Un arrêté du 17 octobre dernier, publié ce matin au Journal officiel, ajoute Pôle Emploi à la liste des organismes autorisés à interroger les informations contenues dans le Fichier national des comptes bancaires et assimilés (Ficoba), qui recense l’ensemble des comptes bancaires ouverts en France, et leurs titulaires.

Le Ficoba a pour objet de fournir à certaines personnes et organismes habilités, dans le cadre de l’exercice de leurs missions, des informations sur les comptes bancaires ouverts en France. Il recense ainsi, selon la Cnil, plus de 80 millions de particuliers, français ou non, qui détiennent au moins un compte (courant, d’épargne, etc.) en France. De même source, la Direction générale des finances publiques (DGFiP), qui détient et gère le fichier, traite chaque année environ 100 millions de déclarations de comptes. Les droits d’accès à ce fichier particulièrement sensible (1) sont évidemment strictement encadrés. Son fonctionnement est notamment régi par l’arrêté du 14 juin 1982 « relatif à l’extension d’un système automatisé de gestion du fichier des comptes bancaires ».

Qui peut consulter le fichier ? En premier lieu, évidemment, les agents du fisc, des douanes, de la répression des fraudes et de Tracfin, afin de lutter contre la fraude fiscale et le blanchiment. C’est aussi le cas de la police judiciaire, dans le cadre de la lutte contre le travail clandestin. La Banque de France y a également accès, pour gérer les interdictions de chéquier, et leurs levées. Les établissements de crédit, plus généralement, peuvent depuis peu l’interroger, dans le cadre de la lutte contre la double détention de produits d’épargne réglementée, comme le Livret A. Enfin certains organismes, comme la Caisse d’allocations familiales (CAF) ou les différentes caisses de retraites, qui ont en commun de verser des prestations au public, sont aussi habilités.

A cette longue liste s’ajoute désormais un nouvel organisme : Pôle Emploi. Un arrêté du 17 octobre 2013, publié ce matin, lui ouvre en effet le droit de consulter Ficoba, afin d’obtenir les informations nécessaires à l’exercice de sa mission, et dans la mesure où il le juge nécessaire. Pour mémoire, l'article L152 du Livre des procédures fiscales autorise notamment Pôle Emploi à exercer ce droit pour apprécier les conditions d'ouverture et de maintien de droits pour un demandeur d’emploi, pour calculer les indemnités auxquelles il peut prétendre ou encore pour obtenir le recouvrement de prestations indûment versées.

(1) Il recense, pour chaque compte déclaré, le nom et l’adresse de l’établissement qui le détient, le numéro et la nature du compte, la date d’ouverture et/ou de fermeture et le nom, la date et le lieu de naissance, l’adresse des titulaires.

Mise à jour (31 octobre 2013) - A la suite de la publication de l'article, Pôle Emploi nous a fait parvenir la précision suivante : « Tous les agents n’auront pas cet accès à ce fichier, seuls les auditeurs de la prévention des fraudes pourront y accéder et seulement si il y a une suspicion de fraude. La consultation de ce fichier est en effet d’un usage très strict et contrôlé. Par ailleurs, le fichier Ficoba ne renseigne que l’identité des personnes et les comptes qu’ils possèdent, mais aucune information concernant ni le solde ni les mouvements qui y sont opérés. »

22 février 2013

Une loi se prépare en Australie pour rendre les vaccins obligatoires

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Peu importe l’opinion que l’on peut avoir sur les avantages ou les risques relatifs à cette procédure médicale, si l’on pense que chacun a le droit inaliénable de décider de ce qui rentre ou non dans son corps comme dans celui de ses enfants, il devient évident que l’on puisse s’accorder sur le fait qu’une vaccination obligatoire est à la fois moralement et éthiquement odieuse et exécrable.
 
Aucun gouvernement ne devrait avoir le droit de nous contraindre à mettre notre vie ou notre santé en danger si notre recherche nous a fait comprendre que dans certaines situations la vaccination peut faire plus de mal que de bien. Pourtant il semble que le gouvernement australien se prépare à agir de la sorte.
 
Au sein du Parlement fédéral, un comité consultatif a tenu des réunions pour déterminer la meilleure façon d’adopter la vaccination forcée. En fait, le projet de loi nécessaire pour mettre en route pareille loi draconienne a déjà été écrit et la seule raison pour laquelle il n’est pas encore d’application est le problème de l’indemnisation des accidents vaccinaux qui n’est pas encore réglé.
 
Bien que l’idée de perdre notre droit de dire non à quelque chose d’aussi fondamental que des procédures médicales soit terriblement effrayant, on pourrait malgré tout considérer qu’il s’agit peut-être d’une occasion unique de nous réveiller et de déployer les efforts nécessaires pour que pareille loi ne passe jamais.
 
En réalité, pas plus tard que hier, nous avons reçu un appel de la rédaction d’une revue médicale très respectée qui nous a signalé avoir reçu quelque information au sujet de la perspective de vaccination obligatoire en Australie. La rédaction voulait savoir si nous disposions de détails concrets et j’ai dû leur dire que non- mais quand vous continuez d’entendre cette même information encore et encore de la part de plusieurs sources qui ont déjà prouvé de par le passé qu’elles étaient fiables, vous commencez à vous demander si toutes ces fumées ne sont pas réellement indicatrices d’un feu ?
 
Source: Meryl Dorey, de l'Australian Vaccination Network (AVN), newsletter du 13/02/13
 
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Elément-clé à souligner ici, c’est le CARACTERE INSIDIEUX de la loi en préparation destinée à forcer la population à se faire vacciner. Il s’agit d’une loi « fourre-tout » qui obligera la vaccination « au nom de la lutte contre la discrimination ». Ainsi, au prétexte que les gens doivent être traités de la même façon, on finira par imposer à tous les vaccins standards qui font de plus en plus grincer des dents. Des lanceurs d’alerte australiens, soucieux de leur liberté et de celle des autres, tentent de faire insérer une clause dans la loi en préparation selon laquelle aucun acte médical ne pourra être imposé sans le consentement des gens (s’il faut une telle lutte pour faire adopter une telle clause de bon sens consistant à rappeler un droit inné pour éviter qu’on ne nous l’enlève, c’est dire si on est déjà loin dans le degré de tyrannie atteint!!)

http://www.initiativecitoyenne.be/article-une-loi-se-prepare-en-australie-pour-rendre-les-vaccins-obligatoires-115357496.html
15 février 2013

France bientôt l’obligation de voter ? et sanction de 15 EUR pour les abstentionnistes .

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C’est une proposition de loi déposée le 6 février dernier, mais sans doute passée inaperçue en plein débat sur le mariage homo. Déposée par dix députés UMP le texte propose de faire du droit de vote « une obligation ».

Souhaitée par Thierry Lazaro, Daniel Fasquelle, Thierry Mariani, Paul Salen, Michel Voisin, Laure de La Raudière, Jean-Pierre Vigier, Fernand Siré, Valérie Lacroute et Bernard

 

Brochand, elle transforme le droit de vote en obligation de vote.

La sanction pour les abstentionnistes ? Une amende de 15 euros. 45 euros en cas de récidive « dans les cinq ans ». Les députés UMP à l’origine de la proposition de loi prévoient tout de même des dérogations, en apportant la « preuve de son impossibilité par procuration », ou en « cas de force majeure ». Les citoyens seraient alors exemptés de cette obligation de vote.

Une proposition de loi qui vise à répondre à « la persistance de l’abstention à chaque scrutin », et qu’ils justifient également par des raisons historiques. Ils écrivent :

Si le vote est un droit, il doit être également un devoir en l’honneur et en mémoire de celles et de ceux qui ont versé leur sang pour notre Patrie.

Une proposition de droite, mais qui compte déjà un solide soutien à gauche : Claude Bartolone. Dès novembre 2012, le président de l’Assemblée nationale Claude Bartolone se déclare favorable à l’obligation de voter.

Pendant la période de chaos à l’UMP, l’Assemblée nationale a adopté une proposition de loi de l’UDI donnant son feu vert à la reconnaissance du vote blanc. « Un premier pas » vers l’obligation de voter, jugeait Claude Bartolone.

Le droit de vote est déjà obligatoire dans de nombreux pays, dont certains voisins : la Belgique, le Luxembourg, ou l’Autriche. Plus loin, l’Australie a adopté le principe en 1924.

Source et proposition de loi dans son intégralité: lelab.europe1.fr

13 juillet 2011

Le 1 er juillet une loi autorise a tirer à balles réelles sur les manifestants.

Le 1 er juillet une loi autorise a tirer à balles réelles sur les manifestants.
JORF n°0151 du 1 juillet 2011 page 11269texte n° 17 DECRETDécret n° 2011-795 du 30 juin 2011 relatif aux armes à feu susceptibles d'être utilisées pour le maintien de l'ordre public NOR: IOCJ1113072D Publics concernés : représentants de l'Etat, militaires...
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9 mai 2011

Comment Abolir les droits des personnes morales au nom des droits des individus

Comment Abolir les droits des personnes morales au nom des droits des individus
Abolir les droits des personnes morales au nom des droits des individus Une recette géniale pour anéantir progressivement les libertés : en créer de nouvelles !Les régimes totalitaires vantent les libertés pour mieux les anéantir (Hannah Arendt). Quels...
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