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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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23 mars 2015

Basile Zaharoff: l'homme mystère de l'Europe

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Basil Zaharoff, alias Basil Bazaroff pour Hergé

C’est lui que le dessinateur Hergé représente, dans l’album de Tintin « L’Oreille cassée », sous les traits du vendeur d’armes incitant le général Alcazar à s’armer pour prendre le contrôle d’une région riche en pétrole, avant de s’envoler pour l’État voisin et vendre les mêmes armes au dictateur voisin !

Une façon de faire dans laquelle Zaharoff était effectivement passé maître ! Avec son chapeau rond, sa barbichette blanche, sa canne et son loden vert, le personnage créé par le dessinateur belge ressemble d’ailleurs en tout point à son illustre modèle ! Caricaturée par Hergé, sa méthode se révèle d’une redoutable efficacité : vendre des armes à un pays en amplifiant la menace représentée par son voisin et ennemi, puis aller voir ce dernier et jouer exactement la même partition !

Sa vie est un véritable roman, parsemé d’aventures incroyables et de zones d’ombre qui lui valurent son surnom d’« homme mystère de l’Europe ». Zacharias Basiléos Zarapoulos naît en Turquie en 1849, dans une famille grecque misérable installée depuis des lustres à Constantinople.

Sur sa jeunesse d’enfant des rues du quartier pauvre de Tatavla, le futur marchand d’armes refusa toujours de lever le voile. Fut-il guide touristique, comme il le prétendit plus tard, ou rabatteur pour un bordel de marins, une version sans doute plus conforme à la vérité ? Entre 1866 et 1870, il disparaît totalement de la circulation.

Selon certains, il aurait travaillé quelque temps chez l’un de ses oncles propriétaire d’une petite boutique de fripes dans le quartier de Galata, avant de devenir l’homme de main d’un gang grec opérant à Constantinople. Compromis dans plusieurs affaires – vol, diffusion de fausses monnaies et même, semble-t-il, meurtre d’un policier -, il aurait été contraint de quitter la Turquie. En 1870, on le retrouve en France, puis en Belgique et enfin en Angleterre, muni d’un confortable pécule sans doute fort mal acquis.

Se faisant passer – à vingt ans à peine ! – pour un certain général de Kieff, exhibant de fausses décorations et des états de service totalement inventés, il vit en important des produits de Turquie et de Grèce, qu’il revend fort cher à Londres. Bien introduit dans les salons de la bourgeoisie anglaise, il parvient à séduire et à épouser la fille d’un prospère petit industriel du bois. Las!

Au moment où il pense toucher les fruits de ses manœuvres, il est poursuivi par la justice anglaise pour opérations commerciales illégales. Libéré sous caution, mais obligé de demeurer à Londres, il estime plus prudent de quitter clandestinement l’Angleterre. Abandonnant sa jeune épouse, il s’installe à Chypre, puis à Athènes en 1874.

Propriétaire d’un petit commerce lui rapportant tout juste de quoi vivre, habitué des bars et des hôtels de luxe d’Athènes, où il se répand en anecdotes flatteuses sur son compte et se faisant désormais appeler Basil Zaharoff – la consonance russe est alors du meilleur effet -, l’ancien gamin des rues de Constantinople se lie d’amitié avec Étienne Skouloudis, un journaliste politique en vue à Athènes.

C’est Skouloudis qui, en 1877, présente Zaharoff à l’un de ses amis, un ancien capitaine suédois de la marine marchande devenu le représentant du fabricant d’armes suédois Nordenfelt pour la Grèce et les Balkans.

L’homme, qui s’apprête à quitter son poste, est à la recherche d’un successeur. Polyglotte – il parle couramment le français, l’anglais, le russe, l’allemand, l’italien, le grec, le turc et comprend la plupart des langues des Balkans, un reste de l’époque où il guidait les marins jusqu’aux bordels de Constantinople -, sachant s’adapter à toutes les situations, Zaharoff est le candidat idéal. Le 14 octobre 1877, il est officiellement intronisé par Nordenfelt comme son représentant pour la Grèce et les Balkans. Il y ajoutera un peu plus tard la Russie, avant de prendre en main toute l’Europe, puis le Japon.

La fortune de Zaharoff est en marche. De 1877 à son retrait des affaires, au début des années 1920, elle se nourrira de tous les conflits, et notamment des guerres balkaniques incessantes qui, entre 1870 et 1913, opposent les États des Balkans entre eux, mais aussi à la Grèce et à la Turquie.

Son plus beau succès, le « Nordenfelt I »

L’un de ses plus beaux succès, Zaharoff l’obtient ainsi au début des années 1880, lorsqu’il réussit à vendre à la Grèce l’un des tout premiers sous-marins de l’histoire – le « Nordenfelt I » à propulsion à vapeur – en jouant sur la menace turque, puis, dans les semaines qui suivent, à en placer deux autres à la marine turque en mettant en garde ses interlocuteurs contre la menace représentée par le sous-marin grec !

Pour permettre à ces deux États presque totalement impécunieux de financer ses acquisitions, Zaharoff est le premier marchand d’armes de l’histoire à proposer des crédits étalés sur plusieurs années. Quant aux trois submersibles, ils couleront tous au bout de quelques sorties…

Passé maître dans la corruption – au début des années 1910, la distribution de 40.000 livres de pots-de-vin à l’amiral japonais Fuji fera scandale -, ayant su nouer des relations au plus haut niveau des appareils politico-militaires, sachant flatter les épouses et les maîtresses des officiels – « Les femmes sont nos meilleures alliées », dit-il souvent -, ayant lui-même de nombreuses liaisons avec des femmes bien en cour, Basil Zaharoff est devenu le représentant le plus efficace de la firme Nordenfelt. Mais, déjà, un nouveau concurrent a fait son apparition : Maxim. Fondée par un ancien boxeur devenu ingénieur, Hiram Maxim, la firme a mis au point une mitrailleuse très performante et représente une réelle menace pour le suédois.

Un temps, Zaharoff parvient à maintenir à distance ce redoutable concurrent, redoublant de pots-de-vin pour fidéliser sa clientèle, allant même jusqu’à saboter la mitrailleuse Maxim à la veille d’une démonstration publique. Mais le marchand d’armes est trop intelligent pour s’obstiner dans une opposition frontale.

En homme d’affaires avisé, il sait que Nordenfelt n’a pas la taille critique pour résister aux grands groupes d’armement que sont l’allemand Krupp, le français Schneider ou l’anglais Vickers et que, à l’heure où de plus en plus de pays s’engagent dans une course aux armements, il faut consolider le secteur.

En 1888, au nom de l’efficacité commerciale, il orchestre le rapprochement entre Maxim et Nordenfelt, prenant soin au passage de convertir une partie des commissions qui lui sont dues en actions. Moins de dix ans plus tard, en 1897, il se montre à nouveau l’un des plus ardents partisans de la reprise de Nordenfelt-Maxim par le groupe Vickers, qui donne naissance à un géant de l’armement. Zarahoff y gagne sur tous les tableaux : membre du conseil d’administration de la nouvelle compagnie, il peut offrir à ses clients un catalogue d’armes d’une grande diversité, des capacités industrielles démultipliées et des facilités de crédit…

Le marchand d’armes est devenu industriel, un « maître des forges », comme il aime à se définir lui-même. A la vente d’armes, il préfère désormais les opérations d’envergure, celles qui engagent des États. Au lendemain de la défaite de la Russie contre le Japon, en 1905, il pilote ainsi la création, à Tsaritsyn, sur la Volga, d’un important complexe industriel voué à la production d’armement et dont Vickers détient la majorité des parts.

Maître dans l’art de la propagande

Installé à Paris avenue Hoche, propriétaire du château de Balincourt, où il reçoit discrètement hommes politiques et chefs militaires, Zaharoff s’attache également à promouvoir l’industrie de l’armement, devenant maître dans l’art de la propagande. C’est ainsi que, peu avant la Première Guerre mondiale, il prend le contrôle de deux journaux – l’« Excelsior » et « L’Écho de Paris » -, qui lui servent à diffuser toutes sortes de rumeurs. En 1907, par exemple, il fait publier des articles signés par des gradés mettant en valeur le réarmement de la France en vue de contrer la menace grandissante de l’Allemagne.

Lus au Reichstag, le Parlement allemand, ces articles entraînent une augmentation des crédits militaires outre-Rhin. L’affaire a entièrement été pilotée par Zaharoff et Paul Von Gontard, un industriel allemand de l’armement qui a fait entrer la Vickers dans son capital et qui en attend une augmentation substantielle de ses ventes. Des campagnes du même type sont organisées pour convaincre Français et Anglais de poursuivre la course aux armements…

Sans autre patrie que celle de ses clients, Zarahoff saura néanmoins choisir son camp lors de la Première Guerre mondiale, soutenant la France et la Grande-Bretagne dans leur combat contre les empires centraux et la Turquie. Entre 1914 et 1918, la Vickers livrera ainsi aux Alliés 4 bâtiments de ligne, 3 croiseurs, 53 sous-marins, 62 bâtiments légers, 2.400 canons, 5.500 avions, 100.000 mines et plus de 120.000 mitrailleuses.

Cet engagement – au demeurant très profitable – lui vaudra de recevoir la Légion d’honneur, l’Ordre du bain et d’être élevé, en Angleterre, au rang de baron. Le marchand d’armes pourra désormais se faire appeler sir Basil Zaharoff.

A près de soixante-dix ans, il aurait pu aspirer au repos et profiter enfin de son immense fortune. Il n’en est rien ! En 1919, Zaharoff se met en effet en tête de soutenir le Premier ministre grec Elefthérios Vénizélos dans sa campagne militaire contre la Turquie. Pour vendre des armes ? Bien sûr ! Mais aussi par patriotisme, lui qui s’enorgueillit désormais de ses origines grecques. Zaharoff partage en fait les mêmes fantasmes que Vénizélos, qui rêve de reconstituer la grande Grèce antique et de remettre la main sur l’Asie mineure!

Installé à Athènes, n’écoutant guère les consignes de prudence que lui dispensent Anglais et Français – qui considèrent d’un œil de plus en plus critique les initiatives du marchand d’armes-, Zaharoff planifie de concert avec le Premier ministre grec les grandes offensives de 1919 et de 1920, avançant de sa poche l’achat d’armement.

L’échec de cette aventure – l’armée grecque subit une défaite cinglante, en 1922, face aux nationalistes turcs conduits par Mustafa Kemal Atatürk – met un terme définitif à sa carrière de marchand d’armes. Elle entame également sérieusement son crédit et sa fortune.

Retiré à Paris, Zaharoff se livre désormais à des affaires moralement moins contestables. En 1918, il s’est porté acquéreur d’une petite banque, la Banque de la Seine. Elle lui permet de prendre des participations dans le secteur pétrolier en plein essor. Proche de Louis II de Monaco, il rachète également la Société des Bains de Mer, en charge de la gestion du casino de Monte-Carlo, et qui croule alors sous les dettes.

Il lui faudra quelques mois à peine pour redresser l’entreprise. Mais la grande affaire de l’ancien marchand de mort, c’est sa liaison avec Maria del Pilar, l’ancienne épouse du duc de Marchena, interné pour folie.

Il l’avait rencontrée trente ans plus tôt, à bord de l’Orient-Express lorsque la jeune duchesse, alors âgée de dix-sept ans, s’était réfugiée dans son wagon pour échapper à son mari, pris d’une crise de folie. Tombés éperdument amoureux, ils ont dû attendre la mort du duc pour pouvoir enfin convoler en juste noce. Pour Zaharoff, c’est son troisième mariage.

Après avoir abandonné sa première épouse anglaise, il s’était en effet marié – sans divorcer ! – avec une riche héritière américaine, ce qui avait provoqué un scandale qu’il était parvenu non sans mal à étouffer. C’était au début des années 1880. Depuis, Zaharoff avait vécu seul, enchaînant les aventures de circonstances.

Son bonheur avec la belle Maria del Pilar ne dure guère. Moins de dix-huit mois après leur mariage, elle est emportée par une mauvaise fièvre. Brisé, Zaharoff liquide alors tous ses biens et s’attelle à la rédaction de ses Mémoires, dans lesquels il promet de faire des révélations. Volés par un domestique, discrètement récupérés par la police, dont Zaharoff achète fort cher le silence, ils sont finalement brûlés par leur auteur. Basil Zaharoff meurt, amer et solitaire, en novembre 1936.

Les Échos

http://fortune.fdesouche.com/37666-lhomme-mystere-de-leurope

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7 juillet 2013

L'origine du mouvement le plus sectaire dans l'islam et l'arrivée de l'Antéchrist Vidéos

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Ce documentaire n'a pas pour but de stigmatiser les musulmans, mais bien au contraire de sortir les gens ignorants qui suivent une religion orientée par ces groupes minoritaires qui donnent une très mauvaise image à l'islam, depuis quand un croyant se focalise sur sa barbe ou sa burqa seul le coeur est important et le comportement,le tuning spirituel trompe les gens ce n'est pas parce que vous avez une barbe que vous êtes plus croyant lorsque Dieu vous jugera il  regardera vos coeurs et pas la longueur de votre barbe.le fléau c'est l'ignorance et le manque de compréhension...... je dédis cet article a tous les musulmans désireux de suivre le chemin de leur prophète pour qu'ils sortent  des ténèbres dans lesquels , les riches musulmans les ont plongé....

le Prophète ( صلى الله عليه و سلم ) avait ajouté:

""Il viendra un moment où un groupe de personnes quitteront nos rangs. Ils réciteront le Coran avec une ferveur et une passion (3) mais son esprit n'ira pas au-delà de leur gorge. Ils quitteront nos rangs à la manière d'une flèche quand elle est tirée (sortie) de son arc. "


**


Il est rapporté dans Mishkat de Abu Saïd Khoudri (RA) qui raconte que:


Une fois nous étions en présence et en compagnie du Saint Prophète (saws). Il distribuait le butin (butin de la guerre) lorsque la personne nommée Zul-Khawaisara, qui était de la tribu des Banu Tamim ( proéminente tribu du Najd), s'est adressée au Saint Prophète (saws):


"Oh Mohammad soit juste!"


Le Prophète (saws) répliqua:


"Quel dommage que tu sois dans le doute . Si je suis injuste alors qui sera juste, vous êtes un perdant et un échec ".


L'attitude de Zul-Khawaisara exaspèra Omar (ra) et il demanda au Prophète (saws) la permission de tuer Zul-Khawaisara.


Le Prophète (saws) dit:


"Laisse le, sa mort ne servirait à rien car il n'est Pas Seul, ils sont nombreux comme Lui. Et si vous deviez comparer vos prières et vos jeunes aux LEURS, vous vous sentiriez honteux. Ce sont les gens qui récitent le Coran mais il n'ira pas au-delà de leur gorge, avec toutes ces vertus apparentes, ils quitteront le giron du Deen (religion), tout comme la flèche quitte l'arc."


Miskhat Shareef, pp/535



Rapporté aussi comme suit:


Une personne au regard sévère, à la longue barbe et à la tête rasée vint au Prophète (saws) et déclara:


"Oh Mohammad! craint Dieu!"


Le Prophète (saws) répondit:


"Si je désobéis à Dieu, qui d’autre lui obéira? Je suis obéissant envers Dieu à tout moment, je ne désobéis jamais. Dieu m’a envoyé avec le nom de "al Amine" (celui qui est honnête envers le monde entier), ne m’acceptes tu pas comme un homme honnête?"


Un compagnon se mis en colère et demanda la permission de chasser cette personne de la présence du Saint Prophète (saws). Le Prophète (saws) l’en empêcha. Après que l’homme fut parti, le Saint Prophète (saws) dit:


" De sa descendance viendra un groupe de gens, qui récitera le Coran mais il ne sera pas descendre en dessous de leur gorge, Ils vont quitter le Deen (religion) Comme une flèche Quitte l'arc. Ils tueront les musulmans mais épargneront les idolâtres. Si je devais me confronter à ces gens je devrais les abattre tout comme le peuple de 'Aad fut détruit. "


.blogspot.fr/2010/05/larbre-wahhabite-les-racines-le.html

 

Miskhat Sharif, page 535

De plus, les traductions françaises ou anglaises du Coran contiennent des erreurs graves et des traductions complètement erronées faites pour falsifier le livre ce qui est déjà suffisamment grave....

La dernière ruse en traduisant une sourate ils ont remplacé le mot étoile par Sirius ainsi cela conforte l'existence extraterrestre et ensuite il rajoute c'est la planète ou se trouve votre Dieu voila le tour est joué un Dieu extraterrestre vénéré par les Égyptiens et Babylonien ce niveau de ruse est époustouflant. Godbless

Lors de toute quête spirituelle, commencez par une demande sincère à la source, j'emploie ce terme, car tout le monde ne croit pas en Dieu et je respecte ce positionnement, car parmi ces personnes se trouvent des gens au grand coeur très sincères et des plus tolérants..Ce monde nous a enlevé nos familles nos croyances, mais nous enlèvera jamais le coeur il est la clef de l'univers, oeuvrez pour le bien et vous vivrez éternellement dans le jardin que vous cultiviez, » .

On récolte ce que l'on sème. R james.

 

 

7 juillet 2013

Qu'est-ce qu'un Cointelpro? Alex Jones

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COINTELPRO (1956 – 1971) (Counter Intelligence Program) est un programme de contre-espionnage du FBI sous la direction de John Edgar Hoover qui enquête sur et perturbe les organisations politiques dissidentes aux États-Unis. Les cibles de COINTELPRO étaient les organisations qui comportaient des éléments politiquement radicaux, allant de groupes révolutionnaires (Weathermen, Black Panther Party, Parti communiste des États-Unis d'Amérique) aux activistes non-violents des droits civiques (Southern Christian Leadership Conference, les Amérindiens de l'American Indian Movement, Leonard Peltier et Martin Luther King), en passant par les groupes violents et racistes comme le Ku Klux Klan ou le Parti nazi américain. Le document fondateur de COINTELPRO ordonne aux agents du FBI d’exposer, perturber, discréditer, ou sinon neutraliser les activités des mouvements dissidents et leurs chefs. Révélé par la Commission citoyenne d'enquête sur le FBI, un groupe de gauche qui avait cambriolé des bâtiments du FBI pour récupérer des dossiers confidentiels, le programme COINTELPRO a été sévèrement critiqué par la Commission Church de 1975.http://fr.wikipedia.org/wiki/COINTELPRO

 Maintenant il est utile de lire ces gens car ce qu'ils disent est faux il faut alors chercher la raison du mensonge et ou  se trouve la vérité qui est diamétralement opposée à tout ce qu'ils racontent .

6 juillet 2013

L’euro, responsable de la destruction de l’industrie Française?

 

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Les esprits les plus curieux se penchent actuellement sur le rapport de 23 pages publié par le docteur Eric Dor, directeur de l’école de gestion IESEG de l’Université Catholique de Lille au regard des conséquences de l'union monétaire sur la destruction de l'industrie manufacturière Française.

Eric Dor écrit que ‘le lancement de l’euro a entraîné une forte diminution de la production manufacturière en France ainsi qu’une importante diminution de ses parts de marché’.

En clair

Depuis la naissance de l’euro, les productions industrielles de la France et de l’Allemagne ont extrêmement divergé. La production manufacturière de la France a fortement diminué dans le même temps que celle de l’Allemagne grimpait. La baisse ou la stagnation des exportations de produits Français contraste avec la hausse des exportations de l’Allemagne. La France a perdu énormément de parts de marché sur les marchés étrangers. Ce phénomène est une conséquence directe des défauts d’organisation de l’union monétaire. En raison des vastes écarts de sophistication des produits Français et Allemands, partager une devise commune avec l’Allemagne a inévitablement entrainé une baisse de la compétitivité de la France sur les marchés étrangers.

La production de l’industrie manufacturière en France

Les données détaillées compilées dans ce rapport mettent en lumière la magnitude de la désindustrialisation de la France depuis la naissance de l’euro. Avant l’union monétaire, les taux de croissance de la production industrielle de l’Allemagne et de la France étaient très similaires. Par exemple, de janvier 1995 à décembre 1998, le taux de croissance cumulé était de 5,5% pour la France et 6,4% pour l’Allemagne. En revanche, depuis l’arrivée de l’euro, entre janvier 1999 et avril 2013, la production industrielle de la France a diminué de 11,4% dans le même temps que celle de l’Allemagne augmentait de 32,8% !

Avant la crise financière, entre janvier 1999 et décembre 2008, la divergence était nette. Sur la période, la production manufacturière de la France n’a augmenté que de 3,4% alors que celle de l’Allemagne gagnait 32,4%. La crise s’est avérée destructrice pour la France, où la production manufacturière a diminué de 15,2% entre janvier 2009 et avril 2013. Sur la même période, celle de l’Allemagne a bien résisté et n’a souffert que d’une baisse de 1,5%. Les données relatives à la production industrielle démontrent que depuis la création de l’union monétaire, la Grande-Bretagne a enregistré de meilleures performances que la France, qui se trouve clairement proche des économies périphériques en difficultés que sont l’Espagne et l’Italie.

Les données relatives à la croissance cumulée de la production industrielle présentent que la divergence entre la France et l’Allemagne est identique sur la quasi-totalité des secteurs industriels.

Les carences de l’union monétaires étaient évidentes dès le début

La responsabilité de ceux qui sont à l’origine de la création de l’union monétaire est grande, parce que bon nombre d’entre eux avaient conscience de ses défauts. Ce fait a été très bien documenté par Geert De Clercq (2011).

Il ne fait aucun doute que les experts avaient conscience que les mécanismes de la devise commune entraîneraient un financement implicite des pays du sud par les pays du nord. Avant de rejoindre la BCE en 1998, Otmar Issing a lui-même publié un article dans lequel il mettait en garde contre les transferts de liquide qu’impliquerait la devise unique entre les pays membres, et les tensions politiques qui en découleraient. Bien que la demande faite par la Bundesbank aux autres pays de l’Eurosystème au regard de TARGET ait posé beaucoup de questions en Allemagne, un phénomène de ce type a été identifié dès le départ, avant même le lancement de l’euro – par Garber, entre autres.

Les conséquences pour la France

Bien que la France n’ait pas fait l’expérience d’une bulle sur l’immobilier et d’un endettement excessif du secteur privé comparable à ceux des pays de l’Europe du sud, la compétitivité du pays et la profitabilité de son industrie se sont trouvées détériorées depuis le lancement de l’euro. En conséquence, son déficit commercial n’a cessé de s’accroitre, et sa capacité de production a grandement souffert.

 

Le document PDF fait 23 pages et est truffé de graphiques comme celui-ci :

 

Production industrielle cumulée




Cliquez sur un graphique pour en obtenir une image plus lisible.


Balances commerciales




Exportations




L’euro a exacerbé les déséquilibres existants.


Pour dire les choses telles qu’elles sont, les problèmes de la France (et de l’Espagne, de la Grèce et de l’Italie…) ne sont pas uniquement dues à l’euro. En revanche, il est certain que l’euro les ait exacerbés.
Plutôt que d’agir en sauveur, l’euro a représenté une ancre pour une majorité des pays de la zone euro.

http://www.24hgold.com/francais/actualite-or-argent-l-euro-responsable-de-la-destruction-de-l-industrie-francaise-.aspx?article=4423799162G10020&redirect=false&contributor=Mish.

28 février 2013

Documentaire - "Quand l'Europe sauve ses Banques, qui paye ?

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Une documentation complète sur la réalité de l'Union Européenne. 50 milliards d'euros en Grèce, 70 milliards en Irlande, 40 milliards en Espagne : au sein de la zone euro, les États se sont vus contraint les uns après les autres - moyennant des sommes astronomiques - de venir en aide aux banques pour compenser les pertes subies suite à des prêts pourris. Mais qui sont les bénéficiaires de telles opérations ? C'est en posant cette question très simple qu'Harald Schumann, essayiste en économie et brillant journaliste, sillonne l'Europe. Et obtient des réponses pour le moins sidérantes. Car ceux qui ont été "sauvés" ne se trouvent pas - comme on tend à vouloir nous le faire croire - dans les pays en détresse, mais surtout en Allemagne et en France. En effet, une part importante des sommes débloquées finit dans les caisses des créanciers de ces banques sauvées. Quant aux financiers qui ont fait de mauvais investissements, ils se retrouvent protégés contre toute perte aux frais de la collectivité. Et ce contrairement aux règles de l'économie de marché.

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28 novembre 2011

La Banque Centrale Européenne aux mains de Goldman Sachs et des jésuites

 La Banque Centrale Européenne aux mains de Goldman Sachs et des jésuites
- Françaises, Français. Préparez-vous à subir le même plan d'austérité que la Grèce après les élections Présidentiellesde 2012, des experts l'avouent, -Nous n'y couperons pas.- La Banque Centrale Européenne pourrait nous sauver ! - La Banque Centrale...
4 novembre 2011

2012 sous le signe de tsunamis à venir : Programme Européen Poséidon.

2012 sous  le signe de tsunamis à venir : Programme Européen Poséidon.
Poseidon est un programme financé par l'Union européenne, visant à préparer le mécanisme de protection civile en Grèce pour faire face à un tsunami tremblement de terre dévastateur, grâce à la coopération des autorités de protection civile au niveau local,...
3 novembre 2011

La banque BNP Paribas va supprimer des centaines de postes !

La banque BNP Paribas va supprimer des centaines de postes !
La banque BNP Paribas a annoncé jeudi des mesures draconiennes, notamment une décote de 60 % de ses titres grecs, des cessions massives d’obligations d’État et des réductions d’effectifs, pour accélérer son adaptation au nouvel environnement financier...
17 juillet 2011

La dernière onde de Choc pour la Zone Euro : Le projet BIG BANG

La dernière onde de Choc pour la Zone Euro : Le projet BIG BANG
La dernière onde de Choc pour la Zone Euro, c’est la dette de l’Irlande qui se retrouve déclassée en catégorie spéculative, dite “Junk”, et l’Italie dans la ligne de mire d’un prochain sauvetage…Et un projet Big-Bang ? Paul Nutall, député européen, membre...
4 juin 2011

Vent de panique : Les clients grecs ont procédé au retrait de pas moins de 1.5 milliards d’euros

 Vent de panique : Les clients grecs ont procédé au retrait de pas moins de 1.5 milliards d’euros
Les clients grecs se pressent aux caisses des banques pour retirer leurs économies, rapporte Protothema, et entre jeudi et vendredi derniers des particuliers auraient ainsi procédé au retrait de pas moins de 1.5 milliards d’euros. Au total, les retraits...
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