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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
chimiotherapie
27 octobre 2013

le chamboulement de notre rythme biologique et du temps augumentent les risques de cancers

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La plupart des êtres vivants possèdent une horloge interne dite circadienne, véritable métronome moléculaire. Le rythme circadien est d’une durée d’environ 24 heures. Cette horloge est construite sur une multitude d’échelles. Chaque cellule groupée dans un organe possède sa propre horloge circadienne qui est régulée par une horloge centrale se trouvant dans l’hypothalamus. Et si ce grand assemblage horloger se met de temps à autre au diapason de l’horloge centrale, il peut néanmoins continuer à fonctionner sans elle. Dans cette rythmique générale, le cycle des jours et des nuits sert à remettre les pendules légèrement à l’heure. Mais on a constaté que si un individu reste dans une cave durant un mois, le rythme veille-sommeil se poursuit et ne s’arrête jamais, même en l’absence de signaux extérieurs comme la lumière. Le rythme veille-sommeil est un des plus visibles, notamment à travers le fameux jet lag. Cette fatigue reflète un décalage horaire entre les horloges internes et les cycles de lumière diurnes, et quelques jours sont nécessaires pour synchroniser l’horloge biologique avec l’horloge réelle. Mais nous avons une multitude d’autres horloges. Elles permettent de coordonner notre physiologie et nos comportements en fonction des cycles diurnes, notamment les variations de lumière et de température. Ces horloges modulent quotidiennement divers processus physiologiques, comme le rythme cardiaque, la pression sanguine, la température corporelle ou encore l’activité du système digestif. Le foie par exemple ne peut pas accomplir certaines tâches simultanément, et il est avantageux de séparer temporellement les processus biochimiques incompatibles. L’horloge contribue par exemple à la régulation temporelle de la glycémie. En effet, le glucose absorbé est d’abord stocké puis réintroduit dans la circulation sanguine durant la nuit où nous n’ingérons en général plus de nourriture. Il en ira de même pour la détoxification du sang qui sera restreinte aux intervalles diurnes.

Le travail de nuit ou en rotation, en déréglant le rythme circadien (rythme de 24 h basé sur l’alternance de veille et de sommeil), surexposent à certains cancers (cancer de la prostate, cancer du côlon, cancer du sein), mais aussi au diabète et à l’obésité.

Comment le chamboulement de notre rythme biologique peut-elle si néfaste sur l’organisme ? La problématique du fonctionnement du système circadien et son impact sur la santé a piqué l’intérêt de plusieurs chercheurs ces trente dernières années à l’instar de la Nasa.
Ces travaux ont permis de comprendre que notre corps obéit à de petites horloges biologiques cachées dans chaque cellule et qui sont commandées par une quinzaine de gènes dirigés par un “chef d’orchestre” situé dans le cerveau. Ce rythme biologique commande beaucoup de choses : l'alternance veille/sommeil, la température ou la sécrétion de plusieurs hormones, la division cellulaire ou encore le vieillissement des cellules.

"Les études montrent que lorsque le système circadien est perturbé et qu'il ne fonctionne plus de façon coordonnée, on a un risque accru de développer des cancers, des maladies cardiovasculaires ou des maladies infectieuses" explique Francis Lévi, directeur de l'unité de l'Inserm Rythmes biologiques et cancers.

Cancer : la chronothérapie pour améliorer l’efficacité des traitements
En raison de ce rythme biologique, le corps réagirait aussi différemment aux médicaments selon le moment où on les prend. Leur efficacité et leur toxicité ne serait donc pas la même selon l’heure de la journée. En partant de ce postulat, des chercheurs ont développé la chronothérapie, une pratique thérapeutique appliquée dans une quinzaine de services de cancérologie en France, en Belgique, en Italie et au Portugal.

Dans l’Hexagone, Francis Lévi en est un des chefs de file. Avec son équipe de l’Inserm il ambitionne de personnaliser les traitements contre le cancer afin d’améliorer leur efficacité. "En suivant les rythmes circadiens, on optimise le traitement en améliorant l’efficacité anti-tumorale et en réduisant de deux à dix fois les effets secondaires", assure-t-il.
Des patients atteints de cancers digestifs à l'hôpital Paul-Brousse de Villejuif bénéficient de la chronothérapie appliquée aux chimiothérapies. Concrètement, les patients suivis pour des cancers colorectaux sont équipés d’une pompe programmable qui délivre automatiquement les médicaments de la chimiothérapie.
D’autres outils sont en cours de développement comme un dispositif de mesure de la température corporelle du patient. "Il fournira au médecin l’heure interne de chaque patient, et permettra d’adapter la chronothérapie aux horloges de chaque patient, et à ses dérèglements éventuels", précise l’Inserm dans un communiqué.

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9 mai 2013

75% des médecins refusent la chimiothérapie pour eux-mêmes

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“Aucun des principaux media n’a jamais mentionné cette étude exhaustive; elle a été complètement enterrée.”
(Tim O’ Shea, “Chemotherapy – An Unproven Procedure”) “Selon les associations médicales, les effets secondaires notoires et dangereux des médicaments sont devenus la quatrième cause principale de mortalité après l’infarctus, le cancer et l’apoplexie.”
(Journal of The American Medical Association, april 15, 1998) Le Dr. Simoncini écrit

Un grand manque de confiance est aussi évident parmi les médecins. Les enquêtes et les questionnaires montrent que trois docteurs sur quatre (75 pour cent) refusent toute chimiothérapie sur eux-mêmes en cas de cancer en raison de son inefficacité sur la maladie et de ses effets dévastateurs sur la totalité de l’organisme humain.
Voici ce que de nombreux docteurs et scientifiques ont à dire à propos de la chimiothérapie :
“La majorité des patients atteints de cancer dans ce pays meurent à cause de la chimiothérapie, qui ne soigne ni les cancers du sein, ni ceux du côlon ou des poumons. Cela été consigné depuis plus de dix ans. Néanmoins les docteurs continuent à utiliser la chimiothérapie pour combattre ces tumeurs.”
(Allen Lewin, MD, UCSF, “The Healing of Cancer”, Marcus Books, 1990)

“Si je devais contracter le cancer, je ne recourrais jamais à un certain modèle thérapeutique pour soigner cette maladie. Les patients du cancer qui se tiennent éloignés de ces centres ont une certaine chance de s’en sortir.”
(Prof. Georges Mathé “Scientific Medecine Stymied”, Médecines Nouvelles, Paris, 1989)

“Le Dr Hardin Jones, conférencier à l’université de Californie, après avoir analysé pendant de nombreuses décennies les statistiques de survie au cancer, est parvenu à cette conclusion : “ … Quand ils ne sont pas traités, les patients ne vont pas plus mal, ils vont même mieux.” Les conclusions déstabilisantes du Dr Jones n’ont jamais été réfutées”.
(Walter Last, “The Ecologist”, vol. 28, n°2, Mars-avril 1998.)

“De nombreux oncologues recommandent la chimiothérapie pour presque tous les types de cancer, avec une foi qui n’est même pas ébranlée par des échecs presque constants.”
(Albert Braverman, MD, “Medical Oncology in the 90s”, Lancet, 1991, vol. 337, p. 901)

“Nos prescriptions les plus efficaces sont très risquées, ont des effets secondaires et comportent des problèmes pratiques, et après que tous les patients que nous avons traités ont payé leur dîme, seul un minuscule pourcentage d’entre eux est remboursé par une période éphémère de régression tumorale et généralement partielle.” (Edward G. Griffin, “World Without Cancer”, American Media Publications, 1996)

“Après tout, et pour une majorité bouleversante de cas, il n’y a aucune preuve que la chimiothérapie prolonge les attentes de survie. Et c’est le grand mensonge de cette thérapie, qu’il y a une corrélation entre la réduction des tumeurs et le prolongement de la vie du patient.”
(Philip Day, “Cancer : Why we’re still dying to know the truth”, Credence Publications, 2000)

“Plusieurs scientifiques à plein temps au Centre du Cancer Mac Gill ont envoyé à 118 docteurs, tous experts du cancer du poumon, un questionnaire pour déterminer le niveau de confiance qu’ils avaient dans les thérapies qu’ils appliquaient; on leur a demandé d’imaginer qu’ils avaient eux-mêmes contracté la maladie et laquelle des six thérapies expérimentales actuelles ils choisiraient. 79 docteurs ont répondu, 64 d’entre eux ont dit qu’ils ne consentiraient pas à subir un traitement contenant du cis-platine – un des médicaments chimiothérapeutiques communs, tandis que 58 sur 79 croient que toutes les thérapies expérimentales ci-dessus ne sont pas acceptables en raison de leur inefficacité et du niveau élevé de toxicité de la chimiothérapie.”
(Philip Day, “Cancer : Why we’re still dying to know the truth”, Credence Publications, 2000)

“Le docteur Ulrich Abel, un épidémiologiste allemand de la Clinique des tumeurs de Heidelberg-Mannheim, a étudié et analysé de manière exhaustive les principales études et expérimentations cliniques effectuées sur la chimiothérapie: “ … Abel a découvert que le taux global mondial de résultats positifs résultant de la chimiothérapie était effrayant, parce que, simplement, nulle part nous n’avons de preuve scientifique à notre disposition démontrant que la chimiothérapie est capable de “prolonger d’une manière appréciable la vie des patients affectés par les types les plus communs de cancer des organes.” Able met en lumière le fait que rarement la chimiothérapie améliore la qualité de vie, il la décrit comme désolante du point de vue scientifique et maintient qu’au moins 80% des chimiothérapies administrées dans le monde sont sans valeur. Mais, même s’il n’y a pas de preuve scientifique, quelle qu’elle soit, que la chimiothérapie marche, ni les docteurs ni les patients ne sont préparés à l’abandonner.”
(Lancet, Aug. 10, 1991)

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