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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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30 juin 2017

Ces médicaments causeraient la perte de mémoire

 

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Malheureusement, les principales causes de décès aux États-Unis sont les réactions indésirables aux médicaments. Les médicaments prescrits entraînent plus de 100 000 décès par an et plus de 1,5 million de cas de personnes hospitalisées présentant des effets secondaires graves, comme la perte de mémoire. 

Les trois catégories suivantes de médicaments d'ordonnance, énoncées par le site Health and Love Page, conduisent à de nombreux problèmes cognitifs, y compris la perte de mémoire: 

Les somnifères 

Les somnifères conduisent souvent à la perte de mémoire et provoquent un état semblable au coma ou à l'ivresse. Par conséquent, ils ne restaurent pas le sommeil nécessaire pour le corps afin de se réparer. 

Par exemple, l'Ambien, une drogue populaire, est connu pour être « la drogue d'amnésie », car elle mène aux 
hallucinations, aux terreurs nocturnes et au somnambulisme. 

 

Les médicaments contre les statines 

Ces médicaments sont l'un des médicaments les plus dommageables pour le cerveau et sont utilisés pour réguler le taux de cholestérol. Cela est dû au fait que ¼ du cerveau est composé de cholestérol, nécessaire pour la pensée, la mémoire et l'apprentissage. Cependant, ils provoquent également une perte de mémoire et des effets indésirables similaires. 


Les médicaments «anti» 

Tous les médicaments « anti », comme les antihistaminiques, les antibiotiques, les antidépresseurs, les antipsychotiques, les antispasmodiques ou les antihypertenseurs affectent les niveaux d'acétylcholine dans le corps, principal neurotransmetteur nécessaire à la mémoire et à l'apprentissage.

Ses faibles niveaux provoquent une vision floue, une perte de mémoire, une démence, un délire, une confusion mentale et des hallucinations.

Richard C. Mohs, ancien vice-président du Département de psychiatrie à l'École de médecine Mount Sinai, a composé la liste suivante qui comprend 20 médicaments qui causent la perte de mémoire:

  • Antibiotiques (quinolones)
  • Pilules - Ambien, Lunesta, Sonata
  • Analgésiques - morphine, codéine, héroïne
  • Insuline
  • Médicaments de chimiothérapie
  • Épilepsie - Dilantin ou phénytoïne
  • Barbituriques - Nembutal, Phénobarbital, Seconal, Amytal
  • Antipsychotiques - Mellaril, Haldol
  • Maladie de Parkinson - atropine, glycopyrrolate, scopolamine
  • Benzodiazépines - Xanax, Valium, Dalmane, Ativan
  • Quinidine
  • Bêta-bloquants
  • Hypertension artérielle
  • Interférons
  • Naproxen
  • Antidépresseurs tricycliques
  • Methyldopa
  • Lithium
  • Antihistaminiques
  • Stéroïdes

Dans le cas où vous utilisez ces médicaments, vous devriez consulter votre médecin et savoir s'ils affectent votre mémoire. Vous pouvez toujours trouver une alternative plus saine, au moins un autre médicaments ou des changements de style de vie. 

Vous devriez être plus physiquement actif, prendre quelques suppléments et consommer certains aliments bénéfiques pour le cerveau, afin d'abaisser les dommages qui peuvent l'affecter. 

Vous devez préserver la santé de votre cerveau afin de préserver une bonne et forte santé en général.

  • Les omega-3 (l’acide alpha-linoléique, l’acide eicosapentaénoïque et l’acide docosahexaénoïque) sont des acides gras essentiels pour la croissance et le bon fonctionnement des neurones. D'ailleurs, d'après certaines études, une carence en omega-3 pourrait favoriser le développement de certaines maladies psychiques, comme la dépression, la schizophrénie ou les troubles bipolaires !

Mieux : en janvier 2014, des chercheurs de l'Université du Dakota du Sud (aux États-Unis) ont montré que les femmes ménopausées qui consommaient régulièrement des omega-3 avaient un cerveau plus gros que la moyenne, et une dégénérescence cérébrale moins rapide. On dit « oui » !

S'il est possible de prendre des compléments alimentaires riches en omega-3, il est également possible de trouver ceux-ci dans l'alimentation : sardine, maquereau, hareng, saumon, huile de colza ou de noix... À consommer 2 à 3 fois par semaine.Le curcuma est-il l'épice miracle ? D'après une étude allemande publiée en septembre 2014 dans la revue spécialisée Stem Cell Research and Therapy, le turmérone (la molécule principale du curcuma) permettrait d'encourager la prolifération des neurones et de booster les capacités d'auto-réparation du cerveau.

https://vietonique.com/ces-medicaments-causent-la-perte-de-memoire-cessez-den-prendre-immediatement/#utm_source=GGWall&utm_medium=Spost&utm_content=medicaments

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23 juin 2017

l’être humain possède un sixième sens celle de la perception du magnetisme

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D’après Joe Kirschvink, du Caltech, l’être humain possède un sixième sens qui lui permet de détecter le champ magnétique terrestre. Une telle capacité a déjà été repérée chez des oiseaux et est suspectée chez des mammifères.

Ce 6éme sens concerne ce que l’on appelle la réception magnétique; la capacité pour un être de percevoir les champs magnétiques de notre terre.

Le géophysicien, Joe Kirschvink de l’Institut de Technologie de Californie, a réalisé des expériences avec les humains pour voir comment nous sommes capables d’accéder à ce sens magnétique. Il déclare:

«Cela fait partie de notre histoire évolutive. La réception magnétique est peut-être le sens fondamental. »

Cette «boussole» concerne toutes les informations que nous avons sur la façon de faire fonctionner ce sixième sens.

Cependant, les scientifiques et les chercheurs ne savent pas exactement comment on est censé l’utiliser, et récupérer les données, pour vraiment profiter de ce sens. Peut-être que les animaux utilisent ce sens pour traquer des proies, fuir certaines zones, ou une variété d’autres possibilités.

Pour poursuivre ce type d’étude, Kirschvink a testé des individus en envoyant un champ magnétique rotatif au sujet tout en mesurant ses ondes cérébrales. Par conséquent, Kirschvink a découvert que, lorsque ce champ est mis en rotation dans le sens antihoraire, les neutrons réagissent au changement de rotation à l’intérieur de leur cerveau, on a vu un pic visible dans leur activité électrique. Cela signifie qu’il doit y avoir une sorte de sens magnétique chez l’homme.

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Un champ magnétique dans une cage de Faraday

Des travaux précédents ont déjà essayé de mettre en évidence un sens magnétique chez l’Homme, mais ils n’étaient pas reproductibles. Ceux de Joe Kirshvink, en revanche, le sont, affirme-t-il. En avril dernier, il présentait ses résultats au congrès du Royal Institute of Navigation, au Royaume-Uni. Il affirme que « les humains ont des magnétorécepteurs fonctionnels ». Cette découverte est également décrite dans la revue Science Magazine.

L’étude en question a porté sur 24 personnes et a seulement fait l’objet d’une communication ; elle n’est pas publiée dans une revue à comité de lecture. L’expérience, commencée en 2014 avec Joe Kirschvink lui-même, a utilisé une grande cage de Faraday, une boîte en aluminium faisant écran à l’environnement électromagnétique. Les « cobayes » s’assoient dans la cage, dans le noir, et sont exposés à un champ magnétique pur, uniforme, sans aucune autre interférence, ni stimulus. Les participants portaient des capteurs sur le crâne pour réaliser un électro-encéphalogramme, afin de suivre leur activité cérébrale. Les chercheurs peuvent modifier l’orientation du champ magnétique.

Durant cette étude, différents tests ont été réalisés ; dans certains, un champ magnétique aussi fort que celui de la Terre tournait lentement autour de la tête des participants. Quand le champ magnétique tournait à l’inverse des aiguilles d’une montre, les ondes alpha des participants chutaient. Des neurones semblaient donc répondre au champ magnétique. De plus, la réponse neurale avait lieu après un petit délai (quelques centaines de millisecondes), ce qui suggère une réponse cérébrale active, d’après le chercheur. Pour l’instant, les résultats s’arrêtent là mais le chercheur promet que d’autres laboratoires, au Japon et en Nouvelle-Zélande, tenteront de confirmer ses résultats.

Alors que l’idée de l’influence de ces champs sur le vivant a longtemps été réservée aux sourciers, magnétiseurs et autres adeptes de pseudo-sciences, la science lui offre pour la première fois une crédibilité, sous la forme de mécanismes biologiques plausibles et d’observations comportementales indéniables.

Elle dessine ainsi les contours d’un sens magnétique, certes encore plein de mystères, mais qui ne relève plus du paranormal.

A première vue, tout pousse pourtant à douter de l’existence d’une perception sensorielle des forces magnétiques. Invisibles, inaudibles et impalpables, sans saveur ni odeur, ces forces nées du tourbillon de métaux fondus qui anime le cœur de la Terre ne se révèlent qu’en présence de boussoles ou d’aimants. Les lignes du champ terrestre qui relient chaque point de la planète à ses pôles magnétiques nord et sud ont beau traverser chacune de nos cellules, elles demeurent une bizarrerie en laquelle on croit, plutôt qu’un phénomène physique que l’on percoit. D’ailleurs, si l’odorat a le nez, et la vue l’œil, quel serait l’organe de la réception du champ magnétique ?

Comment expliquer le fait que nous n’ayons aucune conscience de cette information?

Et à quoi celle-ci pourrait-elle bien nous servir?

Autant d’énigmes qui laissent imaginer pourquoi le champ magnétique est devenu une caution scientifique idéale pour les idées les plus sulfureuses…

Le chemin aura été long avant qu’émerge l’hypothèse de la capacité de l’homme à détecter les champs magnétiques. Même des faits aujourd’hui largement acceptés, comme la présence d’un sens magnétique chez la plupart des espèces migratrices, ont eu beaucoup de difficultés à s’imposer.

« Il y avait au début un énorme scepticisme, chez les biologistes comme chez les physiciens », confirme Kenneth Lohmann, biologiste à l’université de Caroline du Nord, à Chapel Hill (Etats-Unis).

Evoquée dès le début du siècle dernier, l’hypothèse d’un sens magnétique chez certains oiseaux migrateurs n’a été reconnue par la communauté scientifique qu’à partir des années 1960. Et ce, grâce à l’idée ingénieuse des chercheurs allemands Wolfgang Wiltschko et Friedrich Merkel. « Ils ont placé des rouges-gorges dans des cages en papier carbone, pour que les oiseaux laissent des traces en grattant du côté vers lequel ils voulaient s’envoler », raconte Hervé Cadiou, chercheur à l’université de Strasbourg. En présence d’un champ magnétique terrestre perturbé, les oiseaux avaient tendance à se diriger vers une autre direction que celle qu’ils privilégiaient habituellement. Après application d’un champ artificiel, de telles désorientations ont par la suite été observées chez des espèces migratrices variées – oiseaux, poissons, tortues, langoustes, et même fourmis.

Aujourd’hui, personne ne doute plus du fait que de nombreux animaux, pour se repérer dans leurs longs trajets migratoires, utilisent les variations dans la direction des lignes de champ magnétique qu’ils traversent.

Mais l’homme n’est pas une espèce migratrice. . Rien n’incitait donc à penser que nous partagerions avec elle, ou quelque autre espèce, la faculté de ressentir le champ magnétique. Sauf que les chercheurs se sont aperçus, ces trente dernières années, que cette “magnétoréception” est présente dans presque toutes les branches de l’arbre de la vie !
, l’équipe de Hynek Burda, de l’université de Duisburg-Essen (Allemagne), a en effet observé en 2009 que les vaches et les cerfs ont tendance à s’aligner parallèlement à l’axe nord-sud, sauf à proximité des lignes à haute tension, qui perturbent justement le champ magnétique autour d’elles. « Nous sommes en train d’analyser des données pour d’autres animaux, et je peux déjà vous dire que la magnétoréception est présente chez bien d’autres espèces », affirme le chercheur.

Si des bactéries, des plantes et même des vaches peuvent ressentir le champ magnétique… alors pourquoi pas l’homme ?

Jusqu’à récemment, cette idée était largement méprisée, notamment à cause d’études controversées sur le comportement humain. Dans les années 1970 et 1980, le biologiste anglais Robin Baker, qui enseignait alors à l’université de Manchester, avait testé la capacité de ses étudiants à identifier la direction dans laquelle ils étaient orientés, dans un lieu inconnu et les yeux bandés. Ses résultats, publiés dans la revue Science en 1980, firent beaucoup de bruit : les étudiants auraient montré une capacité naturelle à se situer dans l’espace… sauf lorsqu’un aimant avait été fixé sur leur front ! Mais l’excitation suscitée par cette découverte allait rapidement s’effondrer, car aucun des chercheurs ayant tenté de reproduire les travaux de Baker ne retrouva ces résultats.

L’hypothèse de la capacité humaine à ressentir le champ magnétique terrestre en ressortit fortement discréditée. Elle fut ressuscitée par la découverte de molécules sensibles au champ magnétique chez différentes espèces, dont l’homme.

Une piste ouverte au début des années 1970… par hasard. A l’époque, « le microbiologiste Richard Blakemore découvre que, lorsqu’il met un pot de sédiments marins près d’un agitateur magnétique, utilisé pour remuer des solutions liquides, il s’y dessine un tourbillon », raconte Hervé Cadiou. Le chercheur britannique remarque alors que ce tourbillon est créé par des bactéries cachées dans les sédiments, capables de s’orienter par rapport au champ magnétique grâce a une molécule très particulière : la magnétite… utilisée pour fabriquer les aiguilles des boussoles !

Ce minéral aux propriétés magnétiques forme de longues chaines qui s’accrochent aux membranes cellulaires. A la manière de l’aiguille d’une boussole, ces chaines sont toujours orientées dans l’axe nord-sud, ce qui oblige mécaniquement les bactéries à en faire de même. “Ces bactéries, qui vivent dans des milieux très particuliers, à faibles concentrations en oxygène, nagent toujours le long des lignes de champ magnétique, ce qui leur permet de ne pas se perdre”, explique Damien Faivre, de l’Institut Max-Planck.

Ainsi, les êtres vivants sont capables de produire leurs propres boussoles !

Cette magnétite pourrait-elle constituer la clé du sens magnétique chez les animaux ? Pour le savoir, les chercheurs se sont lancés dans la traque de ce précieux minéral, au cœur de nombreuses cellules, organes et espèces… Un travail laborieux, mais payant : cette boussole moléculaire a été identifiée chez plusieurs animaux, dans des cellules de la muqueuse olfactive de la truite, dans la partie supérieure de becs de pigeons et… dans le cerveau humain ! De quoi donner forme à une première hypothèse d’un mécanisme susceptible d’être à l’œuvre en nous : chaque mouvement de la tête entrainerait celui de la magnétite toujours orientée dans l’axe nord-sud – par rapport aux cellules qui la contiennent. Ces mouvements provoqueraient mécaniquement l’ouverture de canaux dans la membrane des cellules, ce qui permettrait l’envoi de messages chimiques à des cellules nerveuses en contact direct avec elles .

Mais cela n’a encore jamais été démontré chez l’homme. Et, pour de nombreux chercheurs, la magnétite pourrait n’être, dans notre espèce, qu’un simple déchet cellulaire…

UN DEUXIÈME RÉCEPTEUR DANS LA RÉTINE

La découverte d’un deuxième mécanisme va cependant finir de les convaincre. Ce mécanisme est pour la première fois envisagé à la fin des années 1990 avec la découverte du cryptochrome, une molécule sensible à la lumière, présente chez les plantes et dans la rétine de nombreux animaux, dont l’homme.

En réagissant à la lumière, cette molécule produit des radicaux libres, des particules chargées électriquement et dont la position des électrons les uns par rapport aux autres influence les réactions chimiques qui se produisent dans la rétine. Or, la position de ces électrons dépend elle-même de la direction du champ magnétique ! Des modifications de ce dernier pourraient donc se traduire par des variations d’activité dans la rétine. De quoi imaginer une seconde forme de magnétoréception, qui passerait par exemple par l’apparition de différentes taches, plus ou moins lumineuses, à l’intérieur du champ visuel, selon l’orientation du regard par rapport aux lignes de champ magnétique

Cette hypothèse est renforcée par de nombreuses observations, à commencer par une étude de 1993 montrant que les rouges-gorges sont capables de s’orienter par rapport au champ magnétique uniquement sous des lumières bleues et vertes, auxquelles le cryptochrome est spécifiquement sensible. D’autres résultats tendant à impliquer ce mécanisme ont été retrouvés chez de nombreuses espèces, comme la mouche du vinaigre ou l’arabette des dames, célèbre plante de laboratoires. L’une de ces espèces est Homo sapiens… et la démonstration est à la hauteur des réticences de la communauté scientifique sur le sujet !

QUEL IMPACT SUR NOTRE ORGANISME?


En 2011, l’équipe de Thorsten Ritz, de l’université de California, à Irvine (Etats-Unis), a ainsi créé des mouches mutantes, dénuées de cryptochrome, et donc incapables de s’orienter par rapport à un champ magnétique. Or, après que le gène du cryptochrome humain leur fut transféré, ces mouches ont retrouvé leur sens magnétique. Preuve que le cryptochrome humain est, lui aussi, capable de détecter le champ magnétique !

Une découverte qui renforce les conclusions des études menées par Franz Thoss dans les années 2000. Ce chercheur allemand a montré, en soumettant plusieurs personnes à un test de détection de stimuli lumineux d’intensités croissantes, que l’œil humain détectait plus facilement la lumière quand le regard était dirigé parallèlement aux lignes de champ magnétique. La différence de sensibilité était suffisamment faible pour expliquer que, en dehors de tout cadre expérimental, personne ne se soit jamais aperçu de cette incroyable faculté !

Aujourd’hui, les indices sont là, nombreux et solides : l’homme possède tous les outils moléculaires et tous les circuits cellulaires pour capter les champs magnétiques. Quand certaines espèces n’exploitent que la magnétite ou que le cryptochrome, d’autres, comme l’homme, pourraient bénéficier de l’activité de ces deux récepteurs à la fois. Reste à découvrir si cette information est bien prise en compte par notre cerveau, et comment celle-ci pourrait, sans que nous en soyons conscients, se répercuter sur le fonctionnement de notre organisme.

Quelques études publiées, mais jamais répliquées, ont évoqué des différences dans l’activité électrique du cerveau ou dans la rapidité des mouvements oculaires de personnes endormies, en fonction de l’orientation dans laquelle ces dernières étaient allongées. Mais des études plus sérieuses, menées sur de grands échantillons de population, manquent encore. Peut-être les récentes découvertes permettront-elles enfin à de tels projets d’être lancés.

Les chercheurs demeurent très sceptiques sur la capacité de l’homme à déduire son orientation du champ magnétique, aucune étude, depuis celle de Baker, n’ayant mis en évidense une telle faculté. « Si cela existe vraiment, je ne m’y fierais pas pour trouver ma direction », s’amuse Thorsten Ritz.

Et ces découvertes sont loin de fournir une explication scientifique aux pratiques des sourciers et des magnétiseurs ou au feng shui. Mais elles devraient renforcer le débat sur un autre sujet la question des risques sanitaires liés aux ondes électromagnétiques issues des lignes à haute tension.

LIGNES À HAUTE TENSION : DES CRAINTES FINALEMENT JUSTIFIÉES?

Si notre corps est capable de ressentir le champ magnétique… les ondes électromagnétiques peuvent-elles le perturber?

Pour les lignes à haute tension, qui produisent des champs assez intenses – contrairement au wi-fi, aux portables ou aux antennes-relais, l’hypothèse d’un sens magnétique humain relance la question. ll faut dire que la réponse est aujourd’hui loin d’être claire…

Certes, quelques études suggèrent que vivre à proximité de lignes à haute tension pourrait augmenter le risque d’apparition de leucémies infantiles. Mais toutes les agences de santé à travers le monde considèrent que les preuves restent insuffisantes pour établir de manière certaine leur dangerosité.

Le Centre international de recherche sur le cancer ne les classe même pas comme cancérogénes « probables », mais seulement comme « possibles », au même titre que le café. Parmi leurs arguments : l’absence de mécanisme biologique pouvant expliquer des effets délétères.

Dans ce contexte, l’hypothèse d’un sens magnétique chez l’homme représente donc une piste d’explication intéressante.

En effet, des études ont suggéré, pour expliquer les effets potentiels des ondes électromagnétiques sur la santé humaine, que celles-ci perturberaient notre rythme veille/sommeil. Or, le champ magnétique est lui-même impliqué dans la régulation des rythmes biologiques des espèces magnétoréceptrices, comme cela a été démontré, notamment, chez la mouche et la plante. La présence d’un sens magnétique chez l’homme pourrait donc constituer une première piste solide pour enfin faire la lumière sur cette question.

Pourquoi aurions-nous conservé un sens que nous ne savons visiblement pas comment employer?

“Peut-être qu’il y a très longtemps, nos ancêtres s’en servaient pour s’orienter, et que nous avons, depuis, perdu cette capacité”, propose Franz Thoss.

Autre hypothèse : malgré la présence dans notre organisme de tous les outils permettant de percevoir le champ magnétique, nous n’aurions jamais développé les moyens d’intégrer cette information et de l’utiliser pour notre orientation. C’est déjà le cas des plantes, dont le champ magnétique influence la croissance. Si elles ne tirent aucun profit de ce sens magnétique, elles auraient cependant conservé le cryptochrome pour ses autres fonctions essentielles – réception de la lumière et régulation des rythmes biologiques quotidiens. Peut-être la magnétoréception a-t-elle été conservée de la même manière chez l’homme, malgré son inutilité…

L’une des grandes difficultés, pour tirer cette affaire au clair, est que l’influence du champ magnétique terrestre est très faible, donc difficile à démontrer.

“Cela a freiné les avancées”, regrette Margaret Ahmad, de l’université Paris-VI. Mais le frein principal est probablement d’ordre psychologique. Ce domaine dans lequel peu d’équipes osent se lancer “porte encore les stigmates d’une imagerie populaire associée aux mages et aux magnétiseurs”, explique Hervé Cadiou, qui reconnait que “beaucoup d’études non rigoureuses ont été menées sur ce sujet dans le passé, et ont fait beaucoup de tort à la recherche”.

Grâce à l’entêtement de quelques chercheurs, un impressionnant chemin a quand même été parcouru. Il y a cinquante ans, le sens magnétique n’était qu’un fantasme.

Or, on admet aujourd’hui que ce phénomène, qui a longtemps relevé du domaine de l’étrange, irrigue presque toutes les branches de l’arbre de la vie. Et après tout, que la vie soit sensible aux forces qui la bercent, en tous points du globe, depuis son apparition… cela est-il vraiment si étrange ?

"http://www.futura-sciences.com/sante/actualites/corps-humain-homme-percevrait-champs-magnetiques-affirme-scientifique-63335/">www.futura-sciences.com /  www.maxisciences.com / <a

23 juin 2017

Le coeur génère un champ d’énergie d’une taille de 1 à 3 mètres autour de son corps

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Une expérience fut aussi conduite dans les années 1990 par l’institut Heartmath(MathCoeur), un pionnier dans la recherche, basé dans le nord de la Californie. Il explore les fonctions du coeur humain autres que juste celles se limitant à pomper le sang dans notre coeur.Même si c’est précisément ce qu’il fait, c’est peut-être la moindre de ses fonctions. Cet institut a découvert que notre coeur possède le plus grand champ électromagnétique de notre corps. Et le champ électromagnétique créé par notre coeur produit des effets bien au-delà de notre corps.

 

L’institut Heartmath avait découvert auparavant qu’il existe autour de chaque coeur humain un champ d’énergie de la forme d’un tube, ou plutôt un tore, d’une taille de 1 à 3 mètres autour du coeur humain.La question est: dans ce champ déjà découvert, pourrait-il y avoir une autre forme d’énergie qui soit transportée par ce champ au-delà de notre corps? L’institut a donc entrepris une expérience pour tester précisément cette théorie.

 

Sans surprise, les chercheurs prirent de l’ADN humain. Ils l’isolèrent et demandèrent à des gens qui étaient entraînés à ressentir ce que l’on appelle des émotions humaines cohérentes, des émotions très claires d’amour, appréciation, compassion ou au contraire de colère, rage, haine,… afin d’obtenir ces émotions à la demande. Et quand les personnes entraînées à ressentir ces émotions le faisaient, ils mesurèrent la manière dont réagissait l’ADN.Voilà ce qu’ils découvrirent en présence d’amour, compassion, gratitude, de pardon,.. l’ADN devint complètement détendu.

 

Et ce que nous savons d’autres expériences, c’est que cet état détendu de l’ADN augmente nos défenses immunitaires. Quand on demande aux chercheurs comment les émotions d’amour et de compassion renforcent nos défenses immunitaires, ils commencent par nous expliquer pourquoi l’ADN est détendu, et en fait permet à certaines parties,ou interrupteurs si vous préférez, de s’allumer; et le contraire est aussi vrai: en présence de colère, rage, haine, jalousie, frustration,… l’ADN se compresse comme un ressort.

 

Cela coupe ces interrupteurs qui sont des réponses du système immunitaire. Intuitivement, nous le savons. Nous savons que quand les gens vivent dans un état de jalousie, de colère ou de rage,… cela stresse, crispe des parties de notre corps. Et au contraire, l’amour, la compassion, le pardon, toutes ces émotions positives l’améliorent. Peut-être que pour la première fois toutes ces expériences nous aident à comprendre pourquoi. C’est l’effet des émotions humaines sur la forme de l’ADN dans notre corps.

 

Ce que ces expériences montrent, et ce que les laboratoires publient dans les journaux, c’est que:des émotions très précises ont le pouvoir de changer la forme de l’ADN dans notre corps. C’est absolument incroyable à dire. Car cela signifie que quand on décide de créer des émotions très précises à l’intérieur de notre corps, nous avons en fait le pouvoir de changer le fonctionnement de l’ADN dans notre corps. Et ça, c’est le début d’une technique intérieure; peut être une très ancienne technique qui était décrite dans une ancienne langue, et que nous commençons seulement à comprendre.Chacune de ces trois expériences était intéressante individuellement.

 

Certains chercheurs n’étaient pas au courant des autres expériences conduites par les autres laboratoires. Ces expériences sont représentatives, or d’autres expériences furent conduites dans le même état d’esprit et donnèrent le même genre de résultats. Mais quand on les réunit toutes, au lieu d’être des expériences intéressantes et isolées, elles racontent une histoire.Et voilà ce que dit cette histoire:

  • La première expérience, celle de Wladimir Popenon, prouve que l’ADN dans notre corps a une influence directe sur notre monde, sur la matière physique dont est fait notre monde, sur le plan énergétique.
  • La dernière expérience montre que les émotions humaines ont la capacité de changer l’ADN qui influence lui-même le monde autour de nous.
  • Dans la deuxième expérience, celle conduite par l’armée US, que l’on soit dans le même immeuble ou à une distance de 600 km, indépendamment de la distance l’effet est le même, nous ne sommes pas soumis à l’espace et au temps.

Donc, concrètement, les résultats de ces expériences disent précisément que: vous et moi avons un pouvoir à l’intérieur de nous-même, qui n’est pas soumis aux lois de la physique telles que nous les comprenons aujourd’hui. Quelque chose en nous est directement connecté aux émotions de notre corps. Les pensées, les sentiments, les prières et nos croyances, transcendent les limites du temps et de l’espace, tels que nous les comprenons actuellement.

 

 

23 juin 2017

Le coeur humain génère le plus fort champ magnétique dans le corps,

le monde du coeur

le coeur humain génère le plus fort champ magnétique dans le corps, soit près de 5000 fois plus intense celui émis par le cerveau. Ce champ se manifeste sous forme d'un anneau s'étendant bien au-delà du corps physique et qui a été mesuré à des distances variant entre deux et trois mètres du coeur physique. Certaines données laissent cependant croire que ce champ est si grand qu'il peut s'étendre à plusieurs kilomètres autour de nous. Ce champ magnétique du coeur réagit à la qualité des émotions que nous suscitons dans nos vies. Tout comme le lien intuitif entre les sentiments et le corps semble le suggérer, les émotions positives accentuent l'équilibre hormonal et la stabilité du rythme cardiaque, ainsi que la lucidité et la productivité intellectuelle et physique. Des études ont d'ailleurs démontré que les émotions négatives peuvent influencer jusqu'à 1400 processus biochimiques dans le corps et entraîner notamment un déséquilibre hormonal, de l'arythmie cardiaque et de la confusion mentale ... LA DEUXIÈME est que certaines couches de l'atmosphères terrestre , tout autant que la terre elle-même, génèrent ce que l'on appelle une "symphonie de fréquences " ( variant entre 0,1 et 300 hertz), dont certaines coïncident avec celles engendrées par le coeur lorsqu'il communique avec le cerveau. Donc, une relation apparemment holistique entre le coeur humain et le magnétisme terrestre ...

L'homme coincé dans ce monde est semblable a un foetus ignorant aveugle à la marche secrete de l'univers,les yeux ouverts mais ne voyant rien le coeur qui bat mais ne ressentant rien en dehors de ces propres émotions conditionnés par ses gouts et se envies.

Dans le ventre d’une mère, deux bébés discutent…
- Bébé 1 : Et toi, tu crois à la vie après l’accouchement ?
- Bébé 2 : Bien sûr. C’est évident que la vie après l’accouchement existe. Nous sommes ici pour devenir forts et nous
préparer pour ce qui nous attend après.
- Bébé 1 : Pffff... tout ça, c’est insensé. Il n’y a rien après l’accouchement ! A quoi ressemblerait une vie hors du
ventre ?
- Bébé 2 : Eh bien, il y a beaucoup d'histoires à propos de "l'autre côté"... On dit que, là-bas, il y a beaucoup de
lumière, beaucoup de joie et d'émotions, des milliers de choses à vivre... Par exemple, il paraît que là-bas on va
manger avec notre bouche.
- Bébé 1 : Mais c’est n’importe quoi ! Nous avons notre cordon ombilical et c’est ça qui nous nourrit. Tout le monde le
sait. On ne se nourrit pas par la bouche ! Et, bien sûr, il n’y a jamais eu de revenant de cette autre vie... donc, tout
ça, ce sont des histoires de personnes naïves. La vie se termine tout simplement à l’accouchement. C'est comme ça,
il faut l'accepter.
- Bébé 2 : Et bien, permet moi de penser autrement. C'est sûr, je ne sais pas exactement à quoi cette vie après
l’accouchement va ressembler, et je ne pourrais rien te prouver. Mais j'aime croire que, dans la vie qui vient, nous
verrons notre maman et elle prendra soin de nous.
- Bébé 1 : "Maman" ? Tu veux dire que tu crois en "maman" ??? Ah ! Et où se trouve-t-elle ?
- Bébé 2 : Mais partout, tu vois bien ! Elle est partout, autour de nous ! Nous sommes faits d'elle et c'est grâce à
elle que nous vivons. Sans elle, nous ne serions pas là.
- Bébé 1 : C’est absurde ! Je n’ai jamais vu aucune maman donc c’est évident qu’elle n’existe pas.
- Bébé 2 : Je ne suis pas d’accord, ça c'est ton point de vue. Car, parfois lorsque tout devient calme, on peut
entendre quand elle chante… On peut sentir quand elle caresse notre monde… Je suis certain que notre Vraie vie va
commencer après l’accouchement...

http://touteslesreponsesatouteslesquestions.blogspot.fr/2013_09_01_archive.html

22 juin 2017

Datant de 1955, voici le seul documentaire sur les ovnis fait par Disney

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 Alien Encounters. Ce documentaire n’a jamais été diffusé à la télévision.
Le chercheur Fred Burks a publié ce commentaire sur un programme réalisé en 1995 par la compagnie Walt Disney, mais très peu diffusé : "En Mars 1995, la chaîne de télévision Disney a diffusé un programme spécial d'une heure sur les Ovnis, ayant pour titre : "Alien Encounters from New Tomorrowland". De manière très inhabituelle, il traite des Ovnis et des visites aliènes sur notre planète comme un fait établi.
Ce film est bien enregistré sur la base de données Movie Database, mais il reste impossible de se le procurer.
Ceux qui ont mené des recherches sur cet incroyable document ont découvert que sa diffusion avait été limitée à des chaînes couvrant cinq villes des Etats-Unis, sans aucune annonce préalable. Un téléspectateur a été en mesure de l'enregistrer, et c'est cette video que nous présentons ici. La durée de son enregistrement est de 45 minutes seulement.

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20 juin 2017

le témoignage extraordinaire de Roger Morneau, auteur du livre AU COEUR DU SURNATUREL.

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Voici le témoignage extraordinaire de Roger Morneau, auteur du livre AU COEUR DU SURNATUREL.
 Il a écrit sur la prière, le surnaturel et partagé son expérience vécue dans une secte sataniste élitiste dans sa jeunesse à Montréal. Lors de leur première réunion, il est frappé de constater qu'est présente la bonne société de Montréal qui leur fait bon accueil et leur explique de quels manière ils ont été favorisés par "les esprits". Quelques temps plus tard, ils sont présentés au grand prêtre qui leur cite des noms et des faits connus d'eux seuls relatifs à leur engagement dans la marine marchande, ce qui les impressionne beaucoup. Le grand prêtre est un ancien prêtre catholique. Une visite du temple donne l'impression à Morneau d'une grande intelligence au travail qui fascine le visiteur et l'incite à la révérence et à la soumission sans se poser plus de questions, il est également intéressé par 75 tableaux d'environ 121x75cm qui s'y trouvent, représentant des démons ayant le rang de conseillers en chefs gouvernant des légions de démons. Les représentations de démons sont dites inférieures aux originaux car les esprits sont trop lumineux pour être vus sous leur forme réelle et peuvent entraîner une cécité passagère, ils se matérialisent donc dans une apparence amoindrie. Chacune de ses peintures de démon est accompagnée d'un petit autel permettant de brûler une bougie ou de l'encens en leur honneur, dont un pour Nehushtan et un autre grandeur nature pour Satan lui-même que le grand prêtre nomme "Dieu avec nous". Il affirme en outre qu'il doit resté ignoré du reste des humains, ainsi seulement peut-il gouverner sur eux. Il révèle alors le plan de Satan pour la terre et le genre humain: tout d'abord ils doivent convaincre les humains que les hiérarchies démoniaques n'existent pas, puis d'introduire l'hypnose comme une science nouvelle et bénéfique et favoriser le mysticisme comme un moyen de déchristianiser l'Occident et enfin détruire la Bible sans y toucher, par la promotion de la théorie de l'évolution.


20 juin 2017

Les maîtres de la monnaie ("Money Masters") Doc

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Les maîtres de la monnaie
("Money Masters") est un documentaire historique de 3h30 qui retrace les origines de la structure du pouvoir qui régit les nations du monde, d’aujourd’hui a ses racines. The Money Masters explique l’histoire derrière l’actuelle "crise" mondiale, et l’objectif des banquiers : une économie mondiale contrôlée par une toute petite coterie de banquiers privés, au-dessus de tous gouvernements.et la naisssance de limpot sur le revenu etc a voir .....

20 juin 2017

Survol du site inca de Chinchero, près de Cuzco au Pérou trahis une technologie non humaine

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. Dans cette vidéo, on découvre le système de terrasses incas dénommées "andén". On constate ici, encore une fois, que ce site présente également des objets énigmatiques : de gros blocs de pierres débités présentant des formes et des traces trahissant l'usage de machines très sophistiquées.moray-cusco-1

 

20 juin 2017

Plus de 70 plantes médicinales qui luttent contre le cancer

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Depuis des décennies, plusieurs recherches ont été effectuées pour trouver des traitements efficaces pour lutter contre le cancer. Des milliers de recherches ont été effectuées sur des plantes pour extraire des agents anti-cancer. Rappelons qu’à travers les âges et les civilisations, les plantes ont traité plusieurs maladies dont le cancer. Cette liste représente des espèces sélectionnées et n’est pas exhaustive.

 5 plantes pour lutter contre le cancer

Des scientifiques de l’Université de Floride, Case Western Reserve University, Ohio et de l’Université de médecine de King George (KGMU), Lucknow en Inde ont découvert des propriétés anti-cancer dans cinq plantes dans le nord de l’Inde. Ces plantes sont :

  • solanum nigrum (Morelle noire) communément appelés Makoi;
  • artemisia vulgaris (armoise commune) également appelés nagdona;
  • swertia chirayata ou chirata;
  • cichorium intybus (Chicorée sauvage) ou Kasni;
  • glabra de salsepareille ou ba qia.

Ces plantes originaires de l’Inde du nord sont efficaces contre les cancers du sein, du côlon et de la prostate.

L’effet du melon amer sur les cellules cancéreuses

Une recherche a été menée par Ratna Ray, Ph.D. professeur agrégé de pathologie et son équipe à l’Université de Saint Louis. Ray a constaté que l’extrait de melon amer, un légume couramment utilisé dans les régimes alimentaires indiens et chinois, réduit la croissance des cellules du cancer du cerveau et du cou dans le modèle animal. La recherche initiale de Ray a trouvé que le traitement avec cette substance naturelle a stoppé la croissance des cellules du cancer du sein et de la prostate et les a empêchés de se propager.

Une autre étude faite à l’université du Colorado publiée dans la revue Carcinogenesis montre que le jus de melon amer limite la capacité des cellules cancéreuses pancréatiques à métaboliser le glucose (le cancer se nourri de sucre), réduisant ainsi la source d’énergie des cellules (la cause principale du cancer) et permettre ainsi de les détruire par la suite (affamer les cellules cancéreuses).

Graviola un tueur de cellules cancéreuses

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Des tests en laboratoire, montrent que l’extrait de graviola (corossol) est capable de tuer certains types de cellules cancéreuses comme celles du foie et du sein qui sont résistantes à certains médicaments de chimiothérapie. Une étude en laboratoire a également découvert qu’un composé isolé à partir de graines de corossol avait 10 000 fois la puissance d’un agent chimiothérapeutique particulier sur les cellules d’adénocarcinome du côlon. Toutefois, pour l’instant, il n’y a pas eu d’essais à grande échelle sur les hommes et il n’y a aucune preuve crédible pour étayer les allégations que le graviola est un remède ou un traitement efficace contre le cancer. En outre, le graviola peut avoir des effets secondaires nocifs tels que des troubles du mouvement et myéloneuropathie. Ainsi, tandis que les composés végétaux dans le graviola peuvent avoir des propriétés qui peuvent tuer des cellules cancéreuses in vitro, affirmant que le corossol est un « miracle » et une alternative viable aux traitements médicaux contre le cancer comme la chimiothérapie qui est très trompeuse et potentiellement très dangereuse.

La partie la plus importante selon un rapport de l’Université catholique en Corée du Sud est que le Graviola a une capacité de cibler sélectivement les cellules cancéreuses, laissant les cellules saines intactes. Nous savons très peu de choses sur la façon dont le graviola affecte le corps. Mais nous savons que cela peut provoquer des modifications nerveuses, provoquant des symptômes similaires à la maladie de Parkinson. Ainsi, il peut avoir des effets secondaires néfastes pour certaines personnes. Consultez toujours votre médecin avant de prendre n’importe quel type de thérapie complémentaire ou alternative.

Et c’est valable pour toutes les autres plantes cités dans cet article qui sont je le répète encore à but informatif et éducatif.

Des plantes anti-cancer

  • Chirette verte (Andrographis paniculata) : antibactérien, antivirales et tonique du système immunitaire. Des tests ont démontré que la plante a un effet contre le cancer de l’estomac, du sein, de la prostate, la leucémie et le mélanome.
  • Luzerne (Medicago sativa) : une plante très riche en vitamines et en minéraux, elle tonifie l’organisme et lui permet de lutter contre une maladie, elle a une certaine capacité à inhiber la croissance des cellules cancéreuses.
  • Anis (Pimpinella anisum) : Grâce à son action oestrogénique cette plante, Peut être utile contre le cancer de la prostate.
  • La Nymphée odorante (Nymphaea odorat) : fut l’un des premiers traitements en Amérique éclectique avant l’avènement de produits pharmaceutiques contre le cancer. Utilisé traditionnellement contre la diarrhée chronique et les brulures. Une infusion faite à partir des racines est utilisé dans le traitement de la tuberculose, les troubles bronchiques chroniques, la diarrhée, la dysenterie, l’inflammation gastro-intestinale, la gonorrhée, des pertes vaginales, des glandes enflammées, plaies dans la bouche et pour arrêter le saignement. Un cataplasme à base de racines est utilisé dans le traitement de gonflements, des furoncles, des tumeurs, inflammation de la peau, la vaginite, etc. Une guérison complète du cancer de l’utérus par une injection utérine d’une décoction a été enregistrée.
  • Arjuna (Terminalia Arjuna) : Cet arbre abaisse le taux de cholestérol global tout en augmentant le bon (HDL), Il ya eu des actions anticancéreuses qui sont à l’étude.
  • Ashwagandha (Withania somnifera) : une plante tonique et réparatrice, protège les cellules contre les dommages chimiques et rend les cellules cancéreuses plus sensibles aux rayonnements. Une plante adaptogène, qui a une activité anti-inflammatoire, sédative  et a un effet antioxydant. Cette plante améliore les défenses naturelles de l’organisme. Elle est considérée comme une plante de longévité en Inde. Une étude de l’Université Amravati en Inde a confirmé d’autres études récentes, qu’un composant biochimique de Ashwagandha pourrait inhiber la croissance du cancer en interférant avec la capacité de la cellule cancéreuse pour l’empêcher à prévenir sa destruction par le système immunitaire. La cellule cancéreuse utilise souvent une enzyme, la survivine pour inhiber le système de l’apoptose (destruction d’une cellule cancéreuse). Mais les chercheurs ont constaté que le withanone – l’un des principaux constituants de l’Ashwagandha  a la capacité unique de se fixer et interférer avec la survivine et rend la cellule cancéreuse à nouveau disponible pour le système immunitaire pour la détruire. L’Ashwagandha  favorise la guérison de l’os et peut traiter la maladie de Parkinson selon d’autres recherches. Les médecins ayurvédiques anciens connaissaient le pouvoir de guérison de l’Ashwagandha, ils l’ont utilisé cliniquement pour favoriser la guérison et pour stimuler le système immunitaire. Ils utilisaient l’herbe pour de nombreux maux, y compris l’anxiété, la dépression, la cicatrisation des plaies, l’immunosuppression et bien d’autres.
  • Chardon béni (Cnicus benedictus) : activité antibactérienne et antitumorale.
  • Amrit (Tinospora Cordifolia) : Connu sous le nom commun Guduchi. Tonique du système immunitaire, a une activité antibiotique et permet de tuer les cellules cancéreuses. Réduit les effets secondaires de la chimiothérapie.
  • Actée à grappes noires (Cimicifuga racemosa) : ses composées oestrogéniques ralentissent la croissance des tumeurs du cancer de la prostate.
  • Aigremoine (Agrimonia euratoria) : Efficace contre toutes les formes de cancer sauf la leucémie. Elle est utile en cas de désintoxication, goutte et certains types d’arthrite.
  • Chélidoine (Chelidonium majus) : utilisé lorsque la cause du cancer est virale, ou en cas d’une hypertrophie du foie. Nécessite une supervision d’un professionnel.
  • Nerprun purgatif (Rhamnus cathartica) : laxatif et diurétique, utilisé en cas de cancer lié à un problème rénal ou à une constipation. Contient des composés anti-tumorales.
  • Clajeux (Iris versicolor) : l’utilisation doit être contrôlée par un naturopathe pour votre sécurité. Les graines sont la partie active contre le cancer et ont une capacité à inhiber la synthèse des cellules cancéreuses. La plante fraîche est extrêmement toxique.
  • Boswellia serrata : plante anti-tumorale, généralement utilisé en combinaisons avec d’autres herbes, comme le curcuma et la réglisse.
  • Cordyceps (Cordyceps sinensis) : Des recherches récentes ont trouvé qu’il pourrait être cytotoxique pour les cellules cancéreuses. Ce champignon a des effets bénéfiques pour le système immunitaire, endocrinien, respiratoire, rénale, cardiovasculaire, hépatique et du système nerveux ainsi que notre réponse immunologique à la maladie.
  • Chimaphila Umbellata: La Chimaphile à ombelles ou Pyrole en ombelle (Bitter Wintergreen), utilisé pour le cancer du sein et les cancers lymphatiques. A ne pas utiliser pour une longue période
  • Phytolacca americana : Le Raisin d’Amérique ou Teinturier, utilisé pour les cancers du sein, de la gorge et de l’utérus. A utiliser sous surveillance d’un professionnel à cause de sa toxicité.
  • Pétasite (Petasites hybridus) : Agit comme un analgésique pour les tumeurs, la plante est toxique  ce qui nécessite le suivi d’un professionnel.
  • Lapacho (Tabebuia avellanedae) : A une action bénéfique contre les tumeurs solides telles que les carcinomes de Walker. Supprime et réduit ces tumeurs et semble être efficace contre la leucémie.
  • Suma (Pfaffia paniculata) : Ginseng Brésilien,  tonique, adaptogène, doux analgésique et anti-inflammatoire. On pense que c’est un oxygénateur cellulaire. La suma améliore la santé générale pour lutter contre le cancer.
  • Violette odorante (Viola odorata) : Les feuilles sont utilisées pour le sein et le cancer du poumon.
  • Salsepareille (Smilax medica) : contre l’inflammation du foie, utile contre les effets secondaires de la chimiothérapie et la radiothérapie. A ne pas utiliser en cas de maladie rénale.
  • Le Trèfle des prés (Trifolium pratense): Pocède une activité anti-tumorale, à ne pas utiliser avec des anticoagulants.
  • Drosera à feuilles rondes (Drosera rotundifolia) : Agit comme un anticancéreux et réparateur de gènes.
  • Serenoa repens (Serenoa gerrulata) : Ce palmier nain est utile contre le cancer de la prostate.
  • Polypodium decumanum : Cette fougère semble avoir une action de modulation immunitaire, utile contres les obstructions bronchiques et le cancer.
  • Valériane (Valeriana officinalis) : Elle a des effets calmants et une action anti-tumorale.
  • Saule blanc (Salix alba) : Utile pour restaurer la fonction de la moelle osseuse après une chimiothérapie ainsi que d’un effet positif sur la leucémie. Le saule a les propriétés de l’aspirine, mais il ne provoque pas d’ulcère d’estomac.
  • Estragon (Artemisia dracunculus) : A des propriétés anti-tumorales. Contient des rutines, qui renforcent les parois capillaires.
  • Pastel des teinturiers (Isatis tinctoria) : propriétés antivirales, anticancéreuses et anti-inflammatoire, c’est une plante qui soutient le foie.
  • Oseille crépue (Rumex crispus) : Utile pour l’élimination des métaux lourds, bénéfique pour la digestion en stimulant la production de bile. Utilisé en Chine et en Inde pour nettoyer le sang en cas de traitement chimio ou de rayonnement.
  • Zédoaire (Curcuma zedoaria) : Appartenant à la famille du gingembre et du curcuma ces racines ont des propriétés anticancéreuses et semblent être efficace pour les cancers du col utérin et du foie. Renforce l’immunité ainsi que la protection des leucocytes (globules blancs) endommagés en radiothérapie
  • Dionée attrape-mouche (Dionaea muscipula) : contient des principes actifs contre le cancer.
  • Espinheira Santa : vendu dans les magasins et les pharmacies brésiliennes pour traiter les ulcères et le cancer. Plusieurs formules topiques, pour le cancer de la peau sont vendus au Brésil avec  comme ingrédient actif principal Espinheira Santa. Il est également utilisé pour les ulcères, comme un antiacide, comme laxatif, comme un remède colique, pour éliminer les toxines par les reins et la peau, pour soutenir les reins, les glandes surrénales et les fonctions digestives, ainsi qu’une thérapie adjuvante pour un cancer. La plante est déconseillée pour le cancer du sein, de l’ovaire et de l’utérus.
  • Mullaca (Physalis angulata) : les stéroïdes naturels contenus dans le Mullaca stimulent l’immunité, plusieurs études sur le cancer ont démontré que cette plante est capable de tuer de nombreux types de cellules malignes in vitro. Dans une étude, le Mullaca a montré une forte cytotoxicité contre les cellules du cancer du rein, tandis qu’un extrait de la plante a pu réduire la taille des tumeurs cancéreuses chez des souris atteintes de leucémie lymophocytic. Dans diverses études, les extraits stéroïdiens des plantes (physalins) ont eu une forte activité contre plusieurs types de cellules cancéreuses humaines et animales, y compris: du foie, du col de l’utérus, le mélanome, du cerveau, du nasopharynx et le cancer du côlon. La recherche sur les avantages de Mullaca dans la lutte contre le cancer a commencé dans les années 1980 par des chercheurs aux États-Unis et la Thaïlande, et vérifié en 1992 à l’Université de Taiwan, qui a démontré une action significative contre cinq types de cancer humain et trois types de cancer de l’animal. En 2001, un nouveau produit chimique dans le Mullaca a été isolé à l’Université de Houston. Ce produit chimique était toxique contre le cancer du nasopharynx, le cancer du poumon et la leucémie chez la souris. Des recherches supplémentaires en Russie et en Chine ont démontré une action forte contre la blastogenèse, un processus dans le corps déclenché par la leucémie, tout en améliorant la fonction immunitaire. On croit que les produits chimiques stéroïdiens dans l’herbe et le niveaux des enzymes peuvent arrêter le cycle cellulaire dans les cellules cancéreuses tout en provoquant des dommages dans l’ADN de ces cellules afin de les empêcher de se répliquer. Le Mullaca est utilisé en Amérique du Sud et du Nord par les herboristes comme une thérapie complémentaire pour la leucémie et le cancer et en tant que traitement de l’infection pulmonaire à côté de la médecine moderne.
  • Mutamba : tue les bactéries, élimine les champignons, tue les virus, tue les cellules cancéreuses, nettoie le sang, supprime la toux, combat les radicaux libres, abaisse la pression artérielle, arrête le saignement. Dans une étude faite en 1990 une recherche brésilienne a démontré qu’un extrait de feuilles séchées était cytotoxique contre les cellules cancéreuses in vitro, ce qui donne une inhibition de 97,3% de la croissance cellulaire. Certaines des dernières recherches sur le Mutamba s’intéressaient aux antioxydants présents dans l’écorce et les feuilles (proanthocyanidines) et leur capacité à interférer avec la prostaglandine synthétase, un processus par lequel les bactéries et les agents pathogènes se répliquent.

Autres plantes Amazoniennes contre le cancer

  • Vassourinha;
  • Guacatonga;
  • Simarouba;
  • La griffe du chat;
  • Anamu;
  • Le pau d’arc;
  • Fedegoso;
  • Sangre de grado;
  • Amargo;
  • Copahu.

Plantes utilisées pour traiter le cancer en Afrique

  • Anacardiaceae : Spondias mombin (Hog Plum, Plum Ashanti) – extrait aqueux d’écorce pour le cancer de l’utérus
  • Annonaceae : Xylopia aethipica (arbre d’épice, poivre éthiopien, Hwenetia) – cancer du nez,  il a été démontré que les alcaloïdes ont une activité anti-paludisme.
  • Apocynaceae : Rauvolfia vomitoria (Kakapenpen) – cancer général, Voacanga africana (Ofuruma) – cancer en général.
  • Celastraceae : Maytensus buchananii, senegalensis – contiennent des alcaloïdes dont la maytansine qui sont utiles dans le traitement du cancer du pancréas.
  • Cucurbitacées : Charantia (Concombre africaine) (melon amère) – en combinaison avec une partie non précisée de Hilleria latifolia pour le cancer du sein.
  • Fabaceae : Abrus precatorius (Pois rouge) – cataplasme de grains moulus et d’eau pour une application externe pour traiter l’épithélioma.
  • Lamiaceae : Ocimum basilicum (basilic) – utilisés pour traiter le cancer (non précisé).
  • Moraceae : Ficus asperifolia (Arbre de papier verre) – cancer du sein
  • Nyctaginaceae : Boerhavia diffusa  – cancer du sein
  • Passifloraceae : Adenia rumicifolia .var miegei, lobata (Peteha) – utilisé en combinaison avec du poivre, maniguettes et feuilles de Musa paradisiaca (plantain) pour le cancer du nez
  • Plumbaginaceae : Plumbago zeylanica (Ceylan Leadwort, Opapohwea) – combiné avec Ricinus communis (ricin commun) (plante d’huile de ricin) dans une infusion d’huile pour le cancer de l’estomac.
  • Rutacées : xanthoxyloides Zanthoxylum, Z. gilletii – parties non spécifiées pour traiter quel cancer

Plantes utilisées pour traiter le cancer aux Caraïbes

  • Amaryllidaceae : Hymenocallis tubiflora (Loyon Dill) – contient le lycorin alcaloïde, connu pour son action antinéoplasique, antipaludiques et ses activités antibactériennes.
  • Asteraceae : Bidens pilosa (herbe à aiguilles) – utilisées en combinaison avec d’autres espèces pour le cancer.
  • Bignoniaceae : Jacaranda coerulea (Cancer Bush) – dessécher les feuilles et préparer une infusion aqueuse pour le cancer de la peau.

Autres plantes utiles contre le cancer

  • Romarin: Contient deux composés étonnants, l’acide carnosique et le carnosol.
  • Ces substances ne sont pas seulement des remèdes naturelles puissants contre le cancer, mais ils protègent également contre les effets de l’exposition aux rayonnements. Le romarin est très bénéfique pour la santé du cerveau.
  • Achillée millefeuille (Achillea millefolium) : Les racines ont été utilisés pour construire la masse musculaire et pour traiter le cancer par les Amérindiens. Elle est utile pour la cicatrisation et la radiothérapie.
  • Bardane (Arctium lappa) : Désintoxicante et anti-tumorale.
  • Gotu Kola (Centella Asiatica) : Plante de la mémoire et de la longévité.
  • Gingembre (Zingiber officinale) : Des études chez l’animal ont démontré que le Gingembre est capable de réduire les tumeurs du foie.
  • Echinacea (angustifolia Purpurea) : Stimule l’immunité, a une action antibactérienne et antitumorale.
  • Le chardon-marie (Silybum marianum) : Réputé pour son utilisation contre la cirrhose et l’hépatite, des études récentes ont démontré qu’elle a une action positive sur les enzymes du cancer du sein.
  • Hydraste du canada(Hydrastis canadensis) : Stimulant immunitaire tout en ayant une action antibiotique, la berbérine contenue dans la plante pourrait avoir un effet de rétrécissement sur les tumeurs.
  • Le curcuma : Certains experts de la santé soulignent les bienfaits anti-inflammatoires du curcuma et ils ont tiré des conclusions fondées sur le lien entre l’inflammation et le développement du cancer.

Et la nature cache encore ses secrets……mais l’homme peut-il les cacher pour toujours ? L’industrie pharmaceutique détient des informations sensibles qui peuvent sauver des millions de gens, mais elle ne les divulgues pas et essaie de faire des recherches afin de synthétiser des principes actifs qui peuvent être brevetés, contrairement à une modeste plante accessible par tout le monde.http://www.sante-nutrition.org/70-plantes-medicinales-luttent-contre-cancer/

15 juin 2017

TOUS les aliments vendus dans les circuits "classiques" de l'agro-alimentaire sont irradiés

maxresdefaultLa plupart, pour ne pas dire TOUS les aliments vendus dans les circuits "classiques" de l'agro-alimentaire industriel (légumes et fruits d'abord, mais pas seulement comme on le verra), sont irradiés (on emploie plus volontiers le terme "ionisé", nettement moins "violent" de prime abord, mais ça veut dire exactement la même chose : on aura soumis notre nourriture à des radiations RADIO-ACTIVES) pour qu'ils puissent être présentables dans les étals après avoir fait parfois des milliers de kilomètres. Ceci pour bloquer leur maturation.....

 

Non seulement nous mangeons donc des aliments POLLUES par des radiations (les contrôles sur les doses sont quasi inexistants, et de plus, PERSONNE ne peut certifier que des doses même très faibles, ne peuvent pas, à plus ou moins long terme, devenir toxiques), mais de plus les aliments ainsi traités sont biologiquement MORTS. 

 

Nous mangeons des aliments MORTS !!! Comment peut-on ainsi espérer en VIVRE ???

 

Petit tour d'horizon :  

Par Susan Bryce


L’IRRADIATION DES ALIMENTS:
Motus et bouche « ouverte »

 

On n’a jamais démontré qu’il n’était pas dangereux de consommer des aliments irradiés ; par conséquent, nous devrions être sur nos gardes lorsque les organisations gouvernementales et celles des Nations-Unies, les services sanitaires et sociaux et les compagnies transnationales de l’industrie alimentaire nous affirment que cela ne comporte aucun risque.

 

QU’Y-A-T-IL AU MENU ?
C'est le moment de prendre le petit déjeuner que vous apporte l’industrie alimentaire du Nouvel Ordre Mondial en 2005.

Pour commencer, un bol de Perkie Pops, des céréales "fraîches" pleines de sucre sorties de leur boîte en carton. Les principaux ingrédients en sont du maïs génétiquement modifié, du blé, du riz, auxquels on a ajouté quelques additifs chimiques pour stopper l’oxydation des graisses. Le spot publicitaire télévisé dit que les Perkie Pops sont vraiment les meilleures céréales pour le petit déjeuner, parce que la boîte affiche le logo Radura — le symbole international des aliments traités par radiation.


Recouvrez vos Perkie Pops de quelques morceaux de Sanitary Strawberries (fraises) traitées par radiation, qui sont dans la corbeille de fruits depuis trois semaines. Versez-y du Electro Moo Milk froid pasteurisé (lait). Encore faim ? Alors offrez vous un verre de Neutron Power Orange Juice (jus d’orange) traité aux rayons X tout en faisant griller ce Tripe Tbone (steak avec un os en T) datant de 21 jours, contenant trois fois plus de viande et moitié moins de graisses grâce à quelques hormones de croissance et manipulations génétiques. Faites-vous une tasse de thé, rassuré de savoir qu’il ne contient aucune mauvaise bactérie puisque les feuilles de thé ont été bombardées de radiation ionisante. Et pour ce qui est de l’eau, ne vous en faites pas ! Elle a été stérilisée aux rayons X à l’usine locale de traitement des eaux.


Pour le déjeuner, ce sera un Big Rad l'hamburger pratique, prêt à consommer — celui qui a conservé toute sa fraîcheur depuis sa fabrication à l’usine d’hamhurgers 24 mois plus tôt. Il a aussi été traité par radiation et se conservera indéfiniment dans le garde-manger. Mettez-le juste au micro-ondes. Réchauffez le 30 secondes et régalez vous.


N’oubliez pas de marquer qu’il vous faut acheter un kilo de Gray’s Gourmet Chook Patties (petits pâtés) pour le dîner. Ils ont été exposés à une source radioactive au Gamma Fire Power, l’usine municipale d’irradiation des aliments. Dans la zone industrielle située juste en bas de la route, à 200 mètres de l’école de vos enfants. Après une exposition de 20 minutes, on est sûr que les Chook Patries sont parfaitement stériles et peuvent être consommés sans risque. Et n’oubliez pas les Poppas Perfect Round-up Potatoes (pommes de terre). Elles sont dans le sac de pommes de terre depuis maintenant six mois et elles n’ont pas encore germé. Elles sont au menu ce soir, pour accompagner les Chook Patties. A la fin de la journée, laissez-vous tenter par un verre de New Clear, un excellent vin tin fabriqué à partir de raisins traités par radiation, mis en bouteille dans une bouteille traitée par radiation et bouché à l’aide d’un bouchon traité par radiation.


Cela vous semble désagréable à entendre ? Assez pour vous rendre malade ? Ce n’est qu’un avant-goût de ce que nous réservent l’industrie nucléaire, les organisations internationales, les organes gouvernementaux de réglementation et les compagnies transnationales de l’industrie alimentaire.
L’irradiation des aliments fait partie du programme mondial et, très bientôt, les pays n’auront plus le pouvoir de détourner les aliments irradiés de leur littoral. Les nations souveraines seront obligées d’irradier les aliments pour se conformer aux “normes” internationales dictées par les organes de l’autorité mondiale.  

 

Cet article examine la campagne mondiale encourageant l’irradiation de nos aliments.  

 

Les questions-clés posées sont:

 

Qu’est-ce que l’irradiation des aliments?

Qui la souhaite et pourquoi?

Quelles sont les conséquences de l’irradiation sur nos aliments ?  

L’article étudie aussi ce que nous, en tant que consommateurs concernés, pouvons faire pour dire non au massacre de nos aliments par le nucléaire. Les vitamines et les enzymes sont détruits, et les aliments frais deviennent des aliments morts. On a décrit les aliments irradiés comme des” aliments qui se conserveraient éternellement parce que le procédé est utilisé pour prolonger la durée de conservation avant la vente ou pour tuer les bactéries et les insectes.
Dans le procédé d’irradiation des aliments on utilise deux des substances les plus toxiques et les plus meurtrières, que l’Homme connaisse. Ce sont le cobalt-60 (le plus communément utilisé) et le césium-137.

 

La destruction des deux substances radioactives que sont le cobalt et le césium pose actuellement un gros problème à l’industrie nucléaire. En raison des quantités produites sous forme de déchets dans les centrales nucléaires et du temps qu’elles mettent à se désintégrer.

Le mouvement en faveur de l’irradiation des aliments est toujours venu des autorités faisant la loi en matière de nucléaire, dans l’intention d’allonger le cycle des combustibles nucléaires. L’idée consiste à répandre largement les déchets nucléaires dans de nombreuses décharges nucléaires embellies, telles que les usines d’irradiation des aliments, au lieu de les stocker dans quelques grandes décharges nucléaires qui souffrent d’un manque de place. On commence toujours avec le cobalt radioactif, le but inavoué étant de passer au césium radioactif.


Au cœur de l’usine d’irradiation des aliments se trouve un bac luisant de bâtonnets de cobalt-60, d’environ 45,7 cm de long et de la taille d’un crayon gras et émettant environ 400 rayons gamma. Cette source extrêmement radioactive est abritée dans une chambre entourée d’un mur en béton d’1m3 d’épaisseur. Lorsqu’on ne s’en sert pas le bac de bâtonnets de cobalt- 60 est immergé dans un bassin d’eau froide, à 4.57 mètres de profondeur ce qui absorbe les rayons gamma.


Lorsqu’on appuie sur un bouton, des bras hydrauliques soulèvent le bac de cobalt hors de son bassin protecteur. Puis de grandes boîtes en métal remplies d’aliments destinés à la consommation, glissent dans la chambre d’irradiation sur un monorail se trouvant au-dessus. Les boîtes circulent selon un schéma en zigzag autour du bac radioactif, de façon à assurer une pénétration maximale des rayons gamma dans les aliments. La durée du traitement est variable : les fraises fraîches prennent de 5 à 8 minutes : le poulet congelé prend quand même 20 minutes.

isomedix


Dans les usines d’irradiation moderne, les aliments peuvent pénétrer dans l’usine chargés sur des palettes standard. Une fois à l’intérieur, les aliments reçoivent la dose d’irradiation requise : la quantité d’énergie rayonnante qui est absorbée par les aliments à l’intérieur de la cellule d’irradiation. Aujourd’hui on mesure généralement la dose à l’aide d’une unité appelée le gray (Gy) mais, dans des travaux antérieurs cette unité était appelée le rad (1 Gy — 100 rads).


LES PARTISANS DE L’IRRADIATION DES ALIMENTS
Les recherches sur l’irradiation des aliments ont commencé dès le début du 20ème siècle, et ont vraiment décollé après la Seconde Guerre Mondiale, lorsque l’armée américaine a commencé à mener des enquêtes intensives dans le cadre du programme “ Des Atomes pour la paix “ du président Eisenhower. L’objectif était de conserver les aliments de façon à ce que les troupes au front puissent recevoir des aliments "frais" n’importe quand, partout dans le monde. La plupart des pays industrialisés ont mené leurs propres programmes de recherches scientifiques sur 1es effets de la radiation sur les aliments.

Dans les années 1970, une campagne bien organisée et bien financée a vu le jour, faisant pression pour que l’irradiation des aliments soit considérée comme un procédé acceptable de fabrication des aliments.
Les principaux acteurs qui ont façonné le programme pour l’irradiation des aliments sont les membres du système d’organisations des Nations-Unies, les compagnies transnationales de l’industrie alimentaire et les organes gouvernementaux de réglementation.  

Quatre membres-clés de la "famille" des Nations Unies sont le fer de lance de cette campagne en faveur de l’irradiation des aliments :

  • l’Agence Internationale à l'Energie Atomique,
  • l’Organisation des Nations-Unies pour l'alimentation etl’agriculture (FAO),
  • l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS)
  • l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC).


La FAO et l’OMS affirment que l’irradiation des aliments est indispensable pour traiter les problèmes de la faim dans le monde et pour réduire les cas de maladies véhiculées par l’alimentation. La FAO dit que l’irradiation réduira les pertes au cours du stockage, en éliminant les insectes et les micro-organismes et en permettant ainsi d’augmenter les stocks d’aliments sains tout au long de l’année. Les preuves de ce qu’ils avancent sont ténues, et on peut également affirmer que l’on pourrait arriver à faire beaucoup plus en améliorant les procédés de fabrication et en mettant en place des usines de stockage â l’abri des rongeurs et des insectes, plutôt qu’en se servant de l’irradiation pour éliminer ceux qui se trouvent dans les aliments récoltés. L’irradiation des aliments en tant que moyen de réduire les maladies véhiculées par l’alimentation a gagné le soutien fervent de l’OMS. De nombreuses sections de la chaîne alimentaire ont été complètement contaminées par des organismes tels que la salmonelle, et décontaminer toute la chaîne coûterait une fortune. Ceci est particulièrement vrai pour la volaille, par exemple. Faute d’avoir agi à temps, de nombreux pays ont laissé la salmonelle contaminer le système de production des volailles. Cet organisme est endémique dans le monde de la ferme il est présent dans les matières premières ainsi que dans les systèmes utilisés pour loger et transporter les volailles. Plutôt que de tenter de mettre en place de bons procédés de fabrication et de s’assurer que les volailles ne sont pas porteuses de la salmonelle et qu’elles demeurent saines, il semble plus facile de laisser persister des taux élevés de contamination et d’irradier ensuite les volailles pour les débarrasser complètement de cet organisme.


Les années 1970 ont vu l’Agence Internationale à l’Energie Atomique (IAEA) détourner la politique mondiale en matière d’alimentation en s’unissant à la FAO et à l’OMS. Ces trois organisations ont formé le Comité Paritaire d’Experts sur l'irradiation des Aliments (JECFI). Composé de scientifiques, le JECFI a été chargé d’enquêter sur le caractère sain des aliments irradiés.
Les Etats-Unis, l’Australie et l’inde faisaient partie des pays représentés au sein du comité.


En 1976, puis de nouveau en 1980, le JECIFI a conclu que l’irradiation de toute denrée alimentaire jusqu’à une dose globale moyenne de 10 kilograys ne présentait aucun risque toxicologique ni aucun problème microbiologique ou nutritionnel particulier. Ils en sont arrivés à cette conclusion malgré le fait qu’aucune étude détaillée n’eût jamais été réalisée sur les impacts à long terme d’une alimentation composée de produits irradiés.


En 1983, La conclusion du JECIFI a été adoptée comme “ norme” internationale par la Commission Alimentaire Codex, organe mixte de la FAO et de l’OMS. La Codex est l’outil d’harmonisation des règles internationales du commerce des aliments, facilitant l’importation et l’exportation des aliments pour les pays et les sociétés. Par définition, la Codex s’oppose à l’étiquetage, aux privilèges et aux limitations sur un plan local et national.


D’ordinaire, les consultants des compagnies transnationales de l’industrie alimentaire et les membres des organes représentatifs de l’industrie sont nommés dans les comités nationaux de la Codex. L’actuel président de la Codex est Tom Billy, chef du Service de l’inspection et de la Sécurité des Aliments du Ministère de l’Agriculture des Etats-Unis. L’Homme responsable de la déréglementation de l’industrie de la viande aux Etats-Unis. L'Agence Internationale à l’Energie Atomique coordonne les activités du Groupe Consultatif international sur l’irradiation des Aliments (ICGFI), qui compte actuellement 39 membres issus de gouvernements pratiquant déjà l’irradiation des aliments ou s’y intéressant. L’ICGFl encourage la pratique de l’irradiation par l’intermédiaire d’articles ainsi qu’en accueillant des séminaires, en organisant des colloques et en prévoyant dans le monde entier des conférences de presse exposant les prétendus avantages de l’irradiation. En 1997 l’Organisation Mondiale de la Santé a publié une déclaration qui sert de référence aux média sur l’irradiation des aliments, affirmant que l’on ne devrait pas établir comme plafond pour les aliments irradiés des doses supérieures à celles du niveau maximum de 10 kGy actuellement recommandé par la Commission Alimentaire Codex “. Selon cette déclaration la quantité réelle de radiation ionisante appliquée est d’une importance secondaire... on peut aller jusqu’à 75 kGray, comme cela s’est déjà fait dans certains pays, et le résultat est le même — les aliments sont sûrs, sains et satisfaisants d’un point de vue nutritionnel. Au vu de ces conclusions rassurantes, l’Organisation Mondiale de la Santé espère que l'on acceptera maintenant plus facilement l’irradiation des aliments comme un moyen d’améliorer la sécurité alimentaire.


CE QUI ARRIVE AUX ALIMENTS IRRADIES.
Pour toutes ces âmes inquiètes qui pensent qu’elles devraient remplacer leurs compteurs de calories par des compteurs Geiger ; oubliez ça ! Les experts disent que les aliments irradiés ne deviennent pas radioactifs, et que l’irradiation est un procédé absolument sans risque. Leurs conclusions sur les aliments irradiés ne parlent que des avantages et de l’absence de risques présentés par les aliments irradiés. Les incertitudes quant à la sécurité n’apparaissent jamais dans les rapports des organisations internationales préconisant l’irradiation. Si jamais on fait allusion à des modifications chimiques, on dit qu’elles ne sont “ pas significatives” ou qu’elles sont semblables à celles engendrées par d’autres techniques de l’industrie alimentaire.


Bien qu’une grande partie des modifications chimiques soient similaires à celles engendrées par d’autres technologies de l’industrie alimentaire, les quantités des substances chimiques produites sont très différentes. Lorsque la radiation frappe les aliments ou toute autre matière, elle leur transfère son énergie. Ce transfert d’énergie peut provoquer un réchauffement, comme dans la cuisine au micro-ondes. A un certain niveau, la radiation a une énergie suffisante pour faire sortir les électrons hors des atomes de la matière subissant le bombardement. La structure moléculaire des aliments est désintégrée lors de l’irradiation et on observe la formation de radicaux libres. Les radicaux libres peuvent réagir avec les aliments pour créer de nouvelles substances chimiques appelées produits radiolytiques. Certains sont connus pour être cancérigènes, tels que le benzène présent dans le boeuf irradié. D’autres sont propres au processus d’irradiation. Bien que l'irradiation puisse éliminer les bactéries, elle ne supprimera pas les toxines engendrées au départ par les bactéries. La production accrue d’aflatoxines suite à l’irradiation a été découverte pour la première fois en 1973 puis confirmée en 1976 et 1978. Les aflatoxines sont des agents puissants connus pour provoquer le cancer du foie.. Les vitamines A, C, D, E et K et certaines des vitamines B. en particulier les vitamines B1, B2, 83, B6 et B12, sont endommagées par l’irradiation. Le degré de perte des vitamines dépend de l’aliment et de la dose administrée. Les JUS de fruits souffrent davantage que les fruits frais. qui eux-mêmes souffrent davantage que les légumes, les céréales et les produits à base de viande.


L’irradiation transforme le nitrate en nitrite en fonction de la dose, La muta- genèse est directement proportionnelle à la concentration en nitrite. Le nitrite est une molécule réactive et réagit avec les acides nucléiques et divers acides aminés dans la protéine pour former la célèbre famille de cancérigènes connue sous le nom de nitrosamines. On a démontré que c’étaient de puissants cancérigènes chez l’Homme.


Les partisans de l’irradiation disent que ce procédé réduit le besoin d’additifs alimentaires nocifs (Fait intéressant, on nous a toujours dit que les additifs alimentaires n'étaient pas nocifs.). Cependant, le procédé d'irradiation exige en réalité l’emploi d’additifs alimentaires supplémentaires afin de contrôler les effets indésirables. Parmi les additifs pouvant être employés, on compte le nitrite de sodium, le sulfite de sodium, l’acide ascorbique, le RHA, le BHT, le bromate de potassium, le tripolyphosphate de sodium. le chlorure de sodium et le glutathion.


Certains aliments, en particulier le lait et d’autres produits laitiers, ne supportent pas bien l’irradiation. Des termes tels que “ goût de craie “, odeur de roussi, gout de cire et odeur de laine brûlée “ ont été utilisés pour décrire le goût et l’odeur du lait irradié, tandis que l’on dit que la viande irradiée qu'elle a une odeur de chien mouillé ‘. On a dit que les graisses irradiées sentaient “ le moisi “ ou “ la noisette.


L’emploi d’additifs ne se limite pas à des applications à forte dose là où les odeurs nauséabondes de la radiation deviennent prononcées. Mais on petit aussi les utiliser à faible dose pour empêcher la décoloration et autres effets indésirables tels que le saignement ou la dégradation des graisses dans la viande.


On est en train de développer d’autres formes de traitement par radiation pour les aliments. On devrait alerter les consommateurs sur le traitement appelé pasteurisation à froid, qui utilise la technologie du faisceau d’électrons pour pasteuriser le lait et les jus de fruits, On examine aussi l’utilisation de rayons X à la place des faisceaux d’électrons, et on introduit sur le marché de nouvelles technologies d’accélérateurs, qui permettent aux faisceaux d’électrons d’être transformés en rayons X pour une plus grande pénétration dans les aliments.

 
LES ALIMENTS TRAITES PAR RADIATION
A condition que l’irradiation soit correctement contrôlée, les aliments ne devraient pas devenir radioactifs. Cependant, la radiation ionisante à haute énergie peut engendrer la création de radioactivité dans la matière qui est bombardée. Par conséquent, il est important de n'utiliser que des radiations ionisantes à faible énergie lorsque l’on irradie des aliments. Si la source radioactive était endommagée. les aliments pourraient être contaminés par la radioactivité. Il faut prendre d’importantes précautions afin de prévenir les accidents dans les usines d’irradiation.


Lorsqu’on irradie des aliments, on provoque les effets suivants:
La radurisation - De faibles doses inférieures à 1 kGy : on peut empêcher des légumes, tels que les pommes de terre ou les oignons, de germer de façon à les conserver plus longtemps. On peut faire mûrir des fruits plus lentement, de façon à pouvoir les conserver plus longtemps et les transporter sur de plus longues distances. On peut éliminer les insectes présents dans les céréales, le blé, le riz et les épices.


La radicidation  - Des doses moyennes entre 1 kGy et 10 kGy : 0n peut réduire le nombre de microorganismes tels que les levures, les moisissures et les bactéries, qui gâtent les aliments, afin d’allonger la durée de vie des aliments et de réduire le risque d’intoxication alimentaire.


La radappertisation - Des doses élevées supérieures à 10 kGy : A ces doses extrêmement élevées de plus de 10 kGy, les aliments peuvent devenir totalement stériles de toute bactérie et de tout virus. On peut utiliser cette technique principalement pour les produits â base de viande, qui permet de les conserver indéfiniment.

 

LES QUESTIONS ENTOURANT LA SECURITE DES ALIMENTS IRRADIES
On n’a jamais établi qu’une consommation à long terme d’aliments irradiés ne comportait pas de risques. Une étude, souvent citée dans les écrits en faveur de l’irradiation mais dont on n’a jamais donné la source ni les références, a été réalisée au début des années 1980. Cette étude, citée par la lAliA dans sa brochure. “Facts about Food Irradiation “ (” Faits sur l’irradiation des Aliments") impliquait plus de 400 “volontaires ‘ qui avaient mangé des aliments irradiés pendant 7 à 15 semaines dans le cadre de huit études indépendantes menées en Chine. Les volontaires n’ont soi-disant présenté  "pas plus d’anomalies chromosomiques" - un des premiers signes annonciateurs d’une activité cancéreuse — que ceux qui avaient mangé des aliments non-irradiés.


Une autre étude est citée dans le témoignage d’experts déposé lors des auditions du Congrès américain sur l’irradiation des aliments en juin 1987. Citée par George I. Tritsch, Docteur en médecine, scientifique menant des recherches sur le cancer au Roswell Park Memorial Institute au Département de la Santé de l’état de New York, cette étude a été réalisée en 1975 et a été à l’origine répertoriée dans le American Journal of Clinical Nutrition. Les chercheurs indiens se préoccupaient des effets des aliments irradiés sur les personnes souffrant de malnutrition. Ils ont examiné ce sujet avec 10 enfants atteints de kwashiorkor, une grave carence en protéines. Ces 10 enfants ont été divisés en deux groupes de cinq. Avant le début de l’expérience, on a prélevé des échantillons sanguins qui ont été examinés et pris comme point de départ pour chaque enfant. Un groupe de cinq enfants formait le groupe témoin, l’autre se prêtait à l’expérience. Leur alimentation était identique, à l’exception du fait que le blé donné au groupe se prêtant à l’expérience avait été récemment irradié à une dose de 0,75 kGy, la dose recommandée pour désinfecter les céréales. Au bout de quatre semaines, on a prélevé des échantillons sanguins et quatre des cinq enfants ayant mangé du blé irradié ont présenté une grosse polyploïdie chromosomique, ainsi que d’autres cellules anormales, Au bout de six semaines, on a prélevé des échantillons sanguins sur le groupe se prétant à l’expérience et on a découvert une nette augmentation des cellules lymphatiques polyploïdes par rapport au niveau découvert au bout de quatre semaines. Les enfants du groupe témoin n’ont présenté aucune cellule anormale dans leur sang pendant la durée de l’expérience.


Afin de protéger le groupe d’enfants d’un éventuel danger, les chercheurs ont décidé de stopper [expérience à ce stade. Ils se sont rendu compte que le blé fraîchement irradié pouvait poser problème. Au lieu de donner du blé dont l’irradiation remontait à deux ou trois semaines, ils l’ont d’abord stocké pendant 12 semaines avant de l’utiliser dans l’alimentation d’un nouveau groupe de cinq enfants, Cette fois ci, les cellules polyploïdes sont apparues pour la première fois au bout de six semaines. Une fois le blé irradié retiré de leur alimentation, il a fallu 24 semaines avant que le sang des enfants en ayant consommé revienne à la normale et que toutes les cellules anormales aient complètement disparu. Les partisans de l’irradiation des aliments ont tenté d’écarter cette étude, vu quelle n’impliquait qu’un petit nombre d’individus.


Des doses différentes de radiation engendrent des quantités différentes de radiolytes et différentes sortes de produits chimiques. Il peut se former un grand nombre de nouvelles molécules suite à l’irradiation d’une seule espèce moléculaire, pour ne rien dire d’un mélange complexe d’aliments. La théorie ne peut pas prédire la nature ni le nombre des nouveaux composés qui varient en fonction de la catégorie d’aliment, ainsi que de la saison et du lieu où il a été produit.


Dans les années 1970, l’Office de contrôle pharmaceutique et alimentaire des Etats-Unis (FDA) a remis en question la sécurité des produits radiolytiques et a passé en revue 250 études évaluant les substances qui s’étaient formées dans les aliments irradiés, en se servant de données tirées d’un programme de recherche de l'armée américaine. Environ 65 substances volatiles ont été identifiées dans les aliments irradiés (la FDA s’est concentrée sur les substances volatiles parce qu’elles étaient certainement plus toxiques que les substances non-volatiles). Vingt- trois de ces substances ont aussi été découvertes dans les aliments transformés (ou cuisinas) de façon thermique et 36 dans d’autres aliments non-irradiés. Seules six n’ont pas pu être confirmées dans les écrits scientifiques comme étant identiques à celles trouvées dans les aliments, bien qu’elles fussent similaires aux constituants naturels des aliments. Collectivement, ces six substances étaient présentes dans les aliments dans une proportion de trois milligrammes par kilogramme —“ comme trois gouttes d’eau dans une piscine “, selon la FDA. qui a ainsi balayé d’un seul coup les problèmes.

 

CE QUE L’ON NOUS RESERVE A TOUS
Les écrits en faveur de l’irradiation n’abordent pas les inconnues de l’irradiation des aliments. Tout comme les produits chimiques peuvent provoquer ic cancer ou des conséquences génétiques et qu’il vaut mieux supposer qu’il n’y a pas de taux d’exposition sans risque, il en va de même pour ta radiation. Toute exposition à des produits - chimiques ou à une radiation peut provoquer les lésions initiales qui se transforment en cancer.

Un grand nombre et une grande variété d’aliments sont actuellement irradiés et commercialisés sur le marché dans des pays industrialisés et des pays en voie de développement. Le ICGFI s’est particulièrement attelé à promouvoir l’irradiation auprès des pays en voie de développement. Le Bangladesh irradie le poisson séché, le poisson congelé et certains produits céréaliers. La Chine possède plus de 60 usines d’irradiation traitant une grande variété d’aliments parmi lesquels l’ail, le riz, les épices et ls condiments, les aliments pré-emballés, la sauce Sichuan, les fruits et la viande, Les produits irradiés se comptent en milliers de tonnes. L’Indonésie irradie les épices séchées, les tubercules et les racines comestibles, les céréales, le poisson séché et les aliments congelés, tant pour des tests de marché qu’à des fins commerciales. En 1996, la quantité totale des produits irradiés a dépassé les 6000 tonnes. La République de Corée irradie à des fins commerciales des épices, des condiments déshydratés et des produits au ginseng. En Thaïlande, une usine d’irradiation irradie la nahm (saucisse de porc fermentée), les épices, les condiments, les fines herbes et les enzymes bruts, à des fins commerciales. Le Vietnam irradie d’énormes quantités de tabac pour en éliminer les insectes, en plus de certains aliments comme les oignons et le poisson séché. L’Inde irradie les épices à des fins commerciales. La construction d’usines d’irradiation supplémentaires à des fins commerciales est soit programmée soit en cours en Chine, en inde, dans la République de Corée, en Malaisie, en Tha1ande et au Vietnam.


Aux Etats-Unis, la FDA a donné son approbation pour l'irradiation de la viande rouge le 23 février 2000. La FDA a aussi approuvé l’irradiation de divers autres aliments, parmi lesquels les fruits et légumes frais et les épices. Une brochure de la FDA. “L’Irradiation des Aliments — Une mesure sans risque publiée en janvier 2000, dit qu’ils ont déterminé que le procédé était sans risque et efficace pour réduire ou éliminer les bactéries nocives, et affirme que l’irradiation réduit aussi la détérioration par les bactéries, les insectes et les parasites tout en empêchant certains fruits et légumes de germer et en les faisant mûrir plus lentement. Par exemple, les fraises irradiées peuvent tenir jusqu’à trois semaines sans s’abîmer, contre trois à cinq jours pour des fraises non- traitées.


Les organisations qui ont contribué au contenu et à la publication de la brochure de la FDA sont l’institut Américain de la Viande, le Ministère de la Santé et des Affaires Sociales (FDA), l'Institut de Commercialisation des Aliments, les Fabricants Américains de Produits d’Epicerie, l’Association Nationale des Eleveurs de Bovins, l’Association Nationale des Industries Alimentaires et l’Association Américaine de la Diététique.


Les fines herbes, les épices et les condiments figurent parmi les premiers aliments visés par l’irradiation. Le Canada a rapidement approuvé la décision de les irradier, et maintenant [Europe et d’autres pays tels que l’Australie mènent des campagnes similaires en faveur de l’irradiation.


Après dix ans de débats, le Parlement Européen a publié une directive visant à créer un cadre législatif propre au marché des denrées alimentaires traitées par radiation ionisante. La directive qui se met en place ne comprend à ce stade qu’un seul groupe de produits — à savoir, les herbes aromatiques, les épices et les condiments déshydratés. On prévoit que la liste définitive des aliments à irradier sera examinée par le Parlement Européen cette année.
En Australie. la société Steritech Pty Ltd a demandé à l’Autorité d’Australie et de Nouvelle-Zélande en matière d’Alimentation (ANZFA) d’irradier les fines herbes (fraîches et déshydratées. y compris l’ail, les oignons et le gingembre). Les thés (y compris les tisanes), les noisettes et les épices. L’Australie avait un moratoire sur l’irradiation des aliments en place jusqu’en août 1999 date à laquelle, avec d’autres décisions concernant les aliments génétiquement modifiés, le Conseil Australien et Néozélandais sur les Normes Alimentaires â discrètement levé l’interdiction sans aucun débat public d’aucune sorte. L’ANZFA a communiqué aux media un ensemble d’informations détaillées sur l’irradiation et l'a placé sur son site Internet le 6 août 1999, mais peu de reportages sur ce sujet ont suivi dans les média. LANZFA a invité le public à émettre des propositions concernant la demande de Steritech, et, bien que la première partie de la "consultation" publique se soit déjà tenue, une seconde série de consultations ; et un second examen d’un rapport préliminaire auront lieu en février/mars 2001 et c’est alors que se prendra une décision par rapport à la demande de Steritech.  

Pour émettre une proposition. visitez le site www.inzfa.gov.au ou écrivez à ANZFA. P0 Box 7186. Canberra Mali Centre, ACT 2610.


Les compagnies transnationales de l’industrie alimentaire voient le symbole du dollar danser devant leurs yeux dès qu’il s’agit d’irradiation. L’allongement de la durée de conservation avant la vente et des périodes de stockage permis par l’irradiation des aliments séduit les transnationales parce que cela leur permet d’augmenter leurs profits en réduisant le gaspillage et de livrer les produits aux magasins au moment où cela est le plus avantageux sur le plan économique. Cela leur permet aussi de transporter plus Facilement des produits exotiques dans le monde entier.  

Le symbole international des aliments traités par radiation est le Raduraune fleur ronde avec deux
pétales représentés à l’intérieur d’un cercle brisé. Le Radura est commercialisé comme emblème de qualité.


Les représentants de premier plan des compagnies transnationales de l’industrie alimentaire et les associations de fabricants de produit d’épicerie ont affirmé leur intention d’employer l’irradiation étant donné que ce procédé est de plus en plus accepté. Le site Internet des Fabricants Américains de Produits d’Epicerie cite le Président-Directeur général de ConAgra Inc., Bruce Rhode : "ConAgra se tient prête à utiliser la technologie de l’irradiation une fois que le public l’aura davantage accepté et que ce procédé sera commercialisé sur le marché. “Sur le même site Internet, Manly Molpus, Président-Directeur général des Fabricants Américains de Produits d’Epicerie, déclare aux lecteurs : "L’irradiation va probablement être largement acceptée par les Américains et va être aussi bénéfique à leur santé et à leur sécurité que l’a été la pasteurisation du lait il y a dix ans".  

Faire "largement accepter" l'irradiation aux consommateurs risque d’être difficile. Cependant, une grande part de cette "acceptation" sera imposée aux nations souveraines dans le cadre des clauses du Traité de l’Organisation Mondiale du Commerce sur l’Application des Mesures Sanitaires et Phytosanitaires (SPM). Ce traité constitue une norme internationale pour l’hygiène et la stérilisation des aliments, et l’irradiation des aliments fait partie des méthodes de traitement acceptables. Actuellement, les gouvernements peuvent refuser l’entrée de n’importe quel produit dans leur pays. Cependant, selon les modalités du traité SPM, on demandera aux gouvernements de justifier, par des raisons scientifiques, pourquoi on devrait refuser l’entrée d’un produit particulier. Au vu de ces considérations et du fait que l’irradiation est approuvée par les organisations régionales de protection de la flore et des organisations internationales telles que l’OMS ou la FAO comme traitement de mise en quarantaine des produits agricoles frais, ce sera extrêmement difficile, voire impossible, pour les gouvernements de refuser de laisser entrer des aliments traités par irradiation.


Le symbole international des aliments traités par radiation est le Radura — une fleur ronde avec deux pétales représentés à l’intérieur d’un cercle brisé. Le Radura est commercialisé comme emblème de qualité. Il a d’abord été utilisé pour les aliments irradiés d’Afrique du Sud et des Pays-Bas. L’emblème Radura est de couleur verte, couleur que les consommateurs peuvent inconsciemment associer à des produits frais, purs et sans risques pour l’environnement. Ein réalité, les aliments irradiés peuvent être vieux et rassis, et les usines d’irradiation sont loin d’être sans risques pour l’environnement.


Bien que les aliments puissent porter la mention "traités par irradiation" ou arborer l’emblème Radura, il n’y a actuellement aucun moyen de savoir si les aliments non étiquetés ont été ou non traités par radiation. Même les meilleures réglementations en matière d’étiquetage n’ont qu’une valeur limitée à moins qu'on ne les fasse strictement appliquer.


Tant qu’un test unique pour détecter les aliments irradiés ne sera pas élaboré et que les organismes de contrôle n’apprendront pas à s’en servir, les consommateurs seront à la merci des industries alimentaires dont dépend l’étiquetage des aliments irradiés. Aucun des étiquetages n’exige actuellement d’indiquer la dose de radiation, ni le nombre de fois que le produit a été irradié.

 
LES ACCIDENTS DE L'IRRADIATION
La décision d’irradier des aliments va au-delà des préoccupations des consommateurs. Une usine d’irradiation dans une municipalité implique la présence de grandes quantités de matériaux radioactifs ainsi que le transport des matériaux radioactifs qui rentrent dans l’usine et en ressortent.


Depuis 1974, la Commission de Réglementation du Nucléaire (NRC) des Nations-Unies a enregistré 54 accidents sur

les 132 usines d’irradiation réparties dans le monde entier.

La IAEA a écarté beaucoup des accidents en les qualifiant d'incidents de fonctionnement.

Voici quelques-uns des graves accidents s’étant produits aux Etats-Unis:
           En 1991, un employé de l’usine du Maryland a souffert de sévères blessures lorsqu’il a été exposé à la radiation ionisante d’un accélérateur à faisceau d’électrons. La victime a développé des plaies et des cloques sur les pieds, le visage et le cuir chevelu, et il a perdu des doigts aux deux mains.

§         En 1988, Radiation Sterilizers Inc. RSI) de Decatur, en Géorgie, a fait état d’une fuite de capsules de caesium-l37 dans le bassin de stockage rempli d’eau, ce qui a mis la vie des employés en danger et a contaminé l’usine. Les employés ont alors emporté avec eux la radioactivité dans leur maison et leur voiture. Soixante-dix mille conteneurs de produits médicaux et bricks de lait en carton ont été rappelés parce qu’ils avaient été contaminés par la radiation. Le coût de la dépollution a dépassé les 30 millions de dollars et le contribuable a dû payer la note.

§         En 1986, la NRC a retiré son brevet à une usine de Radiation Technology, Inc. (RTI) dans le New-Jersey pour 32 cas de violations de la sécurité des employés, comme par exemple le fait de jeter les déchets radioactifs avec les ordures ménagères et de contourner un système-clé de sécurité. Suite à cette négligence, un employé a reçu une dose risquant d'être mortelle de radiation.

§         En 1982, un accident à International Nutronics à Dover, dans le New-Jersey, à contaminé l’usine et exigé sa fermeture. On utilisait des bains rayonnants pour purifier les germes, les produits chimiques ainsi que les réserves de produits médicaux et alimentaires.

§         En 1974, une usine Isornedix du New-Jersey a fait passer de l’eau radioactive dans les toilettes et à contaminé les canalisations conduisant aux égouts. La même année, un employé a reçu une dose de radiation considérée comme mortelle pour 70 pour cent de la population. Gràce aux soins rapides qu’il a reçus à l’hôpital, il a survécu.

 
UN AVENIR RAYONNANT?
L’irradiation des aliments n’est qu’une partie de l’avenir rayonnant que les organismes internationaux, les gouvernements, les sociétés commerciales et l’industrie nucléaire sont en train d’examiner. Il y a de nombreux projets visant à utiliser l’irradiation dans d’autres domaines, comme la stérilisation des sols pour éliminer les mauvaises graines, les insectes et les champignons.


Heureusement pour l’instant, la technologie existante ne peut pas s’appliquer à l’agriculture à l’air libre, mais il est maintenant possible d’irradier des sacs de terreau et des produits similaires. Aux Pays-Bas, le nettoyage du matériel réutilisable employé dans les serres (pots, substrats de croissance) est actuellement réalisé par des entreprises d’irradiation dans le cadre d’un contrat avec l’industrie de la serriculture. De même, dans plusieurs pays, divers produits importés sont irradiés pour contrôler les mauvaises graines qui pourraient s’y trouver par inadvertance (comme dans les graines pour les oiseaux du ciel),


De nombreux produits que nous utilisons dans notre vie quotidienne ont été irradiés. Le matériel médical à usage unique, les boules de coton, les solutions pour lentilles de contact, le maquillage, les bouchons et l’intérieur des fûts à vin, les bouteilles et les conteneurs en plastique, les produits pour l’hygiène féminine, les ruches (mais sans les abeilles) et les matériaux d’emballage ne sont que quelques-uns des produits habituellement irradiés à des fins sanitaires. Comme aucun étiquetage particulier n’est exigé pour les produits non-comestibles, on laisse les consommateurs dans l’ignorance au sujet des produits qui ont été traités par radiation et de la dose qui a été utilisée.  

 

Comment se protéger ?
Nous pouvons tous prendre plusieurs mesures pour éviter les aliments irradiés. Essayez d’acheter des produits cultivés sur place et évitez les aliments importés qui risquent d’avoir été irradiés.

Dans certains pays, le blé, les pommes de terre, les oignons et les fruits de mer peuvent avoir été irradiés à grande échelle, mais les ingrédients irradiés n’apparaissent pas sur l’étiquetage des aliments transformés fabriqués à partir de ces ingrédients. 

Soutenez les producteurs de l’agriculture biologique et achetez des aliments préparés de façon traditionnelle plutôt que des aliments produits en masse.

Faites pression sur les gouvernements pour être sûr que les composants et les emballages alimentaires irradiés soient au.ssi mentionnés dans l’étiquetage des aliments.

Ecrivez ou envoyez des e-mails aux supermarchés, aux compagnies de l’industrie alimentaire et aux fabricants pour leur dire que vous ne voulez pas acheter d’aliments irradiés.

Envoyez des lettres aux éditeurs de vos journaux locaux et nationaux et appelez les émissions de radio laissant la parole aux auditeurs pour parler de l’irradiation des aliments.

Organisez des débats publics et des groupes de discussion.

Cultivez des fruits et des légumes dans votre propre jardin. Vous savez ce que vous faites pousser!


Dans sa brochure. “Des Faits sur l’Irradiation des Aliments l’Agence Internationale à l’Energie Atomique déclare : On ne peut pas prouver que les consommateurs sont contre le fait d’acheter des aliments irradiés."

Il faut remettre en question cette affirmation scandaleuse. Nous devons nous faire entendre en tant qu’opposants du groupe de pression pro-irradiation et de sa puissante propagande. Cela ne suffit pas de dire au public que les aliments irradiés sont "sans risques", il a besoin de plus d’informations. Le public a besoin de connaître l’incertitude scientifique qui sous-tend les déclarations des organisations de prétendus experts.
Des foyers sans cuisine, des maisons sans jardin, les courses à l’épicerie faites via Internet, chaque jour on s’éloigne un peu plus de nos aliments et on dépend un peu plus des autres pour cet approvisionnement de base. Tant que nous ne réclamons pas le droit de prendre nos aliments sous notre propre responsabilité et que nous ne travaillons pas dans le sens d’une autosuffisance alimentaire, au lieu de donner la priorité à une forme perverse de sécurité, notre avenir est entre leurs mains.  

De nombreux produits que nous utilisons dans notre vie quotidienne ont été irradiés. Le matériel médical à usage unique, les boules de coton, les solutions pour lentilles de contact, le maquillage, les bouchons et l’intérieur des fûts à vin, les bouteilles et les conteneurs en plastique, les produits pour l’hygiène féminine, les ruches (mais sans les abeilles) et les matériaux d’emballage ne sont que quelques-uns des produits habituellement irradiés à des fins sanitaires. Comme aucun étiquetage particulier n’est exigé pour les produits non-comestibles, on laisse les consommateurs dans l’ignorance au sujet des produits qui ont été traités par radiation et de la dose qui a été utilisée.

 Les compagnies transnationales de l’industrie alimentaire voient le symbole du dollar danser devant leurs yeux dès qu’il s’agit d’irradiation. L’allongement de la durée de conservation avant la vente et des périodes de stockage permis par l’irradiation des aliments séduit les transnationales parce que cela leur permet d’augmenter leurs profits en réduisant le gaspillage.  

Au bout de quatre semaines, on a prélevé des échantillons sanguins et quatre des cinq enfants ayant mangé du blé irradié ont présenté une grosse polyploïdie chromosomique, ainsi que d’autres cellules anormales.  

 Aux Etats-Unis, la FDA a donné son approbation pour l’irradiation de la viande rouge le 23 février 2000.
La FDA a aussi approuvé l’irradiation de divers autres aliments, parmilesquels les fruits et légumes frais et les épices.  

L’irradiation des aliments en tant que moyen de réduire les maladies véhiculées par l’alimentation a gagné le soutien fervent de l’OMS.

La structure moléculaire des aliments est désintégrée lors de l’irradiation et on observe la formation de radicaux libres.
Les radicaux libres peuvent réagir avec les aliments pour créer de nouvelles substances chimiques appelées produits radiolytiques. Certains sont connus pour être cancérigènes, tels que le benzène présent dans le bœuf irradié.  

 

 Notes de fin
Le cobalt-60 est la source de radiation la plus communément utilisée pour l'irradiation des aliments. Cependant la société américaine GrayStar développe un prototype d'usine d'irradiation qui génèrera des rayons gamma à l'aide de caesium 137, que GrayStar séparerait de façon chimique des déchets nucléaires à haute activité. Ce prototype est conçu pour être installé le long d'une chaîne d'emballage de viande ou de transformation des aliments.  

 

A propos de l'auteur:
Susan Bryce est une journaliste australienne dont plus de 70 articles de recherche ont été publiés. Susan édite le Australian Fridom & Survival (Guide australien de la liberté et de la survie), dont le but est d'ébranler les mythes envahissants entourant la culture de consommation des entreprises, la mondialisation et le Nouvel Ordre Mondial AF&SG encourage le débat public et la remise en question de problèmes qui sont fondamentaux pour notre survie et notre liberté à tous. Parmi ces problèmes, on compte la modification génétique, l'irradiation des aliments et les problèmes qui y sont liés. Big Brother et le régime de surveillance internationale, le pouvoir des entreprises et l’autorité mondiale, ainsi que l’autosuffisance au 21ème siècle. Vous pouvez vous procurer Australian Freedom & Survival Guide sur abonnement (6 numéros par an, 45 $ australiens, 37 $ amérIcains, 25 €. Envoyez un chèque à l’ordre de Susan Bryce, P0 Box 66. Kenilworth, Qld 4574. Australie. Pour plus de détails. visitez le site Internet www.squirrel.com.au/-sbryce/http://infoalternative.over-blog.fr/article-l-irradiation-des-aliments-danger-60364664.html

 

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