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rusty james news
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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
28 février 2021

Les conservateurs défient la censure sur le covid aux usa | CPAC 2021 J2

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La Conservative Political Action Conference (CPAC), l'évènement annuel qui rassemble toutes les factions conservatrices américaines, a démarré vendredi et se tient jusqu'à dimanche à Orlando en Floride, un Etat républicain où les restrictions sanitaires sont moins strictes qu'à Washington.1/ Conférence des conservateurs: défier la censure des Big Techs
2/ Nouvelle loi sur l’égalité aux dépense de la liberté religieuse
3/ Biden annule 7 décrets de l’ère Trump sans explications
4/ Élection française 2022: le gouvernement pousse pour le vote par correspondance
5/ Expert: révision de loi pour lutter contre le terrorisme est nécessaire
6/ Le procureur de NY a reçu les déclarations d’impôts de Trump: la chasse aux sorcières se poursuit
7/ Les républicains en désaccord sur l’avenir de Trump au sein du parti
8/ Une républicaine pro-Trump défit un autre républicain aux prochaines élections
9/ Biden annule les restrictions de voyage imposées par Trump
10/ Financement de campagne: Google poursuivi par l’État de Washington

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28 février 2021

"Le parlementaire autrichien Michael Schnedlitz vient de dénoncer le caractère défectueux des tests pcr Covid-19

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"Le parlementaire autrichien Michael Schnedlitz vient de dénoncer le caractère défectueux des tests du gouvernement Covid-19 en démontrant comment même un verre de Coca Cola sera testé positif pour Covid-19", a déclaré le post Instagram du 15 décembre Le message comprend une photo de Schnedlitz et une image en médaillon d'une canette de Coca-Cola et de ce qui est censé être un dispositif de test rapide COVID-19.

La légende de la vidéo du 10 décembre (traduite de l'allemand en anglais par Facebook) disait: "Aujourd'hui, j'ai fait un test corona en direct au Parlement. Les tests de masse corona sont sans valeur! Cela a également montré une expérience simple au Parlement où un Coca a obtenu un résultat positif!" Le message de Schnedlitz a soutenu que le gouvernement gaspillait l'argent des contribuables sur les tests.

"Aujourd'hui, j'ai prouvé au Parlement à quel point les tests de masse corona du gouvernement sont stupides", a déclaré Schnedlitz dans un post Facebook de suivi, selon la version traduite.

evidemment la police de la pensée n'a pas tardé a reagir en disant il na pas fait le test correctement 

et a fait une videos pour prouver que le test serait negatif en suivant sa methode 

 

bravo mais wait a minute peut etre que tu a cru que javais la berlue  mais ce qui me gene dasn ton film cest d'une part il ya arret sur image  je vois pas pourquoi tu arretes limage pour un film si court bref et surtout je vais te lexpliquer en image 

Screenshot - 2021-02-28T155127Screenshot - 2021-02-28T155320apres l'arret on voit bien que le test n'est plus a la meme place donc il ya eut substitution des tests comme çà tu parles d'une belle arnaque  voila le fast check le vrai ........

28 février 2021

la Gouverneur Noem Kristi : le Dakota était le seul État à n'avoir confiné personne ni porté aucun masque

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Noem a ajouté que le Dakota du Sud était le seul État à n'avoir jamais ordonné «de fermer une seule entreprise ou une seule église», et qu'il n'avait pas non plus émis d'ordonnance d'abri sur place ni de mandat de masque, ce qui a suscité des applaudissements et une ovation debout de la part de nombreux membres de la foule. . 

Noem a également visé Anthony Fauci, le plus grand spécialiste des maladies infectieuses du pays, affirmant que Président BidenLe conseiller médical en chef de «se trompe beaucoup», un commentaire qui a également reçu une ovation debout de la part des participants à la conférence. 

«Nous ne nous sommes jamais concentrés sur le nombre de cas», a expliqué Noem. «Au lieu de cela, nous avons gardé un œil sur la capacité de l'hôpital. Dr Fauci, il m'a dit que lors de mon pire jour, j'aurais 10 000 patients à l'hôpital. Lors de notre pire jour, nous en avons eu un peu plus de 600. »

elle finit par ce , n'est pas le covid qui a ruiné l'economie mais notre gouvernement  chapeau bas a cette dame qui a plus de courage  que la moitié des hommes de la planète , quand on porte le prenom noé m et kristi comment ne pas y voir un signe de nos tribulations et l'espoir prochain qui nest pas mort il arrive .......

4:119) Et je les égarerai, j’attiserai en eux de vains désirs, je leur donnerai des ordres afin qu’ils ponctionnent les oreilles du bétail, je leur donnerai des ordres afin qu’ils modifient la création de Dieu ; Et quiconque prends satan comme allié en dehors de Dieu, sera certainement voué à la perdition manifeste. 

 

CropEarCalfVeau avec oreilles rognées

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Le verset ci-dessus est véritablement prophétique, à savoir que Dieu a révélé il y a plus de 1400 ans l’une des plus grandes conspirations sataniques de l’histoire de l’humanité : La modification et la corruption de la création de Dieu 

28 février 2021

En Israël, malgré un confinement strict, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable de la mortalité

Israël représente actuellement le champion de la vaccination Pfizer et sa campagne de vaccination un magnifique essai de phase 3. Le suivi de l’épidémie dans ce pays permet ainsi de prévoir ce qui risque d’arriver chez nous si la vaccination se généralise. Cela explique l’intérêt d’une nouvelle analyse avec 2 mois de recul qui remplace avantageusement les maigres données que Pfizer a publié pour l’instant.

Les succès de la campagne de vaccination et ses contreparties discutables

Aujourd’hui le succès de la campagne de vaccination est indéniable avec près de 3,8 millions de personnes (44% de la population israélienne) qui auraient reçu au moins une dose de vaccin et 80% des personnes âgées de 60 ans et plus qui auraient reçu leurs deux doses

Mais cette campagne éclair de vaccination n’a été réalisée que grâce à l’acceptation d’une surfacturation des doses vaccinales, à l’engagement du gouvernement de communiquer à Pfizer les données de santé des israéliens, une propagande massive et mensongère dans la population et d‘un chantage au confinement ne respectant pas les règles éthiques de la déclaration d’Helsinki sur le consentement éclairé indispensable pour les traitements expérimentaux.

Pertinence des critères d’évaluation

Les médias proclament le succès d’après les pourcentages de vaccinés ou les taux prétendu de protection que le vaccin confèrerait d’après les communiqués du fabricant ou des caisses qui sont chargés de la vaccination.

Mais un examen objectif d’une campagne de vaccination doit se focaliser uniquement sur deux points précis : le vaccin prévient-il les transmissions du virus ? Diminue-t-il la gravité de la maladie et tout particulièrement le risque d’en mourir ?

On dispose pour ces critères d’une source fiables, accessible par internet et indépendante des acteurs de la vaccination : les données OMS quotidiennement mises à jour sur son site officiel consultable en tapant https://covid19.who.int/ qui précise chaque jour pour chaque pays le nombre de contaminations et le nombre de décès attribués au Covd19. C’est donc sur ces données que nous baserons notre analyse.

Evolution du nombre quotidien des contaminations

D’après les courbes OMS du 23 février 2021 la vaccination commencée le 20 décembre a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations journalières, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict. La vaccination n’a donc pas été capable de freiner l’épidémie ni de diminuer la contagiosité des vaccinés.

Cette évolution défavorable avec augmentation des contaminations quotidiennes après vaccination suggère que le vaccin Pfizer est incapable de diminuer la transmission de la maladie. L’augmentation des contaminations n’a commencé à diminuer que depuis le reflux global de l’épidémie dans tous les pays, vaccinés ou pas, confinés ou pas.

Evolution de la mortalité quotidienne

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En Israël, malgré un confinement strict, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable de la mortalité journalière. Le mois de janvier 2021 a établi le record mensuel de la mortalité, regroupant à lui seul près de 30% de la totalité des morts depuis le début de l’épidémie dans ce pays. La vaccination, loin de diminuer le risque létal de la maladie, parait au contraire l’avoir exacerbé.

Heureusement que la décrue mondiale de l’épidémie a limité cette évolution post vaccinale mortifère !

Que peut-on conclure pour l’instant ?

Les suites immédiates de la vaccination ont été marquées par une recrudescente très importantes des contaminations et de la mortalité alors que c’est une franche diminution qui en était espérée.

A la mi-février Il y avait plus de nouveaux cas de Covid-19 par jour qu’au début du confinement et de la vaccination. Plus de 1.000 personnes étaient toujours hospitalisées dans un état grave et les unités Covid de certains hôpitaux ne pouvaient plus accueillir de nouveaux malades. L’émergence de différents variants du Covid-19, dont le variant britannique qui représenterait la moitié des nouveaux cas quotidiens a été très rapide.

Le trop faible niveau d’immunité observée après la première injection par un groupe d’hôpitaux israéliens[1], est accusé de pouvoir faciliter l’émergence de variants dans une lettre du Pr Delfraissy au BMJ[2]  . « Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus …, voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus…, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue…. de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

L’accroissement important de la mortalité traduit peut-être un phénomène d’anticorps facilitants[3] dont le risque avait été soulevée par l’Académie de Médecine, dans son communiqué du 11 janvier 2021[4] : « Dans le contexte actuel de recrudescence épidémique …Le risque individuel d’aggravation par anticorps facilitants doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants. 

Un débat vaccinal serein est actuellement impossible à court terme en Israël car complétement pollué par la situation politique actuelle. Reconnaître l’échec de la vaccination porterait en effet un coup sévère à la campagne électorale de B Netanyahou. Il faut donc s’attendre à ce que le gouvernement et les médias qui lui sont proches continuent de clamer la victoire de la vaccination contre le méchant virus. Car comme l’analysait un panel de scientifiques indépendants dans le BMJ[5] , quel que soit le pays « quiconque ose dire la vérité au pouvoir est antipatriotique, déloyal ou « radical ».

En l‘absence de débat démocratique permettant d’évaluer rationnellement la situation, nous ne pouvons que conseiller aux Israéliens d’attendre pour se faire vacciner. Il n’y a aucune urgence pour se faire vacciner, le risque de la maladie étant minuscule pour les moins de 65 ans.  Dans quelques mois, un bilan plus objectif pourra être tiré et la décision de se faire vacciner ou pas pourra alors reposer sur des données consolidées. C’est peut-être ce que veut éviter le ministre de la santé israélien, avec sa volonté d’imposer le port d’un badge de couleur pour obliger ses compatriotes à se faire vacciner que beaucoup considèrent comme une atteinte dangereuse à la liberté.[6]

Pour un senior qui se souvient de la guerre de 1939-1945 ou plus souvent maintenant des témoignages terribles de la génération de ses parents ou grands-parents, voire pour les férus d’histoire plus jeunes (il en reste) l’obligation du port d’un badge de couleur (ouf ce n’est pas une étoile, ouf elle n’est pas jaune !) par un gouvernement juif est incroyable, consternant, invraisemblable, insupportable.

Elle rappelle l’avertissement de Bertolt Brecht et de Margaret Steffin dans la résistible ascension d’Arturo Ui « le ventre est encore fécond d’où et sortie la bête immonde » et les leçons d’Hannah Arendt sur la banalité du mal  «  le mal ne réside pas dans l’extraordinaire mais dans les petites choses, une quotidienneté à commettre les crimes les plus graves. »

Espérons que la majorité de la population israélienne qui n’a probablement pas la mémoire courte, saura RESISTER à cet effroyable et monstrueux pied de nez de l’Histoire.

Les mesures dites sanitaires veulent tuer la démocratie.

La tentation totalitaire particulièrement frappante au pays des survivants de la Shoah est bien évidemment mondiale dans le cadre de la prise en main en cours de la population mondiale par la clique de Davos et l’application du plan explicitée clairement dans le livre de Klaus Schwab sur covid19 et grand reset, paru en juillet 2020, impossible à traiter de complotiste.

Ainsi de nombreux gouvernements, dont le nôtre, essaient de faire croire, que le passeport vaccinal nous libérait de nos chaines qu’ils nous ont imposées et resserrent chaque jour alors que l’épidémie disparait partout dans les pays peu ou pas vaccinés et complètement indépendamment des mesures liberticides présentes ou pas (sur l’ensemble de la planète le nombre de contaminations a régressé de 50% durant les 5 dernières semaines).

Comme depuis des millénaires les virus vivent leur vie et les épidémies finissent assez brutalement comme celles du MERS et du SRAS pour les deux cousins de notre Covid19, n’ayant pas laissé aux labos le temps de trouver et imposer un vaccin.

Le passeport vaccinal ne constitue, comme le masque et le couvre-feu, qu’un outil d’asservissement sans intérêt sanitaire et l’accepter un signe de soumission au projet de société à la chinoise que rêvent de mettre en place les dirigeants actuels. Mais si ce modèle leur convient, qu’en pensera la société française une fois réveillée de son cauchemar covidien ?  Les camps, passeport vaccinal, isolement autoritaire que nous préparent les médias seront -ils acceptés sans bruit et sans violence ?

Pour terminer méditons la tirade d’Antonio Guterres, Secrétaire Général de l’ONU devant Conseil des droits de l’homme du 22 qui fut diffusée à juste titre sur les réseaux sociaux (mais si peu relayée à la TV ) : Brandissant la pandémie comme prétexte, les autorités de certains pays ont pris des mesures de sécurité sévères et adopté des mesures d’urgence pour réprimer les voix dissonantes, abolir les libertés les plus fondamentales,faire taire les médias indépendants et entraver le travail des ONG.” ” Des défenseurs des droits humains, des journalistes, des avocats, des militants, et même des professionnels de la santé, ont fait l’objet […] de poursuites, et de mesures d’intimidation et de surveillance pour avoir critiqué les mesures – ou le manque de mesures – prises pour faire face à la pandémie. Les restrictions liées à la pandémie servent d’excuses pour miner les processus électoraux, affaiblir les voix des opposants et réprimer les critiques.”

Devrons nous regagner dans la rue nos libertés ignoblement confisquées ?

Gérard Delépine, Riposte Laïque

[1] dévoilé fin janvier « seulement 33 % des patients auraient un taux d’anticorps satisfaisant à J14 », très inférieur au 90 % avancée par certains.

[2] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy laetitia.atlan Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract Lancet Public Health 2021

Published Online February 18, 2021 https://doi.org/10.1016/ S2468-2667(21)00036-0

[3] déjà responsables de l’échec du Dengvaxia aux Philippines et des vaccins contre les précédentes épidémies à coronavirus

[4] Communiqué de l’Académie : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages 11 janvier 2021

[5] Covid-19: Social murder, they wrote—elected, unaccountable, and unrepentant

BMJ 2021; 372 doi: https://doi.org/10.1136/bmj.n314

27 février 2021

Infos à savoir et à méditer

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26 février 2021

Une étude du NIH révèle que les personnes atteintes d'anticorps anti-SRAS-CoV-2 peuvent avoir un faible risque d'infection futur

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Les personnes qui ont eu des preuves d'une infection antérieure par le SRAS-CoV-2, le virus qui cause le COVID-19, semblent être bien protégées contre une réinfection par le virus, au moins pendant quelques mois, selon une étude récemment publiée de l'Institut national du cancer (NCI). Cette découverte peut expliquer pourquoi la réinfection semble être relativement rare, et elle pourrait avoir des implications importantes pour la santé publique, y compris les décisions concernant le retour aux lieux de travail physiques, la fréquentation scolaire, la hiérarchisation de la distribution des vaccins et d'autres activités.

Pour l'étude, des chercheurs du NCI, qui fait partie des National Institutes of Health, ont collaboré avec deux sociétés d'analyse de données sur les soins de santé (HealthVerity et Aetion, Inc.) et cinq laboratoires commerciaux. Les résultats ont été publiés le 24 février dans JAMA Internal Medicine.

«Alors que la recherche sur le cancer et les soins contre le cancer restent le principal objectif du travail du NCI, nous étions impatients de mettre notre expertise en sciences sérologiques au service de la lutte contre la pandémie mondiale de COVID-19, à la demande du Congrès», a déclaré le directeur du NCI, Norman E. «Ned "Sharpless, MD, qui était l'un des coauteurs de l'étude. "Nous espérons que ces résultats, en combinaison avec ceux d'autres études, éclaireront les futurs efforts de santé publique et aideront à définir la politique."

"Les données de cette étude suggèrent que les personnes qui ont un résultat positif à un test d'anticorps commercial semblent avoir une immunité substantielle contre le SRAS-CoV-2, ce qui signifie qu'elles peuvent être moins à risque d'infection future", a déclaré Lynne Penberthy, MD, MPH, directeur associé du programme de recherche sur la surveillance du NCI, qui a dirigé l'étude. "Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour comprendre combien de temps dure cette protection, qui peut avoir une protection limitée, et comment les caractéristiques des patients, telles que les conditions comorbides, peuvent avoir un impact sur la protection. Nous sommes néanmoins encouragés par cette découverte précoce."

Les tests d'anticorps - également appelés tests sérologiques - détectent les anticorps sériques, qui sont des protéines du système immunitaire produites en réponse à une substance étrangère ou à un agent infectieux spécifique, comme le SRAS-CoV-2.

Cette étude a été lancée dans le but de mieux comprendre si, et dans quelle mesure, les anticorps détectables contre le SRAS-CoV-2 protègent les personnes contre la réinfection par le virus. En collaboration avec HealthVerity et Aetion, NCI a agrégé et analysé les informations sur les patients recueillies auprès de plusieurs sources, y compris cinq laboratoires commerciaux (dont Quest Diagnostics et Labcorp), des dossiers médicaux électroniques et des assureurs privés. Cela a été fait d'une manière qui protège la confidentialité des informations de santé d'un individu et est conforme aux lois pertinentes sur la confidentialité des patients.

Les chercheurs ont finalement obtenu des résultats de tests d'anticorps pour plus de 3 millions de personnes ayant subi un test d'anticorps contre le SRAS-CoV-2 entre le 1er janvier et le 23 août 2020. Cela représentait plus de 50% des tests commerciaux d'anticorps contre le SRAS-CoV-2 menée aux États-Unis pendant cette période. Près de 12% de ces tests étaient positifs aux anticorps; la plupart des tests restants étaient négatifs et moins de 1% n'étaient pas concluants.

Environ 11% des individus séropositifs et 9,5% des individus séronégatifs ont ensuite reçu un test d'amplification d'acide nucléique (TAAN) - parfois appelé test PCR - pour le SRAS-CoV-2. L'équipe de recherche a examiné quelle fraction d'individus de chaque groupe avait par la suite un résultat TAAN positif, ce qui pourrait indiquer une nouvelle infection. L'équipe d'étude a examiné les résultats du TAAN à plusieurs intervalles: 0 à 30 jours, 31 à 60 jours, 61 à 90 jours et> 90 jours, car certaines personnes qui se sont rétablies d'une infection par le SRAS-CoV-2 peuvent encore excréter du matériel viral (ARN ) jusqu'à trois mois (bien qu'ils ne restent probablement pas contagieux pendant toute cette période).

L'équipe a constaté que, pendant chaque intervalle, entre 3% et 4% des individus séronégatifs avaient un test TAAN positif. Mais parmi ceux qui avaient été initialement séropositifs, le taux de positivité au test TAAN a diminué avec le temps. Lorsque les chercheurs ont examiné les résultats des tests 90 jours ou plus après le test initial d'anticorps (lorsqu'un coronavirus détecté par NAAT est susceptible de refléter une nouvelle infection plutôt que la poursuite de l'excrétion du virus de l'infection d'origine), seulement environ 0,3% de ceux qui avaient été séropositif avait un résultat TAAN positif - environ un dixième du taux chez ceux qui avaient été séronégatifs.

Bien que ces résultats soutiennent l'idée que la présence d'anticorps contre le SRAS-CoV-2 est associée à une protection contre une infection future, les auteurs notent des limites importantes à cette étude. En particulier, les résultats proviennent d'une interprétation scientifique de données du monde réel, qui sont sujettes à des biais qui peuvent être mieux contrôlés dans un essai clinique. Par exemple, on ne sait pas pourquoi les personnes qui avaient été testées positives pour les anticorps ont continué à subir un test PCR. De plus, la durée de la protection est inconnue; des études avec un temps de suivi plus long sont nécessaires pour déterminer si la protection diminue avec le temps.

Pour continuer à traiter de manière exhaustive cette importante question de recherche, le NCI soutient des études cliniques qui surveillent les taux d'infection dans de grandes populations de personnes dont le statut d'anticorps est connu. Ces études sont appelées études de «séroprotection». Le NCI parraine également des études en cours utilisant des données du monde réel pour évaluer l'effet à long terme de la positivité des anticorps sur les taux d'infection ultérieurs.

Cette recherche fait partie d'un effort de 306 millions de dollars que le NCI a entrepris à la demande du Congrès pour développer, valider, améliorer et mettre en œuvre des tests sérologiques et des technologies associées applicables au COVID-19. Par ce crédit, le NCI collabore avec le ministère de la Santé et des Services sociaux; l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, une autre partie du NIH; et d'autres agences gouvernementales d'appliquer son expertise et ses capacités de recherche avancées pour répondre à cette pandémie, y compris les efforts visant à caractériser rigoureusement la performance des tests sérologiques.

Référence: Harvey RA, Rassen JA, Kabelac CA, et al. Association du test d'anticorps séropositifs au SRAS-CoV-2 avec un risque d'infection future. Stagiaire JAMA. Med . 2021. doi: 10.1001 / jamainternmed.2021.0366

voila la meilleure vaccination il suffit de transferer la memoire  plutot que de remettre un virus dasn le corps  Grâce aux cellules mémoire, le système immunitaire combattra le pathogène de façon plus rapide et efficace s’il le rencontre à nouveau. En particulier, les lymphocytes B mémoire synthétisent des anticorps qui ont un plus grand pouvoir protecteur, ce sont les IgG. La présence de ces anticorps dits « neutralisants » est à l’origine des essais cliniques de transfert de plasma sanguin de personnes guéries du COVID-19 à des personnes malades.

https://www.nih.gov/news-events/news-releases/nih-study-finds-people-sars-cov-2-antibodies-may-have-low-risk-future-infection 
Département américain de la santé et des services sociaux 

26 février 2021

L’administration Biden enferme aussi les enfants de migrants dans des camps de retention

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L’information a été révélée par le Washington Post. Le camp concerné se située à Carrizo Springs, au Texas. Il a été créé pour accueillir 700 enfants âgés de 13 à 17 ans. Depuis lundi, des dizaines d’adolescents y affluent chaque jour via des bus. Il s’agit d’enfants migrants qui ont traversé la frontière entre le Mexique et les États-Unis sans leurs parents. Ce sont ce qu’on appelle des ‘mineurs non accompagnés’.

Une politique très critiquée

Sous Trump, ces installations ont fait l’objet de nombreuses critiques. La politique était aussi beaucoup plus stricte à l’époque. La ‘tolérance zéro’ comme le gouvernement l’appelait alors. Les familles qui traversaient illégalement la frontière étaient séparées, en guise de mesure de dissuasion. Les enfants et les parents étaient séparés puis enfermés. Comme il n’y avait pas de système d’enregistrement approprié, les parents étaient souvent expulsés sans leurs enfants. Cela a entraîné des situations très difficiles où des familles n’ont pas pu être réunies. Cette politique a été largement critiquée et a dû être abandonnée après six mois, sous la pression de l’opinion publique.

C’est l’ONG American Civil Liberties Union (ACLU) qui se charge de la réunification des famille. Quelque 2.000 enfants ont déjà été rendus à leurs parents. Mais il reste plusieurs centaines d’enfants qui n’ont toujours pas retrouvé leurs parents à ce jour.

Pendant sa campagne électorale, Biden a dénoncé la séparation des familles à la frontière. Ce qu’il a surtout omis de mentionner, c’est que cela s’était déjà produit sous Obama. À l’époque, ces séparations se produisaient principalement lorsqu’il y avait le moindre doute sur le fait qu’il s’agissait des vrais parents des enfants. Ou si ceux-ci étaient des passeurs de migrants ou de drogue. Avec Trump, ces séparations se sont généralisées.

 

 

‘Le bien-être de l’enfant est primordial’

La détention d’enfants migrants a été vilipendée par les défenseurs des droits de l’homme sous Trump, en raison des conditions de détection parfois très mauvaises et du manque de transparence.

L’administration Biden fait tout ce qu’elle peut pour souligner la différence avec les politiques sévères de l’ancienne présidence républicaine. Le nouveau président a en effet déjà supprimé plusieurs dispositions sévères de la politique migratoire de Trump par le biais d’une série de décrets. Mais actuellement, tous les enfants qui arrivent à la frontière avec leurs parents sont toujours expulsés, en raison des restrictions liées à la pandémie.

il rejette les familles et les enfants amenés pour le traffic d'etre humain il les mets au frais  çà cest plus interessant ces camps ouvert par trump etaient pour arreter le traffic de ces enfants la preuve en est dans cet article qui souligne un peu plus bas que des centaines d'enfant n'ont aucun parent qui les reclamment preuvent qu'ils sont venus a la frontiere via des reseaux pedocriminale et d'exploitation d'etre humain pour les faire ytravailler comme exclave ou dsn la prostitution  çà mr Biden fait l'innocent nous faisons croire qu' ils vont mieux etre traiter que lors du mandat de Trump  .....alors que cela ne date pas d'hier 

C’est l’ONG American Civil Liberties Union (ACLU) qui se charge de la réunification des famille. Quelque 2.000 enfants ont déjà été rendus à leurs parents. Mais il reste plusieurs centaines d’enfants qui n’ont toujours pas retrouvé leurs parents à ce jour.

Pendant sa campagne électorale, Biden a dénoncé la séparation des familles à la frontière. Ce qu’il a surtout omis de mentionner, c’est que cela s’était déjà produit sous Obama. À l’époque, ces séparations se produisaient principalement lorsqu’il y avait le moindre doute sur le fait qu’il s’agissait des vrais parents des enfants. Ou si ceux-ci étaient des passeurs de migrants ou de drogue. Avec Trump, ces séparations se sont généralisées.

Les mineurs non accompagnés sont quant à eux autorisés à entrer dans le pays, mais ils sont placés en détention. Les installations permanentes pour les enfants de migrants ont vu leurs capacités réduites de moitié par la pandémie. Dans le même temps, le nombre d’enfants migrants non accompagnés qui traversent la frontière atteint des sommets. C’est pourquoi le camp de Carrizo Springs a été réouvert, ont expliqué des responsables du gouvernement au Washington Post.

En outre, la politique est désormais ‘moins axée sur l’application de la loi et davantage sur le bien-être de l’enfant’, précise un porte-parole du Département de la Santé et des Services sociaux des États-Unis, l’agence gouvernementale chargée d’accueillir les jeunes migrants.

Par exemple, il y a des salles de classe au sein du camp, ainsi qu’un terrain de football et un de basketball. Il existe également une salle de consultation pour les conseillers juridiques avec des ‘bienvenidos’ écrits en grosses lettres, ‘bienvenue’ en espagnol. Toutefois, les enfants ne sont pas autorisés à quitter l’installation.

Dans notre pays aussi, les migrants mineurs sont enfermés. Dans le centre fermé 127bis de Steenokkerzeel, les familles avec enfants sont détenues en vue de leur rapatriement. Le Comité des droits de l’enfant des Nations unies a maintes fois tapé sur les doigts de la Belgique à propos de cet aspect très controversé de la politique migratoire. Le nouveau gouvernement fédéral a promis qu’aucun enfant ne serait plus enfermé dans des centres de détention.

https://fr.businessam.be/ladministration-biden-enferme-aussi-les-enfants-de-migrants/

26 février 2021

Fausse épidémie et vraie "masquarade" selon monsieur Verdi

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Michèle Rivasi, eurodéputée Vert, porte plainte contre la Commission européenne

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25 février 2021

Michel Desmurget - TV LOBOTOMIE - La vérité scientifique sur les effets de la télévision

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Michel Desmurget - TV LOBOTOMIE - La vérité scientifique sur les effets de la télévision

Max Milo Editions

Quatrième de couverture :

Citation :
Sophie, 2 ans, regarde la télé 1 heure par jour. Cela double ses chances de présenter des troubles attentionnels en grandissant.

Lubin, 3 ans, regarde la télé 2 heures par jour. Cela triple ses chances d'être en surpoids.

Kevin, 4 ans, regarde des programmes jeunesse violents comme DragonBall
Z. Cela quadruple ses chances de présenter des troubles du comportement
quand il sera à l'école primaire.

Silvia, 7 ans, regarde la télé 1 heure par jour. Cela augmente de plus
d'un tiers ses chances de devenir une adulte sans diplôme.

Lina, 15 ans, regarde des séries comme Desperate Housewives. Cela triple
ses chances de connaître une grossesse précoce non désirée.

Entre 40 et 60 ans, Yves a regardé la télé 1 heure par jour. Cela
augmente d'un tiers ses chances de développer la maladie d'Alzheimer.

Henri, 60 ans, regarde la télé 4 heures par jour. René, son jumeau, se
contente de la moitié. Henri a 2 fois plus de chances de mourir d'un
infarctus que René.

Chaque mois, les revues scientifiques internationales publient des
dizaines de résultats de ce genre. Pour les spécialistes, dont fait
partie l'auteur, il n'y a plus de doute : la télévision est un fléau.
Elle exerce une influence profondément négative sur le développement
intellectuel, les résultats scolaires, le langage, l'attention,
l'imagination, la créativité, la violence, le sommeil, le tabagisme,
l'alcoolisme, la sexualité, l'image du corps, le comportement
alimentaire, l'obésité et l'espérance de vie.


Ces faits sont niés avec un aplomb fascinant par l'industrie
audiovisuelle et son armée d'experts complaisants. La stratégie n'est
pas nouvelle : les cigarettiers l'avaient utilisée, en leur temps, pour
contester le caractère cancérigène du tabac...

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