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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
28 juin 2015

DOC : Les Libérateurs Américains: la face cachée du problème!

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Documentaire sur les exactions, principalement les viols, commises par des soldats de l’armée américaine de 1942 à 1945, en France, en Angleterre et en Allemagne, ainsi que sur le racisme dans le traitement de ces affaires.

 

Patrick Cabouat a tourné ce documentaire en s’appuyant sur l’ouvrage du professeur américain J. Robert Lilly "La face cachée des GI’s", dont l’édition originale en français n’a jamais été publiée en anglais et le livre demeure interdit à la vente sur le territoire américain.

Grâce à des documents d’époque marqués "confidential", "restricted" ou "classified", Lilly confirme que 17 000 femmes et enfants auraient ainsi été victimes des viols commis par les GI’s en Angleterre, en France et en Allemagne. Sans compter les meurtres, les mutilations, les enlèvements, le chantage, le pillage, le grand banditisme... et les 95 % de viols non déclarés.

J. Robert Lilly est professeur de sociologie et de criminologie à la Northern Kentucky University, aux États-Unis, et professeur invité de sociologie et de politique sociale à l’Université de Durham, en Grande-Bretagne.

Bibliographie :
- J. Robert Lilly, La face cachée des GI’s, Les viols commis par des soldats américains en France, en Angleterre et en Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale, Payot, coll. Histoire, 2004, 371 p. ; ISBN-10 : 2228897558 ; ISBN-13 : 978-2228897556.

http://img217.imageshack.us/img217/...

Sources :
- SAGE Publications/ The academic and professional publisher of choice.
- Panorama 33 productions.

Les Libérateurs Américains: la face cachée du problème!

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28 juin 2015

stérilisation de masse, des médecins kenyans ont trouvé un agent anti-fertilité dans le vaccin contre le tétanos

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Un exercice de stérilisation de masse, déclarent des médecins kenyans qui ont trouvé un agent anti-fertilité dans le vaccin contre le tétanos

Des pays africains sont sans nul doute, depuis des décennies, des laboratoires in vivo d’expérimentations de masse (stérilisation, mutations génétiques, infections, virus, etc.) qui sont dirigés par des firmes pharmaceutiques privées, par le département militaire des maladies infectieuses et qui sont financés par les Bill Gates de ce monde.

Je rappelle que tous les pays occidentaux vaccinent contre le tétanos, sans compter le calendrier vaccinal des enfants, les vaccins saisonniers, les vaccins contre la méningite, vaccin contre le cancer du col de l’utérus……..

Selon un communiqué publié mardi par l’Association des médecins catholiques du Kenya, l’organisation a trouvé un antigène dans un vaccin administré à 2,3 millions de filles et de femmes qui provoque des fausses couches. Ce vaccin est administré par l’Organisation Mondiale de la santé (OMS) et l’UNICEF.

« Nous avons envoyé six échantillons provenant de partout au Kenya à des laboratoires en Afrique du Sud. Ils ont été testés positifs pour l’antigène HCG », dit le Dr. Muhame Ngare du Mercy Medical Centre à Nairobi au LifeSiteNews.

Le Dr. Ngare, porte-parole de l’Association des médecins catholiques au Kenya, a déclaré dans un bulletin publié le 4 novembre:

« Cette campagne de l’OMS n’est pas d’éradiquer le tétanos néonatal, mais c’est un exercice bien coordonné de stérilisation de masse avec un vaccin qui régule la fertilité. Cette preuve a été présentée au Ministère de la Santé avant le troisième tour de vaccination, mais elle été ignorée ».

 

lifesitenews.com

http://www.reso-off.fr/

28 juin 2015

Les tampons TAMPAX sont-ils responsables du cancer du col de l'utérus ?

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Le syndrome du choc toxique.

Les tampons vaginaux sont à l’origine d’une maladie extrêmement rare mais également très grave, appelée le « syndrome du choc toxique ».

Le syndrome du choc toxique est une maladie qui touche essentiellement mais non exclusivement les jeunes femmes qui utilisent des tampons vaginaux. On ne sait pas exactement pourquoi elles sont victimes de ce syndrome, mais on a retrouvé dans le vagin et sur le col de l’utérus de ces femmes réglées, des souches d’une bactérie, le Staphylococcus aureus (staphylocoque doré).

Source : Doctissimo

Tampons TAMPAX.

D’un point de vue économique, un marché colossal avec un secret de fabrication farouchement conservé par PROCTER & GAMBLE, le fabricant de la marque Tampax, leader mondial du marché des tampons.

Stupeur ! Ces cartouches s’avèrent être imprégnées de dioxine. Sur la durée d’une vie de fertilité, je vous laisse imaginer les dégâts occasionnés par cette substance hautement cancérogène.

Le cancer du col de l’utérus est le second cancer féminin et une femme meurt du cancer de l’utérus toutes les deux minutes dans le monde.

Je ne revendique pas la paternité de cet article, toutes les sources sont citées pour éviter toute forme de plagiat. J’estime que le contenu de cet article méritait un traitement d’où ma volonté de partager cette information. D’ailleurs je vais ajouter également mon ami Zelectron qui m’a dirigé vers cette information.

Je vais vous proposer une étude traduite de l’anglais par Géraldine F.

Aussi inquiétants que soient les produits chimiques contenus dans ces produits, j'étais relativement rassurée par le fait qu'ils changeaient au fil des années. Lorsque je me retrouve à cours d'un produit, j'en achète un nouveau, j'essaie une nouvelle marque. Ainsi, au cours des derniers mois, j'ai remplacé les produits que j'utilise quotidiennement par des produits bios aux risques moindres. Néanmoins, le seul produit auquel je sois restée fidèle au cours des quinze dernières années est celui qui me préoccupe le plus. Aucun des composants n'est indiqué sur l'emballage de ce produit. C'est le produit auquel je pensais le moins, un produit que j'achetais par habitude, toujours dans l'urgence quand je venais à en manquer et qui s'utilise dans notre partie la plus intime. CE PRODUIT EST LE TAMPON TAMPAX.

 Au cours de recherches méticuleuses, j'ai découvert que les produits chimiques les plus dangereux étaient utilisés pour leur fabrication et j'ai découvert les effets horribles et mortels que ces produits ont sur la santé des femmes qui les utilisent. J'ai été horrifiée en découvrant les dangers que ces produits chimiques transmis par la mère au cours de la grossesse représentaient pour son bébé. Enfin, j'ai cherché des alternatives aux tampons conventionnels et j'en ai trouvé de disponibles et plus sûrs pour notre propre santé et pour l'environnement.

 Les composants du Tampax. Moins on les voit, moins on y pense !

 La moyenne des femmes ayant cinq jours de menstruation par mois durant 38 ans, utilisera en moyenne 11.400 tampons au cours de sa vie. Avec en moyenne 73 millions de femmes américaines en âge de procréer, le niveau de toxicité des tampons de marque n'est pas juste une préoccupation d'ordre personnel mais bien un problème qui affecte toutes les femmes en âge d'avoir leurs règles.

 Définir la composition exacte et les composants chimiques des tampons TAMPAX est virtuellement impossible. Bien que les tampons soient utilisés de manière nécessitant un contact prolongé avec l'une des parties les plus poreuses et les membranes muqueuses les plus absorbantes de notre anatomie, ces produits d'hygiène intime féminin sont classés par la FDA (Food and Drug Administration) comme un instrument médical. Aussi, les fabricants ne sont pas tenus de se conformer aux mêmes règles d'étiquetage que celles en vigueur pour les aliments, médicaments ou cosmétiques.

Tout comme pour les tests de toxicité dans la distribution alimentaire, les tests d'ordre chimique sur les tampons sont réalisés par les fabricants ou des chercheurs privés dont les conclusions sont présentées aux organismes de contrôle de régulation. Les chercheurs scientifiques sont payés par ceux qui fabriquent et vendent les tampons, que ces derniers soient sûrs ou non. Dès lors, il appartient aux consommateurs de faire leurs propres recherches.

 Procter & Gamble, le fabriquant des tampons Tampax tient à garder secrète la recette de cette soupe chimique. Vu que les femmes américaines dépensent une moyenne de deux milliards de dollars par an pour leurs serviettes hygiéniques et leurs tampons chimiques, la vérité sur ces produits toxiques n'est pas prête d'être révélée.

 Les tampons Tampax, des cartouches mortellement toxiques.

 A l'origine, les tampons étaient composés à 100% de coton. Lorsque les femmes se sont plaintes de fuites, les fabricants ont augmenté leur pouvoir absorbant en mélangeant le coton à des fibres synthétiques hautement absorbantes comme du polyester, du polyacrylate, de la viscose et de la cellulose de carboxymethyl. Au début des années 80, des rumeurs ont couru concernant les tampons lorsque 38 femmes sont mortes de syndromes de chocs toxiques (TTS), d'une infection bactériologique liée à l'usage de tampons super absorbants.

 Suite à ces événements, bien qu'ils dénient tout lien avec ces morts, les fabricants de tampons changèrent la composition de leurs produits. Au cours des tests privés, il fut établi que ces matériaux synthétiques attiraient les bactéries qui conduisaient à des TTS. Le moins nocif de ces fléaux était un mélange de viscose, et c'est précisément ce qui reste dans les tampons classiques d'aujourd'hui. La plupart des tampons sont traités avec des produits chimiques qui n'ont pas leur place dans un produit à usage si intime pour les femmes.

 Tampax fabrique ses tampons à partir d'un mélange de viscose et de coton cultivé de manière conventionnelle. Environ 38,1 tonnes de pesticides sont pulvérisés sur 14,4 millions d'hectares de coton conventionnel cultivés chaque année aux Etats-Unis ... Ces produits chimiques comptent parmi les plus toxiques utilisés en agriculture et l'Agence pour la Protection de l'Environnement a déclaré sept de ces produits chimiques parmi les 15 principaux utilisés pour la production de ce coton comme cancérigènes probables pour l'être humain. Le coton toxique est un problème, mais certainement pas le seul.

 La viscose utilisée dans les Tampax est fabriqué à partir de pulpe de bois et des centaines de produits chimiques sont utilisés pendant le processus de conversion du bois. C'est dans le chlore utilisé pour blanchir la pulpe de bois que réside le plus grand danger. Le procédé crée des hydrocarbonés chlorés, un groupe de produits chimiques dangereux, dont l'un des produits dérivés les plus problématique est la dioxine, l'une des substances les plus toxiques connues.

 En réponse aux réclamations des consommateurs et du gouvernement américains dans le cadre de leur loi sur la santé des femmes et la dioxine, suivie par la loi sur la recherche et la sécurité des tampons (protection des femmes contre la dioxine et le syndrome de choc toxique) l'industrie du tampon a récemment changé sa méthode de blanchiment par une méthode sans chlore. Cette méthode remplace le chlore gazeux par du dioxyde de chlore, un produit chimique consistant en deux atomes d'oxygène liés à un atome de chlore.

 Le dioxyde de chlore est reconnu pour ses propriétés désinfectantes, ...et est utilisé pour contrôler les micro-organismes nocifs, y compris les bactéries, les virus ou les champignons sur des objets inanimés et les surfaces. En 1967, l'EPA (Agence pour la Protection Environnementale) a enregistré pour la première fois la forme liquide de dioxyde de chlore utilisée comme désinfectant. En 1988, l'EPA a inscrit gaz de dioxyde de chlore comme agent de stérilisation. Le dioxyde de chlore tue les micro-organismes en perturbant le transport des nutriments à travers la paroi cellulaire. Le dioxyde de chlore est beaucoup moins réactif avec les substances organiques que l'agent de blanchiment utilisé précédemment. En l'absence de chlore pur impliqué, l'agent de blanchiment CEF devait théoriquement aboutir à un produit exempt de dioxine.

 Ce n'est cependant pas le cas. Des études ont démontré que la fabrication de dioxyde de chlore ne génère pas un produit aussi pur que ne le prétendent les fabricants de tampons. La plupart sont contaminés par une certaine quantité de chlore gazeux. En outre, lors de la production commerciale de ces produits, des réactions chimiques qui ont lieu pendant le processus de blanchiment libère des atomes de chlore gazeux à partir de certaines des molécules de dioxyde de chlore. Cela augmente la charge de chlore gazeux dans le processus de blanchiment, libérant ainsi la dioxine. Fondamentalement, la nouvelle méthode de blanchiment diminue la quantité de dioxine créée, mais ne les élimine pas complètement.

 Selon l'Agence pour la Protection de l'Environnement, il n'existe aucune protection réelle à l'exposition à la dioxine. La FDA a reconnu que le dioxyde de chlore, bien que sans chlore gazeux, peut toujours générer des dioxines à des niveaux extrêmement bas. Une formulation très habile sur le site de la FDA indique que «certains procédés de blanchiment sans chlore gazeux peuvent théoriquement générer des dioxines à des niveaux extrêmement bas et que des « traces » de dioxines peuvent être détectées dans la pulpe servant à la fabrication des tampons.

 Étant donné que la dioxine est cumulative et lente à se désintégrer, le vrai danger vient du contact répété. Je pense qu'il est prudent de considérer comme contacts répétés une exposition de 5 jours par mois, 12 mois par an, pendant près de 40 ans!

 Qu’est-ce que la dioxine ?

 La dioxine est un terme utilisé pour décrire un groupe de centaines de produits chimiques très persistants et très toxiques qui s'accumulent dans l'environnement et dans nos corps. Cette toxine est un sous-produit très dangereux de nombreux procédés industriels différents impliquant le chlore, y compris l'incinération des déchets, la fabrication de pesticides chimiques et le blanchiment du papier et des pâtes à papier (ce qui comprend les matières premières utilisées dans les tampons classiques).

 La dioxine est un composé organochloré et est produite par une combinaison de chlore et de composés organiques. En tant que composant toxique primaire de l'agent orange, elle est considérée comme « la substance la plus mortelle connue pour l'humanité » où « littéralement, une cuillère à soupe [de dioxine] tuerait tout le monde sur la planète »

La dioxine est un polluant organique persistant (POP) qui s'accumule dans le corps. Notre exposition s'étend bien au-delà du contact mensuel du tampon. On trouve cette substance chimique dans les aliments que nous consommons. Les niveaux d'accumulation augmentent à mesure que l'on remonte la chaîne alimentaire jusque dans nos propres corps.

 En plus des niveaux de dioxine présents dans l'environnement et l'approvisionnement alimentaire, les tampons ne sont pas les seuls produits d'hygiène contribuant à l'apport corporel en dioxines.

Des processus de production similaires sont utilisés sur les langes, serviettes et papiers hygiéniques,  coton-tige, cotons démaquillants, mouchoirs en papier...  Nous utilisons ces produits autour de nos yeux, de nos oreilles, pour nettoyer nos bouches, nos nez et nos parties les plus délicates.

 Et comme si le coton imbibé de dioxine et de pesticides ne suffisait pas, les tampons contiennent également de nombreux produits chimiques supplémentaires qui comprennent des amplificateurs d'absorption, des désodorisants et des parfums synthétiques. La présence de la dioxine est cependant la plus préoccupante car elle est celle qui affecte le plus le corps humain.

 Les effets du tampon Tampax sur la santé.

 Le risque en ce qui concerne la dioxine ne dépend pas seulement de sa quantité, mais du simple fait de sa présence. Les effets subtils sur la reproduction et la santé surviennent à des doses suffisamment faibles pour que les effets ne soient pas visibles de façon flagrante et qu'ils s'installent lentement de façon insidieuse à travers les populations. La dioxine s'accumule chez les humains, en particulier dans les tissus adipeux féminins et le lait maternel.

 Le principal moyen d'élimination est donc par le lait maternel ou le placenta. Ainsi elle commence à s'accumuler dans l'organisme du fœtus et, plus tard, dans celui de l'enfant en bas-âge. Les enfants et les fœtus sont donc les plus exposés aux risques alors que leurs systèmes nerveux et immunitaires sont en plein développement. Cette toxine persistante se propage non seulement à travers les différentes populations, mais aussi de manière générationnelle.

Des douzaines de maladies et affections sont liées à l'accumulation de dioxine dans l'organisme. On peut les regrouper en trois catégories : celles faisant intervenir les enzymes, les facteurs de croissance et les hormones.

 Un récent rapport de l'Agence pour la Protection de l'Environnement  confirme que la dioxine est un « cancérogène pour l'homme » et ce produit chimique cancérogène connu est en contact direct avec nos organes internes et nos zones très sensibles. Des études Suédoises ont établi un lien entre les tampons contenant de la dioxine et une augmentation des cancers de l'appareil génital féminin.

 Grâce à l'activation du récepteur Ah, la dioxine entraîne un large éventail de réponses biologiques considérées comme importantes pour le processus de cancérogenèse, y compris les changements dans l'expression génique, la modification du métabolisme, altération de la croissance et de la différenciation cellulaire, ainsi que la perturbation des hormones stéroïdes et facteurs de croissance. Ces changements sont à l'origine de réponses immunotoxiques, tératogènes et cancérogènes.

 Les tampons sont placés contre les tissus adipeux humides pendant des périodes prolongées créant un environnement idéal pour l'absorption de produits chimiques. La dioxine agit comme un perturbateur endocrinien... Les variations de niveaux d'hormones et de récepteurs conduisent à une altération de l'homéostasie qui devrait être le réseau de mécanismes de contre-réaction de l'organisme à maintenir un équilibre de ces hormones. Une des maladies les plus directement liés à l'effet de perturbation endocrinienne de la dioxine libérée par les tampons est l'endométriose, une maladie où les cellules endométriales de la muqueuse de l'utérus se développent de manière inappropriée à l'extérieur de l'utérus.

 Ils poussent sur les ovaires, à l'extérieur de l'utérus ou des trompes de Fallope ou ailleurs dans la cavité abdominale. La dioxine agit sur une enzyme qui augmente les niveaux d'œstrogène ainsi que ses effets sur l'endomètre. La croissance incontrôlée de l'endométriose peut causer des problèmes intestinaux car il étrangle les mouvements naturels l'intestin. Elle a également été liée à des problèmes de reproduction et d'infertilité en rendant l'imprégnation pratiquement impossible.

En plus du cancer et de l'endométriose, les perturbations de la croissance, des enzymes et des hormones causées par l'exposition à la dioxine ont été associées à des anomalies congénitales, à l'incapacité à porter une grossesse à terme, à la diminution de la fertilité, à la réduction du nombre de spermatozoïdes, au diabète, aux troubles de l'apprentissage, à la suppression du système immunitaire, aux problèmes pulmonaires, aux  maladies de la peau et à la réduction du niveau de testostérone.

 Les fibres synthétiques et leurs résidus.

 La présence de la dioxine n'est pas le seul danger pour la santé causé par les tampons Tampax. Les tampons produits dans le commerce utilisent les fibres de viscose synthétiques qui ont été associées à la fois aux syndromes de chocs toxiques et aux maladies sexuellement transmissibles. Les chocs toxiques peuvent débuter par des symptômes grippaux tels que des nausées, des étourdissements, une forte fièvre, des vomissements et peuvent évoluer vers une insuffisance hépatique ou rénale, un choc complet du corps et enfin, la mort. Des études ont montré que les fibres synthétiques créent un environnement idéal pour la croissance des bactéries « Staphylococcus aureus » à l'origine du syndrome de choc toxique.

 Ces caractéristiques sont attribuées aux tampons au très haut pouvoir absorbant qui, par conséquent, laissent derrière eux, des quantités concentrées de protéines dont ces bactéries nuisibles ont besoin pour produire leur poison. En plus d'augmenter le risque de syndrome de choc toxique, les fibres synthétiques sont abrasives pour la paroi vaginale qui est très sensible. Les tampons Tampax sont insérés profondément dans le vagin avec un applicateur et s'étendent en longueur. Cela pousse le tampon contre la zone cervico-utérine, provoquant des microcoupures et incrustant des fragments de tampon dans les tissus du col et la paroi vaginale (citrinibaum). En plus des coupures provoquées par le tampon lui-même, le retrait du tampon laisse aussi des fibres qui peuvent être à l'origine de futures ulcérations.

 Ces ulcérations sont causées par la combinaison des substances chimiques du tampon et par la friction provoquée par son retrait. Les substances chimiques du tampon « rongent littéralement le tissus vaginal » (citrinibaum). Ces ulcérations augmentent les risques d'une femme de contracter une MST en créant une porte d'entrée vers le flux sanguin.  Pour aggraver les choses, le coton génétiquement modifié qui est utilisé aux USA pour les productions commerciales résiste aux effets des antibiotiques. Par conséquent, les femmes qui utilisent des tampons de coton OGM peuvent ne pas répondre aussi bien aux antibiotiques prescrits pour traiter les MST.

 De mes propres yeux.

 Lors de mes recherches, je suis tombée sur des documents traitant des fibres microscopiques et chimiques laissées dans leur sillage par les tampons et qui sont absorbées directement par les tissus adipeux et le flux sanguin  et sur les mini-expériences qui peuvent être réalisées chez soi pour les observer. J'ai essayé moi-même de placer un tampon dans un verre d'eau pendant 6 heures (la durée moyenne d'usage d'un tampon) pour faire le constat de mes propres yeux.

 Lorsque j'ai retiré le tampon de l'eau, j'ai trouvé des centaines de minuscules particules blanches semblables à des fils fluorescents en suspension dans l'eau, certaines s'étaient déposées au fond du verre, d'autres rasaient les bords. Compte tenu de la quantité de particules qui étaient clairement visibles à l'œil nu, je peux seulement imaginer le volume de produits chimiques et de fibres microscopiques qui sont présentes dans le vagin et intégrées dans le tissu vaginal à chaque utilisation de tampon.

 L’impact environnemental.

 Ce qui est dangereux pour notre corps est aussi nocif pour l'environnement et il est impossible d'examiner l'un sans l'autre. Les tampons Tampax affectent l'environnement, tant en termes de pollution chimique que dans les décharges de déchets. Par exemple, les problèmes d'épidémies dues à l'exposition à la dioxine concernent plus de 13 espèces de poissons dans la région des Grands Lacs. Parmi ces problèmes, on compte celui de l'infertilité et de malformations à la naissance, les effets s'aggravant au cours des générations suivantes. En outre, parce que les matières premières des Tampax proviennent, en partie, de coton de culture conventionnelle, ils contribuent directement à la dispersion des toxines pulvérisées sur ces cultures et libérées dans l'environnement.

Enfin, Les tampons Tampax sont tout simplement un fléau. Selon le bureau de consultance en matière de déchets Franklin & Associés, « 6,5 milliards de tampons et 13,5 milliards de serviettes hygiéniques, en plus de leur emballage, ont fini dans des décharges ou des systèmes d'égout en 1998 ... » Et selon le Centre pour la Conservation Marine, plus de 170.000 applicateurs de tampon ont été collectés le long des zones côtières américaines entre 1998 et 1999. Maintenant que j'en sais plus, je peux faire mieux.

 Des alternatives plus sûres. Beaucoup plus sûres !

 Même si apporter des changements est difficile pour l'industrie, en matière de tampons, ce n'est pas impossible. La voix des consommateurs a déjà contraint le Sénat Américain à faire passer des lois relatives à la sécurité, par le passé. Bien que la production de masse ne soit pas prête de s'arrêter, il existe des méthodes de traitement beaucoup plus sûr. Retourner à des tampons 100% en coton permettrait de réduire les risques associés aux fibres synthétiques et il existe un procédé de blanchiment sans dioxine disponible pour les productions de masse.

 Intégralement sans agents de blanchiment ni composants chlorés, réduisant ainsi la dispersion de produits chimiques dangereux dans l'environnement et les résidus chimiques dans le produit-même. Leurs produits blanchissants ne produisent pas de dioxine, de chloroforme ou d'acide chlorhydrique, ce qui réduit la pollution biologique  et chimiques des eaux. Leur méthode de blanchissement utilise des substances relativement inoffensives tels que l'oxygène, l'ozone et le peroxyde d'hydrogène, ce qui réduit considérablement le rejet toxique total dans l'environnement.

Il existe plusieurs options très valables pour les femmes. Ces options ne sont pas seulement plus sûres pour notre propre santé, mais aussi pour la prise en compte de la santé de notre planète. Les  solutions alternatives sont disponibles à l'achat sur internet et dans la plupart des magasins d'alimentation naturelle. Elles comprennent le passage des tampons conventionnels aux tampons bio, aux éponges de mer naturelles, aux serviettes réutilisables respectueuses de l'environnement et les coupelles menstruelles.

Les tampons 100% bio sont fabriqués à partir de coton certifié sans OGM. Ils ne contiennent ni colorants irritants, ni parfum, et ne comportent pas les risques liés aux fibres synthétiques. Choisir le coton bio et sans chlore réduit les quantités de toxines dangereuses dispersées dans l'environnement ainsi que la pollution par les pesticides et produits chlorés tout en les tenant à l'écart de notre corps.

 Ces tampons s'utilisent exactement de la même manière que les tampons conventionnels avec divers degré d'absorption, avec ou sans applicateur. Il est recommandé d'utiliser le taux d'absorption le plus bas pour éviter les risques de syndromes de choc toxiques. Les tampons bio ne sont que légèrement plus chers que les tampons conventionnels.

Tout comme les tampons, elles doivent être changées toutes les quelques heures. Toutefois, l'éponge de mer ne doit pas être jetée. On peut en insérer une autre ou rincer celle qui a été utilisée et la réinsérer. Elles sont complètement naturelles et biodégradables et ne sont traitées avec aucun produit chimique ou blanchissant. Elles doivent être bouillies et nettoyées entre les usages avec des méthodes naturelles de nettoyage, y compris le bicarbonate de soude, vinaigre et eau. Un paquet de 2 éponges de mer coûte entre 7 et 12 dollars et peuvent être réutilisées plus de huit mois.

Bien qu'elles ne soient pas techniquement une alternative aux tampons, parce que la plupart des femmes utilisent les tampons pour leur confort et leur invisibilité, beaucoup utilisent les serviettes pour la nuit. Il existe deux versions de serviettes réutilisables. Le slip tout en un rembourré fabriqué à partir de coton 100% biologique et assure un confort et des performances remarquables. Il existe aussi des serviettes textiles qui s'utilisent comme des serviettes normales. 100% en coton bio, elles se lavent à la main ou à la machine.

La coupelle menstruelle fut inventée dans les années 30. Elle a gagné en popularité en raison de la recrudescence des MST et la sensibilisation du public sur la présence de dioxine. Les coupelles menstruelles récoltent le fluide. Elles en retiennent généralement deux fois plus que les tampons et ne présentent aucun risque de MST. Elles peuvent être portées deux fois plus longtemps. Bien qu'elles contraignent la femme à un contact plus intime avec leur corps et leur sang, elles ne présentent aucun risques, sont économiques, inoffensives pour l'environnement et demandent peu d'entretien.

 Elles sont flexibles et on peut les trouver dans la plupart des drogueries. Elles sont cependant un peu plus coûteuses que les tampons conventionnels. Elles ne protègent pas contre la grossesse et les MST. Comme elles peuvent être portées pendant 12 heures, la plupart des femmes ne doivent les vider que deux fois par jour, le matin et le soir.  Elles coûtent 38 dollars à l'achat, mais peuvent être utilisées pendant 10 ans. Alors que 10 ans de Tampax coûtent approximativement 600 dollars !

 La décision est simple, à vous de jouer.

La dioxine s'installe dans les tissus adipeux féminins et provoque de nombreuses maladies souvent irréversibles et fatales. La présence de fibres synthétiques dans le vagin crée un environnement idéal pour la croissance bactérienne conduisant au syndrome de choc toxique. Tous ces facteurs, combinés à l'absorption de résidus fibreux chimiques dans le sang font partie d'une soupe toxique effrayante dont les tampons Tampax sont les meilleurs cuistots !

Les choix quant à l'hygiène féminine sont personnels et chaque femme doit décider de ce qui est le meilleur pour elle. Il est réconfortant de savoir que de nombreuses options sont disponibles. Après avoir récupéré du choc initial sur ce qui se cache dans les jolies bouteilles cachées dans mon placard de cosmétiques et de produits dangereux pour la santé, je dois décider de ce que je ferai de ces produits dangereux. Remplacer les produits que j'utilise quotidiennement comme le dentifrice ou le déodorant. En ce qui concerne les produits de maquillage et les shampooings, j'ai l'intention de réduire à la fois la fréquence d'utilisation et les quantités utilisées, parce que remplacer tout en une seule fois serait à la fois inutile et coûteux.

Quant aux petites cartouches toxiques et mortelles qui restent dans ma boîte de Tampax, elles resteront hors de mon corps ! Bien qu'il soit hors de notre contrôle individuel d'éliminer toutes les toxines présentes dans notre environnement, nous informer sur la façon dont nous pouvons réduire ou éliminer celles dont nous pouvons nous préserver marquera une différence pour notre santé, celle de la planète et celle des générations futures.

Source denmarkonline.dk - Traduction par GeraldineF

  Sources

  • « A Periodic Problem: It's Time to Talk About the Trouble With Tampons. » The Non-Toxic Times Newsletter . Vol. 7 No 5, March 2006. (01/26/07).

 • « Alternative Menstrual Products. » Epigee Women's Health. 2005.  (01/26/07).

 • Berezowski. Sarah. « Tampons can be health hazard, workshop told. » Toronto Observer. March 18, 2001.  (01/19/07).

 • Bogo, Jennifer. « Inner Sanctum: The Hidden Price of Feminine Hygiene Products » E-Magazine. 1997.  (01/22/07).

 • « Chlorine Bleaching, Dioxin and Women's Health. » (01/18/07).

 • « Chlorine Free Processing. » Conservatree: Expert Advice & Leadership on Paper Choices. 2006.  (01/29/07).

 • Citrinbaum, Joanna. « The Question's Absorbing: Are Tampons Little White Lies? » The Daily Collegian. October 14, 2003. (01/22/07).

 • Davis, Audrey. « Endometriosis - The Dioxin Connection » (01/18/07).

 • DeVito, Michael J. and Arnold Schecter. « Exposure Assessment to Dioxins from the Use of Tampons and Diapers » Environmental Health Perspectives. Volume 110, Number 1. J2002 (01/20/07).

 • Detweiler, Margit. « Seeing Red. » Naked City. May 20, 1999. (01/20/07).

 • Kratz, Vikki. « Guinnua Pigs Should Not Use Tampons »Shewire. May 8, 2000. (01/20/07).

 • Colbron, Theo and Dianne Dumanoski. « Low dose effects of endocrine disrupting chemicals. » Our Stolen Future. 1996. (01/26/07).

 • Colbron, Theo and Dianne Dumanoski. « Non-monotonic Dose Response Curves. » Our Stolen Future. 1996. (01/26/07).

 • « Feminine Products: what to know about tampons and how they interact with your body. » (01/26/07).

 • Filiano, Beth Ann. « Dioxin and Women's Health. » Environmental Sciences Columbia University School of Public Health. December 3, 1996. (01/20/07).

 • Helm, Laura. « Stained White. » Arizona Daily. September, 2001. (01/26/07).

 • Houppert, Karen. « Pulling The Plug On The Sanitary Protection Industry. » Village Voice. (01/20/07).

 • « Household Products Database. » National Institute of Health, National Library of Medicine, Specialized Information Services.  May, 2005. (01/20/07).

 • Lunapads. 2006. (01/26/07).

 • « Our Products. » Seventh Generation. (01/26/07).

 • « Pesticides: Topical & Chemical Fact Sheets. » United States Environmental Protection Agency. November, 2006. (01/26/07).

 • « Protect Women From Toxic Shock Syndrome:  Rep. Maloney Introduces The Robin Danielson Act. »Representative Carolyn Maloney. 2005. (01/20/07).

 • « Report on Carcinogens, Eleventh Edition. » U.S. Department of Health and Human Services, Public Health Service, National Toxicology Program. (01/20/07).

 • Rier, S and WG Foster. « Environmental Dioxins and Endometriosis. » Toxicological Sciences. 2007. (01/26/07).

 • « Tampons and Asbestos, Dioxin, & Toxic Shock Syndrome ». U.S. Food and Drug Administration, Center for devices and radiological health. July 23, 1999. (01/29/07).

 • « Tampons: What's in that tampon you're using ? What You Don't Know Could Hurt You ! » 2004.(January 18, 2007).

 • « The American People's Dioxin Report. » Techinical Support Document, Center for Health, Environment and Justice. November 1999. (01/26/07).

 http://www.come4news.com/les-tampons-tampax-sont-ils-responsbles-du-cancer-du-col-de-luterus-270978

12 juin 2015

Un carburant végétal en Inde : une plante quil transforme l’eau en un carburant semblable au pétrole

biocarburants

Un carburant végétal en Inde

Des scientifiques ont assisté à l’Institut Indien de Technologie (IIT), à la démonstration faite par un ancien étudiant de Tamil Nadu qui a découvert une plante avec laquelle il transforme l’eau en un carburant semblable au pétrole. Ils se sont déclarés déconcertés. " C’est incroyable, mais vrai " s’est exclamé le chimiste N.K.Jha qui avait été chargé de l’organisation de l’expérience à la demande du Département des Sciences et Techniques (DST).

Kamar Pillai est un jeune indien qui vit dans un village proche de Rajapalanan. Alors qu’il était encore étudiant, au cours d’un pique nique, il avait découvert cette plante stupéfiante dont une feuille s’était enflammée au contact d’une étincelle provenant d’un réchaud. Dix ans plus tard, il se mit à la recherche de la plante et commença ses expériences.

Pour produire ce pétrole végétal, on fait cuire dans l’eau les feuilles et l’écorce de la plante, puis on laisse refroidir. On agite ensuite le liquide auquel on a ajouté un peu de sel, de l’acide citrique et une trace de certains produits chimiques. Après avoir laissé déposer le mélange, le carburant, d’une densité inférieure à l’eau flotte à la surface où on le récupère. Toute la préparation se déroule en moins de 30 minutes.

Le produit obtenu brûle avec une flamme qui produit de la suie et sent le kérosène. Une fois distillé, on obtient un hydrocarbure pur dont le point d’ébullition se situe à 170 °C. Des tests de laboratoire menés sur les premiers échantillons ont montré que ce carburant était semblable au kérosène et au Diesel. Des ingénieurs de IIT à Madras ont fait tourner des moteurs 2 temps. Ils en sont arrivés à la conclusion que le carburant végétal était plus économique que le pétrole et pensent qu’il conviendra bien également aux moteurs 4 temps ainsi qu’aux diesel.

Les scientifiques, déjà surpris par la rapidité du processus, n’ont aucun doute sur la production de ce carburant, mais ils ne peuvent expliquer l’origine du carbone nécessaire à la fabrication d’hydrocarbure. Selon Ratna Choudury de IIT, il se pourrait que cette source soit le dioxyde de carbone de l’atmosphère, aspiré probablement pendant la réaction. En se combinant à l’hydrogène libéré de l’eau, il peut ainsi former un hydrocarbure.

Pillai qui pense que son pétrole végétal ne coûterait que 1 Re au litre ne demande qu’une chose au DST : un financement pour installer une fabrique dans son village natal et une protection personnelle car il a été l’objet d’une tentative d’assassinat pour avoir refusé de livrer son secret.

Valangiman Ramamurti, secrétaire du DST, qui a lui-même répété l’expérience, se déclare personnellement convaincu que cette découverte vaut la peine d’être poursuivie. " Sans aucun doute, il s’agit là d’une chose très importante, mais nous devons procéder avec soin et méthode ." Le DST a fait de l’obtention du brevet sa priorité et a donné son accord pour le financement de la construction à Rajapalayan d’une installation capable de produire 300 litres de carburant par jour.

Parallèlement, les meilleurs scientifiques vont se réunir pour faire une analyse détaillée du processus chimiqueavant de passer à une installation produisant 1 million de litres par jour.

Le conseiller à la Défense, A. P. J. Abdul Kalam a été informé de cette découverte et enthousiasmé. L’implication économique est si grande pour le pays que Ramamurti a décidé de tenir informés le Ministre des Sciences, Yoginda Alagh ainsi que le bureau du Premier Ministre H.D. Deve Gowda.

Autre plante stupéfiante dont l'idée vient de Russie, mais c'est Phytotech Inc. of Monmouth Junction, (NJ) qui développe cette biotechnologie de variété spéciale de tournesol. Voir Amal Kumar naj, Wall Street Journal, 29/02/96 (Source Internet Gunnerman TIPS 3.htm)

 

12 juin 2015

Effet Grander : L’eau est capable de transmettre différentes formes d’énergies comme la lumière, la chaleur, le son

Cet autrichien né en 1930, a une forte personnalité selon un de ses proches, Georg Huber. Très tôt il dut quitter l’école pour s’occuper de ses sept frères et soeurs. Pour lui, c’est cette absence de " nivellement d’instruction " qui lui a permis de devenir inventeur.

Après avoir travaillé dans les Alpes et admiré la nature, comme Schauberger, en 1980 il eut la chance d’acquérir une mine de cuivre et d’argent désaffectée qu’il aménagea en site touristique. C’est ainsi qu’il put travailler tranquillement sur les minerais et les rayonnements cosmiques.



Il avait également fabriqué un rouleau de massage magnétique qui avait soulagé les douleurs dorsales de sa femme.

Grander est doté de visions et de voix intérieures qui l’aident à poursuivre ses travaux lorsqu’il bute sur une difficulté. Sa déception fut grande lorsqu’il se vit refuser un brevet au motif de " protéger " l’économie du pays.

Grander est soutenu par sa famille et associé au Dr Horst Felsch et à Tat Chee Tam. Il ne voyage pas en avion, qu’il trouve trop pollueur de la haute atmosphère. L’argent ne l’intéresse pas. Sa foi est profonde et il n’a pas cédé à des offres généreuses, de Siemens par exemple. Il craint autant de voir tomber son invention entre de mauvaises mains, que de la voir enterrée. Lorsque sa voix intérieure lui dira que les temps sont venus, il révélera tout.

Il fut amené à penser que l’eau était une clé pour découvrir les secrets de la nature. Il la nomma, comme Schauberger auparavant "Eau Vivante". Il extrait cette eau d’une source située dans les profondeurs de la mine, et la soumet ensuite à des vibrations magnétiques.

Selon un expert, le Dr Horst Felsch, elle ne contient pas de tritium, car elle a été protégée de la radioactivité retombée sur la planète depuis 1945.

Dans cette eau, curieusement les bactéries ne croissent pas selon un modèle aléatoire, mais se placent selon une symétrie que le Dr Felsch n’a jamais vu en trente ans de carrière. C’est comme si on approchait un aimant de limaille de fer placée dans l’eau. Des analyses de laboratoire ont montré que ce n’était pas la chimie de l’eau de Grander qui était changée mais sa structure moléculaire qui obligeait ainsi les substances nocives à en sortir.

De nombreux témoignages confirment les bons résultats des appareils de revitalisation d’eau de Grander.

Le Dr Hans Kronberger, député de l' Union Européenne félicite Johann Grander (entre les scientifiques russes Juri Rachmanin et Vladimir Kondratow). Johann Grander est enfin reconnu officiellement dans son propre pays et récompensé de la Croix d'Honneur de la République d'Autriche.

Fruit de son travail pendant des années, le moteur de Grander fonctionne sans batterie ni prise de courant. Les aimants du moteur sont recouverts d’alliages spéciaux disposés de manière à s’exciter mutuellement et continuellement vers des fréquences de plus en plus élevées. Un témoin raconte avoir vu Grander plonger dans l’eau un sèche-cheveux alimenté par son moteur. Il ne se produisit qu’un brouillard d’eau et l’appareil ne s’est pas arrêté. Les visiteurs venant perturber sa vie de famille, il détruisit ce moteur.

En 1993, Tat Chee Tam, son associé de Hong Kong a persuadé des fonctionnaires du chemin de fer chinois d’essayer l’Eco-Kat de Grander, une invention basée sur l’énergie magnétique concentrée.

Le réseau Chinois est un des plus grands du monde et consomme deux millions de tonnes de carburant, soit 40 % de la consommation de diesel en Chine. Pendant dix ans, la Chine a financé des tests d'appareils magnétiques ainsi que d’autres mesures d'économie de carburant, et l’Eco-Kat de Grander a donné satisfaction.

 

Article de Effervesciences n° 45 (les images peuvent être agrandies)

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Entretien avec Johannes Koppensteiner.

Six années de recherche sur la technologie Grander

Pendant six ans, l’Institut d’écologie humaine et de médecine environnementale a mené des recherches sur la technologie Grander. Que pouvez-vous nous dire sur ce sujet ?
Lorsque nous avons commencé à examiner la technologie de Johann Grander en 1997, nous disposions déjà de 20 années d’expérience dans l’investigation des différentes technologies non conventionnelles qui modifient la structure de l’eau. Cela comprend les traitements thermiques (à hautes et basses températures), les impulsions à cavitation, les influences des plasmas froids, les rayons laser, les décharges de courant (à haut et faible voltage), les traitements électrochimiques, magnétiques, électromagnétiques et beaucoup d’autres encore.

Nous ne savons pas comment Johann Grander traite l’eau. Mais il y a une chose dont nous sommes certains : pendant ces six années de recherche approfondie sur les microorganismes, les animaux et les humains, nous n’avons pas été en mesure de trouver un seul effet négatif.

Nous avons commencé nos recherches sur les microorganismes, parce qu’ils sont souvent très sensibles à la structure de l’eau. Nous avons testés, au total, 11 groupes de bactéries pathogènes et quasi-pathogènes, telles que les salmonelles. La technologie Grander a comme effet d’accélérer la mortalité de ces bactéries, et nous percevons cela comme étant la conséquence d’un changement dans l’environnement de l’eau. De plus, nous avons pu mettre en évidence une augmentation de la capacité d’auto-épuration de l’eau et une plus grande stabilité microbiologique.

De nombreux réseaux utilisent l’eau de pluie pour la production d’eau potable. celle-ci contient souvent d’infinitésimales quantités de composés organiques qui y sont dissous. Quand on la désinfecte au chlore, des composés dits organochlorés sont créés, qui sont des composés dangereux pouvant endommager le capital génétique d’une cellule ou avoir un effet cancérigène. Nous voulions savoir ce qui se passerait en traitant avec la technologie Grander une eau dont nous connaissions les propriétés mutagènes. Après de nombreux essais effectués sur différents types d’eau, nous avons pu établir de façon évidente que l’effet obtenu par la technologie Grander d’information de l’eau se traduit par une réduction significative de cet effet mutagène.

Quels essais furent menés ?
Nous venons de terminer une série d’expérimentations sur un échantillon de personnes, dans le plus strict respect des principes scientifiques. Nous avons combiné les méthodes conventionnelles d’analyse cellulaire avec les récentes techniques de diagnostic non conventionnelles. Des eaux de différents types ont été administrées à des groupes de personnes, chaque individu ignorant quel type d'eau on lui donné.

Au bout de quelques semaines seulement, on constata une amélioration au niveau du tube digestif. L’examen des cellules des débris des muqueuses du nez et de la bouche apporta des résultats encore plus probants.

Délegué du Ministère russe de la santé

Vous allez prochainement participer à un réunion de l’OMS à Genève en tant que délégué du Ministère russe de la santé?
Oui. La dernière session du groupe de travail responsable de la préparation des recommandations pour le contrôle de la qualité de l’eau potable se tiendra là-bas. Nous formons un groupe international d’experts et nous nous rencontrons tous les 10 ans pour revoir ces recommandations. En général, l’expérience acquise pendant les dix années écoulées se traduit par de nouvelles recommandations.

Constatations et présentations

Avez-vous l’intention d’introduire des connaissances et des idées nouvelles ?
Oui, il y a certains points que nous aimerions exposer. Et surtout il sera possible lors de cette réunion, de familiariser les délégués d’autres pays avec nos découvertes. Il s’agit essentiellement des effets très nocifs des organochlorés qui se forment lorsque l’eau est désinfectée au chlore. Nous allons exiger que la recherche se concentre davantage sur l'étude de ces composés, afin que des seuils et des normes puissent également être fixés pour ces substances.

Après plus de 20 ans de recherches, nous sommes persuadés qu'il faut inclure des paramètres physiques dans le contrôle de la qualité de l’eau potable, car ceux-ci jouent un rôle primordial pour la santé. La stabilité bactériologique de l’eau de consommation courante est d'une importance cruciale ; elle n’est pas très difficile à atteindre pour l’eau du robinet parce que le temps séparant sa préparation (en station de potabilisation) de sa consommation fluctue généralement de quelques heures à quelques jours. Quant à l’eau en bouteille, quelques mois voire une année, peuvent se passer avant qu'on la consomme et nous croyons qu’il est nécessaire de revoir la réglementation dans ce dernier cas.

Le souhait de faire connaître la Technologie Grander en Russie est né en 1996. La Russie jouit d’une excellente réputation dans le domaine de la recherche sur l’eau. C’est également le cas de la plupart des pays de l’ancien bloc de l’Est. L’importation de la technologie Grander en Russie s’annonçait évidemment comme une entreprise difficile, compte tenu du scepticisme marqué des autorités de l’Etat et du niveau très élevé de leurs procédures de contrôle. Il est apparu par ailleurs qu’il serait pratiquement impossible d’obtenir la permission d’importer des technologies de l’eau reposant sur le transfert d’information et les changements structurels.

Les experts russes exigèrent non seulement qu'on leur prouve que la technologie Grander était inoffensive, une tâche encore relativement simple, mais aussi qu'elle était efficace, et que son degré d'efficacité était significatif, chose plus difficile à démontrer d’un point de vue scientifique.

Juri Rachmanin et Vladimir Kondratow

Yuri Rachmanin (à droite) et Vladimir Kondratow ont examiné la technologie Grander de vivification de l’eau pendant plusieurs années.


L’équipe autrichienne, composée de Johannes Koppensteiner, consultant chez Grander, et du chimiste, le Dr Horst Felsch, fut présentée à la directrice de l’Institut d’Hygiène de Moscou, Olga Skvortcova.

Celle-ci manifesta un intérêt particulier pour le transfert d’information dans l’eau, ce qui montre le niveau élevé de la culture scientifique russe.
Olga Skvortcova orienta l’équipe autrichienne vers la personne la plus indiquée pour ce type d'étude, le Professeur Yuri A. Rachmanin. Yuri Rachmanin est en effet le directeur du laboratoire d’eau potable de l’institut de recherche A. S. Sysin, le vice-président de l’académie des sciences naturelles et, pour les questions d’eau potable, un des expert de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

Le Dr Felsch se souvient de cette rencontre : « Nous avons tout d’abord été conduits dans une gigantesque salle de conférence qui avait vraiment l’allure d’un hall d’exposition pour les technologies de traitement de l’eau. J'ai dénombré une cinquantaine de procédés : des systèmes à charbon actif, à osmose inverse, des équipements de filtration par membrane, d’autres avec des aimants permanents, des cartouches de gel de pyrite et bien d’autres encore. A la vue de tous ces équipements, j’ai su que nous avions frappé à la bonne porte. Une collaboration passionante commença ce jour-là.»

Durant l’été 1997, le Prof. Rachmanin prépara un programme de recherche approfondi comprenant des tests physiques, chimiques, microbiologiques et médicaux. Il souhaitait établir l’innocuité de la Technologie Grander sur la santé publique. Ces tests apportèrent la preuve du caractère inoffensif de la Technologie Grander aussi bien en terme de santé publique que d’environnement. Pendant l’été 1998, le Ministère Russe de la Santé octroya sans restriction l’autorisation d’utiliser la technologie Grander en Russie.

Afin d’établir le principe de fonctionnement de la Technologie Grander et ses effets sur l’eau, le Dr Kondratov, expert dans la recherche sur la structure de l’eau, fut invité à participer à des tests plus poussés. Les résultats des recherches du duo scientifique Rachmanin/Kondratov ont depuis été reconnus comme de véritables découvertes scientifiques au niveau mondial. C’est pour cette raison que Johann Grander s’est vu décerner la médaille d’honneur d’argent de l’académie russe des sciences naturelles. Il semble que ce ne soit que la première étape d’un saut quantique dans la recherche sur l’eau. Selon les Russes, alors que le 20ème siècle a été principalement dédié à l’exploration de la chimie de l’eau, le 21ème siècle sera marqué par le développement de la physique de l’eau, jusqu’alors négligée.

http://www.grander-technologie.com/fr/wissenschaft/quantensprung.ph et quantomme.com

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4 juin 2015

technologie qui permet de numériser l'iris d'un individu à une distance de 40 mètres

iris canalblog

La technologie fonctionne exactement comme les empreintes digitales. Comme une empreinte digitale, l'iris de chaque personne est unique. Les modèles mathématiques peuvent reconnaître les modèles uniques à chacun. Mais tandis que les empreintes digitales (ou tests d'ADN) nécessite un contact direct ou des tests approfondis, le balayage de l'iris peut être effectuée à distance.
Imaginez un scénario légèrement moins menaçant: les dispositifs de reconnaissance de l'iris scrutent une file d'attente au point de contrôle de sécurité de l'aéroport, en minimisant le temps d'attente et à exclure les voyageurs à risque élevé.
Mais la commodité et la sécurité ne sont pas toujours assez à l'aise pour faire le grand public avec les technologies de reconnaissance de l'identité. Dans un récent sondage, les chercheurs de l'Université d'Oxford ont découvert que les gens restent à l'aise avec les technologies biométriques sans fil (et humain-moins).
«Je me sens négatif à propos de l'iris Remote Scan parce que je veux qu'il y ait une sorte d'interaction entre moi et ce système qui va être me surveiller," l'un des participants de l'étude expliqué .
Avant la technologie est utilisée dans la vie quotidienne, les chercheurs disent importants obstacles juridiques et de relations publiques devront être navigué avec succès.

La technologie fonctionne exactement comme les empreintes digitales. Comme une empreinte digitale, l'iris de chaque personne est unique. Les modèles mathématiques peuvent reconnaître les modèles uniques à chacun. Mais tandis que les empreintes digitales (ou tests d'ADN) nécessite un contact direct ou des tests approfondis, le balayage de l'iris peut être effectuée à distance. Imaginez un scénario légèrement moins menaçant: les dispositifs de reconnaissance de l'iris scrutent une file d'attente au point de contrôle de sécurité de l'aéroport, en minimisant le temps d'attente et à exclure les voyageurs à risque élevé. Mais la commodité et la sécurité ne sont pas toujours assez à l'aise pour faire le grand public avec les technologies de reconnaissance de l'identité. Dans un récent sondage, les chercheurs de l'Université d'Oxford ont découvert que les gens restent à l'aise avec les technologies biométriques sans fil (et humain-moins). «Je me sens négatif à propos de l'iris Remote Scan parce que je veux qu'il y ait une sorte d'interaction entre moi et ce système qui va être me surveiller," l'un des participants de l'étude expliqué . Avant la technologie est utilisée dans la vie quotidienne, les chercheurs disent importants obstacles juridiques et de relations publiques devront être navigué avec succès. SOURCE http://www.upi.com/Science_News/2015/05/22/Iris-scanner-can-ID-a-person-from-40-feet-away/7071432303037/

4 juin 2015

La structure de l’ADN obéit précisément aux suites des nombres de Fibonacci et de Lucas

fibonacci

La double hélice d'acide désoxyribonucléique (ADN) est le support de l'information génétique. Cette molécule est une sorte de cristal apériodique dont la structure même permet de stocker l'information nécessaire au fonctionnement d'un organisme.

ADNException faite de certains virus, l'ADN de tous les êtres vivants est codé à l'aide de seulement quatre substances chimiques, connues sous le nom de bases : l'adénine, la thymine, la cytosine et la guanine (A,T,C,G). Ces quatre bases se combinent de façon à composer la structure de l’ADN dont les dimensions sont astronomiques : trois milliards de paires de bases. Un fil d'ADN contenu dans le noyau d'une cellule humaine correspond à un fil de deux mètres dont le diamètre mesure à peine une dizaine d'atomes.
De ces sept milliards de lettres TCAG, seulement quelque 5% seraient utiles. Les autres 95 % sont souvent nommés "ADN poubelle". Et les généticiens ont choisi d'en ignorer l'existence. 

Mais certains chercheurs comme Jean-Claude Perez  ne sont pas de cet avis. D'après ses études, la structure de l’ADN obéit précisément aux suites des nombres de Fibonacci et de Lucas. J-C Perez mis en évidence un " supra code de l’ADN " qui contrôle les séquences de nucléotides tout au long des brins d’ADN. Pour une vingtaine de génomes natifs étudiés (allant du ver de terre au crocodile et aux singes ou humains), on découvre effectivement un grand nombre de résonances qui sont la marque de ce code. De façon plus générale, l’architecture structurelle de l’ADN suit un ordre fractal, caractéristique des organisations qui, de par leur immensité, nous paraissent dépourvues de sens (voir le sujet sur la Loi universelle).

 

L'ADN mis en lumière

D'autres personnes, comme l'anthropologue Jeremy Narby de l'université de Stanford, portent notre attention sur une caractéristique de l'ADN : sa capacité à émettre des photons. La longueur d'onde à laquelle l'ADN émet ces photons correspond exactement à la bande étroite de la lumière visible, de l'infrarouge (900 nano-mètres) à l'ultraviolet (200 nano-mètres). Cette émission a pour particularité d'exhiber un degré étonnement élevé de cohérence, comparable à celle d'un laser. La cohérence dépend de la régularité du débit des photons, et non de son intensité. Une source de lumière cohérente, comme un laser, donne une sensation de couleurs vives, une luminescence ainsi qu'un sentiment de profondeur holographique. J. Narby fait le lien entre ces caractéristiques et les sensations éprouvées lors d'expériences hallucinogènes. Pour lui, les photons émis par l'ADN sont tout simplement perçus par les chamans, aidés en cela par des mixtures hallucinogènes. Il bute néanmoins sur un obstacle de taille, celui qui consiste à faire le lien entre ces visions et la conscience, les connaissances acquises par les expériences des chamans.

 On pourrait aussi appliquer cette théorie, comme aimerait le faire Jacques Vallée, aux cas des enlèvements extra-terrestres, comme il l'écrit dans Confrontation : "C'est une nouvelle forme de conscience qui émerge et qui arrive à manipuler notre perception de la réalité...". 
Roy, un abducté de Caroline du Nord est un homme d'affaires dynamique, passionné de golf et de nature. Il décrit ainsi ses enlèvements sans avoir recourt à l'hypnose : 
" Tout est normal, puis "ils" arrivent. Alors j'ai l'impression que le paysage, mon paysage n'est qu'une illusion : c'est un écran sur lequel est projeté un environnement factice que nous prenons pour vrai. Et cet écran devient de plus en plus transparent, laissant apercevoir derrière un autre paysage, une autre réalité, beaucoup plus vraie, plus colorée, plus lumineuse, qui efface progressivement ma réalité. Enfin l'écran s'efface totalement et je suis de plain-pied ailleurs. Quand je reviens, le phénomène inverse se produit et je me retrouve comme avant. Je sais qu'il m'est donné de voir la vraie nature de l'univers, mais c'est une certitude dont je ne peux parler sous peine de perdre tout crédit.
On retrouve dans de nombreux témoignages de ravis des perceptions qui tendent à défier toutes les lois physiques de la réalité telle que nous la percevons. Mais il existe des preuves physiques telles que les scoop mark (marques rondes en creux qui pourraient correspondre à un prélèvement de chair), les implants, les missing times dont des témoins directes rendent comptes, les traces laissées par les OVNI sur le sol ou sur les pellicules. Là encore, nous sommes obligés d'écarter la possibilité que ces manifestations soient de pures illusions provoquées par une cascade de réactions électrochimiques à l'intérieur des neurones, aboutissant à l'excitation de l'ADN et stimulant, entre autres, son émission d'ondes visibles. 

 

Radio ADN

Le généticien Maxim Frank-Kamenetskii écrit au sujet de l'ADN dans Unraveling DNA, en 1993 : "Les paires de bases sont arrangées comme un cristal. Cependant, il s'agit d'un cristal linéaire et unidimensionnel, où chaque paire de bases est entourée par seulement deux voisines." 
Les quatre bases de l'ADN sont hexagonales, à l'image des cristaux de quartz. Ces derniers sont composés d'un arrangement extrêmement régulier d'atomes, qui vibre à une fréquence très stable. Ces particularités font de lui un excellent récepteur et émetteur d'ondes électromagnétiques. C'est pourquoi il est utilisé à profusion dans les radios, les montres, les téléphones portables et la plupart des technologies électroniques.
Le tiers du génome est constitué de séquences répétitives où l'ADN devient un arrangement régulier d'atomes, c'est à dire un cristal périodique qui, par analogie avec le quartz, est capable de capter autant de photons qu'il en émet. Selon le microbiologiste E. Guillé, ces séquences redondantes fonctionnent comme des émetteurs et des récepteurs de fréquences électromagnétiques (mises en évidence par le procédé Kirlian), ce qui constituerait une nouvelle fonction possible pour une partie de l'ADN poubelle.
Ce n'est certainement pas un hasard si comme l'écrit l'anthropologue Gerardo Reichel-Dolmatoff (Desana Shaman's Rock Crystals and the Hexagonal Universe, 1979) : "Les cristaux de quartz, ou cristaux de roche transparente ont joué un rôle majeur dans les croyances et les pratiques chamaniques à de nombreux moments de l'histoire et dans de nombreux endroits du monde. Ils ont souvent été trouvés sur des sites préhistoriques; (...) ils étaient proéminents dans l'alchimie de l'Ancien Monde, en sorcellerie et en magie (...)".
Toutes les technologies des moyens de communication et du traitement de l'information transmettent les informations sous une forme quelconque de séquences ou de fréquences. Les cristaux de quartz serviraient donc de récepteur aux émissions bio photoniques dans lesquelles ces dernières se matérialiseraient. Les esprits seraient donc bien des êtres de lumière (les photons) et, à en croire les chamans, leur connaissance leur viendrait de ces esprits. 
Le Dr C. D. Broad, philosophe a Cambridge, déclare sous la plume de Aldous Huxley : "Toute personne est, à tout moment, capable de se souvenir de tout ce qui lui est jamais arrivé, et de percevoir tout ce qui se produit partout dans l'univers. La fonction du cerveau et du système nerveux est de nous empêcher d'être submergés et confus sous cette masse de connaissances en grande partie inutile et incohérente, en interceptant  la majeure partie de ce que, sans cela, nous percevrions ou nous rappellerions à tout instant, et ne laissant que ce choix très réduit et spécial qui a des chances d'être utile en pratique". 
Aldous Huxley commente ce passage en déclarant que selon une théorie de ce genre, chacun de nous est, en puissance, "l'Esprit en Général". 

 

Dernières nouvelles

Le travail de décryptage du génome humain a défrayé la chronique ces derniers jours. Francis Collins, directeur américain du projet HUGO, un projet de recherche public réunissant 18 pays depuis dix ans, a récemment joint ses efforts à ceux de Craig Venter, président de Celera Genomics, une firme privée américaine qui s'est lancée dans la mêlée il y a deux ans à peine, mais avec des techniques plus rapides. Les détails de cette entente sont inconnus, ce qui est inquiétant quand on pense qu'une guerre économique mettant en jeu d'immenses perspectives thérapeutiques est sur le point d'être menée, mais aussi que l'on est en train de percer le secret de ce qui peut séparer n'importe quel être vivant sur terre de l'homme.  ADN

Nous pouvons tout de même nous rassurer en nous disant que malgré que 97% du génome humain ait été cartographié, sous forme de lettres éparses (A, T, C, G), seulement 85% des ces résultats ont pu être mis en ordre. De plus, il reste encore des trous, des incertitudes et il faut prendre des échantillons de plusieurs personnes avant de constituer la carte d'un individu type. 
Pour toutes ces raisons, seuls 24% du génome sont considérés comme véritablement achevés. Le travail devrait être terminé au plus tard en 2003.

En ce qui concerne les plantes génétiquement modifiées, Pioneer Hi-Bred, l'un des plus grands producteurs de semences au monde, admet que jusqu'à 15% des récoltes de maïs en Europe pourraient rentrer dans cette catégorie. Bien que n'ayant pas été cultivé directement sous l'étiquette OGM, le pollen transgénique apporté par le vent ou par les machines, qui manipulent indifféremment tous les types de graines, se serait chargé de faire le travail. Les études préliminaires de John Heritage, de l'Université de Leed en Grande-Bretagne, semblent indiquer que les modifications génétiques ont du mal à passer la barrière des espèces. Mais Hans-Heinrich Kaatz, de l'Université d'Iéna, en Allemagne, nous démontre exactement le contraire après une étude de trois années sur les abeilles. Le zoologiste a découvert que les bactéries et les levures que l'on trouve dans leurs intestins contenaient un gène de résistance aux herbicides qui a été introduit dans certaines variétés de colza, un gène provenant de plantes génétiquement modifiées qui n'a rien à faire là où il l'a trouvé !
Nous nous devons de garder à l'esprit les travaux de Randy Bennett, de l'Université Brigham Young, en Utah, aux États-Unis, avant de prendre des risques inconsidérés. Son équipe de recherche a réussi à démontrer l'importance de certains gènes en les désactivant. L'expérience a été réalisée sur des insectes dont les larves ainsi obtenues ont commencé à produire un nombre de pattes anormalement élevé, quoique ne fonctionnant pas très bien. Ces pattes en surplus poussaient sur toutes les parties du corps, et pas seulement sur le thorax, comme c'est la norme chez les insectes. Cette découverte rappelle que les gènes ont des interactions complexes : en modifier un seul peut affecter le comportement de plusieurs autres.

Si l'on a fait grand bruit de l'annonce du décryptage du génome humain, qui, comme on l'a vu, est en fait loin d'être décrypté, on a passé sous silence un progrès dans la recherche génétique qui devrait faire plaisir aux eugénistes. Des chercheurs américains de l'Institut de recherche Scripps, en Californie, dirigés par Floyd Romesberg, sont parvenus à assembler des paires de bases artificielles. Par ce moyen, ils sont parvenus à créer des acides aminés inusités, débouchant à leur tour sur des protéines inédites dans la nature, ajoutant en quelque sorte des lettres à l'alphabet de la vie. Le but consiste à insérer cet ADN inédit dans des bactéries afin qu'elles produisent des protéines complètement nouvelles, très différentes de ce que produisent les êtres vivants ordinaires. On se dirige donc vers la fabrication de protéines de synthèse qui donneront donc des cellules de synthèses, qui à leur tour composeront un jour des êtres vivant de synthèse. L'eugénisme, qui se défini par l'amélioration du patrimoine génétique humain, est amplement supplanté par ces derniers progrès(?) scientifiques qui nous laissent entrevoir la possibilité d'une génération de créatures de synthèse. Ces dernières découvertes sont terriblement inquiétantes quant à l'avenir de la nature biologique de l'homme, surtout lorsque l'on apprend que la revue New Scientist n'hésite pas à affirmer que de telles substances pourraient être fort utiles en médecine ou en chimie.

Sources :

J-C Perez, Planète transgénique, L’espace bleu, 1997

J-C Perez, L'ADN décrypté, Editions Marco Pietteur (39 Av du centenaire, B-4053 EMBOURG Belgique (1997), ISBN 2-87211-017-8)

Aldous Huxley, Les portes de la perception, Éditions du Rocher, 2000

Jeremy Narby, Le Serpent cosmique, l'ADN et les origines du savoir, Georg éditeur, 1997

Marie-Thérèse de Brosses, Enquête sur les enlèvements extraterrestres, Éditions J'ai lu, Plon 1995

Efferve Sciences, Trimestriel n°15, Juillet-Août-Septembre 2000

Site Cybersciences, ancienne vitrine internet du magazine Québec Science.
4 juin 2015

Le chronoviseur ? non ce n'est pas de la Science Fiction

Le chronoviseur ? non ce n'est pas de la Science Fiction… Paru chez Albin Michel, en février, ce dernier ouvrage du père François Brune traite du chronoviseur, une sorte de machine à remonter le temps et surtout à enregistrer les événements  du passé.

MystereVatican

Cet appareil fantastique  a été inventé et mis au point par des physiciens du Vatican, dirigés par le Père Bénédictin Ernetti Pellegrino dans les années 60.

 

Nous vous présentons sur ce sujet des photos et un article paru en 1975, extraits de nos documents.

Tout d'abord, voici le Père Ernetti Pellegrino

EmettiPellegrino1

EmettiPellegrino2

Comment se fait-il qu'une invention d'une telle importance - peut-être la plus grande découverte de notre époque - soit aussi mal connue ?

 

La vérité fait - elle peur ? Est-ce la principale raison qui fait que ce chronoviseur soit rélégué au plus profond des sous sols à Rome ?

Basé sur les principes mêmes de la physique quantique, cet appareil permettait de filmer avec sons et images toutes les scènes du passé.

La revue " L'heure d'ëtre " en Novembre 1972 publiait à ce sujet un article de Vicenzo Maddoloni qui fut repris en 1975 par la revue " Vues Nouvelles " dans son n° 2 de Janvier.

Dans son numéro de Janvier / Février 2001, Le NET-Journal publiait, en allemand un article intitulé " Prof. Pellegrino Ernettis Zeitmaschine - die sensationellste Entdeckung der Neuzeit ? "

Le Père François Brune qui a connu le Père Pellegrino publie l'enquête qu'il a menée sur place pour tenter d'élucider ce mystère que certains voudraient oublier à jamais.

Le père Pellegrino était physicien, musicologue, spécialiste de l'étude des chants polyphoniques qui vont de l'antiquité jusqu'au XIII ème siècle.

A-t-il, comme certains le disent, été aidé dans ses travaux par Enrico Fermi, Werner Von Braun ?

Même si les détails techniques sont rares, rien ne nous empêche de réfléchir sur cette invention surprenante, à la lumière des travaux de Kenneth Ring, Ruppert Sheldrake, David Bohm, Karl Pribram et Boris Iskakov etc.

(voir une de nos dernières pages) "Allier la Science et la Religion " de Boris Iskakov

 

Voici dans sa traduction française présentée par "Vues Nouvelles" l'article du 2 mai 1972 de " La Domenica del Corriere " .

Decouverte1

Decouverte2

Decouverte3

Decouverte4

4 juin 2015

LES RAYONS ULTRAVIOLETS ET LE CANCER DE LA PEAU

RACHEL BARAN

Parfois bénéfique, parfois mortel, les bains de Soleil ne sont pas nouveaux. Cette mode a démarré au début du siècle avec la publication d'une photo d'un mannequin qui avait passé 1 semaine sur un yacht privé afin d'avoir un magnifique teint cuivré. Cependant, les gens de l'époque ne savait pas que les rayons U.V. pouvait être fatals pour la peau. Je traiterai de l'effet des rayons U.V., du cancer de la peau, des méthodes pour se protéger et quelques découvertes récentes à propos des rayons U.V.

LES RAYONS ULTRAVIOLETS

L'effet des rayons ultraviolets, plus souvent appelés U.V., sur la peau sont désastreux. La couche d'ozone s'amincissant progressivement, ils sont de moins en moins filtrés. Ainsi, 2 types de rayons U.V. nous atteignent maintenant, les UVA et les UVB. Il y a aussi les UVC mais ils sont encore complètement filtrés par la couche d'ozone fort heureusement car les rayons UVC sont encore plus dangereux que les UVB qui sont plus dangereux que les UVA. Il y a très peu de temps, nous pensions que seul les UVB étaient dangereux car ils sont moins énergétiques que les UVA. Cependant, le rayonnement qui nous atteint est composé de 9 fois plus de UVA que d'UVB ce qui fait en sorte que les UVA sont tout aussi dangereux que les UVB. Les UVA causent eux aussi le cancer mais d'une manière différente. Pour mieux vous expliquer les dommages causés par les UV sur la peau je vais me baser sur un exemple simple. Admettons que vous vous étendez au Soleil sans vêtement ( un maillot au minimum :) et sans crème solaire. Après quelques minutes seulement, les UVB entraînent l'apparition de cellules nécrotiques à l'intérieur de votre peau. Celles-ci meurent à court terme. Les UVB activent aussi la production de prostaglandines, des substances libérées lors du processus inflammatoires qui dilatent les capillaires. Aidés par les UVA et les infrarouges contenus dans le rayonnement solaire qui provoquent un échauffement de la peau et la dilatation des vaisseaux sanguins, ils provoquent la rougeur. Les lésions aux cellules de l'épiderme et la dilatation des vaisseaux aboutissent aux fameux coup de soleil. Quand la brûlure est sérieuse, les vaisseaux dilatés exsudent de l'eau qui forme des cloques et fait décoller l'épiderme. Le coup de soleil n'est pas dangereux en soi car les lésions finissent par guérir et tout rentre dans l'ordre. Cependant, des dommages irréparables ont été fait à vos cellules et les conséquences ne se feront sentir que dans plusieurs années. Les UVA font vieillir prématurément la peau, ce phénomène s'appelle le photovieillissment. La désorganisation des molécules de collagène et d'élastine, deux protéines qui assurent la solidité et la souplesse de la peau, est la cause de ce vieillissement. La profilération des fibroblastes, les cellules constitutives du derme, est aussi entravée par les UVB. Les rayons UV faut donc bien leur travaille de destruction en endommageant autant le derme que l'épiderme. Les UV altèrent aussi la fonction immunitaire de la peau en s'attaquant aux cellules de Langerhans et aux lymphocytes qui constituent le système de défense.

LE CANCER DE LA PEAU

Parce qu'elles sont victimes de coups de soleil à répétition, certaines personnes voient leurs chances d'attraper un cancer de la peau augmenter. Il existe trois types de cancer de la peau. Le cancer basocellulaire est le plus bénin et le plus fréquent car il n'engendre jamais de métastases. Le cancer spinocellulaire ou le épidermoïde est peu fréquent mais plus dangereux en raison des métastases qu'il engendre. Ces deux types de cancer sont entraîné par les cellules du derme et ils se manifestent dans les régions souvent exposées au Soleil. Ils prennent l'apparence d'une lésion ulcérée, d'une croûte ou d'une simple boule. Le taux de guérison de ces cancers sont excellent s'ils sont détectés à temps. Le mélanome, qui représente 10% des cancers cutanés, est plus inquiétant car il produit des métastases très rapidement s'il s'enfonce sous le derme. Il résulte de la mutation d'un mélanocyte, responsable de la pigmentation de la peau. Les mélanomes se présentent sous forme de taches foncées ou d'un grain de beauté qui grossis, dont la forme change ou que la couleur se modifie.

LES MESURES DE PROTECTION

En conséquence, pour éviter un cancer de la peau, il faut prendre des mesures de protection autant en été qu'en hiver. Je vous en énumère ici quelques-unes mais même si vous les appliquer toutes et que vous voyez des rougeurs apparaître, il vaut mieux se mettre à l'ombre.

  • Au soleil, couvrez-vous le plus possible et portez un chapeau à large bord.
  • Évitez de vous exposer entre 10 h et 16 h et faites attention au soleil du Sud, car plus on se rapproche de l'équateur, plus les rayons sont directs!
  • Attention au sable, à la neige et à l'eau qui reflètent des rayons nocifs.
  • Au soleil, appliquez toujours un écran solaire dont le facteur de protection est de 15 ou plus qui bloque les rayons UVA et UVB. Cependant, évitez les écrans solaire de FPS 60 car ils contiennent des substances cancéreuses la plupart du temps.
  • Évitez les lampes solaires : leurs rayons ultraviolets sont dangereux.
  • Méfiez-vous de la brume, des nuages et du brouillard, car 80 % des rayons solaires dangereux les traversent.
  • Apprenez à vos enfants à se protéger, car les effets nocifs du soleil sont cumulatifs et une personne qui a eu un coup de soleil important en bas âge à beaucoup plus de chances de développer un cancer.
  • Consultez votre médecin si vous notez une modification à votre épiderme ou d'un grain de beauté.

LES DÉCOUVERTES RÉCENTES

Cependant, certaines découvertes récentes font peur au dermatologue car certaine pourrait détruire toutes les années de prévention qu'ils ont fait. En Mai 1998, un étudiant en maîtrise de génétique moléculaire à l'université Laval, Vickram Bissonauth, à mener une expérimentation à l'aide de peau humaine reconstituée en laboratoire. La peau reconstituée a ensuite été badigeonnée de crème PreSun FPS­30, puis exposée pendant plus de 30 minutes à une lumière blanche similaire à celle que le Soleil émet (donc, contenant des rayons UVA et UVB). L'étudiant a testé trois doses d'irradiation: 2000, 4000 et 8000 kilojoules au mètre carré. 1000 kilojoules au mètre carré correspondant à une heure au soleil à midi, un jour d'été à Québec. Le résultat est alarmant et surprenant, l'analyse des coupes de la peau au microscope à révéler que plus l'exposition avait été intense, plus la structure de la peau était désorganisée et le nombre de cellules nécrosées important. Les dommages causés à l'ADN des cellules augmentaient également en flèche. Au delà de 2000 kilojoules au mètre carré, la protection offerte par le PreSun FPS­30 n'est plus totale", conclut Vickram Bissonauth. Et cela est troublant parce que l'on a toujours cru que la protection des crèmes solaires de FPS-30 était totale. Il reste donc les crèmes de FPS-45 et + que l'on a vu apparaître sur le marché il n'y a pas très longtemps mais Roger Leblanc, un chimiste de l'Université de Miami, prétend que les nouvelles crèmes " ultra­protectrices ", de facteur de protection solaire (FPS) 60, contiennent souvent certains métaux, dont le bioxyde de titane. Or, dit­il, ces substances induiraient des réactions biochimiques avec la peau pouvant provoquer des cancers. Ces propos ont soulevé la colère des dermatologues, qui craignent que le public recommence pour cette raison à s'exposer au soleil sans protection. Une autre découverte qui ne fait pas le bonheur des dermatologues est qu'un peu de soleil ferait du bien. En effet, nous sommes peut-être allé trop loin dans la lutte au bronzage. Comme dans toute chose, la modération a bien meilleur goût. Ainsi, certaines personnes ne s'exposent pratiquement plus au soleil mais cela peut-être très mauvais. Malgré les risques, une exposition modéré au soleil les compenseraient largement. Le facteur en cause : la vitamine D, fabriquée par notre corps lorsque la peau est exposée au soleil. La vitamine D protège de toutes sortes de maladie comme le rachitisme, les attaques cardiaques, la dépression saisonnière, le psoriasis et la sclérose en plaques. Mais les chercheurs veulent simplement rappeler que ceux qui évitent complètement le soleil font une erreur aussi grave que ceux qui en abusent. Plus récemment en août 1999, une étude faite par des chercheurs de l'université du Texas le coup de soleil serait un suicide contrôlé des cellules dénaturées de la peau afin d'empêcher un cancer de la peau. Malheureusement, le mécanisme n’est pas efficace à 100%. S’infliger délibérément des brûlures ne protège pas contre la terrible maladie. Laurie Hill, qui a dirigé cette recherche dont les résultats sont publiés dans Science a exposé deux groupes de souris préalablement rasées aux rayons ultraviolet. L’un de ces groupes était composé de souris modifiées génétiquement, chez qui la protéine ordonnant le suicide des cellules était absente. Dans ce groupe spécial, 70% des individus ont subi des mutations des cellules potentiellement cancérigènes. Chez les souris normales, le taux de mutations dangereuses n'a été que de 5%.

En conclusion, même si le cancer de la peau augmente en flèche et que les effets désastreux des rayons U.V. ont été prouvés, nous faisons toujours quelques découvertes qui viennent redorer le blason du soleil. Mais il ne faudra jamais oublier que le soleil est dangereux si nous en abusons et qu'il est mieux d'appliquer les mesures de protection que de les ignorer.

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