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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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25 décembre 2012

L'amour est la force supérieure qui guide les mondes.

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Lorsque l'amour pour toutes les créatures, quelles qu'elles soient, commence à être une réalité vécue dans le coeur d'un disciple et que l'amour de soi n'existe plus, c'est là l'indication qu'il approche du portail de l'initiation et qu'il peut prendre les engagements préliminaires nécessaires, avant que son Maître ne puisse, en son nom, le proposer comme candidat à l'initiation. S'il ne se soucie plus des souffrances et des peines du moi inférieur, s'il lui est indifférent que la joie vienne ou non sur son chemin, si l'unique but de sa vie est de servir et de sauver le monde, et si les besoins de son frère ont pour lui plus d'importance que les siens propres, alors le feu de l'amour irradie son être et le monde peut se réchauffer à ses pieds. Cet amour doit être manifesté pratiquement et ne pas rester une théorie, un simple idéal et un sentiment agréable. Il s'est développé au travers des difficultés et des épreuves de la vie, si bien que la première impulsion vitale est maintenant dans le sens du sacrifice de soi et de l'immolation de la nature inférieure (1-169/70).


2. On pourrait écrire un traité sur cette question et elle ne serait pas épuisée. La lumière se fera si nous réfléchissons profondément aux trois expressions de l'Amour : L'Amour dans la Personnalité, l'Amour dans l'Ego, l'Amour dans la Monade. L'Amour dans la personnalité se développe progressivement en passant par les stades de l'amour de soi, pur et simple et entièrement égoïste, à l'amour de la famille et des amis, à l'amour des hommes et des femmes, jusqu'à ce qu'il en arrive à l'amour de l'humanité, ou conscience de l'amour de groupe, qui est la caractéristique prédominante de l'Ego.


Un Maître de Compassion aime ses pareils et ceux de sa race ; il demeure et souffre avec eux. L'Amour dans l'Ego se développe progressivement à partir de l'amour pour l'humanité jusqu'à l'amour universel – un amour qui s'exprime non seulement en amour de l'humanité, mais aussi en amour des évolutions des dévas dans leur totalité et de toutes les formes de manifestation divine. L'Amour dans la Personnalité est l'amour dans les trois mondes ; l'Amour de l'Ego est l'amour dans le système solaire, tandis que l'Amour dans la Monade exprime une certaine
mesure d'amour cosmique et embrasse beaucoup de choses en dehors du système solaire (3-503/4).
3. L'amour est le motif qui a poussé à la manifestation et c'est l'amour qui maintient tout en progression ordonnée ; l'amour entraîne tout sur le sentier du retour jusqu'au sein du Père et l'amour rend finalement parfait tout ce qui est (3-504).


4. A mesure que l'évolution progresse on observe un développement graduel de la capacité d'aimer, qui passe par les stades d'amour au sein du couple, d'amour de la famille, de l'entourage et de tout l'environnement. Avec le temps, le patriotisme fait place à l'amour de l'humanité, souvent l'humanité représentée par l'un des Grands Êtres (3-505).

5. L'homme apprend le pouvoir de l'amour dans sa signification occulte. Il donne et, par conséquent, il reçoit. Il vit une vie de renoncement et les richesses du ciel se déversent sur lui. Il donne tout et se trouve comblé. Il ne demande rien pour lui et il est l'homme le plus riche de la terre (4-89).


6. Cette énergie de l'amour est concentrée principalement dans le Nouveau Groupe de Serviteurs du Monde, afin de servir les desseins de la Hiérarchie qui a choisi ce groupe comme principal canal d'expression. Ce groupe est composé de tous les disciples universels, comme de tous les initiés à l'oeuvre ; ses membres se recrutent dans tous les groupements d'idéalistes et de serviteurs et dans les rangs des individus les plus représentatifs dans le domaine de la pensée, en particulier dans la sphère de l'amélioration et de l'élévation de la condition humaine. La puissance de l'Amour-Sagesse peut s'exprimer à travers eux. Ces personnes sont souvent incomprises, car l'amour qu'elles expriment diffère grandement de l'intérêt personnel affectif et sentimental que témoigne le travailleur ordinaire. Elles s'occupent essentiellement des intérêts et du bien du groupe auquel elles sont affiliées ; les petits problèmes de l'individu, occupé de ses intérêts mesquins, ne les concernent pas au premier lieu. Cela expose ces serviteurs à la critique des individus, et il leur faut apprendre à vivre avec cette critique sans y faire attention. Le véritable amour de groupe est plus important que les rapports personnels, bien que ceux-ci doivent être entretenus quand le besoin s'en fait sentir. Notez que je dis le besoin. Les disciples apprennent à discerner les nécessités découlant de l'amour de groupe et à se comporter conformément au bien du groupe, mais il est difficile à l'individu égocentrique de percevoir la différence. C'est par le truchement de ces disciples qui ont appris à discerner entre les mesquines préoccupations de l'individu absorbé par ses intérêts personnels et les nécessités urgentes du travail et de l'amour de groupe, que la Hiérarchie peut travailler et amener les changements nécessaires, qui sont essentiellement des changements de conscience (9-23/4).


7. L'amour, pour beaucoup de gens et même pour la majorité, n'est pas réellement l'amour, mais le mélange du désir d'aimer et de celui d'être aimé, et la volonté de faire n'importe quoi pour manifester et évoquer ce sentiment et, par conséquent, se sentir plus à l'aise dans sa propre vie intérieure.
C'est ce soi-disant amour, fondé surtout sur la théorie de l'amour et du service, qui caractérise tant de relations humaines, telles que, par exemple, celles entre époux et entre parents et enfants. Aveuglés par le mirage de leur sentiment, sachant peu de chose de l'amour de l'âme qui est libre et laisse aussi libres les autres, ils errent dans un épais brouillard, traînant souvent avec eux ceux qu'ils désirent servir afin d'attirer une réponse affectueuse. Etudiez le terme "affection", et vous verrez sa véritable signification. L'affection n'est pas l'amour. C'est le désir que nous exprimons par l'activité du corps astral et qui influence nos relations ; ce n'est pas un mouvement spontané de l'âme, exempt de désir, qui ne demande rien pour le soi séparé. Le mirage du sentiment emprisonne et désoriente tous les braves gens ; il leur impose des obligations qui n'existent pas, produisant un mirage qui doit être finalement dissipé par l'afflux d'un amour véritable et désintéressé (10-53/4).
8. Je ne vous donne qu'une pensée à répéter lorsque vous vous sentez découragé, fatigué ou affaibli :
"Au centre de tout amour, je demeure, et rien ne peut m'y atteindre ; de ce centre, je sortirai pour aimer et pour servir" (5-607/8).


9. Que l'amour soit la note-clé de vos relations, car le pouvoir qui doit sauver le monde est la précipitation de l'amour (13-299).
10. L'amour n'est ni un sentiment ni une émotion ; ce n'est pas non plus un désir ou un motif égoïste d'agir avec rectitude dans la vie journalière. L'amour est la force supérieure qui guide les mondes

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25 décembre 2012

Il n'est point de progrès qui ne tourne pas à sa plus complète servitude

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L'homme moderne est l'esclave de la modernité: il n'est point de progrès qui ne tourne pas à sa plus complète servitude
Paul Valéry

La crise à laquelle nous faisons face aujourd'hui est au-delà de sa composante économique une crise de civilisation. En effet, depuis quelques années le capitalisme semble engager un combat insensé. La crise financière de 2008 a constitué la preuve irréfutable que cette divinité factice appelée capital était dans l'incapacité de se reproduire automatiquement et de créer de la valeur par elle-même . Si la plupart des économistes s'accordent sur le fait que le système s'est totalement grippé depuis les années soixante dix, certains considèrent que la financiarisation de l'économie ne constitue qu'un combat d'arrière garde, un palliatif servant à prolonger artificiellement la vie d'un mode de production en complète décomposition. Cependant, un bon nombre de penseurs voient le phénomène sous un autre angle. Pour eux la généralisation de la spéculation financière constitue un système subtil de transfert massif du capital par le biais de la dette. Dans l'incapacité de se reproduire, le capital joue son va-tout et lance un hold-up à l'échelle mondiale pour s'accaparer de l'ensemble des biens publics et privés. C'est cette fuite en avant qui depuis deux décennies plonge l'hyperclasse dans une paraphrénie fantastique, un délire mégalomaniaque fait d'obsession accumulatrice et de tentation totalitaire.
Voila que le système s'affole de nouveau. Des relents fascistes emplissent de plus en plus l'atmosphère et nous replongent dans le cauchemar des années trente. Voila qu'encore une fois un avatar de l'utopisme totalitaire né des Lumières envahit la planète. A l'image du jacobinisme ou encore du nazisme, le néoconservatisme s'inscrit dans une pensée chiliaste. il se croit ainsi investi d'une mission universelle qui assurera à l'humanité paix et prospérité au terme d'une bataille apocalyptique contre les forces du mal. Presque tous les philosophes de l'histoire du 19ème siècle ont succombé au charme de cette marche triomphaliste de l'histoire sous la férule de l'homme blanc. Marx et Engels se sont laissé prendre eux aussi au piège de la mission civilisatrice d'un Occident impérialiste, considérant que le colonialisme permettait aux sociétés précapitalistes de sortir de leur inertie et de rejoindre l'histoire. On ne peut qu'être scandalisé par la teneur des écrits d'Engels à propos de la guerre coloniale menée contre l'Algérie de l'émir Abdelkader. Son discours n'avait rien à envier aux thèses racistes d'un Gobineau. Il faut cependant rendre justice à Marx qui à la fin de sa vie a complètement changé de point de vue et s'est élevé contre la barbarie du colonialisme. Toutefois, cette prétention à vouloir réaliser la fin de l'Histoire dans l'Histoire en en forçant le sens, a pris des formes terrifiantes et a produit les pires des totalitarismes tout au long du XXème siècle. Le rationalisme né des Lumières, en substituant la transcendance de la raison à la transcendance du divin, a fini par édifier à son tour sa propre Église. Nietzsche fustigeait déjà toutes ces « religions de substitution » que sont le culte de l’État, l'adoration de l’Histoire et la religion de la science. Délivré du joug de l'église, le sujet au lieu de se libérer tombe dans l'auto-adoration avec ses différentes manifestations : individualiste, anthropocentriste, nationaliste et ethnocentriste. C'est cet égo démesuré s'appuyant sur une avancée technique de l'Europe qui alimentera toutes les formes de spoliations, d'exactions et de mépris exercés contre le reste de l'humanité et qui atteint aujourd'hui son stade paroxystique. La pensée européenne reste dominée dans toutes ses nuances par ce rationalisme subjectif et égocentré. L'authenticité allemande si chère à Thomas Mann ou à Oswald Spengler et la modernité conquérante romane et anglo-saxonne étaient malgré leur divergences prises dans le tourbillon de cette même auto-adoration. Il est à remarquer cependant que la thématique de "l'authenticité" totalement disparue pendant la guerre froide refait aujourd'hui surface même dans des pays à tradition universaliste tels que la France. Elle ne cesse de se propager en réaction à l'agressivité du mondialisme unipolaire anglo-saxon.

Ayant conquis son statut démiurgique, l'homme blanc guidera et s'il le faut traînera les humains vers cette fin heureuse et sécularisée de l'histoire. C'est le mythe du progrès, érigé en dogme, qui va constituer le moteur de ce mouvement linéaire de l'histoire. Pierre angulaire de l'édifice de la modernité, le progrès entame une chevauchée éperdue, à la poursuite d'un futur plein de promesses mais irrémédiablement insaisissable. Or ce mirage enivrant n'est en réalité que la figure euphémique de "la croissance à l'infini" nécessaire à la survie de l'économie de marché. C'est bien cette confusion de sens qui a servi à positiver l'aspect purement cumulatif de la croissance. Plus on s'enfonce dans le mode de production capitaliste, plus progrès et croissance s'imbriquent de telle sorte qu'on a fini par confondre totalement l'aspect qualitatif de l'un et celui quantitatif de l'autre. S'inspirant de l'eschatologie religieuse, l'eschatologie séculière née des Lumières assimile sa fuite en avant sur la ligne du temps à une élévation spirituelle. Le mythe du progrès, en octroyant à l'accroissement des produits une signification quasi-spirituelle constituera la plus grande mystification de l'histoire moderne. La fétichisation de la marchandise et du capital seront la conséquence directe de cette perversion et serviront principalement à éluder les rapports de production. Être magique, médiateur entre le capital investi et le capital reproduit, la marchandise se trouve ainsi élevée au rang de divinité au pieds de laquelle se prosterne toute une société de consommateurs idolâtres en manque, hypnotisés par le roucoulement de la publicité et les leurres de la mode. Le consumérisme, une religion sans transcendance, s'empare du monde et fera les beaux jours d'un productivisme effréné, générateur de plus-value. Telle est la perversion initiée par le mythe du progrès . C'est sans doute la première fois dans l'histoire que l'obsession de croissance fait que la production crée les besoins et non l'inverse.

Le mythe de la croissance exponentielle, un non sens qui ne cesse de désorienter l'humanité depuis deux siècles est en complète contradiction avec l'ordre immuable de la nature où toute croissance est suivie de déclin. C'est ce mouvement cyclique assurant à la fois l'équilibre et la régénération du vivant qui a toujours guidé la sagesse des civilisations anciennes . Or la fureur productiviste dont le parcours endiablé s'accompagne régulièrement de crises de surproduction ne cesse de pousser les nations vers les conflits les plus meurtriers de l'histoire. La dernière crise ne semble pas déroger à la règle.

En vérité, la crise financière de 2008 a été plutôt celle de la politique néolibérale venue au secours de la crise de l'économie réelle de la fin des années soixante dix. A cette époque, pour lutter contre la dégradation des conditions de profitabilité du capital, la solution a été d'intensifier la productivité du travail, tout en freinant voire en bloquant la croissance des salaires réels. En temps de crise, c'est toujours !e recours le plus courant pour maintenir à flot le taux de la plus-value. Une stratégie de démobilisation des travailleurs a alors été mise en œuvre. La hausse du chômage , à quoi s’est ajouté le développement du travail précaire et contractuel en brisant les solidarités auront définitivement affaibli la combativité des travailleurs. Mais cette mise en concurrence des salariés atteindra son comble lorsqu'elle s’internationalise grâce à la libre circulation du capital. Ainsi, dressés les uns contre les autres, les pays du centre et ceux de la périphérie se lancent dans la course au moins disant salarial, fiscal et écologique au profit des banques et des transnationales. Les profits ainsi amassés, faute de pouvoir se transformer en capital productif s'orienteront vers la périphérie ouvrant de nouveaux marchés dans les pays dits <<émergents>>. On assiste en parallèle au développant d'une industrie de luxe destinée à satisfaire une classe privilégiée de plus en plus cossue et en mesure de dilapider une partie de la plus-value qu'elle ne peut investir. Mais l'ultime recours de cette politique néolibérale aura été le développement de la spéculation financière. La plus-value non dépensée tentera alors de se valoriser sous forme de capital fictif. Il s'agit tout simplement de parier sur les variations de la valeur de produits financiers tels que les titres de crédit ou de propriétés, les actions, la monnaie, etc. Cela aboutit à la formation d'une accumulation de capital purement fictif composé de produits dérivés de plus en plus sophistiqués et dont la valeur fictive se gonfle au gré d'anticipations souvent délirantes. Aujourd'hui ces transactions sur les marchés financiers sont colossales et leur volume est plus de vingt fois supérieur au PIB mondial. Cette expansion vertigineuse n'est pas comme on a souvent tendance à le croire seulement le fait d'organismes bancaires mais aussi des multinationales dont 40% des profits proviennent de ce type de transactions.

La dérégulation financière impulsée par les États-Unis et leurs vassaux européens à la faveur de l’OMC, mais aussi à la faveur des machiavéliques «plans d’ajustement structurels» du FMI et de la Banque Mondiale à permis en définitive de concentrer le capital entre les mains d'une ploutocratie mondiale organisée en oligopoles. Géants bancaires, géants de l'industrie et géants de la distribution travaillent souvent en bonne entente et préfèrent parier sur des produits dérivés au grand casino des places financières au lieu d' investir dans l'économie réelle. La crise actuelle montre cependant que l'enjeu politique majeur du néolibéralisme est celui de la dette; celle-ci a envahi depuis un quart de siècle tous les recoins de la planète. Des sommes énormes sont transférées des débiteurs aux créditeurs à travers le mécanisme d’accumulation des intérêts. A titre d'exemple, la dette des pays du Sud est passé de 70 milliards de dollars en 1970 à 3545 milliards en 2009. Ces pays avaient pourtant remboursé l’équivalent de cent dix fois ce qu’ils devaient initialement. En Europe, le Traité de Maastricht, interdisant aux Banques centrales d'accorder tout type de crédit à leurs propres États, offre par la même occasion ce privilège aux banques privées. Celles-ci rétrocèdent ces mêmes crédits aux trésors publics à des taux beaucoup plus élevés. C'est à partir de ce moment là que le surendettement public entame son escalade vertigineuse partout dans les pays de l'UE. En France, la dette publique avoisine les 2000 milliards d'euros, ce qui représente plus de 90% du PIB alors qu'en 1978 elle atteignait à peine 20% de ce même PIB. L'objectif de cette financiarisation méthodique de l'économie est tout simplement le démantèlement systématique du secteur public que ce soit dans les pays du centre ou dans ceux de la périphérie. La classe politique complice, étranglée par la dette et le service de la dette s'empresse de vendre à ses créanciers les biens publics tout en appliquant une politique d'austérité jetant à la rue des millions de chômeurs. Mais ce capitalisme usuraire ne se limite pas à vampiriser les États. Assoiffé de profit mais cherchant en même temps à stimuler la consommation, il en vient à oublier toute prudence en prêtant à des salariés démunis l’argent qu’il a refusé de leur avancer sous forme de salaires. La crise des prêts hypothécaires subprimes a certes ébranlé le système mais elle est loin de l'avoir désarçonné. La marche en rangs serrés de cette armée d'usuriers dédaigne aujourd'hui de s'engraisser uniquement en exploitant le travail immédiat, elle préfère hypothéquer l'avenir en s'appropriant le futur des peuples et des hommes accablés et culpabilisés par l'accumulation des intérêts de la dette. Victime lui-même de l'illusion qu'il n'a cessé d'entretenir, le capital en position de quasi-monopole se met à croire en son autogamie. De moins en moins productif, il ne vit qu'en parasitant une économie réelle qui n'arrête pas de se désagréger. L' illusion de la profitabilité crue vient de supplanter le mythe du progrès, cette autre illusion de la croissance exponentielle propre au capitalisme productif. Toutes ces pratiques usuraires érigées en système constituent-elles simplement une fuite en avant d'un capitalisme aux abois ou alors sont-elles les prémisses d'une stratégie concertée visant l'appropriation du monde par une minorité de ploutocrates avares et avides de pouvoir absolu?

Si on jette un regard rétrospectif sur la fin du XIXème siècle on s'étonne des similitudes que cette époque avait avec la notre. La ritournelle mondialiste qui n'arrête pas d'agresser nos sens n'est en réalité que la réplique d'une vieille chanson de ces temps révolus. Tout en fredonnant paix et prospérité universelle, elle rythmait la marche des bidasses en route vers les colonies. Seuls les carnages de la première guerre mondiale ont su la faire taire. Guerre impérialiste par excellence, celle-ci a permis d'effacer les deux vieux empires ottoman et austro-hongrois et de les offrir découpés en petits morceaux aux empires coloniaux. Pendant la deuxième guerre mondiale le rouleau compresseur mondialiste n'a pas réussi malgré l'aide précieuse apportée par l'Allemagne nazie à effacer l'Union Soviétique. Néanmoins cela a permis quand même l'implosion des empires coloniaux français et britannique. Il a fallu patienter encore quelques décennies pour qu'une fois son dernier rival éliminé apparaisse enfin dans toute sa magnificence l'empire unipolaire. Le mondialisme néolibéral n'est donc pas un incident de parcours mais l'aboutissement sinon la continuation d'une logique implacable suivie à la lettre depuis le 19ème siècle mais initiée depuis le siècle des "lumières".

Rien n'arrête le progrès qui, imperturbable, poursuit sa quête même si des prophètes de l'envergure de Francis Fukuyama nous ont annoncé depuis quelques années déjà le "happy end" de l'histoire. Une fois les empires défaits, Il s'agit maintenant de parachever la dislocation ou alors l'homogénéisation du monde en s'attaquant aux Etats-nations. A l'Union Européenne, on applique la méthode de la mort douce au moyen du surendettement public, provoquant ainsi la faillite des États et la destruction du tissu social. Si la Grèce ouvre la marche, un nombre de plus en plus grandissant de pays de la communauté européenne sont en train de lui emboîter le pas. En Europe de l'Est, la main de l'Empire a été un peu plus lourde lorsqu'il s'est agi de démanteler la Yougoslavie que les accords de Dayton de 1995 ont fini par morceler en six nouveaux Etats. La tentative de déstabilisation de la Russie par la mise en scène des révolutions colorées n'a cependant pas eu l'effet escompté.

Dans le monde arabe et islamique, on aura recours à une recette qui de tout temps a prouvé son efficacité : l'instrumentalisation systématique du religieux ou pour être plus précis du fanatisme religieux. Les britanniques bien avant leurs héritiers étasuniens sont passés maîtres dans l'art de la manipulation. C'est bien en jouant sur le fanatisme sioniste qu'ils ont réussi à implanter cette entité israélienne en plein cœur du monde arabe. Ce sont eux aussi qui de peur des velléités nationalistes arabes du Chérif de la Mecque ont choisi d'installer les Saoud et les wahhabites à la tête de l'Arabie. Depuis, voilà maintenant près d'un siècle, britanniques et étasuniens n'ont eu aucun souci à contrôler les gisements de pétrole et de gaz de la région. L'islam politique qui depuis la fin de la première guerre mondiale rêve du retour du Califat s'est toujours dressé contre tout courant politique nationaliste arabe ou de sensibilité socialiste. Une aubaine pour l'Empire qui va exploiter à fond la naïveté des wahhabites et des frères musulmans pour déstabiliser les régimes baasistes et nasséristes et stopper l'activité des mouvements de gauche au sein du monde arabe. A partir des années 70, l'enseignement puis l'instrumentalisation d'un islam radical est devenue systématique partout dans le monde arabo-islamique grâce aux deniers saoudiens et à la diabolisation de l'URSS qui n'a pas manqué de tomber dans le piège afghan finement dressé par la CIA. La figure emblématique des "moudjahidines" afghans mais surtout arabes défendant l'islam face aux mécréants communistes est glorifiée par tous les médias occidentaux et arabes. Tout un montage médiatique usant des procédés théâtraux de l'identification vont servir à galvaniser les foules enflammées de jeunes islamistes prêts à mourir pour l'Afghanistan. Après l'implosion de l'Union Soviétique l'empire allait disposer d'un corps de combattants fanatisés, une nébuleuse islamiste malléable et manipulable à souhait qu'il s'empressa d'utiliser en Bosnie et en Tchétchénie. Mais le djihad va progressivement assumer un autre rôle, celui de la mise en œuvre de la théorie du "choc des civilisations" si chère aux néoconservateurs. Par un jeu subtil d'identification/distanciation, on creuse encore plus profondément le fossé séparant Occident et monde musulman. Actions terroristes par ci, dénigrements du prophète par là, le tout surmédiatisé et le tour est joué. L'Islam diabolisé vient ainsi remplir le vide laissé par le péril rouge et redonner sa cohésion à un Occident en mal d'identité. Voila que le décor est définitivement planté. Il s'agit alors de partir en croisade contre ce mal plein de menaces. Le coup de World Trad Center tombe à point nommé pour sonner le départ d'une campagne coloniale d'envergure digne du 19ème siècle.

Dans cette mise en scène du "choc des civilisations" Al-Qaïda assure le rôle d'opposant diabolique lorsqu'il s'agit de justifier des invasions comme celle de l'Afghanistan par exemple. Avec l'avènement du "printemps arabe" les "terroristes" ont vite fait de troquer leurs habits d'antihéros contre ceux de révolutionnaires au service de la démocratie. Ils partent avec la bénédiction d'El Karadhaoui et de Bernard Henri Lévy à l'assaut des "mauvaises dictatures", n'hésitant pas à mettre à feu et à sang des pays comme la Libye et la Syrie ... le reste ne saura tarder. Ces rôles contradictoires et souvent concomitants prouvent que ces combattants ne sont que des exécutants agissant selon les besoins du moment de l'Empire unipolaire dans sa conquête précipitée du monde. Si le rôle de terroriste sert à apeurer les peuples occidentaux et légitimer de la sorte les invasions, celui de révolutionnaire de "l'hiver arabe" sert à la destruction systématique des États et du tissu social dans ces pays pris dans le tourbillon de toutes ces révoltes immédiatement récupérées. Aujourd'hui, il n'est plus besoin d'engager toute une armée de fantassins pour détruire un pays comme ce fut le cas en Irak. Il est plus subtil et plus rentable d'appliquer une stratégie d'autodestruction en montant les extrémistes sunnites contre les nationalistes arabes, la gauche, les chiites, les alaouites, les coptes et le reste des minorités religieuses. L'objectif est d'instaurer un état de guerre civile permanent s'étendant de l'Afrique du Nord au Golf. Luttes tribales mais aussi conflits religieux et ethniques finiront bien par décomposer et somaliser l'ensemble du monde arabe. Les frères musulmans, bien structurés et financés par les pays du Golf n'ont eu aucune peine à se hisser au pouvoir en Tunisie et en Égypte. Ils sont de plus en plus contestés par la rue et les syndicats mais également par une opposition majoritairement ultralibérale et toute aussi compradore, lèche-bottes d'une modernité occidentale à l'agonie. Une fois au pouvoir, les islamistes ont vite oublié leurs beaux discours rassembleurs et tentent par tous les moyens de reconstituer l'absolutisme des dictatures précédentes. Les couches pauvres de la populations de plus en plus misérables se sentant trahies se révoltent alors que les islamistes, aplatis face à l'Occident, sont sommés de poursuivre la même politique néolibérale débridée et de se soumettre aux injonctions de la Banque Mondiale. Alliés objectifs de l'Empire, ils n'hésitent pas à soutenir sa politique dévastatrice au Proche Orient et en Syrie plus particulièrement. Leur attitude sans cesse provocatrice et agressive à l'égard de tous ceux qui s'opposent à eux dans les pays où ils exercent le pouvoir n'arrête pas de faire monter dangereusement la pression et d'instaurer un climat de désordre permanent laissant planer le doute quant à leurs véritables intentions...

Cependant, cette instrumentalisation de l'extrémisme religieux lorsqu'elle embrasse une étendue géographique allant du Maroc jusqu'au Tatarstan au cœur même de la fédération de Russie, elle se transforme tout simplement en arme d'autodestruction massive. Circonscrit au Caucase du Nord, le djihadisme, commence à s'étendre à d'autres régions de la fédération. Il y a quelques jours, La police russe a arrêté à Moscou six membres du parti Hizb al-Tahrir al-Islami. Accusés de prosélytisme radical dans plusieurs mosquées de la capitale, ces derniers étaient en possession d'armes et d'une grosse somme d'argent. Fin août, au Daguestan, le cheikh Saïd Afandi Atsaev, pilier de la confrérie soufie des Naqshabandi a été tué avec six autres personnes par une femme kamikaze. Le 19 juillet dernier, à Kazan, deux leaders musulmans modérés ont été victimes d'une double attaque revendiquée sur YouTube par un certain Marat Khalimov, émir des moudjahidins du Tatarstan. Il semble que l'effet domino si cher aux néoconservateurs a commencé à porter ses fruits après tant d'années de préparation. La mèche allumée en Tunisie et en Egypte, après avoir embrasé la Libye et la Syrie fait saliver l'Empire qui rêve d'étendre l'incendie à l'Asie centrale, à l'Oural et jusqu'au Xinjiang chinois. Zbigniew Brzezinski, dans son livre «Le Grand Échiquier » n'affirme-t-il pas que celui qui tiendrait l'Eurasie serait le maître du monde...pour ajouter ensuite que les États-Unis doivent veiller au respect légitime de la primauté américaine sur cette Eurasie. Tout est dit...


Les islamistes qui en incendiant leurs propres pays contribuent sans hésiter à la réalisation de ce nouvel âge de l'après nationalisme sont-ils assez niais pour croire que cet empire unipolaire va leur permettre de restaurer le califat? Comptent-ils sur les protestants évangéliques et sur les néoconservateurs pour les aider à réunifier le monde islamique? Faut-il rappeler à ceux qui l'ont oublié ce qui est arrivé aux «ikhwan» wahhabites, massacrés par les britanniques et les Saoud une fois leur mission remplie! Cependant l'instrumentalisation du religieux ne concerne pas que l'islam radical. Il semble en effet que les anciens masques idéologiques (civilisateur, humanitaire, démocratique) sont irrémédiablement tombés en désuétude. La manipulation des vieux démons des haines religieuses a beaucoup plus d'impact et forme l'écran idéal derrière lequel s'opère cette nouvelle vague colonialiste globalisante. Ce que nous vivons aujourd'hui, ce n'est nullement "un choc des civilisations" mais "un pseudo-choc des fondamentalismes" islamiste, sioniste et protestant évangélique, tous alliés objectifs de l'Empire en construction. Si les islamistes ont pour mission de détruire les résistances et d'aplanir le terrain, ouvrant ainsi toutes grandes les portes de l'Eurasie aux envahisseurs, les sionistes juifs et chrétiens contribuent quant à eux financièrement à asseoir une gouvernance globale qui si l'on se tient aux divagations d'un Jacques Attali aurait pour capitale mondiale Jérusalem. Il semble que le mythe du progrès en tant que mythe fondateur de l'économie de marché s'est totalement effiloché et qu'il n'est plus en mesure d'entretenir l'illusion de la croissance infinie. On préfère aujourd'hui se réfugier dans des mythes religieux qui privilégient l'élitisme obsessionnel propre au protestantisme et au sionisme. L'oligarchie ploutocratique consciente de l'incapacité du capitalisme productif à lui assurer une quelconque plus-value fait en sorte que les états et les salariés croulent sous le poids des dettes lui permettant ainsi de faire main basse sur l'essentiel des biens publics et privés. Depuis plusieurs décennies des groupes d'influence plus ou moins occultes pilotent discrètement l'économie mondiale(1). Le groupe Bilderberg, la commission Trilatérale, le C.F.R étasunien, la Franc-maçonnerie Internationale et les Illuminatis coopèrent en vue de parachever la formation de blocs continentaux débarrassés de leurs États, nécessaires à la constitution d'une gouvernance mondiale. Le bloc Euro-Atlantique ayant à sa tête le couple germano-étasunien tente d'intégrer Israël et les pays arabes tout en débarrassant ces derniers de toute forme de résistance nationaliste et religieuse. Il s'agit d'affaiblir et de diviser ces sociétés pour leur imposer ensuite une sorte d'islam soft compatible avec les règles du mondialisme. C'est aux frères musulmans qu'échoit cette lourde tâche qu'ils doivent impérativement mener à bien. Après le Vatican II catholique on tente d'imposer un "Vatican II" de l'Islam comme le préconise l'officier étasunien Ralph Peters. Ainsi les deux religions formeront avec le judaïsme une sorte de panthéisme inspiré des lois noachides (2). Cette uniformité spirituelle permettra aux "gentils", une fois les hordes de Gog et Magog anéanties, d'être pris sous l'aile du peuple élu dans le royaume de la fin des temps (3). C'est de cette manière que s'est tissé progressivement cette toile d'araignée idéologique que l'empire exploite machiavéliquement pour parachever ses desseins totalitaires . Le projet sioniste-protestant de conquête de l'Eurasie s'emboite si parfaitement avec le messianisme sioniste et engage les peuples dans une folle confrontation alimentée par les agissements de fanatiques de tout bord sponsorisés par les tenants du mondialisme. Actions terroristes, exacerbation du communautarisme, luttes fratricides dans les pays arabes servent à justifier des guerre prétendument défensives que mène l'empire du bien judéo-chrétien contre les forces du mal. L'offensive qui a commencé avec le déclenchement du "printemps arabe" culmine actuellement en Syrie. Mais à la différence de la Libye, ce pays constitue ce nœud gordien que l'Occident se doit de trancher pour s'emparer de l'Eurasie face à la Russie et à la Chine résolues à s'opposer aux visées unipolaires du bloc Euro-atlantique. Cette contradiction insurmontable est en train d'entrainer imperturbablement le monde vers une quatrième guerre mondiale. Ayant emporté les trois précédentes, l'Occident, sûr de sa bonne étoile, semble être tenté encore une fois par l'aventure. Les majorités silencieuses occidentales abusés par une prétendue méga-identité judéo-chrétienne, manipulées par des minorités agissantes, n'ayant plus subi les affres de la guerre depuis 1945, sommeillent paisiblement, convaincus que ça n'arrive qu'aux autres.

Il importe de rappeler que la Deuxième Guerre mondiale, partie d'Europe, a effacé d'un coup la puissante machine de guerre européenne et a amené toutes les nations dominées d'Asie et d'Afrique à se rebeller et à se libérer du joug colonial européen. Cette nouvelle crise néocoloniale prouve une fois de plus que le capitalisme occidental est incapable de se départir de sa nature prédatrice, Sa cupidité aveugle l'a poussé à se séparer de ce qui a fait sa force et consacré sa domination : le travail. Aujourd'hui, il ne lui reste que ses tonnes de fausse monnaie et une armada juste bonne à répandre la terreur et la désolation à travers la planète. Face à une économie asiatique en pleine expansion grâce à l'appropriation du travail et à la coopération qui unit de plus en plus les pays de ce continent, l'Occident, en poursuivant le projet chimérique Sioniste-Euro-Atlantique s'enfonce dans la violence, ne récoltant que de la violence. Le mal né au 18ème siècle, s'étant transformé en fléau à partir du 19ème, entre aujourd'hui en transe parano-mégalomaniaque. Nemrod, intraitable, n'en démord pas : "Nous arrivons vers l'émergence d'une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin, c'est de LA CRISE MAJEURE et le peuple acceptera le nouvel ordre mondial" dixit David Rockefeller.

25 décembre 2012

Les secrets de la réserve fédérale : Le seul livre brûlé en autodafé, par décision de justice,

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Préface du livre d'Eustace Mullins LES SECRETS DE LA RESERVE FEDERALE : La plupart des gens, aux États-Unis, en Europe et dans le reste du monde, pensent que les dollars en circulation sont créés par le gouvernement américain. Que le nom de « Réserve Fédérale », mentionné sur chaque billet, désigne une administration gouvernementale. Or, il n'en est rien : la « Réserve Fédérale » est une institution privée, possédée par des banques commerciales. Ce livre, traduit pour la première fois en français, a représenté quarante années de travail pour son auteur. C est probablement un des ouvrages les plus importants du XX° siècle. C est le seul livre brûlé en autodafé, par décision de justice, en Europe après 1945. C est une enquête minutieuse, servie par l'honnêteté et la compétence. C'est, aussi et surtout, une révélation sur la manière dont fonctionne réellement le monde, depuis un siècle. Dans ce livre vous apprendrez, entre autres choses, que : Le système de la Réserve Fédérale n'est pas fédéral. En outre, il ne possède pas les moindres réserves. C est un syndicat d émission monétaire, dont les membres se sont octroyé le privilège exorbitant de fabriquer l argent que vous gagnez durement. Sans ce système, il est très probable que les deux guerres mondiales n auraient pu être ni déclenchées, ni financées. Et surtout, vous apprendrez, que, pour citer Henri Ford, un grand capitaine d'industrie et un VRAI américain : « L'unique objectif de ces financiers est le contrôle du monde par la création de dettes inextinguibles. » Des mots qui, à l heure actuelle, prennent une actualité brûlante...

25 décembre 2012

D'autres mondes ou comment déchirer le voile de nos perceptions

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Alors qu'il tourne Blueberry, l'expérience secrète, Jan Kounen rencontre les guérisseurs Shipibo d'Amazonie péruvienne et découvre leur plante sacrée : l'Ayahuasca, la liane de l'âme.

Extrêmement marqué par cette expérience, il décide de revenir au Pérou afin de tourner un documentaire sur la plante et les rites médicinaux des chamans. Pour cela il filme les autochtone mais va aussi rencontrer des neurologues, philosophes, artistes, chimistes, etc. travaillant sur ce sujet. Il interroge notamment le dessinateur Jean Giraud ou Kary Mullis, prix Nobel de chimie 1993.

Plus qu'un documentaire traditionnel, le film se veut une invitation à un voyage, une porte entrouverte sur un autre monde : une autre perception du réel.

I

22 décembre 2012

Le secret ésotérique des signes du zodiaque

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Les figures des constellations, incluses dans les signes à l'époque où la division fut réalisée pour la
première fois ne ressemblaient pas du tout à des formes d'animaux, de reptiles ou d'autres objets
décrits par les noms qui leur ont été donnés. On peut assurer la vérité de cette assertion en
examinant les dispositions des différentes constellations. A moins que l'observateur ne projette par
l'imagination la forme d'un crocodile2 ou d'un crabe, il y a très peu de chance que les étoiles ellesmêmes
lui suggèrent l'idée de cette figure, sur la voûte bleutée du firmament étoilé.
Dans ce cas, si les constellations n'ont rien à voir avec la source des noms par lesquels les divisions
Zodiacales sont indiquées, nous devons rechercher une autre source qui aurait pu être à l'origine de
ces appellations. Il me revient de démêler une partie du mystère en relation avec ces signes
Zodiacaux, ainsi que de révéler une part de la conception sublime de l'antique philosophie Hindou
qui leur donna naissance. Les signes du Zodiaque ont bien plus qu'une seule signification. Dans un
sens, ils représentent les différentes étapes de la Création jusqu'aux temps de l'actuel univers
matériel avec les cinq éléments se manifestant à l'existence phénoménale. Comme l'auteur d'Isis
Dévoilée l'a établi dans le second volume de son oeuvre admirable, « la clef doit être tournée Sept
1 Vierge-Scorpion, quand seuls les initiés savaient qu'il y avait douze signes. Vierge-Scorpion était ensuite suivi (pour
le profane) par le Sagittaire. Au milieu ou au point de jonction où se tient actuellement la Balance et au signe appelé
aujourd'hui Vierge, deux signes mystiques étaient insérés qui restaient inintelligibles au profane. (Editeur du
Theosophist, i.e. Helena Blavatsky)


2 Cette constellation n'a jamais été appelée Crocodile par les anciens astronomes Occidentaux qui la décrivaient
comme une chèvre à cornes, et l'appelèrent ainsi Capricorne (Editeur du Theosophist, i.e. Helena Blavatsky).
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Les Douze Signes du Zodiaque – T. Subba Row 3 / 10 fois » pour comprendre la philosophie complète à la base de ces signes.

Mais je ne la tournerai qu'une seule fois et donnerai le contenu du premier chapitre de l'Histoire de la Création. Il est
heureux que les noms Sanskrit assignés aux différentes divisions par les philosophes Aryens
contiennent en eux-mêmes la clef de la solution du problème. Ceux de mes lecteurs qui ont étudié
dans une certaine mesure les anciens « Mantra Shâstra » et « Tantra Shâstras » de l'Inde, auront vu
que très souvent les mots sanskrits sont élaborés afin de véhiculer un sens caché défini au moyen
d'un ensemble préétabli de certaines méthodes utilisées par convention tacite, alors que la
signification littérale est assez différente du sens implicite. Voici certaines des règles qui peuvent
aider un chercheur à extraire la signification profonde de la nomenclature du Sanskrit ancien utilisé
dans les vieux mythes et allégories Aryens :
1) Trouver les synonymes du mot utilisé qui ont d'autres significations ;
2) Trouver la valeur numérique des lettres composant le mot selon les méthodes données dans
les anciens travaux Tantriques ;
3) Examiner les anciens mythes ou allégories, s'il y en a, qui ont quelque connexion privilégiée
que ce soit avec le mot en question ;
4) Permuter les différentes syllabes composant le mot et examiner les nouvelles combinaisons
qui vont être ainsi formées avec leurs significations, etc. etc.
Je vais désormais appliquer certaines des règles données ci-dessus aux noms des douze signes du
Zodiaque.


I. Masham. Un des synonymes de ce mot est Aja. Ceci précisé, Aja signifie littéralement ce qui
n'a pas de naissance et est appliqué au Brahman Eternel dans certains passages des
Upanishads. Donc le premier signe est supposé représenter Parabrahman, le soi-existant,
éternel, cause auto-suffisante de la création.

II. Rishabham. Ce mot est utilisé dans différents passages des Upanishads et dans les Vedas
pour signifier Pranava (Aum). Shankarâchârya l'a ainsi interprété dans divers passages de
son commentaire. Exemple : « Rishabhasya – Chandasam Rishabhasya Pradhanasya
Pranavasya. »


III. Mithunam. Comme le mot l'indique pleinement, le signe tente de représenter le premier
androgyne, l'Ardhanârishvara, la Sephirah bi-sexuée - Adam Kadmon.
IV. Karkatacam. Quand les syllabes sont converties en nombres correspondant au mode général
de transmutation dont il est si souvent fait allusion dans le Mantra Shâstra, le mot en
question sera représenté par / / / / . Ce signe ensuite est destiné de façon évidente à
représenter le Tétragramme sacré ; le Parabrahmadharaka ; le Pranava résolu en quatre
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Les Douze Signes du Zodiaque – T. Subba Row 4 / 10
entités séparées correspondant à ses quatre Matras ; les quatre Avasthâs indiqués par Jâgrat
(éveil) Avasthâ, Svapna (rêveur) Avasthâ, Sushupti (sommeil profond) Avasthâ, et Turiya (la
dernière étape, c'est-à-dire Nirvâna) Avasthâ (jusqu'ici en potentialité) ; les quatre états de
Brahman appelés Vishvânara, Taijasi (ou Hiranyagarbha), Prajna, et Ishvara et représentés
par Brahma, Vishnu, Mahaswara, et Sadasiva ; les quatre aspects de Parabrahman comme
Sthûla, Sûkshma, Bijam et Sachchi ; les quatre étapes ou conditions du Mot Sacré nommé
Parâ, Pashyantî, Madhyamâ et Vaikharî : Nada, Bindu, Shakti et Kâla. Ce signe complète le
premier quaternaire.


V. Simham. Ce mot contient en son sein un monde de sens occulte : et il ne serait pas prudent
de ma part de révéler la totalité de sa signification dans cet article. Il sera suffisant pour
l'intention de ce dernier d'en donner une indication générale.
Deux de ses termes synonymes sont Panchasyam et Hari, et son nombre dans l'ordre des
divisions Zodiacales (étant le cinquième signe) indique clairement le premier synonyme. Ce
synonyme – Panchasyam – montre que le signe est destiné à représenter les cinq Brahmas, à
savoir – Isana, Aghora, Tatpurusha, Vamadeva, et Sadyojata – les cinq Buddhas. Le second
synonyme le montre comme étant Narâyana, le Jîvâtman3 ou Pratyagatman. (Le Suka
Rahasya Upanishad montrera que les anciens philosophes Aryens voyaient en Narayana le
Jîvâtman. Les Vaishnavas peuvent ne pas l'admettre. Mais en tant qu'Advaitin, je vois
Jîvâtman comme identique à Paramatman dans son essence réelle une fois dépouillé de ses
attributs factices créés par Ajnâna ou Avidya – l'ignorance).

Le Jîvâtman est placé correctement dans le cinquième signe en comptant à partir de Masham, puisque le
cinquième signe est le putrasthanam ou la maison du fils selon les règles de l'astrologie
Hindoue. Le signe en question représente Jîvâtman – comme s'il était le fils de Paramatman.

. J'ajouterai seulement ici qu'à moins que la nature de ce signe soit totalement comprise, il sera impossible de saisir
l'ordre réel des trois signes suivants et leur signification complète. Les éléments ou entités
qui ont globalement une existence potentielle dans ce signe deviennent distincts, des entités
séparées dans les trois prochains signes. Leur union en une simple entité mène à la
destruction de l'univers phénoménal, et l'identification du pur esprit et leur séparation a
l'effet contraire. Cela mène à l'existence matérielle terre-à-terre et soumet à la vue la galerie
d'images d'Avidya (l'Ignorance), ou Maya (l'Illusion). Si l'orthographe réelle du nom par
3 Dans son état le plus bas ou le plus matériel, en tant que principe-de-vie qui anime les corps matériels des mondes
animal et végétal, etc. (note de l'Editeur du Theosophist, i.e. Helena Blavatsky)
4 Néanmoins, cette assertion est vraie. Le Jîvâtman dans le Microcosme (l'homme) est la même essence spirituelle qui anime le Macrocosme (l'univers), la différenciation, ou différence spécifique entre les deux Jîvâtmas se manifestantde fait dans les deux états ou conditions d'une seule et même Force. Par conséquent, « ce fils de Paramatman » est une corrélation éternelle du Père-Cause, Purusha se manifestant lui-même en tant que Brahma de « l'oeuf doré » et devenant Virâj (NdT : Viradji en V.O.) – l'univers. Nous sommes « tous nés d'Aditi de l'eau » (Hymns of the Maruts, X, 63, 2) et « L'être est né du non-être » (Rig-Veda, Mandala I, Sukta 166) – note de l'éditeur du Theosophist, i.e. Helena Blavatsky
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Les Douze Signes du Zodiaque – T. Subba Row 5 / 10
lequel le signe dont il est ici question est proprement comprise, on verra aisément que les
trois prochains signes ne sont pas ce qu'ils sont supposés être. Kanya ou la Vierge, et
Vrischikam ou le Scorpion devraient former un seul signe, et Thula doit suivre le signe en
question s'il est seulement nécessaire d'avoir un signe séparé de ce nom. Mais une séparation
entre Kanya et Vrischikam a été effectuée en interposant le signe Thula entre les deux.
L'objet de cette séparation sera compris en examinant la signification des trois signes.
VI. Kanya. Signifie une vierge et représente Shakti ou Mahâ Mâyâ. Le signe en question est la
6ème Rasi ou division, et indique qu'il y a six forces primaires dans la nature. Ces forces ont
toutes sortes de noms dans la philosophie Sanskrit. Selon un système de nomenclature, elles
sont appelées par les noms suivants : (1) Parâshakti ; (2) Jnâna Shakti ; (3) Ichchha Shakti
(volonté) ; (4) Kriyâ Shakti ; (5) Kundalinî Shakti et (6) Mantrikâ Shakti5. Les six forces
5 Parâshakti : Littéralement la grande ou suprême force ou pouvoir. Cela signifie et inclut les pouvoirs de la lumière
et de la chaleur.
Jnâna Shakti : Littéralement le pouvoir de l'intellect ou le pouvoir de la sagesse réelle ou connaissance. Elle a deux
aspects :
I. Ce qui suit sont certaines de ses manifestations lorsqu'elle est placée sous l'influence ou le contrôle de
conditions matérielles :
(a) Le pouvoir du mental (NdT : mind en anglais) dans l'interprétation de nos sensations,
(b) Son pouvoir de se rappeler les idées passées (la mémoire) et d'ériger des attentes futures,
(c) Son pouvoir tel que se manifestant dans ce qui est appelé par les psychologues modernes « les
associations d'idées » qui lui permettent de former des liens persistants entre différents groupes de
sensations et de possibilités de sensations et ainsi de générer la notion ou l'idée d'un objet externe,
(d) Son pouvoir de connecter ensemble nos idées par le lien mystérieux de la mémoire et ainsi de
générer la notion de soi ou d'individualité.
II. Ce qui suit sont certaines de ses manifestations lorsqu'elle est libérée des entraves de la matière :
(a) la Clairvoyance.
(b) la Psychométrie.
Ichchha Shakti : Littéralement, le pouvoir de la volonté. Sa manifestation la plus ordinaire est la génération de
certains influx nerveux qui mettent en mouvement les muscles requis pour l'accomplissement d'un objet désiré.
Kriyâ Shakti : Le pouvoir mystérieux de la pensée qui lui permet de produire des résultats phénoménaux,
perceptibles, externes par sa propre énergie inhérente. Les anciens soutenaient que quelque idée que ce soit se
manifestait en s'externalisant si l'attention de quelqu'un était profondément concentrée sur elle. De façon similaire,
une volonté intense sera suivie par le résultat désiré. Un Yogi accomplit ses prodiges au moyen de Ichchha Shakti et
Kriyâ Shakti.


Kundalinî Shakti : Littéralement, le pouvoir ou la force qui se meut dans un chemin incurvé ou serpentin. C'est le
principe-de-vie universel qui se manifeste partout dans la nature. Cette force inclut en son sein les deux grandes
forces de l'attraction et de la répulsion. L'électricité et le magnétisme sont des manifestations de cette force. Ceci
est le pouvoir ou la force qui provoque cet « ajustement continu des relations internes aux relations externes », ce
qui est l'essence de la vie selon Herbert Spencer, et cet « ajustement continu des relations externes aux relations
internes », qui est la base de la transmigration des âmes ou punarjanmam (renaissances) selon les doctrines des
anciens philosophes Hindous.


Un Yogi doit complètement dompter ce pouvoir ou cette force avant de pouvoir atteindre moksha. Cette force est,
en fait, le grand serpent de la Bible.
Mantrikâ Shakti : Littéralement, la force ou pouvoir des lettres ou le discours ou la musique. La totalité de l'ancien
Mantra Shâstra a cette force ou ce pouvoir dans toutes les manifestations qui le concernent. Le pouvoir du Monde
dont parle Jésus Christ est une manifestation de de cette Shakti. L'influence de la musique est une de ses
manifestations ordinaires. Le pouvoir du merveilleux Nom ineffable est la couronne de cette Shakti.
La science moderne a étudié mais en partie la première, la seconde et la cinquième des forces ou pouvoirs
mentionnés ci-dessus, mais demeure dans l'obscurité en ce qui concerne les autres pouvoirs restants.
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Les Douze Signes du Zodiaque – T. Subba Row 6 / 10
sont dans leur unité représentées par la Lumière Astrale6.
VII. Thula. Quand il est représenté par des nombres selon la méthode à laquelle il est fait
allusion plus haut, ce mot sera converti en 36. Ce signe, donc, est évidemment supposé
représenter les 36 Tattvas. (Le nombre de Tattvas est différent selon le point de vue des
différents philosophes ; mais par Saktayas généralement et par plusieurs des anciens Rishis
tels que Agastya, Turvashas et Parashurama, etc., on établit le nombre de Tattvas à 36).
Jîvâtman diffère de Paramatman, ou pour énoncer la même chose en d'autres mots,
« Baddha » diffère de « Mukta »7 en ce qu'il est contenu dans ces 36 Tattvas, alors que
l'autre en est libre. Ce signe prépare le chemin à l'Adam terreste, à Nara. En tant qu'emblème
de Nara, il est correctement placé comme septième signe.

VIII. Vrischikam. Il est dit par d'anciens philosophes que le soleil lorsqu'il est situé dans ce Rasi
ou division, est appelé sous le nom de Vishnu (Voir le 12ème Skandha de Bhagavata). Ce
signe est destiné à représenter Vishnu. Vishnu signifie littéralement celui qui est déployé –
déployé comme Vishva ou Univers. A proprement parler, Vishva lui-même est Vishnu. (Voir
le commentaire de Shankarâchârya sur Vishnu Sahasranama). J'ai déjà suggéré que Vishnu
représente le Svapna Avasthâ ou Etat de rêve. Le signe en question signifie précisément
l'univers en pensée ou l'univers dans la conception divine.
Il est correctement placé comme signe opposé à Rishabham ou Pranava. L'analyse
descendante à partir de Pranava mène à l'Univers de la Pensée, et la synthèse de ce dernier
en remontant mène à Pranava (Aum). Nous sommes maintenant arrivés à l'étape idéale de
l'univers précédant son irruption dans l'existence matérielle. L'expansion du Bijam ou germe
primitif dans l'univers n'est possible que lorsque les 36 « Tattvas »8 sont interposés entre la
Maya et Jîvâtman. L'état de rêve est induit par l'entremise de ces « Tattvas ». C'est
l'existence de ces Tattvas qui amène Hamsa à l'existence. L'élimination de ces Tattvas
marque le début de la synthèse vers Pranava et Brahman, et convertit Hamsa en Soham.
Comme on a fait en sorte de représenter les différentes étapes de la création de Brahman en
descendant vers l'univers matériel, les trois signes Kanya, Thula et Vrischikam, sont placés
dans l'ordre selon lequel ils se tiennent en tant que trois signes séparés.
6 Même le nom de Kanya (la Vierge) montre comment tous les anciens systèmes ésotériques s'accordent dans leurs
doctrines fondamentales. Les Kabbalistes et les philosophes hermétiques appellent la Lumière Astrale la « Vierge
miraculeuse ou Vierge céleste ». La Lumière Astrale dans son unité est le 7ème, par conséquent, les sept principes
diffusés dans toute unité ou les six et UN – deux triangles et une couronne. (note de l'éditeur du Theosophist, i.e.
Helena Blavatsky)
7 Comme l'Infini diffère du Fini et l'Inconditionné du Conditionné. (note de l'éditeur du Theosophist, i.e. Helena
Blavatsky)


8 36 est trois fois 12, ou 9 Tetraktis, ou 12 triades, les nombres les plus sacrés dans la numérologie Kabbalistique et
Pythagoricienne. (note de l'éditeur du Theosophist, i.e. Helena Blavatsky)
Traduction française d'Esopedia – http://esopedia.urobore.net
Les Douze Signes du Zodiaque – T. Subba Row 7 / 10
IX. Thanus (Sagittaire). Quand il est représenté numériquement, le nom est l'équivalent de 9, et
la division en question est la 9ème division en comptant à partir de Masham. Le signe, donc,
indique clairement les 9 Brahmas – les 9 Prajâpatis qui assistèrent le Démiurge dans la
construction de l'univers matériel.
X. Makaram. Il y a quelque difficulté pour interpréter ce mot ; néanmoins il contient en son
coeur l'indice de son interprétation correcte. La lettre Ma est l'équivalente du nombre 5 et
Kara signifie main. Ceci étant dit, en Sanskrit, Thribhujam signifie un triangle, bhujam ou
karam (les deux sont synonymes) étant compris pour signifier un côté. Donc, Makaram ou
Panchakaram signifie un Pentagone9.
Ceci étant dit, Makaram est le dixième signe et le terme « Thasathisa » généralement utilisé
par les écrivains Sanskrit dénote les facettes ou côtés de l'univers. Le signe en question est
supposé représenter les facettes de l'univers et indique que la figure de l'univers est délimité
par des Pentagones. Si nous considérons que les pentagones sont des pentagones réguliers
(suivant la présomption ou supposition que l'univers est construit symétriquement) la figure
de l'univers matériel sera, bien sûr, un Dodécaèdre, le modèle géométrique imité par le
Démiurge dans la construction de l'univers matériel. Si Thula avait été inventé
ultérieurement et si à la place des trois signes « Kanya », « Thula » et « Vrischikam », il
n'avait existé qu'un seul signe combinant en lui-même Kanya et Vrischikam, le signe que
nous considérons actuellement serait le huitième signe de cet ancien système, et il s'agit d'un
fait significatif que les écrivains Sanskrit parlent généralement de « Ashtathisa » ou l'espaceaux-
huit-facettes. Il est fort possible que le nombre de thisa pourrait avoir été altéré du 8
pour le 10 quand le signe Vierge-Scorpion existant autrefois a été fractionné en trois signes
séparés.


De nouveau, Kara peut être utilisé pour représenter les triangles projetés de la figure en
forme d'étoile à laquelle il a été si souvent fait allusion dans les colonnes de ce journal en
connexion avec le dard du Scorpion. La figure peut aussi être appelée une sorte de
pentagone régulier (voyez la Trigonométrie Sphérique de Todhunter, p.143). Si cette
interprétation est acceptée, le Rasi ou signe en question représente le « Microcosme ». Mais
le « microcosme » ou le monde de la pensée est réellement représenté par Vrischikam. D'un
point de vue objectif, le « microcosme » est représenté par le corps humain. Makaram peut
être utilisé pour représenter simultanément le microcosme et le macrocosme, comme objets
externes de la perception.


En rapport avec ce signe, je dois préciser ici quelques faits importants que je soumets à
l'examen de ceux qui sont intéressés par l'étude des anciennes sciences occultes de l'Inde.
Les anciens philosophes soutiennent généralement que le macrocosme est similaire au
microcosme en ce qu'il a une Sthûla Sharîra et une Sûkshma Sharîra. L'univers visible est le
9 Voir l'article dans le numéro d'Août 1881 du Theosophist, « The Five Pointed Star » (« L'Etoile à Cinq Pointes »), où
nous énoncions que l'étoile à cinq pointes ou pentagramme représente les cinq membres de l'homme. (note de
l'éditeur du Theosophist, i.e. Helena Blavatsky)
Traduction française d'Esopedia – http://esopedia.urobore.net

Les Douze Signes du Zodiaque – T. Subba Row 8 / 10
Sthûla Sharîra de Vishva ; les anciens philosophes soutiennent que comme un substrat de cet
univers visible, il existe un autre univers – peut-être pourrions-nous l'appeler la Lumière
Astrale – l'univers réel du Noumène, comme s'il s'agissait de l'âme de cet univers visible. On
fait d'inquiétantes allusions dans certains passages des Védas et des Upanishads au sujet du
fait que cet univers caché de Lumière Astrale doit être représenté par un Icosaèdre. La
connexion entre un Icosaèdre et un Dodécaèdre est quelque chose de très particulier et
intéressant bien que les figures semblent être très différentes l'une de l'autre. La connexion
peut être comprise par la construction géométrique mentionnée ci-dessous. Dessinez une
Sphère autour d'un Icosaèdre ; dessinez des perpendiculaires partant du centre de la Sphère
jusqu'aux faces de telle façon qu'elles rencontrent la surface de la Sphère. Maintenant, si les
points d'intersection sont joints, un Dodécaèdre est formé à l'intérieur de la Sphère. Par un
processus similaire, un Icosaèdre peut être construit à partir d'un Dodécaèdre. (Voir la
Trigonométrie Sphérique de Todhunter, p.141 : art. 193).

La figure construite telle que décrit
ci-dessus représentera l'univers de la matière et l'univers de la Lumière Astrale tels qu'ils
existent actuellement. Je ne procèderai pas, cependant, à l'examen de la manière dont
l'univers de Lumière Astrale peut être considéré à la lumière d'un Icosaèdre. J'énoncerai
seulement ici que cette conception des philosophes Aryens ne doit pas être considérée
comme une simple « fadaise théologique » ou comme le fruit d'une fantaisie brute. La réelle
signification du concept en question peut, je le crois, être expliquée à la lumière de la
psychologie et de la science physique des anciens. Mais je dois m'interrompre ici et procéder
à la considération du sens des deux signes restants.


XI. Kumbhum (ou Verseau). Lorsqu'il est représenté par des nombres, le mot est équivalent à 14.
Il est alors aisé de percevoir que la division en question est censée représenter le
« Châturdasha Bhuvanam » ou les 14 lokas dont il est fait mention dans les livres Sanskrit.
XII.Mina (ou Poissons). Ce mot est représenté encore une fois par 5 lorsqu'il est écrit en
nombres, et est évidemment censé véhiculer l'idée des Pancha Mahâbhutas ou les 5
éléments. Le signe suggère également que l'eau (pas l'eau ordinaire mais le solvant universel
des anciens alchimistes) est le plus important parmi les éléments dont il est question.


J'ai maintenant achevé la tâche que je m'étais confiée dans cet article. Mon but n'est pas d'expliquer
l'ancienne théorie de la création elle-même, mais de montrer la connexion entre cette théorie et les
divisions Zodiacales. Je n'ai mis en lumière ci-dessus qu'une infime partie de la philosophie que
renferment ces signes. Le voile qui a été habilement posé par les anciens philosophes sur certaines
parties du mystère en relation avec ces signes ne sera jamais retiré pour l'amusement ou la
glorification du public non-initié.

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15 décembre 2012

les pensées sont des ondes électriques traversant la sphère mentale de l’humanité

 

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QU’EST-CE QUE LA PENSÉE?

Rudolf Steiner disait que «la pensée est de l’électricité.» D’après plusieurs clairvoyants, les pensées se manifestent sous forme d’ondes électriques traversant la sphère mentale de l’humanité. Plus une pensée est émise de façon claire, plus l’onde lui correspondant sera précise. Cette onde, entrant en contact avec le corps mental d’une personne, pénètre ce dernier, qui accepte l’onde, à moins qu’il soit en mesure de la repousser en répondant par une onde équivalente. A contrario, une idée confuse émettra une onde floue, qui se dissoudra rapidement. C’est pourquoi l’orateur qui a confiance en ce qu’il affirme est beaucoup plus convainquant que celui qui répète passivement ce qu’il a appris d’un autre.

Imaginez maintenant une onde de pensée nourrie par plusieurs personnes différentes. Elle va gagner en force. C’est le cas d’une pensée de groupe. Plus le nombre de personnes qui entrent en sympathie avec une idée est élevé, et plus l’onde correspondant à cette idée est facile à communiquer. Elle peut même devenir irrésistible, comme on l’observe dans certains mouvements de masse.

Mais revenons à Internet. Le même procédé entre en jeu avec des ondes électromagnétiques. Toute l’énergie mentale que vous émettez lorsque vous êtes devant votre écran n’est pas perdue. Elle rencontre les ondes issues de l’ordinateur et les nourrit. Les circuits électromagnétiques gagnent alors en puissance et deviennent les canaux de votre pensée. Au lieu de capter les ondes éthériques (c’est-à-dire les ondes électriques naturelles), votre pensée surfe sur les ondes électromagnétiques. C’est, bien sûr, au mouvement de la pensée que fait référence l’expression surfer sur Internet. Plus on nourrit les ondes de la machine, plus on renforce la Toile, qui devient un enclos pour la pensée. Imaginez la force mentale accumulée par des millions d’internautes partout dans le monde. Ce n’est pas nécessairement une force qualitative, mais c’est très certainement une force quantitative. Comment garder une pensée libre et indépendante devant cette force?

C’est pourquoi nous renvoyons dos à dos internautes attestataires et internautes contestataires, l’important étant de nourrir le réseau, qui est indifférent aux pensées mêmes des utilisateurs d’Internet. Militer, contester et même s’informer sur Internet est tout à fait illusoire. Nous l’avons souvent démontré, la pensée humaine est littéralement attaquée par l’informatique. D’abord parce que les rayonnements de l’ordinateur, et plus particulièrement ceux du microprocesseur, nuisent au fonctionnement de la glande pinéale, qui est le siège de la conscience.

Ensuite, parce que la capacité de réflexion est affectée par la machine. Au lieu de construire un raisonnement, par association d’idées (mouvement actif), l’internaute subit une réflexion préconstruite, à travers les liens qui le mènent d’une page à l’autre. Il développe une pensée passive, dite «lunaire.» Cette passivité le rend toujours plus vulnérable aux ondes électromagnétiques décrites plus haut.

Passé un certain temps devant l’ordinateur, l’homme moderne n’aura bientôt plus aucune pensée n’appartenant pas au réseau global. Mais il ne s’en rendra pas compte. C’est la véritable pensée unique, présentée bien sûr sous un très beau jour. D’aucuns l’accueillent déjà avec enthousiasme en s’écriant «C’est le progrès!» Alors que chacun est littéralement interné sur Internet. Après la camisole physique, puis la camisole chimique, voici la camisole psychique.

Les êtres humains pourront accéder à la connaissance totale, à tout moment, en toute liberté. Mais la pensée sera guidée d’une main de fer à travers LA connaissance unique, débarrassée de toutes les idées dérangeantes pour le système. Et qui décidera du contenu de cette connaissance? Le pouvoir qui censure Internet, c’est-à-dire l’armée américaine. Quoi que l’on puisse croire, on n’a jamais vu autant de censure qu’à l’ère d’Internet.

LE CONTRÔLE DU NET

Etant à la base du concept d’Internet, la DARPA continue à «se sentir largement responsable de la protection d’Internet», dixit son directeur, Regina Dugan. Et donc va augmenter de moitié son budget consacré à la cybercriminalité au cours des cinq prochaines années, soit pour cette année une augmentation d’environ 200 millions de dollars. Imaginez ce qu’on peut faire avec une telle somme.

Ce n’est bien sûr pas un hasard si Regina Dugan, jusqu’alors à la tête de la DARPA, vient de signer chez Google. Diplômée d’un doctorat en ingénierie mécanique, elle occupait le poste de directrice au sein de l’organisation de recherche et développement de l’armée américaine depuis juillet 2009. Spécialisée dans les questions de cyber sécurité, Regina Dugan est une avant-gardiste des nouvelles technologies.

Si la lutte contre le terrorisme a permis de produire le Patriot Act et autres lois liberticides, la lutte contre la cybercriminalité permettra un contrôle plus grand encore, cette fois au niveau des pensées. La chasse aux «dissidents de la pensée» a commencé. Internet a d’ailleurs été conçu à cette fin.

Ce qui signifie, si vous n’en êtes pas encore conscient, que Google est la police de la nouvelle ère, la véritable police de la pensée.

L’aphorisme de Goethe, «Nul n’est plus en esclavage que celui qui croit à tort qu’il est libre», semble plus que jamais d’actualité. Et vous, pensez-vous jouir d’une liberté de pensée totale?

12 décembre 2012

Pourquoi ? Le Royaume-Uni est en train de pousser les femmes enceintes à se faire vacciner !

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Les femmes enceintes pressées de se faire vacciner  avec un vaccin non recommandé pendant la grossesse
 
La folie vaccinale se poursuit. Le Royaume-Uni est en train de pousser les femmes enceintes à se faire vacciner avec un nouveau vaccin contre la coqueluche, alors que la chose n’est pas recommandée par le fabricant.
 
 
Le Royaume-Uni engage actuellement une campagne massive pour faire pression sur les femmes enceintes afin qu’elles se fassent vacciner contre la coqueluche. Les autorités de santé disent que cette vaccination permettra d’éviter que les bébés attrapent la coqueluche quand ils viendront au monde.
 
Ce que ces gens ne disent pas aux femmes enceintes, c’est que le fabricant du vaccin indique clairement dans sa notice que ce vaccin n’est pas destiné aux femmes enceintes. (…is not for use in pregnant women)
 
Voici ce que le Ministère Britannique de la Santé précise à propos du vaccin Repevax et de la grossesse [1]
 
« Il faudrait, pour chaque grossesse, offrir la vaccination aux femmes qui deviennent enceintes au cours du programme de vaccinations afin de maximiser les taux d’anticorps qu’elles transmettent à leurs enfants. Il faudrait revacciner les femmes enceintes qui auraient relativement récemment été vaccinées contre la coqueluche, le tétanos, la diphtérie et/ou la polio. Les doses cumulatives peuvent augmenter la probabilité de réactions au site d’injection, ou de fièvre, mais cela est largement compensé par les avantages attendus. »
 
Non seulement, ils se permettent de conseiller la vaccination au cours de la grossesse mais ils vont plus loin en conseillant aux femmes enceintes de se faire revacciner même si elles ont reçu le vaccin dans un passé récent.
 
Voici ce que le fabricant du Repevax (Sanofi Pasteur MSD) stipule dans sa notice [2] :
 
« Dites à votre médecin ou à l’infirmière si vous et/ou votre fille êtes enceinte(s) ou si vous allaitez. Précisez éventuellement aussi si vous ou votre fille auriez l’intention d’avoir un bébé. Votre médecin et/ou l’infirmière pourront vous conseiller si oui on non la vaccination aurait lieu d’être retardée. L’utilisation de REPEVAX n’est pas recommandée pendant la grossesse. »
 
Le ministère de la Santé poursuit en affirmant que REPEVAX a été administré aux femmes enceintes dans d’autres pays et qu’il n’a pas causé de préjudices. Ils ne précisent cependant pas de quel pays il s’agit ; ils ne disent pas non plus si des études ont démontré une absence de préjudice. On pourrait cependant penser que s’il existait des études démontrant que les vaccins sont sans danger pour la période de grossesse, (même les plus mauvaises), le fabricant n’aurait pas fait état de cette mise en garde.
 
Le REPEVAX de Sanofi Pasteur contient plusieurs antigènes pour quatre maladies différentes [2]
 
REPEVAX contient un total de neuf antigènes différents, tous injectés en une seule vaccination !
 
Le REPEVAX contient de l’aluminium. Les études scientifiques montrent que l’aluminium peut s’avérer être extrêmement dangereux dans les vaccins, qu’il est susceptible de provoquer l’autisme, des troubles du développement et des maladies auto-immunes. [3]
 
Il contient du phénoxyéthanol toxique pour les organes. Le Japon limite son usage aux cosmétiques. L’Union Européenne limite son utilisation à de faibles expositions en milieu de travail. [4] Le vaccin contient également du polysorbate 80 susceptible de provoquer des malformations de l’ovaire, des follicules dégénératifs, des modifications hormonales, des modifications de l’utérus et du vagin chez les rats. [5]
 
Justification ?
 
Le gouvernement Britannique pousse les femmes enceintes à se faire vacciner, non pas avec un mais avec neuf antigènes en une seule injection, et qui comprend également de l’aluminium connu pour induire des troubles auto-immuns, du phénoxyéthanol toxique pour les organes, du polysorbate 80 susceptible de causer des dommages graves à la fonction reproductrice des femmes. Ils le justifient en disant que les effets néfastes n’ont pas été démontrés chez les femmes enceintes, en dépit du manque d’études démontrant cette prétention.
 
Combien d’effets néfastes des vaccins sommes-nous prêts à accepter ? Oui, c’est vrai que des bébés peuvent mourir de la coqueluche. Mais il est aussi vrai que le vaccin lui-même a provoqué des coqueluches plus virulentes. GaiaHealth a montré que ces coqueluches étaient dix fois plus meurtrières que les coqueluches habituelles.
 
Il n’est pas seulement possible, mais il est probable que les enfants qui contractent la coqueluche ont, aujourd’hui, dix fois plus de chances de mourir qu’ils n’avaient avant la vaccination.
 
Est-il bien rationnel de suivre pareils conseils du gouvernement face à un tel manque de preuves d’innocuité et ce, alors qu’il existe de fortes preuves de dommages si importants ?
 
Références :
 
1.Pertussis (whooping cough) immunisation for pregnant women [NHS fact sheet]
2. Sanofi Pasteur MSD’s Repevax package insert
3.Mechanisms of Aluminum Adjuvant Revealed: Vaccine Risks to Children Clarified
4.Earth Working Group’s report on phenoxyethanol

5.Polysorbate 80 Causes Infertility, An Emulsifier That Can Damage Your Reproductive Health
 
Source: Gaia Health
 
Ce matin même justement, Anna Watson, du réseau Arnica, nous écrivait très précisément ceci :
 
« Au Royaume-Uni, un bébé vient de mourir in utéro, après que sa mère, selon la recommandation britannique du 1 er octobre dernier, ait reçu deux vaccins en même temps, le vaccin contre la grippe ainsi que le vaccin contre la coqueluche.  Son mari (un militaire) est en train de devenir fou… il est très déterminé, il tient des réunions avec les autorités. C’est si triste tout cela. »

http://www.initiativecitoyenne.be
12 décembre 2012

Les banquiers rédigent leur testament

capitalisme

La réforme des marchés financiers annoncée par Barack Obama est entrée en phase décisive. 125 banques américaines et leurs associés en Europe ont reçu simultanément la consigne de rédiger une sorte de testament.

Il s’agit des mesures extraordinaires en cas de faillite imprévisible. C’était le cas de Lehman Borthers, quand une seule banque d’investissement a provoqué un effet de domino sur les marchés financiers. Le thème est repris par notre observateur Sergueï Gouk.

Selon l’agence Bloomberg, il suffit que 30 grosses banques s’écroulent pour provoquer littéralement la débâcle de l’économie mondiale. C’est pour cette raison que la réforme annoncée engage les établissements de crédit à renforcer leur coussin de sécurité par le recours aux capitaux propres. Rouslan Grinberg, directeur de l’Institut de l’économie et membre de l’Académie des sciences, estime qu’il s’agit du pas fait dans le bon sens pour mettre le bémol sur la cupidité jamais assouvie des banquiers qui gagnent tant sur l’essor économique que sur la crise.

« Nous avons été témoins d’un enrichissement de la minorité aux frais de la majorité sans précédent depuis 40 ans. Pour inverser la tendance, il faut taxer les transactions financières. C’est une tâche particulièrement difficile parce qu’il est pratiquement impossible de faire la distinction entre les opérations financières productives et celles qui ne le sont pas. Mais si la décision politique est un jour prise, il ne restera plus qu’à prendre les sanctions, la seule arme inventée dans le monde sans compter le bâton et la carotte ».

Le principe « too big to fail » (« trop grand pour faire faillite ») qui s’appliquait jusqu’ici et servait aux mastodontes financiers de bouclier contre la faillite aux fais des contribuables, est en train de s’effriter. Mais de toute façon, le chemin d’une faillite en douceur peut également être très long. On peut l’illuster par la procédure de faillite de Lehman Borthers qui se poursuit depuis plus de 4 ans.

french.ruvr.ru

10 décembre 2012

La guerre spirituelle derrière "LA LIBERATION DE L'ÉNERGIE ATOMIQUE"

 

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LA LIBERATION DE L'ÉNERGIE ATOMIQUE
Communication du « Tibétain », le 9 août 1945

« Aujourd'hui, je souhaite vous entretenir du plus grand événement spirituel qui se soit produit depuis l'apparition du règne humain, le quatrième règne.
Je veux parler de la libération de l'énergie atomique, telle qu'elle est relatée, cette semaine, dans les journaux du 6 août 1945, et ayant trait au bombardement du Japon.

Il y a quelques années, je vous avais dit qu'une ÈRE NOUVELLE serait introduite par les savants et que l'instauration du royaume de Dieu sur terre serait précédée par la réussite de recherches scientifiques. Ce premier pas a été accompli par la libération de l'énergie atomique, et ma prophétie a été justifiée en cette année très importante, l'An de Grâce 1945.
L'attention de l'homme est généralement braquée sur les aspects externes de la vie. Néanmoins, toutes les découvertes, telles que celles qui impliquent la révélation de la radioactivité ou celle qui fut annoncée cette semaine, et qui fait époque concernant les premiers pas de la domestication de l'énergie cosmique, sont toujours le résultat d'une pression interne, émanant de Forces ou Vies se trouvant dans des sphères supérieures. Ces pressions elles-mêmes fonctionnent selon les lois de l'Esprit et non seulement selon ce que l'on appelle les lois naturelles ; elles sont le résultat du travail d'impulsion de certaines grandes Vies, en rapport avec le troisième aspect de la divinité, l'aspect intelligence active, et s'attachant à l'aspect substance ou matière de la manifestation. La motivation de telles activités est issue de Shamballa.

Il y eut un afflux clairement dirigé d'énergie extra-planétaire libérée par les seigneurs de libération qui avaient été invoqués avec succès ; l'impact de cette énergie sur la substance atomique, base de recherche des savants, y apporta des modifications, ce qui leur permit de réussir.

Un effort concerté fut entrepris par un certain nombre de disciples travaillant dans des ashrams de cinquième et septième rayons, ce qui leur permit d'impressionner le mental de disciples moins avancés du domaine scientifique, et de les aider à surmonter les difficultés infranchissables qu'ils rencontraient.
La libération de l'énergie de l'atome en est encore à un stade extrêmement embryonnaire ; l'humanité ne sait guère l'étendue ou la nature des énergies qui ont été tirées de l'atome et libérées. Il y a beaucoup de types d'atomes constituant « la substances du monde » chacun peut libérer son propre type de force ; c'est l'un des secrets que l'âge nouveau révèlera, toutefois un bon et solide début a été fait. Je voudrais attirer votre attention sur les mots « libération de l'énergie ». C'est Cette libération qui est la note-clé de l'ère nouvelle, de même qu'elle a toujours été la note-clé de l'aspirant orienté spirituellement. Cette libération a commencé par libérer un aspect de la matière ainsi que certaines des forces de l'âme au sein de l'atome.

Pour la matière, cela a été une grande et puissante initiation analogue à celles qui libèrent l'âme des hommes.

Dans ce processus d'initiation planétaire, l'humanité a fait descendre son travail de sauveur du monde dans le monde de la substance, et a affecté les unités primordiales de Vie dont sont faites toutes les formes.

Vous comprendrez maintenant le sens des mots employés par tant d’entre vous dans la seconde des Grandes Invocations: Pour la force salvatrice, l’heure de servir est arrivée. Cette force salvatrice est l'énergie que la science a libérée, tout d'abord pour la destruction de ceux qui continuent (s'ils le font) à défier les Forces de Lumière travaillant par la voie des Nations Unies.

Puis, à mesure que le temps passera, cette énergie libérée introduira la nouvelle civilisation, le monde nouveau et meilleur et des conditions plus délicates et plus spirituelles, les rêves les plus élevés de ceux qui aiment leurs semblables peuvent devenir des possibilités pratiques, par le juste emploi de cette énergie libérée, si les vraies valeurs sont enseignées, mises en lumière et appliquées à la vie quotidienne. Cette « force salvatrice » vient d'être mise à la disposition de la science, et la prophétie que j'ai faite antérieurement est justifiée. »

Dans la prophétie, parue en 1934, dans le livre d'Alice Bailey, Traité sur la Magie Blanche, le Tibétain déclare :

« On pourrait noter ici que trois grandes découvertes sont imminentes qui, pendant les deux prochaines générations, vont révolutionner la pensée et la vie modernes. L'une est déjà pressentie et fait l'objet d'expériences et de recherches, la libération de l'énergie atomique. Ceci modifiera complètement la situation économique et politique du monde.

C'est aux Nations Unies qu'il incombe d'empêcher le mauvais emploi de cette énergie libérée, et de veiller à ce que son pouvoir ne soit pas prostitué à des fins égoïstes et à des buts purement matériels. Il s'agit d'une « force salvatrice » et elle a le pouvoir de reconstruire et de réhabiliter. Son juste emploi peut abolir la destitution, apporter le confort à tous sur la planète ; son expression, sous forme de mode de vie juste, si elle est motivée par de justes relations humaines, produira beauté, chaleur, couleur, abolition des formes actuelles des maladies, suppression pour le genre humain de toutes les activités qui impliquent la vie ou le travail sous terre. Elle mettra fin à l'esclavage humain, à toute nécessité de travailler ou de se battre pour acquérir des possessions et rendra possible un genre de vie qui laissera à l'homme la liberté de poursuivre les buts plus élevés de l'esprit. ( OUF ! )

Mais, mes frères, certains hommes lutteront pour l'empêcher ; les groupes réactionnaires de tous pays n'en reconnaîtront pas la nécessité, et ne désireront pas ce NOUVEL ORDRE MONDIAL que la libération de l'énergie cosmique peut rendre possible.

Cette nouvelle énergie libérée peut se révéler être une « force salvatrice » pour toute l'humanité, supprimant la pauvreté, la laideur, la dégradation, l'esclavage et le désespoir ; elle détruira les grands monopoles, supprimera la malédiction du travail ouvrier, et ouvrira la porte à l'ÂGE D'OR que les hommes attendent. Quand ces conditions nouvelles et meilleures seront établies, les hommes seront alors libres de vivre et de se mouvoir dans la beauté, et de chercher « le Chemin de Lumière ».

Extrait de Extériorisation de la Hiérarchie d’Alice BAILEY, médium de DJWAL KHOOL – éditions Lucis Trust

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