Ces Artefacts qui viennent remettre en cause architecture simpliste. de l'histoire,
Malheureusement, beaucoup de ces objets ont disparu ( ou bien on les a laissés disparaître quand ils étaient trop gênants ), et pour la plupart il ne nous reste que leur description lors de leur découverte.
Peuvent-elles être considérées comme des canulars ?
On remarquera plusieurs éléments :
Ces gens tout à fait respectables n'ont gagné que le ridicule, en réponse à leur honnêteté et leur courage d'avoir rendu publique leur trouvaille.
Ces découvertes fortuites se sont produites la plupart du temps devant témoins.
Enfin, on a du mal à imaginer que des plaisantins se soient donnés la peine d'incruster des objets dans la roche, ( il faudrait aussi qu'ils nous disent comment ils auraient procédé ), sans jamais se dévoiler, ( où serait alors le plaisir de la farce ? ), juste pour mettre dans l'embarras les scientifiques du XXe siècle !
Voici donc quelques-unes de ces découvertes impossibles :
Au XVIe siècle, en 1572, un clou en fer fut trouvé dans la roche d'une mine du Pérou, il mesurait 18 centimètres.
Il fut offert au Vice-roi espagnol du Pérou comme souvenir.
La couche géologique dont il a été extrait est estimée entre 75 000 et 100 000 ans.
Entre 1786 et 1788, près d'Aix-en-Provence, plusieurs trouvailles ont été faites dans une carrière de calcaire, dans laquelle les couches de roche alternent avec des strates de sable et d'argile.
A une quinzaine de mètres sous le niveau du sol, dans une couche de sable, des ouvriers trouvèrent tout d'abord des bouts de colonnes et des blocs déjà taillés ; plus bas, des pièces métalliques faisant penser à des pièces de monnaie, des manches d'outils en bois pétrifiés, une grande planche de bois également pétrifiée.
Et tout cela daterait de 300 millions d'années, si l'on admet que les théories classiques de la géologie, quant à la formation des roches d'une part et du délai de pétrification d'autre part, sont exactes.
En 1844, en Ecosse, entre les rivières Tweed et Rutherford, des ouvriers trouvèrent un fil d'or incrusté dans la roche à 2,5 mètres de profondeur.
Il fut exposé au siège du journal local, le Kelso Chronicle.
Un autre clou en fer a été retrouvé, au milieu du XIXe siècle, en 1845, dans un bloc de pierre de la carrière écossaise de Kingoodie, sa tête mesurait 2,5 centimètres. Elle était en contact avec une couche de gravier et légèrement corrodée, alors que le reste du clou était prisonnier de la roche.
En 1851, à Dorchester ( Massachusetts ), au cours d'une opération de minage, les deux parties d'un vase ont été arrachées de la roche dynamitée.
Ce vase fait 11,3 centimètres de hauteur, il est en alliage de zinc, à très forte teneur d'argent semble-t-il, et finement décoré ; âge estimé, 100 000 ans ( voir photo en haut de page ).
Il a, à l'époque, voyagé de musée en musée, puis a disparu...
La même année, dans le même Etat, à Springfield, monsieur De Witt brisa accidentellement un morceau de quartz aurifère qu'il avait ramené de Californie.
A l'intérieur, se trouvait un clou en fer forgé de 5 centimètres, légèrement corrodé, absolument droit avec une tête parfaitement formée.
La pierre est âgée d'un million d'années.
Toujours en 1851, dans le Comté de Whiteside ( Illinois ), deux objets en cuivre ont été remontés d'une profondeur de 36 mètres lors d'un forage. Ils ressemblaient à un hameçon et à une bague, âgés d'environ 150 000 ans.
En 1865, un morceau de feldspath, retiré d'une mine de Treasure City ( Nevada ), contenait les restes oxydés d'une vis effilée.
La pierre est âgée de 21 millions d'années.
En août 1870, à Lawn Ridge près de Peoria ( Illinois ), avec deux autres compagnons, J.W. Moffit trouva une pièce dans les gravats du puits artésien qu'ils étaient en train de forer.
Le Professeur A. Winchell étudia l'objet composé d'un alliage de cuivre non identifié à l'époque. Malgré la morsure du temps, la pièce ronde présentait des arêtes bien découpées et une épaisseur remarquablement uniforme. Le dessin, représentant un visage féminin surmonté d'une couronne, semblait avoir été gravé à l'acide. Sur l'autre face, un animal aux longues oreilles pointues avec une longue queue effilochée, était accompagné d'un autre ressemblant à un cheval. Sur le pourtour des deux faces, les caractères d'une écriture inconnue se laissaient deviner.
Trouvée à plus de 30 mètres de profondeur, elle pourrait être âgée de 100 000 à 150 000 ans.
En automne 1885, un objet cubique a été trouvé dans un bloc de charbon du tertiaire ( datant de 60 millions d'années ) dans une mine en Allemagne.
Le parallélépipède a été étudié par le Dr A. Gurlt. D'après les publications faites en 1886 sur cet objet, il est interprété tout d'abord comme une météorite fossile, et semble avoir été "retravaillé, usiné" !...
L'objet fait 7 centimètres sur 7 sur 4,5 , et a une densité de 7,75. Quatre de ses faces sont parfaitement planes, les deux autres, opposées, sont légèrement convexes. Une rainure profonde en fait le tour à mi-hauteur.
Endommagé par les différents prélèvements effectués, on en fera un moulage en plâtre au début du siècle.
En 1910, il disparaît de l'inventaire du musée de Salzbourg où il était conservé.
On le retrouve exposé de 1950 à 1958, au musée national d'Oberosterreichisehes de Linz ( Autriche ), où est également conservé le moulage.
Il est maintenant la propriété de M. O.R. Bernhardt du musée Heimathaus de Vöcklabrück, en Autriche.
Des études complémentaires effectuées par divers instituts scientifiques de Vienne, en 1966-67, 1973 et 1986, concluent définitivement que l'objet en fonte, n'est pas une météorite et a été coulé dans un moule.
"l'histoire est un mensonge que personne ne conteste" Napoleon