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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
31 mars 2013

Des disques volants nazis aux Ovnis militaires

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Des disques volants nazis aux Ovnis militaires
Partie 3 : Les sombres menées du SS Kammler

Le SS Kammler, inventeur des « blacks projects »?

La récupération de ces thèmes par l’extrême droite ne doit pas nous empêcher d’examiner ces hypothèses selon lesquelles la SS avait un programme très avancé en matière d’armes exotiques, non conventionnelles et en matière de disques volants. Car une des principales conséquences des recherches nazies serait que les Américains (ainsi que les Soviétiques) auraient pu bénéficier par le biais de l’opération Paperclip du fruit de ces recherches. Et, toujours selon certains enquêteurs comme Nick Cook, la majorité des « Skunk Projects », des projets secrets de l’Air Force par exemple en matière de furtivité, de propulsion MHD ou d’antigravitation (si ceux-ci existent) seraient les « descendants » des premiers projets allemands.

 

Que cela soit dans les versions ésotériques, peut-être fantaisistes ou plus proche de la vérité historique de l’histoire des disques volants nazis, un personnage central revient à tous les coups: le brigadefürher SS Dr Ing (ingénieur) Hans Kammler devenu ensuite Obergruppenführer. Un homme mystérieux qui a sans doute joui à certains moments de la guerre de plus de pouvoir que le Reichfürher Himmler lui-même alors que ce dernier était son supérieur hiérarchique. Hans Kammler a connu une ascension aussi rapide, brutale qu’irrépressible mais certainement pas étonnante au vu des qualité de froideur organisatrice et d’implacabilité du personnage. Des traits de caractère qui sont bien vus au sein de la SS. A la mi-1943, on assista sous l’impulsion de Himmler lui-même à un véritable coup d’état au sein du cartel militaro-industriel allemand. Le grand chef de la SS persuada Hitler qu’il était nécessaire de faire en sorte que les recherches de pointe en armement échappent au contrôle de l’armée allemande -la Wermacht- et que les cartels industriels qui travaillaient dans le cadre de certains projets devaient être contrôlés par des mains 100% allemandes, 100% nazies donc 100% fidèles, à savoir la SS. C’est ainsi que le projet concurrent au V1 (ce célèbre drone, bombe volante, sorte d’avion sans pilote qui était lancé via une catapulte), la fusée A4 (ou encore V2) échappa très rapidement au contrôle exclusif de l’armée allemande et d’Albert Speer alors ministre de l’armement pour se retrouver entre les mains des SS suite au bombardement anglais de l’usine de Peenemünde. La raison en était essentiellement structurelle car la SS avait mis sur pied un véritable empire composé d’une main d’œuvre d’esclaves corvéables à merci et que l’on pouvait éliminer sans problème lorsqu’ils devenaient des témoins gênants. Par conséquent, les risques d’espionnage, de fuites, de sabotages et d’infiltrations d’agents étrangers parmi la main les travailleurs du STO et des ingénieurs étrangers étaient réduits au stricte minimum grâce à l’emploi d’une main d’œuvre concentrationnaire destinée à la mort. Himmler fit alors appel à Kammler car en tant qu’ingénieur nommé à la Division des travaux et des constructions SS, il s’était consacré corps et âme avec une efficacité redoutable à la construction en des temps de records de camps de concentration, de hangars, de bunkers et d’usines souterraines tout d’abord en tant que civil pour Herman Goering et ses services de la RLM (Reich Air Ministery, ministère de l’air du 3ième Reich) ensuite pour la SS d’Oswald Polh (le grand patron des camps) dans les services logistiques des camps de concentration. Il n’allait donc pas sortir de son domaine de prédilection. Dès la fin 1943, Kammler avait déjà élaboré un programme de plus de 13 milliards de marks pour la construction de baraquements pour la SS et de camps de concentrations dans les territoires compris entre la Norvège et l’URSS. Quelque mois plus tard encore, il obtint une nouvelle rallonge budgétaire très conséquente afin d’agrandir la capacité d’accueil des camps à plus de 4 millions de personnes. Et en annexe à ces camps étaient bien entendu édifiés de gigantesques complexes industriels. Kammler est décidément le prototype même du SS à la Heydrich, l’homme qui élabora à Wansee la « solution finale » à savoir l’extermination complète des juifs et de tous les « sous-hommes ». C’est au sein de cet empire que furent édifiés les complexes souterrains de Peenemünde, de Dora ou de Nordhausen, une usine creusée dans la montagne déroulant plus de 20 kilomètres de galeries et de tunnels dans le seul et unique but de construire dans le plus grand secret le programme de fusées et de missiles des nazis et donc l’édification coûta plus de 20.000 morts. Mais ce ne fut pas la seule mission du protégé de Himmler. A la fin de la guerre, Hitler lui-même confia à Kammler la mission de réformer la Luftwaffe du « fidèle Hermann » (Hermann Goering) alors en pleine déliquescence. Goebels , patron de la propagande nazie écrivit sur Kammler le 3 avril 1945:  » Kammler travaille de façon excellente et répond à merveille aux espoirs que l’on a placé en lui « . Qu’est-ce que cette phrase peut bien signifier alors que tout est perdu en ce début avril 1945 et que la guerre ne pouvait plus être gagnée? L’homme devait certainement avoir une mission très particulière sans grand rapport avec la refonte de la Luftwaffe proche de la destruction totale.

Revenons sur les différentes missions de Kammler. Outre la construction des camps et des usines, il aurait en fait créé une unité de recherche en armement ultra secrète et totalement autonome, disposant d’une autorité absolue et de budgets très importants ne dépendant pas du bon vouloir d’un ministère ou d’un autre ou encore de l’armée régulière. C’est sur les activités de cette unité que nous allons nous pencher mais également sur son devenir à la fin du conflit. Pourquoi s’attarder ainsi avec un tel luxe de détails sur ce mystérieux général ? Parce que la description de son caractère, de ses compétences et de ses missions rend plausible les allégations de Cook à propos d’une ténébreuse opération menée à la toute fin de la guerre et qui concernerait notre sujet !

Il est très difficile de trouver des informations originales sur Hans Kammler, même au musée de l’armée de Bruxelles. Certes, cette figure incontournable des projets d’armements exotiques de la SS est cité par exemple dans la littérature concentrationnaire puisqu’il a construit nombre de camps. Il serait l’un des créateurs et logisticiens qui a édifié les premières installations génocidaires (chambre à gaz et système d’incinération industriel) et surtout, dans le domaine qui nous intéresse, il a dirigé d’une main de fer le camp de Dora, l’installation souterraine construite après le bombardement de Peenemünde pour produire en série les fusées A4-V2. (cfr: voir le livre « Dora » de Jean Michel Edition Lattès, Livre de Poche). Vesco et Childress parlent également du rôle de Kammler en déplorant aussi le manque de données biographiques à son égard. Quant à Nick Cook, le fameux consultant du Jane’s Defence Weekly, il s’est même demandé si les alliés n’avaient pas tenté de supprimer le plus d’informations disponibles sur l’individu. Pour finalement découvrir une piste par l’intermédiaire d’un archiviste de l’Imperial War Museum de Londres qui lui a signalé l’existence d’un ouvrage et de son auteur: un certain Tom Agoston , un correspondant étranger ainsi qu’un spécialiste interprète de photographies aériennes auprès de l’armée anglaise pendant la guerre et diplômé de Cambridge avait rédigé sa version restée assez confidentielle de l’histoire des armes secrètes nazies dans « Blunder, How the US Gave Away Nazi Supersecrets to Russia ». Agoston affirme avoir rencontré les derniers témoins des activités ultra secrètes de Kammler. Pour Agoston, la mission de Kammler était cruciale puisqu’il était en fait à la tête d’un centre de recherche top secret dans lequel on construisait  » des armes secrètes de seconde génération au développement déjà bien avancé « , ce que l’on appellerait aujourd’hui dans le jargon militaire américain un « SS research Think-Tank » pour des « special projects ». Exactement le genre d’endroit « où l’on s’attendrait à trouver de la technologie sur l’anti-gravité  » note encore Nick Cook avec une quasi délectation.

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Sécurité maximale pour le projet SS Kronos

La documentation et le témoignage d’Agoston permettent à Cook de constater que l’équipe spéciale constituée par Kammler pour ses travaux visionnaires était en fait une section bien compartimentée travaillant dans les usines Skoda en Tchécoslovaquie, totalement indépendante du groupe Skoda et de n’importe quelle autre autorité et qui a sans doute démarré ses activités très spéciales dès juin 1942. Agoston précise aussi que le département R&D (recherche et développement) du Kammlerstab (l’équipe de Kammler) était surveillé par un triple cordon de sécurité composé par des spécialistes SS du contre espionnage spécialement formé pour cette tâche. C’est dire si l’enjeu des travaux de cette équipe était capital et ultra secret. Agoston a rencontré et a assisté à l’interrogatoire d’un témoin et acteur capital de l’équipe Kammler, un certain Colonel Wilhelm Voss , directeur général de Skoda et comme c’est souvent le cas pour les hauts cadres, Colonel honoraire dans la SS. En tombant sous l’autorité directe de Kammler, cette branche « recherche et développement »  de Skoda devenait totalement indépendante de la bureaucratie et pouvait conserver un secret total autour de ses activités grâce à ce fameux triple cordon de sécurité. Cook découvre alors que le peu de données, voir l’absence totale de données matérielles et historiques sur ces recherches est due aux strictes mesures de sécurité imposées par Kammler mais aussi à cause de son attitude criminelle qui a consisté en l’élimination systématique de tous les participants à ses projets (des prisonniers en passant par le « petit personnel » ouvrier civil jusqu’aux ingénieurs) dans le cadre d’une opération préméditée et rondement menée juste avant l’arrivée des Russes. Au cours de cette opération type « terre brûlée », Kammler aurait reçu de Hitler et de Bormann une autorité totale, supérieure à Himmler lui-même. C’est dans le cadre de cette opération que les technologies les plus sensibles, celles relatives sans doute à l’antigravité, auraient été évacuées, selon un chercheur polonais, Igor Witkowski (nous verrons cela dans quelques instants), d’abord par camions ensuite par avions et sous-marins jusque en Espagne puis en Amérique du Sud. C’est de là que serait sans doute né le mythe de l’évacuation des secrets et de la puissance allemande dans des bases en Antarctique. Tout simplement parce que des U Boat chargés de technologies sensibles devaient faire escale dans le continent de glace avant d’arriver en Amérique du Sud. Tous ces éléments factuels proviendraient du contenu d’un interrogatoire mené par les alliés, à savoir le US CIC (Counter Intelligence Corps) sur Voss, un Voss qui se serait ainsi confié à Agoston. L’affaire serait d’autant plus sensible que Voss aurait demandé spécifiquement à Agoston de ne jamais divulguer dans des publications ces éléments relatifs à l’équipe Kammler, secret qui sera respecté par Agoston jusqu’au décès du colonel honnoraire en 1974 . Le même Agoston aurait par la suite tenté mais sans succès d’obtenir une copie des PV d’interrogatoire mené par le US CIC sous le couvert du Freedom for Information Act mais sans succès, les autorités allant jusqu’à dire que ces interrogatoires n’avaient jamais existé. Il faut donc croire Agoston sur parole et c’est bien ce qui pose problème aux sceptiques et aux détracteurs de Nick Cook. Pourtant, selon Cook, il subsisterait dans les archives américaines des indices accréditant l’existence de recherches nazies sur des technologies exotiques comme par exemple les documents « Lusty »  évoquant des recherches sur «  des armes à énergie, des lasers et des armes anti-aériennes à rayon  ». Ces recherches auraient été conduites à Vienne dans un centre secret situé 87 Weimarestr. Cook décrit par le détail toutes les tractations de Kammler avec ses supérieurs hiérarchiques ainsi qu’avec ses concurrents comme von Braun ou Speer pour constituer son équipe de recherche et nous fournit bien trop de détails pour que cela soit le fruit d’une pure mystification. Autre témoin et chercheur critiqué par les sceptiques, le polonais Igor Witkowski que l’on dit animé par des mobiles douteux et qui aurait tout simplement mené Cook en bateau. Possible mais les sceptiques ne m’en ont pas apporté une preuve palpable et convaincante. Witkowski se serait donc longuement documenté sur le Kammlerstab et sur Wilhelm Voss pour découvrir qu’une bonne partie des équipes de Kammler planchait sur le nucléaire. Il y aurait eu à la fin de la guerre des négociations top secrètes entre Kammler et les services de renseignements américains pour revendre des technologies très précieuses. Witkowski explique à Cook que Kammler avait mis au point une opération d’évacuation, « Special Evacuation Kommando  » au cours de laquelle les SS auraient réussi à évacuer en pièces détachées par camions, par avions spéciaux (des Ju290 et 390) et par U Boat les éléments technologiques relatifs à la recherche en matière d’antigravitation, une installation que Cook nommera dans son ouvrage sous l’appellation « The Bell », « la cloche » (des recherches baptisées par le nom de code Chronos et « Laternentrager ») et dont il a visité les supposées ruines près de Nordhausen. Pour cette opération d’évacuation, Kammler aurait bénéficié de toute autorité grâce à Martin Bormann, l’éminence grise de Hitler, passant ainsi au dessus de l’autorité du chef de la SS, Himmler. Quant à la plupart des ingénieurs et des scientifiques, ils auraient tout simplement été abattus entre le 28 avril et le 4 mai 1945 par les SS, précise Witkowski à Cook, ce qui explique la quasi impossibilité de découvrir des témoins sur les véritables buts des recherches de l’équipe Kammler, des recherches d’une portée telle que cela aurait justifié un si grand nombre d’assassinats. Ces assassinats auraient été perpétrés par des membres des Sonderkommando, les bataillons mobiles de tueries qui s’étaient fait une spécialité de ces meurtres collectifs qui ne devaient pas laisser de traces. Deux SS par victime, deux équipes, 31 balles par équipe et des déportés pour creuser les fosses….les détails donnés par le consultant du Jane’s sont très nombreux. Cook décrit alors de façon très convaincante le type de recherche menée dans « the Bell » dans le cadre de l’opération Chronos, des recherches ayant pour but de générer des vortex et de l’antigravité. Ces recherches ont-elles été couronnées de succès ? Cook l’ignore et ne peut que faire des suppositions. Il retrace alors toutes les recherches menées en matière d’antigravitation par les alliés dans les remous de l’opération Paperclip. Et il ne peut s’empêcher de penser aux successeurs supposés de ces équipes de recherche allemandes, les « black budget, » et autres « skunk project » américains dont certains membres, au milieu des années 50 «  furent contraints au silence par de ténébreuses équipes d’agences de renseignement afin de garder secrète la vérité sur les véritables percées technologiques allemandes après la seconde guerre mondiale  ». Bref, pour Nick Cook, il semble acquis que les Américains ont réellement mis la main sur quelque chose après la défaite des nazis et la technologie furtive des ailes volantes du genre B2 et F117 ne serait que la suite et les répercussions des premières recherches exotiques allemandes. Comme nous l’avons déjà mentionné, le travail de Cook a été critiqué par les sceptiques, comme par exemple, les gens du Fortean Magazine parce que l’intéressé, sans doute de bonne volonté, aurait été manipulé par des inconnus aux intentions peu louables dont le but était «  de rendre au régime nazi des dehors plus favorables et ce par le biais de manipulations et de mensonges  ». On parle même « d’individus agissant pour le compte d’un groupe qui suit un plan spécifique », à savoir un travail de relations publiques pour le compte de l’idéologie nazie. Et de s’étonner que Cook n’ait pas été mis en garde contre les activités de ces agents manipulateurs ou qu’il n’ait lui-même pas su faire preuve de plus de discernement. Les reproches à l’adresse de Cook se focaliseront surtout sur le chapitre relatif à Victor Schauberger, cet autodidacte autrichien, passionné par les forces de la nature qui aurait mis en point un générateur d’énergie qui copiait les forces dégagées par les vortex et les tourbillons générés par l’eau. Certains auteurs affirment que Schauberger aurait mis au point une soucoupe volante pour les SS puis pour les Américains et l’illustration représentant son générateur (le Repulsine) ou plutôt sa « turbine à eau » dont l’apparence évoque une soucoupe volante a bien souvent été « maquillée » en Ovni nazi en l’ornant d’une croix germanique. Le « Cook Report », ce document qui critique le livre de Cook, estime que tout ce qui a été rapporté au consultant anglais à propos de Schauberger relève de la plus haute fantaisie… mais sans nous dire exactement pourquoi. Tout comme on ne nous explique pas clairement pourquoi Witkwoski est un personnage peu crédible. Ni qui serait ce mystérieux groupe pro nazi obéissant à « un plan spécifique » et qui exactement aurait manipulé Cook en lui envoyant des informateurs chargés de lui raconter des mensonges. L’auteur du rapport Cook et du rapport sur les Ovnis nazis conclut :«  je ne vois aucune raison qui me permet de croire que Victor Schauberger ait été capable de faire tout cela…, ou qu’il a construit un disque volant …  ». Et pour ma part, je ne vois pas de raisons de croire aveuglément les conclusions de l’auteur du Fortean Magazine. Si cela vous intéresse, jetez un œil sur le chapitre « the Cook Report » dans l’article que le Fortean Magazine consacre aux Nazis UFO.

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Sceptiques contre croyants, qui sont les gagnants ?

Je dois confesser que tout au long de cette enquête, mon opinion a changé de manière quasi diamétrale. Au départ, je croyais –non sans une certaine frayeur mais aussi sans une certaine fascination- qu’il y avait un fondement plus que concret à ce dossier des Ovnis nazis et à l’existence des vaisseaux Vrils et Haunebu. Aujourd’hui je suis beaucoup moins affirmatif et mille fois plus méfiant. Au delà de l’aspect « extrême droite », je me rend compte au fil de mes lectures et échanges de courriers sur l’affaire qu’il est très difficile de se forger une opinion circonstanciée car les arguments des sceptiques ne répondent pas à toutes les questions loin de là. D’ailleurs, l’un d’entre eux, Kevin Mc Lure , auteur d’un article assez sobre et bien équilibré sur le mythe des soucoupes nazies, a listé sur le Web une longue liste de questions à laquelle il n’avait toujours pas de réponses, ce qui démontre l’honnêteté du personnage. J’ai bien tenté de confronter les recherches et donc théories de deux passionnés de l’affaire, Kevin Mc Clure d’une part endossant la défense du camp des sceptiques et Tim Matthews (Flying Saucers, Secret History) d’autre part qui persiste dans l’idée que les soucoupes nazies ont vraiment existé, du moins dans une certaine mesure. Et je suis aujourd’hui incapable de les départager car je ne possède pas les moyens matériels (références bibliographiques, testimoniales etc…) pour donner complètement raison à l’un ou à l’autre.

Examinons par exemple de façon très brève la vision du dossier de Kevin Mc Lure. Celui-ci estime qu’avant 1950, il n’y avait aucune publication, aucun article de quelque ordre que ce soit sur des soucoupes nazies et autres aéronefs exotiques. La première fois que l’on en parle, c’est en 1950 dans une dépêche d’agence publiée par le magazine allemand Der Spiegel qui relate les propos d’un soit disant Capitaine Rudolph Schriever qui évoque l’existence d’un projet théorique de disque volant, le fameux disque Schriever-Habermohl-Miethe et Belonzo . En 1957, un certain Major Lusar dans l’ouvrage « German Secret Weapons of the Second World War » colporte la même histoire mais affirme que le disque était opérationnel et lui confère des données et des performances qui semblent fantaisistes. Mc Lure estime que l’existence même de Schriever n’est pas confirmée (il était trop jeune au moment de la guerre) et ajoute que les données les plus fantaisistes et les plus imprécises circulent sur les autres participants au projet (Habermohl et consort), voire qu’ils n’ont jamais existé (aucune trace dans aucune archive historique ou militaire d’aucune sorte).

En résumé, on peut dire que les premières publications sur le sujet datant des années 60 de Schriever, Lusar puis Vesco (« Intercept But Don’t Shoot ») sont toujours sujettes à caution. Mc Clure – il n’est pas le seul, loin de là – affirme donc ne pas avoir trouvé d’indices probants démontrant que les faits « fondateurs » des Ovnis nazis sont palpables, incontournables et vérifiables. Quant à l’origine du corpus de croyances sur les Vrils et Haunebu, Mc Lure souligne par exemple le rôle très important joué par les écrits d’Allen Harbinson avec sa série de nouvelles « Projekt Saucer » qui ne sont que des œuvres de fiction paraît-il très bien construites. De la même manière, Mc Lure passera à la moulinette une grande partie des autres affirmations proférées par Chilldress, Cook et quantité d’autres chercheurs de type « croyant ». Il s’intéresse tout particulièrement à Branton et ses « Omega Files », un mystérieux protagoniste du Web, extrêmement prolixe sur le conspirationnisme en général et sur les Short Greys que certains sceptiques décrivent comme un agent désinformant de la CIA. Mc Lure le place au même niveau que Terziski de par l’imagination fertile et se pose lui aussi des questions sur les mobiles qui anime «  ce personnage impliqué dans des affaires d’abductions depuis sa prime enfance…, programmé avec une personnalité double ou comme agent dormant pour la CIA  » Et de souligner que le dossier Omega de Branton appelé « Nazi Files » est un autre exemple «  de présentation de choses incroyables sous forme de faits  », parlant à son sujet de «  désert moral et intellectuel  ». Car Mc Lure s’emporte contre Branton principalement parce que celui-ci utilise des éléments de l’Holocauste (par exemple, le soit disant envoi de déportés de Buchenwald en Antarctique pour construire une base secrète pour Ovnis) qu’il déforme pour donner corps à ses fantasmes et se demande quelle genre de pulsion peut bien pousser Branton à de telles constructions de l’imaginaire opérées sur le dos des déportés. Mc Lure a raison, il y a quelque chose de détestable dans cette réécriture de l’histoire, quelque chose d’autant plus désagréable que cela introduit des notes d’invraisemblance dans le dossier de la déportation. Mais malgré tout, en dépit de ces invraisemblances, si Branton était quand même de bonne foi ? Car Mc Lure ne nous apporte aucune preuve que l’intéressé raconte totalement des inepties si ce n’est le fait que ces faits n’ont jamais été rapportés d’une quelconque façon dans la littérature concentrationnaire. Enfin, Mc Lure reconnaît qu’il y a encore pas mal de choses à éclaircir dans cette affaire, notamment suite à la publication récente d’un livre sur le 3 ième Reich en Antarctique et en Amérique du Sud, « Arktos », rédigé par une certaine Jocelyne Goodwin . Avec Mc Lure, le mythe se dégonfle brique après brique, souvent de façon convaincante, parfois avec des raccourcis qui ne me satisfont pas. Il serait fastidieux de se pencher sur tous les éléments qu’il énumère pour écorner l’affaire de l’Amiral Byrd, les bases en Antarctique, les Vrils, Haunebus, Foo Fighters car finalement, c’est l’aveu de ne pas pouvoir répondre à toutes les questions, éclaircir toutes les zones d’ombre qui crédibilise le travail de Mc Lure et le rend modeste, donc touchant et humain, ce qui est rare dans le domaine.

Autre cas de figure, totalement inverse , celui de Tim Matthews qui se fait l’avocat de ceux qui croient en l’existence d’une partie du mythe des Ovnis nazis ou à tout le moins d’une origine humaine aux Ovnis puisqu’il n’hésite pas à affirmer que «  les soucoupes volantes se sont développées jusqu’à un certain degré en parallèle de chaque côté de l’Atlantique au cours de la seconde guerre mondiale  », en d’autres termes, pour Matthews, il faut voir derrière les Ovnis l’œuvre du monde du renseignement (de « l’Intelligence ») plutôt que l’œuvre d’une intelligence extraterrestre. Ce croyant ou plutôt ce croyant qui aimerait bien se faire la peau de quelques sceptiques, incarne une nouvelle tendance dans la recherche sur les Ovnis nazis, celle qui refuse la main mise de l’extrême droite sur l’affaire. Pour lui «  tout d’abord, ce n’est certainement pas le cas que les avocats défendant la thèse des soucoupes volantes construites par l’homme fassent automatiquement l’apologie du régime nazi, comme cela est suggéré par les sceptiques qui affirment que parce que certains des chercheurs « nazis » en Ovnis sont douteux en matière de propagande politique, par conséquent, toute forme de recherche dans ce secteur n’est pas valide. Ce genre de culpabilisation par le biais de l’association est la manière la moins efficace de débattre avec les preuves…  » affirme-t-il dans un article publié sur le Web, « Flying Saucers – Secret History ». Matthews ne rejette pas l’histoire des soucoupes volantes nazies sous prétexte que l’affaire des Vrils et des Haunebu est totalement invraisemblable et qu’elle fait pas la part belle aux séides de Hitler, Himmler et autres sadiques dégénérés. Il revient sur les recherches effectuées par le professeur Heinrich Focke (constructeur des célèbres Focke Wulf) qui s’est intéressé très tôt au décollage vertical et aux technologie relatives au rotor et aux hélicoptères, il passe en revue les travaux des frères Horten dont les ailes volantes ont été popularisées tant au cinéma (Les Aventuriers de l’Arche Perdue) qu’en BD (voir l’aile volante façon Horten dans le Secret de l’Espadon de Jacobs ) et dont on peut être certain que la firme Northrop Grumman s’est inspirée avec le fameux bombardier B2 (voir à ce sujet Horten et les B2, l’article très intéressant de Jean-Pierre Petit ainsi que son étonnant et passionnant livre sur « les Ovnis et les armes secrètes américaines »). Matthews s’attarde plus longuement sur le AS6 (V1) mis en évidence dans la revue « Flugzeug Profile » (évoquée plus haut dans ce papier) grâce à un article rédigé par Hans Herbert et Hans Meier dans la revue « Luftfahrt International » datant de 1980 mettant en évidence les propriétés de furtivité des ailes circulaires. Matthews insiste sur le fait que les recherches sur les ailes circulaires n’avaient aucun rapport avec des connections ésotériques et autres connaissances occultes relatives à l’énergie Vril «  et autres non sens  » mais seulement parce que ce genre de design possèderait des propriétés furtives « et que les ailes circulaires sont plus robustes et plus faciles à construire ». Toujours selon Mathews, le premier appareil à aile circulaire et à propulsion par jet a été imaginé et sinon construit autour de 1943 et de citer comme source, le témoignage de Rudolph Schriever qui en 1950 aurait affirmé avoir travaillé dans les environs de Prague sur un véhicule de type « soucoupe volante ». Il cite également le fameux article de Der Spiegel tant contesté par Mc Lure. Mathews passe aussi en revue toutes les armes exotiques sur lesquelles les allemands se sont penchés : ailes volantes, missiles filoguidés, armes à particules, eau lourde etc… Quant à la raison pour laquelle les recherches dans ces domaines n’ont pas abouti, il met en avant l’attitude très rétrograde de Hitler lui-même à l’égard de ce que l’on pourrait appeler les nouvelles technologies, à savoir «  l’indifférence de Hitler et de son immédiate hiérarchie pour la recherche dans les sciences nouvelles,  naturelles qui pouvait aller jusqu’à une positive hostilité  ».

Des chefs nazis rétrogrades en matière d’armements ?

Nous voici donc très loin de l’image d’Epinal d’un Hitler passionné par les sciences « underground », les solutions radicalement novatrices, féru d’occultisme et investi totalement par les pseudo recherches dans les énergies ésotériques, les Vril et autres engins inspirés par des guides extraterrestres de type aryens. C’est sans doute la raison pour laquelle les fameuses armes miracles qui devaient sauver le cours de la guerre, la fusée A4 ou l’avion à réaction par exemple sont arrivées si tardivement sur le terrain des opérations : Hitler n’y croyait tout simplement pas. Nous sommes à des années lumières de cette autre représentation d’un Reich magique, d’une Waffen SS ultra puissante, toute dévouée aux décisions innovantes d’un chef visionnaire guidé par des puissances magiques. Le fossé entre ces deux représentations est tel qu’il ne laisse pratiquement aucune place à un moyen terme, à un réel où une partie du mythe des Ovnis nazis aurait sa place et aurait donc existé. Le scepticisme me semble pour l’instant être l’attitude la plus confortable et la plus fondée puisque l’avocat même des croyants avance certains arguments imparables qui dégonflent le mythe. Et que les éléments matériels historiques que l’on peut « tracer » sont d’une maigreur impressionnante. Il reste les nombreuses questions sans réponses que les sceptiques n’abordent pas de façon convaincante, des questions relevées par l’un de leur meilleur avocat, Tim Mc Lure. Il reste certaines affirmations énigmatiques de gens comme le Colonel Corso , ex Colonel au département « technologies étrangères » du Pentagone qui affirme que l’armée US a bel et bien récupéré une soucoupe extraterrestre à Roswell et possèderait des modèles opérationnels. Dans son livre, il évoque l’étrange phrase de son supérieur hiérarchique, le Général Trudeau qui lui demandait d’inventorier les recherches technologiques que les Allemands avaient faites pendant la seconde guerre mondiale, de récupérer ce matériel et « de l’incorporer dans les recherches en cours  ». Mais Trudeau fait soudainement allusion à d’autres technologies que celles plus classiques de l’avion à réaction, du canon Grosse Bertha ou des nouveaux Panzers : «  le matériel dans cette armoire est légèrement différent de celui qui nous passe entre les mains. Je ne sais pas ce que vous avez eu l’occasion d’apprendre sur cela quand vous étiez à la Maison Blanche mais avant d’écrire un quelconque rapport, vous devriez faire une petite recherche sur le dossier Roswell  ». Voilà une très étrange phrase, une très bizarre suggestion de relier Roswell aux recherches des nazis. Mais bon, pour les sceptiques, Corso est sans doute du même tonneau, un mystificateur, un agent désinformant payé par on ne sais quelle officine de renseignement de l’armée pour des raisons que l’on ne comprend pas très bien. C’est possible. Mais une fois de plus, il ne suffit pas de dire que Corso raconte des bobards parce qu’il nous fait part de choses invraisemblables (comme les voyages interplanétaires, les bases sur Mars et sur la Lune). Et puis, il y a les constatations de gens comme Jean-Pierre Petit ou même de Nick Cook qui laissent transparaître le fait que la version officielle sur les progrès opérés en matière d’antigravitation ou de propulsion MHD par l’Air Force et les autres officines de recherche et développement n’a pas grand rapport avec ce qui se passe réellement sur le terrain. Il est curieux de constater qu’officiellement, on est quasiment nul part en matière d’antigravitation. A titre d’exemple, les recherches menées par la Nasa ou par British Aerospace ont à peine été capable d’isoler un effet antigravitationnel et les chercheurs sont aptes par exemple, par le biais de certains appareils, à supprimer à peine de 1 à 2 % du poids d’un objet lorsqu’il est soumis à ladite technologie antigravitationnelle, le but étant de découvrir le point zéro, l’annulation totale de la gravité. Curieux paradoxe donc que ces recherches qui coûtent des dizaines de millions de dollars pour arriver à des effets peu concluants face à d’autres chercheurs, non officiels ceux-là qui, œuvrant dans leur garage de banlieue, seraient arrivés à faire décoller tel ou tel objet, à produire des quantités d’énergie absolument incroyables. Des gens que l’on doit alors croire sur parole et dont on peut facilement se procurer les coordonnés dans des magazines comme Nexus ou dans des livres sur l’énergie libre (celui de Jeane Manning aux éditions Louise Courteau par exemple), autre pomme de discorde entre physiciens « sérieux » et autres Pr. Tournesol « Underground ». Nick Cook ne peut s’empêcher de penser que l’on a pu faire silence sur les véritables percées scientifiques des nazis en matière d’antigravitation car «  ces révélations auraient provoqué la mort prématurée de la toute jeune science aérospatiale… Une science qui aurait rendu leur propre monde redondant  » et donc inutile, ce qui aurait sonné le glas « des missiles balistiques, des avions à réaction, des armes guidées, des avions transatlantiques  » et de la conquête spatiale telle que nous l’avons connue. Une hypothèse et une logique très séduisante mais qui ne valide pas l’existence des Ovnis nazis parce que cette hypothèse est justement logique !

Les questions demeurent

Au terme d’une lecture non exhaustive de ce dossier des Ovnis nazis, une partie de mes questions demeurent et je m’interroge toujours sur l’origine de certaines histoires et certains clichés même si l’hypothèse d’une motivation idéologique à la construction de ces récits me semble très naturelle, tentante et partiellement satisfaisante. D’une part, comme nous l’avons vu,  le mythe des Ovnis nazis sert le camp de l’extrême droite en accordant au régime hitlérien une aura de mystère, de magie et d’universalisme (via l’influence présumée d’une civilisation extraterrestre). D’autre part, d’autres intervenants plus proche du milieu New Age et pas nécessairement nazi au premier abord s’en servent pour la constitution d’une nouvelle religion, sorte de syncrétisme alliant Bouddhisme et Egyptologie, créant avec les nazis et leurs Ovnis l’image d’un ennemi tout puissant, de type luciférien qui a détourné des forces bienfaitrices pour leur propre compte. Une telle puissance incarnée par un tel ennemi qui a profondément marqué l’histoire ne peut alors que légitimer toutes les digressions et constructions ésotériques, idéologiques ou religieuses qui en découleraient. Mais je demeure ouvert à l’idée que cette affaire d’Ovni nazis n’est pas sortie de nul part uniquement pour satisfaire les besoins justificateurs de certains groupements. Je ne peux m’empêcher de ressasser encore et toujours cette petite phrase : « Et s’il y avait malgré tout un fond de vérité là dedans »

Source: Karmapolis

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31 mars 2013

La grande terreur : Agenda vers un gouvernement mondial

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Les historiens du futur, lorqu’ils se pencherons sur l’histoire de notre temps en parleront sans doute comme de l’époque des grandes terreurs.

 

Le nom n’est pas nouveau : La grande terreur est le nom du mode de gouvernement instauré par Robespierre entre 1793 et 1794, imposant un régime d’exception sanglant sur fond d’effort de guerre et de crise économique majeure(des assignats) et de construction massive de prisons avec comme objectif d’asseoir le régime.

L’echo avec les terreurs du XXI siècle sont frappantes. Tour à tour chaque aspect temporel de nos existences devient l’objet d’une grande terreur. Une terreur qui aveugle et qui empêche de comprendre l’évolution réelle du monde.

Nous vivons une période extrêmement singulière de l’histoire de l’humanité. Jamais autant de cataclysmes, de crises et de désastres n’ont déferlé en une si petite période de temps ni causé un tel sentiment de terreur parmi les opinions. Jamais non plus nos choix politiques et sociaux n’ont été autant influencés par la terreur.

 

Alors que les générations de l’après-guerre ont connu une période historique exceptionnellement longue de paix et de stabilité dans tous les domaines, notre génération aura connu le réchauffement climatique, l’épuisement du pétrole, l’endettement des états, la crise économique, la crise financière, les pandémies, les désastres naturels, les catastrophes nucléaires et enfin le terrorisme. Une longue litanie de désastres et de chocs consécutifs qui ont profondément marqué les esprits, créant une véritable culture du catastrophisme, illustrée par la popularité des prophéties apocalyptiques comme celle de 2012, culture alimentée et entretenue par Hollywood où l’Armagédon et ses flots ininterrompus de zombies ont balayé toute trace de positivisme.

Pourtant, à y regarder de plus près, la somme de ces dangers, qu’ils soient réels ou qu’ils ne constituent que de simple phobies, n’approche en rien les périls qu’on traversé nos aïeux par exemple lors des deux premières guerres mondiales.

Ainsi le nombre total des victimes civiles de la IIe guerre mondiale dépasse les 40 millions (30 millions rien qu’en Chine et URSS).

Un bilan autrement plus dramatique que les victimes de la « Guerre contre le terrorisme » qui nous a pourtant conduit, en occident, à sacrifier nombre de nos libertés en échange de plus de sécurité.

Cette mise en perspective devrait nous amener à nous questionner sur la hiérarchie des dangers qui nous environnent, que ce soit dans la vraie vie où juste dans l’agitation médiatique et à porter un regard critique sur les choix politiques que nous acceptons en vertu des dangers réelles ou imaginaires que nous percevons.

D’un autre côté, nous devrions sans doute regarder de façon lucide les évolutions successives et cumulatives apportées, choc après choc, au consensus social et éthique de notre civilisation et des grands principes qui ont émergés de victoire sur les barbaries de la première moitié du XXe siècle.

Le détricotage du droit international (la non-ingérence, la convention de Genève, l’autodétermination des peuples) est le pendant diplomatique de la dérégulation financière et commerciale. Ces deux faces de la même médaille ont abouti à l’actuelle rupture de l’équilibre géopolitique et économique du monde, précédent nécessaire à l’établissement de ce qu’il est désormais convenu d’appeler un Nouvel Ordre Mondial dont les tenants ne cachent plus la finalité un gouvernement mondial unique (One World Government).

Ce projet, longuement caressé par les utopistes internationalistes du XIXe siècle, des marxistes en passant par les aux fabiannistes, est en passe devenir réalité sous l’action de longue haleine d’une élite oligarchique et impérialiste.

Cependant, l’instauration de ce gouvernement mondial unique, que le politiquement correct désigne sous l’euphémisme de « gouvernance » ne se fait pas sous de bons augures ce qui ne présage pas favorablement de son régime et l’utopie internationaliste risque bien d’accoucher d’une dystopie assez semblable aux Meilleur des Monde prophétisé par Aldous Huxley dès les années 30.

En occident ou plus exactement de « notre » coté du gap (voir la Nouvelle Carte du Pentagone) la propagande, l’intoxication, la banalisation de la torture, la mise en place de régimes policiers, les lois d’exception, la surveillance numérique offrent un avant goût des valeurs du nouveau régime.

Des menaces nouvelles se succèdent dans les médias sans laisser de répits aux opinions.

La peur du réchauffement climatique a justifié l’établissement de l’Agenda21, premier plan d’action mondial généralisé dont l’implémentation locale viole tous les principes démocratiques et vise à modifier radicalement et unifier l’organisation sociale à travers le globe.

La peur du terrorisme, fondé sur la false flag operation (opération sous fausse bannière) du 11 septembre 2001 un a ouvert la voie à l’implémentation de lois liberticides, l’implication des armées dans le maintien de l’ordre civil et le maintien de l’état d’urgence aux USA depuis 10 ans maintenant.

La peur de la grande dépression a permis aux plus grands financiers mondiaux de mettre la main en 2008 sur un trillion de $ d’argent du contribuable américain (Housing and Economic Recovery Act et Public Law 110-343) ce qui en fait le plus grand hold-up de l’Histoire.

La peur du déclassement des états par les agences de notations permet maintenant de liquider le bien public, non seulement en Grèce pais dans toute l’Union Européenne.

La peur de la pandémie de grippe A, à l’issue d’une campagne éhontée de panique médiatique, a fait jeter par la fenêtre des milliards d’€ au plus grand bénéfice des firmes pharmaceutiques et a amené à vacciner des milliers de gens sans aucun bénéfice pour leur santé. Cette opération est une extension du Prepardeness Program de la FEMA, l’autorité militaire (liée au Pentagone) en charge de la gestion des crises d’urgence aux USA. Les moyens administratifs et politiques de la FEMA ont cru hors des proportions raisonnables avec l’administration Bush, qui, par une suite de décrets (executive orders) en a fait un gouvernement de substitution autorisé à suppléer aux autorités civiles élues en cas de crise environnementale, économique ou industrielle. Cette doctrine, connue sous le nom de Continuity of Government, sur les implications de laquelle le congrès n’a pas pu enquêter, ouvre la porte à un coup d’état militaire renversant la république aux USA à la faveur de la moindre crise d’envergure -accidentelle ou provoquée-.

A la frontière du Nouvel Ordre Mondial se trouve ce que le pentagone appelle le gap, l’ensemble des gouvernements non encore échafaudés.

A la frontière du gap nous assistons depuis les guerres balkaniques à la déstabilisation successive des régimes existants soit par des insurrections séparatistes soit par des révolutions colorées, toutes deux soutenues par des bombardements « humanitaires » cependant qu’une propagande violente et exclusive démonisedémonise les régimes en place. Dans le même temps journalistes du pays déstabilisé sont considérés comme des cibles militaires, en violation des conventions internationales.

Par-delà le gap s’est créé un bloc nouveau, dont les médias ne nous parlent pas, à partir de la signature du Traité de Shanghai. Ainsi presque personne ici n’a entendu parler de l’Organisation de coopération de Shanghai ni de l’alliance militaire l‘Organisation du traité de sécurité collective.

Pourtant, ce nouveau bloc asiatique, fondé par la Chine et la Russie, auxquelles l’Inde, l’Iran et le Pakistan se sont progressivement joints représente désormais le principal adversaire de l’occident et de son programme de Nouvel Ordre Mondial.

La puissance et la détermination de cette nouvelle alliance n’est pas à négliger, et la politique hégémonique de l’oligarchie mondiale a poussé de nombreux pays d’Asie dans leurs bras, conduisant à une prévisible confrontation sur 3 terrains : La finance mondiale, l’énergie (les gisements de la Caspienne) et la stratégie militaire.

Le danger de déflagration est d’autant plus important que la situation de chaos social et économique organisé par les élites financière pour imposer le Gouvernement Mondial Unique aux états-nations d’occident est perçu comme une faiblesse par les puissances montante d’Asie qui ont chacune une revanche à prendre sur l’impérialisme anglo-saxon.

Un bloc asiatique tout disposer à reprendre pied dans sa zone périphérique d’Asie centrale où les USA et l’OTAN peinent à maintenir leurs forces expéditionnaires en état opérationnel en raison de la crise financière occidentale.

Les conditions sont donc réunies pour amener à une déflagration dans la région, sans doute avec l’Iran comme détonateur, impliquant immanquablement les quatre puissances nucléaires voisines. Et ce d’autant plus que les intérêts économiques communs qui liaient la Chine aux USA s’effrite à mesure que le dollar se dévalue.

Les véritables raisons que nous avons d’avoir peur ne résident donc sans doute pas dans la fin du calendrier Maya, l’apparition d’une comète ravageuse ou une pandémie nous transformant en zombies.

Elle réside dans la folle idéologie globaliste qui va nous conduire soit à une confrontation sanglante avec le bloc asiatiquesoit à l’instauration d’une tyrannie planétaire où chacun d’entre nous ne sera plus qu’un numéro gravé sur une puce RFID.

Source : http://www.agoravox.fr

29 mars 2013

Islande : La Justice attaque les banksters pour des fraudes

canalblog

L’Islande a annoncé qu’elle allait inculper plusieurs anciens cadres et dirigeants, dont le patron, de son ex-plus grande banque, Kaupthing, pour des fraudes qui ont dissimulé la mauvaise santé de l’établissement avant sa faillite en 2008

28 mars 2013

La Cour européenne d'injustice valide « le secret défense » pour la BCE

injustice

Comment la Grèce a-t-elle fait pour masquer son endettement au moment de son entrée dans l’euro ? De quelles complicités a-t-elle bénéficié ? Nous ne le saurons peut-être jamais. La
Cour européenne de justice a rejeté ce 29 novembre la requête présentée en août 2010 par l’agence Bloomberg d’avoir accès à des documents internes de la Banque centrale européenne sur la crise
grecque. « Dévoiler ces documents aurait nui à la protection de l’intérêt public, en ce qui concerne la politique économique de l’Union européenne et de la Grèce », a statué
la Cour européenne, en donnant raison à la BCE d’avoir refusé de rendre publics certains documents internes.

Au nom de la liberté de l’information, Bloomberg, enquêtant sur la crise grecque, avait demandé d’avoir accès à deux études internes soumises au conseil de la banque. Intitulée L’incidence
des échanges hors-marché sur le déficit et la dette publics : le cas de la Grèce
, la première étude revenait sur le montage imaginé par Goldman Sachs, qui avait permis à la Grèce
d’emprunter 2,8 milliards d’euros à la banque en 2001, au travers de produits dérivés de dettes libellés en dollar et en yen émis par la Grèce. Par la suite, ceux-ci avaient été échangés contre
des euros auprès de la Banque centrale européenne.

Grâce à ce mécanisme, la Grèce avait pu cacher une partie de sa dette et intégrer la zone euro. Mais la fraude avait fini par être découverte au début de la crise grecque, à l’automne 2009.

La seconde étude portait sur « la transaction Titlos et l’existence éventuelle de transactions analogues affectant les niveaux de déficit et de dette publics de la zone
euro »
. Titlos est la structure qui avait été utilisée par la Banque nationale de Grèce pour emprunter auprès de la BCE. Créée en février 2009, celle-ci avait permis à la Banque
centrale grecque d’emprunter 5,4 milliards d’euros auprès de la BCE pour les reprêter par la suite au gouvernement grec.

Lorsque la BCE s’était vu demander communication de ces documents, elle avait refusé au motif qu’ils étaient dépassés. L’embarras des instances européennes était d’autant plus manifeste que le
sujet mettait en cause son contrôle, la responsabilité de Goldman Sachs et faisait peser le soupçon sur Mario Draghi, pressenti alors pour succéder à Jean-Claude Trichet.

En tant que directeur général au ministère des finances, Mario Draghi n’avait pu ignorer que le gouvernement italien avait eu recours au même subterfuge que la Grèce au milieu des années 1990
pour cacher l’endettement italien. Devenu senior advisor chez Goldman Sachs de 2002 à 2005, il avait alors pour mission « d’aider la firme à développer et exécuter des
affaires avec les principales entreprises européennes et avec les gouvernements et les agences gouvernementales à l’échelle mondiale »
. Mario Draghi s’est toujours défendu d’avoir
trempé dans la fraude grecque, en soulignant que tout cela s’était passé bien avant son arrivée. Et lors de son passage chez Goldman Sachs, il ne s’est occupé que du secteur privé. Sa défense
n’a guère convaincu.

Lors du procès, la BCE a expliqué que la publication de ces études pourrait aggraver la crise de la dette souveraine et mettre l’avenir de l’euro en danger. Elles contiennent des suppositions
et des hypothèses qui ont été utilisées pour forger des décisions et leur divulgation pourrait menacer la politique monétaire de la BCE, avait alors expliqué un représentant de la Banque
centrale.

La Cour européenne de justice a suivi cet argumentaire en tout point. Le jugement reconnaît que « tout citoyen de l’Union et toute personne physique ou morale résidant ou ayant son
siège dans un État membre
(de l’UE) a un droit d’accès aux documents de la BCE ». Mais, ajoute-t-il, « la BCE est dans son droit de refuser l’accès à un document
lorsque, notamment, sa divulgation porterait atteinte à la protection de l’intérêt public ». « Dès lors
, poursuit l’arrêt, la divulgation de ces informations présenterait un
risque important et grave de tromper fortement le public en général et les marchés financiers en particulier.
 » Cela « aurait pu avoir des conséquences négatives sur l’accès,
notamment de la Grèce, aux marchés financiers, et aurait donc pu affecter la conduite effective de la politique économique de la Grèce et de l’Union ».

Cette décision, regrettent certains experts, souligne le fait que la Banque centrale européenne est dégagée de ses obligations de rendre des comptes et de s’expliquer au moment même où
l’institution prend un rôle politique de plus en plus important. « La Cour a tordu les règles afin de légitimer les politiques des institutions européennes et d’aider à stabiliser la
région »
, relève l’allemand Georg Erber, spécialiste de la régulation financière. « Cela révèle implicitement que l’Union européenne était parfaitement informée de ce qui se
passait et n’a pris aucune mesure pour éviter la crise. »

par Martine Orange
source : mediapart

28 mars 2013

« Manifeste pour que l'argent serve au lieu d'asservir » - Derudder & Holbecq

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Ce n’est pas seulement un livre, c'est aussi un appel à action citoyenne.

Depuis 2008, il devient de plus en plus évident que le système monétaire est au cœur des crises que nous vivons. Il est devenu la forme moderne d’un esclavage sournois grâce à l’ignorance dans laquelle sont entretenus les citoyens. L’opacité et la complexité trompeuse véhiculés par les termes et pratiques ne visent qu’à laisser croire qu’il n’est qu’affaire d’experts et qu'il n'y a pas de salut hors de la voie qu'ils tracent.

Or, les auteurs ont une bonne nouvelle : les choses ne sont pas si complexes et nous pouvons faire autrement ! Les crises actuelles n’ont rien de fortuit, elles sont le seul produit de la pensée humaine prisonnière d’une idéologie devenue suicidaire, imposée d’une manière de plus en plus autoritaire pour maintenir dans les mêmes mains pouvoir, privilèges et fortune. Affranchissons-nous des fausses vérités qui empêchent de considérer les vraies réponses aux défis de notre temps et tout devient alors possible.

Bien sûr ils dénonent l'iniquité et les dangers du système. Mais pour nous en affranchir, ils posent leur regard sur ce qu'est la richesse, sur ce que la monnaie devrait être et à qui revient la légitimité d'exercer le pouvoir de sa création. Ainsi espérons-ils faire appel au bon sens de chacun pour que la dictature idéologique cède la place à l’intelligence.

Mais notre seule compréhension ne sera pas suffisante tant la classe dominante mondiale est attachée à poursuivre le « business as usual ». La voix de chacun d'entre nous doit s'élever pour que grossisse et s'incarne la volonté populaire de s'affranchir et de créer des conditions de vie durables et équitables pour tous ; la monnaie est la clef. > Le chapitre 7, qui a donné son titre au livre, est écrit sous forme d'appel pour donner la parole à chacun. Plus il circulera dans vos réseaux, plus il sera envoyé à vos élus, plus nous contribuerons à ce mouvement de transformation pacifique. Pour vous aider dans sa diffusion nous avons mis en ligne l'appel sur le site de notre association AISES (Association Internationale pour le Soutien aux Économies Sociétales). http://aises-fr.org/420-petitions.html

Ce livre,« Manifeste pour que l'argent serve au lieu d'asservir » est volontairement court, moins de 100 pages et d'un prix accessible (9 euros). À lui seul il est bien peu de chose, mais si chacun d'entre nous contribue à le faire connaître et lance l'appel comme nous y invitons, quel que soit le résultat, chacun au moins aura-t-il fait sa part.

par Philippe Derudder et André-Jacques Holbecq

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28 mars 2013

Mise en examen de Sarkozy: le juge Gentil a reçu des menaces de mort

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Cette lettre était accompagnée "de munitions d'arme de guerre"

PARIS Une lettre menaçante, accompagnée de munitions, visant notamment le juge d'instruction Jean-Michel Gentil qui vient de mettre en examen Nicolas Sarkozy, a été reçue mercredi au parquet de Bordeaux, a-t-on appris de sources concordantes.

L'affaire a été révélée par le Syndicat de la magistrature (SM) , dont plusieurs membres étaient visés par ce courrier, et confirmée par l'entourage du juge.

Dans un communiqué intitulé "Sérénité!", le SM annonce "qu'après les déclarations indignées voire injurieuses de certains politiques suite à la mise en examen de Nicolas Sarkozy, après la mise en cause de l'impartialité d'un des magistrats (M. Gentil, ndlr) en charge du dossier par Thierry Herzog, avocat de Nicolas Sarkozy, ce magistrat est aujourd'hui destinataire d'un courrier, auquel étaient jointes des cartouches à blanc, le menaçant clairement de mort, lui, ses proches, et les membres du Syndicat de la magistrature dont il ferait partie".

Un proche de M. Gentil a précisé que ce courrier contenant "des menaces caractérisées" et visant "M. Gentil et d'autres magistrats", était arrivé au parquet de Bordeaux, "qui a dû diligenter une enquête préliminaire". Celle lettre était accompagnée "de munitions d'arme de guerre", selon cette source.

Le parquet de Bordeaux n'était pas joignable pour un commentaire, mercredi soir.

Dans son communiqué, le SM remarque que "la violence des propos de la +garde rapprochée+ de l'ancien président et l'oeuvre de décrédibilisation de la justice à laquelle elle s'est livrée ne peuvent que susciter l'incompréhension des citoyens, la perte de confiance en l'institution judiciaire et, pour finir, l'insupportable déchaînement de haine envers les magistrats chargés de rendre la justice".

Le Syndicat de la magistrature remarque que "Nicolas Sarkozy bénéficie comme chacun de la présomption d'innocence et a le droit de se défendre comme il l'entend". "Mais nous rappelons", conclut-il, "que chacun doit faire preuve de la plus grande responsabilité dans ses propos et dénonçons fermement cette intolérable escalade de violence".

M. Gentil et ses deux collègues Cécile Ramonatxo et Valérie Noël ont mis M. Sarkozy en examen pour abus de faiblesse à l'encontre de Liliane Bettencourt, jeudi dernier.

Une décision qui a suscité des commentaires particulièrement virulents de la part d'une grande partie de l'opposition, et notamment de l'ancien conseiller spécial de l'ancien président Henri Guaino, que M. Gentil a décidé de poursuivre pour ses propos.

© La Dernière Heure 2013

http://www.dhnet.be/infos/monde/article/429800/mise-en-examen-de-sarkozy-le-juge-gentil-a-recu-des-menaces-de-mort.html

27 mars 2013

Un réseau de galeries et de cavernes sous l’Equateur et le Pérou renfermerait deux bibliothèques

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Un réseau de galeries et de cavernes sous l’Equateur et le Pérou renfermerait deux bibliothèques
contenant des livres de métal gravés et des tablettes de cristal. Plusieurs expéditions ont tenté de
découvrir ce trésor, en vain. Un fabuleux défi archéologique. « Pour moi, c’est la plus incroyable, la
plus fantastique histoire du siècle » s’écrit en 1972 l’aventurier suisse Eric Von Däniken dans son
ivre The Gold of the Gods
De quoi s’agit-il ? D’une bibliothèque de livres de métal découverte en 1965 sous le sol du Pérou et
de l’Équateur par l’entrepreneur austro argentin Juan Moricz. Selon Däniken, passionné d’énigmes
archéologiques, Moricz l’aurait accompagné en 1972 au coeur des mystérieuses galeries
souterraines qu’il décrit ainsi: « Tous les couloirs forment des angles droits parfaits, parfois étroits,
parfois larges. Les murs sont lisses et semblent polis. Les plafonds sont plats et on dirait parfois
qu’ils ont été enduits d’une, sorte de vernis... Mes doutes quant à l’existence de galeries
souterraines se sont envolés comme par magie et j’ai ressenti une immense joie. Moricz a affirmé
que les couloirs comme ceux dans lesquels nous passions s’étendaient sur des centaines de
kilomètres sous le sol de l’Équateur et du Pérou. » Cependant, pour des raisons floues, Von Däniken
ne verra pas la bibliothèque tant convoitée...
Peu de temps après, Moricz confie à des journalistes de Der Spiegel et du Stern qu’il n’est jamais
allé dans la caverne avec Däniken... La réputation de ce dernier en prend un coup. L’auteur de best
sellers pour qui les dieux sont d’anciens astronautes et qui voit dans cette bibliothèque, comme dans
Les pyramides ou les statues de l’Île de Pâques, la preuve de l’existence de visiteurs extraterrestres,
ne s’en remettra jamais tout à fait. Personne n’a fait remarquer que si Von Däniken avait menti, il
aurait brouillé les pistes pour éviter que l’on puisse remonter à Moricz aussi facilement.
L’hypothèse la plus vraisemblable est que Moricz a montré au moins l’entrée du souterrain à Von
Däniken, mais qu’il l’a ensuite regretté : peut-être s’était-il engagé à ne jamais dévoiler ce secret.
Plus tard, il confiera avoir emmené l’auteur suisse de Guayaquil à Cuenca, pour y rencontrer le Père
Carlos Crespi et admirer sa collection d’artefacts énigmatiques. Ne disposant pas de suffisamment
de temps pour conduire Von Däniken au «véritable endroit », ils auraient décidé de lui montrer une
petite caverne, à une trentaine de minutes de Cuenca, certifiant qu’elle était reliée au réseau. Cette
révélation mettra un terme à la controverse von Däniken-Moricz, mais pas au mystère entourant la
bibliothèque de livres de métal elle-même.
En 1975, Stanley Hall, un Écossais, décide d’organiser une expédition britannico-équatorienne pour
explorer la Cueva de los Tayos ; il s’agit d’une expédition purement scientifique. S’il y a bien une
bibliothèque de livres de métal issue d’une civilisation perdue, la première étape consistera à
dresser la carte du site. C’est le principal et unique but de l’expédition; il n’est pas question de
chasse aux trésors. Prévue pour trois semaines, l’exploration est une entreprise conjointe des armées
britannique et équatorienne, secondée par une équipe de géologues, botanistes et autres spécialistes.
Sans oublier une figure honorifique: Neil Armstrong, l’astronaute, enchanté de se joindre à cette
mission.
Le 3 août 1976, alors que l’expédition touche à sa fin, Armstrong pénètre enfin dans le réseau de
galeries : aucune trace de livres en métal. Néanmoins, l’équipe répertorie au passage quatre cents
nouvelles espèces végétales ainsi qu’une sépulture abritant un corps en position assise. On établira
par la suite que la tombe remonte à l’an 1 500 av. J.- C., et qu’au solstice d’été, le soleil devait
’illuminer.
Après la mort de Moricz en 1991, Hall décide de retrouver le «troisième homme », celui qui a guidé
Moricz sur le site en question et dont l’Austro-Hongrois n’a jamais voulu révéler l’identité. Hall,
lui, le retrouve : Petronio Jaramillo. «J’avais un nom et un annuaire téléphonique, explique-t-il.
Mais il y avait un tas de Jaramillo à Quito. J’ai fini par le trouver — ou, plutôt — sa mère. En
septembre 1991, elle m’a donné le numéro de téléphone de son fils. Je lui ai téléphoné. Il m’a dit
que nos chemins avaient mis seize ans avant de se croiser. Il souhaitait me rencontrer, et a déclaré
qu’il lui fallait trois jours pour me mettre au courant.»
Jaramillo confirme que lorsque Moricz est arrivé à Guayaquil en 1964, il s’est associé à un homme
de loi, Gerardo Pefia Matheus. Moricz aurait parlé à Matheus de sa théorie selon laquelle le peuple
hongrois serait à l’origine de presque toutes les civilisations. Par le biais de connaissances, Moricz
rencontre Jaramillo et s’approprie peu à peu son histoire. Pour Jaramillo et Hall, si Moricz n’avait
pas concentré toute l’attention sur la Cueva de los Tayos (qui n’est pas le véritable emplacement de
la bibliothèque), l’expédition de 1976 aurait pu déboucher sur la découverte du siècle. Nul doute
que Moricz avait décidé dès le départ que la bibliothèque des livres en métal était son héritage.
Lorsque Hall montre à Moricz un manuscrit sur l’expédition de 1976, Moricz refuse tout net de le
Lui rendre ! Cela met un terme à leur amitié, et Hall ne comprendra ce geste qu’en 1991, en
s’apercevant que le manuscrit mentionne le nom de Jaramillo...
Jaramillo et Hall se lient d’amitié et Hall apprend de la bouche même de Jaramillo la véritable
histoire de la bibliothèque de Tayos - qui ne se trouve pas du tout dans la Cueva de los Tayos
Jaramillo raconte avoir pénétré dans la bibliothèque en 1946, à l’âge de 17 ans. Il l’a découverte
grâce à un oncle connu sous le nom de «Blanquito Pelado» à qui la population Shuar locale a confié ce secret. Ce qu’il décrit ferait rêver n’importe quel archéologue: une bibliothèque composée de
milliers de gros livres en métal empilés sur des étagères, chacun pesant en moyenne vingt kilos,chaque page rem plie d’un même côté d’idéogrammes, de dessins géométriques et d’inscriptions
écrites. Il évoque une seconde biblio thèque contenant des petites tablettes dures, lisses, translucides
— ressemblant à du cristal sillonnées de rainures parallèles incrustées, empilées sur des plateaux
inclinés sur des tréteaux couverts de feuille d’or, il décrit des statues humaines et zoomorphiques
certaines sur de lourds socles cylindriques), des barres métalliques de différentes formes, ainsi que
des «portes » scellées — peut- être des tombes — couvertes de mélanges de pierres fines colorées,
l voit un grand sarcophage, sculpté dans un matériau dur translucide, contenant le squelette couvert
de feuille d’or d’un être humain de grande taille.
En résumé, un incroyable trésor, entreposé à l’écart, comme caché en prévision de quelque désastre
imminent. Jaramillo ajoute qu’un jour, il a descendu sept livres des étagères pour les étudier, mais
Ils étaient si lourds qu’il n’a pu les remettre en place. Trop lourds pour être sortis de la bibliothèque
et révélés au monde ? Jaramillo n’a jamais fourni la moindre preuve matérielle de ses affirmations
et souhaite rester dans l’ombre, Quand Hall lui demande pourquoi il n’a jamais pris de photos, il
répond que «cela ne prouverait rien ». D’autres découvertes, telles que la tristement célèbre
Burrows Cave aux États- Unis, démontre qu’il ne suffit pas de voir pour croire. Pourtant, Jaramillo
déclare avoir laissé ses initiales dans les sept livres déplacés pour prouver qu’il a bien pénétré ces
Dieux en personne.
Jaramillo et Hall préparent activement «l’expédition de l’occupation ». Ils ont pris contact avec
divers ambassadeurs et hommes politiques ; puis ils ont informé la communauté scientifique.
Jaramillo a l’intention de conduire l’équipe sur les lieux, où elle passerait trois à quatre mois (durant
la saison sèche) à répertorier le contenu du site et à s’assurer que rien ne disparaisse. Tout resterait
sur place. Seul un rapport de recommandations résulterait de cette expédition, qui impliquerait
l’Unesco. Mais en 1995, des avions à réaction péruviens bombardent une base militaire
équatorienne et le projet connaît son premier revers. En 1997, Hall profite d’une importante
conférence d’anthropologie pour promouvoir le projet. Six anthropologues s’y intéressent, Mais
Cette même année, le régime politique de l’Équateur change et Hall rentre en Écosse avec sa
famille, Néanmoins, les préparatifs de l’expédition se poursuivent.
Mais c’est en 1998 que l’expédition connaît sa plus grosse déconvenue. La mère de Petronio
Jaramillo annonce, par téléphone, à Hall que son fils avait été assassiné, A-t-il été abattu à cause des
projets qu’il nourrissait ? La vie en Amérique du Sud ne vaut pas cher, comme tous ceux qui y ont
séjourné ou vécu le savent. Ce jour-là, Jaramillo portait sur lui une importante somme d’argent. Un
banal vol de rue, à proximité de chez lui a stoppé dans son élan l’une des plus grandes découvertes
du monde.
Moricz et Jaramillo sont morts. Hall a plus de soixante ans, Va-t-il faire cavalier seul et vouloir’approprier la bibliothèque ? Hall n’est pas un chasseur de trésors, Il souligne que la région est un -
si ce n’est le - véritable El Dorado. Il y a de l’or partout ; les routes en sont presque littéralement
pavées. Même si les livres de la bibliothèque sont en or — bien que Jaramillo n’ait jamais parlé d’or
mais de «métal» (en fait, il semble y avoir eu du cuivre, puisque Jaramillo a vu une couleur verte
sur les livres) — il y a plus d’or à l’extérieur de la bibliothèque qu’à l’intérieur, Si Moricz se
trouvait dans la région, c’est parce qu’il possédait de vastes concessions aurifères ; il s’intéressait à
a bibliothèque non pour sa valeur monétaire mais pour son importance historique.
Par le passé, divers chasseurs de trésors ont tenté de conquérir la caverne. Le Comte Pino Turolla
prend contact avec Jaramillo dans les années 60 grâce aux mêmes intermédiaires que ceux
ntervenus entre Moricz et lui. Turolla était obsédé par la Salle des archives de Cayce, et pour lui, la
bibliothèque de livres en métal serait la preuve absolue de la probité des prophéties de Cayce. Mais
entre Turolla et Jamarillo, le courant ne passe pas. Turolla doit donc se passer de l’aide de
l’Équatorien et décide de fouiller seul autour de la Cueva de los Tayos, mais il en revient bredouille.
L’Indiana Jones le plus actif aujourd’hui est Stan Grist, qui a connu Juan Moricz ainsi que son
confident, Zoltan Czellar, lequel était également un grand ami de Hall. En 2005, Grist témoigne :
«Tandis que j’écris ces mots, je suis en négociations avec le groupe indigène des Shuars qui vit près
de la Cueva de los Tayos et dont il faut la permission pour entrer dans la zone des cavernes et
l’explorer. Je projette d’organiser une expédition dans les mois à venir pour rechercher l’entrée
secrète de la caverne donnant accès à la supposée bibliothèque de livres de métal. Beaucoup de gens
ont pénétré dans la caverne par l’entrée verticale connue, située près du sommet de la montagne.
Toutefois, je pense qu’il est quasiment voire totalement impossible de l’atteindre par cette accès- là.
On ne peut accéder à l’entrée secrète qu’en passant sous l’eau »
Hall confirme: « Jaramillo a toujours dit que l’entrée se trouvait sous la rivière
». Mais cette rivière
ne se situe pas à proximité de la Caverne, Il s’agit de la rivière Pastaza. Bien que Hall n’ait jamais
eu connaissance de son emplacement de la bouche même du guide équatorien, il organise un voyage
sur le site avec Mario Petronio, le fils de Jaramillo. Malheureusement, le voyage sera abandonné
avant que le « point zéro
» n’ait pu être atteint. En mai 2000, Hall y retourne: « Pendant que nous
préparions l’expédition, dans les années 90, chaque fois qu’on se disait qu’il fallait impérativement
du matériel de plongée, Petronio répondait que même si elle [ l’entrée de la caverne] était sous la
rivière, nous n’aurions pas à nous mouiller pour autant. » Hall m’a montré des cartes aériennes,
faisant remarquer un virage dans la rivière qui rencontre une ligne de faille, dont on sait qu’elle
s’ouvre dans un réseau de cavernes qui court sur plusieurs kilomètres. Selon lui, cette ligne de faille
 preuve d’un ancien tremblement de terre - a ouvert le réseau souterrain, que quelqu’un a jadis
découvert et utilisé pour y installer la bibliothèque de livres de métal. Hall a visité ce lieu et en
déduit qu’il cadre parfaitement avec la description de Jaramillo.
Hall a 64 ans lorsqu’il se rend dans la région pour la dernière fois ; il en a aujourd’hui 70. Il se dit
qu’il ne connaîtra vraisemblablement jamais le fin mot de l’histoire. Toutefois, il ne la considère pas
comme son histoire et ne veut pas commettre la même erreur que Moricz. C’est pourquoi le
17janvier 2005, Hall a informé le gouvernement équatorien de l’emplacement de la caverne
correspondant à la description de Jaramillo et qui, il l’espère, fera l’objet d’une expédition. Pour
ceux qui sont intéressés, sachez que le site est situé à 77° 47’ 34» de longitude ouest et à 1° 56’ 00»
de latitude sud. GoogleEarth vous en rapproche beaucoup et peut satisfaire une curiosité initiale.
Mais connaître l’emplacement ne signifie pas qu’il sera facile à trouver.
Hall pense qu’il faudra des décennies ou bien un changement de paradigme avant que des gens
puissent coopérer de façon à prendre connaissance fructueusement les lieux, Il affirme que
l’expédition de 1976 n’a réussi que parce qu’un régime militaire était au pouvoir : «une
bureaucratie démocratique submergera l’expédition avant qu’elle ne traverse la moindre rivière
marécageuse ». Ce dont on a besoin, c’est de coopération et de transparence. Trop de gens ont
essayé d’utiliser la bibliothèque pour appuyer leur propre théorie, qu’elle fasse entrer en jeu des
extra-terrestres, des Hongrois à la conquête du globe ou encore Edgar Cayce et sa Salle des
archives. C’est peut- être pour cela que les missions étaient vouées à l’échec. Peut-être devrions-
nous simplement laisser la bibliothèque parler d’elle-même. Les réponses aux questions telles que «
qui l’a bâtie? », «d’où venaient-ils? », « qu’ont-ils accompli?
», etc. se trouveront peut-être à
l’intérieur de la construction elle-même. Après tout, c’est une bibliothèque...
Philip Coppens
Traduction : Jean-Marc Jacot
Source
:
Nexus n°46

La bibliothèque aux livres de métal par FINDECAN0
26 mars 2013

Les chercheurs considèrent rarement que les vaccins puissent être la cause de la mort subite d’un nourrisson.

Vaccination_1

 Partout dans le monde les autorités médicales racontent aux parents qu’il a été démontré que la vaccination ne peut provoquer la mort subite d’un bébé, et parfois, ils vont jusqu’à dire que la vaccination empêche ces décès. Cependant, les études auxquelles on a recours pour justifier ces revendications utilisent des méthodes de recherche qui ne tiennent pas suffisamment compte de la possibilité qu’une vaccination puisse augmenter le risque de mort subite chez les nourrissons plus sensibles.

 La méthode des cas-contrôles

 La méthode préférée des chercheurs qui se penchent sur ce problème est celle des cas-contrôles. Cette méthode compare les bébés décédés aux autres bébés.

 Les chercheurs sélectionnent un groupe de bébés décédés (SMSN) dans une zone géographique particulière. Chaque cas de décès est comparé à deux ou trois cas de bébés vivants que l’on appelle les contrôles. Ensuite, on compare l’histoire de la vaccination du bébé décédé avec l’histoire de la vaccination des deux ou trois autres bébés qui ne sont pas morts. Les bébés qui n’ont reçu aucune vaccination sont exclus de l’étude.

 Dans les études qui ont été publiées, les chercheurs ont constaté que lorsque les bébés vivants atteignaient l’âge où le bébé en question est décédé, les bébés vivants avaient reçu plus de doses de vaccin que le bébé décédé. Cette observation a conduit les chercheurs à conclure que la vaccination ne provoquait pas le SMSN. Il s’agit ici d’une conclusion heureuse pour ceux qui veulent promouvoir la vaccination ; mais cette conclusion est loin d’être scientifiquement valable.

 Le problème avec la méthode des cas-témoins est que l’on a pu comparer des bébés fragiles, susceptibles de mourir d’une attaque immunologique avec des bébés plus robustes qui peuvent survivre à des injections de tissus animaux, de tissus humains, d’huile d’arachide, de germes atténués, de métaux toxiques, de produits chimiques toxiques, de levures génétiquement modifiées… Les études de cas témoins peuvent néanmoins être utiles lorsqu’il s’agit d’étudier des éléments statiques au moment du décès, comme par exemple la comparaison d’un bébé qui suce sa tétine avec un autre ; la comparaison d’un bébé couché sur le ventre avec un autre etc.

 Il est évident que les effets de la vaccination ne sont pas statiques, ils continuent à produire leurs effets, et en outre on ne les connaît pas.

 Le contrôle des facteurs connus qui peuvent augmenter le risque du SMSN  n’est pas du tout la même chose que de dire que l’on contrôle les facteurs susceptibles d’augmenter  le risque de SMSN après vaccination.

 

Une découverte importante

 Dans l’étude la plus récente avec des cas-témoins qui a été réalisée en Allemagne, les chercheurs ont constaté que les bébés qui sont morts avaient reçu moins de vaccinations que ceux qui étaient encore vivants et que leurs vaccinations avaient été faites plus tardivement. [1]

 Ce dernier résultat peut être fort important. Les parents peuvent éprouver des réticences à faire vacciner leur enfant quand ils estiment que celui-ci est particulièrement fragile ou quand ils savent qu’il y a eu des effets secondaires à la vaccination dans la famille. Il y a aussi les parents qui ne sont guère favorables à la vaccination et qui finissent par céder en raison des fortes pressions qui s’exercent sur eux. Ces parents retardent généralement la vaccination par rapport aux dates prescrites.

 Il est intéressant de noter que les chercheurs ont trouvé chez les enfants décédés des taux significativement plus élevés de problèmes de développement, des hospitalisations, des examens spéciaux, comme des radiographies et des électrocardiogrammes par rapport aux enfants vivants. [2] Cette découverte pourrait, dans l’esprit de certains vouloir dire que les 22% des bébés qui ont connu ces problèmes étaient davantage susceptibles de décéder de manière inattendue et que la vaccination n’aurait joué aucun rôle dans leur décès.

 Par ailleurs, cela pourrait aussi bien signifier que ces bébés plus fragiles ont été plus sensibles à un effet peu connu de la vaccination et que cette vaccination a entraîné leur décès. Une étude de conception différente serait nécessaire pour déterminer si la vaccination n’a pas aussi joué un rôle dans le décès de ces 22% d’enfants. Le fait que ces bébés aient reçu moins de doses de vaccins que les bébés vivants avec lesquels ils ont été comparés, ne veut pas dire qu’ils n’ont pas été « poussés à bout » par les constituants des vaccins qui sont entrés dans leur corps.

 

70% des SMSN se sont produits dans les 3 semaines qui ont suivi la vaccination contre la coqueluche.

  

 Troubles métaboliques

 

Une certaine réflexion a porté sur le rôle que pourraient jouer les troubles métaboliques qui rendraient les enfants sensibles aux effets indésirables des vaccinations. Cette relation a été envisagée par un groupe de médecins, mais aucune étude approfondie n’a été réalisée.

 

 Il y a bien longtemps, j’ai signalé à un pédiatre qui publie des articles sur le SMSN que je considérais inadéquates les études avec cas-témoins sur lesquelles on se basait pour vérifier si la vaccination augmentait le risque de mort subite du nourrisson. Il m’a répondu : « C’est comme cela que l’on a toujours fait. »

 

Valentina A. Soldatenkova est mathématicienne et physicienne. Elle a également estimé que les études avec cas-témoins étaient insuffisantes pour évaluer la relation entre la vaccination et le SMSN. Dans sa publication, elle critique les études avec cas-témoins comme les méthodes statistiques utilisées pour conclure qu’il n’y a pas de relation entre les vaccinations et les cas de morts subites du nourrisson. [4]

 L’Institut de Médecine aux USA a pour mission de publier des études complexes qui tendent à gommer les effets secondaires des vaccins, et c’est exactement ce qu’ils ont fait par rapport à la mort subite du nourrisson et aux vaccins. Leur long rapport sur les études existantes conclut que « les éléments de preuve ne confirment pas un lien de causalité » entre la vaccination et la mort subite du nourrisson.

 

Soldatenkova souligne que leur rapport aurait plutôt dû préciser : « les preuves sont insuffisantes pour accepter ou rejeter une relation causale entre la mort subite du nourrisson et les vaccins. » [4]

 Etudes temporelles

 D’autres types d’études souvent citées pour démontrer que les vaccinations ne provoquent pas la mort subite du nourrisson sont les études temporelles. Au cœur même de ces études, on trouve l’hypothèse que si la vaccination devait provoquer une mort subite inexpliquée, cette dernière se produirait endéans les 12 heures, 24 heures, 48 heures, 7 jours ou 14 jours. [5, 6, 7, 8.] Comme personne ne connaît l’impact des vaccins une fois qu’ils ont été injectés dans le corps, il n’est pas possible de connaître les délais endéans lesquels des effets secondaires pourraient se manifester.

 

Les anticorps ne commencent généralement à apparaître que deux semaines après la vaccination et leur production se prolonge encore pendant quelques semaines. Les chercheurs dont les études sont souvent payées par les fabricants de vaccins, n’ont aucune raison de supposer que les effets négatifs des ingrédients présents dans les vaccins prendraient moins de temps à se manifester qu’il n’en faut pour le développement des anticorps.

 Lien possible entre la vaccination et les taux de sucre sanguin

 Il n’est pas impossible que certaines morts subites du nourrisson soient provoquées par des taux de sucre dans le sang trop peu élevés. Le Dr C Horwarth a rapporté qu’en Nouvelle-Zélande, au cours d’une période de trois ans, les taux de sucre sanguin de 84 bébés dont le décès était resté inexpliqué avaient été mesurés au cours d’autopsies. Chez 81 d’entre eux, le taux de sucre sanguin avait été jugé inférieur à la normale. [9]

 D’autres études ont montré que l’hypoglycémie serait fortement associée au SMSN

[10, 11, 12, 13]. Lorsque le vaccin de la coqueluche à germes entiers provoque la baisse des taux sanguins, cette baisse commence à se manifester 8 jours après l’injection et atteint son point le plus bas après 12 jours (après l’injection). Le taux redevient normal après environ 24 jours (après l’injection). [14]

 

Promesse de nouveaux protocoles

 De nombreux pays ont adopté des lois rendant obligatoire une autopsie après chaque SMSN. Ces pays ont précisé le protocole à suivre en la matière. C’est là un grand pas en avant. Auparavant, les autopsies étaient seulement réalisées si quelqu’un l’exigeait. A cette époque, on pouvait décider ce qu’il fallait chercher et ce qu’on pouvait ignorer.

 

L’un des avantages de la mise en place de protocoles d’autopsie est qu’il est aujourd’hui possible de trouver des explications  pour certains décès qui jusqu’alors restaient inexpliqués. En Allemagne, par exemple,  ce sont ces autopsies qui ont permis de trouver une explication pour 11,2% des cas qui n’ont plus été classés dans les SMSN. [15]

 

A l’avenir, les protocoles pourront permettre d’identifier les moyens de réduire l’incidence du SMSN. Dans le même temps, ces protocoles pourront mieux permettre de détecter les abus vis-à-vis des enfants, comme aussi empêcher que des parents soient faussement accusés de maltraitance ou de violences. Ces protocoles veulent aussi dire que les médecins ne pourront plus éliminer aussi facilement des réactions qui seraient manifestement liées aux vaccinations et les qualifier de SMSN.

 L’utilité des autopsies serait aussi renforcée si elles pouvaient inclure une évaluation des taux de sucre dans le sang au moment du décès, ce qui peut être réalisé même si la glycémie continue à se décomposer pendant un court laps de temps après la mort. [10,16] .

 CONCLUSION

 Les cas de mort subite du nourrisson se sont  produits bien longtemps avant que n’apparaissent les vaccinations. [17]. Comme les enregistrements de leur incidence n’ont pas été conservés jusqu’à une époque relativement récente, il n’est pas possible de savoir si les taux de SMSN des temps modernes diffèrent de ce qu’ils étaient dans un passé plus lointain. Pour une meilleure compréhension de l’affligeant, phénomène SMSN, il conviendrait d’évaluer les taux de sucre au moment de la mort. Pour chaque vaccin recommandé pour les nourrissons, il conviendrait de vérifier s’ils ne font pas baisser le taux de sucre sanguin après les vaccinations.

 

 

Références

 

1. Vennemann, M.M., Butterfaß-Bahloul, T., Jorch, G., Brinkmann, B., Findeisen, M., Sauerland, C., et al. (2007). “Sudden infant death syndrome: No increased risk after immunization.” Vaccine: 25(2), 336–340.

 

2. Vennemann, M.M., Findeisen, M., Butterfass-Bahloul, T., Jorch, G., Brinkmann, B., Kopcke W. et al. (2005). “Infection, health problems, and health care utilisation, and the risk of sudden infant death syndrome.” Archives of Disease in Childhood: 90(5), 520–522. http://adc.bmj.com/content/90/5/520.long

 

3. Wilson, K., Potter, B., Manuel, D., Keelan, J., & Chakraborty P. (2010). “Revisiting the possibility of serious adverse events from the whole cell pertussis vaccine: Were metabolically vulnerable children at risk?” Medical Hypotheses: 74(1), 150–154.

 

4. Soldatenkova, V.A. (2007). “Why case-control studies showed no association between Sudden Infant Death Syndrome and vaccinations.” Medical Veritas: 4, 1411–1413. http://pdfdownloadfree.net/?pdfurl=1qeXpurpn6Wih-SUpOGunKqnh8PX74XXy…

 

5. Keens, T.G., Ward, S.L., Gates, E.P., Andree, D.I., & Hart, L.D. (1985). “Ventilatory pattern following diphtheria-tetanus-pertussis immunization in infants at risk for sudden infant death syndrome.” American Journal of Diseases of Children: 139(10), 991–994.

 

6. Hoffman, H.J., Hunter, J.C., Damus, K., Pakter, J., Peterson, D.R., van Belle, G., et al. (1987). “Diphtheria-tetanus-pertussis immunization and sudden infant death: results of the National Institute of Child Health and Human Development Cooperative Epidemiological Study of Sudden Infant Death Syndrome risk factors.” Pediatrics: 79(4), 598–611.

 

7. Brotherton, J.M., Hull, B.P., Hayen, A., Gidding, H.F., & Burgess, M.A. (2005). “Probability of coincident vaccination in the 24 or 48 hours preceding sudden infant death syndrome death in Australia.” Pediatrics: 115

26 mars 2013

Crise financière: l'Islande va inculper d'anciens dirigeants de banque

 26/03/2013

Crise financière: l'Islande va inculper d'anciens dirigeants de banque
REYKJAVIK - L'Islande a annoncé mardi qu'elle allait inculper plusieurs anciens cadres et dirigeants, dont le patron, de son ex-plus grande banque, Kaupthing, pour des fraudes qui ont dissimulé la mauvaise santé de l'établissement avant sa faillite en 2008.

Le procureur spécial Olafur Thor Hauksson a indiqué à l'AFP qu'il lancerait les poursuites le 24 avril contre Heidar Mar Sigurdsson et huit autres anciens responsables de la banque.

Leur procès s'il a lieu pourrait durer jusqu'à un an, a expliqué M. Hauksson.

Il sera accusé d'avoir acheté des actions de Kaupthing grâce à un prêt de la banque, qu'il avait fait ensuite acheter par sa propre holding pour 572 millions de couronnes (3,6 millions d'euros actuellement), faisant grimper artificiellement le cours de Bourse.

M. Sigurdsson a gagné 325 millions de couronnes grâce à cette transaction réalisée deux mois avant la faillite de Kaupthing, a affirmé l'accusation.

Selon des médias islandais, six anciens dirigeants et cadres de la deuxième banque islandaise Landsbanki, dont son ancien directeur général Sigurjon Arnason, doivent aussi être poursuivis pour avoir eux aussi maintenu le cours de l'action de leur banque à des niveaux artificiellement élevés par diverses manipulations.

Ces deux banques et la troisième du pays, Glitnir, s'étaient effondrées à l'automne 2008, après des années à accumuler les actifs douteux lors d'une expansion internationale effrénée.

Reykjavik avait choisi de les démanteler, prenant des mesures radicales plutôt que de tenter un long et coûteux sauvetage qui dépassait les capacités financières de l'Etat.


(©AFP / 26 mars 2013 14h50)

http://www.romandie.com/news/n/_Crise_financiere_l_Islande_va_inculper_d_anciens_dirigeants_de_banque96260320131452.asp http://www.romandie.com/news/n/_Crise_financiere_l_Islande_va_inculper_d_anciens_dirigeants_de_banque96260320131452.asp

26 mars 2013

Pourquoi la France est bien plus proche d'une chute à la grecque que l’Espagne ou l’Italie .

original

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Atlantico : L'Insee prévoit une croissance presque nulle pour l'économie française au moins jusqu'à la fin du mois de juin, les indices PMI flash de Markit (qui dressent un panorama de l'activité économique) font état de la plus forte chute depuis quatre ans, le tout sur fond de crise chypriote. Faute de croissance, le chômage pourrait atteindre 10,6% en juin selon l'Insee , qui prévoit aussi une stagnation de la consommation - un des moteurs phares de la croissance française - au premier trimestre avant un léger rebond (+0,1%) au second. Résultat, 9 chefs d'entreprises sur 10 ne sont pas confiants, selon un sondage Vivavoice/CCI France/Les Echos/Radio Classique. La France sous-estime-t-elle la gravité de sa situation ? Peut-elle connaitre, à son niveau et avec ses caractéristiques, une grave crise économique comme l'a connu la Grèce ?

Jean-Paul Betbèze : La réponse est oui : nous sous-estimons la gravité de la situation, car ce qui se passe échappe à nos mesures. La France n’a plus de croissance depuis quelques mois, précisément depuis le moment où l’inquiétude est revenue sur la zone euro, avec l’Italie, et la France, avec en sus les annonces d’augmentations d’impôts venant d’ici. Les anticipations des Français ont été durement affectées depuis et ne se relèvent pas. Et les nouvelles qui nous viennent d’Italie et maintenant de Chypre n’aident évidemment pas. Ce qui est en jeu, c’est le moral. Le moral des entrepreneurs, avec moins de stocks et aussi moins d’investissement, et on voit ce qui se passe avec la décélération du crédit, notamment aux petites et moyennes entreprises, le moral des ménages, et on voit la chute de la construction, et aussi le freinage de la consommation.

Ce moral est essentiel, en liaison avec ce qui se passe ailleurs, avec les impôts, avec le chômage. En même temps, et ceci échappe encore plus aux statistiques, tous les agents économiques sont plus aux aguets et réactifs que jamais. La volatilité est entrée plus encore dans les esprits et dans les comportements, avec un raccourcissement des horizons. C’est ce qui est très grave, avec un risque de sur-réaction, si les nouvelles ne sont pas bonnes dans les semaines qui viennent, ou les messages, ou les rumeurs.

Guy Martin : Je ne crois pas que la France sous-estime la gravite de la situation, pas plus ses dirigeants que ses habitants. Lors de la campagne présidentielle il y a un an déjà, François Langlet opposait au candidat Hollande la fantaisie de ses prévisions de croissance a 0,8%; ce à quoi l’intéressé avait répondu du bout des lèvres : de toute manière, s’il n’y a pas de croissance nous n’y arriverons pas, et de répéter comme à lui-même, nous n’y arriverons pas. Vous voyez, tout était dit il a déjà un an. Le reste n’est que du bruit.

La France traverse déjà une grave crise économique et la question n’est pas tant si elle risque un choque encore plus grave mais quand celui-ci arrivera. La comparaison avec la Grèce s’arrête là. La Grèce est un Etat voyou qui a falsifié ses comptes pour entrer dans l’euro et mis en place une économie de la corruption qui n’a aucune mesure avec ce que nous pouvons connaitre en France. Il faut ajouter à cela un marché noir qui pèse près d’un tiers de son économie. C’est autant de rentrées fiscales qui passent à la barbe d’Athènes. Malgré les idées reçues, l’économie souterraine est très peu développée en France qui est plus vertueuse que l’Allemagne dans ce domaine !

Non, le problème de la France est au contraire le poids de son service public et de la redistribution. Pendant de nombreuses années nous avons financé les excès de celui-ci par la dette et entretenu l’illusion que nous pouvions nous permettre des assurances généreuses et un service publique pléthorique. Ce que nous réalisons aujourd’hui c’est que nous sommes incapable de porter ce poids par nous-même et que 40 milliards d’euros d’impôts nouveaux sont en train de mettre les entreprises autant que les particuliers à genou.

Mais là encore, il n’y a guère de surprise. Le principe de l’Etat providence et de la sécurité sociale a été théorisé en 1942 dans le rapport Beveridge, au Royaume-Uni. Or il y a eu un second rapport Beveridge en 1950 qui précisait que le modèle d’Etat providence n’était viable que dans une économie de plein emploi… cela fait très longtemps que la France n’est plus une société de plein emploi.

Aussi, la question qui se pose à nous depuis 25 ans et de manière urgente aujourd’hui est celle de la refondation de l’Etat providence. Or syndicats, fonctionnaires et de nombreux français ne sont pas près a cela et les politiques le savent… faute de réforme cela sera donc la chute.

Il suffit d’une hausse des taux d’intérêts de la dette française, d’une contraction un peu plus marquée de l’économie ou encore un effondrement  des administrations locales (dont les finances se sont très dégradées avec la crise et la faillite de Dexia). Chacun de ces évènements pourrait arriver dans les 6 prochains mois et déclencher un vent de panique en France et dans le monde.

Pascal de Lima : La France ne connaîtra pas de crise telle que l'a connue la Grèce. Céder à la panique des marchés ou à la défiance des chefs d'entreprise est la même erreur que d'avoir un excès de confiance. La question en soulève deux autres :
a. Les erreurs de prévision jouent-elles un rôle dans l'enfoncement de la situation économique ?
b. Quel diagnostic peut-on faire de la situation française par rapport à son chômage ?

Sur le point (a), il me semble que les erreurs de prévision contraignent les gouvernements à réajuster constamment leur plan d'austérité ou de rigueur. La prévision n'est pas un exercice facile et la confrontation avec la réalité decrédibilise les orientations de la politique économique. Chaque année, les objectifs a priori risquent de ne pas être atteints, comme le déficit public à 3% pour l'année 2013 en France, parce que les prévisions produisent un écart à la réalité. On sous estime constamment les effets récessifs des plans d'austérité, ce d'autant plus qu'ils sont conjoints. 

Sur le point (b) et la question du chômage en France, il faut comprendre que la France est dans un chômage non pas keynésien mais classique, contrairement à l'Italie et l'Espagne et même la Grèce. Un chômage keynésien se caractérise pas un excès d'offre de biens sur la demande et un chômage. Un chômage classique se caractérise par un excès de demande de biens par rapport à l'offre et un chômage. Ceci est confirmé par certains indicateurs comme la profitabilité des entreprises, la demande de services et la balance courante (au cours des dix dernières années).

Du coté chômage, il faut donc taper sur l'offre et la compétitivité des entreprises en passant par le marché du travail. il me semble très modestement que l'internationalisation des PME TPE, l'allègement des cotisations, le business friendly etc...sont de meilleures mesures que de taper sur le coût unitaire de production par une flexibilité des ajustements salariaux au cycle. D'ailleurs, j'insiste sur cette mesure de l'accord emploi qui consiste à vouloir ajuster les salaires en fonction du cycle. Mesure très dangereuse car il y a toujours une bonne raison de dire que le cycle va mal. Enfin on encre dans le marbre l'idée que la précarité du marché du travail est une réalité bientôt juridique. Soit on propose des vrais jobs avec des vrais métiers, soit on a rien à proposer mais laisser s'engouffrer certains patrons dans la brèche de la flexibilité salariale en fonction du cycle est extrêmement dangereux.

Pour résumer, la crise française tient à un excès de demande de biens et service. Il faut donc conjointement augmenter l'offre de préférence, et éviter de jouer sur les salaires qui comme votre question le dit, jouerait sur la consommation. Il vaut mieux en France que l'offre rejoigne la demande que l'inverse par la baisse de la demande.

Un autre point est que la cause des symptômes du mal français (dette privée, dette publique, balance commerciale) vient d'une exploitation inadéquate de ses avantages comparatifs naturels du fait de défaillances structurelles. La France a un nombre incalculable d'avantages comparatifs naturels qui n'émergent pas à cause des rigidité structurelles. De plus elle est coincée entre l'Allemagne qui lui prend les parts de marché du haut de gamme et la Chine qui lui prend les part de marché du bas de gamme.

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