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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
31 juillet 2016

Sigmund Freud a vendu ses croyances satanistes pervertie au monde

 

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Sigmund Freud (1856-1939) était un sabbatéen qui a vendu ses croyances satanistes pervertie

 s au monde sous le couvert de la science et de la médecine. Les médias et le système éducatif contrôlés par les Illuminati l’ont salué comme un grand prophète.

Les sabbatéens étaient un culte sexuel qui se livrait à toutes les perversions sexuelles imaginables, dans le but de cracher à la face de Dieu. C’est ce que les satanistes pratiquent: l’inceste, la pédophilie, les orgies, l’homosexualité, tout ce qui n’est pas naturel et sain.

Freud et ses soutiens du B’nai Brith (Illuminati) ont convaincu le monde que le désir sexuel (libido) est la principale motivation de la vie humaine, et que le sexe est une panacée universelle. Il ont enseigné que la répression des pulsions sexuelles est nuisible et se traduit par des névroses. Il ont enseigné que les hommes souffrent de l’ »angoisse de castration« , et les femmes de l’ »envie du pénis« .

Comme initiation à l’inceste et à la pédophilie, il a enseigné que les enfants ont des désirs sexuels pour leur parent du sexe opposé, et ressentent de l’hostilité pour leur parent du même sexe. À l’extrême, son « complexe d’Œdipe« , dit qu’un garçon veut inconsciemment tuer son père et violer sa mère.

Le philosophe Karl Popper a déclaré que la psychanalyse freudienne était aussi peu scientifique que la lecture des lignes de la main. Il a dit que le complexe d’Œdipe freudien n’avait absolument aucun fondement scientifique.

Typique d’un sataniste, Freud a nié la dimension spirituelle de l’homme, notre soif de Dieu, qui est illustrée par des absolus spirituels tels que l’harmonie, l’amour, la vérité et la beauté. La Kabbale enseigne que Dieu n’a pas de caractéristiques. Influencé par la Kabbale, Freud a enseigné que Dieu n’est que la projection d’une figure paternelle imaginaire conçue dans le but de nous amener à refouler nos pulsions sexuelles.

Selon Wikipedia, Freud « est considéré comme l’un des plus importants penseurs de la première moitié du 20e siècle, en termes d’originalité et d’influence intellectuelle. »

APPRENDRE D’UN SATANISTE (ou LECONS TIREES D’UN SATANISTE)

Après avoir rejoint le maçonnique B’nai Brith en 1897, la carrière avortée de Freud a connue une ascension fulgurante.

Le professeur de psychologie David Bakan décrit la psychanalyse freudienne comme un dérivé de la Kabbale Lurianique et du Zohar. La Kabbale Lurianique est une formulation gnostique du 2ème siècle qui a été reprise par l’hérétique juif Sabbataï Tsevi. [Sigmund Freud and the Jewish Mystical Tradition, (Beacon Press, Boston 1958), pour la version française de cet ouvrage aller ici]

Freud a discuté de Kabbale avec un rabbin nommé Chaim Bloch en 1920. Le rabbin a dit au professeur Bakan que les deux hommes ont commencé à débattre lorsque Freud a suggéré que Moïse avait été un pharaon égyptien, et non un Juif. Freud est parti en claquant la porte, laissant le rabbin seul dans son cabinet. C’est alors que Bloch a repéré des livres sur les étagères qui permettaient d’identifier Freud comme un disciple de Sabbataï Tsevi, (le fondateur des sabbatéens.)

Freud a remercié les membres de la Loge B’nai Brith pour leur soutien. En effet, plusieurs membres de la loge ont fourni le cadre qui a fondé la fraude appelée psychanalyse.

Selon E. Michael Jones, l’Association psychanalytique de Freud a été structurée comme une société secrète. (Libido dominandi, p. 122) Il est probable qu’elle poursuivait les mêmes buts secrets que le B’nai Brith, à savoir subvertir, exploiter, et asservir.

Les lettres de Freud ont révélé qu’il prenait ses clients pour des cons.

Il s’est comparé lui-même au lion qu’il avait vu dans un dessin animé. Le lion jette un oeil à sa montre au moment du repas et demande: « où sont mes nègres? » Freud disait que ses patients étaient ses « nègres ». (Jones p. 116)

Refusant une invitation à voyager, Freud a écrit qu’une cliente riche « pourrait aller mieux en mon absence. »

« Mon humeur dépend en grande partie de mes gains. L’argent c’est du gaz hilarant pour moi », écrit-il. (116)

Surnommée la « cure parlante », la psychanalyse était une escroquerie. Comme l’écrit Michael Jones, moyennant paiement, des gens riches recevaient l’absolution pour leur plaisirs coupables et la permission de continuer.

Jones estime que la psychanalyse est fondée sur le rituel initiatique Illuminati, et est une forme de contrôle mental.

« Les deux étaient fondées sur le fait que les patients ou adeptes se livrent à un examen de conscience approfondi, quasi-confessionnel, au cours duquel ils donnaient aux contrôleurs Illuminati, ou au psychothérapeute, des détails sur leur vie personnelle qui pourraient ultérieurement être utilisés contre eux. Tant l’illuminisme que la psychanalyse aboutissaient à une forme dissimulée de contrôle mental, par laquelle le contrôleur s’informait de la passion dominante des adeptes et les manipulaient en conséquence. » (p.127)

L’essentiel ici est que les psychiatres, qu’ils le sachent ou non, font partie de cette société secrète satanique. Le véritable objectif des Illuminati c’est de rendre les gens malades et de leur soutirer leur argent. Cela expliquerait pourquoi les psychiatres mettent des millions de personnes, y compris les enfants, sous calmants. Voir aussi: « L’art soviétique du lavage de cerveau. »

Le modèle de la société secrète peut s’appliquer à la profession médicale dans son ensemble, ainsi qu’à d’autres professions.

Freud a été un précurseur d’Alfred Kinsey, le pervers qui s’est tué en essayant de se masturber. Kinsey remplissait son célèbre rapport parrainé par Rockefeller avec les modèles de comportement de ses collègues homosexuels. Ainsi, il convainquit les Américains que la promiscuité et la déviance étaient la norme.

De même Freud a eu une aventure avec la sœur de sa femme, Minna Bernays, qui est tombée enceinte. Ses théories psychiatriques à propos de l’inceste et du sexe ont été des tentatives de se disculper. De façon ironique, Adam Weishaupt, l’organisateur des Illuminati, a également mis sa belle-sœur en cloque.

Freud a traversé une période où il a été séduit par les effets bénéfiques de la cocaïne. Lorsqu’il s’est aperçu que des amis étaient devenus dépendants, il y aurait renoncé. Cependant Wikipédia rapporte (voir également la version française): « Certains critiques ont suggéré que la plus grande partie de la théorie psychanalytique de Freud était un sous-produit de son addiction à la cocaïne. »

 

Freud et la psychanalyse



« une imposture à structure de géant[1] »



par Godeleine Lafargue

Docteur en philosophie



Extrait du « Cahier Saint Raphaël » n° 71, juin 2003 : Psychanalyse, l'idole vacillante. (20B, pl. Dupleix, 75015 Paris). [http://acimed.free.fr]





La liturgie, l’idéologie, les manipulations et les comportements des membres de la secte freudienne restaient ignorés du fait de la rétention des informations depuis 80 ans. A lire ce qui a paru des échanges épistolaires, on est pris d’un vertige et, ainsi que l’écrivait Ernest Gellner, « on est en droit de se demander si l’on étudie l’histoire d’une association scientifique ou si l’on s’est égaré dans Le parrain ». C’était, dira le psychanalyste français François Roustang, « au sens propre, une bande de délinquants, ou un gang de tueurs », ou encore « une horde sauvage », selon les termes de Freud, dont le but était l’élimination de la concurrence de sa pensée unique[2]« .



Désinformation et totalitarisme de la pensée sont les deux mots clés définissant l’histoire de la psychanalyse freudienne. Cela dans un dessein précis : cacher l’une des plus grandes supercheries du siècle dernier. Freud le maître, Freud le plus grand chercheur, Freud thérapeute extraordinaire, voilà ce que nous entendons dire. Pourtant, ces éloges sont loin de la réalité. Jacques Bénesteau, dans son livre étonnant : Mensonges freudiens[3], nous livre les témoignages jusqu’alors cachés et bien gardés par les cerbères de la psychanalyse. Il nous donne la véritable image de cet homme fondateur d’une science qui n’a pas fini de faire des ravages. Fort heureusement, le voile commence à se lever et peut-être sommes-nous sur le chemin qui délivrera la psychologie d’un tel fléau.





« Un médecin malgré lui[4] »



« Échec » est le mot qui caractérise la carrière médicale de Freud. Ses recherches commencent en 1877 sur le problème des testicules de l’anguille. Après avoir disséqué plus de 400 spécimens de la bête, il ne trouve rien. Puis, en 1878 dans le laboratoire d’anatomie expérimentale de Stricker, il travaille avec acharnement durant six mois sur des glandes, sans aucun résultat. Stricker reprend son travail et réussit aussitôt. En 1879, il met au point une préparation chimique permettant d’isoler les tissus nerveux pour le microscope, sa découverte n’a aucun succès à l’extérieur du laboratoire. Freud finit quand même par obtenir son diplôme de Docteur en médecine en 1881, après 13 années d’études, il est en retard de trois années sur sa génération. Sa carrière est alors en panne : travaux biologiques et zoologiques avec Claus, assistant dans le laboratoire d’histologie de Brücke, deux semestres en chimie chez Ludwig, trois mois en chirurgie chez Billroth, six mois en médecine interne, quelques mois chez Meynert au service des maladies nerveuses, puis au laboratoire d’anatomie cérébrale, trois mois en dermatologie, quatorze en neurologie, cinq en ophtalmologie, trois semaines en pédiatrie. Freud touche à tout et ne trouve pas sa vocation. Il cherche la gloire. Il ne la trouve nulle part. En 1882, la théorie des neurones lui échappe ; mais l’échec le plus cuisant est sans doute celui de la découverte par Karl Koller de l’anesthésie locale par la solution muriatique de cocaïne. Freud travaillait avec lui dans le laboratoire de Stricker. Il passe à côté de la gloire en raison de son absence durant l’été, trop occupé avec Martha Bernays. Freud ne digère pas son échec. Il tente alors de faire d’autres découvertes sur les propriétés de la cocaïne, dont il est grand consommateur. De novembre à décembre 1884, il entreprend une série d’expériences pour évaluer les effets de l’alcaloïde dans la force musculaire grâce au dynamomètre d’Exner. Son rapport est publié le 31 janvier 1885, on y cherche vainement des renseignements sur le rapport entre les doses de cocaïne ingérées (il fut lui-même le sujet de son expérience) et les variations de la force. « C’était un travail d’amateur, bâclé dans l’urgence du besoin de se racheter et de rattraper le temps perdu »[5]. Vexé par ce deuxième échec, Freud essaye de compenser ses insuccès et ses déboires en affirmant avoir déjà appelé bien avant Koller l’attention sur les propriétés anesthésiques de la cocaïne au niveau local. Il affirmera en 1934 dans une lettre au Professeur Meller, lui avoir transmis son idée.



Cependant, Freud n’en a pas fini avec la cocaïne. Il essaye, après ses expériences sur la cocaïne et la force musculaire, de guérir avec cette « potion magique » Ernst Fleishl von Marxow devenu morphinomane en raison d’un névrome sur le moignon d’un pouce amputé. Seule la morphine pouvait calmer à l’époque les douleurs des névromes (prolifération nerveuse terriblement douloureuse). Freud prétendit l’avoir guéri en quelques jours de sa dépendance à la morphine (dérivée de l’opium) grâce à l’injection de cocaïne. Or aux opiacées, il ajoutera chez ce patient la dépendance à la cocaïne. Peu lui importe, la cocaïne, c’est formidable, et il la recommande à tout le monde pour ses vertus euphorisantes et analgésiques, particulièrement dans les maux d’estomac. Le 18 juin 1884, il écrit son célèbre article Über coca, rédigé à la hâte, bourré de fautes d’orthographe, brouillon, se trompant sur la formule chimique de la cocaïne, mélangeant les dates et les noms. Pourtant, sa réputation devient internationale ; les deux continents font l’éloge de sa méthode de soins des morphinomanies par la cocaïne. Freud édifie alors la société savante du Procédé-Freud destiné à soigner la toxicomanie à l’opium et dérivés comme la morphine. Pendant ce temps, Fleischl est dans un état lamentable au bord suicide luttant à la fois contre la douleur, la morphine et la cocaïne. Freud le sait parfaitement, puisqu’il lui rend visite régulièrement. Il écrit à Martha : « avec Fleischl, les choses vont si mal que je ne puis me réjouir d’aucun succès[6] ». Après avoir enduré d’horribles souffrances pendant de nombreuses années, Fleischl finit par mourir en 1891, et son portrait ornera le mur du cabinet de Freud jusqu’à la fin de sa vie.





Le syndrome génito-nasal (?).



Après ces recherches sur la cocaïne, Freud finit par ouvrir un cabinet en 1886 et se présente à l’Académie des sciences pour présenter l’originalité et la révolution des thèses de Charcot sur l’hystérie masculine et la névrose traumatique. L’auditoire d’experts en sait plus que lui, et il ne démontre rien de nouveau puisque l’existence de l’hystérie masculine est enseignée déjà depuis 20 ans. Freud développe des idées démontrées fausses dans le passé comme le refoulement sexuel à l’origine de l’hystérie. Le texte de l’exposé a, bien entendu, disparu, mais avec des recoupements de différents documents historiques nous pouvons retrouver l’ensemble de la conférence. Le problème est, dira Freud à Fliess, qu’il n’est « en réalité pas du tout un homme de science, pas un observateur, pas un expérimentateur, pas un penseur. Je ne suis par tempérament rien d’autre qu’un conquistador – un aventurier, si tu préfères – avec toute la curiosité, l’audace et la ténacité caractéristiques d’un homme de cette trempe[7] » . Freud, en réalité, ne connaît rien à la psychiatrie, mis à part son stage de cinq mois chez Meynert en 1883, il n’a aucune expérience. « Il n’était pas psychiatre selon les standards de l’époque, et ne sera pas considéré comme tel par ses collègues ; mais il aspire toujours à ferrailler avec les psychiatres officiels, surtout les meilleurs[8] ».



Notons enfin, pour clore l’évocation des échecs et des manipulations de Freud (et la liste pourrait être beaucoup plus longue) le cas de la pauvre Emma. Il faut savoir que toutes les lettres concernant cette patiente ont été supprimées ou consignées aux archives de la Library of Congress de Washington.



En 1893, Freud adhère à la théorie de Fliess sur la névrose nasale. L’otorhino-laryngologiste établit une liaison entre les tissus érectiles des fosses nasales et les muqueuses génitales, supposés embryologiquement équivalents. Par cette liaison, il estime avoir démontré dans 130 cas le rapport entre le nez et les manifestations de névrose. « La névrose réflexe, explique Jacques Bénesteau, donne des tensions musculaires, céphalées, sensations de vertige, intolérance à l’alcool, cauchemars, problèmes d’estomacs, sexuels, respiratoires ou du rythme cardiaque. La source de ces maux est soit dans le nez, soit génitale. La masturbation est particulièrement redoutable[9] ».



Au même moment, Freud traite une patiente, Emma Echstein pour des troubles hystériques de « conversion », des douleurs gastriques et une dysménorrhée avec hémorragies génitales depuis l’adolescence. La patiente rapporte ces perturbations à des facteurs organiques, mais Freud refuse de l’admettre et ne demande aucun examen médical car la cause est pour lui indiscutable une masturbation mal refoulée et conflictuelle. Freud reconnaît là une névrose nasale et fait examiner sa patiente par Fliess. Ils décident alors de l’opérer, c’est une première mondiale : une trépanation d’un os des fosses nasales doit guérir sa névrose. Il s’agit de l’ablation du cornet nasal moyen gauche. Un mois s’écoule la malade n’est toujours pas remise et souffre d’un œdème facial, d’hémorragies nasales, de sécrétions purulentes devenues fétides, de douleurs et d’un état infectieux. Le 8 mars 1895, Freud décide de la faire ausculter par un médecin ORL qui lui retire lentement, après inspection de la fosse nasale, une interminable bande de gaze d’au moins un demi-mètre oubliée par le professeur Fliess. C’est alors l’hémorragie foudroyante. Emma est hospitalisée et finit par se remettre au bout de quelques mois, mais plusieurs opérations sont nécessaires pour réparer les dégâts et la mettre hors de danger. Pour excuser cette faute médicale majeure, Freud affirme que ces saignements étaient hystériques et liés au désir sexuel inconscient d’Emma, celle-ci se laisse convaincre. Emma deviendra la première femme analyste, ce qui en dit long sur le pouvoir de persuasion de son maître. Cependant, Emma est peut-être guérie des conséquences de l’intervention chirurgicale, mais absolument pas de ses douleurs abdominales et des hémorragies génitales. Désespérée, elle finit par consulter un médecin qui lui retire un énorme abcès abdominal. Elle semble tirée d’affaire, mais Emma est toujours victime de saignements génitaux. On lui retire la totalité de l’utérus. Diagnostic fibromyome, tumeur bénigne du tissu musculaire utérin probablement responsable des hémorragies cycliques depuis l’adolescence. Emma Eckstein, cloîtrée, inactive et alitée en permanence depuis 1905, défigurée par la trépanation de 1895, mourra en 1924 d’un accident cérébral.



Au sein de ces déboires, de ces fraudes, de ces erreurs et de cette inexpérience chronique va naître la psychanalyse…





« Un conte de fée scientifique »[10]



Au printemps 1896, Freud vient d’inventer la psychanalyse : « La nouvelle méthode révolutionnaire est simultanément un traitement et un moyen de connaissance des moyens et des origines inconscientes des psychonévroses[11] ». Dix ans après sa bévue à l’Académie des sciences, Freud se présente alors devant les autorités de la Société de psychiatrie et de neurologie de Vienne. Il y développe sa fameuse théorie appelée par la tradition « Théorie de la séduction », selon laquelle l’hystérie trouverait sa cause dans un traumatisme sexuel subi dans la petite enfance. Il expose alors pour la première fois la psychanalyse appliquée à une psychonévrose précise : l’hystérie. Cette théorie s’inspire de la méthode de Joseph Breuer[12], qui n’eut jamais eu aucun succès thérapeutique avéré. Dans 18 cas d’hystérie sur 20, selon une analyse minutieuse avec un minimum de 100 heures d’analyse pour chacun, celle-ci déboucherait invariablement sur des scènes d’abus refoulés. Freud serait parvenu à une guérison radicale par une psychanalyse complète. L’auditoire reste sceptique. Les psychiatres reconnaissent une part de sexualité dans les cas d’hystérie, mais ils ne donnent pas l’exclusivité à cette explication. Cependant, les soi-disant cas étudiés ne sont absolument pas développés dans sa conférence, Freud promet alors une explication clinique de sa théorie avec une analyse complète et détaillée. Mais jamais il ne le fera, et pour cause puisqu’il affirme lui-même avoir inventé ces cas cliniques[13]. Dans les lettres à Fliess nous apprenons que les cas de névrose sont devenus rares à sa consultation. À l’automne 1895, quelques mois avant sa conférence, il se plaint de n’avoir à sa consultation que deux névrosés qui ne progressent absolument pas. Comment peut-il se réclamer de 18 cas, avec plus de cent heures d’analyse pour chacun en quatre mois et demi ? Il faudrait qu’il ait vu ses patients six jours par semaine pendant 12 heures chaque jour. Or Freud ne travaille pas les jours fériés et suit d’autres malades à cette époque. Tout cela est décidément invraisemblable. Et le comble c’est l’abandon par Freud lui-même de la théorie de la séduction, en privé, bien évidemment. Il l’annonce le mardi 21 septembre dans une lettre à son ami Fliess. Entre autres raisons : les rechutes fréquentes et l’absence de succès thérapeutique. « En 1896, la théorie de la séduction reposait sur l’analyse complète de 18 patients. Dix-sept mois plus tard, il avoue que pas une seule analyse n’avait été menée à bien, et ne revendique plus aucun succès sur des hystériques qu’on recherche vainement[14]. »



Les fondements de la psychanalyse sont bien fragiles, ce qui n’a rien d’étonnant puisqu’à cette époque Freud est un grand consommateur de cocaïne. Or une des conséquences de la prise de cette drogue est l’altération du sens de la réalité. D’ailleurs, note Jacques Bénesteau, il n’est pas étonnant que le rêve ait une part si importante dans la psychanalyse. A cet effet, il faut ajouter la conviction d’une intelligence inépuisable, une surestimation de soi, la dispersion de l’attention et de la mémoire. Comment découvrir une thérapie digne de confiance dans de telles conditions ? Mais bien évidemment toute allusion à la prise de cocaïne est dissimulée par Freud et ses cerbères. Freud est un véritable « charlatan », Frederick Crews affirme que « si un scientifique se comportait de cette façon aujourd’hui, il serait, bien entendu, renvoyé de son travail, perdrait ses fonds de recherche, et serait déshonoré le restant de ces jours[15] ».



Seule la gloire et l’argent sont les mobiles de notre grand chercheur ! D’ailleurs, il déteste les malades, comme il le dit lui-même : « Les patients, c’est de la racaille, je leur tordrais bien le cou, à tous » ; « sachez, en effet, que, dans la vie, je suis terriblement intolérant envers les fous, n’y découvre que ce qu’ils ont de nuisible », et « le mieux est de les mettre sur un bateau et de les expédier, ils ne méritent pas le temps que nous leur donnons[16] » . Freud est décidément un médecin raté.



Après l’échec de la théorie de la séduction, il fallait trouver autre chose, ici intervient le fameux Complexe d’Œdipe qui pourvoie aux abus sexuels de l’enfance. La cause de l’hystérie se situe maintenant dans le désir incestueux. Sophocle doit se retourner dans sa tombe, lui qui n’a jamais voulu faire apparaître d’élément sexuel entre Œdipe et Jocaste. Mais peu importe à notre thérapeute hors pair, il avoue lui-même ne s’être jamais documenté sur la légende d’Œdipe.



Finalement, à partir de l’invention de la Méthode psychanalytique en 1896-1897, seulement six cas cliniques ont ensuite été un peu, mais très contradictoirement, explorés. Ce sont les cas retenus par Freud pour une publication dans le dessein de démontrer l’utilité de la psychanalyse. Personne ne comprend ce choix tant ces exemples sont peu significatifs.





Les victimes du freudisme.



Le premier cas est d’emblée éliminé, il s’agit d’un cas d’homosexualité. Or selon Freud : « La psychanalyse n’est pas appelée à résoudre les cas d’homosexualité[17] ». Le second concerne Dora en 1900. La pauvre n’a pas supporté les élucubrations du soi-disant psychiatre. Elle mettra fin à sa psychanalyse quelques semaines plus tard. Elle souffrait entre autres, comme Emma, de troubles digestifs, attribués encore une fois à la masturbation. Elle finit par mourir d’un cancer du colon. Freud admet l’échec, mais ne l’attribue absolument pas à une erreur de diagnostic ou à une faiblesse de la méthode, seule la malade est en cause.



Nous avons ensuite le double cas du petit Hans en 1907 et 1909. Bien que théoriquement immunisé contre les états névrotiques par une éducation freudienne, le petit Hans souffre d’une névrose phobique à 5 ans : la peur de la morsure d’un cheval révèle l’angoisse de castration. Ce modèle d’équilibre en 1907 – développé dans un article de Freud – devient un modèle de perversité en 1908. Le 19 mai, Freud déclare avoir définitivement guéri l’enfant. Il n’a rencontré l’enfant que quelques instants, il dirige la psychanalyse par l’intermédiaire de son père. Les affirmations de l’enfant, qui ne comprend pas très bien les questions, sont interprétées par le père, puis corrigées par Freud pour éviter les contradictions. À dix-neuf ans, Hans ne se reconnaît pas dans le récit de son cas rédigé en 1909. Freud voit dans cette amnésie une nouvelle preuve de la résolution de la névrose infantile.



Notre psychanalyste doit ensuite, pour le 26 avril 1908, préparer dans l’urgence une conférence de caractère historique pour démontrer à la face du monde l’efficacité thérapeutique de sa méthode. Freud se décide à présenter le cas de L’homme aux rats. Nous constatons une indiscutable et sérieuse divergence entre les notes cliniques et le cas officiel. « Ces distorsions manifestes font du cas officiel une confabulation intentionnelle et une transfiguration mythologique savamment orchestrée[18]. »



C’est ensuite le cas de Daniel Paul Schreber, ancien président de la cour d’appel, qui sombra dans la folie. Malheureusement, Freud n’a jamais psychanalysé le malade. Il ne s’agit pas d’une psychanalyse au sens strict, mais d’un essai interprétatif des événements décrits par Schreber. Il s’agit encore une fois d’une reconstruction mythographique, Freud ayant délibérément rejeté les documents biographiques ou médicaux qui remettraient en cause son système de pensée unique.



Enfin, le cas de L’homme aux loups considéré comme le plus démonstratif, qui suivit une psychanalyse durant 70 ans (on se demande où est la guérison !), par dix psychanalystes qui se sont relayés jusqu’à sa mort en 1979. Il aurait été guéri successivement de plusieurs maladies mentales. L’homme aux loups, ruiné par la révolution bolchevique fut subventionné par le mouvement psychanalytique. Freud lui fournissait des livres en quantité et organisait une collecte chaque année à Pâques. Puis, Kurt Eissler prend la relève et lui obtient une pension à vie sur les fonds des archives Freud, en plus d’analyses gratuites, en échange de son engagement pour la cause. Toutefois, il ne garda pas le silence jusqu’au bout et finit par avouer le mal que lui avait fait la psychanalyse. Il garda des troubles psychologiques durant toute sa vie. Six cas seulement sont à peu près étudiés sérieusement par Freud, six cas absolument contestables, ce qui en dit long sur l’efficacité de la Méthode psychanalytique. La psychanalyse est un procédé développé sans aucune objectivité scientifique. Elle tient du rêve, et des délires d’un homme imbu de lui-même, ne supportant pas l’échec, malhonnête, et sous l’influence de la cocaïne. La psychanalyse n’a jamais fait ses preuves et causa la perte de beaucoup de patients. Des malades parfois connus comme Marylin Monroe ont été victimes du freudisme, et se sont donné la mort, sans compter les psychanalystes eux-mêmes. Jacques Bénesteau nous donne une proportion étonnante : sur une population de 100 000 personnes, on estime qu’entre 10 et 30 personnes se donnent la mort. Sur les 350 psychanalystes officiellement recrutés en Europe centrale avant la seconde guerre mondiale, plus d’une vingtaine s’est suicidée. Nous pouvons en étant indulgent, considérer cette fréquence de 20 psychanalystes sur 350, contre environ 20 pour 100 000 dans la population générale. Ceci signifie qu’il y a 285 fois plus de suicides chez les psychanalystes que dans une population générale. C’est effarant ; mais l’est encore plus la renommée du freudisme devant tant d’inexpériences, de manque d’objectivité, de fantaisies, de fraudes et d’échecs thérapeutiques. Nous nous rendons compte alors de l’ampleur de la supercherie propre au système freudien. Beaucoup de lettres ou de conférences ont été supprimées par Freud ou cachées par sa fille et ses disciples. Tout ce qui peut desservir la cause est écarté. Malheur à celui qui, du temps de Freud, disait du mal du maître. Certains ont eu leur carrière détruite pour avoir osé critiquer le maître. Finalement tout comme Edmond Rostand disait du darwinisme qu’il était « un conte de fée pour grandes personnes », le freudisme est véritablement un « conte de fée pour scientifiques ». Ces deux fameuses révolutions ne sont que des impostures à la stature de géant.


http://salve-regina.nuxit.net/Catechisme/Freud_et_la_psychanalyse.htm


CONCLUSION

L’exemple de Sigmund Freud montre que la culture moderne est contrôlée par une secte satanique, dont le but est de dégrader et asservir l’humanité. Nous avons été trompés au nom de la science et de la médecine.

Les satanistes promeuvent les excès sexuels et la perversion dans le but d’asservir l’humanité. « Tout est acceptable », est le mot d’ordre sataniste. Freud a donné à la société carte blanche pour se comporter comme une meute de porcs sauvages.

Le sexe libre foule aux pieds le mariage et la famille, institutions indispensables à la stabilité sociale et à la santé. Il avilit toute relation humaine au plus bas dénominateur commun, le sexe. Il présente le sexe et la « promiscuité » comme des passerelles uniques vers le développement personnel et le bonheur.

Durant les 200 dernières années, le « progrès » et les « lumières » ont été mesurés en termes d’augmentation de la licence sexuelle, jusqu’à aujourd’hui, nous nous prosternons devant les bouffonneries obscènes des manifestants gays obèses, et dénudés des « Gay Pride« .

C’est ce qu’on appelle le « progrès » en termes sataniques. Nous sommes les victimes d’un complot diabolique multi-générationnel qui devient de plus en plus insolent à mesure que le temps passe.

—-imaginé que une skyzophrénie sur 3 ou sur 4 et du domaine de la possession alors en détournant les gens vers d'autres causes il laisse le champs libre a ses petits amis invisibles.qu'il ne pouvait que connaitre avec son initiation esotérique.

de plus mettre une personne sous controle par des entités dans le noir total ne fait qu'aggraver son cas car le noir augumente la puissance de ces entitées bref que des méthodes qui ne servent que les forces obscures......vous savez le sentiment d'oppression que l'on ressent dans le noir total ce n'est pas que la peur notre impression  est vraie...c'est notre ame qui ressent l'oppression.....

Rituels Occultes _ Roger Morneau 3/5

Il ne faut pas oublier, même si le fait est toujours soigneusement passé
sous silence par ses disciples, que Freud avait une attirance étonnante pour les pratiques magiques et occultes (6). Nous ne nous livrerons ici ni à une défense apologétique ni à une attaque virulente de la psychanalyse comme science médicale ou fausse science, mais tenterons plutôt de montrer les rapports entre les aspects « mystiques », « magiques » et « religieux » de la psychanalyse avec la philosophie juive et les enseignements du B'naï B'rith.
Il ne faut jamais oublier que, comme l'a révélé Emil Ludwig, Freud ira jusqu'à
pratiquement créer son propre ordre secret, analogue à ceux des fraternités maçonniques, avec réunions et langage secret.

 

Citation :
Divers apports inattendus ont nourri les recherches de Freud. Dans les années
entourant 1880, Freud fut par exemple en rapport régulier (7) avec Adolph Jellinek. « le plus grand des prêcheurs juifs modernes », qui prêcha à Vienne, jusqu'à sa mort, en 1883. Il avait publié bon nombre d'ouvrages sur la kabbale et la mystique kabbalistique. Second apport chez Freud, le Dr Wilhelm Fliesse, avec lequel Freud entretiendra une importante correspondance de 1887 à 1901. Fliesse était un fervent de numérologie. Pour lui, le cycle mâle était de 23 jours, le cycle femelle de 28. La mort de Goethe était survenue au 30 156 e jour de sa vie, soit 1 077 cycles de 28 jours... féminin (type de bisexualité).

 

Citation :
Dans un passionnant essai, l'Américain David Bakan, après une étude méticuleuse et
approfondie, conclut, de manière nullement hostile, que le « freudisme est un avatar de la mystique juive », un « travestissement laïcisé » de la mystique juive. Selon cet universitaire, qui évoque « l'hypothèse très convaincante » d'un « pacte avec le diable (…), Freud passa toute sa vie dans un ghetto virtuel, un monde composé presque exclusivement de Juifs ».

 

Citation :
De même, Manès Sperber [8] décrit la psychanalyse comme « la mise en psychologie de l'Ancien Testament » ; Marthe Robert, dans un essai pénétrant, voit dans son œuvre « en quelque sorte le dernier en date des commentaires du Talmud ». Quant à Percival Bailey, il voit en Freud un « rabbin laïc (9) ». Un autre spécialiste, le professeur Baruk, pourtant hostile au freudisme, arrive à une conclusion identique, estimant que la psychanalyse est « plutôt une religion qu'une science. Elle a ses dogmes, elle a ses rites, et surtout son interprétation presque mystique, en tout cas, fort peu contrôlée. Le propre de la Science, c'est que l'hypothèse doit ensuite être passée au feu de la vérification. Alors seulement, elle
se transforme en fait scientifique. Dans la psychanalyse, l'hypothèse, c'est-à-dire
l'interprétation fournie par son auteur, le médecin, doit être contrôlée par le résultat
thérapeutique. Or, sur ce point, les résultats sont bien maigres. On ne connaît que très peu de cas d'obsessions guéris par la psychanalyse, malgré l'intense propagande de ses (10) disciples ».

 

Citation :
Comme l'écrit le préfacier de Bakan, le Dr F. Pasche, « pour Freud, le surmoi avait un
visage, celui de Moïse, et un langage, les interdits et les injonctions du Décalogue. N'est-ce pas le dogme kabbalistique d'une énergie divine, créatrice, sexualisée qui est à l'origine du concept de libido ? N'en est-il pas de même des notions freudiennes d'instinct de mort, sécularisation de l'esprit du Mal — de bisexualité — le Dieu de la Kabbale est bisexuel - de l'inceste comme crime mythique, de l'assimilation de la connaissance à l'inceste, etc. »
Mystique juive, Kabbale, numérologie : des termes peu courants pour aborder de nos
jours la psychanalyse, mais qui étaient des banalités dans les années vingt et trente. Qu'est la
Kabbale en effet, sinon l'étude symbolique des chiffres et des lettres ? Qu'est-ce que la psychanalyse, sinon une explication symbolique des chiffres et des lettres, l'interprétation des rêves, la Traumdeutung (la fameuse « Clé des songes », rêve des magiciens kabbalistes) ? Cette analogie ne devait pas échapper au B'naï B'rith, qui prit très tôt la défense de Freud et popularisa ses théories, alors même que son appartenance au B'naï B'rith était encore méconnue.

 

Citation :
A de nombreux égards, la méthode freudienne, particulièrement
dans sa phase culminante, est une forte réminiscence du symbolisme qui sous-tend toute la philosophie kabbalistique. L'importance donnée aux éléments féminins et mâles, le jonglage avec les nombres, l'exploitation de toutes sortes de symboles pour s'adapter aux cas particuliers et de nombreuses autres indications ont leur contrepartie dans la psychanalyse.
(... Comme l'explique Freud lui-même, en substance,) il est impossible de penser à un nombre ou même à un mot de manière totalement libre. Si on arrive à examiner
précisément le processus de formation volontaire, on peut toujours prouver qu'il a été très strictement déterminé. » Roback esquisse alors, et de manière complexe pour les néophytes, les rapports entre les recherches freudiennes et les schèmes d'analyse des commentateurs bibliques, kabbalistes et mystiques : « Si on vous demande un nombre au hasard et que vous répondiez 37 826, Freud répondra qu'il y a un motif secret, une raison cachée à vous- même, qui vous a déterminé à donner ce nombre plutôt qu'un autre.

 

Citation :
En fait, Freud n'a pas adhéré à un système fixé de règles pour les analogies de nombres, mais les possibilités de manipulation dépassent, surpassent tout ce que les commentateurs juifs mystiques avaient offert jusque-là (...) On doit admettre que lorsqu'on compare les manipulations de nombres faites par les commentateurs juifs avec les conjectures
extravagantes des chercheurs de la Zentralblatt für Psychoanalyse, fondée par Freud, les premières apparaissent comme du bon sens. »

 

Citation :
C'est pourquoi pour le Frère A. A. Roback, comme pour d'autres commentateurs par la suite, l'influence juive apparaît comme partout présente chez Freud, et la psychanalyse est vue à proprement parler, sans aucune notion péjorative, comme une science juive :
Citation :

Freud lui-même devait le déclarer : « Seul un Juif pouvait créer la psychanalyse. Dans l'un des Almanachs de l’Association internationale de psychanalyse, Freud

 

Citation :
Simple question : un fait a été totalement ignoré par les exégètes freudiens, en
particulier Yerushalmi. Pourquoi Freud s'est-il intéressé à Moïse ? Ne serait-ce pas par ce que les B'naï B'rith, littéralement les Frères de l'Alliance, se réfèrent, comme on l'a vu, à deux alliances bien particulières : la première alliance avec Abraham, et la seconde alliance, conclue entre le peuple élu et Moïse, qui reçut les tables de la Loi mosaïque sur le Sinaï, établissant un pacte d'Alliance entre les tribus d'Israël, et créant par là les Fils de l'Alliance...

http://www.henrymakow.com/freud_sabbatean.html


Merci à Richard Evans pour s

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31 juillet 2016

Découvrez-larsenal-des-plantes-qui-soignent

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La médecine par les plantes, ou « phytothérapie », est souvent considérée comme une médecine « douce », avec un brin de dérision.

Les plantes seraient « moins efficaces » que les médicaments. On pense à la verveine, au tilleul, à la camomille…

C’est ignorer que les plantes ne contiennent pas moins de 17 catégories majeures de produits actifs.

Les produits actifs sont ceux qui ont un effet sur la physiologie humaine. À haute dose, la plupart sont hautement toxiques.

À petite dose, et bien ciblés, ils peuvent avoir des effets remarquables pour la santé.

Ces 17 catégories sont : les phénols, les flavonoïdes, les huiles essentielles, les tanins, les anthocyanes, les coumarines, les saponines, les anthraquinones, les glucosides cardiaques, les glucosides cyanogéniques, les polysaccharides, les alcaloïdes, les glucosinolates, les substances amères, sans oublier bien sûr les vitamines, les acides gras et les minéraux.

Ce n’est pas rien !

Ce foisonnement explique les usages multiples des plantes. Sans vous faire un cours magistral, j’aimerais tout de même attirer votre attention cinq petites minutes sur les plus importantes de ces substances.

Je ne vous parlerai pas des huiles essentielles, des vitamines, des acides gras ni des minéraux. Ils ont déjà une place de choix dans pratiquement toutes mes lettres.

Parlons des actifs moins connus mais tout aussi importants pour la santé. J’ai sélectionné pour aujourd’hui, de façon parfaitement arbitraire , les alcaloïdes, les polysaccharides, les saponines et les flavonoïdes.

Ce sont des noms importants à connaître quand on souhaite maîtriser un minimum la médecine par les plantes. Faites ce petit effort de vous concentrer sur la suite. Vous ne le regretterez pas !

Prêt ? Alors allons-y !
Les alcaloïdes

Les alcaloïdes sont les premiers actifs à avoir été isolés par l’homme pour fabriquer des médicaments : la quinine issue d’écorce de quinquina, contre le paludisme ; la digoxine extraite de la digitale, pour le cœur ; la morphine extraite de l’opium, pour arrêter la toux et décontracter le patient.

Ce sont des molécules très actives. L’une d’elles, la vincristine issue d’une fleur de Madagascar (la Vinca rosea) est utilisée en chimiothérapie contre le cancer du sang (leucémie).

L’atropine, présente dans la belladone, dilate la pupille et permettait autrefois aux ophtalmologues d’examiner le fond des yeux.

Les alcaloïdes sont un des fondements de la médecine moderne. Par convention, on leur donne des noms en « ine » pour les reconnaître.
Les polysaccharides

Les polysaccharides sont, comme leur nom l’indique, des ensembles de molécules de sucre liées entre elles.

On en trouve dans toutes les plantes.

Elles n’ont pas forcément un goût sucré. Parfois, elles ne peuvent même pas être digérées, et provoquent des fermentations dans les intestins.

C’est pourquoi les personnes qui souffrent de ballonnements doivent essayer d’éviter les fruits qui contiennent des polysaccharides qu’elles n’arrivent pas à digérer (selon les personnes, cela peut-être les pommes, les prunes, les cerises, etc. Chacun doit faire ses propres tests).

En phytothérapie, les polysaccharides les plus importants sont les gommes et les mucilages visqueux qui se trouvent dans les racines et les graines des plantes.

Mucilages et gommes absorbent de grandes quantités d’eau et forment une masse gélatineuse qui calme les irritations de l’intestin, soignent la constipation et protègent les tissus enflammés. On en met sur les peaux sèches.

La plante la plus réputée dans ce domaine est l’orme rouge, un remède des Indiens d’Amérique parmi les premiers à avoir été adopté par les colons européens. Les Indiens utilisaient l’écorce interne de cet arbre pour soigner le mal de gorge, la toux, les irritations du tube digestif et diverses blessures ou inflammations cutanées.

Pendant la Guerre de Sécession américaine, les chirurgiens militaires l’utilisèrent massivement en cataplasme pour soigner les blessures des soldats. Actuellement, la FDA (autorités de santé américaines) reconnaissent son usage en pastilles et en sirop contre la toux et le mal de gorge [1].
Les saponines

Les saponines sont des substances qui, comme le savon, produisent de la mousse quand on les frictionne dans l’eau.

Les saponines comptent parmi les principaux constituants de nombreuses plantes médicinales.

Leur structure chimique est en effet proche des stéroïdes, c’est-à-dire de nombreuses hormones humaines : œstrogènes, cortisone, testostérone.

L’igname sauvage (Dioscorea villosa) contient des saponines stéroïdes à partir desquels fut fabriquée la première pilule contraceptive.

Cet exploit fut réalisé par le médecin américain Gregory Pincus en 1954. Mais il avait lui-même récupéré la substance utilisée par le médecin allemand Ludwig Haberland en 1922. Celui-ci procédait à des injections d’extraits d’igname pour bloquer l’ovulation de ses patientes. Le procédé, trop coûteux, avait été abandonné, mais la possibilité de bloquer l’ovulation grâce à une simple pilule eut un succès fulgurant. Ce n’est que plus tard – et à vrai dire tout récemment – que l’on a réalisé que perturber le cycle menstruel naturel de la femme entraînait des inconvénients.
Les flavonoïdes

Les fidèles lecteurs de Santé Nature Innovation connaissent forcément les flavonoïdes. Ce sont des pigments qui colorent les fleurs et les fruits en jaune ou en blanc. On en trouve beaucoup dans le citron.

Très antioxydants, ils sont particulièrement actifs pour maintenir une bonne circulation.

Le sarrasin et le citronnier contiennent par exemple de l’hespéridine et de la rutine, des flavonoïdes qui renforcent la paroi des capillaires.

Certains flavonoïdes ont des propriétés antivirales et anti-inflammatoires.

Les isoflavones que l’on trouve dans le trèfle rouge ont des effets œstrogéniques et sont efficaces dans le traitement de la ménopause.
Utilisez les vertus des plantes !

Il ne s’agit là bien sûr que d’un tout petit aperçu de la puissance des plantes pour la santé.

Ce n’est pas avec cette simple lettre, j’en suis conscient, que vous pourrez demain vous soigner et donner des conseils de santé à votre entourage, avec des plantes.

Il faut encore connaître les dosages précis, les préparations, et surtout l’infinie palette des plantes ayant un effet sur le cholestérol, l’arthrose, la peau, la digestion, le moral, le sommeil, etc.

C’est pour cela que nous publions chaque mois le journal Plantes & Bien-Être. Il vous introduit à la connaissance des plantes, et vous permet d’entrer en douceur dans ce monde de possibilités thérapeutiques.

Mais vous pouvez aussi commencer une formation en ligne à l’usage des plantes médicinales en vous inscrivant à l’Atelier des Plantes. C’est un cours en vidéo sur les façons de préparer les plantes médicinales pour pouvoir commencer immédiatement à soigner les petits maux mais aussi les plus graves maladies. Plus d’information ici.

À votre santé !

Jean-Marc Dupuis


https://www.santenatureinnovation.com/decouvrez-larsenal-des-plantes-qui-soignent/#moz

31 juillet 2016

Le fabuleux remède venu du Pôle Nord

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En 1971, trois chercheurs danois partent étudier les Inuits (Eskimos) sur la côte ouest du Groenland.

Ils observent que, malgré leur énorme consommation de graisse animale, les Eskimos n’ont que très peu de mauvaises graisses dans le sang et ignorent les maladies cardiaques.

Leur découverte est si spectaculaire qu’elle est publiée dans la plus célèbre revue médicale du monde, la revue anglaise The Lancet [1]. Les Eskimos ne mangent pas n’importe quelle graisse : c’est essentiellement de la graisse de phoque et de poissons gras comme l’omble chevalier, très riches en acides gras oméga-3.

Au lieu de rendre malade, ce régime protège contre l’infarctus, les attaques cardiaques, les maladies des artères, et mêmes les cancers !

Cette découverte ouvre une nouvelle ère dans la recherche en nutrition. Elle conduira à revoir entièrement le préjugé selon lequel « la graisse fait grossir » et rend malade. On s’apercevra qu’il existe de bonnes et de mauvaises graisses. Que le cerveau, qui est fait à 80 % de graisse, a pour principal constituant une sorte d’oméga-3, l’acide gras docosahexaénoïque (DHA). Le DHA contribue à un meilleur développement nerveux, réduit le risque de dépression et augmente l’intelligence des enfants et adolescents qui en consomment.

Aujourd’hui, les oméga-3 marins, issus du poisson (et maintenant du krill), sont massivement recommandés et même ajoutés à de nombreux aliments pour favoriser la santé. L’American Heart Association (Association américaine contre les maladies cardiaques) recommande de consommer quotidiennement des compléments alimentaires d’oméga-3 pour éviter les maladies cardiaques.

L’Union Européenne, pourtant réputée pour ses réticences à reconnaître des vertus thérapeutiques aux produits naturels, a fini par autoriser les vendeurs d’oméga-3 à indiquer que les oméga-3 réduisent le taux de cholestérol et ont des bienfaits sur le développement du cerveau.

« Le Panel a conclu qu’une relation de cause à effet existe entre la consommation d’acide alpha-linolénique (oméga-3) et la contribution au développement des cellules du cerveau et des tissus nerveux. » Agence Européenne de Sécurité Alimentaire, 2011 [2].

Les huiles de poisson seraient également bonnes pour l’audition [3] et réduiraient les problèmes de peau.
Le ketchup des Inuits

Le phoque a la particularité d’avoir une viande maigre (avec peu de graisse) mais d’être entouré d’une épaisse couche de gras qui l’isole des froids extrêmes du climat polaire.

On trouve donc plusieurs centimètres d’épaisseur de graisse sous la peau de l’animal, ce qui peut représenter jusqu’à 50 % de son poids total. Pour un jeune phoque, on parle de 7 à 10 kg de gras.

Les Inuits ont appris à exploiter cette prodigieuse source de calories.

Ils font fermenter la graisse du phoque jusqu’à ce qu’elle dégage une puissante odeur, mélange de vieux fromage bleu et de viande faisandée. Cela n’a pas beaucoup de goût par contre, mais c’est si gras, si huileux, que la sensation reste en bouche très longtemps. Et ils s’en servent comme condiment, autrement dit pour donner du goût à leur nourriture, par exemple la viande de caribou.

Pour rire, certains appellent cette préparation le « ketchup des Inuits » [4].

On pourrait croire qu’il est très mauvais pour la santé d’assaisonner ainsi sa nourriture avec de la graisse, mais certains disent que c’est bon parce que, nous l’avons vu, la graisse de phoque est une bonne graisse, riche en oméga-3.
Une histoire un peu trop belle

Il faut toutefois savoir que plusieurs chercheurs remettent en cause aujourd’hui l’idée selon laquelle les Eskimos étaient en pleine santé.

Nous leur devons la découverte des oméga-3 et de leurs vertus, particulièrement grandes dans le cadre du régime alimentaire diversifié que nous avons aujourd’hui.

Mais la réalité de la vie des Eskimos, et de leur état de santé, était beaucoup moins rose que les chercheurs des années 70 ont voulu le croire.

Les populations Inuits ayant conservé leur mode de vie traditionnel étaient déjà, en 1970, pratiquement éteintes. Elles ne se limitaient plus qu’à quelques centaines de personnes, dispersées à travers d’immenses territoires inaccessibles, et dont la plupart ne connaissaient pas leur âge. De plus, les Eskimos paraissent beaucoup plus vieux que leur âge réel.

« Bigre, ce vieillard m’a l’air en pleine forme ! », devaient se dire les explorateurs, sans se douter que le « vieillard » n’avait que… 35 ans.

Aujourd’hui, l’hypothèse des Eskimos protégés des maladies cardiaques est remise en cause par les travaux de Peter Bjerregaard [5] et tout récemment (avril 2014) de George Fodor, cardiologue à l’Institut du Cœur de l’Université d’Ottawa [6].
Evitez d’imiter les Eskimos

Quoi qu’il en soit, il reste clair que le mode de vie traditionnel des Eskimos était malgré tout beaucoup plus sain qu’il n’est devenu aujourd’hui.

Pendant des milliers d’années, ce mode de vie leur a permis de résister à des conditions épouvantables. Victimes du froid extrême, mourant d’accidents de chasse, de chutes dans l’eau glacée, de noyade lors de la chasse à la baleine (ils ne savaient pas nager : se retrouver dans l’eau signifiait la mort), ils étaient obligés de tuer ou d’abandonner leurs enfants dès qu’ils en avaient plus d’un en bas âge. Et dès qu’une personne sentait ses forces l’abandonner, elle se laissait tomber du traineau, dans la neige, tandis que les autres continuaient leur chemin.

Imaginez que pendant toute la nuit polaire, qui durait 6 mois, ils vivaient à quatre familles dans une « maison d’hiver » qui faisait 15 mètres carrés, à essayer de se tenir au chaud !!

C’est ainsi que les Inuits ont survécu des dizaines de milliers d’années. Ils continuaient à s’accrocher à la vie malgré les épreuves, les malheurs, les souffrances.

Aujourd’hui, il en va tout autrement.
Un destin tragique

Les adolescents Inuits ont école, chauffage, motoneiges, Internet, jeux vidéos et, bien sûr, nourriture industrielle en abondance.

Ils boivent en moyenne 1 litre de soda par jour, selon le Dr Eric Dewailly, chercheur canadien de l’Université de Laval au Québec.

Ils se nourrissent de chips, cookies, fast-food, à tel point qu’ils ont 3 fois plus de lipides sanguins en moyenne que les Européens.

L’obésité a augmenté de 50 % par rapport à 1992. L’hypertension a doublé entre 1992 et 2004. Ceci en une décennie, pour une civilisation qui dure depuis des dizaines de milliers d’années !

Mais il y a bien pire encore.

Depuis 1990, les Inuits ont commencé à se suicider massivement. Aussi incroyable que cela puisse paraître, 21 % des Inuits interrogés en 2004 ont déclaré avoir essayé de se suicider.

Dans les communautés isolées, 1 jeune sur 4 prend de la cocaïne, et ne me demandez pas comment elle est arrivée jusque là [7].
La morale de l’histoire

L’histoire des Inuits doit nous faire profondément réfléchir. Car elle nous concerne tous.

Elle montre à quel point le confort matériel peut ne pas apporter le bonheur à lui seul.

Toutes ces choses qui nous entourent, nourriture, électronique, bagnoles, peuvent nous nuire lorsqu’elles nous absorbent au point de nous faire oublier les choses essentielles de la vie (chercher un sens à son existence, avoir un projet de vie, une espérance…)

L’homme est la plus fragile des créatures. Il n’a ni griffe, ni crocs, ni fourrure et sa force lui vient de son esprit.

Mais au milieu de la plus grande abondance matérielle, il peut se laisser mourir s’il ne trouve plus de quoi nourrir son esprit et son âme.
(la suite ci-dessous)
Nous sommes tous des Inuits…

Evidemment les Inuits n’ont pas eu le choix : le choc de la civilisation occidentale a été trop rude.

Leurs références culturelles, spirituelles, religieuses, se sont effondrées comme un château de cartes. Les précieux savoirs minutieusement transmis depuis des centaines de générations pour survivre dans l’Arctique sont brutalement devenus inutiles, obsolètes comme on dit. Le traumatisme a été trop grand.

Mais n’oublions pas que, autant que nous sommes, nous pouvons rencontrer les mêmes problèmes : face à un monde qui change trop vite, un environnement transformé trop profondément, des modes de vies bouleversés, des modes alimentaires nouveaux et malsains.

Savons-nous, au juste, ce que tout cela va donner sur le long terme ? Ces changements, ces révolutions devrais-je plutôt écrire, permettront-ils à nos enfants, petits-enfants, arrière-petits-enfants, de maintenir un équilibre de vie suffisant pour continuer la grande aventure de l’humanité ?

C’est bien sûr très difficile à dire et c’est pourquoi la sagesse veut que nous fassions preuve de prudence avant d’accepter n’importe quelle nouveauté.

J’ai reçu des messages de haine pour avoir écrit dans une de mes lettres récentes que, dans certains domaines, « c’était mieux avant ». Je savais que je prenais un risque. Pour éviter de se faire traiter de passéiste, il faut applaudir à tout ce qui est nouveau. Parce que c’est nouveau, même si c’est laid, idiot, grotesque.

Mais que répondre à un orphelin d’un village ravagé par Ebola qui dirait : « c’était mieux avant ! » ?

Aux homosexuels ayant attrapé le Sida au début des années 80 et qui auraient dit, eux aussi, « C’était mieux avant ! »… ?

Ou à une maman Inuit inquiète pour son enfant et qui dirait : « C’était mieux avant ! » ?

À votre santé !

Jeam-Marc Dupuis

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Masquez les sources de cet article

[1] Bang HO, Dyerberg J, Nielsen AB, Plasma lipid and lipoprotein pattern in Greenlandic West-coast Eskimos [ archive ] , Lancet, 1971;1:1143-1145

[2] Scientific Opinion on the substantiation of a health claim related to alpha-linolenic acid and contribution to brain and nerve tissue development pursuant to Article 14 of Regulation (EC) No 1924/2006

[3] Sharon G Curhan, Roland D Eavey, Molin Wang, Eric B Rimm, and Gary C Curhan. Fish and fatty acid consumption and the risk of hearing loss in women. American Journal of Clinical Nutrition, September 2014 DOI: 10.3945/ajcn.114.091819

[4] Gastronomie Inuit

[5] Low incidence of cardiovascular disease among the Inuit—what is the evidence?

[6] “Fishing” for the Origins of the “Eskimos and Heart Disease” Story: Facts or Wishful Thinking?

[7] Inuit diet touted as health tonic

https://www.santenatureinnovation.com/le-fabuleux-remede-venu-du-pole-nord/#mozalimentaire

31 juillet 2016

les ondes de forme sont les énergies intermédiaires entre le plan matériel et spirituel

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Les constructions bioénergétiques doivent avoir :

– Du vert négatif magnétique

– De l’UV

– De l’Or (se capte sur Orange, ou en tenant une pièce d’or dans la main)

– la phase horizontale est magnétique et verticale électrique.

– V- : base de tous les centres énergétiques

– UV : base de l’environnement des anges et êtres de lumière. Vibration purifiante et relaxante. Equilibre les organes hyper excités. Calme le système nerveux.

– OR : augmente sagesse et prospérité. Equilibre système immunitaire.

couleurs Magn Elect Observations personnelles
V +(vert) 180° Il est à la charnière entre le magnétique et l’électrique, il donne un mouvement alternatif. C’est une situation d’équilibre on peut considérer le courant V+ comme bénéfique. Il est perçu autour des mégalithes (menhirs, cairns, dolmens), des églises et des chapelles. La silice émet en V+ par exemple la superbiomine qui est une poudre de roche riche en silice (homéopathie silicéa).
Bu (bleu) 195° 15° Très bénéfique, elle sert à neutraliser les nuisances et à déterminer les points de neutralisations. Le V+ et le Bu réunis mis en contact avec une nuisance de terre électrique, la neutralise. Un aimant, une champenoise posée sur un point Bu rééquilibre un lieu et suppriment le V-. Les prises de terre sont à placer sur ce point. Certaines terres rares expriment le Bu magnétique ainsi que le kombucha (boisson acide produite avec un champignon qu’on met dans du thé : voir l’impatient n°216 Novembre1995)(homéo poconéol n°4 , le R L B, le P 400 de Beljanski. Le Bu s’exprime peu ou pas en en phase électrique (3ème cercle autour des menhirs).
In (indigo) 210° 30° C’est une fréquence ressentie en magnétique sur certains produits ayant une action sur l’état général. Il est peu perçu en électrique..
Vi (violet) 225° 45° C’est la vibration d’équilibre des produits sains. En électrique, c’est la vibration de l’équilibre de santé. Entre 45° et 55° nous sommes dans la normale. Toutes les agressions de stress et de maladies nous décalent en énergie vers le V- E et le Noir E (105°) qui traduisent un état général très dégradé.
Uv (ultra violet) 240° 60° Il est peu perçu en magnétique (On le rencontre dans certains produits pour les plantes). Par contre c’est actuellement la source de pollution qui perturbe le plus notre environnement. Elle est portée par les courants telluriques qu’elle charge au contact des prises de terre, des poteaux électriques ou au passage sous les lignes à hautes tensions. Elle provoque le stress et l’agressivité, ceci s’observe aisément en porcherie où elle provoque l’agressivité des porcs qui se traduit par du cannibalisme. Sur le passage de ces lignes on détecte de l’Uv E. Les produits stockés sur des zones en UV E s’imprègnent et se dénaturent surtout les produits qui agissent par leur charge vibratoire, exemple : l’homéopathieLe stockage des aliments pour les animaux est à déconseiller sur les zones en UV .
Bc(Blanc) 255° 75 C’est l’onde de Chartes. Elle se détecte dans l’axe de toutes les anciennes églises elle est présente sous les menhirs les dolmens ; elle sert de référence pour la recherche des courants d’eau pour les forages, les bonnes fontaines vibrent en Bc ; l’eau de la fontaine de Lourdes en est une référence. Le Bc E traduit une pollution du courant d’eau par l’électrique peut se confondre à l’ UV E .
V- ‘(vert -) 270° 90° Il est essentiellement perçu en électrique à 90°. C’est une des nuisances les plus sournoises. Dans son livre (ondes de vie ondes mort) Jean de la Foye, décrit très bien le V-. Cette vibration ultra courte crée sur son passage les fissures dans les enduits et les bétons, provoque une forte nuisance dans l’environnement et induit certaines maladies. Le V- est peu ou perçu en magnétique
12% »>N (Noir)(kombucha) 285° 105° Très proche du V-, il signe entre autres les forces occultes, la mémoire des lieux et de graves nuisances. On le trouve en magnétique à 285°, c’est alors une force de vitalité et de stimulation, il est bien perçu dans le kombucha et dans le poconéol n°75 ( produit homéopathique). Vous trouverez deux cercles noirs M autour des menhirs bien placés ?
Ir (Rouge) 300° 120° Votre pendule équatorial en phase magnétique le curseur sur IR vous aller réagir par exemple sur le vinaigre de cidre, le kombucha. L’IR renforcerait la résistance aux virus. Sur certaines lignes telluriques on observe de l’Ir électrique à 120° . Il provoque stress et agressivité.
R(rouge) 315° 135° Il s’observe sur les produits anti-infectieux. (en homéopathie belladona) Il est peu perçu en électrique
O (Orange 330° 150° S’observe sur certains produits préconisé dans les infections (mercurius en homéopathie) Il vous reste à découvrir, il est peu ressenti en électrique à 150°
J (Jaune) 345° 165° C’est une vibration intéressante, vous la trouvez en spirale dans les anciennes églises. C’est une couleur reposante vous pouvez la charger avec votre pendule le curseur sur J en phase magnétique ; le point Bu est toujours situé dans une zone Jaune, qui est propice pour le repos. Il vous reste à la rechercher. Le jaune électrique à 165° .Je ne l’ai jamais détecté

 

 

 

Et ci après mes réflexions et découvertes personnelles :

On définit en général les ondes de forme (ODF) comme des ondes générées par les formes. Par exemple la pyramide génère du V- au niveau de la chambre du roi, c’est à dire à la verticale du sommet, à un tiers de la hauteur en partant du bas

D’après mes recherches, elles sont du même type de vibration que le « magnétisme humain » ou « magnétisme « animal », ou le chi et je donne la définition suivante :

« les ondes de forme sont les énergies intermédiaires entre le plan matériel et le plan spirituel, le monde spirituel étant les forces créant la matières au sens large. Elles existent des qu’il y a matière ou pensée. Ces ondes ne sont cependant émises, donc détectables que quand la matière est soumise à une tension énergétique (champs magnétique …) et sont modulées par la forme elle même et les forces spirituelles constructrices et relatives à la forme. »

Cette définition permet de comprendre pourquoi les ondes de forme permettent le transfert d’énergies subtiles à grandes distances. Par exemple, les appareils ou schémas de radionique envoient des ondes de symboles ou de l’énergie sur un être ou objet en liaison avec le témoin mis sur l’appareil. Les actions faites par radionique pouvant aussi bien être au niveau santé physique qu’émotionnelle ou psychique.

Les ondes de forme ont les actions suivantes : (j’ai cherché ces actions au pendule)

V- : en relation avec le magnétisme (des aimants)

BC : action plan Spirituel

UV : en relation avec le Chi

VI : action de ralentissement, de mise en sommeil

IN : action de purification, de Distillation

Bleu : action d’apprentissage, de construction

V+ : action de dissolution, de digestion, assimilation

J : action de réparation, de guérison

O : action d’équilibre des forces

R : action d’excitation, de réchauffement

IR : action d’échange, de mise en état d’instabilité

N : action de mémorisation

Pour détecter les ODF, j’ ai découvert la méthode suivante :
Chaque articulation d’un doigt est en relation avec une ODF précise. En mettant le pouce en contact avec une articulation, nous émettons cette ODF, et par conséquent, sommes à même de mieux la capter.

 

La main tenue en position horizontale permet de capter et émettre les phases magnétiques et la main en position verticale les phases électriques. (voir photos ci après)

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Quand on parle « Ondes de forme » (ODF), on pense automatiquement aux ondes émises par les formes. Nous allons voir que les ODF sont bien plus que cela. Comme bien souvent, le langage nous conduit dans un raisonnement limité.

Lors d’un voyage en Egypte, Chaumery et Belizal, 2 radiesthésistes chevronnés du début du 20ème siècle, ont vu un chat momifié dans la grande pyramide, dans la chambre du roi, et, chose étrange, il ne semblait pas avoir subit de processus de momification. Quelque force étrange avait fait cela ? Voilà un mystère à résoudre pour nos amis.

En tant que radiesthésistes, ils se sont mis à étudier les énergies présentes. Il faut dire qu’à l’époque, la radiesthésie s’expliquait surtout par l’interaction des ondes sur les pendules et baguettes. La théorie physique était de mise. Le premier livre de Chaumery et Belizal est sorti vers 1930 et la radiesthésie mentale est née vers cette époque. Les radiesthésistes avaient coutume, essentiellement suite aux théories de l’Abbé Mermet, de Turenne, de Lesourd et de quelques autres « Grands de la Radiesthésie », d’analyser le monde en termes de longueurs d’ondes et de rayons fondamentaux. Ils avaient ainsi découvert que chaque élément de base a une certaine direction de rayonnement spécifique appelé rayon fondamental qui contient les informations de l’élément. Il est est de même des couleurs. Ainsi, le vert radie essentiellement vers l’est, le rouge vers le sud, le bleu vers le nord est, … Et ils analysaient également les choses par leur polarité, polarité à comparer avec le + et le – d’un pile, simplement selon le sens de rotation du pendule, sens des aiguilles d’une montre pour positif et sens contraire pour négatif.

Pour ma part, étant mentaliste de conviction, j’ai longtemps considéré tout cela comme des conventions plus ou moins inconscientes ou acceptées par raisonnement implicite. Cependant, je me disais que si des radiesthésistes aussi compétents que l’ Abbé Mermet et ses amis s’attardait à ces théories, elle valaient la peine d’être considérées. Alors, de temps en temps j’ai repris mon pendule à onde de formes et cherchais. Mais, ainsi que le disent de nombreux auteurs, je ne les trouvais pas au même endroit que Chaumery et Belizal. Cependant, ils avaient de super résultats dans leurs applications.J’ai lu par exemple que Bélizal, devant un groupe de personnes, a accroché une forme en bois un peu bizarre à un arbre bien vigoureux, et quelques temps après, cet arbre a perdu ses feuilles et est mort. Avec une telle démonstration on peut difficilement nier une certaine réalité de ces énergies. J’ai donc continué mes essais de temps en temps et un beau jour j’ai enfin compris mon erreur: Nous ne sommes plus en 1930. Les forces dans nos maisons et autour de nous ont énormément changées. Cette fois ci, avant de chercher les couleurs, j’ai cherché le nord de forme de l’endroit ou j’étais et orienté mon tableau selon le nord de forme, et enfin, à partir de là, j’ai trouvé les mêmes couleurs que Chaumery et Belizal. J’avais maintenant la preuve de la réalité de ces ondes sous mon pendules et qu’ il ne s’agit donc pas uniquement de convention mentales.

En fait, je pense que la radiesthésie est un acte mental qui passe par notre Esprit. Nous pouvons grâce à cela détecter toutes espèces de choses existantes. Cela dépend de notre orientation mentale. Je peux ainsi, entre autres, détecter les énergies extrêmement fines, qu’aucun appareil à ce jour n’est capable de détecter, et dont certaine, n’étant plus du domaine matériel, ne seront d’ailleurs jamais détectable par un objet matériel, dont les ondes de forme. Ne confondons pas la technique de la radiesthésie avec ses applications. Je m’applique donc, avec mon mental, à rechercher les ondes de formes.

Poursuivons maintenant notre étude de ces ondes mystérieuses. De retour chez eux, nos deux radiesthésistes se sont dit que ces ondes étaient probablement liées à la forme particulière de la pyramide et à son orientation. Ils ont donc commencé par étudier une forme simple : une sphère. Pour cela, ils ont posé une sphère en bois sur un cylindre, ont pris un 2ème cylindre dans la main gauche, un pendule de couleur rouge et ont analysé les ondes sélectionnées par le cylindre. Ils ont découvert que, sans penser à rien, c’est à dire selon eux sans convention mentale, mais d’après moi avec la convention implicite de recherche d’accord avec la couleur rouge, que le pendule tournait en face de certains endroits précis. En reliant ces endroits par un trait, ils ont découvert que ceux ci suivaient une courbe de forme hélicoïdale du pôle nord au pôle sud de la boule. (voir dessin ci après).

ODF-detection-belizal

Ils ont par la suite refait la recherche avec les autres couleurs de l’ arc en ciel en changeant la couleur du pendule utilisé pour la détection et ont trouvé d’ autres courbes de même style, d’ un écartement uniforme entre elles, exceptés quelques vides, qu’ils ont combles en cherchant les réactions par rapport au blanc, au noir, à l’infra rouge et à l’ultra violet.
Ces courbes n’étaient pas fixes et faisaient une rotation complète en 24 heures. Ceci nous donne une indication intéressant quant à leur origine. Après de nombreuses recherches, ils ont réussi à bloquer les couleurs sur la sphère, grâce à des perforations à des endroits précis.

Sur l’équateur, nous avons ainsi les couleurs suivantes :

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Appelons cela le spectre Belizal. Vous pouvez remarquer que le vert se trouve 2 fois. Une fois avec la polarité + et une fois avec la polarité -. Ceci est du au fait, en cherchant le rayon fondamental, que le vert se situe au milieu des couleurs vers l’est.. Les couleurs rouge, rayon fondamental vers le sud, orange, rayon fondamental vers le sud est, le jaune ont une polarité négative, les couleurs bleu, indigo et violet sont de polarité positive et rayonnent vers le nord, nord est. Le vert, entre les deux a une partie des verts, ceux qui tirent plus vers le jaune en polarité négative et les verts qui tirent plus vers le bleu en polarité positive. Ils ont ensuite crée des pendules spécifiques permettant la détection de ces couleurs, dont en particulier le pendule Universel. Grâce à un réglage du fil sur son anse à la verticale d’un point choisi, ce pendule émet cette énergie de couleur, permettant ainsi sa détection plus facilement, car il en fait témoin en même temps.

Ils ont ensuite étudié les énergies environnantes avec ce pendule et ont découvert que tout pouvait s’analyser par une combinaison de ces couleurs. Ce sont en fait des noms donnés aux énergies non détectables matériellement, en particulier les ondes du domaine vital. Certaines ondes, en particulier le vert négatif ont des effets très particuliers, voire dangereux si en excès. En fait, tout excès d’une couleur, quelle qu’elle soit et quelle que soit sa polarité est à éviter. Seul l’équilibre est gage de bonne santé. Par exemple, le V- se retrouve en quantité excessive dans la chambre du roi de la grande pyramide. Une de ses propriétés est de détruire les bactéries en desséchant, ce qui explique la momification du chat. De nombreuses expériences ont été faites depuis sur les propriétés de la pyramide et on cite entre autre l’affûtage de lames de rasoir, la momification de viandes, la stimulation de certaines onde cérébrales, le renforcement d’un vœux, l’ élimination d’ insectes dans les cultures, …

Par la suite Jean de La Foye a continué d’étudier ces énergies et a d’ailleurs écrit un livre très intéressant, que je ne peux qu’encourager à lire, mais fort complexe : « Ondes de vie, Ondes de mort » dont je me suis beaucoup inspiré.

Un jour, en se promenant dans la forêt avec son pendule, il a ramassé une feuille d’ arbre, l’a tenue par le bout de la feuille et soudain son pendule s’est mis à tourner à un endroit où précédemment il n’a pas eu de réaction. Que s’est il passé ? La feuille est polarisée et a une énergie, bien que feuille morte. Cette énergie a déséquilibré le champ énergétique de l’arbre, rendant ainsi détectable les couleurs qui avant étaient dormantes. Il s’est aperçu que les couleurs pouvaient être trouvées sur un cercle du double du diamètre du tronc et que les couleurs se trouvaient chacune deux fois. Les deux couleurs de même nom sont opposées diamétralement, et elles faisaient tourner le pendule dans des sens opposés, ce qui a donné à Jean de la Foye l’idée de les appeler « magnétiques » et « électriques ». Bien que ces couleurs réagissent plus avec des témoins magnétiques ou électriques selon le cas, il faut bien faire attention à ne pas confondre avec le champ magnétique d’un aimant et le courant électrique d’une pile ou dans un câble électrique. Ce sont des dénominations qui ont été choisies pour des raisons de réactions, mais qui hélas donnent lieu à des confusions. Par exemple, si vous détectez une couleur en électrique, cela ne veut pas dire qu’il a des champs électriques. Qu’il y a une certaine analogie avec le champ électrique, oui, mais c’est tout. De même, faites attention à ne pas transformer les couleurs en conventions mentale. Par exemple, dans un endroit où ont eu lieu des sacrifices, il y a eu génération de V-. Ceci est un résultat. Cependant, si vous trouver du V- dans une endroit, cela ne suffit pas pour déduire qu’il y a eu sacrifice. La découverte du V- ne sera qu’un élément tendant à orienter vers cette déduction.

Nous avons donc maintenant le cercle Bélizal, non polarisé et le cercle Jean de la Foye polarisé. Il faut faire bien attention à ne pas confondre. Les couleurs polarisées ne peuvent être découvertes que dans un champ perturbé, soit perturbé par sa configuration ou l’environnement, …, soit perturbé par un outil comme la feuille pour les besoins de l’analyse. En clair, cela signifie que si vous trouvez des couleurs polarisées dans une maison, elle est perturbées. Ce n’est pas forcément le cas si vous trouvez des couleurs non polarisées.

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Jean de la Foye cite plusieurs propriétés intéressantes et étranges des ODF polarisées : elle suivent les creux, comme par exemple les tuyaux, sautent dans les conducteurs électriques, sont déviées par des prismes en bois, sont réfléchies par les miroirs, certaines matières laissent passer le magnétique uniquement et d’autres l’ électrique, elles existent sur différent niveaux : physique, vital et spirituel, sont facilement portées à distance, …

Jean de la Foye mis au point une forme particulière permettant de sélectionner une onde choisie et de l’envoyer à distance, en général dans un but de correction énergétique : l’ émetteur têtard.

Je m’ en suis inspiré pour mettre au point la baguette abeille.

Que sont exactement les ondes de forme ? Des expériences ont montré que si nous prenons on crayon posé sur un table bien équilibrée, il s’ensuit une émission d’énergie vers le sud et cette énergie correspond à la couleur sélectionnée selon le cercle Jean De La Foye. L’image suivante vous expliquera mieux que mes paroles. Le crayon y émet du BcM (Blanc magnétique).

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D’autre part, si nous déséquilibrons le lieu, c’est à dire que si nous déplaçons le nord ODF de 90° vers la droite, l’émission ne se fera plus au sud, mais à l’ ouest. Il en est est de même pour tout déplacement de ce nord: l’émission change de direction et se fait toujours t au sud de forme. Qu’est ce qui fait se déplacer le nord de forme ? Une énergie nouvelle génèrera une nouvelle ODF de telle sorte que l’énergie joue le rôle de l’est. Et avec cela nous avons la clé des ODF.

http://www.roland-gerber.com/2011/01/01/etude-sur-les-ondes-de-forme-suite-2/

30 juillet 2016

Les lieux et les formes de pouvoir expliqués par la biogéométrie

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Le livre « BioGéométrie » d’Ibrahim Karim se base sur la géobiologie et l’architecture pour déterminer où et comment est émise l’énergie « sacrée » bénéfique pour la vie. Selon l’auteur, cette énergie peut même diminuer les effets négatifs de « l’électrosmog ». Je vais tenter ici de résumer la thèse présentée dans son livre et sur son site.

Ibrahim Karim est architecte de formation, il étudia en Suisse et reprit le cabinet d’architecte « Alemara Consulting House » de son père, qui était architecte pour le Moyen-Orient. Durant ses études, il rencontra le Dr. Mahfouz qui devint le ministre égyptien de la santé. Ibrahim Karim fut ensuite consultant pour divers ministères de pays du Moyen-Orient, et conçut les premières formes biogéométriques en 1992. En 1972 il a en effet été initié à la radiesthésie, en rencontrant le Dr. Fawzi Soleiman Soweha et le Dr. Khalil Messiha. Cela le conduisit à la Maison de la Radiesthésie à Paris. C’est par la radiesthésie et des méthodes de biofeedback qu’Ibrahim Karim chercha à concevoir des formes qui puisse résonner avec leur environnement ou les êtres vivants. Ibrahim Karim est lié au Vesica Institute, ainsi qu’à « Creating Healthy Spaces », et est apparu dans divers médias. Il a étudié l’effet de la biogéométrie dans l’agriculture (avec le Prof. Peter Mols) et a étudié l’effet sur la santé (projet du Dr. Taha Khalifa). Enfin, entre 2003 et 2005, il a implanté des formes sur des antennes relai en Suisse (à Hemberg et Hirschberg).

Energies spirituelles

Le livre insiste sur l’importance de l’énergie « BG3″, qui veut dire « BioGéométrie Trois ». Ce sont « trois qualités de base » qui sont en résonance avec une énergie subtile harmonisante et spirituelle. Ces trois qualités sont : « Le vert négatif horizontal », « l’harmonique supérieure de l’ultra violet », et « l’harmonique supérieure de l’or ». L’énergie de l’harmonique supérieure de l’or est une énergie spirituelle qui est en résonance avec l’or physique. C’est pourquoi l’alchimie peut faire évoluer les métaux en or. [Note : Stéphane Cardinaux explique (voir plus loin) que le vert négatif est en fait du blanc. On peut se demander donc, si "l'harmonique supérieure de l'ultra violet" n'est pas une énergie au-delà du magenta et que "l'harmonique supérieure de l'or" n'est pas une énergie au-delà du pourpre (la pierre philosophale est rouge et "pourpre" veut dire "le pur du pur", cf. Fulcanelli).]

Ibrahim Karim cherche à développer une « Physique de la Qualité » (opposée à notre « physique de la quantité ») qui étudierai les énergies subtiles sous-jacentes à la matières. Selon Ibrahim Karim, les sens perçoivent les octaves de fréquences de la matière (couleurs, sons, saveurs, odeurs,…) et il y a donc une organisation mathématique de la matière par des archétypes décelables dans les nombres et les formes géométriques. Ces archétypes se retrouvent dans les langages et systèmes (yi king, tarot, cinq éléments, etc). On peut faire des équivalences. Le rouge peut donc être l’équivalent du Do, par exemple.

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Qualités universelles se manifestant dans le domaine sensoriel. Image : Ibrahim Karim

Comme nous le disions dans cet article :

« Les vibrations dans l’univers évoluent et s’organisent en gammes, et qu’il s’agisse du son ou de la lumière (couleurs), la compréhension de ces lois permet d’accéder à ce qu’il y a « derrière » la manifestation. Nous pouvons alors comprendre l’unité derrière tous les phénomènes, un lien profond les rassemblant.

La synesthésie est une faculté qui prouve l’unité des vibrations. La synesthésie (naturelle ou provoquée par des substances psychoactives) permet de « voir les sons », « d’entendre les couleurs », de « goûter une odeur », etc. Il est également possible de « voir les mots en couleurs », ce qui revient à voir un texte avec tous les mots d’une couleur différente, automatiquement. Le cerveau semble donc capable de traduire par son fonctionnement, la perception des « sens subtils », qui ne sont dès lors pas dissociés en « cinq sens », mais qui unissent tous les aspects de la réalité. »

Cet autre article donne une origine possible à la synesthésie : une meilleure communication entre les différentes aires du cerveau (et l’activité du cerveau est directement liée à l’activité « spirituelle », comme l’a montré Corine Sombrun) :

« Par exemple, un synesthète peut non seulement voir la couleur rouge mais « l’entendre » aussi. L’origine ? Un excès de substance blanche dans le cerveau qui permet la connexion entre les différentes zones du cortex et le transfert d’informations. Les surdoués semblent particulièrement concernés par cette prolifération de substance blanche et seraient très fréquemment synesthètes. »

Contrairement au son (l’oreille humaine peut entendre 10 octaves), les yeux ne voient qu’une octave de couleur. C’est pourquoi nous ne parlons pas de résonance pour la couleur.

Cette énergie BG3 est présente dans les lieux terrestres ou célestes, qui sont des lieux de pouvoir spirituel où se retrouvent des monuments sacrés. Mais on peut aussi la retrouver ailleurs,

Radiesthésie

Ibrahim Karim a étudié la radiesthésie d’abord en trouvant des instruments de Chaumery et Bélizal. Il étudia ensuite des auteurs des années trente, dont Turenne, Enel (Scariatin), Voillaume et d’autres. C’est la mort tragique de Chaumery qui marqua la fin de cette époque. C’est Madame Lambert, à la Maison de la Radiesthésie de Paris, qui lui donna les manuscrits originaux, parce qu’une guérisseuse, Jacqueline Debeaux, lui a dit qu’elle devait attendre la venue de « l’égyptien ».

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Le livre d’Enel, disponible sur scribd

Ibrahim Karim remarqua que le pendule fonctionne comme une corde de musique, et la longueur de la corde est très importante, elle permet de précisément mesurer les énergies. C’est ce qui poussa Ibrahim Karim a étudier le travail de Hans Kayser, Hans Jenny et à revenir à l’Antiquité (monocorde de Pythagore). C’est Enel, en 1940-1950 qui utilisa le principe du pendule de Chaumery pour étudier les énergies des tombes de saints chrétiens en Egypte.

« Enel découvrit que [toutes les tombes] émanaient une certain qualité de vibration dans la zone de ce que nous appelons « Vert Négatif ». Le Vert Négatif est une qualité d’onde porteuse qui a des propriétés de communication très puissantes sur tous les niveaux d’énergie de la nature, et est une porte sur d’autres dimensions. Enel nomma cette qualité d’énergie « Omega ». Dans la gamme de couleur qualitative de la radiesthésie, Omega fait partie de la zone du Vert Négatif Horizontal, dans la zone grise entre le blanc et le noir, à l’opposé du vert. Enel conclut que la présence de cette énergie Omega indique la présence d’une énergie spirituelle (…) »

« L’exemple le plus connu est la pyramide. Elle est capable de momifier naturellement n’importe quel fruit en son centre (à un tiers de sa hauteur à partir du centre de sa base) du fait qu’elle émet du « vert négatif ». On lui prête aussi la propriété de rafuter de vieilles lames de rasoir. Personnellement, je n’ai pas essayé.

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Le « vert négatif » s’appelle ainsi car il est à l’opposé du vert sur le spectre des couleurs en radiesthésie.

Sinon un autre exemple moins connu mais que je retrouve chez beaucoup de mes clients, c’est l’antenne rateau de télévision. Elle émet un rayonnement vert négatif verticalement. » (Source)

« Ils ont ensuite étudié les énergies environnantes avec ce pendule et ont découvert que tout pouvait s’analyser par une combinaison de ces couleurs. Ce sont en fait des noms donnés aux énergies non détectables matériellement, en particulier les ondes du domaine vital. Certaines ondes, en particulier le vert négatif ont des effets très particuliers, voire dangereux si en excès. En fait, tout excès d’une couleur, quelle qu’elle soit et quelle que soit sa polarité est à éviter. Seul l’équilibre est gage de bonne santé. Par exemple, le V- se retrouve en quantité excessive dans la chambre du roi de la grande pyramide. Une de ses propriétés est de détruire les bactéries en desséchant, ce qui explique la momification du chat. » (Source)

« Le Vert négatif est également indissociable de basse vibration. En règle générale tout ce qui vibre bas émet du vert négatif en abondance.

Cette analogie V- / basse vibrations est non seulement vrai au niveau énergétique, mais également au niveau physique, car on sait qu’un lieu est plus froid lorsqu’il est saturé en V- (Il y a d’ailleurs existé un projet à un époque de faire des chambres froides en utilisant cette onde.)

On peut même aller jusqu’à expliquer de cette façon la raison pour laquelle un lieu où sont pressentes des entités basses (je pense notamment aux âmes errantes) sont anormalement froids (et donc par conséquent, la légende qui tend à dire qu’un fantôme dégage du froid.) » (Source)

Suite à ces recherches, Ibrahim Karim a déterminé que les monuments sacrés utilisaient le vert négatif horizontal, mais aussi deux autres énergies. A propos du « vert négatif », Stéphane Cardinaux explique dans Géométries sacrées, p.28 :

« Le spectre des vibrations-couleurs de MM. Chaumery et De Bélizal, datant des années trente, comporte, entre le rouge (l’écarlate) et le violet (le pourpre), du noir, du blanc et du « vert négatif ». Ils ont dessiné et nommé ces couleurs par commodité, mais n’ont jamais dit que le « vert négatif » était réellement de couleur verte. Ces pseudo-couleurs servent simplement à différencier ce qui se passe entre le magenta et le pourpre. Le spectre électromagnétique ne comprend qu’une seule fois le vert, l’introduire deux fois dans un spectre subtil est une absurdité.
En tant que vibration, le « vert négatif » existe pourtant bel et bien, mais il est… blanc !
Dans la pratique, ce blanc est légèrement rosé car contenant toujours un peu de pourpre et de magenta. C’est la couleur du 7ème chakra et celle aussi de l’âme humaine, la fameuse couleur « fleur-de-Pêcher » des anthroposophes. (…) Le blanc est la vibration la plus puissante qui existe, mais l’être humain n’est capable de l’absorber qu’en partie. Exploitée dans les pyramides égyptiennes, cette énergie a le pouvoir de momifier, c’est-à-dire de dessécher la matière vivante et de la cristalliser en une matière minérale imputrescible. (…) Cette énergie est très négative pour les êtres vivants, leur corps éthériques se rétractent et se densifient pour protéger le corps physique contre cette agression. (…)
Une énergie « négative » peut être transmutée en une énergie « positive ». Cette énergie devient alors favorable à l’être humain, le corps éthérique se dilate de façon extrême, facilitant ainsi la décorporation de l’âme. Tel est le but de la Grande Pyramide, lorsque vous êtes dans la Chambre du Roi, couché dans le sarcophage vide. »

Ondes électromagnétiques et ondes de compression

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Ces énergies qui informent la matière sont difficiles à mesurer. Un peu comme pour la parapsychologie étudiant la télépathie. Ces ondes sont instantanées et simultanées. Ibrahim Karim explique que les ondes électromagnétiques, en se déplaçant, émettent des ondes « secondaires », des « ondes de compression », comme une turbulence autour d’un bateau en déplacement qui forme des tourbillons autour de lui. Ce sont des « ondes longitudinales », qui se déplacent plus ou moins vite.

C’est Paul Devreux et Konstantin Meyl qui ont étudié les ondes scalaires, un type d’onde longitudinale de compression. On parle aussi d’ondes de torsion en Russie. Pour Konstantin Mayl, les réseaux d’énergie (Hartmann, etc) sur terre sont des ondes scalaires, et que les méthodes des sourciers se basent sur ces ondes. Konstantin Meyl explique aussi que l’électrosmog est grandement aggravé par ces ondes. [A noter qu'Ibrahim Karim dit aussi, dans son livre (paru en 2010) que ces ondes ont un rôle dans le réchauffement climatique... alors qu'on sait qu'il n'y a pas de réchauffement mais un refroidissement.]

Konstantin Meyl a déterminé également que les longueurs d’ondes scalaires sont les mêmes dans les temples qui sont dédiés aux mêmes dieux. (p.29) Cela montre qu’ils associaient chaque dieu à une qualité d’énergie différente.

Ibrahim Karim pense aussi que lorsque Pythagore faisait référence à la musique des sphères, il évoquait en fait l’audition d’ondes de compression/scalaires qui sont proches du son par leur nature, et qui pourraient être causées par l’écho (sous forme d’onde longitudinale) de l’énergie solaire sur les planètes. En effet, ces « ondes secondaires » de type longitudinale sont alimentées par les ondes EM mais sont similaires aux ondes sonores « à un niveau inaudible au-delà de notre capacité auditive », et donc sont influencées par les formes.

Les ondes « scalaires » sont les ondes de forme (de la Terre)

Stéphane Cardinaux mentionne aussi ces « ondes de compression » évoquées par Ibrahim Karim et le rapport qu’elles ont avec le son.

« Des expériences et notre ressenti nous ont fait comprendre qu’il manquait une clé importante à notre théorie sur les réseaux. (…) Nous sommes actuellement persuadés d’être en présence d’un phénomène éthérique et non électromagnétique. Si tel avait été le cas, il y aurait bien longtemps qu’un appareil aurait été mis au point. (…) Grâce au Sonotest, les réseaux peuvent être mis en évidence quand le son semble passer d’une oreille à l’autre – comme si le son venait d’endroits différents lorsque l’appareil traverse une ligne. (…) Notre intuition nous conduit d’ailleurs à penser que les sons font le lien entre les plans et que l’électromagnétisme reste limité au domaine de la matière physique. (…) A notre avis, les ondes électromagnétiques en elles-mêmes n’ont que peu d’effet sur le corps. A faible intensité, c’est l’information véhiculée par la vibration éthérique qui, elle, a une forte incidence. (…) Nous estimons que les réseaux telluriques ne sont rien d’autre que les ondes de forme de la Terre, activés par le champ magnétique – leur source d’énergie – véhiculant des informations, telle la signature vibratoire des métaux et métalloïdes dont est composée la planète. Cela permet de comprendre pourquoi l’information des métaux, réémise par radionique, influence une ligne – qui se met à vibrer par résonance avec ledit métal. (…) Il semble y avoir de fortes similitudes entre les ondes sonores et les réseaux telluriques. [Stéphane Cardinaux fait référence à une expérience de type Plaque de Chnaldi]. »

Ibrahim Karim a un avis similaire sur ces ondes (qui au passage peuvent avoir une « torsion » droite ou gauche selon leur position par rapport au mouvement de l’onde EM qui les a produites). Ces ondes sont comme des « vagues » qui constituent la « signature vibratoire » de tout objet. :

« Les différents types de grilles d’énergie subtile de la terre résultent d’ondes secondaires longitudinales de compression causées par le mouvement dans les patterns électromagnétiques de la terre. » (p.216)

Les composantes de l’onde EM

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Puis Ibrahim Karim explique que le rayonnement électromagnétique du soleil est constitué d’une composante magnétique et d’une composante électrique, l’une « verticale », l’autre « horizontale ». La lune annule l’effet électrique du soleil (vertical). A propos de la polarisation, voir cette page sur la lumière et ceci sur les radars :

« De nombreux radars sont conçus de manière à transmettre le rayonnement des hyperfréquences en polarisation horizontale (H) ou verticale (V). Cette onde transmise, qu’elle soit en polarisation H ou V, peut générer une onde rétrodiffusée avec différentes polarisations. On appelle polarimétrie radar la technique d’analyse de la combinaison de ces polarisations. » (Source)

Le danger des ondes EM utilisées dans la société

Ibrahim Karim pense qu’il est faux de dire que les ondes non-ionisantes, comme les ondes radio, sont sans danger. « Sur le plan subtil, il y a des changements dans la qualité de l’effet sur les systèmes vivants d’énergie » (p.40) Nous sommes exposés sans arrêt à ces ondes non-ionisantes, et pourtant, leur « qualité » est « similaire à celle des rayons X ». L’impact sur la santé est plus difficilement décelable que pour les ondes ionisantes mais est réel. (p.41) Notre système immunitaire est lentement mais surement annihilé. Stéphane Cardinaux fait une remarque intéressante au sujet de cet électrosmog :

« J’ai eu la chance de pouvoir expérimenter une chambre de Faraday spécialement construite pour arrêter les ondes électromagnétiques. (…) A l’intérieur, les réseaux sont très clairement perceptibles, avec les mains et audibles avec le Sonotest. Cette expérience démontre que les réseaux ne sont pas de nature électromagnétique.

J’ai profité de cette chambre pour prendre des valeurs bioénergétiques. J’étais intéressé à comparer deux zones neutres, l’une dans la chambre et l’autre à l’extérieur pour déterminer l’impact de la pollution électromagnétique ambiance (electrosmog). La différence est de 30%, c’est-à-dire que notre énergie serait d’un tiers plus élevée si nous ne subissions pas cette pollution. Les valeurs correspondent à la banlieue de Fribourg, donc sans comparaison avec ce que certains subissent dans une grande ville. » (p.52, Géométries sacrées vol. 1)

Les « points cancer »

Ibrahim Karim cite Gustav Freiherr Von Pohl, un scientifique allemand, qui enquêta sur les taux de cancer dans plusieurs villes, en 1929. Il prit la ville avec le plus haut taux de cancer et la ville avec le plus bas taux de cancer, et perçut que 80% des cas de cancer ne se trouvaient que sur 10% de la zone

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« Hauts-lieux Cosmo-telluriques« , de Blanche Merz, qui indique que le points le plus puissant en Suisse se trouve à Forch. Après y avoir été, Ibrahim Karim a eu la nausée pendant plusieurs jours.

étudiée. « C’est une indication claire que le problème était lié à certains lieux. » (p.43) Ces lieux se trouvent au-dessus de croisements de cours d’eau souterrain, qui « créent une sorte de vortex ou portail qui se connecte à la dimension spirituelle et confère ses qualités à l’énergie du vortex sur le plan spatiotemporel. Cela produit une Qualité d’Energie Spirituelle qui est ralentie à une vitesse que nous pouvoir percevoir. » (p.45) Des exemples : Chartres, Lourdes, le puits de Zamzam à la Mecque, etc.

Chaumery et Bélizal ont déterminé que sur ces points, on retrouvait une énergie puissante (à la fois horizontale-magnétique et verticale-électrique) nommé Vert Négatif. Cette énergie a des caractéristiques d’une onde porteuse.

Pour expliquer ce qu’est le Vert Négatif, Ibrahim Karim prend l’exemple du soleil et de la terre. Sur la partie éclairée, tout le spectre des couleurs se retrouvera selon l’inclinaison des rayons. Mais l’espace qui se trouve exactement de l’autre côté du soleil aura le « Vert Négatif ». Dans cet espace, seule l’énergie qui a pu pénétrer le globe sera présente.

Pourquoi certains points guérissent et d’autres rendent malade

Les ondes ont un aspect horizontal et vertical (magnétique et électrique). « Quand l’aspect vertical du Vert Négatif est présent, il perturbe l’énergie de nos cellules. » Et des formes peuvent agir sur cette énergie.

« Des formes comme les pyramides, hémisphères et cônes, ont une configuration possédant une qualité d’énergie spéciale. Ces formes ont une qualité d’énergie de Vert Négatif émanant de leur base. Le Vert Négatif dans ce cas irradie à la fois la constituante horizontale et verticale. De telles formes sont dangereuses car elles émettent une radiation très nocive. Des formes que nous rencontrons couramment tous les jours peuvent être dangereuses si elles ne sont pas modifiées adéquatement. Autrefois, les constructeurs connaissaient les propriétés de ces formes et pouvaient annuler les effets nuisibles de ces formes puissantes avec quelques ajustements mineurs. » (p.54)

Comme dans la nature on retrouve à la fois les constituantes verticale et horizontale, il s’agit d’annuler

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Plusieurs façons d’annuler le Vert Négatif Vertical. Une autre manière est d’indenter les faces comme pour la grande pyramide (qui a donc 8 faces)

la constituante verticale. « Il y a une qualité d’énergie venant du ciel, nommée « Energie Stellaire » en Radiesthésie, qui neutralise le Vert Négatif Vertical. Lever les mains au-dessus de la tête pendant un moment capturera cette énergie et nettoiera le corps de tout Vert Négatif Vertical. » (p.55)

Pour en revenir aux formes, la pyramide comme la demi-sphère (qui sont semblables) émettent du Vert Négatif vers leur base, parce ce sont des formes coupés en deux.

Les égyptiens comme les constructeurs de mégalithes ont utilisé certaines pierres en granit, amenées de loin, pour amplifier l’énergie du lieu de pouvoir. La nature des roches est donc importante.

Castaneda, notamment dans Histoires de pouvoir, explique que les « lieux de pouvoir » sont des endroits où un accès à d’autres dimensions de conscience est plus aisé. Le lieu de pouvoir de Castaneda se trouvait au sommet d’une colline, mais il en signale d’autres, notamment une falaise et les grottes à la base. Cela fait automatiquement penser aux grottes peintes, comme Lascaux. Simon Buxton rapporte en effet que :« les peintures rupestres sont dues au fait que les hommes de la préhistoire considéraient les parois comme des « membranes » qui pouvaient ouvrir sur d’autres mondes, celui des « sages enseignants ». » Ibrahim Karim note à ce sujet que : « Les hommes des cavernes

Kosta Danaos mentionne une grotte à Moni Katholikou en Grèce, et explique pourquoi les humains s’y rendaient : pour être plus proche du champ d’énergie yin et donc des esprits (qui sont yin, comme les veines métallifères). Simon Buxton rapporte également une expérience de conscience dans un espace souterrain spécifique :

« Kernow exerce un attrait particulier sur nous, car cet endroit perte encore des traces de la Lyonesse et de l’Atlantide, ces iles jadis englouties par les flots, et dont le souvenir s’est perdu dans les profondeurs de nos esprits. (…) »

La raison de leur voyage en Cornouailles est que selon la structure rocheuse d’une région engendre sa vie intérieure. Chaque type de roche a un effet sur le psychisme.
Bridge et Brindille descendent dans une sorte de « cabane ruche » souterraine, une salle avec une résonance particulière.

« Le son de sa voix en ce lieu avait une riche résonance et je pouvais comprendre pourquoi on avait donné ce nom à cette salle, car elle ressemblait à la structure intérieure d’un bournac, sauf que celle-ci était complètement souterraine. Une atmosphère chargée y régnait. 
En guise d’explication de la riche sonorité de l’endroit, Bridge fit la remarque suivante : « Cet environnement rituel a été construit spécialement pour créer de telles propriétés acoustiques. Nous y chantons à l’intention des abeilles lors des cérémonies que nous y menons et qui sont effectuées uniquement par ceux qui sont en étroite communion avec la Terre. »

Les propriétés acoustiques des monuments anciens sont étudiées par l’archéoacoustique. Il a été déterminé que l’effet sur le cerveau est réel (voir sur le 110 Hz cette page et celle-ci.)

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Tour de Harran, Mésopotamie. Source image

L’association d’un lieu de pouvoir à un bâtiment produisait certaines fréquences selon la taille de la construction. Menhirs, tours rondes d’Irlande, tour de Babel (?), obélisques, minarets, clochers (qui ont une forme de pyramide ! comme les obélisque) agissent tous à ce niveau énergétique, comme une « flûte » dont la forme permet de canaliser l’énergie du Vert Négatif.

Ibrahim Karim évoque aussi la construction des villes. « Les villes formaient comme un énorme cristal qui reliait les lieux de pouvoir terrestres et célestes (…).«  Les constructions et les rues de villes modernes (ex: Washington, Paris…) et des villes anciennes sont placées sur le réseau de lignes d’énergie, les « ley lines », qui suivent par exemple les chemins de pèlerinage ou les routes romaines sur lesquelles marchaient les soldats. Ces lignes s’élèvent très haut dans le ciel, ce sont donc plutôt des « grilles atmosphériques ». Les anciens monuments, comme les alignements mégalithiques de Bretagne et les pyramides égyptiennes, suivent exactement ces réseaux, pour preuve, cette étude de Howard Crowhurst.

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La mosquée du sultan Hassan, calquée sur les grilles d’énergie jusqu’au moindre détail, construite en 1361 au Caire.

Stéphane Cardinaux, que mentionne Ibrahim Karim dans sa bibliographie, explique que non seulement les anciennes constructions se servent de ces grilles énergétiques et des « lignes de ley », mais qu’elles utilisent également des « courants telluriques » qui sont comme les vaisseaux sanguins de la terre :

« Les civilisations du monde ayant vénéré la Terre Mère ont toutes établi leurs lieux sacrés sur des courants telluriques. En Occident, cette tradition se perd avec la disparition des derniers druides (reconvertis dans les communautés monastiques) et la Grande Peste de 1350. » (…) « De nombreux chemins de pèlerinage fort anciens suivent le parcours de courants telluriques. Il est probable que les Anciens devaient, tout comme moi, voir ces courants sous la forme de « rivière rouge » serpentant dans le paysage. La curiosité les a certainement poussés à suivre ces courants en les remontant pour voir d’où ils sortaient. Nombre d’entre eux mènent à des grottes où l’énergie est encore amplifiée par la vibration de la roche et celle du courant, renvoyée par les parois, un peu à l’image d’un four à micro-onde. » (Stéphane Cardinaux, Bioénergie, pp 198-200)

Ibrahim Karim dit ensuite que :

« Les objets placés sur certains croisements peuvent harmoniser l’énergie des grilles grâce à leur qualité de matériau ou leur conception géométrique. » (p.67)

« Les murs étaient placés sur les lignes des réseaux, et les colonnes sur les croisements des réseaux. Les bâtiments étaient ainsi empreints de l’énergie subtile harmonisante, qui, au-delà du bien être et de la prospérité des habitants, joua un rôle majeur sur la conservation du bâtiment pendant des siècles et millénaires. L’origine de l’architecture orthogonale, carrée et rectangulaire était naturelle car les bâtiments étaient calqués sur les grilles du système d’énergie subtile de la terre. » (p.67)

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Les points d’énergie forment des vortex qui sont visibles par clairvoyance. Il y en a un derrière l’autel de la cathédrale d’Albi, ou au centre du labyrinthe de Chartres.

Usage chamanique et thérapeutique des lieux de pouvoir

Cette énergie que l’on retrouve dans les lieux sacrés a cet effet de « centrage spirituel » du au « BG3″. Le corps, comme un instrument, réagit par résonance et s’harmonise. Ces endroits auraient pu être utilisés pour une « thérapie par le rêve », où la personne malade puisse accéder à un autre niveau de conscience et se purifier. « La forte énergie induisait des états de conscience altérés dans lesquels le sujet faisant l’expérience de rêves purificateurs, et d’expériences hors-du-corps qui produisaient un effet guérisseur holistique à tous les niveaux. » (p.75)

Ibrahim Karim fait l’hypothèse que les ouvertures dans la pyramide étaient conçues pour relier la construction à des énergies cosmiques correspondant à des lieux de pouvoir non-terrestres. Le but est de permettre à l’âme d’y accéder, dans le cadre de pratiques chamaniques.

L’énergie BG3, comme nous l’avons vu, « ouvre un portail sur d’autres réalités et améliore la communication avec d’autres dimensions. Cette porte au-delà de l’espace-temps a donné lieu aux lieux de pouvoir sacrés de nombreuses cultures, depuis le temps préhistoriques jusqu’au monde moderne. » (p.86) Un tel type de portail existerait près de Rennes-les-Bains (nous en avons déterminé l’endroit dans ce document), en raison de la configuration du terrain et de la présence de fer dans le sol.

Évoquant la grande pyramide, Ibrahim Karim explique que : « L’utilisation de ces chambres comme machines temporelles aurait nécessité des rituels spéciaux. Pour le non-initié, cet état aurait pu les bouleverser et produire une expérience traumatique pouvant avoir des effets psychologiques permanentes. Quand l’empereur français Napoléon Bonaparte se rendit en Egypte en 1798, il passa une nuit dans la Chambre du Roi de la Grande Pyramide. Quand il en ressortit, on relata qu’il était extrêmement troublé et choqué par quelque chose dont il refusait de parler. (…) Il insista pour ne jamais en parler. Avant sa mort, un ami qui lui rendit visite lui demanda ce qu’il s’était passé cette nuit-là. Napoléon allait en parler, mais s’est arrêté et a dit : « Quelle importance ? C’était tellement étrange que personne ne me croirait de toute façon. » (p.88)

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« Nous remarquons ainsi l’analogie entre d’une part le peuple qui habitait le Wiltshire il y a 5000 ans environ et d’autre part le peuple scythe présent dans le Caucase il y a 3000 ans : ces deux peuples se sont distingués par de nombreuses sépultures en forme de tumulus, et par une place particulière accordée aux chevaux. » (Source : D. Harran)

Ces chambres, utilisées comme « caissons » ouvrant sur d’autres dimensions, peuvent être expliquées par le travail de l’astrophysicien et astronome russe Nikolai Kozyrev (1908-1983) qui avait suggéré l’existence d’une nouvelle forme d’énergie imprégnant tout l’univers. Ce serait comme des « Ondes Temporelles », que tout objet émet et reçoit. Elles pourraient seulement être détectées par leur effet piezoélectrique sur certains cristaux. « Ces ondes temporelles, cependant, peuvent être réfléchies à 100% par l’aluminium ou le granit et pourraient inverser leur polarité si elles sont réfléchies par des miroirs. »

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Caisson

Cela expliquerait à la fois les effets du psychomanteum, des miroirs et de leur utilisation magique. « Deux autres chercheurs, Kaznacheev et Trofimov, ont réalisé des expériences en 1990. Ils ont construit le « Miroir de Kozyrev », qui était constitué d’un cylindre d’aluminium dans lequel une personne pouvait rentrer. L’aluminium réfléchissait toutes les ondes temporelles du dehors de sorte qu’elles ne pénétraient pas à l’intérieur, et maintenait les ondes temporelles émises par la personne à l’intérieur du cylindre. Les personnes qui passaient du temps dans le cylindre rapportaient des changements de perceptions importants. Et Ibrahim Karim rapporte que le taux de BG3 est important à l’intérieur. Est-ce quelque chose de similaire qui se trouve dans les anciens monuments ?

Olga Kharitidi, dans son livre The Master of Lucid Dreams, rapporte également de telles expériences. Dans un centre d’étude en parapsychologie tenu par le Dr Smirnov, ils étudiaient scientifiquement les personnes placées en état de transe dans une pièce noire où se trouvaient des miroirs. Et dans son premier livre, Entering the Circle, elle décrit de nombreuses expériences au sein d’un caisson composé de miroir rond. Ce caisson, qui se trouvait dans le laboratoire du Dr. Dmitriev, servait à « ouvrir des canaux vers d’autres états de conscience » (chap. 13-16) « Nous avons appris que c’était une des façons d’altérer la perception du temps d’un individu. Nous ne comprenons pas totalement de quelle façon, mais les miroirs servent à transformer le temps et l’espace de la personne à l’intérieur. » Dans une de ces expériences, elle se retrouve ailleurs avec un homme qui lui explique ce qu’était la grande civilisation d’Eurasie, au nord de la Sibérie, qui fut détruite par un changement catastrophique du climat, et dont il reste des traces de la philosophie dans le zoroastrisme.

L’énergie BG3 permettrait-elle aussi de manipuler la gravité ?

Quand Ibrahim Karim rencontra Yacoub Al-khousamy à Louxor, il lui raconta une histoire sur le sujet de l’anti-gravité. « Il parla du nombre de fois où il vit dans sa jeunesse son père réaliser des exploits d’anti-gravité, où une énorme pierre était par exemple rendue légère et pouvait facilement être déplacée au bon endroit. La tradition locale dans la région, cependant, attribuait cette connaissance et ces dons à Khoja Yacoub lui-même. » (p.93)

Cela ressemble beaucoup à l’exploit d’Ed Leedskalnin qui construisit le Château de Corail par des techniques associant probablement rotation, son et électricité, qui lui ont permis de déplacer de lourdes pierres sans recourir à la force physique. C’est donc à nouveau cette énergie BG3 ou « yin », qui semble être en jeu ici.

Une autre observation d’Ibrahim Karim vient appuyer ce lien entre BG3 et gravité. Il a déterminé que l’eau qui entoure le bébé dans le ventre semble avoir les mêmes qualités d’énergie que l’eau des lieux sacrés. « Pas étonnant que la mère soit vénérée dans de nombreuses religions et cultures. » (p.94)

Mouvements et gestes pour accumuler l’énergie BG3

Le Dr V. S. Ramachandran explique, dans Phantoms in the Brain, que c’est le lobe frontal de l’hémisphère droit qui s’active lorsque quelqu’un vit une expérience mystique. Persinger a nommé cet endroit le « point de Dieu ». Ibrahim Karim explique donc que des techniques religieuses, comme dans le soufisme, servent à équilibrer cette énergie pour ne pas provoquer une perturbation cérébrale. Ibrahim Karim évoque certains rituels et dit que le simple fait de lever le doigt crée un tourbillon d’énergie qui manifeste l’énergie BG3 [Note : On retrouve ce rituel utilisé à des fins alchimiques dans la Franc-maçonnerie turque.]

La capacité de centrage

Après avoir expliqué que l’univers se divisait entre deux polarités, Ibrahim Karim explique que plus on se rapproche du centre, plus on est équilibré, tandis que plus on se trouve dans le mouvement (en

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Symbole du soleil en alchimie

terme de dispersion, fragmentation), plus on est déséquilibré. Cependant c’est le fait que ces deux forces existent dans l’univers qui fait la création (yin/yang). L’auteur donne l’exemple d’un atome, avec des charges positives et négatives qui sont en conflit. Le mouvement de l’électron, sa vibration, produit la « réalité » de l’atome, qui autrement est plongé dans le vide. « L’espace vide est rempli de mouvement équilibré par les lois d’une sagesse supérieure. » (p.111)

Dès lors qu’il existe un centre, il produit une harmonie autour de lui, car : « le centre réel du point central n’a ni attribut de temps ou d’espace, et ainsi il est lié à une autre dimension que la figure géométrique qu’il équilibre. Cette connexion transcendantale du centre à une autre dimension est une porte au travers duquel le moment intemporel primordial se manifeste au sein de la dualité du mouvement et de la forme. » (p.111)

Ainsi, c’est la connexion à ce centre qui permet « d’informer » le milieu (la réalité spatiotemporelle). C’est ainsi l’information qui produit la réalité, d’abord sous forme de « champ morphogénétique » puis de monde matériel. C’est la connaissance qui est le principal constituant de la matière. Les formes représentent cette connaissance « figée » dans le mouvement de la matière. « L’architecture sacrée ancienne est du « son gelé » (…) Ces monuments sont des symphonies musicales intemporelles, jouant sur nos champs d’énergie à un niveau inconscient. » (p.189)

C’est une telle « connexion au centre » qui expliquerait le fonctionnement du reiki : une « réinformation » du corps. D’autres thérapies utilisent aussi l’information : l’homéopathie ou encore la lithothérapie (les pierres transmettant « l’information » manquante). Nous verrons plus loin qu’Ibrahim Karim propose une nouvelle thérapie, utilisant les formes ou symboles pour « réinformer » l’individu.

Les formes comme des interfaces

Les formes constituent une interface entre la matière/l’énergie supérieure (éthérique) et la matière/l’énergie matérielle (électromagnétique). C’est pourquoi toute forme est une « interface », une frontière, et c’est à chaque frontière que se révèle l’énergie BG3 (frontière de l’horizon entre ciel et terre, frontière entre mer et plage, frontière entre jour et nuit…). La frontière d’une forme agit comme une couche de séparation isolante entre le système d’énergie intérieur et l’environnement extérieur. La frontière contrôle l’échange d’information et d’énergie. Ainsi, une forme « informe » l’environnement par ce qu’elle transmet comme information. C’est pourquoi les peaux ont tant d’importance dans le chamanisme.

Ibrahim Karim explique que les points d’acupuncture sont comme des interfaces qui permettent à l’information de circuler entre le corps et l’environnement.

Comme tout est conscient, tout s’échange de l’information. C’est pourquoi Ibrahim Karim pense qu’il doit y avoir un « langage universel ». « Si nous pouvions trouver le langage universel primordial qui interconnecte tout dans l’univers et maintient son unité, peut-être pourrions-nous communiquer et échanger des informations avec le vent, parler aux arbres, animaux et oiseaux, et à toute chose dans l’univers, visible ou invisible. » (p.120) Ce langage doit être vibratoire. Il est constitué de rythmes, car toute vibration, toute note, est un rythme.

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Hans Kayser (1891-1964), un auteur suisse essentiel sur la dimension spirituelle des harmoniques.

Quand une résonance se crée entre deux champs énergétiques, les deux systèmes ne retournent pas ensuite à leur état initial. Les systèmes « s’informent » mutuellement. C’est par la résonance que l’évolution se produit. Tout, dans l’univers, est interconnecté et s’échange des informations.

Ibrahim Karim explique ensuite dans les chapitres suivants son idée de l’évolution de l’humanité, au niveau cérébral. D’abord une unité de cerveau droit (rapport direct à la nature), puis de cerveau gauche (intellect/ego), puis nous en revenons au cerveau droit et une double activation pourrait s’effectuer (vision du monde comme une unité avec ego intégré). A noter que l’on peut percevoir l’influence de Schwaller de Lubicz dans le fait qu’il pense que les égyptiens voyaient dans les divinités des archétypes vibratoires de la création, des « neters« . Ibrahim Karim dit que ces neters se retrouvent dans notre panthéon des anges, et que toutes ces divinités forment toujours le chiffre 9 (elles sont incomplètes, ce sont des aspects de l’unité). Il y a 72 ou 81 anges, 99 noms de Dieu, etc.

Ibrahim Karim explique que les statues égyptiennes étaient spécifiquement conçues pour harmoniser l’environnement, de par leurs proportions.

L’auteur explique que les formes sont une autre manière d’agir sur la matière, elles agissent comme un « son ». En 2005 Ibrahim Karim rencontra le Dr. Emoto dans son laboratoire du Liechtenstein et ils firent des expériences prouvant que la biogéométrie agit sur les cristaux de glace.

Les nombres

Ibrahim Karim a déterminé que certains nombres partagent l’énergie BG3. Ces nombres sont les suivants :

13, 19, 28, 34, 43, 54, 68, 72, 83, 89, 99… etc

Ces nombres ne sont pas basés sur des proportions mais seulement sur l’énergie BG3. Il y a un lien avec le nombre d’or et le fait que l’ellipse (exemple : l’oeuf) est la forme harmonique idéale. Cependant, le nombre 16 qui apporte l’énergie BG3 au nombre d’or n’est pas le seul à créer des proportions importantes.

Les applications de la biogéométrie

La dernière partie du livre est dédiée aux applications pratiques de la biogéométrie, qui concernent principalement l’architecture (comprise comme une gestion de l’espace à un niveau subtil), mais qui peuvent servir dans beaucoup d’autres domaines.

Nous avons vu que les « ondes longitudinales/de torsion/de compression » sont comme des vagues qui ont leurs harmoniques autour des objets. Cette vibration qui se propage contient « les pensées et les émotions qui imprègnent la matière, l’énergie cosmotellurique du lieu, toutes les énergies  électromagnétiques et toutes les informations sur la matière qui rayonne (structure, couleur, type d’atome). » Selon Stéphane Cardinaux, qui a dessiné de nombreuses ondes de forme dans Bioénergie, les pyramides produisent deux changements du champ de torsion de l’énergie cosmotellurique.

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Ondes de forme d’une pyramide. Image : Stéphane Cardinaux

Il est intéressant de noter que Stéphane Cardinaux note que « les ondes de forme sont accentuées par les phénomènes cosmotelluriques [et par les champs EM comme un téléphone sans fil]. Elles renforcent les effets négatifs des courants d’eau souterrains et des failles au point de rendre parfois une maison invivable. » (p.220)

Puis Stéphane Cardinaux indique, en étudiant un mandala, que « je suis convaincu que ce type de géométrie a une action, non seulement au niveau éthérique, mais aussi sur les plans astral et mental. »

Ibrahim Karim montre, dans ce même ordre d’idées, que chaque type de formes a une action sur les plans physique, émotionnel, mental et spirituel de l’individu. Il a réalisé un classement des formes en relation avec leur résonance sur l’individu.

Il explique ensuite que certains motifs ont également une action. Il les appelle des « BioSignatures », parce que leur formes correspondent à des organes internes. Il intègre ces motifs dans l’architecture ou dans le mobilier.

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Détail de la couverture du livre, montrant des symboles, les « BioSignatures ».

Ibrahim Karim a mené des expériences avec des BioSignatures sur des bactéries (1992) et les intègre même à des puces électroniques. « Nous avons établi que les formes peuvent entrer en résonance, comme les notes de musique. » (…) « Nous pouvons créer une résonance entre un motif et un organe. »(p.248)

Les BioSignatures sont étonnamment similaires aux symboles utilisées dans le reiki, et d’autres comme ceux du Kunta Yoga. Ils font également penser aux « sigils » magiques d’Austin Osman Spare. On peut également y voir une ressemblance avec les symboles de Stephenville et quelques « alphabets aliens« .

« Une forme de BioSignature est très sensible à des changements mêmes infimes du motif. Si elle est dessinée d’une autre manière ou en commençant par un autre endroit, la forme ne produira pas la qualité d’énergie subtile désirée. Elles pourront avoir la même apparence, mais perdre leur pouvoir. Le point de début et de fin de la forme dessinée est une affaire très délicate (…) » (p.254)

Leur action est similaire à celle du Kunta Yoga tel que décrite par Ilia Beliaev :

« Le Kunta Yoga comprend des centaines de signes et de mantra, ainsi que des pratiques diverses, destinées à dirigier le flux de l’énergie intérieure. La visualisation des signes à l’intérieur des chakra et des nadî (centres et canaux énergétiques) les purifie et leur donne la forme d’accomplir une transformation intérieure. Les symboles et mantra du Kunta peuvent être également utilisés pour le contrôle des situations extérieures, grâce au changement de leur structure énergétique : par exemple, on peut neutraliser une attaque, aussi bien physique qu’astrale, à l’aide du symbole « ahimsâ », qu’il faut visualiser distinctement entre l’agresseur et sa victime. Après une certaine pratique, le symbole « s’allume » d’un vif éclat, simplement quand on y pense. (…)

Il faut représenter les symboles dans des tons clairs. On peut également travailler avec des signes de couleur noire, mais ils doivent être entourés d’une auréole dorée.
Habtieullement, le symbole prend lui-même la couleur la plus adaptée à une situation donnée. Dans le Kunta, il y a aussi bien des symboles généraux – pour la purification, l’alimentation en énergie, l’harmonisation ou la protection – que des symboles plus spécialisés – comme, par exemple, le symbole pour la recherche de sa moitié androgyne, des signes pour le travail avec les énergies solaire et lunaire, des symboles médicaux, et d’autres encore. (…)

La plupart des signes s’accompagnent de mantra, mais il existe aussi des symboles muets. Une prononciation précise des mantra détermine le succès de l’emploi de la technique. Lorsque la prononciation du mantra est exacte, un bruissement ténu se fait entendre et se prolonge après que le mantra a été dit. Cette émission sonore signifie que le mantra qui accompagne la visualisation du symbole correspondant fonctionne au maximum de son efficacité » (Tosha, p.52-53)

Là encore, on retrouve cet aspect d’équivalence entre le son et la forme, il semblerait donc que pour « activer » des énergies spirituelles, de telles associations doivent être utilisées. Par exemple, visualiser un symbole tout en émettant le son propre à sa fréquence, correspondant à une couleur, ainsi qu’à une pensée, etc. Lorsque l’association est juste, cette technique pourrait agir directement sur la réalité, en provoquant des décharges d’énergies, ou même en « matérialisant » des objets. Comme pour faire le pain, où il faut des proportions justes de chaque ingrédient, chaque « constituant » de la matière est requis.

« Nous en sommes arrivés au point où nous pensons qu’il y a eu, par le passé, une technologie qui faisait usage de la simple arithmétique et de la géométrie, ou des relations spatiales, en conjonction avec le son, pour accomplir des choses de grande portée. Nous sommes également arrivés à la conclusion que cette ancienne technologie était la science de la maîtrise de l’espace, du temps, et de la pesanteur.
Voilà le secret de l’Âge d’Or. Voilà pourquoi leur civilisation était fondée sur d’autres éléments que la nôtre. A part le fait que des cataclysmes ont pu balayer la plupart des marques d’une telle civilisation, nous avons ici une raison supplémentaire de l’absence de vestiges métalliques et autres objets manufacturés qui pourraient  être considérés comme des témoignages de la « civilisation ». » (Laura Knight-Jadczyk, L’Histoire secrète du monde, p.415)

Correspondances avec les recherches de Dominique Moret

Il est intéressant, pour finir, de noter les liens entre le chercheur Dominique Moret et le livre d’Ibrahim Karim. Les recherches de Dominique Moret ont fait l’objet d’un article dans le dernier numéro de Top Secret Magazine (n°64, p.38 sqq), et cet article s’intitule justement « Le secret des ondes scalaires. »

Dans cet article, Dominique Moret retrace son parcours (il était ingénieur s’occupant de projets d’installations d’antennes-relais) et sa découverte de la géobiologie. Il dit alors avoir fait des expériences hors du commun (par exemple obtenir de l’eau solide à température ambiante, modifier la tension superficielle de l’eau et obtenir un liquide noir qui pénètre même le caoutchouc, etc). Il a été primé 21 fois au concours Lépine. Plus tard, il découvrit la théorie de Jean-Marc Roeder en 2004, l’holodynamique quantique, qu’il considère comme une base solide de compréhension.

« Pour faire court : il existe un milieu propagatif que certains appellent l’éther et que dans l’holodynamique quantique on va appeler les élastons. Ce sont des corps sphériques extrêmement élastiques qui permettent effectivement de transmettre des vibrations…
Les ondes électromagnétiques et ces corps sont les constituants de ce qu’on appelle l’espace-temps, mais sont aussi les constituants de la matière si on les comprime.
Et justement, les seules ondes capables d’agir de cette façon-là, ce sont les ondes scalaires qui agissent sur le milieu, mais en mode compressif. Et à un moment donné, l’élaston est suffisamment comprimé pour apparaître sous forme de matière dans notre univers. Voilà comment ça se passe. Ce n’est pas de l’énergie. C’est un corps superfluide, qui permet des transmissions d’informations à grande vitesse (…) Mais ce corps est à la fois petit et tellement élastique qu’on n’a pas les moyens, si tu veux, de le percevoir. Puisque c’est le milieu où justement se propagent les ondes électromagnétiques. Par contre, en le comprimant, il acquiert curieusement du temps. Le temps s’accélère localement et il s’accélère tellement que l’élaston devient de la matière. Ce qui permet de comprendre que la matière se crée en permanence et que la matière se « décrée » en permanence.
C’est-à-dire qu’en permanence, de la matière est créée dans tout l’univers, et en permanence de la matière disparaît dans tout l’univers parce qu’il y a effectivement des émissions scalaires, tous azimuts, partout.
On va dire, souvent en mode compressif, donc capables de créer de la matière, et aussi en mode expansif, capables de « décréer » de la matière. »

Il est intéressant ensuite de noter, après avoir évoqué les propriétés du granit et du quartz, que Dominique Moret a cherché à utiliser la silice pour générer des composés capables de garder des informations spécifiques (par exemple pour créer des médicaments).

Dominique Moret a ensuite développé des médaillons qui puisaient dans l’électrosmog l’énergie pour équilibrer le corps, en se basant sur les principes de la bioélectronique (Louis-Claude Vincent). Ces médaillons peuvent même faire repousser des membres sectionnés, car les ondes scalaires vont renforcer les champs électriques qui englobent le corps et reconstituer les cellules.

Dominique Moret explique que Tesla, Lakhovsky, Prioré, Reich… utilisent tous les ondes électromagnétiques en polarité horizontale. Et il y a un champ magnétique à la surface de la terre qui dépolarise les ondes radios, ainsi toutes les ondes électromagnétiques qui sont émises de tout l’univers sont repolarisées en polarité horizontale. 

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Ce schéma montre la polarisation des ondes. Image : Ibrahim Karim

Ainsi, c’est le champ magnétique qui guérit, car dans les lieux qui guérissent ce champ est plus important, et il est peu important dans les lieux qui rendent malade (on le détecte par un géomagnétomètre). Mais ce n’est pas le champ lui-même qui guérit, c’est quand ce champ affaibli ne permet pas de dépolariser les ondes EM. Les polarités verticales vont donc perturber l’eau du corps et des pathologies apparaissent (changement de résistivité, de rH2…)

Les polarités verticales (composante électrique) vont développer des potentiels électriques, ce qui va par exemple permettre à l’eau de monter dans les murs et d’endommager un bâtiment. Dominique Moret commercialise des appareils pour empêcher cela, par la repolarisation des ondes.

Dominique Moret, comme Ibrahim Karim, déplore « l’électrosmog », car toutes nos ondes (portables, wifi, etc), sont en polarité verticale. Elles abaissent la vitalité de tous les organismes. « Ce n’est pas un hasard, c’est bien une intention manifeste. » (p.41) Dominique Moret prétend donc, comme Ibrahim Karim, agit directement sur l’électrosmog pour le repolariser et annuler ses effets péjoratifs.

Il dit que si les antennes-relais étaient en polarité horizontale, elles émettraient deux fois plus loin et on aurait à installer quatre fois moins d’antennes mais « le gros souci, c’est qu’on soignerait l’ensemble d’une population… »

Aussi, comme Ibrahim Karim, Dominique Moret pense que les ondes scalaires sont le secret des transmutations alchimiques. Il mentionne Kervran (Transmutations à basse énergie) qui évoque les transmutations par le vivant. Et comme pour l’alchimie dont les élixirs auraient la capacité de « rendre la jeunesse », Dominique Moret explique que par une recharge scalaire, on peut récupérer l’énergie perdue au cours de la vie.

Il y a de toute évidence un lien ténu entre énergie et mémoire, car quand on sait que la mémoire est stockée dans notre corps tout entier, et qu’un travail sur soi (comme la « récapitulation » mentionnée par Castaneda) permet de la retrouver, on remarque que le « nettoyage » des traumas permet de récupérer l’énergie initiale (luminosité/vitalité). C’est ainsi qu’en quelque sorte, on retrouve les « charges scalaires » (les pensées sont émises en mode scalaire), et l’on supprime les informations parasites qui se trouvent dans la mémoire de l’eau des cellules.

http://newsoftomorrow.org/arts/geobiologie/les-lieux-et-les-formes-de-pouvoir-expliques-par-la-biogeometrie-dibrahim-karim

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24 juillet 2016

Le reishi, champignon de l’immortalité

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On l’appelle souvent « champignon de l’immortalité ». Les actions régulatrices du reishi s’étendent à de nombreux paramètres de l’organisme, préservant son équilibre. La majorité de ses effets concernent le système immunitaire, aussi bien pour renforcer ses fonctions que pour normaliser ses excès, en cas de maladies auto-immunes ou d’allergies, par exemple. Il diminue les inflammations et atténue la douleur. Par ailleurs, il accélère la régénération osseuse.

 

Le reishi semble aussi favoriser une certaine lucidité, rappelant son nom latin lucidum. Ceux qui le consomment verront les divers aspects et dimensions de leur être s’harmoniser et leur propension à exprimer clairement leurs sentiments et besoins s’accroître. Il régularise aussi subtilement et profondément les systèmes nerveux, cardiaque, respiratoire ainsi que les fonctions hépatiques, protégeant par ailleurs le foie des toxines et des radiations.

Autres noms : Ganoderma lucidum (latin), Ling Zhi (plante de l’esprit, en chinois), Mannentake (japonais), Varnished conk (anglais)

Distribution : Répandu à travers toutes les régions tropicales, subtropicales et tempérées du monde. Il se développe de Mai à Novembre sur les arbres morts, tels les chênes, les érables, les ormes, les saules et les pruniers. On le trouve sur les troncs, près du sol ou sur les racines apparentes.

Parties utilisées : Fruits. Certains produits sont fabriqués avec ses spores et/ou son mycélium.

 Propriétés médicinales :

 Immuno-modulateur

Le reishi est véritablement un amphotérique immunitaire, c’est-à-dire que, telle une amphore peut déverser son contenu d’un côté ou de l’autre, le reishi peut stimuler ou modérer divers paramètres de l’immunité, au besoin. Plus de 100 polysaccharides et 119 triterpénoïdes ont été isolés du mycélium et du fruit, la plupart d’entre eux étant étudiés pour leurs propriétés immuno-modulatrices. Il diminue donc les réactions allergiques et la sensibilité aux allergènes.

Le reishi accroît d’autre part les capacités immunitaires de l’organisme, notamment en augmentant la production des macrophages, des cellules tueuses naturelles (« natural killer cells » ou NK), des lymphocytes T, des immunoglobulines, des interleukines 1 et 2 et des facteurs de nécrose des tumeurs. Il stimule la synthèse d’ADN par la moelle osseuse et la rate.

 Anti tumoral

Les études démontrent que l’effet anti-tumoral du reishi provient d’une modification de la réponse physiologique du corps. Les polysaccharides du reishi augmentent de 5 à 29 fois les facteurs de nécrose tumorale, les interleukines 1 et 6 et les lymphocytes T. Le reishi aide aussi à récupérer des dommages immunitaires causés par la chimiothérapie et la radiothérapie : par exemple, des études ont prouvé que le reishi avait permis de restaurer le fonctionnement des lymphocytes T chez des souris ayant subi des irradiations au niveau de la rate (Chen et al., 1995).

 Antimicrobien

Outre sa capacité de renforcir le système immunitaire, le reishi possède un certain effet directement antimicrobien. Il est plus efficace contre les virus que les bactéries, mais semble agir plutôt efficacement contre la Candia albicans, probablement à cause de l’ensemble de ses actions thérapeutiques.

 Tonique, antioxydant et protecteur hépatique

Le reishi soutient le bon fonctionnement du foie, il protège l’ADN de ses cellules contre les effets mutagènes des radiations et le nettoie des radicaux libres grâce à ses antioxydants.

 Glycémiorégulateur et hypocholestérolémiant

L’effet équilibrant du reishi et ses qualités de tonique hépatique diminue conséquemment le taux de cholestérol, de triglycérides et de sucre dans le sang. Les rages de sucre et les variations de la glycémie se feront progressivement moins importantes.

 Tonique nerveux et adaptogène

Le reishi harmonise le fonctionnement des systèmes nerveux, endocrinien et immunitaire. Il améliore le fonctionnement des glandes corticosurrénales, diminuant ainsi les effets négatifs du stress. Il calme les douleurs et régularise l’humeur.

 Tonique respiratoire

Le reishi améliore les fonctions respiratoires en augmentant les capacités d’absorption de l’oxygène par les alvéoles pulmonaires. Il améliore aussi la respiration cellulaire. Ainsi, les chinois prennent régulièrement du reishi avant de réaliser une ascension afin de ne pas souffrir de l’altitude. Lord d’études cliniques menées en Chine dans les années ‘70 sur 2000 patients souffrant de bronchite chronique, 60 à 90% d’entre eux ont obtenu une amélioration marquée au bout de 2 semaines. Les patients les plus malades ont particulièrement bien répondu, surtout ceux souffrant d’asthme bronchique (Chang & But, 1986).

 Cardiotonique et hypotenseur

Le reishi permet d’améliorer les fonctions cardiaques et la circulation sanguine en affectant la viscosité du sang. Il diminue ainsi la tension artérielle. De même, des bénéfices ont été observés sur des maladies liées au système cardiovasculaires comme l’hyperlipidémie, les palpitations, la dyspnée et l’œdème (Chang & But, 1986). Lors d’une étude clinique réunissant 33 patients, un extrait aqueux a permis d’inhiber l’agrégation plaquettaire et a donné des résultats positifs dans le traitement de l’athérosclérose (Tao & Feng, 1990).

 Anti-inflammatoire

Bien qu’il augmente la production d’interleukines 2, 6 et 8, aux propriétés inflammatoires, le reishi possède paradoxalement une activité anti-inflammatoire. Cette apparente contradiction s’explique par le fait que l’activité du Reishi peut être bidirectionnelle, selon la concentration en polysaccharides contenus dans le reishi (Gao et al., 2000).

Selon la médecine ayurvédique

Le reishi apaise surtout les symptômes pitta et kapha, bien qu’il ne soit que rarement perturbant pour vata, lorsqu’utilisé en modération.

Forces particulières des différents types de reishi :

Reishi rouge, Ganoderma lucidum : cœur, esprit, longévité
Reishi blanc, Ganoderma applanatum : fonction respiratoires, calme l’esprit, donne du courage
Reishi noir, Ganoderma sinensis : système urinaire et surrénales, sens auditif
Reishi jaune, Ganoderma sinensis : énergie de la rate, favorise la loyauté et l’honnêteté
Reishi mauve, Ganoderma sinensis : renforce muscles, ligaments, tendons et os, soulage les raideurs articulaires

 Indications :


faiblesse immunitaire, maladies auto-immunes
allergies, choc anaphylactique
asthme, bronchites chroniques, rhinite
stress
troubles de concentration
sénilité, Alzheimer
palpitations et arythmie cardiaques
hypertension artérielle
athérosclérose, hyperlipidémie
anorexie
œdème
inflammation cérébrale ou de la prostate
hyperplasie ostéogénique
fatigue, faiblesse, étourdissements
syndrome de fatigue chronique, neurasthénie
dystrophie musculaire progressive
virus d’Epstein Barr, mononucléose
hépatite B, hépatite chronique, cirrhose
VIH, cancer, leucémie
diabète
leucopénie
ulcères duodénaux
insomnie, mauvais rêves
dégénérescence de la rétine
dyspnée

 Contre-indications :

Éviter pendant la phase aiguë d’une infection
Allergies aux champignons
Ne pas combiner aux fluidifiants sanguins synthétiques
Augmente la métabolisation par le foie de certains médicaments, dont les barbituriques, diminuant ainsi leurs effets

 Modes d’utilisation :

Afin de bénéficier au mieux de ses effets, il convient d’utiliser le reishi régulièrement sur une période d’au moins 4 à 6 semaines, lesquels seront largement durables, quelque soit le mode d’utilisation. On peut recommencer une cure de reishi chaque année, tous les 6 mois, toutes les saisons ou plus souvent encore, au besoin et selon les cas.

 Décoction

Bouillir 30g de reishi, en poudre ou divisé en morceaux grossiers, dans 3 litres de d’eau que l’on réduit à 2 litres. Cela prend environ 2 heures. Boire une demie tasse deux fois par jour, pendant 4 à 6 semaines. La décoction peut bien-sûr être intégrée à un bouillon de soupe.

 Teinture

Prendre de 40-60 gouttes dans un peu d’eau, 2 à 3 fois par jour, pour une concentration de 1:3. Il est aussi possible d’effectuer une double macération dans l’eau et l’alcool 94%, que l’on combine pour plus d’efficacité.

 Sirop

Bouillir encore davantage la décoction pour la concentrer au maximum et l’intégrer à un sirop, ou alors simplement ajouter une quantité égale de miel au concentré obtenu. Prendre 2 à 4 c. à soupe, 2 à 4 fois par jour, selon la concentration.

 Capsules

Le reishi peut aussi être réduit en poudre et ingéré en capsules ou en comprimés quelconque. L’équivalent d’environ 1 à 2 grammes* sont administrés aux repas, 2 à 3 fois par jour. *(Certains produits augmentent la concentration de la poudre sans pour autant en altérer la composition, en filtrant les lignanes, fibres peu digestes, par exemple.)

 Principaux constituants connus :


B-glucanes, hétéro-B-glucanes
B-(1-6)-glucuronoglucane
Mannogalactolucane
Ganodéranes
Acides ganodériques et ganodéréniques : triterpènoïdes
Protéine Ling Zhi-9
Arabinoxylanes, Glycoprotéines, Ergostérols et Bêta Glucanes
Lignanes

23 juillet 2016

LA MAINMISE MAGIQUE DU TIBET SUR L' HUMANITE

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L'invasion du TIBET par une armée chinoise au cours de l'année 1950, nous incite à parler de cette contrée mystérieuse et notamment des évènements qui vont se produire dans ce pays, dans un avenir proche. Les rapports entre le Tibet et le reste du monde, ainsi que la position qu'il devra assumer au cours de l'évolution future, vont entièrement absorber notre attention.
Nous passerons sous silence la CHINE, son état actuel , sa puissance ou son avenir. Les motifs d'ordre politique qui ont poussé la Chine à envahir le Tibet, et ce qui se trouve caché derrière les apparences extérieures, ne seront point évoqués non plus. Notre propos est essentiellement de mettre en lumière la voie menant une fin fatale, qui va clore l'immense drame du monde, une fin que nul ne peut enrayer.
Voici les conséquences de cet événement :
Le voile du profond mystère qui enveloppe TIBET depuis des siècles sera levé ;
Une puissance mondiale immense, d'un caractère fort particulier sera établie ;
Nombre d'évènements étranges vont se produire, et le monde entier en prendra connaissance et en subira de diverses manières, les conséquences.
Dans l'interaction des faits dialectiques, toutes les races, nations et individus se trouvent dressés les uns contre les autres. Toutefois, Si l'on en juge d'après les motifs de l'antagonisme mutuel et de l'investigation réciproque, les conséquences sont le plus souvent fort différentes de celles que l'on attendait. Cette différence est due au fait que les motifs et les activités politiques ne constituent que des aspects tout à fait indirects et secondaires des grandes directives selon lesquelles l'histoire du monde est en train de s'accomplir. Derrière ces évènements agissent des forces totalement contraires. La bataille qui se fait jour,et ses motivations, échappent cependant à l'humanité moyenne.
En corrélation avec la révolution mondiale dont les aspects évaluent selon les voies cosmique, atmosphérique et spirituelle et sur laquelle nous avons attiré l'attention du lecteur, il y a des années déjà, il convient de fournir une explication sur ce qu' est réellement le Tibet, sur ce qui s'y passe, et conséquemment,sur ce que l'avenir promet d'apporter.
A titre d'introduction, citons quelques données générales - que vous connaissez peut-être mais qu'il n'est pas inutile de rappeler ici :
TIBET : C'est le nom d'un vaste pays montagneux de l'Asie Centrale situé entre le 27ème et 39ème degré de latitude Nord. Cette situation privilégiée est spécialement remarquable, car le Tibet, comme nous l'expliquerons plus loin, en raison de sa situation géographique, est en mesure de contrôler le monde entier, et ceci d'autant plus que la zone située entre les degrés 20 et 50 de latitude Nord est la moins peuplée du monde.
Le " TOIT du MONDE " est bordé de tous côtés de chaînes de hautes montagnes, dont la plus connue est l'HIMALAYA, qui le délimite au Sud.
Sa population appartient à la race mongole, l'une des plus anciennes du globe. C'est pourquoi elle possède une disposition religieuse naturelle, ainsi qu'une forte inclination à la magie religieuse, à travers laquelle parle encore l'ancienne Atlantide. Cet état de fait a servi de base au développement du lamaïsme, qui est une déformation dialectique complète du bouddhisme originel.- Le lamaïsme s'est implanté au Tibet dans des milliers de monastères. Un tiers de la population masculine tibétaine appartient à l'état ecclésiastique (en 1950), à la tête duquel est symboliquement placé le Dalaï-lama.
Le terme " lama " veut dire " prêtre " (maître) ; le lamaïsme est donc un règlement de la prêtrise. L'ordre le plus important est celui des " bonnets jaunes " ; il constitue une hiérarchie officielle qui commande entièrement la vie politique extérieure du pays et bien au delà. Les " bonnets jaunes " vivent en état de célibat : ils sont soumis à une loi hiérarchique très sévère, et - ce qui constitue l'une de leurs caractéristiques extérieures - ils pratiquent une vie stricte basée sur la prière magique.
Les archiprêtres, ou supérieurs des monastères, forment,de fait, un ordre à part. La mort n'affaiblit point leur puissance ni leur influence, puisqu'ils se réincarnent immédiatement. Leur réincarnation est annoncée d'avance; les parents et le lieu de résidence sont désignés, toutes précautions étant prises pour exclure les erreurs. Ceci explique pourquoi les supérieurs d'un grand nombre de monastères sont encore des enfants. L'avantage de ce procédé, en perpétuant leur puissance, est évident.
L'ordre des archiprêtres possède un Conseil qui exerce pouvoir réel, avec, à sa tête, un duumvirat :
  • le Dalaï-lama à Lhassa,
  • le Tashi-lama à Tashi-Lhumpo.
Le Dalaï-lama et le Tashi-lama doivent mener une vie contemplative et méditative. Ils sont considérés comme demi-dieux, sont révérés et adorés comme tels. Ils sont les représentants directs de la hiérarchie lamaïstique.
De ces deux chefs, le Tashi-lama est le plus puissant et le plus mystérieux. Le Dalaï-lama apparaît davantage en public, attirant l'attention sur lui. Le Tashi-lama vit retiré et agit en secret : c'est lui le véritable grand maître du " Toit du Monde ".
Le lecteur attentif aura noté sans doute qu'il existe une forte similitude entre le lamaïsme et le catholicisme romain ; en effet, il n'y a pas de différence entre la véritable nature de ces deux systèmes hiérarchiques ; d'une part, le Tashi-lama entouré de son Conseil des supérieurs, et d'autre part, le Pape, assisté de son Conseil des cardinaux. Leurs buts sont semblables et nombre de leurs méthodes sont similaires quant à leur caractère et à leur application.
La seule différence essentielle réside dans la manière est conçu le déploiement le plus élevé de la puissance.
A cet effet, le lamaïsme applique la méthode de concentration, c'est-à-dire : concentrer le pouvoir sur un point. Pour cette raison, le " Toit du Monde " peut être appelé la force la plus considérable parmi les puissances dialectiques.
Le catholicisme romain applique la méthode de pénétration : un étalage permanent de la puissance par la conquête des âmes.
Autrefois, la paix ne régnait pas entre ces deux hiérarchies ; c'est pourquoi fut projetée une invasion de missionnaires au TIBET, mais ce fut un échec. Ni la mission catholique romaine, ni les missionnaires protestants n'ont jamais eu la possibilité d'y exercer la moindre influence, car l'entrée du Tibet était interdite à la quasi-totalité des missionnaires, et dans quelques cas d'exception où ils parvenaient à y pénétrer, leur démarche restait infructueuse.
La paix semble à présent régner, si l'on en juge par le fait que pendant la "semaine internationale des prières" organisée par l’Église de Rome - qui, soit dit en passant, est une méthode empruntée à ses confrères orientaux - on n'a pas soufflé mot du lamaïsme.
On peut ajouter, pour être complet, qu'il existe encore un certain nombre de hiérarchies compétitives moins importantes,telles que l'Islam, l'Hindouisme, l’Église anglicane et de nombreux groupes mineurs résultant de la dislocation du Protestantisme.
Une manière de statu quo est maintenue entre les deux hiérarchies les plus puissantes. Rome a fait ce qu'il fallait pour empêcher l'Occident de connaître le vrai visage du Tibet, de sorte que le monde occidental ignore le caractère profond du " Toit du Monde ". De cette façon, le point-de-vue occidental et l'interprétation du christianisme ont pu sauvegarder leur maîtrise. D'autre part, Tashi-Lhumpo n'est axé que sur le pouvoir réel ; donc la nécessité de rester inconnu y est cultivée en toute conscience . C'est pourquoi l'attitude de Rome sous ce rapport, doit être considérée finalement, comme fort avantageuse pour Tashi-Lhumpo.
Le lecteur doit comprendre que la position que nous prenons à l'égard du lamaïsme n'affecte aucunement les Tibétains en tant qu'êtres humains. En vertu de notre mission, nous condamnons seulement le système de magie naturelle religieuse utilisé par le lamaïsme. En vertu de leur penchant naturel prononcé pour la religion, les Tibétains sont devenus les propres victimes de leur système.
Identiquement, lorsque nous prenons position à l'égard d u catholicisme romain, il ne s'agit pour nous que du système magico-religieux et non des personnes soumises à cette religion.
Avant de clore ce chapitre, nous nous devons de rétablir toute la vérité sur le Tibet.
Il existe un christianisme véritable, universel, qui ne peut être comparé au Christianisme d’Église officiel et n'offre rien de commun avec lui. Ce dernier n'est qu'une substitution occidentale faisant violence à la vérité, par rapport au Christianisme Universel, et enserrant cette vérité dans un corset de motifs et d'intentions purement terrestres. On observe un état similaire en ce qui concerne le lamaïsme ; à partir du bouddhisme universel originel, s'est effectuée une déformation orientale de magie naturelle, appelée à tort bouddhisme du Nord.
Il existe en outre au Tibet, une autre Fraternité, une Fraternité exerçant ses activités dans bien d'autres points du monde au nom de l'Unité, de la Liberté et de l'Amour. Cette Fraternité ne reconnaît qu'une seule hiérarchie : la Hiérarchie Divine du Royaume Primordial qui n'est pas de ce monde. Elle n' a qu'un but : celui de libérer l'humanité tome, tout entière, de la désillusion et de la déception qui la retiennent liée à ce monde, dans la peine et la souffrance et de la reconduire vers le Royaume Primordial, le Royaume Immuable. C'est la vraie Fraternité, selon Jean. Un ensemble de témoignages qui résonnaient et résonnent encore aux oreilles de l'humanité errante: "Préparez les Chemins du Seigneur car le Royaume des Cieux est proche".
Là où ce groupe apparaissait et continue d'apparaître, dans la partie orientale du Tibet, il a été entouré et voilé d'un grand nombre de légendes, de mythes et de fables, de contre-vérités et demi-vérités qu'il y a lieu de rejeter complètement. A présent encore, une phalange de cette Fraternité de Témoins est active à l'Est.
Afin d'écarter toute spéculation sur les activités présentes de cette Fraternité, nous désirons vous signaler un fait noté dans le passé et confirmé par tous les Écrits Universels :
Dans la pagode de PI-YUN-TI, près de Pékin - existe une salle qui contient les statues de 500 Lohans.
Un Lohan est un homme au service actif de la Vie Universelle, un Serviteur au sens sublime. Un siècle environ avant notre ère chrétienne, une centaine de Lohans qui, bien entendu, n'avaient pas tous atteint le même degré de développement, se sont regroupés quelque part en Chine. Ils se sont échappés de leur patrie d'origine, les Indes, à cause des terribles persécutions auxquelles les bouddhistes étaient exposés. Ils furent obligés de fuir, car ils s'étaient engagés à :
  • Ne pas se venger,
  • Ne pas se laisser entraîner en quelque conflit que ce fût,
  • Continuer leur action tant que leur œuvre ne serait pas achevée.
Ils étaient les successeurs d'un grand nombre de Lohans défunts et, comme tels, disciples de TATHAGATA, le Parfait.- Comme tous les Lohans, on les appelait: "Ceux-à-la-Voix-Douce", en vertu de leur aptitude à chanter et à réciter des "Mantrams"- d' une manière correcte, magique, efficace.
Réciter ou chanter un "mantram" n'est pas un acte de prière. Un "mantram" est une phrase magique et s'il s'agit d'un "mantram" originel, divin, le rythme développé par le chant se combine avec la loi primordiale des causes divines, entièrement en harmonie avec la qualité, la volonté et les actes du chantre, le Lohan qui est dans ce monde, mais pas de ce monde.
Les mantrams, chantés par les Lohans, rayonnaient à travers les sphères comme de doux cantiques, comme une manifestation de puissance divine glorieuse, comme une réponse d'amour à leurs ennemis sanguinaires, pour le bonheur de toute l'humanité, pour ceux qui cherchaient le chemin de retour vers la Patrie Originelle.
Ainsi donc, par un acte magique, ils prêchaient la Bonne Loi Unique. Ils ne luttaient point, ils ne se vengeaient point et ils travaillaient tant que leur tâche n'était pas accomplie. Ils chantaient les couplets des vrais Dieux.
Le lamaïsme s'est emparé de cette magie des Lohans qui fut et reste utilisée dans l'immense œuvre de sauvetage de l'humanité déchue, pour la métamorphoser en une dérisoire imitation, sous forme de magie naturelle, afin d'enchaîner le monde et l'humanité.
II
LA MAINMISE MAGIQUE DU TIBET SUR L' HUMANITE
La manifestation de notre ordre naturel dialectique est septuple: il y a donc sept états d'agrégation, sept degrés de manifestation dans le champ dialectique. Les solides peuvent être changés en liquides, les liquides en gaz, les gaz en éther-chimique, l'éther-chimique an éther-vital, l'éther-vital en éther-lumière, et ce dernier, enfin, en éther-réflecteur.
L'éther-réflecteur est une substance pure, primordiale, une substance-mère cosmique. Tous les paliers de manifestation situés au-dessous, vers les solides de notre champ de vie matérielle immédiat, sont des mélanges d'éther-réflecteur, affectés par les activités de notre état de conscience. L'état et l'activité de la conscience humaine déterminent ainsi le septuple processus de transmutation force-matière, de la matière primordiale en des formes concrètes, et de tous les paliers intermédiaires.
La conscience humaine - avec son appareil sensoriel, son âme, les sentiments éprouvés par le cœur et la volonté - se trouve incorporée sous une forme donnée dans un monde soumis au temps et à l'espace, elle est placée dans un état de contrainte. Elle ne voit que ce qui se trouve devant ses yeux et n'agit qu'en fonction de ce qui est perceptible à sa vue limitée. Elle est enchaînée à la manifestation septuple du monde dialectique.
Prenons le cas d'un homme en détresse dans ce monde, qu i souffre, non pas de douleur corporelle ou de la lutte pour la vie de chaque jour, ni à cause de l'individualisme extrême qui pousse ses semblables à se détester et à se nuire, mais en tant que conséquence du fait qu'il n'ignore pas être UN ETRANGER ici-bas, autrement dit quelqu'un qui n'appartient pas à ce monde et qui subit par conséquent la malédiction de la recherche expérimentale. Cet état constitue déjà une grâce par lui-même. La souffrance est due au fait que quelque chose s'était éveillé dans sa conscience, totalement étranger au septuple processus dialectique. D'autre part, il commence à se rendre compte que le "moi", en tant qu'être séparé, ne peut s'arracher de ce processus alchimique naturel, et que l'on ne sait rien sur le moyen pratique de s'en libérer. On se trouve donc entraîné dans la réaction en chaîne des suites infinies de causes et d'effets de la transmutation dialectique.
L'homme n'étant pas en mesure d'utiliser de la juste manière l'éther-réflecteur primordial, quand il pense, c'est par clichés, et il en est de même de son vouloir, de ses aspirations et de ses actions; tout cela, ce sont des activités-clichés. Elles fonctionnent en effet, d'une manière tout à fait automatique, selon le type d'homme auquel nous appartenons ; elles agissent suivant l'impulsion naturelle du sang, conformément à notre type racique, national ou familial. Dès que nous résistons à cette impulsion, et en pleine conscience et intentionnellement, agissons différemment, alors nous faisons violence au système alchimique septuple nous sommes liés, lequel, dans ces conditions, se détériore. Une contre-nature, un champ de tension des contre-forces va s'élaborer et notre forme d'existence va s'écrouler.
C'est ainsi qu'une vie se conclut par la mort, et que la mort, à son tour, redevient vie. Donc, par notre résistance, nous nous enchaînons à la roue et la maintenons en rotation.
Si le lecteur saisit la situation - qui est aussi la sienne - il peut se poser la question : "Que font alors les Lohans de la Fraternité de Jean" ?
Ils chantent les doux Cantiques de TATHAGATA et, grâce à ces chants mantriques, ils émettent un rayonnement, une puissance d'amour, perçus par les chercheurs, et "les étrangers en ce monde", qui sont encore réceptifs. Ce rayonnement pénètre – à travers l'amour aural qui est le porteur de notre héritage karmique - dans le champ de la respiration, et ensuite, de temps en temps, il vibre à travers la personnalité. Par la grâce de cette Projection Universelle de la Lumière qui ne détériore point le processus septuple de la nature, l’École Spirituelle sera finalement découverte par ce type d'homme.
Dès lors qu'un chercheur a trouvé le chemin de l'École Spirituelle, après une période pendant laquelle il se sentait étranger, il entend et perçoit les chants des Lohans d'une manière différente. Dans la mesure où il comprend les enseignements extérieurs de l’École et où il est prêt à les saisir, il est confronté avec un nouveau processus, un second attouchement de la Gnose qui s'établit dans son sang.
Comment cela est-il possible au sein du processus alchimique naturel, semblable à une prison ? Si cette question devait surgir en vous, pensez à ce que nous avons dit à propos des chants mantriques des Lohans :
Un mantram n'est pas une prière, c'est une invocation magique, dont le rythme est conforme à la Loi Originelle des Causes Divines. Il est entièrement basé sur la qualité, la volonté et les actes du chantre qui, tout en vivant dans ce monde, n'est plus de ce monde. C'est ainsi que le champ de rayonnement de l’École Spirituelle est maintenu par les Lohans. A côté d'un état dialectique aussi pur que possible, nous trouvons dans ce champ un autre état qui ne peut guère être expliqué par la nature ordinaire, d'un taux vibratoire dont le contact n'est pas dommageable au processus naturel.
Lorsqu'un candidat entre dans l’École Spirituelle et démontre une juste compréhension, lorsqu'il est prêt à accomplir un acte d'auto-libération - c'est là la condition préliminaire - il commence à respirer dans le champ de puissance ainsi préparé, et ce faisant, il accorde son état sanguin avec le champ de puissance, qui, à son tour, transformera les organes engendrant le sang et le système de sécrétion interne.
Par conséquent, l'Ordre des Lohans, de par son activité magique, a contacté la Loi Primordiale des Causes Divines. Il a fait usage de la substance originelle pure d'éther-réflecteur, et, en vertu de son activité mentale magique, il a été entièrement imprégné de la connaissance de ce que nous désirons faire en tant qu'êtres captifs de la nature. Et durant notre séjour dans l' École Spirituelle, l'Ordre donne l'impulsion à une nouvelle réaction en chaîne, une nouvelle suite de connexions de forces et un nouveau pas septuple vers le haut. A condition que nous montrions la compréhension correcte et que nous y soyons disposés, ce nouveau pas septuple prendra forme de réalité dans notre sang et s' exprimera par chaque fibre de notre personnalité.
Dès le début de l'apprentissage, le candidat se trouve donc en mesure - par l'Acte de grâce de la Fraternité Divine et pourvu qu'il acquière la compréhension suffisante - de participer "au nouveau parcours d'éther ", bien que celui-ci, pour le temps présent, n'atteigne qu'un degré élémentaire. Toutefois, ce nouveau degré constitue une base indispensable pour le développement futur du candidat. En l'absence d'une telle base, la connexion avec l’École Spirituelle ne présente qu'un avantage : celui de creuser un trait profond dans l'être aural, à la suite de quoi, en une incarnation subséquente, le microcosme gardera le souvenir de l'expérience acquise antérieurement.
Qu'advient-il donc pour un homme, lorsque le maillon du sang nouvellement imprégné, s'est trouvé relié à l'Ordre des Lohans ? La conséquence en est: "devenir Dieu", car le candidat va neutraliser ses impulsions "dialectiques" et essayer de mettre la roue de la vie au point mort, en sorte qu'après avoir atteint un certain parachèvement de la manifestation du sang, le nouveau feu du serpent et le nouveau feu de conscience puissent naître. Les chants des Lohans, la force-vibration divine des "Exaltés" entraînent alors la naissance d'un nouveau "MOI", le Christ intérieur dans le candidat, avec toutes les conséquences inhérentes à la Transfiguration.
Quand il nous est donné d'observer tout cela et que nous sommes à même de saisir tant soit peu, la grandeur et l’exaltation de cette couvre de libération et de concevoir une parcelle de l'amour incommensurable qui se propage et conduit cette œuvre, nous pouvons nous demander à nouveau : "Que fait alors l'effet magico-lamaïstique, de par son imitation grossière des doux chants des Lohan ?
Essayons d'en saisir la réponse, car elle est extrêmement importante pour la moisson qui doit être engrangée.
Nous allons à présent nous occuper exclusivement de la magie terrestre, de la magie naturelle. En voici les buts, brièvement résumés :
- Maintenir la nature terrestre non divine,
- Cultiver cette nature.
Pourquoi la magie naturelle tend-elle vers ces buts déterminés avec tous les moyens dont elle dispose ? C'est parce qu'elle existe et se propage en dehors des degrés septuples de connexion, les sept états réunis de transmutation de la force en matière de cette nature dialectique.
Un homme oui devient un criminel est contraint de poursuivre ses activités criminelles, afin d'échapper aux conséquences. C'est une réaction an chaîne : un acte rend nécessaire le suivant. Lorsqu'un homme vit dans l'ignorance et, tout à fait inconsciemment, est attaché à la roue de non-sainteté, il est possible d'accorder le pardon, la compassion et l'amour secourables.
Mais lorsqu'un homme a acquis la science magique, lorsqu'il a approfondi le processus alchimique septuple naturel et qu' il sait comment aller jusqu'au fond de ses secrets, puis utilise ce savoir pour le maintien de la nature, alors un tel homme se charge d'une immense responsabilité, car il viole, compromet et sabote les efforts de rédemption de la Fraternité Divine dort la destinée est de ramener l'humanité déchue dans la Patrie Perdue, le Royaume de Dieu.
De plus, un tel homme se charge d'une culpabilité considérable, puisque l'essence de la "dialectique", le caractère du monde où se déroule notre existence, signifie : auto-affirmation aux dépens des autres. Voilà la destin de cet ordre mondial. Pour cette raison, le magicien naturel s'accroche spasmodiquement à son but. Étant donné que la réalisation de ses visées dérive de l'auto-affirmation, il entraîne des millions d'hommes dans son œuvre impie.
Écoutez donc ! :
Une fraternité hautement "dialectique" s'est concentrée sur le plateau tibétain.
Cette fraternité possède des milliers de monastères desservis par une multitude de prêtres célébrant et accomplissant ses rites magiques. Elle agit conformément à un plan puissant et exerce son influence jusque dans les endroits de la planète les plus reculés. Elle est parfaitement au courant de ce qui se passe dans le monde ; rien n'échappe à sa vigilance.
Au cœur de cette puissante activité, on dénote pourtant un point faible fondamental, à savoir qu' elle ne peut rien contre l’œuvre d'amour de la Fraternité de Jean, contre les chants mantriques de l'Ordre des Lohans. Quiconque se trouve dans la Lumière de cette Fraternité est inattaquable. Celui qui désire trouver la Lumière suit le Chemin de la Victoire. La Fraternité de Jean s'exclut du tohu-bohu du monde :
- car elle ne se venge pas,
- elle ne s'engage dans aucune lutte, -
- et sa tâche ne sera pas achevée tant que le dernier homme qui peut être sauvé, ne se trouve réellement en sécurité.
Tout cela, nous l'écrivons non pas pour éveiller chez vous une sensation d'alarme, mais, debout dans la forteresse rayonnante de Christ, nous désirons vous expliquer ces choses, afin que vous puissiez, par une réaction positive, expérimenter bientôt la liberté, lorsque vous respirez au milieu du champ de puissance des Lohans, ayant compris et vous trouvant prêt.
III LA METHODE LAMAÏSTIQUE DE DOMINATION DU MONDE
Nous allons vous donner maintenant d'autres indications quant à la méthode de domination du monde, appliquée par la fraternité lamaïstique du Tibet. A cet effet, il est bon d'essayer tout d'abord d'avoir une idée générale de ce qu'est cette fraternité. Toutefois, point nécessaire pour cela de sa rendre au Tibet, car, en appliquant la loi de l'analogie,nous pouvons obtenir une vue d'ensemble parfaitement exacte.
Nous connaissons également des fraternités de religion naturelle en Occident, qui disposent de milliers de foyers et d'autant de prêtres, célébrant et accomplissant des rites magiques. L'image générale que nous obtenons d'après leur comportement fait découvrir toute la gradation "dialectique" des magies : blanche, grise et noire.
Ce qui caractérise un homme de cette nature est qu'en vertu de son existence, il sert ce monde et est obligé de le servir, soit du côté du bien, soit du côté du mal, ou dans un mélange confus de ces deux aspects. En étudiant attentivement l'être humain, nous découvrons que, quel que soit l'endroit où se trouve le point principal dans cet être, ce mélange de bon et de mauvais est toujours présent, bien qu'il puisse être profondément caché. Ceci est une nécessité fondamentale, biologique, une loi de la nature que Paul a exprimée par ces mots : "Le bien que je désire faire, je ne le fais pas, mais le mal que je ne désire pas, je le fais". La lutte pour le bien, dans ce monde, découle de la résistance naturelle au mal ; c'est là une des réalités les plus cruelles de la " dialectique ". Bien que les gens tentent de cacher ce fait derrière des phrases et des mots, personne ne peut être bon sans mal et vice-versa ; même la créature la plus criminelle a des inclinations et des qualités qui tendent vers le bien. Quiconque, considérant cela superficiellement, le nierait, devrait penser aux paroles du Christ : " Que celui d'entrer vous qui est sans péché lui jette la pierre le premier "
L'humanitarisme lui-même, n'est pas exempt de l'un des éléments les plus déterminants de l'égoïsme : l'égocentrisme. Celui-ci trace toute la voie, du blanc au noir. Nous allons vous le démontrer.
Il existe au Tibet, un groupe qui, bien que totalement ancré à la terre, se réclame du nom de Shamballa. C'est là une erreur capitale, exactement comme en Occident, où un grand nombre de communautés religieuses naturelles, se réclament du Christ.
Ce groupe tibétain de SHAMBALLA donne de temps à autre, des conférences que l'on peut assimiler à des réunions de prière qui durent plusieurs jours. De telles pratiques s'exercent également en Occident. Au cours de ces rencontres, des pensées d'amour et de bonté "dialectiques", diversement nuancées, sont rayonnées sur le monde entier. Mais tout cela n'a pas plus de valeur qu'une tentative d'épuiser avec un seau toute l'eau de l'océan; car l'immense foule de prêtres lamaïstiques y joue simultanément toute sa gamme d'activités "dialectiques" et ceci par le truchement de créatures qui, animées d'honorables intentions, croient bien faire. Seul, un groupe restreint connaît le but réel de cette mise en scène et n'en ignore pas les auteurs.
L'ensemble de la vie "dialectique" est une existence SHAM, une illusion, une irréalité. Dans cette vie SHAM existent diverses gammes d'illusions. Les influences que vous recevez correspondent exactement à l'état d'illusion particulier qui est le vôtre. Supposons que vous soyez du type humaniste, vous ne serez pas touché, dans ce cas, par les mots et les impulsions qui s'adressent à un autre type humain. Vous manifesteriez immédiatement une résistance. Ceci est le cas de tous les types d'hommes, sans exception, tels que : religieux, occultes, matérialistes, scientifiques, etc. ...
L'on peut dire avec certitude que, lorsque l'une ou l'autre de ces puissantes fraternités mondiales désire exercer son influence et son pouvoir sur le monde et le genre humain tout entiers, elle doit être à même d'influencer avec succès, toutes les formes de l'illusion. Vous serez donc en mesure d'en déduire aisément que tous les efforts déployés dans ce monde et ce chœur de voix et de tendances apparemment discordantes, prises dans leur sens le plus profond, dérivent d'une source commune, car toutes les impulsions se réfèrent à ce monde, à ce cosmos, à cette nature, à cet homme, à notre moi ; elles se heurtent à toutes les possibilités qui s'y trouvent contenues et qui doivent être libérées par l'évolution ; en outre, elles suggèrent que grâce à la bonne volonté et à l'effort positif de tous, grâce à un dur travail et une certaine dose d'auto-sacrifice, et grâce à l'amour mutuel, ou avec l'aide de Notre Seigneur bien-aimé, toutes choses peuvent rentrer dans l'ordre en un laps de temps fort bref. A la seule condition que nous coopérions convenablement et nous tendions la main les uns les autres, tout ira bien !
Des chants de ce genre, ne provenant certes pas des Lohans, concourent à maintenir l'illusion et sont émis en permanence sur une gamme de tons dont le volume ne cesse d'augmenter, car une grande frayeur et une crainte pour la vie animent bien ceux qui se tiennent à l'arrière plan et tirent les ficelles de ce jeu de pantins. Les temps sont en effet révolus, et cette période de la vie du monde va à sa fin. Alors que la nuit cosmique commence à s'étendre sur le monde et l'humanité, notre sphère de vie collective et individuelle se trouve empoisonnée par l'afflux de ces chants magiques naturels. Le genre humain tout entier est subjugué à son insu, par ce subtil et démoniaque poison.
Nous voudrions vous rappeler, une fois encore, ce que nous avons dit au sujet de la réaction en chaîne au sein du processus de révélation alchimique de la nature, processus dans lequel nous sommes engrenés, auquel nous participons automatiquement par le truchement de notre corporéité. Saisie par l'illusion et née de l'illusion, notre âme pense par clichés ou se livre à des spéculations excessives. La même observation s'applique à notre vouloir, à nos aspirations et à nos actes. La réaction en chaîne prenant naissance dans l'éther-réflecteur et aboutissant dans l'éther-chimique, engendre le mouvement continu de tout ce qui avait été mis en action dans l'éther-réflecteur, jusqu'aux formes en question ; tout cela – répétons-le – s'effectue de manière automatique. Les facultés de notre appareil sensoriel y sont pleinement accordées. Notre système nerveux en majeure partie, afin d'empêcher toute déviation, fonctionne lui aussi, automatiquement, car, comme vous le savez, le système nerveux sympathique échappe au contrôle de notre volonté. Enfin, les sécrétions internes constituent, pour leur part, un système d'antennes recevant non seulement des impressions, mais aussi des forces et des mélanges.
Dans la vie ordinaire, certaines usines produisent des articles semi-fabriqués, utilisés par d'autres usines qui livrent des articles finis. Or, dans notre processus individuel septuple, alchimique, de révélation et de transmutation de la force en matière, l'humanité vit presque exclusivement de produits semi-finis ; autrement dit, elle vit au moyen de mélanges d'éthers, préparés selon des recettes parfaitement élaborées. Des aliments existent pour chaque catégorie d'illusion. Scientifiquement préparés d'avance, il suffit de les avaler.
Nous avons déjà mentionné que l'être "dialectique" ordinaire est incapable de contrôler lui-même, le processus alchimique septuple, car une loi de la nature ne le lui permet pas. Si c'était possible, chacun créerait son propre monde et sa propre sphère de vie, au sens absolu du terme ; et le cosmos disparaîtrait dans une violente déflagration. Mais, au moyen d'exercices occultes, il devient possible de développer une hyper-capacité à l'aide de laquelle ce contrôle pourrait, en partie, prendre forme. Une telle possibilité est exploitée par la fraternité lamaïstique afin de maintenir le genre humain et le monde dans les limites du schéma de révélation "dialectique", ceci pour être on mesure de conserver intacte, sa propre existence.
De quelle manière cela s'accomplit-il ? La vie "dialectique" comporte une inclination naturelle à commettre automatiquement le suicide. Une disposition si essentiellement contraire à la nature appelle fatalement un processus de dissolution naturelle et de destruction. Toute illusion entraîne, au bout d'un certain temps l'explosion. C'est pourquoi la chute humaine, dans un état contraire à la nature, constituait dès l'origine, un stade transitoire, une course en forme de spirale descendante conduisant irrémédiablement et à nouveau, vers la liberté et la résurrection futures, pourvues d'une somme nécessaire d'expériences utiles. Sous l'effet de cette magie, notre existence dans le champ de vie naturel est devenue une triste et sombre prison.
Par cette magie, le Tibet essaie donc d'alimenter l'illusion de l'homme, le maintenant dans un état de souffrance et de misère et lui apportant, an guise de consolation, les aspects séduisants d'une pseudo-culture. L'ensemble de l'humanité, avec ses infinies nuances, subit cette magie.
Les pensées sont des forces qui revêtent une forme ; comme telles, ce sont des produits semi-finis, composés éthériques de toutes natures.
Lorsque les pensées trouvent leur expression dans un livre ou un exposé, devenant ensuite des objets susceptibles d' accaparer votre attention, vous entrez en contact avec les produits semi-finis de leur auteur et vos pensées se trouvent accordées pour les assimiler. Lorsqu'une certaine conformité existe entre votre manière de penser et celle de l'écrivain, vous absorbez le produit semi-fini ; il pénètre alors dans votre champ respiratoire,votre aura, et exerce son influence sur votre système vital. Celui-ci se trouve alors accordé comme un diapason sur une longueur d'onde déterminée, l'onde des pensées transmises, et votre sang y est relié. L'auteur de ces pensées n'a plus besoin, dès lors, d'écrire un livre ou un article ; il n'a plus besoin de s'adresser à un auditoire, afin de vous influencer. Il lui suffira d'émettre, de temps à autre, des pensées exactement accordées à votre type réceptif, conforme à votre illusion. Vous restez ainsi enchaînés à la rotation de la roue.
La raison pour laquelle nous vous parlons de la redoutable imitation lamaïstique de la méthode de sauvetage des Lohans, vous apparaît-elle à présent avec suffisamment de clarté ? Avez-vous saisi le fait que la Science Sacrée de l’Œuvre Divine d'Amour accomplie par les Lohans en un auto-sacrifice permanent pour la libération de l'humanité, est imitée par le lamaïsme afin d'opprimer cette même humanité ?
A partir de son puissant foyer situé sur le TOIT du MONDE la plus formidable usine de produits semi-finis imaginable la fraternité lamaïstique, jour après jour et nuit après nuit, émet des faisceaux rayonnants de pensées sur l'ensemble de l'humanité. Tous ces faisceaux enchaînent l'humanité à la roue et au renforcement du processus "septuple-dialectique" de maintien de l'ordre naturel non divin. Les lamas tibétains sont tenus d'y contribuer, car ces forces tirent leur origine de la même chaîne septuple et de la même échelle alchimique septuple.
Vous savez peut-être comment, en paroles, par la littérature, l'art ou la science, la psyché de chacun est coulée dans l'un de ces moules innombrables; mais ils ont tous une particularité commune : ils sont, d'heure en heure, de plus en plus étroitement chevillés à la roue de l'illusion. Mais ce que peut-être vous ignorez encore, c'est que toutes ces forces extérieures sont des manifestations de la magie souveraine du TOIT du MONDE !
Après en avoir clairement exposé les "moyens", nous allons expliquer maintenant ce que cette magie est capable d'accomplir.
A la fin de ce chapitre, le lecteur sera en mesure de comprendre que les pensées constituées de mélanges d'éthers, comme produits semi-finis destinés à des buts précis, peuvent non seulement être émises ou irradiées, mais qu' elles accomplissent nécessairement et forcément une action dans l'existence de leurs créateurs eux-mêmes. Ainsi l'intoxication mentale permanente, imposée à l'humanité, produit-elle une formidable auto-intoxication parmi ces magiciens. Autrement dit : le destin d'être lié, infligé à l'humanité, devient - ipso facto - le sort de la fraternité lamaïstique. Toute cette immense misère du genre humain ainsi créée atteint en retour, ceux qui la provoquent... et ceci, parce qui il n'est pas possible de faire marche arrière sur ce chemin fatal. La crainte et l'instinct d'auto-défense obligent la fraternité lamaïstique à continuer son œuvre, à se efforcer de créer une culture, à élever l'humanité, à conduire le monde à un niveau supérieur, à donner au genre humain une "évolution plus marquée". C'est pourquoi ladite fraternité doit, au moyen d'une activité puissante et incessante, s'efforcer de gagner la bataille contre une plus haute compréhension qui permettrait aux hommes de percer le secret de ses intentions. C'est aussi la raison pour laquelle cette fraternité désire quelque chose d'impossible qui s'oppose à la loi de la nature : elle veut que l'humanité, appartenant à cette nature, atteigne le plan super-humain. La fraternité lamaïstique, poursuit, à cette fin, une destinée telle que l'a dépeinte NIETZSCHE, dans son "Zarathoustra" et, finalement, au paroxysme de la fureur elle sera obligée de s'écrier avec désespoir: " Ô CHRIST, la Victoire, malgré tout, est Tienne " !
Il devient ainsi tout à fait clair que l'humanité entière se trouve an danger permanent à cause de la course du destin, découlant de ce spasme d'auto-défense organisée.
IV LA METHODE LAMAÏSTIQUE DE DOMINATION DU MONDE (Suite)
Les réflexions qui précèdent nous feront mieux comprendre que l'application de la magie, dans la vie dialectique, n'est possible que dans le cadre du schéma de manifestation terrestre septuple. Comme nous l'avons justement dit, le mage peut agir par le moyen :
- des solides,
- des liquides,
- des gaz,
- de l'éther-chimique,
- de l'éther-vital,
- de l'éther-lumineux,
- de l'éther-réflecteur.
L'éther-réflecteur est la matière première la plus importante, car elle contient toutes les possibilités de manifestation de la forme. Ainsi tous les éléments de densité plus accentuée y sont des mélanges de substance originelle.
La substance originelle est extrêmement ténue. Elle se situe à la limite de la perception humaine. On parle d'éther-réflecteur car cette substance possède antre autres, la faculté de retenir et de réfléchir les idées. Cette qualité est dès lors utilisée par la fraternité lamaïstique pour assurer sa mainmise sur l'humanité.
Les quatre éthers ont des tracés bien définis, le long desquels ils se déplacent. Or, à certaines heures, et sous certaines constellations planétaires, les courants en question se déplacent vigoureusement de l'Est vers l'Ouest. En outre, certaines heures et l'influence des constellations correspondantes, se révèlent être plus propices que d'autres pour graver les idées dans l'éther réflecteur. Pendant ces moments spécialement favorables à l'effet de conduction, des courants d'idées de toutes espèces se propagent à grande vitesse à partir du TOIT du MONDE. Ainsi, l'éther-réflecteur est-il imprégné de certaines idées et, contaminé de la sorte, il répand une atmosphère déterminée pratiquement à travers le monde entier.
Les différents centres du cerveau de l'homme, principalement la glande pinéale, sont sensibles à l'influence de cet éther-réflecteur. Il peut donc être dit avec certitude, que toutes les idées dont l'éther-réflecteur est imprégné, sont "photographiées" par le cerveau des hommes sensibles à ce genre de phénomènes.
Si vous possédez quelque notion quant au fonctionnement de la télévision, vous n'ignorez pas que les images étant composées de quelques segments ou d'un grand nombre de segments, images de fine ou de grossière texture, peuvent être transmises à distance. De la même manière, les images transmises vers le cerveau humain, par le canal de l'éther-réflecteur, peuvent être distinguées et classées en images à vibration élevée pour les cerveaux cultivés, et à une vitesse plus lente pour les cerveaux moins raffinés et incultes. Ces images peuvent être transmises directement aux sens, à l'inclination et aux instincts de l'homme, mais elles peuvent aussi présenter un caractère religieux, occulte, humain ou plus général.
Lorsque l'esprit humain est touché par ce genre d'impression, celle-ci se trouve transmise, dans la majorité des cas, à notre conscience. Si l'impression s'harmonise avec le type de notre illusion, nous y répondons par des pensées réfléchies. Autrement dit, nous projetons alternativement vers l'éther-réflecteur, nos réactions à l'impulsion reçue ; donc, lorsque le courant retourne vers ses émetteurs d'origine, il est possible de vérifier, par des moyens techniques occultes, quel a été le résultat du rayonnement émis.
Une fois le contact établi de la manière décrite, le processus d'influence continue. On dit parfois d'un tel : " qu'il s'échauffe " à.propos d'une idée ; or, cet "échauffement" se produit bien en réalité car, lorsque la pensée imprègne notre cerveau et atteint notre conscience, elle touche en même temps notre sang et y engendre une certaine chaleur. Il faut voir là, l'activité de l'éther-lumière qui, en se manifestant dans le sang, fait de l'homme une source indépendante de chaleur. C'est également l'éther-lumière qui rend possible le fonctionnement ordinaire des organes des sens, tels que : la vue, l'ouïe, le goût, l'odorat et le toucher. L’œil est, lui aussi, conservé par les forces de l'éther-lumière.
Vous pouvez à présent comprendre ce qui se passe. Lorsque, d'après les résultats, il devient clair que la première activité dans l'éther-réflecteur a été couronnée de succès et que beaucoup de pantins ont été contaminés par l'idée transmise, la fraternité lamaïstique poursuit son œuvre. Au moyen de rituels savamment élaborés, une liaison est établie par les ondes de l'éther-lumière. Ces rites sont répétés journellement, à plusieurs reprises, dans des milliers de monastères et de temples. Cet éther-lumière est produit au moyen de danses magiques, de musique, de mantrams, d'encens et de concentration. Dès que le courant "passe", il est dirigé d'Est en Ouest, de la même manière que précédemment. Ce courant va tout naturellement viser ceux qui ont déjà reçu le premier branchement, selon la loi d'attraction des forces égales. Simultanément, la première activité mentale est répétée avec une grande énergie, car la répétition, la répétition incessante, une continuation ininterrompue du bombardement est l'une des armes les plus puissantes de l'occultisme.
Nous pouvons, maintenant, voir avec précision, ce qu'il en est. Si l'homme était laissé a ses propres dispositifs, en tant qu'être faisant partie d'une masse, comme une bête dans un troupeau, alors l'impulsion mentale disparaîtrait rapidement. Mais l'impulsion étant inlassablement répétée et accompagnée par un flux d'éther-lumière injecté avec un tel résultat que certains hommes " s'échauffent " littéralement, on voit la conséquence de l'impulsion qu'ils subissent. Autrement dit : au moyen de la projection de l'idée et de l'injection d'éther-lumière, tout le système tête-cœur (la partie la plus importante de notre corporéité, en dehors de notre conscience) se trouve emprisonné.
L'idée tout entière des émetteurs circule désormais dans le sang et s'y "échauffe", ce dernier devenant aussitôt mobile et très actif. " S'échauffer a propos d'une idée signifie que le penser a été accroché par l'idée ". " Avoir le cœur chaud à l'ouvrage implique que le cœur est dans le même état ". La conséquence de ces deux états est que toute la perception de l'homme et le fonctionnement de ses sens sont instinctivement accordés à l'idée transmise, car l'éther-lumière produit et alimente notre sens de la vue, non seulement physiologiquement, mais aussi psychologiquement. Être sensible aux impulsions magiques de l'éther-lumière signifie en vérité, que nos mains et nos pieds sont attachés que notre vue est déviée de la réalité et entièrement accordés aux intentions du but qui nous est imposé par la force dont nous subissons l'influence.
Nous sommes alors dégradés jusqu'à devenir ce que l'on nous demande ; nous voici des animaux humains dressés comme des chiens policiers.
Lorsqu'un homme est atteint par l'injection d'éther-lumière causée tout d'abord par la magie du temple, le processus se développe à une vitesse supersonique. Dans ces cas-là, les impulsions d'éther-vital et d'éther-chimique ne sont généralement plus nécessaires. Conseils et directives sont suffisants. Ceux-ci sont fournis à l'homme par des créatures de second plan, apparaissant en tant qu'autorités, porte-paroles, écrivains, ou travaillant dans leurs paroisses. L'appareillage cérébro-sensoriel magiquement conditionné de l'homme, réagira alors suivant les directives et les conseils reçus, croyant qu'il le fait selon sa propre volonté et ses propres impulsions. Et réalité, il accomplit tel un automate, tout ce qui est exigé de lui, depuis le TOIT du MONDE.
L'éther-vital contrôle la propagation de l'espèce et supervise les énergies de propagation. Vous savez que la théologie et la philosophie de la morale indiquent à l'homme comment il doit vivre et travailler en vue de la propagation de l'espèce. Or si vous pouvez observer les choses de plus haut, et non du seul point-de-vue biologique, vous comprendrez, d'après ce qui précède, que lorsque notre vue est paralysée par ces injections d'éther-vital, il suffit de détenir quelque pauvre autorité conforme à notre état visionnaire artificiellement réveillé, afin que soit "dynamisé" et "maintenu" comme il convient le processus d'adhérence. Nais répondons dès lors à l'extension et la propagation de ce ope nous pensons être nos idées, nos sensations et nos appréhensions, ou bien nous désignons autrui pour le faire. Un instinct de propagation se répand sur nous, réveillé et nourri par les flux de l'éther-vital, attiré par nos propres réactions. Cet instinct de propagation est un instinct de conservation et, du point-de-vue psychologique, se démontre essentiellement sexuel, conservateur, primitif et tenace.
Nous sommes littéralement devenus esclaves et, d'en bas,nous propageons exactement ce qu'il nous a été ordonné de propager à la suite de l'activité primaire, provenant de l'extérieur, qui nous a touchés. La chaîne est bouclée. Pour assurer une plus grande sûreté, l'autorité garde l’œil vigilant et surveille l'état de l'éther-chimique, ce qui nous permet de puiser de la nourriture et de décider de la qualité des aliments qui nous sont nécessaires tel ou tel moment. Grâce au type de nourriture prescrite par l'autorité et à l'usage de narcotiques, l'état existentiel de l'homme se trouve confiné à un cercle étroit. Car, en réalité, la valeur de la nourriture est déterminée non pas selon son origine (c'est-à-dire d'un règne quelconque de la nature), mais en fonction de la qualité des éthers-chimiques respectifs, présents dans les mélanges sans nombre, ainsi que des différentes huiles-éthers.
Dès lors, la fraternité lamaïstique n'a plus qu'une seule préoccupation : veiller à ce que l'éther-chimique suspendu au dessus de nos régions soit d'une qualité spécifique. Les animaux, les plantes et les fruits contenant de cet éther, et ces produits nous servant de nourriture ou étant absorbés par notre organisme d'une autre manière, le succès escompté par la fraternité précitée se trouve ainsi assuré.
Vous savez que certaines nations s'accroissent, tandis que d'autres se déciment rapidement. La cause de ce phénomène réside dans la stratégie occulte qui amène à l'état désiré le champ d'éther-vital au dessus des pays en question.
Il convient d'être concis, en dépit de tout ce que nous pourrions encore vous dire. Précisons pourtant la raison du célibat imposé aux prêtres subordonnés à l'ordre des "bonnets jaunes" et à d'autres ordres religieux du même type, exerçant leur activité dans ce monde. Contrairement à ce que l'on pourrait supposer, ce ne sont point les motifs de chasteté, ni ceux d'un développement plus élaboré qui prédominent. Lorsque les fonctions de l'éther-vital sont supprimées par force, une poussée accrue de l'instinct de procréation s'éveille, mais qui se manifeste d'une manière inattendue. L'hystérie fanatique d'un zèle converti crée un état qui peut inciter les entités considérées à commettre n'importe quoi. La frénésie de persécution religieuse a été déchaînée de cette manière et a, maintes fois, fait couler le sang à flots. Voilà pourquoi des concentrations d'éther-vital ont été injectées aux volontaires du célibat forcé. Sans cette condition, les résultats escomptés n'eussent pas été possibles. Une telle frénésie étant dangereusement contagieuse, un seul fanatique est en mesure d'entraîner tout un groupe d'exaltés à des actions inconsidérées ; c'est là, un processus où la sexualité joue un grand rôle.
Nous venons de vous donner un bref aperçu de la funeste imitation que fait le lamaïsme de l’œuvre de sauvetage assurée par les Lohans. Nous voudrions conclure en disant que la crise qui secoue notre époque et le cours naturel des choses dans les royaumes terrestres vont engendrer une résistance contre la magie des lamas qui est en voie d'atteindre le point culminant de sa puissance.
Ceci annonce le commencement de son déclin et de son processus de désintégration.
V CONCLUSIONS ET REFLEXIONS
L'humanité se trouve à l'aube d'une ère entièrement nouvelle du développemsnt de la révolution cosmique, spirituelle et atmosphérique, dans laquelle nous sommes entrés depuis quelques années.
Les exposés qui précèdent ont permis de se rendre compte de l'influence que détient le Tibet, en tant que catalyseur des forces liées à la terre, et combien ces forces tiennent enchaînés le monde et l'humanité dans le chagrin et la peine. Or, avec l'évolution des choses, cette place forte est attaquée, à la suite de quoi la concentration des forces qui nous entravent est réduite à néant au cours d'un processus qui aura d'importantes et nombreuses conséquences.
Il est évident que la fraternité lamaïstique tentera de regrouper les forces dispersées, tentative qui entraînera inéluctablement une production intensive des forces-éthers.
La sphère chimique du monde matériel est peuplée par différentes formes de vie ; il en est de même en ce qui concerne le monde de l'au-delà. Cette lutte formidable pour l'existence adoptera de plus en plus le caractère d'un camp d'auto-défense. La fraternité lamaïstique, au moyen de la magie, essayera d'accroître artificiellement, jusqu'à une chaleur de fièvre, la tension orageuse des nerfs qui a prédominé dans le monde pendant si longtemps, afin d'inciter l'humanité à des actions abjectes qui seront ensuite amèrement regrettées.
Si cette tentative échoue - comme nous l'espérons et le croyons - il se développera au sein de la fraternité lamaïstique un état de crise qui provoquera des actes désespérés. Ceux-ci se manifesteront par des phénomènes ignés violents dans l'atmosphère, résultant de la formidable contrainte de volonté des magiciens qui imposent leurs impératifs à l'humanité.
Nous vous avons expliqué de quelle manière les idées peuvent être greffées sur l'éther-réflecteur ; nous voudrions, à présent, vous dire comment ce travail est effectué parla fraternité Iamaïstique.
Nous aussi, nous gravons sans cesse, mais sans aucune contrainte, nos pensées sur l'éther-réflecteur. Toutefois, notre activité - le plus souvent incontrôlée - de la pensée n'a pas d'influence aussi forte que celle décrite plus haut. Les magiciens-lamas accomplissent leur œuvre au moyen de la concentration consciente de la volonté. Les idées à transmettre sont incorporées à l'éther aussi solidement que possible à l'aide de la volonté et dirigées vers le but assigné. La volonté est un feu dévorant. La volonté est la force magique la plus remarquable qui existe chez l'homme. La volonté d'un homme est sa capacité la plus puissante, surtout pour œuvrer dans l'éther-réflecteur, ce qui la rend dangereuse en ce sens qu'elle risque d'échapper à notre contrôle.
N'est-ce pas là le cas le plus fréquent pour nous ? Combien de nuisance, causée bien souvent par manque de contrôle de soi !
Mais s'il est vrai que la volonté et sa magie sont soumises à des lois bien définies, elles n'en sont pas moins limitées par les lois naturelles. Ainsi, l'éther-réflecteur étant un feu cosmique, il peut être forcé par la magie de la volonté. La conséquence en sera une réaction en chaîne de divers phénomènes ignés dans l'atmosphère, décrits dans les mythes comme l'attaque de milliers de salamandres, entités qui demeurent dans l'éther-réflecteur et dans l'éther-lumière.
Ce feu modifie à son tour la composition de l'atmosphère, appelant de la part de l'humanité des réactions très particulières. Les échanges cosmiques seront perturbés. L'intérieur de la terre vomira du feu et des flammes, et bien d'autres évènements encore surgiront, qui ne peuvent être mentionnés dans la cadre de cet exposé.
Tout ce qui vient d'être dit peut faire naître bien des questions ! Comment est-il possible que la fraternité lamaïstique, faisant preuve d'une telle intelligence, se permette de pousser les choses aussi loin ? Sans doute, cette fraternité connaît-elle mieux que quiconque, les conséquences du viol des lois naturelles.
Qu'est-ce donc qui peut provoquer chez ces magiciens une telle panique ? Ils ne craignent sûrement pas les Lohans, puisque ce groupe de serviteurs de Dieu ne se venge point et ne recherche aucun conflit.
Non ! La fraternité des lamas est remplie de crainte mortelle, à cause d'une autre fraternité à la magie très puissante, qui, selon l'accomplissement des destinées de l'Univers, est guidée dans ses activités par une attitude et un but fort différents. C'est également une fraternité de nature dialectique pure, mais qui, répandant l'idée d'une paix absolue, oppose un contraste total par rapport aux Impulsions lamaïstiques de peur, de chaos et de pensées belliqueuses. Alors que les impulsions gravées dans l'éther par la fraternité lamaïstique se déplacent d'Est on Ouest, l'autre fraternité dirige ses flux de puissance suivant l'axe Nord-Sud, avec des résultats tout à fait contraires.
Soulignons avec force, que cette fraternité qui a déterré la hache de guerre contre son ennemi lamaïstique, ne présente aucun caractère commun avec l'Ordre des Lohans. Son apparition est la conséquence d'une loi naturelle qui gouverne les domaines de vie terrestres ; toute action entraîne une réaction; une force qui se concentre déclenche une contre-force.
Notre propos n'est pas de développer ici plus en détail ce que l'on doit penser de cette mystérieuse contre-force tant redoutée des lamas, cet exposé n'a qu'un but : jeter un peu de lumière sur la réalité affolante du Tibet des lamas, contribuant ainsi à l'urgente et nécessaire compréhension des raisons profondes qui entravent le réveil et l'auto-libération du genre humain, empêtré dans les liens des ténèbres, du chagrin et de l'épuisement.
Ceux qui, dans une certaine mesure, réalisent l'emprise profondément tragique de tout cela, et qui, conscients de plus en plus de leur responsabilité, désirent secouer le joug de cette néfaste influence, afin de pouvoir contribuer à l’œuvre immense de libération du genre humain - ceux-là montrent le Chemin de Liberté, la seule Voie menant à la libération réelle de l'homme. Cette Voie reste ouverte et accueillante à tous ceux qui souhaitent saisir la main que leur tend la Fraternité Universelle du Royaume Immuable.
Jan van Rijckenborgh

Photo :
22 juillet 2016

Histoire du Bouddhisme tibétain, la Compassion des Puissants

 

UNIVERSAL-MAN

 

Elisabeth Martens9782296040335r

Les raisons qui m’ont poussé à écrire ce livre qui va à l’encontre des idées toutes faites à propos du Tibet, de son histoire et de sa religion : de plus en plus d’amis proches écoutaient religieusement les discours du Dalaï-lama, se disaient sympathisants du Bouddhisme tibétain, et du même coup, adhéraient aux thèses du mouvement pour l’indépendance du Tibet. Au point où moi-même - plus sensibilisée à la question tibétaine parce que j’ai habité en Chine trois ans et parce que je donne des cours sur la pensée chinoise -, j’ai été amenée à me positionner. Dès lors, je me suis documentée et j’ai constaté que les informations disponibles, ici en Occident, à propos de l’histoire du Tibet et du Bouddhisme au Tibet sont soit détournées, soit inexistantes. De là, ma recherche.

Texte de présentation du livre

Mon livre, résultat de cette recherche, raconte l’histoire du Bouddhisme tibétain (lire : BT dans la suite du texte), depuis sa formation jusqu’à son actualité brûlante ; il est divisé en trois parties distinctes : entrée, plat consistant et dessert... comme un bon repas de famille après lequel on n’a plus qu’à aller faire la sieste ! Pas de panique : il est écrit dans un style allègre et avec un brin d’ironie, ce qui allège la digestion. Toutefois il peut se lire comme trois petits livres, chacun relatant une époque du BT. L’entrée de notre petit repas familial concerne la période de gestation du BT, depuis l’enseignement du Bouddha (6ème AC), jusqu’à la formation de l’école bouddhiste qui, au 9ème PC, s’implante sur le Haut Plateau Tibétain : le Vajrayana ou Véhicule tantrique ou Tantrisme. Après avoir esquissé le Dharma (ou " enseignement du Bouddha "), je rappelle la scission que connut le Bouddhisme au 1er PC et les cheminements différents du Hinayana et du Mahayana (Petit et Grand Véhicules). Je survole ensuite l’évolution du Mahayana en Inde avec ses senteurs hindouistes et la naissance du Vajrayana au 6ème PC.
Je raconte un peu plus longuement l’entrée du Mahayana en Chine, son utilisation politique lors de l’éclatement de l’Empire chinois, et les questions que le Bouddhisme a posé à la pensée chinoise. Celle-ci, ne pensant pas en-dehors du monde physique et temporel, limité et duel, qui est le nôtre, n’était pas prête à entendre le message de délivrance du Dharma : pour la Chine, la souffrance (la " dukkha " du Bouddhisme) est l’autre facette du bien-être, et qui ne connaît pas l’un ne peut jouir de l’autre. Il n’empêche que la venue du Bouddhisme en Chine a placé celle-ci au pied de son mur philosophique : " transcendance ou immanence ?", la question était clairement posée. La Chine, après un millénaire d’influence bouddhiste, a résolument opté pour la dialectique et le relativisme. Comme vous pouvez le constater, j’ai profité de cette première partie pour me poser des questions philosophiques et existentielles : qu’est-ce qu’une religion ? comment la distinguer d’une philosophie ? l’enseignement du Bouddha n’est-il pas aussi une religion, malgré ce qu’en disent actuellement ses adeptes ? quel est le rôle des religions dans la vie psychique des êtres humains ? quel est leur rôle dans l’évolution d’une société ? les religions sont-elles encore nécessaires ? ne peut-on se passer de la religion tout en développant notre côté spirituel ? etc. Autant de questions auxquelles je m’attarde, sans doute pour mettre mes propres idées au clair, tout en sachant que ces questions touchent la plupart d’entre nous. Donc, cette première partie de mon livre est écrite comme un essai.

La seconde partie du livre est le " plat consistant ", le gros œuvre après le hors-d’œuvre. Il s’agit de l’histoire du Bouddhisme au Tibet, depuis son arrivée au Tibet (vers le 6ème PC) jusqu’à sa pratique actuelle, au Tibet. Pour engager cette partie de l’histoire, j’ai voulu planter le décor : qu’appelle-t-on le " Tibet " avant l’arrivée du Bouddhisme ? La géographie du Haut Plateau explique comment des êtres humains ont atterri si haut et si loin de tout, dans des régions qui sont devenues inhospitalières, alors qu’elles ne l’étaient pas lorsque les premiers venus s’y sont installés. Qui sont ces gens, d’où venaient-ils ?

On s’aperçoit que ce que nous appelons le " peuple tibétain ", sont des populations composites : les unes venant de l’Ouest (Asie centrale), les autres du Sud-ouest (vallée de l’Indus), ou du Sud-est (fonds des forêts birmanes), de l’Est (vallée du Yangzi), et du Nord (vallée du Fleuve Jaune). Cette diversité ethnique est encore visible aujourd’hui : d’une vallée à l’autre, l’architecture des maisons, les vêtements et même la langue, sont parfois différents. De ce fait, avant l’arrivée du Bouddhisme qui, au Tibet, a servi de ciment culturel et politique, le Haut Plateau tibétain était sillonné de populations de croyances et de cultures nettement plus variées. Leurs cultes étaient animistes et elles étaient influencées par une religion venue, semble-t-il, de l’Ouest (Asie centrale) : le Bön. Depuis le 4ème AC, il existait bien un petit royaume tibétain dans la vallée centrale du Yarlong (ou Brahmapoutre) avec la dynastie des Tubo, mais ce n’est qu’au 7ème PC que le roi SongTsen Gampo voulut agrandir son territoire. A la manière du célèbre Gengis Khan, le roi réunit les diverses populations du Haut Plateau en vue d’attaquer son puissant voisin, la Chine des Tang. Et c’est là que tout commença : la Chine repoussa les Tibétains, puis l’empereur des Tang offrit au roi tibétain sa fille en mariage.

Cette première alliance entre la Chine et le Tibet permit au Bouddhisme (école chinoise du JingTu) d’entrer à la cour royale du Tibet, où il resta coincé pendant quelques siècles. Au 9ème, la dynastie Tubo s’effrite et plonge les Tibétains dans l’instabilité politique, et ce jusqu’à l’arrivée des Mongols (13ème). Pendant ce temps-là, au 11ème, le Nord de l’Inde est assailli par des marées musulmanes. Or c’était justement dans le Nord de l’Inde que se trouvaient les plus importantes écoles du Tantrisme (ou Vajrayana formé en Inde vers le 6ème PC). Sous l’assaut des Musulmans, les maîtres tantriques fuient l’Inde et se réfugient de l’autre côté des montagnes de l’Himalaya : dans un Tibet sans foi ni loi. Le Bouddhisme, version tantrique, connaît alors une véritable explosion au Tibet : les maîtres importent les textes sacrés et les font traduire en tibétain (dont l’écriture est proche du sanskrit), les communautés tantriques se multiplient à vive allure, les écoles se subdivisent en de nombreuses sous-entités, dont les derniers nés (au 14ème) sont les plus connus : les Bonnets Jaunes. Les populations tibétaines, soumises jusque-là au bon vouloir des seigneurs et aux rivalités entre grandes familles de la noblesse tibétaine, se convertissent en masse au Bouddhisme et se mettent au service des communautés tantriques : la structure ecclésiastique du Tantrisme leur apporte sécurité et stabilité.
De cette manière, le Bouddhisme a permis d’instaurer au Tibet une société féodale. Le pouvoir est partagé entre la noblesse tibétaine et les communautés bouddhistes, plus de 90 % de la population est placée en servitude. C’est un système bien huilé qui va perdurer jusqu’à la moitié du 20ème siècle, pour le bonheur et le plaisir de quelques uns (noblesse et autorités tantriques) et au détriment de l’écrasante majorité (serfs et esclaves). L’arrivée des Mongols au 13ème ne va que conforter la structure féodale du Tibet ; les Mongols feront du Tibet une annexe de leur Empire chinois. Les Mandchous qui contrôlent l’Empire chinois du 17ème au 19ème divisent la Chine en 18 provinces ; depuis, le Tibet est une des 18 provinces chinoises.

Or, à la fin du 19ème, la Chine se vend par concessions successives et de plus en plus ridicules aux puissances occidentales. Le Tibet qui, grâce à la puissance de son pouvoir ecclésiastique, a amassé de grandes richesses, est convoité par les Anglais : le lieu de villégiature privilégié des lords britanniques pendant la saison des moussons - Darjeeling, Kalimpong, le Sikkim, etc. - sont autant de régions où aboutissent les caravanes de laine et de sel en provenance du Tibet. Constatant l’intérêt gourmand des Tsars russes pour le Haut Plateau, les Anglais ne font ni une ni deux : ils envahissent le Tibet, s’installent et ouvrent des comptoirs de commerce. Se retroussant les moustaches, ils jouent au bridge et au tennis devant le palais d’été du 13ème Dalaï-lama, principale autorité tibétaine à cette époque, sans omettre de l’inviter à une partie de badminton. Le grand Lama se trouble : Mandchous, Russes, Anglais, et même Japonais se pressent sur le pas de sa porte et louvoient dans les couloirs du Potala. " L’accord de Simla ", qui devait être signé en 1913, signe en réalité le désaccord entre la Chine, le Tibet et l’Angleterre : la Chine ne cédera pas le Tibet à l’Angleterre, le Tibet restera chinois ; plus tard, les Nations Unies approuveront.

Suite à la Seconde Guerre Mondiale, les Anglais sont remplacés par les Américains sur le Toit du Monde, et les parties de bridge par des boîtes de biscuits à l’huile d’arachide offertes par le président Roosevelt. Cette fois, le jeune 14ème Dalaï-lama est tiraillé entre, d’une part, la Chine communiste qui lui fait miroiter le développement économique du Tibet et une relative autonomie dans les prises de décisions concernant la politique intérieure du Tibet, et d’autre part, les Etats-Unis qui lui promettent une sécurité financière et logistique et une complète indépendance dans un futur à déterminer. Somme toute, il préfère les biscuits, même à l’huile de cacahuète. En 1959, il prend ses cliques et ses claques et s’en va avec ses tambours et ses trompettes, plus quelques carpettes, on ne sait jamais si elles commençaient à léviter. Ce que le Bouddhisme est devenu au Tibet suite au départ du Dalaï-lama, quelle a été son évolution, ses périodes difficiles, sa reconstruction, le regain d’intérêt de la Chine pour le BT, tout cela est relaté dans la fin de la seconde partie du livre. Vous l’aurez compris, ce second chapitre est une étude historique, fruit d’un long travail de documentation (voir biblio). J’ai voulu écrire cette partie, plus ardue pour le lecteur, dans un style naturel et laissant apparaître une progression dans le récit.

Le dessert, comme tous les grands desserts, plonge d’abord l’assemblée dans un profond silence, un recueillement presque méditatif, mêlé d’une certaine gêne, pour exploser ensuite en un fou rire général et se terminer en une bonne humeur communicative. Bref, je me suis beaucoup amusé dans le dernier chapitre et pour cause : dérision et autodérision étaient les fils conducteurs de ce pamphlet. Il retrace l’étrange parcours que le BT connut en Occident. Au 19ème, il fut recueilli avec ferveur par Helena Blavatsky, fille d’un colonel tsariste, et mise en contact avec des maîtres tantriques dès son jeune âge. Grâce à ses soins attentifs, les rites du BT vont servir, parmi d’autres pratiques ésotériques, à calmer les frayeurs de la bourgeoisie face à la montée du Socialisme.

Les successeurs de l’école de Théosophie fondée par Blavatsky ne sont autres que les nombreuses nébuleuses du New Age qui, dès le début du 20ème, défendront les thèses les plus " réactionnaires " : nostalgie des époques révolues, retour vers la terre-mère, culte de la race pure et des racines aryennes cachées dans les replis de l’Himalaya... un langage que l’idéologie nazie n’aura pas beaucoup de mal à récupérer avant et pendant la Seconde Guerre Mondiale.

Pour le Dalaï Lama qui débarque en Europe fin des années 70, il valait mieux mettre ce passé récent au portemanteau des oubliettes. Avec l’aide de son généreux sponsor étasunien, il s’y est pris avec intelligence et patience : depuis 50 ans (un demi siècle !), la même histoire du pauvre roi-dieu déchu de son trône par l’horrible diable rouge à queue fourchue nous est servie au Mac Donald des mythes modernes, réveillant en nous le même archétype du bon père de famille qui acquit sa liberté et celle de son clan grâce à l’exil et à la souffrance, les mêmes clichés quant à la tolérance, la compassion, le détachement qui seraient les qualités innées du BT, le même déni systématique de l’histoire du Tibet, bref, le même manque de discernement dès qu’il s’agit de la question tibétaine.
Pourtant, dès qu’on se demande les raisons qui ont poussé les Etats-Unis à faire un tel cas de leur " citoyen modèle " (le Dalaï-lama vient de recevoir, des mains de G.W. Bush, la médaille d’or du meilleur citoyen américain, juste pendant que se tenait le congrès quinquennal du PCC !), la réponse est limpide : au lendemain de la " Grande Guerre ", il était une effigie idéale pour soutenir la lutte contre le communisme chinois. Puis, dans la foulée de la guerre du Vietnam et du mouvement hippie, le Dalaï-lama a mis ses efforts dans un " retour aux sources du Bouddhisme ", en nettoyant le BT de son aspect ésotérique et en le " philosophisant " (c’est depuis qu’on dit, chez nous, que le Bouddhisme n’est pas une religion mais une philosophie). Cela permit aux semi bourgeois intellectuels et post-68, que nous sommes, de ne plus " bêtement " croire en Dieu, mais d’adhérer au nouvel " athéisme qui embrasse l’absolu ". Qui plus est, le Bouddhisme, dans sa version dalaïste, ne demandait pas d’engagement, ce qui convenait parfaitement à notre égotisme.

Ce fut une étape délicate dans l’opération de séduction qu’entreprit le BT sur l’Occident intellectuel, mais ce fut une réussite, couronnée par un prix Nobel discerné au grand Dalaï en ’89, peu après les événements de la Place Tian An Men et la chute du Mur de Berlin ! Réussite totale pour le Dalaï-lama, à tel point qu’actuellement, une large majorité de la gauche intellectuelle, même celle qui se dit " progressiste " ou, encore plus, celle qui se dit " écologiste ", et même en accord avec la droite (dont on ne peut pas vraiment dire qu’elle soit intellectuelle) adhère sans réserve à ses discours. Mais si le Dalaï-lama met " l’Occident pensant " dans sa manche en utilisant sa propre religion, n’est-ce pas pour mieux servir les desseins des Etats-Unis : fragiliser la Chine, la déstabiliser de l’intérieur par nos assauts incessants du " politiquement correct ", pendant que les troupes américaines installent leurs bases militaires tout autour des frontières chinoises.

TABLE des MATIERES

Introduction
Chapitre 1 : le Bouddhisme avant son entrée au Tibet
1.1. L’enseignement originel du Bouddha, le Dharma
Siddhârta Gautama, le Bouddha historique. La Transcendance bouddhiste : un Au-delà de la souffrance Quelques originalités de la réflexion du Bouddha " Les Quatre Nobles Vérités et le Sentier aux Huit Embranchements ". Le karma et la loi de " Cause à Effet ".

1.2. Le Bouddhisme du Grand Véhicule, le Mahayana
Schisme fatal dans la communauté bouddhiste (1er AC). Le Petit Véhicule se dirige vers l’Asie du Sud-Est. Le Grand Véhicule ouvre ses portes à l’ésotérisme Principe de Vacuité, fondement des écoles du Grand Véhicule. Ecoles de la " Voie du Milieu " et de la " Pratique du Yoga ". La Vacuité bouddhiste et la physique quantique. Convergences entre Bouddhisme, Taoïsme et Relativisme. Divergences entre pensées bouddhiste et chinoise D’où nous vient la pensée de la Transcendance ? La poésie du " sentiment océanique ". Modèle chinois d’adoption de notre condition humaine. En Inde comme en Chine, le panthéon mahayaniste se multiplie. Le Tantrisme ou Vajrayana, ultime sursaut bouddhiste " Expérimenter " : Voie tantrique vers l’Eveil. Le Tantrisme : paradis perdu ou enfer retrouvé ? Fusion tantrique entre maître et disciple. Les divinités tantriques s’accouplent à leur shakti. Où donc se cache Siddhârta Gautama ?

1.3. Expansion du Grand Véhicule en Chine
Contexte de la Chine lors de l’arrivée du Bouddhisme (1er PC). L’entrée du Bouddhisme en Chine passe quasi inaperçue Idéologie des Han lors de l’arrivée du Bouddhisme. La pensée holiste des Han, source d’inspiration pour le Tantrisme ? A la recherche de l’unité perdue... ou acceptation de nos dualités ? Le Bouddhisme s’installe en Chine grâce à sa confusion avec le Taoïsme. Le Bouddhisme, pacificateur des populations du Nord de la Chine (3-6ème PC). Le JingTu, école bouddhiste la plus populaire en Chine. L’école du Vide, mais de quel " vide " s’agit-il ? Au Sud, les avis sont partagés entre " gradualistes " et " subitistes ". Indianisation du Bouddhisme chinois et naissance du Tantrisme en Inde Durant les Tang (7-9ème) : apogée du Bouddhisme chinois et contact avec le Tibet Première répression du Bouddhisme en Chine : l’édit impérial de 845 Le MiZong, ou " l’école du Mystère ", atteint le Tibet.
Chapitre 2 : Histoire du Bouddhisme au Tibet.

2.1. Paysages du Tibet avant l’arrivée du Bouddhisme.
Le Plateau tibétain entre déserts, précipices et autres monstres sacrés. Le Bön, religion autochtone du Tibet. Première phase du Bön, reflet d’une société tribale et matriarcale Polyandrie et démographie, de l’ancien Tibet au Tibet moderne. Seconde phase du Bön, naissance d’une doctrine influencée par l’Hindouisme. Le yungdrung, ou swastika, emblème du Bön.

2.2. Phase d’implantation du Bouddhisme au Tibet (7-9ème).
Le Bouddhisme chinois sert les ambitions de Songtsen Gampo, roi des Tubo. Les conquêtes des Tubo génèrent un changement de structure sociale. Le Bouddhisme, catalyseur du patriarcat tibétain. Padmasambhava, maître tantrique indien, devient le père du Bouddhisme tibétain. Première école du Bouddhisme tibétain : l’école des Nyingmapa. Troisième phase du Bön et sa division en blanc, noir et zébré Fin de règne des Tubo et premières persécutions bouddhistes.

2.3. Renaissance du Bouddhisme tibétain (9-11ème).
Le Bouddhisme tibétain se réinstalle peu à peu sur le Haut Plateau Une floraison de nouvelles écoles : Sakyapa, Kagyupa, Kadampa, et ceatera. Le tantra de Kalachakra ou du " Maître de la Roue du Temps ". Le Royaume de Shambala : mythe ou réalité ? Le Kalachakra revendique son authenticité L’Islam, ennemi principal du Bouddhisme tibétain Quels sont les autres ennemis de la " Bonne Doctrine " ? Le rituel de Kalachakra œuvre-t-il pour la paix dans le monde ? Le Tibet, l’écrin précieux des trois Véhicules. La population du Tibet subit les sévices de Kalachakra.

2.4. Expansion du Bouddhisme tibétain (12-13ème).
La dynastie mongole des Yuan annexe le Tibet à l’Empire chinois. Les Mongols se convertissent au Bouddhisme tibétain. Phagpa Rinpotché nommé " précepteur impérial du Tibet ". L’histoire du " Bardo Thödol ", le " Livre tibétain des morts ". Le Bardo Thödol à l’occidentale. Le Bouddhisme tibétain s’étend aux steppes mongoles.

2.5. La réforme du Bouddhisme tibétain (14-15ème)
Tsongkapa, réformateur du Bouddhisme tibétain et fondateur des Bonnets Jaunes. Retour à un " Gradualisme " modéré pour l’école des Bonnet Jaunes. Les trois étapes de la Voie du Milieu Mantra, mudra, mandala : voies sacrées de Réalisation. La petite porte du fond : voie douteuse vers la Réalisation. Le fulgurant succès des Bonnets Jaunes. Hiérarchie et discipline chez les Bonnets Jaunes. Le système des " tulkous " assure la succession et le maintien des biens.

2.6. Le règne des douze premiers Dalaï Lamas (15 -19ème).
Le titre honorifique de " Dalaï-lama " est conféré par Altan Khan Guerre civile entre écoles bouddhistes : le massacre de Drepung Construction du palais du Potala sous le règne du Grand Cinquième La dynastie mandchoue des Qing (1644-1911) place le Tibet sous son contrôle. La compagnie de Jésus rencontre le Bouddhisme tibétain. Guerre civile pour un Océan de Sagesse : second massacre de Drepung. L’établissement du " kashag ", assemblée gouvernementale tibétaine. Les Mandchous tracent les frontières de la province tibétaine. Code civil tibétain décrété par les Mandchous. Du 8ème au 12ème Dalaï-lama : un siècle meurtrier pour les Dalaï-lama ! Au 19ème, le Bouddhisme tibétain doit composer avec L’Empire britannique. La Russie des Tsars contaminée par le tantra de Kalachakra.

2.7. Le Bouddhisme tibétain sous influence occidentale (19-20ème).
Des slaloms périlleux pour le Grand Treizième ! Une demande d’indépendance du Tibet avancée par le 13ème Dalaï-lama. Quelle modernisation pour quel Tibet ? L’héritage spirituel et temporel du Grand Treizième. Le Bouddhisme tibétain s’allie à l’impérialisme nippon. En 1940, intronisation du 14ème Dalaï-lama.

2.8. Le Bouddhisme tibétain sous drapeau chinois (20-21ème).
En 1951, l’Armée Populaire de Chine arrive à Lhassa. Un début de règne difficile pour le 14ème Dalaï-lama. Le 14ème Dalaï-lama : " semi-bouddhiste, semi-marxiste " ? Guerriers du Bouddha, soldats de la Libération et agents de la CIA sur le Toit du Monde. L’organisation de la résistance tibétaine est soutenue par la CIA. Exil du Dalaï-lama : forcé ou volontaire ? Dharamsala, centre névralgique du mouvement pour l’indépendance du Tibet. Quelle démocratie à Dharamsala ? La première bévue de la Chine : l’Arunachal-pradesh. La Révolution Culturelle, qu’eut-elle de " culturel " ? Bouddhisme ou marxisme : risque de dérapage des " ismes " Une grave erreur du PCC : avoir voulu éradiquer les religions. Résurgence du Bouddhisme tibétain sur le Haut Plateau à partir des années 80. Les émeutes de 1987 et 1988 à Lhassa. Amélioration du niveau de vie pour les Tibétains. Sa Sainteté le Dalaï Lama, prix Nobel de la Paix. Un nouvel objectif pour le Dalaï-lama : la re-bouddhéisation de la Chine. L’encerclement de la Chine par les USA. La réponse de la Chine. Liberté de religion en République Populaire de Chine ? et le Fa Lun Gong ?

Chapitre 3 : Le Bouddhisme tibétain en Occident
3.1. Le Tibet, un mythe né en Occident
Quelques caractéristiques du Bouddhisme qui favorisent son implantation Contexte idéologique de l’Europe lors de l’arrivée du Bouddhisme tibétain (19ème). Le trait d’union : Helena Blavatsky, une étoile parmi les Tsars. La Société théosophique en marche contre le Matérialisme. Fin du 19ème, les touristes sont mal venus sur le Toit du Monde. D’Alexandra David-Neel à Lobsang Rampa, fils de plombier anglais. C.G. Jung et R. Wilhelm, un espoir pour l’orientalisme. Deux dissidents de la Théosophie : Krishnamurti et Steiner. Big Brother surveille les galaxies du Verseau. René Guénon : la " Tradition universelle " vient du Tibet ! Julius Evola ou le Bouddhisme tibétain au service du national-socialisme. L’Ahnenerbe en voyage initiatique au pays de Shambala " ...et si le Dalaï-lama devenait un criminel de guerre ! ", dit le Dalaï-lama. Le mythe de la " bonne guerre ", version zen " Le sabre qui donne la vie " : une expression de D.T. Suzuki. Le Bouddhisme au service de la Guerre Froide. Golden sixties et beatnik : " let it be ! ". Durckheim et Herrigel, deux constructeurs d’ego.

3.2. Usage postmoderne du mythe tibétain
La Bonne Doctrine s’implante au cœur de notre " matérialisme spirituel ". Chogyam Trungpa, précurseur de la vague dalaïste. La France, pays d’accueil du Bouddhisme tibétain en Europe. Les mauvaises fréquentations du Dalaï-lama. Une fracture intellectuelle nécessaire à l’Eveil. Du génocide ethnique au génocide culturel. Bio branchés, BT-light ou dalaïstes convaincus : de quelle gauche s’agit-il ? 1989, l’année de tous les dangers... et de la naissance d’Arte. Les " aimables fadaises " du Dalaï-lama. Il faut un ego surdimensionné pour adhérer au Dharma. Le Bouddhisme tibétain joue la carte du " retour aux sources ". Bouddhisme et Christianisme : deux religions de salut. Les dialogues interreligieux : une internationale contre le relativisme.

3.3. Critique de la bouddhomania actuelle
Phénoménologie bouddhiste et psychanalyse. Le Bouddhisme tibétain à la conquête du monde scientifique. Les pensées positives du Bouddhisme tibétain. Le dessein intelligent du Dalaï-lama. Le Bouddhisme tibétain jusqu’au cœur de nos écoles primaires. Bouddhisme tibétain et engagement social. " Se changer soi-même pour changer le monde ". Le Bouddhisme tibétain n’est pas une exception sur le marché des religions. Transcendance et concurrence en terre bouddhiste Le marketing du Bouddhisme tibétain.

Conclusion

Bibliographie
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19 juillet 2016

les expériences et les plans criminels élaborés par l’Institut Tavistock

ParentalMindControl-757050L'institut Tavistock de Londres fut créée en 1920 à Tavistock Square comme clinique psychiatrique (la "Clinique Tavistock"), par Cyril Burt (1883-1971), expert en recherches sur le para-normal, et Hugh Crichton-Miller (1877-1959), vice-président de l'Institut "C.G. Jung" de Zürich.

En 1921, le onzième duc de Bedford, marquis de Tavistock, donna à l'Institut un siège où furent menées des recherches sur les psychoses traumatiques par bombardement sur des rescapés de la première guerre mondiale. Il s'agissait d'identifier, avec des critères scientifiques, le "seuil de rupture" de la résistance d'un être humain soumis à des sollicitations limites. Le projet était patronné par le Bureau pour la Guerre psychologique de l'armée britannique sous le commandement du psychiatre John Rawlings Rees.

En 1932 un réfugié d'Allemagne, Kurt Lewin, spécialiste en "dynamique des groupe", c'est-à-dire de techniques de manipulation de l'individu inséré dans un groupe, visant à lui faire acquérir une nouvelle personnalité et de nouvelles valeurs, devint directeur de l'Institut Tavistock. Lewin était le fondateur de la Clinique psychologique de Harvard, qui devait jouer un rôle essentiel pour convaincre les Américains àentrer en guerre contre les Allemands.

L'institut Tavistock, qui se développa comme le centre par excellence des recherches psychiatriques, fort de ses succès obtenus dans les deux guerres mondiales, changea en 1947 son nom en "Tavistock Institute for Human Relations". Grâce aux financements de la Rockefeller Foundation et à des présences américaines qualifiantes, le nouvel Institut travaillait en synergie avec les Britanniques, notamment avec le vice-directeur de la Clinique Tavistock, déjà mentionné plus haut, J.R. Rees, co-fondateur de la Fédération mondiale de la Santé mentale1. Rappelons au passage que Rees eut pour étudiant un personnage, réfugié d'Allemagne, qui devait faire aux Etats-Unis une brillante carrière : Henry Alfred Kissinger.

Le but déclaré de l'Institut était, - et reste à ce jour -, d'"appliquer les idées et les méthodes des sciences sociales à des problèmes de politique et de pratique", en développant des projets pour l'organisations des institutions, de l'industrie, du commerce, de la santé publique et de l'instruction. Un champ d'action multidisciplinaire qui va de l'anthropologie à l'économie, à la conduite organisationnelle, aux sciences politiques, à la psychanalyse2, à la psychologie et à la sociologie.

Dans la période immédiate de l'après-guerre, le problème auquel l'Institut Tavistock entendant donner une réponse efficace était la transposition dans les sociétés civiles de cette branche de la psychiatrie appliquée avec succès au cours de la seconde guerre mondiale, grâce essentiellement à l'oeuvre de John J. McCloy (un membre important de la Banque Kuhn & Loeb et de la Fondation Ford), et de William Paley (membre du B'nai B'rith, de la Pilgrims' Society, de l'Ordre de Saint Jean de Jérusalem et du C.F.R.)3.

Le projet était ambitieux : appliquer directement au corps social les résultats de ces études sur le "point de rupture", mis au point au cours des deux guerres mondiales, pour détruire toute résistance psychologique dans l'individu et le mettre à la merci du Nouvel Ordre Mondial4.

L'un des plus étroits collaborateurs à l'époque du Tavistock Institute fut Max Horkheimer, l'un des pères de l'"Ecole de Frackfort", fondée par la Fabian Society et qui traitait de sociologie et de psychologie marxiste. C'est de cette école que sortit Herbert Marcuse, qui joua un rôle de premier rang pour préparer la révolution culturelle de 1968 et le "saut de paradigme"5 qui en dériva. Pendant la Seconde Guerre Mondiale, l'Ecole se transféra aux Etats-Unis, où elle poursuivit ses travaux sous la direction du Comité Juif Américain (A.J.C.). La guerre étant finie, Max Horkheimer contribua, avec Ignaz Bubis, à réintroduire en Allemagne le B'nai B'rith, la haute maçonnerie réservée aux seuls Juifs6.

Dans les années 60 ce fut en Tavistock qui, en collaboration avec les services secrets anglais, pilota l'expérience de la diffusion et de l'emploi de la drogue, surtout de la drogue produite artificiellement, le LSD7, dans le cadre de ce phénomène socialement déstabilisant, qui fut appelé "contre-culture". Grâce aux larges subventions de la Fondation Ford, du Centre Britannique d'Etude sur l'Environnement, du Ministère de la Défense britannique, de l'Université de Harvard et du Conseil des Recherches en Sciences Sociales de Grande Bretagne. L'un des personnagles plus en vue de contre-culture de la drogue était Gregory Bateson, le père des hippies californiens, l'un des cinq savants de pointe du Tavistock qui effectuaient des expériences d"ingénierie sociale" avec usage de la drogue.

A l'époque, le R.I.I.A. se trouvait sous la direction de l'ex-directeur du fameux, "Observer" - propriété de la famille Astor - Andrew Shonfield (Bilderberg, Trilatérale), membre du Conseil d'Administration du Tavistock Institute et président du Conseil des Recherches en Sciences Sociales que nous avons mentionné.

Signalons qu'en 1967, sous la direction de Shonfield, qui dirigeait le groupe de psychologues du Tavistock, Ronald David Laing, publia un livre intitulé "The Politics of Experience", qui faisait l'apologie de la schizophrénie et de la drogue, dans lequel il affirmait que "la démence est l'unique forme de santé."8

De nos jours, le Tavistock est sorte de laboratoire sophistiqué pour le contrôle sociale du R.I.I.A., sorte de voie du milieu entre un centre d'études psychiatriques et un centre de recherches militaires, qui publie un mensuel intitulé "Human Relations" (Ed. Plenum Press). L'objectif primaire du Tavistock, en dernière analyse, est la recherche des modalités pour provoquer "des mutations des paradigmes cultures" dans les sociétés humaines, par l'instauration de "climats sociaux perturbés" ou la manipulation des "dynamiques occultes de groupes."

A titre d'étude, un cycle de conférences s'est tenu près l'Institut Tavistock en 1989 sur le thème : "Le rôle des Organisations non gouvernementales pour affaiblir les Etats Nationaux9", dont les actes furent publiés en 1991 dans la revue "Human Relations".

Le Tavistock Institute s'appuie sur des porte-voix comme laDitchley Foundation, depuis sa fondation, et sur des sociétés de pensée comme le Club de Rome et les Cercles Bilderberg avec lesquels il collabore étroitement.

Le Tavistock dispose en outre d'un réseau américain qui comprend le Stanford Research Institute, fondé en 1946, consultant de multinationales du calibre de la Wells Fargo des Rothschild, de la Bank of America ou de la Betchel Corporation. Il exerce en outre une influence déterminante sur l'Association Nationale pour l'Instruction des Etats-Unis. Font partie de ce même réseau l'Esalen Institute, centre d'irradiation du mouvement New Age, le Centre for Strategic Studies de la Georgetown University de Washington (leC.S.I.S., auquel appartiennent les figures emblématiques de Kissinger et Brzezinski), l'Hudson Institute, spécialisé dans la politique de défense et assimilées.

Mais la véritable tête de pont Tavistock aux Etats-Unis est représentée par le grand "pensoir" américain, la Rand Corporation, constituée comme rempart du R.I.I.A., et donc du C.F.R., pour le contrôle de la politique américaine à tous les niveaux, relations internationales, armements, programmes spatiaux, politique intérieure, etc...

Le réseau de contrôle de la pensée de l'individu et des comportements collectifs visant à créer, avec le soutien des grandes Fondations, la pensée unique fondant une nouvelle échelle de valeurs "politically correct", s'est irradiée en quelques décennies - comme chacun le voit - dans tout l'Occident en s'imposant de façon inaperçue dans les politiques des Etats, dans le système d'éducation, dans le monde bancaire et des affaires, dans les habitudes, suscitant les états d'esprit indispensables pour tous les niveaux, flûte enchantée de l'AUTORITE pour conduire les peuples dans l’Ère de synthèse, vers la formidable homologation à l'idéologie de la Gnose.

les expériences et les plans criminels élaborés par l’Institut Tavistock

 

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J’ai vu un homme d’affaires équilibré et sûr de lui qui est entré dans le laboratoire souriant confiant. En moins de 20 minutes il était en proie à des tics et se trouvait au seuil d’une crise nerveuse. Il tirait sans arrêt sur le lobe de son oreille et se frottait les mains. À un moment donné il s’est pris la tête dans les mains et a murmuré : Dieu, arrêtez-vous ! Et pourtant il continuait d’exécuter chaque instruction de l’expérimentateur, demeurant soumis jusqu’au bout.  S. Milgram, 1963 (conclusions suite aux expériences de manipulation)

Le sujet de la conspiration planétaire fascine et intrigue un large public. Les révélations faites surtout ces dernières années ont mis en lumière le fait qu’il existe une gigantesque et monstrueuse conspiration qui envisage de contrôler toute la planète. La manipulation est l’une des armes redoutables utilisées par les conspirateurs pour cacher les buts réels et pour contrôler l’opinion publique.

Bon nombre de gens doutent qu’il puisse exister une conspiration à une si grande échelle. Certains demandent des preuves, et en les trouvant ils nient l’existence de celles-ci ou les considèrent comme non valables. D’autres restent indifférents, disant qu’ils ont des problèmes plus importants à résoudre pour survivre dans une société concurrentielle. Nous voyons comment paradoxalement tous ces gens réagissent en fonction de la manière dont ils ont été programmés, en continuant à nier l’existence de la programmation. Bernard Levin dévoile dans son livre "Time Perspective and Morale" comment ce genre de mécanismes ont été et sont encore utilisés.

Le "profilage" des cerveaux l’arme de la guerre psychologique

Dans le jargon des conspirateurs, les techniques d’influence et de manipulation sont dénommées profilage. Une fois que nous aurons compris comment cela est facile à réaliser, au niveau d’individu ou d’un groupe, à tous les niveaux hiérarchiques, par l’induction de réflexes conditionnés, la conspiration ne sera plus un mystère pour personne.

Le profilage est une technique élaborée en 1922 en Grande Bretagne, sur commande de l’Institut Royal pour des Affaires Internationales (RIIA). À l’époque, le major John Rawlings Reese a fondé dans le cadre de l’Université de Sussex la plus grande institution de “lavage de cerveau” du monde – l’Institut Tavistock pour les Relations Humaines. Cet institut est ultérieurement devenu le noyau du Bureau de Guerre Psychologique de la Grande Bretagne. Les résultats des recherches de Reese ont prouvé leur applicabilité par le fait qu’ils ont été vérifié sur 80.000 cobayes humains (des soldats prisonniers de l’armée britannique) soumis à plusieurs sortes d’expériences.

En utilisant des méthodes de manipulation des masses conçues à l’Institut Tavistock par John Rawlings Reese, la population des USA a facilement été convaincue de participer à la Deuxième Guerre Mondiale. Suite à ce succès, sous la direction du docteur Kurt Lewin, a été fondé le Bureau de Services Stratégiques - OSS (Office of Strategic Services), prédécesseur de la CIA (Central Intelligence Agency) considéré comme étant une “nécessité” de l’époque.

Pendant la guerre Kurt Lewin est devenu Directeur du Bureau d’Étude des Bombardements Stratégiques, qui a planifié le fait que la Royal Air Force se concentre sur le bombardement des quartiers ouvriers en Allemagne, en laissant intactes des cibles militaires, comme les fabriques de munition. Ici il faut mentionner que les fabriques de munition des deux camps appartenaient aux banquiers internationaux, qui n’avaient aucun intérêt à voir leurs biens détruits.

L’idée qui s’est trouvé à la base des bombardements, jusqu’à saturation, des quartiers civils ouvriers était la destruction du moral des travailleurs allemands. Lewin et son équipe ont établi un chiffre cible, c’est-à-dire si les bombardements nocturnes de la Royal Air Force détruisaient 65% des maisons des ouvriers allemands, le moral de la population civile allait s’écrouler. Le document proprement dit a été rédigé par la Prudential Assurance Company. Royal Air Force sur commande du maréchal Arthur Travers Harris, surnommé “Le Bombardier”, a accompli les plans de Lewin, culminant avec la terreur du bombardement de la ville de Dresde, pendant lequel ont été massacré plus de 125.000 êtres humains, pour la plupart des vieux, des femmes et des enfants. La vérité quant aux raids de l’horreur déclenchés par "Harris-Le Bombardier" sur les civile allemands est resté un secret bien gardé et a été révélée bon nombre d’années après la fin de la Deuxième Guerre Mondiale.
Plus tard, après la fin de la guerre, L’OTAN a ordonné à l’Université de Sussex de fonder un deuxième centre de “lavage de cerveau”, institution qui a été intégrée dans le Bureau de Guerre Psychologique de la Grande Bretagne. Le but principal de ce centre a été l’orientation des recherches plutôt vers des applications civiles, que militaires. C’est ainsi que Science Policy Research Unit (SPRU) est apparu, devenant connu comme un institut des “chocs du futur”, titre attribué à la soi disant psychologie destinée à manipuler des groupes de gens par l’exposition aux événements choquants et aux changements très rapides de situation, destinés à provoquer la panique, la déroute et l’insécurité parmi la population.. SPRU a été la première des nombreuses institutions de ce genre fondée à Tavistock.

Par l’intermédiaire de ces crises artificielles suivies par leur administration, on envisage que les gens deviennent incapables de prendre des décisions justes, de décider seuls de leur destin et ainsi d’être plus facile à manipuler. Dans le cas des USA il existe déjà une agence d’administration des crises – l’Agence Fédérale de l’Administration des Urgences (Federal Emergency Management Agency - FEMA). La FEMA a joué un rôle important dans la manipulation de l’opinion publique pendant la crise créée par la démolition délibérée des Tours du World Trade Center le 11 septembre 2001.

Les crises artificielles et les "chocs du futur"

Les chocs du futur sont décrits comme des séries d’événements qui se produisent si rapidement, que le cerveau humain ne peut pas assimiler tous les changements de situations. La science a montré qu’il existe des limites clairement marquées quant au nombre et à la nature des changements auxquels le mental humain peut résister. Ainsi, après un fil continu de chocs, le groupe visé ne veut plus choisir entre les variantes existantes qui lui semblent incertaines. Suite à la confrontation avec trop de possibilités ambiguës, la population est ainsi déroutée et démoralisée, emportée par une violence irréfléchie, déterminant l’apparition de criminels en série, des violeurs et de kidnappeurs, générant ainsi des sentiments de peur, d’angoisse et de terreur. Ultérieurement, cela conduit à l’installation d’un état d’apathie générale, d’inertie et d’indifférence envers tout autre changement. Un tel groupe devient facile à contrôler et il suivra docilement les ordres, sans s’y opposer.
Le SPRU et les manuels de l’Institut de Tavistock disent que les chocs du futur sont définis comme des "troubles physiques et psychiques causés par la charge excessive imposée au mécanisme de prise de décision du mental humain”. De même qu’un circuit électrique ultra sollicité fera certainement fondre un fusible, les « fusibles » des gens commencent à fondre – syndrome que la science médicale commence seulement maintenant à comprendre, bien que John Rawlings Reese ait effectué des expériences dans ce domaine dans les années ’20 du siècle passé.

Un des sujets étudiés à SPRU est l’introduction et la prolifération de la consommation de drogue. Du fait que le groupe cible visé est la jeunesse, celle-ci étant plus difficile à contrôler, la façon la plus efficace a été la création du "miracle Beatles", en fait une invention de l’Institut de Tavistock et partie intégrante du processus de fragmentation-adaptation déficitaire élaboré par le professeur Willis Harmon. Ce processus consiste dans l’introduction, à l’aide d’un corps conspiratif qui ne peut pas être identifié, d’un élément très destructif et débilitant à l’intérieur d’un grand groupe démographique, que l’on vise à changer malgré sa volonté.

Ce qui avait commencé avec The Beatles et les paquets de drogues (LSD-Lysergic acid diethylamide) distribués sous forme d’échantillons pendant les concerts de ce groupe a généré un torrent de drogues qui continue encore à l’heure actuelle à inonder le monde. Tout ceci n’aurait pu être réalisé sans la coopération des moyens d’information, qui les ont présenté sous le masque de nouvelles idées et nouvelles cultures qui se développaient dans le monde de l’art et de la musique. Une publicité absolument gratuite pour le LSD, finement déguisé dans l’art et la culture, pendant que les mots élaborés dans le contexte de la musique rock fabriquée dans les mêmes laboratoires de la manipulation n’étaient que des stimuli avec un sens subliminal pour favoriser l’utilisation des drogues et pour être cool.

Le viol des masses par la publicité et la propagande politique

Une ancienne blague dit que si quelqu’un allait demandé au chien de Pavlov ce qu’il croît de son maître, celui-ci aurait répondu: "Voilà quel réflexe conditionné je lui ai créé. Lorsque l’ampoule s’allume, il vient m’apporter à manger." Pavlov a démontré l’existence d’un type de réflexes conditionnés, nommés tardés, qui pouvaient déterminer l’apparition d’un certain comportement, en absence du stimulus original qui avait créé le conditionnement, mais qui avait été associé aux autres stimuli. En extrapolant à l’être humain les expériences réalisées par Pavlov sur les chiens, l’étude des états névrotiques nous démontre que ces états négatifs sont souvent conditionnés par des déséquilibres qui s’installent au niveau du système nerveux suite à une autre sollicitation à laquelle le sujet est soumis. la psychologie de la publicité est basée sur ce principe.

Par la publicité on envisage d’influencer l’homme commun – dénommé consommateur, par le déclenchement de certains réflexes conditionnés dans le sens donné par celui qui réalise la publicité, à travers la suggestion. La publicité essaye de créer chez celui auquel elle est adressée une nécessité par l’utilisation de certains schémas de réflexes conditionnés habilement cachés. Sous le masque d’un caractère informatif, la publicité envisage plus de frapper que de convaincre, de suggestionner plus que d’expliquer. Ensuite apparaît l’obsession et le besoin impérieux d’avoir l’objet présenté dans la publicité, même si celui qui est manipulé n’en est pas conscient et, surtout, s’il s’avère qu’il n’a pas besoin de l’objet en question.

La publicité, à l’image de la propagande politique qui s’adresse aux masses, spécule intensément sur le fait que le niveau intellectuel de la masse des gens est assez bas. Par conséquent, on utilise deux principes importants : par la répétition continue des mêmes slogans, par des images, par des sonorités rythmiques obsédantes on crée un état de fatigue mentale, qui est propice à la soumission devant la volonté de celui qui a initié ce projet ; le deuxième principe consiste dans le fait que la plupart des gens sont enclins à croire les choses qu’ils voudraient voir réalisées, même si rien n’a aucune motivation réelle, car de facture émotionnelle. Nous nous trouvons ainsi devant une vraie imposture psychique, un vrai viol psychique exercé sur l’individu et sur la masse des gens.

Lorsqu’un journaliste écrit un article politique, lorsqu’un homme d’État signe un décret, lorsqu’un citoyen dépose un bulletin de vote dans l’urne, lorsque les adversaires politiques ont une dispute et s’attaquent réciproquement, tous ces actes, sans exception, ne sont pas autre chose que des réflexes conditionnés à des degrés divers . Voilà ce que dit Serghei Ceahotin: Ce qui caractérise vraiment l’époque présente est plutôt une décroissance de l’influence réelle de la collectivité sur la vie publique ; ils deviennent plutôt des instruments dociles dans les mains des dictateurs et même des usurpateurs qui, en se servant d’un côté d’une connaissance plus ou moins intuitive des lois de la psychologie et d’autre part en disposant de formidables moyens techniques dont l’État moderne dispose à présent, et n’étant empêchés par aucun scrupule moral, exercent sur les individus qui forment un peuple une action efficace que nous avons présenté comme un véritable viol psychique. Autrement dit, ces individus sont sans arrêt violés au niveau psychique. Il est normal que, de temps en temps, ils soient obligés de recourir à des manifestations tapageuses, où ils exploitent et déchaînent les formes inhérentes des masses. Cela – et Ceahotin en parle dans son ouvrage Le viol des masses par la propagande politique – est expliqué par le fait que si un réflexe conditionné n’est pas renouvelé de temps en temps, il perd de son efficacité; alors il est nécessaire que des événements extérieurs (c’est pourquoi les "chocs du futur" ont été créés) déterminent la réapparition du sentiment de peur, d’exaltation ou même désorientation pour que la chaîne avec laquelle ces esclaves psychiques étaient attachés auparavant, se resserre encore plus.

Une autre prémisse sur laquelle sont basées certaines techniques de manipulation est que seulement une partie des gens ont la capacité de comprendre et d’observer ce qui se passe, contrairement à la majorité, qui forment seulement des opinions superficielles et passagères ; il en est de même avec tous les problèmes de la société. Il en résulte ainsi que l’irrationalité est prédominante au niveau de la conscience publique.

Les manipulateurs ont profité de cette constatation pour saper et distraire l’attention des gens de la perception de l’état réel de fait. Plus les problèmes de la société industrielle moderne deviennent complexes, plus il est facile d’introduire des diversions de plus en plus grandes, en arrivant ainsi à la situation absurde que les opinions absolument infondées des masses, créées par des manipulateurs habiles, acquièrent l'apparences des réalités scientifiques.

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Le contrôle social par les mass media

Pavlov attribuait une importance extraordinaire au mot en tant que stimulus dans la formation des réflexes conditionnés. L’influence propagandiste est réalisée avec un succès évident en utilisant les mass média. À travers les actualités de la télévision, des journaux, des revues féminines (très efficaces dans la présentation dramatique des choses), etc., les idées désirées entrent dans les foyers et le mental des gens. Et lorsqu’il faut promouvoir quelque chose dont le public n’a pas complètement été convaincu d’accepter, quelqu’un écrit un article, abordant le sujet de tous les points de vue et en lui accordant une importance particulière. Le processus est répété jusqu’à ce que la résistance du public soit vaincue sur tous les plans. Un journaliste doit être avant tout un musicien des âmes, il doit parfaitement connaître l’instrument avec lequel il joue – le clavier des pulsions et des instincts humains, leurs tréfonds et leurs sublimations. Il doit être capable de provoquer de façon délibérée dans les masses des réflexes conditionnés, d’inhiber les uns et de désinhiber les autres, de créer de nouvelles inhibitions, de déclencher de nouvelles actions. Pour atteindre ces buts, il se sert de la presse. Par une information plus ou moins tendancieuse on crée un état émotionnel, on touche des cordes sensibles qui évoquent les réflexes conditionnés que le journaliste envisage d’orienter dans un certain sens pour atteindre son but.

Une autre méthode de manipulation consiste à organiser des talk-show de télévision en direct, où un groupe d’experts promeuvent le produit ou/et l’idée, sous le prétexte des débats. Ensuite on recrute les participants pour et contre, discutant en point et en contrepoint et en exprimant le soutien ou l’opposition. Lorsque tout prend fin sans arriver à une conclusion quelconque (parce que ce n’était pas du tout le but), le sujet ainsi promu a été imprimé dans le mental des téléspectateurs. Cette pratique, inédite jusqu’aux années soixante, est devenu à présent une méthode standard.

Les sondages ont en fait pour rôle de former des opinions

À part les mass média, une autre zone importante d’intersection entre les expériences de la programmation mentale et ce qui devient de la politique publique est celle des sondages d’opinion. Les campagnes de sondage de l’opinion publique ont, en fait, pour objectif de modeler et de manipuler l’opinion publique de la façon qui convient aux conspirateurs. Une grande partie de ce que nous lisons dans les journaux ou que nous voyons à la télé a d’abord été validé par des campagnes de sondage de l’opinion publique. Cette procédure est dénommée façonner l’opinion publique. C’est la perle des olympiens car, à l’aide de milliers de spécialistes dans les nouvelles sciences sociales qui se trouvent à leur disposition et en contrôlant toutes les médias et spécialement les agences d’information, ils peuvent créer de NOUVELLES opinions publiques presque sur tout sujet, qui seront ensuite disséminées dans le monde entier en moins de deux semaines.

L’idée simple se trouvant à la base de cette méthode de conditionnement social est celle d’apprendre combien le public est réceptif envers les directives politiques envoyées par le Comité des 300 (le Comité des 300 est la SEULE hiérarchie de pouvoir du monde qui transcende tous les gouvernements et les individus, quelque puissants ou sûrs d’eux qu’ils soient. Elle couvre les finances, le domaine de la défense et les partis politiques de toutes les couleurs et les orientations. Il n’existe aucune entité que le Comité des 300 ne puisse dépister et contrôler, y compris les religions organisées du monde. Les gens sont nommés des groupes cible de la population, et les sondages d’opinion mesurent en fait la résistance de ceux-ci envers ce qui est présenté à la télé – nouvelles qui reflètent les directives transmises depuis le plus haut niveau du gouvernement invisible. Selon les résultats obtenus par ces baromètres d’opinion, ils prennent certaines mesures, en corrigeant par des méthodes de programmation et de manipulation adéquates les déviations des groupes cible dans la direction souhaitée. Les gens vivent avec l’impression qu’ils sont bien informés, mais ils ne se rendent pas compte que l’opinion qu’ils ont l’impression d’être la leur a en fait été créée dans les institutions de recherche par des groupes de pensée (donc qui pensent à leur place). Ils ne sont donc pas libres de former leur opinion, et ceux qui osent le faire sont immédiatement sanctionnés du point de vue social. Et à ce processus contribuent même les informations offertes par les mass média et les sondages d’opinion. Un tel processus de conditionnement est décrit en termes techniques comme le message qui arrive aux organes des sens de la personne qui doit être influencée.

Tout fait partie du processus d’influence de l’opinion créé à Tavistock. Un des experts dans le sondage de l’opinion publique est Daniel Yankelovich, membre du Comité des 300 et patron de la compagnie Yankelovich, Skelley and White. Yankelovich n’hésite pas à affirmer devant ses étudiants que les sondages sont des instruments de modification de l’opinion publique. Mais l’idée ne lui appartient pas, elle a été inspirée par le livre Trend Report de Daniel Naisbitt, écrit sur commande du Club de Rome. Dans ce livre, Naisbett décrit toutes les techniques construites par les façonneurs de l’opinion publique sous les ordres du Comité des 300.

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Les scientifiques engagés dans le processus du conditionnement sont dénommés avec pompe ingénieurs sociaux ou savants des nouvelles sciences sociales et jouent un rôle majeur et souvent insoupçonné dans tout ce que nous voyons, entendons et lisons. Les ingénieurs sociaux de l’ancienne école ont été Kurt K. Lewin, Hadley Cantril, Margaret Meade, Derwin Cartwright et Lewis Lipssitt, qui avec John Rawlings Reese, ont formé la colonne vertébrale des spécialistes de la nouvelle science de l’Institut de Tavistock. Pendant la deuxième Guerre Mondiale, plus d’une centaine de chercheurs a travaillé sous la direction de Kurt Lewin, en copiant consciencieusement les méthodes adoptées par Reinhard Heydrich patron de la S.S. Comme nous le savons, l’OSS (Le Bureau des Services Stratégiques - Office of Strategic Services), a été le prédécesseur de la CIA et était basé sur la méthodologie nazie de Heydrich.

Les gouvernements de la Grande Bretagne et des États-Unis ont déjà depuis longtemps préparé la machine à l’aide de laquelle ils veulent nous faire suivre la ligne du Nouvel Ordre Mondial, possible à implémenter seulement par la matérialisation d’une résistance faible et symbolique de la part de l’humanité. Cette machine fonctionne depuis 1946 et chaque année lui apporte de nouveaux perfectionnements.

Par exemple, avant que les USA entrent dans la deuxième guerre mondiale, les américains ont été conditionné pour regarder l’Allemagne ou le Japon comme des ennemis dangereux, qui devaient être arrêtés à tout prix. Sur la base des informations avec lesquelles ils ont été dupés, les américains étaient convaincus que les ennemis devaient être en effet l’Allemagne et le Japon, c’était la façon la plus sûre de les déterminer à ignorer le véritable ennemi. Plus récemment, nous avons vu comment fonctionne le processus de conditionnement de Tavistock, lorsque les américains ont à nouveau été conditionnés pour percevoir l’Irak comme une menace et Saddam Hussein comme l’ennemi personnel des États-Unis. Cela est arrivé lorsque George Bush (subordonné au Comité des 300) a reçu ordre d’attaquer l’Irak. En deux semaines, à l’aide des mass médias, non seulement les États-Unis, mais presque toute l’opinion publique mondiale se sont mis contre l’Irak. Il est de même à présent avec l’excitation du monde entier contre l’Iran. L’événement catalyseur a toujours été un de type "choc du futur". La démolition délibérée des deux tours du World Trade Center par les américains pour créer le prétexte de l’invasion de l’Irak est similaire à la mise en scène de Pearl Harbor, qui leur a offert le prétexte d’attaquer le Japon. Nous voyons ici comment l’histoire se répète, et les gens aveuglés par manipulation et programmation semblent n’en rien apprendre.

La menace la plus grave de la manipulation est à l’encontre de la liberté individuelle et collective de l’humanité. Avec l’apparition du Gouvernement Mondial Unique et du Nouvel Ordre Mondial, seront mises en application des expériences avec un long rayon d’action, dans le but d’éradiquer dans le mental de l’homme, corps et âme le désir de liberté. L’attaque contre l’âme consiste en une série d’expériences terribles, se trouvant en phase d’élaboration, appliquées jusqu’à présent à une échelle réduite, dans des endroits comme l’Hôpital Naval de Bethseda et la prison de Vacaville en Californie. La liberté est un droit fondamental reçu de la part de Dieu, que ceux qui se prennent pour les souverains de cette planète ont depuis toujours cherché à saper. Pourtant le besoin de liberté de chaque être humain est si grand, que jusqu’à présent aucun système n’a réussi à l’arracher de son cœur. Les expériences qui ont eu lieu en Union Soviétique, en Grande Bretagne et aux USA, pour user et endormir le désir de liberté de l’être humain, se sont montrées jusqu’à présent incapables de succès.

de Vlad Petreanu



1. En 1940, Rees définissait les objectifs de la psychiatrie en ces termes : "Nous devons viser à nous infiltrer dans chaque activité éducative de la vie nationale[...]. Nous avons lancé une offensive très fructueuse dans bon nombre de professions. Les deux plus faciles sont naturellement l'enseignement et l'Eglise ; les deux plus difficiles sont la justice et la médecine" (John Rawlings Rees, M.D. "Strategic Planning for Mental Health", "Mental Health 1", n°4, oct. 1940, pp. 103-104).
2. Devant le siège du Tavistock Institute, au n°30 de Tabernacle Street à Londres, trône une statue de Sigmund Freud.
3. Eric Trist - Hugh Murray, "The Social Engagement of Social Science : A Tavistock Anthology", Philadelphia, The University of Pennsylvania Press, 1990, p.5.
4. L'in des objectifs est la destruction de l'agriculture traditionnelle fondée sur l'autosuffisance. L'agriculteur indépendant, en effet, est une menace pour le Nouvel Ordre Mondial globalisé. Tous doivent dépendre de tous et personne ne peut déroger à cette règle, surtout pas les autoproducteurs. De là la dépendance toujours plus lourde de l'agriculteur à l'égard de l'industrie, du marché qui fixe capricieusement les prix des récoltes, des prêts des banques pour l'achat de machines coûteuses et d'équipements nécessaires.
5. Paradigm shifts, ou l'étude de comment les mentalités collectives et les valeurs sociales communes peuvent changer - objet des recherches de "l'Ecole de Francfort."
6. M. Blondet, "En Bosnie comme au Liban : Guerres programmées par les psychiatres ?", dans "Studi cattolici", septembre 1993, n° 391.
7. L'acide lysergique fut développé par la Sandoz AG, maison pharmaceutique suisse, propriété de la S.G. Warburg de Londres.
8. R.D. Laing, "the Politics of Experience & The Bird of Paradise", London, Penguin Books, 1990. Cf. E.I.R., "Dope, Inc", Washington D.C., 1992, p.285.
9. Ibid, A propos des O.N.G., le B'nai B'rith Jacques Attali dans son "Dictionnaire du XXIeme siècle", Roma, éd. Armando, 1999, écrit que celles-ci se substitueront à la dissolution des Etats, des partis, des syndicats, "embryon des futures organisations internationale" (p.196).

18 juillet 2016

Kinder, Nutella,et Ferrero Une association allemande prévient des risques cancérigènes.

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Le plus célèbre des chocolats pour enfants crée actuellement la polémique. Les Kinders seraient en effet mauvais pour la santé. Cependant, cette gourmandise n’est pas la seule impliquée dans cette accusation. Ferrero Rocher, Nutella, ou encore Mon Chéri, l’intégralité des productions du groupe Ferrero se voit pointée du doigt.

Récemment, une association allemande de consommateurs a découvert l’existence d’hydrocarbures d’huiles minérales (MOH) dans les arômes du chocolat Ferrero. L’organisation de Foodwatch explique que ce composant serait cancérigène et que les quantités seraient beaucoup trop élevées.

L’association se réfère ici à l’avis de l’autorité alimentaire européenne qui précise :

Les MOH dits « aromatiques » peuvent agir comme des cancérigènes génotoxiques (autrement dit que ceux-ci sont susceptibles d’endommager l’ADN et les gènes des cellules, mais aussi de provoquer certains cancers), tandis que certains MOH « saturés » peuvent s’accumuler dans les tissus humains et induire des effets indésirables pour le foie.

Par la suite, l’association de consommateurs Foodwatch a conseillé de ne plus acheter les produits du groupe Ferrero. L’entreprise de chocolaterie quant à elle ne s’est pas encore prononcée.Foodwatch, ONG fondée en 2002 en Allemagne par un ancien directeur international de Greenpeace, Thilo Bode, estime que les barres de chocolat Kinder, tout comme les «Fioretto Nougats Minis» de la marque Lindt, commercialisés en Allemagne, «sont contaminés par ce qu'on appelle les huiles minérales aromatiques (MOAH)». Cette contamination proviendrait, selon l'organisation, des emballages des barres chocolatées. «Ces dernières peuvent déclencher des cancers et engendrer des perturbations génétiques. Mais malgré cela, les fabricants se refusent à les retirer de la vente», écrit Foodwatch sur son site Internet.

http://www.lessentiel.lu/fr/news/europe/story/Substances-cancerigenes-dans-les-barres-Kinder--10620048

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