H1N1: Le génome de la grippe espagnole ressuscité à partir d’un cadavre congelé
Pourquoi
le génome du virus de la pandémie de 1918 a-t-il été ressuscité par le
gouvernement US à partir d’un cadavre congelé ? Le Pentagone a-t’il
lancé une arme nommée grippe aviaire ?
Il existe des preuves alarmantes qui ont été cumulées par des sources
scientifiques sérieuses à l’effet que le gouvernement des Etats-Unis
soit sur le point d’avoir ou aurait déjà une « arme » qui porte le nom
de grippe aviaire. Si les reportages sont exacts, cela pourrait
déclencher une nouvelle pandémie sur la planète. Une pandémie qui
pourrait être plus dévastatrice que l’épidémie de grippe espagnole de
1918 et qui a tué environ 30 millions de personnes dans le monde avant
de se résorber.
Les expériences du Pentagone et de l’Institut
national de la santé des Etats-Unis réalisées avec les restes congelés
du virus de 1918 sont de la pure folie scientifique. Est-ce que les
Etats-Unis sont sur le point de déclencher une nouvelle pandémie
sélective raciale dans le cadre d’un processus obligatoire de
vaccination avec un vaccin prétendument fabriqué « contre » la grippe
aviaire?
Il y a des raisons de croire que ces divisions de l’ industrie
pharmaceutique internationale agissent de concert avec le gouvernement
des Etats-Unis pour développer une substance du virus H5N1
génétiquement modifiés susceptible d’engendrer une pandémie créée par
l’homme , et qui pourrait être plus mortelle que la pandémie de la «
grippe espagnole » de 1918 à laquelle on attribue la perte de 30
millions de vies humaines.
Rima E. Laibow, MD, chef de la Fondation des Solutions Naturelles,
un groupe de surveillance citoyenne qui surveille l’industrie
pharmaceutique déclare que: « Notre meilleure estimation réalisée par
nos renseignements est que la pandémie de grippe aviaire a déjà été
créée par le génie génétique aux Etats-Unis, en fusionnant le mortelle
génome de la pandémie de 1918, la mal nommée « grippe espagnole, » avec
l’ADN du virus inoffensif H5N1 dans une culture de croissance à base de
cellules du rein de l’homme et ce, selon l’Institut Nationale de la
Santé et le fabricant du vaccin. Certains virologues croient que cela
permettra au virus mutant créé par l’homme de reconnaître les cellules
humaines lui permettant ainsi de les envahir. »
Si cela est vrai , tel que le souligne Laibow, « Un fait à la base
de la virologie est que le public n’a pas été informé qu’il est
impossible de créer un vaccin contre un virus qui n’existe pas encore.
Les efforts de relations publiques [vont dans le sens] contraire, Si un
vaccin contre la grippe aviaire est développé dans sa forme pandémique,
cela signifie que le virus pandémique devait déjà exister, [avant
cette] période, fin de la discussion».
Le génome [du virus] de la pandémie de 1918, dite « grippe
espagnole», a récemment été intentionnellement ressuscité par le
gouvernement des Etats-Unis à partir d’un cadavre congelé d’une
personne morte de la grippe en 1918 en Alaska . En raison de cette
résurrection, la grippe aviaire et son « vaccin » représentent
maintenant une menace importante à la santé publique.
La grippe espagnole, qui n’avait rien d’espagnol , a été créée aux
Etats-Unis dans l’un des premiers programmes d’armes biologiques et
elle fut injectée à des jeunes hommes en bonne santé (c’est-à-dire, des
« soldats ») au cours de la première vaccination obligatoire dans
l’armée pendant la Première Guerre mondiale . La « grippe espagnole, »
née dans des bases militaires américaines du Kansas, est l’une des
pandémies les plus mortelles de l’histoire moderne . Elle a également
été l’une des armes biologiques les plus réussies et à n’avoir jamais
été créées jusqu’à ce jour.
http://futurquantique.org/sante-et-bien-etre/487-le-genome-de-la-grippe-espagnole-ressuscite-a-partir-dun-cadavre-congele
Plus ;
En mai de cette année, Canadian Press de Toronto a rapporté que : «
Une expérience visant à combiner le virus de la grippe aviaire H5N1 à
une souche de grippe humaine dans un laboratoire a produit un nombre
étonnant de virus hybrides qui sont biologiquement en bonne santé,
selon ce que révèle une nouvelle étude. Et même si aucun des virus
sortis de cette progéniture n’était aussi virulent que le virus H5N1,
environ un sur cinq étaient mortels à faible dose pour les souris,
démontrant ainsi qu’ils ont conservé au moins une partie de la
puissance de leurs dangereux parents. » (7)
L’article de Toronto se poursuit comme suit. « Ce travail permet de
croire que dans des conditions parfaites – et personne n’est clair
quant à savoir qu’elles sont toutes ces conditions – les deux types de
virus de la grippe pourraient s’échanger des gènes de manière à
pourmettre au virus H5N1 d’acquérir la capacité de déclencher une
pandémie. Ce processus est appelé réassortiment. Cette étude permet
simplement de démontrer exactement ceci: Il y a un risque que ce virus
puisse se réassortir avec succès avec un virus humain, » a déclaré
Richard Webby, directeur du Centre de recherche sur la grippe à
l’hôpital St-Jude de Memphis au Tennessee qui collabore avec
l’Organisation mondiale de la santé. » (8)
La recherche sur les armes biologiques du Pentagone
Le professeur de biologie moléculaire de Harvard,
Mathew Meselson, un scientifique très respecté dans le domaine de la
guerre chimique et biologique, confirme que le gouvernement des
États-Unis a longuement étudié et mis au point par le passé des armes
biologiques. Meselson décrit une installation étasunienne au nord de la
ville de Terre Haute en Indiana, construit en 1944 et qui produisait 4
bombes à l’anthrax de 500,000 livres par mois lorsqu’elle fut au plus
grand de ses activités.
Meselson faisait parti d’une équipe qui a prouvé la fuite
accidentelle d’anthrax dans une installation soviétique en 1979,
réfutant ainsi les accusations de guerre biologique au Laos et au
Cambodge à la fin des années 1970, et il a été une force motrice
derrière la vulgarisation de la Convention sur les armes chimiques de
1994.
Depuis son arrivée au pouvoir, l’administration Bush-Cheney a
beaucoup fait pour affaiblir cette Convention sur les armes chimiques
ainsi que celles sur les armes biologiques. L’une des premières lois de
George W. Bush à titre de président en début d’année 2001 consistait à
s’opposer à un projet de Protocole international sur les armes
biologiques et toxiques, sans explication, ce qui a entraîné la fin des
pourparlers.
Dans une étude réalisée en 2004, l’Association médicale britannique
a lancé un avertissement à l’effet que le monde n’est peut-être qu’à
seulement quelques années d’ « armes biologiques terrifiantes capables
de tuer seulement les personnes de certains groupes ethniques, » en
citant les progrès réalisés dans la technologie des armes génétiques.
(9)
Le Département de la sécurité intérieur des États-Unis (le Homeland
Security) a fait une annonce des plus inquiétante en plaçant une
commande de production et de stockage d’un vaccin contre une grippe
pandémique: « Le gouvernement américain prend des mesures pour réduire
la nécessité de prendre des décisions dans la distribution des vaccins
en soutenant les efforts visant à accroître les capacité de production
de vaccins contre la grippe. D’importants fonds de financement sont
octroyés pour développer de nouvelles technologies de vaccin qui
puissent permettre la production d’un nombre suffisant de vaccins
contre une grippe pandémique pour toute personne des États-Unis qui
souhaite se faire vacciner dans les six premiers mois suivants la
déclaration d’une pandémie. » (10) Un rôle curieux [conféré à]
l’entreprise Sanofi Pasteur.
Depuis 2004, le gouvernement des États-Unis finance le développement
d’un vaccin contre le virus H5N1 de la manière la plus rapide qui soit.
L’entreprise Sanofi Pasteur située dans la ville de Swiftwater en
Pennsylvanie, une filiale de la géante firme pharmaceutique française,
la troisième plus grande au monde, a fabriqué un vaccin inactif
provenant d’un virus H5N1 isolé en 2004 en Asie du Sud-est. Sanofi
Pasteur, une division de l’entreprise française Sanofi-Aventis, a
obtenu le 11 mai 2004 un contrat de l’Institut national des maladies
allergiques et infectieuses du gouvernement des États-Unis, qui fait
partie de l’Institut nationale de la santé, pour fabriquer le vaccin
anti-H5N1. (11)
En avril 2007, la Food and Drug Administration (FDA) a approuvé le
vaccin développé par Sanofi Pasteur pour le virus H5N1 même si un an
auparavant, la FDA avait déclaré que Sanofi Pasteur produisait des
vaccins Fluzone contaminés. (12) Le vaccin anti-H5N1 approuvé par la
FDA n’est apparemment pas vraiment efficace dans le cas de l’éclosion
d’une grippe aviaire transmissible d’homme à homme. Lorsqu’elle fit
l’annonce de son approbation, la FDA a déclaré, « deux injections
faites en 28 jours peut fournir une protection « limitée » si une
pandémie se produit. Environ 45% des personnes qui ont reçu le vaccin
lors d’une étude ont développé une réponse immunitaire au virus. » (13)
Jusqu’à présent, le virus H5N1 n’a pas muté en une forme qui puisse
facilement se transmettre d’une personne à l’autre. Ne serait-ce pas
plutôt dans cette voie que les chercheurs de Sanofi Pasteur et
différents autres laboratoires sous contrat avec le gouvernement des
États-Unis se sont engagés? Si tel était le cas, ce serait classé
formellement TOP SECRET. Le respecté magazine britannique, New
Scientist, a commenté: « Si le virus H5N1 devait muter, il est
difficile de savoir si les vaccins développés aujourd’hui seront
efficaces contre une souche pandémique. Les fabricants pourraient
adapter un nouveau vaccin à cette souche, mais les méthodes de
production actuelles nécessiteraient des mois. » (14)
Le magazine a signalé que la recherche sur le vaccin de l’entreprise
Sanofi a été réalisée par l’Institut nationale de la santé dans le
cadre des efforts du gouvernement des États-Unis visant à se préparer à
une pandémie de grippe. Les principales questions consistent à savoir
s’ils se préparent à « une pandémie de grippe »ou s’ils préparent une
pandémie de grippe. Pourquoi le gouvernement des États-Unis
dépense-t-il des centaines de millions de dollars des contribuables
pour stocker ce vaccin anti-H5N1 qui probablement ne fonctionnera pas
lors d’une telle pandémie?
Le 2 juillet 2008, le quotidien London Daily Telegraph a rapporté
que « Trois médecins polonais et six infirmières font face à des
poursuites criminelles parce qu’un certain nombre de sans-abri sont
décédés à la suite d’essais d’un vaccin contre le virus H5N1 de la
grippe aviaire. » (15)
Le reportage ajoute que le personnel médical de la ville
septentrionale de Grudziadz, ont fait l’objet d’une enquête sur les
essais réalisés l’an dernier sur 350 personnes sans-abri ou sur
personnes pauvres qui a fait dire aux procureurs qui participent à
l’enquête que les essais ont été réalisés avec un vaccin de ce virus
hautement contagieux qui n’avait [auparavant] jamais été testé. Les
autorités affirment que les prétendues victimes ont reçu 3 euros pour
tester ce qu’ils croyaient être un vaccin contre la grippe classique,
mais selon les enquêteurs, il s’agissait en fait d’un médicament contre
la grippe aviaire. Le directeur d’un centre de sans-abri de Grudziadz,
Mieczyslaw Waclawski, a déclaré à un journal polonais que l’an dernier,
21 personnes de son centre sont mortes, un chiffre bien au-dessus de la
moyenne d’environ huit personnes.
Le rapport polonais ne précise pas s’il s’agissait du vaccin en
cours de développement dans le cadre du contrat donné à l’entreprise
Sanofi-Pasteur par le Homeland Security du gouvernement des États-Unis.
Toutefois, il est connu que Sanofi-Pasteur produit de grandes quantités
d’un tel vaccin dans une usine qu’ils possèdent en Chine.
Le Docteur Laibow déclare que le « vaccin contre une pandémie de
grippe aviaire » devait être livré aux États-Unis ce mois-ci par le
fabricant français de vaccins, Sanofi Pasteur, à partir d’une
installation qu’ils possèdent en Chine là où le vaccin est produit. Le
gouvernement des États-Unis a publié en juillet son plan de
distribution du « vaccin. » Laibow craint un scénario plus sinistre de
propagation volontaire d’agents pathogènes de grippe aviaire parmi la
population qui pourraient obliger le déploiement de mesures telles que
la loi martiale et la vaccination forcée ayant pour résultat des morts
par millions et qui pourraient être imminentes. Le virus de la grippe
espagnole réactivée par le Pentagone.
En 2003, des scientifiques de l’armée des États-Unis ont créé le
virus de la « grippe espagnole » en laboratoire. Selon une déclaration
publiée à l’époque par un organisme de surveillance, qui porte le nom
de Projet Sunshine, et qui surveille les recherches réalisées sur les
armes biologiques et chimiques au sein du gouvernement des États-Unis a
publié une déclaration à l’effet que « Le virus de la grippe espagnole
qui a tué entre 20 à 40 millions de personnes en 1918 est actuellement
en reconstruction. Plusieurs gènes du virus extrêmement meurtrier de la
grippe de 1918 ont été isolés et introduits dans des souches de grippes
contemporaines. Ils se sont avérés mortels pour les souris, alors que
le virus développé à partir de gènes d’un type de virus de la grippe
actuelle n’avait aucun effet. Ces expériences peuvent facilement être
détournées à des fins militaires, alors qu’elles fournissent peu
d’avantages d’un point de vue médical ou de santé publique. »
Ils poursuivent en disant que « La grippe espagnole de 1918 était
hautement infectieuse et – en comparaison aux virus de la grippe
contemporains – elle a tué un pourcentage très élevé des personnes
infectées, dont de nombreux jeunes. La grippe espagnole à elle seule a
réduit de 10 ans l’espérance de vie aux États-Unis en 1918. Par
conséquent, les virus grippaux sont perçus aujourd’hui comme une grave
menace de guerre biologique. Il y a seulement deux semaines, 15
millions de dollars en subventions de recherche ont été octroyés aux
États-Unis afin de développer des mesures de protection principalement
contre une attaque bioterroriste avec des virus de la grippe. »
La déclaration ajoutait que: « Malgré la nature dangereuse du virus
de 1918, les efforts visant à le reconstruire ont commencé au milieu
des années 1990, lorsque le Dr Jeffrey Taubenberger de l’Institut de
pathologie de l’armée des États-Unis à Washington a réussi à récupérer
et à séquencer les fragments d’ARN viral à partir de tissus préservés
de victimes de 1918. Dans le prochain numéro de la revue scientifique
Emerging Infectious Diseases de nouvelles informations génétiques à
l’égard du virus de la grippe de 1918 seront publiées. »
Plus inquiétant encore, ils rapportent que : « Après avoir
(partiellement) déchiffré la séquence génétique du virus, les
scientifiques sont allés plus loin et ils ont commencé à ramener la
grippe espagnole en vie. Sans que le public n’en soit informé, ils ont
réussi à créer un virus vivant contenant deux gènes [du virus] de 1918
et qui se sont avérés être très meurtriers lors d’expérimentations
animales. Ces expériences sont seulement une étape génétique visant à
sortir entièrement de sa bouteille le démon de 1918. » (16)
Ils concluent: « La résurrection de la grippe espagnole n’est ni
nécessaire ni justifié au point de vue de la santé publique. Il
semblerait que les récentes expériences ont permis d’évaluer
l’efficacité des antiviraux actuels sur le virus reconstitué de 1918.
Mais il n’aurait guère été nécessaire d’avoir des antiviraux contre la
souche de 1918 si en premier lieu, la souche [de la grippe] de 1918
n’avait pas été recréée. « Ça n’a tout simplement pas de sens
scientifique de créer une nouvelle menace uniquement dans le but de
développer des antidotes contre cette menace. » Tel que l’explique Jan
van Aken, biologiste au Sunshine Project : « La caractérisation
génétique des souches de la grippe a d’importantes applications
biomédicales. Mais il n’est pas justifié de recréer cette souche
éradiquée particulièrement dangereuse qui pourrait causer des ravages
si elle était relâchée [dans l'environnement], délibérément ou
accidentellement. » (17)
Permettez-nous d’espérer sincèrement que rien de tel ne se produira,
mais comme le fait remarquer dans un autre contexte le professeur
Stephen Block, biophysicien à l’Université Stanford possédant plusieurs
années d’expérience dans des recherches biologiques confidentielles
réalisées pour le Pentagone et le gouvernement des États-Unis : « Nous
sommes tentés de dire que toute personne saine d’esprit n’utiliserait
jamais ces choses. » Et le professeur Block ajoute: « Mais ce n’est pas
tout le monde qui est sain d’esprit… » (18) Sanofi Pasteur produit le
vaccin anti-H5N1.
Le 28 avril de cette année, dans un communiqué de presse officiel
publié par les sièges sociaux de Sanofi Pasteur à Swiftwater en
Pennsylvanie et à Lyon en France, la société a déclaré: «Sanofi
Pasteur, la division vaccins du Groupe Sanofi-Aventis, annonce
aujourd’hui que le Département américain de la Santé (U.S. Department
of Health and Human Services) a réceptionné un nouveau lot de vaccin
H5N1 sous forme de concentré en vrac, correspondant à une quantité
équivalente à 38,5 millions de doses de vaccin élaborées à partir d’une
nouvelle souche de grippe aviaire. Cette livraison, qui s’inscrit dans
le cadre d’un contrat pluriannuel signé avec le Département américain
de la Santé au titre de son programme de préparation à la pandémie,
s’élève à 192,5 millions de dollars et sera comptabilisée au deuxième
trimestre 2008. » (19)
Puis, le 16 juin de cette année, Sanofi Pasteur a publié un
communiqué annonçant qu’elle va « donner 60 millions de doses de vaccin
H5N1 à l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) sur trois ans pour la
constitution d’un stock de réserve international. »
Le président directeur général de Sanofi Pasteur, Wayne Pisano, a
déclaré dans le communiqué que « le virus H5N1 circule actuellement
dans certaines régions parmi les plus pauvres du monde et l’irruption
d’une grippe pandémique pourrait frapper des populations ayant un accès
limité aux vaccins. Cette donation de vaccin H5N1 a pour but de
répondre aux besoins des populations les plus vulnérables. En plus de
soutenir les efforts des gouvernements, il est essentiel que
l’industrie collabore avec les organisations internationales telles que
l’OMS, la Fondation Bill et Melinda Gates et d’autres organismes de
santé mondiale. Ainsi, il sera possible de constituer un stock de
réserve de vaccins pour les pays en voie de développement, prêt à être
déployé sur le terrain dans le cas où une pandémie de grippe viendrait
à être déclarée. » (20)
La Fondation Bill et Melinda Gates, en plus d’être un soutien
financier pour la soi-disant Arche de Noé végétale en Arctique, a
consacré des milliards de sa Fondation pour soutenir le contrôle de la
croissance démographique principalement en Afrique. Parmi les autres
projets – et pareillement à la Fondation Rockefeller – ils sont en
train de financer l’Alliance pour une Révolution Verte en Afrique, avec
pour responsable l’ancien secrétaire général de l’ONU, M. Kofi Annan.
(21)
Le principal fabricant mondial du vaccin contre la grippe, Sanofi
Pasteur, produit environ la moitié des vaccins contre la grippe
distribués dans le monde. Aux États-Unis, ils ont produit plus de 40 %
des vaccins contre la grippe distribués pour la saison grippale de
2007-2008. Le fait que le gouvernement des États-Unis ait fait revivre
le virus de la grippe espagnole de 1918 afin de réaliser des « tests »
indique que tout est possible. Il y a dans ce monde certaines personnes
qui ne sont pas « saines d’esprit. » Que Dieu nous garde qu’il n’en
soit pas ainsi dans ce cas.
source ;
7 En outre, un rapport d’un organisme canadien, Beyond Factory Farming,
a décrit les mécanismes de transmission probable par les géants centres
industrialisés de production de poulet : « En Thaïlande, en Chine et au
Vietnam, il s’est développé de très grands secteurs industriels de la
volaille qui a augmenté de façon spectaculaire au cours des dix
dernières années. Les grandes compagnies de volaille possèdent des
millions d’oiseaux, des poussins éclosent afin de pourvoir à d’autres
opérations intensives de volailles, l’exportation d’oiseaux vivants et
d’œufs à des pays comme le Nigeria (là où la première éclosion
hautement pathogène de grippe aviaire en Afrique a récemment été
signalée) et elles produisent des aliments et elles exportent de la
nourriture qui, souvent, comprend des « déchets » (c’est-à-dire, du
fumier) dans les ingrédients.
[…]
« Le fumier qui peut contenir le virus vivant se répand sur les terres
agricoles avoisinantes, ou il est exporté comme engrais, et par
ruissellement il est susceptible de s’introduire dans les eaux de
surface là où les oiseaux sauvages s’alimentent et se reposent. Le
fumier de poulet se retrouve même dans les combinaisons alimentaires
(la moulée) destinées à alimenter les poissons et dont on fait usage
dans l’industrie de l’aquaculture, là où ils sont introduits
directement dans l’environnement aquatique. Les oiseaux sauvages et la
volaille ayant été victimes de la grippe aviaire hautement pathogène en
Asie, en Turquie et au Nigeria semblent avoir été directement exposés à
la grippe aviaire hautement pathogène par un virus originaire des
fermes industrielles. En Asie, tout un troupeau de canards sauvages
sont morts de la grippe aviaire après qu’ils soient entrés en contact
avec la maladie sur un lac près d’une ferme d’élevage de poissons qui
utilise, pour alimenter les poissons d’élevage, une moulée faite de
déchets [NDT : autrement dit de fumier] de volaille provenant d’une
ferme industrielle. En Turquie, un abattage massif de troupeaux de
basse-cour et la mort de trois enfants – sont survenus après qu’une
ferme à proximité ait vendu à prix réduits des oiseaux malades ou
mourants. Le Nigeria possède un important secteur de production de
volaille insuffisamment réglementé qui s’approvisionne de poussins
d’élevage en Chine. » (Engdahl, op. Cit., P. 289)
8 Une étude démontre que la mutation de la grippe aviaire en un
virus de grippe humaine pourrait se produire, La Presse Canadienne,
Toronto, non daté. Mai 2008.
Ibid.
9 F. William Engdahl, op. Cit., Pp. 262-263.
infos sante comment se proteger des virus sur www.santeprotect.com
10 United States Department of Homeland Security, Health & Human
Services Department, Guidance on Allocating and Targeting Pandemic
Influenza Vaccine, p. 2, accessed in
http://www.pandemicflu.gov/vaccine/allocationguidance.pdf .
11 NIH News, NIAID Initiates Trial of Experimental Avian Flu Vaccine, Washington, D.C., March 23, 2005, accessed in http://www3.niaid.nih.gov/news/newsreleases/2005/avianfluvax.htm .
12 Quoted in, sanofi pasteur, The Largest Company In The World Devoted To Human Vaccines, April 18, 2007, accessed at http://noonehastodie.blogspot.com/2007/04/sanofi-pasteur-largest-company-in-world.html
13 The New Scientist, US Approves First Bird Flu Vaccine for People, 17 April, 2007, accessed at http://www.newscientist.com/channel/health/bird-flu/dn11626-us-approves-first-bird-flu-vaccine-for-people.html
14 Ibid.
15 Matthew Day, Homeless people die after bird flu vaccine trial in Poland, Daily Telegraph, July 2, 2008, accessed in http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/europe/poland/2235676/Homeless-people-die-after-bird-flu-vaccine-trial-in-Poland.html .
16 The Sunshine Project, Lethal Virus from 1918 Genetically
Reconstructed: US Army scientists create ‘Spanish Flu’ virus in
laboratory – medical benefit questionable, 9 October 2003, accessed at http://www.sunshine-project.org/publications/pr/pr091003.html .
17 Ibid.
18 Cité dans F. William Engdahl, op. Cit., P. 277.
19 Press Release of Sanofi Pasteur, U.S. Government accepts $192
million of sanofi pasteur H5N1 bulk vaccine antigen for pandemic
stockpile: Vaccine for new strain of virus broadens government
readiness program, April 28, 2008, accessed at
http://198.73.159.214/sanofi-pasteur2/ImageServlet?imageCode=22971&siteCode=SP_CORP
20 Press Release of Sanofi Pasteur, Sanofi Pasteur to donate 60
million doses of H5N1 vaccine to WHO over 3 years for its influenza
vaccine global stockpile, June 16, 2008, accessed at
http://198.73.159.214/sanofi-pasteur2/ImageServlet?imageCode=22987&siteCode=SP_CORP .
21 William Engdahl, ‘Doomsday Seed Vault’ in the Arctic: Bill Gates,
Rockefeller and the GMO giants know something we don’t, in Global
Research, December 4, 2007, accessed in http://www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=7529
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