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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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4 septembre 2009

la crise dans l'immobilier sonnera le glas des banques !!!!

Un immense « inventaire caché »

 

1337570-1764799En raison de la levée du moratoire sur les saisies à la fin mars, la tendance à la baisse dans l’immobilier gagne en vitesse. Le moratoire a été mis en vigueur en janvier pour donner une chance de réussite au programme d’anti-éviction d’Obama, un programme qui est une combinaison de modifications et de refinancement hypothécaires. L’objectif de ce plan consistait à venir rapidement en aide à près de 9 millions de propriétaires qui luttent pour garder leurs maisons, mais il est dorénavant clair que le programme va se pulvériser de même que son objectif.

En mars, l’accélération du mouvement à la baisse des prix de l’immobilier indiquait qu’il y aurait de plus importants ajustements à venir. Les tangentes sont plus fortes que jamais – presque perpendiculaires. Les prix de l’immobilier ne sont pas en baisse, ils s’effondrent et ils s’effondrent sérieusement. Maintenant que le moratoire sur l’éviction a pris fin, les Avis de défaut [de paiement] (NOD) ont grimpé à leurs plus hauts niveaux historiques. Dans 4 à 5 mois, ces avis vont devenir des saisies créant une autre série de saisies. Les analystes du marché prédisent qu’il y aura 5 MILLIONS DE NOUVELLES SAISIES ENTRE AUJOURD’HUI ET 2011. Il s’agit d’une catastrophe plus grande que l’ouragan Katrina. La sidérante augmentation du chômage et la hausse des saisies rendent certain que des centaines de banques et d’institutions financières vont être contraintes à la faillite. Quarante pour cent des propriétaires en défaut de paiement ont déjà évacué leurs maisons. Il n’y a rien qu’Obama puisse faire pour les faire rester. Pire encore, seulement 30 pour cent des [maisons] saisies ont été remises en vente suggérant ainsi encore plus d’entourloupettes au sein des banques. Où sont donc passées les maisons? Ont-elles tout simplement disparues?

 

 

600,000 « MAISONS DISPARUES? »

Voici un extrait du quotidien San Fransisco Gate expliquant le mystère:

« Les bailleurs de fonds du pays sont assis sur des centaines de milliers de maisons saisies qu’ils ne sont pas revendues ni même mises en vente, selon de nombreuses sources statistiques. Et les [maisons] saisies, que les banques se débarrassent aux prix d’une vente de feu, sont un facteur majeur qui fait chuter le valeur des maisons.

« Nous croyons qu’il y a environ dans tout le pays 600,000 propriétés que les banques ont reprises, mais qu’elles n’ont pas remises en vente sur le marché », a déclaré Rick Sharga, vice-président de RealtyTrac, qui compile les statistiques sur les saisies au niveau national. « La Californie possède probablement 80,000 de ces maisons. Il pourrait être catastrophique si les banques devaient soudainement inonder le marché de ces propriétés en difficulté. Vous auriez alors plus de dépréciation et de carnage. »

Dans une récente étude, RealtyTrac comparait sa base de données de maisons reprises par les banques avec les annonces de maisons mises en vente sur MLS dans quatre États, dont la Californie. Il a été constaté un écart important – seulement 30 pour cent des saisies ont été inscrites à la vente dans le « Multiple Listing Service (MLS)». Le reste est connu dans l’industrie sous le nom « d’inventaire caché ». («Les banques ne mettent pas en vente un grand nombre de maisons saisies » SF Gate)

Si les vérificateurs étaient déployés dans les banques qui gardent hors du marché des maisons saisies, ils découvriraient probablement que les banques sont en fait en train de refinancer le service des hypothèques sur une base mensuelle afin de dissimuler l’ampleur de leurs pertes. Ils découvriraient également que les banques s’efforcent de maintenir les prix de l’immobilier artificiellement élevés afin d’éviter d’essuyer d’énormes pertes qui pourraient les ruiner. Une chose est certaine, 600,000 maisons «disparues» signifient que le prix de l’immobilier est loin d’avoir fini de chuter et qu’un pan plus large du système bancaire est en eaux troubles.

Voici plus d’informations sur l’histoire de Monsieur Hypothèque (bloggeur au nom anglais de: Mr. Mortgage) « Le nombre de saisies en Californie va exploser…encore une fois »

« Êtes-vous prêt à voir le futur? Des dizaines de milliers de saisies se feront dans les 1 à 5 mois à venir, ce qui fera monter le nombre total des saisies à des sommets historiques. Cela va inonder le marché immobilier déjà strangulé avec encore plus de maisons juste à temps pour la saison printemps été de vente de maisons … Les Avis de défaut [de paiement] (NOD) et les syndics de faillite (NTS) démontrent que l’on se dirige à des niveaux jamais vus depuis la mi-2008. Lorsque le syndic de faillite se pointe, la propriété est saisie par un Palais de justice et mis aux enchères dans les 21 à 45 jours suivants… En fin de compte, c’est qu’il y a une énorme vague de saisies qui frappera à partir d’avril et qui ne pourra pas être arrêtée sans un moratoire national. »

JP Morgan Chase, Wells Fargo et Fannie Mae ont intensifié leur activité de saisies au cours des dernières semaines. Les défauts de paiement ont grimpé en flèche présageant toujours plus de réduction des prix dans un avenir prévisible.

Selon le Wall Street Journal: « Ronald Temple, co-directeur de recherche au Lazard Asset Management, prévoit des baisse de prix dans l’immobilier de 22% à 27% par rapport à leurs niveaux de janvier. Plus de 2,1 millions de maisons seront perdues cette année parce que les emprunteurs ne peuvent pas payer leurs mensualités. Ce nombre s’ajoutera aux quelque 1,7 millions [de maisons] de 2008. » (Ruth Simon, « La crise immobilière est sur le point de prendre encore une fois les devants de la scène » Wall Street Journal)

Un autre 20 pour cent de réduction sera retranché de la valeur des maison aux États-Unis signifiant ici un autre 4 trillions de dollars de perte pour l’ensemble des propriétaires de maison. Cela signifie toujours moins d’épargne pour la retraite, moins de dépenses et une diminution du niveau de vie. La prochaine étape dans le secteur immobilier sera atroce, tous les secteurs en seront affectés. Le plan de sauvetage hypothécaire de 75 milliards de dollars d’Obama n’est qu’une maigre pitance; il ne réduit pas le montant d’emprunt des prêts hypothécaires et il ne stoppera pas la saignée. Les dirigeants politiques ont décidé qu’ils en avaient fait assez, et ils se refusent d’aider. Ils ne voient pas le tsunami qui surgit de manière évidente devant eux. Le marché immobilier est plongé à des profondeurs abyssales et il va draguer une bonne partie de l’économie en général avec lui. Les actions [en bourse], aussi.

Article original en anglais :  Housing Bubble Smackdown: Bigger Crash Ahead, Huge “shadow inventory”, publié le 21 avril 2009 :
http://www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=13283

Traduction : Dany Quirion.

4 septembre 2009

mouvement militaire inquiétant israelien prepare une attque sur l'iran

Israël est en train de préparer l’attaque contre l’Iran

      

par Manlio Dinucci

dolphinLe déploiement des sous-marins Dolphin et navires de guerre israéliens en Mer Rouge “doit être pris au sérieux : Israël est en train de se préparer à la complexité d’une attaque contre l’Iran”. C’est ce qu’a déclaré au Times de Londres, hier, un fonctionnaire israélien de la défense. Il a en outre confirmé l’existence d’un accord avec l’Égypte pour le transit des unités militaires par le canal de Suez (voir il manifesto de mercredi 15 juillet), en ajoutant que les gouvernements des deux pays sont unis par une  “méfiance commune vis à vis de l’Iran” (« shared mutual distrust of Iran ») et qu’Israël est en train de renforcer ses liens avec “certains pays arabes, qui craignent eux aussi la menace nucléaire iranienne”. («certain Arab nations just as wary of the Iranian nuclear threat»)

Ainsi Israël, le seul pays de la région à posséder des armes nucléaires (dont sont armés aussi les Dolphin) et qui refuse le Traité de non-prolifération, prend la tête d’une croisade à laquelle participent certains gouvernements arabes, contre la “menace nucléaire” de l’Iran, pays qui a adhéré au Tnp et qui est donc soumis à des contrôles de l’Agence internationale pour l’énergie atomique. Celle-ci a confirmé n’avoir “aucune preuve que l’Iran soit en train d’essayer de produire une arme nucléaire”.

 

 

Les sous-marins et les navires de guerre d’Israël sont en Mer Rouge non seulement pour préparer l’attaque contre l’Iran, écrit hier Haaretz, mais aussi «pour empêcher le trafic d’armes de l’Iran vers la Bande de Gaza» par mer et à travers le Soudan.

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On accuse donc l’Iran d’armer et d’encourager les Palestiniens à la guerre, en effaçant ce qui ressort de l’enquête de l’association israélienne “Breaking the silence”, démontrant que l’opération «Plomb durci» a été décidée sur la base d’un calcul politique : terroriser les Palestiniens en perpétrant des massacres de civils. Et il n’est pas crédible que dans la Bande de Gaza, où même les aides humanitaires n’arrivent pas à entrer, un flux d’armes puisse arriver d’Iran.

Et c’est la secrétaire d’État étasunienne, Hillary Clinton, qui est venue prêter main forte au gouvernement israélien, en lançant un “ultimatum à l’Iran” pour qu’il “se joigne à la communauté internationale en tant que membre responsable”, en cessant de “menacer ses voisins et de soutenir le terrorisme”.

Elle a réaffirmé que «l’Iran n’a pas le droit d’avoir une capacité nucléaire militaire» (que par contre les USA ont le droit d’avoir, en possédant les plus puissantes forces nucléaires du monde), et que les USA sont décidés à empêcher qu’il ne l’acquière.

Elle a ainsi déclaré : «nous n’hésiterons pas à défendre nos amis,  nos intérêts et surtout notre peuple avec vigueur et, si c’est nécessaire, avec la force militaire la plus puissante du monde». Le message à Téhéran est sans équivoque : si Israël attaque l’Iran et si celui-ci répond avec ses missiles (non nucléaires), les États-Unis soutiendront Israël avec «la force militaire la plus puissante du monde».

A ce point-là, il reste aux analystes à comprendre en quoi la politique extérieure de l’administration Obama diffère de celle de l’administration Bush.

Reçu de l’auteur et traduit par Marie-Ange Patrizio

Édition de vendredi 17 juillet de il manifesto

http://www.ilmanifesto.it/il-manifesto/in-edicola/numero/20090717/pagina/09/pezzo/255185/

Manlio Dinucci est géographe, spécialiste en géopolitique et journaliste.

Manlio Dinucci est un collaborateur régulier de Mondialisation.ca. Articles de Manlio Dinucci publiés par Mondialisation.ca

4 septembre 2009

la grippe espagnole ou la grippe aviare histoire de virus qui se ressemble

H1N1: Le génome de la grippe espagnole ressuscité à partir d’un cadavre congelé

      

250px-reconstructed_spanish_flu_virus1Pourquoi le génome du virus de la pandémie de 1918 a-t-il été ressuscité par le gouvernement US à partir d’un cadavre congelé ? Le Pentagone a-t’il lancé une arme nommée grippe aviaire ?

Il existe des preuves alarmantes qui ont été cumulées par des sources scientifiques sérieuses à l’effet que le gouvernement des Etats-Unis soit sur le point d’avoir ou aurait déjà une « arme » qui porte le nom de grippe aviaire. Si les reportages sont exacts, cela pourrait déclencher une nouvelle pandémie sur la planète. Une pandémie qui pourrait être plus dévastatrice que l’épidémie de grippe espagnole de 1918 et qui a tué environ 30 millions de personnes dans le monde avant de se résorber.

Les expériences du Pentagone et de l’Institut national de la santé des Etats-Unis réalisées avec les restes congelés du virus de 1918 sont de la pure folie scientifique. Est-ce que les Etats-Unis sont sur le point de déclencher une nouvelle pandémie sélective raciale dans le cadre d’un processus obligatoire de vaccination avec un vaccin prétendument fabriqué « contre » la grippe aviaire?

 

 

Il y a des raisons de croire que ces divisions de l’ industrie pharmaceutique internationale agissent de concert avec le gouvernement des Etats-Unis pour développer une substance du virus H5N1 génétiquement modifiés susceptible d’engendrer une pandémie créée par l’homme , et qui pourrait être plus mortelle que la pandémie de la « grippe espagnole » de 1918 à laquelle on attribue la perte de 30 millions de vies humaines.

Rima E. Laibow, MD, chef de la Fondation des Solutions Naturelles, un groupe de surveillance citoyenne qui surveille l’industrie pharmaceutique déclare que: « Notre meilleure estimation réalisée par nos renseignements est que la pandémie de grippe aviaire a déjà été créée par le génie génétique aux Etats-Unis, en fusionnant le mortelle génome de la pandémie de 1918, la mal nommée « grippe espagnole, » avec l’ADN du virus inoffensif H5N1 dans une culture de croissance à base de cellules du rein de l’homme et ce, selon l’Institut Nationale de la Santé et le fabricant du vaccin. Certains virologues croient que cela permettra au virus mutant créé par l’homme de reconnaître les cellules humaines lui permettant ainsi de les envahir. »

Si cela est vrai , tel que le souligne Laibow, « Un fait à la base de la virologie est que le public n’a pas été informé qu’il est impossible de créer un vaccin contre un virus qui n’existe pas encore. Les efforts de relations publiques [vont dans le sens] contraire, Si un vaccin contre la grippe aviaire est développé dans sa forme pandémique, cela signifie que le virus pandémique devait déjà exister, [avant cette] période, fin de la discussion».

Le génome [du virus] de la pandémie de 1918, dite « grippe espagnole», a récemment été intentionnellement ressuscité par le gouvernement des Etats-Unis à partir d’un cadavre congelé d’une personne morte de la grippe en 1918 en Alaska . En raison de cette résurrection, la grippe aviaire et son « vaccin » représentent maintenant une menace importante à la santé publique.

La grippe espagnole, qui n’avait rien d’espagnol , a été créée aux Etats-Unis dans l’un des premiers programmes d’armes biologiques et elle fut injectée à des jeunes hommes en bonne santé (c’est-à-dire, des « soldats ») au cours de la première vaccination obligatoire dans l’armée pendant la Première Guerre mondiale . La « grippe espagnole, » née dans des bases militaires américaines du Kansas, est l’une des pandémies les plus mortelles de l’histoire moderne . Elle a également été l’une des armes biologiques les plus réussies et à n’avoir jamais été créées jusqu’à ce jour.

http://futurquantique.org/sante-et-bien-etre/487-le-genome-de-la-grippe-espagnole-ressuscite-a-partir-dun-cadavre-congele

Plus ;

En mai de cette année, Canadian Press de Toronto a rapporté que : « Une expérience visant à combiner le virus de la grippe aviaire H5N1 à une souche de grippe humaine dans un laboratoire a produit un nombre étonnant de virus hybrides qui sont biologiquement en bonne santé, selon ce que révèle une nouvelle étude. Et même si aucun des virus sortis de cette progéniture n’était aussi virulent que le virus H5N1, environ un sur cinq étaient mortels à faible dose pour les souris, démontrant ainsi qu’ils ont conservé au moins une partie de la puissance de leurs dangereux parents. » (7)

L’article de Toronto se poursuit comme suit. « Ce travail permet de croire que dans des conditions parfaites – et personne n’est clair quant à savoir qu’elles sont toutes ces conditions – les deux types de virus de la grippe pourraient s’échanger des gènes de manière à pourmettre au virus H5N1 d’acquérir la capacité de déclencher une pandémie. Ce processus est appelé réassortiment. Cette étude permet simplement de démontrer exactement ceci: Il y a un risque que ce virus puisse se réassortir avec succès avec un virus humain, » a déclaré Richard Webby, directeur du Centre de recherche sur la grippe à l’hôpital St-Jude de Memphis au Tennessee qui collabore avec l’Organisation mondiale de la santé. » (8)

La recherche sur les armes biologiques du Pentagone

Le professeur de biologie moléculaire de Harvard, Mathew Meselson, un scientifique très respecté dans le domaine de la guerre chimique et biologique, confirme que le gouvernement des États-Unis a longuement étudié et mis au point par le passé des armes biologiques. Meselson décrit une installation étasunienne au nord de la ville de Terre Haute en Indiana, construit en 1944 et qui produisait 4 bombes à l’anthrax de 500,000 livres par mois lorsqu’elle fut au plus grand de ses activités.

Meselson faisait parti d’une équipe qui a prouvé la fuite accidentelle d’anthrax dans une installation soviétique en 1979, réfutant ainsi les accusations de guerre biologique au Laos et au Cambodge à la fin des années 1970, et il a été une force motrice derrière la vulgarisation de la Convention sur les armes chimiques de 1994.

Depuis son arrivée au pouvoir, l’administration Bush-Cheney a beaucoup fait pour affaiblir cette Convention sur les armes chimiques ainsi que celles sur les armes biologiques. L’une des premières lois de George W. Bush à titre de président en début d’année 2001 consistait à s’opposer à un projet de Protocole international sur les armes biologiques et toxiques, sans explication, ce qui a entraîné la fin des pourparlers.

Dans une étude réalisée en 2004, l’Association médicale britannique a lancé un avertissement à l’effet que le monde n’est peut-être qu’à seulement quelques années d’ « armes biologiques terrifiantes capables de tuer seulement les personnes de certains groupes ethniques, » en citant les progrès réalisés dans la technologie des armes génétiques. (9)

Le Département de la sécurité intérieur des États-Unis (le Homeland Security) a fait une annonce des plus inquiétante en plaçant une commande de production et de stockage d’un vaccin contre une grippe pandémique: « Le gouvernement américain prend des mesures pour réduire la nécessité de prendre des décisions dans la distribution des vaccins en soutenant les efforts visant à accroître les capacité de production de vaccins contre la grippe. D’importants fonds de financement sont octroyés pour développer de nouvelles technologies de vaccin qui puissent permettre la production d’un nombre suffisant de vaccins contre une grippe pandémique pour toute personne des États-Unis qui souhaite se faire vacciner dans les six premiers mois suivants la déclaration d’une pandémie. » (10) Un rôle curieux [conféré à] l’entreprise Sanofi Pasteur.

Depuis 2004, le gouvernement des États-Unis finance le développement d’un vaccin contre le virus H5N1 de la manière la plus rapide qui soit. L’entreprise Sanofi Pasteur située dans la ville de Swiftwater en Pennsylvanie, une filiale de la géante firme pharmaceutique française, la troisième plus grande au monde, a fabriqué un vaccin inactif provenant d’un virus H5N1 isolé en 2004 en Asie du Sud-est. Sanofi Pasteur, une division de l’entreprise française Sanofi-Aventis, a obtenu le 11 mai 2004 un contrat de l’Institut national des maladies allergiques et infectieuses du gouvernement des États-Unis, qui fait partie de l’Institut nationale de la santé, pour fabriquer le vaccin anti-H5N1. (11)

En avril 2007, la Food and Drug Administration (FDA) a approuvé le vaccin développé par Sanofi Pasteur pour le virus H5N1 même si un an auparavant, la FDA avait déclaré que Sanofi Pasteur produisait des vaccins Fluzone contaminés. (12) Le vaccin anti-H5N1 approuvé par la FDA n’est apparemment pas vraiment efficace dans le cas de l’éclosion d’une grippe aviaire transmissible d’homme à homme. Lorsqu’elle fit l’annonce de son approbation, la FDA a déclaré, « deux injections faites en 28 jours peut fournir une protection « limitée » si une pandémie se produit. Environ 45% des personnes qui ont reçu le vaccin lors d’une étude ont développé une réponse immunitaire au virus. » (13)

Jusqu’à présent, le virus H5N1 n’a pas muté en une forme qui puisse facilement se transmettre d’une personne à l’autre. Ne serait-ce pas plutôt dans cette voie que les chercheurs de Sanofi Pasteur et différents autres laboratoires sous contrat avec le gouvernement des États-Unis se sont engagés? Si tel était le cas, ce serait classé formellement TOP SECRET. Le respecté magazine britannique, New Scientist, a commenté: « Si le virus H5N1 devait muter, il est difficile de savoir si les vaccins développés aujourd’hui seront efficaces contre une souche pandémique. Les fabricants pourraient adapter un nouveau vaccin à cette souche, mais les méthodes de production actuelles nécessiteraient des mois. » (14)

Le magazine a signalé que la recherche sur le vaccin de l’entreprise Sanofi a été réalisée par l’Institut nationale de la santé dans le cadre des efforts du gouvernement des États-Unis visant à se préparer à une pandémie de grippe. Les principales questions consistent à savoir s’ils se préparent à « une pandémie de grippe »ou s’ils préparent une pandémie de grippe. Pourquoi le gouvernement des États-Unis dépense-t-il des centaines de millions de dollars des contribuables pour stocker ce vaccin anti-H5N1 qui probablement ne fonctionnera pas lors d’une telle pandémie?

Le 2 juillet 2008, le quotidien London Daily Telegraph a rapporté que « Trois médecins polonais et six infirmières font face à des poursuites criminelles parce qu’un certain nombre de sans-abri sont décédés à la suite d’essais d’un vaccin contre le virus H5N1 de la grippe aviaire. » (15)

Le reportage ajoute que le personnel médical de la ville septentrionale de Grudziadz, ont fait l’objet d’une enquête sur les essais réalisés l’an dernier sur 350 personnes sans-abri ou sur personnes pauvres qui a fait dire aux procureurs qui participent à l’enquête que les essais ont été réalisés avec un vaccin de ce virus hautement contagieux qui n’avait [auparavant] jamais été testé. Les autorités affirment que les prétendues victimes ont reçu 3 euros pour tester ce qu’ils croyaient être un vaccin contre la grippe classique, mais selon les enquêteurs, il s’agissait en fait d’un médicament contre la grippe aviaire. Le directeur d’un centre de sans-abri de Grudziadz, Mieczyslaw Waclawski, a déclaré à un journal polonais que l’an dernier, 21 personnes de son centre sont mortes, un chiffre bien au-dessus de la moyenne d’environ huit personnes.

Le rapport polonais ne précise pas s’il s’agissait du vaccin en cours de développement dans le cadre du contrat donné à l’entreprise Sanofi-Pasteur par le Homeland Security du gouvernement des États-Unis. Toutefois, il est connu que Sanofi-Pasteur produit de grandes quantités d’un tel vaccin dans une usine qu’ils possèdent en Chine.

Le Docteur Laibow déclare que le « vaccin contre une pandémie de grippe aviaire » devait être livré aux États-Unis ce mois-ci par le fabricant français de vaccins, Sanofi Pasteur, à partir d’une installation qu’ils possèdent en Chine là où le vaccin est produit. Le gouvernement des États-Unis a publié en juillet son plan de distribution du « vaccin. » Laibow craint un scénario plus sinistre de propagation volontaire d’agents pathogènes de grippe aviaire parmi la population qui pourraient obliger le déploiement de mesures telles que la loi martiale et la vaccination forcée ayant pour résultat des morts par millions et qui pourraient être imminentes. Le virus de la grippe espagnole réactivée par le Pentagone.

En 2003, des scientifiques de l’armée des États-Unis ont créé le virus de la « grippe espagnole » en laboratoire. Selon une déclaration publiée à l’époque par un organisme de surveillance, qui porte le nom de Projet Sunshine, et qui surveille les recherches réalisées sur les armes biologiques et chimiques au sein du gouvernement des États-Unis a publié une déclaration à l’effet que « Le virus de la grippe espagnole qui a tué entre 20 à 40 millions de personnes en 1918 est actuellement en reconstruction. Plusieurs gènes du virus extrêmement meurtrier de la grippe de 1918 ont été isolés et introduits dans des souches de grippes contemporaines. Ils se sont avérés mortels pour les souris, alors que le virus développé à partir de gènes d’un type de virus de la grippe actuelle n’avait aucun effet. Ces expériences peuvent facilement être détournées à des fins militaires, alors qu’elles fournissent peu d’avantages d’un point de vue médical ou de santé publique. »

Ils poursuivent en disant que « La grippe espagnole de 1918 était hautement infectieuse et – en comparaison aux virus de la grippe contemporains – elle a tué un pourcentage très élevé des personnes infectées, dont de nombreux jeunes. La grippe espagnole à elle seule a réduit de 10 ans l’espérance de vie aux États-Unis en 1918. Par conséquent, les virus grippaux sont perçus aujourd’hui comme une grave menace de guerre biologique. Il y a seulement deux semaines, 15 millions de dollars en subventions de recherche ont été octroyés aux États-Unis afin de développer des mesures de protection principalement contre une attaque bioterroriste avec des virus de la grippe. »

La déclaration ajoutait que: « Malgré la nature dangereuse du virus de 1918, les efforts visant à le reconstruire ont commencé au milieu des années 1990, lorsque le Dr Jeffrey Taubenberger de l’Institut de pathologie de l’armée des États-Unis à Washington a réussi à récupérer et à séquencer les fragments d’ARN viral à partir de tissus préservés de victimes de 1918. Dans le prochain numéro de la revue scientifique Emerging Infectious Diseases de nouvelles informations génétiques à l’égard du virus de la grippe de 1918 seront publiées. »

Plus inquiétant encore, ils rapportent que : « Après avoir (partiellement) déchiffré la séquence génétique du virus, les scientifiques sont allés plus loin et ils ont commencé à ramener la grippe espagnole en vie. Sans que le public n’en soit informé, ils ont réussi à créer un virus vivant contenant deux gènes [du virus] de 1918 et qui se sont avérés être très meurtriers lors d’expérimentations animales. Ces expériences sont seulement une étape génétique visant à sortir entièrement de sa bouteille le démon de 1918. » (16)

Ils concluent: « La résurrection de la grippe espagnole n’est ni nécessaire ni justifié au point de vue de la santé publique. Il semblerait que les récentes expériences ont permis d’évaluer l’efficacité des antiviraux actuels sur le virus reconstitué de 1918. Mais il n’aurait guère été nécessaire d’avoir des antiviraux contre la souche de 1918 si en premier lieu, la souche [de la grippe] de 1918 n’avait pas été recréée. « Ça n’a tout simplement pas de sens scientifique de créer une nouvelle menace uniquement dans le but de développer des antidotes contre cette menace. » Tel que l’explique Jan van Aken, biologiste au Sunshine Project : « La caractérisation génétique des souches de la grippe a d’importantes applications biomédicales. Mais il n’est pas justifié de recréer cette souche éradiquée particulièrement dangereuse qui pourrait causer des ravages si elle était relâchée [dans l'environnement], délibérément ou accidentellement. » (17)

Permettez-nous d’espérer sincèrement que rien de tel ne se produira, mais comme le fait remarquer dans un autre contexte le professeur Stephen Block, biophysicien à l’Université Stanford possédant plusieurs années d’expérience dans des recherches biologiques confidentielles réalisées pour le Pentagone et le gouvernement des États-Unis : « Nous sommes tentés de dire que toute personne saine d’esprit n’utiliserait jamais ces choses. » Et le professeur Block ajoute: « Mais ce n’est pas tout le monde qui est sain d’esprit… » (18) Sanofi Pasteur produit le vaccin anti-H5N1.

Le 28 avril de cette année, dans un communiqué de presse officiel publié par les sièges sociaux de Sanofi Pasteur à Swiftwater en Pennsylvanie et à Lyon en France, la société a déclaré: «Sanofi Pasteur, la division vaccins du Groupe Sanofi-Aventis, annonce aujourd’hui que le Département américain de la Santé (U.S. Department of Health and Human Services) a réceptionné un nouveau lot de vaccin H5N1 sous forme de concentré en vrac, correspondant à une quantité équivalente à 38,5 millions de doses de vaccin élaborées à partir d’une nouvelle souche de grippe aviaire. Cette livraison, qui s’inscrit dans le cadre d’un contrat pluriannuel signé avec le Département américain de la Santé au titre de son programme de préparation à la pandémie, s’élève à 192,5 millions de dollars et sera comptabilisée au deuxième trimestre 2008. » (19)

Puis, le 16 juin de cette année, Sanofi Pasteur a publié un communiqué annonçant qu’elle va « donner 60 millions de doses de vaccin H5N1 à l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) sur trois ans pour la constitution d’un stock de réserve international. »

Le président directeur général de Sanofi Pasteur, Wayne Pisano, a déclaré dans le communiqué que « le virus H5N1 circule actuellement dans certaines régions parmi les plus pauvres du monde et l’irruption d’une grippe pandémique pourrait frapper des populations ayant un accès limité aux vaccins. Cette donation de vaccin H5N1 a pour but de répondre aux besoins des populations les plus vulnérables. En plus de soutenir les efforts des gouvernements, il est essentiel que l’industrie collabore avec les organisations internationales telles que l’OMS, la Fondation Bill et Melinda Gates et d’autres organismes de santé mondiale. Ainsi, il sera possible de constituer un stock de réserve de vaccins pour les pays en voie de développement, prêt à être déployé sur le terrain dans le cas où une pandémie de grippe viendrait à être déclarée. » (20)

La Fondation Bill et Melinda Gates, en plus d’être un soutien financier pour la soi-disant Arche de Noé végétale en Arctique, a consacré des milliards de sa Fondation pour soutenir le contrôle de la croissance démographique principalement en Afrique. Parmi les autres projets – et pareillement à la Fondation Rockefeller – ils sont en train de financer l’Alliance pour une Révolution Verte en Afrique, avec pour responsable l’ancien secrétaire général de l’ONU, M. Kofi Annan. (21)

Le principal fabricant mondial du vaccin contre la grippe, Sanofi Pasteur, produit environ la moitié des vaccins contre la grippe distribués dans le monde. Aux États-Unis, ils ont produit plus de 40 % des vaccins contre la grippe distribués pour la saison grippale de 2007-2008. Le fait que le gouvernement des États-Unis ait fait revivre le virus de la grippe espagnole de 1918 afin de réaliser des « tests » indique que tout est possible. Il y a dans ce monde certaines personnes qui ne sont pas « saines d’esprit. » Que Dieu nous garde qu’il n’en soit pas ainsi dans ce cas.

 

source ;
7 En outre, un rapport d’un organisme canadien, Beyond Factory Farming, a décrit les mécanismes de transmission probable par les géants centres industrialisés de production de poulet : « En Thaïlande, en Chine et au Vietnam, il s’est développé de très grands secteurs industriels de la volaille qui a augmenté de façon spectaculaire au cours des dix dernières années. Les grandes compagnies de volaille possèdent des millions d’oiseaux, des poussins éclosent afin de pourvoir à d’autres opérations intensives de volailles, l’exportation d’oiseaux vivants et d’œufs à des pays comme le Nigeria (là où la première éclosion hautement pathogène de grippe aviaire en Afrique a récemment été signalée) et elles produisent des aliments et elles exportent de la nourriture qui, souvent, comprend des « déchets » (c’est-à-dire, du fumier) dans les ingrédients.
[…]
« Le fumier qui peut contenir le virus vivant se répand sur les terres agricoles avoisinantes, ou il est exporté comme engrais, et par ruissellement il est susceptible de s’introduire dans les eaux de surface là où les oiseaux sauvages s’alimentent et se reposent. Le fumier de poulet se retrouve même dans les combinaisons alimentaires (la moulée) destinées à alimenter les poissons et dont on fait usage dans l’industrie de l’aquaculture, là où ils sont introduits directement dans l’environnement aquatique. Les oiseaux sauvages et la volaille ayant été victimes de la grippe aviaire hautement pathogène en Asie, en Turquie et au Nigeria semblent avoir été directement exposés à la grippe aviaire hautement pathogène par un virus originaire des fermes industrielles. En Asie, tout un troupeau de canards sauvages sont morts de la grippe aviaire après qu’ils soient entrés en contact avec la maladie sur un lac près d’une ferme d’élevage de poissons qui utilise, pour alimenter les poissons d’élevage, une moulée faite de déchets [NDT : autrement dit de fumier] de volaille provenant d’une ferme industrielle. En Turquie, un abattage massif de troupeaux de basse-cour et la mort de trois enfants – sont survenus après qu’une ferme à proximité ait vendu à prix réduits des oiseaux malades ou mourants. Le Nigeria possède un important secteur de production de volaille insuffisamment réglementé qui s’approvisionne de poussins d’élevage en Chine. » (Engdahl, op. Cit., P. 289)

8 Une étude démontre que la mutation de la grippe aviaire en un virus de grippe humaine pourrait se produire, La Presse Canadienne, Toronto, non daté. Mai 2008.
Ibid.

9 F. William Engdahl, op. Cit., Pp. 262-263.

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10 United States Department of Homeland Security, Health & Human Services Department, Guidance on Allocating and Targeting Pandemic Influenza Vaccine, p. 2, accessed in
http://www.pandemicflu.gov/vaccine/allocationguidance.pdf
.

11 NIH News, NIAID Initiates Trial of Experimental Avian Flu Vaccine, Washington, D.C., March 23, 2005, accessed in http://www3.niaid.nih.gov/news/newsreleases/2005/avianfluvax.htm .

12 Quoted in, sanofi pasteur, The Largest Company In The World Devoted To Human Vaccines, April 18, 2007, accessed at http://noonehastodie.blogspot.com/2007/04/sanofi-pasteur-largest-company-in-world.html 

13 The New Scientist, US Approves First Bird Flu Vaccine for People, 17 April, 2007, accessed at http://www.newscientist.com/channel/health/bird-flu/dn11626-us-approves-first-bird-flu-vaccine-for-people.html 

14 Ibid.

15 Matthew Day, Homeless people die after bird flu vaccine trial in Poland, Daily Telegraph, July 2, 2008, accessed in http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/europe/poland/2235676/Homeless-people-die-after-bird-flu-vaccine-trial-in-Poland.html .

16 The Sunshine Project, Lethal Virus from 1918 Genetically Reconstructed: US Army scientists create ‘Spanish Flu’ virus in laboratory – medical benefit questionable, 9 October 2003, accessed at http://www.sunshine-project.org/publications/pr/pr091003.html .

17 Ibid.

18 Cité dans F. William Engdahl, op. Cit., P. 277.

19 Press Release of Sanofi Pasteur, U.S. Government accepts $192 million of sanofi pasteur H5N1 bulk vaccine antigen for pandemic stockpile: Vaccine for new strain of virus broadens government readiness program, April 28, 2008, accessed at
http://198.73.159.214/sanofi-pasteur2/ImageServlet?imageCode=22971&siteCode=SP_CORP 

20 Press Release of Sanofi Pasteur, Sanofi Pasteur to donate 60 million doses of H5N1 vaccine to WHO over 3 years for its influenza vaccine global stockpile, June 16, 2008, accessed at
http://198.73.159.214/sanofi-pasteur2/ImageServlet?imageCode=22987&siteCode=SP_CORP .

21 William Engdahl, ‘Doomsday Seed Vault’ in the Arctic: Bill Gates, Rockefeller and the GMO giants know something we don’t, in Global Research, December 4, 2007, accessed in http://www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=7529

           

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2 septembre 2009

les meteorites depuis 1 siecle a nos jours

"Quel temps fera-t-il demain ?"

Voilà une question bien familière au Québec. En effet, nous avons cette particulière obsession quotidienne de la météo. C'est le sujet le plus manifeste de nos conversations de tous les jours. Je ne sais pas s'il en est ainsi dans d'autres pays, mais pour les Québécois le temps qu'il fera (ou fait ou a fait) est un sujet tout à fait courant, voire inévitable, et pour peu on le croirait génétique ! Fera-t-il beau ou mauvais, froid ou chaud, soleil ou pluie ? Voilà le tracas principal des Québécois. C'est un peu comme si notre qualité de vie en dépendait directement et pourtant nous ne sommes ni ces agriculteurs d'autrefois ni ces natifs en symbiose avec la nature. C'est tout simplement typique de notre culture locale, nous voulons savoir, nous devons en parler.

Mais si la météo est au cœur de nos préoccupations quotidiennes, celles-ci ne dépassent pas le cadre de notre petit confort immédiat : apportons-nous un parapluie ? Devrions-nous enfiler nos bottes ou nos souliers ?
http://zone-7.net/
Peut-être y a-t-il dans nos gènes une faible trace d'ancêtres Gaulois et qu'inconsciemment nous entretenons l'atavique peur que "le ciel nous tombe sur la tête". Ou peut-être est-ce simplement le canal météo qui prend trop de place dans nos vies. "Parce que ça ne durera pas" indique un énorme panneau publicitaire, en bordure de l'autoroute, signé Météomédia, sur lequel figure une flèche pointant vers le haut qui insiste sur l'incertitude que nous devrions entretenir face au temps qu'il fera ! Joli marketing, admettons-le.

Mais cette fascination pour "le temps qu'il fera" est insidieusement limitative. En effet, la météorologie contemporaine joue aujourd'hui un double rôle car, au même titre qu'elle nous incite à nous enquérir de l'état du ciel, elle n'en limite notre perception qu'à quelques kilomètres, c'est-à-dire jusqu'à la couche nuageuse, sans plus.

Pourtant, si nous considérons l'étymologie du mot météorologie, nous nous apercevons qu'au départ cette science prenait en compte des phénomènes d'un tout autre ordre que ceux qui "font la pluie et le beau temps". En effet, la météorologie est carrément la science des météores. Au sens large, les météores sont "tout phénomène qui se produit dans l'atmosphère". Ils incluent donc, par définition, les "phénomènes lumineux qui résultent de la chute dans l'atmosphère terrestre d'un corps solide venant de l'espace". Mais à quand remonte la dernière fois où nous avons entendu parler de prévisions météorologiques concernant ces derniers ? Pas de ce millénaire. Certes, la météorologie contemporaine est quasi indispensable (lorsqu'elle ne se trompe pas) à la prévision des transports, notamment aériens et navals. Mais n'est-il pas intéressant de constater que cette science n'inclut pas, dans ses observations et prédictions, des éléments aussi importants que les chutes de corps solides dont les conséquences pourraient être importantes, voire dévastatrices ?

Malheureusement, comme tant d'autres domaines, cette science a été pervertie au cours du temps pour devenir la banale et insipide prédiction de la goutte de pluie et des 20 degrés ensoleillés que nous connaissons aujourd'hui. Elle a subi, pour ainsi dire, le même sort que l'astrologie qui, de véritable science de l'influence des corps célestes, est devenue la ridicule prédiction amour/travail/santé/chance pour tous les Gémeaux du globe via le journal local et qui se contredit d'un journal local à un autre. Ces deux sciences, comme bien d'autres, ont été réduites à l'insignifiance et leurs prédictions ne valent guère plus qu'un certain amusement.

Mais il n'en a pas toujours été ainsi. Il fut une époque où le ciel tapissé d'étoiles et rempli de phénomènes de toutes sortes était considéré avec autant d'admiration que d'appréhension, et chacun de ses soubresauts comme important et annonciateur d'événements particuliers pour les hommes.

Dans leur livre Hiver cosmique, Victor Clube et Bill Napier dédient plus d'une centaine de pages à l'étude de la perception que les hommes avaient du ciel et de ses acteurs. En remontant aussi loin que possible dans l'Histoire, ils passent en revue la compréhension des cieux qu'en avaient les différentes civilisations, et ce, à travers leurs légendes et écrits, et les conclusions qu'ils en tirent sont des plus intéressantes. Analysant ainsi - d'un point de vue d'astrophysiciens - de nombreux mythes, ils ont su exposer le caractère clairement cosmique attribué à la majorité des dieux, révélant ainsi que ces "dieux du ciel" étaient, il y a à peine quelques millénaires, littéralement des comètes. Ce ne sont certes pas les seuls auteurs à avoir fait ce rapprochement (voir, entre autres, Michel-Alain Combes, La Terre Bombardée), mais leur cheminement dans le "labyrinthe de l'Histoire" et les nombreux exemples qu'ils mettent en évidence ne laissent aucune place au doute : la majorité des dieux célestes étaient, en réalité, des comètes.

Après plus de 30 ans de recherches et de recoupements soigneusement étudiés, ces deux astrophysiciens mondialement reconnus - qui ont passé la majeure partie de leur vie à scruter les cieux afin de repérer les astéroïdes et comètes dont la trajectoire pourrait croiser celle de la Terre - ont analysé et fait des rapprochements entre de nombreux domaines scientifiques (mythologie, témoignages antiques, carottages polaires, paléoastronomie, observations satellites, etc.) afin de dresser un tableau clair de l'histoire des comètes et des météorites, et d'en arriver à une compréhension juste de leur influence dans l'Histoire.

Après avoir expliqué de quelle façon, au cours des millénaires, l'importance des bolides cosmiques fut pratiquement réduite à néant - entre autres par l'attribution du nom des "dieux" aux planètes plutôt qu'aux comètes (qui subirent éventuellement une période de déclin, comme tout corps céleste) -, ils nous expliquent en détail le fonctionnement de la vie des comètes et leurs possibles impacts sur la vie terrestre. Pour faire une synthèse rapide, disons simplement que l'orbite d'une comète autour de notre soleil ne contient pas seulement ladite comète, mais une multitude de "morceaux de roche" allant de la simple poussière à des cailloux de tailles diverses , car elle se fragmente plusieurs fois au cours de sa vie et que ses fragments aussi se sectionnent en parcelles encore plus petites et ainsi de suite.
Cette orbite, lorsqu'elle croise le plan de l'écliptique, devient donc une zone hasardeuse où les collisions - d'intensité variable - sont possibles. Ce sont d'ailleurs ces zones orbitales qui sont responsables de spectacles cycliques tels que les perséides du mois d'août, car la Terre traverse un champ de débris laissé par une comète qui fut, à une certaine époque, visible à l'œil nu et qui avait, on le comprendra, le statut de dieu pour les anciens.

Ce qu'il faut saisir ici, c'est que la météorologie actuelle nous inculque la fausse conception - sous-entendue - que la Terre est un environnement clos, un système fermé, et que le reste des corps solides sont "là-bas", très loin de nous et donc pratiquement sans influence ni conséquence. Cet état de choses naît de la simple omission dans l'éducation populaire du fait que notre système solaire en entier, suivant son tuteur le soleil, voyage à la tumultueuse vitesse de 217 kilomètres par seconde dans une danse circulaire autour du centre galactique. Bien qu'on insiste régulièrement sur le fait que l'Univers est composé, en grande partie, de vide et donc qu'il ne représente aucun danger, celui-ci est pourtant rempli d'un nombre incalculable (voire infini) de corps en mouvement de toutes sortes : soleils, planètes, comètes, astéroïdes, nébuleuses (amas de gaz et de poussière de dimensions à couper le souffle), etc. Tous ces corps sont appelés, un jour où l'autre, à interagir les uns avec les autres, gravitation oblige. Croire que notre croisière intergalactique est ce qu'il y a de plus sécuritaire revient à penser qu'une balade à toute vitesse en voiture n'a rien de dangereux puisque la route est à 90% "vide". Pourtant, ces 90% sont remplis d'endroits comportant des voitures allant à sens inverse, des trous dans la chaussée, des enfants traversant aveuglément en quête de leur ballon et même des oiseaux de passage qui, malgré leur faible poids, réduisent en miettes le pare-brise, risquant ainsi de provoquer une perte de contrôle et un accident fatal.

Poussant plus loin leurs explications sur la nature de la danse mouvementée de l'Univers, Clube et Napier insistent sur le fait que notre système solaire, au cours de sa longue révolution autour du centre de la galaxie, coupe à deux reprises le plan galactique et subit donc des périodes où les rencontres célestes sont à leur maximum et d'autres où elles sont à leur minimum. Ceci s'explique par le fait qu'au plan galactique, la densité d'amas de matière est beaucoup plus grande que lorsque nous nous éloignons de ce plan.
(Image à titre d'exemple uniquement : la ligne blanche représentant le plan galactique et la ligne rouge le plan incliné de l'orbite du soleil)



Bien que la durée de ce cycle orbital soit approximativement de 230 millions d'années - ce qui suggère inconsciemment que nous ne courons aucun danger -, il serait d'une importance capitale de savoir où nous nous situons dans le moment présent. Qui plus est, d'autres facteurs, tout aussi importants, tels que le passage dans les bras spiraux de la galaxie, la traversée de nébuleuses, etc. jouent un rôle prépondérant dans l'activité cyclique des comètes dont la proximité est hasardeuse et possiblement désastreuse. (Notons ici, encore une fois, que l'étymologie nous renseigne amicalement sur certaines réalités tapies sous les mots. Désastre : disastro, de disastrato, astrol. "né sous une mauvaise étoile" ---> astre.)

Sans entrer plus en profondeur dans les détails de cette mécanique, je laisserai Victor Clube et Bill Napier nous résumer la situation actuelle :
"La position actuelle du soleil dans la galaxie créé les conditions d'un taux d'impact exceptionnellement élevé. Si le caractère épisodique de l'histoire de la Terre reflète le passage dans les bras spiraux, alors la position présente du soleil sur le bord interne du bras d'Orion nous assure d'être actuellement dans une phase active. En outre, le soleil vient tout juste de traverser le plan galactique, où les forces de marée agissant sur le nuage de comètes sont maximales ; l'intensité du flux cométaire passe donc en ce moment par les valeurs fortes de son cycle galactique. Le soleil vient également de traverser la Ceinture de Gould et subit de ce fait une force de marée exceptionnelle créée par un ancien nuage moléculaire en cours de désintégration. Enfin, il semble - on n'a pas encore de modèles précis à ce sujet - que le soleil ait traversé il y a quelques millions d'années seulement l'association Scorpion-Centaure, groupe de jeunes étoiles bleues et chaudes et de nébuleuses massives appartenant à la Ceinture de Gould. Cette rencontre a dû déclencher un épisode d'impact brutal qui n'est pas encore terminé, le déversement des comètes dans le système solaire se produisant dans les quelques millions d'années suivant encore.

En résumé, nous nous trouvons actuellement dans un environnement galactique fort agité puisque nous traversons un épisode d'impact et sommes tout près du point maximum d'un cycle galactique dont l'intensité est encore accrue par une nébuleuse massive. Il est donc probable que le taux d'impact des deux ou trois derniers millions d'années a été plusieurs fois supérieur - encore n'est-ce qu'une estimation prudente - à celui que révèle l'examen des cratères lunaires. Cette conclusion cadre à la fois avec les données terrestres (cratères et perturbations géologiques récents) et avec le nombre actuel d'astéroïdes géocroiseurs, trop important par rapport aux cratères lunaires observés." [1]
Bien entendu, lorsqu'il est question d' "actuellement", il est question ici d'une période de temps relativement grande (tel que mentionné) d'une durée de plusieurs milliers d'années, voire de millions d'années. Alors, en quoi devrions-nous nous inquiéter de ces découvertes ? Pour y répondre, nous devons nous pencher sur les données historiques qui nous sont accessibles ainsi que sur une minutieuse observation des temps présents.

Serait-il possible de valider la véracité de ces informations par un simple examen des cicatrices d'impact de la Terre ? Une rapide requête sur n'importe quel moteur de recherche sur le Web nous rapporte quelques images qui laissent songeur quant au nombre d'impacts et à leur ampleur.

(Cliquer pour agrandir)
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Manicouagan, Québec, 70 Km de diamètre
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Clearwater Lakes, Québec, 26 et 36 km de diamètre
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Lake Bosumtwi, Ghana, 10.5 km de diamètre
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Cratère d'impact Kaali, possiblement du 8e siècle. 100 mètres de diamètre et 20 de profond
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Lonar crater, cratère d'impact situé dans le Buldhana, districte de l'État Indien du Maharashtra. 1.83 km de diamètre et 170 mètres de profondeur
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Le grand cratère de Barringer, en Arizona
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Cratère d'impact Pretoria Saltpan, 1.13 km de diamètre

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Amguid, Algérie
En fait, il existe plus de 170 cratères d'impact dûment investigués et répertoriés. Le Earth Impact Database de l'Université du Nouveau Brunswick en publie une liste ici.

Le gros bon sens nous indique spontanément que notre chère Terre a été bombardée à plusieurs reprises, et ce, probablement beaucoup plus récemment qu'à l'époque où les dinosaures auraient supposément disparu, soit il y a "quelques millions d'années".

Mais plus que des spéculations, aurions-nous, de mémoire écrite dans l'Histoire, des impacts notoires que l'éducation populaire aurait omis de nous enseigner ? Malheureusement, la réponse est affirmative. En voici quelques exemples :
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En 1833, la pluie de léonides fut des plus spectaculaires. Plus de 200 000 météorites tombèrent en l'espace de quelque 7 à 9 heures ! D'après Sanderson (The night it rained fire) : "Le plus terrifiant dans cette averse, ce fut les nombreuses et étincelantes boules de feu". En effet, certaines étaient aussi brillantes que la pleine lune, et bien des gens furent réveillés par les nombreux éclairs illuminant leur chambre. Des dizaines des traînées de fumée furent parfois visibles simultanément. Essentiellement, il s'agissait de météores de type "étoiles filantes", venant par vagues et trop nombreux pour être comptés ! Le sentiment général était : "si les étoiles tombent, c'est que la fin du monde arrive".

Au 19e siècle, d'autres pluies météoritiques furent spectaculaires. Notons, entre autres, celles des Andromédides de 1872 et 1885. D'après le nombre de météores enregistrés, environ deux météores par seconde laissaient leur trace dans le ciel au plus fort de l'activité. Quelques années auparavant, en 1842/1843, la comète 3D/Biela s'était fragmentée et a continué à se désagréger lors des retours de 1846 et 1852. Lorsque l'essaim météoritique a été observé en novembre de 1872 et 1885, on a supposé que ces essaims étaient les débris de cette cassure.

Plus récemment, dans la matinée du 30 juin 1908, en Russie, un météorite a explosé en altitude à environ 5 km du sol au-dessus de la Toungouska. "L'explosion détruisit intégralement la forêt dans un rayon de plus de 20 km ; le souffle fit des dégâts sur plus de 100 km et la déflagration fut audible dans un rayon de 1 500 km. De nombreux incendies se déclenchèrent, brûlant des zones forestières pendant plusieurs semaines. Un vortex de poussière et de cendres se forma et fut entraîné jusqu'en Espagne par la circulation atmosphérique, créant des halos dans la haute atmosphère, qui s'étendirent sur tout le continent. Une luminosité exceptionnelle en pleine nuit fut constatée pendant plusieurs jours en Europe occidentale, à tel point qu'on pouvait lire un journal de nuit. Cette explosion libéra une énergie de 15 mégatonnes, soit mille fois la bombe d'Hiroshima. Si elle était tombée trois heures plus tard, la rotation de la Terre aurait amené Moscou juste en dessous du point d'impact." [2]

Encore plus près de nous dans le temps, quoique plus loin en distance, entre le 16 et le 22 juillet 1994 les collisions des différents fragments de la comète Shoemaker-Levy avec Jupiter ne laissèrent personne indifférent. Hautement médiatisés, ces impacts n'ont malheureusement pas su éveiller suffisamment les consciences sur le fait que ce type de collision n'arrive sûrement pas uniquement "là-bas", mais que la possibilité d'un tel cataclysme ici sur Terre est bien réelle.



Plus récemment encore, au Pérou, dans la région de Caranca, en septembre 2007, un météorite a frappé le sol et causé d'étranges désagréments aux résidents. Cet incident est passé pratiquement inaperçu - puisque non médiatisé -, mais on peut le retrouver ici et ici.
Si nous extrapolons quelque peu et revenons dans le passé, serait-il possible que la chute d'un grand nombre de civilisations et d'empires, si on y regarde de plus près, ait été causée par des impacts météoriques ? À la lumière des recherches du Dr. Clube et du Dr. Napier, il devient évident qu'il en fut ainsi.  Divers textes anciens, relatant la destruction de villes entières aux mains d'un "ennemi" céleste ou tout simplement d'un ennemi si puissant et si dévastateur qu'il était impossible de l'identifier clairement autrement qu'en le nommant "colère des dieux", nous permettent de mettre en doute les interprétations habituelles des disparitions de certaines civilisations. Villages entiers, récoltes et boisés complètement incendiés pullulent entre les lignes de l'Histoire officielle. Destructions totales, famines et exodes sont bien plus près de la règle que de l'exception.
"Car on vit partout dans le monde les étoiles du ciel tomber vers la terre, serrées ensemble et denses comme grêle et flocons de neige. Peu après, une voie de feu parut dans les cieux ; et après un court laps de temps, le ciel prit la couleur du sang." -Recueil des historiens des croisades

"Dynastie Han, règne de Yuan-yan, jour Ding-you du 4e mois de l'an I [22 mai de l'an -12]. À l'heure rifu [entre 15 et 17h], le ciel était sans nuage. Il y eut un grondement pareil à celui du tonnerre. Venu de dessous le soleil, un météore aussi gros qu'un fou [pot en terre] et long de dix zhang [120 degrés] au moins, d'un rouge et d'un blanc vifs, se dirigea vers le sud-est. De brillants météores, dont certains étaient gros comme des bols et d'autres comme des œufs de poule, se mirent à pleuvoir dans toutes les directions. Cela ne cessa qu'à la nuit tombante " -Tian-Shan, Ancient Chinese Observations
L'astronome Michel-Alain Combes résume le phénomène de cette façon :
"L'universalité de cette notion de cycles cosmiques est la preuve que des catastrophes importantes, pouvant causer la mort d'une partie appréciable des populations humaines et animales, ont été le lot de toutes les parties du monde. Étonnamment, le langage est le même dans le Bassin méditerranéen, qu'en Amérique centrale, en Extrême-Orient ou en Polynésie.

Cependant, il faut bien insister sur le fait que, dans la plupart des cas, il s'agissait d'événements régionaux qui n'ont pu semble-t-il concerner l'ensemble de la planète. Les effondrements périodiques du firmament ou les pluies de feu souvent citées dans les textes et traditions orales des Anciens se rapportent à des cataclysmes cosmiques (certainement la collision de petits astéroïdes ou de comètes ou de leur explosion dans l'atmosphère) plus ou moins importants, mais surtout beaucoup plus fréquents que ce que l'on croyait jadis."[3]
Effectuer une telle revue historique, même partielle, dépasse largement la portée de cet article, mais le lecteur intéressé pourra se procurer l'excellent ouvrage Hiver Cosmique pour des exemples concrets ou encore lire l'ouvrage - tout aussi intéressant - de Michel-Alain Combes, La Terre Bombardée (disponible sur le site officiel et dans la Bibliothèque électronique).

À la lumière de tout ceci, il devient évident que l'impactisme et le catastrophisme, largement ridiculisés et niés (notons d'ailleurs que le mot impactisme, quoique "couramment" utilisé, ne figure dans aucun dictionnaire), sont des concepts que nous devrions prendre très au sérieux, car comme le dit si bien Michel-Alain Combes : "Le cataclysme est la règle, PARTOUT, TOUJOURS.", "[…] nous vivons dans un Univers violent en permanence, dans lequel le cataclysme est la règle et non l'exception."

Plusieurs sites Web tirent d'ailleurs la sonnette d'alarme à ce niveau en recueillant les fréquentes observations de météorites (plus fréquentes que nous le croirions à priori) et en insistant sur l'importance de cette réalité non médiatisée. Le lecteur intéressé à se faire une meilleure idée de la fréquence à laquelle nous sommes littéralement bombardés pourra visiter le blog du Quantum Future Group dédié au phénomène. NewsOfTomorrow fait aussi un bon travail en recueillant ces observations (qui nécessitent, dans la majorité des cas, une traduction puisque ces articles se rendent rarement jusqu'à la presse française).

En somme, il est de plus en plus clair qu'il pleut, littéralement, des roches - et de grosses roches de surcroît - avec une régularité et une fréquence qu'il nous faut absolument cesser d'ignorer. Cet état des choses est d'une importance capitale puisqu'il a, depuis trop longtemps, été ignoré et qu'à cet égard notre civilisation est bâtie sur un château de cartes très fragile. En effet, minimisant les possibilités d'impact au point de les ignorer totalement, il en résulte que l'infrastructure de nos sociétés n'est pas conçue pour répondre adéquatement à de tels cataclysmes, même régionaux. Notre dépendance à l'électricité pour les tâches aussi vitales que la préparation de la nourriture en témoigne allègrement. Jusqu'à nos soins de santé qui ne peuvent opérer (jeu de mots non intentionnel) sans cette infrastructure précaire dont le moindre séisme rend inopérante. Il devient donc impératif d'ajuster nos pratiques de vie en conséquence. Combien de nous ont assez d'eau et de nourriture pour subsister une, deux ou trois semaines sans recourir au pillage, au vol ou autres agissements de la sorte en temps de crise ? Combien de nous ont une trousse de premiers soins à portée de la main et combien de nous savent réellement s'en servir ? Nous sommes très peu à avoir une base en premiers soins. Comment traiter une entorse, une brûlure sérieuse, une cassure ou un arrêt cardiaque ?

Sans nécessairement vouloir être alarmiste, notre dépendance généralisée aux soins de santé institutionnalisés nous laisse totalement démunis en cas de sinistre, quel qu'il soit. Notre dépendance à l'énergie aussi doit être revue. Sans électricité, point de pompes fonctionnelles dans les stations-services, donc essence indisponible, donc transport impossible. Et que dire de l'argent ? Sans électricité, aucun guichet pour nous servir, aucun système informatique bancaire pour répondre à la demande. Nous ne sommes pas préparés à de telles éventualités et le chaos social qui en résulterait ne ferait qu'augmenter le problème. Nous avons été habitués à attendre patiemment que les secours arrivent, mais s'il n'y avait pas de secours ? Savons-nous simplement comment rendre l'eau souillée potable à nouveau ? Encore une fois, le but ici n'est pas d'être alarmiste, mais simplement de prendre conscience que nous ne sommes pas équipés en termes de préparation psychologique, ni en termes de logistique, d'équipements et de vivres à faire face à quoi que ce soit qui dépasse la simple panne d'essence. Même les téléphones cellulaires "sauveurs de vie" risquent fortement de n'être d'aucune utilité dans pareils cas. Seuls un courage bien placé, des connaissances adéquates et un minimum de préparation seront salvateurs.
Prenons exemple sur les grands et les richissimes de ce monde qui, eux, se préparent visiblement à quelque chose d'importance en multipliant les bases souterraines et les télescopes observateurs de météores. Ne nous sommes-nous pas posé des questions en apprenant la construction d'une "Arche de Noé verte" financée par nul autre que Bill Gates appuyé de ses amis Rockfeller, Monsanto et compagnie ? Bien sûr, le vert est à la mode, mais encore. "Cela sonne comme une prise de conscience des dangers qui guettent notre monde" commente techno-science.net avec raison. "Que craignent-ils ? Que savent-ils ? Que préparent-ils ?" se demande (à juste titre) Roberto sur son blog. Craignent-ils que la présente pluie météorique ne touche le sol ? Savent-ils qu'une comète à orbite millénaire nous rendra visite sous peu ? Une chose est certaine, ils se préparent à quelque chose d'ordre cataclysmique.
Plus nous nous renseignons sur la réelle nature des bouleversements climatiques, plus nous observons notre ciel et y constatons une géoingénierie déformant le visage habituel des nuages, plus nous nous rendons compte qu'on nous ment et nous détourne de ce qui est important à l'aide des médias de masse, plus il devient clair que nous sommes laissés à nous-mêmes tant pour trouver la vérité que pour s'y préparer. Notre seule planche de salut à cet égard est une prise en charge de notre responsabilité personnelle face à nos dépendances au système présent, car personne ne le fera pour nous. Nous sommes littéralement laissés à nous-mêmes.

En guise de conclusion, peut-être que la fascination de la race humaine pour le ciel, évidente à travers toutes les civilisations et toutes les époques, vient directement du fait que celui-ci est très imprévisible et qu'il est cycliquement dévastateur. Il se devait donc d'être étudié très sérieusement afin de possiblement pouvoir prévenir le moment des catastrophes et de s'y préparer en creusant des tunnels ou en se réfugiant dans des grottes le temps que le calme revienne. Peut-être que les Gaulois avaient toutes les raisons du monde de craindre que "le ciel leur tombe sur la tête" puisque, après tout, celui-ci ne cesse de le faire à intervalles réguliers.

"Chéri, quel temps fera-t-il demain ?" me demande ma douce, en bonne Québécoise.

"Mon amour, je crains bien que demain… il pleuvra."



- Webmestre Zone-7
2 septembre 2009

usa les chomeurs ne sont plus indemnisés des etats au bord de la faillitte

1_billlundi 10 août 2009 par Archétype

      

(Source : Libertés Internets d’après The New York Times)

Pendant des décennies, les Etats ainsi que les autorités fédérales aux Etats-unis ont négligé le système d’assurance chômage, allant même jusqu’à quasiment le faire disparaître dans certains cas. Aujourd’hui, alors que la crise frappe de plein fouet le pays, le nombre de chômeurs explose, mettant à l’épreuve ce qui reste du système d’assistance sociale : allocation chomage, bons alimentaires et aides financières aux nécessiteux.

Leurs budgets lourdement amputés par des investissements risqués, les Etats voient par ailleurs leurs revenus fiscaux décliner avec la disparition de nombreuses entreprises et l’insolvabilité de centaines de milliers de leurs citoyens.

En résultat, de très nombreux Etats ne disposent plus des liquidités nécessaires pour verser les indemnités aux chomeurs et reportent le versement à plus tard – dans certains cas, des chomeurs attendent le versement de leur allocation depuis plusieurs mois.

Les centrales d’appel et agences pour l’emploi sont débordées. Parmi les millions de nouveaux chomeurs, certains ont déposé leur dossier au mois d’Octobre 2008 et attendent encore l’examen de leur situation !

Seize Etats des USA, ayant épuisé leurs budgets, ont déjà été obligés d’emprunter aux banques les sommes nécessaires aux paiements des allocations sociales (chomages, famille, médicales…). Ils pourraient être 32 Etats dans ce cas avant la fin de l’année.

2 septembre 2009

le krack mondiale arrive une véritable récession!!!

      

iceberg(Source : counterpunch.org, traduction : questionscritiques.free.fr)

Le crédit ne coule pas à flots. En fait, le crédit se contracte. Et lorsque le crédit se contracte dans une économie basée sur la consommation, de vilaines choses arrivent. Les investissements des entreprises chutent, le chômage monte en flèche, les revenus plongent et le PIB rétrécit. La FED a dépensé plus d’un trillion de dollars pour tenter d’obtenir des consommateurs qu’ils empruntent à nouveau, mais sans succès. Les moteurs du crédit aux Etats-Unis tournent au ralenti.

Le président de la Réserve Fédérale, Ben Bernanke, a augmenté les excédents de réserves dans le système bancaire de 800 milliards de dollars, mais les prêts sont toujours très faibles. Les banques amassent du capital afin de faire face aux pertes causées par les actifs toxiques, par les prêts non performants et une bulle de l’immobilier commercial s’élevant à 3.500 milliards de dollars, qui suit à celle des logements jusqu’aux latrines. Voilà pourquoi le nombre de faillites bancaires s’accélère. 2010 sera encore pire ; la liste s’allonge. C’est une véritable boucherie ! Les critères pour obtenir un prêt ordinaire sont devenus plus sévères, tandis que la réserve d’emprunteurs qualifiés et solvables s’est réduite comme peau de chagrin. Cela signifie moins de crédit pour alimenter le système. Le système bancaire de l’ombre a été entravé par le gel de la titrisation et ne fournit qu’une portion insignifiante du crédit nécessaire pour faire croître l’économie. Les initiatives de Bernanke n’ont pas fait la moindre différence. Le crédit continue de s’assécher.

Le S&P 500 [l’indice élargi de la bourse de New York] a augmenté de 50% depuis ses plus bas de mars dernier. Les financières, le commerce de détail, les matériaux de construction et les industrielles font la course en tête. C’est un rallye boursier dans un marché baissier, sur « signe de reprise » alimenté par le « Quantitative Easing »[1] de la FED, qui fait entrer de force des liquidités dans le système et qui fait monter les actions. La même chose s’est produite pendant la Grande Dépression. Les actions ont bondi après 1929. Ensuite, la tendance dominante a repris le dessus et entraîné le Dow dans une chute de 89% par rapport à ses plus hauts précédents. Les plus bas de mars du S&P seront à nouveau testés avant que la récession ne soit terminée. Un effet de levier inversé est en cours dans tout le système. L’économie se recale à un niveau plus faible d’activité.

Personne ne se laisse abuser par les feux d’artifices tirés par Wall Street. La confiance du consommateur continue de chuter. Tout le monde sait que les choses vont mal. Tout le monde sait que les grands médias mentent. Les restaurants et les centres commerciaux sont vides, le nombre de sans-abri augmente à vitesse grand V et même les grands magasins et les hypermarchés ont stoppé les embauches. Les uniques « signes de reprise » sont à Wall Street, où tout le monde touche des subventions de la part d’Oncle Sam.

Bernanke a frappé un grand coup. Il a abaissé les taux d’intérêt jusqu’à zéro, installé une protection de 13.000 milliards de dollars pour l’ensemble du système financier, étayé les institutions financières insolvables et monétisé 1.000 milliards de dollars des titres adossés aux crédits hypothécaires et à la dette souveraine du gouvernement des Etats-Unis. Rien n’a marché. Les revenus chutent, les banques réduisent les lignes de crédit, l’épargne retraite a été divisée par deux et les pertes sur les investissements immobiliers continuent de s’accumuler. Les niveaux de vie ne peuvent plus être maintenus artificiellement par les cartes VISA ou du Diner’s Club. La dépense des ménages ne repose plus que sur un seul salaire. Voilà pourquoi les ventes de détail, les voyages, l’amélioration de l’habitat, les articles de luxe et les hôtels connaissent une baisse à deux chiffres. L’argent s’est raréfié.

Selon Bloomberg :

« Les emprunts de la part des consommateurs américains ont chuté en juin pour le cinquième mois consécutif alors que le taux de chômage a augmenté, que l’obtention de prêts est resté difficile et que les ménages ont remis à plus tard leurs achats majeurs. Selon le rapport de la Réserve Fédérale publié lundi à Washington, le crédit à la consommation a chuté de 10,3 milliards de dollars – soit 4,92 % en rythme annuel – à 2,5 trillions de dollars. Cette série de déclin est la plus longue depuis 1991.

Un taux de chômage proche de son plus haut en 26 ans, des revenus qui stagnent et des logements dont la valeur chute veulent dire que la dépense des consommateurs prendra du temps pour se redresser lorsque la récession s’atténuera. Les revenus ont atteint leur plus bas depuis quatre ans, en juin dernier, alors que les anciens transferts sociaux du plan de stimulation de l’administration d’Obama se sont taris et que le chômage est attendu au-dessus de 10% l’année prochaine avant de refluer. »

Quel désastre ! La FED a assumé des pouvoirs presque dictatoriaux pour combattre un monstre qu’elle a elle-même créé et elle n’est arrivé à rien. L’économie réelle est toujours au quatrième dessous. Bernanke n’a rien obtenu avec ses taux d’intérêt à zéro pour-cent. Son programme de monétisation (« Quantitative Easing ») n’a eu pour résultat que de faire fuir les étrangers. Vendredi dernier, voici ce que Marketwatch rapportait :

« Les gros courtiers en obligations disent que la Réserve Fédérale permettra probablement à son programme d’achat de bons du trésor, pour un montant de 300 milliards de dollars, de s’arrêter au cours des six prochaines semaines alors que les signes d’un redressement de l’immobilier poussent la banque centrale à désengager ses interventions les plus agressives et les plus inhabituelles dans les marchés financiers. »

Bien. Est-ce qu’il y a quelqu’un qui pense que le marché de l’immobilier se redresse ? Au cours du premier semestre, il y a déjà eu 1,9 millions de saisies de logements.

La FED délaisse la planche à billet (sans doute) parce que les Chinois ont dit à Geithner de cesser d’imprimer des billets, sinon ils vendront leur Bons du Trésor. C’est une mise en garde en direction de Bernanke pour lui signifier que le pouvoir se déplace de Washington vers Pékin.

Cela met Bernanke dans le pétrin. S’il arrête de faire tourner la planche à billets, les taux d’intérêt monteront en flèche, les actions s’effondreront et le prix des logements dégringolera. Mais s’il continue à la faire tourner, la Chine se débarrassera de ses Bons du Trésor et il y aura une ruée spéculative sur le dollar. Que faire ? Dans les deux cas, le malaise sur les marchés du crédit persistera et la consommation continuera de bafouiller.

Le problème de base est que les consommateurs croulent sous une montagne de dettes et qu’ils n’ont pas d’autre choix que de réduire leurs dépenses et de commencer à épargner. Actuellement, le ratio dettes sur revenu disponible est de 128%, juste un poil en dessous de son plus haut jamais enregistré en 2007, à 133%. Selon la Banque de Réserve Fédérale de San Francisco (FRBSF), dans sa lettre économique intitulée L’effet de levier inversé pour les ménages américains et la croissance future de la consommation :

« La combinaison d’une dette plus élevée et d’une épargne plus faible a permis aux dépenses des consommateurs de croître plus vite que le revenu disponible, apportant une stimulation importante de la croissance économique aux Etats-Unis pendant une certaine période. Cependant, sur le long terme, la consommation ne peut pas croître plus vite que les revenus, parce qu’il y a une limite maximale à la quantité de dettes qu’un ménage peut servi, en fonction de ses revenus. Pour de nombreux ménages américains, les niveaux actuels d’endettement semblent trop élevés, comme le prouve l’augmentation brutale des défauts de paiement et des saisies ces dernières années. Pour atteindre un niveau soutenable d’endettement par rapport à leurs revenus, les ménages pourraient avoir besoin d’endurer une période prolongée d’effet de levier inversé, où la dette est réduite et l’épargne est augmentée. Dans le futur, il semble probable qu’un grand nombre de ménages américains réduiront leur dette. Si cela s’accomplit au moyen d’une épargne accrue, le processus d’effet de levier inversé pourrait résulter en un ralentissement important et prolongé de la dépense des consommateurs en comparaison aux taux de croissance d’avant la récession. » (U.S. Household Deleveraging and Future Consumption Growth, de Reuven Glick et Kevin J. Lansing, FRBSF Economic Letter)

Une lecture attentive de la Lettre Economique de la FRBSF montre pourquoi l’économie ne rebondira pas. C’est mathématiquement impossible. Nous avons atteint un pic de crédit ; les consommateurs doivent réduire leur exposition à la dette et rapiécer leurs bilans. La richesse des ménages s’est évaporée de 14 trillions de dollars depuis le début de la crise. La valeur des logements a chuté de 41% (un nouveau plus bas) et les sans-emploi sont de plus en plus nombreux. La Deutsche Bank prédit que d’ici 2011 48% de tous les propriétaires ayant un crédit hypothécaire seront sous l’eau. Au fur et mesure que la valeur des logements baisse, les banques resserreront le crédit accordé à ces propriétaires et les saisies se multiplieront.

Le comité de direction du FMI ne partage pas le point de vue optimiste de Wall Street pour le futur, la raison pour laquelle il a publié un mémo qui déclarait ceci :

« Les directeurs [du FMI] ont observé que cette crise aura d’importantes implications pour le rôle des Etats-Unis dans l’économie mondiale. Il est peu probable que le consommateur américain jouera le rôle d’ « acheteur mondial de dernier recours » - d’autres régions du monde devront jouer un rôle accru pour soutenir la croissance mondiale. »

Les Etats-Unis ne sortiront pas de cette récession comme le centre de la demande mondiale. Cette époque est révolue. Le monde change et le rôle des Etats-Unis s’amoindrit. Au fur et à mesure que les marchés américains seront de moins en moins attirants pour les exportateurs étrangers, le dollar perdra sa position de devise de réserve mondiale. Comme va le dollar, va l’empire. Vous voulez un conseil : Apprenez le mandarin ! Emploi défaillant : un redressement qui n’en est pas un

Les chiffres de l’emploi pour le mois de juillet ont été meilleurs que prévus (négatifs de 247.000), portant le taux de chômage de 9,5% à 9,4%. C’est bien. Les choses empirent à un rythme plus faible. Mais ce qui est étonnant dans les chiffres du Bureau du Travail est qu’il n’y a aucune hausse des emplois dans quelque secteur économique que ce soit. Aucun signe de vie. L’externalisation et la délocalisation se poursuivent et rétrécissent la voie vers la profitabilité. Voilà pourquoi les revenus baissent tandis que les profits augmentent. Partout, les entreprises anticipent une demande plus faible. Le rapport qui a été publié sur l’emploi est un événement exceptionnel : une accalmie dans la tempête avant que les licenciements ne reprennent.

Le chômage augmente, les salaires baissent et le crédit se contracte. Tout l’argent afflue vers les gangsters qui se trouvent aux commandes. Voici un extrait d’un article récent de Don Monkerud qui résume tout :

« Durant les huit années de l’Administration Bush, les 400 Américains les plus riches, qui possèdent désormais plus que les 150 millions d’Américains les plus pauvres réunis, ont accru leur richesse nette de 700 milliards de dollars. En 2005, les 1% les plus riches captaient 22% du revenu national et les 10% les plus riches, la moitié du revenu total, la plus grande proportion depuis 1928.

Plus de 40% du PIB provient des 500 plus grosses entreprises. Selon le World Institute for Development Economics Research, les 500 plus gros conglomérats des Etats-Unis « contrôlent les deux tiers des ressources des entreprises, emploient les deux tiers de la main d’œuvre industrielle, comptent pour 60% des ventes et collectent 70% des profits. »

En 1955, les chiffres des services fiscaux indiquaient que les 400 personnes les plus riches des Etats-Unis pesaient en moyenne 12,6 millions de dollars, en dollars courants. En 2006, les 400 personnes les plus riches pesaient en moyenne 263 millions de dollars de plus, représentant, aux Etats-Unis, un déplacement énorme de richesse vers le haut. ("Wealth Inequality destroys US Ideals", L’inégalité en matière de richesse détruit l’idéal américain, Don Monkerud, consortiumnews.com)

Ce n’est pas par accident que les travailleurs sont pas écrasés, ils le sont selon un plan. C’est la façon dont le système est conçu pour fonctionner. Bernanke sait qu’une demande soutenue nécessite des salaires plus élevés et une classe moyenne indispensable. Mais Bernanke travaille pour les banques, ce qui explique pourquoi la politique monétaire de la FED reflète les objectifs de la classe des investisseurs. Une économie basée sur des bulles n’est pas la voie vers une économie forte et durable, mais c’est un outil efficace pour déplacer la richesse d’une classe vers l’autre. Le boulot de la FED est de faciliter cet objectif, ce qui explique pourquoi l’économie va à vau-l’eau.

Le krach de l’économie est la conséquence logique de la politique monétaire de la FED. Voilà pourquoi c’est une erreur de dire que l’effondrement actuel est une « récession ». Ce n’en est pas une. C’est une démolition programmée.

2 septembre 2009

union asiatique en marche inde et chine

Géopolitique : rapprochement croissant de l’Inde et de la Chine


jeudi 13 août 2009 par zef

      

(Source : Nation presse)

Lors d’un entretien capital samedi 8 août 2009 à New Dehli entre le premier ministre indien Manmohan Singh et le conseiller d’État chinois Dai Bingguo, la Chine et l’Inde ont décidé de poursuivre leur rapprochement (géo)politique et de renforcer leur coopération bilatérale dans les domaines économique, commercial, culturel, scientifique et technologique. Avec la résolution progressive d’un ancien litige territorial dans la zone himalayenne, ces deux géants émergents aux populations de 2,5 milliards d’habitants sont fermement décidés à développer conjointement leurs économies intérieures et favoriser l’émergence d’un monde multipôlaire respectueux des nations souveraines. En raison de sa nature technocratique et de sa philosophie atlanto-mondialiste, l’UE des 27 représente une monstrueuse entité politique, destinée à affaiblir et faire disparaître des nations souveraines plurimillénaires.

Repères historiques : de la guerre sino-indienne de 1962 à l’accord Jiabao-Singh du 12 avril 2005

La Chine et l’Inde partagent dans la zone himalayenne une frontière de 3.500 km connue sous le nom de ligne McMahon et définie le 27 avril 1914 lors de la Convention de Simla. Mao Zedong (26/12/1893-09/09/1976) dirigea la Chine à partir du 1er octobre 1949. Jawaharlal Nehru (14/11/1889-27/05/1964) dirigea l’Inde dès son accession à l’indépendance le 15 août 1947. Fervent adversaire des anciennes puissances coloniales, le progressiste Nehru avait élaboré une vision géopolitique revancharde, selon laquelle l’Inde et la Chine s’uniraient pour dominer le monde issu de la seconde guerre mondiale et des multiples décolonisations.

Nehru fut ramené à des réalités plus concrètes et amères lorsque la Chine attaqua unilatéralement l’Inde à partir du 10 octobre 1962. Mal préparée à se battre dans des zones de très haute montagne, l’armée indienne fut incapable de riposter à l’agression chinoise et battit en retraite. Lors du cessez-le-feu décrété le 20 novembre 1962, l’armée chinoise (APL) était victorieuse mais choisit d’arrêter sa progression sur le territoire indien. Le conflit sino-indien provoqua la mort de 3.000 indiens et 900 chinois, essentiellement des militaires.

L’Armée Populaire de Libération (APL) se retira rapidement du futur État indien de Arunachal Pradesh et libéra dès 1963 les prisonniers indiens.

En revanche, la Chine poursuivit l’occupation militaire de l’Aksai Chin, actuellement administré par la région autonome du Xinjiang. Étendue sur 37.350 km2 dans une zone montagneuse très difficile d’accès, l’Aksai Chin comprend la partie septentrionale du Cachemire et partage des frontières communes avec l’Inde, le Pakistan et la Chine (régions autonomes du Xinjiang et du Tibet). En raison de ses excellentes relations diplomatiques, économiques et commerciales avec le géant asiatique, le Pakistan avait donné à la Chine en 1963 une petite portion supplémentaire de l’Aksai Chin. Comme l’Inde et la Chine ont par la suite observé un statu-quo, ce litige territorial en zone himalayenne n’a jamais dégénéré.

À l’extrémité occidentale de l’Aksai Chin, le col de Karakoram est situé à la jonction de l’Inde, du Pakistan et de la Chine (Xinjiang). Reliant le Tibet au Xinjiang, la China National Highway 219 traverse l’Aksai Chin et représente une infrastructure géostratégique majeure.

Le rapprochement géopolitique de l’Inde et de la Chine s’effectua d’abord au sein de structures informelles et respectueuses des nations souveraines : le BRIC et l’OCS. Acronyme pour Brésil, Russie, Inde, Chine, le BRIC rassemble ces quatre pays émergents, décidés à pratiquer concrètement une coopération économique de proximité. En raison de leurs spectaculaires développements industriel et économique, la Chine et l’Inde ont un cruel besoin de ressources naturelles (pétrole, gaz) que la Russie et la Brésil possèdent en abondance.

Créée les 14 et 15 juin 2001 dans la capitale économique de la Chine, l’Organisation de Coopération de Shanghaï (OCS) rassemble la Russie, la Chine et quatre pays d’Asie Centrale, le Kazakhstan, le Tadjikistan, le Kirghizistan et l’Ouzbékistan. Basée sur une coopération de proximité, cette structure géostratégique et économique compte quatre membres observateurs, la Mongolie depuis 2004, l’Inde, le Pakistan et l’Iran depuis 2005.

Le 12 avril 2005 constitua une date historique et un tournant capital pour les relations diplomatiques sino-indiennes. Ce jour là, deux réformateurs visionnaires se rencontrent à Bangalore (Sud, État de Karnataka) et signent un accord bilatéral, qui amorce non seulement un réchauffement diplomatique mais surtout un fructueux processus de coopération économique, commerciale, culturelle, géopolitique, technologique et scientifique entre les deux géants économiques émergents.

Venu spécialement à Bangalore fleuron scientifique et technologique de l’Inde, Wen Jiabao est le premier ministre chinois depuis le 16 mars 2003. Né le 15 septembre 1942 dans la municipalité autonome de Tianjin, Wen Jiabao effectua des études de géologie et devint ingénieur. Avec le président Hu Jintao en poste depuis le 15 mars 2003, il mène une audacieuse politique de réformes politiques et économiques. En février 2007, il prononça son plus important discours où il expliqua que la démocratie était un concept universel et non occidental et où il plaida pour une progressive démocratisation de la vie politique chinoise après l’adoption de nécessaires réformes économiques et éducatives.

Premier sikh à devenir Premier ministre en Inde, Manmohan Singh assure cette fonction depuis le 22 mai 2004. Né le 26 septembre 1932 dans une modeste localité aujourd’hui en territoire pakistanais, Manmohan Singh effectua de brillantes études économiques au sein des prestigieuses Universités d’Oxford, de Cambridge et du Penjab. Lorsque il fut ministre des Finances durant près de cinq ans (21 juin 1991-16 mai 1996), Manmohan Singh mit en application un audacieux programme de réformes économiques. Très apprécié de ses concitoyens, il favorisa notamment l’ouverture économique et commerciale mondiales de l’Inde ainsi que l’émergence d’une classe moyenne de plus ou plus nombreuse, gage d’une prospérité économique solide et durable.

Le décollage économique conjoint de l’Inde et de la Chine a favorisé un certain apaisement sur les différents litiges territoriaux de la zone himalayenne. Ces questions épineuses, qui avaient empoisonné les relations diplomatiques et commerciales sino-indiennes durant plus de quatre décennies, se résolvent progressivement grâce à la coopération de deux nations souveraines et non sous l’égide d’organismes internationaux comme l’ONU ou pourquoi pas l’UE des 27. Sur un plus long terme, l’accord sino-indien du 12 avril 2005 devrait déboucher sur l’établissement d’une zone de libre-échange, rassemblant un marché économique de 2,5 milliards de personnes. En 2000, les échanges commerciaux indo-chinois se montaient à seulement à 3 milliards $. En l’espace d’une seule décennie, ils devraient s’établir à 60 milliards $ (selon des prévisions pour 2010).

Iekaterinburg et New-Dehli : consolidation de la coopération bilatérale sino-indienne Les rencontres politiques et géostratégiques de haut niveau se sont régulièrement poursuivies entre les dirigeants chinois (Hu Jintao, Wen Jiabao) et indien (Manmohan Singh). Les sommets économique et géostratégique annuels du BRIC et de l’OCS favorisent les rencontres politiques de chefs d’État et de premiers ministres.

Le dernier Sommet du BRIC-OCS s’est déroulé entre les 14 et 16 juin 2009 dans la ville russe de Iekaterinburg. Complètement occultées par les médias du Système, d’importantes rencontres politiques eurent lieu en marge des discussions. Le 16 juin 2009, le président chinois Hu Jintao s’était longuement entretenu avec son homologue iranien Mahmoud Ahmadinejad. La veille s’était déroulé un entretien capital entre Hu Jintao et le premier ministre indien Manmohan Singh. Outre les habituels points de discussion (litiges frontaliers, Défense, géopolitique, commerce), les deux dirigeants ont évoqué la prochaine visite en Chine de la présidente indienne Pratibha Patil attendue au second semestre de 2009. Élue le 19 juillet 2007, Pratibha Patil est la première femme indienne à accéder à la fonction présidentielle.

Au début de son entretien avec Manmohan Singh à New-Dehli samedi 8 août 2008, le conseiller d’État chinois Dai Bingguo a transmis les salutations de Hu Jintao, de Wen Jiabao ainsi que son message oral. La Chine et l’Inde, qui se sont conjointement efforcés de juguler les effets les plus nocifs de la crise systémique globale, sont décidés à renforcer et consolider leur partenariat de coopération stratégique. La rencontre fut également dominée par les questions géopolitiques et de relations internationales en Asie et dans le reste du monde.

Inde : délocalisations technologiques et scientifiques depuis le Royaume-Uni

Situé à proximité d’un carrefour autoroutier (M1 et M62) et d’un dynamique aéroport international, Leeds avait bâti sa prospérité industrielle sur l’extraction minière longtemps florissante dans le Yorkshire. Comme d’autres villes industrielles du Royaume-Uni (Liverpool, dans le Nord-Ouest, Birmingham dans les Midlands de l’Ouest et Sheffield également dans le Yorkshire), Leeds souffrit de la récession économique et de l’inéluctable désindustrialisation durant les années 1970-1980. Rappelons au passage l’énorme responsabilité politique des Travaillistes puis des Conservateurs emmenés par l’inflexible Margareth Thatcher (1979-1991) et son terne successeur John Major (1991-1997). Les politiques euro-mondialistes, libre-échangistes et ultralibérales avaient accéléré l’inexorable processus de désertification économique et de délocalisations vers l’Inde.

Néanmoins au début des années 1990, de nombreux centre d’appels et plateformes téléphoniques s’étaient installés à Leeds. Logiquement, ces équipements furent rapidement délocalisés vers Bangalore, spécialisé dans la recherche technologique, scientifique et également tourné vers les télécommunications.

La Chine fut parfois surnommée « l’usine du monde ». Avec les délocalisations ‘intellectuelles’ des années 1990-2000, l’Inde s’est progressivement transformé en un vaste fournisseur mondial de services (comptabilité, correction d’examens, tourisme médical, mise en forme de rapports médicaux, conception de logiciels et d’ordinateurs, télécommunications et plateforme de renseignements). Les principales victimes de ces délocalisations d’en haut sont d’abord des pays anglophones, à commencer par le Royaume-Uni.

Face à cette coopération bilatérale qui s’avère fructueuse pour les deux géants asiatiques, l’UE des 27 apparait comme une structure archaïque, technocratique et oppressante pour ses états membres. Acquise aux concepts géopolitiques des atlanto-mondialistes, l’UE des 27 affaiblit délibérément les diverses nations qui la composent. Antichambre du Nouvel Ordre Mondial, l’UE des 27 nous isole progressivement du reste du monde et nous habitue à une conception géopolitique unipôlaire du monde. Avec le libre-échangisme ultralibéral et le bannissement de toute notion protectionniste, l’UE des 27 est ainsi ouverte à toutes les tempêtes financières et économiques mondiales. Dénuée de toute protection élémentaire, l’UE des 27 favorise sciemment la disparition de l’agriculture, de la pêche et des activités industrielles de ses pays membres. Parmi les nations les plus affectées, figure la France qui a subi une accélération des délocalisations d’entreprises vers l’Europe centrale (Pologne, Slovaquie, Roumanie), vers le Maghreb ou la Chine (Airbus à Tianjin).

Dans le même temps, l’Inde et la Chine utilisent tous les avantages du mondialisme et savent appliquer un protectionnisme raisonnable même si ces nations émergentes s’en défendent publiquement. Pour la France, l’objectif immédiat le plus urgent consisterait à se retirer graduellement de l’UE des 27 ainsi que de l’OTAN, organismes supranationaux au service exclusif des atlanto-mondialistes. Ensuite, la France pourrait appliquer des mesures protectionnistes adaptées (droits de douane négociables et modulables) et initier un fructueux processus de coopération bilatérale avec divers pays émergents non alignés (Brésil, Russie, Inde, Chine sans négliger l’Iran et son impressionnant développement technologique). Dans le cas contraire, ces différents pays émergents à commencer par la Chine et l’Inde, supplanteront très rapidement les anciens pays européens en voie de désindustrialisation avancée.

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