ovnis mythe ou réalité ?
Les OVNI existent-ils ?
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En 1962, "le général Douglas Mac Arthur déclarait à West Point que les nations de la Terre devraient un
jour s'unir contre les peuples d'autres planètes.
- Nous parlons ici, insistait-il, d'une guerre totale entre la race humaine unie et les forces ennemies de
quelque autre système planétaire.
Le rang, le renom, l'expérience du général valurent à ses propos une large diffusion à la radio."
{Livre, Etrangers de l'espace (Les), E. Keyhoe Donald (Major), Ed. France Empire}
"Les services de renseignements britanniques et américains retiennent l'hypothèse selon laquelle ce
seraient des extra-terrestres qui nous auraient apporté la civilisation."
{Livre, Porte des Etoiles (La), Picknett Lynn, Prince Clive, Ed. du Rocher, Lynn Picknett, Clive Prince}
Edgar Mitchell était en 1971 astronaute sur Apollo 14. Il est convaincu qu'il y a la vie sur d'autres
planètes, et que les extra terrestres se sont posés sur la Terre. (interview accordée à John Earls, The
People, Londres, 25/10/98)
{Magazine, Nexus, No 1, 04/1999}
"Le premier message [avec les Extra Terrestres] date de 1899. Nikola Tesla interceptait alors à son
laboratoire du Colorado d'étranges signaux dénotant la présence d'une intelligence extra-terrienne. Selon
lui, des êtres techniquement très avancés tentaient d'entrer en communication avec nous. En 1921,
Guglielmo Marconi, l'inventeur de la T.S.F., interceptait des signaux apparemment codés de l'Espace. En
1924, au moment du plus grand rapprochement de Mars, le docteur David Todd, professeur d'astronomie
au collège Amherst, enregistrait des signaux radio d'origine non identifiée. D'autres signaux inexplicables
étaient encore reçus en 1927, 1928 et 1964, selon le docteur Ronald Bracewell de l'Institut de Radio
Astronomie de l'université de Stanford.
En 1959, la NASA interceptait des signaux d'un satellite inconnu orbitant autour de la Terre. Cette même
année, la National Science Foundation, Fondation Nationale pour les Sciences, mettait sur pied un
programme d'écoutes des messages spatiaux. Et l'effroi s'emparait bientôt de certains scientifiques devant
l'abondante récolte de messages."
{Livre, Etrangers de l'espace (Les), E. Keyhoe Donald (Major), Ed. France Empire}
"Le 2 septembre 1921, Marconi avait capté des messages sur une longueur d'onde inconnue de notre
planète. Il fut fermement convaincu avoir reçu des communications situées hors de notre espace.
Dans le New York Times du 2 septembre 1921, J. Macbeth, directeur de la compagnie de téléphonie sans
fil Marconi, exposa le point de vue de ce dernier : "Marconi peut accepter qu'il s'agisse de perturbations
atmosphériques ou électriques puisque les signaux furent captés régulièrement."
{Livre, Archives du savoir perdu (Les), Tarade Guy, Ed. Robert Laffont}
Emmanuel Kant affirme que les habitants des autres planètes sont d'autant plus riches en vie spirituelle
qu'on s'éloigne du soleil. Ainsi, selon lui, les habitants de Mercure et de Vénus ont si peu de sens moral
qu'on ne peut les rendre responsables de leurs actes. En revanche, les habitants de Jupiter sont, toujours
d'après Kant, dans un état de perfection morale qui leur assure un bonheur parfait.
{Livre, Extra Terrestres dans l'histoire, Bergier Jacques, Ed. J'Ai Lu}
En 1902, Lord Kelvin proclame son accord total avec Tesla comme quoi "Mars envoie bien des signaux à
l'Amérique".
{Livre, Livre Jaune N° 5 (Le), Collectif d'auteurs, Ed. Félix}
L'explosion du 30 juin 1908, au dessus de la Toungouse sibérienne :
"L'astronome Félix Siégel, qui étudia l'étrange trajectoire de cette chose venue d'un autre espace, affirme
que l'objet de la Toungouse changea deux fois de trajectoire avant de se désintégrer. Cette manoeuvre
compliquée n'aurait pu être exécutée que par une machine volante pilotée ou controlée à distance."
{Livre, Archives du savoir perdu (Les), Tarade Guy, Ed. Robert Laffont}
On dit que peu de temps avant sa mort, Einstein aurait eu une étonnante conversation :
Einstein :
- Les soucoupes volantes existent, et le peuple qui les possède est un peuple d'humains partis de la Terre il
y a 20000 ans.
Son ami :
- Pourquoi viennent-ils ici ?
Einstein :
- Ils aiment retourner sur la Terre pour être au courant de l'histoire des hommes. C'est le retour aux
sources.
(NDLR : Ces paroles d'Einstein sont citées sous toutes réserve car certains n'y accordent aucune
crédibilité. A chacun de se faire sa propre opinion...)
{Livre, Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans, Charroux Robert, Ed. J'Ai Lu
L’archéologie interdite :le Sphinx ne montre pas la moindre trace d'érosion par l'eau
L’homme est un être spirituel qui habite un corps »
D O S S I E R
N E X U S n ° 4 6
- septembre-octobre 2006 18
- Mario Beauregard, pouvez-vous expliquer
à nos lecteurs en quoi consiste ce nouveau
domaine de recherche que sont les
neurosciences spirituelles ?
Le passage au nouveau millénaire a marqué l’émergence
dans la culture populaire occidentale d’un
nouveau champ de recherche scientifique que nous
proposons d’appeler « neurosciences spirituelles »
(dans la foulée des neurosciences cognitives et
affectives). L’objectif premier de ce domaine de recherche
– situé à l’intersection de la psychologie, de
la religion et des neurosciences – est d’explorer les
soubassements neurobiologiques de la spiritualité
et des expériences religieuses, spirituelles et mystiques
(ou ERSM). En rapport avec cette question,
il est primordial de réaliser que : a) l’identification - des fondements neurobiologiques des ERSM ne
diminue nullement leur signification et leur valeur
; b) la réalité objective de Dieu ne peut être ni
confirmée ni infirmée par les neurosciences. L’un des
postulats de base des neurosciences spirituelles est
qu’il existe des mécanismes neurobiologiques rendant
possibles les ERSM. À ce sujet, il a été suggéré
que la démonstration de mécanismes neurobiologiques
associés aux ERSM peut renforcer la foi en Dieu
dans la mesure où ces mécanismes suggèrent qu’un
pouvoir supérieur donne aux êtres humains la capacité
de communier avec le monde spirituel.
Quels intérêts votre recherche et votre travail
rencontrent-ils auprès de la communauté
scientifique avec laquelle vous collaborez ?
Le réductionnisme, l’objectivisme et le physicalisme
sont quelques-unes des assomptions métaphysiques
de l’idéologie matérialiste scientifique qui
domine les neurosciences contemporaines. Selon
cette idéologie, que d’aucuns défendent de manière
quasi-religieuse, les facultés mentales supérieures,
la conscience, le libre-arbitre et le soi sont
générés par des processus cérébraux de nature
électrique et chimique. C’est le dogme central des
neurosciences. Plusieurs neuroscientifiques parmi
les plus réputés – dont Kandel, Edelman, Crick,
Changeux, Damasio, LeDoux et Gazzaniga – adhèrent
à cette idéologie. Voilà pourquoi certains de
ces scientifiques n’hésitent pas à parler d’homme
neuronal, de moi synaptique, etc.
Pour ceux-ci, les
ERSM sont le produit de l’activité électrochimique
du cerveau. Comme la majorité des neuroscientifiques
adhèrent à ce système de croyances, mes
travaux de recherche rencontrent beaucoup de
résistance de la part de bon nombre de mes collègues.
Par exemple, l’une de mes études chez les
Carmélites au sujet de l’activité de la sérotonine,
un messager chimique du cerveau jouant un rôle
central dans les ERSM, a été bloquée il y a quelques
années par des membres influents du comité
scientifique de l’Institut neurologique de Montréal
(le fameux institut fondé par le Dr Penfield
dans les années 20). Pour ces personnes, les ERSM
ne constituent pas un objet scientifique digne
d’intérêt et la science doit demeurer absolument
séparée de la spiritualité.
Quelles sont les réticences principales
rencontrées dans le domaine scientifique de la
neuropsychologie de la conscience ?
Pour les neurosciences contemporaines, la conscience
est de plus en plus considérée comme une
question scientifique importante. Toutefois, la
quasi-totalité des chercheurs qui s’intéressent à
cette question souscrivent à l’idéologie matérialiste
scientifique. Ces chercheurs essayent donc
de démontrer que la conscience est le produit de
processus électriques et chimiques dans le cerveau.
Aussi ne voient-ils pas d’un bon oeil les travaux de
recherche (par exemple, au sujet des EMI ou de certains
phénomènes psy) suggérant que la conscience
n’est pas générée par l’activité électrochimique du
cerveau. Les scientifiques osant affirmer cela sont
considérés comme des hérétiques. Dans certains
milieux particulièrement conservateurs, ils peuvent
encore perdre leurs subventions de recherche et
leurs postes universitaires.
Chercheur en neurosciences du département de psychologie et de radiologie de
l’université de Montréal, Mario Beauregard (PhD), s’intéresse aux neurosciences
spirituelles, un nouveau domaine d’études des états mystiques profonds.
Ses travaux sur les liens entre neurobiologie et expérience mystique auprès
de quinze soeurs carmélites contemplatives ont fait l’objet d’une publication
médiatique internationale et présentent des similitudes avec les EMI.
« L’homme est un être spirituel
qui habite un corps »N E X U S n ° 4 6
septembre-octobre 2006 19
Pouvez-vous nous livrer quelques résultats ou
impressions issus de vos recherches en cours
concernant plus précisément les EMI ?
Pour l’instant, nous avons enregistré à l’aide de l’électroencéphalographie
(EEG) quantitative l’activité
électrique du cerveau chez sept individus ayant été
transformés psychologiquement et spirituellement
(ces transformations sont mesurées à l’aide de diverses
échelles validées scientifiquement) par leur EMI.
Ces individus se sentent toujours en contact avec
l’Être de Lumière (que beaucoup identifient comme
étant Dieu) rencontré lors de l’EMI. Ce qui est fascinant
chez ces individus, c’est qu’ils montrent à l’état
de repos plus d’ondes lentes de type delta (la fréquence
de ces ondes s’échelonne de 0,5 à 4 cycles par
seconde ou Hz) et thêta (de 4 à 7 Hz) que la population
normale. Or, des travaux réalisés récemment au sein
de mon laboratoire ont montré que ces ondes delta
et thêta étaient très présentes lorsque des Carmélites
contemplatives étaient subjectivement en état d’union
avec Dieu. Il semble donc possible que l’EMI ait amené
un changement permanent d’activité électrique du
cerveau chez nos sujets de recherche ayant vécu une
EMI. Ce changement permettrait un contact plus
permanent avec le monde spirituel (il s’agit là d’une
hypothèse très spéculative pour le moment).
Le concept de « délocalisation de la conscience »
est-il pour vous intéressant en tant que réalité établie,
intuition, impression ou conviction intime ?
Les EMI ne représentent-elles qu’un phénomène
psychologique, neurochimique ?
Sur un plan personnel, j’ai vécu de nombreuses
ERSM dont une EMI et quelques expériences de
Conscience cosmique. Ces expériences m’ont profondément
transformé. Aussi, c’est maintenant pour
moi une certitude que la conscience n’est pas générée
par l’activité électrochimique du cerveau et n’est
pas localisée dans le cerveau (de toute manière, elle
ne peut être localisée dans l’espace, il ne s’agit pas
d’un objet).
Sur le plan scientifique, il n’existe pas encore de
preuve irréfutable supportant empiriquement cette
perspective. Toutefois, il existe diverses évidences
allant en ce sens. Ainsi, l’une des EMI les plus impressionantes
recensées à ce jour en raison des conditions
au cours desquelles elle est survenue, est celle vécue
par Pam Reynolds, une musicienne habitant à Atlanta.
Cette EMI est rapportée par le Dr Michael Sabom
dans son livre intitulé Light and Death (1998). En 1991,
Pam Reynolds subit une intervention chirugicale à
l’Institut Neurologique Barrow (Phoenix, Arizona).
Cette intervention – appelée en anglais « standstill »
– visait à faire l’ablation d’un anévrisme géant situé
dans le tronc cérébral (siège des fonctions vitales)
et menaçant la vie de la jeune femme alors âgée de
35 ans. Durant cette intervention qui dura près d’une
heure, pas une goutte de sang ne circula dans son
cerveau car la moindre pression sanguine à l’intérieur
de l’anévrisme pouvait être fatale. Comme cet
organe ne peut être privé d’oxygène pendant plus
de quelques minutes, le
cerveau de Pam Reynolds
fut plongé en hypothermie
(à 15,5°C), puis vidé
de son sang. Au cours de
cette intervention, l’activité
électrique de son
cerveau fut enregistrée àl’aide d’un EEG. De plus,
on monitora ce qui se
passait dans le tronc cérébral
par l’entremise de
potentiels évoqués auditifs.
Il fut ainsi possible de montrer que les ondes cérébrales
de Pam Reynolds étaient plates et son tronc
cérébral inactif. En d’autres termes, cette dernière
était cliniquement morte et son cerveau ne fonctionnait
plus (toutes les activités de base du cerveau
ainsi que les fonctions supérieures avaient cessé).
Chose remarquable, tandis que son cerveau n’était
plus fonctionnel, Pam Reynolds vécut une EMI au
cours de laquelle elle perçut la scie à trépaner que
tenait le neurochirurgien et la boîte contenant ses
accessoires, ainsi que le dialogue entre le neurochirurgien
et la cardiologue. Le rapport enregistré de
l’intervention a permis de vérifier et de situer dans
le temps le moment précis de ces éléments. Ce rapport
a démontré une acquisition d’informations objectives.
Voici un extrait du témoignage qu’elle fit au
Projections des travaux
de Mario Beauregard
lors de sa conférence
de Martigues.
Ces sujets montrent à l’état de repos plus
d’ondes delta et thêta que la population
normale. Or, on a constaté que ces mêmes
ondes étaient très présentes chez les Carmélites
contemplatives en état d’union avec Dieu.N E X U S n ° 4 6
septembre-octobre 2006 21
Chercheur en biologie moléculaire, Sylvie Déthiollaz est également fondatrice
du centre de recherche Noêsis, basé à Genève, qui étudie les états modifiés de
conscience associés à des situations de mort imminente. Selon elle, on ne pourra
élucider ces phénomènes sans passer à un nouveau paradigme scientifique.
« La délocalisation de la conscience
est une révolution copernicienne »
Suite du dossier dans le numéro de NEXUS 46
« Ça changerait tout : l’hôpital, le cimetière, la ville,
la famille, les sciences… »
Président du Centre d’études des expériences de mort imminente à Paris, Marc-
Alain Descamps est également professeur de psychologie à l’université de Paris
V, psychanalyste rêve-éveillé et professeur de yoga. Selon lui, les EMI sont des
expériences spécifiques
à ne pas confondre avec d’autres états modifiés de conscience.
Mais alors, qu’est-ce que la mort ?
Aujourd’hui, la mort se définit par l’arrêt de l’activité cérébrale.
Mais les témoignages et les études que nous venons de voir commencent
à ébranler ce qui n’est finalement qu’un dogme de plus.
Si la conscience perdure au-delà de cette limite, c’est que la mort
du corps n’est pas LA mort, mais un processus plus lent et subtil
que prévu au cours duquel nous sommes encore…
LE LIVRE D'ELI AVEC DENZEL WASHINGTON TRAILLER
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le vaudou sciences et rites .
La science du vaudou : Quand l'esprit attaque le corps |
Écrit par Helen Pilcher |
SATURDAY, 05 DECEMBER 2009 18:37 |
Helen Pilcher New Scientist
© Image Source/Rex Il y a beaucoup de rapports documentés provenant de nombreuses parties du globe faisant état de personnes ayant trouvées la mort après qu'on leur ait jeté un sort. Tard au milieu d'une nuit, dans un petit cimetière de l'Alabama, Vance Vanders se querella avec le sorcier local. Ce dernier ouvra un flacon exhalant une odeur désagréable et le présenta à la face de Vance Vanders en lui disant qu'il était sur le point de mourir et que personne ne pourrait le sauver. De retour chez lui, Vanders se mit au lit et sa santé commença à se détériorer. Quelques semaines plus tard, émacié et près de la mort,Vanders fut admis à l'hôpital local où les médecins furent incapables de déterminer la cause de ses symptômes ou même de ralentir son déclin. Ce n'est qu'à ce moment là que sa femme raconta à un des médecins, Drayton Doherty, l'histoire du sortilège. Doherty prit le temps de réfléchir en profondeur. Le matin suivant, il appela la famille de Vanders à son chevet. Il leur dit que la nuit précédente, il avait attiré le sorcier au cimetière et l'avait plaqué contre un arbre, l'étouffant jusqu'à ce qu'il lui explique la manière dont fonctionnait le sort. Il a expliqué à la famille que le sorcier avait introduit des œufs de lézards dans l'estomac de Vanders et que ceux-ci avaient éclos dans son corps. Un des reptiles était toujours là, dévorant Vanders de l'intérieur.
Grande CérémonieDoherty fit alors venir une infirmière qui avait remplis après un arrangement, une grosse seringue avec un puissant émétique. Il inspecta alors cérémonieusement l'instrument et injecta son contenu dans le bras de Vanders. Quelques minutes plus tard, Vanders à commencé à avoir des maux de cœur et à vomir de façon incontrôlable. Au milieu de cette scène, sans que personne ne le voit, Doherty sortit sa pièce de résistance (NdT : en français dans le texte), un lézard vert qu'il avait caché dans sa mallette. « Regardez ce qui vient de sortir de vous Vance », cria-t-il « Le sortilège vaudou est levé. » Vanders regarda par deux fois, s'allongea sur le haut du lit et s'enfonça dans un profond sommeil. En se réveillant le lendemain matin, il fut alerte et affamé. Il récupéra rapidement ses forces et pu quitter l'hôpital la semaine suivante. Les faits de ce cas datant de 80 ans furent corroborés par quatre professionnels de la santé. La chose qui est peut être la plus remarquable dans cette histoire est que Vanders a survécu. Il existe de nombreux cas documentés de par le monde où des personnes meurent après avoir été envoûté. Il est impossible de déterminer la cause exacte de ces décès sans dossiers médicaux et sans résultats d'autopsie. Le point commun de tous ces cas est cependant qu'un personnage respecté jette un sort à une autre personne en chantant ou en pointant un os dans sa direction. Peu après, la victime meure de cause apparemment naturelle.
Voodoo nouveauVous pensez peut être que ce genre de chose est de plus en plus rare et reste limité à quelques tribus éloignée. Pourtant, selon Clifton Meador, médecin à la Vanderbilt School of Medecine à Nashville dans l'État du Tennessee et qui a consigné des cas similaires à ceux de Vanders, le sort a de nos jours prit une autre forme. Prenons le cas de Sam Schoeman à qui on avait diagnostiqué un cancer en phase terminale en 1970 et donné quelques mois à vivre seulement. Ce monsieur est mort dans le délai qui avait été annoncé, portant l'autopsie a révélé que son médecin s'était trompé. La tumeur était petite et ne s'était pas étendue. « Il n'est pas mort du cancer, mais de la croyance qu'il avait un cancer, » déclare Meador. « Si tout le monde vous traite comme si vous allez mourir, vous y croyez. Tout en vous commence dès lors à mourir. » Des cas similaires à ceux de Schoeman sont peut être des exemples extrêmes d'un phénomène largement développé. De nombreux patients souffrant d'effets secondaires, par exemple, les ressentent parce qu'on leur a dit qu'ils devaient s'attendre à les expérimenter. De plus, les personnes qui croient avoir un risque important d'être victimes de certaines maladies ont plus de chance de les attraper que ceux qui pense que le risque est pour eux faible. Il semble que les sorciers actuels sont vêtus de blouses blanches et qu'ils arborent des stéthoscopes.
L'effet noceboL'idée que la croyance d'être atteint d'une maladie puisse vous rendre malade semble tirée par les cheveux. Pourtant, des essais rigoureux ont démontré, sans l'ombre d'un doute, que l'opposé est vrai, à savoir que le pouvoir de suggestion peut améliorer la santé. C'est le très connu effet placebo. Les placebos ne peuvent pas produire de miracles, mais ils produisent des effets physiques mesurables. Et bien l'effet placebo a un mauvais jumeau : l'effet nocebo, dans lequel des pilules factices et des attentes négatives peuvent engendrer des effets dangereux. Le terme « nocebo », qui signifie « je vais blesser » est apparu dans les années 60 et ce phénomène a été bien moins étudié que l'effet placebo. Il est après tout difficile d'obtenir des autorisations éthique pour réaliser des études destinées à aggraver le ressenti des gens. Ce que nous savons suggère que l'impact du nocebo est très important. « La mort vaudou, si elle existe, pourrait représenter une forme extrême du phénomène nocebo, » déclare l'anthropologue Robert Hahn du Centers for Disease Control and Prevention des États-unis à Atlanta en Georgie, qui a étudié l'effet nocebo. Lors des essais cliniques, un quart des patients des groupes contrôles - ceux à qui ont été données des thérapies supposées inertes- ressentent des effets secondaires négatifs. La sévérité de ceux-ci équivaut parfois à ceux associés aux véritables médicaments. Une étude rétrospective de quinze essais impliquant des milliers de patients auxquels avaient été prescrits soit des béta bloquant soit un contrôle a démontrée que les deux groupes ont rapporté des niveaux comparables d'effets secondaires. Parmi ceux-ci on trouve de la fatigue, des syndromes dépressifs et des dysfonctionnements sexuels. A cause de ces problèmes, un nombre comparable de personnes ont dues être retirées des études. Dans certain cas, les effets secondaires peuvent constituer une menace vitale (voir plus loin la partie « L'overdose »). « Les croyances et les attentes sont non seulement des phénomènes logiques, conscient, mais elles ont aussi des conséquences physiques, » déclare Hahn. On constate aussi les effets nocebo dans la pratique médicale normale. Près de 60 pourcent des patients sous chimiothérapie commencent à se sentir malade avant leur traitement. « Cela peut arriver quelques jours avant ou lors du trajet (vers l'hôpital) » dit le psychologue clinique Guy Montgomery de l'école de médecine du Mont Sinaï à New York. Parfois, la simple pensée de traitement ou la voix du médecin sont suffisants pour que les patients se sentent mal à l'aise. Cette « nausée anticipée » peut être due en partie au conditionnement - quand les patients lient une lient subconsciemment certains aspects de leur expérience avec la nausée - et en partie provenir de leur attente. De façon inquiétante, on constate que l'effet nocebo peut être contagieux. On connait depuis des siècles des cas ou des symptômes sans cause identifiable se répandent au sein de groupes de gens. On connait se phénomène sous le nom de maladie psychogénique de masse. Une vague (voir la partie « c'est contagieux ») d'un tel phénomène a inspiré une étude récente menée par les psychologues Irving Kirsch et Giuliana Mazzoni de l'Université de Hull en Grande Bretagne. Ils ont demandé à certains membres d'un groupe d'inhaler un échantillon d'air normal dont on avait dit aux participants qu'il contenait « une toxine environnementale suspecte » lié à des maux de tête, de la nausée, des irritations cutanées et de la somnolence. La moitié des participants ont aussi regardé une femme qui développait apparemment ces mêmes symptômes après avoir inhalé l'échantillon. Les étudiants qui ont respiré l'échantillon avaient plus de chance de rapporter ces symptômes que ceux qui ne l'avaient pas fait. Les symptômes étaient aussi apparemment plus prononcés chez les femmes, surtout celles qui avait vues l'une d'entre elle apparemment malade - une tendance que l'on constate aussi dans le cas de maladie psychogénique. L'étude montre que si vous entendez ou que vous observez un effet secondaire possible, vous avez plus de chance de le développer vous même. Cela met les médecins dans une situation particulière. « D'un côté les gens ont le droit d'être informé de ce à quoi ils peuvent s'attendre, mais cela rend plus probable le fait qu'ils expérimentent ces effets », dit Mazzoni. Cela signifie que les médecins ont besoin de choisir leur mot attentivement de façon à minimiser les attentes négatives dit Montgomery. « Tout est dans la manière de le dire. » L'hypnose peut aussi aider. « L'hypnose change les attentes, qui font décroitre l'anxiété et le stress, qui améliore le résultat », dit Montgomery. « Je pense que l'hypnose pourrait être utilisée pour une grande variété de symptômes où l'attente joue un rôle important. » L'échelle du problème nocebo est-elle assez sérieuse pour justifier de telle contre-mesures ? Nous ne le savons pas, car de nombreuses questions restent sans réponse. Dans quelles circonstances ont lieu les effets nocebo ? Combien de temps durent-ils ? Il apparaît que de même qu'avec l'effet placebo, les effets varient grandement et peuvent dépendre du contexte. Les effets placebo dans les cadres cliniques sont souvent plus puissants que ceux induits en laboratoire, déclare Paul Enck, psychologue à l'Hôpital Universitaire de Tübingen, en Allemagne. Il suggère que le problème nocebo peut avoir des effets profonds dans le monde réel. Pour des raisons évidentes, en effet, les expérimentations en laboratoire sont conçues pour n'induire que des symptômes nocebo légers et temporaires.
Les vrais conséquencesLa question de savoir qui est prédisposée à ce phénomène n'est pas élucidée. L'optimisme d'une personne, ou son pessimisme peut, peut-être, jouer un rôle, mais il n'existe pas d'indices de personnalité constants. Les deux sexes sont susceptibles de succomber à la maladie psychogénique, bien que les femmes fassent état de plus de symptômes que les hommes. Henck a démontré que chez les hommes l'attente joue un rôle plus important que le conditionnement pour influencer les symptômes nocebo. L'inverse est vrai pour la femme. « Les femmes tendent à fonctionner plus sur les expériences antérieures, alors que les hommes semblent moins disposés à amener l'histoire dans la situation », déclare-t-il. Il devient de plus en plus clair que ce phénomène en apparence psychologique a des conséquences très réelles dans le cerveau. Jon-Kar Zubieta de l'Université du Michigan et Ann Arbor, ont démontré l'an dernier, en utilisant la scanographie PET, que les effets nocebo étaient liés à un accroissement de l'activité de la dopamine et opioïde. Cela expliquerait pourquoi les nocebos peuvent accroitre la douleur. Les placebos produisent sans surprise la réponse inverse. Dans le même temps, Fabrizio Benedetti de l'Université Médicale de Turin, en Italie, à trouvé que la douleur induite par le nocébo pourrait être supprimée par un médicament que l'on appelle proglottis et qui bloquent les récepteurs d'une hormone appelée cholecystokinin (CCK) . Normalement, les attentes de douleur induisent l'anxiété, laquelle active les récepteurs CCK, accroissant ainsi la douleur.
Cause ultimeLa cause ultime de l'effet nocebo n'est pourtant pas la neurochimie mais la croyance. Selon Hahn, les chirurgiens sont souvent prudents lorsqu'il s'agit d'opérer des gens qui pensent qu'ils vont mourir car de tels patients meurent souvent. Et la simple croyance que l'on est susceptible d'avoir une crise cardiaque est en soi-même un facteur risque. Une étude à trouvée que les femmes qui croient qu'elle sont particulièrement susceptible d'avoir une attaque cardiaque ont quatre fois plus de chance de mourir des problèmes coronaires que d'autres femmes présentant les mêmes facteurs risque. En dépit de la certitude grandissante que l'effet nocebo est bien une réalité, il est difficile d'accepter, dans cette époque rationnelle, que les croyances qu'ont les gens peuvent les tuer. Après tout, la majorité d'entre nous riraient si un homme étrangement accoutré surgissait en brandissant un os en nous disant que nous allons mourir. Mais imaginez ce que vous ressentiriez si un médecin bien vêtu, bardé de diplômes médicaux et dont l'ordinateur contient toutes les imageries médicales prises de vous ainsi que vos résultats d'examens, vous disait la même chose. L'arrière plan social et culturel est cruciale dit Enck. Meador prétend que le mauvais diagnostique de Shoeman et son décès consécutif ont de nombreux éléments communs avec la mort causée par un sortilège. Un médecin reconnu prononce une sentence de mort que la « victime » et la famille acceptent sans remise en question. Shoeman, ses proches et son médecin croyaient tous qu'il mourrait du cancer. La prophétie s'est auto-validée.
Rien de mystiqueLes mauvaises nouvelles encouragent un mauvais état physiologique. Je pense que vous pouvez persuader des gens qu'ils vont mourir et faire que cela arrive effectivement», dit Meador. « Je ne crois pas qu'il y ait quoi que se soit de mystique en cela. Nous n'aimons pas l'idée que des mots ou des actes symboliques puissent causer la mort parce que cela remet en question notre modèle biomoléculaire du monde. » Il est possible que lorsque la base biomédicale du Vaudou sera révélée en détail, nous trouverons qu'il est plus simple d'accepter sa réalité et le fait qu'elle peut affecter n'importe lequel d'entre nous.
L'Overdose
En dépression après avoir rompu la relation avec sa fiancée, Derek Adam prit toutes ses pilules... puis avait regretté ce geste. Craignant de mourir, il demanda à un voisin de le conduire à l'hôpital où il s'effondra. Tremblant pâle et somnolent, sa pression sanguine chuta alors que son souffle s'accéléra. Pourtant les examens et les analyse toxicologique témoignèrent que tout était revenu à la normal. En quatre heures, Adam reçu 6 litre d'eau saline. Malgré cela, son état ne s'améliora pas. Ensuite, arriva un médecin responsable d'essais cliniques d'un antidépresseur auquel Adams avait participé. Il s'était joint à l'étude au mois précédent. Il avait tout d'abord perçu une amélioration de son moral mais une altercation avec son ex-petite amie l'avait amené à avaler les 29 tablettes restantes. Les médecins révélèrent qu'Adams faisait parti du groupe contrôle. Les pilules qu'il avait avalé en «surdose» étaient inoffensives. En entendant cela, Adams fut surpris et se rétablit les larmes aux yeux. Il redevint alerte en un quart d'heure et sa pression sanguine et son rythme cardiaque revinrent la normale.
C'est contagieux En novembre 1998, un enseignant d'un collège du Tennessee remarqua une odeur «pareille à du gaz» et il commença à se plaindre de maux de tête, de nausées, de ralentissement du souffle et de vertiges. L'école fut évacuée et dans les semaines suivantes, plus de 100 membres du personnel de l'école ainsi que des élèves se plaignirent de symptômes similaires. Aucune explication médicale ne pu être donnée bien que l'on ait réalisé des tests complets. Un questionnaire réalisé un mois plus tard révélait que les femmes avaient eu plus tendance à ressentir les symptômes, surtout si elles avaient connu ou vu un camarade de classe qui se trouvait mal. Irving Kirsch, psychologue à l'Université de Hull en Grande Bretagne dit qu'il s'agissait d'un nocebo à grande échelle. «Pour autant qu'on le sache, il n'y avait aucune toxine environnementale et pourtant les gens commencèrent à se sentir malade.» Kirsch pense que le fait de voir un camarade de classe développer ces symptômes façonne des attentes de tomber malade de la part des autres enfants, déclanchant une maladie psychogénique en masse. Ce genre d'évènement arrivent partout de part le monde. En 1998 en Jordanie, 800 enfants souffrirent en apparence d'effets secondaires après avoir été vaccinés et 122 d'entre eux furent admis à l'hôpital où aucun problème ne fut trouvé avec le vaccin.
Helen Pilcher est une écrivain scientifique basée en Angleterre Traduction française: Lionel P. |
un tunnel secret pour quoi faire 5000km çà fait beaucoups pour un entrepot d'armes non!
Les missiles nucléaires chinois à l'abri dans un tunnel secret |
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Écrit par Le Figaro | |
SUNDAY, 10 JANUARY 2010 23:31 | |
18/12/2009
Des soldats chinois devant un missile nucléaire. Crédits photo : ASSOCIATED PRESS Pékin aurait construit depuis 1995 une «grande muraille souterraine» de 5.000 km pour protéger son arsenal. Les dirigeants de la Chine communiste tiennent enfin leur Grande Muraille, invisible pour les yeux celle-là. La presse officielle chinoise vient en effet de rendre compte d'une incroyable nouvelle, tant par l'ampleur de l'ouvrage que par sa divulgation elle-même. Selon le Journal de la Défense nationale, l'Armée populaire de libération (APL) aurait terminé le creusement d'un gigantesque tunnel de 5.000 kilomètres de long destiné à abriter ses missiles nucléaires. En Chine, rien n'est jamais petit, mais la longueur d'un tel ouvrage souterrain laisse pantois. D'autant qu'il est précisé que sa profondeur peut atteindre 1.000 mètres. Il se situerait dans les zones montagneuses du nord du pays. un tunnel sensé être secret , bref ne l'est plus alors a quoi peut bien servir ce tunnel de 5000 km a se proteger contre qu'elle menace le film 2012 parle de la construction de tunnel , et si c'était vrai alors c'est une diversion , nous sommes peut être a la veille d'un changement majeur de notre planète!
de Dulce au Nouveau Mexique Dulce est une petite bourgade
somnolente d'environ 900 habitants située au nord du Nouveau
Mexique dans la réserve indienne apache de Jicarilla à
2100 mètres d'altitude. On y trouve seulement un motel
digne de ce nom et quelques magasins. Ce n'est pas une ville
touristique et elle n'est pas très active. Cependant,
selon quelques étrangers, Dulce héberge un insondable
et obscur secret dans les profondeurs des broussailles enchevêtrées
du lieu nommé Archuleta Mesa. On dit que le secret est
un laboratoire de biogénétique fruit d'une collaboration
entre le gouvernement et les extraterrestres en vue d'expériences
bizarres sur les humains et les animaux. Dans un rapport intitulé
"le PROJET BETA," Paul déclare avoir passé
deux ans à suivre la trace du vaisseau extraterrestre;
qu'il pouvait recevoir en permanence des vidéos venant
d'un de ces vaisseaux et aussi d'écrans de la base souterraine;
qu'il avait établit des communications directes avec les
aliens au moyen d'un ordinateur et un genre code hexadécimal
avec des graphiques et des sorties imprimante; qu'il avait utilisé
des photos aériennes et souterraines pour localiser le
vaisseau muni d'armes à rayons. Paul soutenait que les
extraterrestres étaient retors, usaient de tromperie et
ne respectaient pas leur parole. Il travaillait avec Walter sur
un armement destiné à les contrer. Le reste de ce chapitre se rapporte
à la façon dont cet officier de sécurité
s'est associé un de mes collègues pour nous dire
la vérité sur les extraterrestres, le Gouvernement
américain et la Base Dulce. Son intention était
de porter cela au grand jour en étayant ses dires par
de sérieuses preuves. À la fin de 1979, Thomas
C. ne pouvait plus faire face à stupéfiante réalité
à laquelle il était confronté. Officier
chargé de hautes questions de sécurité sur
la base commune extraterrestres/gouvernement américain
de Dulce, il avait appris et assisté à des choses
perturbatrices. Après un grand tiraillement intérieur,
il s'était décidé à déserter
l'établissement en emmenant divers éléments.
Les installations multicouches
de Dulce comportent un NOYAU CENTRAL contrôlé par
des forces de l'ordre. Le niveau de sécurité s'accroît
au fur et à mesure que l'on descend dans les profondeurs.
Thomas avait le niveau d'autorisation ULTRA-7. Il connaissait
les 7 degrés mais il est possible qu'il y en ait eu d'autres.
On suppose que les extraterrestres occupent les niveaux 5, 6
et 7, le 5 étant celui des logements. La seule inscription
en langue anglaise se trouve dans le couloir de la station de
la navette-tube et indique "vers Los Alamos". Il existe
des liaisons de Dulce vers des installations à Page en
Arizona puis vers une base souterraine au-dessous du Secteur
51 au Nevada. Dulce est également relié à
des établissements en dessous de Taos, Nouveau Mexique;
Dati (N.M.); Colorado Springs, Colorado; Creed, Colorado; Sandia'
puis à Carlsbad, Nouveau Mexique. Il semble qu'il existe
un vaste réseau souterrain de connections sous les Etats
Unis constituant un système global de tunnels et de citées
souterraines. La BIOTECHNOLOGIE extraterrestre
et humaine est-elle destinée à nous soigner et
à nous rendre service ou bien à nous contrôler
et nous dominer ? Pourquoi les personnes enlevées par
des Ovnis ont-elles été utilisées dans des
expériences génétiques? C'est au moment
où Thomas a vu des humains en cage au niveau 7 de la base
de Dulce que les choses on atteint un summum pour lui. Des milliers
d'êtres humains, des restes de mixture humaine, des embryons
d'humanoïdes conservés en chambre froide rangées
après rangées. "J'ai souvent rencontré
des humains en cages, ils étaient d'habitude hébétés
ou drogués mais parfois ils criaient et suppliaient qu'on
les aide", disait volontiers Thomas. On nous avait dit que
ces personnes étaient irrémédiablement folles
et employées pour des tests à hauts risques de
médicaments destinées à guérir la
folie. On nous avait recommandés de ne jamais leur parler.
Au début on avait cru à cette histoire. Finalement
en 1978 un petit groupe d'ouvriers a découvert la vérité.
Et c'est la que les guerres de Dulce ont commencé."
Peut-être un jour, bientôt, devrons-nous vivre sous terre pour survivre. Espérons que nous n'en viendrons pas là ! | |
rechauffement climatique ou glaciation ?
© Time Magazine
Couverture du Times Magazine d'avril 1977
La première révolution globale, rapport du Conseil du Club de Rome (King, Schneider 1991):
« Le besoin d'ennemis semble être un trait historique bien partagé. Certains États se sont efforcés de surmonter leurs échecs domestiques et d'affronter leurs contradictions internes en en rejetant la faute sur des ennemis extérieurs. Le truc du bouc émissaire est vieux comme le monde : quand ça barde à la maison, on parle voyages et aventures à l'étranger. On rassemble la nation contre l'ennemi extérieur, qu'il soit réel ou inventé pour l'occasion. » (page 71)
L'ennemi que l'humanité a en commun, c'est l'Homme.
« En cherchant l'ennemi commun contre qui nous pourrions nous unir, nous en sommes arrivés à l'idée que la pollution, la menace d'un réchauffement global, de pénuries d'eau, de la faim, ce genre de choses... eh bien, ça le ferait. Ces phénomènes, dans leur totalité et par les relations qu'ils entretiennent entre eux, constituent en effet une menace partagée que l'on ne peut combattre que si nous nous y mettons tous ensemble. Mais en criant haro sur ces dangers, nous tombons dans le piège dont nous avons déjà averti nos lecteurs, à savoir prendre le symptôme pour la cause. Tous ces dangers ont pour cause l'intervention de l'homme dans les processus naturels, et l'on ne pourra les affronter que par un changement d'attitude et de comportement. L'ennemi, le vrai, c'est l'humanité. » (page 75)
Contre courant- Revue critique et scientifique de la genèse des progrès en physique et en astronomie (W.Kundt, 2008)
[En 1981], Raymond Lyttleton a créé le terme «effet "Gold" » après une conversation avec [l'astrophysicien autrichien Thomas Gold] au cours de laquelle Gold lui avait expliqué comment une simple croyance « en l'air » peut à l'occasion se changer en théorie scientifique largement acceptée - en dogme - grâce au filtre des publications, par leur rôle d'arbitre, des comités scientifiques organisateurs de rencontres et séminaires, et grâce à l'allocation de crédits aux mains de « clubs d'opinion ».