Energie radiante - Nikola Tesla
Un guide pratique sur les appareils à " énergie libre "
Mise à jour du 2 décembre 2006
Auteur : Patrick J. Kelly
Traduction en français par : Pascuser
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Expériences de tesla:
En 1989 Tesla a commencé à réaliser des expériences avec des
condensateurs chargés à haute tension et déchargés durant des
intervalles de temps très courts. Ces très courtes impulsions
produisaient des ondes de choc très abruptes qu'il pouvait sentir à
travers la partie avant de son corps tout entier. Il était conscient
que fermer un interrupteur connecté sur une dynamo à haute tension
produisait souvent un choc accompagné d'une sensation de picotement.
Ceci était, selon les suppositions, de l'électricité statique et se
produisait seulement au moment de la mise sous tension et seulement
durant quelques millisecondes. Cependant, durant ces millisecondes, des
aiguilles bleuâtres d'énergie sortaient des câbles électriques et elles
se connectaient à la terre, souvent à travers les corps des personnes
postées debout à côté, causant leur mort instantanée si l'installation
était de forte puissance. Alors que les générateurs de l'époque étaient
conçus pour délivrer quelques centaines de volts, ces décharges étaient
de plusieurs millions de volts. Le problème du générateur a été éliminé
par l'utilisation d'interrupteurs fortement isolés qui étaient
construits avec une excellente connexion à la terre.
Tesla était intrigué par ce phénomène qui apparaissait
correspondre à celui des décharges de ses condensateurs. Il a calculé
que les tensions produites étaient des centaines de fois plus grandes
que ce que son générateur ou son condensateur pouvait produire. Il
apparaissait clairement que la puissance fournie était amplifiée ou
augmentée d'une certaine façon, mais la question était de savoir d'où
pouvait bien provenir l'énergie supplémentaire arrivant dans le
système.
Tesla a continué d'enquêter à travers des expériences, prenant
des précautions contre les hautes tensions produites. Il a été très
vite capable de produire ces ondes de choc quand il le voulait. Les
ondes de choc produisaient une sensation de picotement quel que soit
l'endroit où il se trouvait dans son laboratoire, et les mains et le
visage étaient particulièrement sensibles aux ondes énergétiques. Ces
ondes irradiaient vers l'extérieur et pénétraient le métal, le verre et
toute sorte de matériaux. Ce n'était clairement pas une onde
électromagnétique, aussi l'a-t-il appelé " Electricité radiante ".
Tesla a mené des recherches dans la littérature scientifique
pour trouver des références à propos de cette énergie radiante, mais il
n'a rien pu trouver. En 1842, le docteur joseph Henry avait observé que
des aiguilles d'acier étaient magnétisées par une étincelle provenant
de la décharge d'une Jar de Leyden située à un étage différent de
l'immeuble. L'onde magnétisante avait traversé les murs de briques, les
portes en chêne, le sol fait de pierre lourde et d'acier et les
plafonds en étain pour atteindre les aiguilles situées dans une voûte
de la cave.
En 1872, Elihu Thomson a pris une grande bobine à étincelle de
Ruhmkorff, a attaché une extrémité de la bobine à un tuyau d'eau froide
et l'autre extrémité en haut d'une table métallique. Ceci a produit une
série d'étincelles géantes qui ont électrifié le bouton en métal de la
porte et ont produit des ondes de choc produisant la sensation de
picotement sur lesquelles Tesla enquêtait. Il a pu constater que tout
objet en métal isolé n'importe où dans l'immeuble produisait des
étincelles blanches longues et continues se déchargeant à la terre. La
découverte a été publiée succinctement dans le journal Scientific
American plus tard au cours de la même année.
Tesla a conclu que la totalité du phénomène observé impliquait
la présence d'un " medium de structure gazeuse, c'est-à-dire constitué
de transporteurs indépendants capables de mouvement - en plus de l'air,
un autre médium est présent. " Ce médium invisible est capable de
transporter des ondes d'énergie à travers toutes les substances, ce qui
suggère que, si il est physique, sa structure de base est plus petite
que les atomes qui constituent les matériaux communs, permettant au jet
de matière de passer librement à travers tous les solides. Il apparaît
que tout l'espace est rempli avec cette matière.
Thomas Henry Moray a pu montrer que le flux d'énergie peut
passer à travers le verre et éclairer des ampoules électriques
classiques. Harold Aspden a réalisé une expérience connue sous le nom
de " effet Aspden " qui a aussi indiqué la présence de ce médium.
Harold a fait cette découverte en faisant des tests sans rapport avec
ce sujet. Il a démarré un moteur électrique qui avait une masse de
rotor de 800 grammes et enregistré le fait qu'il consommait une énergie
de 300 joules pour l'amener à une vitesse de rotation de 3 250 tours
par minute, lorsqu'il tournait sans aucune charge.
Le rotor ayant une masse de 800 grammes et tournant à cette
vitesse, son énergie cinétique additionnée à celle du moteur le faisant
tourner ne peut pas excéder 15 joules, contrastant avec l'énergie
importante de 300 joules nécessaire pour le faire tourner à cette
vitesse. Si le moteur est mis en marche pendant 5 minutes ou plus, et
que l'interrupteur de mise en route est alors coupé, il s'arrête au
bout de quelques secondes. Mais, le moteur peut alors être redémarré de
nouveau (dans le même sens ou dans le sens inverse de rotation) et être
porté à la même vitesse qu'auparavant avec seulement 30 joules de
consommés, à condition que le temps écoulé entre l'arrêt et le
redémarrage n'excède pas une minute . Si il y a un délai de plusieurs
minutes, alors une énergie consommée de 300 joules est de nouveau
nécessaire pour faire tourner le moteur à la même vitesse.
Ce n'est pas un phénomène transitoire de chauffage. A chaque
fois, le pallier de rotor se refroidit et tout chauffage du moteur
entraîneur induit une augmentation de la résistance et de là un
accroissement de la puissance vers un état de stabilité. Il y a preuve
expérimentale qu'il y a quelque chose qui n'est pas visible, qui est
mis en mouvement par le rotor de la machine. Ce "quelque chose" a une
densité massique de 20 fois celle du rotor, mais est quelque chose qui
peut se mouvoir indépendamment et prendre plusieurs minutes pour
disparaître, alors que le moteur lui s'arrête en quelques secondes.
Deux machines ayant des rotors de taille et de composition
différentes révèlent le phénomène et des tests indiquent des variations
selon les heures de la journée et l'orientation dans le champ
magnétique terrestre de l'axe de rotation. L'une des machines, celle
incorporant des aimants plus faibles, a démontré un gain de puissance
magnétique durant les tests qui ont été répétés sur une période de
plusieurs jours.
Ceci montre clairement qu'il y a un medium invisible qui
interagit avec les objets de tous les jours et leurs actions, et
confirme les découvertes de Tesla. Tesla a continué à expérimenter et a
trouvé qu'une impulsion très brève unidirectionnelle est nécessaire
pour générer une onde d'énergie radiante. En d'autres termes, un
courant alternatif ne crée pas cet effet, cela doit être une tension
continue. Plus brève sera la durée de l'impulsion, et plus grande sera
la tension ainsi que l'onde d'énergie radiante. Il a trouvé qu'en
utilisant un condensateur et un mécanisme de décharge en arc avec un
aimant permanent très puissant placé à angle droit de l'étincelle, il a
amélioré la performance de son système par un facteur très important.
Des expériences complémentaires ont montré que les effets
étaient modifiés par la durée de l'impulsion électrique. Dans chaque
cas, la puissance de l'énergie irradiée semblait être constante
indépendamment de la distance le séparant de l'appareil. L'énergie
était propagée sous forme d'ondes longitudinales individuelles. Des
objets placés près de l'équipement devenaient puissamment électrifiés,
retenant leur charge durant de nombreuses minutes après que
l'équipement était été coupé.
Tesla utilisait une dynamo de charge comme source
d'alimentation et a vu que si il déplaçait son déchargeur magnétique
vers un côté de la dynamo, l'onde radiante était positive. Si il
plaçait le déchargeur magnétique vers l'autre côté de la dynamo, l'onde
radiante devenait de signe négatif. Ceci était clairement une nouvelle
force électrique qui voyageait de la même façon que les rayons de
lumière, et de nature différente des ondes électromagnétiques de
Maxwell.
En observant les effets du paramétrage de la durée des
impulsions, Tesla a trouvé qu'un train d'impulsions qui avaient des
durées d'impulsion individuelle excédant les 100 microsecondes
produisait de la douleur et des pressions mécaniques. Avec cette durée
là, les objets exposés au champ vibraient et étaient souvent poussés
vers l'extérieur par le champ. Des fils fins sujets à de soudains
éclats violents du champ radiant explosaient en se vaporisant. Quand la
durée d'impulsion était réduite à 100 microsecondes ou en dessous, les
effets douloureux n'étaient plus ressentis et les ondes étaient sans
danger.
Avec des impulsions de durée d'une microseconde, des effets
puissants de chauffage physiologique étaient ressentis. Avec des
impulsions encore plus courtes, des illuminations spontanées capables
de remplir la pièce de lumière blanche étaient produites. Des
impulsions encore plus courtes produisaient une brise froide dans la
pièce accompagnée d'une élévation de l'humeur et de la conscience des
personnes présentes. Ces effets ont été vérifiés par Eric Dollard qui a
écrit à leur propos en détail.
En 1890, Tesla a découvert que si il plaçait près de son
éclateur magnétique une longue bobine de cuivre de forme hélicoïdale,
bobinée avec un seul tour, de deux pieds de long, la dite bobine à
paroi fine produisait une gaine d'étincelles blanches avec des
flammèches blanches argentées sortant de son sommet. Ces décharges
apparaissaient avoir de plus hautes tensions que le circuit les
générant. L'effet était fortement décroissant si la bobine était placée
à l'intérieur du cercle de fil de l'éclateur. La décharge semblait
étreindre la surface de la bobine avec une affinité étrange, et roulait
le long de sa surface vers le côté ouvert. L'onde de choc sortait de la
bobine à angles droits des enroulements et produisait de très longues
décharges depuis le sommet de la bobine. Quand la charge de l'éclateur
sautait d'un pouce dans son logement magnétique, les flammèches de la
bobine étaient de plus de deux pieds de long. Cet effet était produit
au moment où le champ magnétique était en train d'éteindre l'étincelle
et était totalement inconnu à l'époque.
Ce train d'impulsions de très courtes durées et
unidirectionnelles produisait un champ très étrange qui s'étendait vers
l'extérieur. Ce champ ressemble à un genre de champ électrostatique
mais a un effet bien plus puissant que celui qui serait attendu d'une
charge électrostatique. Tesla était incapable de calculer l'énorme
multiplication de tension de son appareil en utilisant les lois de
l'électricité connues à son époque. Il a donc présumé que l'effet était
entièrement dû à des lois de transformation radiantes qui devraient
être déterminées expérimentalement par des mesures. C'est ce qu'il fit.
Tesla a découvert une nouvelle loi d'induction dans laquelle
les ondes de choc radiantes s'auto-amplifient quand elles rencontrent
des objets segmentés. La segmentation était la clef de déblocage. Les
ondes de choc radiantes rencontraient une hélice et fuyaient par-dessus
le revêtement extérieur de la bobine d'une extrémité à l'autre
directement. Cette onde de choc ne passait pas à travers les
enroulements de la bobine mais considéraient la surface de la bobine
comme un chemin de conduction. Des mesures ont montré que
l'augmentation de tension le long de la surface de la bobine était
exactement proportionnelle à la longueur de traversée le long de la
bobine, alors que cette augmentation atteignait les 10 000 Volts par
pouce le long de la bobine. Les 10 000 volts qui étaient alors mis en
entrée de sa bobine de 24 pouces étaient amplifiés jusqu'à 240 000
volts à la sortie de cette dernière. C'était complètement incroyable
pour un équipement aussi simple que celui-là. Tesla a aussi découvert
que l'augmentation de tension était liée mathématiquement à la
résistance de l'enroulement de la bobine, de plus grandes résistances
de bobinages produisant de plus hautes tensions.
Tesla a alors commencé à se référer à sa boucle d'éclateur
comme étant son " primaire " spécial et la longue bobine hélicoïdale
comme étant son " secondaire " spécial mais il n'a jamais eu
l'intention de se référer par cette terminologie à des transformateurs
électromagnétiques qui fonctionnent eux sur un principe totalement
différent.
Il y avait un attribut qui échappait encore à Tesla pendant un
certain temps. Ses mesures montraient qu'il n'y avait aucun flux de
courant dans le long " secondaire " de cuivre bobiné. La tension était
croissante avec chaque pouce de bobine supplémentaire mais il n'y avait
aucun courant dans la bobine elle-même. Tesla a commencé à se référer à
ses résultats de mesure comme étant ses " lois d'induction
électrostatiques ". Il a déterminé que chaque bobine avait ses durées
d'impulsion optimales propres et que le circuit qui alimentait le
montage avait besoin d'être accordé à la bobine pour ajuster la
longueur de l'impulsion pour donner les meilleurs résultats.
Tesla a alors vu que les résultats donnés par ses expériences
étaient analogues aux équations de la dynamique des mouvements des gaz,
aussi il a commencé à se demander si les décharges de flammes blanches
pouvaient être une manifestation gazeuse spontanée d'une force
électrostatique. Il a compris que lorsqu'un point en métal était
connecté au terminal de haut de sa bobine " secondaire ", les
flammèches étaient dirigées de la même manière que de l'eau coulant
dans un tuyau. Quand le flux était dirigé vers des plaques métalliques
éloignées, il produisait des charges électroniques qui pouvaient être
mesurées comme des courants au niveau du site de réception, mais durant
le transit aucun courant n'existait. Le courant apparaissait seulement
quand le flux était intercepté. Eric Dollard a constaté que ce courant
intercepté peut atteindre plusieurs centaines ou bien même plusieurs
milliers d'ampères.
Tesla a fait encore d'autres découvertes remarquables. Il a
connecté une barre de cuivre très épaisse en forme de U directement à
travers le primaire de son éclateur, réalisant ainsi un court-circuit.
Il a alors connecté plusieurs ampoules de lampes à filament à
incandescence ordinaires entre les jambes de la barre en forme de U.
Quand l'équipement était mis sous tension, les lampes se sont allumées
avec une lumière froide brillante. Ceci est complètement impossible
avec de l'électricité conventionnelle, et cela montre clairement que ce
dont Tesla s'occupait était quelque chose de nouveau. Cette nouvelle
énergie est quelque fois appelée " électricité froide " et Edwin Gray
senior a démontré à quel point elle est différente en allumant des
ampoules à filament à incandescence directement à partir de son tube
générateur, les submergeant dans l'eau et mettant ses mains dans l'eau
aussi. L'électricité froide est en général considérée comme étant sans
danger pour les humains. Les tubes générateurs de Ed Gray opèrent en
générant des ondes d'électricité radiante en faisant usage d'un
éclateur à étincelle, et en collectant l'énergie par le biais de trois
cylindres de cuivre fermés entourant le dit éclateur. Les cylindres
sont percés de nombreux trous parce que cela améliore la prise et la
charge est directement alimentée par le courant des cylindres. Quand
les ampoules s'allument, Ed utilise un transformateur sans cœur fait de
quelques tours de fil de très grosse section. J'ai personnellement
connaissance de deux personnes qui ont reproduit indépendamment le tube
générateur de Ed.
Tesla voyait les flammèches venant de ses bobines comme de
l'énergie gaspillée, donc il a essayé de les faire disparaître. Il a
essayé une bobine conique mais a constaté que cela a accentué le
problème. Il a alors essayé de placer une sphère de cuivre au sommet de
sa bobine. Cela a stoppé les flammèches mais les électrons étaient
délogés de la sphère de cuivre, créant des conditions réellement
dangereuses. Ceci demandait que le métal génère des flux d'électrons
lorsqu'il est frappé par les flammèches de la bobine (comme cela a été
vu quand les flammèches avaient été canalisées vers les plateaux de
métal et que du courant en avait résulté).
Tesla a conçu, construit et utilisé de grandes ampoules de
verre qui nécessitaient seulement un seul plateau externe pour la
réception de l'énergie radiante. La distance à laquelle ces lampes
étaient de la source radiante n'avait aucune importance, elles
s'allumaient et brillaient fortement, presque au niveau d'éclairage
d'une lampe à arc et bien bien plus brillant que n'importe laquelle des
lampes à filaments conventionnelles d'Edison. En ajustant la tension et
la durée des impulsions de son appareil, Tesla pouvait aussi chauffer
ou refroidir une pièce.
Les expériences de Tesla suggéraient qu'une méthode
d'extraction de l'énergie libre est d'utiliser une bobine de Tesla qui
a un pic de métal au lieu de la commune sphère de métal placée au bout
de la bobine " secondaire ". Si la bobine de Tesla est alimentée avec
suffisamment d'impulsions de courte durée et unidirectionnelles et que
la bobine " secondaire " était dirigée vers un plateau de métal, alors
il devrait être possible de récupérer de fortes puissances depuis le
plateau de métal, comme Tesla l'a découvert.
L'énergie provenant du champ environnant n'est pas de
l'électricité et ne s'écoule pas à travers les fils du bobinage "
secondaire ", mais au lieu de cela, elle s'écoule le long de
l'extérieur de la bobine et à travers l'espace pour frapper la surface
du plateau de métal, où elle génère du courant électrique conventionnel
qui peut avoir un fort ampérage. Thomas Henry Moray a montré que cette
énergie qui coule le long de l'extérieur du fil peut passer à travers
le verre sans en être aucunement affectée.
Alors que les expériences de Tesla demandaient l'utilisation
d'un plateau de métal, il a breveté un type de bobine dont il a dit
qu'elle était très efficace pour récupérer cette énergie radiante.
Cette bobine est appelée du nom impressionnant de " bobine bifilaire à
connexion série " :
Si un champ magnétique puissant est placé à travers l'espace à
étincelle comme montré plus haut, il rend plus abrupte la coupure de
l'étincelle et améliore le caractère unidirectionnel de l'impulsion de
courant. Il faut avoir en mémoire que si une telle impulsion très
courte et abrupte de courant unidirectionnel produite par une étincelle
traversant un espace à étincelle du type de celui montré auparavant a
lieu dans un conducteur, alors une puissance onde d'énergie radiante
émane dans un plan à angle droit de l'impulsion de courant, comme
montré ici :
L'onde d'énergie radiante est assez différente d'un champ
électromagnétique généré autour du fil transportant l'impulsion de
courant. Dans le système de la bobine de Tesla présenté auparavant, il
devrait être possible de rassembler de l'énergie libre additionnelle à
travers une ou plusieurs bobines cylindriques co-axiales (positionnées
comme des couches d'un oignon) autour des fils de l'espace à étincelle.
Ces bobines seraient plus efficaces si elles étaient enroulées comme
des bobines bifilaires connectées en série. La raison de cette
disposition est que la composante du champ magnétique de la bobine est
de (presque) zéro puisque le flux de courant passant à travers le fil
s'écoule dans des directions opposées dans le sens aller et retour, et
donc les champs magnétiques produits devraient s'annuler :
Il a été accordé à Tesla le brevet américain n° 685,957 "
Appareillage pour l'utilisation de l'Energie Radiante " dans lequel il
montre plusieurs moyens permettant de récupérer l'énergie collectée par
les plateaux de métal. Il est probable que les techniques de
récupération montrées dans le brevet de Hermann Plauston, qui
constituent une partie de cet ensemble de documents, marcheraient aussi
de manière très efficace avec cette énergie collectée. De vieux brevets
mentionnent quelquefois un " condenseur " qui est le terme initial pour
ce qui est de nos jours appelé un " condensateur ".
Après des considérations minutieuses et plusieurs expériences,
Tesla est arrivé à la conclusion que les rayons radiants qu'il
utilisait irradiaient vers l'extérieur si rapidement que les électrons
étaient incapables de rester avec eux. Les rayons étaient transportées
par un médium consistant en des particules presque sans masse et
extrêmement mobiles, bien plus petites que les électrons, et qui à
cause de leur taille et de leur vitesse, pouvaient facilement traverser
la plupart des matériaux. Malgré leur petite taille, leur vitesse
extrême leur donne un moment (ndt : moment d'impulsion = quantité de
mouvement) considérable. Un élément particulièrement difficile à
expliquer est que ses rayons semblent se propager vers l'extérieur
instantanément, sans aucun délai de latence, comme s'ils étaient
transmis à travers la matière qui est totalement incompressible. Cette
énergie est quelquefois appelée " Energie Radiante " ou " ER " en plus
court, et apparaît n'avoir aucune charge classique. Ceci est une
caractéristique unique dans l'univers ayant des traits particuliers
qui, si ils sont utilisés, permettent tout un ensemble de nouvelles
applications et de nouvelles possibilités.
Tesla considérait que ce champ nouvellement découvert agissait
comme un fluide. Cent quinze ans plus tard, l'article principal de
l'édition de décembre 2005 du journal " Scientific American ",
constatait que les modèles expérimentaux suggèrent que l'espace-temps
pourrait être une sorte de fluide. Cela a pris longtemps pour que la
science moderne commence à se préoccuper des travaux de Tesla. En fait,
c'était Michael Faraday ( 1781-1867) qui a eu l'idée en premier.
Paulo et Alexandra Correa ont découvert un moyen pour convertir les
ondes longitudinales de Tesla en puissance électrique ordinaire. Ils
ont déposé le Brevet d'Application américain n° 2006/0,082,334 intitulé
" Systèmes de conversion d'énergie " dans lequel ils font état de
plusieurs manières de réussir ce type de conversion d'énergie.
Leurs techniques consistent en l'application de l'énergie des
ondes longitudinales provenant d'une bobine de Tesla vers deux
condensateurs via une diode de rectification et les tensions générées
sont directement reliées au potentiel terrestre :
Le Brevet d'application fait partie de cet ensemble de
documents et les détails peuvent être examinés dans leur totalité. Une
théorie du fonctionnement est présentée, basée sur leurs nombreuses
expériences et observations, et la forme concrète de l'un de leurs
appareils de conversion est la suivante :
Les plateaux de récupération active R et T sont encastrés dans
un cylindre et sont alimentés par une forme conique pour assister la
procédure. Le Brevet d'application contient une grande quantité
d'informations et vaut le détour de lecture.
Une autre personne clé dans l'avancée de la théorie et de
l'analyse du courant est le professeur Konstantin Meyl, qui a décrit
comment des vortex de champ produisent des ondes scalaires. Il a décrit
la manière dont les ondes électromagnétiques (ondes transverses) et les
ondes scalaires (ondes longitudinales) pourraient être représentées
ensemble dans des équations d'ondes. Par comparaison, les ondes
électromagnétiques transverses ont la meilleure application pour les
transmissions télédiffusées comme la télévision, alors que les ondes
scalaires longitudinales ont la meilleure application pour les systèmes
de communication point à point comme les téléphones cellulaires.
Il a aussi proposé la
théorie que les neutrinos sont des ondes scalaires qui se déplacent
plus vite que la vitesse de la lumière. Quand ils se déplacent à la
vitesse de la lumière, ce sont des photons. Quand un neutrino est
ralenti en dessous de la vitesse de la lumière, il devient un électron.
Les neutrinos peuvent osciller entre e- et e+ . La fusion nécessite e-,
et un flash de lumière nécessite e+. L'énergie dans un vortex agit
comme un convertisseur de fréquence. Le mélange de fréquences
mesurables est appelé le bruit.
Le docteur Meyl a mis en évidence le fait que Tesla a mesuré
la résonance de la Terre à 12 Hz. La résonance Schumann est de 7,8 Hz.
Meyl montre comment on peut calculer l'onde scalaire de la Terre comme
se propageant à 1,54 fois la vitesse de la lumière. Il a développé un
modèle qui donne l'expansion de la Terre comme résultat de l'absorption
de l'énergie des neutrinos par la Terre. Les ramifications de ce modèle
sont que l'énergie des neutrinos peut être capturée. Il a poussé cela
un peu plus loin et a postulé que l'Energie du Point Zéro est la
puissance des neutrinos - énergie provenant du champ, disponible
n'importe quand et présente partout. Pour mettre en évidence la place
importante des neutrinos dans la science conventionnelle, Meyl indique
que le Prix Nobel de physique en 2002 a été accordé pour ses travaux
sur les neutrinos. Le site Web du docteur Meyl est à l'adresse www.k-meyl.de et vous pouvez y accéder par Google, une traduction approximative en anglais étant disponible.
Tesla a réalisé une expérience dans laquelle il a appliqué un
courant alternatif à haute fréquence et haute tension à une paire de
plateaux métalliques parallèles. Il a trouvé que l' " espace " entre
les plateaux est devenu ce qu'il a décrit comme un " état solide "
exhibant les caractéristiques d'une masse : inertie et moment. Cela
veut dire, que la zone s'est transformée en un état contre lequel une
poussée mécanique pouvait être exercée. Ceci implique que, en utilisant
cette technique, il devrait être possible de faire se diriger un
vaisseau spatial n'importe où dans l'espace, si le mécanisme de poussée
contre " l'état solide " de l'espace pouvait être déterminé. D'autres
expériences ont convaincu Tesla que des ondes électromagnétiques
puissantes pouvaient être utilisées pour pousser (ou tirer) sur ce qui
apparaît être de " l'espace vide ". Le principe de poussée est basé sur
l'effet Hall utilisé dans les capteurs magnétiques semi-conducteurs, et
est appelé l'effet magnétohydrodynamique ( " MHD "). Ceci pourrait être
illustré de la façon suivante :
Ici, une boîte est construite avec deux plateaux de métal
disposés sur des faces opposés et deux plateaux isolés les maintiennent
en place, délimitant une zone d' " espace ". Un courant à haute tension
et haute fréquence est appliqué aux plateaux de métal et ceci crée un
champ électrique " E " entre les plateaux, comme dessiné en noir sur la
figure précédente. Un champ magnétique " B " est lui aussi créé par le
champ électrique. Le champ magnétique agit à angle droit du champ
électrique, comme indiqué en bleu. Ces deux champs produisent une force
de propulsion " F " dessinée en rouge dans le diagramme. Cette force de
propulsion n'est pas produite par l'éjection d'une quelconque matière
depuis l'intérieur de la boîte vers l'extérieur, mais est plutôt
produite par une réaction contre " l'état solide " de l'espace-temps
causé par les pulsations électromagnétiques contenues dans cette zone
de l'espace. Ceci est bien plus efficace qu'un moteur à propulsion.
L'accroissement de la force se fait selon la puissance quatrième de la
fréquence ; donc si vous doublez la fréquence, l'effet est 16 fois plus
grand.
Par comparaison, considérez la force appliquée pour soulever
un objet en l'air, contre la force de la gravité. La force qui tire
l'objet vers le bas est la gravité et sa valeur est donnée par :
Force gravitationnelle :
F=g×M×m/r²
Où
G est la constante gravitationnelle (6,672×10-8 cm3g-1s-2)
M est la masse du premier corps
M est la masse du second corps
R est la distance entre les deux centres de masse
La force qui tend à élever la boîte est donnée par :
Force de Lorentz : Force sur un objet = Force électrique + Force magnétique
F=q×E + q×v×B
Où
Q est la charge de l'objet
B est le champ magnétique
V est la vitesse de l'objet
E est le champ électrique
Quel
est le rapport de grandeur entre ces deux forces ? Et bien, la force
électromagnétique est plus grande que la force gravitationnelle par un
facteur d'environ 2 200 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000
fois. Ce nombre (2,2×1039) est trop grand pour que quiconque puisse le
visualiser concrètement, aussi laisse-moi vous le faire comprendre
autrement.
Si la quantité d'énergie utilisée pour soulever mécaniquement
un objet d'une hauteur d'un centième de pouce (un quart de millimètre)
du sol, avait été utilisée électromagnétiquement pour soulever le même
objet, alors cette même quantité d'énergie aurait soulevé l'objet de
plus de 3 472 222 000 000 000 000 000 000 miles du sol, ou en unité
métrique, de plus de 5 588 001 700 000 000 000 000 000 de kilomètres du
sol. Ce type de propulsion est donc d'un genre très différent du
premier. Ce type de propulsion par effet Hall, si il était utilisé dans
les vaisseaux, ne demanderait qu'une très petite quantité de puissance
en entrée pour propulser le vaisseau en question à de grandes vitesses
sur de grandes distances.
Comme le dispositif montré ci-dessus fonctionne directement à
partir des champ de l'espace-temps qui pénètrent la matière, il semble
n'y avoir aucune raison que ça ne puisse pas être utilisé comme système
de propulsion d'un véhicule conventionnel, en le positionnant à
l'horizontal plutôt que de façon verticale comme montré dans le
diagramme. Le contrôle de navigation pourrait être effectué par des
ajustements très fins de la fréquence des pulsations de courant
alternatif appliquées aux plateaux de métal. Cependant, Bill Lyne
indique que le mouvement horizontal est plus efficacement réalisé par
la production de pulsations de courant continu à haute fréquence et
haute tension à l'avant du véhicule pendant qu'en même temps on produit
des vagues de courant alternatif à haute fréquence et haute tension à
l'arrière du véhicule. Ce style de propulsion est sensé tirer le
véhicule le long de sa trajectoire plutôt que l'y pousser le long.
La théorie dynamique de la gravitation de Tesla (1897) dit que
tous les corps émettent des micro-ondes dont la tension et la fréquence
sont déterminées par leur contenu électrique et leur mouvement relatif.
Il a mesuré la radiation micro-ondes de la Terre à seulement quelques
centimètres de longueur d'onde. Il a dit que la fréquence et la tension
étaient influencées par la vitesse et la masse de la Terre, et que
l'interaction gravitationnelle avec les autres corps, tels que le
Soleil, était déterminée par l'interaction des micro-ondes entre les
deux corps.
Si vous pensez que le concept de production d'une force de
propulsion par la poussée contre un continuum espace-temps est
difficile à accepter, alors peut être que vous devriez vous intéresser
au brevet US accordé à Boris Volfson le 1er novembre 2005. La chose
importante à savoir concernant ce brevet (qui est rempli de longs mots
compliqués) n'est pas de savoir si il propose un mécanisme réaliste
pour la propulsion d'un vaisseau spatial, mais le fait que le bureau
des brevets US a accordé le brevet courant 2005, après ce qui paraît
être des considérations très attentives à son contenu. Avec ceci en
vue, il est difficilement possible de considérer que Tesla s'est trompé
quand il a conçu (et construit) sa " machine volante électrique " qui
fonctionnait en s'appuyant contre le champ espace-temps.
Tesla a utilisé de hautes tensions à des fréquences dans les
giga Hertz, pour son système de propulsion. La propulsion d'un véhicule
alimenté par un moteur Tesla se fait par l'utilisation d'un générateur
alternatif additionnel à l'arrière (qui renforce le continuum
espace-temps de face, ayant pour effet de tirer le véhicule vers
l'avant).
Tesla était très astucieux. Il a conclu que " l'espace vide " contient en fait :
1) Des transporteurs indépendants qui imprègnent tout l'espace
et toute la matière, et desquels toute la matière est constituée. Ils
transportent un moment, du magnétisme, de l'électricité ou de la
électromagnétique, et peuvent être manipulés artificiellement ou de
manière naturelle.
2) " Des rayons solaires primaires (lumière émanant du Soleil)
" qui voyagent à la vitesse de la lumière, ont des fréquences bien
supérieures aux rayons X, Gamma et ultra-violets.
3) " Des rayons cosmiques ", constitués de particules propulsées dans l'espace par les rayons solaires primaires.
4) Des ondes électromagnétiques UV, Gamma et X ; qui voyagent toutes à la vitesse de la lumière.
5) Des ondes électromagnétiques infrarouges et de la gamme du visible qui voyagent à la vitesse de la lumière.
6) Des forces électrostatiques à variation rapide de potentiel énorme,
émanant de la Terre et d'autres corps gravitationnels de l'Espace.
Quand nous saisissons la vraie nature de l'univers, il devient
clair que nous avons une plus grande palette de possibilités de
production d'énergie utilisable en grande quantité et à coût minime.
Voici l'information contenue dans le brevet de Volfson, que je ne qualifierais pas de facile à lire pour la plupart des gens :