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rusty james news
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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
diable
21 février 2020

Robert johnson mediocre musicien qui devint un Génie du blues après avoir fait un pacte avec le diable

 


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sur la route du blues il rencontre le diable qui lui propose un pacte contre la célébrité son âme ......

Le 15 août 1938 à Greenwood, Mississippi, est assassiné l’inventeur du Blues Avec 29 chansons enregistrées en 2 jours, Johnson allait devenir un mythe, une légende, un Dieu de la musique pour toutes les prochaines générations. Cet extraordinaire guitariste noir a vécu dans la misère des champs de coton du Mississippi.

Robert Johnson est né le 8 mai 1911 dans le Mississippi (USA).

Il a beaucoup voyagé au cours de sa brève carrière, jouant partout où il le pouvait. Ses succès se résument aux 29 chansons qu’il a écrites et enregistrées à Dallas et San Antonio de 1936 à 1937.

Johnson a été véritablement reconnu lorsque son travail a été réédité d’abord dans les années 60, puis dans les années 90.

Mais une grande partie de la vie de Johnson est enveloppée de mystère.

Son House, un musicien de blues contemporain de Johnson, a affirmé que ce dernier était un joueur d’harmonica décent, mais un guitariste médiocre avant de disparaître quelques temps. A son retour, il était métamorphosé et était devenu un guitariste hors-pair !

La légende veut que Johnson ait pris sa guitare et se soit rendu au carrefour des autoroutes 49 et 61 (dans le Mississippi), où il aurait fait un pacte avec le diable : devenir un guitariste virtuose en échange de son âme.

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Robert Johnson, le Diable aux trousses…

Lorsqu’il revint en ville, les musiciens qui s’étaient moqués de lui par le passé voulurent savoir comment il avait fait pour acquérir un tel talent.

Et, toujours selon la légende, Johnson leur aurait répondu qu’il s’était rendu au carrefour juste avant minuit par une nuit de pleine lune. Un homme l’y attendait, et lui aurait proposé ce marché alléchant qu’il ne pouvait refuser.

Prenant la guitare de Johnson, le Diable l’aurait accordée puis aurait joué quelques notes avant de lui rendre l’instrument.

Après une carrière éclair mais flamboyante, Robert Johnson meurt en août 1938 à l’âge de 27 ans. Il aurait été empoisonné par le mari d’une femme qu’il fréquentait… De fait, il deviendra le 1er musicien du Club des 27 à mourir prématurément.

Des indices cachés dans ses chansons

hellhound

Le « Hellhound »

Plus étrange, il semble que Robert Johnson lui-même ait entretenu son mythe en parsemant ses chansons de traces ésotériques. Au moins six de ses morceaux contiennent des références au Diable ou au paranormal.

Ainsi, dans Me and the Devil Blues, il chante : « Le Diable et moi marchions côte à côte ».

Voici également un extrait troublant de sa chanson Hellhound on my trail:

« Je dois continuer de bouger, je dois continuer de bouger,
Le blues s’abat comme la grêle, Le blues s’abat comme la grêle,
Et les jours ne cessent de me préoccuper
Il y a un chien de l’enfer à mes trousses… »

A noter que le Hellhound est une créature mythologique chargée de collecter les âmes de ceux ayant pactisé avec le Diable…

http://www.out-the-box.fr/robert-johnson-le-guitariste-qui-pactisa-avec-le-diable/

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3 juin 2016

le secret de la lignée des rois de france au sang bleu

saint_bertrand_de_comminges

 

Dans la salle du Chapitre à la cathédrale de Saint Bertrand de Comminges, une miséricorde représente une femme ... munie d'ailes d'ange et de pattes de reptiles.

 





En la Cathédrale Sainte Marie d'Auch dans le Gers, François 1er est représenté sous l'apparence du roi David à la harpe. La Maison Royale de France descend de David.

Il nous suffit maintenant d'observer ce que ce roi de France en qui s'incarne l'esprit même du fondateur de cette race "davidique" tend à nous montrer, son index droit pointe vers ses pieds.

David-François 1er en la Cathédrale Sainte Marie d'Auch



Nous découvrons un roi-crapaud sous l'effigie de David-François 1er.

Ce personnage couronné a des jambes de batracien !

roi-crapaud sous l'effigie de David-François 1er



Les Mérovingiens utilisèrent l'emblème de la grenouille comme manifestation de leurs certitude d'appartenir a la race immortelle des rois de France. Les Francs primitifs portaient sur leurs enseignes un semis de crapauds.
Une légende raconte qu'un ange apparut à Clovis pour changer l'emblème du crapaud en fleur de Lys (Lys des marais).

fleur de lys


La figuration symbolique de la grenouille des mérovingiens ressemble beaucoup a la fleur de lys des capétiens laquelle sera facilement transformée en abeille par la suite.



"Galli" ("Les Origines")

On les nommait aussi Galates. Les Romains les appellent "Galli" ("Les Origines"). Ainsi les appellations Celtes, Galates, Galli et Gaulois s'appliquent au même peuple dont l'origine était Israël.

Galilée veut dire "cercle de pierres" ...
Galilée se dit Galil en hébreux. Le sens de ce nom est très ancien et provient du début de la conquête de Canaan par Josué et peut-être même bien avant puisque cette région était déjà urbanisée dès les couches les plus anciennes de la civilisation cananéenne. Galil vient d’une racine hébraïque qui signifie "rouler". Il désignerait un "cercle" probablement un "cercle de pierres" comme dans le mot Gilgal (mot de même racine que Galilée).

Et il y a lieu de remarquer que ces appellations sont à l'origine étymologiquement de Valaques, Walah, Wales, Welsch, Galles et aussi Gael

Ascendance Davidique des Rois de France
(selon Monsieur le Marquis de la Franquerie)

La Bible dit que Noé, qui était le dixième degré de la filiation humaine, eut trois fils et que leur postérité peupla le monde après le déluge (Genèse, chap. IX, versets 1 et 18 et 19). Deux de ses fils furent les ascendants des races qui nous intéressent : Sem, l'auteur des Maisons de Juda et d'Israël, et Japhet ancêtre des peuples européens. Cham eut l'Egypte et l'Afrique.

 

Juda, au vingt quatrième degré depuis Adam, frère de Lévi, l'ancêtre des Grands Prêtres, et de Joseph qui devint le premier ministre du Pharaon d'Egypte, Juda, dis-je, eut deux fils de la Syrienne Thamar et la Bible précise :

Comme elle fut sur le point d'enfanter, il parut qu'il y avait deux jumeaux dans son sein. Et lorsque ces enfants étaient prêts à sortir, l'un des deux passa sa main à laquelle la sage femme lia un ruban écarlate, en disant : "Celui-ci sortira le premier ". Mais cet enfant ayant retiré sa main, l'autre sortit. Alors la sage-femme dit : "Pourquoi le mur s'est-il divisé à cause de toi ? ". C'est pourquoi il fut nommé Pharez. Son frère qui avait le ruban écarlate à la main sortit ensuite et on le nomma Zara. (Genèse, chap. XXXVIII, versets 27 à 30).

David, Sédécias et Jésus étaient de la branche de Pharez et non pas de celle de Zara.

D'après l'histoire, les descendants de Zara devinrent des nomades et se dirigèrent au nord-est, dans le territoire des Scythes, pour rejoindre les dix tribus.

"Mais tandis que la lignée PHAREZ-DAVID-SÉDÉCIAS (que la Bible appelle HAUTE et ÉLEVÉE) possédait encore le SCEPTRE, la lignée de Zara (appelée BASSE et ABAISSÉE) aspirait toujours aux honneurs de le posséder un jour."

 

Or Pharez fut l'auteur de la branche royale de Juda et Zara des Rois Troyens, auteurs eux-mêmes des Sicambres (autre nom donné aux Francs), dont l'un des chefs, Marcomir IV, ancêtre direct et salique des trois branches des Rois de France, avait épousé Athildis qui descendait à la sixième génération d'Anna, cousine germaine de la Très Sainte Vierge et fille de Saint Joseph d'Arimathie dont l'ancêtre commun était le Roi David, par Salomon et aussi par Nathan.

 

Le SCEPTRE passa donc saliquement de la branche de Pharez à celle de Zara et aussi la descendance de David assurée dans la branche de Zara par plusieurs mariages, notamment par Anna et Athildis, ci-dessus mentionnées et, antérieurement, par Tea-Tephi, la propre fille du dernier roi de Juda par les Rois d'Irlande et d'Ecosse, ancêtres de la plupart des Maisons Souveraines européennes, ainsi que nous allons le constater.

 

Pendant la onzième année du règne du dernier roi de Juda, Sédécias, en 585 avant Jésus-Christ, les Chaldéens, sous le règne de Nabuchodonosor, après deux ans de siège, détruisirent la ville de Jérusalem et le Roi de Babylone prononça son arrêt : Il tua les fils de Sédécias devant lui et lui creva les yeux, le chargea de chaînes et l'emmena à Babylone. (IV Rois, chap.XXV, versets 7 et suivants)

Jérémie relate la même chose et ajoute : "Il fit égorger tous les princes de Juda." (LII, versets 10 et 1 1)

Mais il précise que les filles du Roi furent sauvées en même temps que lui. (XLI, verset 10 et XLIII, verset 6).

L'une des filles de ce roi Sédécias, Tea-Tephi, sera en effet l'ancêtre de la plupart des Maisons souveraines de l'Europe.

Jérémie est considéré en Irlande comme le grand législateur sous le nom d'Ollam Fodhla. Il aurait emmené Tea-Tephi, fille du dernier Roi de Juda, dans ce pays où elle aurait épousé un prince irlandais, Heremon. Ils seraient les auteurs des Maisons Royales d'Irlande et d'Ecosse. Il n'est pas sans intérêt de constater que le blason de l'Irlande représente la harpe de David et de sa Maison et que celui de l'Ecosse est un lion qui rappelle la Tribu de Juda.

Faut-il ajouter que cinq siècles et demi plus tard, Saint Joseph d'Arimathie - oncle de la Très Sainte Vierge - serait venu en Irlande et serait mort à Glastonberry le 27 juillet 82 et que sa petite fille, Bennardim, fille d'Anna, aurait épousé le Roi Lear...

 

Ainsi finit donc politiquement le Royaume de Juda l'an du monde 3416, soit 585 ans avant Jésus-Christ et les droits du SCEPTRE et aussi le DROIT D'AÎNESSE passèrent à une autre branche qui devint la branche aînée, celle des Rois Troyens, ancêtres directs et saliques par les Sicambres des Rois de France et qui, par Tea-Tephi, descendaient également de David.

 

Le DROIT D'AÎNESSE est un droit qui appartient, sa vie durant, à tout aîné mâle concernant le DROIT À LA COURONNE, pour les Familles Souveraines, ou au titre pour les familles nobles, et qui s'applique plus spécialement à l'héritage matériel et politique, mais qui comprend également l'héritage spirituel attaché par tradition à l'héritage politique et matériel.

 

Le SCEPTRE est l'insigne et "dans la Bible représente la promesse divine garantissant une succession ininterrompue de Rois, dont le personnage culminant, Notre Seigneur Jésus Christ, viendra régner en tant que ROI DES ROIS. Le SCEPTRE contient donc la promesse du salut éternel PAR JÉSUS-CHRIST" ou ses représentants. Il relève donc du domaine de la GRÂCE. Mais cette promesse spirituelle s'applique à toutes les nations, à toute créature humaine qui peut être rachetée par le Christ.

 

Le SCEPTRE est allé à Juda, alors que le DROIT D'AÎNESSE a été attribué à Joseph, donc à deux tribus différentes d'ISRAËL.

 

HISTOIRE DU PEUPLE DE DIEU DE L'ANCIEN TESTAMENT

Rappelons que Joseph fit venir son père et ses frères en Egypte avec tous les leurs. Le pharaon leur donna une contrée qu'ils peuplèrent si rapidement que cela excita la jalousie, la méfiance, enfin la persécution de ce peuple. Alors naquit Moïse qui, sur l'ordre de Dieu ramena le peuple d'Israël vers la Terre Promise ; c'est au cours de ce retour qu'eut lieu le passage de la Mer Rouge et la destruction de l'Armée Egyptienne, puis la manne lors de la traversée du désert et le passage au mont Sinaï où Moise reçut le Décalogue.

Ce dernier ayant alors senti sa fin prochaine, demanda à Dieu de nommer celui qui devait conduire le peuple d'Israël et Dieu désigna Josué, qui, dans la guerre contre les Amalécites, avait mis l'ennemi en déroute. Arrivé au bord du Jourdain, Dieu renouvela le miracle qui s'était produit lors du passage de la Mer Rouge et Josué se rendit mettre de tout le Pays de Chanaan, c'est-à-dire de la Palestine. Le pays fut alors partagé entre les douze tribus d'Israël où elles furent gouvernées par les Juges jusqu'au jour où elles demandèrent un Roi.

Mais leur premier Roi, Saül, ayant voulu s'octroyer les pouvoirs ecclésiastiques, a été rejeté dans sa descendance, car il devait ainsi servir d'exemple de ce qu'un Roi ne devait jamais faire.

Alors le choix de Dieu se porta sur David qui reçut de l'Eternel le serment de pérennité pour sa race, serment que Dieu tint à toujours respecter, même quand la descendance de David fut infidèle.

L'ascendance davidique de Notre Seigneur par sa Mère est relatée dans l'Evangile de Saint Luc. Cette ascendance était double, car la Reine du Ciel et de toute la Création avait pour ancêtres deux des fils de David : Le Roi Salomon, dont la descendance est relatée dans l'Evangile de Saint Matthieu, et Nathan dont la postérité a été décrite par Saint Luc. En effet, Eléazar, au vingt quatrième degré de la descendance de Salomon et arrière grand père de Saint Joseph, eut une fille qui épousa Lévi, le grand père de Saint Joachim, Père de la Très Sainte Vierge, et aussi de Saint Joseph d'Arimathie. Ajoutons que par sa Mère, Sainte Anne, Marie descendait des Grands-Prêtres. Toutes ces généalogies sont inscrites dans la Bible.

 

L'Abbé Boudet, Curé de Rennes-les-Bains, dans l'Aude, a publié en 1886 une étude : "La vraie langue celtique et le Cromleck de Rennes-les-Bains" dans laquelle il écrit : "La Gaule a été le point central de l'établissement définitif de la famille celtique dans les contrées occidentales de l'Europe" (page 1), et il ajoute :

"Les Gals, descendants de Gomer, fils de Japhet, partirent de l'Asie Mineure à une époque que l'on ne peut préciser, se répandirent dans la Gaule, en refoulant les Ibères vers le sud, les Ligures vers l'est... "

"Les Kimris formaient la seconde branche de la famille gauloise. Les Grecs les nommaient Kimmerioi et les Romains les appelaient Cimbri. En l'an 631 avant Jésus-Christ, les peuples scythiques, au rapport d'Hérodote, fondirent sur les bords du Palus Méotide et poussèrent devant eux les Kimris qui se dirigèrent vers le soleil couchant sous la conduite de Hu-arBras, remontèrent le cours du Danube et envahirent la Gaule par le Rhin. Suivant les traditions kimriques, Hu-ar-Bras ne s'établit point dans la Gaule, mais il traversa l'Océan brumeux et conquit sur les Gals l'île d'Albion" (Pages 2 et 3). Et il fait une étude remarquable sur les rapports existant entre la langue hébraïque et la langue celtique.

 

Plusieurs tribus d'Israël étaient établies dans le pays de GALAAD et, au temps du Christ cette région s'appelait aussi GAULONITIS. Il convient de rapprocher ce nom de région de Galates et Galli ou Gaulois qui finit par être donné aux habitants de la Gaule une fois que ses habitants s'y furent installés.

"Ce nom CELTE, ils (les Celtes) SE L'ÉTAIENT DONNÉ A EUX-MÊMES. On les nommait aussi Galates. Les Romains les appellent Galli" ("Les Origines"). Ainsi les appellations Celtes, Galates, Galli et Gaulois s'appliquent au même peuple dont l'origine était Israël. Et il y a lieu de remarquer que ces appellations sont à l'origine étymologiquement de Valaques, Walah, Wales, Welsch, Galles et aussi Gael. Or le mot hébreu GOLAH, qui se prononçait "GAULAU" signifiait EXIL et il n'apparut dans la Bible au deuxième livre des Rois, chapitre XV, verset 19, qu'au moment où les habitants de Galaad et de la Galilée furent emmenés captifs en Assyrie.

 

Tout à fait à l'origine les anciens habitants de notre Pays étaient les Ibères qui descendaient de Japhet mais ne laissèrent que peu de traces et franchirent les Pyrénées.

Javan, fils de Japhet, eut plusieurs fils : Rodanim, ancêtre des habitants de Rhodes et des populations qui s'installèrent à l'embouchure du Rhône ; Elie, ancêtre des Grecs et des et des Latins ; enfin Tarsisa s'installa tout d'abord en Asie Mineure où il aurait fondé le port de Tarsis avant que ses descendants se soient installés dans la Ligurie, en Italie.

Ceux qui envahirent la Germanie, la Scandinavie et les Iles Britanniques s'appelèrent alors du nom général de Saxons, ou Isaac-sons, les fils d'Isaac.

Or l'histoire montre qu'une fille de Priam, Roi de Troie, épousa Memnon d'où à la 22' génération Odin qui épousa Frea, petite fille de Lucius frère d'Athildis, l'épouse de Marcomir IV est à l'origine des différentes maisons saxonnes. Odin, dont la mythologie scandinave a fait un dieu. Les Gaulois, par contre, constituaient le fond de la population avant les Francs et étaient de race celtique.

L'homme choisi par le Christ pour être le sauveur de la chrétienté fut Constantin l'Empereur des Gaules. Et c'est sur notre sol, à la tête de ses légions, composées en partie d'hommes de chez nous que la croix lumineuse lui apparût avec cette fulgurante promesse de victoire; In hoc signo vinces! et qu'il se convertit.

 

Samothès, quatrième fils de Japhet, fils de Noé, a émigré dans les Gaules, où il a fondé un lignage de rois lettrés, créateurs d'universités. Proscrit pour impiété (il ne croyait pas en l'immortalité de l'âme), un membre de ce lignage a fui, en Asie, où il a apporté la culture gauloise et fondé la cité de Troie. Après la ruine de celle-ci, conquise par les Grecs, Francus (ou Francion), fils d'Hector, est retourné au pays de ses ancêtres.

D'autres fugitifs de Troie ont créé, entre le pays des Scythes et celui des Hongrois, l'empire de Sicambrie ; puis, ils ont émigré en Germanie grâce à l'empereur romain Octave et sont entrés peu à peu en Gaule pour y rejoindre les descendants de Francus, fondateur du royaume des Francs. Sur le trajet de leur migration, plusieurs villes portent dans leur nom la racine "Cambr" (Cambron-Casteau, Cambrai …)

Jean Lemaire de Belges, historiographe de Marguerite de Bourgogne, dans son poème Illustrations de Gaule et singularités de Troie (1510). Soixante ans plus tard, dans sa Franciade dédiée à Charles IX, Ronsard imagine l'origine troyenne qui légitime la royauté capétienne. Au livre IV, Francus (ou Francion), ayant au cours de sa migration épousé la fille du roi de Crète, qui est prophétesse, se fait annoncer par elle son voyage vers la Gaule. Elle prédit toute la série des rois de France qui seront ses descendants à partir de Marcomius, prince de Sicambrie, jusqu'à Charles Martel et Pépin le Bref, en passant par Pharamond, Claudion, Mérovée, Childéric, Clovis (le fier Sicambre, "honneur des Troyens"), Childebert, Clotaire, etc.

Le LYS est le symbole de la royauté. Depuis David la monarchie est de droit divin.

Clovis, premier roi de Gaule reçoit un écusson (bouclier) à trois fleurs de Lys par un Ange. Le baptême de Clovis eut lieu à Reims le 25 décembre 498.

 

 

SEULS LES ROIS DE FRANCE DESCENDENT SALIQUEMENT DE LA TRIBU DE JUDA

Seule la Maison Royale de France, dans ses branches successives par ordre de primogéniture mâle est l'héritière du DROIT D'AÎNESSE, par la ligne mâle et cette Maison Royale a seule hérité validement et donc légalement du SCEPTRE, car la Maison Royale d'Angleterre ne descend de la Maison d'Israël et de Juda que par les femmes, alors que la Maison Royale de France en descend par la primogéniture mâle. Ce que montre nettement le grand tableau généalogique du pasteur Milner allant de Juda jusqu'à la Reine Elisabeth Il. Mais il arrête cette ascendance salique mâle à Charlemagne parce que Hildegarde, la fille de l'Empereur, est l'ancêtre de l'actuelle Reine d'Angleterre.

En outre, la Maison Royale de France descend de David (donc de la Maison Royale de Juda tout comme la Maison d'Angleterre) uniquement par quatre Princesses de la Maison de David : Tea-Tephi qui épousa Heremon ; Anna, la cousine germaine de la Très Sainte Vierge Marie et la fille de Saint Joseph d'Arimathie par son mariage avec Beli Nouer, dont la fille Bennardim épousa le Roi Lear ; enfin Athildis qui épousa Marcomir IV. La Bible annonçait que la Maison de David serait transplantée en Occident ; elle l'a été, en effet, et par DROIT D'AINESSE salique dans la Maison Royale de France. La Tribu de Juda était la figure anticipée du Royaume de France.

Par ailleurs la Maison de Habsbourg descendrait saliquement de Clotaire ler Roi de France.

L'Eglise avait institué pour les seuls rois de France la cérémonie du SACRE qui faisait d'eux les représentants de Dieu dans l'ordre temporel et les chefs de tous les souverains.

Parlant du Roi de France, le pape Saint Grégoire le Grand, qui régna de 590 à 604, va jusqu'à écrire :

"Le Roi reçoit LE SACREMENT DE L'ONCTION. Parce qu'en effet l'onction est un SACREMENT."

"Le sacre de la Sainte Ampoule donnait au Roi de France LA PRÉÉMINENCE SUR TOUS les autres Rois, prééminence reconnue et acceptée ; il faisait du Roi salique le Roi très chrétien non seulement dans son royaume, mais SUR TOUTE LA TERRE."

Le Roi de France, "parce qu'il est sacré avec une huile venue du ciel" "porte la couronne de gloire entre les Rois." "Il est le Roi des Rois de la Terre", le REX MUNDI.

 

LES PRÉTENTIONS ANGLAISES

Le mariage de Mathias Il avec la fille de Simon le Juste introduit la lignée sacerdotale dans la généalogie; si bien que Héli, le père de Marie, et Joseph, le père d'Anne, descendaient tous les deux de la même façon du Roi David, le Psalmiste, et d'Aaron, le Grand-Prêtre. Le Roi Edouard VII est cent troisième dans la descendance d'Aaron.

Et l'on peut remarquer, coïncidence tout à fait involontaire, que les Rois Tudors qui amenèrent sur le Trône d'Angleterre cette lignée Hébraïque sacerdotale et royale, ont introduit la "Herse" comme écusson, qui semble être ni plus ni moins que le Plastron du Grand-Prêtre.

"L'Armilla", dont on a revêtu le Roi lors du couronnement, est exactement la même chose sous une autre forme - le nom étant hébreu à peine transformé après tant d'année pour les "Lumières" de Dieu. Ce vêtement fut introduit par les Tudors.

Ajoutons que pour mieux encrer dans l'opinion populaire ces prétentions, le trône sur lequel se trouve le Roi d'Angleterre le jour de son couronnement est établi sur la pierre que l'on assure être celle sur laquelle Jacob aurait eu le songe relaté dans la Genèse (XXVIII, versets Il à 22).

Ces rois se prétendent de sang bleue cette lignée a été hybridé avec le sang reptilien ,ils ont été maudits par dieu et depuis n'ont aucune chance d'échapper a leur sort ,alors ces rois souvent on fait couler le sang depuis des milliers d'années ce sachant maudits ,denos jours ils restent cette lignée de sang bleue chez les dynasties capetienne merovingiennes ,et nous en avons chez nos célébrités et chanteur  prenons le nomde balavoine et mettons le dans un moteur genealogique capetiens voyons le resultat ....

La Descendance Capétienne Recensement de tous les descendants d'Hugues Capet dont la filiation est encore représentée en 2015> Famille (blason) Branche BALAVOINE Ambroise 1761 1796 1845 VILLERS M. CRO0807 Fiche BALAVOINE BALAVOINE Delphine 1776 1831 BALAVOINE L. DEL1301 Fiche BALAVOINE BALAVOINE Fleury Benoît 1805 1828 1850 HECQUET A. DEL1301 Fiche BALAVOINE BALAVOINE Hector 1821 1843 SEVIN E. CRO0807 Fiche BALAVOINE BALAVOINE Héloïse 1851 1875 CRO0807 Fiche BALAVOINE BALAVOINE Jean François 1730 1758 1788 PRUVOST M. CRO0807 Fiche BALAVOINE BALAVOINE Jean Philippe 1731 1755 1785 DUCATEL A. DEL1301 Fiche BALAVOINE BALAVOINE Joseph 1721 1754 CUVELIER M. CRO0807 Notice BALAVOINE BALAVOINE Joséphine Adelphine (ménagère) 1833 1857 1894 DANEL C. DEL1301 Fiche BALAVOINE BALAVOINE Louis Jph (berger) 1778 1802 BALAVOINE D. DEL1301 Fiche BALAVOINE BALAVOINE Louis François Joseph 1798 1821 1867 TRAMECOURT E. CRO0807 Fiche BALAVOINE BALAVOINE Pierre Philippe (berger) maintenant ecoutons une de ses chansons qui cache un bien curieux récit "Lucie, Oh Lucie
Qu'est ce qui t'amène
Oh Lucie, Oh Lucie
Qu'est ce qui te gène
Toute la ville t'appartient
Toute la ville est dans tes mains
Le reste n'est qu'histoire ancienne
Tu connaissais déjà la fin lucie c'est un clin d'oeil a qui vous savez mais bon continuons sur une intuition pour voir certains diront et alors c'est le hasard c'est juste une chanson ok on connait les sceptiques ,alors poursuivons encore un autre exemple

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Qui ose dire qu’il peut m’apprendre les sentiments (reptilien)
Ou me montrer ce qu’il faut faire pour être grand
Qui peut changer ce que je porte dans mon sang (lignée )

Qui a le droit de m’interdire d’être vivant
De quel côté se trouvent les bons ou les méchants
Leurs évangiles ont fait de moi un non-croyant

une lignée maudite par dieu c'est ce qu'il veut dire ........

diana spencer etait aussi capetienne

F Famille (blason) Branche SPENCER Adelaide 1862 1885 SAU0729 Fiche SPENCER SPENCER Albert, 7e comte 1892 capedia Fiche SPENCER SPENCER Alexander SAU0729 Fiche SPENCER SPENCER Alice MOORE H. FIN0915 Fiche SPENCER SPENCER Alice 1563 1580 1635 STANLEY F. SAU0729 Fiche SPENCER SPENCER Almeric 1834 1857 1864 FANE I. SAU0729 Fiche SPENCER SPENCER Almeric 1841 1869 SAU0729 Fiche SPENCER SPENCER Amber SAU0729 Fiche SPENCER SPENCER Amelia SAU0729 Fiche SPENCER SPENCER Anne 1715 1737 1771 DOUGLAS-HAMILTON J. SAU0729 Fiche SPENCER SPENCER Anne 1773 1796 1865 ASHLEY-COOPER C. SAU0729 Fiche SPENCER SPENCER Anne SAU0729 Fiche SPENCER SPENCER Aubrey 1853 1885 SAU0729 Fiche SPENCER SPENCER Audrey 1911 SAU0729 Fiche SPENCER SPENCER Augustus 1807 1836 1893 CAMPBELL H. SAU0729 Fiche SPENCER SPENCER Augustus 1851 1886 1912 GRANT-THOROLD H. SAU0729 Fiche SPENCER SPENCER Benjamin Murray ROC0017 Fiche SPENCER SPENCER Blanche 1850 1876 SAU0729 Fiche SPENCER SPENCER Brenton SAU0729 Fiche SPENCER SPENCER Caitlin SAU0729 Fiche SPENCER

 

8 octobre 2015

Une adolescente péruvienne prétend qu’elle a été possédée par le diable après avoir joué à Ouija sur ton téléphone

lightcame

, rapporte le Daily Mail.

Des images saisissantes filmées à un hôpital local montrent Patricia Quispe de Chosica, au Pérou, en pleines convulsions pendant qu’elle crie «666» et «laisse-moi partir, laisse-moi partir».

Des amis de l’ado ont affirmé qu’elle leur a mentionné avoir téléchargé une application Ouija pendant le week-end pour s’amuser et tenter de communiquer avec le monde des esprits.

Lorsqu’ils sont revenus à la maison, les parents de Patricia ont remarqué qu’elle semblait malade et ont finalement appelé une ambulance lorsqu’elle s’est mise à avoir des convulsions et de l’écume à la bouche.

Les amis de Patricia ont dit que sa personnalité a commencé à changer et qu’elle parlait avec une voix différente au moment où elle a perdu le contrôle de son corps et s’est mise à appeler le diable.

Des infirmiers ont confirmé que la jeune femme semblait être extrêmement forte et qu’il était difficile de la contrôler, et ont affirmé avoir travaillé pendant plus d’une demi-heure avant de réussir à la maîtriser.

Mme Quispe a été envoyée dans une aile psychiatrique pendant que des docteurs évaluent sa condition et tentent de déterminer la cause de son comportement étrange.

preuve que la technologie peut servir a déplacer et véhiculer des énergies de basses frequences en creant des brèches dans votre aurra qui sera exploiter pare toute entités qui sera appellée dans le cas present la ouija appelle les demons et là c'est très dangereux .

petit rappel le mal n'ayant pas le pouvoir de vous obliger a pécher seulement a vous suggerer de faire telle ou telle chose une fois que vous creez cette bréche vous venez juste de l'inviter et le piège se referme sur vous hélas . rjames

 

Peru teen possessed and screaming for the Devil after Ouija App

http://www.journaldemontreal.com/2015/10/06/une-ado-possedee-par-le-diable-apres-avoir-joue-a-ouija-sur-son-telephone

13 janvier 2015

Maitre Gims: Agent illuminati vendu au diable ? son dernier clip donne les preuves

maitre-gims-subliminal1La Gloire de ce monde ne vient pas de notre Créateur mais elle provient du malin, et le malin se sert de la gloire des hommes pour que ces hommes-là conduisent les âmes de la multitude vers le malin (Satan). C'est exactement ce que dit Maitre Gims autrement dit le diable donne la gloire pour que nous détournions les ames du sentier de dieu par le divertissement , en tous les cas il sait bien que le trone de son maitre est sur l'eau comme nous le dit ce versetLe prophète a dit :"satan établit son trône sur l'eau et envoie ses légions. Le démon qui a (ensuite) le plus de proximité avec lui est celui qui a réussi le plus grand trouble .L'un de ces démons vient à lui et dit : "J'ai fait ceci et cela."Mais il lui répond : "Tu n'as rien fait."
Puis l'un d'entre eux vient à lui et lui dit : "Je n'ai pas lâché [tel humain], jusqu'à ce que j'ai réussi à provoquer la séparation entre lui et son épouse."
satan  rapproche de lui ce démon et lui dit : "Quel bon fils es-tu !" et lui fait porter une couronne comme récompense

 

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king

 

ces clips de Maitre Gims contiennent clairement tous les symboles illuminati bien connus, de meme que le contenu de ces paroles à double sens. Ce n'est pas pour rien que cet artiste a été propulsé sur le devant de la scéne alors que pendant des années il ne perçait pas vraiment. Les réussites dans le show biz foudroyante sont souvent le résultat d'un pacte passé avec le diable, un vrai pacte fait en connaissance de cause. Ce n'est pas pour rien que tous les medias illuminatis français font l'apologie de Maitre Gims et lui font sa promotion. Maitre Gims est une marionette du diable dont le role est de diffuser la philosophie du diable et d'entrainer dans le sillon du diable une certaine catégorie de la population. Le diable a ses agents dans tous les registres, pour chaque catégorie de personne, il a une perdition adapté.

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100810417maitre gims jeune initié non peu plus de sa découverte et nous la joue je vous subblime en douce et je lance un clin d'oeil a mes maitres bravo belle mentalité garçon ,n'enviez jamais leur reussite car elle représente un doigt au fond de l'océan lorsqu'il retirera son doigt il ne restera qu'une goutte sur son doigt alors que le créateur lui réservait un océan de bienfait  voilà ce que represente la vie sur terre une goutte sur un doigt et pourtant combien d'entre nous misons toute notre ame dans ce monde pour réussir a avoir juste une goutte d'eau sur un doigt ,quelle folie !!!!!!

merci youssoupha" j'aime pas le rap c'est lui m'aime " on comprend pourquoi

 

 

9 juillet 2014

« Syndrome du gourou » et ARNAQUE spirituelle du bas astral : en quoi le Nouvel Âge est-il nouveau ?

Images_ames__8__mTrès grande

Le New Age, c’est d’abord un marché. Et qui dit marché, dit arnaque : la rencontre entre un escroc et des pigeons. C’est-à-dire entre un bourreau et ses victimes. Le bizness du New Age et du « développement personnel » consiste à vendre des recettes pour être épanoui et heureux, libre et en paix. Le seul problème, c’est que l’ingrédient de base n’est pas, ne peut pas être fourni.

Le New Age est une arnaque à partir du moment où le vendeur évite de préciser (dans son discours) et de manifester (dans ses actes) que cet ingrédient, sans lequel rien n’est possible, est la décision irréfragable et inconditionnelle d’aller au bout de soi, quoi qu’il en coûte, quelles qu’en soient les conséquences. Se mettre à nu et se vider de soi : faire tomber les masques, se reconnaître et s’accepter dans la plus radicale crudité. Tout ce que refuse et redoute par-dessus tout l’ego, puisque ces masques sont son pouvoir et leur maintien, sa raison d’être.

Pas grand-monde, parmi les new-ageux "experts" en Bonheur, Connaissance totale et Maîtrise de l’Univers, n’a la décence et la cohérence de dire que rien n’est possible sans la décision intransigeante d’aller au bout et au fond de soi. L’intégrité est le nerf de la guerre (la vraie, la grande, la « grande guerre sainte », la guerre intérieure, la guerre contre l’ego, c’est-à-dire le diable). Quitte pour cela à sombrer dans l’intégrisme. Comme l’a si bien Cioran, « Celui qui, avant la trentaine, n’a pas subi la fascination de toutes les formes d’extrémisme, je ne sais si je dois l’admirer ou le mépriser, le considérer comme un saint ou un cadavre. Sans désir ni volonté de détruire, il est suspect, il a triomphé du démon ou, chose plus grave, il n’en fut jamais possédé. » Si tu ne cèdes pas au démon, tu ignores ce qu’il est, et tu ne pourras pas le vaincre. (Si tu cherches Dieu, disait Carlo Suarès, tu trouveras le Diable.) Blake : « La route de l’excès mène à la sagesse ». L’extrémisme et l’excès, à un moment ou à un autre, sont un mal nécessaire : ils permettent de connaître les limites, pour apprendre à s’en donner à soi-même. (Et à continuer ensuite de les repousser, le cas échéant, et à sa guise.)

« Syndrome du gourou » et enflure névrotique : en quoi le Nouvel Âge est-il nouveau ?

Le New Age, au fond, se contente de succéder aux idéologies qui ont structuré l’imaginaire et la mentalité occidentale de la fin du XIXe siècle à la fin du XXe siècle. L’effondrement des idéologies a laissé un vide que le New Age est venu combler, d’une manière rigoureusement identique, avec de belles valeurs que personne n’assume, de grandes promesses que personne n’est capable de tenir, et de grandes causes à défendre que tout le monde utilise pour se rassurer au lieu de se donner les moyens de réellement les mettre en œuvre. La partie sombre, glauque et satanique du New Age se manifeste, comme dans tout phénomène idéologique, à travers des slogans prétentieux et vides, des mots d’ordre inutiles et purement incantatoires, qui évitent à ceux qui les profèrent de se pencher sur ce qui déconne vraiment et d’affronter la merde là où elle se trouve, c’est-à-dire en eux. L’escroquerie new-ageuse s’étale aussi dans ce « syndrome du gourou » dont j’ai déjà eu l’occasion de constater l’ampleur et les dégâts chez plusieurs prétendus enseignants de l’amour et du bonheur, petits nazis cachés sous leurs dread-locks et leurs frusques fair trade importées du Tibet.

Le Belge Claude Traks, qui eut sa petite notoriété dans les années 2000 sur la scène New Age française (auteur de cinq ou six bouquins passablement foutraques et organisateur des rencontres Éveil & Action où l’on croisait davantage le pire que le meilleur), disait à juste raison que « La religion Nouvel Âge est la religion de l’Antéchrist, parce qu’elle aussi fermée que les autres et qu’elle a l’orgueil en plus. » C’est exact, j’ai pu le vérifier. Le seul problème, c’est que Traks, comme tous les idéologues d’hier et les gourous d’aujourd’hui, illustre son propos par défaut : il est aussi orgueilleux et enfermé que le pire des tartuffes ou des faux-culs New Age qu’il prétend dénoncer. Traks, que j’ai rencontré plusieurs fois de février à mai 2011, et aussi sincère et motivé qu’il semblât, était dans le « faites ce que je dis, pas ce que je fais », le mot d’ordre solennel et creux, le slogan pompeux et vide (c’est ceux qui en parlent le plus qui le sont le moins) — et il a sombré depuis dans une espèce d’enflure à base de mégalo et de parano qui signe bien la névrose égo-satanique. Cette incohérence entre les paroles et les actes passe d’autant moins inaperçue que nous sommes maintenant en pleine Apocalypse, alors que le Soleil déverse sur la Terre son feu rédempteur — c’est-à-dire des flux d’énergie de fréquences beaucoup plus élevées qu’avant la fin du cycle et le début de la transition —, puisque ces vents solaires consistent à « révéler » (apocalypsis) nos parts d’ombre, nos mensonges, nos contradictions, nos traumas karmiques subconscients et refoulés, etc. Le moindre pet de travers est tout de suite mis en évidence, afin d’être reconnu ; s’il n’est pas conscientisé, ça ira de mal en pis, jusqu’au pétage de plomb et au naufrage mental.

Encore et toujours la fuite

À cet égard, je vais m’appuyer ici sur le texte d’un new-ageux alsacien, Jean-Jacques F., dont le pseudo est Jenaël, et dont je suis les publications après l’avoir rencontré à Rennes-les-Bains en août 2011. Ce type, qui est par ailleurs un lecteur attentif et avisé des Chroniques du Girkù d’Anton Parks, canalise et publie des textes qui sont, selon moi, les plus intéressants et plus pertinents qui soient disponibles sur le Net francophone à propos de la « transition » planétaire et ascensionnelle actuelle. (À part peut-être, dans un autre registre, ceux de Monique Mathieu, que j’ai suivis et appréciés pendant un moment.) Dans plusieurs de ses textes, Jenaël insiste sur l’hypocrisie du New Age, sa bêtise et sa capacité d’aliénation et de nuisance. Il vient d’en publier un qui montre exactement où réside le problème du New Age : dans son ignorance des rôles d’origine karmique que sont le bourreau, la victime et le sauveur. Il fait remarquer que « le rôle du sauveur, si vous l’observez bien, intègre toujours l’une des deux polarités » (dominant ou dominé, bourreau ou victime). « Ainsi, vous pouvez vous retrouver dans le rôle de victime-sauveur ou de bourreau-sauveur », sans voir qu’ « il s’agit là d’un comportement de fuite, de déni de soi-même afin d’éviter de contacter vos propres souffrances. » Combien de fois ai-je pu le vérifier chez les new-ageux ! (Et encore m’a-t-il évidemment fallu en passer par là moi-même, sans quoi je ne serais pas en mesure de formuler cette critique aujourd’hui. « Charité bien ordonnée commence par soi-même », comme l’ont si bien oublié nos vaillants héros New Age.)

« Ainsi, reprend Jenaël, pour vous dépêtrer de vos schémas karmiques, les rôles que vous jouez dans votre vie actuelle peuvent déjà vous donner des indices quant à votre lignée originelle de "dominant" ou de "soumis" qui sont dissimulés dans l’ADN depuis la genèse de l’humanité. » « Afin de résilier vos rôles karmiques, il s’agit avant tout de les conscientiser, puisque vous les incarnez […] dans toutes les circonstances de votre quotidien. » Raison pour laquelle le New Age est effectivement une religion ou une idéologie antéchristique et satanique, une énième ruse du diable, un ultime piège du système pour maintenir les individus dans la dualité, le conditionnement et l’aliénation.

L’intégrité : pas d’ingérence

« Le fonctionnement de cette triade, victime-bourreau-sauveur, est très bien illustré par la psychologie conventionnelle » : « dans les deux cas, les rôles de victime-sauveur ou de bourreau-sauveur sont engendrés par de la pitié ou de la culpabilité refoulées, qui vous poussent inconsciemment à agir ainsi, afin d’alléger, par un acte subconscient, la responsabilité karmique de votre lignée originelle, dominante ou soumise. » Une culpabilité et une pitié subconscientes que l’on ne fait que renforcer en croyant les atténuer ou les expurger. Triste paradoxe. Car hélas, en effet, « ces sentiments vous incitent à vous substituer et à vous immiscer dans la problématique de l’autre », dans cette puérile posture de justicier qu’un Traks aimait tant adopter. Ces sentiments et ces comportements, poursuit Jenaël, « ne sont absolument pas une énergie d’amour, puisqu’ils empêchent l’autre de toucher sa propre responsabilité dans la situation qu’il génère lui-même. L’ingérence dans la vie d’autrui n’existe plus » chez celui qui a décidé d’accueillir son ombre, ses charges karmiques et sa souffrance. Il a bien trop à faire avec ses propres merdes pour prétendre s’occuper de celles des autres… Et quand il réalise ce qu’il en coûte de renforcer ses propres contradictions en soulignant celles des autres, il s’efforce de cultiver la droiture et l’intégrité, la rectitude et l’honneur (c’est-à-dire la fidélité à soi-même). Et « en restant fidèle à vous-même, vous êtes un exemple pour ceux qui sont encore prisonniers de leurs peurs. Vous faites partie de la nouvelle conscience collective » au lieu de vouloir en faire partie, de tendre vers elle et d’essayer de l’atteindre. Elle ne se veut, ne se cherche et ne s’atteint pas : elle s’accueille, se réalise et se vit.Autrement dit, au lieu de lui donner des leçons, « il s’agit d’accompagner son prochain uniquement par l’énergie christique de neutralité » (qui est aussi l’équanimité bouddhique). Neutralité qui seule permet l’émergence de la compassion, la vraie, celle qui n’éprouve pas le besoin de se justifier par l’ingérence (avec cette suprême arrogance qui consiste à décider à la place des autres ce qui est bon pour eux ou pas), le « Fais pas ci, fais plutôt ça » et finalement le « Faites ce que je dis, pas ce que je fais » qui ruinent la crédibilité du New Age et du « développement personnel » et qui en révèlent le vrai visage : une ruse du diable et un frein à l’évolution des consciences.

Laisser être la souffrance pour ne plus être la souffrance

Prenons un autre exemple de cette banale incohérence new-ageuse. Sandra Dary, avec un livre comme 100 % moi ! Comment me faire (enfin) confiance (Eyrolles, 2013), nous offre un parfait petit bréviaire de développement personnel, qui, en dépit de plusieurs constats justes et pertinents, tourne en rond et demeure à la surface des choses.

Dary part du constat que l’ego (le mental) « est le créateur de sa souffrance », dans la mesure même où il redoute et refuse cette souffrance. Plus il tente de s’y soustraire, plus il en est assailli. (Ce à quoi tu résistes, persiste. C’est un principe vieux comme le monde que la physique quantique et la neurologie expliquent désormais fort bien.) Et comme le dit bien Dary, puisque « le monde tel qu’on le perçoit n’est que le reflet de notre propre monde intérieur », on passe notre temps à se prendre cette souffrance dans la gueule. Plus on essaye de lui échapper, plus on l’entretient. En croyant la repousser, on l’attire. Vous pouvez vérifier, c’est immanquable. « En créant l’illusion de nous protéger de la souffrance, le mental devient un frein à nos rêves ». C’est bien pire et plus tordu que ça : en fait, nos rêves deviennent l’alibi pour continuer à souffrir. La souffrance m’empêche de vivre mes rêves, dira-t-on, à la manière de Dary, comme pour se justifier ou s’excuser ne pas y arriver. Lâcheté ! faux semblant… et ruse de l’ego. C’est l’inverse qui est vrai : je ne vis pas mes rêves parce que je souffre ; et je souffre uniquement parce que je refuse de souffrir. (Ça paraît pervers mais ça marche aussi comme ça — et n’oublions pas que l’ego est symbolisé le diable, le fourbe et le manipulateur par excellence : la perversité, c’est son rayon).

Dire « oui » à la souffrance (elle y a droit, elle le vaut bien)

Nietzsche l’a bien exprimé dans Ecce Homo, avec son vibrant appel à dire « oui » à la vie, « un " oui " sans réserve qu’on dit à tout, à la souffrance même, à toutes les étrangetés de la vie ». Vivre ses rêves consiste au fond à cesser de souffrir (pour vivre tes rêves, commence par arrêter de souffrir). Et — autre apparent paradoxe — cesser de souffrir consiste à accepter de souffrir (t’en as marre de souffrir ? alors souffre ! tu verras, ça ira mieux…). On ne cesse de souffrir qu’à partir du moment où l’on a accepté de souffrir. (La souffrance est un symptôme, au sens le plus rigoureux. Et plus on ignore un symptôme, plus le mal perdure et augmente. La seule façon de guérir est d’abord d’accueillir le symptôme et la douleur qui le manifeste.) Accepter, accueillir et vivre la souffrance — ou plus exactement, la laisser être. Une fois qu’elle a vécu — qu’elle a été ce qu’elle avait à être —, elle peut s’en aller. Et elle se barre, libérant la place à nos rêves — pour que nos rêves y prennent forme —, libérant la place où apparaîtront les conditions propices à leur réalisation. (Et cela aussi naturellement et spontanément que possible, hors de toute tentative ou intervention mentale.)

À moitié vide ou à moitié plein ? Les deux, mon capitaine.

« Soit nous voyons le verre à moitié vide, soit nous le voyons à moitié plein », continue Dary, avant de nous inciter à ne voir que le verre à moitié plein. Autre erreur new-ageuse, aussi banale que funeste ! Car c’est une fausse alternative : non seulement le verre est à moitié vide et à moitié plein à la fois, mais en plus il faut le boire. Ce genre de choix — vide ou plein ? drôle ou pas drôle ? bien ou mal ? — est un piège. (C’est encore ce qu’on appelle une « ruse du diable ».) Et choisir, c’est tomber dans le piège. Comme disait Bernanos, « La seule différence entre un optimiste et un pessimiste, c’est que le premier est un imbécile heureux et que le second est un imbécile triste. » Échapper au piège consiste, non pas à refuser de choisir (cela ne fait que repousser le problème), mais à reconnaître et accepter à la fois les deux options de l’alternative. (Boire le verre. Ni heureux, ni triste, mais les deux à la fois, et mieux encore : équanime et neutre, lucide et serein.) Les deux options existent de manière égale et identique, ce qui neutralise le choix et le fait disparaître en tant que tel. Alors on peut s’envoyer le verre d’un geste ample et leste. (Après tout, « Quand mon verre est plein, je le vide, et quand il est vide, je le plains ! » Manière de dire qu’au fond, moitié ci ou moitié çà, ça revient au même.) Et je peux vous dire que ça détend sacrément l’atmosphère. Comme l’avait dit, à un autre point de vue, Wolfgang Pauli, l’un des fondateurs de la physique quantique : « Il apparaît que le seul point de vue acceptable soit celui qui reconnaisse les deux facettes de la réalité — le quantitatif et le qualitatif, le physique et le psychique — comme allant de pair et s’embrassant simultanément. » Euh, moitié vide ou moitié plein, je sais pas trop, ouh là là quel dilemme, que faire, mon Dieu, qu’est-il juste et bon de choisir ? — Ta gueule ! bois. Et embrasse simultanément le vide et plein, le bien et le mal, le bonheur et le malheur. Pour devenir les deux à la fois. Te les intégrer. Et les dépasser. (Nietzsche inside.) Tu connais, tu comprends aussi bien l’égale valeur, l’égale légitimité, l’égale justesse des deux termes de chaque dualité : tu es donc neutre. Au-delà du conflit : en paix. Neutre, sans dualité : intègre, donc entier.

http://alexandrerouge.com/2013/06/19/new-age-et-developpement-personnel-fausses-promesses-et-vrais-mensonges/

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