Egyptien de souche : Près de 50% des Européens auraient un ancêtre commun avec Toutankhamon
Des chercheurs suisses ont fait une découverte surprenante. Selon une analyse génétique, près de la moitié des Européens de l'Ouest auraient un ancêtre commun avec le pharaon Toutankhamon. C'est une découverte inédite et plutôt inattendue qu'a faite une équipe de généticiens suisses du centre généalogique iGENEA basé à Zurich. Selon les analyses génétiques qu'ils ont réalisées, près de 50% des Européens de l'ouest auraient un ancêtre commun avec le pharaon Toutankhamon mort en 1323 avant notre ère. Pour arriver à une telle conclusion, les chercheurs ont en fait reconstruit le profil ADN de Toutankhamon, de son père Akhenaton et de son grand-père Aménophis III à l'aide d'informations contenues dans un film du réseau Discovery. Ils ont alors observé que le jeune pharaon appartenait à l'haplogroupe R1b1a2, soit exactement comme 50% des hommes de l'Europe de l'ouest. Comme l'explique Radio-canada.ca, un haplogroupe est un groupe qui forment des blocs de différents gènes situés sur un même chromosome à proximité les uns des autres et qui est habituellement transmis ensemble à la descendance. Selon les chercheurs, ceci serait donc bien la preuve que la moitié des Européens a un ancêtre commun avec Toutankhamon. Mais plus étonnant encore : seuls 1% des Egyptiens actuels partageraient l'haplogroupe du pharaon décédé. D'après l'étude suisse, l'ancêtre commun en question, serait originaire du Caucase et aurait vécu il y a environ 9.500 ans. Ce n'est qu'ensuite en 7.000 avant notre ère que les descendants auraient migré pendant l'expansion de l'agriculture. Toutefois, la relation avec l'Egypte n'a pas été clairement expliquée par les scientifiques qui souhaitent désormais mener davantage de recherches avec d'autres membres de la famille de Toutankhamon. Publié par Émeline Ferard, l
http://www.maxisciences.com/toutankhamon/pres-de-50-des-europeens-auraient-un-ancetre-commun-avec-toutankhamon_art16190.html
Copyright © Gentside Découverte
hoover d'origine suisse des son arrivée au pouvoir les banques suisses ont provoqués le Krach boursier pour spolier des millions d'americains et ont crée la BRI pour rappatrier les valeurs ainsi détournés le plus grand hold up du siècle
beaucoup de president ont de's origines pharaoniques de sion comme Obama ........
Les descendants de pharaons via la branche des Mérovingiens ont envahit l'europe et l'ont gouvernés ,tous les rois et Tsar ou sar kosy sont descendant de la royauté egyptienne , comme nous le dit de manière voilé le film matrix souvenez vous
Le Merovingien ( Lambert WILSON )
C'est un trafiquant de l'information. aristocrate français comprendre l'aristocratie française ,
C'est l'ancêtre de presque tous les programmes de la Matrice, l'un des plus anciens et des plus dangereux il est dit dans le film que le Mérovingien est la clef evidemment c'est l'origine de toutes les lignée pharaoniques et à ce titre il existe un pays qui est leur capital cest sion est ce un hasard si ce pays a été préservé des guerres et de toute fiscalité
paradis fiscal des nouveaux pharaons du monde cest une base sure templière crée par l'élite et pour les plus hautes lignée ,pr'euve en est comment se fait t il que HItler au lieu denvahir la suisse a envahit un pays pauvre comme la pologne cela revient a attaquer un kebab au lieu de s'en prendre a la Banque Centrale .........ils existent des liens entre les nazis suisses et les allemands d'ailleurs de nombreux nazis se sont réfugiés en Suisse sans etre inquiétés...........
L’ouvrage de Luc van Dongen, «Un purgatoire très discret. La transition « helvétique » d’anciens nazis, fascistes et collaborateurs après 1945» (éditions Perrin, 2008) est issu d’une recherche doctorale richement documentée portant sur une zone grise de l’histoire de la Suisse qui est encore peu éclairée : le vaste processus de « reclassement » des ex-nazis, fascistes et collaborateurs français qui ont bénéficié de l’aide suisse pour leur réinsertion après la Deuxième Guerre mondiale, y compris au service des Alliés.
S’insérant dans la lente évolution du dévoilement du rôle de la Suisse face aux fascismes, en rupture avec la propagande officielle de neutralité et de politique d’« asile tranquille et sûr aux étrangers persécutés pour des raisons religieuses ou politiques » (1), la thèse de Luc van Dongen explore l’autre face de la politique d’accueil helvétique.
Le débat critique sur la politique des autorités suisses à l’égard des réfugiés ne cesse de surprendre. Il a connu plusieurs remous depuis la Deuxième Guerre mondiale (2). La dernière vague de contestations est apparue au cours des années 1990, lorsque des familles de victimes juives ont tenté de demander des comptes à des banques suisses ayant conservé dans leurs coffres des fonds dits en « déshérence » qui n’avaient jamais été restitués à leurs propriétaires ou à leurs descendants depuis la guerre. Sous la pression publique internationale, les autorités helvétiques ont entamé un processus de relecture de ce passé dérangeant et chargé une Commission Indépendante d’Experts Suisse-Seconde Guerre Mondiale, sous la direction du professeur Jean-François Bergier, de réaliser une enquête sur le rôle de la Suisse durant le conflit. Ces débats, qui ont débouché sur la publication de rapports à la fin des années 1990 et en 2001 ont généré un regain d’intérêt pour cette question parmi les chercheurs en histoire suisse. Cette ardeur a pourtant été rapidement freinée par les autorités qui ont décidé, après la diffusion de ses travaux, de fermer l’accès à certaines archives qui avaient été utilisées par la Commission …
L’étude de Luc van Dongen se penche plus particulièrement sur la période qui fait suite à la défaite des puissances de l’Axe. Par un examen de fonds d’archives suisses, italiennes, allemandes, françaises et anglaises, mais aussi en recourant à des témoignages oraux qui mettent l’historien aux prises avec les non-dits de la documentation officielle, elle tente de reconstituer la trajectoire d’anciens acteurs de ces régimes autoritaires qui incarnent le délit de crime contre l’humanité dans l’imaginaire collectif du XXe siècle. Elle présente le cas de cadres italiens, allemands et français qui ont occupé une fonction importante dans le conflit, mais aussi de simples exécutants, militants ou témoins qui ont traversé les hostilités avec une implication à géométrie variable en fonction des circonstances. Ainsi, l’auteur présente à la fois les parcours de requérants célèbres comme Edda Ciano (fille de Mussolini), l’ancien ambassadeur du Duce à Berlin Dino Alfieri, ou l’éditeur Mondadori, d’intellectuels pétainistes comme René Gillouin, formant pour un temps un « Vichy-sur-Léman », mais aussi d’individus de l’ombre comme Rudolf Diels, chef de la Gestapo de 1933 à 1934, du SS Franz Sommer, un nazi auteur de nombreux assassinats, ou de fonctionnaires peu connus (médecins, économistes, journalistes, simples collaborateurs qui fuient les épurations, etc.) comme le rédacteur du Petit Parisien ou de Présent, Lucien Bourguès.
le travail de Luc van Dongen mérite d’être salué car il a le courage d’affronter le dissensus contrairement aux ouvrages d’histoire à succès. En contribuant à déconstruire les mythes identitaires qui feraient de la Confédération helvétique un «Sonderfall» au milieu de la tempête, marqué par la neutralité et l’aide humanitaire, Un purgatoire très discret porte un regard minutieux et sans complaisance sur la politique d’accueil des autorités helvétiques qui contredit les multiples mésusages de l’histoire pratiqués par la propagande officielle. à suivre ...........
______
(1) Citation extraite du rapport d’Edgard Bonjour, Histoire de la Neutralité suisse. Quatre siècles de politique extérieure fédérale, tome VI, chap. 1, La Baconnière, Neuchâtel, 1970, p.9 (rapport rédigé sur commande officielle du Conseil fédéral). En dépit de certains passages critiques, ce rapport enracine dans le mythe de la neutralité helvétique.
(2) Voir la publication en 1953 des documents diplomatiques allemands (Akten zur deutschen Auswärtigen Politik 1918-1945, Serie D, vol V) qui mentionnent l’initiative suisse d’apposer un « J » sur le passeport des juifs allemands et motivent la commande fédérale d’un rapport. Ce dernier, établi par Carl Ludwig est plutôt accablant, La politique pratiquée par la Suisse à l’égard des réfugiés de 1933 à 1955, Berne, 1957. Il est repris par l’écrivain Alfred Häsler en 1967 sous la métaphore « La barque est pleine ». Au cours des années 1970, la polémique est à nouveau soulevée par la thèse critique de l’historien Daniel Bourgeois, Le Troisième Reich et la Suisse, 1933-1941, Neuchâtel, 1974), qui aborde l’étroite relation entre la Suisse et le IIIe Reich, notamment en ce qui concerne le recyclage de l’or nazi.
(3) Luc van Dongen, op.cit., p. 427.
(4) Joëlle Kuntz, L’histoire suisse en un clin d’œil, Genève, éd. Zoé, 2006 et George Andrey, L’histoire de la Suisse pour les nuls, Paris, éd. First, 2007.