La Radioactivité de Fukushima provoque maintenant un taux de mortalité infantile de 100% chez les orques
Après un violent séisme sous marin survenu il y a cinq ans, la plus grande émission de déchets radioactifs jamais produits par l’homme dans le milieu marin était le résultat d’un accident survenu à la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi, au Japon. Répertoriée actuellement comme la plus grande menace à la vie sous marine que l’Homme ait jamais provoqué.
Environ 80% des retombées sont survenues dans l’océan Pacifique. La recherche scientifique explore toujours les conséquences environnementales sur le milieu marin suite à cet accident en se concentrant surtout sur l’impact des retombées sur la vie végétale et animale et sur ce qu’il faut faire contre la radioactivité qui continue de se propager.
Alerte à l’extinction des espèces !
En 2008, The Scientific American avait signalé qu’il y avait 406 zones mortes dans le monde, ce qui signifie qu’il n’y avait pas assez d’oxygène dans ces zones pour la prospérité de la vie terrestre. À cette époque, le blâme provient des engrais, des pesticides et de la pollution industrielle.
En 2010, des scientifiques russes avaient déploré la quantité impressionnante de métaux toxiques et lourds l’aluminium, le chrome, le titane, le mercure, l’argent et le plomb, découverts dans les baleines qui vivaient à des milliers de kilomètres de la civilisation.
Selon un rapport de Common Dreams, ces «polluants menacent l’approvisionnement en nourriture humaine». Mais cette alerte était donnée 1 an avant la plus grande catastrophe nucléaire du siècle, et qui eut lieu de surcroît en mer
Dans la suite de cet article, nous rapportons ce que six ans après, cette journée fatale à Fukushima a causé à la population des orgues en difficulté est encore pire. Se dirigent-ils vers l’extinction?
Si on ne fait rien, l’extinction de plusieurs espèces marines est imminente dans les prochaines décennies selon certains scientifiques :
Le décès d’orques a été particulièrement élevé chez la population des nouveaux nés, retrouvés morts sur les cotes du pacifique. Non seulement les nourrissons mais aussi chez les adultes dont le nombre de dépouilles a fortement augmenté depuis l’accident survenu en 2011 et que les radiations émanant de la station de Fukushima ont traversé l’océan Pacifique jusqu’à la côte ouest de l’Amérique du Nord.
Mis à part le taux de mortalité qui a presque atteint les 100% parmi les nourrissons orques, beaucoup de matriarches sont mourante de maladies liée aux radiations ou de suite au suicide causé par une profonde dépression, conduisant certains à spéculer que cette espèce pourrait disparaître dans les 20 prochaines années.
Une scène de crime au bord de la côte Ouest :
La découverte d’une carcasse d’orque au large de la côte de la Colombie-Britannique – celle d’une femelle d’orque de 19 ans, qu’on croyait être à la fin de la grossesse, n’est qu’un exemple des décès récents d’orques qui rendent des scientifiques inquiets.
Ken Balcomb, directeur exécutif du Center For Whale Research à Friday Harbor, Washington, a déclaré: «Nous n’avons eu aucune survivance chez les bébés depuis quelques années. Nous avons eu des mort-nés et des nouveau-nés qui meurent sans raisons apparente … C’est comme une survie zéro dans le taux de natalité ici. »
Le sort à long terme de la contamination est encore inconnu, et l’information sur la quantité de radiation stockée dans les sédiments et sur la quantité de fuites qui subsistent à partir de sources retardées, telles que les eaux souterraines, n’a pas encore été quantifiée.
Les recherches disponibles jusqu’ici, sur les risques auxquels s’expose le milieu marin, sont encourageantes, mais les questions clés restent sans réponse, signalant la direction pour les enquêtes futures. Les chercheurs essaient de comprendre pleinement les effets à long terme que les retombées ont eu, trouvant nécessaire l’étude de quelques «points chauds» très près de la centrale.
http://www.astucesnaturelles.net/alerte-generale-la-radioactivite-de-fukushima-provoque-maintenant-un-taux-de-mortalite-infantile-de-100-chez-les-orques-de-la-cote-ouest-et-aucun-media-nen-parle/2/