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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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st jean
22 février 2017

Les sept Eglises de l'Apocalypse de Saint-Jean et leur relation avec les 7 chakras gnostiques

 

 

 

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« Celui qui a des oreilles, qu'il entende ce que l'esprit dit aux Eglises : au vainqueur, je ferai manger de l'Arbre de vie placé dans le Paradis de Dieu » (Apoc 2 : 7).

La première Eglise est celle d'Ephèse, ou chakra Muladhara ; elle a quatre pétales merveilleux qui sont situés dans l'os coccygien. Cet os est la base de l'épine dorsale (on peut trouver tout ce qui se rapporte aux sept Eglises ou chakras dans les livres : Message du Verseau et Les Mystères du feu, du même auteur).

La seconde Eglise est celle de Smyrne, la prostatique (utérine chez la femme) ou chakra Swadishtana ; elle est située à la hauteur de la prostate. Les mages de l'antiquité, les Perses, les Egyptiens, accordaient beaucoup d'importance à la prostate. La lettre qui la fait vibrer est le M, qui se prononce les lèvres fermées. Elle est d'un pouvoir singulier lorsqu'on la prononce en montant et baissant le ton ; les mages l'utilisent.

La troisième Eglise est celle de Pergame, l'ombilicale ou chakra Manipura, et elle est située dans le plexus solaire ; elle a dix pétales, cinq actifs dans le corps éthérique et cinq latents dans le centre télépathique. C'est là que se trouve le cerveau des émotions, et lorsqu'il se développe, on obtient la télépathie.

La quatrième Eglise est celle de Thyatire, le cardias ou chakra Anahata ; elle est située dans le coeur. C'est une fleur de lotus à douze pétales qui resplendissent comme le feu dans la lumière astrale. Il est bon de la développer pour apprendre à entrer et sortir du corps à volonté ; elle facilite de plus les voyages avec le corps de chair et d'os à travers la quatrième dimension, en Jinas.

La cinquième Eglise, celle de Sardes, se trouve dans la glande thyroïde ; c'est le chakra Vishuddha, le chakra laryngien, qui nous confère la clairaudience et possède seize pétales.

La sixième Eglise, celle de Philadelphie, est le chakra frontal ou Ajna, qui a deux pétales. Elle se trouve entre les deux sourcils, dans le centre de la clairvoyance ; grâce à elle, on peut voir l'aura des gens et les mondes supérieurs.

La septième Eglise, celle de Laodicée, est le roi des chakras, le Sahasrara aux mille pétales ; c'est le centre de la Polyvoyance, celui de l'intuition, l'oeil de diamant.

A mesure que la Kundalini s'élève par la moelle épinière, par le Brahmanadi, elle éveille chacun des chakras du Nadi Chitra. Le serpent igné est relié, dans la Kabbale, avec tout l'arbre kabbalistique.

De quoi a-t-on besoin pour ouvrir les chakras ?.

Dans la première Eglise, celle d'Ephèse, le pivot est principalement la vertu de la patience. Pour manier l'énergie créatrice, il faut la patience du Saint-Job. Lucifer est l'échelle pour descendre et Lucifer est l'échelle pour monter.

La seconde Eglise, celle de Smyrne, a pour vertu la chasteté.

Le troisième chakra est l'ombilical, c'est-à-dire le centre des émotions. Sa vertu spéciale est par conséquent le contrôle des émotions, la mort des désirs et des passions comme la gloutonnerie, l'ivrognerie, etc. Il faut être tempéré, ne pas se laisser emporter par les émotions.

Le quatrième chakra est celui du coeur, c'est le centre de l'amour. Il faut savoir aimer au lieu de haïr. Son fondement est l'amour.

La cinquième Eglise, celle de Sardes, est en relation avec l'intellect, le mental. Il faut porter attention à nos paroles, au Verbe ; pensées et paroles justes, action juste ; pensées droites, sentiments droits, action droite. Porter attention au mental et à la parole, il est aussi mauvais de parler lorsqu'on doit se taire que de se taire lorsqu'on devrait parler. Il y a des fois où parler est un délit, comme il y a des fois où c'est un délit de se taire, il y a des silences criminels.

Dans la sixième Eglise, il faut de la sérénité pour obtenir la clairvoyance. Pour voir dans les mondes internes, il ne faut pas se laisser emporter par la colère, parce qu'elle détruit le chakra frontal, par conséquent, la condition est la sérénité.

Pour le développement de la septième Eglise, il faut une dévotion élevée, une sainteté totale, la volonté.

Les vertus et les qualités sont en relation avec l'arbre kabbalistique, avec ses dix nombres, et elles sont reliées aux sept Eglises.

comme je le disais dans des articles précédant l'apocalypse de Jean a bel et bien été ecrit par des gnostiques qui ont élaboré le plan de la fin des temps et qui le suivent à la lettre pour amener les gens à les suivre grâce a ces prédictions qui apparaissent véridiques .

les centres énergétiques sont des portes positive si on les destinent à la dévotion pure et sincère et néfaste si on les maintient prisonnier dans la sphère matérialiste hédoniste .

les exorcismes utilisent les chakras tout comme les sorciers vous attaquent par ces chakras le bas ventre étant considère comme les 7 centres infernaux ou 7 portes de l'enfer à suivre ........

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1953 Les sept paroles.txt (SP) :
§ n°6898 Ph. n°14908 - De même que les assises profondes des racines des arbres se trouvent dans l’obscur limon terrestre, ainsi, dans les assises profondes de notre bas-ventre et de notre foie nous découvrons les enfers de l’homme, sous forme de strates, de sphères ou de mondes submergés, constitués par les atomes de l’ennemi secret.

1954 La rose ignée.txt (RI:Chap17) : CHAPITRE17 Discipline ésotérique du mental. :
§ n°8195 Ph. n°16763 - 42 Une indigestion peut mettre en activité certains chakras du bas-ventre et nous pénétrons alors dans les propres enfers atomiques de l’homme, où vivent réellement les êtres les plus monstrueux de l’univers : voilà ce que l’on nomme cauchemars.

La Kundalini ouvre les sept Eglises de notre colonne vertébrale. Les seules et uniques conditions nécessaires pour le développement, l'évolution et le progrès de la Kundalini sont décrites aux chapitres 1, 2 et 3 de l'Apocalypse de Saint-Jean. Ainsi donc, toutes les entraves et complications intellectuelles que posent les ténébreux soi-disant pour éveiller la Kundalini, sont superflues.  Poursuivons à présent avec la tour du Temple : la cinquième Eglise est l'Eglise de Sardes, qui est en relation avec le chakra de la thyroïde ; c'est l'Eglise du larynx.

Lorsque le Serpent sacré ouvre l'Eglise de Sardes, nous pouvons alors entendre dans les mondes internes ; l'ouïe occulte s'ouvre. Nous pouvons aussi parler intérieurement le verbe de la Lumière et nous pouvons créer avec la parole. Le larynx est un utérus où est engendrée la Parole. L'organe créateur des Anges est le larynx. Les qualités requises pour ouvrir cette Eglise sont : vigilance, repentir et bonnes oeuvres. Lorsque le feu ouvre la sixième Eglise, appelée Philadelphie, alors s'éveille la clairvoyance. Cette Eglise est en relation avec le chakra de l'entre-sourcils, qui semble surgir comme une fleur de lotus de la glande pituitaire. La clairvoyance nous permet de voir l'ultra de toutes choses, grâce à elle nous pouvons voir les mondes internes et les grands mystères de la vie et de la mort. Les conditions morales qu'il nous faut réunir pour ouvrir cette Eglise sont : puissance sexuelle, véracité, fidélité au Père. Ce chakra est une porte merveilleuse, et lorsqu'elle s'ouvre, la blanche colombe de l'Esprit-Saint prend son envol. Quand le feu ouvre la septième Eglise, appelée Laodicée et située au-dessus de la glande pinéale, la couronne des saints brille alors sur notre tête. Ce chakra est l'oeil de diamant, l'oeil de la Polyvoyance, l'oeil de l'omniscience. Lorsque la Couleuvre sacrée est passée de la glande pinéale à l'espace entre les sourcils, vient alors la Haute Initiation. C'est là la première Initiation des Mystères Majeurs. Dans cette Initiation, l'âme s'unit avec l'Intime et nous nous convertissons en Maîtres des Mystères Majeurs de la Fraternité Blanche.

Pour parvenir à l'union avec l'Intime, il faut beaucoup d'humilité. L'Apocalypse nous dit : « Le vainqueur, je lui donnerai de s'asseoir auprès de moi sur mon trône, comme moi-même, lorsque j'ai été vainqueur, je me suis assis auprès de mon Père sur son trône » (Apocalypse III, 21). Quand l'âme s'unit avec l'Intime, nous revêtons la tunique blanche des Maîtres des Mystères Majeurs. Dans l'espace entre les sourcils brille l'étoile blanche à cinq pointes, qui est éclatante de lumière, et nos sept Eglises resplendissent de gloire. Nous assistons à cette grande Initiation sans véhicule matériel d'aucune sorte. Cette grande Initiation est reçue en dehors du corps, dans les mondes supérieurs. Le nouveau Maître reçoit un trône et un temple. Le Christ est venu pour nous transformer en Rois et Prêtres de la nature, selon l'Ordre de Melchisédech. Le nouveau Maître surgit des profondeurs de notre conscience et s'exprime à travers le larynx créateur. Le nouveau Maître est une puissance terriblement divine. « Et il poussa une grande clameur, pareille au rugissement d'un lion ; et lorsqu'il eut poussé cette clameur, sept tonnerres firent retentir leurs voix ». Ces sept tonnerres sont les sept notes-clés des sept Eglises, qui résonnent dans notre colonne vertébrale. « Alors l'Ange que j'avais aperçu, debout sur la mer et sur la terre, leva la main droite au ciel et il jura par Celui qui vit dans les siècles des siècles, qui a engendré le ciel et les choses qu'il contient, la terre et toutes les choses qu'elle contient, et la mer avec tout ce qu'elle contient, qu'il n'y aura plus de délai accordé » (Apocalypse X, 3, 5-7).

Le Chakra Ajna - L'Eglise de Philadelphie

1. Ce chakra se trouve connecté au merveilleux centre situé entre les deux sourcils.

2. Le Maître qui le dirige est Paramashiva. 3. Le mantra qui fait vibrer ce chakra est Om. 4. Ce chakra a deux pétales. Le plexus qui correspond à ce chakra est le « caverneux ». 5. Ce merveilleux chakra est d'un blanc extrêmement pur. C'est le siège de l'Itara Lingam. 6. Les yogis de l'Inde disent qu'en méditant sur ce chakra nous pouvons détruire le karma des vies passées. 7. Moi, Samaël, Logos de Mars, je dis que personne ne peut se moquer de la Loi. 8. Le mieux que nous pouvons faire c'est d'apprendre à bien conduire nos affaires. 9. Celui qui a de quoi payer, paie et réussit bien dans ses affaires. 10. Fais de bonnes oeuvres pour que tu puisses payer tes dettes. 11. Le Lion de la Loi est vaincu par la Balance. 12. Lorsqu'une loi inférieure est transcendée par une loi supérieure, la loi supérieure lave la loi inférieure. 13. Le yogi doit apprendre à voyager dans le corps astral pour se rendre au temple d'Anubis et de ses quarante-deux Juges. 14. Dans le palais des Seigneurs du karma, nous pouvons régler nos affaires (nos dettes karmiques). 15. Nous pouvons aussi solliciter des crédits aux Seigneurs du karma mais tout crédit, nous devons le payer en travaillant dans le Grand-OEuvre du Père, ou en souffrant l'indicible. 16. Ce chakra est celui de la clairvoyance ou vision psychique. 17.

Le plexus de ce chakra est une fleur de lotus qui émane de la glande pituitaire. Cette glande est le page et le porte-flambeau de la glande pinéale où se trouve la couronne des Saints, le Lotus aux mille pétales, la fenêtre de Brahma, l'OEil de l'intuition. 18. La clairvoyance psychique à elle seule, sans le développement du chakra coronal, pourrait conduire le yogi à de très graves erreurs. 19. Dans les plans astral et mental existent des billions de mages noirs qui se déguisent en saints ou qui assument l'apparence des Maîtres de la Loge Blanche, pour tromper les disciples ou pour dicter de faux oracles. 20. La seule façon de se prémunir contre ces possibles erreurs, c'est d'éveiller l'intuition dont l'OEil divin de diamant réside dans le Lotus aux mille pétales que nous étudierons dans la prochaine leçon. 21. Le yogi qui veut sortir en corps astral profite de l'état de transition entre la veille et le sommeil. 22. Le yogi, au moment de tomber endormi, se lève de son lit et sort de sa chambre en direction du palais des Seigneurs du karma, afin de régler ses affaires ; ou vers quelque temple de Mystères. 23. Cet enseignement doit se traduire en faits car il ne s'agit nullement d'un exercice mental. 24. Le yogi doit se lever de son lit, au moment où il sera en train de s'endormir, exactement comme un somnambule. 25. Avec patience et persévérance, on obtient la victoire. 26.

Dans ces leçons, nous avons enseigné les mantras et les pratiques des chakras de l'épine dorsale. 27. Cependant nous ne devons pas oublier que les plexus ont aussi leur mantra. 28. Le puissant mantra égyptien Fe-Ouin-Dagh fait vibrer tous nos plexus. L'important c'est de prolonger le son des voyelles. 29. Les voyelles I-E-O-OU-A se distribuent dans l'ordre suivant : I - plexus frontal ; E - plexus de la gorge ; O - plexus du coeur ; OU - plexus solaire ; A - plexus des poumons. 30. Nous pouvons méditer sur chacune de ces voyelles, en faisant passer leur vibration de l'entre-sourcils au cou, au coeur, au plexus solaire, aux jambes et aux pieds pour éveiller tous nos pouvoirs occultes. 31. Celui qui apprend à méditer sur le chakra Ajna acquiert les huit Siddhis majeurs et les trente-trois mineurs. 32. Ce chakra correspond à l'Eglise de Philadelphie : « Je connais tes oeuvres. Voici que j'ai ouvert devant toi une porte, que personne ne peut fermer, parce que tu as un peu de puissance, que tu as gardé ma parole et que tu n'as pas renié mon nom ». 33. « Voici : je te livre, de la synagogue de Satan, ceux qui se disent Juifs, et ne le sont pas, mais ils mentent ; voici, je les forcerai à venir se prosterner devant tes pieds, et ils connaîtront que je t'ai aimé ». 34. « Parce que tu as gardé ma consigne de patience, moi aussi, je te garderai de l'heure de la tentation qui doit venir sur le monde entier, pour éprouver ceux qui demeurent sur la terre » (Apocalypse, III, 8-10). 35. Dans les plans mental et astral, nous sommes tentés par des billions de démons et beaucoup d'entre eux se déguisent en saints et en maîtres pour nous tenter.

36. La clairvoyance psychique est une porte ouverte devant toi mais il faut que tu acquières de la puissance et gardes la parole du Seigneur pour que tu ne tombes pas dans la tentation. 37. « Parce que tu as gardé ma consigne de patience, moi aussi, je te garderai de l'heure de la tentation qui doit venir sur le monde entier, pour éprouver ceux qui demeurent sur la terre ». 38. Dans le monde mental, il y a des magiciens qui, subtilement, nous conseillent l'éjaculation séminale. 39. Ces magiciens noirs se déguisent en saints et prononcent de sublimes sermons d'amour et de sainteté. 40. « Voici : je reviens bientôt ; tiens ferme ce que tu as, pour que personne ne ravisse ta couronne » (Apoc., III, 11). 41. Les ténébreux conseillent à l'étudiant d'éjaculer sa liqueur séminale pour lui faire échapper sa liqueur séminale et lui enlever sa couronne. 42. « Celui qui vaincra, je le ferai colonne dans le Temple de mon Dieu, et il n'en sortira plus jamais ; et j'écrirai sur lui le nom de mon Dieu, et le nom de la Cité de mon Dieu, et mon nom nouveau ». 43. « Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Eglises » (Apocalypse, III, 12-13).

Les Sept Degrés de Pouvoir du Feu

1. Le système nerveux cérébro-spinal comprend le cerveau, le cervelet, le bulbe rachidien et la moelle épinière.

2. La moelle oblongue relie le cervelet avec la moelle épinière sacrée. 3. La moelle oblongue est en relation intime avec toutes les fonctions dites involontaires de notre système organique. 4. La moelle commence au sommet du canal spinal et se termine dans la première vertèbre de la région coccygienne. 5. La moelle épinière est un cordon de matière grise et blanche. 6. La substance grise au centre ; à la périphérie, la substance blanche. 7. La matière grise est composée, dans l'ensemble, d'innombrables cellules nerveuses. 8. La matière blanche est composée de matière médullaire nerveuse. 9. Toute cette matière semble comme suspendue dans le canal médullaire. 10. L'alimentation de cette fine matière médullaire s'effectue au moyen d'un délicat réseau de membranes qui l'enveloppent. 11. Aussi bien la moelle que le cerveau sont enrobés d'un fluide puissant mentionné par Leadbeater dans son oeuvre. 12. Ce merveilleux fluide protège la moelle et le cerveau. 13. La moelle se trouve totalement protégée par une merveilleuse enveloppe faite d'innombrables tissus de nature grasse. 14. La moelle se divise en deux parties symétriques précisément délimitées par deux scissures : celle de Silvio et celle de Roland. 15. Tout le long de la moelle se trouve le « Canalis Centralis ». 16. Le Nadi Brahmanadi court le long de cette tige médullaire depuis le chakra Muladhara jusqu'au chakra Sahasrara. 17. La Kundalini monte par ce Nadi jusqu'au Brahmarandhra. 18. Le Brahmanadi est septuple dans sa constitution interne. 19. Chacun de nos sept corps a sa moelle épinière et son Brahmanadi. 20. La Kundalini comprend sept Serpents. 21. Ces sept Serpents sont les sept radicaux. 22. Ces sept Serpents de Devi Kundalini sont les sept Frères du Fohat ; ces sept Serpents de Devi Kundalini sont les sept degrés du pouvoir du Feu. 23. La constitution septénaire de l'homme est la suivante : 1 - Atman l'Intime. 2 - Bouddhi la Conscience. 3 - Manas supérieur Ame humaine ou Volonté. 4 - Manas inférieur Corps mental. 5 - Kama Rupa Corps astral. 6 - Lingam Sarira Corps éthérique. 7 - Stula Sarira Corps physique. 24. Chacun de ces sept corps a sa moelle épinière, son Nadi Sushumna, son Brahmanadi. 25. Il y a donc sept Serpents : deux groupes de trois avec le couronnement sublime de la septième langue de Feu qui nous unit avec l'Un, avec la Loi, avec le Père. 26. Ces Serpents sont les sept Echelles de la Connaissance. 27. Ce sont les sept Portails des sept grandes Initiations des Mystères Majeurs. 28. A travers ces sept Portails seule règne la terreur de l'Amour et de la Loi. 29. Avec la première Initiation des Mystères Majeurs, l'homme élève le premier Serpent. 30. Avec la seconde Initiation des Mystères Majeurs, l'homme élève le second Serpent et ainsi de suite. 31. L'homme qui a élevé le septième Serpent devient un Mahachoan. 32. La moelle épinière s'introduit dans le quatrième ventricule du cerveau. Après être passée par les troisième et cinquième ventricules elle parvient au chakra Sahasrara situé dans la partie supérieure de la boîte crânienne. 33. La colonne vertébrale compte trente-trois vertèbres. 34. La région cervicale est formée de sept vertèbres. La région dorsale de douze. La région lombaire de cinq. La région sacrée de cinq. La région coccygienne de quatre vertèbres. 35. Ces vertèbres sont reliées entre elles par des coussinets fibro-cartilagineux. 36. Ces vertèbres sont septuples dans leur constitution parce qu'elles existent dans chacun des sept corps de l'homme. 37. Chacune de ces vertèbres correspond à une chambre sainte dans les mondes internes. 38. A mesure que l'homme va faire monter sa Kundalini le long de la colonne vertébrale, il va pénétrer successivement dans chacune des chambres saintes du Temple. 39. Chacune de ces trente-trois chambres est septuple dans sa constitution interne. 40. Les sept aspects des trente trois chambres correspondent, exactement, aux sept degrés de pouvoir du Feu. 41. Avec le premier degré de pouvoir du Feu, nous pénétrons dans le premier aspect de chacune des 33 chambres saintes. 42. Avec le deuxième degré de pouvoir du Feu, correspondant au corps éthérique, nous entrons dans le second aspect de chacune des trente trois chambres saintes. 43. Avec le troisième degré de pouvoir du Feu, nous pénétrons dans les trente trois chambres saintes du corps astral. 44. Avec le quatrième degré de pouvoir du Feu, nous pénétrons dans les trente trois chambres saintes du corps mental. Et ainsi de suite. 45. Avec les sept degrés de pouvoir du Feu, nous christifions nos sept corps. 46. Avec les sept degrés de pouvoir du Feu, nous connaissons les Mystères des sept grandes Initiations des Mystères Majeurs. 47. Toute notre personnalité doit s'absorber dans le Purusha. 48. Toute notre personnalité doit s'absorber dans l'Intime. 49. Il faut éveiller à la liberté et à la vie les trois Sièges. 50. Ainsi, nous nous préparons à recevoir le resplendissant Dragon de la Sagesse, notre Christ Cosmique, ce Souffle incessant de l'Absolu, qui vit dans le fond de notre Etre. 51.  Le Grand Souffle est le Christ Cosmique, est l'Armée du Verbe, est Kwan Yin, le Verbe mélodieux, est Avalokiteshvara, est Vishnou, est Osiris, est le Soleil Central. 58. Lorsque l'homme a élevé les sept Serpents sur le Bâton, alors il se prépare à recevoir, après quelque temps de labeur, son resplendissant Dragon de Sagesse. 59. Ceci est la descente du Christ dans l'homme. 60. Moi, Aun Weor, j'ai reçu mon resplendissant Dragon de Sagesse, appelé Samaël, Logos de la planète Mars. 61. Je suis l'Avatar Kalki de la nouvelle Ere du Verseau. 62. Je suis le Christ Cosmique du Verseau. 63. Je suis l'Initiateur de la nouvelle ère. 64. Je suis Samaël, le Génie planétaire de Mars.

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2 novembre 2016

Le pouvoir des langages de lumière et la puissance des mots

langage mot lumire

Le pouvoir des langages de lumière relève d'une science d'avant-garde très complexe, dont nous ne comprenons encore que peu de choses. Cette science se situe bien au-delà de la science limitée de la matière, au-delà même de la physique quantique . Elle en est une prolongation et prend appui sur la cybernétique, l'information et l'énergie. Elle nous apparait comme les prémisses d'une connaissance plus vaste qui s'ouvrira à nous, au fur et à mesure que nos dimensions supérieures seront redéployées.

A .Boudet

Au final, l'être humain a été doté d'un splendide schéma directeur divin mais ce schéma a été dévié de sa fonction initiale. Actuellement, des langages géométriques et sonores spécifiques sont à la disposition de l'humanité pour redonner vie aux schémas d'origine.
Toutefois, leur mise en œuvre demande notre participation active c'est pour cette raison que la priere est bienfaisante pour les hommes lorsque celle ci et pratiquée dans une langue sémitique  , qui s'ecrit de droite a gauche ,elle génére une énergie positive et puissante qui illumine tous nos centres énérgétiques  en les purifiants  ,et harmonise leur rotation dans le sens bénéfique , voyant l'importance du verbe dans les differentes cultures la première phrase de l’Évangile de Jean : « Dans le principe était la Parole, et la Parole était auprès de Dieu, et la Parole était Dieu » (Jean 1. 1.). « Dans le Principe », c’est-à-dire dans le Père, en Dieu l’Un — et non « au commencement » comme on peut le lire dans mainte traduction : la Parole n’a pas de « début » puisqu’elle EST avant le Temps, avant tout début de création, et qu’elle est, avec l’Esprit, co-éternelle au Père. D’autres traductions parle de Verbe. Notez aussi la relation monadique de Dieu et de sa parole. Ils sont faits UN et de la même réalité.

Sumer (environ IV° millénaire avant JC.) Les sumériens influencèrent d’autres peuples, en particulier les sémites. Nous trouvons dans un écrit sémite la phrase.: «.Le mot d’Enlil (dieu mésopotamien, maître de la terre ferme) s’élance et l’œil ne le voit pas.». Se rapportant encore au dieu Enlil, une inscription sémite énonce.: «.L’expression de ta bouche est un vent bienfaisant, le souffle de vie des terres.». Par ailleurs, le mot sumérien Mummu signifiait raison créatrice, ce qui crée toutes choses. Et encore.: «.Le mot qui en haut secoue les cieux — le mot qui est en bas fait trembler la terre.». La encore nous voyons la raison ou la pensée liée au mot prononcé désigner le pouvoir et la capacité créatrice.

Égypte. Memphis, capitale de l’ancien empire de 3200 à 2280, était le siège d’un puissant clergé qui servait Ptah dieu des artisans et créateur de l’univers. Ce clergé déclarait que Ptah était un être suprême. Il disait que toutes les choses prirent naissance dans la pensée de Ptah. Ce fut la première théorie théologique de l’histoire connue des hommes. En d’autres termes, ce fut alors que la croyance en la conscience universelle, comme cause en soi, prit naissance pour la première fois. Mais, les prêtres allèrent même plus loin.; ils déclarèrent qu’il avait fallu que Ptah prononce une parole pour matérialiser ses pensées — pour les amener à l’existence. L’un de ces anciens prêtres rapporte, dans un poème, comment Ptah matérialisa ses pensées à l’aide de mots prononcés. Il dit.: «.Ptah le grand, est la pensée et la langue des dieux… La pensée donne naissance à toute manifestation réussie… Ptah, de qui procède la puissance de la pensée et de la langue.».

Akkad (2325-2160 av. J.C.) et Babylone (2160 à 729). Les prêtres babyloniens disaient que le dieu Mardouk, le plus important des dieux du panthéon, était le créateur du monde et ils l’identifiaient également avec le mot Mummu.

Hébreux (XII° à 70 après JC). La comparaison de la théologie hébraïque avec les anciens écrits fait apparaître une grande similitude entre eux. Il y a un syncrétisme évident, autrement dit, emprunt et amalgame. Par exemple, un passage de l’un des anciens psaumes écrit après l’Exode ressemble à la théologie babylonienne. Il dit.: «.Par la parole de Yahvé, les cieux furent créés et par le souffle de sa bouche tous leurs habitants.».

La Kabbale hébraïque est une autre conception de la création de l’univers due à l’efficacité de la voix. Le Sepher Yezirah, le premier livre introductif de celle-ci, considéré comme le plus ancien, signifie littéralement « Livre de la Création ». Il remonte au VI° siècle, mais il provient de manière évidente d’une source beaucoup plus ancienne. Le mot Sepher est associé à un mot qui signifie émanation numérique et désigne le pouvoir qui émane du nombre. En bref, le livre expose que les attributs et la qualité de la divinité sont symbolisés par les nombres 1 à 10. Certains sont mâles et d’autres femelles. Le premier nombre, Un est considéré comme indivisible et incapable de multiplication. Mais l’on dit que le nombre Un possède son reflet grâce auquel il donne naissance au dyade ou nombre deux.

Le Zohar, ou « Livre des splendeurs » comprend plusieurs volumes dont le plus important est celui de la « Grande Assemblée ». Cette œuvre discute des propriétés mystiques de Dieu et de la manière dont elles se sont étendues pour donner naissance à l’univers physique et à l’homme. Il explique que ces propriétés créatrices divines sont inhérentes à la fois aux lettres et aux nombres, et qu’elles peuvent être utilisées par l’homme s’il connaît leur exacte combinaison.

Grecs. Les anciens Grecs de l’école de philosophie de Milet disaient : « La substance cosmique est raison, sagesse et harmonie ». Ceci correspond aux qualités attribuées à l’ancien mot babylonien Mummu. Les Stoïques disaient que Dieu est la loi opérant dans tout l’univers et ils appelaient cette loi le Logos. Ils disaient que le Logos est la pensée et l’intelligence exprimées en action. Le Logos est l’âme et la parole se manifestant dans la matière et dans le pneuma ou souffle. Nous notons la similitude de ceci avec les anciens enseignements égyptiens et leurs affirmations datant de 2000 ans au sujet du dieu Ptah.

Hermétisme. Plus qu’en aucun temps, semble-t-il, les mots, ces chevilles du langage, assument des devoirs importants. Ils permettent aux hommes d’embrasser la Connaissance, à une époque où la science trône au sommet de leurs préoccupations, car les mots sont chargés de refléter fidèlement la pensée de celui qui parle.

Or, on constate trop souvent, qu’ils assument dans le langage, de fausses identités, que la syntaxe ne suit pas le rythme de la pensée, que les événements auxquels ils s’appliquent leurs confèrent une signification différente de celle communément adoptée, bref, qu’ils s’anoblissent ou s’encanaillent à volonté.

Les mots, reflets du Verbe, véhiculent par leur sonorité, une dynamique de l’émission juste d’une vague sonore, évoque le mouvement des connaissances. Limpide et pure, la vibration des mots transmet comme un écho de ce qui se situe au-delà d’un sens qui varie dans le temps, écho auquel résonnent les neurones du cerveau.

La Cabale Phonétique, qui est une branche de la Cabale Hermétique ou Universelle (aucun rapport avec la Kabbale Hébraïque), est la science de cet écho. Elles attribuent aux mots des âmes, les voyelles, qui animent les consonnes, leurs corps. Le corps des mots change et se dégrade, l’âme continue à vibrer et capter son message, c’est comprendre que les mots, traduisant l’idée, enfantée par l’Esprit, respirent.

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L’occident a oublié l’impact que produit la vague sonore. Il a oublié que Dieu commanda au premier Adam de nommer les choses pour qu’elles existent, en leur imprimant une vibration spécifique. Il a oublié que les Anciens désignèrent celui qui déroule un discours comme un logothète, terme dérivé de Logos, la Loi. La Cabale Phonétique se base sur la vibration sonore des voyelles, écho d’un langage jadis universel, écho de la parole perdue dont les syllabes, à écouter la légende la légende, seraient enterrées dans les sept déserts du Monde. Il n’est pas absurde d’imaginer que les sept syllabes enfouies, symbolisent les sept vibrations fondamentales, et par extension, les sept notes de la gamme cosmique (macrocosme), dont les combinaisons rythmiques conduisent au déroulement du Verbe.

 

 

 

 

 

Islam : celui qui connaît les secrets de la langue humaine pénètre dans les secrets les plus profonds de la création surtout si sa méditation porte sur la parole la plus pure, la plus divine qui puisse s'écouter sur terre, à savoir le Coran. D'autre part, cela suggère que l'homme connaissant la structure intime de cette langue, ayant compris que chaque lettre est, à son plus haut degré, un ange, se trouve par le fait même investi d'un pouvoir vaste (Sh. M. : 14,63,75).

Mais le sens supérieur de l'arabe coranique, comme celui de la langue des anges, relève en fait d'un autre ordre, celui du nombre. Le nombre, nous le disions plus haut, est l'esprit de la lettre, celle-ci prenant la fonction du corps pour le nombre – corps subtil si elle est prononcée, corps physique si elle est écrite (Sh. M. :6, 78).

Les arabes de l’ère préislamique étaient conscients de la puissance magique de leur langue. Les poètes jouissaient, à cette époque, de la plus haute considération. Ils étaient, dit-on, la fleur de l'éloquence et leurs œuvres étaient récitées, psalmodiées avant d'être suspendues au mur de la Kaaba pour être soumises au jugement populaire.

Pourtant le Coran leur lança un défi qu’ils n’ont jamais pu relever


C'est aussi une langue remarquable par sa richesse lexicale, sa ductilité sémantique, l’originalité et la rigueur de sa logique grammaticale ; langue de profil sémitique dotée de puissances de démonstration autant que de puissances d’incantation qui en font selon la belle formule de J. Berque « la conscience oratoire de l’Orient ».

La parole est ainsi conçue comme une énergie vibratoire dans laquelle l’essence fondamentale de toutes choses existe. Par analogie, nous pouvons la comparer à un son simple qui pourrait inclure toutes les octaves et tonalités simultanément. Par conséquent, chaque son individuel que l’oreille pourrait entendre dépendrait, quant à son existence, de la cause originelle, du son simple unifié. De même que chaque couleur est une composante de la lumière blanche, de même toute la création est issue de la loi composée qu’embrasse la Parole. Par conséquent, une telle Parole à l’important apanage d’être la clef de l’univers.

langage foi

Pour calmer les theosophistes qui voudront y voir la divinité de l'homme dans un tel pouvoir au lieu de révéler simplement que un tel pouvoir nous a été donné par notre créateur non pour nous croire supérieur mais pour ne pas oublier son origine divine .

 

 

 comme une riviére dont le langage serait l'eau qui prendrait sa source dans le divin ,se priver de prononcer les mots purifiés des livres saints  , serait  comme suivre une riviére sans eau et avec le temps on  finirait  par croire que l'eau n'avait  jamais existé .......rJames

 

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Chaque mot est une goutte d'eau dans le desert de la foi .Rjames

22 février 2016

Jean l’apôtre n'a pas écris l'apocalypse il est le livre secret et codé du culte solaire maçonique

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La Saint Jean

introduction :
L’une des deux fêtes les plus importantes de la Franc-Maçonnerie est la St Jean d’été.

Cette cérémonie se situe au solstice d’été, le 21 juin, le jour le plus long de l’année, l'un des deux moments de l'année pendant lesquels le soleil atteint ses positions les plus méridionale et septentrionale, aux tropiques du Capricorne et du Cancer célestes.

L’autre fête, c’est la St Jean d’hiver, au solstice d’hiver, le jour le plus court de l’année. Les Francs-Maçons fêtent le solstice (de "sol stare" pour marquer l'arrêt du soleil) d'hiver. Une fête païenne qui a été christianisée puisqu'on fête alors la Saint Jean d'hiver.

La Saint Jean d'Eté est consacré à Saint Jean Baptiste tandis que la Saint Jean d'Hiver (27 décembre) honore Saint Jean l'Evangéliste dont l'attribut est l'aigle. Pour les Maçons, Saint Jean l'Evangéliste représenterait l'Initié. A noter qu'il fut aussi le saint patron des Templiers et d'autres ordres de chevalerie. Dans certaines Obédiences ou Loges qui utilisent la Bible, le Volume de la Loi Sacrée est ouvert sur le prologue de l'Evangile selon Saint Jean.

Originaire du village de Bethsaïde, Jean était un pêcheur du lac de Tibériade comme son père Zébédée (qui aurait épousé Salomé, la fille d'un premier mariage de Joseph) et son frère Jacques. Ils furent des disciples de Jean le Baptiste qui déclara : "Celui qui vient derrière moi est plus grand que moi". C'est Saint Jean Baptiste qui leur montra Jésus de Nazareth en leur déclarant : "Voici l'agneau de Dieu". Jean et Jacques devinrent des pêcheurs d'hommes.

Nous ne savons pas exactement qui est l’auteur du quatrième évangile. Tout ce que nous savons, c’est qu’il se nomme lui-même le disciple Bien-Aimé et que ce disciple est le fondateur de la communauté johannique. Il a pourtant, d’après le vocabulaire de l’évangile, un certain nombre de caractéristiques :

  • Il est de Judée :
    • Contrairement aux synoptiques, il fait partir Jésus de Judée pour aller vers la Galilée (Jn 1,43; 4,47.54).
    • Jésus exerce son ministère, non pas en Galilée, mais en Judée et particulièrement à Jérusalem, sauf aux chapitres 6 (situé en Galilée) et 21 (troisième finale de l’évangile).
    • Son vocabulaire pour décrire la Judée est très précis. L’utilisation de ce vocabulaire technique aurait été impossible à un Galiléen.
  • Le disciple Bien-Aimé n’apparaît qu’à Jérusalem au chapitre 13. Serait-il un disciple que Jésus a connu à Jérusalem lors de son passage avant la passion?
  • Il n’est pas l’un des douze car le vocabulaire de cet évangile est raffiné alors que Jean, le Fils de Zébédée était peu instruit. C’était un pécheur. La communauté johannique est différente des communautés apostoliques qui se réclament des douze. Il n’y a pas de liste de douze dans cet évangile et nous découvrons au milieu du ministère galiléen que, parmi l’ensemble des disciples, il y a, entre autres, les douze (Jn 6, 67.70). Ce sont d’ailleurs les deux seules fois où ils sont mentionnés dans cet évangile. Luc, dans son livre des Actes, a essayé de simplifier les origines du christianisme en le réduisant aux douze, mais les origines du christianisme sont beaucoup plus complexes que cela. Le chapitre 21 montre que les communautés johanniques se relieront finalement aux communautés apostoliques et reconnaîtront le rôle pastoral de Pierre.

     On reconnaît habituellement plusieurs couches rédactionnelles au quatrième évangile. Le document le plus ancien aurait été écrit par le disciple Bien-Aimé avant les années 50, disciple qu’on a confondu avec Jean, l’apôtre. Viendrait ensuite Jean le Presbyte (l'ancien) qui écrivit aussi les épîtres, vers les années 60-65. Un autre remaniement eut lieu vers les années 90. Puis, au début du IIe siècle, un autre Jean élargie le cadre de l’évangile pour y inclure les gentils.

     Jusqu’au siècle dernier, on a cru que le disciple que Jésus aimait, au pied de la croix (Jn 19, 26) était le même que Jean, l’auteur de l’Apocalypse (Jn 1,4). Comme Boismard l’explique [1], cette méprise provient d’Irénée de Lyon qui, dans son livre Contre les hérésies affirme que Jean est demeuré auprès d’eux jusqu’aux temps de Trajan (empereur de Rome de 98 à 117 ap. J.C.). Tout le monde a donc, depuis ce temps, pensé que Jean, le fils de Zébédée, avait vécu très vieux, qu’il était mort longtemps après tous les autres apôtres. Mais nous savons maintenant qu’Irénée a confondu Jean l’apôtre avec Jean l’Ancien.

     Cependant, Boismard démontre, dans ce petit livre que  nous venons de citer, que Jean, l’apôtre, le fils de Zébédée serait probablement mort sous la lame d’Hérode Agrippa I, avec son frère, Jacques (Ac 12,2), mais que la tradition aurait omis de le dire car l’Église d’Éphèse voulait donner au quatrième évangile, une autorité apostolique. Effectivement, le problème était de taille! Comment une personne morte entre l’an 43 et 44 ap. J.C. aurait-elle pu écrire un évangile que l’on sait être plus tardif que les autres?

     Une liste impressionnante de témoins syriens, africains, prygiens, ou de Pères de l’Église comme Papias, Grégoire de Nysse et Jean Chrysostome l’affirment cependant et ils ne sont pas les seuls. Déjà au début du siècle dernier, Wellhausen faisait remarquer que la prophétie que Jésus adresse aux fils de Zébédée, en Mc 10,39, les concerne tous les deux pareillement.  Leurs martyrs, aussi officiellement annoncés, contrediraient l’existence d’une longue vieillesse en Asie de l’un d’entre eux.

     Jean et Jacques, apôtres à Jérusalem apparaissent dans la liste des martyrs d’un martyrologe syriaque datant de 411 ap. J.C. Dans la littérature patristique, Papias, évêque de Hiérapolis en Phrygie écrit que Jean le théologien et Jacques son frère furent mis à mort par les Juifs confirmant la réalité du martyre de Jean consignée dans les évangiles. Grégoire de Nysse dit que Jean, le fils de Zébédée a fini sa vie dans l’eau bouillante. Pour Jean Chrysostome, évêque d’Antioche de 386 à 397, Jean est mort de mort violente. Pour Aphraate, évêque d’Édesse en 344, Jacques et Jean marchèrent sur les traces de leur Seigneur Jésus. Pour Quodvuldeus, successeur de saint Augustin, Jean fait partie de ceux qui ont consacré l’Église dans leur sang.

     Si Jean, le fils de Zébédée n’a pas écrit l’Évangile de Jean, dû moins dans la forme finale, il est clair qu’il n’a pas non plus écrit l’Apocalypse.

     Alors, la question demeure : qui est donc l’auteur de l’Apocalypse?

Un initié cela est plus qu'évident car il est célèbré par les loges , en fait l'apocalypse serait le plan des loges pour la fin des temps ce plan est celui de Satan pour cette raison que tous les évènements mondiaux y sont répértoriés ils s'inspirent simplement du livre pour accomplir leur plan et tromper une dernière fois l'humanité jusqu'au bout , cette idée me trotte dans la tete depuis plusieurs année et c'est la seul explication ,pour le culte satanique de la cathedrale st Jean de new york qui pourait  douter plus longtemps que nous ne sommes plus dans un culte catholique mais dans l'esoterisme pure d'une  secte sataniste.

que fait la kaabal ici la magie est prohibée dans l'évangile .

voilà leur culte est -ce qu'il fete le retour du christ ? pas vraiment ....

désolé pour mes frères chretiens et croyants mais un livre ecrit par 4 Jean ne peut etre authentique  ,ce livre a eu 4 intervenants  en mélangeant subtilement vrais messages avec le plan final devant la réalisation de certains évènements  le lecteur tombera dans le piège ....et c'est tout a fait normal de toute façon les plus grands ouvrages de l'humanité , de Marx a Darwin  Newton Jules vernes ont tous étaient inspirés ou écrits par les loges on y retrouve l'excellence du raisonnement qui dépasse de très loin ce qu'un homme seul peut écrire...jules vernes n'avait  rien d'un visionnaire il était juste d'une loge et on lui donna toutes les infos il romança ces infos  pour ne pas trop attirer l'attention et le questionnement , pour le cinéma c'est idem .

.la ruse dans le titre   l'apocalypse de Jean  ! oui mais lequel ?Pourquoi Jean ?voyons la réponse que nous donnes les francs maçons

"Jean n'était pas la lumière, il vint pour servir de témoin, pour rendre témoignage à la Lumière, afin que tous crussent par lui. Saint Jean symbolise pour les maçons la Gnose. Cette Gnose est symbolisée par la lettre G inscrite dans l’Etoile à 5 branches que l'on retrouve dans les temples maçonniques. Le flamboiement de l'étoile caractérise alors l'Initié. Les deux Saint Jean figurent à la fois le temps qui passe et nos traditions. Elles symbolisent aussi, de façon invisible notre présent, celui dans lequel nous devons vivre et dans lequel la démarche initiatique et maçonnique invite ses Initiés à se réaliser, à évoluer et persévérer, et in fine à transmettre.

Les deux Jean qui s'opposent, comme les deux Janus, ou encore, Janus dieu romain de l'Initiation: (initiare signifie "commencer"). Janus est le détenteur des deux cléfs , le Maître du triple temps, le Saint Jean. Janus représente la dualité de l'être, le bicéphale avec une tête jeune et une tête âgée; une tournée vers l'an jeune, l'autre vers l'an vieux, l'avenir et le passé. L'homme vieux, le Baptiste, tel le coq de nos fermes venant du passé annonce le lever du jour, cédant sa place à l'homme jeune, l'Evangéliste, lié à la verticalité. Il marque la lumière, l'ascension spirituelle. Pour Jean l'Evangéliste, le passé est le temps de l'Intelligence et le présent le temps spirituel.

Par la Connaissance Jean l'Evangéliste nous explique, au fur et à mesure, le Sens des Evénements. Ainsi l'Evangéliste est l'aigle qui habite les cimes, celui qui monte vers le soleil et replonge vers nous pour témoigner que la Lumière vient bien de cet astre. Il est  l'avenir et le passé, le passage d'un état à un autre, d'une vision à une autre, d'un univers à un autre. Il est le dieu des portes, le dieu des transitions et des passages; il est présent sur tous les lieux de passages. Tout passage suppose une porte, un seuil et son gardien. Toutes les entrées, comme les sorties, sont surveillées. Devant nous la double porte solsticiale: la porte des hommes et celles des dieux, donnant accès à deux voies: celles des hommes et celles des dieux, la voie profane et la voie sacrée, la voie de l'aveugle et celle de l'initié. Ouverture et fermeture de la porte expriment le rythme de l'univers, la respiration universelle. Les deux Jean sont donc fêtés en opposition: opposition sur le calendrier, mais aussi opposition dans les phases ascendantes et descendantes du soleil. Ainsi la Saint Jean d'été marque le jour où le soleil décline, les jours diminuent pour faire place à des nuits plus longues


Certains voient dans les deux Jean la représentation des phases ascendantes et descendantes du soleil. Ils se retrouveraient dans le dieu romain bicéphale Janus.

Pourquoi St Jean ?

St Jean, car ce vocable symbolise pour les maçons la Gnose ; et cette Gnose est symbolisée par la lettre G inscrite dans l’Etoile à 5 branches que l'on retrouve dans les temples maçonniques. Les Templiers célébraient aussi leur fête la plus importante le jour de la St Jean d’été, et les francs-maçons perpétuent ainsi le souvenir et le rite, pour ne pas dire le mystère.
St Jean, c’est Janus, le dieu au double visage des Romains. Il symbolise le passé et l’avenir, l’année qui finit et celle qui commence.

Le solstice d’été, c’est une vieille fête païenne, que l’on célèbre encore chez nous avec les feux, et dans les pays Scandinaves, à la Ste Lucie, Sainte Lux, la fête de la Lumière. C’est de lumière qu’il s’agit. Et la lumière, c’est la Connaissance. Le jour de l’initiation, un franc-maçon reçoit la Lumière. Et l’on nomme les francs-maçons les fils de la Lumière, comme avant eux les Esséniens.
 
Le jour de la St Jean d'été, cette lumière est symbolisée par le tracé au cordeau d'une étoile à cinq branches. Ce pentagramme a la pointe en haut, dirigée vers l’Orient. Car la Lumière vient de l’Orient, et c’est là que se trouve le Vénérable en loge.

Il y aurait beaucoup trop à dire sur le pentagramme.
Sachez pourtant que c’est grâce à lui que se calcule le Nombre d’or, 1,618. Le Nombre avec lequel on bâtit en harmonique, Ce Nombre est un rapport. Un rapport tel que la plus petite partie par rapport à la plus grande a le même rapport que la plus grande par rapport au tout. Pour savoir comment se calcule ce Nombre si particulier, reportez vous au livre page 191. Sachez cependant qu’il est symbolisé par le « carré long », un rectangle dont le plus petit coté est la moitié du plus grand, et qui se retrouve sur l’équerre du Vénérable, dont l’une des branches est le double de l’autre.

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Le pentagramme, c’est aussi l’Homme. Comme le disait Hildegarde de Bingen : « l’Homme se divise dans la longueur, du sommet de la tête aux pieds, en cinq parties égales ; dans la largeur, formée par les bras étendus d’une extrémité d’une main à l’autre, en cinq parties égales. »

Les bras à l’horizontale s’inscrivent dans les branches supérieures, les jambes écartées dans les branches inférieures, et la tête dans la branche du haut. 2 + 2 + 1. L’union est réalisée, c’est d’ailleurs le symbolisme du 5. On joint par ce nombre le principe terrestre (2 –> les jambes) au principe céleste ou cosmique (3 –> la tête et les bras).
Nous avons là les 5 extrémités. Deux fois un nombre pair, féminin, désignant la matrice, et une fois un nombre impair, mâle. L’Homme est donc androgyne. Le pentagramme désigne l’androgyne. On a bouclé la boucle. Le nombre 5 est donc le symbole de la structure de l’Homme. Trois éléments en haut (la tête et les bras) et deux éléments en bas (les jambes). Nous avons là l’accord du cosmique et du terrestre, et l’Homme est bien le Temple de l’univers.

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Voyons maintenant comment nous allons construire cette Etoile :
De l’Orient, le 1, on va vers le 2 ; on va de l’Unité primordiale à la division, la chute. C’est la chute de l’esprit dans la matière, rapide, presque verticale. Elle est indispensable, comme le passage par la terre, par l’humus, pour être régénéré.
Du 2, on va vers le 3. On remonte plus lentement. L’esprit organise la matière, en rencontrant de nombreuses difficultés.
Du 3, on va vers le 4. De l’organisation naît la réflexion.
Du 4, on va vers le 5. C’est une nouvelle chute, plus lente, où l’Homme va prendre pleinement conscience de son être, de son ego. Le tiers supérieur s’unit avec le binaire de la base. Ainsi se crée l’androgynat. Ainsi se crée l’Homme.
Enfin, du 5 on remonte vers le 1, vers l’Orient, vers l’Unité. L’Homme est réalisé et tend maintenant vers l’Adam cosmique. Il est en état pour recevoir. L’Etoile est tracée. La Loge aussi. Le Naos est en place. Il peut désormais donner la Lumière, la Connaissance.

De la Connaissance naît l’Amour, et de l’Amour naît le Don.

Engageons-nous donc, tout simplement tels que nous sommes, dans un voyage, dont chacun sait ce qu’ils ont de formateur… et peut-être bien d’initiatique !

Depuis que l’Humanité a accédé à la conscience, elle s’est rendue compte de la régularité des cycles qui rythment sa vie. Parmi une multitude, le premier et le plus immédiat est sans doute celui de l’alternance régulière des jours et des nuits. Alors, par la pensée et l’imagination, essayons d’en re-marquer les moments essentiels :

C’est d’abord ce que les hindous appellent « l’heure de Brahmâ » : le soleil va se lever, un côté du ciel s’éclaircit. Le noir profond pâlit en bleu, une couronne claire annonce l’imminence de l’astre de la lumière. De l’autre côté du ciel, c’est encore la nuit semée d’étoiles.
Depuis l’émergence dorée de l’astre du jour, la lumière ne va cesser d’augmenter, jusqu’à midi plein. Le soleil est alors à son zénith et l’ombre d’un bâton fiché en terre est la plus courte de la journée. Après cette apothéose, ce minuscule mais perceptible temps d’arrêt, l’ombre s’allonge et la course parabolique du char de Phébus tend à rejoindre l’occident pour y disparaître dans un flamboiement majestueux et mélancolique. La nuit alors envahit le ciel par l’est, où commencent de scintiller, après Vénus, les myriades galactiques.

Nos ancêtres auraient pu s’en tenir là et aller se coucher…

C’est d’ailleurs ce que beaucoup ont fait ! Mais quelques originaux, que la nuit fascine, ne peuvent aller aussi tôt essayer de trouver dans le sommeil l’oubli des questions qui les habitent. Ils observent, notent et pensent.
Ils ont vu et compris que la nuit et le jour sont complémentaires, donc semblables et comparables. A l’instar de tout ce qui vit, la nuit, comme le jour, naît, croît, atteint une apogée pour ensuite diminuer, et mourir. Et de même que le milieu du jour inaugure la marche vers la nuit, le milieu de la nuit annonce l’arrivée de la lumière. De jours en jours et de nuits en nuits, l’observation s’est affinée. Une activité interprétative a suivi, elle a donné naissance à l’Astrologie.

Mais revenons au cycle journalier. Les quatre temps forts : aurore, midi, crépuscule et minuit, marquent la structure de tous les cycles et permettent de s’orienter sur la Terre qui nous porte. Ils sont en somme le témoin de lois universelles.
Et nos Temples, comme les Cathédrales et tous les Temples dignes de ce nom, sont orientés, au moins symboliquement : selon l’Orient d’abord, d’où vient la Lumière, puis le Midi, où brille le Soleil, et le Septentrion, domaine de la Lune, enfin l’Occident, où se trouve la porte qui conduit à l’extérieur de l’espace sacré. Un Temple est donc un condensé symbolique de l’Univers et de son harmonie.
Un ancien texte dit d’ailleurs qu’il y a trois Temples : l’être humain, que nous sommes, le Temple terrestre, où nous avons pris place, et le Temple parfait de l’Univers.

Kosmos, en grec, désignait à la fois une mise en ordre et un embellissement : c’est donc à une fête des lois cosmiques que nous convie la Saint-Jean d’Hiver. Il s’agit au fond, en vivant consciemment ce temps fort dans le Temple terrestre, de mettre le Temple de l’Homme en harmonie avec le Temple Universel.

Car le cycle que nous venons d’évoquer permet aussi de rendre compte des saisons de l’année : l’aube de l’année, le passage de la nuit au jour, est l’équinoxe de printemps ; les feux de midi sont aussi ceux du Solstice et de la Saint-Jean d’Été ; l’automne est le soir de l’année et, en cette Saint-Jean d’Hiver, Minuit plein va sonner à l’horloge solsticiale.

C’est donc en héritiers d’une longue tradition que nous nous sommes assemblés afin de passer symboliquement ensemble le cap, la porte du Solstice d’hiver, dédiée depuis l’avènement du christianisme à Saint-Jean l’Évangéliste et, auparavant, à Janus, le dieu au double visage des Romains. Le symbole cosmique passe, de civilisation en civilisation, toujours identique dans son essence malgré la diversité de ses manifestations culturelles.

Ce qui a été dit du cycle journalier une fois transposé au cycle annuel va nous permettre de comprendre à la fois la dédicace de la Fête à l’Évangéliste et l’importance toute particulière que lui accordent les initiés.

Au solstice d’été, la lumière est manifeste, c’est l’apothéose de la clarté. Nous avons tous peu ou prou en mémoire les feux de la Saint-Jean, le 24 juin. Pourtant, au milieu de la joie exubérante de ceux qui se fient aux apparences, ceux qui savent ne peuvent s’empêcher d’avoir un pincement au coeur car ils ont conscience de ce que, malgré la canicule et l’éclat des jours, la marche inexorable vers les longues nuits d’hiver est amorcée.

Mais à la Saint-Jean d’Hiver, les mêmes sont dans la joie, au coeur de la plus longue nuit de l’année, car elle marque le début de l’ascension de la clarté, de la victoire de la Lumière sur les ténèbres. Pour eux, le Minuit de l’année devient le Midi des sages.

Pour le comprendre, mettons à nouveau en relation ces deux temps forts, inséparables comme le sont les deux visages de Janus :
Le solstice d’Été est dédié au Baptiste essentiellement pour deux raisons : c’est d’une part le point culminant et terminal de l’Ancienne Loi, qui voit poindre, selon les mots du Christ, son accomplissement. Or à fin juin, la lumière est à son maximum. En second lieu, le Baptiste a désigné le Christ au monde en disant « Il faut qu’il croisse et que je diminue ». Or dès le Solstice d’été, la lumière va diminuer, jusqu’à celui d’hiver.
Si le Solstice d’été est donc le moment de la lumière manifestée, extérieure en somme, celui d’hiver est la fête d’une lumière plus subtile, que seule peut révéler une connaissance intérieure.

Lumière des yeux ou lumière du cœur, clarté visible ou invisible, deux modes de relation au monde sont ainsi illustrés et, à l’image du cycle qui les rend explicites, révélés comme complémentaires. C’est ce que l’on appelle la connaissance ésotérique, qui se définit par rapport à la connaissance exotérique oppose le monde des sens à celui de l’intériorité, et les révèle, nous l’avons dit, comme complémentaires. Aussi, s’il peut être indiqué par les sens, c’est intérieurement que le grand mystère du Cosmos parle véritablement à l’homme en quête d’éveil.

Alors, la dédicace à celui qui est venu annoncer le triomphe du Logos incarné n’est plus une énigme, mais revêt la clarté de l’évidence. « L’heure vient, et c’est maintenant, où les adorateurs de mon Père l’adoreront en esprit et en vérité. »

Mais ce triomphe est avant tout celui, infiniment subtil, de l’intériorité, au-delà et même malgré le monde des évidences ou de l’apparence : « La Lumière luit dans les Ténèbres, les Ténèbres ne peuvent L’atteindre. »

Nos prédécesseurs dans la voie, les constructeurs de Cathédrales, l’ont d’ailleurs illustré d’une façon inattendue mais très explicite dans le porche Sud de la Cathédrale de Lausanne.
Il est constitué de quatre parties dessinant un rectangle, que les Anciens appelaient un carré long. Au sommet de chacun des côtés, en haut et au centre, figure un cartouche circulaire : à l’Orient il représente un jeune Soleil, au Midi un Soleil adulte et à l’Occident un Soleil âgé. Mais au Septentrion figure un cartouche où est sculpté un agneau portant une bannière, symbole christique s’il en est.
Ainsi, la Lumière spirituelle, issue du Logos, prend naissance au Nord, au plus noir de la nuit comme au plus froid de l’année. Elle n’est perceptible qu’au sein du silence intérieur de qui a su faire un instant taire ses bavardages devant l’ineffable.
Et c’est vers elle que convergent ce que Don Juan, le maître de Castaneda, appelle « les voies qui ont du coeur » et dont la clé nous est offerte par Saint-Exupéry, dans la bouche du Renard : « L’essentiel est invisible pour les yeux, on ne voit bien qu’avec le coeur. »

M.-É. Boismard, Le martyre de Jean l’apôtre, Paris, Gabalda, 1996, 86 p.

20 mars 2014

La cathédrale la plus étrange se trouve à New York

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La cathédrale Saint-Jean le Divin de New York (dont le nom exact est Cathedral Church of Saint John the Divine in the City and Diocese of New York, c’est-à-dire Cathédrale Saint-Jean le Divin dans la ville et le diocèse de New York) est une cathédrale épiscopale du diocèse de New York, où siège son évêque. Elle est située au 1047 Amsterdam Avenue (entre les 110e et 113 e rues) dans le quartier de Morningside Heights, à Manhattan.

La cathédrale, est un site touristique important, et bien qu'elle n'ait pas été achevée, elle constitue la plus grande cathédrale au monde, selon le livre Guinness des records, en sachant que la Basilique Notre-Dame de la Paix de Yamoussoukro et la Basilique Saint-Pierre, églises plus massives que St John ne sont pas des cathédrales. Le terrain vierge de 47,000 m² sur lequel la cathédrale est bâtie (terrain où avait notamment été construit le célèbre orphelinat Leake and Watts Orphan Asylum) a été acheté en 1887, et les plans de l'édifice, réalisés par les architectes George Lewis Heins et John LaFarge d'une cathédrale de style roman et byzantin furent acceptés l'année suivante, au terme d'un concours officiel.La destruction de la ville de New York (y comprit les 2 Tours) sculptée sur la droite du bâtiment… D’étranges symboles occultes sur le sol… Des rituels étranges pratiqués dans le sanctuaire… Maison du Temple de la Compréhension qui a admise chercher à instaurer une nouvelle religion mondiale… Cette cathédrale est définitivement « différente », comme certaines personnes pourraient dire. Mais la « différence » se trouve dans le fait que la cathédrale est en fait un temple à croyances Néo-Païennes-Presque-Sataniques-et-que-l’Environnement-est-plus-important-que-l’homme. Personnellement, je m’en fous des croyances de chaque individu, mais qui d'autre pour tromper les amateurs d’église sans méfiance dans une maison de culte occulte n’est rien d’autre que le Mal.

    « Les intellectuels païens rhabillèrent leurs idées originelles d’un manteau de phraséologie chrétienne mais donnèrent uniquement les clés du symbolisme aux personnes dûment initiées et tenues au secret. »
    - Manly P. Hall, The Secret Teachings of All Ages

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Nous voyons le pont de Brooklyn s’effriter avec les voitures et les autobus entrant dans les eaux agitées. A droite se trouve la statue de la Liberté, qui semble s’enfoncer dans l’eau. Sous cette prophétie horrible est le New York Stock Exchange, avec des gens vendant des biens autour d’elle.New york semble etre la nouvelle babylone.

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294767185_8807e5ee0c_zles 4 cavaliers de l'apocalypse signe de la fin des temps

divine3Naissance de l'antechrist

divine4Pilier symbolisant la mort avec la «roue dans une roue, remplis d'yeux tout autour" de la vision dans le début du livre d'Ezéchiel.

294752529_3c0bebe2a9_z1Pilier de l'Arbre kabbalistique de la Vie. Le Livre de l'Apocalypse est dit encodés avec la numérologie kabbalistique pour  révéler son sens ésotérique

Les occultistes croient que le Livre de l’Apocalypse a été hermétiquement codé pour révéler son véritable sens aux initiés des enseignements ésotériques. Cette scène, gravée à l’entrée ouest de la cathédrale, représente New York comme étant «Babylone la Grande», la ville qui devient complètement détruite par la colère de Dieu. Le Livre de l’Apocalypse mentionne:Procession des Goules
« Le but du Temple est de faciliter la seule religion mondiale, à travers la promotion de l’acceptation et l’étreinte de toutes les religions, les croyances et les rituels. La salle de méditation du Temple de la Compréhension devait être connue en tant que le « Hall de l’Illumination  » où les Illuminati, Maîtres de la Sagesse, les leaders du Temple de la Compréhension formeront le public au nouveau culte humaniste … pour créer un nouveau type de mystique. »
Le Temple a reçu l’accord complet de l’ONU et a été un acteur clé dans le département « spirituel » de l’ONU. Douze personnes inscrites comme conseillers ou directeurs du Temple de la Compréhension sont aussi membres du conseil du Forum Mondial de l’ONU. Ces forums ont reçu de nombreux orateurs qui ont soutenu ouvertement une religion mondiale néo-païenne basée sur le culte de la Terre. James Lovelock, l’un des intervenants a mentionné que «Gaia» (un terme ancien qui décrit la Terre comme une déesse) a été l’auteur de la vie et avait la capacité de se guérir. Il décrit l’homme comme étant un cancer de Gaia, une «maladie trop écrasante pour elle pour se soigner ». En d’autres termes, les humains sont des parasites de la déesse Gaia.

Al Gore a été invité plusieurs fois à la cathédrale de Saint-Jean le Divin, où il a célèbrement dit « Dieu n’est pas séparé de la Terre ». Eh bien, dans le christianisme, le judaïsme et l’islam, Dieu est en fait séparé de la Terre (dans le ciel). Si vous déchiffrer la phrase d’Al Gore:

masonic_world1925Chaque année, pour Halloween, St Jean le Divin est l’hôte d’un évènement étrange appelé « La Grande Procession des Goules ». C’est en fait une parade qui a lieu à l’intérieur du sanctuaire de la Cathédrale où les gens se parent de costumes de démons, goules, monstres et autres choses glaçantes, qui se promènent avec une musique d’orgue macabre. Cette chose ressemble aux rituels étranges tenus à huis clos par des groupes occultes. En dehors du grand nombre de costumes représentant des démons et Satan (déjà extrêmement bizarre pour une cathédrale), certains costumes semblent se moquer du Christianisme.
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Les rituels sataniques ne se moquent-ils pas des rituels Chrétiens en les tordant? C’est autant tordu que ça pourrait l’être. Les Processions sont des rituels Païens comme la « Procession du Prechten » en Allemagne, qui est très similaire à celle de St Jean le Divin de plusieurs manières.St Jean le Divin est le quartier général du Temple de la Compréhension, un effort interreligieux afin d’éloigner les gens des religions traditionnelles vers un type de spiritualité hybride fondée sur des philosophies New Age, le Neo-Paganisme et un mélange de traditions religieuses organisées. Les « amis » qui ont aidé le fondateur Juliet Hollister comprennent John D. Rockefeller II, le XIV Dalaïlama, le pape Jean XXIII, Eleanor Roosevelt, le Secrétaire Général de l’ONU U Thant, l’International Planned Parenthood et le Jewish Theological Seminary. Jean Houston, un gourou Nouvel Âge et supporter du Temple de la Compréhension a écrit dans son livre « Cheval de Troie »:

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