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rusty james news
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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
sciences
3 décembre 2020

(Doc) [VF]Une fille russe aux yeux à rayon X étonne les scientifiques .

fille aux rayons x

août 2013 | Publié dans: Clairvoyance

(Source :sott  Wikipédia et The Sun)

Une fille russe aux yeux à rayon X étonne les scientifiques japonais avec son étonnant don ! Des scientifiques anglais et japonais ont reconnu que la fille possédait une capacité stupéfiante de voir au travers des gens.

Natasha Demkina, 17 ans, originaire de la ville de  Saransk en Russie, s’est fait connaître pour sa capacité stupéfiante de voir au travers des gens et de diagnostiquer les maladies.

Des scientifiques se sont intéressés à elle, et l’ont invité à Londres pour se prêter à des expériences scientifiques. Les chercheurs britanniques ont reconnu à l’unanimité le don remarquable de Natasha, bien que les scientifiques américain ont hésité à en venir à une telle conclusion. Ils n’ont pas apprécié le fait que la fille ait diagnostiqué avec succès seulement 4 patients sur 7.

Natasha Demkina a récemment passé une épreuve similaire à Tokyo, où les scientifiques japonais ont confirmé le don de la jeune fille.

« Cela me prend trop de temps d’expliquer et de détaille tout ce que je vois. Parfois je peux voir les maladies à un stade précoce, quand ni les patients ni leurs docteurs n’ont la moindre idée de leur présence. C’est pourquoi nous avons eu des problèmes avec les scientifiques américains,” a dit Natasha.

Durant l’épreuve au Japon, Natasha a pu voir que l’un des patients avait un genou prothétique. Un autre patient avait des organes internes placés asymétriquement (situs inversus). Natasha a facilement diagnostiqué les premiers stades de la grossesse et a même vu une pathologie dans le foetus d’une femme. Elle a diagnostiqué une courbure rachidienne ondulée rare chez un patient masculin.

Quand les docteurs japonais ont comparé le dessin de Natasha à la courbure de la photographie aux rayons X, ils purent constater que la photo et le dessin étaient absolument identiques. Quand Natasha avait terminé avec les sept patients, les docteurs japonais n’ont pas pu s’empêcher de l’applaudir. Cependant, ce n’était que la première étape des tests.

On demanda à Natasha Demkina de diagnostiquer la maladie d’un rottweiler âgé. La fille a eu peur de s’approcher de l’animal sans muselière, mais le docteur lui a dit qu’elle devait regarder les pattes du chien. Cinq minutes plus tard la fille a pointé la jambe arrière droite, dans laquelle elle voyait une prothèse. Les scientifiques japonais n’ont pas cru la gille, quand elle leur a dit qu’elle pouvait aussi voir les maladies sur les photographies des gens. Quand on lui présenta une petite image de type « passeport » de quelqu’un, elle a rapidement diagnostiqué un cancer du foie.

La jeune fille a la vue rayon X en Russie embarrasse des médecins 

Selon l’agence de presse russe Pravda, Natasha Demkina, une jeune fille de 16 ans, a réalisé plusieurs diagnostics sans rayons X ou échographies sans faire d’erreurs.

« Quand elle grandissait, ma fille était juste une enfant ordinaire, » a dit sa mère, Tatyana Vladimirovna. « Peut-être qu’elle était juste un peu plus mature que les autres enfants de son âge. A un an, elle pouvait réciter Pouchkine et Nekrassov par cœur. A trois ans, elle maîtrisait l’alphabet et a appris à conduire une motoneige. Elle n’a jamais été capable de voir au travers des humains !« .

Mais la vie de Demkina changea après avoir eu l’appendicite et que les docteurs ont laissé des coton-tiges dans son ventre. Un mois après le retrait des coton-tiges dans la seconde opération, elle a commencé à avoir cette « vision aux rayons X ».

« Je voyais un tube plissé comme pour les aspirateurs à l’intérieur de toi, » a-t-elle dit à sa mère. « Je voyais aussi deux haricots et une tomate qui ressemblait à une tomate coeur-de-boeuf. »

Elle ne connaissait pas les mots pour intestins, reins, et coeur.

Au début les docteurs refusaient d’accepter ses visions, mais des tests exhaustifs n’ont pas pu réfuter ses allégations. Elle a dessiné l’image de l’estomac d’un docteur en indiquant un point sombre où se trouvait précisément un ulcère.

Quand on lui présenta un patient souffrant de multiples maux, Demkina les identifia tous, y compris les détails qui échappaient aux échographies. Elle n’était pas d’accord avec les médecins qui avaient diagnostiqué un cancer chez une autre femme. On lui donna raison.

Selon le Dr Irina Kachan, qui conduisit des tests sur Demkina chez elle à Saransk, à environ 640 km à l’ouest de Moscou : « Je reconnais que cette fille a des capacités inhabituelles. »

« Elle est comme un scanner à rayons X humain, » a ajouté un autre docteur. « Nous étions sceptiques au début, pensant que la fille cherchait à nous ridiculiser. Mais nous ne pouvons pas expliquer de façon normale ce qu’elle voit. »

Selon Demkina : « Je n’ai rien à cacher. Je les laisse mener des expériences sur moi. Peut-être qu’ils pourront expliquer la nature de ma seconde vue. C’est comme d’avoir deux vues. Je peux changer de l’une à l’autre instantanément si je dois savoir le problème de santé d’une personne. »

« C’est difficile d’expliquer comment je détermine des maladies spécifiques. Il y a certaines impulsions que je ressens venant des organes endommagés. La seconde vue fonctionne seulement le jour et dort la nuit. »

Demkina, qui étudie désormais la médecine à l’Université d’Ogarez (Etat de Moscou), dit que la seule personne qu’elle ne peut pas sonder, c’est elle-même.

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3 février 2019

Enki satya et annunaki : la propagande sataniste NU Ageuse

Reptilian-Hybrid-Sumerian-Gods

babylon

us-ny-bala ville de babylon à New york

la pomme d'adam est la petite tentation ainsi New york est appelé la grande pomme ou la grande tentatrice avec sa babylon avenue et sa ville  et sa statue de lucifer dans son port  enki shiva ishtar tant de nom pour lux ferro l'apporteur de lumière.

statue2

le site loveenki incite les visiteurs à se soumettre à un rituel d'engagement auprès d'Enki. Ce rituel ( http://www.loveenki.com/enki/2012/01/ri ... ie-a-enki/ ) est très ressemblant aux rituels du satanisme :

1) écriture d'une lettre reniant toutes les religions (et leur Dieu, le Saint Esprit, le bouddhisme, etc) en faveur "du seul Dieu Créateur" Enki, et en inversant les principes au point de traiter Dieu "du vrai Satan". 2) signature de cette lettre de ses initiales avec son sang 3) cette lettre doit finalement être "brulée", avec comme intention que "le message arrive à Enki et traverse l'astral sans être pollué"

D'autre part, Enki (aussi appellé Satya, alors qu'auparavant ils l'appelaient clairement Satan, ) serait une pauvre victime de Dieu qui l'aurait appelé ainsi pour le nommer "l'adversaire" (complète invention).ces sites sont extrêmement dangereux pour votre âme, si vous pratiquez ce rituel vous attirez vers vous des démons et en leur faisant allégeance ils seront un plaisir de venir de vous emmener à votre mort au purgatoire ainsi le pacte de sang que vous avez signé étant brûlé sera irrévocable donc il faut être assez stupide pour livrer son cou ainsi au plus grand bourreau de l'humanité Malgré son Enki proquo...

Enki ne cherche qu'à Enkilosé votre esprit pour mieux vous tromper aujourd'hui il ne vous dise plus "Dieu n'existe pas ou le diable n'existe pas , ils ont compris que la plupart des gens savent qu'ils existent alors ils inversent Dieu est en fait le mal et le mal est le bien aussi énorme comme stratagème, ça fonctionne sur des personnes n'ayant aucune spiritualité active c'est-à-dire aucun contact avec la source conversation rompu par les sens trop occupés à nourrir les démons du bas astral qui se nourrissent de vous dans vos actions négatives les plus basics,le but c'est de vous enrôler dans un courant New age très puissant Enki Satya même pas le courage de porter leur vrai nom il travestisse leur nom pour faire plus soft et se différencier.....tEnez vous hors de portée de ces charlatans et de ces suppôts du mal car il en va de votre éternité, athée croyant ou agnostique sachez que vous vous retrouverez avec les gens que vous auraient suivi et cela pour l'éternité la vie je le répète n'est juste qu'un test ne vous laissez pas leurrer par ces personnes abjectes qui se foutent de vous et veulent juste porter la couronne en ramenant le plus d'âme comme trophée, j'espère de tout coeur qu'au moins une âme sera sauvée de leur griffe ce sera ma plus grande satisfaction.......Godblesss

eclairs

ps : évitez aussi le poison de Dana Goldstein.  Cette Dana Goldstein est aussi une grosse manipulatrice qui sous prétexte de dénoncer le Judaïsme/Sionisme,fait de la propagande luciférienne sans retenue,à côté de son baratin sur tout un tas d'autres sujets.

Tout ces écrits sont basés sur une inversion totale des principes traditionnels.
Le jeu à laquelle joue cette personne (qui qu'elle soit) est extrêmement vicieux et retors,car en fait sa dénonciation apparente du judéo-talmudisme ne sert qu'a séduire,et ce dans le seul but de mieux tromper encore,et d'attirer les gogos dans le piège.

calliope_la_voix_des_flammes_de_tabitha_king_et_michael_mcdowellLa propagande contenue sur ce site est extrêmement grave et dangereuse pour ça,d'autant plus qu'elle mélange le vrai et le faux pour donner le change de plus belle (stratégie du gâteau empoisonnée bien maitrisée par tout les imposteurs mondialistes).
Vous verrez certaines choses vraies,ce qui aura tendance à vous faire baisser votre garde,et c'est exactement la chose attendue pour vous faire avaler toutes la subversion cachée en douce à côté,et celle-ci est présente en masse,on a affaire à de gros morceau bien crasseux.

Cette "Dana Goldstein" blasphème autant de venin haineux contre le Christ .
C'est une luciférienne notoire,en fait son raisonnement inversé est dans la droite lignée de la subversion de la conscience à la sauce "philosophie des lumières",humaniste et culte de l'être suprême,qui as pris son envol au XVIII° siècle après la Révolution Française,une haine mortelle contre tout ce qui a trait au divin et au Monothéisme ressort de chacun de ces textes,bien sûr le tout saupoudré de new-age intensif,ce qui est tellement en vogue à notre époque,avec des gens qui ne jugent que sur l'apparence,la Dana n'invente rien dans ces stratégies de subversion,elle ne fait que reprendre des techniques éprouvées par d'autre avant elle,et de longue date.

On est tout simplement en présence d'une agenture au service de l'idéologie du Mouvement Révolutionnaire Mondial,ni plus ni moins.
Les juifs-sionistes et le Judaïsme Talmudique dénoncés là-dedans ne sont là que pour induire en erreur et donner une apparence de sincérité et d'honnêteté à son but ultime qu'elle se propose,celui de nous faire comprendre,et croire,que Satan est le seul Dieu véritable que l'on doit adoré,le seul Dieu qui nous aime,le "Dieu-Bon". (et oui,encore une fois ! )

Au final elle fait le jeu de leur élite (kabbaliste/luciférienne) qu'elle feint de dénoncer,donc c'est du pur foutage de gueule tout ça.

Elle n'hésite d'ailleurs pas à l'affirmer clairement,c'est Satan qui a crée l'humanité,et les délires flatteurs new-age humaniste qui vont avec sont là pour mieux faire passer la couleuvre :
Sa propagande est plus ou moins reprise de celle des palladistes lucifériens (et des autres élites maçonniques,des banquiers internationaux Khazars,ainsi que de toute la cabale onusienne affiliée,"Lucis Trust",etc,etc...)

Leur doctrine,on peut la décrire rapidement,d'ailleurs j'en avait déjà fait un court résumé sur un autre sujet :
Au sens symbolique du terme,chez les Lucifériens,ce terme Illuminati représentent donc symboliquement cette "illumination" par la connaissance,et c'est celle de "Lucifer",leur Dieu,que les Palladistes appellent leur Dieu-Bon,principe opposé au Dieu mauvais "Adonaï" (le Dieu des chrétiens et des musulmans).Cette croyance est basée sur une dualité qu'ils considèrent comme universelle,et sur l'inversion des valeurs des croyances traditionnelles,dont ils considèrent les adeptes comme des profanes et des dégénérés,des faibles d'esprits,des "goys",juste bon à être aveuglés par la superstition,et juste bon à être gouvernés par eux les Supérieurs,pour le bien de l'humanité (toujours selon leur doctrine bien sûr).Ils sont les "éclairés" et vous,croyant,êtes les égarés,vous vous êtes fait piéger par Adonaï le mauvais principe,le Dieu à lequel vous croyez naïvement,voilà ce que celle-ci leur enseigne encore.Ils sont donc porteur de lumière,c'est à dire "porteur de la connaissance",celle de Lucifer,leur Porteur de Lumière (connaissance) Divin,à qui ils associent ce principe.En effet,dans leur doctrine,c'est Lucifer qui offre ce "don" de connaissance à l'homme au commencement de la création,ainsi que le don de reproduction (c'est la raison pour laquelle le "phallus" est vénéré chez les lucifériens comme dans les branches profondes de la maçonnerie,comme principe actif de reproduction).Bien sûr,c'est une fausse connaissance pour nous,mais dans leur doctrine à eux,par exemple la doctrine palladiste,elle leur enseigne cela précisément.Le Fiat Lux lui-même est Luciférien aussi dans leur doctrine,il est très présent,et ils y sont très attachés,il est très souvent-là dans leurs écrits,ils n'a simplement pas la même représentation symbolique que dans le Christianisme.Tout est question d'inversion par rapport à celui-ci là-dedans,c'est tout.

merci à paralleye de novusordoseclorum

djinn

En bonne élève il sait que son maitre lui a permis de porter la couronne sa récompense suprême pour pervertir l'esprit de millions de jeunes........

.il y a des preuves pour des gens doués d'intelligence et des gens qui comprennent, cherchez par vous-même, confrontez les informations si vous etes sincères n'ayez aucune crainte vous serez guidé et les anges déchireront pour vous le voile du mensonge pour que vous puissiez voir ce dont ces damnés voulez-vous occulter.....pour attirer vers vous de bonnes énergies, adoptez un bon comportement, invoquez régulièrement Dieu, si vous etes dans le doute demandez lui, il vous répondra, purifiez votre vie évitez les soûleries et les drogues et votre esprit deviendra clair comme du cristal alors vous serez prêt à entrer en relation avec votre créateur qui vous aiment plus que tout et qui ne désire pour vous que la réussite sur terre comme dans l'au-delà n'écoute que votre coeur éloignez-vous de ces personnes qui obstruent le chemin de votre élévation..

coeur neige

Pourquoi font-ils tout cela ?

Satan l'ennemi de l'humanité a été banni ainsi que ces millions de génies et démons qui le suivirent (il y a de bons génies pas tous mauvais ils choisissent leur vie libre arbitre comme l'homme) (pour avoir refusé de s'incliner devant le premier homme prétextant il n'est fait que de matière minérale alors que je suis fait de feu, pourtant il était le génie préféré de Dieu et sur terre le plus grand croyant ainsi par son comportement Dieu l'avait élevé parmi les anges le premier génie parmi ceux qui peuplaient la terre avant l'homme, le jour Dieu a montré de l'intérêt pour sa créature;il devint jaloux comme un enfant gâté qui n'accepte pas la venue d'un autre...). ils n'ont plus aucune chance de rédemption, ils veulent donc condamner avec eux tous les humains car c'est pour l'amour de l'homme que Dieu les a damné, ils ont donc une haine incommensurable à notre égard, c'est pour cette raison se sachant foutu ils ont juste le temps de corrompre les humains qui n'ont  pas ou plus de foi, c'est leur plus grande satisfaction, les humains qui le suivent ont été trompé par des messages comme ceux de loveenki et tant d'autres , quant aux aux autres il y a les lignées de sang de Satan ce sont ses enfants ils suivent leur père, ils leur a promis qu'ils ne sauront pas juger par Dieu et il leur donnera l'éternité quand il aura prouvé que les humains ont déserté les rangs de la foi ainsi ils croient que Dieu les abandonnera sur terre qui sera la prison des damnés, foutaise ils vont tous ramassés et personne ne sera rétribué dans ses rangs,Est-ce qu'un virus qui infecte un système et ces programmes peut-il être rétribué pour cela, aucunement la finalité du système rebelle  sera d'être écrasé et un nouveau système meilleur sera installé, les mauvais seront formatés car ayant la forme athée et les autres sauvegardés ils vivront ainsi dans un système de paix et d'amour et cela éternellement car plus aucun mal ne sera introduit dans cette matrice de lumière et de paix ..........R james. 
19 septembre 2018

Argile et création de l'homme à la lumiére de la science

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Pour la géologie et science du sol, le terme argile correspond à l’ensemble des minéraux présentant une taille inférieure à 2 µm dans une roche. Cette coupure granulométrique est héritée des études pétrographiques effectuées par microscopie optique à la fin du XIXe siècle

C’est une terre qui dispose d’une richesse remarquable en minéraux et oligo-éléments.
Les plus connus sont le CALCIUM, le MAGNESIUM, le SILICIUM, CUIVRE, SELENIUM, COBALT, MOLYBDENE
Des chercheurs Américains ont découvert que l’argile aurait constitué les premiers acides aminés qui se trouvent dans certaines protéines permettant ainsi l’enchaînement d’acides ribonucléiques ( ARN) avec ceux de l’(ADN).

De plus Dans le corps humains on retrouve : C, H, O, N, P, S
Et Dans l'argile pareil : C, H, O, N, P, S

Tout ce qui est vivant ou provient de ce qui est vivant est surtout basé sur C,H,O,N (puis à moindre dose, P, S, Cl, Na, K, Mg, Ca, Fe...)

Lorsque nous examinons aujourd'hui le corps humain, nous réalisons que de nombreux éléments présents dans la terre sont aussi présents dans le corps humain. Les tissus vivants sont composés à 95% de carbone, d'hydrogène, d'oxygène, d'azote, de phosphore et de soufre etc. Dans un autre verset  Dieu dit :

Histoire de la création d'Adam

Lorsque Dieu voulut créer Adam, il ordonna à Gabriel d'enlever de la face de la
terre une poignée de chaque espèce d'argile : de la noire, de la blanche, de la
rouge, de la jaune, de la bleue et de chaque espèce différente. Gabriel vint au
milieu de la terre, à l'endroit où se trouve aujourd'hui
le temple de la Kaaba.

Quand ton Seigneur dit aux anges : "Je vais créer d'argile un être humain. Quand Je l'aurai bien formé et lui aurai insufflé de Mon Esprit, jetez-vous devant lui, prosternés." (Coran, 38 : 71-72)

7 L’Eternel Dieu forma l’homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l’homme devint un être vivant.

 Alors Yahvé Dieu modela l’homme avec la glaise du sol, il insuffla dans ses narines une haleine de vie et l’homme devint un être vivant. » (Gn 2,7)

Nous avons certes créé l'homme d'un extrait d'argile. (Coran, 23 : 12) en regardant de plus près je viens de m'appercevoir  que le verset 23 est le nombre exact d'élément qui composent l'homme et 12 le nombre exact de macro élément .comme dans le tableau ci dessous

 

 

 

 

Un silicate est un sel dérivant de la silice (SiO2).

 

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en fait qui ne s'est pas mis a douter entendant nous avons crée lhomme a partir d'une boue argileuse une mixture une synthese d'argile

et pourtant il est vrai que l"homme est composé de tous les mineraux  et oligo element present dans le sol argileux alors au vu de la complexité des élément ci dessus il est peu probable que des gens ne disposant nullement de connaissance scientifique du 19 e siecles pouvez inventer une telle histoire .

en lisant l'histoire de la creation d'adam je suis tombé sur ce passage qui m'a appris quà son epoque le serpent avait 4  pattes je fus assez surpris "lorsque Adam fut dans le paradis, Eblîs chercha un moyen d'y entrer
aussi par la ruse, de tromper Adam et de l'égarer. La crainte de Ridhwân,
Gardien  du paradis, l'empêcha d'y entrer. Il se mit donc à tourner autour du

91093060


paradis pour voir s'il pourrait parvenir à s'y jeter un jour ou l'autre. Enfin,
un jour, il vit le serpent qui en était sorti. Le serpent avait alors quatre
pieds comme les chameaux.
On rapporte que dans le paradis il n'y avait rien de plus beau que le serpent,
excepté Adam. La science vient a peine de valider ce fait ici "


Cette nouvelle espèce, baptisée Tetrapodophis amplectusvivait au début du Crétacé entre 146 et 100 millions d'années. La redécouverte au Brésil d'un fossile de serpent, qui s'avère être doté de quatre pattes, un spécimen unique, suggère que les ancêtres de ces reptiles avaient une origine terrestre et non marine, selon une étude publiée, jeudi 23 juillet, dans la revue américaine Science (en anglais).

Par Mis à jour le 24/07/2015 | 15:30 , publié le 24/07/2015 |

preuve que meme les histoires les plus surprenantes ont toujours un fond de verité ,alors ne niez jamais sans chercher une preuve car nous sommes qu'au debut des révélations de la science car son savoir est encore limité sur l'origine de la vie et de l'univers .

 

3 septembre 2018

DOC Le hip-hop est une religion satanique

corioAfrika-Bambaataa-12

afrika_bambaataaLE FONDATEUR DU hip hop A EU LE CULOT DE FAIRE FAIRE CE SIGNE A DES MILLIONS DE JEUNES ON LEUR FAISANT CROIRE QUE Cétait le signe de reconnaissance au sein de la nation ZULU comme gourou de secte il  a le profil.une autre ruse et le fameux survetement remonté au mollet code vestimentaire des jeunes qui écoutent le rap , il a été implanté par le code franc maçon pour bien montrer leur capacité à controler les masses regardez

pendu2et je parle pas du nouveaux salut avec l'épaule qui vient direct de ces loges monkey see monkey do ils l'ont bien compris.

 Pochette de disque avec le papillon du projet monarch programmation de masse en préparation

Looking+for+the+Perfect+Beat+19801985+cover

logo-mighty-zulu-kingz-new-break-orderlogo  su site de la zulu nation no comment

Le Hip Hop n’est rien d’autre qu’une véritable organisation religieuse. C’est dans les années 70 que Kevin Donovan, plus connu sous son nom d’artiste Afrika Bambaataa, participa activement au développement de la culture et de la musique Hip Hop. Le Hic c’est qu’il fonda le Hip Hop sur la base des enseignements Zulu, et ceux de L'Égypte antique. Par la suite, il créa aussi la « Zulu Nation » pour faire connaitre le Hip Hop à travers le monde entier. Le site internet de la Zulu Nation en dit long sur la nature du Hip Hop www.zulunation.com Voici les liens vidéo du documentaire Le hip hop est une religion, documentaire dans lequel vous découvrirez beaucoup d'informations choquantes.

 







 

7 juin 2017

Pourquoi la mort n'est pas le terme final de nos âmes ?


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On peut s'appuyer sur l'existence de l'âme et son indépendance à l'égard du corps comme une preuve indiscutable de la résurrection, et d'un univers après la mort.

Les savants qui se sont penchés sur les aspects obscurs de l'âme ont émis plusieurs hypothèses. Mais au fur et à mesure que prennent de l'ampleur les débats philosophiques, que les sciences se répandent et que s'accroît la culture, des signes plus évidents de l'existence de l'âme en tant qu'entité indépendante voient le jour, bien que nous n'ayons pas réalisé le succès total au sujet de la connaissance de la nature de l'âme, et que nous n'ayons pas écarté les voiles sur tous les secrets complexes de cet élément éternel.

Pour cette raison, la religion  considère la nature de l'âme comme une vérité insaisissable que l'homme ne connaîtra jamais avec précision. Quand on interrogea le Prophète - que la paix de Dieu soit sur lui et sur ses descendants - au sujet de l'âme, il répondit:

«Et ils t'interrogent sur l'Esprit - Dis: «L'Esprit est de l'affaire de mon Seigneur.» Et on ne vous a apporté que peu de science.»42

Des  siècles sont passés depuis cette réponse au cours desquels le domaine du savoir humain s'est étendu par rapport à ce qu'il était au temps des Prophètes , et rien de fondamental n'est venu compléter cette réponse. De nos jours encore le secret de l'âme ici échappe à l'entendement humain, et nul n'a pujusqu'le percer, ni l'expliquer. Nous demeurons donc à cet égard, comme le Coran l'a clairement énoncé, enveloppés dans un voile de mystére et de confusion et il semble peu probable qu'on parvienne un jour à le lever.

* * *

 Le philosophe français Henri Bergson écrit à ce sujet:

«Posons comme postulat, comme le fit Platon, une définition de l'âme, et disons qu'elle ne se désintègre pas car elle est simple, ni ne se corrompt car elle est indissociable; et qu'elle est éternelle de par sa nature. Puis après, nous aborderons, par la voie de déduction, l'idée de la descente des âmes dans le temps, puis l'idée du retour à l'éternité. Mais que direz - vous à un homme qui nie l'existence de l'âme ainsi définie? Et comment résoudrez - vous réellement les questions relatives à l'âme, son principe réel, son devenir réel, ou plutôt comment pourrez - vous vous les poser en termes réels? Tout ce que vous aurez fait sera de réfléchir en théorie sur un concept intellectuel peut - être vide, ou d'expliquer incidemment le sens d'un mot attribué par la société à une partie du réel, découpée pour les commodités du discours?

La décision demeurera profonde tant que la définition sera fortuite (accidentelle).
Après deux mille ans de réflexion basée sur lui, le concept platonique n'a guère fait progresser d'un seul pas, notre connaissance sur l'âme.»
43

Le docteur Chaucer, chercheur anglais écrit:

«Certains ont affirmé que l'ensemble des actes mécaniques du cerveau constituent le «moi» ou «l'essence».
D'autres encore ont prétendu que l'on devrait lui ajouter une étincelle mystérieuse qui sort du corps au moment de la mort.

Vous savez que les philosophes ont longtemps réfléchi sur l'âme, sa nature, sa place dans le corps, et si elle est périssable ou éternelle. Mais cette question n'a toujours pas reçu une solution définitive, et continue d'être l'objet de réflexion des savants.
Beaucoup de penseurs, des temps récents, ont décidé d'étudier la question sous un autre angle, et se sont fixés pour règle d'écarter le problème complexe et obscure de l'âme et d'étudier seulement la mentalité et la psychologie, c'est-à dire un ensemble de sentiments, de croyances et d'idées.»
44

Si l'homme prêtait vraiment attention à son échec dans le domaine de la connaissance de l'âme, comment pourrait - il se retenir de reconnaître qu'il existe une force mystérieuse qui nous incite à nous incliner devant le Créateur et à Le glorifier?

Personne, même parmi les matérialistes dont les opinions divergent radicalement avec celles des adeptes des religions, n'a pu aller jusqu'à nier cette vérité. Ils reconnaissent comme acceptables les sciences comme la psychologie, et la médecine psychosomatique; mais la différence essentielle réside en ce que les savants religieux et les métaphysiciens croient en l'existence d'une autre chose qui concerne la vie humaine, qui est distincte au corps materiel, et qui fait partie des réalités pures et immatérielles, dotée d'une nature spécifique, et qui est la source de la méditation et de la reflexion.

Cela ne veut pas dite que le corps et l'âme soient distincts dans la réalité, l'un étant complétement indépendant de l'autre. Ils forment deux réalités liées, ayant en même temps deux natures différentes.

Quant à la pensée philosophique matérialiste, elle tourne autour de l'idée qu'il n'existe pas d'essence indépendante de la matière appelée Ame.
Ils persistent dans cette idée en arguant de ce que toute l'activité du cerveau et de ses systèmes obéissent aux lois de la matière, et ne consiste qu'en effet physique, et des actions et réactions chimiques des cellules cérébrales et nerveuses.

Notre système nerveux transmet nos perceptions à l'organe central qui est le cerveau, et ces perceptions constituent une unité dont on ne peut dissocier les parties les unes des autres; les phénomènes spirituels ne sont rien d'autre que ces activitiés physico - chimiques. Et lorsque les cellules de cerveau se disloquent et se dispersent, que les réactions entre les différents organes du corps s'annulent, et que les cellules cessent de se mouvoir et de se reproduire, il ne reste alors rien de la réalité de l'homme qu'un corps matériel. On ne peut donc pas admettre une forme de subsistance spirituelle, et l'existence d'une chose d'essence différente, indépendante et non - naturelle, et cela parce que la modalité d'apparition des êtres et de leur subsistance est conditionnée par les liens matériels dans le temps et dans l'espace.

Et c'est là que diverge la conception divine de la conception matérialiste, et que chacune prend sa propre orientation.

* * *

Si nous admettions la thèse matérialiste, l'homme ne consisterait qu'en un appareil composé d'instruments et de différents moyens, et qui perd la vie et la faculté de penser lorsque se disloque l'influence réciproque entre les parties de sa matière corporelle.

Cette thèse ne peut pas expliquer la nature de l'esprit humain, ni celle de l'homme lui - même.
Il est vrai que le corps obéit aux lois de la physiologie, mais cela ne veut pas dire que l'homme est entièrement régi par des lois matérielles. Il est également vrai qu'il existe un lien entre les phénomènes spirituels et les cellules cérébrales, en ce sens que l'esprit n'est capable, dans cet univers, d'aucune activité, autrement que par l'intermédiaire d'un ensemble de moyens et de causes.
Les cellules du cerveau et les neurones et les réactions chimiques du cerveau, tout cela constitue des moyens pour l'esprit, et ce dernier exerce son activité par l'intermédiaire de ces moyens.

On peut s'interroger dès lors si l'esprit et ses activités - comme la volonté, la décision, la compréhension constituent - ils des réalités indépendantes de la matière, ou bien sont - ils des réalités matérielles pures dépendantes des lois matérielles en toute circonstance et dans toutes les conditions?

Lorsque nous parlons avec une personne éloignée de nous au moyen d'un appareil téléphonique, l'auditeur principal est - ce nous ou bien le combiné?
Il en va de même au sujet du cerveau. Les cellules cérébrales constituent les outils de travail de l'esprit et ne créent pas l'esprit. Et tous les arguments avancés par les matérialistes pour démontrer leur thèses, établissent seulement qu'il existe une relation entre les perceptions de l'homme et les cellules de son cerveau, et non que ce dernier accomplit l'acte de perception, et aucun penseur adepte de la religion ne prétend que la pensée est éloignée de toute influence des cellules cérébrales.

Les savants matérialistes ont beau s'appuyer sur les sciences expérimentales et les travaux de laboratoires pour démontrer le lien entre la perception et l'intellect d'une part, et les réactions chimique cérébrales d'autre part, cela ne prouve rien d'autre sinon que les nerfs et le cerveau ont un rôle décisif et déterminant dans la réalisation de la perception et des situations psychologiques.
On ne peut en aucun cas conclure de ces expériences que la réalité de l'esprit et de l'âme ne consiste en rien d'autre qu'en ces moyens et en ces réactions chimiques et physiques. Enfin, démontrer cette relation ne suffit pas pour éclaircir les propriétés de la perception et de la conscience.

* * *

Pour donner un exemple, comparons l'esprit à l'énergie électrique employée pour faire fonctionner un appareil donné. A chaque rupture de courant électrique l'appareil connaîtra une phase de mort apparente, bien que l'ensemble de ses pièces soient en bon état.

Par conséquent, la relation de l'âme et du corps cesse avec la mort de l'homme, mais cette rupture ne signifie pas dépérissement et anéantissement del'âme et de l'esprit. C'est un état comparable à celui que connaissent un appareil téléphonique, un récepteur radiophonique ou de télévision quand ils sont en panne. Nous ne percevons aucune voix, et nous ne voyons aucune image sur l'écran, parce que le moyen de liaison a cessé de fonctionner, alors que l'image et le son existent partout, sans que pour notre part nous les percevons. Nous n'en avons conscience que lorsqu'ils nous sont transmis par ces appareils.

Donc, de même que dans le cas d'une panne du combiné téléphonique, du récepteur radiophonique ou de la télévision, le son et l'image continuent d'être émis, et ont une existence indépendante du fonctionnement de ces appareils, de même l'âme humaine jouit de son autonomie tout en étant liée au corps, et ne disparaît pas avec le dépérissement du corps.

* * *

Nous savons que le fonctionnement des différents organes du corps - qui se ressemblent plus ou moins - est fondamentalement différent du fonctionnement du cerveau. Par exemple, le fonctionnement des reins et de tous les organes consiste en activité physique et chimique et est lié avec le système interne.

Alors que les phénomènes spirituels sont liés au monde extérieur, et distincts de notre existence. Il est évident que le monde extérieur ne se présente pas à la profondeur de notre existence; il nous faut cerner les entités extérieures par la connaissance et le savoir, et les cellules du cerveau sont incapables d'accomplir une telle mission.

Ces cellules ont beau subir l'influence du milieu extérieur, comme toutes les parties du corps, elles ne peuvent accéder à une connaissance de ce milieu. S'il en était ainsi, nous nous servirons de notre système digestif ou de notre poumon pour appréhender les choses extérieures. Par conséquent, les particularités de nos perceptions nous démontrent la domination d'une autre réalité sur notre existence.

Lorsque nous discernons entre le vrai et le faux, que nous percevons la beauté et la distinguons de la laideur, nous traitons en réalité de chose s extérieures que nous soumettons à des criteres. Il existe donc une force qui discerne le vrai du faux, le juste et l'erreur, et c'est cette force qui peut nous expliquer la réalité obscure de l'âme, car lejugement et le discernement échappent au cadre du système nerveux, et procèdent de la pensée et de l'activité intellectuelle, et l'on ne peut les expliquer par les sens et l'expérimentation.

Cette lumière invisible qui emplit notre intimité et nous confère la capacité de discerner entre le bien et le mal, le vrai et le faux, le beau et le laid, n'est autre que cette réalité absolue, cette âme éternelle qui est l'axe de tous les événements temporels, et qui demeure fixe et indissociable.

* * *

Il existe une autre réalité pour démontrer l'indépendance de l'âme: c'est l'unité de la personnalité que l'on retrouve tout au long de la vie de l'individu.

Sans doute, la connaissance qu'a l'homme de son existence n'est pas la même qu'il a des objets extérieurs.

Car la connaissance de ces derniers se fait par l'intermédiaire des représentations mentales de ces objets. Par conséquent, notre connaissance des objets extérieurs relève de la «science acquise» ('ilm hossouli), alors que la connaissance de l'homme de sa propre existence ne se fait pas par la représentation mentale.

C'est un savoir présent en lui en tout temps et inséparable de lui. C'est pourquoi on l'appelle: «science présentielle » ('ilm hodhouri).

C'est une science permanente, ne connaissant ni altération ni dépérissement. Iljouit de la continuité et de l'invariabilité dans la conscience, les sens et l'observation. Cette science est considérée comme représentant le savoir le plus évident de tout être humain.

Cette réalité qui échappe aux deux règles de changement et dépérissement propres à la réalité objective (extérieure), qui dirige et domine le corps terrestre eu n'obéit à aucune contrainte biologique, et que nous appelons le «moi», est une seule et même chose depuis les premières étapes de la viejusqu'à ses derniers instants; et c'est par elle que l'homme accède à l'éternité.

Au point de vue des rangs existentiels, elle se situe toujours sur un niveau qui ne se confond jamais avec celui de la matière. Tout homme garde et préserve l'unité de sa personnalité tout au long des étapes successives de sa vie.

Voyons à présent si cette réalité particulière est cet ensemble de cellules cérébrales ou quelque chose d'autre.

Nous savons que l'ensemble des cellules du cerveau se renouvellent complètement tous les 7 ans environ, grâce à l'alimentation que le corps recoit de l'extérieur.
Certaines cellules se transforment en énergie, et de nouvelles cellules naissent pour remplacer celles qui sont mortes..Et tout êtrevivant est ainsi reconstitué plusieurs fois dans sa vie, en raison des changements et transformations que subissent les cellules et les organes de son corps.

Si notre existence se réduisait seulement à ces parcelles de matières, et que n'existait aucune force invisible dominant cette communauté cellulaire et l'ordre régissant le corps, notre essence devrait nécessairement présenter des caractéristiques matérielles. Et aucun être humain n'aurait eu la conscience d'être toujours la même personne qu'il fut dix ans auparavant, car le système nerveux et le cerveau ainsi que tout le corps auraient, pendant cette période de temps, renouvelé toutes leurs cellules. Or, chacun de nous a conscience d'être doté d'une réalité permanente invariable tout au long de sa vie, et qui est ce qu'on appelle la personnalité.

* * *

Tout homme peut méditer sur son intérieur, (bâtin), et concevoir l'existence en lui d'une âme pure, différente qualitativement de son existence physique. Chacun de nous perçoit en lui - même une sorte d'autonomie, de continuité, de présence constante; et ce sont là des faits incompatibles avec l'existence matérielle en constante transformation.

Une chose qui exerce sa souveraineté sur le corps, et qui ne lui ressemble pas en ce qu'elle échappe à l'anéantissement, ne peut pas être considérée comme un produit de la matière ni soumise à ses lois. De telles hypothèses sont incapables d'expliquer la réalité humaine.

Chris Morisson dit:

«Il est admis que l'existence et la formation de cet univers ne sont pas accidentelles, car le système de l'univers fonctionne selon des lois déterminées.
L'émergence de l'homme doué de la raison et de la faculté de penser, parmi le règne animal, est une question encore plus importante et plus confuse qu'on ne le pense.

Son apparition n'est pas due à des évolutions matérielles, mais nécessairement à l'intervention du Créateur. Ainsi, l'homme devient un instrument mécanique fonctionnant sous le contrôle d'une autre main.
Nous nous demandons alors:
«Qui contrôle cette machine? Quelle est la main qui la fait mouvoir?»

La science n'a pas pu encore connaître ce gérant, mais il est indiscutable pour les savants que ce Régisseur n'est pas un être matériel.
Tout notre progrès se résume, jusqu'à présent dans l'idée que Dieu a insufflé dans notre existence une lueur de Sa science. L'homme traverse en ce moment l'âge de l'adolescence dans la création. Il a commencé à concevoir l'existence de l'âme. Il utilisera graduellement cette faveur céleste pour connaître la dimension de l'éternité et de l'immortalité en soi.»
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Si les manifestations de l'âme faisaient partie des particularités du corps, et résultaient des activités du cerveau ou du fonctionnement du système nerveux, comment nous expliquerions - nous la permanence et la subsistance de la personnalité?

L'explication avancée par certains matérialistes basée sur la relativité du moi, et sur l'idée que l'essence tout en étant la même subit des transformations et des changements, cette explication est poétique, illusoire, et ne présente rien de scientifique, et ne rend pas compte de l'unité de la personnalité.

Cette explication erronée procède d'une mauvaise compréhension et signifie queje ne suis pas l'homme d'il y a quelques instants, je suis quelqu'un qui a pris sa place, mais je m'imagine aussi que je suis le même homme.

Outre cela, les représentations constituent des actes qui émanent de moi, et ce n'est pas le moi qui est un ensemble de représentations différentes se succédant les unes aux autres et se trouvant dans le cerveau.

* * *

Nous percevons deux réalités dans notre existence.
L'une est la structure apparente du corps, et qui fait l'objet des sciences expérimentales. L'autre consiste en choses non - sensorielles qui ne sont pas des reflets et des réactions du corps, comme la reflexion, la compréhension, le désir, l'amour, la colère, la conscience, et qui ne se prêtent pas aux sciences expérimentales et ne peuvent être mesurées en termes matériels.

Il s'agit de réalités différentes, supérieures au corps et le dominant, comme lorsqu'un homme se montre prêt à mourir pour échapper à une vie d'opprobre. Il rompt les contraintes biologiques de son corps, se refuse à manger, ou décide même de faire une grève de la faim jusqu'à la mort.

Nous faisons face à un sujet réel expérimental. Avec quelle logique matérielle pourrions - nous analyser cette volonté d'airain qui vajusqu'à sacrifier le corps pour des idéaux et des aspirations mentales?

Prétendre que l'homme n'est rien qu'un ensemble de fonctions biologiques matérielles exige de donner au préalable des explications sérieuses et logiques à ces questions. Si le moi se résumait au corps, comment pourrait - il en même temps commander et exécuter les ordres?

Tous ces commandements de la volonté, la maîtrise des différents instincts et des éléments du corps, sont une preuve manifeste de l'existence d'un élément supérieur distinct de la matière, duquel procède la volonté humaine, et cette prééminence d'une forme de l'existence sur l'autre nous conduit à une réalité supra temporelle.

Dieu dit dans le Saint Coran:

«... Et par l'âme et comme Il l'a ordonnée, en sorte qu'Il lui a inspiré son libertinage de même que sa piété.»46

Du point de vue coranique, l'homme est doté, à titre particulier, d'une essence caractérisée par la compréhension et le mouvement. Compréhension parce qu'elle est capable d'intuition, et mouvement parce que cette essence est la source d'un ensemble d'actes qui servent de fondements à la piété ou à la corruption.

Quelle est donc cette essence caractérisée par la conscience et la force? Tous les organes du corps ne jouissent pas de ces caractéristiques.

Il est donc nécessaire que le corps ait pour corollaire une essence autonome et authentique dotée de ces propriétés que nous avons mentionnées.

La matière présente une réaction qui peut servir de révélateur des agents stimulants; et cette réaction est la même dans les mêmes conditions. L'eau gèle dans le froid; les minéraux se dilatent sous l'effet de la chaleur; ce sont là des réactions naturelles invariables. Mais l'homme a la capacité de réagir de façon totalement différente, et même contradictoire, devant un même agent. Cela nous montre que l'âme, et la volonté qui émanent de lui, sont des choses immatérielles échappant aux propriétés de la matière.

* * *

L'opération de perception montre que celle - ci comprend deux choses: le moyen, l'organe de perception, comme l'oeil par exemple, et la puissance de perception.

Il existe une loi physique qui dit que tout être ne pouvant pas percevoir le mouvement du système dans lequel il se trouve, doit observer ce système de l'extérieur, et constater le mouvement des choses et le passage du temps.

L'homme ne peut pas observer par exemple le mou vement de la terre tout en étant sur elle; il doit se situer à l'extérieur de son système.

Par conséquent, si nos facultés perceptives ne se situaient pas hors du mouvement permanent du temps, nous n'aurions pas pu percevoir son passage. Donc la perception du temps est une preuve manifeste de l'extériorité de nos facultés perceptives.

Si nous supposions que notre perception varie d'in stant en instant, et se mouvait avec le temps, nous ne pourrions guère saisir le mouvement temporel, car notre perception serait émiettée, chaque partie devenant indépendante de l'autre.

Donc pour percevoir le temps, il est nécessaire que nos facultés perceptives se situent hors du mouvement du temps, et le dominent. Ainsi, est prouvée l'existence d'une faculté perceptive, comme réalité indéniable, indépendante du temps.

Donc, une partie de la réalité humaine vieillit et meurt avec le temps, une autre partie demeure hors de l'atteinte des vagues du temps, ne disparaît pas, et ne connaît point d'extinction L'Imam Ali, l'Emir des Croyants, dit:

«Ô hommes! Nous avons certes été créés, tous, pour la permanence et non pour l'extinction. Vous serez donc transférés de cette demeure - ci. Faites donc un bon viatique pour ce lieu ou l'on vous conduit et ou vous serez pour l'éternité.»47

* * *

Parmi les propriétés de la matière, il existe un rapport particulier entre le contenant et le contenu. Par conséquent, l'être le plus grand ne peut pas s'intégrer entièrement dans l'être le plus petit.

Par exemple, si, nous nous trouvant sur des hauteurs élevées, nous contemplions de larges vallées, des plaines immenses, ayant une végétation luxuriante, des oiseaux, des rocs énormes entassés les uns sur les autres, et que toutes ces choses étaient représentées en détail dans notre esprit, à la manière d'une grande page d'un livre ouvert devant notre âme et notre regard intérieur, ces différentes images, si étendues dans la réalité, trouveraient - elles place dans notre cerveau et dans ses cellules infimes, avec toutes leurs particularités?

Cette matière limitée peut - elle contenir en elle toutes ces choses énormes sans que rien n'y manque?
Il est certain que la raison répond négativement à cette question. Car nous savons tous qu'un être physiquement plus grand ne peut entrer dans un volume inférieur au sien. N'est - il pas nécessaire que le conte nant soit plus grand que le contenu ou au moins égal à lui?

Nous pouvons aisément nous représenter mentale ment une grande ville, avec ses bâtiments, ses avenues, ses jardins, ses autobus et ses habitants. Sur la base de la loi de l'incompatibilité du grand avec le petit, il semble comme évident que les images mentales sont très grandes, et ne sauraient être contenues par les cellules microscopiques du cerveau. Car il est indiscutable que la correspondance n'est possible que si le contenu est inférieur au contenant ou s'il y a égalité entre eux, alors que notre faculté perceptive présente des propriétés et des caractéristiques déterminées qui ne peuvert s'appliquer aux propriétés de la matière. Elle ne peut par conséquent pas être relative seulement à un ensemble de relations physiques qui l'accompagnent et avec lesquelles elle fonctionne.

Nous ne pouvons donc admettre ce fait qu'en cas de réalisations des images mentales; nous connaissons une autre sorte d'existence - outre un ensemble préalable de réactions physico - chimiques - ayant des caractéristiques particulières se situant hors des propriétés du corps matériel. Cette nouvelle sorte d'existence a entre autres propriétés, celle de pouvoir contenir des domaines immenses et de conserver en elle des images perceptives indélébiles

* * *

Les matérialistes disent: L'apparition de ces images dans le cerveau est comparable à la représentation d'un livre volumineux par un microfilm qui montre les choses dans des dimensions réduites, mais qui peut les restituer au besoin dans leurs vraies dimensions.

Mais où se trouv e le lieu de ces grandes images dans le cerveau et le système nerveux?

Ou bien nous nions l'existence de ces grandes images dans le cerveau, ou bien nous leur trouvons un lieu adéquat. Or personne ne peut nier l'existence de ces représentations, et si l'âme était matérielle, et que la perception n'était que l'activité cérébro - spinale, les grandes images n'auraient pas pu s'adapter et s'ajuster aux petites cellules, car elles demanderaient plus d'espace. Alors que dans le cas du microfilm, il n'existe dans la réalité que le livre et les films très petits.
Il faut admettre l'intervention d'un élément invisible qu'est l'âme, et qui est une réalité pure, capable de créer des grandes images, après une série d'opérations cérébro - spinales, qui n'en constituent que des préalables et des préparatifs. Ainsi, le problème est résolu, et nous évite les explications insuffisantes et étroites.

D'autre part, la distinction et la dissociation entre les phénomènes mentaux et les phénomènes physiques est nécessaire. Ces deux sortes de phénomènes ne présentent pas les mêmes caractéristiques et la même nature. La matière est toujours accompagnée d'un ensemble de propriétés générales, comme l'acceptation de représentations différentes, alors que les phénoménes mentaux ne le sont pas. Par conséquent, cette dualité et l'abscence de ressemblance nous conduisent aussi à reconnaître l'indépendance de l'âme et son autonomie.

* * *

Les êtres matériels exigent un développement graduel dans le temps et dans l'espace. Tout être subissant des transformations et des changements graduels a besoin de l'espace; et le mouvement engendre par lui même son temps. Outre cela, le déterminisme nécessaire des êtres matériels est la mort dans le temps, et leur entrée dans l'obscurité du néant.

De même, parmi les phénomènes matériels, il ne s'en trouve aucun qui ne puisse se prêter au fractionnement, soit au moyen d'instruments appropriés, soit mentalement en raison de leur infimité. Mais, en revanche, les phénomènes psychiques échappent à cette règle.

Nous nous représentons un grand immeuble sans que nous ayons pour cela besoin de temps.

Toutes sortes de visages, de formes, de couleurs, de noms, de nombres, de numéros, de mots, de titres s'accumulent dans la mémoire, sans qu'elles se mélangent, ou qu'elles s'effacent les unes les autres.

L'esprit perçoit toutes sortes de paysages et d'images et tout incident petit ou grand, l'enregistre et le conserve. Même si nous oublions des choses, celles - ci n'en demeurent pas inscrites à jamais dans le registre de l'âme, et ressurgissent, en certaines occasions et sous l'effet de certains facteurs, à la surface de la mémoire.

Où sont déposées dans le cerveau toutes ces choses avant de surgir brusquement à la vitesse de l'éclair dans notre esprit? Où se trouvent ces images mentales qui constituent un secret stupéfiant?
L'explication matérialiste à ce sujet est - elle réaliste?

Les idées peuvent - elles naître des accidents matériels; et des lignes tracées sur les cellules du cerveau? Les cellules et les circonvolutions cérébrales peuvent - elles enregistrer les évènements et faits puis les restituer à l'esprit en toute fidélité et en détail?

Cette explication n'irait - elle pas à l'encontre de la réalité?
Si le cerveau était le centre réel de la pensée, les idées et notions qu'il contient devraient disparaître et mourir lorsque meurent les cellules qui les portent.

* * *

Nous changeons de cellules cérébrales plusieurs fois dans la vie, et l'image de nos amis et de nos frères demeure inchangée et fixe dans notre mémoire depuis notre jeune âge.
Si notre cerveau changeait entièrement son contenu, y compris nos connaissances précédentes, pour le remplacer par de nouvelles cellules, il serait impossible de se référer au savoir passé. Toutes nos perceptions ultérieures ressembleraient à celles qui les ont précédées, mais pas elles - mêmes. Alors que nous savons que notre référence aux sujets anciens vise à rénover des notions, et non à renouveler la science, et si nos concepts ètaient matériels, il aurait été impossible de se rappeler les connaissances précédemment acquises.

Le philosophe Henri Bergson dit:

«Mais nous rappelons seulement que l'observation des faits, normaux ou morbides, par les sens et la conscience, nous démontre l'insuffisance des explications physiologiques de la mémoire, et qu'il est impossible d'attribuer au crâne la préservation des souvenirs.
Nous pouvons suivre les épanchements successifs de la mémoire, depuis les cas où elle se referme et ne libère que les informations dont la nècessité est impérieuse pour l'accomplissement de l'acte entrepris jusqu'au degré où elle secoue tout le passé qui ne s'oblitère jamais totalement.
Nous avons dit à titre de comparaison que ce faisant, nous montons du sommet du cônejusqu'à sa base. Le cône n'entre au contact de la matière qu'à son sommet Mais dès que nous traversons le sommet, nous entrons dans un domaine nouveau. Quel est ce nouveau domaine? Appelez - le esprit, ou si vous préférez, appelez - le âme, saufqu'il faut convenir sur le sens qu'on donnera au terme.

Sous ce terme, nous entendons un ensemble d'expériences, non une définition conventionnelle. De cette étude expérimentale, nousoboutirons à la possibilité ou à l'éventualité de la survivance de l'âme après le corps, car nous aurions désormais constaté de façon tangible dans cette vie quelque chose révélateur de l'indépendance de l'âme à l'égard du corps.
Cette éternité de l'âme ne constitue qu'un aspect de son autonomie. Oui, notre connaissance des conditions de la subsistance après la mort, en particulier de sa durée serait très insuffisante: s'agit - il d'une subsistance à terme, ou d'une permanence éternelle?
Mais nous nous serions, pour le moins, guidés vers un point pouvant faire l'objet de l'expérience, et il sera possible de montrer la réalité de façon irréfutable. Et il sera possible que notre connaissance prenne la voie du progrès. C'est ce que nous avons appelé l'expérience du monde inférieur. Et si nous passons à présent au monde supérieur, nous rencontrerons un autre type d'expérience, l'intuition mystique, qui est associée à l'essence divine. Ces deux expériences se rencontrent - elles? Cette subsistance après la mort, - qui semble assurée à toutes les âmes, du fait même qu'une partie de leurs activitiés sont indépendantes désormais du corps -, cette subsistance est - elle semblable à celle acquise par les âmes supérieures dès ce monde inférieur?

Rien ne nous sera plus utile, pour en connaître davantage que deux choses qui sont l'élargissement et l'approfondissement de ces deux expériences.»48

On ne remarque pas un lien entre les dégâts et l'atrophie qui atteignent le cerveau d'une part et l'oubli des évènements d'autre part. Alors que la moindre défaillance d'un souvenir déterminé entraîne une défaillance de la cellule liée à ce souvenir.
Si certaines cellules cérébrales venaient à se perdre, l'homme souffrira d'un handicap dans la faculté de parole, mais ses souvenirs seront préservés et ne seront pas altérés.

Mais dans le cas de traumatismes craniens graves, quand le cerveau connaît une inflammation chronique, ou bien la destruction de quelque partie, l'équilibre se rompt entre le cerveau et les souvenirs, car l'oubli se produit toujours selon une règle précise et particulière Le malade oublie d'abord les noms de ses amis et de son entourage, puis enfin oublie les mots se rapportant à des actes.

Ici, nous ne remarquons aucun lien entre la perte subie par le cerveau, et l'oubli des souvenirs, au point de vue de l'ordre, de la quantité, et de l'étalement dans le temps. Alors que selon la thèse des matérialistes, il devrait nécessairement exister un lien direct entre le dommage subi par la mémoire, et le dommage matériel qui a atteint le crâne.

Ces réalités nous prouvent que le crâne n'est que l'instrument permettant d'enregistrer les souvenirs et les notions, et dans l'opération de remémoration, le cerveau ne joue qu'un rôle intermédiaire de transformation des objets mentaux en phonèmes, en paroles. Sa mission se résume dans l'instauration d'un lien entre l'âme et l'univers matériel.

Nous avons donc besoin, en matière d'objets mentaux, d'un phénomène supérieur à la cellule cérébrale, en l'occurence l'âme pure indépendante de la matière, et aux lois de laquelle seront soumis tous les souvenirs, les notions et les représentations.

Le Professeur Guy ton écrit dans son ouvrage intitulé La Physiologie, considéré comme une référence à ce sujet:

«Le problème le plus difficile dans l'étude de la conscience, de la pensée, de la mémoire et de l'apprentissage réside en ce que nous ignorons le mécanisme nerveux d'une idée quelconque.»

* * *

Les lois et les concepts ne sont pas divisibles, et les cellules cérébrales ne leur servent pas de refuge. Ces perceptions et évidences sont liées à une entité immatérielle.
Par exemple, quand nous disons: «cet oiseau est vert», il n'y a pas de doute que l'oiseau est susceptible de différenciation, et que la couleur verte peut aussi être différenciée, mais le concept de la couleur de cet oiseau ci n'accepte nullement l'indétermination.

Si nous considérons la pensée comme un produit de la matière, l'indétermination générale qui s'ensuivrait devrait nécessairement trouver sa conceptualisation; et celle - ci n'est possible que par l'esprit. Or, la pluralité, l'indétermination du genre ne se prête pas à une conceptualisation.

Par conséquent lorsqu'un des actes de l'esprit - qui est la pensée-, perd toute trace matérielle, qui est indétermination et pluralisme, nous en concluons qu'il est caractérisé par l'immatérialité; et il est nécessaire alors que la source de la pensée, - qui est l'âme - possède également cette qualité d'immatérialité. Nous avons ainsi pu montrer l'immatérialité de l'âme à travers l'immatérialité de la pensée.

De ce qui précède, il s'avère que les arguments illusoires et froids auxquels ont recours les matérialistes pour réfuter la métaphysique, outre qu'ils reposent sur des hypothèses non - fondées, comme celles de réduire les phénomènes vitaux comme la reflexion, la conscience et la perception à des phénomènes matériels, peuvent être combattus avec des preuves logiques solides.

De pareilles théories ne peuvent pas lever le voile qui recouvre les secrets de la réalité, car les sciences expérimentales ont proclamé leur impuissance à connaître la nature et le mode opératoire de ces phénomènes.

Si le système philosophique matérialiste se montre incapable d'apporter des réponses à ces questions, il tombera en désuétude, comme une monnaie n'ayant plus cours légal. Enfin, quand la philosophie aura atteint sa maturité, que la pensée atteindra son plein développement, et que l'homme se dégagera des perspectives étroites qui le condamnent à l'unidimensionnalité, la philosophie matérialiste sera jetée dans la poubelle de l'histoire, comme d'autres conceptions périmées.

Lorsque l'esprit se déconnecte de la matière pyramidal il rejoint les désirs plus profond de l’âme,
pour ne former plus qu'un son corps devient connecté au cube par ses aspirations spirituelles alors il découvre la plénitude et la pleine croissance de son être et retourner au Paradis perdu Au commencement l'homme vivait en harmonie avec le cube d’où il tirait son énergie et son rayonnement

 

http://travelmeant.net/fundamentals_of_religion/day_of_resurrection/la_resurrection

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22 avril 2017

L’ADN : Support Cristalin de l’organisation de la forme !!!

adn-humano

 

Nous sommes au seuil d’une révolution aussi audacieuse et déterminante que la découverte de la relativité par Einstein. Les idées les plus avancées de la science viennent remettre en question toutes nos croyances sur notre monde et sur nous-mêmes. Désormais, des découvertes prouvent ce que la religion a toujours défendu, à savoir que les êtres humains ne sont pas de vulgaires assemblages de chair et d’os. Cette science nouvelle répond à des questions qui ont troublé les scientifiques pendant des centaines d’années. Et fondamentalement, il s’agit d’une science du miraculeux. Au cours des dernières décennies, des scientifiques respectés appartenant à diverses disciplines ont mené des expériences rigoureuses dont les résultats ébranlent encore la biologie et la physique courantes. L’ensemble de leurs travaux nous procure beaucoup d’information sur les forces organisatrices fondamentales qui régissent nos corps et le reste du cosmos. Ce que ces chercheurs ont trouvé n’est rien de moins qu’époustouflant. Selon eux, sur le plan le plus élémentaire, nous, les humains, ne sommes pas que des réactions chimiques, mais plutôt une charge énergétique. Les humains et tous les êtres vivants forment une même énergie au sein d’un champ d’énergie relié à tout. Ce champ d’énergie est le moteur central de notre être et de notre conscience, l’alpha et l’oméga de notre existence. Dans la relation entre nos corps et l’univers, il n’y a pas de dualité « moi » et « non-moi » ; il y a seulement un champ d’énergie sous-jacent.

Ce substrat, à l’origine des plus hautes facultés de notre esprit, constitue la source des informations qui dirigent la croissance de nos corps. Ce substrat est notre cerveau, notre coeur et notre mémoire. En fait, ce champ est la matrice du monde en tout temps. De plus, il est la force qui, plutôt que les germes ou les gènes, détermine en fin de compte chez nous la santé ou la maladie. C’est dans ce champ que nous devons puiser pour nous guérir. Comme nous ne faisons qu’un avec notre monde, notre unique vérité fondamentale réside dans la relation qui nous unit à lui. « Le champ est la seule réalité »i, avait déjà dit Einstein. Jusqu’à présent, la biologie et la physique ont été les servantes de la vision d’Isaac Newton, le père de la physique moderne. Tout ce que nous croyons à propos de ce monde et de la place que nous y occupons puise son origine dans des théories formulées au XVIIe siècle, théories qui forment encore l’épine dorsale de la science moderne. D’après ces théories, tous les éléments composant l’univers sont dissociés les uns des autres et entièrement indépendants. L’univers informé De ces théories est née une vision du monde où tout est séparé, divisé. Selon la description du monde matériel par Newton, des particules individuelles de matière suivaient certaines lois du mouvement à travers l’espace et le temps, comme si l’univers était une machine. Mais avant que Newton ne formule ses lois du mouvement, le philosophe français René Descartes avait lancé une affirmation qui semblait alors révolutionnaire, à savoir que notre mental est distinct de la matière inerte de notre corps, qui n’est simplement qu’un autre genre de machine bien huilée. Ainsi donc, le monde se composait d’une multitude de petits objets qui se comportaient de manière prévisible.

Les plus distincts de ces objets étaient les êtres humains, puisqu’ils évoluaient en dehors de cet univers tout en regardant dedans. Suivant ces théories, même nos corps étaient d’une manière ou l’autre séparés et différents de notre véritable moi, c’est-à-dire de la conscience qui observe. Même si le monde newtonien respectait des lois, il n’en était pas moins, en définitive, un lieu solitaire et désert. Le monde continuait à tourner, comme mû par un gigantesque engrenage, que nous ayons été présents ou non. En quelques mouvements adroits, Newton et Descartes avaient extirpé Dieu du monde de la matière, tout comme ils nous avaient extirpés, nous et notre conscience, du centre de notre monde. Ils avaient dépouillé l’univers de son coeur et de son âme, laissant derrière une série de morceaux sans vie s’emboîtant les uns dans les autres. Et plus important encore, comme Danah Zohar le faisait remarquer dans The Quantum Self, « la vision de Newton nous avait chassés de la trame de l’univers »ii. Les travaux de Charles Darwin rendirent l’image que nous avions de nous-mêmes encore plus sinistre. Selon sa théorie de l’évolution, légèrement déformée depuis par les néodarwinistes, la vie est un processus aléatoire, sans but, où seul le plus fort survit. Sous cet angle, nous ne serions donc qu’un hasard de l’évolution, et l’immense héritage biologique de nos ancêtres se réduirait à une seule facette : manger ou être mangés, bref, survivre à tout prix. En somme, l’essence de notre humanité est un terrorisme génétique qui se débarrasse de tout lien plus faible. La vie ne consiste pas à partager dans l’interdépendance, mais plutôt à gagner, à être le premier.

Et si on arrive à survivre, o se retrouve tout seul au sommet de l’arbre de l’évolution. Cette vision mécaniciste du monde et de l’être humain nous a certes permis de maîtriser l’univers d’un point de vue technologique, mais nous n’en savons guère plus sur nous-mêmes. Sur le plan spirituel et métaphysique, cette vision nous a profondément isolés de tout. De plus, elle ne nous a pas permis de comprendre comment nous pensons, comment la vie commence, pourquoi nous tombons malade, de quelle manière une seule cellule devient un être humain pleinement formé, et ce qu’il advient de la conscience humaine après la mort. À contrecoeur, nous défendons cette vision du monde même si elle ne correspond pas à notre expérience quotidienne. Beaucoup d’entre nous cherL’univers informé chent donc à échapper à cette réalité vide de sens par le biais de la religion. Celle-ci offre un certain recours, puisqu’elle propose un idéal d’unité et de communion avec les autres, ou donne un sens à la vie, mais elle le fait en contradiction avec la vision scientifique. Quiconque désire une vie spirituelle est déchiré par ces visions opposées du monde et doit, en vain, fournir des efforts pour les réconcilier. Avec la découverte de la physique quantique, nous aurions dû écarter pour de bon cette triste vision des choses dès le début du XXe siècle. En plongeant au coeur de la matière, les pionniers de la physique quantique avaient été étonnés par leurs découvertes. Les infimes particules de matière n’avaient plus rien à voir avec la matière, telle que nous la connaissions. En fait, ce n’était même plus quelque chose. Tantôt, c’était une chose, tantôt une autre complètement différente. Plus étrangement encore, ces particules de matière pouvaient souvent être plusieurs choses à la fois. Mais le plus significatif tenait du fait que ces particules subatomiques n’existaient pas en elles-mêmes, mais seulement en relation avec d’autres. Sur le plan le plus élémentaire, la matière ne pouvait se diviser en petites unités indépendantes.

Elle était totalement indivisible. Ainsi, de toute évidence, l’univers était un réseau dynamique d’interconnexion. Dès que des choses entraient en contact, elles restaient toujours reliées entre elles où qu’elles se situent dans l’espace et le temps. Le temps et l’espace eux-mêmes semblaient des constructions arbitraires n’ayant plus leur place dans le monde subatomique. En fait, le temps et l’espace tels que nous les connaissions n’existaient pas. D’aussi loin que l’oeil puisse voir, il n’y a que le vaste paysage de l’ici-maintenant. Les pionniers de la physique quantique, dont Erwin Schrödinger, Werner Heisenberg, Niels Bohr et Wolfgang Pauli, soupçonnaient bien qu’ils étaient entrés dans un territoire métaphysique interdit. Si les électrons restaient en lien partout à la fois, cela remettait grandement en question la nature de l’ensemble de l’univers. Ces pionniers se tournèrent donc vers les textes de la philosophie classique pour saisir la vérité profonde du monde subatomique qu’ils observaient. Pauli étudia la psychanalyse et les archétypes ; Bohr, le Tao et la philosophie chinoise ; Schrödinger, la philosophie hindoue, et Heisenberg, la théorie platonicienneiii. Malgré cela, ils ne parvinrent pas à établir une théorie cohérente des répercussions spirituelles de la physique quantique. Niels Bohr accrocha un écriteau sur sa porte. On y lisait ceci : « Philosophes, restez dehors. Ici, on travaille. » Cependant, il restait une autre question à régler en physique quantique. Jusque-là, Bohr et ses confrères n’avaient pas été très loin dans leurs expériences et leur compréhension. Afin de démontrer les effets quantiques, ils avaient mené des recherches en laboratoire sur des particules subatomiques inanimées. Ils en avaient donc logiquement déduit que cet étrange monde subatomique n’existait qu’au coeur de la matière inerte. Tout ce qui était vivant fonctionnait encore selon les lois de Newton et de Descartes, lois qui servaient L’univers informé de fondement à la médecine et à la biologie modernes. Même la biochimie reposait sur la force et la collision newtoniennes. Et qu’en était-il de nous ? D’après les pionniers de la physique quantique, l’être humain jouait maintenant un rôle central dans tout processus physique. Selon eux encore, les particules subatomiques existaient dans tous leurs états possibles jusqu’à ce que nous les dérangions en les observant et en les mesurant. Elles se fixaient alors sous une forme réelle. L’observation de ces particules par la conscience humaine jouait un rôle déterminant dans le processus de stabilisation du flux subatomique. Pourtant, la conscience en tant que facteur ne faisait pas partie des équations d’Heisenberg ou de Schrödinger. Ceux-ci se doutaient bien qu’elle jouait un rôle déterminant, mais ils ne savaient pas comment l’intégrer à leurs équations. Ainsi, dans la mesure où la conscience était concernée, nous étions toujours en train de regarder de l’extérieur vers l’intérieur.

Toutes ces données éparses de la physique quantique n’avaient jamais été unifiées par une théorie cohérente. On réduisit simplement la physique quantique à un outil technologique très efficace, essentiel à la fabrication de bombes et de tout l’appareillage électronique moderne. On en oublia ainsi les conséquences philosophiques pour se concentrer seulement sur les avantages pratiques. Les physiciens ordinaires étaient disposés à prendre pour argent comptant la nature bizarre du monde quantique puisque celui-ci se fondait sur de solides données mathématiques, telles les équations de Schrödinger. Néanmoins, ils ne pouvaient s’empêcher de se poser certaines questionsiv. Par exemple, comment les électrons pouvaient-ils être en contact avec tout en même temps ? Comment se faisait-il que les électrons n’avaient pas d’état fixe tant qu’on ne les observait pas ? Comment pouvait-il y avoir quelque chose de concret en ce monde si tout n’était que feux follets dès qu’on examinait les choses de plus près ? Ils résolurent ces dilemmes en affirmant qu’il existait une vérité pour l’infiniment petit et une autre pour l’infiniment grand, tout comme il y en avait une pour l’animé et une autre pour l’inanimé. Il s’agissait simplement d’accepter cette contradiction apparente comme on l’aurait fait pour un axiome de Newton. Telles étaient les lois de l’univers. Si les équations fonctionnent, rien d’autre ne compte. Cependant, des scientifiques – un petit groupe seulement – disséminés un peu partout dans le monde ne se satisfaisaient pas de répéter comme des perroquets les dogmes de la physique quantique. Désireux d’obtenir de meilleures réponses aux questions restées en suspens, ils reprirent le collier là où les pionniers de la physique quantique s’étaient arrêtés. Plusieurs d’entre eux se penchèrent sur les quelques équations que l’on avait toujours retranchées de la physique quantique. Ces équations correspondaient au champ du point zéro, un océan de vibrations micro-scopiques qui occupait l’espace entre les choses. Les chercheurs réalisèrent que s’il fallait L’univers informé inclure ce champ dans notre conception de la matière, les fondements mêmes de notre univers seraient une mer houleuse d’énergie, un vaste champ quantique. Et si tel était bien le cas, tout devrait être connecté à tout comme s’il y avait une matrice invisible. Ces chercheurs avaient aussi découvert que nous étions tous faits du même matériau de base. Fondamentalement,

tous les êtres vivants sont constitués de paquets d’énergie quantique qui échangent de l’information avec une inépuisable mer d’énergie. Qui plus est, les êtres vivants émettent une faible radiation, ce qui est un des aspects les plus cruciaux des processus biologiques. Les informations sur tous les aspects de la vie, de la communication cellulaire aux contrôles de l’ADN, sont transmises par un échange d’information au niveau quantique. Même notre mental, qui échappe, soidisant, aux lois de la matière, fonctionne selon des processus quantiques. En fait, la pensée, les sentiments ou tout processus cognitif supérieur correspondent à de l’information quantique pulsée simultanément à travers notre cerveau et notre corps. Et la perception résulte d’interactions entre les particules subatomiques de nos cerveaux et la mer d’énergie quantique. Littéralement, nous résonnons avec notre monde. Ces extraordinaires découvertes revêtaient un caractère hérétique. D’un seul coup, ces chercheurs défiaient nombre des lois les plus fondamentales de la biologie et de la physique. Ce qu’ils avaient mis au jour n’était rien d’autre que la clé de tout traitement et échange d’information dans l’univers, de la communication intercellulaire à notre perception du monde en général. De plus, ils répondaient à quelques-unes des questions les plus fondamentales en biologie sur la morphologie humaine et la conscience vivante. Ainsi, dans l’espace prétendument « vide » se cachait sans doute la clé de la vie ellemême. Mais avant tout, ces chercheurs confirmaient que c’est à partir des racines les plus profondes de notre être que nous nous connectons avec les autres et le monde.

Grâce à des expériences scientifiques, ils avaient démontré qu’une force de vie appelée « conscience collective » ou « Esprit saint », en termes théologiques, circulait dans l’univers. Ces chercheurs donnaient aussi une explication plausible à ce qui relevait jadis de la foi, des médecines alternatives ou même de la prière pour la vie après la mort. En un sens, ils nous offraient une science de la religion. Contrairement à la vision du monde de Newton ou de Darwin, celle que défendaient ces chercheurs embellissait la vie et nous permettait de nous rapproprier notre pouvoir. Selon cette vision, nous ne sommes pas de simples accidents de la nature. Notre monde, de même que la place que nous y occupons, a un but et une unité. Et nous avons tous notre mot à dire dans tout cela ! Ce que nous faisons et pensons joue en effet un rôle déterminant quand vient le temps de créer notre monde. Désormais, les humains ne sont plus dissociés les uns des autres, pas plus d’ailleurs qu’ils ne sont étrangers à leur monde, comme s’ils le regardaient de l’extérieur. Ils peuvent reprendre la place qui leur revient, au centre de leur univers. Ces idées avaient le goût de la trahison. Dans bien des cas, ces chercheurs avaient mené des combats d’arrière-garde contre un ordre établi hostile et retranché dans ses positions. Même si leurs recherches s’étaient étalées sur trente ans, elles restaient toujours fort méconnues ou carrément ignorées. Toutefois, ce fait ne remettait pas en cause leur valeur scientifique. Appartenant tous aux institutions les plus reconnues tant aux États-Unis qu’en Europe, ces chercheurs avaient effectué des expériences au parcours sans faute. Cependant, celles-ci s’attaquaient aux dogmes sacrés qui formaient le coeur même de la science moderne. Autrement dit, leurs travaux remettaient en question la vision mécaniciste du monde. Reconnaître la pertinence de leurs découvertes exigeait de mettre au rebut une bonne partie des principes de la science moderne, de repartir à zéro, mais la vieille garde ne voulait pas en entendre parler. Puisque ces découvertes ne correspondaient pas à sa vision du monde, elles ne pouvaient qu’être fausses. Néanmoins, il est trop tard. Rien ne peut arrêter cette révolution. Les scientifiques dont le travail est souligné dans L’univers informé ne représentent qu’une petite portion d’un mouvement bien plus vastev. Beaucoup d’autres les suivent de près, contestant, expérimentant et modifiant leurs positions. Bref, ils travaillent comme tout vrai explorateur qui se respecte. Plutôt que de rejeter ces données qui remettent en question sa vision scientifique du monde, la science orthodoxe devra commencer à s’y adapter. Fondamentalement, la science est un processus de compréhension du monde et de nous-mêmes, et non un ensemble de lois immuables. Avec les découvertes qui s’ajoutent, les vieilles certitudes doivent souvent céder leur place.

L’univers informé est l’histoire de cette révolution. Comme plein d’autres révolutions, celle-ci s’est amorcée par de petites poches de résistance isolées (une percée dans un domaine, une découverte dans un autre, etc.) et non dans un vaste mouvement unifié et réformateur. Même s’ils connaissent leurs travaux respectifs, ces hommes et ces femmes de laboratoire sont souvent réticents à s’aventurer au-delà de l’expérimentation pour examiner toutes les répercussions véritables de leurs découvertes, ou bien ils n’ont tout simplement pas le temps de les mettre en contexte avec les autres données scientifiques disponibles. Chacun a fait un voyage d’exploration et trouvé une poignée de terre, mais aucun n’ose affirmer qu’il s’agit d’un continent. L’univers informé constitue une des premières tentatives pour former un tout cohérent à partir de ces recherches disparates. Dans la même foulée, cet ouvrage valide scientifiquement des éléments qui relevaient surtout de la religion, du mysticisme, de la médecine scientifique ou des spéculations nouvel âge. Quoique tout le matériel utilisé dans ce livre soit fondé sur de solides données scientifiques, il m’est parfois arrivé, avec l’aide des chercheurs concerL’univers informé nés, de me livrer à des spéculations en vue de déterminer comment toutes ces données s’imbriquaient l’une dans l’autre. Par conséquent, je tiens à préciser que la théorie proposée ici est, tout comme Robert Jahn, doyen émérite à l’université de Princeton, se plaît à le dire, un « travail en cours ». Par ailleurs, je signale que certaines preuves scientifiques n’ont pas encore été reproduites par des groupes indépendants. Il faut voir L’univers informé comme une première tentative visant à regrouper ces découvertes individuelles pour en tirer un modèle cohérent, dont il faudra redéfinir quelques éléments plus tard. Il serait sage aussi de garder à l’esprit la maxime selon laquelle on ne peut prouver définitivement une idée vraie. Au mieux, la science peut espérer qu’elle saura réfuter les idées fausses. Dans cette perspective, des chercheurs pourtant dignes de confiance ont employé des tests efficaces pour tenter de discréditer les idées inédites développées dans ce livre. Mais à ce jour, aucun n’a réussi. À moins d’être réfutées ou perfectionnées, les découvertes mentionnées dans ces pages restent donc valides. L’univers informé est destiné au grand public. Pour rendre compréhensibles des données fort complexes, je me suis souvent servie de métaphores ne représentant qu’une approximation grossière de la vérité. Parfois aussi, les nouvelles idées radicales présentées exigeront de la patience. Je ne promets donc pas que cet ouvrage sera toujours d’une lecture facile.

Quantité de notions seront fort difficiles à avaler pour les disciples de Newton ou de Descartes habitués, tout comme nous, à penser que tout est séparé et immuable. Je dois aussi ajouter que je n’ai rien découvert de tout ceci, puisque je ne suis pas une scientifique, mais bien seulement une journaliste et, parfois, une interprète. Les applaudissements devront être adressés à ces chercheurs fort peu connus qui ont décelé et saisi l’extraordinaire caché dans le quotidien. Souvent, sans même qu’ils l’aient pleinement réalisé, leurs travaux se sont transformés en une quête de la physique de l’impossible. La lumière dans l’obscurité Ce qui est arrivé à Ed Mitchell était peut-être dû à l’absence de gravité ou, encore, au fait que tous ses sens n’avaient plus aucun point de référence. Il était en train de revenir à la maison, qui à ce moment-là se trouvait approximativement à 400 000 kilomètres de l’endroit où il était, c’est-à-dire quelque part dans l’azur ennuagé, près du croissant blanc qui apparaissait de façon intermittente par le hublot triangulaire du module de commande d’Apollo 14vi. Deux jours plus tôt, il était devenu le sixième homme à alunir. Ce voyage avait été un vrai triomphe puisque c’était le premier alunissage ayant donné lieu à des investigations scientifiques. Les 40 kilos de pierre et d’échantillons de sol lunaire présents dans l’engin spatial en étaient la preuve. Même si lui et son commandant, Alan Shepard, n’avaient pas atteint le sommet du vieux cratère conique (Cone Crater) haut de 250 mètres, tous les autres éléments figurant sur la liste détaillée collée sur leurs poignets respectifs – liste sur laquelle chaque minute de leur périple de deux jours était méticuleusement consignée – avaient été cochés. Mais ce qu’ils n’avaient pas vraiment prévu, c’était l’action de ce monde inhabité, presque sans gravité et dénué de l’effet diluant de l’atmosphère, sur leurs sens. Sans leurs points de repère habituels comme les arbres, les fils électriques, ou quoi que ce soit d’autre qu’Antarès, le module lunaire doré ressemblant à un insecte, toutes les perceptions d’espace, d’échelle, de distance et de profondeur avaient été terriblement déformées dans ce vaste paysage gris poussière. Ed avait eu le choc de découvrir que tous les points de navigation soigneusement notés sur des photographies de haute résolution se situaient en réalité au moins au double de la distance à laquelle ils s’attendaient tous deux. Comme si Alan et lui avaient rétréci pendant le voyage spatial et que ce qui semblait être de minuscules bosses et crêtes sur la Lune, alors qu’ils se trouvaient à la base, avait atteint des hauteurs de 2 mètres et plus. Non seulement ils se sentaient plus petits, mais ils étaient aussi plus légers que jamais. Ed avait ressenti une étrange légèreté de son être, vu la faible gravité, et il avait l’impression de flotter comme une bouée à chaque pas qu’il faisait, malgré le poids et le volume de son costume spatial engonçant.

Et il y avait également eu l’effet déformant du soleil, pur et inaltéré, dans ce monde sans air. Dans la lumière aveuglante du soleil, même au cours de cette matinée relativement fraîche, avant que la température atteigne un maximum de 130 oC, les cratères, les points de repère, le sol et la Terre, même sans oublier le ciel, se détachaient de façon absolument claire sur l’arrière-fond. Pour un esprit habitué au filtre doux qu’est l’atmosphère, les ombres angulaires et les couleurs changeantes du sol gris ardoise semblaient conspirer pour jouer des tours aux yeux. Sans le savoir, Alan et lui étaient arrivés à seulement 30 mètres du cratère conique, c’est-à-dire à dix secondes de marche, quand ils avaient décidé de revenir, convaincus qu’ils étaient de ne pouvoir atteindre le cratère dans le temps alloué. Cette erreur avait terriblement déçu Ed, qui aspirait depuis longtemps à plonger son regard dans ce trou de 400 mètres de diamètre sis sur les hauteurs lunaires. Il n’y avait aucune vie autour d’eux et tout était à la vue et manquait de finesse. La moindre chose envahissait l’oeil de contrastes vifs et d’ombres marquées. Dans un certain sens, il voyait plus clairement et moins clairement que jamais. Vu leur programme chargé, ils avaient eu très peu de temps pour réfléchir, s’émerveiller ou songer à la raison d’être supérieure de ce voyage spatial. Ils avaient voyagé plus loin que n’importe quel homme avant eux dans l’univers et, malgré cela, bousculés par la pensée qu’ils coûtaient 200 000 $ la minute aux contribuables américains, ils se sentaient obligés de river leurs yeux sur la montre et de cocher les unes après les autres toutes les tâches que Houston avait prévues au programme. Ce n’est qu’une fois le module lunaire raccordé au module de commande que leur voyage de retour vers la Terre s’amorça, pour une durée de deux jours, et qu’Ed put retirer sa combinaison spatiale salie par le sol lunaire, relaxer en sous-vêtements longs et essayer de mettre un peu d’ordre dans ses sentiments de frustration et ses pensées embrouillées. Le Kittyhawk effectuait de lentes rotations sur lui-même, un peu comme un poulet sur une broche, afin que les effets thermiques soient équilibrés des deux côtés de l’engin spatial.

Et pendant ces lentes révolutions, la Terre se montrait par intermittence dans le hublot, boule minuscule confondue dans la nuit étoilée. De ce point de vue, alors que la Terre et le reste du système solaire apparaissaient et disparaissaient alternativement, le ciel n’existait pas seulement au-dessus des astronautes, comme nous le concevons en général, mais plutôt comme une immense et unique entité qui donnait l’impression de bercer la Terre de tous côtés. C’est à cet instant-là, alors qu’il regardait par le hublot, qu’Ed eut le plus étrange sentiment qu’il ait jamais eu, un sentiment de connectivité, comme si toutes les planètes et tous les gens de tout temps étaient reliés par une grille invisible. La solennité du moment l’empêcha de respirer normalement et, même s’il continuait de tourner des manivelles et d’appuyer sur des boutons, il se sentit à distance de son corps, un peu comme si quelqu’un d’autre pilotait. Il eut l’impression d’être en présence d’un énorme champ de forces qui reliait tous les gens, ainsi que leurs intentions et leurs pensées, à toute forme animée et inanimée de matière ayant existé. Il sut à cet instant que tout ce qu’il ferait ou penserait aurait un impact sur le reste du cosmos et que tout événement dans le cosmos aurait un effet similaire sur lui. Le temps n’était qu’une construction mentale. Tout ce qu’on lui avait enseigné sur l’univers et sur la dissociation entre les gens et les choses lui parut faux.

Les accidents et les intentions individuelles n’existaient pas. L’intelligence naturelle qui prévalait depuis des milliards d’années et qui avait créé les molécules de son être était également à l’origine de son voyage spatial. Ce n’était pas quelque chose qu’il comprenait avec sa tête, mais plutôt une irrésistible sensation viscérale, un peu comme si son corps allait toucher aux confins du cosmos par le hublot. Non, il n’avait pas vu le visage de Dieu. Cette expérience ne lui semblait pas être une expérience religieuse habituelle, mais plutôt une aveuglante révélation de sens, ce que les religions orientales qualifient souvent d’« extase d’unité ». Comme si, en un seul instant, Ed Mitchell avait découvert et ressenti la Force. Il jeta un coup d’oeil à Alan, ainsi qu’à Stu Roosa, l’autre astronaute de la mission Apollo 14, pour vérifier s’ils faisaient une expérience un tant soit peu semblable à la sienne. À un moment donné, celui où ils étaient sortis pour la première fois d’Antarès et avaient posé le pied sur les plaines de Fra Mauro, un massif de la Lune, Alan, un ancien du premier lancement spatial américain, habituellement un dur à cuire accordant peu de temps à ce genre de charabia mystique, fit un effort pour relever la tête dans sa combinaison volumineuse et regarder au-dessus de lui, et se mit à pleurer en voyant la Terre, si incroyablement belle dans le ciel vide d’air. Mais pour l’instant, Alan et Stu semblaient vaquer automatiquement à leurs occupations. Ed eut peur de dire quoi que ce soit sur ce qui lui semblait être le début de son propre moment de vérité. Il avait toujours été l’homme à part du programme spatial et, à l’âge de 41 ans, bien que plus jeune que Shepard, il était un des plus hauts placés parmi les membres de la mission Apollo. Avec ses cheveux blond pâle, son visage large, ses allures du Midwest américain et la diction traînante d’un pilote de ligne aérienne, il donnait le change et jouait bien son rôle.

Mais, aux yeux des autres, il était un peu un intellectuel puisqu’il était le seul parmi les membres de la mission à détenir un doctorat et une licence de pilote. De toute évidence, il était entré de manière peu orthodoxe dans le programme spatial. Selon lui, un doctorat en astrophysique du Massachusetts Institute of Technology (MIT) le rendrait indispensable à une telle mission (secrètement, c’était sa façon de viser la NASA), et il ne pensa que par après à faire valoir ses heures de vol pour être éligible au programme spatial. Mais Ed ne traînait pas de la patte quand il s’agissait de voler. Comme tous ses autres compagnons, il avait passé des heures avec l’escadron de Chuck Yeager, dans le désert de Mojave, à faire faire aux avions des choses pour lesquelles ils n’avaient jamais été conçus. À un moment donné, il avait même été leur instructeur. Mais il préférait se considérer comme un explorateur plutôt qu’un pilote, comme une sorte d’adepte moderne des vérités. Son grand intérêt pour la science était en perpétuel combat contre le fondamentalisme baptiste extrême de sa jeunesse. Ce n’était apparemment pas un hasard s’il avait été élevé à Roswell, au Nouveau-Mexique, endroit d’où on avait vu pour la première fois un ovni, à peine à deux kilomètres de la maison de Robert Goddard, le père de la science des fusées américaines, et à quelques kilomètres des montagnes où on avait fait les premiers essais de la bombe atomique. La science et la spiritualité coexistaient en lui, se rudoyant pour avoir la première place. Lui aspirait cependant à ce qu’elles se serrent la main et fassent la paix. Ed avait caché une autre chose aux autres. En effet, tard le soir de cette même journée, pendant qu’Alan et Stu dormaient dans leur hamac, il se plongea en silence dans une expérience qu’il avait entreprise dès le début de la mission. En effet, il s’entraînait à faire des expériences de conscience et de perception extrasensorielle, et passait du temps à étudier les travaux de Joseph B. Rhine, un biologiste ayant dirigé de nombreuses expériences sur la nature extrasensorielle de la conscience humaine. Deux de ses plus récents amis, des spécialistes, dirigeaient des recherches très crédibles sur la nature de la conscience. Ensemble, ils avaient réalisé que ce voyage vers la Lune représentait pour Ed l’occasion unique de vérifier si la télépathie chez les humains pouvait fonctionner sur de plus grandes distances que celles du laboratoire du docteur Rhine.

C’était l’occasion unique de voir si ce genre de communication pouvait dépasser quelque distance que ce soit sur terre. Comme il l’avait déjà fait au cours des deux jours avant d’atteindre la Lune et quarante-cinq minutes après le début de la période consacrée au sommeil, Ed sortit une petite lampe de poche de ses effets personnels et se mit à inscrire au hasard des chiffres sur la feuille déposée sur son écritoire à pince. Chacun de ces chiffres représentait un des fameux symboles Zener du docteur Rhine, c’est-à-dire un carré, un cercle, une croix, une étoile et une paire de lignes ondulées. Puis, il se concentra intensément sur eux, méthodiquement, un après l’autre, essayant de « transmettre » ses choix à ses collègues sur terre. Même si cette expérience le passionnait, il n’en toucha mot aux autres. À une occasion, il avait essayé de discuter avec Alan de la nature de la conscience, mais il ne se sentait pas près de son supérieur et ce genre de thème ne passionnait pas les autres autant que lui. Certains des astronautes avaient pensé à Dieu pendant qu’ils étaient dans l’espace et tout ceux qui participaient au programme spatial savaient qu’ils cherchaient quelque chose de nouveau quant au fonctionnement de l’univers. Mais si Alan et Stu avaient su qu’Ed essayait de transmettre ses pensées à des gens sur terre, ils l’auraient assurément considéré comme encore plus excentrique. Ed termina son expérience et en ferait une autre le lendemain soir.

Mais après la révélation qu’il avait eue, cela ne lui semblait plus nécessaire. Il avait la conviction intérieure que c’était la vérité. Les esprits humains étaient tous reliés les uns aux autres, de même qu’à toute chose en ce monde et à tout autre monde. Son intuition acceptait ce fait, mais pour le scientifique qu’il était, cela ne suffisait pas, et c’est pour cette raison qu’il passa les vingt-cinq années suivantes à tenter d’expliquer scientifiquement ce qui avait bien pu lui arriver là-haut. Edgar Mitchell était rentré sain et sauf chez lui. Comme aucune exploration physique sur terre ne pouvait arriver à la cheville d’un voyage vers la Lune, L’univers informé moins de deux ans après cette expérience, Ed quitta la NASA, qui avait annulé les trois derniers vols vers la Lune par manque de fonds. C’est alors que le véritable voyage commença pour lui. L’exploration de l’espace intérieur s’avéra infiniment plus long et plus ardu que l’alunissage ou la recherche du cratère en forme de cône. Les petites expériences qu’Ed avait faites pendant le vol spatial s’étaient avérées positives : une forme de communication défiant toute logique avait effectivement eu lieu. Comme Ed n’avait pu procéder à toutes les six expériences prévues, il fallut un certain temps pour apparier les quatre qu’il avait réussi à faire aux six séances menées sur terre, pour deviner ce qu’il avait émis. Mais une fois que les quatre séries de données qu’il avait récoltées pendant le voyage de neuf jours furent appariées à celles de ses six collègues sur terre, la correspondance entre elles s’avéra plus que probante. En effet, il y avait une chance sur 3 000 pour que ce soit le fruit du hasardvii.

Ces résultats concordaient avec des milliers d’expériences similaires menées sur terre par Rhine et ses collègues durant plusieurs années. La révélation fulgurante que Mitchell avait eue dans l’espace avait ébranlé un grand nombre de ses systèmes de croyances. Mais ce qui le dérangeait le plus au sujet de cette expérience, c’était l’explication scientifique du moment concernant la biologie, en particulier celle sur la conscience, qui lui semblait dorénavant bien trop réductrice. Malgré tout ce qu’il avait appris en physique quantique au MIT sur la nature de l’univers, la biologie semblait rester embourbée dans une vision du monde vieille de 400 ans. Le modèle biologique actuel semblait encore fondé sur la vision newtonienne classique de la matière et de l’énergie selon laquelle des corps distincts évoluent de façon prévisible dans un espace vide, ainsi que sur la vision cartésienne qui établit une distinction entre le corps et l’esprit. Rien dans ce modèle ne pouvait rendre justice à la véritable complexité d’un être humain et à son rapport avec son monde ou, plus particulièrement, avec sa conscience. On ramenait encore pratiquement les êtres humains et toutes leurs parties à une machine. Les explications biologiques des grands mystères concernant les organismes vivants s’efforcent pour la plupart de comprendre le tout en le fractionnant jusqu’à son expression la plus microscopique. Les corps prendraient la forme qu’ils ont en raison des codes génétiques, de la synthèse protéique et des mutations aléatoires. Selon les spécialistes en neurologie du moment, la conscience résiderait dans le cortex cérébral et serait le résultat d’un simple mélange de substances chimiques et de cellules cérébrales. Ces substances seraient à l’origine de la télévision qui joue dans notre cerveau et de l’observateur qui la regardeviii. Nous appréhenderions donc le monde grâce aux complexités de notre machine.

La biologie moderne ne croit donc pas en un monde qui soit finalement indivisible. Dans ses propres recherches en physique quantique au MIT, Ed Mitchell avait appris que, sur le plan subatomique, la vision newtonienne ou classique, c’est-à-dire celle qui préconise que tout fonctionne de manière bien prévisible, avait depuis longtemps été remplacée par des théories quantiques plus embrouillées et indéfinies laissant entendre que l’univers et son fonctionnement ne seraient pas aussi ordonnés que le penseraient les scientifiques. À son extrême expression, la matière ne pouvait être fractionnée en unités indépendantes, ni même décrite complètement. Les particules subatomiques n’étaient pas des objets solides comme des boules de billard, mais des paquets d’énergie indéfinis et vibrants qu’il était impossible de quantifier précisément ou de comprendre. On pouvait affirmer que ces derniers étaient « schizophrènes », agissant parfois comme des particules (une chose stable confinée à un petit espace), parfois comme une onde (une chose plus diffuse et vibrante s’étalant dans le temps et l’espace) et parfois comme les deux à la fois. Les particules quantiques étaient également omniprésentes. Par exemple, quand ils passaient d’un état énergétique à un autre, les électrons semblaient tester toutes les orbites possibles en même temps, un peu comme si un acheteur essayait de vivre dans toutes les maisons d’un pâté de maisons au même moment avant de choisir définitivement celle dans laquelle il élirait domicile. Et là encore, rien n’était certain. Il n’y avait pas d’endroit précis, seulement la possibilité qu’un électron, disons, puisse être à un certain endroit.

Pas de circonstance établie non plus, mais uniquement une probabilité que cela puisse arriver. Sur ce plan de réalité, rien n’était garanti. Les scientifiques devaient se contenter de parier sur les possibilités. Tout ce qu’on pouvait calculer, c’était la probabilité, les chances que, en prenant certaines mesures, on obtiendrait le même résultat selon un certain pourcentage. En somme, les relations de cause à effet ne tenaient plus le coup. Des atomes apparemment stables pouvaient soudainement et sans raison apparente connaître des fractures internes et les électrons, passer d’un état énergétique à un autre. En observant la matière de plus en plus près, elle n’était plus matière. Ce n’était plus l’objet solide que vous pouviez toucher ou décrire, mais une myriade de possibles entités évoluant toutes en même temps. Dans les fondements premiers de la matière, plutôt qu’être un univers de certitude statique, le monde et les rapports y advenant étaient incertitude et imprévisibilité, état de pur potentiel et d’infinie possibilité. Les scientifiques firent une certaine place à la connectivité universelle, mais strictement dans le cadre du monde quantique, soit le domaine de l’inanimé. Les physiciens spécialisés en physique quantique avaient découvert dans le monde subatomique une propriété étrange, appelée « non-localité ». Par cette propriété, une entité quantique, comme un électron isolé, peut avoir un effet instantané et à distance sur une autre particule quantique, même en l’absence d’échange de force ou d’énergie entre elles.

Ce phénomène laissait donc entendre qu’une fois les particules quantiques en contact, elles maintiennent entre elles un lien même si elles sont séparées. Ainsi, les agissements de l’une auront toujours un effet sur l’autre, peu importe la distance qui les sépare. Einstein dénigra cette « mystérieuse action à distance », ce qui fut la principale raison pour laquelle il se méfia tant de la mécanique quantique. Celle-ci a cependant bel et bien été prouvée par un certain nombre de scientifiques depuis 1982ix. Le concept de non-localité est venu anéantir les fondements mêmes de la physique, puisqu’on ne pouvait plus considérer la matière comme étant dissociée du reste et qu’on n’avait plus besoin d’avoir une cause observable dans un espace observable. L’axiome le plus fondamental d’Einstein était donc faux puisque, à un certain niveau de la matière, les choses pouvaient se déplacer plus vite qu’à la vitesse de la lumière. Prises isolément, les particules subatomiques n’avaient pas de sens. Elles ne devenaient compréhensibles que par leurs interactions et leurs rapports. À sa base, le monde existait sous la forme d’un réseau complexe de relations d’interdépendance, indivisibles à tout jamais. Et l’élément le plus essentiel de cet univers d’interconnectivité était probablement la conscience vivante qui l’observait. En physique classique, on voyait l’expérimentateur comme une entité à part, l’observateur silencieux derrière une vitre, qui essayait de saisir un univers poursuivant ses activités, qu’il soit observé ou pas. Par contre, avec la physique quantique, on découvrit que l’état de toutes les possibilités de n’importe quelle particule quantique s’effondrait pour former une entité établie dès qu’elle était observée ou mesurée. Pour expliquer ces étrangetés, les physiciens du monde quantique avaient avancé qu’une sorte de relation de participation entre l’observateur et l’observé s’installait et qu’on pouvait supposer que ces particules existaient sans doute dans l’espace et le temps jusqu’à ce qu’elles soient perturbées par une observation ou des mesures, deux éléments qui les précipitaient vers un état fixe. Cette observation stupéfiante eut également des répercussions bouleversantes sur la nature de la réalité puisqu’elle laissait entendre que c’est la conscience de l’observateur qui amène l’objet observé à être. Rien dans l’univers n’existerait donc comme objet réel indépendamment de la perception que nous en avons. Cette découverte revenait donc à dire que chaque minute de chaque jour nous créons notre monde. Pour Ed, les physiciens entretenaient un grand paradoxe, car ils voulaient vous amener à penser que les lois physiques concernant les branches et les pierres différaient de celles des particules atomiques les constituant, qu’il y avait une loi pour ce qui est petit et une autre pour ce qui est grand, pour ce qui est animé et pour ce qui est inanimé. Bien entendu, les lois de la physique classique sont sans aucun doute utiles en ce qui a trait aux propriétés fondamentales du mouvement, entre autres pour décrire la façon dont notre squelette nous maintient debout, ou comment nos poumons respirent, notre coeur bat et nos muscles soulèvent des poids.Nombre des processus corporels de base, tels l’alimentation, la digestion, le sommeil et la sexualité, sont régis par des lois physiques. Cependant, la physique ou la biologie classiques n’expliquent aucunement des principes fondamentaux comme la formulation de la pensée, la raison pour laquelle les cellules s’organisent comme elles le font, ou la quasiinstantanéité de nombreux processus moléculaires. Elles ne peuvent pas non plus expliciter pourquoi un bras devient un bras et une jambe, une jambe, même s’ils possèdent tous deux des gènes et des protéines identiques, pourquoi nous souffrons du cancer, pourquoi la machine que chacun de nous est peut miraculeusement se guérir, pourquoi nous savons ce que nous savons et comment nous le savons. Les scientifiques comprennent peut-être en détail les vis, les écrous, les charnières et diverses roues, mais rien au sujet de la force motrice qui meut la machine. Et même s’ils peuvent s’occuper de la mécanique sophistiquée du corps, ils semblent encore ignorer les mystères les plus fondamentaux qui viennent l’étayer. S’il est vrai que les lois de la physique quantique peuvent également s’appliquer au reste du monde et pas uniquement au monde subatomique, à la biologie et à la matière, alors tout le paradigme qui sous-tend la science biologique est erroné ou incomplet.

Et tout comme les théories de Newton ont été améliorées à un moment donné par les théories quantiques, il se peut aussi qu’Heisenberg et Einstein se soient trompés ou, encore, qu’ils n’aient eu que partiellement raison. Si on appliquait à grande échelle la théorie des quanta à la biologie, l’humain serait plutôt un réseau complexe de champs énergétiques en interaction dynamique quelconque avec ses systèmes de cellules chimiques. Et le monde existerait comme une matrice d’interrelation indivisible, tout comme Ed en avait fait l’expérience dans l’espace. Ce qui manquait tant à la biologie normalisée, c’était une explication de son principe organisateur, de la conscience humaine. Ed se mit donc à dévorer des livres sur les expériences mystiques, la pensée orientale et les quelques preuves scientifiques venant préciser la nature de la conscience. Avec l’aide de quelques scientifiques, il se lança dans des études sur le sujet à Stanford et créa l’Institute of Noetic Sciences, un organisme à but non lucratif dont le rôle était de subventionner de telles recherches. Il regroupa toutes les études scientifiques sur la conscience en un livre. Il ne pensait qu’à ça et ne parlait que de ça. Cette obsession détruisit son mariage. Les travaux d’Ed ne firent pas la révolution, mais l’entretinrent. Dans de grandes universités du monde entier, des découvertes rebelles isolées s’insurgeaient contre la vision de Newton et de Darwin, contre le dualisme de la physique et le point de vue concernant la perception humaine. Au cours de ses recherches, Ed entra en communication avec des scientifiques de grande réputation attachés à des universités fort réputées (Yale, Stanford, Berkeley, Princeton et l’université d’Édimbourg) qui venaient de faire des découvertes ne cadrant pas du tout avec les vieux principes. L’univers informé Toutefois, à la différence d’Edgar, ces scientifiques n’avaient pas eu de révélation soudaine pour aboutir à une nouvelle vision du monde. En effectuant leur travail, ils avaient tout bonnement obtenu des résultats contredisant les théories établies. Et même s’ils essayaient de faire cadrer leurs découvertes avec ces théories, car ils le souhaitaient et le désiraient même, rien n’y fit. La plupart d’entre eux en étaient venus à leurs conclusions par accident. Une fois leur train arrivé à la mauvaise gare, ils n’eurent d’autre solution que d’en descendre et d’explorer le nouveau paysage. Un véritable explorateur doit poursuivre son exploration, même si celle-ci le conduit en des lieux où il ne prévoyait pas particulièrement aller.

Ce que tous ces chercheurs avaient en commun, c’était une disposition à mettre l’incrédulité de côté et à rester ouverts à une véritable découverte, même si cela revenait à défier l’ordre des choses, à s’aliéner des collègues, à être censurés ou à connaître la déchéance professionnelle. De nos jours, s’avérer un révolutionnaire dans le domaine scientifique, c’est flirter avec le suicide professionnel. Bien que le milieu prétende encourager la liberté d’expérimentation, toute la structure scientifique, dont son système hautement concurrentiel de subventions et son système de publication et d’évaluation par les pairs, est principalement fondée sur l’acceptation de la vision du monde scientifique par les individus concernés. Ce système encourage plutôt les professionnels à entreprendre des expériences dont le but est surtout d’appuyer la vision actuelle des choses ou, encore, de raffiner la technologie pour l’industrie plutôt que de viser la véritable innovationx. Tous ceux qui travaillèrent à ces expériences eurent l’impression d’être sur le point de découvrir quelque chose qui transformerait complètement notre compréhension de la réalité et des êtres humains. Mais à l’époque, ils étaient seulement des scientifiques d’avant-garde travaillant à l’aveuglette. Plusieurs scientifiques indépendants avaient déniché un morceau du puzzle mais craignaient de comparer leurs notes. Il n’y avait donc pas de langage commun, car ce qu’ils avaient découvert semblait défier tout langage. Néanmoins, une fois que Mitchell entra en communication avec eux, leurs recherches séparées mises ensemble commencèrent à donner une théorie autre de l’évolution, de la conscience humaine et de la dynamique de tout ce qui est animé. Cette théorie proposait la meilleure vision possible d’un monde unifié, fondée qu’elle était sur des expériences et des équations mathématiques, et pas strictement sur des théories.

Le rôle principal d’Edgar fut de présenter les intéressés les uns aux autres, de subventionner en partie les recherches et, en acceptant de mettre son statut de héros national en jeu pour rendre ces recherches publiques, de convaincre ces scientifiques qu’ils ne faisaient plus cavalier seul. Tous les travaux convergeaient vers une seule et même chose : le soi possédait un champ d’influence sur le monde, et vice-versa. Et ils eurent aussi tous en commun le fait qu’ils ouvraient une grande brèche dans le fondement même de la théorie scientifique existante.

Prologue 1. M. Capek, The Philosophical Impact of Contemporary Physics, New Jersey, Van Nostrand, 1961, p. 319. Tel que cité dans F. Capra, The Tao of Physics, Londres, Flamingo, 1992. 2. D. Zohar, The Quantum Self, Londres, Flamingo, 1991, p. 2. Danah Zohar fait un excellent résumé de l’histoire philosophique des sciences avant et après Newton et Descartes. 3.

Je suis redevable à Brenda Dunne, directrice du laboratoire PEAR à Princeton, qui est la première à m’avoir éclairée sur les intérêts philosophiques des théoriciens quantiques. Voir aussi W. Heisenberg, Physics and Philosophy, Harmondsworth, Penguin, 2000 ; N. Bohr, Atomic Physics and Human Knowledge, New York, John Wiley & Sons, 1958 ; R. Jahn et B. Dunne, Margins of Reality:

The Role of Consciousness in the Physical World, New York, Harvest/Harcourt Brace Jovanovich, 1987, p. 58-59. 4. Entretien avec Robert Jahn et Brenda Dunne, à Amsterdam, le 19 octobre 2000. 5. En fait, pour déterminer quels chercheurs méritaient d’être inclus,

j’ai dû faire certains choix arbitraires. Ainsi, j’ai choisi l’anesthésiste américain Stuart Hameroff et ses travaux sur la conscience humaine, alors que j’aurais pu tout aussi bien opter pour Roger Penrose, un professeur d’Oxford. Et ce n’est que par manque d’espace que j’ai omis des pionniers en communication intracellulaire électromagnétique comme Cyril Smith.

Chapitre 1 1. Pour relater le voyage d’Ed Mitchell, je me suis basée sur les ouvrages suivants : The Way of the Explorer: An Apollo Astronaut’s Journey Through the Material and Mystical Worlds, d’Edgar Mitchell, G. P. Putnam, 1996,

p. 47-56 ; Full Moon, de M. Light, Jonathan Cape, Londres, 1999 ; The Right Stuff, de T. Wolfe, Jonathan Cape, Londres, 1980 ; A Man on the Moon, de A. Chaikin, Penguin, Harmondsworth, 1994, p. 355-379, ainsi que sur une visite d’une exposition de photographies de la Lune (Tate Gallery, Londres, 1999) et sur des rencontres avec Ed Mitchell (été et automne 1999).

2. Edgar Mitchell, Way of the Explorer, p. 61. Les résultats de ses recherches ont été publiés dans le numéro de juin 1971 du Journal of Parapsychology.

3. Francis Crick assimila le cerveau à un poste de télévision, ainsi que D. Loye le cite dans An Arrow Through Chaos, Park Street Press, Rochester, 2000, page 91.

4. La non-localité a été prouvée par des expériences menées par Alain Aspect et ses collègues à Paris, en 1982. 5. M. Schiff, The Memory of Water: Homeopathy and the Battle of Ideas in the New Science, Thorsons, 1995. À suivre … Commande postale : Canada: www.ada-inc.com ; Europe : www.dgdiffusion.com

16 février 2017

La Television cest de la pollution psychique un troisieme oeil artificiel ...

oeil-bionique

Techniquement, la télévision est l'émission d'images visuelles sous forme d'ondes électromagnétiques, puis la reconversion en images visuelles des ondes reçues. le mot image est le mot magie sont etroitement liée car on envoit des images ou des sorts dans linconscient du spectateur qui en devient comme hypnotisé et sous son emprise comme le ferait n'importe qu'elle magie par son pouvoir de suggestions sur les plans metaphysiques qui se concrètisent  ensuite sur les plans physiques via nos centres energetiques ou chakras .......

C'est en 1884 que l'inventeur germano-russe Paul Nipkow fit breveter un dispositif de transmission d'images: le disque analyseur. C'était un volant perforé, tournant rapidement, au moyen duquel une scène éclairée était décomposée en points lumineux et sombres. La série de points de lumière ainsi obtenue était convertie en signaux électriques et télégraphiée vers un récepteur. Les impulsions d'entrée étaient reconverties en points lumineux et sombres, à partir desquels l'image d'origine était alors, plus ou moins précisèment reproduite à l'aide d'un disque identique, synchronisé sur le premier.



Le dispositif de Nipkow était primitif, mais la méthode sous-jacente de la "télévision" n'a jamais changé: les images sont toujours décomposées en points lumineux et sombres - pensez à la structure granulaire qui peut être remarquée sur des photographies très agrandies.

Il a fallu attendre 1923 pour obtenir des images de haute qualité, grâce à un américain né en Russie, Vladimir Zworykin, qui déposa une demande de brevet pour son "iconoscope", prototype du tube de télévision moderne. Le disque analyseur avait été remplacé par un canon à électrons, source de danger immédiat, comme nous le verrons.
Aux États-Unis, le premier service de télévision régulier entra en existence dans l'après-midi du 30 avril 1939, à l'occasion de l'ouverture de l'Exposition Mondiale de New York dont le thème était: "Le Monde de Demain". Les loges secrètes qui avaient tout organisé entendaient ainsi donner le coup d'envoi à une culture mondiale basée sur le contrôle des populations par l'image.

La National Broadcasting Company (NBC), sous les auspices de la Radio Corporation of America, diffusait les cérémonie à titre de démonstration. En quelques jours les gens commencèrent à s'aligner par milliers pour voir les démonstrations du nouvel appareil miracle. La fascination de l'humanité pour la télévision avait commencé.


Télévision datant de 1928




Premières images perçues à la télé

................

assez basique...




sur un écran qui ressemblait à celui-ci

 

Appareils créés par Bell. Imaginez la puissance que requérrait ces appareils !
Tout comme les premiers ordinateurs qui chauffaient la pièce...



Après guerre, la télévision devint rapidement une affaire mondiale. L'ère de la télévision amorcée à l'Exposition Mondiale de 1939 semblait partie à l'attaque, tambour battant et drapeaux au vent. Rien ni personne ne saurait l'arrêter.

Après des milliers d'années de civilisation en évolution lente, l'humanité, lorsqu'elle pénétra dans l'ère de la télévision, modifia complètement ses coutumes en une décennie ou deux seulement. La vie, soudainement, ne semble plus être qu'autre chose qu'un loisir de masse et les gens commencent par rester chez eux pour prendre leur repas-télé devant le tube-écran.

Il n'a pas fallu attendre longtemps pour que des parades publicitaires impitoyables commencent à claironner la doctrine de la "Consommation". Qui plus est, de nombreuses nations sont en cours de conditionnement par une programmation et une censure de la télévision contrôlées par le gouvernement - moyen efficace, s'il en est, d'injecter sans cesse aux masses des idéologies asservissantes.

La télévision est l'APPAREIL DU POUVOIR, du pouvoir sur les sentiments, sur les pensées, les désirs, la volonté, les esprits de pratiquement tout le monde.

Que sont, qui sont les "forces" qui détiennent ce pouvoir ? Nous devons trouver la réponse à cette question.




Le mystère de la lumière



La lumière est l'un des dons les plus précieux qui soient accordés à cette planète par le soleil. Depuis des millions d'années, celui-ci fournit l'énergie lumineuse et thermique sans laquelle la vie ne serait pas possible. L'on pense que la plus grande partie de cette fantastique énergie va se perdre dans l'incommensurable espace de l'univers. Mais cette croyance populaire est erronée car, dans la création divine, pas même une once d'énergie n'est gaspillée; tout est mis à contribution pour l'évolution de myriades d'entités se trouvant dans le corps solaire cosmique, lequel entre en interaction avec de nombreux systèmes solaires du macrocosme.

Des Hiérarchies spirituelles sublimes fonctionnent avec les Énergies Divines - appelées collectivement FOHAT dans la doctrine ésotérique universelle. L'énergie électromagnétique de Fohat est donc, dans sa plus haute manifestation, l'Amour divin. L'un de ses aspects les moins évolués est connu sous l'appellation "électricité". Avez-vous déjà pris une décharge électrique ? Vous aurez alors une vague impression de l'invincible puissance de Fohat.




Quel est le rapport avec la télévision ?



Il faut voir les choses sous leur véritable perspective. Considérez la télévision comme un phénomène typique de notre société technocratique pseudo-omnisciente qui est une menace terrible pour l'homme lui-même, ainsi que pour son environnement cosmique, car les champions du monde scientifique sont en train de se livrer à des expériences avec les diverses formes d'énergie de Fohat d'une manière tout à fait irresponsable.
L'homme pourrait avoir accès à la Divine Félicité de Fohat - le Monde de la Lumière de Dieu - grâce à la tranformation spirituelle de son être. Mais que préfère t-il choisir ? Il préfère suivre son pénible sentier à travers l'obscurité de son ignorance et de sa haine, ce qui conduit inévitablement au résultat que la Lumière de Fohat le brûlera sous forme de "chaleur". C'est ainsi que dans les mythes, Fohat devient un feu de jugement. Et selon certaines prophèties, c'est par le FEU - comme il est dit dans le Livre de l'Apocalypse - que cet actuel cycle de manifestation se terminera. C'est en même temps par le Feu que les "appelés" et les "élus" pourront gagner l'immortalité comme le phénix qui renaît de ses cendres.

L'Ère du Verseau déverse à nouveau la Lumière de Fohat sous forme de radiations qu'on appelle les "eaux vives". Mais au lieu de se transformer intérieurement en sublimant son système atomique individuel, l'homme a soulevé le voile de l'atome physique et a réussi, dans une imitation grotesque, à libérer "l'esprit contenu dans la bouteille", le répugnant pouvoir de la fission nucléaire.

L'humanité doit suivre une voie de développement positive ou négative. C'est la régénération ou la dégénérescence - il n'y a pas d'autre choix, pas de moyen terme. Mais ce que nous voyons se développer aujourd'hui à travers la science matérialiste est une réaction négative mise en place par des forces dirigeantes, agissant par une autoconservation aveugle.
Ils tentent de contrer l'évolution spirituelle régulière par une parodie infernale. Il ne peut en résulter qu'une tragédie que les plus nobles conducteurs de l'humanité ne seront pas en mesure d'écarter. Einstein était bien près de reconnaître la destinée fatale et inévitable de l'actuel ordre des choses lorsqu'il concluait: « Chaque étape semble être la conséquence inévitable de la précédente ». C'est dans cette perspective que nous alons considérer la télévision.

Il ne suffit pas de mesurer le rayonnement émis par le poste pour comprendre ce qu'il en est vraiment, parce qu'on oublie alors de voir quelles sont les forces qui oeuvrent par le biais de la télévision et quels événements sont à l'arrière-plan de ces phénomènes.

Les expériences nucléaires et autres essais scientifiques et techniques avec les énergies de Fohat constituent déjà une menace mortelle pour toute vie sur Terre et pour le délicat équilibre du sytème solaire également. Les couches protectrices de la Terre ont été sérieusement endommagées, si bien que les rayonnements maléfiques, non seulement percent jusque dans la vie terrestre, mais aussi hors de l'atmosphère, vers le reste du système solaire. Malgré ce tableau assez sombre, de grandes possiblités spirituelles sont ouvertes pour ceux qui sont capables de réagir positivement aux événements qui s'approchent.

La télévision est la réponse des forces obscures aux influx libérateurs de l'ère nouvelle. Ce n'est pas leur seule arme, mais c'est certainement l'une des meilleures pour leur objectif. La télévision serait donc une vaine tentative, par un usage détourné de la lumière de Fohat, de résister à la Lumière spirituelle véritable. En ce sens, c'est une contre-offensive stratégique ingénieusement mise au point dans la bataille des puissances terrestres contre les forces de la Vie divine. En plus de la pollution électromagnétique, une forme de pollution encore plus sérieuse provient de la télévision.

Le but franchement pervers de la télévision est
la POLLUTION PSYCHIQUE !

Et il lui fut donné d'animer l'image de la bête, afin que l'image de la bête parlât,

Instinctivement, nombre de personnes s'en rendent compte, et ils évitent autant que possible cette source de pollution pour leur âme. Mais elles deviennent rares.




Les Rayonnements



La télévision est l'une des merveilles de l'électronique, cette science de l'utilisation des électrons. Ces derniers sont de petites particules chargées d'électricité.

Les électrons associés à un atome ressemblent à de minuscules planètes tournant autour du "soleil" qui est le noyau de l'atome en question. Les atomes sont les pierres de construction de la matière. Ce qu'il est important de retenir c'est que la matière n'est pas seulement physique mais qu'il existe aussi une matière éthérique, astrale et mentale.
Un deuxième point à retenir également est que les matières physiques, éthérique, astrale et mentale sont très étroitement liées et s'influencent réciproquement sans cesse. Aucun phénomène physique n'a lieu sans conséquences sur les plans éthériques, astral, et mental. Expérimentant dans l'ignorance totale de ces aspects, le savant et l'ingénieur présentent toujours un danger latent.

Dans certaines conditions, un atome peut perdre un ou plusieurs de ses électrons planètaires. On dit alors qu'il est ionisé. Il est devenu un ion positif, chargé d'une ou plusieurs charges positives. Les électrons qui ont échappé à l'attracton d'un noyau atomique sont appelés des "électrons libres". Ce sont eux qui sont responsables du courant électrique parcourant un fil conducteur ou suivant une trajectoire dans le vide, donnant ainsi naissance à un champ électrique et magnétique.

L'espace est rempli de rayonnements de natures fort diverses. Il y a des rayonnements corpusculaires, formés par des protons, par des neutrons, par des électrons, et aussi des rayonnements électromagnétiques qui, eux, se propagent avec la vitesse de la lumière, étant eux-mêmes les constituants de la lumière. Ces rayonnemments sont classés suivant leur fréquence, inversement proportionnelle à leur longuer d'onde. Ces rayonnemments électromagnétiques sont formés de particules sans masse appelées " photons " et dont l'énergie est proportionnelle à la fréquence.

Allant dans le sens des fréquences croissantes, nous avons d'abord les basses fréquences (correspondant aux longues ondes de la radio), puis les fréquences moyennes (ondes moyennes de la radio), puis les fréquences comprises entre 3 et 30 mégahertz (ondes courtes de la radio), puis les fréquences entre 30 et 300 mégahertz (ondes ultracourtes utilisées en télévision et radio), puis les fréquences comprises entre 300 et 3000 mégahertz (soit entre 100 cm et 10 cm de longueur d'onde: les micro-ondes, radars, fours à mico-ondes, etc). Vient ensuite l'immense gamme des rayons infrarouges, puis les ultraviolets, et enfin les rayons X mous, puis les rayons X durs, et les rayons Gamma qui sont émis par les noyaux atomiques ou qui sont l'une des nombreuses composantes des rayons cosmiques.



Le tube-écran d'un tube de télévision est construit sur la base d'un canon à électrons qui projette des électrons en faisceau concentré sur l'écran.
La face interne de l'écran est recouverte d'un réseau de quelques milliers de points dont la fluorescence peut être excitée dans les trois couleurs de base de la TV en couleur. Chaque fois que le faisceau d'électrons frappe l'un de ces points, celui-ci émet une lumière d'autant plus intense que le faisceau est intense.

En s'arrangeant pour que le faisceau balaie l'écran, exactement comme on lit une page d'un livre ligne après ligne, et en faisant en même temps varier l'intensité, les points luisent avec plus ou moins de luminosité, ce qui crée l'illusion de l'image.

La répétition rapide de ce processus, y compris des changements progressifs dans l'image, suggère le mouvement. Des signaux acoustiques apportent la sonorisation.

Tout en regardant la TV, on se fait donc injecter de l'énergie rayonnante, non pas sous la forme de la lumière naturelle ambiante, provenant du soleil, mais avec cette "lumière de la télévision" bien caractéristique, toute artificielle, projetée dans une intention bien précise. Elle est projetée sur le spectateur par l'écran fluorescent au moyen du canon à électrons littéralement pointé vers la personne se trouvant devant le poste de TV.

Cette énergie pénètre le spectateur et affecte les glandes endocrines ainsi que les subtils organes éthériques qui jouent un rôle si crucial dans le développement et l'éveil spirituel.



La lumière solaire naturelle est constituée d'un mélange particulier de rayonnements électromagnétiques de diverses longueurs d'ondes, qui comprennent la lumière visible allant de 400 nm (violet) à 800 nm (rouge) (ou 4000 à 8000 angströms) et des rayonnemments infrarouges et ultraviolets, ainsi que des micro-ondes centimétriques, etc. Les proportions de ce mélange sont modifiées par l'action de l'atmosphère - au demeurant fortement endommagée - jouant le rôle de filtre sélectif, et ce que nous recevons au sol est la combinaison appropriée pour la croissance et la protection de toute vie sur terre.

La lumière artificielle issue d'une autre source envoie des ensembles de longueurs d'ondes entièrement différents, ce qui peut être suffisant pour créer des problèmes.

La lumière est une nourriture pour les cellules. La nature met ses enfants à un régime de lumière bien équilibré. Chaque fois que le régime est modifié, comme dans le cas de la lumière artificielle, certaines altérations des cellules se produisent, entraînant une détérioration du corps humain et de ses organes spirituels.

L'histoire a prouvé que les experts se sont toujours trompé dans leurs évaluations de la quantité de rayonnement que l'on suppose nocive pour l'homme.

Les effets des rayonnements sur l'homme sont mesurés en Rems (Roentgen Equivalent for Man) ou en millirems (millièmes de Rems). On estimait en 1950 qu'il fallait 1000 rems ou plus pour causer le cancer de l'embryon. En 1955, on estimait que 200 rems étaient une valeur plus proche de la réalité. Aujourd'hui certains pensent que 2 rems suffisent !
Dans les années soixante, les postes de TV étaient considérés comme "sûrs" lorsqu'ils émettaient 50 millirems par heure. En 1980, la limite de la tolérance fut ramenée au centième de cette grandeur: 0,5 millirems par heure. Et ainsi de suite.

On entend souvent des remarques telles que: « Ce n'est pas si nocif, et d'ailleurs, je ne m'assieds pas trop près ».
Considérez d'abord que la majorité des gens ne croit que ce qu'elle désire croire. C'est bien connu. En deuxième lieu, on ne se rend pas suffisamment compte du fait qu'une fois que le rayon X a pénétré dans le corps, il est absorbé par les cellules, au prix d'une détérioration de celles-ci. Les effets ainsi produits sont cumulatifs.

En d'autres termes, en trois ans de télévision à raison de 4 heures par jour en moyenne, on absorbera 2 Rems, soit assez pour entraîner théoriquement le cancer de l'embryon. Et pourtant, il y a des millions de mères qui pensent - mais pensent-elles ? - qu'elles font à leurs petits une grande faveur en les mettant en face de l'écran cathodique.
Est-ce aller trop loin que de conclure que TOUTE quantité de rayons X émanant de postes de TV est susceptible d'être nuisible pour l'homme ?
Beaucoup de gens sont devenus si drogués ou si obscurcis qu'ils tentent de justifier leur attitude en disant: « Un examen radiologique est pire », ou encore « Il y a de toute façon tellement de rayonnements ambiants », et autres maximes de cet acabit.

Cela est aussi logique que de dire: « Vous me dites que mon enfant est en train de se noyer ! Quelle importance ? Trois de mes enfants se sont déjà noyés ! »

Il faut bien admettre que ce n'est pas seulement la télévision qu'il faut incriminer, car les expositions aux rayonnements sont nombreuses. Mais cela ne la rend pas pour autant plus acceptable.
Aujourd'hui, des groupes demandent instamment: « Halte à la pollution de l'eau et de l'air ! ». Demain, ils sont susceptibles d'exiger: « Halte à la pollution électromagnétique ! ». « Arrêtez de polluer nos âmes et nos esprits ! ». Mais comme cela va croissant, il sera alors trop tard.




Les effets photobiologiques





Nous avons étudié certains effets nuisibles du rayonnement des postes de télévision sur le système humain. Il est possible que d'autres techniques surgissent, permettant une élimination totale du rayonnemment cathodiques. On met du temps à généraliser les écrans à cristaux, sans doute pour continuer à favoriser le tube cathodique.
Aujourd'hui l'exposition au rayonnement reste très réelle, et cela volontairement.

Ce qui est encore plus préoccupant, c'est l'endommagement irréparable de nos organes les plus subtils tels que les couches optiques, l'épiphyse (glande pinéale) et l'hypophyse (glande pituitaire) qui sont appelées à accomplir des fonctions fondamentales dans le développement spirituel d'un individu.

Ces remarquables organes réagissent à toute lumière reçue par la rétine de l'œil.

On estime généralement que l'œil n'a qu'une seule fonction: la vue. Mais la fonction des yeux, en liaison organique avec l'épiphyse et l'hypophyse est triple:

      1 - L'interprétation de l'énergie lumineuse sous forme d'images par les circuits conduisant au cerveau (perception visuelle ou processus de la vue) ;

 

      2 - L'assimilation de l'énergie lumineuse par les voies neurochimiques et son acheminement vers les glandes pinéales et pituitaires et, de là, dans l'ensemble du système endocrinien (ingestion de la lumière ou photosynthèse) ;

 

    3 - Et l'expression de la réalité de l'âme. L'œil est appelé "le miroir de l'âme".

Concernant la deuxième fonction (la lumière en tant que nutriment des cellules), il est de la plus haute importance de veiller à la qualité de la lumière que nous ingérons ; s'il s'agit par exemple de lumière naturelle, rayonnée vers nous par le soleil, ou de lumière artificielle. Est-ce la lumière ambiante ou est-ce une lumière artificielle concentrée et injectée pour ainsi dire dans nos yeux ?

La lumière artificielle peut avoir de nombreux effets nuisibles, dont nous ne sommes pas conscients. C'est particulièrement vrai si nous sommes constamment en train de fixer une lumière comme celle de la télévision.
Il est sans doute utile de répéter que la lumière solaire naturelle représente un régime lumineux bien équilibré, tandis que la lumière artificielle, quelle qu'elle soit, comprend un mélange de composantes spectrales (couleurs) peu favorable.

La lumière de la télévision couleur contient seulement trois bandes étroites de fréquences: le rouge, le bleu et le vert.

En conclusion, nous devons dire que l'on ne saurait être assez prudent avec la lumière cathodique, pour diverses raisons. Raisons de santé, mais, ce qui est encore plus important, simple raison de survie spirituelle.
Ces organes délicats - les yeux, les couches optiques, l'épiphyse et l'hypophyse, sans parler des corps subtils et des chakras - ne sont pas construits pour les expositions fatales que constitue le bombardement journalier par la lumière fluorescente à haute énergie et par certaines quantités de rayons X. Ces expositions les attaqueront, les paralyseront et les brûleront, pour ce qui est de leurs fonctions supérieures.
Ces organes sont destinés à fonctionner en tant que centres hautement évolués de l'Énergie lumineuse, comme purs canaux pour exprimer la Réalité rayonnante de l'Âme. Par exemple, ce que l'hermétisme appelle le "cercle de feu de la pinéale" est le lieu où l'Esprit et l'Âme se rencontrent.

Les puissantes vibrations spirituelles ont besoin de réceptacles vibrant avec une grande pureté. C'est alors que le troisième œil peut s'ouvrir. Mais la télévision risque au contraire de l'obturer, en maintenant ainsi les âmes sur une fréquence vibratoire où elles demeurent contrôlables et soumises.

Si le contrôle n'est pas le but ultime de la télévision, alors pourquoi en 2001, le ministre de la culture de l'Inde, a t-il annoncé que chaque foyer indien devait être équipé d'urgence d'un téléviseur, quitte à casser les prix ? Est-ce que la télé pourvoit aux besoins alimentaires ?

 

Joel labruyère

rusty james

12 février 2017

la géobiologie et l’architecture pour déterminer comment est émise l’énergie « sacrée » bénéfique pour la vie

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Le livre « BioGéométrie » d’Ibrahim Karim se base sur la géobiologie et l’architecture pour déterminer où et comment est émise l’énergie « sacrée » bénéfique pour la vie. Selon l’auteur, cette énergie peut même diminuer les effets négatifs de « l’électrosmog ». Je vais tenter ici de résumer la thèse présentée dans son livre .

Ibrahim Karim est architecte de formation, il étudia en Suisse et reprit le cabinet d’architecte « Alemara Consulting House » de son père, qui était architecte pour le Moyen-Orient. Durant ses études, il rencontra le Dr. Mahfouz qui devint le ministre égyptien de la santé. Ibrahim Karim fut ensuite consultant pour divers ministères de pays du Moyen-Orient, et conçut les premières formes biogéométriques en 1992. En 1972 il a en effet été initié à la radiesthésie, en rencontrant le Dr. Fawzi Soleiman Soweha et le Dr. Khalil Messiha. Cela le conduisit à la Maison de la Radiesthésie à Paris. C’est par la radiesthésie et des méthodes de biofeedback qu’Ibrahim Karim chercha à concevoir des formes qui puisse résonner avec leur environnement ou les êtres vivants. Ibrahim Karim est lié au Vesica Institute, ainsi qu’à « Creating Healthy Spaces », et est apparu dans divers médias. Il a étudié l’effet de la biogéométrie dans l’agriculture (avec le Prof. Peter Mols) et a étudié l’effet sur la santé (projet du Dr. Taha Khalifa). Enfin, entre 2003 et 2005, il a implanté des formes sur des antennes relai en Suisse (à Hemberg et Hirschberg).

Energies spirituelles

Le livre insiste sur l’importance de l’énergie « BG3″, qui veut dire « BioGéométrie Trois ». Ce sont « trois qualités de base » qui sont en résonance avec une énergie subtile harmonisante et spirituelle. Ces trois qualités sont : « Le vert négatif horizontal », « l’harmonique supérieure de l’ultra violet », et « l’harmonique supérieure de l’or ». L’énergie de l’harmonique supérieure de l’or est une énergie spirituelle qui est en résonance avec l’or physique. C’est pourquoi l’alchimie peut faire évoluer les métaux en or. [Note : Stéphane Cardinaux explique (voir plus loin) que le vert négatif est en fait du blanc. On peut se demander donc, si "l'harmonique supérieure de l'ultra violet" n'est pas une énergie au-delà du magenta et que "l'harmonique supérieure de l'or" n'est pas une énergie au-delà du pourpre (la pierre philosophale est rouge et "pourpre" veut dire "le pur du pur", cf. Fulcanelli).]

Ibrahim Karim cherche à développer une « Physique de la Qualité » (opposée à notre « physique de la quantité ») qui étudierai les énergies subtiles sous-jacentes à la matières. Selon Ibrahim Karim, les sens perçoivent les octaves de fréquences de la matière (couleurs, sons, saveurs, odeurs,…) et il y a donc une organisation mathématique de la matière par des archétypes décelables dans les nombres et les formes géométriques. Ces archétypes se retrouvent dans les langages et systèmes (yi king, tarot, cinq éléments, etc). On peut faire des équivalences. Le rouge peut donc être l’équivalent du Do, par exemple.

Qualités universelles se manifestant dans le domaine sensoriel. Image : Ibrahim Karim

Comme nous le disions dans cet article :

« Les vibrations dans l’univers évoluent et s’organisent en gammes, et qu’il s’agisse du son ou de la lumière (couleurs), la compréhension de ces lois permet d’accéder à ce qu’il y a « derrière » la manifestation. Nous pouvons alors comprendre l’unité derrière tous les phénomènes, un lien profond les rassemblant.

La synesthésie est une faculté qui prouve l’unité des vibrations. La synesthésie (naturelle ou provoquée par des substances psychoactives) permet de « voir les sons », « d’entendre les couleurs », de « goûter une odeur », etc. Il est également possible de « voir les mots en couleurs », ce qui revient à voir un texte avec tous les mots d’une couleur différente, automatiquement. Le cerveau semble donc capable de traduire par son fonctionnement, la perception des « sens subtils », qui ne sont dès lors pas dissociés en « cinq sens », mais qui unissent tous les aspects de la réalité. »

Cet autre article donne une origine possible à la synesthésie : une meilleure communication entre les différentes aires du cerveau (et l’activité du cerveau est directement liée à l’activité « spirituelle », comme l’a montré Corine Sombrun) :

« Par exemple, un synesthète peut non seulement voir la couleur rouge mais « l’entendre » aussi. L’origine ? Un excès de substance blanche dans le cerveau qui permet la connexion entre les différentes zones du cortex et le transfert d’informations. Les surdoués semblent particulièrement concernés par cette prolifération de substance blanche et seraient très fréquemment synesthètes. »

Contrairement au son (l’oreille humaine peut entendre 10 octaves), les yeux ne voient qu’une octave de couleur. C’est pourquoi nous ne parlons pas de résonance pour la couleur.

Cette énergie BG3 est présente dans les lieux terrestres ou célestes, qui sont des lieux de pouvoir spirituel où se retrouvent des monuments sacrés. Mais on peut aussi la retrouver ailleurs,

Radiesthésie

Ibrahim Karim a étudié la radiesthésie d’abord en trouvant des instruments de Chaumery et Bélizal. Il étudia ensuite des auteurs des années trente, dont Turenne, Enel (Scariatin), Voillaume et d’autres. C’est la mort tragique de Chaumery qui marqua la fin de cette époque. C’est Madame Lambert, à la Maison de la Radiesthésie de Paris, qui lui donna les manuscrits originaux, parce qu’une guérisseuse, Jacqueline Debeaux, lui a dit qu’elle devait attendre la venue de « l’égyptien ».

Le livre d’Enel, disponible sur scribd

Ibrahim Karim remarqua que le pendule fonctionne comme une corde de musique, et la longueur de la corde est très importante, elle permet de précisément mesurer les énergies. C’est ce qui poussa Ibrahim Karim a étudier le travail de Hans Kayser, Hans Jenny et à revenir à l’Antiquité (monocorde de Pythagore). C’est Enel, en 1940-1950 qui utilisa le principe du pendule de Chaumery pour étudier les énergies des tombes de saints chrétiens en Egypte.

« Enel découvrit que [toutes les tombes] émanaient une certain qualité de vibration dans la zone de ce que nous appelons « Vert Négatif ». Le Vert Négatif est une qualité d’onde porteuse qui a des propriétés de communication très puissantes sur tous les niveaux d’énergie de la nature, et est une porte sur d’autres dimensions. Enel nomma cette qualité d’énergie « Omega ». Dans la gamme de couleur qualitative de la radiesthésie, Omega fait partie de la zone du Vert Négatif Horizontal, dans la zone grise entre le blanc et le noir, à l’opposé du vert. Enel conclut que la présence de cette énergie Omega indique la présence d’une énergie spirituelle (…) »

« L’exemple le plus connu est la pyramide. Elle est capable de momifier naturellement n’importe quel fruit en son centre (à un tiers de sa hauteur à partir du centre de sa base) du fait qu’elle émet du « vert négatif ». On lui prête aussi la propriété de rafuter de vieilles lames de rasoir. Personnellement, je n’ai pas essayé.

Le « vert négatif » s’appelle ainsi car il est à l’opposé du vert sur le spectre des couleurs en radiesthésie.

Sinon un autre exemple moins connu mais que je retrouve chez beaucoup de mes clients, c’est l’antenne rateau de télévision. Elle émet un rayonnement vert négatif verticalement. » (Source)

« Ils ont ensuite étudié les énergies environnantes avec ce pendule et ont découvert que tout pouvait s’analyser par une combinaison de ces couleurs. Ce sont en fait des noms donnés aux énergies non détectables matériellement, en particulier les ondes du domaine vital. Certaines ondes, en particulier le vert négatif ont des effets très particuliers, voire dangereux si en excès. En fait, tout excès d’une couleur, quelle qu’elle soit et quelle que soit sa polarité est à éviter. Seul l’équilibre est gage de bonne santé. Par exemple, le V- se retrouve en quantité excessive dans la chambre du roi de la grande pyramide. Une de ses propriétés est de détruire les bactéries en desséchant, ce qui explique la momification du chat. » (Source)

« Le Vert négatif est également indissociable de basse vibration. En règle générale tout ce qui vibre bas émet du vert négatif en abondance.

Cette analogie V- / basse vibrations est non seulement vrai au niveau énergétique, mais également au niveau physique, car on sait qu’un lieu est plus froid lorsqu’il est saturé en V- (Il y a d’ailleurs existé un projet à un époque de faire des chambres froides en utilisant cette onde.)

On peut même aller jusqu’à expliquer de cette façon la raison pour laquelle un lieu où sont pressentes des entités basses (je pense notamment aux âmes errantes) sont anormalement froids (et donc par conséquent, la légende qui tend à dire qu’un fantôme dégage du froid.) » (Source)

Suite à ces recherches, Ibrahim Karim a déterminé que les monuments sacrés utilisaient le vert négatif horizontal, mais aussi deux autres énergies. A propos du « vert négatif », Stéphane Cardinaux explique dans Géométries sacrées, p.28 :

« Le spectre des vibrations-couleurs de MM. Chaumery et De Bélizal, datant des années trente, comporte, entre le rouge (l’écarlate) et le violet (le pourpre), du noir, du blanc et du « vert négatif ». Ils ont dessiné et nommé ces couleurs par commodité, mais n’ont jamais dit que le « vert négatif » était réellement de couleur verte. Ces pseudo-couleurs servent simplement à différencier ce qui se passe entre le magenta et le pourpre. Le spectre électromagnétique ne comprend qu’une seule fois le vert, l’introduire deux fois dans un spectre subtil est une absurdité.
En tant que vibration, le « vert négatif » existe pourtant bel et bien, mais il est… blanc !
Dans la pratique, ce blanc est légèrement rosé car contenant toujours un peu de pourpre et de magenta. C’est la couleur du 7ème chakra et celle aussi de l’âme humaine, la fameuse couleur « fleur-de-Pêcher » des anthroposophes. (…) Le blanc est la vibration la plus puissante qui existe, mais l’être humain n’est capable de l’absorber qu’en partie. Exploitée dans les pyramides égyptiennes, cette énergie a le pouvoir de momifier, c’est-à-dire de dessécher la matière vivante et de la cristalliser en une matière minérale imputrescible. (…) Cette énergie est très négative pour les êtres vivants, leur corps éthériques se rétractent et se densifient pour protéger le corps physique contre cette agression. (…)
Une énergie « négative » peut être transmutée en une énergie « positive ». Cette énergie devient alors favorable à l’être humain, le corps éthérique se dilate de façon extrême, facilitant ainsi la décorporation de l’âme. Tel est le but de la Grande Pyramide, lorsque vous êtes dans la Chambre du Roi, couché dans le sarcophage vide. »

Ondes électromagnétiques et ondes de compression

Ces énergies qui informent la matière sont difficiles à mesurer. Un peu comme pour la parapsychologie étudiant la télépathie. Ces ondes sont instantanées et simultanées. Ibrahim Karim explique que les ondes électromagnétiques, en se déplaçant, émettent des ondes « secondaires », des « ondes de compression », comme une turbulence autour d’un bateau en déplacement qui forme des tourbillons autour de lui. Ce sont des « ondes longitudinales », qui se déplacent plus ou moins vite.

C’est Paul Devreux et Konstantin Meyl qui ont étudié les ondes scalaires, un type d’onde longitudinale de compression. On parle aussi d’ondes de torsion en Russie. Pour Konstantin Mayl, les réseaux d’énergie (Hartmann, etc) sur terre sont des ondes scalaires, et que les méthodes des sourciers se basent sur ces ondes. Konstantin Meyl explique aussi que l’électrosmog est grandement aggravé par ces ondes. [A noter qu'Ibrahim Karim dit aussi, dans son livre (paru en 2010) que ces ondes ont un rôle dans le réchauffement climatique... alors qu'on sait qu'il n'y a pas de réchauffement mais un refroidissement.]

Konstantin Meyl a déterminé également que les longueurs d’ondes scalaires sont les mêmes dans les temples qui sont dédiés aux mêmes dieux. (p.29) Cela montre qu’ils associaient chaque dieu à une qualité d’énergie différente.

Ibrahim Karim pense aussi que lorsque Pythagore faisait référence à la musique des sphères, il évoquait en fait l’audition d’ondes de compression/scalaires qui sont proches du son par leur nature, et qui pourraient être causées par l’écho (sous forme d’onde longitudinale) de l’énergie solaire sur les planètes. En effet, ces « ondes secondaires » de type longitudinale sont alimentées par les ondes EM mais sont similaires aux ondes sonores « à un niveau inaudible au-delà de notre capacité auditive », et donc sont influencées par les formes.

Les ondes « scalaires » sont les ondes de forme (de la Terre)

Stéphane Cardinaux mentionne aussi ces « ondes de compression » évoquées par Ibrahim Karim et le rapport qu’elles ont avec le son.

« Des expériences et notre ressenti nous ont fait comprendre qu’il manquait une clé importante à notre théorie sur les réseaux. (…) Nous sommes actuellement persuadés d’être en présence d’un phénomène éthérique et non électromagnétique. Si tel avait été le cas, il y aurait bien longtemps qu’un appareil aurait été mis au point. (…) Grâce au Sonotest, les réseaux peuvent être mis en évidence quand le son semble passer d’une oreille à l’autre – comme si le son venait d’endroits différents lorsque l’appareil traverse une ligne. (…) Notre intuition nous conduit d’ailleurs à penser que les sons font le lien entre les plans et que l’électromagnétisme reste limité au domaine de la matière physique. (…) A notre avis, les ondes électromagnétiques en elles-mêmes n’ont que peu d’effet sur le corps. A faible intensité, c’est l’information véhiculée par la vibration éthérique qui, elle, a une forte incidence. (…) Nous estimons que les réseaux telluriques ne sont rien d’autre que les ondes de forme de la Terre, activés par le champ magnétique – leur source d’énergie – véhiculant des informations, telle la signature vibratoire des métaux et métalloïdes dont est composée la planète. Cela permet de comprendre pourquoi l’information des métaux, réémise par radionique, influence une ligne – qui se met à vibrer par résonance avec ledit métal. (…) Il semble y avoir de fortes similitudes entre les ondes sonores et les réseaux telluriques. [Stéphane Cardinaux fait référence à une expérience de type Plaque de Chnaldi]. »

Ibrahim Karim a un avis similaire sur ces ondes (qui au passage peuvent avoir une « torsion » droite ou gauche selon leur position par rapport au mouvement de l’onde EM qui les a produites). Ces ondes sont comme des « vagues » qui constituent la « signature vibratoire » de tout objet. :

« Les différents types de grilles d’énergie subtile de la terre résultent d’ondes secondaires longitudinales de compression causées par le mouvement dans les patterns électromagnétiques de la terre. » (p.216)

Les composantes de l’onde EM

Source image

Puis Ibrahim Karim explique que le rayonnement électromagnétique du soleil est constitué d’une composante magnétique et d’une composante électrique, l’une « verticale », l’autre « horizontale ». La lune annule l’effet électrique du soleil (vertical). A propos de la polarisation, voir cette page sur la lumière et ceci sur les radars :

« De nombreux radars sont conçus de manière à transmettre le rayonnement des hyperfréquences en polarisation horizontale (H) ou verticale (V). Cette onde transmise, qu’elle soit en polarisation H ou V, peut générer une onde rétrodiffusée avec différentes polarisations. On appelle polarimétrie radar la technique d’analyse de la combinaison de ces polarisations. » (Source)

Le danger des ondes EM utilisées dans la société

Ibrahim Karim pense qu’il est faux de dire que les ondes non-ionisantes, comme les ondes radio, sont sans danger. « Sur le plan subtil, il y a des changements dans la qualité de l’effet sur les systèmes vivants d’énergie » (p.40) Nous sommes exposés sans arrêt à ces ondes non-ionisantes, et pourtant, leur « qualité » est « similaire à celle des rayons X ». L’impact sur la santé est plus difficilement décelable que pour les ondes ionisantes mais est réel. (p.41) Notre système immunitaire est lentement mais surement annihilé. Stéphane Cardinaux fait une remarque intéressante au sujet de cet électrosmog :

« J’ai eu la chance de pouvoir expérimenter une chambre de Faraday spécialement construite pour arrêter les ondes électromagnétiques. (…) A l’intérieur, les réseaux sont très clairement perceptibles, avec les mains et audibles avec le Sonotest. Cette expérience démontre que les réseaux ne sont pas de nature électromagnétique.

J’ai profité de cette chambre pour prendre des valeurs bioénergétiques. J’étais intéressé à comparer deux zones neutres, l’une dans la chambre et l’autre à l’extérieur pour déterminer l’impact de la pollution électromagnétique ambiance (electrosmog). La différence est de 30%, c’est-à-dire que notre énergie serait d’un tiers plus élevée si nous ne subissions pas cette pollution. Les valeurs correspondent à la banlieue de Fribourg, donc sans comparaison avec ce que certains subissent dans une grande ville. » (p.52, Géométries sacrées vol. 1)

Les « points cancer »

Ibrahim Karim cite Gustav Freiherr Von Pohl, un scientifique allemand, qui enquêta sur les taux de cancer dans plusieurs villes, en 1929. Il prit la ville avec le plus haut taux de cancer et la ville avec le plus bas taux de cancer, et perçut que 80% des cas de cancer ne se trouvaient que sur 10% de la zone

« Hauts-lieux Cosmo-telluriques« , de Blanche Merz, qui indique que le points le plus puissant en Suisse se trouve à Forch. Après y avoir été, Ibrahim Karim a eu la nausée pendant plusieurs jours.

étudiée. « C’est une indication claire que le problème était lié à certains lieux. » (p.43) Ces lieux se trouvent au-dessus de croisements de cours d’eau souterrain, qui « créent une sorte de vortex ou portail qui se connecte à la dimension spirituelle et confère ses qualités à l’énergie du vortex sur le plan spatiotemporel. Cela produit une Qualité d’Energie Spirituelle qui est ralentie à une vitesse que nous pouvoir percevoir. » (p.45) Des exemples : Chartres, Lourdes, le puits de Zamzam à la Mecque, etc.

Chaumery et Bélizal ont déterminé que sur ces points, on retrouvait une énergie puissante (à la fois horizontale-magnétique et verticale-électrique) nommé Vert Négatif. Cette énergie a des caractéristiques d’une onde porteuse.

Pour expliquer ce qu’est le Vert Négatif, Ibrahim Karim prend l’exemple du soleil et de la terre. Sur la partie éclairée, tout le spectre des couleurs se retrouvera selon l’inclinaison des rayons. Mais l’espace qui se trouve exactement de l’autre côté du soleil aura le « Vert Négatif ». Dans cet espace, seule l’énergie qui a pu pénétrer le globe sera présente.

Pourquoi certains points guérissent et d’autres rendent malade

Les ondes ont un aspect horizontal et vertical (magnétique et électrique). « Quand l’aspect vertical du Vert Négatif est présent, il perturbe l’énergie de nos cellules. » Et des formes peuvent agir sur cette énergie.

« Des formes comme les pyramides, hémisphères et cônes, ont une configuration possédant une qualité d’énergie spéciale. Ces formes ont une qualité d’énergie de Vert Négatif émanant de leur base. Le Vert Négatif dans ce cas irradie à la fois la constituante horizontale et verticale. De telles formes sont dangereuses car elles émettent une radiation très nocive. Des formes que nous rencontrons couramment tous les jours peuvent être dangereuses si elles ne sont pas modifiées adéquatement. Autrefois, les constructeurs connaissaient les propriétés de ces formes et pouvaient annuler les effets nuisibles de ces formes puissantes avec quelques ajustements mineurs. » (p.54)

Comme dans la nature on retrouve à la fois les constituantes verticale et horizontale, il s’agit d’annuler

Plusieurs façons d’annuler le Vert Négatif Vertical. Une autre manière est d’indenter les faces comme pour la grande pyramide (qui a donc 8 faces)

la constituante verticale. « Il y a une qualité d’énergie venant du ciel, nommée « Energie Stellaire » en Radiesthésie, qui neutralise le Vert Négatif Vertical. Lever les mains au-dessus de la tête pendant un moment capturera cette énergie et nettoiera le corps de tout Vert Négatif Vertical. » (p.55)

Pour en revenir aux formes, la pyramide comme la demi-sphère (qui sont semblables) émettent du Vert Négatif vers leur base, parce ce sont des formes coupés en deux.

Les égyptiens comme les constructeurs de mégalithes ont utilisé certaines pierres en granit, amenées de loin, pour amplifier l’énergie du lieu de pouvoir. La nature des roches est donc importante.

Castaneda, notamment dans Histoires de pouvoir, explique que les « lieux de pouvoir » sont des endroits où un accès à d’autres dimensions de conscience est plus aisé. Le lieu de pouvoir de Castaneda se trouvait au sommet d’une colline, mais il en signale d’autres, notamment une falaise et les grottes à la base. Cela fait automatiquement penser aux grottes peintes, comme Lascaux. Simon Buxton rapporte en effet que :« les peintures rupestres sont dues au fait que les hommes de la préhistoire considéraient les parois comme des « membranes » qui pouvaient ouvrir sur d’autres mondes, celui des « sages enseignants ». » Ibrahim Karim note à ce sujet que : « Les hommes des cavernes

Kosta Danaos mentionne une grotte à Moni Katholikou en Grèce, et explique pourquoi les humains s’y rendaient : pour être plus proche du champ d’énergie yin et donc des esprits (qui sont yin, comme les veines métallifères). Simon Buxton rapporte également une expérience de conscience dans un espace souterrain spécifique :

« Kernow exerce un attrait particulier sur nous, car cet endroit perte encore des traces de la Lyonesse et de l’Atlantide, ces iles jadis englouties par les flots, et dont le souvenir s’est perdu dans les profondeurs de nos esprits. (…) »

La raison de leur voyage en Cornouailles est que selon la structure rocheuse d’une région engendre sa vie intérieure. Chaque type de roche a un effet sur le psychisme.
Bridge et Brindille descendent dans une sorte de « cabane ruche » souterraine, une salle avec une résonance particulière.

« Le son de sa voix en ce lieu avait une riche résonance et je pouvais comprendre pourquoi on avait donné ce nom à cette salle, car elle ressemblait à la structure intérieure d’un bournac, sauf que celle-ci était complètement souterraine. Une atmosphère chargée y régnait. 
En guise d’explication de la riche sonorité de l’endroit, Bridge fit la remarque suivante : « Cet environnement rituel a été construit spécialement pour créer de telles propriétés acoustiques. Nous y chantons à l’intention des abeilles lors des cérémonies que nous y menons et qui sont effectuées uniquement par ceux qui sont en étroite communion avec la Terre. »

Les propriétés acoustiques des monuments anciens sont étudiées par l’archéoacoustique. Il a été déterminé que l’effet sur le cerveau est réel (voir sur le 110 Hz cette page et celle-ci.)

Tour de Harran, Mésopotamie. Source image

L’association d’un lieu de pouvoir à un bâtiment produisait certaines fréquences selon la taille de la construction. Menhirs, tours rondes d’Irlande, tour de Babel (?), obélisques, minarets, clochers (qui ont une forme de pyramide ! comme les obélisque) agissent tous à ce niveau énergétique, comme une « flûte » dont la forme permet de canaliser l’énergie du Vert Négatif.

Ibrahim Karim évoque aussi la construction des villes. « Les villes formaient comme un énorme cristal qui reliait les lieux de pouvoir terrestres et célestes (…).«  Les constructions et les rues de villes modernes (ex: Washington, Paris…) et des villes anciennes sont placées sur le réseau de lignes d’énergie, les « ley lines », qui suivent par exemple les chemins de pèlerinage ou les routes romaines sur lesquelles marchaient les soldats. Ces lignes s’élèvent très haut dans le ciel, ce sont donc plutôt des « grilles atmosphériques ». Les anciens monuments, comme les alignements mégalithiques de Bretagne et les pyramides égyptiennes, suivent exactement ces réseaux, pour preuve, cette étude de Howard Crowhurst.

La mosquée du sultan Hassan, calquée sur les grilles d’énergie jusqu’au moindre détail, construite en 1361 au Caire.

Stéphane Cardinaux, que mentionne Ibrahim Karim dans sa bibliographie, explique que non seulement les anciennes constructions se servent de ces grilles énergétiques et des « lignes de ley », mais qu’elles utilisent également des « courants telluriques » qui sont comme les vaisseaux sanguins de la terre :

« Les civilisations du monde ayant vénéré la Terre Mère ont toutes établi leurs lieux sacrés sur des courants telluriques. En Occident, cette tradition se perd avec la disparition des derniers druides (reconvertis dans les communautés monastiques) et la Grande Peste de 1350. » (…) « De nombreux chemins de pèlerinage fort anciens suivent le parcours de courants telluriques. Il est probable que les Anciens devaient, tout comme moi, voir ces courants sous la forme de « rivière rouge » serpentant dans le paysage. La curiosité les a certainement poussés à suivre ces courants en les remontant pour voir d’où ils sortaient. Nombre d’entre eux mènent à des grottes où l’énergie est encore amplifiée par la vibration de la roche et celle du courant, renvoyée par les parois, un peu à l’image d’un four à micro-onde. » (Stéphane Cardinaux, Bioénergie, pp 198-200)

Ibrahim Karim dit ensuite que :

« Les objets placés sur certains croisements peuvent harmoniser l’énergie des grilles grâce à leur qualité de matériau ou leur conception géométrique. » (p.67)

« Les murs étaient placés sur les lignes des réseaux, et les colonnes sur les croisements des réseaux. Les bâtiments étaient ainsi empreints de l’énergie subtile harmonisante, qui, au-delà du bien être et de la prospérité des habitants, joua un rôle majeur sur la conservation du bâtiment pendant des siècles et millénaires. L’origine de l’architecture orthogonale, carrée et rectangulaire était naturelle car les bâtiments étaient calqués sur les grilles du système d’énergie subtile de la terre. » (p.67)

Les points d’énergie forment des vortex qui sont visibles par clairvoyance. Il y en a un derrière l’autel de la cathédrale d’Albi, ou au centre du labyrinthe de Chartres.

Usage chamanique et thérapeutique des lieux de pouvoir

Cette énergie que l’on retrouve dans les lieux sacrés a cet effet de « centrage spirituel » du au « BG3″. Le corps, comme un instrument, réagit par résonance et s’harmonise. Ces endroits auraient pu être utilisés pour une « thérapie par le rêve », où la personne malade puisse accéder à un autre niveau de conscience et se purifier. « La forte énergie induisait des états de conscience altérés dans lesquels le sujet faisant l’expérience de rêves purificateurs, et d’expériences hors-du-corps qui produisaient un effet guérisseur holistique à tous les niveaux. » (p.75)

Ibrahim Karim fait l’hypothèse que les ouvertures dans la pyramide étaient conçues pour relier la construction à des énergies cosmiques correspondant à des lieux de pouvoir non-terrestres. Le but est de permettre à l’âme d’y accéder, dans le cadre de pratiques chamaniques.

L’énergie BG3, comme nous l’avons vu, « ouvre un portail sur d’autres réalités et améliore la communication avec d’autres dimensions. Cette porte au-delà de l’espace-temps a donné lieu aux lieux de pouvoir sacrés de nombreuses cultures, depuis le temps préhistoriques jusqu’au monde moderne. » (p.86) Un tel type de portail existerait près de Rennes-les-Bains (nous en avons déterminé l’endroit dans ce document), en raison de la configuration du terrain et de la présence de fer dans le sol.

Évoquant la grande pyramide, Ibrahim Karim explique que : « L’utilisation de ces chambres comme machines temporelles aurait nécessité des rituels spéciaux. Pour le non-initié, cet état aurait pu les bouleverser et produire une expérience traumatique pouvant avoir des effets psychologiques permanentes. Quand l’empereur français Napoléon Bonaparte se rendit en Egypte en 1798, il passa une nuit dans la Chambre du Roi de la Grande Pyramide. Quand il en ressortit, on relata qu’il était extrêmement troublé et choqué par quelque chose dont il refusait de parler. (…) Il insista pour ne jamais en parler. Avant sa mort, un ami qui lui rendit visite lui demanda ce qu’il s’était passé cette nuit-là. Napoléon allait en parler, mais s’est arrêté et a dit : « Quelle importance ? C’était tellement étrange que personne ne me croirait de toute façon. » (p.88)

« Nous remarquons ainsi l’analogie entre d’une part le peuple qui habitait le Wiltshire il y a 5000 ans environ et d’autre part le peuple scythe présent dans le Caucase il y a 3000 ans : ces deux peuples se sont distingués par de nombreuses sépultures en forme de tumulus, et par une place particulière accordée aux chevaux. » (Source : D. Harran)

Ces chambres, utilisées comme « caissons » ouvrant sur d’autres dimensions, peuvent être expliquées par le travail de l’astrophysicien et astronome russe Nikolai Kozyrev (1908-1983) qui avait suggéré l’existence d’une nouvelle forme d’énergie imprégnant tout l’univers. Ce serait comme des « Ondes Temporelles », que tout objet émet et reçoit. Elles pourraient seulement être détectées par leur effet piezoélectrique sur certains cristaux. « Ces ondes temporelles, cependant, peuvent être réfléchies à 100% par l’aluminium ou le granit et pourraient inverser leur polarité si elles sont réfléchies par des miroirs. »

Caisson

Cela expliquerait à la fois les effets du psychomanteum, des miroirs et de leur utilisation magique. « Deux autres chercheurs, Kaznacheev et Trofimov, ont réalisé des expériences en 1990. Ils ont construit le « Miroir de Kozyrev », qui était constitué d’un cylindre d’aluminium dans lequel une personne pouvait rentrer. L’aluminium réfléchissait toutes les ondes temporelles du dehors de sorte qu’elles ne pénétraient pas à l’intérieur, et maintenait les ondes temporelles émises par la personne à l’intérieur du cylindre. Les personnes qui passaient du temps dans le cylindre rapportaient des changements de perceptions importants. Et Ibrahim Karim rapporte que le taux de BG3 est important à l’intérieur. Est-ce quelque chose de similaire qui se trouve dans les anciens monuments ?

Olga Kharitidi, dans son livre The Master of Lucid Dreams, rapporte également de telles expériences. Dans un centre d’étude en parapsychologie tenu par le Dr Smirnov, ils étudiaient scientifiquement les personnes placées en état de transe dans une pièce noire où se trouvaient des miroirs. Et dans son premier livre, Entering the Circle, elle décrit de nombreuses expériences au sein d’un caisson composé de miroir rond. Ce caisson, qui se trouvait dans le laboratoire du Dr. Dmitriev, servait à « ouvrir des canaux vers d’autres états de conscience » (chap. 13-16) « Nous avons appris que c’était une des façons d’altérer la perception du temps d’un individu. Nous ne comprenons pas totalement de quelle façon, mais les miroirs servent à transformer le temps et l’espace de la personne à l’intérieur. » Dans une de ces expériences, elle se retrouve ailleurs avec un homme qui lui explique ce qu’était la grande civilisation d’Eurasie, au nord de la Sibérie, qui fut détruite par un changement catastrophique du climat, et dont il reste des traces de la philosophie dans le zoroastrisme.

L’énergie BG3 permettrait-elle aussi de manipuler la gravité ?

Quand Ibrahim Karim rencontra Yacoub Al-khousamy à Louxor, il lui raconta une histoire sur le sujet de l’anti-gravité. « Il parla du nombre de fois où il vit dans sa jeunesse son père réaliser des exploits d’anti-gravité, où une énorme pierre était par exemple rendue légère et pouvait facilement être déplacée au bon endroit. La tradition locale dans la région, cependant, attribuait cette connaissance et ces dons à Khoja Yacoub lui-même. » (p.93)

Cela ressemble beaucoup à l’exploit d’Ed Leedskalnin qui construisit le Château de Corail par des techniques associant probablement rotation, son et électricité, qui lui ont permis de déplacer de lourdes pierres sans recourir à la force physique. C’est donc à nouveau cette énergie BG3 ou « yin », qui semble être en jeu ici.

Une autre observation d’Ibrahim Karim vient appuyer ce lien entre BG3 et gravité. Il a déterminé que l’eau qui entoure le bébé dans le ventre semble avoir les mêmes qualités d’énergie que l’eau des lieux sacrés. « Pas étonnant que la mère soit vénérée dans de nombreuses religions et cultures. » (p.94)

Mouvements et gestes pour accumuler l’énergie BG3

Le Dr V. S. Ramachandran explique, dans Phantoms in the Brain, que c’est le lobe frontal de l’hémisphère droit qui s’active lorsque quelqu’un vit une expérience mystique. Persinger a nommé cet endroit le « point de Dieu ». Ibrahim Karim explique donc que des techniques religieuses, comme dans le soufisme, servent à équilibrer cette énergie pour ne pas provoquer une perturbation cérébrale. Ibrahim Karim évoque certains rituels et dit que le simple fait de lever le doigt crée un tourbillon d’énergie qui manifeste l’énergie BG3 [Note : On retrouve ce rituel utilisé à des fins alchimiques dans la Franc-maçonnerie turque.]

La capacité de centrage

Après avoir expliqué que l’univers se divisait entre deux polarités, Ibrahim Karim explique que plus on se rapproche du centre, plus on est équilibré, tandis que plus on se trouve dans le mouvement (en

Symbole du soleil en alchimie

terme de dispersion, fragmentation), plus on est déséquilibré. Cependant c’est le fait que ces deux forces existent dans l’univers qui fait la création (yin/yang). L’auteur donne l’exemple d’un atome, avec des charges positives et négatives qui sont en conflit. Le mouvement de l’électron, sa vibration, produit la « réalité » de l’atome, qui autrement est plongé dans le vide. « L’espace vide est rempli de mouvement équilibré par les lois d’une sagesse supérieure. » (p.111)

Dès lors qu’il existe un centre, il produit une harmonie autour de lui, car : « le centre réel du point central n’a ni attribut de temps ou d’espace, et ainsi il est lié à une autre dimension que la figure géométrique qu’il équilibre. Cette connexion transcendantale du centre à une autre dimension est une porte au travers duquel le moment intemporel primordial se manifeste au sein de la dualité du mouvement et de la forme. » (p.111)

Ainsi, c’est la connexion à ce centre qui permet « d’informer » le milieu (la réalité spatiotemporelle). C’est ainsi l’information qui produit la réalité, d’abord sous forme de « champ morphogénétique » puis de monde matériel. C’est la connaissance qui est le principal constituant de la matière. Les formes représentent cette connaissance « figée » dans le mouvement de la matière. « L’architecture sacrée ancienne est du « son gelé » (…) Ces monuments sont des symphonies musicales intemporelles, jouant sur nos champs d’énergie à un niveau inconscient. » (p.189)

C’est une telle « connexion au centre » qui expliquerait le fonctionnement du reiki : une « réinformation » du corps. D’autres thérapies utilisent aussi l’information : l’homéopathie ou encore la lithothérapie (les pierres transmettant « l’information » manquante). Nous verrons plus loin qu’Ibrahim Karim propose une nouvelle thérapie, utilisant les formes ou symboles pour « réinformer » l’individu.

Les formes comme des interfaces

Les formes constituent une interface entre la matière/l’énergie supérieure (éthérique) et la matière/l’énergie matérielle (électromagnétique). C’est pourquoi toute forme est une « interface », une frontière, et c’est à chaque frontière que se révèle l’énergie BG3 (frontière de l’horizon entre ciel et terre, frontière entre mer et plage, frontière entre jour et nuit…). La frontière d’une forme agit comme une couche de séparation isolante entre le système d’énergie intérieur et l’environnement extérieur. La frontière contrôle l’échange d’information et d’énergie. Ainsi, une forme « informe » l’environnement par ce qu’elle transmet comme information. C’est pourquoi les peaux ont tant d’importance dans le chamanisme.

Ibrahim Karim explique que les points d’acupuncture sont comme des interfaces qui permettent à l’information de circuler entre le corps et l’environnement.

Comme tout est conscient, tout s’échange de l’information. C’est pourquoi Ibrahim Karim pense qu’il doit y avoir un « langage universel ». « Si nous pouvions trouver le langage universel primordial qui interconnecte tout dans l’univers et maintient son unité, peut-être pourrions-nous communiquer et échanger des informations avec le vent, parler aux arbres, animaux et oiseaux, et à toute chose dans l’univers, visible ou invisible. » (p.120) Ce langage doit être vibratoire. Il est constitué de rythmes, car toute vibration, toute note, est un rythme.

Hans Kayser (1891-1964), un auteur suisse essentiel sur la dimension spirituelle des harmoniques.

Quand une résonance se crée entre deux champs énergétiques, les deux systèmes ne retournent pas ensuite à leur état initial. Les systèmes « s’informent » mutuellement. C’est par la résonance que l’évolution se produit. Tout, dans l’univers, est interconnecté et s’échange des informations.

Ibrahim Karim explique ensuite dans les chapitres suivants son idée de l’évolution de l’humanité, au niveau cérébral. D’abord une unité de cerveau droit (rapport direct à la nature), puis de cerveau gauche (intellect/ego), puis nous en revenons au cerveau droit et une double activation pourrait s’effectuer (vision du monde comme une unité avec ego intégré). A noter que l’on peut percevoir l’influence de Schwaller de Lubicz dans le fait qu’il pense que les égyptiens voyaient dans les divinités des archétypes vibratoires de la création, des « neters« . Ibrahim Karim dit que ces neters se retrouvent dans notre panthéon des anges, et que toutes ces divinités forment toujours le chiffre 9 (elles sont incomplètes, ce sont des aspects de l’unité). Il y a 72 ou 81 anges, 99 noms de Dieu, etc.

Ibrahim Karim explique que les statues égyptiennes étaient spécifiquement conçues pour harmoniser l’environnement, de par leurs proportions.

L’auteur explique que les formes sont une autre manière d’agir sur la matière, elles agissent comme un « son ». En 2005 Ibrahim Karim rencontra le Dr. Emoto dans son laboratoire du Liechtenstein et ils firent des expériences prouvant que la biogéométrie agit sur les cristaux de glace.

Les nombres

Ibrahim Karim a déterminé que certains nombres partagent l’énergie BG3. Ces nombres sont les suivants :

13, 19, 28, 34, 43, 54, 68, 72, 83, 89, 99… etc

Ces nombres ne sont pas basés sur des proportions mais seulement sur l’énergie BG3. Il y a un lien avec le nombre d’or et le fait que l’ellipse (exemple : l’oeuf) est la forme harmonique idéale. Cependant, le nombre 16 qui apporte l’énergie BG3 au nombre d’or n’est pas le seul à créer des proportions importantes.

Les applications de la biogéométrie

La dernière partie du livre est dédiée aux applications pratiques de la biogéométrie, qui concernent principalement l’architecture (comprise comme une gestion de l’espace à un niveau subtil), mais qui peuvent servir dans beaucoup d’autres domaines.

Nous avons vu que les « ondes longitudinales/de torsion/de compression » sont comme des vagues qui ont leurs harmoniques autour des objets. Cette vibration qui se propage contient « les pensées et les émotions qui imprègnent la matière, l’énergie cosmotellurique du lieu, toutes les énergies  électromagnétiques et toutes les informations sur la matière qui rayonne (structure, couleur, type d’atome). » Selon Stéphane Cardinaux, qui a dessiné de nombreuses ondes de forme dans Bioénergie, les pyramides produisent deux changements du champ de torsion de l’énergie cosmotellurique.

Ondes de forme d’une pyramide. Image : Stéphane Cardinaux

Il est intéressant de noter que Stéphane Cardinaux note que « les ondes de forme sont accentuées par les phénomènes cosmotelluriques [et par les champs EM comme un téléphone sans fil]. Elles renforcent les effets négatifs des courants d’eau souterrains et des failles au point de rendre parfois une maison invivable. » (p.220)

Puis Stéphane Cardinaux indique, en étudiant un mandala, que « je suis convaincu que ce type de géométrie a une action, non seulement au niveau éthérique, mais aussi sur les plans astral et mental. »

Ibrahim Karim montre, dans ce même ordre d’idées, que chaque type de formes a une action sur les plans physique, émotionnel, mental et spirituel de l’individu. Il a réalisé un classement des formes en relation avec leur résonance sur l’individu.

Il explique ensuite que certains motifs ont également une action. Il les appelle des « BioSignatures », parce que leur formes correspondent à des organes internes. Il intègre ces motifs dans l’architecture ou dans le mobilier.

Détail de la couverture du livre, montrant des symboles, les « BioSignatures ».

Ibrahim Karim a mené des expériences avec des BioSignatures sur des bactéries (1992) et les intègre même à des puces électroniques. « Nous avons établi que les formes peuvent entrer en résonance, comme les notes de musique. » (…) « Nous pouvons créer une résonance entre un motif et un organe. »(p.248)

Les BioSignatures sont étonnamment similaires aux symboles utilisées dans le reiki, et d’autres comme ceux du Kunta Yoga. Ils font également penser aux « sigils » magiques d’Austin Osman Spare. On peut également y voir une ressemblance avec les symboles de Stephenville et quelques « alphabets aliens« .

« Une forme de BioSignature est très sensible à des changements mêmes infimes du motif. Si elle est dessinée d’une autre manière ou en commençant par un autre endroit, la forme ne produira pas la qualité d’énergie subtile désirée. Elles pourront avoir la même apparence, mais perdre leur pouvoir. Le point de début et de fin de la forme dessinée est une affaire très délicate (…) » (p.254)

Leur action est similaire à celle du Kunta Yoga tel que décrite par Ilia Beliaev :

« Le Kunta Yoga comprend des centaines de signes et de mantra, ainsi que des pratiques diverses, destinées à dirigier le flux de l’énergie intérieure. La visualisation des signes à l’intérieur des chakra et des nadî (centres et canaux énergétiques) les purifie et leur donne la forme d’accomplir une transformation intérieure. Les symboles et mantra du Kunta peuvent être également utilisés pour le contrôle des situations extérieures, grâce au changement de leur structure énergétique : par exemple, on peut neutraliser une attaque, aussi bien physique qu’astrale, à l’aide du symbole « ahimsâ », qu’il faut visualiser distinctement entre l’agresseur et sa victime. Après une certaine pratique, le symbole « s’allume » d’un vif éclat, simplement quand on y pense. (…)

Il faut représenter les symboles dans des tons clairs. On peut également travailler avec des signes de couleur noire, mais ils doivent être entourés d’une auréole dorée.
Habtieullement, le symbole prend lui-même la couleur la plus adaptée à une situation donnée. Dans le Kunta, il y a aussi bien des symboles généraux – pour la purification, l’alimentation en énergie, l’harmonisation ou la protection – que des symboles plus spécialisés – comme, par exemple, le symbole pour la recherche de sa moitié androgyne, des signes pour le travail avec les énergies solaire et lunaire, des symboles médicaux, et d’autres encore. (…)

La plupart des signes s’accompagnent de mantra, mais il existe aussi des symboles muets. Une prononciation précise des mantra détermine le succès de l’emploi de la technique. Lorsque la prononciation du mantra est exacte, un bruissement ténu se fait entendre et se prolonge après que le mantra a été dit. Cette émission sonore signifie que le mantra qui accompagne la visualisation du symbole correspondant fonctionne au maximum de son efficacité » (Tosha, p.52-53)

Là encore, on retrouve cet aspect d’équivalence entre le son et la forme, il semblerait donc que pour « activer » des énergies spirituelles, de telles associations doivent être utilisées. Par exemple, visualiser un symbole tout en émettant le son propre à sa fréquence, correspondant à une couleur, ainsi qu’à une pensée, etc. Lorsque l’association est juste, cette technique pourrait agir directement sur la réalité, en provoquant des décharges d’énergies, ou même en « matérialisant » des objets. Comme pour faire le pain, où il faut des proportions justes de chaque ingrédient, chaque « constituant » de la matière est requis.

« Nous en sommes arrivés au point où nous pensons qu’il y a eu, par le passé, une technologie qui faisait usage de la simple arithmétique et de la géométrie, ou des relations spatiales, en conjonction avec le son, pour accomplir des choses de grande portée. Nous sommes également arrivés à la conclusion que cette ancienne technologie était la science de la maîtrise de l’espace, du temps, et de la pesanteur.
Voilà le secret de l’Âge d’Or. Voilà pourquoi leur civilisation était fondée sur d’autres éléments que la nôtre. A part le fait que des cataclysmes ont pu balayer la plupart des marques d’une telle civilisation, nous avons ici une raison supplémentaire de l’absence de vestiges métalliques et autres objets manufacturés qui pourraient  être considérés comme des témoignages de la « civilisation ». » (Laura Knight-Jadczyk, L’Histoire secrète du monde, p.415)

Correspondances avec les recherches de Dominique Moret

Il est intéressant, pour finir, de noter les liens entre le chercheur Dominique Moret et le livre d’Ibrahim Karim. Les recherches de Dominique Moret ont fait l’objet d’un article dans le dernier numéro de Top Secret Magazine (n°64, p.38 sqq), et cet article s’intitule justement « Le secret des ondes scalaires. »

Dans cet article, Dominique Moret retrace son parcours (il était ingénieur s’occupant de projets d’installations d’antennes-relais) et sa découverte de la géobiologie. Il dit alors avoir fait des expériences hors du commun (par exemple obtenir de l’eau solide à température ambiante, modifier la tension superficielle de l’eau et obtenir un liquide noir qui pénètre même le caoutchouc, etc). Il a été primé 21 fois au concours Lépine. Plus tard, il découvrit la théorie de Jean-Marc Roeder en 2004, l’holodynamique quantique, qu’il considère comme une base solide de compréhension.

« Pour faire court : il existe un milieu propagatif que certains appellent l’éther et que dans l’holodynamique quantique on va appeler les élastons. Ce sont des corps sphériques extrêmement élastiques qui permettent effectivement de transmettre des vibrations…
Les ondes électromagnétiques et ces corps sont les constituants de ce qu’on appelle l’espace-temps, mais sont aussi les constituants de la matière si on les comprime.
Et justement, les seules ondes capables d’agir de cette façon-là, ce sont les ondes scalaires qui agissent sur le milieu, mais en mode compressif. Et à un moment donné, l’élaston est suffisamment comprimé pour apparaître sous forme de matière dans notre univers. Voilà comment ça se passe. Ce n’est pas de l’énergie. C’est un corps superfluide, qui permet des transmissions d’informations à grande vitesse (…) Mais ce corps est à la fois petit et tellement élastique qu’on n’a pas les moyens, si tu veux, de le percevoir. Puisque c’est le milieu où justement se propagent les ondes électromagnétiques. Par contre, en le comprimant, il acquiert curieusement du temps. Le temps s’accélère localement et il s’accélère tellement que l’élaston devient de la matière. Ce qui permet de comprendre que la matière se crée en permanence et que la matière se « décrée » en permanence.
C’est-à-dire qu’en permanence, de la matière est créée dans tout l’univers, et en permanence de la matière disparaît dans tout l’univers parce qu’il y a effectivement des émissions scalaires, tous azimuts, partout.
On va dire, souvent en mode compressif, donc capables de créer de la matière, et aussi en mode expansif, capables de « décréer » de la matière. »

Il est intéressant ensuite de noter, après avoir évoqué les propriétés du granit et du quartz, que Dominique Moret a cherché à utiliser la silice pour générer des composés capables de garder des informations spécifiques (par exemple pour créer des médicaments).

Dominique Moret a ensuite développé des médaillons qui puisaient dans l’électrosmog l’énergie pour équilibrer le corps, en se basant sur les principes de la bioélectronique (Louis-Claude Vincent). Ces médaillons peuvent même faire repousser des membres sectionnés, car les ondes scalaires vont renforcer les champs électriques qui englobent le corps et reconstituer les cellules.

Dominique Moret explique que Tesla, Lakhovsky, Prioré, Reich… utilisent tous les ondes électromagnétiques en polarité horizontale. Et il y a un champ magnétique à la surface de la terre qui dépolarise les ondes radios, ainsi toutes les ondes électromagnétiques qui sont émises de tout l’univers sont repolarisées en polarité horizontale. 

Ce schéma montre la polarisation des ondes. Image : Ibrahim Karim

Ainsi, c’est le champ magnétique qui guérit, car dans les lieux qui guérissent ce champ est plus important, et il est peu important dans les lieux qui rendent malade (on le détecte par un géomagnétomètre). Mais ce n’est pas le champ lui-même qui guérit, c’est quand ce champ affaibli ne permet pas de dépolariser les ondes EM. Les polarités verticales vont donc perturber l’eau du corps et des pathologies apparaissent (changement de résistivité, de rH2…)

Les polarités verticales (composante électrique) vont développer des potentiels électriques, ce qui va par exemple permettre à l’eau de monter dans les murs et d’endommager un bâtiment. Dominique Moret commercialise des appareils pour empêcher cela, par la repolarisation des ondes.

Dominique Moret, comme Ibrahim Karim, déplore « l’électrosmog », car toutes nos ondes (portables, wifi, etc), sont en polarité verticale. Elles abaissent la vitalité de tous les organismes. « Ce n’est pas un hasard, c’est bien une intention manifeste. » (p.41) Dominique Moret prétend donc, comme Ibrahim Karim, agit directement sur l’électrosmog pour le repolariser et annuler ses effets péjoratifs.

Il dit que si les antennes-relais étaient en polarité horizontale, elles émettraient deux fois plus loin et on aurait à installer quatre fois moins d’antennes mais « le gros souci, c’est qu’on soignerait l’ensemble d’une population… »

Aussi, comme Ibrahim Karim, Dominique Moret pense que les ondes scalaires sont le secret des transmutations alchimiques. Il mentionne Kervran (Transmutations à basse énergie) qui évoque les transmutations par le vivant. Et comme pour l’alchimie dont les élixirs auraient la capacité de « rendre la jeunesse », Dominique Moret explique que par une recharge scalaire, on peut récupérer l’énergie perdue au cours de la vie.

Il y a de toute évidence un lien ténu entre énergie et mémoire, car quand on sait que la mémoire est stockée dans notre corps tout entier, et qu’un travail sur soi (comme la « récapitulation » mentionnée par Castaneda) permet de la retrouver, on remarque que le « nettoyage » des traumas permet de récupérer l’énergie initiale (luminosité/vitalité). C’est ainsi qu’en quelque sorte, on retrouve les « charges scalaires » (les pensées sont émises en mode scalaire), et l’on supprime les informations parasites qui se trouvent dans la mémoire de l’eau des cellules.

 http://newsoftomorrow.org/arts/geobiologie/les-lieux-et-les-formes-de-pouvoir-expliques-par-la-biogeometrie-dibrahim-karim

12 janvier 2017

les Jésuites sont a l'origine de la science moderne

Jesuits

Nombreux sont les personnes qui pensent que la science etait opposée a la religion , et que la religion a empeché la science de developper ses theories ,alors que ce sont les Jésuites qui ont développé la science ,dans quel but  ,il est étrange ,que  ces sciences  ont servi a ébranler la bible et sa génése etrange pour des hommes censés etre des hommes d'église qui ne travaillaient qu'à la négation de leur dogme .

À l’issue d’un accident de guerre, en 1521, au siège de Pampelune, Ignace de Loyola, grièvement blessé à la jambe par un boulet de canon, a sublimé son énergie sexuelle de manière contrôlée. Ce n’est pas nouveau, car c’est la base même de l’occultisme. Mais il a codifié un système de développement occulte très efficace en liaison avec la force de la planète Mars ou, tout au moins, avec l’un des esprits de cette sphère.

On amuse les gens avec le yoga de la Kundalini, mais les hauts initiés jésuites détiennent de puissants secrets. De plus, leurs chefs sont dirigés par des entités occultes supérieures tel celui qui inspira Ignace de Loyola, ainsi que son incarnation suivante, le clairvoyant Swedenborg. Le « Jésus » des Jésuites est un prête-nom, une couverture fallacieuse car jamais Jésus ne commanda la ruse et le meurtre pour faire avancer le royaume de Dieu. Loyola était un militaire espagnol du XVIe siècle qui rêvait de conquérir le monde, mais qui réalisa que la religion était le meilleur moyen pour entrer chez l’ennemi avec des paroles de paix à la bouche. Blessé, il resta longtemps allongé ce qui lui permit d’analyser ses mécanismes psychiques les plus subtils. Il sublima l’énergie sexuelle et mit au point un système de développement psychique qui fabrique des anormaux. Il se fit prêtre pour infiltrer l’Église, débarqua à Rome, promit au pape de sauver son trône du danger de la Réforme, établit une milice totalitaire camouflée en ordre religieux et partit à la conquête de l’univers « Pour la plus grande gloire de Dieu ». C’est ainsi qu’il devint l’agent du destin dans l’âge noir. Il se mit au « service du Pape », ce qui signifie exactement le contraire si l‘on connaît le langage Jésuite. C’est dire que la religion catholique est totalement entre les mains du général de l’ordre, le pape noir, qui n’est lui-même que la pointe de la pyramide visible.

Tous les Jésuites du monde sont dans une obéissance absolue, et selon leur formule « s’abandonner comme un cadavre », ils sont comme des robots entre les mains de leurs chefs. Ils forment donc un corps militaire d’élite – à la fois prêtres et guerriers – présent dans tous les pays. C’est une armée démoniaque qui a investi la Terre, et la liaison des Jésuites avec les Gris extraterrestres est plus que probable.
Ils contrôlent les polices secrètes, les armées et les organismes internationaux.

À travers ces relais, ils expérimentent ce qu’ils veulent sur les populations. Par exemple, la guerre du Viêt-Nam leur a permis d’éliminer leurs adversaires dans ce pays, et le génocide du Cambodge a nettoyé un million de bouddhistes récalcitrants à la conversion chrétienne. Les bouddhistes de la tradition du Petit Véhicule ont particulièrement souffert, alors qu’au contraire les Lamas tibétains sont financés par les Jésuites. Sans cette aide, le lamaïsme ne serait pas connu du public et le Dalaï-Lama ne bénéficierait pas d’une telle publicité. Il faut un sérieux coup de pouce pour monter aussi haut lorsqu’on est un pauvre réfugié sans patrie ni argent.

Autre info qui n’est pas anodine, le sceau des illuminati était déjà utilisé par les jésuites en 1744, soit 26 ans avant leur création par Weishaupt.

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2 fondateurs de la géologie, et Roger Boscovich (1711 - 1787), pionnier de la théorie atomique moderne. Un chapitre important de cette période est la saga des astro nomes jésuites de Chine où, à partir de l’arrivée de Matteo Ricci (1552 - 1610) à Pékin, ils introduisirent l’astronomie européenne et dirigère nt durant 150 ans l’Observatoire impérial. Les travaux des astronomes jésuites en Inde et en Indochine sont moins connus. La découverte de l’Amérique fut pour les Jésuites l’occasion d’étudier la terre, la faune et la flore du nouveau monde , et d’explorer des territoires in connus depuis le Canada jusqu’à la Patagonie. A partir de leur intérêt pour la géographie, les Jésuites dessinèrent les premières cartes de nombreuses régions d’Amérique, de Chine, d’Inde, du Tibet et d’Ethiopie. Alors que les travaux scientifiques des Jésuites connaissaient un sommet, ils furent interrompus par la suppression de l’ordre en 1773. Un nouveau chapitre des travaux scientifiques des Jésuites démarra avec la restauration de l’ordre en 1814. A partir de 1825, les Jésuites fondèr ent un nouveau réseau d’environ 70 observatoires astronomiques, météorologiques et sismologiques dans le monde entier.

Ceux qui étaient installés en Afrique, en Asie et en Amérique Centrale et Amérique du Sud firent partie, dans beaucoup de cas, des premières institutions scientifiques de ces pays. Durant cette période, les Jésuites apportèrent des contributions importantes, particulièrement dans l’étude et la prévision des ouragans tropicaux a insi que dans la recherche en sismologie et dans le magnétisme terrestre. Parmi les personnalités marquantes de cette période, citons Angelo Secchi (1818 - 1878), directeur de l’observatoire du Collège romain et pionnier de l’astrophysique ; Stephen Perry (1833 - 1889), directeur de l’observatoire de Stonyhurst (Grande - Bre tagne), l’un des premiers chercheurs en géomagnétisme e t en physique solaire ; James Macelwane (1883 - 1956), professeur de géophysique à l’université Saint Louis (USA) et directeur de l’Association s ismologique jésuite , et Pierre Teilhard de Chardin (1881 - 1 955), paléontologue qui travailla sur les premiers fossiles humains de Chine et devint célèbre par ses idées sur l’évolution et sur l’avenir de l’humanité. De nos jours, les Jésuites dirigent 133 universités et environ 200 collèges du second degré dans le monde entier. Un certain nombre de professeurs de science jésuites allient l’enseignement et la recherche, gardant ainsi vivante la tradition scientifique de la Compagnie de Jésus. 2. Science et spiritualité jésuite Nous en arrivons à la question suivante : comment peut - on expliquer la présence particulière des Jésuites en science ? Il ne fait pas de doute que d’autres ordres religieux ont aussi connu de hautes figures scientifiques, comme par exemple Gregor Mandel, pionnier de la génétique faisant partie de l’ordre des Augustiniens. Cependant, avec les Jésuites, nous constatons une présence continue et institutionnelle depuis les tout premiers jours de leur fondation jusqu’à présent. Un signe de cette présence particulière dans le domaine scientifique rési de dans le fait que , dix - huit ans après la naissance de l’observatoire du Vatican, le pape Pie X en confia la d irection aux Jésuites, comme c’est encore le cas aujourd’hui. Cet engagement dans les sciences apparut durant la première période de l’histoire d e la Compagnie de Jésus et dura jusqu’à la suppression de l’ordre en 1773 ; elle fut poursuivie après sa restauration en 1814 jusqu’à nos jours, ainsi que nous l’avons vu dans le court résumé précédent. Il est, par conséquent, pertinent de poser la questio n de la spécif icité jésuite expliquant cet engagement dans les domaines scientifiques. Steven J. Harris écrivit l’ une des premières tentatives de réponse à cette question 2 .

Il l’a basée sur les seuls Jésuites des XVIIème et XVIIIème siècles, mais on peut aussi appliquer ses idées aux Jésuites modernes. Dans une analyse très bien fondée et détaillée, Harris situe la base de l’engagement des Jésuites en faveur de la science s ur ce qu’il appelle la « spiritualité apostolique », qui est au cœur de « l’idéologie jésuite ». L’expression « idéologie jésuite » fut employée pour la première fois par Ritka Feldhay pour décrire leur façon de considérer la connaissance comme moyen du sa lut 3 . Pour Harris, 2 Steven J. Harris, Transposing Merton’s thesis: Apostolic spirituality and the establishment of the Jesuit scientific tradition. Science in Context , 3 (1989), 29 - 65. 3 Rivka Feldhay, Knowledge as salvation in Jesuit culture. Science in C ontext , 1 (1987), 195 - 213. 3 les principaux éléments de cette spiritualité sont les suivants. En premier lieu, l’importance attribuée au service chrétien qui a canalisé les sentiments religieux vers l’extérieur et dans des activités mondaines qui ne sont pas habitue llement associées à la vie religieuse. A cela, il ajoute un engagement actif avec le monde, qui conduit au respect de l’expérience ou au fait de « tester au moyen de l’expérience » et à « la preuve par l’expérience », qui sont devenus des méthodes standard pour évaluer les idées et les projets. Dans le domaine scientifique, l’importance a été accordée aux aspects expérimentaux des observations et des expériences.

C’est ainsi que, pour Harris, la spiritualité apostolique , qui constitue la force de base forma nt le caractère de toute activité de tout Jésuite, comprend la motivation pour un travail scientifique. Un autre élément est une « estime pour le savoir » particulière. Cet aspect conduit à ce qu’il appelle la « sanctification du savoir », responsable de l ’énorme effort des Jésuites depuis leur origine dans le domaine de l’éducation, avec la fondation des collèges et des universités. D’après Harris, la sanctification du savoir les a conduits à prendre des engagements avec les activités séculières mises au s ervice de buts spirituels in fine, autrement dit le salut des âmes. Il voit cette action menée dans trois domaines principaux : dans l’éducation, dans les monarchies d’ Europe et dans les missions étrangères. Des facteurs historiques, également mentionnés par Harris, ont joué un rôle important. Tout d’abord, il cite la coïncidence entre la fondation de la Compagnie de Jésus et le début de la science moderne et son engagement envers l’éducation dans les écoles et les universités. Quand ils ouvrirent leurs éco les, les Jésuites ne souffraient d’aucune tradition doctrinale pour les conditionner, comme ce fut le cas, par exemple, des Dominicains et des Franciscains. Les Jésuites ont pu plus facilement incorporer leur enseignement dans les courants neufs de la scie nce moderne et ainsi répondre aux exigences sociales de l’époque.

De cette façon, les Jésuites ont pu incorporer dans leur enseignement les nouveaux courants des sciences mathématiques et expérimentales. Clavius, de par son influence, fit un grand effort p our introduire l’enseignement des mathématiques dans les collèges jésuites, ce qui fut finalement accepté comme norme établie pour tous les établissements du Ratio Studiorum. Il insista sur le fait que les mathématiques sont une vér itable science, à l’enco ntre de l’opinion générale des cercles traditionnels de son temps, et sur leur nécessité absolue pour étudier la philosophie naturelle. L’introduction des sciences mathématiques comme élément important des programmes des collèges jésuites constituait égale ment une réponse à l’importance sociale croissante que la science moderne était en train d’acquérir. Christopher Schneider était conscient de cette exigence sociale et de son importance apostolique. Dans une lettre à Johannes Rader, il observa que l’étude des mathématiques devrait être mieux prise en compte parmi les Jésuites. A Paul Gudin, professeur de mathématiques au collège de Graz, il écrivait : « Il est évident que les mathématiques sont le filet avec lequel on peut attraper les élites et les nobles, et les enrôler au service de Dieu 4 ». La nouveauté de l’engagement des Jésuites envers les sciences mathématiques est exprimée dans le document adressé au roi d’Espagne Philippe IV par les professeurs des universités de Salamanque et Alcalá de Henares tra itant de la montée du collège des Jésuites de Madrid, le Collège Impérial, au rang universitaire de Reales Estudios (Etudes Royales). Ils étaient opposés aux projets du roi et écrivaient qu’il n’était ni convenable ni « décent » pour des religieux d’enseig ner des matières profanes telles que les mathématiques, l’astrologie, la navigation et les sciences militaires. Les Jésuites répondirent qu’ils pouvaient justement enseigner ces matières car elles faisaient partie des programmes d’une école ecclésiastique et religieuse, qu’elles étaient nécessaires pour enseigner la philosophie, et qu’elles étaient utiles pour éviter « le recours abusif du public en général à la superstition et à la prévision de l’avenir 5 ». Après la restauration de la Compagnie de Jésus au XIXème siècle, la présence de Jésuites en science était également justifiée en tant qu’argument apologétique contre ceux qui, à l’époque, attaquaient 4 Steven J. Harris, Les chaires de mathématiques. Luce Giard (ed.), Les Jésuites à la renaissance . Paris : Presses Universitaires de France, (1995) , 239 - 262, (253 - 254). 5 José Simón Díaz, Historia del Colegio Imperial de Madrid . Madrid: Consejo Superior de Investigaciones Científicas (1952), 72 - 84. 4 l’Église en disant qu’elle était ennemie de la science. La présence de savants jésuites et l’ existence de leurs institutions scientifiques furent présentées comme argument évident sur la fausseté de ces accusations et comme exemple de la compatibilité entre la science et la foi chrétienne. Aloysius Cortie (1859 - 1925), directeur de l’observatoire d e Stonyhurst, écrivant en 1923 au sujet d’Angelo Secchi, remarquait : « Les ennemis de la Sainte Église ont fait un tel usage abusif de la science comme arme pour attaquer ses vérités les plus fondamentales , que l’impression s’est manifestée parmi beaucoup de ses enfants selon laquelle l’étude de la science est nuisible et dangereuse pour la foi...

Le Père Secchi est un exemple frappant de quelqu’un qui savait unir religion et science 6 ». Outre ces éléments historiques , en liaison avec les besoins apostolique s dans le travail éducatif des collèges et universités, il nous faut chercher des éléments intrinsèques plus spécifiques dans la spiritualité jésuite. On peut également trouver quelques éléments d’une spiritualité apostolique dans d’autres ordres religieux modernes (fondés après le XVIIème siècle) , certains à la suite de l’exemple jésuite, mais n’offrant pas une telle présence dans les domaines scientifiques. Il nous faut, par conséquent, chercher des éléments plus spécifiques dans la spiritualité jésuite a postolique afin d’expliquer cette tradition scientifique particulière On peut trouver les traits fondamentaux de ce qu’on appelle « la spiritualité ignat ienne », fondés sur les expériences ascétique s et mystiques de Saint Ignace, dans ses deux grands ouvra ges : les Exercices spirituels , et les Constitutions

7 . Les E xercices spirituels, corpus de prières et de méditations pour un mois, au début et à la fin de la formation de tout Jésuite, et répété durant huit jours chaque année, forment le cœur de cette spir itualité. C’est là qu’il nous faut chercher les motivations qui peuvent expliquer l’engagement particulier des Jésuites envers la science. La caractéristique la plus imp ortante de la spiritualité ignat ienne est une mystique du service, compris comme servic e à Dieu à travers le ministère apostolique envers les hommes

8 . Les Constitutions définissent le but de la Compagnie de Jésus « non seulement pour aider au salut et au perfectionnement de ses propres membres par la grâce divine, mais à l’aide de la même gr âce pour aider au salut et au perfectionnement de leurs frères humains

9 ». Saint Ignace comprend ce service comme un service à l’Église. Il a souvent répété dans ses écrits ce qui est devenu la devise des Jésuites, que tout doit être fait pour « la plus gr ande gloire de Dieu » ( Ad majorem Dei Gloriam ). On peut déjà trouver cela dans Saint Paul : « faites tout pour la gloire de Dieu » (1Co 10,31), mais Saint Ignace a ajouté le comparatif « plus grande » pou r indiquer que les Jésuites ont le devoir de rechercher non seulement la gloire de Dieu, mais la plus grande gloire. Dans la première méditation des Exercices spirituels, « Principe et Fondation » , il exhorte chacun à agir à chaque occasion, « en désirant et en choisissant seulement ce qui nous cond uit le mieux vers le but pour lequel nous avons été créés

10 ». Le terme « plus » (en latin magis ) est un élément important de cette spiritualité. En tout temps et en toute circonstance, cette spiritualité est ce qui pousse les Jésuites à chercher « plus » d ans leur activité. Ce que de nombreux Jésuites ont trouvé dans leur activité scientifique. Saint Ignace insiste aussi souvent dans ses écrits sur le fait de « trouver Dieu en tout es choses » ; Il parle ainsi d’une conscience croissante de ce que l’on peut trouver Dieu en chaque personne, en chaque lieu et en chaque chose ; c’est la forme que prend une attitude de prière dans la vie active. Il s’agit là d’un aspect important présent dans la dernière méditation des Exercices spirituels et intitulée « Contempl ation pour atteindre l’amour ». Dans cette méditation, il est demandé de « voir comment Dieu est présent dans les créatures, dans les éléments, dans les plantes, dans les animaux, dans les hommes (en moi, moi - même), [...] et de considérer comment Dieu s’emploie à travailler pour moi dans tout ce qui est créé sur la terre ». Voilà qui transforme tout : choses, gens, circonstances, en occasions de trouver Dieu.

De plus Saint Ignace, en insistant sur l’humanité du 6 A. L. Cortie, Angelo S e cchi, S. J. (1818 - 1878). En B. Windle (ed.) Twelve catholic men of science . L ondres: Catholic Truth Society, (1923), 149 - 164. 7 S. Ignacio, Obras , 221 - 238, 432 - 646. 8 Jean - Claude Dhôtel, La spiritualité ignatienne. Points de repère. Paris 1991. 9 S . Ignacio, Obras , (Examen Primero y General, Cap. 1. 3), 466. 10 S. Ignacio, Obra s , 272 - 273. 5 Christ, nous invite à voir que tout ce qui est h umain, et on peut y inclure la science, peut nous servir à rencontrer Dieu. Jerónimo Nadal, un des compagnons de St Ignace, décrit cette attitude par l’expression « contemplatifs dans l’action » pour parler de ce qu’on a appelé « la façon jésuite ». Elle i mplique une union entre la prière et l’action ; on peut trouver Dieu dans le silence de la prière , et dans l’activité du travail. Par conséquent, il n’y a pas d’activité, pas de sujet quelque profane qu’il paraisse, qui ne puisse être transformé en prière. Enseigner les mathématiques ou la physique dans une université, observer la lumière d’une lointaine galaxie ou dessiner la carte d’une région inconnue sont des activités qu’un Jésuite trouve parfaitement compatible s avec sa vocation et à travers laquelle il peut essayer de trouver Dieu dans sa vie. Dans d’autres groupes religieux, ce peut être aussi une attitude personnelle, mais pour les Jésuites, elle jaillit du cœur de leur spiritualité. Angelo Secchi, le célèbre astrophysicien, disait : « La contemplat ion de l’œuvre de Dieu est l’une des activités les plus nobles de l’esprit ; c’est le but principal de l’étude de la nature

11 ». De cette façon, les Jésuites s’impliquent dans des activités, parmi lesquelles la recherche scientifique, que d’autres considère nt incompatibl es, ou du moins peu convenables pour des religieux. On peut les trouver actifs dans un emploi social, responsables de paroisse, chercheurs en biologie ou en astrophysique, écrivains poètes, avec chez tous une motivation basée sur la même spir i tualité : chercher Dieu en toutes choses. Un autre aspect de l a spiritualité apostolique ignat ienne est sa préférence pour choisir des situations ou des activités dont nous dirons qu’elles sont « aux frontières ». Ce que nous voulons signifier ainsi c’est que les Jésuites, au lieu de se consacrer à des activités pastorales traditionnelles à l’intérieur de l’Église, essaient d’entrer en contact avec des activités extérieures parfois considérées non conventionnelles. Le pape Benoît XVI le reconnu t quand il dit aux Jésuites : « Comme mes prédécesseurs vous l’ont dit à plusieurs occasions, l’Église a besoin de vous, compte sur vous et continue à se tourner vers vous avec confiance, en particulier afin d’atteindre ces lieux physiques et spirituels que d’autres n’atteignent pas ou peinent à atteindre

12 ». Voici pourquoi nous pouvons trouver un Jésuite en pri ère dans un monastère bouddhique ou poursuivant des recherches en physique dans un accélérateur de particules. Les Jésuites sont toujours conduit s aux frontières, vers des lieux et des situations où le message chrétien est encore inconnu. Par exemple, c’est cet esprit qui conduisit Ma t teo Ricci et ses compagnons au XVIIème siècle à se présenter à la cour impériale de Chine en tant qu’astronomes occ identaux, à adopter les costumes et les manières des lettrés chinois. Au XIXème siècle et au début du XXème, on considérait que la science était un domaine étranger, sinon hostile, à la religion. Les Jésuites ont senti que leur responsabilité était de mont rer, grâce à leurs travaux scientifiques, qu’il n’y a pas d’incompatibilité entre science et foi, et que le travail scientifique lui - même peut aussi être une façon de trouver Dieu. De cette attente naquit la fondation du réseau d’observatoires jésuites dis séminés dans le monde. L’homme de science jésuite moderne considère la communauté scientifique comme sa paroisse, brisant ainsi par sa présence de nombreuses frontières et des barrières d’incompréhension. Daniel Linehan (1904 - 1987), inlassable sismologue e t explorateur, conscient de son rôle de prêtre et de savant, fit graver sur le pied de son calice : « Première Messe au Pôle Nord Magnétique 1954 » et « Première Messe au Pôle Sud 1958 ». Ses priorités étaient claires à ses yeux quand il déclara à un journ aliste du magazine Life : « Je donnerais toute ma sismologie pour célébrer une seule Messe comme celle à laquelle vous avez assisté ce matin

13 ». 3. Témoignages de Jésuites hommes de science Les savants jésuites des XVIIème et XVIIIème siècles ne ressentaient pas le besoin de justifier leur activité, qu’ils considéraient comme parfaitement normale. Quelques scientifiques jésuites modernes, cepend ant, ont considéré nécessaire d’écrire à ce sujet. Secchi a été parmi les premiers à 11 Angelo Secchi, Le soleil , Paris : G authier - Villar, 1875 , (Prologue), 6. 12 Discours du pape Benoît XVI à la Congrégation Générale 35. 13 Charlotte B. Harvey, The voyage of the Monte Carlo. Boston College Magazine , ( Fall 2000 ) . 6 le faire. Il a considéré que son travail était une express ion de la compatibilité entre science et religion, sujet controversé à son époque (XIXème siècle) : « La vraie foi n’est pas hostile à la science, mais les deux domaines sont comme deux rayons venant du même Soleil qui devrait illuminer nos esprits au moyen de la vérité

14 ». Teilhard de Chardin, commentant en face d’un groupe de jeunes Jésuites la lettre du Père Général Johannes Janssen de 1947 sur l’apostolat intellectuel, présenta ce qu’il pensait de l’engagement des Jésuites envers la science dans le contexte de sa pensée

15 . Il commença par insister sur l’énorme importance de la science dans le monde moderne, en disant que c’est devenu ce qu’il appelle la Grande Affaire du Monde , « fonction humaine aussi vitale que la nutrition et la reproduction ». Pour lui, la recherche scientifique constitue la pointe de la flèche de l’évolution humaine. Il s’est demandé pourquoi il est si important pour nous, Jésuites, de prendre part à la recherche scientifique, et il répondit que « c’est l a forme sous laquelle est cachée et opère plus intensément dans la nature qui nous entoure la puissance créatrice de Dieu ». A travers elle, ajoute - t - il, de nouveaux progrès de conscience apparaissent dans le monde. Teilhard est convaincu du besoin de réco nciliation du « problème des deux fois », la foi en Dieu et la foi en l’homme. Cette réconciliation est nécessaire afin de faire avancer dans le monde le Royaume de Dieu. Pour lui, ces deux fois sont en fait les deux composants essentiels d’un mystique hum ano - chrétien complet. On ne peut rendre présent dans le monde leur réconciliation et leur synthèse à moins que ce soit vécu concrètement, d’où l’importance de la recherche scientifique chez les Jésuites. Teilhard finit sur ces mots : « Nous, prêtres jésuit es, non seulement nous devons nous intéresser, nous prêter, mais nous devons croire à la Recherche parce que la Recherche (poursuivie ‘avec foi’) est le terrain même sur lequel a des chances de s’élaborer la seule mystique humano - chrétienne qui puisse fair e demain une unanimité humaine

16 ». C’est ainsi que nous pouvons trouver dans une formulation diffé rente la même spiritualité ignat ienne qui discerne dans la recherche scientifique le meilleur moyen pour conduire à l’expansion du Royaume de Dieu grâce à la réconciliation des deux fois. Dans son célèbre essai La Messe sur le Monde , Teilhard exprime sous une formulat ion différente le principe ignat ien : trouver Dieu en toutes choses

17 . Dans cette prière, il consacre à Dieu tous les efforts et toutes les souffra nces des hommes, hostie universelle sur l’autel du monde. Dans les années 1960, il y avait un bon nombre, près de 300, de scientifiques jésuites aux Etats - Unis. Ce qui conduisit certains d’entre eux à poser explicitement la question de la vocation du prêtr e - homme de science et du Jésuite - homme de science. C’était un aspect particulier du problème plus général de ce que l’on appelait à l’époque le prêtre avec trait d’union, c’est - à - dire le prêtre avec d’autres activités professionnelles. Frank Haig, professe ur de physique, considère que le prêtre - scientifique ne peut seulement s’expliquer par l’intérêt personnel ou par le rôle apologétique de défense de l’Église

18 . Pour lui, ce sont des raisons nécessaires mais non suffisantes , et il propose que le prêtre - scientifique exerce avant tout un rôle symbolique dans l’intégration d’une vie de la science et d’une vie de la grâce. Il a justifié cette intégration par le besoin vécu maintenant dans l’Église de repenser son message dan s la langue du monde scientifique, et d’être ainsi présente aux frontières de la connaissance. D’après Haig, le prêtre - scientifique « essaie de rendre le monde de la foi et le monde de la science transparents l’un envers l’autre ». Ernest Spittler, professeur de chimie, applique ces concepts a u cas concret des Jésuites et donne une position centrale à leur rôle en tant que prêtres, médiateurs entre Dieu et les hommes

19 . Ce rôle doit être réalisé à l’intérieur de l’Église, 14 Cité par Van Tricht , Secchi (1878), 370. 15 Teilhard de Chardin, Sur la valeur religieuse de la recherche . Science et Christ. Oeuvres 9 , Paris : Éditions du Seuil, 19 65 , 255 - 263 . 16 Ibid., 263 17 Teilhard de Chardin, La Messe sur le monde Le cœur de la Matière Oeuvres 13 , Paris : Éditions du Seuil ( 19 76) , 139 - 156 . 18 Fra n k. R. Haig, vocation of the priest - scientist. Bull. American Association of Jesuit Scientists, 36 (1961), 3 - 21. 19 Ernest G. Spittler, The priest - scientist in the Church. Bull. American Association of Jesuit Scientists, 39 (1962), 30 - 37. 7 et il est « médiateur » à l’égard de la communauté scientifique, et des laïcs catholiques et non - catholiques. Il constitue un véritable apostolat, lequel est souvent caché et , en ce qui concerne les Jésuites, il sera souvent exercé à travers l’éducation. William Meissner, psycho - analyste, l’applique plus directement au Jésuite - scientifique qui adopte deux rôles, celui de prêtre, et celui de scientifique, et déclare que l’individu est ainsi placé dans une situation qui n’est pas libre de conflits, de frustrations, d’insécurité et d’anxiété

20 . Afin de résoudre ces conflits, il propose la nécessité d’intégrer les valeurs de la science et les valeurs de la vie jésuite. Le prêtre - scientifique est avant tout un prêtre, et il exerce une fonction spécifiquement religieuse, apostolique et symbolique en même temps. Elle est apostolique dan s la mesure où il passe pour quelqu’un qui porte témoignage de la vérité. Elle est symbolique dans la mesure où il est le signe visible de la plénitude de la vie religieuse chrétienne : « Il est, alors, le symbole de l’unification dans la vérité des savoir s religieux et scientifiques, de la foi et de la raison, de la sagesse catholique et du savoir séculier, de l’Église et de la science moderne ». Meissner présente ce qui est spécifiquement jésuite dans ce qu’il nomme la « proposition jésuite », que nous co mprenons comme la spiritualité jésuite. Il commence par considérer les moyens permettant à la Compagnie de Jésus de poursuivre ses fins, telles qu’elles sont proposées par St Ignace dans les Constitutions, et dont certaines sont surnaturelles et d’autres n aturelles

21 . Si on l’applique au Jésuite - scientifique, ceci implique la complémentarité de l’idéal religieux de la sainteté personnelle et de l’engagement pour la science. Pour un Jésuite, le travail scientifique doit toujours être apostolique et Meissner i nterprète cette obligation comme étant « de l’incarnation », c’est - à - dire participant à la présence du Verbe incarné de Dieu parmi les hommes pour la sanctification de toute activité humaine. Il reconnaît les difficultés inhérentes à l’exécution de cette f onction , qui doit être une synthèse dynamique entre le fait d’être, authentiquement, homme de Dieu et homme de science. C’est un rôle complexe, Meissner l’admet, et en conséquence il y aura toujours une certaine tension dans la vie d’un Jésuite - scientifiqu e. Timothy Toohig, Jésuite travaillant sur la physique des particules au Fermilab, essaie de trouver la connexion entre son travail de physicien et sa spiritualité 22 . Il démarre en considérant que la physique cherche à comprendre la structure ultime de la m atière, ses constituants élémentaires et les forces qui les lient, en même temps que l’origine et le destin final de l’univers. Pour cette raison, dit - il , ne soyons pas surpris que des physiciens tels qu’Albert Einstein et Werner Heisen b er g et, plus récemm ent, Stephen Hawking et Steven Weinberg, dans certains de leurs écrits, parlent d es questions ultimes de l’existence , et finissent par parler, d’une façon ou d’une autre, de Dieu. Toohig essaie de montrer qu’il existe une certaine analogie entre le travail des physiciens et la recherche de Dieu. Il examine la façon dont Einstein et Niels Bohr reconnaissent la présence d’un mystère caché derrière la structure de l’univers qui reste toujours ouvert à de nouvelles intuitions et de nouvelles inspirations. Tous deux, selon Toohig, avaient une approche intuitive des problèmes physiques et pratiquaient leurs travaux avec la profonde conviction de l’existence d’une simplicité sous - jacente de la structure de la matière. Il se demande si ces attitudes ne témoignent pa s d’une spiritualité sous - jacente et d’une certaine expérience implicite de Dieu. Toohig, dans son analyse, utilise le concept d’ « expérience transcendantale » développé par le théologien jésuite allemand Karl Rahner, signifiant par là une expérience de la transcendance présente chez chacun, et constituant en soi une « connaissance anonyme et non - thématique de Dieu ». Toohig pense qu’il y a une similitude entre cette expérience transcendantale et l’expérience des physiciens en face du mystère de l’univers. Il affirme que, bien que ce ne soit pas dit, on peut considérer la recherche en physique comme une quête de Dieu. On peut mettre en question cette similitude, mais on peut comparer son intention de trouver un certain sens « religieux » dans l’expérience sc ientifique elle - même à la propositio n 20 William W. Meissner, The Jesuit as a priest - scientist. Bull. American Association of Jesuit Scientists, 40 (1963), 25 - 33. 21 San Ignacio, Obras, ( Constituciones X, 3, 813 - 814), 641 - 642. 22 Timothy E. Toohig, Physics re search, a search for God. Studies in the Spirituality of Jesuits , 21/2 (1999), 1 - 26. 8 ignatienne de trouver Dieu en toutes choses. Toohig présente également des analogies entre certains autres aspects de la spiritualité ignat ienne tels, par exemple, que l’expérience de la rédemption personnelle à de profonds niveaux de la vie, proposée dans les Exercices spirituels, et la faim que les physiciens montrent dans leur vie pour une pénétration toujours plus profonde du mystère de l’univ ers. Il va jusqu’à suggérer une certaine similitude entre l’expérience d’Einstein découvrant de nouvelles théories physiques et l’expérience mystique de St Ignace sur la création , près du fleuve Cardoner. L’approche de José Gabriel Funes, actuel directeur de l’observatoire du Vatican, est plus spécifique ; il démarre en déclarant que la tradition scientifique jésuite a ses ra cines dans la spiritualité ignat ienne

23 . Il discute les défis à la foi chrétienne posés par la science de nos jours et l’appel à l’« ap ôtre scientifique » à être présent aux frontières entre l’Église et le monde de la science, et il offre son propre témoignage selon lequel il n’existe pas de conflit entre les deux. A l’objection pratique selon laquelle il existe de nos jours d’autres prob lèmes plus urgents pour un prêtre, Funes répond par la scène de l’onction de Jésus à Béthanie (Mc 14, 3 - 9) justifiant ce que l’on peut considérer comme une vie « gâchée » dans l’étude des galaxies, mais accomplie au service du Seigneur. Il termine avec l’i dée, déjà mentionnée par d’autres, que le prêtre - scientifique joue le rôle de pont entre l’Église et la communauté scientifique. Un autre membre de l’équipe de l’observatoire du Vatican, Paul Gabor, essaie de répondre à la question : l’implication des Jésu ites dans la science est - elle une expression de l’identité jésuite elle - même, c’est - à - dire est - elle de l’ordre du charisme, ou bien est - ce le résultat d’influences extérieures

24 ? Il commence par un panorama du travail scientifique dans la Société depuis Cl avius au XVIème siècle jusqu’à la Congré gation Générale 31 de 1961. A nalysant la motivation derrière ce travail, Gabor présente d’abord les motivations extérieures, par exemple apologétiques et utilitaires, qu’il considère comme insuffisantes. Puis il exam ine les motivations internes et relie la recherche scientifique avec la spiritualité igna ienne dans les Constitutions et les Exercices spirituels de St Ignace. Gabor déclare que « la science est pratiquée pour son propre intérêt dans la Société, en tant qu e véritable quête spirituelle ». C’est ainsi qu’il déclare que les raisons étrangères, telles que pragmatiques, pastorales, pédagogiques et spirituelles ne sont pas nécessaires et que la motivation fondamentale des scientifiques jésuites est la recherche e lle - même. Il affirme également que l’on peut trouver de nombreux parallèles entre la vie scientifique et la vie spirituelle. En ce qui concerne en particulier la physique, Gabor trouve qu’il y a plusieurs aspects dans le travail du physicien, tels que le goût du jeu, la poursuite de la sagesse, les implications et dimensions ascétiques, qui sont des exemples de ses affinités spirituelles. Il termine en disant qu’« il existe une affinité indiscutable entre la science et la spiritualité ignatienne ». Dans ces quelques témoignages nous avons vu que les scientifi ques jésuites voient eux - mêmes leur activité non seulement compatible avec, mais conséq uence de leur spiritualité ignat ienne , justifiée en elle - même et non seulement par des motivations utilitaires apost oliques. Nous avons vu aussi qu’il y a un véritable effort pour montre r les affinités entre le travail scientifique et cette spiritualité, bien qu’il ne soit pas parfaitement clair de définir en quoi consiste nt ces affinités. Gabor reconnaît qu’il existe d es témoignages plutôt que des analyses approfondies, mais il trouve frustrant le manque d’études systématiques concernant la spiritualité du travail scientifique. Funes déclare que parmi les Jésuites il existe différentes façons de vivre l’apostolat scient ifique, de même qu’il y a de nombreuses façons différentes de vivre la vocation jésuite elle - même. Comme exemple, il présente les différences entre un Matteo Ricci et un Teilhard de Chardin , et il s’identifie davantage avec le premier

25 . Tous les témoignages débutent par le postulat selon lequel pendant presque toute son histoire, les Jésuites se sont distingués dans l’Église en tant qu’appartenant à l’institution qui a eu, et a encore, un engagement spécial et une implication dans la science. Leur conclusion fait, d’une certaine façon , le 23 José G. Funes, Una imagen evangélica para el apostolado científico (Mc 14, 3 - 9). Rev. de Espiritualidad Ignaciana , 37, (2007) 87 - 95. 24 Paul Gabor, Jesuit identity and science. An inside look. En Petra Čemus (ed.) Proceedings of the Bohemia Jesuitica Conference (Prague 25 - 27 April 2006) Prague: Carolinum (2010), 647 - 660. 25 Funes, Una Imagen (2007), 92. 9 lien entre cette implication et la spiritualité igna t ienne, fondement de la vie jésuite, bien que cette relation soit exprimée à partir de différents points de vue et que d’autres études soient nécessaires. 4. Pr atique scientifique et vie jésuite Il y a encore une question que nous devons étudier sur la façon dont l’engagement envers la science a été vécue de fait par les Jésuites dans le contexte de le ur propre ordre religieux et comment il a été vu par d’autres Jésuites, en particulier par leurs supérieurs. Tout d’abord, il nous faut tenir compte du fait que les hommes de science ont été, et sont toujours, une petite minorité parmi les Jésuites. Leur formation, en quelque sorte, les sépare du reste de leurs frère s, qui s’occupent plus spécialement de théologie, de philosophie et d’humanités, ou de travail pastoral direct. Il est vrai qu’ils ont suivi une formation théologique et philosophique similaire, mais leur formation et leur travail scientifiques ne sont pas partagés par les autres. Voilà pourquoi, parfois, le scientifique jésuite peut se sentir un peu incompris, ou isolé dans son travail, un peu un « outsider » dans sa propre communauté. Les supérieurs regrettent aussi parfois ne pas pouvoir dédier les scien tifiques à d’autres tâches qu’ils considèrent plus utiles. Mordechai Feingold examine la situation en détail avec les Jésuites scientifiques des XVIIème et XVIIIème siècles, et il pose la question : pourquoi, parmi eux, n’y a - t - il pas de savants de premièr e grandeur comme Galilée, Descartes ou Newton

26 ? Bien qu’il soit permis de s’interroger sur la pertinence de cette question, puisque les savants de ce niveau sont si rares qu’il est difficile à une institution d’apporter une seule contribution. Mais la que stion permet à Feingold d’examiner une série de circonstances qui dressent des obstacles dans les activités des scientifiques jésuites. Il se demande même s’il n’existe pas de réelle incompatibilité entre la vocation jésuite et l’engagement envers une scie nce séculière, puisque pour eux la science est toujours un moyen vers une fin et non une fin en elle - même. Il nous faut admettre que pour un Jésuite le travail scientifique, comme n’importe quelle autre activité de Jésuite, est finalement orientée vers le but apostolique du salut des âmes. Cependant, ceci n’invalide pas leur engagement pour la science, puisque même les plus grands savants ont une variété de motivations dans leur travail. La pureté de la poursuite de la science pour elle - même est, en fait un mythe, comme l’a montré le sociologue de la science Robert K. Merton

27 . Feingold examine une série de problèmes pratiques qui pourraient placer des obstacles dans la progression de la carrière scientifique d’un Jésuite. Parmi eux, il place le peu d’intérêt de ses supérieurs pour ce type d’études et l’urgence présentée par d’autres domaines considérés comme plus importants. Un exemple concret en est la priorité attribuée par les supérieurs aux besoins d’enseignement dans les collèges et les universités par r apport à la recherche. Un autre exemple de ce problème réside dans la priorité donnée à la publication de livres scolaires par opposition aux résultats de recherches. Feingold pose que les Jésuites ont excellé davantage en tant que professeurs et formateur s dans les domaines scientifiques qu’en tant que chercheurs eux - mêmes. Citons en exemples les étudiants de collèges jésuites tels que Torricelli, Descartes, Laplace, Volta, Buffon et Lalande. D’autres obstacles rencontrés par les Jésuites dans leur travail scientifique, selon Feingold, sont les réticences des supérieurs à l’égard des nouveautés, les règles pour l’unité de la doctrine, la censure intérieure de l’ordre et l’auto - censure des auteurs eux - mêmes. Un problème con cret qui affecta les scientifiques jésuites au XVIIème et au XVIIIème siècles fut l’acceptation du système de Copernic en astronomie et en physique atomique. Il nous faut reconnaître la présence de ces problèmes, reconnus par les scientifiques jésuites eux - mêmes, mais ce ne furent pas des obstacles insurmontables. Nous ne pouvons pas non plus séparer de façon aussi drastique l’enseignement et la recherche ; si les Jésuites ont été de si bons professeurs de science, c’est qu’ils unissaient enseignement et re cherche. 26 Mordechai Feingold, Jesuits : Savants. En M. Feingold (ed.), Jes uit science and the republic of letters . Cambridge (Mass.): The MIT Press (2002), 1 - 45. 27 Robert K. Merton, La sociología de la ciencia . Madrid, Alianza Universidad (1973), (Las pautas de conducta de los científicos) 423 - 443. 10 L’œuvre scientifique des Jésuites dans la Société restaurée après 1814 a été principalement centrée sur les observatoires et les universités. Cette époque ne connaissait plus de préjugés contre les théories scientifiques depuis que la science étai t séparée des questions philosophiques et théologiques. Les scientifiques jésuites jouissaient d’une liberté complète dans leurs travaux du domaine scientifique. Teilhard de Chardin, par exemple, n’eut jamais aucun problème pour la publication de ses trava ux scientifiques. De plus, ses supérieurs lui conseillèrent de rester dans le domaine scientifique et de ne pas se mêler de questions théologiques. Les travaux des nouveaux observatoires, fondés après 1824, étaient grandement appréciés par les Jésuites, no urris et encouragés par les supérieurs jusqu’aux années 1970, où ils commencèrent à décliner. En 1893, le Père Général Luis Martin, parlant des travaux effectués à l’observatoire de Manille (Philippines), déclara qu’ils contribuaient non seulement à la « s plendeur de la science et à la bonne réputation de notre Société, mais aussi à l’utilité des scientifiques et à l’assistance des âmes, but de toutes nos études et activités selon notre institution

28 ». Pierre Lejay (1898 - 1958), directeur de l’observatoire d e Zikawei (Chine), se plaignait en 1933 de ce que le travail scientifique de l’observatoire n’était pas suffisamment apprécié par la Mission jésuite chinoise, quelques missionnaires le considérant comme une perte de temps. Le Père Général Wladimir Ledochow ski lui écrivit pour lui dire qu’« il avait toujours protesté personnellement contre cette opinion injuste » et pour mettre en évidence « la haute importance du travail intellectuel et la faveur qu’il a toujours eu e dans l’ Église et les traditions missionn aires 29 ». Nous pouvons conclure que le travail scientifique jouit encore d’une grande estime parmi les Jésuites, sauf par quelques critiques qui ne comprennent pas son importance. Dans les temps modernes, l’importance donnée à l’enseignement, que nous avon s vue dans la période précédente, est toujours d’actualité, du fait du plus grand nombre d’universités dirigées par des Jésuites et du besoin de professeurs jésuites dans les départements des sciences. Ernesto Gherzi (1886 - 1976), dernier directeur de l’obs ervatoire de Zikawei qui travailla ensuite à l’observatoire géophysique jésuite de Montréal, se plaignait en 1970 du peu de soutien qu’il rencontrait chez les autres Jésuites dans ses recherches de géophysique. Louis Larendeau, Provincial de la province ca nadienne française jésuite, reconnut que les supérieurs n’étaient pas souvent familiers du monde de la science de sorte que la vocation des scientifiques jésuites est rarement récompensée, spécialement en ce qui concerne ceux qui font de la recherche. Cependant, il concède que l’enseignement est mieux reconnu et accepté

30 . Carl - Henry Geschwind, écrivant dans le contexte des travaux jésuites contemporains de sismologie aux Etats - Unis pose aussi la question, comme Feingold : les Jésuites ont - ils travaillé en s cience pour la science ou bien poursuivaient - ils d’autres fins ? Il déclare qu’au XIXème siècle la tradition scientifique jésuite s’était effacée et qu’en Amérique du Nord « idéologiquement, une absence de goût pour une libre recherche » s’était développée

31 . C’est faire fi de personnalités telles que Angelo Secchi, Stephen Perry et Benito Viñes qui, au XIXème siècle, apportèrent des contributions durables et significatives en astrophysique, en géophysique et en météorologie. Il fait la différence avec l’attitude envers la recherche sismologique de Frederik Odenbach et James Macelwane, considérant que seul le deuxième bénéficiait d’une véritable mentalité scientifique. Nous avons déjà mentionné la complexité des motivations dans le travail scientifique, et comment la présence chez des scientifiques jésuites d’un but religieux ultime n’invalide pas leurs travaux d’hommes de science. Conclusion 28 Lettre au P. Miguel Saderra (3 Nov 1893), Archivum Romanum Societatis Iesu ( ARSI ), Lettres du P. Luis Martín, 1892 - 1906,158 29 Lettre au P. Pierre Lejay (17 Abril 1933). ARSI , Lettres du P. Wladimir Ledochowski, 1915 - 1942, 482 - 483 , . 30 Lettre du provincial de la Province G allo - canadienne Louis Laurendeau au P. Ernesto Gherzi (Montreal, 3 février 1970) Saint - Jérôme, ASJCF , Bo - 214 - 35. 31 Geschwind, Embracing science (1998), 28 y 49.

rien néchappe a ces jésuites ils ont meme un téléscope surnommé lucifer  tres en accord avec leur manigance.

LUCIFER, de son nom complet le Large Binocular Telescope Near-infrared Spectroscopic Utility with Camera and Integral Field Unit for Extragalactic Research, soit en français « Installation spectroscopique proche infrarouge du Grand Télescope binoculaire avec caméra et unité intégrale de champ pour la recherche extragalactique », est un instrument utilisé en astronomie sur le télescope appelé Large Binocular Telescope. L'ensemble fait partie de l'Observatoire international du Mont Graham, construit en 1989. Il est situé sur le Mont Graham, dans le sud-est de l'Arizona aux États-Unis LUCIFER a été mis en service au début 2011 après 10 années de développement et de test. Le sigle correspond à « Instrument pour le Télescope à Large Binoculaire, spectroscopique proche de l'infrarouge avec Caméra et unité intégrale de champs pour la recherche extragalactique1 » : il s'agit d'une caméra couplée à un spectrographe qui viennent compléter le télescope. Ce télescope est considéré comme l'un des télescope les plus puissants au monde.

 

4 janvier 2017

LE MOUVEMENT R.E.M OU LE SECRET DES REVES ET DE LA MORT

 

 

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Les chercheurs ne savent pas à quoi servent les mouvements des yeux. Peretz Lavie (en) pense que les mouvements groupés sont en rapport direct avec le contenu du rêve. En effet, il y a des cas où cela a pu être démontré comme dans le « rêve du jeu de tennis »1, mais il s’agit de preuves isolées et Michel Jouvet ne pense pas qu’il y a un lien obligatoire2. En effet, les aveugles de naissance n’ont pas de mouvements des yeux groupés, leurs rêves se caractérisent par des bruits, des sensations de toucher et des états émotionnels. Mais il existe également des mouvements simples et isolés qu’on trouve chez les voyants et les aveugles. On pense que ces mouvements accompagnent le travail de mémorisation qui s’effectue pendant le sommeil paradoxal3.

Ce phénomène est très utile aux chercheurs qui étudient les rêves car il permet de reconnaître assez facilement une phase de sommeil paradoxal. Ces mouvements sont notamment utilisés dans les recherches sur le rêve lucide.

 

interpretation-reveLE  R.E.M rapid eye mouvement se déclenche dès que vous allez vous endormir alors votre esprit se projette dans un vortex qui le fera traverser notre dimension, une fois sur place votre 3e OEIL s'active et vous voyez ,les éveillés ont Ce troisième oeil actif même éveillés et voient les yeux fermés ......

Dans certaines traditions, le rêve est une pratique spirituelle. Pour le bouddhisme tibétain, qui comporte une pratique de yoga du rêve, apprendre à rêver, c’est apprendre à mourir?

 

bardo thodol

 

DANS LE  Livre des morts tibétain, le Bardo-Thodöl (2). En le lisant, puis en interrogeant des maitres tibétains à son sujet, j’ai été frappé par le rappel régulier qui est fait dans le bouddhisme de la similitude entre les états que l’on traverse dans les rêves et ce que l’on serait susceptible de« rencontrer » au moment de la mort.

Le sommeil est le frère de la mort, CHEZ LES MUSULMANS : ﴾ Allah reçoit les âmes au moment de leur mort ainsi que celles qui ne meurent pas au cours de leur sommeil. Il retient celles à qui Il a décrété la mort, tandis qu’Il renvoie les autres jusqu'à un terme fixé. ﴿ (Sourate 39 Az-Zoumar/Les Groupes V 42)

 

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Selon Zohar I, 183b, « rien ne se matérialise dans le monde qui n’ait été d’abord révélé à une personne dans un rêve » et Zohar I 251b, « les édits de la Cour Céleste sont d’abord montrés aux enfants de l’homme dans les rêves, ensuite après un court laps de temps, les choses arrivent ».

 

« Le Créateur nous a modelé afin que la part divine de notre âme puisse être d’une certaine manière détachée durant le sommeil de ses liens physiques. Les aspects supérieurs de l’âme sont élevés et séparés du corps. Un aspect de la part divine de l’âme reste avec la part inférieure de l’âme. Les aspects détachés se meuvent dans certains royaumes spirituels et sont impliqués là, soit avec des forces spirituelles qui se trouvent dans la nature, soit avec des anges ou des démons. Ils expérimentent ce qui leur est déterminés en ce royaume. Parfois, alors qu’ils se trouvent dans les sphères supérieures, ils peuvent transmettre des informations reçues à l’âme qui est restée en bas. Cela réveille l’imagination et cause des images mentales.

Parfois l’information est vraie et parfois elle est fausse, selon la source de ces informations. L’information elle-même entre dans l’imagination et se mêle avec les autres pensées, désirs et phénomènes physiques qui en perturbent la transmission. D’autres fois, les informations parviennent clairement » (Rabbi Moshé Chaïm Luzzatto, La Voie de Dieu, III1:6).

 

Le Zohar I 183a nous met en garde : « on ne doit jamais raconter son rêve à n’importe qui si ce n’est à un ami proche ».

 

Le Zohar (I, 150b) : « certains rêves sont vrais et d’autres sont des mensonges » qui fait suite à Berakhot 55a « il n’y a aucun rêve qui n’ait une part de mensonge en lui ».

 

Traité Bérakhoth Chapitre 9 Page 57 b

 

Cinq éléments représentent un soixantième (d’autres), ce sont : le feu, le miel, le Shabbat, le sommeil et le rêve. Le feu représente un soixantième de la Géhenne ; le miel représente un soixantième de la manne ; le Shabbath représente un soixantième du monde à venir ; le sommeil représente un soixantième de la mort, le rêve représente un soixantième de la prophétie.

 

« Le rêve apparaît à l’homme sans aucune intervention de la réflexion ou du raisonnement. » Rabbi Bahyay, « Le Rêve » 12e s.

 

On voit que l'homme rêve lorsque, dans son sommeil, il a des mouvements oculaires rapides. On ne sait pas encore très bien si ces mouvements indiquent que les yeux "suivent le rêve" ou si ce sont des mouvements aléatoires.

CE QUE la science ignore est la fonction des yeux au moment du sommeille some eye devrait on dire  ; le sommeille et la mort sont identique comme un rêve et un cauchemard les deux se produisent dans un même état de mort physique  .

Pourquoi ? parce que votre ame quitte votre corps quand vous dormez et chaque matin elle retourne dans votre corps .la preuve est simple si vous etes une personne éveillé alors il vous arrive  de reprendre votre esprit juste avant que votre ame ne regagne votre corps etendu sur son lit et vous vous verrez descendre et pénétrer dans votre corps ,vous avez certainement réalisé ce genre d'expérience , si non demandez à des amis ils vous confirmeront ce phénomène ,'  nous avons une âme et notre corps est juste un ancrage terrestre 3D ET TIREZ EN  les conclusions qu'il se doit , ce sera le début d'une vraie quête spirituelle pas de tunning nuageux de sectes satanistes qui vous orientent vers l'adoration de votre nombril .

 

verifiez-toujours-que-votre-maison-n-est-pas-hantee_183_w250

C'est l'histoire d'une dame qui remarqua qu'elle faisait toutes les nuits le même rêve. Elle se promenait dans un grand jardin, était attirée par une grande maison blanche et elle allait vers elle.
Elle souhaitait visiter cette maison mais personne ne répondait a ses appels, elle était déçue elle sonnait, elle criait, et enfin elle se réveillait. Ce rêve se répétait pendant de longs mois avec une telle précision qu'elle finit par penser que pendant son enfance elle avait dû voir ce parc et cette maison. Si bien qu'elle avait décidé de passer ses vacances sur les routes de la région à la recherche de la maison de ses rêves. Un jour retournant chez elle, elle eût la sensation d'être déjà passée par là, quelque chose l'attirait elle n'avait jamais éprouvé ça.
Elle suivit son instinct quand elle vit un petit chemin, elle le prit et, à travers les arbres on devinait une maison. Elle sut tout de suite que c'était la maison de ses rêves. Elle était maintenant devant la maison, elle sortit de la voiture, monta rapidement les marche et sonna .Elle avait peur que personne ne reponde mais presque tout de suite un domestique parut.

C'étais un homme au visage triste très vieux vêtu d'un veston noir. En la voyant il parut très surpris et il la regarda sans parler.
- Je vais, lui dit-elle, vous demander une faveur un peu étrange. Je ne connais pas les propriétaires de cette maison mais je serais heureuse s'ils m'autorisaient à la visiter.
- La maison est à louer, madame, dit-il comme avec regret, et je suis là pour la faire visiter.
- À louer ? Comment les propriétaires eux même n'habitent-ils pas une maison si belle ?
- Les propriétaires l'habitaient, madame. Ils l'ont quittée depuis que la maison est hantée.
- Hantée ? dit-elle. Voilà qui ne m'arrêtera guère. Je ne savais pas que par ici on croyait encore aux revenants ...
- Je n'y croirais pas, madame, dit-il sérieusement, si je n'avais moi-même rencontré si souvent dans le parc, la nuit, le fantôme qui a mis mes maîtres en fuite.
- Quelle histoire ! dit-elle en essayant de sourire.
- Une histoire, dit le vieillard d'un air de reproche, dont vous au moins, madame, ne devriez pas rire, puisque ce fantôme, c'était vous.

Peut être sommes nous les âmes errantes qui hantons les maisons et les rêves des autres ,qui croyant faire un mauvais rêve : dans lequel des millions de personnes et d'entités interagissent un monde dans les mondes et cela ,expliquerait les sentiments de déjà vu ' (les lieux les personnes etc ) un voyage dans le temps ou se côtoient morts d'un soir  et vivants d'un jour . R.james

 

 

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