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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
catholique
11 novembre 2016

Le 8 janvier 1454 : Le jour où L’Eglise Catholique déclara l’extinction de la race noire

 

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michel Duchaine

Le 8 janvier 1454 : Le jour où L’Eglise Catholique déclara et sanctifia l’extinction de la race noire

La Bulle pontificale d’appel à la « guerre sainte » contre les Nègres, datée du 8 janvier 1454 et rédigée par le Pape Nicolas V (de son vrai nom Tomaso Parentucelli) a eu des conséquences désastreuses pour l’Afrique noire.

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Extrait de la Bulle du Pape Nicolas V, 8 janvier 1454.

« Nous avions jadis, par de précédentes lettres, concédé au Roi Alphonse, entre autres choses, la faculté pleine et entière d’ATTAQUER, de CONQUERIR, de VAINCRE, de REDUIRE et de SOUMETTRE tous les les Nègres, païens et autres ennemis du Christ où qu’ils soient, avec leurs royaumes, duchés, principautés, domaines, propriétés, meubles et immeubles, tous les biens par eux détenus et possédés, de réduire leurs personnes en servitude perpétuelle (…) de s’attribuer et faire servir à usage et utilité ces dits royaumes, duchés, contrés, principautés, propriétés, possessions et biens de ces infidèles nègres et païens (…). »

Cette date devrait être déclarée journée de deuil dans toute l’Afrique noire.

Les Nègres aujourd’hui qui se déclarent Chrétiens(catholiques et autres) doivent savoir de quoi ils se rendent complices et prendre leur responsabilités. Ils doivent se poser la question de savoir s’ils le font en toute connaissance de cause au regard du tribut payé par les nôtres. Chaque franc que vous donnez à la quête le dimanche contribue à financer et perpétuer le système qui a mené notre peuple au bord de l’extinction. Prenez rendez-vous avec vous-même et réfléchissez-y sérieusement.

Je rends hommage ici  aux valeureux ancêtres résistants des Noirs:
MACKANDAL, DESSALINES, BOIRON-TONNERRE, TOUSSAINT LOUVERTURE, MAMBO ATY, ZUMBI, MULATRESSE SOLITUDE, HARRIET TUBMAN, NAT TURNER et tous les autres résistants. 

Le Dieu de nos ancêtres a vaincu le dieu des barbares, nous sommes toujours là, debout, plus que jamais!
On n’oubliera jamais Ô GRAND JAMAIS !

« Ô Dieu des Ancêtres qui créa la terre et qui créa le soleil qui nous inonde de sa lumière. Ô Dieu qui porte les océans, qui provoque le rugissement du tonnerre.Ô Dieu qui a des oreilles pour entendre , toi qui es caché derrière les nuages , qui nous montre notre cheminement originel , tu vois à quel point le Blanc nous fait souffrir. Le Dieu de l’homme blanc lui commande de commettre des crimes.Mais notre Dieu qui est si bon , si juste , si vrai nous ordonne à présent de nous venger de toutes les souffrances endurées.C’est lui qui dirigera désormais nos armes et nous conduira à la victoire.C’est lui qui dorénavant nous aidera et nous protégera.Mais il exige que nous rejetions définitivement l’image hideuse du Dieu de l’homme blanc qui est si perfide et si cruel.Écoutez mes frères la voix triomphante de la liberté qui chante et résonne dans nos cœurs à jamais purifiés ».
(EXTRAIT DU « SERMENT AU DIEU DES ANCÊTRES » PRONONCÉ PAR HOUGAN DUTTY BOUKMAN ZAMBA AU COURS DE LA « CÉRÉMONIE DU BWA KAY MAN » QUI S’EST DÉROULÉE AU MORNE ROUGE  (HAITI) DANS LA NUIT DU 14 AOÛT 1791)

 

le pape nicolas v mise les sarrasins en esclavage pour le christ

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1 novembre 2016

Des anciens Mystères Babyloniens au système de Rome

110386074Si l'on trouve cette coïncidence générale entre les systèmes de Babylone et de Rome, on se demande est-ce tout ? Nous répondons : bien loin de là. – Comparons seulement les anciens Mystères Babyloniens au système de Rome et nous verrons combien l'un a emprunté à l'autre. Ces mystères furent longtemps enveloppés de ténèbres ; mais aujourd'hui ces ténèbres épaisses commencent à se dissiper. Tous ceux qui ont prêté la moindre attention à la littérature de la Grèce, de l'Égypte, de la Phénicie ou de Rome, savent quelle place les Mystères occupaient dans ces pays ; ils savent aussi que malgré des diversités secondaires, ces mystères étaient les mêmes sur tous les points essentiels dans ces diverses contrées. Or, de même que les paroles de Jérémie déjà citées semblent montrer que Babylone fut la source première de tous ces systèmes d'idolâtrie, ainsi les déductions des historiens les plus compétents, basées uniquement sur des faits historiques, ont abouti à la même conclusion (1). Zonaras (2) nous apprend que les témoignages des anciens auteurs qu'il avait consultés amènent au résultat dont nous parlons, il nous dit en effet, à propos de l'arithmétique et de l'astronomie : "Ces deux sciences, dit-on, sont venues des Chaldéens aux Égyptiens, et de ceux-ci aux Grecs." Si les Égyptiens et les Grecs ont pris aux Chaldéens l'arithmétique et l'astronomie, du moment que ces sciences étaient des sciences sacrées dont les prêtres avaient le monopole, cela prouve suffisamment qu'ils ont puisé leur religion à la même source. Bunsen et Layard, dans leurs recherches sont arrivés au même résultat. Le premier déclare en effet que le système religieux de l'Égypte venait d'Asie, "et du premier empire de Babel (3)". Layard à son tour, quoique envisageant le système des mages Chaldéens à un point de vue plus favorable, parle ainsi de ce système : "Il est évident que ce culte primitif remonte à une haute antiquité, et nous avons le double témoignage de l'histoire sacrée et de l'histoire profane pour établir qu'il prit naissance chez les peuplades Assyriennes. On lui donna l'épithète de parfait, et on crut que c'était le plus ancien des systèmes religieux, antérieur même à celui des Égyptiens. (Egyptiis vero antiquiores esse Magos Aristoteles auctor est in primo de Philosophia libro-Theopompi Frag) (4). L'identité", ajoute-t-il, "de beaucoup de doctrines Assyriennes avec celles de l'Égypte est indiquée par Porphyre et Clément", et toujours sur le même sujet il cite les passages suivants de Birch sur les cylindres et les monuments de Babylone : "Les signes du Zodiaque montrent d'une manière indubitable que les Grecs avaient emprunté aux Chaldéens leurs notions et leur disposition du Zodiaque (et par conséquent leur mythologie qui lui était associée). L'identité de Nemrod et de la constellation d'Orion ne peut être contestée (5)." Ouvaroff, lui aussi, dans son savant ouvrage sur les Mystères d'Eleusis est arrivé à la même conclusion. Après avoir cité ce fait que les prêtres Égyptiens réclamaient l'honneur d'avoir transmis aux Grecs les premiers éléments du polythéisme, il conclut ainsi : "Ces faits certains prouveraient assez, même sans la conformité d'idées, que les Mystères transportés en Grèce qui s'y sont alliés à un certain nombre de notions locales, n'ont jamais perdu le caractère de leur origine, qui remonte au berceau des idées morales et religieuses de l'univers. Tous ces faits séparés, tous ces témoignages épars confirment ce principe fécond en conséquences qui fait de l'Orient le centre de la science et de la civilisation (6)." Si nous avons ainsi la preuve que l'Égypte et la Grèce ont emprunté leur religion à Babylone, nous avons aussi la preuve que le système religieux des Phéniciens sort de la même origine. Macrobe démontre que le caractère distinctif de l'idolâtrie Phénicienne doit avoir été importé d'Assyrie, qui pour les écrivains classiques comprenait Babylone. "Le culte de Vénus Architès, dit-il, florissait autrefois chez les Assyriens comme aujourd'hui chez les Phéniciens (7)."

Or pour établir l'identité entre les systèmes de l'ancienne Babylone et de la Rome papale, il n'y a qu'à chercher à quel degré le système de la papauté s'accorde avec le système établi dans ces Mystères de Babylone. Dans une pareille recherche, nous avons à surmonter des difficultés considérables ; car de même qu'en géologie, il est tout à fait impossible d'atteindre les couches profondes qui s'étendent sous la surface de la terre, ainsi il ne faut pas croire que dans aucun pays nous puissions trouver un exposé complet et harmonique du système qui y est établi. Mais cependant comme le géologue, en examinant ici l'intérieur d'une fissure, là une éminence, ailleurs les différents aspects de la surface elle-même, peut déterminer, avec une merveilleuse certitude, l'ordre et les contenus généraux des différentes couches de toute la terre, il en est ainsi pour la question des mystères Chaldéens. Ce qui manque dans un pays est fourni par un autre, et ce qui apparaît dans plusieurs directions, détermine nécessairement le caractère de bien des faits qui ne se montrent pas directement au grand jour. Étant donc admis l'unité et le caractère Babylonien des anciens Mystères de l'Égypte, de la Grèce, de la Phénicie, et de Rome, prenons ces deux traits pour la clef qui doit nous guider dans nos recherches, et comparons point par point la doctrine et la pratique des deux Babylones, celle de l'Ancien et celle du Nouveau Testament.

Nous remarquerons, en premier lieu, l'identité des objets de culte de Babylone et de Rome. Les anciens Babyloniens, exactement comme les Romains modernes, croyaient formellement à l'unité de la Divinité ; et tout en adorant une infinité de divinités secondaires, qui, disait-on, possédaient une certaine influence sur les destinées humaines, ils reconnaissaient distinctement l'existence d'un seul Créateur infini, et tout-puissant, élevé au dessus de tout (8). La plupart des nations faisaient de même. "Dans les âges reculés de l'humanité, dit Wilkinson dans les « Anciens Égyptiens », on semble avoir cru généralement à une divinité unique et toute-puissante qui a créé toutes choses ; la tradition apprit aux hommes les mêmes notions sur ce sujet, notions qui plus tard ont été adoptées par toutes les nations civilisées (9)." "La religion Gothique, dit Mallet, enseignait l'existence d'un Dieu suprême, maître de l'univers auquel, disait-on, tout obéissait, tout était soumis" (Tacite de Morib. Germ.). L'ancienne mythologie de l'Islande l'appelle "l'auteur de tout ce qui existe, l'Être éternel, vivant et terrible, celui qui scrute les choses cachées, l'Être qui ne change jamais". Elle attribue à cette divinité "un pouvoir infini, une connaissance illimitée, une justice incorruptible (10)". C'était là aussi, nous en avons des preuves, la foi des anciens Hindous. Bien que le moderne Brahmanisme reconnaisse des millions de dieux, les livres sacrés des Hindous montrent qu'autrefois il n'en était nullement ainsi. Le major Moor dit, en parlant de Brahma, le Dieu suprême des Hindous : "Aucune image ne peut le représenter, lui dont la gloire est si grande. Il éclaire tout, réjouit tout, de lui viennent toutes choses ! C'est lui qui fait vivre les êtres vivants, c'est à lui que toutes choses reviennent." (Veda)(11). Dans les décrets de Manou il est ainsi caractérisé : "Celui que l'esprit seul peut percevoir : dont l'essence échappe aux organes sensibles, qui est invisible, qui exista de toute éternité : l'âme de tous les êtres, qu'aucune créature ne peut concevoir (12)." Dans ces passages, il y a quelques traces de panthéisme, mais le langage même témoigne qu'il y a eu parmi les Hindous une période où la foi était beaucoup plus pure.

Non seulement les Hindous célébraient hautement les perfections naturelles de Dieu, mais il est certain qu'ils connaissaient parfaitement son caractère miséricordieux, tel qu'il se manifeste dans ses relations avec un monde coupable et perdu. C'est ce qui apparaît clairement dans le nom même de Brahm qu'ils ont donné au Dieu unique, éternel et infini. On s'est livré à bien des spéculations peu satisfaisantes sur le sens de ce nom ; mais si l'on considère avec soin les différentes citations relatives à Brahm, il devient évident que ce nom n'est autre chose que l'Hébreu Rahm avec le digamma préfixe, très usité dans les mots sanscrits dérivés de l'Hébreu ou du Chaldéen. Rahm en hébreu signifie "le miséricordieux ou le compatissant (13)". Mais Rahm signifie aussi le ventre (14) ou les entrailles, comme siège de la compassion.

Or on parle de Brahm, le seul Dieu souverain, dans un langage tel qu'on ne peut l'expliquer à moins de supposer que Brahm avait la même signification que le mot Hébreu Rahm. Ainsi, nous voyons que le dieu Crishna, dans l'un des livres sacrés des Hindous, affirmant sa dignité souveraine, sa divinité et son identité avec le Dieu suprême, se sert des expressions suivantes : "Le grand Brahm est mon sein, dans lequel je place mon foetus ; c'est de lui que procèdent toutes choses. Le grand Brahm est le sein de toutes les formes diverses qui sont conçues dans chaque sein naturel (15)." Comment aurait-on jamais pu appliquer un pareil langage au "suprême Brahma, le Dieu Très-Haut, l'Être divin, au-dessus de tous les autres dieux ; sans généalogie, le Seigneur tout-puissant, Dieu des dieux, le Seigneur universel (16)" sinon à cause de cette analogie entre Rahm "les entrailles", et Rahm "le miséricordieux" ? Nous voyons donc que Brahm est exactement le même que "Er-Rhaman (17)" le Tout miséricordieux, titre appliqué par les Turcs au Très-Haut, et que les Hindous, malgré leur profonde dégradation religieuse, avaient autrefois reconnu que le Très-Saint, le Très-Haut est aussi le Dieu de miséricorde, en d'autres termes, qu'il est un Dieu juste et Sauveur (18). En développant cette interprétation du nom de Brahm, nous voyons que leur croyance religieuse concernant la création coïncidait exactement avec le récit de l'origine de toutes choses tel qu'il se trouve dans la Genèse. On sait que les Brahmanes, afin de se faire valoir comme une caste sacerdotale à moitié divine, devant laquelle toutes les autres devaient se prosterner, ont longtemps prétendu que, tandis que les autres castes venaient des bras, du corps, des pieds de Brahma (le représentant visible et la manifestation de l'invisible Brahm avec lequel il s'identifiait) eux seuls étaient issus de la bouche du Dieu Créateur. Or, nous trouvons dans leurs livres sacrés des déclarations qui prouvent que jadis on enseignait une doctrine toute différente. Ainsi, dans l'un des Védas, il est dit expressément, à propos de Brahma : "toutes choses sont créées par sa bouche (19)". Dans ce passage on a essayé d'obscurcir le sujet : mais si on le rapproche du sens du nom de Brahm que nous avons déjà donné, qui peut douter du sens précis de cette citation, bien qu'elle soit opposée aux orgueilleuses et exclusives prétentions des Brahmanes ? Elle veut dire évidemment que celui qui depuis la chute s'était révélé à l'homme comme étant le Miséricordieux (20) et le Dieu qui fait grâce (Exode XXXIV, 6) était en même temps connu comme le Tout-puissant qui au commencement "parla, et la chose fut faite, commanda, et toutes choses comparurent, et qui fit toutes choses par sa parole puissante". – Après ce que nous venons de dire, tout lecteur qui consulte les "Recherches Asiatiques", vol. VII, p. 293, peut voir que c'est en grande partie par suite d'une falsification criminelle du titre divin de Seul Dieu vivant et vrai, titre qui aurait dû être si cher aux pécheurs, que surgirent toutes les abominations morales qui rendent si odieux au regard de la pureté les symboles païens des temples Hindous (21).

L'idée Babylonienne de l'unité divine était tellement idolâtre, que Jéhovah le Dieu vivant blâmait sévèrement son peuple de la partager à quelque degré que ce fût : "Ceux qui se sanctifient et qui se purifient au milieu des jardins, d'après les rites d'Achad (22), mangeant de la chair de porc, des choses abominables et des souris, seront consumés tous ensemble" (Ésaïe LXVI, 17). Dans l'unité de ce Dieu unique des Babyloniens il y avait trois personnes, et pour symboliser cette doctrine de la Trinité, ils employaient, comme le prouvent les découvertes de Layard, le triangle équilatéral, absolument comme l'Église Romaine le fait de nos jours (23). Dans les deux cas une telle comparaison est injurieuse pour le Roi Éternel, et ne sert qu'à pervertir les esprits de ceux qui se la permettent comme s'il y avait ou s'il ne pouvait y avoir aucune ressemblance entre une pareille figure et celui qui a dit : "à qui comparerez-vous Dieu, et à quoi le ferez-vous ressembler ?" (Ésaïe XLVI, 5).

  Cliquez pour agrandir. Agrandir la figure. Triple divinité qu'adoraient les anciens Assyriens.
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ig. 3

La papauté a dans quelques-unes de ses églises, comme par exemple dans le monastère des Trinitaires de Madrid, une image du Dieu en trois personnes, avec trois têtes sur un seul corps (24).

Les Babyloniens avaient quelque chose de similaire. Dans son dernier livre, M. Layard donne un spécimen de cette triple divinité qu'adoraient les anciens Assyriens (25) (fig. 3).

La gravure ci-dessous (fig. 4) d'une autre divinité qu'adoraient les païens de la Sibérie, est empruntée à une médaille du Cabinet impérial de St-Pétersbourg et donnée dans le "Japhet" de Parson (26).

Cliquez pour agrandir. Agrandi      

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                    Divinité qu'adoraient les païens de la Sibérie.
Fig. 4

 


Les trois têtes sont arrangées autrement dans le spécimen de Layard, mais toutes les deux sont évidemment destinées à symboliser la même grande vérité, bien que toutes ces représentations de la Trinité avilissent les idées de ceux parmi lesquels on trouve ces images, au sujet de ce mystère sublime de notre foi. Dans l'Inde, la divinité suprême est aussi représentée de la même manière dans l'un des temples les plus anciens de ce pays ; elle a trois têtes sur un seul corps et porte le nom de "Eko Deva Trimurti (27)", "un Dieu à trois formes". Au Japon, les Bouddhistes adorent leur grand dieu Bouddha avec trois têtes, sous la même forme et sous le nom de "San Pao Fuh (28)". Toutes ces images existaient depuis l'Antiquité. Tout en étant empreinte d'idolâtrie, la notion d'une Trinité était universelle chez toutes les nations anciennes du monde : cela montre combien était profondément enracinée dans l'humanité la doctrine originelle qui vient si manifestement de la Genèse (29). Les symboles de la figure de Layard dont nous avons parlé, sont très instructifs si on les examine attentivement. Pour lui, le cercle de cette figure signifie "le temps illimité". Mais il est évident que le sens hiéroglyphique de ce cercle est bien différent. En Chaldéen un cercle se dit Zéro (30) ; et Zéro signifie aussi la semence. Aussi, d'après le génie du système mystique des Chaldéens, qui était dans une large mesure fondé sur des mots à double sens, ce qui pour le vulgaire était simplement un Zéro, "une circonférence", était pour les initiés Zéro "la semence". Maintenant si on considère à ce point de vue l'emblème triple de la Divinité suprême des Assyriens on voit clairement quelle avait été à l'origine la foi patriarcale. Tout d'abord, il y a la tête du vieillard, puis il y a le Zéro, ou le cercle, c'est-à-dire la semence ; enfin, les ailes et la queue d'une colombe (31), tout cela montre, d'une manière blasphématoire, l'unité du Père, de la semence ou du Fils, et du Saint-Esprit. Telle était la manière dont l'idolâtrie païenne avait tout d'abord représenté le Dieu en trois personnes, cette représentation avait duré même après Sennachérib ; mais il n'en est pas moins certain qu'à une époque plus reculée, les notions Babyloniennes de la Divinité s'étaient profondément modifiées ; et les trois personnes étaient devenues le Père Éternel, l'Esprit de Dieu incarné dans une mère humaine et le divin Fils, fruit de cette incarnation.


1. Voir HÉRODOTE, liv. II, ch. 109, et DIOGÈNE LAERCE, proem, p. 2.
2. Liv. I, 6, p. 34.
3. BUNSEN, L'Égypte, vol. I, p. 444.
4. LAYARD, Ninive et ses ruines, vol. II, p. 440.
5. ibid. p. 439-440.
6. OUVAROFF, Mystères d'Eleusis, sect. II, p. 20.
7. Saturnalia, liv. I, ch. 21, p. 79.
8. JAMBLICHUS, sect. VIII, ch. 2. – MACROBIUS, Saturnalia, p. 65.
9. WILKINSON, vol. IV, p. 176.
10. MALLET, Antiquités du Nord, vol. 1, p. 78-79.
11. MOOR, Le Panthéon, p. 4.
12. Col. KENNEDY, La Mythologie Hindoue, p. 290.
13. Voir PARKHURST, Lexique Hébreu, sub voce n° V.
14. ibid. n° II.
15. PARKHURST, Lexique Hébreu, sub voce n ° IV.
16. MOOR, Le Panthéon, Crishna, p. 24.
17. GITA, p. 68, apud Moor.
18. Pour plus de clarté sur la croyance des Hindous à ce sujet, voir à la fin de l'article suivant.
19. Recherches Asiatiques, vol. VII, p. 294. Londres, 1807.
20. Le mot de l'original dans l'Exode est exactement le même que Rahm niais sous la forme du participe.
21. Si tel est le sens du mot Brahma, le sens de Deva, nom générique de Dieu chez les Hindous lui est presque identique. Ce nom vient du sanscrit Div, briller. C'est seulement une forme différente de Shiv qui a le même sens et qui vient aussi du Chaldéen Ziv, éclat ou splendeur (Daniel II, 31) et certainement lorsque le culte du soleil vient se greffer sur la foi des patriarches, la splendeur visible du luminaire divinisé pouvait être suggérée par ce nom. Mais on a des raisons de croire que Deva a une origine plus noble et que ce mot venait réellement à l'origine du Chaldéen Thad bon, que l'on peut aussi prononcer Thev, ou dans sa forme emphatique Theva, ou Theva le Bon. La première lettre représentée par le Th, comme le montre Donaldson dans son "Nouveau Cratylus", se prononce souvent Dh. De Dheva ou Theva le Bon vient naturellement le sanscrit Deva, ou sans le digamma, comme cela arrive souvent Deo, Dieu, en latin Deus, en Grec, Theos, le digamma disparaissant de l'original Thevo-s, comme novus en latin devient neos en Grec. Cet aspect du sujet donne de l'autorité à la parole du Seigneur (Matthieu XIX, 17). Il n'y a qu'un seul bon, c'est (Theos) Dieu. – (le Bon).
22. Quelques-uns traduisent : (derrière un arbre) ; mais il n'y a dans le texte aucun mot signifiant arbre ; et Lowth admet, avec les meilleurs orientalistes, qu'il faut traduire "d'après les rites d'Achad", c.-à-d. "de celui qui est unique". On objectera qu'il n'y a pas d'article ; mais l'objection a peu de portée ; ce même mot "Achad" est usité sans article dans le Deutéronome, quand l'unité de la Divinité est affirmée de la manière la plus solennelle : "Écoute, Israël, l'Éternel notre Dieu est le seul Éternel" (Deutéronome VI, 4). Pour affirmer avec le plus de force possible l'unité de la divinité les Babyloniens employaient le mot Achad (Macrobii Saturnalia, liv. I, ch. 23, p. 73).
23. LAYARD, Ninive et Babylone, p. 605. Les Égyptiens se servaient aussi du triangle comme d'un symbole de leur divinité à trois formes (voir MAURICE, Antiquités indiennes, vol. IV, p. 445, Londres 1794).
24. PARKURST, Lexique Hébreu, sub voce Cherubim. D'après l'extrait suivant du Catholique Laïque, de Dublin, journal protestant compétent, décrivant un tableau romain de la Trinité, récemment paru dans cette ville, on verra qu'il s'est manifesté, aux portes mêmes de l'Angleterre, une tendance analogue à cette manière de représenter la Divinité. Au sommet du tableau est une représentation de la Trinité. Nous en parlerons avec le respect nécessaire. Dieu le Père et Dieu le Fils sont représentés par un homme ayant deux têtes, un corps et deux bras. L'une de ces têtes est comme les portraits ordinaires du Sauveur. L'autre est la tête d'un vieillard surmontée d'un triangle. Au milieu du tableau, on voit l'Esprit-Saint sortir sous la forme d'une colombe. Nous pensons que tout chrétien verra ce tableau avec tristesse, et répugnance. Le Laïque Catholique, 17 juillet 185.
25. Ninive et Babylone, p. 160. – On a dit que la forme du pluriel du nom de Dieu, dans l'hébreu de la Genèse, ne fournit pas d'argument pour la doctrine de la pluralité des personnes dans la Divinité, parce que le même mot au pluriel est appliqué aux divinités païennes. Mais si la Divinité suprême chez presque tous les peuples païens était triple-une, la futilité de l'objection est évidente.
26. Japhet. p. 184.
27. Col. KENNEDY, La Mythologie Hindoue, p. 211. Le Colonel Kennedy s'oppose à ce qu'on applique le nom de Eko Deva à la triple statue qui a été découverte dans le temple souterrain d'Elephanta, parce que, dit-il, ce nom n'appartient qu'au suprême Brahma. Mais il faut avouer qu'on peut remarquer là une inconséquence : si Kennedy admet que Brahma, la première personne de cette statue à la forme triple, est identifiée au Brahma suprême ; plus loin, il indique cependant qu'une malédiction est prononcée contre tous ceux qui font la distinction entre Brahma, Vichnou et Siva, les trois divinités qui sont toutes représentées par cette même statue.
28. GILLESPIE, Pays de Sinim, p. 60.
29. La triple invocation du nom sacré alors que Jacob bénit les enfants de Joseph est à remarquer car elle est extrêmement frappante : Et il bénit Joseph, et dit : "Dieu devant qui ont marché mes pères Abraham et Isaac, le Dieu qui m'a nourri toute ma vie jusqu'à ce jour, l'ange qui m'a délivré de tout mal, bénisse ces enfants !" (Genèse XLVIII, 15-16). Si l'ange mentionné ici n'eût pas été Dieu, Jacob ne l'aurait pas invoqué comme l'égal de Dieu. Dans Osée XII, 3-5, l'ange qui a racheté Jacob est expressément nommé Dieu : "Dans sa vigueur il lutta avec Dieu, il lutta avec l'ange, et fut vainqueur ; il pleura et lui adressa des supplications ; Jacob l'avait trouvé à Béthel, et c'est là que Dieu nous a parlé. L'Éternel est le Dieu des armées ; l'Éternel est son nom."
30. Notre propre langue nous fournit la preuve que zéro était un cercle chez les Chaldéens. Qu'est-ce en effet que zéro, le nom d'un chiffre, sinon un cercle ? Et d'où avons-nous cette expression sinon des Arabes, comme eux-mêmes l'avaient prise aux Chaldéens, le premier peuple au sein duquel aient fleuri l'arithmétique, la géométrie et aussi l'idolâtrie ? Zéro, dans ce sens vient évidemment du Chaldéen zer, "entourer", qui, à son tour, a donné naissance au nom Babylonien appliqué à une grande période de temps, "saros", (BUNSEN, tome I, p. 711-712). Celui que les Chaldéens regardaient comme le Grand Germe étant tenu pour le soleil incarné (voir ch. 3, art. 1) et l'emblème du soleil étant une circonférence (BUNSEN, tome I, p. 335, n°4), la relation hiéroglyphique entre zéro la circonférence et zéro la semence s'établit aisément.
31. D'après Genèse I, 2, l'Esprit de Dieu flottait sur les eaux (c'est l'expression dans l'original) ; il est évident que la colombe avait été de bonne heure l'emblème du Saint-Esprit.
31 mai 2016

La cathedrale de satan des templiers à Narbonne

moyen_age_canalblogLe père de Guillaume était le Rabbin Makhir, parmi les Exilarques qui régnèrent sur les Juifs à Bagdad, qui fut envoyé à l’Ouest après une dispute sur la succession. En France, il prit le nom Théodoric, maria Alda, la tante de Charlemagne, et fut déclaré « Roi des Juifs » dans la région du Langue d’oc, dans sa capitale la ville de Narbonne.

Narbonne devint ensuite le cœur de la Kabbale Médiévale. Les Kabbalistes de Narbonne semblent être responsables d’avoir engagés les Croisades, dans le but de récupérer des textes sacrés qui furent enterrés la bas, mais qui furent inaccessibles d’abord premièrement à cause des Romains et ensuite les Musulmans. Une fois que Jérusalem fut conquit, un ordre Kabbalistique de chevaliers connu sous le nom de Templiers mena des excavations, et découvrit le texte du Sefer HaBahir, qui raviva la tradition mystique perdue, et lança la révolution culturelle de la Kabbale Médiévale.Sous couvert d'activité religieuse chrétienne ils ont caché leur culte sataniste, le culte de la Goetie,de retour des croisades ils avaient mis la main sur les plus terribles livre de magie et des grimoire remontant a Babylone et au temple de Salomon qu'ils pillèrent pendant les croisades,
à partir de leur retour en Europe, ils allaient dominer le monde depuis l'Angleterre  terre d'asile des derniers templiers le pacte qu'ils firent leur  apporta le pouvoir et la fortune. Le monde est magique ,est cette magie est noire....
Narbonne, Cathédrale de Satan
envoyé par cocobrownlasectedupal. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

4 avril 2016

62 bonnes raisons de préférer la messe traditionnelle à la nouvelle messe

  1. Parce que la nouvelle messe n’est pas une profession de foi catholique sans équivoque (ce qu’est la messe traditionnelle), elle est ambiguë et protestante. Donc puisque nous prions selon ce que nous croyons, il s’en suit que nous ne pouvons pas prier avec la nouvelle messe à la manière protestante et croire encore comme des catholiques !
  2. Parce que les changements n’étaient pas de petits détails mais avaient en fait « trait à une rénovation fondamentale… un changement total… une nouvelle création ». (Mgr A. Bugnini, co-auteur de la nouvelle messe)

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  3. Parce que la nouvelle messe nous amène à croire « que les vérités… peuvent changer ou être traitées comme si elles n’existaient pas, sans qu’il y ait infidélité envers le dépôt sacré de la doctrine à laquelle la foi catholique est liée à jamais. »*
  4. Parce que la nouvelle messe « s’éloigne de façon impressionnante de la théologie catholique de la Sainte Messe, telle qu’elle a été formulée à la XXIIème session du Concile de Trente » qui, en fixant les « canons », a fourni une « barrière insurmontable pour toute hérésie qui s’attaquerait à l’intégrité des Saints Mystères. »*
  5. Parce que la différence entre les deux messes n’est pas purement de détail ou de simple modification de cérémonie, mais « tant de choses éternelles s’y trouvent reléguées à une place mineure (dans la nouvelle messe), – pour autant qu’elles y trouvent encore une place. »*
  6. Parce que les « récentes réformes ont suffisamment démontré que de nouveaux changements dans la liturgie ne pourront pas se faire sans conduire au désarroi le plus total des fidèles qui déjà manifestent des signes de troubles et de diminution de la foi. » *
  7. Parce qu’en des temps de confusion tels que les nôtres, nous sommes guidés par les paroles de Notre-Seigneur : « Vous les connaîtrez à leurs fruits ».
    Les fruits de la nouvelle messe sont : une baisse de 30% dans l’assistance à la messe du dimanche aux USA (NY Times 24/5/75), 43% de baisse en France (cardinal Marty), 50% de baisse en Hollande (NY Times 5/1/76).
  8. Parce que « dans la meilleure part du clergé le résultat pratique (de la nouvelle messe) est une torturante crise de conscience… »*.
  9. Parce que, moins de 7 ans après l’introduction de la nouvelle messe, les prêtres dans le monde sont passés de 413’438 à 243’307 … une baisse de près de 50% ! (Statistiques du Saint-Siège).
  10. Parce que « les raisons pastorales avancées pour justifier une telle rupture avec la tradition… ne nous semblent pas suffisantes. »*
  11. Parce que la nouvelle messe ne manifeste pas la foi dans la présence réelle de Notre-Seigneur, la messe traditionnelle la manifeste sans équivoque.
  12. Parce que la nouvelle messe établit une confusion entre la présence réelle du Christ dans l’Eucharistie et sa présence MYSTIQUE parmi nous (se rapprochant de la doctrine protestante).
  13. Parce que la nouvelle messe brouille ce qui devrait être une différence bien marquée entre le sacerdoce hiérarchique et le sacerdoce commun des fidèles (comme le fait le protestantisme).
  14. Parce que la nouvelle messe favorise la théorie hérétique que c’est la FOI du peuple et non LES PAROLES DU PRÊTRE qui rend le Christ présent dans l’Eucharistie.
  15. Parce que l’insertion de la « Prière des fidèles » luthérienne dans la nouvelle messe suit et met en avant l’erreur que tous les fidèles sont des prêtres.
  16. Parce que la nouvelle messe supprime le Confiteor du prêtre – le rend collectif avec le peuple -, promouvant ainsi le refus de Luther d’accepter l’enseignement catholique selon lequel le prêtre est juge, témoin et intercesseur avec Dieu.
  17. Parce que la nouvelle messe nous donne à entendre que le peuple concélèbre avec le prêtre, ce qui va à l’encontre de la théologie catholique !
  18. Parce que six ministres protestants ont collaboré à l’élaboration de la nouvelle messe : George, Jasper, Shepher, Kunneth, Smith et Thurian.

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  19. Parce que de même que Luther a supprimé l’offertoire – parce qu’il exprimait très clairement le caractère sacrificiel et propitiatoire de la messe – de même les inventeurs de la nouvelle messe l’ont supprimé, le réduisant à une simple préparation des oblats.
  20. Parce qu’on en a retiré suffisamment de théologie catholique que lesprotestants peuvent utiliser le texte de la nouvelle messe sans difficulté, tout en gardant leur antipathie pour la véritable Église Catholique romaine.
    Le ministre protestant Thurian (co-consulteur pour le projet de la nouvelle messe) a dit qu’un fruit de la nouvelle messe « sera peut-être que des communautés non-catholiques pourront célébrer la Cène du Seigneur en utilisant les mêmes prières que l’Eglise catholique. » (La Croix, 4/30/69)
  21. Parce que le ton narratif de la consécration dans la nouvelle messe implique que c’est seulement un mémorial et non un vrai sacrifice (thèse protestante).
  22. Parce que par de graves omissions, la nouvelle messe nous amène à croire que c’est seulement un repas (doctrine protestante) et non pas un sacrifice pour la rémission des péchés (doctrine catholique).
  23. Parce que les changements tels que : la table au lieu de l’autel, l’orientation face au peuple au lieu du tabernacle ; la communion dans la main, etc. accentuent des doctrines protestantes
    (par ex. la messe n’est qu’un repas ; le prêtre n’est qu’un président de l’assemblée ; l’Eucharistie N’EST pas le Corps, le Sang, l’âme et la divinité de Jésus-Christ, mais simplement un morceau de pain, etc.)
  24. Parce que les protestants eux-mêmes ont dit :
    « les nouvelles prières eucharistiques catholiques ont abandonné la fausse (sic) perspective d’un sacrifice offert à Dieu ». (La Croix, 10/12/69)
  25. Parce que nous sommes confrontés avec le dilemme :
    soit nous devenons protestants en rendant un culte avec la nouvelle messe,
    soit nous préservons la foi catholique en adhérant fidèlement à la messe traditionnelle, la messe de toujours.
  26. Parce que la nouvelle messe a été faite selon la définition protestante de la messe :
    « La Cène du Seigneur ou messe est la synaxe sacrée ou assemblée du peuple de Dieu qui se rassemble sous la présidence du prêtre pour célébrer le mémorial du Seigneur. » (§7 de l’Instructio generalis, définissant la nouvelle messe 6/4/69).
  27. Parce qu’au moyen d’ambiguïtés, la nouvelle messe prétend plaire aux catholiques tout en plaisant aux protestants ; ainsi elle parle undouble langage et elle offense Dieu qui a en horreur cette sorte d’hypocrisie :
    « Maudits soient… les hommes au langage double car ils détruisent la paix d’un grand nombre. » (Sirach)
  28. Parce que les beaux hymnes catholiques si familiers aux peuples qui les avaient inspiré pendant des siècles, ont été mis aux ordures et remplacé par de nouveaux hymnes de tendance fortement protestante, accentuant encore davantage l’impression que l’on n’assiste plus à un service catholique.
  29. Parce que la nouvelle messe contient des ambiguïtés qui favorisent de façon subtile l’hérésie, ce qui est plus dangereux que si elle était clairement hérétique puisque une semi-hérésie ressemble à moitié à la Vérité !
  30. Parce que le Christ n’a qu’une seule Epouse, l’Église catholique, et son culte ne peut pas servir également des religions qui lui sont hostile.
  31. Parce que la nouvelle messe suit la forme de la messe anglicane hérétique de Cranmer, et que les méthodes utilisées pour la promouvoir calquent précisément les méthodes des hérétiques anglais.
  32. Parce que notre Sainte Mère l’Église a canonisé les nombreux martyrs anglais qui furent tués pour avoir refusé de participer à une messe semblable à la nouvelle messe !
  33. Parce que les protestants qui se sont convertis au catholicisme sont scandalisés de voir que la nouvelle messe est la même que celle à laquelle ils assistaient en tant que protestants. L’un d’eux, Julien Green, demande : « Pourquoi nous sommes-nous convertis ? »
  34. Parce que les statistiques montrent une grande baisse des conversions au catholicisme à la suite de l’utilisation de la nouvelle messe.
    Les conversions qui atteignaient les 100.000 par an aux USA, ont diminué jusqu’à moins de 10.000 !
    Et le nombre de gens qui quittent l’Eglise excède de beaucoup ceux qui y entrent.
  35. Parce que la messe traditionnelle a forgé de nombreux saints.
    « Des saints innombrables ont été nourris abondamment avec la piété convenable envers Dieu par elle… » (Pape Paul VI, Const. Apost. Missale Romanum).
  36. Parce que la nature de la nouvelle messe est telle qu’elle facilite les profanations de la sainte Eucharistie, qui se produisent avec une fréquence jamais connue avec la messe traditionnelle.
  37. Parce que la nouvelle messe, en dépit des apparences, véhicule une foi nouvelle, et non la foi catholique.
    Elle véhicule le modernisme et suit exactement les tactiques du modernisme, utilisant une terminologie vague pour insinuer et faire avancer l’erreur.
  38. Parce qu’en introduisant des variations à options, la nouvelle messe sape l’unité de la liturgie, chaque prêtre étant sujet à des déviations selon son gré sous prétexte de créativité.
    Le désordre résulte inévitablement, accompagné par un manque de respect et de l’irrévérence.
  39. Parce que beaucoup de bons théologiens catholiques, de canonistes et de prêtres n’acceptent pas la nouvelle messe, et affirment qu’ils ne peuvent la célébrer en bonne conscience.
  40. Parce que la nouvelle messe a éliminé des choses telles que : les génuflexions (il n’en reste que trois), la purification des doigts des prêtres dans le calice, la préservation de tout contact profane des doigts du prêtre après la consécration, les pierres d’autels consacrées et les reliques, les trois nappes d’autel (réduites à une), tout ce qui « sert seulement à accentuer à quel point la foi dans le dogme de la présence réelle est outrageusement et implicitement répudiée. »*
  41. Parce que la messe traditionnelle, enrichie et mûrie par ces siècles de tradition sacrée, a étécodifiée (non pas inventée) par un pape qui était un saint, Pie V ;
    tandis que la nouvelle messe a été artificiellement fabriquée par six ministres protestants et unfranc-maçon du 33ème degré, à savoir Mgr A. Bugnini qui fut plus tard exilé du Vatican à cause de ses liens avec la franc-maçonnerie.

    Annibale-Bugnini-1912-1982

  42. Parce que les erreurs de la nouvelle messe qui se trouvent accentuées dans la version vernaculaire sont présentes même dans le texte latin de la nouvelle messe.
  43. Parce que la nouvelle messe, avec ses ambiguïtés et son esprit permissif, nous expose à la colère de Dieu en facilitant le risque de consécrations invalides.
    « Les prêtres dans un avenir proche, qui n’auront pas reçu la formation traditionnelle, et qui comptent sur le Novus ordo Missæ avec l’intention de « faire ce que l’Église fait », consacreront-ils validement ? Il est permis d’en douter ! »
  44. Parce que l’abolition de la messe traditionnelle rappelle la prophétie de Daniel (8, 12) : « Et il lui fut donné pouvoir contre le sacrifice perpétuel à cause des péchés du peuple » et la remarque de St Alphonse de Liguori : « parce que la messe est la meilleure et la plus belle des choses qui existe dans l’Église ici-bas, le diable a toujours cherché au moyen des hérétiques, à nous en priver. »
  45. Parce que dans les endroits où la messe traditionnelle est préservée, la foi et la ferveur des gens sont plus grandes. Tandis que l’opposé est vrai là où règne la nouvelle messe (Rapport sur la messe, diocèse de Campos, Roma, Buenos Aires n° 69, 8/81).
  46. Parce qu’avec la nouvelle messe viennent aussi un nouveau catéchisme, une nouvelle morale, de nouvelles prières, un nouveau code de droit canon, un nouveau calendrier, – en un mot, une NOUVELLE ÉGLISE, une complète révolution par rapport à ce qui était.
    « La réforme liturgique… ne vous laissez pas tromper, c’est là que commence la révolution ». (Mgr Dwyer, archevêque de Birmingham, porte-parole du synode épiscopal).
  47. Parce que la beauté intrinsèque de la messe traditionnelle attire les âmes par elle-même, tandis que la nouvelle messe dépourvue d’attirance en elle-même, doit inventer des nouveautés et des spectacles pour attirer les gens.
  48. Parce que la nouvelle messe rassemble de nombreuses erreurs condamnées par le pape Pie XII (ex. : l’autel en forme de table. Voir Mediator Dei).
  49. Parce que la nouvelle messe tente de transformer l’Église catholique en une nouvelle église œcuménique embrassant toutes les idéologies et toutes les religions – le bien et le mal, la vérité et l’erreur – un but dont ont longtemps rêvé les ennemis de l’Église catholique.
  50. Parce que la nouvelle messe, en retirant les saluts et la bénédiction finale quand le prêtre célèbre seul, manifeste un refus et une absence de foi dans le dogme de la communion des saints.
  51. Parce que l’autel et le tabernacle sont maintenant séparés, marquant ainsi une division entre le Christ dans son prêtre et dans son sacrifice sur l’autel et sa présence réelle dans le tabernacle « deux choses qui par leur nature même doivent rester ensemble » (Pie XII).
  52. Parce que la nouvelle messe ne constitue plus un culte vertical entre Dieu et l’homme, mais plutôt un culte horizontal entre l’homme et l’homme.
  53. Parce que la nouvelle messe, bien que se conformant en apparence aux dispositions du Concile Vatican II, s’oppose en réalité à ses instructions, puisque le concile lui-même a déclaré son désir de conserver et de promouvoir le rite traditionnel.
  54. Parce que la messe traditionnelle latine du pape St Pie V n’a jamais été légalement abrogée et en conséquence demeure un véritable rite de l’Église Catholique Romaine au moyen duquel les fidèles peuvent remplir leur obligation dominicale.
  55. Parce que le pape St Pie V a accordé un indult à perpétuité, valide « pour toujours », pour célébrer la messe traditionnelle librement, licitement, sans scrupule de conscience, sans punition, sentence ou censure (Bulle papale « Quo primum » ).
  56. Parce que le pape Paul VI, en promulguant la nouvelle messe, a déclaré lui-même : « Le rite… en lui-même n’est pas une définition dogmatique. » (19/11/69)
  57. Parce que le pape Paul VI, quand le Cardinal Heenan d’Angleterre lui a demandé s’il abrogeait ou interdisait la messe tridentine, a répondu : « Ce n’est pas notre intention d’interdire absolument la messe tridentine. »
  58. Parce que « dans le Libera nos de la nouvelle messe, la Sainte Vierge, les apôtres ettous les saints ne sont plus mentionnés, leur intercession n’étant ainsi plus demandée, même en temps de péril. »
  59. Parce que dans aucune des trois nouvelles prières eucharistiques (de la nouvelle messe) il n’y a de référence… à l’état de souffrance de ceux qui sont morts, dans aucune d’elles il n’y a la possibilité d’un Mémento particulier ; on sape ainsi la foi dans la nature rédemptrice du Sacrifice.
  60. Parce que nous reconnaissons l’autorité suprême du Saint-Père dans son gouvernement universel de la Sainte Église, mais que nous savons que même cette autorité ne peut pas nous imposer une pratique qui est si CLAIREMENT contre la foi : une messe qui est équivoque et qui favorise l’hérésie et en conséquence qui déplaît à Dieu.
  61. Parce que, comme l’a affirmé le concile Vatican I, « le Saint-Esprit n’a pas été promis aux successeurs de Pierre, pour qu’ils fassent connaître sous sa révélation une nouvelle doctrine, mais pour qu’avec son assistance ils gardent saintement et exposent fidèlement la Révélation transmise par les apôtres, c’est-à-dire le dépôt de la foi. » (DzH 3070)
  62. Parce que l’hérésie, ou tout ce qui favorise clairement l’hérésie, ne peut pas être matière à obéissance.
    L’obéissance est au service de la foi et non la foi au service de l’obéissance !
    Ainsi donc, dans le cas concerné, « Il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes » (Actes 5, 29).
    * Note : toutes les citations suivies d’un astérisque sont tirées de la lettre des cardinaux A. Ottaviani et A. Bacci au Pape Paul VI, datée du 25 septembre 1969, qui incluait « une étude critique du Nouvel Ordo Missæ ».
    http://www.dominicainsavrille.fr/62-raisons-pour-lesquelles-nous-ne-pouvons-pas-en-conscience-assister-a-la-nouvelle-messe/

1 avril 2016

La laicité : République au service d’un ordre obscur et ténébreux

h_4_1084606Humanum Genus, encyclique de Léon XIII publiée le 20 avril 1884, est directement dirigée contre l’idéologie républicaine et maçonnique en des termes extrêmement fermes, montrant que le monde est séparé entre deux forces antagonistes absolument irréconciliables : « Depuis que, par la jalousie du démon, le genre humain s’est misérablement séparé de Dieu auquel il était redevable de son appel à l’existence et des dons surnaturels, il s’est partagé en deux camps ennemis, lesquels ne cessent pas de combattre, l’un pour la vérité et la vertu, l’autre pour tout ce qui est contraire à la vertu et à la vérité. Le premier est le royaume de Dieu sur la terre, à savoir la véritable Eglise de Jésus Christ, dont les membres, s’ils veulent lui appartenir du fond du cœur et de manière à opérer le salut, doivent nécessairement servir Dieu et son Fils unique, de toute leur âme, de toute leur volonté. Le second est le royaume de Satan. Sous son empire et en sa puissance se trouvent tous ceux qui, suivant les funestes exemples de leur chef et de nos premiers parents, refusent d’obéir à la loi divine et multiplient leurs efforts, ici, pour se passer de Dieu, là pour agir directement contre Dieu. »

Le Pape Pie IX l’a caractérisée d’un mot, dans son Encyclique du 8 décembre 1849 :

    « La Révolution est inspirée par Satan lui-même; son but est de détruire de fond en comble l’édifice du christianisme et de reconstruire sur ses ruines l’ordre social du paganisme. » (Encyclique Noscitis et Nobiscum).

Ainsi donc, s’appuyer sur la laïcité et les principes républicains, ou encore la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat de 1905,  éléments inspirés par le démon, pensés et voulus par la franc-maçonnerie pour défendre la civilisation, comme certains politiciens ou hommes publics contemporains tentent de nous en convaincre, est l’un des plus grands pièges tendus aux âmes catholiques d’aujourd’hui au moment où la société est prête de s’effondrer, car nul compromis – à aucun prix car le prétendu remède serait pire encore que le mal – n’est envisageable ni possible avec les forces de l’Enfer !

I. La laïcité vise à la destruction de l’ordre surnaturel
En effet, l’idéologie de la laïcité est orientée vers un seul et unique but : la destruction de l’ordre surnaturel, dérivant d’un centre obscur et ténébreux, alors même qu’elle ne l’avoue évidemment pas, comme l’enseigne Léon XIII dans l’encyclique Humanum Genus. [1] L’objectif de la laïcité est simple, c’est la destruction de l’Eglise. Comme le déclarait  M. Aulard, chargé d’enseigner en Sorbonne l’histoire de la Révolution : «Ne disons plus : nous ne voulons pas détruire la religion disons, au contraire nous voulons détruire la religion, afin de pouvoir établir la cité nouvelle».la mise à mort des fondements de la société chrétienne, anéantir les institutions religieuses pour ne laisser subsister que la haine du sacré, où à la place de l’ordre divin est substitué le suffrage universel, si justement appelé le « mensonge universel » par le pape Pie lX.
« Mensonge universel », l’un des piliers des valeurs républicaines, par lequel sont entraînées, avec un sens consommé de la démagogie et du spectacle, les multitudes ignorantes des hautes questions politiques, faciles à séduire par quiconque les flatte, ou qui, absorbées par les nécessités quotidiennes de la vie, sont incapables de préférer l’intérêt général à leurs intérêts particuliers du moment.

II. La République détruit les nations chrétiennes

La République, en poussant au pouvoir des hommes convaincus des thèses de 1789, est parvenue à tuer les nations chrétiennes, et en particulier la France. De ce fait, politiquement la France est morte et spirituellement à l’agonie, et il en faut dire autant de ses sœurs, les nations anciennement chrétiennes. Toutes ces nations renferment dans leur sein des partis puissants infectés par les idées de la Révolution, ennemis absolus de la religion. Il n’y aura plus de Français en France quand il n’y aura plus de catholiques, et il faut en dire autant des autres nations catholiques, il n’y aura plus d’Italiens en Italie, d’Espagnols en Espagne, quand il n’y aura plus de catholiques. Comme le souligne Mgr Delassus  :

    « Les musulmans qui occupèrent l’Espagne ne furent pas Espagnols, à la différence des doctrinaires du dogme républicains, libres penseurs, hommes de la démocratie internationale  qui, se revendiquant Français, sont bien pires, et assurément beaucoup plus dangereux que les disciples du prophète de la Mecque ».
Alors ceux qui défendent la laicité ne vous disent pas tout ,l'enjeu est bien plus grand qu'il y parait .
En conclusion, la laïcité revient à faire des citoyens des personnes indifférenciées, apolitiques car non désigné comme demos. C'est le terme qui subtilise le pouvoir au peuple pour le remettre dans les mains de la république laïque. Car ce n'est plus une république démocratique, mais bien une république laïque, dans laquelle le peuple n'est plus qu'une masse lisse et informe, dont la foi n'est plus que la foi en la nation et dans le caractère pseudo sacré des institutions, de la déclaration des droits de l'homme, et dans les symboles de la république (drapeau, devise, hymne...).

Pour résumer brièvement, la sacralité du pouvoir a été dérobé par la République à l'Eglise grâce à la Révolution.
L'organisation politico religieuse du pouvoir, c'est à dire la hiérarchie (Hieros = sacré/arche = pouvoir) à donc été récupérée par les Républicains et entérinée grâce au concept de laïcité et non de démocratie, puisque finalement le peuple n'a que le pouvoir misérable de voter, et le pouvoir d'acheter...

En somme, c'est un renversement des valeurs. Les charges sont transférée du Kleros au Laos. Mais le Laos, par sa nature inorganisée, ne peut se gouverner lui même. C'est donc les institutions Républicaines héritée de Rome et remise sur pied par Napoléon qui reprennent le flambeaux du pouvoir.

On voit bien la transition qui s'opère après la déchéance du pouvoir royal légitimé par Dieu vers une monarchie absolue et ivre d'elle même. Mise en place d'une République durant les multiples Révolutions et surtout de l'Empire Napoléonien, qui restaure le droit d'inspiration romaine, les institutions, telles que le lycée, l'armée, les écoles d'officier, tout cela calqué sur l'organisation romaine bien sur, elle même basée sur le pouvoir militaire.

Ensuite, nous avons jusqu'à aujourd'hui une République romaine, d'inspiration romaine, de droit romain avec des institutions hérité de Rome. Aussi, nous pouvons lire dans le Coran que Rome n'est pas morte. Bien évidement, l'Empire romain n'a cessé d'existé au travers des âges et des régions qui étaient auparavant sous son contrôle.

Finalement, ce qui s'est passé c'est que Napoléon à restauré pour les francs maçon, l'Empire, et puis il s'est fait torpillé. Et par a coup, le système des républiques s'est mis en place petit à petit, par Révolution successive, guerre, crise, jusqu'à aujourd'hui où la Res Publica = Chose Publique est devenu le jouet de tyrans qui la façonnent encore selon des plans au service de l'élite financière.

Le laos est bien plus que laos, le but est d'en finir donc avec la religion comme religion de pouvoir politique. Et c'est pour cela que l'Islam est visé. Car l'Islam est une religion politique et que le christianisme politique est en déclin depuis les dernières croisades de 1270.

Depuis, le pouvoir royal et le pouvoir de l'Eglise n'ont cessé de vouloir se contrôler l'un, l'autre, jusqu'à la disparition des deux!

Et comme le dit si bien Pie IX, la République actuelle est païenne et blasphématoire dans ses fondations. Elle naît d'un péché et d'un vice celui de l’idolâtrie.

La République est une idole que les francs maçon adorent et loue comme leur création. C'est un veau d'or. Elle a des prétentions sacrée, tente de se substituer au gouvernement des humains par Dieu, et souhaite rompre les derniers liens qui existent entre les humains et Lui, c'est à dire la religion!!! Du latin "religere" qui veut dire relier.

Dans une lettre qu’il écrivit à Mazzini le 15 août 1871, Albert Pike expliquait ce que
devrait arriver à l’issue de la Troisième Guerre Mondiale. Un exemplaire de ce courrier se
trouve, ou se trouvait, à la Bibliothèque du British Imperial Museum de Londres :
‘‘Nous – les Illuminati – lâcherons les Nihilistes et les Athées et nous provoquerons un
formidable cataclysme social qui montrera aux Nations, dans toute son horreur, l’effet de
l’athéisme absolu, origine de toute sauvagerie et des bouleversements les plus sanglants. Les
citoyens seront obligés de se défendre partout contre la minorité de révolutionnaires et ils
extermineront ces destructeurs de la civilisation. La multitude, emplie de désillusions vis à
vis du Christianisme – dont les esprits déistes seront sans aucune direction à ce momentlà
– recherchera un idéal, mais ne sachant où et à qui rendre le culte d’adoration envers
Dieu, recevra la véritable lumière par la manifestation universelle de la pure doctrine de
Lucifer. Cette manifestation sera enfin révélée au peuple ; elle résultera du mouvement
réactionnaire général qui suivra de près la destruction du Christianisme et de l’athéisme,
tous les deux conquis et détruits au même instant.’’
Si un de nos lecteurs venait à douter encore de la vérité que nous affirmons, qu’il
nous permette de lui signaler que Son Éminence le Cardinal Caro y Rodriguez, primat
du Chili, tenta d’avertir dans ce sens et les catholiques et les francs-maçons du sort qui
planait sur eux.
Lorsque Franklin D. Roosevelt fut élu Président des États-Unis, il fut absolument
certain que la Conspiration atteindrait ses objectifs ultimes de son vivant. En
conséquence, il fit imprimer en 1933, sur le verso des billets d’un dollar, l’insigne des
Illuminati que Jefferson avait fait frapper dans le secret sur le verso du Grand Sceau
Américain.dollarle siècle des lumières  nous a apporté la lumière de leur maître LUX FERRO

sous couvert de progrès et d'humanisme leur siècle fut celui du génocide et de la barbarie .

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28 février 2016

Le plan maçonnique pour la destruction de la Sainte Messe en 33 points

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Directives du Grand Maître de la Maçonnerie aux Évêques maçons catholiques.
Article de la revue italienne « Téologica »
(La revue de la nouvelle évangélisation n°14 mars/avril 1998
Source : Marie-Julie Jahenny
Tous les confrères maçons devront rendre compte des progrès de ces dispositions décisives.
Reconnu de nouveau en octobre 1993 comme plan progressif vers le stade final.
Tous les maçons occupés dans l’Église doivent les accueillir et les réaliser.
1 - Enlever une fois pour toutes Saint Michel, protecteur de l’Église Catholique, de toutes les prières à l’intérieur et à l’extérieur de la Sainte Messe.
Enlever les statues en affirmant qu’elles détournent de l’adoration du Christ.
2 - Enlever les exercices pénitentiels du carême comme : l’abstinence de viande le vendredi et aussi le jeûne; empêcher tout acte d’abnégation. A leur place doivent être favorisés les actes de joie, de bonheur et d’amour du prochain. Dites : " Le Christ a déjà mérité pour nous le Paradis. "
Dites à tous qu’ils doivent se préoccuper sérieusement de leur santé. Encouragez la consommation de viande, surtout de porc.
3 - Chargez les pasteurs protestants de réexaminer la Sainte Messe et de la désacraliser. Semez les doutes sur la Présence Réelle de Jésus-Christ dans l’Eucharistie et confirmez que l’Eucharistie – en meilleure union de pensée avec les protestants – est seulement pain et vin et entendu comme symbole.
Disséminez les protestants dans les séminaires et les écoles. Encouragez l’oecuménisme comme voie vers l’unité. Accusez celui qui croit en la Présence Réelle comme subversif et désobéissant à l’Église.
4 - Interdisez la liturgie latine de la Sainte Messe, adoration et chants, car ils communiquent un sentiment de mystère et de déférence. Présentez les comme enchantements de devins. Ainsi les hommes cesseront de considérer les prêtres comme des personnes d’intelligence supérieure et de les respecter comme porteurs des mystères divins.
5 - Encouragez les femmes à ne pas se couvrir avec le voile à l’Église. Les cheveux sont sexy. Prenezles femmes comme lectrices et faites les revendiquer le droit à la prêtrise. Présentez la chose comme une idée démocratique.
Fondez un mouvement de libération de la femme. Qui entre dans l’Église doit porter des habits négligés pour s’y sentir comme à la maison. Cela affaiblira l’importance de la Messe.
6 - Découragez les fidèles de prendre la Sainte Communion à genoux. Dites aux Soeurs de faire perdre l’habitude de tenir les mains jointes aux enfants, avant et après la communion.
Dites-leur que Dieu les aime tels qu’ils sont et qu’il désire qu’ils se sentent tout à fait à l’aise.
Éliminez dans l’Église l’habitude d’être à genoux et toute génuflexion. Enlevez les agenouilloirs et les prie-Dieu.
Dites aux personnes que durant la Messe elles doivent attester de leur Foi debout.
7 - Éliminez la musique sacrée de l’orgue; introduisez guitares, cithare, tambourin, piétinement et rires dans les églises. Cela détachera les gens de la prière personnelle et des conversations avec Jésus.
Exécutez autour de l’autel des danses liturgiques en vêtements excitants, des théâtres et des concerts.
8 - Enlevez le caractère Sacré des chants à la Mère de Dieu et à saint Joseph. Présentez leur vénération comme idolâtrie. Rendez ridicule ceux qui persistent.
Introduisez des chants protestants. Cela donnera l’impression que l’Église Catholique admet finalement que le Protestantisme est la vraie religion ou du moins qu’elle est égale à celle de l’Église Catholique.
9 - Éliminez tous les hymnes, ainsi que ceux à Jésus, car ils font penser au bonheur et à la sérénité qui proviennent de la vie de mortification et de pénitence pour Dieu, dès l’enfance.
Introduisez les chants nouveaux, seulement pour convaincre que les rites précédents étaient en quelque sorte faux.
Assurez-vous que dans chaque Messe il y ait au moins un chant dans lequel le Nom de Jésus n’est pas mentionné et qu’au contraire il ne parle que d’amour, de tolérance et d’unité.
Ne mentionnez pas Jésus, faites interdire toute annonce de l’Eucharistie.
10 - Enlevez toutes les reliques des Saints des Autels et, dans la foulée, enlevez même les Autels.
Remplacez-les par des tables païennes, privées de consécrations, qui peuvent être utilisées pour offrir des sacrifices humains au cours de messes sataniques.
Éliminez la Loi ecclésiastique qui veut la célébration de la Sainte Messe seulement sur des Autels contenant des reliques de Saints.
11 - Interrompez la pratique de célébrer la Sainte Messe en présence du Saint Sacrement dans le tabernacle.
N’admettez aucun Tabernacle sur les Autels utilisés pour la célébration de la Sainte Messe.
La table doit avoir l’aspect d’une table de cuisine. Elle doit être transportable pour exprimer qu’elle n’est pas sacrée, mais doit servir à une double fonction comme par exemple, table de conférence ou pour jouer aux cartes.
Plus tard, tâchez de joindre au moins une chaise à cette table.
Le prêtre devra y prendre place pour indiquer qu’après la communion il se repose comme après un repas.
Le prêtre ne doit jamais se mettre à genoux durant la Messe, ni faire la génuflexion.
Au repas, en fait, on ne s’agenouille pas. La chaise du prêtre doit être mise à la place du Tabernacle. Encouragez les gens à vénérer et même à adorer le prêtre plutôt que l’Eucharistie, à obéir à lui plutôt qu’à l’Eucharistie (comprendre ici ne plus adorer Jésus dans sa présence réelle).
Dites aux gens que le prêtre est leur Christ, leur chef. Placez le Tabernacle dans un local différent, hors de la vue.
12 - Faites disparaître les Saints des calendriers ecclésiastiques, toujours quelques-uns aux temps déterminés.
Interdisez aux prêtres de prêcher sur les Saints, sauf de ceux qui sont dans l’Évangile.
Dites au peuple que d’éventuels Protestants dont la présence dans les églises catholiques est souhaitable, pourraient s’en scandaliser.
Évitez tout ce qui perturbe les Protestants.
13 - Dans la lecture de l’Évangile, omettez l’adjectif " Saint ", par exemple au lieu de dire " Évangile selon Saint Jean " dites Évangile de Jean. " Cela fera penser aux gens de ne plus devoir les vénérer.
Écrivez continuellement de nouvelles bibles jusqu’à ce qu’elles soient identiques à celles des Protestants.
Omettez l’adjectif " Saint " dans l’expression Esprit Saint. " Cela ouvrira la route.
Mettez en évidence la nature féminine de Dieu comme d’une mère pleine de tendresse. Éliminez l’usage de " Père. "
14 - Faites disparaître tous les livres personnels de piété et détruisez-les. En conséquence cesseront aussi les litanies du Sacré Coeur, de la Mère de Dieu, de Saint Joseph et aussi la préparation à la Sainte Communion.
Ainsi deviendra aussi superflu le remerciement après la communion.
15 - Faites disparaître aussi toutes les statues et les images des anges. Pourquoi les statues de nos ennemis devraient-elles rester à nos pieds ? Dites que les anges sont des mythes et des petites histoires pour endormir les enfants.
Ne pas permettre les discours sur les anges car cela heurterait nos amis protestants.
16 - Abrogez l’exorcisme mineur pour expulser les démons; engagez-vous à cela, annoncez que les diables n’existent pas.
Expliquez que c’est la manière adoptée par la Bible pour désigner le mal et que sans un méchant, il n’a pas d’histoire intéressante.
Ainsi les gens ne croiront pas à l’existence de l’enfer ni ne craindront plus de pouvoir y tomber.
Répétez que l’enfer n’est rien d’autre que l’éloignement de Dieu et qu’il n’y a rien de terrible en cela puisqu’il s’agit de la même vie qu’ici sur terre.
1) Saint Michel archange défendez-nous dans le combat. Soyez notre secours contre la malice et les embûches du démon. Que Dieu exerce sur lui son empire, nous vous le demandons en suppliant. Et vous, prince de la milice céleste, par la vertu divine, précipitez en enfer, Satan et les autres esprits mauvais qui errent dans le monde pour la perte des âmes.
17 - Enseignez que Jésus était seulement un homme qui avait des frères et des soeurs et qui avait haï les détenteurs du pouvoir.
Expliquez qu’il aimait la compagnie des prostituées, spécialement Marie-Madeleine; qu’il n’avait rien à faire de s’occuper d’églises ou de synagogues.
Dites qu’il avait conseillé de ne pas obéir aux chefs du clergé; expliquez qu’il était un grand maître mais qu’il avait dévié du bon chemin quand il nia l’obéissance aux chefs de l’Église.
Découragez le discours sur la croix comme victoire, au contraire présentez-la comme faillite.
18 - Souvenez-vous que vous pouvez induire les soeurs vers la trahison de leur vocation si vous les prenez par la vanité, leur charme et leur beauté.
Faites leur changer l’habit ecclésiastique et cela les portera tout naturellement à rejeter leur rosaire.
Révélez au monde que dans leurs couvents il y a des dissensions. Cela desséchera leur vocation.
Dites aux soeurs qu’elles ne seront plus acceptées si elles n’enlèvent pas l’habit.
Favorisez le discrédit de l’habit ecclésiastique aussi parmi le peuple.
19 - Brûlez tous les catéchismes. Dites aux enseignants de religion d’enseigner à aimer les créatures de Dieu plutôt que Dieu lui-même. Le fait d’aimer ouvertement est témoignage de maturité.
Faites que le terme " sexe " devienne une parole d’usage quotidienne dans vos classes de religion.
Introduisez des images de sexe dans les leçons religieuses pour enseigner aux enfants la réalité. Assurez-vous que les images soient claires.
Encouragez les écoles à devenir des penseurs progressistes en matière d’éducation sexuelle.
Introduisez l’évolution sexuelle par l’intermédiaire de l’autorité des évêques, aussi les parents n’auront plus rien contre.
20 - Étouffez les écoles catholiques en empêchant les vocations de soeurs. Révélez aux soeurs qu’elles sont des assistantes sociales sous-payées et que l’Église est en train de les éliminer.
Insistez sur le fait que l’enseignant laïc catholique reçoit le même salaire que celui des écoles laïques.
Employez des enseignants non catholiques.
Les prêtres doivent recevoir le même salaire que les emplois équivalents dans le monde.
Tous les prêtres doivent déposer leur veste religieuse et leur croix de manière à pouvoir être acceptés par tous.
Rendez ridicules ceux qui ne s’alignent pas.
21 - Anéantissez le Pape, détruisant ses universités.
Désunissez les universités du pape, disant que de cette façon le gouvernement pourrait les subventionner.
Remplacez les noms des instituts religieux par des noms profanes, pour favoriser l’oecuménisme. Par exemple au lieu de " École de l’immaculée Conception " dites : " École Supérieure Nouvelle. "
Instituez un service d’oecuménisme dans tous les diocèses et préoccupez-vous qu’il soit contrôlé par des protestants.
Interdisez les prières pour le Pape et envers la Sainte Vierge parce qu’elles découragent l’oecuménisme.
Annoncez que les autorités du lieu sont seules compétentes.
Soutenez que le Pape n’est qu’une figure représentative.
Expliquez au peuple que l’enseignement du Pape ne sert que pour alimenter les conversations mais qu’en dehors de cela il est sans importance.
22 - Combattez l’autorité du Pape, en mettant une limite d’âge à sa fonction.
Réduisez-la peu à peu, expliquez que vous voulez le préserver d’un travail excessif.
23 - Soyez audacieux. Affaiblissez le Pape en introduisant des synodes d’évêques. Le Pape deviendra alors seulement une figure représentative comme en Angleterre où la Chambre Haute et la Chambre Basse règnent et donnent leurs ordres à la reine.
Ensuite affaiblissez l’autorité de l’évêque, donnant vie à une institution concurrente au niveau des presbytérats.
Dites qu’ainsi les prêtres reçoivent de cette manière l’attention qu’ils méritent.
Enfin affaiblissez l’autorité du prêtre avec la constitution de groupes de laïcs qui dominent les prêtres. De cette manière naîtra une haine telle que directement les cardinaux abandonneront l’Église et alors l’Église sera démocratique… L’Église Nouvelle…
24 - Réduisez les vocations au sacerdoce, faisant ainsi perdre aux laïcs la crainte révérencielle envers les prêtres.
Le scandale public d’un prêtre anéantira des milliers de vocations.
Louez les prêtres, qui pour l’amour d’une femme ont su tout laisser de leur ministère. Définissez-les héroïques.
Honorez les prêtres réduits à l’état laïc comme de véritables martyrs, opprimés à tel point de ne plus pouvoir supporter davantage.
Condamnez aussi comme un scandale que nos confrères maçons dans le sacerdoce doivent être connus par leur nom.
Soyez tolérant avec l’homosexualité dans le clergé. Dites au peuple que les prêtres souffrent de solitude.
25 - Commencer à fermer les églises à cause de la pénurie de prêtres. Définissez bonne et économique une telle pratique.
Expliquez que Dieu écoute partout les prières. De cette manière les églises deviennent d’extravagants gaspillages d’argent.
Fermez avant tout les Églises où se pratiquent la piété traditionnelle.
26 - Utilisez des commissions de laïques et de prêtres faibles dans la foi qui condamnent et réprouvent sans difficulté toute apparition de Marie et tout miracle apparent, spécialement de l’Archange Saint Michel.
Assurez-vous que rien de cela ne recevra l’approbation selon Vatican II. Appelez désobéissance à l’autorité si quelqu’un obéit aux révélations ou réfléchit sur celles-ci.
Indiquez les voyants mystiques comme désobéissants aux autorités ecclésiastiques.
Faites perdre l’estime de leur nom, alors personne ne pensera plus à tenir compte de leur message.
27 - Élisez un antipape. Affirmez qu’il ramènera les protestants dans l’Église et peut-être même les Hébreux.
Un antipape pourra être élu si le droit de vote était donné aux Évêques. Alors seront élus tant d’antipapes que sera intronisé un Antipape comme compromis.
Affirmez que le vrai Pape est mort.
28 - Enlevez la confession avant la communion, aux enfants dès les premières classes, ainsi ils s’en moqueront tout à fait quand ils seront dans les classes supérieures.
Alors la confession disparaîtra.
Introduisez (en silence) la confession communautaire avec l’absolution en groupe.
Expliquez au peuple que la chose arrive à cause de la pénurie de prêtres.
29 - Faites distribuer la communion par les femmes et des laïcs. Commencez en déposant la communion sur la main, comme les protestants, au lieu de sur la langue. Expliquez que le Christ faisait ainsi.
Recueillez quelques Hosties pour les " messes noires " dans nos temples.
Ensuite distribuez, au lieu de la communion personnelle, une coupe d’hosties non consacrées qui peut-être portée à la maison.
Expliquez que de cette façon doivent être pris les dons divins dans la vie de tous les jours.
Placez des distributeurs automatiques d’hosties pour les communions et appelez-les, tabernacles.
Dites que des signes de paix doivent être échangés.
2) Un décret de la Congrégation pour la doctrine et la foi, publié le 29 décembre 1966, permet la publication et la propagation, sans imprimatur, des écrits concernant des apparitions et des révélations, pourvu qu’ils ne contiennent rien de contraire à la foi ni à la morale.
Encouragez les gens à se déplacer dans l’église pour interrompre les dévotions et les prières.
Ne faites pas le signe de la croix, faites plutôt un signe de paix.
Expliquez que Jésus aussi s’est déplacé pour saluer ses disciples.
Ne consentez aucune concentration dans de tels moments.
Les prêtres doivent tourner le dos à l’Eucharistie et honorer le peuple.
30 - Après que l’antipape sera élu, dissolvez les synodes d’évêques, les associations de prêtres et les conseils paroissiaux.
Interdisez à tous les religieux de mettre en discussion, sans permission, ces nouvelles dispositions.
Expliquez que Dieu aime l’humilité et déteste ceux qui aspirent à la gloire.
Accusez de désobéissance envers l’autorité ecclésiastique tous ceux qui posent des questions.
Découragez l’obéissance envers Dieu.
Dites aux gens qu’ils doivent obéir à leur supérieurs ecclésiastiques.
31 - Conférez au pape (antipape) le maximum de pouvoir : choisir ses propres successeurs.
Ordonnez, sous peine d’excommunication, à tous ceux qui aiment Dieu de porter le signe de la Bête. Mais ne l’appelez pas " signe de la Bête. "
Le signe de la croix ne doit plus être fait, ni porté sur les personnes (on ne doit plus bénir).
Faire le signe de la croix sera désigné comme idolâtrie et désobéissance.
32 - Déclarez faux les dogmes précédents, sauf celui de l’infaillibilité du Pape.
Proclamez Jésus un révolutionnaire en faillite.
Annoncez que le vrai Christ viendra bientôt.
Seulement l’antipape élu doit être obéi.
Dites au peuple qu’il faut s’incliner quand son nom est prononcé.
33 - Ordonnez à tous les sujets du pape de combattre en saintes croisades pour étendre l’unique religion mondiale.
Satan sait où se trouve tout l’or perdu.
Sans pitié, faites la conquête du monde ! Tout cela apportera à l’humanité ce qu’elle a toujours désiré : " l’époque d’or de la paix ".
En 1987, peu avant son accident mortel d’avion, Michel Baroin déclarait confidentiellement " Nous avons parmi nous au Grand Orient 64 Évêques français. "


16 février 2016

Pourquoi Le vatican réecrit l'histoire des religions en detruisant le christianisme et l'islam

vatican_enfers

« Les Jésuites sont une organisation militaire, pas un ordre religieux. Leur chef est un général d'armée, pas le père abbé d'un monastère simple. Et le but de cette organisation est le pouvoir - le pouvoir dans son exercice le plus despotique - pouvoir absolu, pouvoir universel, le pouvoir de contrôler le monde par la volonté d'un seul homme » (ie, le Pape Noir, le Supérieur Général des Jésuites)

 « Jésuitisme est le plus absolu des despotismes [sic] - et en même temps le plus grand et le plus énorme des abus ... » (Napoléon Ier (c.-à-Napoléon Bonaparte, 1769-1821)

« Si l'on veut bien y faire attention, la religion catholique apostolique et romaine est, dans toutes ses cérémonies et tous ses dogmes, l'opposé de la religion de Jésus. »(Voltaire)

« Je n'aime pas l'Institut des Jésuites. Élevé dans leur sein, je savais discerner, dès cette époque, l'esprit de séduction, d'orgueil et de domination qui se cache, ou qui se révèle dans leur politique, et qui, en immolant chaque membre au corps et en confondant ce corpus avec la religion, se substitue habilement à Dieu et aspire à donner à une secte surannée le gouvernement des consciences et la monarchie universelle de la conscience humaine. » (Alphonse de la Martine)

 L’histoire incroyable de comment les Catholiques ont créé l’islam nous vient d’un ancien prêtre Jésuite du nom de Alberto Rivera. L’histoire lui a été racontée par le Cardinal Bea alors qu’il siégeait au Vatican.

une farce orchestrée par  le site champion du monde de hoax  Source: Before It’s News ce site est  ,un defouloir pour esprit etroit et en quete de sensationelle pour pas cher .....on leur doit la peur generé pour 2012 elenin la comete qui devait nous rayer de la carte bref des que vous avez un artcle bidon et qui fait le buzz dans les sites aux ordres  vous trouverez la source précitée ,ce genre darticle qui est plus un hoax que un fait historique permet au passage de voir les sites qui marchent dans la combine et qui vehiculent ce type d'infos en toute connaissance de cause ......Enfin ils montrent leur  vrai visage au grand jour avec leur  discours new ageux nous parlant d'élevation de conscience ,de reptilien, et des lignées au sang bleue ,là il attaque la religion catholique et pour finir ils s'en prennent aux musulmans.derrière le chef de file star mondiale le bien nommé david icke .....

Selon William Cooper, dénonciateur assassiné il y a quelques années, un homme dont j'admire la force de conviction, David Icke est un faux, un menteur, un auteur qui fait de l'argent à partir de théories sans fondement et qui a pour rôle de promouvoir l'agenda spirituel du nouvel ordre mondial: le nouvel-âge et l'illumination de la conscience planétaire.

Voici une entrevue audio avec William Cooper réalisée avant sa mort où il dénonce avec ardeur l'imposture derrière le personnage de David Icke.  Ensuite, une entrevue télévisuelle avec David Icke lors d'une émission de télévision où il déclare qu'il est le fils de Dieu!  La vidéo se termine avec une séquence vidéo d'une conférence donnée par Cooper qui résume l'essentiel de ses recherches.
Lisez n'importe quoi, écoutez n'importe qui, mais ne croyez rien en dehors de ce que vous êtes en mesure de prouver par vos propres recherches."
William Milton Cooper:

Carrière militaire

William Miton Cooper est né le 6 mai 1943 à Saint-Johns, en Arizona. Tout comme son père membre de l'USAF (United States Air Force), Cooper avait décidé tout jeune de s’engager dans l'armée. Enfant, sa famille déménage beaucoup dans de nombreux pays, et Bill Cooper sort diplômé du lycée de Yamato (Japon).

Lorsqu'il quitte son foyer, il intègre le SAC (Strategic Air Command), département de commandement de l'USAF, puis continue sa carrière dans l'United States Navy, la Marine américaine. Dès 1966, il est membre d'équipage à bord du sous-marin USS Tiru. Il travaille ensuite comme officier sur un pétrolier, et ensuite au Viêt Nam pendant la Deuxième Guerre de l'Indochine. Après quoi, il fut affecté dans l'unité administrative de la Flotte Pacifique, où il eut notamment l'accès à des documents militaires top secret relatifs à la sécurité nucléaire.

Son intégration dans les milieux ufologistes

En 1989 paraissent deux de ses livres : The Secret Government : the origin, identity, and purpose of MJ-12 et Operation Majority, livres véhiculant des théories du complot essentiellement centrées autour du thème des OVNI, et dans lesquels il révèle ce qu'il présente comme des informations top secrètes qu'il aurait acquises durant ses 18 années passées dans l'armée.

En 1973, il est renversé en pleine ville par une voiture prenant la fuite et perd sa jambe suite à cet accident. L'accident en question est souvent considéré comme un attentat des autorités américaines dans le milieu conspirationniste, Bill Cooper dit avoir reçu une visite des responsables de l'accident à l'hôpital, ceux-ci l'auraient menacé de s'en prendre à sa famille.[réf. nécessaire]

William Cooper devient par la suite membre de milices d'extrême droite, hostiles au gouvernement fédéral des États-Unis.[réf. nécessaire] En 1991, paraît son livre Behold a pale Horse, nouvel ouvrage dans lequel il divulgue le document Silent Weapons for Quiet Wars qui serait un programme gouvernemental secret.

William Cooper s'est notamment rendu célèbre en diffusant ses théories du complot et de la présence extraterrestre, sur l'émission The Hour of the Time diffusée en ondes courtes sur WWCR depuis Memphis.

Cooper expose dans ses livres ses théories sur la présence des extraterrestres sur terre, ainsi que le rôle de l'organisation, Majestic 12. Il déclare également avoir lu des documents reconnaissant clairement le gouvernement américain comme étant responsable de l'assassinat de J.F. Kennedy. William Cooper aurait démissionné de son poste au sein de l'armée suite à la découverte de ce fait précis.

Circonstance de sa mort

Le 6 Novembre 2001, Milton William Cooper, écrivain et chroniqueur radio conspirationniste est abattu chez lui en Arizona par des officiers de police. Le rapport d'autopsie revelera qu'il a été criblé de 10 balles dont plusieurs dans la tête et le torse. Certains diraient qu'en Juin 2001, Milton Willam Cooper affirmait que prochainement le gouvernement organiserait des attentats sur le sol américain et mettrait les attentats sur le dos d'un certain Oussama Ben Laden.

"David Icke Is A Piece Of Scum". William Cooper exposes David Icke

sa derniere attaque et énorme il pretend que ce sont les jesuites qui ont crée l'islam , L’histoire incroyable de comment les Catholiques ont créé l’islam nous vient d’un ancien prêtre Jésuite du nom de Alberto Rivera. L’histoire lui a été racontée par le Cardinal Bea alors qu’il siégeait au Vatican.venant dun jesuite cherchez lerreur les jesuite disent la verité maintenant apres avoir detruit le christianisme ils attaquent la derniere religion qui leur tient tete et se developpe ,revenant a nos protagoniste le cardinal bea et le pretre assassiné rivera c'est bien pratique il pourra pas dire le contraire ....quel credit peut on donner dans des personnes décédés a qui on peut faire dire tout et nimporte quoi voila une histoire révélé par le figaro il ya une vingtaine d'année qui en dit long sur les obediences de monseigneur Bea Qui a demandé de falsifier l’histoire, en rejetant la culpabilité du peuple juif dans la crucifixion, pour la mettre sur le dos de l’humanité entière ?  Sinon eux, avec l’aide du cardinal Bea ! celui qui ment une fois peut mentir a nouveau et sur demande ce qui est tres grave pour un homme deglise de haut rang « Si cela était accepté par le Concile, déclarait le Conseil International du B’naï B’rith, les communautés juives étudieraient le moyen de coopérer avec les autorités de l’Eglise. » Ce chantage indigne, n’aurait jamais dû être accepté. Et ces loges auraient dû continuer à être interdites ! Dans l’encyclique “Humanum genus” Léon XIII prévenait déjà le monde : La Franc-Maçonnerie n’est pas autre chose, tout au moins dans les hauts grades, que la religion occulte de Satan”.

Jean-Paul I après son élection, était convaincu de l’erreur commise par le Conclave. Ne disait-il pas « qu’il n’avait pas été choisi par l’Esprit-Saint ?  Qu’Il n’était qu’un usurpateur, un pauvre pape maudit… » Or monsieur l’abbé des Graviers cite dans son bulletin d’octobre 1994 la confidence que fit le secrétaire de Jean-Paul I, Mgr John Maggee: «Sitôt Luciani élu, le cardinal Wojtyla lui dira: “Vous m’avez volé ma place».

 

Comme quoi des obédiences de l’ombre influencent bien l’église à ses dépends :

cardinal Jean Villot

cardinal Jean Villot

Le cardinal Villot  dût être un élément important dans le complot engagé contre Jean-Paul I. Il a dû découvrir dans la chambre du pape, des signes évidents indiquant que le pape avait été empoisonné. Car pourquoi y est-il allé faire le ménage ? Empochant ainsi le médicament, les feuilles qui contenaient toutes les modifications de postes au Vatican, les lunettes, les pantoufles du pape (avaient-elles été maculées de vomissures compromettantes ?), le testament qui était normalement posé sur un des tiroirs de son bureau… Aucun de ces objets, n‘a jamais été retrouvé.

évêque Paul Marcinkus

évêque Paul Marcinkus

Pourquoi aussi son refus catégorique à toute autopsie ? D’autre part, le sergent Raggin rencontra l’évêque Paul Marcinkus, dans la cour, proche de la Banque du Vatican. A sept heures moins le quart. Or le président de cette banque habite à la Villa Stritch, via della Nocetta à Rome, à 20 minutes de voiture du Vatican. N’étant pas un lève tôt, que faisait-il exceptionnellement au Vatican, de si bonne heure ? Mystère.

Curieusement, toutes ces questions n’empêchèrent pas le cardinal Villot d’être maintenu par Jean-Paul II, au poste le plus important du Vatican, celui de secrétaire d’Etat.  A sa mort, 6 mois après, Jean-Paul II le remplacera par le cardinal Agostino Casaroli, ministre des Affaires étrangères.

 cardinal Agostino Casaroli

cardinal Agostino Casaroli

Un cardinal qui avait reçu pour mission de Jean XXIII, d’ouvrir les portes de l’Eglise aux communistes, par l’Ostpolitik, c’est-à-dire le sacrifice éhonté de l’Eglise du silence ! Quand Gorbatchev arriva au pouvoir, il lui transmit la liste complète des prêtres et évêques catholiques clandestins d’Ukraine, sous prétexte de réconciliation.

Et lors de l’élection au pontificat de Jean-Paul II, on pouvait lire dans le journal La Croix du 8 novembre 1978: «M. Lichten, délégué à Rome de l’organisation juive B’naï B’rith, a rendu hommage à Jean-Paul II: L’abbé Wojtyla a beaucoup aidé les juifs de Cracovie, a-t-il dit, il faisait partie du réseau chrétien Unia».

Faut-il préciser ici que les cardinaux Villot, Casaroli et Mgr Bugnini, étaient tous les trois dans la liste des prélats francs-maçons ? Villot avait été démasqué depuis longtemps. Le Bulletin flamand Mededalingsblad Maria van Nazareth avait reproduit dans son numéro de décembre 1975 une lettre écrite par un prélat proche de la Curie. Elle dévoilait le rôle qu’il jouait au Vatican: Villot, ennemi juré de l’Eglise et franc-maçon de haut rang gouverne l’Eglise avec son propre appareil administratif qui consiste, d’une part en un groupe d’Evêques francs-maçons, également de hauts grades, et d’autre part, un personnel ecclésiastique répandu dans tous les rouages du Vatican. Cet appareil, et je pèse mes mots, est infiltré et payé par le communisme”.https://effondrements.files.wordpress.com/2013/02/cardinal-agostino

il est clair que le vatican ferait mieux de nettoyer son officine de ses cadavres et de ses magouilles et je ne parle pas des affaires de pedophilie a repetition ......bref continuant a lire leur mensonge

verité gi waraqua, david icke islam

« Ce que je vais vous raconter provient de ce que j’ai appris lors de réunions très brèves au Vatican alors que j’étais un prêtre Jésuite sous serment. Un cardinal Jésuite du nom d’Augustin Bea m’a montré comment les catholiques voulaient posséder Jérusalem vers la fin du troisième siècle. En raison de son histoire religieuse et de son positionnement stratégique, la ville sainte était considérée comme un trésor inestimable. Un stratagème devait donc être développé pour faire de Jérusalem une cité de l’Église Catholique Romaine. » et bien premier bidonnage alors leur plan a fortifié les arabes dans la regionet les catholiques nont jamais reussit leur plan deja çà commence mal ,de plus les chretiens d'orient ne reconnaissent pas le vatican encore raté ,aucune influence ni sur les juifs quelle massacra a jerusalem ni chez les musulmans soit disant créent par eux , revenant sur le profil des jesuites  Les Jésuites sont les « champions du monde » du travail sans fantaisie, , LES JESUITES SONT LES CRIMINELS EN MAITRE QUI CONTROLENT TOUT EN COULISSE. UN DES NOMBREUX EXEMPLES DE CECI EST LE GEANT FINANCIER D'AUJOURD'HUI, GOLDMAN SACHS. Goldman Sachs est associée à d’intelligents courtiers juifs et à des architectes de la finance, tandis que SES PARENTS REELS, LES JESUITES, constituent une puissante secte notoire et aiment se faire passer pour des prêtres et des moines pieux.

LES JESUITES, HISTORIQUEMENT, ONT TOUJOURS MENE LA CONSTRUCTION DE SECTES. L'EXEMPLE LE PLUS FRAPPANT DE CECI FUT LA SECTE SS NAZIE, DONT LE FONDATEUR DE BILDERBERG, LE PRINCE BERNHARD DES PAYS-BAS, FAISAIT PARTIE, COMME NOUS L’AVONS DEJA MENTIONNE.

Une secte est caractérisée par un haut degré d'identification avec les valeurs de cette secte, et les menaces sont à peine nécessaires pour assurer le respect, à savoir, l'obéissance, c’est-à-dire que le culte des valeurs est respecté pleinement, ET EST TOTALEMENT INDEPENDANT DU RESTE DES NORMES MORALES DE LA SOCIETE. La SS était une invocation du démon utilisée par ceux qui "truquaient les rituels", c'est-à-dire que la SS était une secte satanique. Bien sûr, les officiers de grade inférieur ne savaient rien de ceci, ils se faisaient simplement laver le cerveau afin de croire en la valeur de leur mission historique pour aider à assurer le millénaire nazi. Les SS avaient le siège de leur secte qui se trouvait au château Wewelsberg, en dehors de Paderborn, en Westphalie, château qui était décoré de symboles occultes.
de plus si ils ont creent lislam alors pourquoi lislam denonce le vatican dans son livre et dans son message et reconnait que les juifs et les chretiens d'orient qui suivent les messages anterieur a ceux de rome ,qui a inventé la trinité  les idoles et jen passe alors les jesuites changent la religion du christ en la falsifiant , pour créer une religion monotheist qui est contraire a ces dogmes ,et qui plus est se revele veridique en terme de genealogie descendance d'abraham via ismael ,il est clair que david icke a une pietre connaissance de la religion musulmane qui n' a pas été inventé avec mohamed saws mais represente  un rappel du message de moise et de jesus sans oublier abraham,sachant que musulman veut dire celui qui est soumis a dieu il est clair que tous les prophete etaient soumis a dieu a un dieu unique bien avant l'arrivé du prophete arabe ,ils ont donc nullement pu inventé cette religion qui existé deja a lepoque  de noe et d'abraham ils etaient soumis et çà se dit musulman ,pour la plupart des gens Jésus était chrétien ou le fondateur du christianisme ce qui n’est pas logique, car de son vivant Jésus (psl) n’a pas appeler ses disciplines chrétien car le mot Chrétien son origine (christos) est apparue après sa mort sur la croix selon la doctrine chrétienne, donc le christianisme est une idéologie liée  à un homme  . Jésus = croix = chrétien , donc  si on revient au premier Prophète Adam(psl) quel était sa religion ? car l’église veut faire croire au gens et aux  chrétiens  que tout les Prophètes étaient chrétiens et cela est impossible et illogique, et ensuite tous les autres Prophètes inclus Jésus (psl) ont tous appelé les êtres humains à se soumettre à la volonté divine (Muslim, musulman) et non de suivre des  Idéologies comme le Judaïsme, christianisme, Bouddhisme, Hindouiste, car tous ses religions ont une origine humaine, un exemple le judaïsme vient à l’origine du mot Judas qui était un des douze fils d’Israël(Jacob) etc… Alors que l’Islam est la religion et le mode de vie que tout les Prophètes ont suivie,  et n’a aucune origine humaine   comme nous venons de voir par apport au Christianisme ou Judaïsme, et contrairement aux idées préconçues des occidentaux et orientaliste, l’Islam n’a pas été fonder par le dernier des Prophètes Muhammad(sws). Autrement, aujourd’hui on appellerait ses disciplines des Muhammadise et sa religion Muhammadisme alors que jusqu’a maintenant  tout ceux qui suive  la religion de l’Islam sont appelés Musulmans= soumis à la volonté divine et non à Muhammed (sws), comme

V 131 «  Quand son seigneur Lui avait dit »soumets toi », il dit »je me soumets au seigneur de l’Univers »

 

V 132 « et c’est ce qu’Abraham recommanda à ses fils, de même que Jacob »ô mes fils, certes Allah vous a choisi la religion ; ne mourrez point, donc autrement qu' en soumis ! ( à Allah)

V 136 «  Dites « nous croyons en Allah et en ce qu’on nous a revelé , et en ce qu’on a fait descendre vers Abraham et Ismaël  et Isaac et Jacob et les tribus, et en ce qui a été donné à Moise et à Jésus, et en ce qu’a été donné aux Prophètes venant de leur seigneur : nous ne faisons aucune distinction entre eux. Et à Lui nous sommes soumis »

 

Éphésiens 5:21-22 : “…vous soumettant les uns aux autres dans la crainte de Christ. Femmes, soyez soumises à vos maris, comme au Seigneur.”

1 Corinthiens 12:28 : “Et lorsque toutes choses lui auront été soumises, alors le Fils lui-même sera soumis à celui qui lui a soumis toutes choses, afin que Dieu soit tout en tous.”,

Louis Segond Bible
Que toute personne soit soumise aux autorités supérieures; car il n'y a point d'autorité qui ne vienne de Dieu, et les autorités qui existent ont été instituées de Dieu.

Dans la torah le mot cananeen qui fait reference aux enfants de Jacob se traduit en arameen la langue du christ par salomai ou encore par muslimae cela fait référence aux tribut qui pratiquaient le sacrifice rituel le korban appellé ainsi muslimae muslimin nous voyons que muslim etaient employé bien avant le coran et remonterait au temps de noé et de adam l'islam est la religion commune a tous les hommes ce fait est bien gardée pour diviser les hommes et les opposer il est logique si il ya un seul Dieu et je le crois evidemment il doit y avoir une seule religion mais dans des langues differentes .pour etre comprise et acceptée par les populations concernés.regardez la videos ci dessous qui vous donnera une mine dinformation pour mieux saisir ce sujet complexe et peut traité .

Ce que les Juifs pensent de l'Islam et des Muslim




LE PERE MALACHI MARTIN, LORSQU’IL MOURUT LE 27 JUILLET 1999, ETAIT EN TRAIN DE REDIGER SON ŒUVRE LA PLUS IMPORTANTE ET QUI CONCERNAIT LES LIENS DU VATICAN SATANISTE AVEC… LE NOUVEL ORDRE MONDIAL !  PAS MOINS ! Cette œuvre, qui devait s’intituler PRIMACY: HOW THE INSTITUTIONAL ROMAN CATHOLIC CHURCH BECAME A CREATURE OF THE NEW WORLD ORDER (LITTERALEMENT, « PRIMAUTE : COMMENT L’EGLISE INSTITUTIONNELLE ROMAINE CATHOLIQUE EST DEVENUE UNE CREATURE DU NOUVEL ORDRE MONDIAL »), ne fut hélas jamais publiée… 


MAIS QUI EST CE MALACHI MARTIN, ET PEUT-ON SE FIER A LUI

Sur son site, http://www.starharbor.com/fr_martin/index1.html , qui en hommage, a peu changé depuis sa mort, et via Wikipedia (cf. http://en.wikipedia.org/wiki/Malachi_Martin ), nous pouvons glaner les renseignements suivants :

Malachi Brendan Martin Ph.D. (né le 23 juillet 1921, et décédé le 27 juillet 1999) était un prêtre catholique, ainsi qu’un théologien, un écrivain sur l'Eglise catholique, et un professeur à l'Institut pontifical biblique. De 1958 à 1964, il a servi le Saint-Siège au Vatican, à Rome. Ici, il était un proche collaborateur du célèbre cardinal jésuite, Augustin Bea, tiens il a fait des enquetes pour bea il est etonant qu il nait jamais entendu parlé de cette histoire , evidemment lui il a passé sa vie a denoncer ses superieur et leur magouille ....et Sa Sainteté, le Pape Jean XXIII. Notons qu’il fut jésuite pendant un temps, puis qu’il quitta cet ordre (un ordre étroitement lié au nouvel ordre mondial malfaisant, comme nous le savons – c’est peut-être d’ailleurs pour cela qu’il a abandonné cet ordre). Surtout, il fut un exorciste pendant plus de 30 ans, ce qui en fait, en principe, un opposant farouche contre le mal. Le Père Martin fut formé en théologie à Louvain, où il obtint trois doctorats (en langues sémitiques, en archéologie et en histoire orientale). Par la suite, il a étudié à Oxford et à l'Université hébraïque de Jérusalem. Il fut l'unique auteur de seize livres traitant de sujets religieux et géopolitiques, qui furent publiés en huit langues. Il a écrit d'autres ouvrages sous différents pseudonymes et en collaboration avec d'autres personnes. Il fut un commentateur controversé sur le Vatican et d'autres questions touchant à l'Église. Martin parlait au moins dix langues, incluant l'irlandais, l’anglais, le français, le néerlandais, l’allemand, l’italien, le russe, le chinois, l’hébreu et l’arabe moderne, et connaissait aussi les langues classiques comme le latin, le grec classique, l'araméen et l’arabe classique. Il a vécu en Irlande, au Royaume-Uni, en Belgique, en Italie, en Israël, au Liban, en Egypte, en Turquie, en France, et aux Etats-Unis, et a beaucoup voyagé à travers l'Europe, l'Asie et le Moyen-Orient. Ses best-sellers incluent : Vatican, The Final Conclave, Hostage to the Devil, The Jesuits, The Keys of This Blood, et Windswept House.

ETANT DONNE LE PROFIL DU PERSONNAGE (UN GRAND ERUDIT QUI A SERVI LE VATICAN PUIS L’A ABONDAMMENT CRITIQUE, QUI A FAIT PARTIE DE L’ORDRE MONDIALISTE DES JESUITES PUIS L’A QUITTE, ET QUI SURTOUT FUT EXORCISTE PENDANT 30 ANS), IL EST DIFFICILE DE QUALIFIER LE PERE MALACHI MARTIN DE CONSPIRATIONNISTE, D’HALLUCINE OU DE RIGOLO, ET JE PENSE QUE CET HOMME A DENONCE DANS SES LIVRES DES CHOSES QU’IL A PU VERIFIER PAR LUI-MEME… 

IL SEMBLE DESORMAIS UN FAIT DE PLUS EN PLUS INCONTESTABLE QUE LE VATICAN ET L’EGLISE CATHOLIQUE ROMAINE SONT EN PLEINE DELIQUESCENCE, RONGES DE L’INTERIEUR PAR LES CRIMES ET LES ACTES IMPIES, ET VENDUS AU NOUVEL ORDRE MONDIAL MALEFIQUE… BREF, UN CULTE DE SUPPÔTS DE SATAN EN SOUTANE ET QUI SE PLACE DESORMAIS AUX ANTIPODES DES ENSEIGNEMENTS DU CHRIST ! 

P.S. : le père Malachi Martin a également rédigé un livre nommé « La Saga des Papes - Déclin et chute de l’Eglise romaine » (le titre anglais est « The Decline and Fall of the Roman Church ») et dans lequel il dénonçait de façon très lucide et courageuse le pourrissement progressif de l’Eglise catholique romaine, pourrissement qui débuté selon lui dès l’édit de Constantin (en 313 apr. J.C.) et qui s’est accéléré par la suite via toute une série de papes criminels, fous, despotiques ou dépravés.

 

Le père Malachi Martin


"Comment de fois ai-je prévenu et averti que Satan entrerait dans les plus hautes sphères de la hiérarchie de Rome. Le Troisième Secret, mon enfant, c'est que Satan entrera dans l’Eglise de mon Fils." - Notre-Dame des Roses, le 13 mai 1978



Les accusations du père Malachi Martin


Dans l'article « The Fatima Crusader » (« le croisé de Fatima »), Malachi Martin, un chercheur, initié du Vatican et auteur de best-sellers, a déclaré: "QUICONQUE CONNAIT L'ETAT DES AFFAIRES AU VATICAN AU COURS DES 35 DERNIERES ANNEES EST BIEN CONSCIENT QUE LE PRINCE DES TENEBRES A POSSEDE ET POSSEDE ENCORE SES SUBSTITUTS DANS LA COUR DE SAINT-PIERRE, A ROME".

De 1958 à 1964, le prêtre jésuite Malachi Martin a servi à Rome, où il était un proche associé de - et effectuait de nombreuses missions délicates pour - le célèbre cardinal jésuite Bea Augustin et le pape. Relaxé par la suite de ses vœux de pauvreté et d'obéissance suite à sa propre demande (mais restant toujours un prêtre), il finit par s'installer à New York et devint un écrivain d’œuvres à succès de fiction et de non-fiction.

MARTIN AVAIT D'ABORD FAIT REFERENCE A UN RITE DIABOLIQUE QUI S'EST TENU A ROME EN 1990 DANS SON BESTSELLER DE NON-FICTION SUR LA GEOPOLITIQUE ET LE VATICAN, THE KEYS OF THIS BLOOD (« Les clefs de ce sang »), dans laquelle il écrit :

« De façon très effrayante pour [le Pape] Jean-Paul [II], il s'était heurté à la présence d'une FORCE INAMOVIBLE ET MALIGNE DANS SON PROPRE VATICAN ET DANS LES CHANCELLERIES DE CERTAINS EVEQUES. Ce fut ce que des ecclésiastiques appelèrent la « superforce ». Des rumeurs, toujours difficile à vérifier, liaient l’installation (de cette superforce) au début du règne du pape Paul VI, en 1963. EN EFFET, PAUL AVAIT FAIT UNE SINISTRE ALLUSION A LA « FUMEE DE SATAN, QUI EST ENTREE DANS LE SANCTUAIRE »... UNE REFERENCE SUBTILE A UNE CEREMONIE D'INTRONISATION PAR LES SATANISTES AU VATICAN. D'AILLEURS, L'INCIDENCE DE LA PEDOPHILIE SATANIQUE - RITES ET PRATIQUES -, ETAIT DEJA DOCUMENTEE PARMI CERTAINS EVEQUES ET PRETRES AUSSI LARGEMENT DISPERSES QU’A TURIN, EN ITALIE, ET QU’EN CAROLINE DU SUD, AUX ETATS-UNIS. LES ACTES CULTUELS DE LA PEDOPHILIE SATANIQUES SONT CONSIDERES PAR LES PROFESSIONNELS COMME LE SUMMUM DES RITES DE L'ARCHANGE DECHU ». (p. 632)

Ces allégations ont largement passé inaperçu, sans doute parce qu'il était si habile dans ses descriptions qu'il aurait même pu se référer au couronnement du pape Paul VI. Mais IL REVELE BEAUCOUP PLUS SUR CE RITUEL PRESUME DANS L’UNE DE SES DERNIERES ŒUVRES, WINDSWEPT HOUSE: A VATICAN NOVEL (1996). DANS CETTE HISTOIRE, IL DEPEINT DE FAÇON TRES VIVANTE UNE CEREMONIE APPELEE « L'INTRONISATION DE L’ARCHANGE DECHU LUCIFER » QUI AURAIT EU LIEU DANS LA CHAPELLE SAINT-PAUL AU VATICAN, MAIS LIEE A CONCURRENTE RITES SATANIQUES QUI SE SERAIENT PRODUITS AU MEME MOMENT ICI, AUX USA, LE 29 JUIN 1963, A PEINE UNE SEMAINE APRES L'ELECTION DE PAUL VI. Dans ce roman, avant de mourir, un pape laisse un compte-rendu secret de la situation sur son bureau pour le prochain occupant du trône de Pierre, un Jean-Paul II à peine déguisé.

Selon The New American, MARTIN A CONFIRME QUE LA CEREMONIE S’ETAIT EN EFFET DEROULEE TELLE QU’IL L'AVAIT DECRITE. Le magazine rapporta qu'il avait dit : « Oh oui, c’est vrai ; tout à fait vrai ». "Mais la seule façon dont je pouvais mettre cela par écrit était sous une forme romanesque".

L’accusation de Martin d'un rituel satanique au Vatican a également été confirmée par John Loeffler, animateur de l'émission de radio Steel on Steel. M. Loeffler posa personnellement une question au Père Malachi Martin (qui avait été un invité régulier de son émission) concernant le dévouement à Satan qu’il avait signalé au sein du Vatican :

« VOUS SAVEZ, MALACHI A CONFIRME – dans la première partie de son livre, Windswept House -, il a confirmé LE DEVOUEMENT DU VATICAN A SATAN LORS D'UNE CEREMONIE SECRETE QUI A EU LIEU A L‘INSU MEME DU PAPE A CETTE EPOQUE, ET QU'IL AVAIT REUSSI A DECOUVRIR. ET JE LUI AI DEMANDE: « EST-CE VRAI? EST-CE ARRIVE ? ». ET IL [LE PERE MARTIN] A DIT: «OUI, CELA S’EST PRODUIT » - John Loeffler (29 juillet, 2000 radio show : http://www.steelonsteel.com/audio/default.html ).

Le père Malachi Martin a déclaré que davantage de membres du clergé prennent conscience de la situation. UN ARCHEVEQUE IL Y A PLUSIEURS ANNEES A EGALEMENT ACCUSE DE HAUTS DIGNITAIRES DE LA HIERARCHIE A ROME DE PRATIQUER LE SATANISME. Le quotidien italien Il Tempo et d'autres grands quotidiens ont relayé cette étonnante nouvelle (articles de journaux italiens : http://www.tldm.org/news/articles.htm
).fin de parenthese revenant au sujet de la creation de lislam par les jesuites ....

 

Le Vatican voulait créer un messie pour les Arabes, quelqu’un qu’ils accepteraient comme leur grand chef, un homme charismatique qu’ils pourraient éduquer, entrainer et éventuellement grâce à lui, le Vatican pourrait unir tous les Arabes, créer une armée divine qui capturerait inévitablement Jérusalem au nom du Pape. Lors d’un briefing au Vatican, le Cardinal Bea nous raconta cette histoire-là:

Une femme Arabe fortunée et qui était une croyante fidèle du Pape joua un rôle très important dans ce drame. Elle était une veuve qui s’appelait Khadijah. Elle fit don de sa fortune à l’église et se retira dans un couvent,un mensonge de plus c'etait une femme avisée qui commerçait avec les caravanes et a l'age de 20 ans Mohamed partie commercer pour khadija ) mais elle reçut l’ordre d’accomplir un objectif. Elle devait trouver un jeune homme brillant qui pourrait être utilisé par le Vatican pour inventer une nouvelle religion et devenir le messie des enfants d’Ismaël. Khadijah avait un cousin du nom de Waraquah, qui avait aussi la foi envers l’Église Catholique Romaine(faux ils croyaient en jesus christ et aux apotres authentique jamais il nassocié Dieu il etait monotheiste veritable comme les chretiens d'orient ) et le Vatican lui confia le rôle critique d’être le conseiller de Muhammad. Il eut une influence colossale sur Muhammad ( ridicule il etait agé de 65 ans aveugle et  mourut juste apres la premiere revelation de mohamed il raconta a waraqua sa vison et waraqua lui révéla " ce que tuas vu c'est lange gabriel celui qui est apparu a moise apres cela il mourut quelques jours plus tard ) en effet une influence colossale comme le mensonge des jesuites et de leur  sbir david icke )

Les professeurs furent envoyés au jeune Muhammad et il reçut un entrainement intensif. Muhammad étudia les travaux de Saint Augustin qui le préparèrent pour sa « grande mission » evidemment  . Le Vatican avait des catholiques arabes actifs en Afrique du Nord pour répandre l’histoire d’un grand homme sur le point de se dissocier de son peuple et qui sera l’élu de leur Dieu. l'equivalent de cnn et BFM tv oui on imagine ces moines parcourir un pays en annonçant un prophéte qui plus est dune autre race qu'eux tres pathetique sachant la difficulté déjà detre accepter par les siens souvenons nous de laccueuil que lon reserva a Jesus et de son propre peuple sachant quil accomplissait des miracles en plus ,c'est dune bétise ....sachant que les tribus arabes netaient pas tres commode et ils se seraient vite fait découppés en rondelle un pure fantasme .de plus est il etait prophetisé par moise et jesus de la venu d'un homme bien avant cette pretendu histoire ...voila les livres qui mettent fin a cette mascarade.

Le prophète Mohammed pbsl nommément cité dans la bible:

Dans le chapitre 5 du Cantique des Cantiques, une femme fait la description de l'homme qu'elle aime, à la fin du chapitre, on peut lire le nom Muhammad.
Quoi de plus clair pour une prophétie

 חִכּוֹ, מַמְתַקִּים, וְכֻלּוֹ, מַחֲמַדִּים; זֶה דוֹדִי וְזֶה רֵעִי, בְּנוֹת יְרוּשָׁלִָ

Hiko mamtakim vé khulo Mahamad im , zé dodi vé zé réi , bnot yarushalaim .


Voici les différentes traductions que l'on peut rencontrer, elles mettent en relief la volonté de cacher le nom Mu h ammad en traduisant sa signification.
Cantique 5.16
    Son palais n'est que douceur, Et toute sa personne est pleine de charme .
    Tel est mon bien-aimé, tel est mon ami, Filles de Jérusalem!

(Bible Louis Segond)

Cantique 5.16
    Son palais est la douceur même ; et tout sont être est l'objet même du désir .
    Tel est mon chéri, tel est mon compagnon, filles de Jérusalem !

(Bible TOB) Le suffixe « im » marque habituellement le pluriel, or, ici, nous avons affaire à un pluriel de majesté, tel que celui d'Elohim (pluriel d'élua), ou celui d'Adonaï (pluriel d'adon). Cet particularité de certaines langues, tel que l'arabe, l'hébreu ou le français, permet à une personne d'affirmer sa noblesse, c'est le cas pour Dieu, ou un monarque. On se souvient tous du « Nous de majesté » utilisé jadis, par les rois de France.

מחמדּ

מַחמ

מֻחמדּ

Il est remarquable que ce soit la translitération parfaite de l'arabeمحمدen hébreu מחמד.

Le suffixe «  im  » ajouté, nous lisons Mouhamad-im .

Une autre chose qu'il serait intéressant de prendre en compte, est le fait que les termes Chéri (dodi)[ 1 ] (sauf Proverbes ) et ami (rai)[ 2 ], peuvent aussi être traduit par oncle et voisin.
En effet, dodi est traduit seize fois par oncle, dans toute la Bible. Et rai est traduit par voisin cent-deux fois, et seulement dix fois par ami.
Si nous traduisons correctement d'après ce qui précède : Tel est mon oncle, tel est mon voisin, Filles de Jérusalem! devient un référence claire à la descendance d'Ismaël.

MOHAMMAD DANS L'ANCIEN TESTAMENT

Il devait venir d'Arabie avec dix-mille saints

Voici une prophétie majeure concernant Muhammad ( Salallah Alihi Wa Salam) dans la Bible , celle de la prise de La Mecque par dix-mille compagnons:

 « L'Éternel est venu de Sinaï, il s'est levé pour eux de Séir , il a resplendi de la montagne de Paran , et il est venu avec dix-mille saints du Sud [ou de sa main droite] est sortit une loi de feu pour eux. » [Deutéronome 33:2]

« L'Éternel est venu de Sinaï , il s'est levé pour eux de Séir , il a resplendi du Mont Paran »

La tradition juive et chrétienne veut que ces 3 endroits désignent le Sinaï, nous allons voir que cela désigne plutôt: le Sinaï, la Palestine et l'Arabie.

Le mont Sinaï est bien connut, c'est là où Moïse reçut les tables de la Loi , et qu'il entendit Dieu.

Séir est une montagne au nord de Juda (actuelle Palestine), située près de l'ancienne Beth-Shemesh (Ain Shems aujourd'hui), selon « Smith's Bible Dictionary » [ 1 ] et « The KJV Old Testament Hebrew Lexicon  » [ 2 ].
Non loin de Séir , se trouve Bethléem, lieu de naissance de Jésus, paix sur lui.
Séir est donc situé dans la région où Jésus, paix sur lui, apporta l'Évangile: la Palestine.

Reste le Mont Paran , qu'est ce que le Mont Paran ?
Paran est situé en Arabie, en effet la Bible fait référence au désert de Paran avec l'histoire d'Agar et d'Ismaël, paix soit sur lui, en ces termes:

Genèse 21.20
    Dieu fut avec l'enfant (Ismaël), qui grandit, habita dans le désert, et devint
    tireur d'arc.

Genèse 21.21
    Il habita dans le désert de Paran , et sa mère lui prit une femme du pays
    d'Égypte.


Ismaël, l'ancêtre des arabes grandit donc dans le désert de Paran , qui est le désert d'Arabie.
La tradition arabe de l'époque rapporte qu'Ismaël et sa mère s'installèrent dans la vallée de La Mecque (cf. La Mecque décrite dans la Bible ).

De plus, les descendants d'Ismaël se fixèrent dans ce même désert de Paran , tel que l'affirme la Bible:

Genèse 25.13
et voici les noms des fils d'Ismaël, par leurs noms, selon leurs
    générations : Le premier-né d'Ismaël, Nebaïoth ; et Kédar , et Adbeël , et
Mibsam , et Mishma et Duma , et Massa, Hadar , et Téma , Jetur , Naphish et Kedma .

Genèse 25.16
Ce sont là les fils d'Ismaël, et ce sont là leurs noms, selon leurs
    villages
et leurs campements : douze princes de leurs tribus.


Ces douzes fils d'Ismaël sont les pères des arabes, ils donnèrent leurs noms aux villages où ils résidaient et les arabes ont continué à vivre dans ce même désert de Paran. Le désert d'Arabie est donc Paran dans la Bible , c'est le lieu de fixation d'Ismaël et de ses descendants.

Mais il est écrit « Mont Paran » ( ??? ??????? , Har Paran en hébreu ) , l'Éternel a resplendi du Mont Paran , c'est à dire d'un mont en Arabie.
Cela devient clair, il ne peut s'agir que du Mont Hira , où Muhammad ( Salallah Alihi Wa Salam) a recut la première révélation de l'ange Jibril (Gabriel).

Le passage « L'Éternel est venu de Sinaï , il s'est levé pour eux de Séir , il a resplendi du Mont Paran  » nous montre 3 régions distinctes le Sinaï, la Palestine et un mont d'Arabie (Mont Hira ). C'est une référence claire au trois prophètes Moïse, Jésus et Muhammad, que la paix soit sur eux tous.

En effet, la révélation divine, s'est d'abord faite avec Moïse au Sinaï, puis Jésus en Palestine, et enfin Muhammad ( Salallah Alihi Wa Salam) en Arabie. C'est à dire, la Thora , l'Évangile et le Coran.

De plus, on retrouve à de nombreuses reprises Paran dans la Bible , mais seulement 2 fois « Mont Paran », et ces deux fois sont des prophéties claires concernant la venue de Muhammad ( Salallah Alihi Wa Salam), l'autre prophétie est Le Saint devait venir de La Mecque.

« il est venu avec dix-mille saints »


Ce qui est traduit par dix-mille saints est en hébreu רִבְבֹת קֹדֶשׁ( rivévot kodesh ), dans certaines Bibles, rivévot est traduit par myriade, une myriade d'hommes signifie exactement dix-mille hommes.
De plus la racine r-v-v est utilisée à beaucoup d'autres endroits dans la Bible pour dénombrer les hommes ou les choses:
Deutéronome 32.30
Comment un seul en poursuivrait-il mille, Et deux en mettraient-ils
dix mille [ Rivava ] en fuite [...]

La traduction anglaise : http://kjv.biblebrowser.com/deuteronomy/33-2.htm

"And he said, The LORD came from Sinai, and rose up from Seir unto them; he shined forth from mount Paran, and he came with ten thousands of saints: from his right hand went a fiery law for them". 

Dans la king james version :

"And he said, The LORD came from Sinai, and rose up from Seir unto them; he shined forth from mount Paran, and he came with ten thousands of saints: from his right hand went a fiery law for them."

(voir aussi Deutéronome 33.17 ; 1 Samuel 18.7 et 18.8 ; 1 Samuel 29.5 ; Lévitique 26.8 ; Néhémie 7.66 ; Esdras 2.64 ; Genèse 24.60 ; ...)


Dans le verset, kodesh signifie saint, ou plutôt homme saint, la traduction de rivévot kodesh est donc dix-mille saints

Jude 1.14
    C'est aussi pour eux qu'Énoch, le septième depuis Adam, a prophétisé en
    ces termes: Voici, le Seigneur est venu avec dix-mille saints.
Jude 1.15
    pour exercer un jugement contre tous, et pour faire rendre compte à tous
    les impies parmi eux de tous les actes d'impiété qu'ils ont commis et de
    toutes les paroles injurieuses qu'ont proférées contre lui des pécheurs
    impies.

Le mot grec employé est μυριασιν murias », ce qui signifie 10 000.
Murias est l'étymologie de myriade, c'est l'équivalent grec de révivot en hébreu.

Encore une fois, nous retrouvons dans la Bible une référence à « dix-mille saints », et là, l'auteur du livre de Jude (les auteurs ?) nous dit bien que c'est une prophétie d'Énoch, ayant vécut des millénaires avant J-C.
Énoch a donc annoncé que dix-mille saints de Dieu viendraient exercer un jugement, contre des impies, des incroyants.
Si Jude (ayant vécut bien après Jésus) cite cette prophétie, c'est qu'elle ne s'est pas encore réalisée. Ni au temps d'Énoch, ni au temps de Moise, ni au temps de Jude.
Du premier au dernier livre de la Bible , la prophétie des dix-mille saints resta en suspent , et personne ne l'a accomplit.


Historiquement, ces prophéties ne peuvent s'appliquer qu'à Muhammad ( Salallah Alihi Wa Salam), c'est le seul prophète à être venu avec dix-mille saints compagnons, lors de la prise de La Mecque.

Y a-t-il eu un autres prophète accompagné de dix-mille saints compagnons, dans le désert de Paran ?

En fait, dans beaucoup de Bible, les traducteurs ont cammouflé « rivévot » et « murias » par myriade, alors que cela veut exactement dire dix-mille, dans le seul but de dérouter le lecteur, de cacher les prophéties concernant Muhammad ( Salallah Alihi Wa Salam) et l'entrée à La Mecque , qui est un événement historique sans précédent.


 « L'Éternel est venu de Sinaï, il s'est levé pour eux de Séir , il a resplendi de la montagne de Paran , et il est venu avec dix-mille saints du Sud [ou de sa main droite] est sortit une loi de feu pour eux. » [Deutéronome 33:2]

un fait peu connu que jai decouvert en m'interessant a la religion hindou ,qui etait une religion monotheist autentique a ces debuts puis a ete falsifié pour adorer les attributs de dieu comme des divinites ....

Le Prophète Muhammad (paix soit sur lui) dans les écritures hindoues

I. Muhammad (SAW) prédisait dans Bhavishya Purana 

Selon Bhavishya Purana dans le Prati Sarag Parv III Khand 3 Adhay 3 Shloka 5 à 8. 
"Le Malecha (appartenant à un pays étranger et parlant une langue étrangère), un maître spirituel qui apparaîtra avec ses compagnons. Son nom sera Mohammad.  Raja (Bhoj) après avoir donné ce Maha Dev Arabe (de caractère angélique) un bain dans le Panchgavya et l'eau du Gange (c’est-à-dire le purifiant de tous péchés) lui offrant un cadeau pour son dévouement sincère et lui montrant toute révérence énoncée : « Je fais révérence à toi. Ô vous! La fierté de l’humanité, l’habitant de l’Arabie, Vous avez recueilli une grande force pour tuer le Diable et vous avez vous-même été protégé contre les opposants du Malecha. »

La prophétie indique clairement :

Le nom du Prophète Mohammad.

Le mot Sanscrit « Marusthal » signifie une piste sableuse de terre ou de désert.

Une mention spéciale est donné sur les compagnons du Prophète, c’est-à-dire les Sahabas

Aucun autre Prophète n’avait autant de compagnons comme le Prophète Muhammad (PSL).
Il est mentionné comme la fierté de l'humanité (Parbatis Nath)

Selon Bhavishya Purana, Parv - III Khand 1 Adhay 3 Shloka 21-23 : « La corruption et la persécution sont fondé dans sept villes sacrées de Kashi, etc. L’Inde a été habité par Rakshas, Shabor, Bhil et d'autres personnes stupides. Dans la terre des Malechhas, les adeptes de Malechha Dharma (l'Islam) sont un peuple sage et courageux. Toutes les bonnes qualités se retrouvent dans Musalmaans et toutes sortes de vices se sont accumulés dans le pays d’Aryas. L’Islam règnera en Inde et ses îles. Connaissant ces faits, ô Muni, glorifies le nom de ton seigneur. »

Le Coran le confirme dans la sourate At-Tawbah chapitre 9 verset 33 et dans la sourate As-Saff chapitre 61 verset 9:

« C'est Lui qui a envoyé Son messager avec la bonne direction et la religion de la vérité, afin qu'elle triomphe sur toute autre religion, quelque répulsion qu'en aient les associateurs.»[Le Coran, sourate At-Tawbah  9:33]

« C'est Lui qui a envoyé Son messager avec la guidée et la Religion de Vérité, pour la placer au-dessus de toute autre religion, en dépit de l'aversion des associateurs.» [Le Coran, sourate As-Saff  61:9]

Un message similaire est donnée dans la sourate Al-Fathchapitre 48 versets 28 se terminant par :

« Allah suffit comme témoin.» [Le Coran, sourate Al-Fath 48:28] 

 Prophète Muhammad (paix soit sur lui) prédisait dans Atharvaveda

Dans le livre 20 d’Atharvaveda cantique 127 Certains Suktas (chapitres) sont connus comme Kuntap SuktaKuntap signifie le consommateur de la misère et des ennuis. Ainsi, le sens du message signifie paix et sûreté et si on le traduit en arabe cela signifie Islam.

Kuntap signifie également glandes cachées de l'abdomen. Ces mantras sont appelés de cette manière sans doute parce que leur véritable signification était caché et devait être révélée à l'avenir. Son sens caché est également lié avec le nombril ou le point centre de cette terre. La Mecque est appelée « Ummul Qur'a » la mère des villes ou le nombril de la terre. Dans beaucoup de livres révélés, il est dit que c’était la première maison de l’adoration Divine où Dieu Tout-Puissant a donné une nourriture spirituel pour le monde. Le Coran dit dans la Sourate Al-Imran chapitre 3, verset 96:

« La première Maison qui a été édifiée pour les gens, c'est bien celle de Bakka (la Mecque) bénie et une bonne direction pour l'univers. » [Le Coran, sourate Al-Imran 3:96]

Ainsi Kuntap signifie La Mecque ou Bakka

Plusieurs personnes ont traduit ces Kuntap Suktas comme M. Bloomfield, le professeur Ralph Griffith,Pandit Rajaram,Pandit Khem Karan, etc.

Les principaux points mentionnés dans Kuntap Suktas c’est-à-dire dans Atharvaveda,  livre 20 Cantique 127 versets 1-13, sont les suivants:

Mantra 1 : Il est Narashansah ou Le Loué (Muhammad). Il est Kaurama 

Mantra 2 : C’est un Rishi montant un chameau, dont le char touche le ciel. Le prince de la paix ou l'émigré, qui est en sécurité, même entre une foule de 60.090 ennemis. 

Mantra 3 : Il est « Mamah Rishi » qui reçoit une centaine de pièces d'or, dix chapelets (colliers), trois cents beaux chevaux et dix mille bonnes vaches.

Mantra 4 : Vachyesv Rebh. « Oh! Vous qui glorifie ».
Le mot Sanskrit Narashansah signifie « le digne de louange » , qui est la traduction littérale du mot arabe Muhammad (PSL).
Le mot Sanskrit Kaurama signifie « celui qui propage et promeut la paix ». Le Saint Prophète était le « Prince de la Paix », et il a prêché l'égalité de l’être humain et la fraternité universelle. Kaurama signifie également un émigrant. Le Prophète a émigré de la Mecque à Médine et donc il a aussi été un émigrant.
Il sera protégé contre les 60.090 ennemis, qui étaient la population de La Mecque. Le Prophète monterait un chameau. Cela indique clairement qu'il ne peut pas être un Rishi indien, car il est interdit pour un Brahmane de monter un chameau selon les Livres sacrés de l'Orient, tome 25, Les lois de Manu page 472.472. Selon Manu Smirti chapitre 11, verset 202 :

«Il est interdit pour un Brahmane de monter un chameau ou un âne et de se baigner nu. Il doit se purifier en supprimant son souffle. »

Ce Mantra a donné le nom du Rishi comme Mamah. Aucun Rishi en Inde ou autre prophète n’avait eu ce nom Mamah qui est dérivé du Mah et qui signifie estimer hautement, ou révérer, exalter, etc. Certains livres Sanskrit donne le nom du Prophète comme 'Mohammad', mais ce mot en fonction de la grammaire Sanskrite peut également être utilisé dans un mauvais sens. Il est incorrect d'appliquer cette grammaire pour un mot arabe. En effet, ils ont le même sens et la prononciation est quelque peu similaire à celui du mot Muhammad (PSL).

Il lui est donné 100 pièces d'or, ce qui réfère aux croyants et aux premiers compagnons du Prophète durant sa vie mecquoise turbulente. Plus tard en raison de la persécution ils ont émigré de la Mecque à l’Abyssinie. Plus tard encore, quand le Prophète a émigré à Médine, tous se joignirent à lui à Médine.

Les 10 chapelets ou colliers sont les 10 meilleurs compagnons du Saint Prophète (psl), connu sous le nom Ashra-Mubbasharin (les 10 conférés avec de bonnes nouvelles). Ils étaient annoncés dans ce monde de leur salut et dans l'au-delà c'est à dire qu'ils ont reçu les bonnes nouvelles d'entrer au paradis par la bouche du Prophète (PSL) et après avoir nommé chacun d’eux, il a déclaré : « au paradis ». Ils étaient Abu Bakr, Omar, Uthman, Ali, Talha, Zubair, Abdur Rahman Ibn Auf, Saad bin Abi Waqqas, Saad bin Abou Zaid et Ubaidah (qu'Allah soit satisfait d'eux).

Le mot Sanskrit Go est dérivée de Gaw qui signifie «aller à la guerre». Une vache est aussi appelé Go et c’est un symbole de la guerre ainsi que de la paix. Les 10.000 vaches se réfèrent aux 10.000 compagnons qui ont accompagné le Prophète (SAW) quand il entra dans la Mecque durant Fathou Makkah qui a été une victoire unique dans l'histoire de l'humanité où il n'y a pas eu de sang versé. Les 10.000 compagnons étaient pieux et compatissant comme des vaches et ils étaient à la fois fort et acharné, et ils sont décrits dans le Saint Coran, dans la sourate Al-Fath : « Muhammad est le Messager d'Allah. Et ceux qui sont avec lui sont durs envers les mécréants, miséricordieux entre eux.» [Le Coran, sourate Al-Fath 48:29] 

Ce Mantra appelle le Prophète comme Rebh qui signifie « celui qui louange », qui lorsqu'il est traduit en arabe donne Ahmed, qui est un autre nom pour le Saint Prophète (PSL).

Bataille des Alliés décrits dans les Védas.

Il est mentionné dans Atharvaveda Livre 20 Cantique 21 verset 6,

« Seigneur de vérité! Ces libérateurs boivent ces exploits de bravoure et les chants inspirants les réjoui dans le champ de bataille. Quand tu rends vaincu sans combattre les dix mille opposants en priant Un, et adorant Un. »

Cette prophétie du Veda décrit la bataille bien connu de Al-Ahzab ou la bataille des Alliés à l'époque du Prophète Muhammad. Le Prophète était victorieux, sans conflit réel ce qui est mentionné dans le Coran à la sourate Al-Ahzab :

« Et quand les croyants virent les coalisés, ils dirent : “Voilà ce qu'Allah et Son messager nous avaient promis ; et Allah et Son messager disaient la vérité”. Et cela ne fit que croître leur foi et leur soumission.» [Al-Qur'an 33:22][Le Coran, sourate Al-Ahzab 33:22]  

Le mot Sanskrit karo dans le Mantra : « Le Loué » , lorsqu'il est traduit en arabe signifie «Ahmed», le second nom du Prophète Mohammed (PSL).

Les 10.000 opposants mentionnés dans le Mantra étaient les ennemis du Prophète et les musulmans n'étaient que 3000 en nombre. 

Les derniers mots du Mantra «aprati ni bashayah» signifient la défaite a été donnée aux ennemis sans bataille réelle.

La défaite de l'ennemi à la conquête de la Mecque est mentionnée dans Atharvaveda Livre  20 Cantique 21 verset n ° 9 : 

« O Indra, vous avez renversé 20 rois et 60.099 hommes, avec chariot- roue devançant venus combattre le Digne de louange ou l’orphelin de grande renommée (Muhammad). »

La population de La Mecque au moment de l'avènement du Prophète était à peu près de 60.000.

Il y avait plusieurs clans de La Mecque ayant chacun son propre chef. Au total il y avait environ 20 chefs pour gouverner la population de La Mecque. 

Une Abandhu signifie un homme sans défense qui était « le bien famé » et «le Digne de louange». Muhammad (SAW) a surmonté ses ennemis avec l'aide de Dieu.

III. Muhammad (SAW) prophétisé dans le Rig Veda

Une prophétie similaire se trouve également dans Rig veda Livre I, Cantique 53 verset 9 :
Le mot Sanscrit utilisé est Sushrama, ce qui signifie « le digne d’éloge » ou « le bien loué » qui signifie en arabe Muhammad (PSL).

Muhummad (PSL) est aussi prophétisé dans la Samveda

Le Prophète Muhammad (paix soit sur lui) est aussi prophétisé dans le Samveda, Livre II, Cantique 6 verset 8 : « Ahmed a acquis auprès de son Seigneur, la connaissance de la loi éternelle. J'ai reçu la lumière de lui tout comme le soleil. »  

La prophétie confirme : 

Le nom du Prophète comme Ahmed bien que Ahmed est un nom arabe. Beaucoup de traducteurs l’ont mal interprété comme Ahm au salut et ils ont traduit aussi le mantra en « Moi  seul j’ai acquis la vraie sagesse de mon père. » 
Il  a été donné au Prophète la loi éternelle,

verset 28 : « Et Nous ne t'avons envoyé qu'en tant qu'annonciateur et avertisseur pour toute l'humanité. Mais la plupart des gens ne savent pas.» [Le Coran, sourate Saba 34:28] 



suite du doc ...Alors que Muhammad se préparait, on lui expliqua que ses ennemis étaient les Juifs et que les vrais Chrétiens étaient les Catholiques. Il apprit que les autres qui disaient être des Chrétiens n’étaient que des imposteurs et qu’ils devaient être exterminés. Plusieurs musulmans croient cela.

Muhammad reçut les « révélations divines » et le cousin catholique de sa femme, Waraquah, l’aida à les interpréter. Nous obtînmes le Coran de cette façon. Suivant la cinquième année de la mission divine de Muhammad, ses disciples musulmans furent persécutés car ils refusèrent d’adorer les idoles qui encerclaient la Kaaba.

là c'est du grand delire le coran revelé en 5 ans alors quil fut révélé sur 23 ans mr icke révisé un peu plus vos leçon çà frolle le zero pointé ,vont faire de Waraqa et de Bahira des instruments pour se prouver que Mohamed (saws) était un ancien chrétien converti au satanisme pour ne pas se convertir à l’islam et garder bonne conscience d’aller massacrer des Musulmans au nom de l’amour, de la vérité et de la charité. Si nous revenons au rapport des Juifs et des Chrétiens et leur relation à Mohamed (saws) les Manuscrits découverts en 1947 accréditent la thèse d’Ibn Hicham sur la l’attente de Mohamed (saws) comme étant le Prophète attendu par les Juifs et les Chrétiens au temps du Messie et attendu :

« Seuls les fils d’Aaron décideront des questions de droit et de biens et leurs ordres fixeront le sort qui déterminera les règles des hommes de la communauté. Quant aux biens des hommes saints dont la conduite est parfaite, qu’on ne les mêle point aux biens des hommes de fraude qui n’ont pas purifié leur conduite en se séparant de l’erreur et en agissant sans commettre de faute. Et qu’eux-mêmes ne s’éloignent d’aucun conseil de la loi pour marcher dans l’obstination de leur cœur, mais qu’ils jugent d’après les premiers préceptes par lesquels les hommes de la communauté ont été d’abord disciplinés jusqu’à ce que viennent un prophète et les messies d’Aaron et d’Israël. » (Les Manuscrits de la Mer Morte de Michael Wise, Jr Martin Abegg et Edward Cook, p. 345).

 

Quand je lui eus raconté ce que j’avais vu, elle me dit: « Réjouis-toi, mon cousin, et sois ferme ! Par Celui entre les mains duquel se trouve l’âme de Khadîdja, j’espère que tu deviendras le Prophète de ce peuple ! ». Elle se leva alors, s’habilla et alla chez son cousin Waraqa b. Nawfal b. Asad b. ‘Abd al-’Uzzä b.Qusä, qui s’était converti au christianisme, avait lu l’Ecriture et avait appris maintes choses des Gens de la Tora et de l’Evangile et lui raconta ce que l’Envoyé de Dieu avait vu et entendu. Alors Waraqa s’écria: « Saint! Saint! Par Celui entre les mains duquel se trouve l’âme de Waraqa, si tu me racontes la vérité, Khadîdja, alors le Nâmûs suprême est venu à nous, qui est aussi apparu à Moïse et il est le prophète de cette nation et dis-lui d’être ferme ». Sur ce, Khadîdja retourna chez l’Envoyé de Dieu et l’informa de ce que Waraqa avait dit.

Quand le moment de sa retraite pieuse fut passé, que l’Envoyé de Dieu retourna chez lui et que comme d’habitude il avait tourné autour de la Ka’ba, Waraqa b. Nawfal le rencontra, alors qu’il tournait autour de la Ka’ba, et lui dit: Ô cousin, raconte-moi ce que tu as vu et entendu ! » Quand l’Envoyé de Dieu le lui eut raconté, il s’écria: Par Celui entre les mains duquel se trouve mon âme, tu es le prophète de cette nation et le Nâmûs suprême (l’Archange Gabriel), qui est apparu à Moïse, est venu à toi. On te tiendra pour un menteur, te maltraitera, te bannira et te combattra. Si je devais vivre cette époque, j’aiderais Dieu de telle manière qu’Il m’en tienne compte . Puis il baissa la tête et l’embrassa sur le front, sur quoi l’Envoyé de Dieu rentra chez lui.   

 

Le Qur’àn, le Hadith et l’histoire disent que les Chrétiens et les Juifs avaient de la suffisance et montraient de l’arrogance pour les arabes idolâtres qu’ils n’ont pas convertis ni au christianisme(il etait en effet interdit d'allé vers les paiens la bible linterdisait encore un fait que david icke ne connait pas ) ni au judaïsme pour conserver leur ascendance de lettrés et de Ahl al Kitab sur les Arabes qui n’avaient ni Livre ni savoir religieux.  Il était plus facile et plus simple pour eux de convertir les Arabes fascinés par les juifs et les chrétiens que d’être les instigateurs d’un nouveau Livre qui allaient mettre fin à leur hégémonie religieuse et dévoiler leur falsification. Toute la haine des jesuites contre Mohamed (saws) et contre les musulmans est à la fois dans la dénonciation de leur prétention à être le peuple élu et dans la négation des Grands Prophètes  à être des juifs mais des musulmans. cest a dire soumis aux lois divine et non au pape qui se fait appeller saint pere .Alors que seul eloha a ce titre , nul autre ........

Pour les jesuites c’est la même haine pour les mêmes raisons auxquelles il faut ajouter la dénonciation du dogme de la trinité et de la déification du christ et de son statut de Rédempteur. Sur le plan logique, il est impossible que le moine ou le rabbin fabrique sa propre négation qui met fin à son mensonge et sa fascination sur les autres.

Ce qui est le plus regrettable est notre quête d’arguments contre Mohamed (saws) auprès des détracteurs de l’islam alors que le meilleur argument en faveur de la véracité de Mohamed (saws) est le Qur’àn lui-même. Il faudrait juste faire une lecture comparée, même superficielle, entre les Bibles et le Qur’àn. Il n’y a ressemblance ni dans le style, ni dans la forme ni dans le contenu. Ils sont tellement divergents que penser qu’ils sont indissociables par l’origine d’inspiration ou de transmission relève d’une gageure. Dans le Qur’àn, il y a des vérités qui n’existent pas dans la Bible. Dans le Qur’àn il y a démonstration des mensonges, des fabulations, des falsifications et des contre vérités contenus dans la Bible sur le plan de la foi, des Prophètes, de Dieu et de l’univers.  Maurice Bucaille dans la Bible, le Coran et la Science montre les divergences fondamentales sur le plan scientifique.

C’est la déclaration de Waraqa de soutenir Mohamed (saws) donc de se convertir et de témoigner de la vérité révélée à Mohamed (saws) qui fait mal à la mémoire de la monolâtrie chrétienne . Pour comprendre la méchanceté des chrétiens contre Mohamed (saws) il faut voir Waraqa davantage comme un Chrétien proche de l’esprit des apôtres de Jésus et des chrétiens nazaréens persécutés par les romains et dont le Qur’àn fait l’éloge que des fonctionnaires du Vatican et des clercs des églises jesuite et d'obedience franc maçonne , pensez vous si ils avaient eut des documents sur cette histoire ils ne les auraient pas produits ,mais ils ont rien ,ils ont meme pas reussit a falsifier correctement les bibles ,aujourdhui tres largement reconnu et rejeté leglise catholique romaine joue sa dernière carte ,apres avoir evangelisé la planete par lépée l'amerique du sud l'afrique l'asie ,elle la mere des impudicité ,la grande babylone cherche a salir la croyance des musulmans en inventant de toute pieces cette farce mystico historique qui na ni queue ni tete ,de plus elle nous révélent en fait sa volonté de se suicider , en poignardant sans menagement le christianisme en avouant son crime juste pour destabiliser lislam , je trouve leur comportement indigne d'une eglise de dieu comment peut on  révéler qu' ils ont créent de toute piece le catholicisme c'est bien là la preuve de leur traitrise et de leur volonté de detruire toute religion révélée a part celle de leur maitre ......avion du pape quiu fait la promotion de la religion unique un eclair a frappé le vatican lors de son election serait ce le prophete de l'antichrist désigné ? en tous les cas c'est un jesuite ,qui finra par montrer son obedience....

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lisez comment ils salissent le catholicisme c'est du suicide ...je pensais quils etaient  dépositaire de ce culte quelle honte ,lisez ce quils pensent du christianisme ...

La grande réserve de main-d’œuvre inexploitée qui pouvait accomplir ce travail s’appelait les enfants d’Ismaël. Les pauvres Arabes ont été les victimes de l’un des plans les plus intelligents jamais conçus par des puissances maléfiques. Les premiers chrétiens sont allés dans toutes les directions, Évangiles sous la main, afin de créer des petites églises, mais ils rencontrèrent une forte opposition. Les Juifs et le gouvernement romain persécutaient les fidèles du Christ pour stopper la propagation de leur doctrine. Mais les Juifs se rebellèrent contre Rome, et en 70 après JC, les armées romaines sous les ordres du général Titus détruisirent Jérusalem ainsi que le grand temple juif qui était au cœur de leur culte … Accomplissant ainsi la prophétie du Christ dans Matthieu 24:2.

De nos jours, sur ce lieu sacré où se tenait autrefois le temple, la mosquée du Dôme du Roche se dresse en tant que deuxième lieu le plus saint de l’Islam. Il y avait comme une odeur de changements radicaux dans l’air. La corruption, l’apathie, la gourmandise, la cruauté et la rébellion dévoraient l’Empire Romain, qui était prêt à s’effondrer. La persécution des chrétiens était inutile car ils continuèrent d’adapter leur vie à la doctrine du Christ.

La seule et unique façon dont Satan pouvait empêcher cette poussée était de créer une contrefaçon de la religion « Chrétienne » pour détruire les travaux divins. La solution se trouvait à Rome. Leur religion provenait de l’ancienne Babylone et tout ce dont elle avait besoin était un ravalement de façade. Cela ne s’est pas fait en une seule nuit évidemment, mais ce fût le début des écrits des jeunes pères de l’Église.

C’est par leurs écrits que la nouvelle religion prendrait forme. La statue de Jupiter a Rome a été renommée en Saint Pierre, et la statue de Vénus a été changée en Vierge Marie. Le site qui a été choisi pour héberger ses quartiers généraux se trouvait sur une des sur sept collines appelée ‘Vaticanus’, le lieu du serpent où le temple Satanique de Janus se tint autrefois.

La grande contrefaçon religieuse portait un nom : le Catholicisme Romain, aussi appelé ‘mystère: Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre.’ (Apocalypse 17:5). Elle fût inventée pour pervertir les évangiles, massacrer ceux qui croyaient au Christ, établir des religions, créer des guerres et abreuver toutes les nations du vin de la fureur de son impudicité. alors catholique sortez de cette sectes et revenez vers Dieu Elah Alaha ou alah en arabe Dieu dyeux est le nom de l'antichriste car le seigneur nest pas borgne mais c'est a ce qui sort de leur bouche que lon peut savoir qui a du venin et qui est le serpent de la genese ........ils détruisent le catholicisme ouvertement et vous pensez encore quils sont de votre cotés et quils disent la vérité , ces histoires font plaisrs aux racistes ,qui  ne sont pas des croyants ils se pretendent chretiens luttant contre une guerre de religion mais ce qui les interessent c'est la montée de leur partie le FN la foi et dieu ils sen contrefouttent ne tombez pas dans leur pieges ceux qui divisent et qui sont adversaires sont des diables parmi les humains et leur mensonge sera révélé au grand jour, la vérité reste la vérité meme si elle ne colle pas avec vos idées .Amen amin shalom un seul dieu une seul humanité  et une multitude de menteurs.....

"La lutte engagée entre le Catholicisme et la Franc-Maçonnerie est une lutte à mort sans trève ni merci."
Mémorendum du Suprême Conseil.

 


"Cette... société sans Dieu agit de façon extaordinairement efficace au moins au niveau des directions élevées. Elle se sert de tous les moyens mis à sa disposition, qu'ils soient scientifique, technique, social ou économique. Elle suit une parfaite statégie préparée à l'avance. Elle tient presque la totalité du pouvoir sur les organisations internationales, les circuits de la finance, et le milieu des communications de masse ; presse, cinéma, radio et télévision."
Déclaration du père Andro Arrupe alors à la direction de l'Ordre des Jésuites, à l'United Press International ( U.P.I ) datée du 27 Décembre 1965, citée par Gary Allen dans "None Dare Call it Conspiracy" p. 13-14.

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24 octobre 2014

Croire en Dieu au XXIe siècle - La conviction des scientifiques

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« La probabilité que notre univers soit issu du hasard est comparable à celle d'un archer réussissant à planter sa flèche au milieu d'une cible carrée de 1 cm de côté et située à l'autre bout de l'univers. » Trinh Xuan Thuan (Astrophysicien)

 Le titre assez provocateur est là pour attirer l'attention sur le débat sur l'existence de Dieu dans ce XXIe siècle où la science réalise des prouesses et où l'homme est de plus en plus barbare. « Si Dieu n'existe pas, alors tout est permis. » écrivait Dostoyevski dans les « Frères Karamazov » Pourtant, des scientifiques et non des moindres ne confondant pas leur travail scientifique avec leur conviction personnelle sont dans le doute. Beaucoup d'entre eux ont fait le saut. Ils revendiquent leur croyance en un « principe créateur » qui règle d'une façon parfaite le mouvement de l'Univers.

 Il est vrai que plus on plonge dans l'infiniment petit, plus on trouve que les limites nous échappent, Plus on plonge dans l'infiniment grand, on s'aperçoit que la Terre est une poussière dans le tohu-bohu, une sorte de chaos initial universel que Dieu a mis en ordre. De l'infiniment petit à l'infiniment grand, l'homme se donne un sentiment de puissance bâti sur du vent et chaque événement survenu le remet à sa place. Le mythe de Prométhée a toujours accompagné l'homme ce tard venu dans la création, dans sa folie des grandeurs insultant de ce fait, l'ordre harmonieux du monde qui fait que chaque astre tourne sur une orbite et il suffirait d'une petite erreur dans « les calculs », dans la précision des vingt constantes universelles pour que le système de l'univers tel que nous le voyons n'ai jamais paru. Et pourtant, il est là disent les physiciens, depuis le big bang il y a 15 milliards d'années.



Ce que dit la Physique :

 

On sait justement que le big bang nous a fait découvrir une histoire imprévue et fantastique. Il a eu une naissance, grandiose, il grandit maintenant, et peut-être connaîtra-t-il un jour la vieillesse, et la mort. L'histoire connue commence alors que l'univers avait déjà atteint l'âge de 10-43 secondes. le temps de Planck. Avant, on ne sait rien. Cette période inconnue est d'une brièveté inouïe : A cet « âge » de 10-43 secondes l'Univers était vraiment tout petit : il était alors des millions de milliards de fois plus petit qu'un atome ! Il était chaud, une fièvre gigantesque, cosmique ! Des milliards de milliards de degrés ! Puis, pour une raison inconnue, que les scientifiques ne s'expliquent pas, le vide si vivant s'est mis à enfler. C'est comme si quelqu'un a donné le signal du début. En moins de temps, nous dit Françoise Harrois-Monin, qu'un battement de cil (entre 10-43 et 10-32 seconde), son volume a été multiplié par 1050 ! Et sans que l'on sache pourquoi, sont apparues les premières particules de matière. Après cette barrière fatidique des trois cent mille ans, des nuages de gaz se sont formés. Ils donnèrent naissance aux milliards de galaxies pendant près de 15 milliards d'années. Une minuscule poussière - Notre Terre - en faisait partie. (1)

 Le « visage de Dieu » ? C'est l'expression qu'utilisa l'astrophysicien George Smoot (prix Nobel 2006) lorsque le 23 avril 1992, il réussit, grâce au satellite Cobe, à prendre des photos de la naissance de l'Univers tel qu'il émergeait des ténèbres cosmiques tout juste 380.000 ans après le big bang. Depuis, cette expression a fait le tour du monde. Les frères Bogdanov, auteurs d'un ouvrage : « Le visage de Dieu », résument pour Anne Catherine Renaud leur ouvrage : Oui, Dieu existe. L'image d'un ordre extrêmement précis est associée à la première lumière qui précède le big-bang. Robert W.Wilson tout à fait par hasard, en 1965, a découvert le rayonnement fossile, qui est l'écho de l'immense explosion originelle.(2)

 Cette réflexion élégante du mystère de l'harmonie de l'univers nous est donnée par une série d'entretiens du philosophe Jean Guitton avec les deux astrophysiciens biens connus Igor et Grichka Bogdanov. Ecoutons-les : « Rappelons-nous que la réalité tout entière repose sur un petit nombre de constantes cosmologiques : moins de quinze. Il s'agit de la constante de gravitation, de la vitesse de la lumière, du zéro absolu, de la constante de Planck, etc. Nous connaissons la valeur de chacune de ces constantes avec une remarquable précision. Or, si une seule de ces constantes avait été un tant soit peu modifiée, alors l'univers - du moins tel que nous le connaissons -, n'aurait pas pu apparaître. Un exemple frappant est donné par la densité initiale de l'univers:si cette densité s'était écartée un tant soit peu de la valeur critique qui était la sienne dès 10-35 seconde après le big bang, l'univers n'aurait pas pu se constituer. Aujourd'hui, le rapport entre la densité critique de l'univers et la densité critique originelle est de l'ordre de 0,1 ; or il a été incroyablement près de 1 au départ, jusqu'à laquelle nous remontons. L'écart avec le seuil critique a été extraordinairement faible (de l'ordre de 10-40) un instant après le big bang de sorte que l'univers a donc été « équilibré » juste après sa naissance. Ceci a permis le déclenchement de toutes les phases qui ont suivi. »(3)

 Ceci rejoint la probabilité de l'astrophysicien Trinh Xuan Thuan cité plus haut. De plus, « l'origine de la vie, déclare Francis Crick, prix Nobel de Biologie, paraît actuellement tenir du miracle, tant il y a de conditions à réunir pour la mettre en oeuvre ». Nous sommes donc en présence du mystère de la création de l'Univers, de la vie sous toutes ses formes et de l'avènement de l'homme ce tard venu dans l'échelle du temps. De même, George Ellis, astrophysicien anglais avoue que l'ajustement si précis des lois de l'univers est un miracle : ´´Un ajustement stupéfiant se produit dans les lois de l'univers, rendant la vie possible. En réalisant cela, il est difficile de ne pas utiliser le terme ´´miracle´´ sans prendre position sur le statut ontologique de ce monde´´ (G.Ellis, le principe anthropique) Enfin, Paul Davies, célèbre astrophysicien britannique, s'émerveille lui aussi de l'ajustement de cette horloge : ´´Il y a pour moi des preuves très fortes que quelque chose se passe derrière tout ça...on a l'impression que quelqu'un a ajusté ces nombres des lois de la nature afin de créer l'univers...la sensation d'un dessein intelligent est débordante´´ (P.Davies, l'empreinte cosmique, p.203.)

 

 

Ce que disent les scientifiques de l'existence de Dieu :

 

On dit que beaucoup de scientifiques ont un rapport à Dieu de plus en plus net car basé sur une foi qui n'est pas celle du « charbonnier ». Pour l'écrivain Jim Holt dans son livre ´´La Science a ressuscité Dieu´´, il écrit : « Je me rappelle avoir vu il y a quelques mois un sondage dans le magazine scientifique « Nature » qui indiquait que presque la moitié des physiciens, biologistes et mathématiciens américains croyaient en Dieu, et pas seulement en une abstraction métaphysique mais en une entité qui se soucie des affaires humaines et qui entend nos prières, c'est-à-dire le Dieu d'Abraham, d'Issaac et de Jacob » www.thesigns.fr 25 Août, 2011 (4)

Ainsi, même si « on a longtemps pensé que la science allait chasser la fonction religieuse, c'était une erreur », comme le souligne l'astrophysicien Hubert Reeves. On rapporte l'angoisse d'Einstein qui n'hésitait pas à écrire que « la science s'arrête aux pieds de l'échelle de Jacob ». Si Einstein est respecté et écouté, il n'en est pas moins, à la fin de sa vie en butte aux jeunes physiciens qui proposent une théorie basée sur les incertitudes (Heisenberg, Bohr). Einstein n'adhère pas à cette vision probabiliste de la réalité. Pour lui, Dieu ne joue pas aux dés. Il refuse que le résultat d'une expérience ne puisse être unique et prédit avec certitude.

Dans ce qui suit nous allons rapporter, et sans être exhaustif les réflexions de scientifiques connus. Le savant anglais Sir William Herschel (1738-1822), fondateur de l'astronomie stellaire écrit :»Plus le domaine de la science s'étend, plus nombreux deviennent les arguments puissants et irréfutables prouvant l'existence d'un Créateur éternel à la puissance illimitée et infinie. Les géologues, les mathématiciens, les astronomes et les naturalistes ont tous collaboré à bâtir l'édifice de la science qui est, en vérité, le socle de la Grandeur suprême de Dieu l'unique » (4)

 Le plus grand nom de la bactériologie, Louis Pasteur affirme : « Un peu de science éloigne de Dieu, mais beaucoup y ramène. » William Thomson (1824,1907) fondateur de la thermodynamique, disait : « La science affirme positivement l'existence d'un pouvoir créateur qu'elle nous pousse à accepter comme un article de foi. » il dit aussi : « Ne soyez pas effrayés d'être des penseurs libres. Si vous pensez suffisamment fort, vous serez contraints par la science à croire en Dieu. » Thomas Edison (1847,1931) celui qui inventa l'ampoule electrique affirme : « J'admire tous les ingénieurs, mais surtout le plus grand d'entre eux : Dieu ! ». (4)

Anthony Flew est un des plus grands philosophes athées de ce siècle, il a choisi l'athéisme à l'âge de 15 ans, et après l'avoir défendu pendant plus de 54 ans, à 81 ans il annonce avec regret : « Comme les gens ont été certainement influencés par moi, je veux essayer de corriger les énormes dommages que j'ai dû occasionner. » Il affirme, expliquant les raisons de son retour : « Les recherches des biologistes sur l'ADN ont montré, par la complexité presque inconcevable des arrangements nécessaires pour produire [la vie], qu'une intelligence devait nécessairement être impliquée. » Max Planck, physicien allemand fondateur de la physique quantique moderne disait : « Toute personne s'intéressant sérieusement à la science, quel que soit le domaine, lira les inscriptions suivantes sur la porte du temple de la connaissance : « Crois. » La foi est une caractéristique dont ne peut se passer un scientifique. » (Max Planck, Where Is Science Going ?, Allen & Unwin, 1933, p. 214 (4)

Ancien directeur à la Nasa, l'homme qui a fait alunir Armstrong, Werner Von Braun a déclaré : « On ne peut être confronté à la loi et à l'ordre de l'univers sans conclure qu'il doit exister une conception et un but derrière tout ça... Plus nous comprenons les complexités de l'univers et ses rouages, plus nous avons des raisons de nous étonner de la conception inhérente qui le sous-tend... Etre forcé de ne croire qu'en une seule conclusion - que tout dans l'univers soit apparu par le fait du hasard - violerait l'objectivité de la science elle-même... Quel processus aléatoire pourrait produire le cerveau d'un homme ou le système de l'oeil humain ?... » (Dennis R. Petersen, Unlocking the Mysteries of Creation, Creation) (4)

Dembski, un des savants mathématiciens renommés de notre époque, souligne que la science est une tentative pour comprendre le monde : « Le monde est la création de Dieu, et les savants dans leur compréhension du monde reconstituent simplement les pensées de Dieu. Les savants ne sont pas des créateurs mais des découvreurs... La chose importante concernant l'acte de création est qu'elle révèle le Créateur. L'acte de création porte toujours la signature du Créateur. » (William Dembski, The Act of Creation)

Enfin, le physicien Mehdi Golshani, de l'Université de Technologie Sharif à Téhéran, dans une interview à Newsweek, a souligné sa croyance en Dieu et que la recherche scientifique complète la religion : « Les phénomènes naturels sont les signes de Dieu dans l'univers et les étudier est pratiquement une obligation religieuse. Le Coran demande aux humains de « parcourir la terre, et de voir comment Il a initié la création ». Les recherches sont un acte d'adoration, puisqu'elles révèlent les merveilles de la création de Dieu. « Science finds god news week 20 July 1998 » (4)



Dieu pour les philosophes :

 

Les philosophes sont en première ligne de par leur vocation à s'interroger sur l'existence ou non de Dieu. Peut-on décider qu'un événement est bon ou mal. Si « Mais alors, que deviendra l'homme, sans Dieu et sans immortalité ? Tout est permis, par conséquent, tout est licite ? » Personne n'a rien à nous dire sur notre manière de vivre. En effet, s'il n'y a pas de Dieu, alors il n'y pas de règles objectives qui dictent ce qui est bon ou mauvais. Par conséquent, dans un monde sans Dieu, qui est en droit de dire ce qui est bien ou mal ? Est-ce par exemple par hasard que l'univers s'est formé ?

 Pour le philosophe Jean Guitton : « (...) Ni les galaxies et leurs milliards d'étoiles, ni les planètes et les formes de vie qu'elles contiennent ne sont un accident ou une simple « fluctuation du hasard. » Nous ne sommes pas apparus « comme ça », un beau jour plutôt qu'un autre, parce qu'une paire de dés cosmiques a roulé du bon côté. Pour les frères Bogdanov : les lois de probabilité indiquent que ces ordinateurs devraient calculer pendant des milliards de milliards d'années, c'est-à-dire pendant une durée quasiment infinie, avant qu'une combinaison de nombres comparable à ceux qui ont permis l'éclosion de l'univers et de la vie puisse apparaître. Autrement dit, la probabilité que l'univers ait été engendré par le hasard est pratiquement nulle.(...) » (3)

 Jean-Paul Sartre (1905-1980) est un philosophe et écrivain français qui reçut le prix Nobel de littérature en 1964. Il est considéré comme étant le fondateur de l'existentialisme athée, un courant de pensée et une forme d'athéisme qui aborde et la question de l'existence de l'Homme sans référence à un être divin et qui prétend que Dieu et la nature humaine sont des concepts inéxistants. Vers la fin de sa vie, Jean-Paul Sartre s'est mis à reconnaître l'existence d'un créateur.

 Voici ci-dessous ce que rapporte le magazine américain « National Review » (Examen National) le 11 juin 1982. L'article a été écrit par Thomas Molnar, professeur de littérature française à l'université de Brooklyn : Au printemps1980 un mois avant sa mort, le Nouvel Observateur publie une série d'interviews que Sartre a eues avec l'un de ses amis, Pierre Victor (Benny Levy) « Je ne pense pas être le résultat d'un pur hasard de simple poussière de l'univers mais plutôt quelqu'un qui était attendu, préparé, en bref, un être que seulement un créateur aurait pu créer et cette idée d'une main créatrice se réfère à Dieu. » Après sa mort, sa compagne Simone de Beauvoir publie la « cérémonie des adieux » dans laquelle elle attaque Sartre « Tous mes amis, tous les sartriens me supportent dans ma consternation » (5).

 Enfin, il faut mentionner à en croire les éditeurs du magazine « Wired », qui rapportent en 1996 qu'en réalité, Jean-Paul Sartre se serait converti au judaïsme probablement influencé par son ami et confident Benny Levy, juif orthodoxe (6).

 Il y aurait de fait un consensus des scientifiques sur l'existence d'un horloger transcendant réglant l'univers et de ce fait observant les actes des humains qui ont le vertige de la puissance, eux qui ne sont qu'une poussière dans l'espace et un battement de cils dans le temps de la civilisation humaine dont l'homme est à tort si imbu. Il reste que le Dieu des scientifiques amène à une foi plus forte et plus assumée d’autant qu’elle ne sert pas de faire valoir ni en science encore moins en politique . L’Abbé Lemaitre, l’un des pères du Big bang,  la théorie de l’Expansion de l’Univers, avait l’habitude de dire : « quand je rentre au Laboratoire je laisse ma soutane au vestiaire ». Tout est dit.

 

La science témoigne de Dieu

Les scientifiques confirment les signes de dieu



Comme nous avons pu le constater à travers les article précédent, la science ne fait que confirmer la foi en dieu et défaire les allégations matérialistes. Un autre point marquant cette réalité :le grand nombre de savants qui ont apporté d'importantes contributions à la science et qui avaient une foi enracinée en l'existance du créateur et son unicité .
Dans la suite de cet article vous pourrez nous allons présenter des savants du passé et du présent et présents, qui ont fondé et développé la science moderne, et qui croyaient que l'univers et toutes les formes de la vie étaient créés par Dieu.

Louis Pasteur

Le plus grand nom de la bactériologie , Louis Pasteur affirme : « Un peu de science éloigne de Dieu, mais beaucoup y ramène. »   il affirme aussi , faisant allusion aux athées :  «Tant pis pour ceux dont les idées philosophiques sont gênées par mes études»




 

Einstein


Albert Einstein disait:
« Je n'arrive pas à concevoir un scientifique dépourvu d'une foi profonde. Ceci pourrait être formulé de la façon suivante: il est impossible de croire à une science sans religion. »

Anthony flew


Anthony flew est un des plus grand philosophes athées de ce siècle , il a choisi l'athéisme à l'age de 15 ans , et après l'avoir défendu pendant plus de 54 ans , aujourd'hui à 81 ans il annonce avec regret :
« "Comme les gens ont été certainement influencés par moi, je veux essayer de corriger les énormes dommages que j’ai dû occasionner." »
Il affirme , expliquant les raisons de son retour :
« "Les recherches des biologistes sur l’ADN ont montré, par la complexité presque inconcevable des arrangements nécessaires pour produire [la vie], qu’une intelligence devait nécessairement être impliquée. »

Max Planck


Max Planck, physicien allemand fondateur de la physique moderne disait:
« Toute personne s'intéressant sérieusement à la science, quel que soit le domaine, lira les inscriptions suivantes sur la porte du temple de la connaissance: "Crois." La foi est une caractéristique dont ne peut se passer un scientifique. »Max Planck, Where Is Science Going?, Allen & Unwin, 1933, p. 214

 

1. Chems Eddine Chitour : Science, foi et désenchantement du monde. Réed. OPU 2007

2. Anne-Catherine Renaud : Les frères Bogdanov : « Le visage de Dieu » Le Matin 05.06.2010

3. Jean Guitton, Igor et Grichka Bogdanov. Dieu et la science, Entretiens Ed Grasset 1991.

Source : www.agoravox.fr

20 mars 2014

La cathédrale la plus étrange se trouve à New York

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La cathédrale Saint-Jean le Divin de New York (dont le nom exact est Cathedral Church of Saint John the Divine in the City and Diocese of New York, c’est-à-dire Cathédrale Saint-Jean le Divin dans la ville et le diocèse de New York) est une cathédrale épiscopale du diocèse de New York, où siège son évêque. Elle est située au 1047 Amsterdam Avenue (entre les 110e et 113 e rues) dans le quartier de Morningside Heights, à Manhattan.

La cathédrale, est un site touristique important, et bien qu'elle n'ait pas été achevée, elle constitue la plus grande cathédrale au monde, selon le livre Guinness des records, en sachant que la Basilique Notre-Dame de la Paix de Yamoussoukro et la Basilique Saint-Pierre, églises plus massives que St John ne sont pas des cathédrales. Le terrain vierge de 47,000 m² sur lequel la cathédrale est bâtie (terrain où avait notamment été construit le célèbre orphelinat Leake and Watts Orphan Asylum) a été acheté en 1887, et les plans de l'édifice, réalisés par les architectes George Lewis Heins et John LaFarge d'une cathédrale de style roman et byzantin furent acceptés l'année suivante, au terme d'un concours officiel.La destruction de la ville de New York (y comprit les 2 Tours) sculptée sur la droite du bâtiment… D’étranges symboles occultes sur le sol… Des rituels étranges pratiqués dans le sanctuaire… Maison du Temple de la Compréhension qui a admise chercher à instaurer une nouvelle religion mondiale… Cette cathédrale est définitivement « différente », comme certaines personnes pourraient dire. Mais la « différence » se trouve dans le fait que la cathédrale est en fait un temple à croyances Néo-Païennes-Presque-Sataniques-et-que-l’Environnement-est-plus-important-que-l’homme. Personnellement, je m’en fous des croyances de chaque individu, mais qui d'autre pour tromper les amateurs d’église sans méfiance dans une maison de culte occulte n’est rien d’autre que le Mal.

    « Les intellectuels païens rhabillèrent leurs idées originelles d’un manteau de phraséologie chrétienne mais donnèrent uniquement les clés du symbolisme aux personnes dûment initiées et tenues au secret. »
    - Manly P. Hall, The Secret Teachings of All Ages

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Nous voyons le pont de Brooklyn s’effriter avec les voitures et les autobus entrant dans les eaux agitées. A droite se trouve la statue de la Liberté, qui semble s’enfoncer dans l’eau. Sous cette prophétie horrible est le New York Stock Exchange, avec des gens vendant des biens autour d’elle.New york semble etre la nouvelle babylone.

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294767185_8807e5ee0c_zles 4 cavaliers de l'apocalypse signe de la fin des temps

divine3Naissance de l'antechrist

divine4Pilier symbolisant la mort avec la «roue dans une roue, remplis d'yeux tout autour" de la vision dans le début du livre d'Ezéchiel.

294752529_3c0bebe2a9_z1Pilier de l'Arbre kabbalistique de la Vie. Le Livre de l'Apocalypse est dit encodés avec la numérologie kabbalistique pour  révéler son sens ésotérique

Les occultistes croient que le Livre de l’Apocalypse a été hermétiquement codé pour révéler son véritable sens aux initiés des enseignements ésotériques. Cette scène, gravée à l’entrée ouest de la cathédrale, représente New York comme étant «Babylone la Grande», la ville qui devient complètement détruite par la colère de Dieu. Le Livre de l’Apocalypse mentionne:Procession des Goules
« Le but du Temple est de faciliter la seule religion mondiale, à travers la promotion de l’acceptation et l’étreinte de toutes les religions, les croyances et les rituels. La salle de méditation du Temple de la Compréhension devait être connue en tant que le « Hall de l’Illumination  » où les Illuminati, Maîtres de la Sagesse, les leaders du Temple de la Compréhension formeront le public au nouveau culte humaniste … pour créer un nouveau type de mystique. »
Le Temple a reçu l’accord complet de l’ONU et a été un acteur clé dans le département « spirituel » de l’ONU. Douze personnes inscrites comme conseillers ou directeurs du Temple de la Compréhension sont aussi membres du conseil du Forum Mondial de l’ONU. Ces forums ont reçu de nombreux orateurs qui ont soutenu ouvertement une religion mondiale néo-païenne basée sur le culte de la Terre. James Lovelock, l’un des intervenants a mentionné que «Gaia» (un terme ancien qui décrit la Terre comme une déesse) a été l’auteur de la vie et avait la capacité de se guérir. Il décrit l’homme comme étant un cancer de Gaia, une «maladie trop écrasante pour elle pour se soigner ». En d’autres termes, les humains sont des parasites de la déesse Gaia.

Al Gore a été invité plusieurs fois à la cathédrale de Saint-Jean le Divin, où il a célèbrement dit « Dieu n’est pas séparé de la Terre ». Eh bien, dans le christianisme, le judaïsme et l’islam, Dieu est en fait séparé de la Terre (dans le ciel). Si vous déchiffrer la phrase d’Al Gore:

masonic_world1925Chaque année, pour Halloween, St Jean le Divin est l’hôte d’un évènement étrange appelé « La Grande Procession des Goules ». C’est en fait une parade qui a lieu à l’intérieur du sanctuaire de la Cathédrale où les gens se parent de costumes de démons, goules, monstres et autres choses glaçantes, qui se promènent avec une musique d’orgue macabre. Cette chose ressemble aux rituels étranges tenus à huis clos par des groupes occultes. En dehors du grand nombre de costumes représentant des démons et Satan (déjà extrêmement bizarre pour une cathédrale), certains costumes semblent se moquer du Christianisme.
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Les rituels sataniques ne se moquent-ils pas des rituels Chrétiens en les tordant? C’est autant tordu que ça pourrait l’être. Les Processions sont des rituels Païens comme la « Procession du Prechten » en Allemagne, qui est très similaire à celle de St Jean le Divin de plusieurs manières.St Jean le Divin est le quartier général du Temple de la Compréhension, un effort interreligieux afin d’éloigner les gens des religions traditionnelles vers un type de spiritualité hybride fondée sur des philosophies New Age, le Neo-Paganisme et un mélange de traditions religieuses organisées. Les « amis » qui ont aidé le fondateur Juliet Hollister comprennent John D. Rockefeller II, le XIV Dalaïlama, le pape Jean XXIII, Eleanor Roosevelt, le Secrétaire Général de l’ONU U Thant, l’International Planned Parenthood et le Jewish Theological Seminary. Jean Houston, un gourou Nouvel Âge et supporter du Temple de la Compréhension a écrit dans son livre « Cheval de Troie »:

3 décembre 2013

Les Vitraux Alchimiques de Bourges

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Les vitraux peuvent se prêter à une lecture symbolique ; cela, personne n'en peut douter. Mais peut-on leur trouver, par delà, des correspondances « ésotériques » ? Voici déjà de premiers éléments de réponse :
 

Tous les manuels d'histoire de l'art décrivent les scènes ou les personnages des vitraux, quelques-uns abordent la symbolique. Il existe un enseignement mystique sur la lecture des vitraux, qui est transmis oralement. Quelques éléments généraux seront donc seulement donnés ci-après. Il s'applique essentiellement aux édifices qui possèdent des vitraux dignes d'intérêt, et en particulier des rosaces. Le travail porte sur la couleur et sur le sens de lecture des panneaux des vitraux. Les couleurs utilisées pour les vitraux ne sont mises par hasard ni selon l'imagination de l'artiste. Elles correspondent à une symbolique connue, mais en plus dans le cadre de quatre groupes de nuances appelées:

gamme arc-en-ciel (les 7 couleurs de base),
gamme du Roi,
gamme de la Reine,
gamme mystique.

Les couleurs employées dans un vitrail permettent de savoir de quelle gamme il s'agit, et par suite de quelle manière lire les panneaux de ce vitrail. Cette lecture est indépendante de la scène représentée. Un travail préalable consiste à effectuer la signature du lieu. Ensuite seulement commence la lecture, dans un certain ordre, en se positionnant devant les vitraux du déambulatoire puis les rosaces d'une certaine façon. Avec les préparations esquissées ci-dessus, le travail sur les vitraux en général, et sur les rosaces en particulier, est très puissant, et doit être fait sous la direction d'un moniteur expérimenté. Le temps d'exposition doit être très limité, les risques d'overdose pour prendre un terme familier sont très réels. Des messages, des prises de conscience ne sont pas rares à l'occasion de ce travail. Une analogie en électricité peut être donnée: un "circuit accordé" est inoffensif pour la plupart des fréquences des courants qu'il reçoit, alors qu'il va provoquer une surtension très élevée pour une fréquence particulière. Lorsque l'on peut se mettre en résonance avec un lieu sacré, il dévoile certains de ses secrets. A partir du moment où des vitraux ont été découverts avec une certaine résonance, ils sont regardés à tout jamais d'une autre façon.

site consulté : http://perso.wanadoo.fr/revue.shakti/vitraux3.htm

A Bourges, on retrouve, à des degrés divers, ces quatre groupes. La gamme arc-en-ciel renvoie aux couleurs de l'oeuvre et aux régimes planétaires du Philalèthe. La gamme du roi se rapporte au vieux Mercure et à son fils. Le Mercurius senex de Jung est le premier état du dissolvant des Sages qui, son temps venu, doit laisser place à plus jeune que lui ; les textes alchimiques s'accordent pour supputer que ce vieux roi doit s'effacer par la voie de la sublimation. Son fils est représenté par le double Mercure ou Mercure philosophique ; l'or alchimique y a été « enté », à l'image du grain que l'on met en terre. La gamme de la reine se rapporte aux substances qui permettent au Rebis de croître et de se multiplier ; elle ressortit bien évidemment de la symbolique de la Vierge. Enfin, la gamme mystique permet de comprendre comment agissent les intermédiaires dans le grand oeuvre, c'est-à-dire les émissaires du Ciel qui agissent sur la matière grâve, en un mot les Anges qui dispensent la rosée de mai, que nous avons étudié dans la section des blasons alchimiques. Munis de ses bases, nous pouvons effectuer le tour du déambulatoire de la cathédrale Saint-Etienne. Ses fenêtres larges sont ornées de composition assez complexes aux grands médaillons cernés par les barlotières de plomb. Y sont représentés des thèmes de Rédemption et de Salut : parabole de Lazare et du mauvais riche ; parabole du Bon Samaritain complété par quelques scènes typologiques de la création et la chute d'Adam et Eve, de l'histoire de Moïse qui préfigure le Christ, de la Passion du Christ et du Veau d'Or ; parabole du Fils Prodigue, histoire de la nouvelle Alliance, Histoire de Saint-Jean-le-Baptiste, Passion du Christ et Jugement Dernier, Apocalypse, Apôtre Thomas, Histoire du Patriarche Joseph, Invention des reliques de Saint Etienne. De ces grandes verrières, il a fallu choisir quelles étaient celles qui pouvaient se prêter le mieux à notre thèse. Site consulté :

http://www.diocese-bourges.org/cathedrale/iconographie/vitraux/coeurr/stetienne.htm

1)- l'invention des reliques de saint-Etienne

Donateurs : les fontainiers ou porteurs d'eau.

Le terme « invention » signifie ici redécouverte des reliques. Le vitrail témoigne de l'importance donnée au culte de St Étienne au XIIIe siècle et à la tradition selon laquelle Saint Ursin, l'évangélisateur du Berry, aurait apporté à Bourges les reliques du premier martyr. Trois parties dans ce vitrail (il faut intervertir le ¼ de cercle du bas avec celui du milieu et lire les indications de bas en haut) :

1. a)-  Un prêtre, Lucianus, voit en rêve Gamaliel, le maître de St Paul. b)- le corps de St Étienne abandonné aux bêtes c)- la sépulture du saint d)- Lucianus raconte son rêve à l'évêque de Jérusalem.
2. a)-  « L'invention » proprement dite. (Le médaillon en bas du vitrail doit se placer ici). b)- vénération des reliques c)- Miracles (la pluie ...) d)- Ici commence l'épisode de la translation des reliques : une femme, Juliana, veut emporter dans sa ville natale, Constantinople, les restes de son mari, enterré près d'Étienne. Elle se trompe et désigne les restes d'Étienne.
3. Péripéties diverses sur le chemin de Constantinople, en particulier, partie haute du cercle : les mules refusent d'avancer. On se dirigera donc vers Rome. Le dernier médaillon illustre l'arrivée dans cette ville où se trouvent réunis alors St Étienne (le 1er martyr de Jérusalem) et St Laurent (le 1er martyr de Rome).

De ces Reliques de saint Etienne, nous avons utilisé les n°12, n°17 et n°18. Redisons d'abord que la relecture que nous faisons de ces vitraux n'est évidemment que pure conjecture, cela afin d'épargner au lecteur novice un doute bien légitime qu'il pourrait avoir sur le bon équilibre de notre raison... Les Amoureux de science, en revanche, saisiront rapidement le Sel [Scel] de ces paraboles.

A propos de saint Etienne

[site consulté : http://perso.respublica.fr/monastere-orthodoxe/sts/stsaout/aout02.html]

Après la lapidation de Saint Étienne par les Juifs, Gamaliel, le maître de Saint Paul dans l'étude de la Loi, mais qui, convaincu par les miracles du Seigneur, s'était fait baptiser par les Apôtres, encouragea certains autres Chrétiens à l'accompagner pour s'emparer du corps du Premier-Martyr, qui avait été abandonné sur la voirie, et l'ensevelir à Caphargamala, propriété qui lui appartenait, à quelques vingt milles de la Ville sainte.

Une fois achevé le deuil de quarante jours, Nicodème, le disciple nocturne du Seigneur , qui avait échappé de peu à la persécution déclenchée à Jérusalem, parvint au village de Gamaliel, qui était son oncle, et lui demanda refuge. Il mourut des suites de ses blessures, quelques jours après, et fut enseveli aux côtés de Saint Étienne. Et Gamaliel et son fils de vingt ans, Habib, qui avait été lui aussi baptisé par les Apôtres, ne tardèrent pas à le rejoindre dans la mort.

De longues années plus tard, alors que ces sépultures étaient tombées dans l'oubli, Lucien, un Prêtre pieux et vénérable du village de Caphargamala, vit Saint Étienne lui apparaître à trois reprises. Le Saint était vêtu du sticharion [L'aube que revêtent les Diacres et les Prêtres pour célébrer] de lin des Diacres, sur lequel était brodé son nom en lettres rouges et or. La tête couverte d'une longue chevelure blanche, il était chaussé de sandales d'or et tenait en main un bâton doré, avec lequel il frappa légèrement Lucien, en l'appelant par son nom. Il lui ordonna d'avertir l'Evêque de Jérusalem, Jean, et de procéder à l'invention de ses Reliques, pour que Dieu accomplisse par leur intermédiaire quantité de Miracles. Lucien alla aussitôt avertir l'Evêque Jean, qui lui commanda de creuser à l'endroit indiqué par le Saint, là où se trouvait un amoncellement de pierres. Cette même nuit, Saint Étienne apparut de nouveau à Lucien pour lui révéler que cet amas n'était qu'un mémorial élevé lors de ses funérailles, et qu'il devait chercher sa sépulture un peu plus au nord. Après avoir creusé en grande hâte, on découvrit une plaque de pierre, sur laquelle étaient inscrits en lettres hébraïques les noms d'Étienne, de Nicodème et d'Habib. Aussitôt la terre trembla et un suave parfum se répandit alentour, accomplissant soixante-treize guérisons. Et l'on put entendre des voix angéliques chanter: « Gloire à Dieu au plus haut des cieux et paix sur la terre, aux hommes la bienveillance. » L'Evêque Jean, qui présidait alors un synode à Lydda (Diospolis), se rendit sur les lieux, assisté de deux autres Evêques, pour reconnaître le corps du Premier-Martyr, et il le transféra dans l'église de la Sainte-Sion à Jérusalem, le 26 décembre 4154. Une pluie abondante vint alors mettre fin à la sécheresse qui affligeait depuis longtemps la Palestine.

On raconte que quelque temps après, la veuve du fondateur de l'église dans laquelle avait été déposée la Relique de Saint Étienne voulut transporter à Constantinople la dépouille de son mari. Mais, à cause de la ressemblance des deux sarcophages, ce fut la Relique du Saint qu'elle emporta. Tout le long du chemin les miracles se multiplièrent à son passage; et quand le navire parvint au port de Chalcédoine, les démons qui étaient cachés dans les flots crièrent qu'un feu insupportable les tourmentait. Quand le navire eut abordé, on posa le sarcophage sur un chariot traîné par des mules. Mais les bêtes s'arrêtèrent soudainement en un lieu nommé Constantianes, et l'une d'elles prit même une voix humaine pour déclarer qu'il fallait déposer là le corps du Saint. On eut beau atteler douze autres mules, il fut impossible de déplacer le chariot. On déposa donc les précieux restes, le 2 août, en cet endroit où une église en l'honneur du Saint Premier-Martyr fut ensuite édifiée. [cette légende fait l'objet de l'allégorie décrite et peinte sur le médaillon n° 12. ] Ce récit de l'invention des Reliques attribué au Prêtre Lucien,  a été transmis dans la tradition hagiographique, en ajoutant la narration de leur translation à Constantinople. En fait, comme le rapportent par ailleurs les chronographes byzantins (Théophane le Confesseur), la main droite de St Etienne fut envoyée par l'Archevêque de Jérusalem à Constantinople, en remerciement des dons accordés par l'empereur (429). Quand la Relique, apportée par St Passarion, arriva à Chalcédoine, le Saint apparut à l'impératrice Pulchérie, qui vint avec son frère, l'empereur Théodose le Jeune, accueillir ces précieux trophées, qui furent ensuite déposés au palais, avant d'être transférés dans la première église de la capitale dédiée au Saint. En 439, l'impératrice Eudocie, retirée aux Lieux Saints, envoya de Jérusalem d'autres parties du corps. Et, au VIe siècle, Julia Anicia transféra le reste des Reliques, dont la plus grande partie fut emportée en Occident par les Croisés lors du pillage de Constantinople en 1204.

2)-
 
 
 
 
 
 
 

Cliquez sur chaque vitrail pour voir l'agrandissement correspondant.

De tout temps, les vitraux des cathédrales ont exercé une fascination sur l'esprit, peut-être parce qu'ils servent d'intermédiaire entre le ciel et la terre, par cette médiation du verre teinté dont les rayons ressemblent à ceux d'une pierre précieuse . Ce n'est pas d'autre chose dont discutent les alchimistes lorsqu'ils parlent de leur Mercure et des opérations du Grand Oeuvre. En effet, leur Mercure, qu'ils appellent aussi leur Lion Vert - en somme, leur dissolvant universel - a fort à voir avec l'art du verre et l'art de faire des émaux ou des vitraux. Michel Maier, dans son Atalanta fugiens, consacre l'emblème IX à ce sujet. Ce vitrail : à gauche, le roi muni de son sceptre ; à droite le dauphin qui semble se servir d'un instrument de musique...Le tout entouré de quatre-feuilles blancs sur un fond bleu, signalant deux des couleurs de l'oeuvre ; les personnages sont vêtus de rouge et de vert, c'est-à-dire des couleurs cardinales du dissolvant pris à deux époques différentes. Nous évoquerons enfin la croix, omniprésente, symbole majeur de l'oeuvre, par l'évocation du creuset et du feu des Sages.
Nous voici placés un peu plus avant dans la Grande Coction ; la conjonction radicale ne va pas tarder à survenir ; en effet, la couleur dominante est le bleu ; chaque personnage tient un sceptre au bout duquel on peut voir une feuille de lys ; cf.  là-dessus les Douze Portes [Ripley] et l'Oeuvre Secret d'Hermès [Jean d'Espagnet]. Le Rosaire des Philosophes [anonyme] montre par le menu les détails de cette conjonction ou pas moins de quatre étapes sont distinguées. Par cabale, on pourrait évoquer le le Lilium minéral, Mixte dont la composition est connue
depuis l'abbé Rousseau, Livre de Secrets et Remèdes
éprouvés . Il s'agit d'un sel fait des chaux métalliques
du fer, du cuivre et de l'antimoine, auxquelles on ajoute, par fraction du nitre fixé sur des charbons ardents - c'est-à-dire de l'alkali fixe. Ce Mixte se rapproche beaucoup de la composition que l'on observe sur ce vitrail : voyez donc le fer à l'état de colcothar [rouge], le cuivre bleu dans lequel il faut voir l'aes des Latins, c'est-à-dire le laiton ou Rebis, l'antimoine que l'on devine à la croix dont nous avons parlé supra. Le nitre fixé sur les charbons « fuse » littéralement et explique cette couleur jaunâtre qui touche les pieds du personnage royal de droite.
Voici un moine jouant de l'orgue de Barbarie et sonneur, avec ses marteaux. Le symbolisme est simple à décrypter : par les tuyaux de son orgue, il manifeste la puissance du vent, c'est-à-dire de Zéphyre qui touche d'abord les matières de l'oeuvre : il est humide et froid. C'est Zéphyre que l'on voit souffler sur la montagne de l'Aquilon, représentée sur l'une des peintures du Livre d'Abraham Juif, décrit par Nicolas Flamel. A un autre moment, le musicien - notre Artiste - doit s'appuyer non plus sur un instrument à vent mais sur un instrument à percussion qui résonne : le bourdon. La cloche [kwdwn] désigne l'ouverture de la trompette ou la trompette elle-même : c'est celle qui réveille le dormeur du Mutus Liber, au son de l'airain, signalant l'animation du Mercure. C'est la même allégorie qui est décrite ici. Les couleurs du vitrail sont partagées entre une sorte de glacis bleu où l'on entrevoit une structure cristalline, rappelant que le Mercure n'est, après tout, qu'un Sel qui prend une forme serpentine, ce que montre la frise blanche sur fond rouge qui vient animer l'ensemble en lui faisant prendre comme une « tournure ».
Ici, on se trouve placés à un stade assez tardif de l'oeuvre, comme l'indiquent les multiples couleurs qui évoquent celles de la queue du paon : c'est  fin de la période de dissolution. Le trèfle à trois feuilles évoque notre gueule-de-loup [lupus, c'est-à-dire lepus par cabale] et les trois principes de l'oeuvre, comme le quatre-feuilles précédent nommait les quatre eléments, principes principiés des vieux auteurs. Le médaillon central montre un ange à gauche [la rosée de mai, cf. Gardes du corps] s'adressant à un personnage habillé de vert sombre ; au premier plan, une fleur de lys semble sortir d'un creuset noir. Le lys ou lis se dit en grec krinon qui a aussi le sens de mendiant ou de pauvre ; par ailleurs krinon est en proche assonance phonétique de krinw qui signifie séparer ; on voit ainsi pourquoi les alchimistes disent que la voie sèche a été réservée pour les pauvres et la nécessité de pratiquer une séparation au début du travail, afin d'extraire le Caput du Sel véhiculé par la rosée de mai.
C'est une scène tout à fait différente qui prend place, contrastant nettement avec les trois derniers vitraux où l'aspect dynamique l'emportait nettement. Là, au contraire, c'est la tranquillité qui semble prévaloir. Les personnages habillés de rouge représentent nos deux matières flottant dans l'élément liquide qui est l'eau permanente des Sages. C'est donc à une époque avancée de la Grande coction que nous sommes situés. Observez les reflets verts qui se projettent sur les bras, restes du Lion Vert. Voyez aussi la croix, couleur d'aurore ou plutôt de crépuscule, signe annonciateur d'Hesperus, l'étoile du Berger. la Vénus hermétique [par delà sa forme de Lucifer ou d'Hesperus]
est le Laiton ou Airain, miroir de l'oeuvre captant progressivement, sous les sublimations répétées, la lumière céleste, c'est-à-dire le Soufre vital. 
Ce vitrail nous renvoie aux deux premiers ; c'est un pas de plus franchi dans les opérations du grand oeuvre : la blancheur des personnages atteste que le Laiton a bientôt achevé sa maturation, grâce aux laveures prescrites par Nicolas Flamel. La couleur dominante est le bleu ; on note des éléments trifoliés sur le cercle extérieur qui manifestent la présence des trois principes du magistère. Ainsi qu'on peut l'observer, la couleur rouge a progressivement disparu depuis les deux premiers vitraux et se retrouve en périphérie. La symbolique est nette : la scène du médaillon exprime l'état des matières dans l'athanor et le cerclee xtérieur montre l'opération en cours.
Les matières transformées expriment une élévation spirituelle que l'on retrouve sur le vitrail n°5. Contrairement au vitrail n°6 où l'élan dynamique est manifeste, c'est là encore l'aspect statique qui domine. On se trouve à un stade peut-être antérieur à celui du vitrail n°5 où la rougeur est beaucoup plus accusée. On prendra soin de noter que l'opération en cours porte d'ailleurs sur les quatre Eléments comme en attestent les quatre-feuilles dont la couleur n'est pas uniforme : 4 sont blancs ; les autres sont rouges ou orangés. Enfin, la tunique du personnage de gauche est verte alors que celle du personnage de droite est blanche. En langage hermétique, voilà qui signifie que Latone parvient à Délos ; que Diane apparaît d'abord (droite) et qu'Apollon paraît seulement, après (gauche).
On s'en doute, la réincrudation approche. La fleur à pistil blanc et pétales rouges s'apparente à celle que nous avons examiné, lorsque nous avons visité la tour Rivalland à Fontenay. Voyez l'orgue portatif que nous avons déjà vu au vitrail n°1. Mais dans quel état de corruption apparente sont nos deux matières ! Réduites à l'état de squelette, émaciées, elles portent la trace du métal mort, ouvert : c'est nommer la chaux. Nous sommes ici placés, dans l'ordre des opérations vers le Sagittaire ou le Scorpion. Et cette couleur rouge qui domine l'opération en cours est celle que procure l'allégorie du Massacre des Innocents, chère à Nicolas Flamel. Nous donnons en lien cette allégorie exprimée par l'un des vitraux de Notre-Dame de Paris. Le sens général de ce vitrail est donc que le Rebis se nourrit du sang du Lion vert.
Ici, la blancheur équilibre exactement la rougeur. C'est la croisée des chemins, exprimée par la ou encore par l'Y. La croix [crux, creuset] est manifestée sur chaque vitrail, cf. supra, par l'armature en forme de +. Son symbolisme est exotérique. L'Y en revanche prend un sens ésotérique et recouvre le croisement des deux natures métallique et minérale. L'étudiant ne devra pas oublier que l'on disposait assez souvent, chez les Romains, une statue d'Hécate, déesse qui préside aux carrefours. La roue extérieure montre le mariage canonique des deux couleurs et rappelle étrangement l'une des peintures de l'Alchimie de Flamel, que nous devons à Molinier. On oberve que la Grande Coction  est  au  ¾ parfaite : il ne rseste plus qu'un quart de cercle dominé par la corruption. La couleur dominante des personnages est le rouge ; celui de droite qui porte le sceptre porte une robe verte ; celui de gauche manipule un orgue portatif.
Ce vitrail précède dans l'ordre des opérations le n°8. Ici, bien au contraire, c'est un peu plus du ¼ de la coction qui a seulement été parfaite ; observez que les personnages, au lieu de couronnes, portent des auréoles, signe de leur nature essentiellement spirituelle. Leurs vêtements portent des couleurs délavées qui pourraient être peintes par Le Greco. Les correspondances hermétiques passent ici par les saints Evangélistes. En toute rigueur, l'EAU et l'AIR dominent cette époque de la Coction ; l'EAU, c'est l'Aigle, qui se rattache à saint Jean ; l'AIR, c'est l'ange, c'est-à-dire saint Matthieu. Cf. le tarot alchimique. Nous ajouterons que le cercle extérieur présente des motifs blancs qui ont l'allure de tourbillons ou de virgules ; on doit faire le rapprochement avec le signe du Cancer - a - lorsque la Lune est en son plein, ce qui annonce le 4ème degré de feu dont parle Fulcanelli (1300°C).
Ce vitrail présente l'aspect des matières intermédiaire entre le n°2 et le n°6. La couleur dominante est le bleu, c'est-à-dire la dissolution, opération exprimée par le cercle extérieur, avec ses quatre-feuilles blancs [leur sens est celui-ci : « la putréfaction est la solution de la conjonction. »]. La dissolution semble toutefois assez avancée puisqu'on voit des pommes d'or [les fruits rouges qui sont semés çà et là alentour des personnages] qui fixent progressivement notre Atalante. Mais la corruption des Soufres n'est pas totale, comme au n°6 où le métal apapraît tout à fait ouvert. Ainsi, le n°6 et le n°11 sont-ils comme les deux visages de Janus, l'un où se devinent les traits de la dissolution en cours [la première roue de Fulcanelli ou le passage pour accéder à la chambre centrale du labyrinthe de Salomon] ou la sortie de la dissolution [le moment où les Argonautes franchissent avec succès les roches cyanées ou Symplégades].
Et soudain, l'illumination, l'éclair, le rayon igné solaire. C'est l'époque de la réincrudation des Soufres qui prélude à la coagulation de l'eau mercurielle. C'est celle où l'Artiste doit oeuvrer au feu de roue, assez bien indiquée sur ce vitrail par les chars. Nous trouvons le Mercure en son état animé et il est révélateur que la se soit modifiée en X, signant l'entre-croisement propre - nous dit Fulcanelli - à la matière même du Mercure, en surface, qui le lui a fait comparer à la galette des Rois, façon frangipane. C'est dans ce gâteau des Rois que l'Artiste ira chercher la fève hermétique ou petit baigneur qui, pour l'heure, ne se laisse pas encore deviner dans la masse tinctoriale. Le vitrail narre les avatars de la translation des reliques de saint-Etienne vers Rome, partant de l'Hellepont. Rappelons que Etienne - StejanoV - désigne tout ce qui se rapporte au Mercure [cercle, enceinte, couronne de fleurs]. Etienne est donc le moyen de couronner après avoir encerclé. En somme, la Nature, par le truchement de l'Art, accorde à la matière la 3ème couronne de perfection en même temps qu'elle accorde à l'Artiste la couronne de laurier, celle-là même que l'on peut voir dans notre Tarot alchimique, à la lame XXI. Et ce roi couronné, nous l'apercevons au ¼ droit du vitrail. N'oublions pas que la légende de saint Etienne rapporte que lorsque le navire aborda Chalcédoine [Kalchdonia], les démons sortirent des flots [¼ gauche]. Kalch est le coquillage d'où l'on tire la pourpre : allégorie de la phase finale de la Grande Coction. L'illumination est double : elle traduit d'une part le passage de la noirceur à la blancheur, et d'autre part l'apparition du pourpre qui signale la naissance de la Pierre.
Passé le moment de l'illumination, il est temps pour l'Artiste de reprendre le travail. Après avoir assouvi l'appétit du dragon, en lui ayant donné comme repas les Soufres corrompus, il lui faut à présent les pêcher dans son eau permanente. A cela, plusieurs choses l'aideront : tisser son Mercure, par adaptation, en forme de treillis, de filet cosmique [ce qui est exprimé par l'aspect de l'armature du vitrail] ; coaguler son eau très progressivement : les alchimistes disent ici qu'il faut guérir le roi de son hydropisie. Lambsprinck, dans son De Lapide Philosophorum, Michel Maier dans l'emblème XLVIII de son Atalanta fugiens. C'est cette opération qui est prescrite dans ce vitrail : un évêque - l'intermédiaire - est au chevt d'un roi reposant sur un baldaquin blanc, et couvert d'une hermine rouge. La scène du bas, qui exprime la même opération, mais de façon plus exotérique, montre un « chaperon rouge » flanqué de deux gardes du corps dont l'un a la couleur de l'aurore tandis que l'autre se pare de couleurs vertes qui signalent, au contraire, le début de l'oeuvre. C'est l'époque de la floraison comme en témoignent les nombreuse fleurs [cf. n°8].
Trois têtes sous le même voile. Telle est la réflexion de Fulcanelli sur la TERRE des Sages : il veut entendre par là Cérès, Isis et Déméter. Il veut nommer ainsi la terre qui peut accueillir le Soufre rouge, c'est-à-dire la toyson de l'or ou christophore. Mais d'abord, avant de pouvoir semer l'or alchimique immûr, l'Artiste doit labourer par trois fois sa terre feuillée. C'est le sujet des allégories d'Hercule et d'un épisode de l'odyssée des Argonautes. Voilà comment peut se comprendre cette scène où un Labourant s'apprête à dépurer ses matières. On voit qu'elles sont comme des gîsants ; c'est dire qu'elle sont ouvertes, c'est-à-dire disposées en forme de chaux dans l'eau minérale qui leur sert de véhicule. Leur sort ? On peut l'entrevoir à la partie droite : trois enfants semblent sortir d'un récipient couleur aurore et il se pourrait bien qu'il s'agisse des Caput dépurés. Nous serons néanmoins d'accord avec le lecteur pour affirmer que ce vitrail n'affiche pas d'intention hermétique évidente. Aussi bien est-il inutile de vouloir forcer une porte qui n'a point de serrure.
Le panneau supérieur, par delà le grillage du four, montre les matières, prises entre l'évêque et le bourreau. Examinons d'abord l'évêque et sa crosse. En alchimie, la crosse possède une valeur semblable à la flèche du Sagittaire. C'est donc de la « corporification » des Soufres dont il est question dans ce vitrail. On pourrait évoquer la statue du portail de Notre-Dame où saint Marcel enfonce sa crosse dans la gueule d'un dragon écumant [cf. Cambriel], crosse assimilable d'ailleurs au glaive de feu ou glaive miellé. Tous ces instruments ont à voir avec la symbolique du Soufre sublimé prêt à être réincrudé. Sait-on que dans les temps anciens, la crosse archaïque était en forme de tau [t] ? Cf. recherche sur la signifiance du tau en alchimie. Tout autre est l'image  inférieure du vitrail qui semble être un fragment de la Cène. Chaque apôtre symbolise l'un des signes zodiacaux et la Cène constitue donc comme une sorte de récapitulation de l'oeuvre, le Christ étant pris comme la prima materia qui doit subir l'épreuve du creuset, c'est-à-dire la Passion. Sur la coupe ou Graal, cf. Tarot alchimique.
Image de la Trinité. Nous voyons au centre le Mercure ; de part et d'autre les deux matières de l'oeuvre. Notez la correspondance entre chaque scène du haut et du bas. Au Mercure est liée la Vierge à l'enfant Jésus. C'est le processus de croissance de notre BasileuV [petit roi]. Les deux scènes latérales expliquent l'opération qu'il faut pratiquer sur le Soufre pour le rendre « philosophique », c'est-à-dire pour le faire passer d'un état amorphe à un état cristallin. On pourra suivre ici les conseils de l'auteur de la Nature Dévoilée :  « Lorsque la semence universelle est conjointe à la semence spécifiée, et qu’ainsi elle prend la même spécification, la mère est jointe à l’enfant, et l’enfant tire sa nourriture de la mère, de la substance et du sang de laquelle il a été formé: rien n’est plus conforme à la Nature. » Dit autrement, il faut comprendre que le Mercure animé se féconde lui-même de sa propre matière.
Voici à nouveau l'image de cet entre-croisement en c. C'est la signature du Mercure, canoniquement préparé. Ce vitrail doit être rapproché du n°12 dont il étend, en le complétant, le symbolisme. Rappelons qu'il s'agit des opérations qui ont trait aux Soufres, passée la phase de dissolution. Chaque quadrant de la verrière est une indication sur l'Elément correspondant. L'AIR et l'EAU servent de moyen de transport au Soufre : ils sont désignés par les couleurs bleu et blanc. Rappelons que la physiologie veut que le bleu disperse et que le rouge concentre ; c'est assez dire que le bleu est l'image de la solution et le rouge, celle de la coagulation : Solve et Coagula, rien d'autre n'est exprimé - du moins dans le petit monde de l'alchimiste - par ces deux couleurs. Quant à la TERRE et au FEU, c'est-à-dire le CORPS et l'ÂME de la Pierre, c'est la combinaison des couleurs, selon le degré d'ensoleillement, qui en déterminera et la position et l'intensité. Les alchimistes ont assez dit que leur CORPS était noir et que leur ÂME était violette. C'est dire l'importance, pour notre Artiste, de saisir le moment de la journée où le flux de lumière lui révélera au mieux ces couleurs. Le vitrail montre l'épisode d'un miracle que l'on observe au ¼ droit : la Pluie. Symbole bien connu des alchimistes ; la rosée de mai, les pluies d'or de Rhodes témoignent de l'importance de l'EAU dans le grand oeuvre. Au ¼ gauche, la vénération des reliques, c'est-à-dire la prière devant l'athanor. Par cabale, il s'agit du traitement des cendres - cf. n°18 - qui sont disposées dans l'athanor en vue de la préparation du Rebis, ce qui nous ramène au symbolisme de la croix ou du carrefour Y. Vénérer - sebastoV - se rapproche de SebastiaV, qui signifie auguste ; qualité qui se rapporte à un prêtre chargé du culte des carrefours [qu'on peut lire four carré : athanor, vaisseau des quatre Eléments].
Voici d'abord ce que l'on peut lire d'une chanson intellectuelle que l'on prête à Michel Maier, glorifiant l'image du phénix :

« Tous les êtres ailés forment une assemblée 
D’où l'amour du massacre et la peur sont bannis. 
Entouré de ce chœur d'oiseaux, il prend l'essor, 
Et la foule l'escorte, heureuse et recueillie. 
Mais quand ils ont atteint les plaines éthérées, 
La cohorte revient ; lui, regagne son gîte. 
Ô destin fortuné ! Ô trépas bienheureux 
Que Dieu donne à l'oiseau pour naître de soi-même ! 
Qu'il soit mâle ou femelle ou bien ni l'un ni l'autre, »

Que représente ce vitrail ? Le ¼ inférieur montre un homme soulevant le couvercle d'un tombeau ; nous sommes à Constantinople, c'est-à-dire là où Hellè tombe du Bélier à la toison d'or qui l'emporte avec Phryxos. C'est l'endroit même où les Argonautes durent franchir le passage des roches cyanées ou Symplegades, à l'aide de la colombe d'Aristhée. Autrement dit, c'est la phase finale de la putréfaction. C'est là où l'Artiste doit recueillir les restes - leijana - c'est-à-dire les cendres de ses matières avant de les disposer dans l'athanor. Le ¼ gauche montre un prêtre - Lucianus, de lux, lumière - qui voit saint Etienne dévoré par les loups, en rêve. Michel Maier nous montrera sur l'emblème XXIV de son Atalanta fugiens un sujet semblable.

Parabole sur le Soufre et le moyen, d'abord de le dissoudre, ensuite de le coaguler. L'armature de fer, en forme de croix, nous ramène aux vitraux n°1 à 11. En haut à gauche, deux personnages semblent se battre et évoqent l'un des bas-reliefs de Notre-Dame de Paris, illustrant le thème de la Discorde. Il s'agit donc du combat des deux natures minérale et métallique, lesquelles forment une sorte de cahos [notez néanmoins que l'on peut déjà apercevoir des traits qui distinguent les Soufres ; l'auréole indique qu'ils sont encore sublimés]. Ce combat, qui s'apparente aux soldats surgissant de terre, du champ labouré par Cadmus, où les dents du dragon ont été plantées, conduit, après une phase d'ébullition intense à un état beaucoup plus calme, exprimé par le quadrant droit inférieur : les deux Soufres sont à présent nettement distincts. On voit parfaitement bien le Soufre rouge, à gauchet, et le Soufre blanc, à droite. Le quadrant supérieur, à droite, montre les Gémeaux de l'Oeuvre, Castor et Pollux [cf. Atalanta, XXV]. Le quadrant inférieur, à gauche, permet de dégager l'aspect luciférien des matières. Sur ce point précis, veuillez consulter la section des blasons alchimiques. Songez aussi que Selon Wolfram, le Graal aurait
été apporté par des anges qui avaient refusé de prendre 
parti quand commença la lutte de Lucifer et de la Trinité. Selon la traduction  de Tonnelat: Dieu contraignit ces anges à descendre sur Terre pour garder cette pierre,
qui ne cessa d'être pure, puis en confia la garde à des chevaliers - les fameux Templeisen,- à qui il envoya l'un de ses anges. 
Le n° 19 se trouve heureusement complété par le n°20 qui amplifie la signifiance hermétique appliquée au traitement du Soufre. Car chacun des quartiers de cette roue crucifère exprime sa destinée. Son voyage - véritable chemin de Compostelle - commence au quadrant supérieur droit où l'on aperçoit une forme monstrueuse, d'aspect inquiétant qui tient à la fois du diable et du crabe. C'est la dissolution qui est ainsi dépeinte, dans tous les sens du terme. Au quadrant inférieur gauche, le Soufre rouge vient implorer ses parents, le Mercure et le Soufre blanc. La mythologie vient ici à notre aide, si l'on tient compte que Latone, sous la pression de Typhon, parvient en fin à Délos où elle accouche d'abord de Diane puis d'Apollon. C'est donc à bon droit que l'on observe, au quadrant inférieur droit, les deux natures implorer Dieu et sa miséricorde, de les avoir mené à bon port, de leur avoir montré le chemin de la voie linéaire. Est-ce hasard, il semble qu'au sein du bleu émerge quelque terre. En priant, le personnage de droite [Soufre rouge] semble cramponné à ce rocher. Enfin, la réincrudation est manifestée au quadrant supérieur et gauche où la couleur pourpre apparaît.
Ce vitrail est hors d'oeuvre : on le trouve, non point dans la cathédrale, mais dans l'Eglise Notre-Dame. Il manifeste tous les symboles du grand oeuvre alchimique. Le médaillon figure l'oeuf philosophal ;  les fleurs dont il est couronné le métamorphosent en stibine hermétique. L'intérieur montre la Trinité : le principe de germination, à droite : c'est le vieux Mercure, l'équivalent du dragon couvert d'écailles [on mesure la distance qui sépare l'iconographie christique de celle appliquée à l'Art sacré ; car les Chrétiens voient évidemment Dieu le Père dans cette vision de vieillard]. Au centre, le principe de croissance : la Vierge Marie dont la robe est de couleur aurore. Enfin, à gauche, le Christ qui tient le bourdon de pèlerin. Notez les couleurs : celles du Père [le vert et le rouge, ce que l'hermétiste interprète facilement comme les deux couleurs du Lion] ; celles du Fils [le bleu et le rouge : le Fils subit d'abord la Passion - bleu - avant d'être ressuscité, c'est-à-dire avant d'être réincrudé, soit : avant la renaissance du phénix]. La Vierge est de bleu et d'aurore. Surplombant cette Trinité, un triangle à base inférieure, rehaussé de langues de feu, qui sont d'or. Au centre, un trèfle à trois feuilles, symbole du serpent Ouroboros ; de part et d'autre, deux cercles, qui figurent les matières.
Nous terminons cette série avec la scène de l'Annonciation. Allégorie complexe. Certains y ont vu l'attaque de la prima materia par le premier agent. D'autres, l'annonce de la lumière, c'est-à-dire du Soufre naissant. Or, dans le premier cas, nous sommes au premier oeuvre, alors que dans le second, nous voici déjà très avancés dans la Grande Coction. De ces deux versions, laquelle retenir ? Un élément peut-être pourrait nous faire trancher : cette pierre blanche qu'une main tend à travers la nuée. Et peut-être aussi, les couleurs affichées sur l'Ange : vert et rouge. L'ange Gabriel peut fort bien être l'équivalent de la trompette qui réveille le dormeur du Mutus Liber au son de l'Airain ; dès lors, la scène de l'Annonciation peut être comprise comme l'opération de l'animation du Mercure, c'est-à-dire de la période de gestation qui démarre dans la masse fluide du Compost philosophal. Messager de Dieu, envoyé ou émanation de Zeus, cet Ange symbolise l'élément AIR et une autre main vient apporter une TERRE embrasée, chauffée au blanc. Nous pouvons donc considérer cette scène comme une parabole du Sagittaire tendant sa flèche vers le firmament.
L'image de la Vierge Marie est omniprésente dans les vieux textes alchimiques. L'une des représentations les plus admirables, des plus complètes aussi, au sens de l'hermétisme alchimique, nous est offert par le Livre d'Abraham Juif, dont nous avons discuté dans les derniers emblèmes de l'Atalanta fugiens. On peut en rapprocher la lame du Monde qui clôt la série des XXI arcanes du Tarot [cf. Tarot alchimique]. C'est Basile Valentin qui a signalé, l'un des premiers le sens précis de la Vierge dans le grand oeuvre alchimique :

« L'on habille une fille à marier de beaux et riches vêtements, afin que son époux la trouve belle, et la voyant ainsi parée, en devienne amoureux, mais quand ils doivent coucher ensemble, l'on lui ôte toutes ses sortes d'habits, et ne en laissons pas un que celui qu'elle a apporté de sa naissance et du ventre de sa mère.». [Douze Clefs de Philosophie

Mais ce n'est pas là que l'on trouvera le sens véritable, la portée remarquable que l'alchimiste considère entre la Vierge et l'embryon hermétique. Dans sa Toison d'or, E. Canseliet à écrit : 

« [...] Marthe entra dans le fourré, afronta le monstre (le dragon) et, l'aspergeant d'eau bénite, lui présenta la croix. Le dragon devint alors doux comme un agneau, se laissa attacher, et le peuple vint le tuer à coups de lance. » [Alchimie, p. 225]

Voilà qui nous semble plus près de la vérité. Quant au signe zodiacal de la Vierge, il complète utilement l'enseignement du disciple de Fulcanelli [cf. Atalanta, XLVII ; zodiaque alchimique ; Gobineau]

Le Christ est représenté à l'origine comme un poisson et son nom ICQUS réunit les initiales des principaux matériaux utiles au magistère. I, c'est le Soufre hermétique car, ainsi que l'affirme Fulcanelli lorsqu'il examine la cheminée hermétique du château de Fontenay-Le-Comte, toute barre verticale est un signe du Soufre, mais non point du soufre vulgaire. C est la signature du dissolvant secret qui permet d'ouvrir les serrures métalliques et c'est aussi l'inconnue du problème posé aux impétrants. Seuls les plus rusés sauront parvenir à la chambre centrale du labyrinthe muni de leur fil d'Ariane. Seuls ceux ayant résolu le rébus sauront en sortir [cf. Mercure philosophique].
Nous avons vu, en outre, que ce C était le signe igné qui permettait à l'Artiste de comprendre l'illumination et d'intercepter le rayon igné solaire. Q est la première lettre de Qeion et aussi de QeioV, raison cabalistique pour laquelle tous las alchimistes s'accordent à écrire que la Pierre Philosophale est un Don de Dieu. Georges Aurach y a consacré un traité entier : le Donum Dei. Il faut, bien entendu, comprendre par malice les propos des vieux sages et entendre que la Pierre est un don du Soufre, ce que l'on peut encore entendre comme un don du Diable ou de Lucifer, ce qui, par tout un système d'allégories, permet de comprendre bien des points de symbolisme. U, c'est encore l'un deux croisements que l'étudiant rencontrera sur sa route, avec la . C'est le signe du Rebis, c'est-à-dire des Soufres conjoints, dont l'union est sanctifiée par l'évêque. Enfin, S représente tout bonnement le soufre vulgaire, nécessaire à l'oeuvre sous forme saline : il permet le transport de deux sels indispensables pour la voie sèche, symbolisés par Chrysaor et Pégase [cf. Fontenay].
Quelques mots sur les grandes verrières alchimiques
1. Les principes


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Nous ne pouvions terminer ce voyage fantastique des vitraux de Bourges sans nous pencher sur cette première verrière. Le lecteur va se voir contraint, à nouveau, de faire un effort d'imagination. Ces somptueux vitraux, en effet, n'ont point été conçus dans un but hermétique mais dans un but apologétique, c'est-à-dire dans le souci de préserver le dogme et de susciter l'illumination du fidèle. Mais ce n'est pas là notre souci principal ; il est, plutôt, d'essayer de dégager la vision cachée ou voilée, l'espèce de symphonie spirituelle que ne manque pas d'éveiller en nous une telle harmonie. C'est à des joyaux extraordinaires que nous avons affaire : voici d'abord la verrière de la Vierge avec quatre colonnes de verre se terminant chacune par une gemme de la plus belle eau. Ces quatre athanors sont surmontés d'ensembles irisés, disposés en trèfles à trois-feuilles dans lesquels se ressent une intention symbolique qui ne peut laisser indifférent même l'étudiant peu versé dans l'alchimie. Les deux trèfles situés immédiatement au-dessus des colonnes représentent le double Mercure, reconnaissable à l'entrecroisement du blason qui les centrent. Au-dessus, le Sel et le Soufre : le Sel se reconnaît au croissant qui est la manifestation de Diane aux cornes lunaires et le Soufre, à la couleur rouge qui en forme le fond ; il s'agit donc du Rebis. Le trèfle de gauche dont le centre forme une croix stigmatise le feu secret. L'ensemble des deux trèfles forme le Compost philosophal. En haut, le dernier trèfle avec les deux clefs, représente la Pierre philosophale. De part et d'autre, les vitraux qui donnent l'impression de « fuser » représentent les intermédiaires entre le ciel et la terre : il s'agit d'anges qui distillent la rosée de mai. Les scènes du bas nous montrent l'évolution de la matière ; à gauche, les trois principes de l'oeuvre, puis le Soufre blanc qui se présente comme il se doit, avant le Soufre rouge ; puis le Rebis où l'attitude de la prière et le personnage à l'arrière plan qui pourraît être le Mercurius senex donnent assez à voir l'aspect sublimé de la matière à cette époque de la Grande coction. Enfin, à droite, la présentation du BasileuV, dauphin ou Regulus.

2. la sublimation


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Nous pouvons voir les quatre Evangélistes nichés dans ces quatre colonnes ; il s'agit d'une figuration mystique des quatre Eléments, dont nous avons relevé le cousinage dans la section du Tarot alchimique. Les gemmes ne sont plus portées comme dans l'image précédente mais semblent comme en fusion. Les trèfles ont donné forme à des figures en marisque et à des anges qui entourent les principes de l'oeuvre ; le bleu dont nos matières sont cernées dit assez bien qu'elles sont dans un état de totale sublimation. Fulcanelli - comment ne pas nommer la figure tutélaire en un moment pareil ? - commentait ainsi l'un des caissons de Dampierre-sur Boutonne :
 

. SIC. LVCEAT. LVX. VESTRA.

Que votre lumière brille ainsi. La flamme indique pour nous l'esprit métallique, qui est la plus pure, la plus claire partie du corps, son âme et sa lumière propres, bien que cette partie essentielle soit la moindre, eu égard à la quantité. Nous avons dit souvent que la qualité de l'esprit, étant aérienne et volatile, l'oblige toujours à s'élever, et que sa nature est de briller, dès qu'il se trouve séparé de l'opacité grossière et corporelle qui l'enrobe. Il est écrit qu'on n'allume point une chandelle pour la mettre sous le boisseau, mais bien sur un chandelier, afin qu'elle puisse éclairer tout ce qui l'environne. De même, voyons-nous, dans l'Œuvre, la nécessité de rendre manifeste ce feu interne, cette lumière ou cette âme, invisible sous la dure écorce de la matière grave. L'opération qui servit aux vieux philosophes à réaliser ce dessein, fut nommée par eux sublimation, bien qu'elle n'offre qu'un rapport éloigné avec la sublimation ordinaire des spagyristes. Car l'esprit, prompt à se dégager dès qu'on lui en fournit les moyens, ne peut, toutefois, abandonner complètement le corps ; mais il se fait un vêtement plus proche de sa nature, plus souple à sa volonté, des particules nettes et mondées qu'il peut récolter autour de soi, afin de s'en servir comme véhicule nouveau. Il gagne alors la surface externe de la substance brassée et continue de se mouvoir sur les eaux, ainsi qu'il est dit dans la Genèse (ch. l, 2), jusqu'à ce que la lumière paraisse. C'est alors qu'il prend, en se coagulant, une couleur blanche éclatante, et que sa séparation de la masse en est rendue très facile, puisque la lumières'est, d'elle-même, placée sur le boisseau, laissant à l'artiste le soin de la recueillir.

Demeures Philosophales, II, pp. 68-71
 

Cette âme qu'évoque Fulcanelli, c'est ce Soufre que l'Artiste obtient lors de l'ouverture du métal. Rappelons que cette ouverture nécessite un agent spécial que les alchimistes ont appelé glaive de feu ou glaive miellé. L'opération exacte est d'ailleurs visible sur un autre vitrail de la cathédrale de Bourges. Le hasard a voulu que l'agent soit aussi décrit sur un vitrail parfaitement semblable. Les voici dans leur partie supérieure :
 
 

Le lecteur aura deviné que nous tenons là tout le secret du grand oeuvre. A des siècles de distance, voilà comment ces magnifiques vitraux peuvent encore exprimer des vérités que seule, l'étude des vieux textes alchimiques, peut tenter de ramener en surface en un  travail fait de patience et de persévérance ! L'image de gauche, c'est la stibine hermétique, l'antimoine saturnin d'Artephius, le véritable stibium de Jacques Toll, le platyophtalmon des Egyptiens ; c'est, dans le même temps, une coupe de l'oeuf philosophal. Remarquez comment les Soufres sont symbolisés : deux phylactères serpentiformes, de couleur rouge et verte : ce sont les serpents que Nicolas flamel a vu sur l'une des gravures du Livre d'Abraham Juif ; ils représentent nos Gémeaux célestes, poussés par le feu secret que l'on aperçoit en forme de sphère bleue ; observez que rien n'y manque : la croix patée et le symbole du FEU (D). A droite, l'opération de l'ouverture du métal : le coeur brisé par le glaive de feu laisse sourdre une nuée qui symbolise l'Âme, c'est-à-dire ce précieux Soufre rouge, cette teinture que l'Artiste devra conserver « en sa vitreuse provision » comme l'écrit E. Canseliet dans son Alchimie Expliquée sur ses Textes classiques. Voyez encore comment le globe crucifère, à gauche, a évolué : la croix s'est transformée en épée ; le corps vitré de l'oeil s'est teinté du sang du coeur déchiré [c'est-à-dire que l'or alchimique a été enté dans la terre feuillée après que le dragon écailleux a été écorché par Gabriel].

3. La Jérusalem Céleste


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Les quatre colonnes sont réduites à trois : ce sont les « principes principiés » d'Artephius.

Eh bien ! Nous voyons ces trois Principes dans nos colonnes : le Mercure, à gauche, symbolisé par l'évêque ; le Soufre rouge ou teinture, à droite et le Sel, au centre. Sublimés dans le feu de l'athanor, Sel et Soufre sont destinés à être réincrudés, c'est-à-dire à apparaître sous une forme « plus noble » qu'à l'origine : c'est ce qu'expriment les deux quatre-feuilles. Celui de gauche est le Soufre où la couleur rouge domine. Celui de droite est le Sel, où le bleu domine. Les trois fleurs de lys rappellent le nombre de réitérations qu'il faut effectuer pour obtenir des matières dépurées. Enfin, l'escarboucle des Sages est symbolisée par le troisème quatre-feuilles : l'astérisme qui est figuré dit assez de quelle nature est notre Pierre philosophale.

http://herve.delboy.perso.sfr.fr/vitraux_bourges.html

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