En 1950 les États-Unis ont proclamé qu’afin d’être plus saines les huiles devaient être hydrogénées !
Avant la 2ème guerre mondiale, la noix de coco était employée pour aider en cas de grippes, de maux d’oreille ou de dents, les infections de la peau, pour la malnutrition, la constipation ou encore pour la toux !
Tout a changé après la guerre lorsque les États-Unis ont proclamé qu’afin d’être plus saines les graisses devaient être hydrogénées !
Dans les années 50, la seule chose que les scientifiques savaient mesurer dans le sang était le cholestérol. En effectuant des analyses des vaisseaux sanguins et des mesures du cholestérol chez des personnes décédées d’accidents cardiaques, ces mêmes scientifiques ont établi le lien direct entre les dépôts présents dans les artères et l’excès de cholestérol (présents dans ces plaques). Or les plaques d’athérome sont une réaction (inflammatoire) de réparation tout à fait normale qui est ou non excès de cholestérol.
Mais le lien entre la présence de ces plaques et l’excès de cholestérol et la fréquence des accidents cardiaques n’a jamais été établi.
C’est ainsi que toute la théorie de la nocivité de l’excès du cholestérol repose sur un postulat erroné.
De ce postulat découlent toutes les mauvaises et les fausses mises en garde données au sujet de la consommation de peur, de lait, de viande rouge, d’œuf ou encore d’huile de palme ou de coco.
Tout était faux dans cette théorie, mais cela a permis aux industriels de faire d’énormes profits en procédant au raffinage des huiles végétales.
Dans notre mode de vie occidental, on a oublié les bienfaits des produits naturels et traditionnels. La nourriture industrielle produite à la chaîne regorge de graisses hydrogénées sans que jamais personne ne fasse le lien entre ce type de nourriture et l’énorme développement des pathologies lourdes comme le diabète, le cancer, les atteintes cardiaques ou encore le diabète.
Depuis 50 ans, les industriels et les publicitaires recommandent de consommer des huiles saines afin de conserver la santé. Par cela, ils sous-entendent de la consommation de graisses hydrogénées qui va de pair avec la consommation des produits industriels totalement transformés.
Les produits naturels autrefois mis à table arrivaient directement de la ferme ou des exploitations proches et locales, ce qui n’est plus du tout le cas actuellement plus que la plupart des plats que nous consommons ont subi toute une série de transformations et de dénaturations. Entre le raffinage, l’hydrogénation et l’ajout d’additifs chimiques, il ne reste pas grand-chose de naturel dans nos assiettes.
Aux États-Unis, 4 sources d’acides gras étaient principalement recommandées. Avec le recul, l’on se rend compte que ce sont les 4 sources d’acides gras les plus délétères et qu’il faut absolument éviter.
Il n’existe rien de tellement modifié dans la nature au point que les insectes et les animaux l’évitent d’instinct dans la nature.
Même si les cultures indiennes et asiatiques utilisent traditionnellement l’huile de colza, cela n’a jamais été dans des quantités aussi importantes que celles employées par les Américains.
Cette plante dérivée de la famille des moutardes contient des composants dérivés du cyanure dans une proportion telle que les insectes et les animaux sauvages l’évitent dans la nature.
Le processus de raffinage et de désodorisation expose l’huile extraite des graines de colza à une surchauffe telle que plus aucun oméga-3 ne présente des vertus nutritionnelles.
Sans compter que ces cultures sont actuellement essentiellement constituées de graines OGM dont on sait qu’ils engendrent des désordres musculaires, des problèmes rénaux et cardiaques, en plus des troubles endocriniens liés aux surrénales et à la thyroïde.
Vous avez intérêt à lire les étiquettes des aliments que vous achetez, car il y en a partout !
Des milliers de produits alimentaires issus de la grande industrie en contiennent, des nourritures en boîte de conserve aux produits préparés et préemballés, en passant par les boissons énergisantes ou destinées aux sportifs.
Pourtant au départ, le coton n’est pas un produit destiné à être comestible. De ce fait, les cultures cotonnières sont abondamment pulvérisées avec des poisons dangereux tels que le triéthylène, du cyanure, du dicofol ou autres produits destinés à tuer les insectes et la vermine.
On sait très bien que ces produits pénètrent au cœur même des plantes en y laissant des traces extrêmement toxiques.
Si le coton peut être utilisé pour fabriquer pantalons et chemises, il est vivement déconseillé de consommer son huile, car comme le colza, la plupart de ces cultures sont génétiquement modifiées, ce qui altère profondément les qualités nutritionnelles de la plante pour autant qu’elle en possède au départ. Ce qui n’est pas le cas…
Cette huile est d’autant nous plus nocive qu’elle contient énormément d’acides gras de type oméga-6 de structures semblables à ceux des arachides. Ces cacahouètes sont bien reconnues comme étant extrêmement allergisantes.
Les réactions allergiques provoquées peuvent être mortelles, ce qui ne semble pas inquiéter la FDA qui n’exige aucune allégation de mise en garde.
Il semble que ce ne soit pas uniquement le fait qu’une huile soit saturée ou pas qui provoque des excès de cholestérol. Si c’était le cas, alors l’huile de carthame serait parfaite.
Ce que l’on sait actuellement, c’est que c’est surtout le rapport entre la quantité d’oméga-6 et d’oméga-3 qui importe dans ce type de problèmes.
Les chercheurs ont maintenant l’épreuve qu’un taux élevé d’oméga-6 est excessivement toxique. Et comme par hasard, ce sont précisément ces acides gras qui abondent dans la nourriture des Américains moyens.
Dans des groupes de populations étudiées, les personnes qui ont remplacé les graisses animales saturées par de l’huile végétale de carthame excessivement riche en oméga-6, leurs taux de cholestérol ont nettement diminué, mais la mortalité par accident cardio-vasculaire et par problèmes coronaires a véritablement augmenté.
Ces résultats ont incité les chercheurs à revoir leur théorie qui reliait risques élevés de maladies cardiaques et taux de cholestérol bas.
Il n’est pas si loin le temps où même les professionnels de santé recommandaient l’absorption de soja sous prétexte que les populations asiatiques qui en consommaient régulièrement échappaient au cancer et aux maladies de civilisation.
Voilà un autre mythe de la nutrition qu’il faut absolument abandonner. Car s’il est vrai que les Asiatiques en consomment, comme le colza c’est dans des quantités moindres et sous des formes principalement fermentées.
93 % du soja américain est issu de cultures transgéniques et consommer autrement que fermenté.
On sait que le soja contient des phyto-œstrogènes qui sont actuellement reconnus comme de véritable perturbateur endocrinien. Les perturbations endocrines sont renforcées par les énormes quantités de pesticides que véhiculent les graines de soja, pesticides qui sont eux aussi reconnus comme perturbateurs endocriniens.
L’huile de soja qui finit en bouteille dans les rayonnages des grandes surfaces est fortement traitée et hydrogénée. Même l’huile de soja dite « biologique » ou « organique » ne présente aucune garantie d’être totalement dépourvue d’OGM. C’est pour cette raison qu’il vaut mieux l’éviter totalement.
Ces quelques révélations vous renforceront certainement dans l’idée que l’on vous a menti et qu’actuellement nous sommes tous manipulés et désinformés par les publicitaires et par le lobby de l’agroalimentaire qui influence les médias de masse.
Il est grand temps de retrouver une autonomie d’information, de pensée et d’alimentation.
Sources de cet article :
http://www.thealternativedaily.com/alerts/coconutoilsecret/clickspecial.php
http://www.santenutrition.net/petite-histoire-des-huiles-hydrogenees/