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rusty james news

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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
3 avril 2014

Qui étaient les Publicains au service de RE

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Qui étaient les Publicains? Pourquoi sont-ils considérés comme des pécheurs et pourquoi sent-on du mépris à leur égard quand on lit les évangiles? (J. Richard)

Le devoir des citoyens de payer des impôts remonte au monde antique. À cette époque, une pratique courante consistait à vendre aux enchères les postes de collecteurs d'impôts. Ce procédé comporte un double avantage pour la personne qui gouverne. D'une part, une entrée de revenus demeure garantie sur une base régulière. D'autre part, l'empereur n'a pas a se soucier des modalités de la perception, ni de la formation des percepteurs. Cependant les simples gens demeurent les plus pénalisés: leurs contributions doivent être assez élevées pour payer à la fois l'empereur et les différents intermédiaires.

     Au temps de Jésus, en Palestine, les dirigeants romains vendent à gros prix les postes de collecteurs d'impôts a certains juifs qui possèdent de grandes sommes d'argent. Ces intermédiaires entre l'empereur et le peuple juif ne font pas directement affaire avec les gens. Au contraire, ils engagent à leur tour des subalternes pour faire le travail à leur place. Ces derniers se trouvent en relation avec le public (d'où leur nom de publicains). Dans le Nouveau Testament, le Publicain est donc le plus petit subalterne juif qui veille à collecter les impôts directement des mains des citoyens. Il est l'agent de la perception des impôts.

     Le peuple juif méprise profondément ces collecteurs d'impôts. Cette haine des gens à leur égard repose sur le fait qu'ils imposent souvent des montants excessifs. Les Publicains apparaissent alors comme des fraudeurs qui s'enrichissent aux dépens des contribuables.(rien n'a changé) De plus, leur collaboration avec l'occupant romain n'aide pas à leur attirer la sympathie de la population. Pour ces raisons, les Publicains se voient fréquemment assimilés aux pécheurs publics.

Rien n'a changé ces publicains ce  sont transformés en RE publicain serviteur de la divinité du soleil a qui nous devons la pyramide et l'oeil et les loges maçonnique gnostique

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2 avril 2014

Etat policier : Un sans-abri américain froidement abattu par la police

 

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Grosse bavure au Nouveau-Mexique.Il s'appelait James Boyd, il était un sans-abri de 38 ans et campait illégalement dans les collines de la ville d'Albuquerque. Le 16 Mars, il a été interpellé par les forces de l'ordre qui lui ont intimé l'ordre de partir. Il finit par leur répondre "Ne changez rien à ce qu'on a dit. Je vais essayer de marcher avec vous". 
Et alors qu'il prend son sac à dos et se prépare à suivre les agents, l'incroyable se produit ! 

L'un des policiers lui décoche un tir de flahsball tandis que 2 autres se ruent sur lui et lui ordonnent de se coucher. Alors qu'il se penche vers le sol, un autre policier lui décoche une rafale de fusil-mitrailleur, James Boyd s'écroule face contre terre. Il gît blessé dans une mare de sang mais cela n'empêche pas les agents de lui demander de mettre les mains derrière le dos, il leur crie qu'il ne peut pas bouger. Pour s'assurer qu'il ne représente aucune menace un autre agent lui tire alors 3 balles de fusil. 

Constatant que les balles ne lui font aucun effet, ils finissent par envoyer le chien histoire d'être sûrs et certains que tout danger est écarté. 
James Boyd agonise criblé de balles, il avait pourtant accepté de faire tout ce qu'on lui disait mais ce jour là, il eut le malheur de croiser une équipe de décérébrés armés jusqu'aux dents. 

Pour leur défense, les policiers arguèrent que Boyd gardait un couteau dans sa poche. Selon le shérif , il représentait une «menace directe» pour les trois agents qui ne firent que se défendre. 

Boyd n'est que l'un des 36 hommes qui ont étés abattus la police d'Albuquerque depuis 2010, des centaines de citoyens de la ville ont organisé une manifestation pour dénoncer la brutalité policière.

Source : Rorschach

1 avril 2014

Un avocat de l'Etat Major de la JP Morgan a été renversé par une camionnette qui a pris la fuite.

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Un avocat de l'Etat Major de la JP Morgan a été renversé par une camionnette qui a pris la fuite. Elle roulait si vite que Joseph Giampapa a été projeté dans les airs et projeté comme une fusée. 
Cela fait 5 morts rien que pour la banque de Blythe Masters, et 0 pour Goldman Sachs. Mieux: si vous prenez les 200 noms de banques installées à Wall Strett et que vous mettez cela dans un calcul statistique, eh bien le résultat de mortalité que vous aurez sera purement effrayant
Maintenant, beaucoup de gens au sein de la banque doivent se poser des questions et prendre des assurances-vies. 
  • Le Bilan de la JP Morgan, 4 suicides, 1 accident rien qu'en 90 jours sur 2014:
  • - Joseph Giampapa, directeur juridique
    - Gabriel Magee, vice-président du département investissement high-tech Europe.
    - Ryan Henry Crane, cadre supérieur trading.
    - Li Junjie, trader Forex.
    - Jason Alan Salais, informaticien avec plusieurs niveaux d'accreditation.

    Journaliste:

    David Bird, spécialiste des matières premières au Wall Street Journal n'a pas été retrouvé.

    Comme il y a beaucoup de morts en ce moment, j'en ai parlé à la radio mercredi, la banque pourrait même parier sur son propre personnel, elle gagnerait de l'argent, ha ha ha, lire ici Wall Street on Parade, merci à Andrew. "Ton employeur qui parie sur ta mort précoce ! Une assurance vie dont la banque est le bénéficiaire "And yet, somehow, banks are allowed to collect death benefits on terminated workers right under the nose of State insurance regulators. The explanation is likely the secrecy which surrounds these policies, limiting knowledge of death payments to just the bank and the insurance company." meme payé par les bailout et les compensations sont exempt d'impots"...

    Autres banques, sur les premiers 90 jours de 2014:

    - William Broeksmit, 58 ans, ex ponte de la Deutsche Bank, spécialiste du risque et des CDS
    - Mike Dueker, 50 ans, ex analyste Forex St Louis Fed, chef prévisionniste de Russell Investments
    - Tim Dickenson, directeur de communications Swiss Re UK, mort suspecte.
    - Richard Talley, American Title, avait une enquête de la SEC des assureurs sur le dos, mort suspecte.
    - James Stuart, Wells Fargo, Citi.
    - Adnan Sakli, banquier américain sulfureux

Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.jovanovic.com 2008-2014

Source : .jovanovic.com
1 avril 2014

La construction à Marcoule (vallée du Rhône-Gard) du réacteur Astrid C’est très grave, il ne faut pas laisser faire.

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ASTRID l’année 2014 est décisive, ne laissons pas faire ça !

 

 

 

plutonium_pellet.jpgLa construction à Marcoule (vallée du Rhône-Gard) du réacteur Astrid se prépare discrètement, et c’est cette année que l’État doit donner pour cela le feu vert. Or il s’agit d’un réacteur destiné à relancer la filière plutonium, de la taille de près d’un demi Superphénix.

C’est très grave, il ne faut pas laisser faire.

 

Six semaines après son élection, le président François Hollande aurait signé l’autorisation de poursuivre l’étude préliminaire à la construction du réacteur ASTRID, décision passée pratiquement inaperçue, mais d’importance considérable.

 

Quel est l’enjeu? Il s’agit de la relance de la filière plutonium-sodium suite à Phénix et Superphénix, par la construction d’un réacteur dit de IV° génération ou surgénérateur, ou encore réacteur à neutrons rapides (RNR), avec comme combustible du plutonium associé à l’uranium “appauvri”, et comme fluide caloporteur le sodium liquide qui explose au contact de l’eau et s’enflamme à l’air.

 

Cf http://apag2.wordpress.com/2013/10/16/astrid/comment-page-1/ ,

 

Ce réacteur d’une puissance de 600MW, soit quasiment un demi Superphénix, représenterait l’aboutissement de l’acharnement du CEA (Commissariat à l’Énergie Atomique) à développer une filière “française”, relativement autonome vis à vis des ressources en uranium, s’appuyant sur les stocks disponibles en plutonium et uranium, et la possibilité de régénérer du plutonium.

 

Il faut bloquer ce projet mais la bataille sera dure. Et c’est cette année que cela se joue, le planning prévoyant que l’État doive donner son accord en 2014. L’enjeu pour le CEA est considérable, il ne reculera devant rien pour défendre “sa” filière qui implique la poursuite à la Hague du “retraitement” des combustibles usés pour en extraire le plutonium, et la construction de réacteurs utilisant ce combustible de la plus haute dangerosité.

 

Le CEA avait perdu la bataille contre EDF avec l’abandon de la filière graphite gaz au profit de la filière Westinghouse à eau pressurisée (réacteurs PWR de la 2ème génération, et EPR de la 3ème tournant au fiasco). Cela s’était joué en 1969 et cela avait donné lieu à des grèves de protestation dans les centres et même à une grève de la faim.

 

Depuis, le CEA a obtenu (arbitrage Rocard) d’imposer le combustible au plutonium (MOX) dans une partie des réacteurs (les 900MW), mais surtout son influence reste suffisamment puissante pour imposer à l’État des investissements considérables pour le développement de la 4ème génération (Iter à Cadarache pour la fusion nucléaire, et Astrid).

 

La stratégie du CEA. Après les difficultés de fonctionnement et les nombreuses pannes de Phénix à Marcoule, et le fiasco de Superphénix à Malville, il n’était plus possible de présenter officiellement cette filière comme celle qui assurerait l’avenir du nucléaire français. Les nucléocrates s’entêtant, ils s’appuient sur la Loi de programme n° 2006-739 du 28 juin 2006 relative à la gestion durable des matières et déchets radioactifs. Ils prétendent développer le 3ème volet de la loi “Bataille”, c’est à dire celui de la “transmutation” des déchets radioactifs les plus encombrants à gérer. Ils obtiennent ainsi de l’État 650 millions d’€ dans le cadre de l’Emprunt National de 2010 (Sarkosy-Rocard), pour l’étude d’un avant projet de construction à Marcoule du réacteur Astrid.

 

En effet, officiellement, Astrid est destiné à montrer la capacité à “incinérer” le plutonium et les voisins qui l’accompagnent, les actinides dits mineurs, atomes d’extrême radiotoxicité et de très longue vie (millénaires). On voit là la subtilité rassurante du langage, car on n’incinère pas des atomes comme des ordures, ils ne brûlent pas. Par contre on peut les briser sous bombardement neutronique, c’est la “transmutation”, générant de ce fait de nouveaux éléments radioactifs de durée de vie moins longue (siècles), avec inévitablement de nouvelles nuisances.

 

Où en est le projet? Tout laisse penser qu’un accord tacite existe pour progresser subrepticement. Le calendrier prévoyait avant fin 2012 un avant-projet phase 1, permettant à l’État de décider de la poursuite du projet, ce qui semble bien avoir été fait discrètement: Des terrains sont retenus jouxtant Marcoule (sur la commune de Chusclan); un Institut de Chimie Séparative est créé pour trier les fameux atomes actinides à briser, et annonçant œuvrer à la préparation d’un “nucléaire durable”; dès maintenant Bouygues s’est mis sur les rangs pour la construction !

 

Le planning prévoit que fin 2014 l’avant projet soit finalisé et que l’État donne son accord : 2017 début de construction, pour mise en service au début de la décennie 2020.

 

Des équipes bénéficiant d’un large financement travaillent donc à Saclay, Lyon, Cadarache et bien sûr Marcoule. Elles nous préparent cet avenir ir radieux dont on ne veut pas, avec ses dangers décuplés par rapport aux centrales actuelles. D’autant que Marcoule repose sur une zone de risque sismique encadrée de deux failles actives supportant la poussée de la plaque Afrique, celle de Nîmes et d’Alès-Cévennes.

 

L’ « arnaque » : Mais un rapport scientifique du Sénat avait déjà exprimé en 1999 que cette voie n’était pas crédible. La multiplicité des isotopes créés par les réactions nucléaires, et leurs difficultés à capter des neutrons pour être brisés, rendent très aléatoire cette technique (tout physicien sait que la section efficace de capture d'un neutron par un noyau instable de produit de fission est dérisoire).

 

La transmutation est, certes, une réalité physique, mais son utilisation à échelle industrielle se heurte à un obstacle économique rédhibitoire. Seule une partie des déchets serait ainsi transmutée à un coût exorbitant, et impliquerait d’accompagner les réacteurs à eau de la construction en France de 7 ou 8 RNR pour briser une toute petite partie des déchets...

 

Cette arnaque destinée aux politiques permet de justifier le projet et un financement public. En effet au delà du prétexte officiel, le but inavoué est de relancer cette filière à laquelle travaille le CEA depuis plus de 50 ans, avant que tous ses acteurs ne partent à la retraite, et ainsi de la sauver. Il s’agit bien d’une duperie, duperie lourde de conséquences.

Mais l’ « arnaque » est dénoncée par l’ASN (Autorité de Sûreté Nucléaire).
Avis n° 2013-AV-0187 de l’Autorité de sûreté nucléaire du 4 juillet 2013 sur la transmutation des éléments radioactifs à vie longue, nous en extrayons le texte ci-dessous :
Ainsi, l’ASN considère que les gains espérés de la transmutation des actinides mineurs en termes de sûreté, de radioprotection et de gestion des déchets n’apparaissent pas déterminants au vu notamment des contraintes induites sur les installations du cycle du combustible, les réacteurs et les transports, qui devraient mettre en œuvre des matières fortement radioactives à toutes les étapes. Ceci serait tout particulièrement le cas en ce qui concerne la transmutation du curium2.”
(...)
“En conséquence, l’ASN considère que les possibilités de séparation et de transmutation des éléments radioactifs à vie longue ne devraient pas constituer un critère déterminant pour le choix des technologies examinées dans le cadre de la quatrième génération.”


Les doutes exprimés au Sénat et la réfutation par l’ASN de justifier la construction du réacteur de 4ème génération par la transmutation des déchets les plus difficiles à gérer, enlèvent donc au projet Astrid toute légitimité !
Et que dire de cet immense gâchis financier, Superphénix c’est 10milliards d’€ de construction, et peut-être autant pour son démantèlement. Les énormes crédits consacrés au nucléaire par l’État pourraient être mieux utilisés dans l’économie et la maîtrise de l’énergie, le développement des renouvelables, et ainsi à la création de nombreux emplois.

Pierre Péguin mars 2014.

1 avril 2014

Théorie du genre : l’hystérie queer en images…à sciences po

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A SciencesPo, la «Queer week», c’est la diffusion de films pornographiques «queer», des ateliers de travestissement dans les salles de classes, des photos de partouzes dans les halls d’entrée, de nombreuses conférences de militants LGBTIQ extrémistes.

Béatrice Bourges, porte-parole du Printemps français, a été invitée au colloque «Alliances émancipatrices : au-delà du Queer» le 28 mars, par un groupe d’étudiants de SciencesPo choqués par les dérives des gender studies dans le milieu universitaire. En effet, selon les mots de l’équipe organisatrice, «tout le monde est invité à participer, tous les événements sont gratuits et ouverts à tous». En pratique, Béatrice Bourges, bien que simple spectatrice de la conférence, a été très violemment rejetée. Une partie de l’audience et un(e) des intervenants du colloque se sont précipités sur la porte-parole du Printemps français et l’ont bousculé violemment au point de la faire tomber au sol. Vous croyez encore que la théorie du Genre n’est qu’une rumeur ?

 

Source(s) : printempsfrancais / YouTube / JRE Le Libre Penseur

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31 mars 2014

La disparition du boeing 777 une sombre histoire de brevet

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Il y avait donc vingt employés du groupe Freescale à bord du Boeing 777 de la Malaysia Airlines. Ils étaient en route pour une réunion d’affaire à Pékin. C’est le PDG du groupe, Greg Loewe, qui l’a annoncé dans un communiqué précisant que douze d’entre eux étaient  de nationalité malaisienne, huit de nationalité chinoise

Freescale Semiconductor est  une firme basée à Austin.  Elle dispose d'une équipe de spécialistes dédiée à l'appui aux forces de défense
Les produits commerciaux de Freescale couvrent divers secteurs :
    -Les Communications sur le champ de bataille
    -L'avionique

    -Les bandes radar HF par L et  S
    -Le guidage des missiles
    -La guerre électronique
    -L'identification, ami ou ennemi (IFF )

OK…

Personne n’en parle dans les media mainstream. Est-on là au cœur  des raisons de cette disparition ? il paraît évident que ce ne sont pas des laveurs de vitres  qui faisaient  ce voyage mais des ingénieurs de haut niveau.

Alors ?

Les chroniques de Rorschach approfondissent ainsi le sujet :

« Concernant le mystère du vol MH370, deux informations importantes n’ont pas été diffusées.

1)- A l’aide de l’armement électronique d’aujourd’hui, un avion peut sembler disparaître.

2) Les vingt passagers de Freesacle sont liés à des contractants US de la Défense dans le domaine de l’armement électronique hugh tech.

Les capacités de la guerre électronique comprennent des armes qui permettent de cacher des avions. Cet armement électronique est non seulement disponible, il est d’ores et déjà en cours de déploiement. A-t-il été utilisé pour masquer ou camoufler l’avion disparu ? »

Mais voyons ce que sont ces nouvelles techniques : « De nouvelles armes électroniques permettent le brouillage , l'aveuglement , l'assourdissement et plus encore, de sorte qu'un avion pourrait disparaître des radars de détection tandis que les systèmes de sécurité ne seraient pas activés . Au niveau du radar les stratégies de contre-mesures électroniques basiques utilisées dans la guerre électronique sont :
1 ) les interférences radar
2 ) la modification des cibles
3 ) la modification des propriétés électriques de l'air .

Par exemple, un rapport d'évaluation du renseignement américain a conclu qu'une attaque israélienne contre l'Iran irait bien au-delà des frappes aériennes avec des avions de combat et verrait probablement le déploiement d'armes électroniques contre le réseau électrique, l'Internet, les réseaux de téléphonie mobile ainsi que les fréquences d'urgence utilisées par les premiers secours en Iran.

Autre exemple, Israël a développé une arme capable d'imiter un signal de maintenance qui commande au réseau des portables de " se mettre en veille " stoppant ainsi efficacement les transmissions. 
En 2007, l'armée syrienne a obtenu un avant-goût de cette guerre quand  les radars de défense aérienne du pays ont étés leurrés par les forces Israéliennes. Dans un premier temps, elles ont fait en sorte qu'ils ne montrent aucun avion dans le ciel puis l'instant d'après, elles ont fait en sorte que les radars montrent des centaines d'avions.
L'année dernière, il a été annoncé que la nouvelle technologie de la furtivité des avions les rend invisible non seulement au radar mais également à l'œil humain à la manière d'une cape d'invisibilité.

 A-t-on à faire à un détournement fait pour éliminer ou capturer ces cerveaux ?

Ce matin un nouvel élement, révélé par le Nouvel Obs, rend cette thèse   possible :

 Deux sources proches de l'enquête ont indiqué à Reuters que des données radar suggèrent que le vol MH370, qui a disparu samedi sans laisser de traces, a été délibérément orienté vers les îles Andaman,.

Un avion non identifié qui pourrait être le Boeing 777 en question suivait un cap défini par des "waypoints", ce qui suppose que quelqu'un ayant des compétences en matière de pilotage se trouvait aux commandes lorsqu'il a été repéré pour la dernière fois par des radars militaires au large de la côte nord-ouest de la Malaisie, dit-on de mêmes sources.

Tout ceci n’est-il pas su depuis longtemps par les différents gouvernements. ? Pourquoi perdre du temps à chercher des débris qui n’existent pas ? Y-a-t-il des négociations secrètes ?  

A-t-on sacrifié 219 passagers pour éliminer 20 savants ? Ou a-t-on enlevé 20 cerveaux pour utiliser leurs connaissances ?

Que sont devenus les autres passagers ?

Un simple épisode de la grande guerre technologique ?

Qui est à la manœuvre ?

Est-ce une manière, après l’attentat de la gare de Kunming qui avait fait 30 morts et 133 blessés, de dire à la Chine de se tenir à l’écart du conflit US-Russie ? Sous-entendu : « On a les possibilités de vous empoisonner la vie à peu de frais… »

 

Interrogeons-nous puisqu’on a demandé aux internautes de chercher des débris sur la mer.

Mais pas que sur la mer…Sur le grand flot d’internet, bien des indices aussi posent question.

   

Maintenant, parlons du brevet !

 

Voila ce que vous devez tous savoir. Partagez cette information à tous vos proches.

Quatre jours après la disparition du vol MH370 un brevet est approuvé par le Bureau des Brevets.

4 des 5 individus titulaires du brevet sont des employés de Freescale Semiconductor à Austin au Texas.

Le brevet a été partagé en 5 parties de 20% pour chaque titulaires, dont la répartition est la suivante :

Peidong Wang, Suzhou, Chine (20%)
Zhijun Chen, Suzhou, Chine (20%)
Zhihong Chen, Suzhou, Chine (20%)
Li Ying, Suzhou, Chine (20%)
Freescale Semiconductor, Etats-Unis (20%)

Si un titulaire du brevet meurt, alors les titulaires qui restent se partagent équitablement les dividendes d’une augmentation.

Si 4 titulaires du brevet sur 5 meurent, alors le titulaire restant possède 100% des profits accumulés par le brevet.

Le dernier titulaire vivant du brevet est Freescale Semiconductor.

Qui possède Freescale Semiconductor ?

Jacob Rothschild via Blackstone (quel nom intéressant pour une compagnie, ‘pierre noire’) qui possède Freescale.

Voila votre motivation manquante pour le boeing disparu. Les 4 titulaires chinois du brevet étaient à bord.

La Thaïlande a repéré un «appareil non identifié» changeant plusieurs fois de direction en examinant les données radars du moment où le vol MH370 de Malaysia Airlines a perdu le contact avec le contrôle aérien, a indiqué mercredi un porte-parole de l’armée de l’air.

À la demande des autorités malaisiennes, l’armée de l’air a vérifié lundi les informations de ses radars de la région sud, a précisé Monthon Suchookorn.

Ils ont montré que le samedi 8 mars «à 00h28, six minutes après la disparition du vol MH370, un appareil non identifié volait dans une direction sud-ouest», à l’opposé de la direction prévue du Boeing 777 effectuant la liaison Kuala Lumpur-Pékin, a-t-il déclaré.

Cet horaire semble correspondre à la dernière transmission du transpondeur du vol MH370 (01H21 heure malaisienne, 00H21 heure thaïlandaise), quelque part entre la côte orientale de la Malaisie et le sud du Vietnam.

La Thaïlande n’a « pas caché d’informations »

«L’appareil est allé plus loin vers le sud vers Kuala Lumpur et le détroit de Malacca, avant de tourner vers le nord» vers la mer Andaman, à l’ouest de la péninsule malaisienne, a-t-il ajouté.

Interrogé sur la raison pour laquelle ces éléments étaient divulgués seulement plus de dix jours après la disparition de l’avion, il a assuré que la Thaïlande n’avait «pas caché d’informations».

«L’appareil n’était pas dans l’espace aérien thaïlandais et n’était pas une menace pour la Thaïlande», a-t-il noté.

Le Boeing disparu depuis 12 jours

Alors que l’enquête entre dans son 12e jour, les éléments connus avec certitude sont rares. L’avion a décollé de Kuala Lumpur samedi 8 mars à 00H41 (16H41 GMT vendredi), avec 239 personnes à bord, en direction de Pékin, avant de disparaître des écrans radars environ une heure plus tard.

La disparition du Boeing 777 mobilise les efforts de plus de 25 pays à partir du nord de la Thaïlande à l’Asie centrale pour le corridor nord (qui recouvre une partie de la Chine), de l’Indonésie au sud de l’océan Indien pour le corridor sud.

 

http://www.electronique.biz/index.php/economie/vie-de-la-profession/item/50219-20-employes-de-freescale-parmi-les-passagers-du-boeing-de-malaysia-airlines-disparu-depuis-le-8-mars

http://leschroniquesderorschach.blogspot.fr/2014/03/lavion-disparu-de-malaisie-pourrait.html

 

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http://blogs.mediapart.fr/blog/ariane-walter/140314/ariane-walter-malaysia-airlines-20-ingenieurs-lies-la-defense-us-bord

31 mars 2014

Des milliers de bébés décédés à la suite d’avortements ou de fausses couches ont été utilisés en Grande-Bretagne pour chauffer l

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Des milliers de bébés décédés à la suite d’avortements ou de fausses couches ont été utilisés en Grande-Bretagne pour chauffer les hôpitaux. Une enquête a révélé que les corps des nourrissons étaient envoyés à l'incinérateur comme déchets hospitaliers.
 
Le ministère de la Santé au Royaume-Uni a immédiatement ordonné l’interdiction de cette pratique, décrite par le ministre britannique de la santé Dan Poulter comme «totalement inacceptable ». Dix centres de la NHS (National Heatlh Service) ont admis avoir brûlé des corps de nouveau-nés avec d’autres déchets hospitaliers, tandis que deux autres hôpitaux ont déclaré avoir utilisé les restes dans des appareils de transformation des déchets en énergie pour générer du courant afin de produire de la chaleur.
 
Selon l’émission de télévision Dispatches diffusée sur Channel 4, au moins 15 500 fœtus décédés ont été brûlés par 27 hôpitaux ces deux dernières années. L’émission révèle que les parents de ces fœtus perdus en début de grossesse ont souvent été traités sans aucune compassion. Rien ne leur avait été dit sur ce qui allait arriver aux corps de leurs enfants.
 
Toujours selon l’émission, l’Addenbrooke Hospital, l'un des principaux hôpitaux de la Grande-Bretagne situé à Cambridge, a brûlé 797 fœtus de moins de 13 semaines de gestation pour chauffer leur hôpital. Les mères auraient été informées que les corps avaient été  "incinérés".
 
A l'hôpital d'Ipswich, qui est exploité par un entrepreneur privé, une installation de valorisation énergétique a brûlé entre 2011 et 2013 pas moins de 1101 fœtus décédés. Les fœtus ont été récupérés d'un autre hôpital avant d'être incinérés.
Selon le Dr Poulter, la majorité des hôpitaux en Grande-Bretagne ont agi de manière appropriée. Cependant, la Human Tissue Authority [l’organisation des morgues en Grande-Bretagne] a été invité à "agir sur la question" le plus tôt possible.
 
Le directeur médical de la NHS, Sir Bruce Keogh, a écrit à tous les centres de gestion des hôpitaux pour leur demander d’arrêter la combustion des restes des foetus. Le professeur Sally Davies, responsable du département de la santé publique, a également écrit à la Human Tissue Authority pour demander des directives claires.

Source de l'article: International Business Times

31 mars 2014

Il y a 300 fois plus de résidus de pesticides dans le vin que dans l’eau potable

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Il y a 300 fois plus de résidus de pesticides dans le vin que dans l’eau potable. Ce rapport frappant est l’un des enseignements que l’on peut tirer des résultats de l’enquête que vient de publier Que choisir (abonnés) dans son dernier numéro.

En passant 92 vins issus de différentes régions viticoles françaises au crible, le magazine a en effet détecté des résidus de pesticides (ou des traces) dans 100% des échantillons.

Dans le détail, on constate un grand écart entre les vins bio, à un bout du spectre, et certains vins industriels ou conventionnels, à l’autre bout. Mais pas un seul vin parmi la centaine analysée n’échappe totalement aux pesticides.

 

Bordeaux, le mauvais élève

C’est la région bordelaise qui compte le plus important taux de contamination aux résidus de pesticides, selon le test de Que choisir :

 

« Cinq bordeaux remportent la palme avec des quantités totales de résidus allant de 441 μg/kg [l’unité est ici le microgramme, soit un millionième de gramme, ndlr] pour le rosé Baron de Lestac 2012, à 1 682 μg/kg pour le graves blanc château Roquetaillade Le Bernet 2011. »

Pour ce dernier vin, la teneur en résidus de pesticides est ainsi « 3 364 fois plus élevée que la norme appliquée à l’eau potable (0,5 μg/kg) ».

A noter également la performance du bordeaux Mouton Cadet 2010, dans sa version rouge, qui réunit à lui tout seul les résidus et traces de 14 pesticides différents (dont du carbendazime, molécule interdite en France). Une information à mettre en parallèle avec la diffusion de ce vin : produit au total à 12 millions de bouteilles par an, Mouton Cadet est « la marque la plus diffusée dans le monde ».

Pour contrebalancer ce palmarès sévère, rappelons qu’il existe de très bons domaines en bio à Bordeaux : Planquette, Les Trois Petiotes, Gombaude-Guillot ou Lamery, pour n’en citer qu’une poignée.

 

Les vins blancs sont les plus chargés

                                                                                     
Si on fait le tri par couleur, ce sont les vins blancs qui embarquent le plus de résidus de pesticides, selon l’analyse de Que Choisir : 242 μg/kg en moyenne (contre 114 μg/kg pour les rouges et 95 μg/kg pour les rosés).

Ce qui nous donne une moyenne globale de plus de 150 micro grammes de résidus de pesticides par « kilo » de vin, soit plus de 300 fois le seuil admis pour l’eau potable...

Certes, concède Que Choisir, on boit a priori plus d’eau que de vin.

 

Les vins bio pas totalement épargnés

Aucun des dix vins bio analysés dans l’étude de Que Choisir n’est épargné : on y retrouve des traces, et même parfois des résidus avérés de pesticides.

L’explication tiendrait a priori au fait que l’épandage de pesticides peut parfois contaminer les vignes des voisins.

Néanmoins, une autre étude [PDF] précédemment publiée par un collectif d’associations est quant à elle arrivée à la conclusion que les vins bio ne contiennent pas (sauf accident) de résidus de pesticides.

Dans les deux cas, il n’y a pas photo : les quantités de résidus détectées dans les vins bio sont très nettement inférieures à celles identifiées dans la plupart des autres vins, voire inexistantes.

 

Les consommateurs doivent-ils s’inquiéter ?

Le journal Sud-Ouest a immédiatement réagi à l’enquête de Que Choisir, notamment par la voix de son spécialiste, César Compadre, qui entend balayer en quatre points tout éventuel résidu d’inquiétude :

  • primo, pour avoir un bon raisin il faut traiter aux pesticides. C’est pas la fête de traiter, hein, mais c’est comme ça : « Prendre trop de risques serait suicidaire », tranche carrément le spécialiste. Et les bio alors ?
  • On y vient, les bio traitent aussi (au soufre et au cuivre, et c’est méchant le cuivre, brrr). Non, parce qu’il ne faudrait pas dire trop de bien des bio. C’est vrai quoi, ils ne représentent que 6% du vignoble. Alors, hop, dans le même sac que les autres, c’est plus pratique ;
  • ensuite, troisième point, il y a une « prise de conscience des professionnels ». Dans le vignoble ça bouge, assure notre spécialiste (oh oui, ça bouge... mais dans le mauvais sens : l’utilisation de pesticides a encore augmenté de 2,7% en France – déjà premier utilisateur d’Europe – entre 2010 et 2012, rappelle Que Choisir) ;
  • enfin, l’argument-massue : « Les quantités de résidus sont bien inférieures aux seuils de dangerosité définis par les experts. » Sachant qu’il n’y a aucune limite maximale de résidus définie pour le vin, et qu’on s’en tient à celles – élevées – appliquées pour le raisin, on est dans un joli flou artistique.

 

Même si on peut à la rigueur se contenter de ce dernier argument pour ce qui est des consommateurs, les nombreuses études relatives aux travailleurs de la vigne (ou même à leurs simples riverains) sont, elles, accablantes : de cinq à onze fois plus de pesticides détectés dans leurs cheveux, surmortalité due à la maladie de Parkinson,augmentation avérée des cancers...

Et tout de même, un détail peut chiffonner : si ces résidus de pesticides dans le vin sont tellement inoffensifs, pourquoi la norme admise pour l’eau potable est-elle 300 fois inférieure à ce qu’on détecte en moyenne dans le vin... Est-ce qu’on boit 300 fois plus d’eau que de vin ?

95% des vins de culture « traditionnelle » (c’est-à-dire la culture conventionnelle chimique) comportent des résidus de pesticides.

Découvrez la nouvelle étude parue en mars 2008 sur la présence des résidus de pesticides dans le vin en exclusivité!

Voici quelques unes des molécules toxiques les plus fréquemment détectées dans les vins et leurs effets sur la santé:

 

Molécules Effets sur la santé (source US-EPA, CIRC et UE)
Carbaryl Cancérigène possible et perturbateur endocrinien
Carbendazim Suspecté d’être mutagène et perturbateur hormonal
Pyrimétanil Cancérigène possible
Tébuconazole Suspecté d’être reprotoxique et cancérigène
Thiophanate-methyl Suspecté d’être mutagène et cancérigène

(Source(s): blogs.rue89.com / Par Antonin Iommi-Amunategui

30 mars 2014

La grande loge suisse ALPINA

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La loge Alpina

L'un des membres les plus connus de cette grande loge suisse est Claude Guéant, qui ne cesse de répéter qu'il n'est pas franc mac. Il n'est pas franc mac en France, mais l'est bien en Suisse, chez Alpina. Il s'agit d'une habitude chez nos politiques, qui permet de dire, comme l'a fait Chirac, qu'ils ne sont pas amateurs de compas et d'équerres. Chirac en est également membre, et s'y rendait souvent, lui qui est un fils et petit fils de maçons. Et ceux, comme Alain Bauer, qui disent le contraire ne font que de la désinformation.

La Loge Alpina - livre
© Inconnu

La loge Alpina est réputée très sélect, recouvre 83 autres Loges et 4.000 membres tous masculins. Ses membres croient aussi au « grand architecte de l'univers », qui selon la version officielle serait Dieu. La loge Alpina fut très utile à Allen Dulles pour mettre en place son réseau stay behind. Allen Dulles, futur patron de la CIA, arrive en Suisse fin 1942, ce qui lui a permis d'exfiltrer plein de nazis vers les Etats-Unis[38] et l'Amérique latine, de bien planquer l'argent des Juifs, et de faire sa petite sélection de nos dirigeants de l'après-guerre. Allen Dulles n'est pas n'importe qui : il a été l'avocat de la Rotterdam Bank qui a financé les nazis, de la Standard Oil qui a permis aux nazis d'avoir du pétrole de bonne qualité, et avait de nombreux liens financiers avec les nazis avant et pendant la guerre. Et aussi après.

Revenons à Alpina, qui est un peu le pendant suisse de la GLNF.

En 1912, c'est elle qui a créé la future GLNF, l'organe le plus droitier et affairiste de la franc-maçonnerie française, sous le nom de « Grande Loge Nationale Indépendante et Régulière pour la France et ses Colonies ».

Mais c'est durant la guerre qu'Allen Dulles a su utiliser à plein les réseaux franc maçons d'Alpina. On peut noter cette collaboration entre François Mitterrand, André Bettancourt (patron de l'Oréal pro nazi), Pierre de Bénouville (un cagoulard et membre de l'Action Française) et Allen Dulles, alors chef de l'OSS, au Mouvement national des prisonniers de guerre et déportés, alors dirigé par Mitterrand. Le frère d'Allen Dulles, John Foster, a été président de la fondation Rockefeller, et a lui aussi collaboré « économiquement » avec les nazis.

On notera aussi que comme par hasard, la Banque des Règlements Internationaux, qui a principalement servi à financer Hitler et à blanchir l'argent volé aux Juifs, était installée à Genève.

La GLNF serait l'instrument privilégié du réseau stay behind en France, d'autant que « les élites franc-maçonnes sont souvent liées à l'extrême droite », comme le souligne le sociologue Thierry Brugvin. Pierre Marion, qui a dirigé la DGSE, était un haut membre de la GLNF, tout en dirigeant le SAC, cette bande de barbouzes impliqués dans une bonne partie des coups foireux jusqu'à son interdiction dans les années 80, et en pilotant le stay behind en France, notamment avec François de Grossouvre[39], ce fidèle compagnon de Mitterrand suicidé de deux balles dans la tête dans son bureau de l'Elysée au lendemain du déclenchement de la guerre au Rwanda. Mais, c'est une autre affaire. Toutefois, on peut noter que Grossouvre, pourtant fasciste a une époque de sa vie, a entretenu les réseaux africains.

Ordre Hermétique de l'Aube Dorée
© Inconnu

La deuxième guerre a fait disparaître bon nombre de franc maçons. Si bien que dès 1944, les USA ont pu utiliser la franc maçonnerie qu'ils ont contribué à remettre sur pied pour organiser les réseaux stay behind. Lesdits réseaux ont ensuite servi à monter des coups, on l'a vu en Belgique, ou en Italie, où la question des réseaux stay behind, dits « réseaux Gladio », a été abordée au Parlement. Par exemple en Belgique, des soldats américains aidés de barbouzes belges d'extrême droite ont cambriolé un commissariat à Vielsalm en 1984 et ont été planquer les armes au QG d'un groupe d'extrême gauche, les CCC. En Italie, c'est la loge P2, très proche de la mafia également et dirigée par le financier Licio Gelli, qui a servi de relais aux réseaux US[40]. Quand l'affaire de la banque Ambrosiano a éclaté, Gelli s'est réfugié en Suisse.

Il a expliqué en 2003 que la loge P2 avait été réactivée par Berlusconi, qui, il est vrai, bat les scores électoraux dans les zones les plus gangrenées par la mafia. Berlusconi est membre de cette loge au cœur des pires scandales Italiens et au Vatican depuis 1978. Comme François de Grossouvre qui a financé L'Express, la P2 a pris le contrôle du Corriere della Sera, premier quotidien italien, plutôt classé à gauche. La P2 a aussi pesé dans l'étouffement de l'affaire des attentats de Bologne, par exemple, des attentats commis sous faux drapeaux qui s'inscrivaient dans le cadre de la « stratégie de la tension », qui a entraîné aussi les tueries du Brabant en Belgique. En Grèce, c'est encore le réseau stay behind qui a favorisé l'installation de la dictature des Colonels, jusque dans les années 80.

En 2003, des dissidents de la GLNF, dont au moins trois hauts gradés de l'armée[41], fondent la GLCS (Grande Loge des cultures et de la spiritualité), loge mixte. Selon Le Point, dans un article du 24 janvier 2008 : « Les quinze fondateurs appartiennent tous à la caste des décideurs, puisqu'on y trouve, notamment, le général René Imbot, ancien patron de la DGSE, le général Jeannou Lacaze, un dirigeant d'EDF, un directeur de l'administration pénitentiaire, un cadre de la DGSE, un autre de la DST, un juge d'instruction, un procureur, un ancien député... Ils ont recruté dans leur réseau amical et fédèrent aujourd'hui 350 personnes, dont 20 % de femmes ».

Structure de la franc-maconnerie
© Everett Henry

Officiellement, le réseau stay behind a cessé ses activités en 1990. Mais comment y croire ? L'OTAN est toujours là, et le même type d'actions « terroristes » sous faux drapeaux continuent, cette fois attribués non plus aux « communistes », mais à des islamistes tout aussi instrumentalisés. Le réseau stay-behind, en fait, était une nébuleuse terroriste et mafieuse destinée à canaliser les populations pour qu'elles demandent elles-mêmes des Etats toujours plus sécuritaires, toujours moins « communistes » (c-à-d de gauche), et des qu'elles votent pour des représentants toujours plus corrompus.

En France, c'est Paul Ramadier, le président du Conseil (1er ministre) qui a permis dès 1947 l'implantation de ce réseau fasciste, via un accord secret avec les Etats-Unis. Dans la foulée, il a viré tous les ministres communistes du gouvernement.

Parmi les branches françaises du réseau stay behind, il y avait celle de Roger Patrice Pelat, grand ami de Mitterrand qui était l'équivalent de Pasqua pour le PS, une branche qui s'était infiltrée dans l'Ordre du prieuré de Sion. Pelat était le pilier du financement occulte du PS, et ses amitiés franc-maçonnes lui ont certainement facilité la tâche.

« Éventuellement, à partir de 1952, les agents [du SDECE, la future DGSE dont Foccart était le patron] peuvent recevoir une formation complémentaire en guerre psychologique au Psychological Warfare Center de la CIA à Fort Bragg (Caroline du Nord)[42]). Une cellule du stay-behind, liée au SDECE, le « Brain Trust Action », est subordonnée à l'« Executive Action » de la CIA, pour exécuter des meurtres politiques. Pour permettre à des civils de se former au 11e Choc, le ministre des Anciens combattants, François Mitterrand, autorise l'utilisation de l'Association des réservistes volontaires parachutistes (ARVP). Et pour faciliter leur disponibilité, les Américains proposent des emplois de couverture. Par exemple, deux responsables régionaux du stay behind, Gilbert Beaujolin et François Durand de Grossouvre (alias « Monsieur Leduc »), créent une société commerciale qui bénéficie aussitôt de la concession exclusive d'embouteillage de Coca-Cola », explique Thierry Meyssan, qui est bien informé sur ces réseaux.

30 mars 2014

Les "Tchernobyl" sous-marins : Les 12 pays responsables de rejets de déchets radioactifs en mer.

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Où vont les sous-marins nucléaires naufraqés ? Au fond de la mer comme leurs semblables à moteur Diesel. Seule différence, dans ces tragédies, c'est que les sous-marins nucléaires relâchent dans le milieu marin une source formidable de radioactivité qui vient s'ajouter à celle des bombes et des missiles perdus, sans parler des fûts radioactifs qu'une douzaine de pays, le Royaume-Uni en tête, ont rejetés à l'eau pendant trente-six ans.

Comment s'en débarrasser ?
Des centaines de milliers de fûts contenant des déchets radictacdfs ont été, comme ici au large des côtes normande purement et simplement "balancés" par-dessus bord.

Nous ne trahirons pas un secret militaire en révélant que 510 sous-marins nucléaires sillonnent les mers du monde entier. A cette flotte, il faut ajouter 65 navires militaires et 10 bateaux civils à propulsion nucléaire. Ces tout derniers n'ont à leur bord qu'un ou deux réacteurs nucléaires qui servent à leur propulsion, mais les autres, sous-marins compris, transportent généralement des armes nucléaires sous forme de bombes ou de missiles.

Lorsque le navire coule, avec ou sans sa charge, personne n'en parle. Idem lorsqu'une arme est perdue au cours d'une manoeuvre. Les gouvernements nient d'abord les faits, puis, lorsque les preuves s'accumulent, ils finissent par reconnaître, par exemple, qu'un missile "non armé" a bien été tiré. Il n'y a que le grand publie qui soit trompé par ces communiqués lénifiants, car les services secrets du monde entier savent, eux, très exactement ce qui s'est passé.

Dans le lot de sous-marins coulés, il n'est pas exclu que certains aient purement et simplement été envoyés à la casse. Une façon peu coûteuse de se débarrasser d'un matériel périmé ! La marine américaine l'avait fortement envisagé pour une centaine de ses bâtiments qui devaient être démantelés entre 1982 et 20l2.

Pour la première fois, l'Agence internationale pour l'énergie atomique (AIEA), à Vienne, a tenté de recenser ces accidents. Ce travail, qui aurait été infaisable sans la détente, était destiné à la Conférence internationale sur la pollution marine qui s'est tenue à Londres du 25 au 29 novembre 1991. L'AIEA a retrouvé la trace de 31 accidents, pas moins, dont 16 ne sont d'ailleurs toujours pas reconnus par les pays concernés (voir carte).Mais il y en a peut-être davantage ! Le nombre d'armes nucléaires associées à ces accidents n'est pas toujours connu. On ne sait pas non plus précisément de quelles armes il s'agit. Dans la plupart des cas, ce sont des têtes nucléaires de missiles.

Ce sont les Etats-Unis qui sont responsables de la majorité des pertes (18 sur 31), ce qui semble logique puisqu'ils possèdent le stock d'armes nucléaires le plus important de la planète. Les Soviétiques, moins loquaces encore que les Américains, apparaissent loin derrière: 9 accidents dont 7 de sous-marins.

Mais il n'y a pas que les bateaux. Ainsi, lorsqu'un avion B-52 s'est écrasé, le 21 janvier 1968, sur la banquise non loin de la base de Thulé au Groenland, les quatre bombes qu'il transportait se sont brisées et la matière radioactive, principalement du plutonium, s'est répandue sur 50 km à la ronde contaminant tout le milieu marin. Mais c'est une affaire oubliée.

Parfois c'est un satellite équipé d'un générateur nucléaire qui quitte son orbite et regagne la Terre, c'est-à-dire la plupart du temps la mer puisque la surface des terres émergées est huit fois moindre que celle des océans.

Inutile de dire que ces engins sont rarement récupérés, soit parce qu'on ne les localise pas avec précision, soit parce qu'ils reposent à de trop grandes profondeurs. Les Russes envisagent toutefois de renflouer un de leurs sous-marins, le Komsomolets, abîmé en mer du Nord près de la côte norvégienne, le 7 avril 1989, avec des missiles à bord (voir photos ci-dessous). Le gouvernement norvégien a d'ores et déjà interdit la pêche autour de cette zone, car des inspections ont prouvé que le réacteur fuyait et que la corrosion, plus rapide que prévue, gagnait les têtes nucléaires.

Un sous-marin nucléaire soviétique coulé au large des côtes norvégiennes 


On peut distinguer le pont du sous-marin,
ainsi que ce qui ressemble à un silo de lancement (3)

et remarquer que le bâtiment était bien équipé d'ogives nucléaires (4).
Une mission de reconnaissance, effectuée par un navire océanographique soviétique pendant les mois de septembre et octobre derniers, a permis de prendre ces photos du Komsomolets (1), perdu le 7 avril 1989. Des analyses. réalisées par l'institut norvégien d'étude de la radioactivité sur des échantillons prélevés à ce moment-là ont montré des taux élevés de radioactivité prouvant la présence de fuites.

Au total, ce sont des millions de milliards de becquerels qui reposent au fond des mers, soit plusieurs fois la dose que la catastrophe de Tchernobyl a injecté dans l'atmosphère. Cette radioactivité accidentelle s'ajoute à celle qu'une poignée d'Etats, Royaume-Uni en tête, ont déversé volontairement, durant 36 ans, dans une cinquantaine de sites, pour se débarrasser de leurs déchets nucléaires prétendus de faible ou moyenne activité.

Les premiers déversements volontaires remontent à 1946, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale; les Américains avaient alors choisi des sites dans le Pacifique non loin des côtes de la Californie. Le dernier a eu lieu en 1982 dans l'Atlantique nord, à un millier de kilomètres environ des côtes françaises. Ce mode de rejet a finalement cessé sous la pression des pays qui s'y opposaient. Car, jusque-là, il était autorisé et réglementé par la Convention pour la prévention de la pollution marine, signée en 1975 et connue sous le nom de Convention de Londres. C'est ainsi que des centaines de milliers de fûts de déchets enrobés dans du bitume ou du ciment, parfois groupés dans des containers, reposent au fond des mers. Il suffit de 10 à 15 ans pour que ces matériaux se désagrègent sous l'effet de l'eau de mer ! Et il est arrivé, dans les tout débuts, qu'on verse directement les déchets sans emballage, en vrac, voire sous forme liquide !

Qui sont exactement les pollueurs ? Douze pays. Certains, comme l'Italie, l'Allemagne ou la Suède, n'ont failli qu'une seule fois, et n'ont rejeté que de faibles quantités de radioactivité. La France, quant à elle, qui a disposé du Centre de stockage de la Manche, près de la Hague, ne s'est livrée que deux fois à ces déversements, mais les quantités étaient plus importantes (voir schéma ci-dessous).

  Messieurs les anglais vous êtes les premiers
Entre 1946 et 1982, douze pays ont rejeté des déchets radioactifs en mer. Pour le Royaume-Uni, il sagissait d'une pratique courante, puisque ce pays est responsable de plus des trois-quarts des rejets.

Mais le pompon revient de loin au Royaume-Uni qui, à lui seul, est responsable de près de 80 % de la radioactivité rejetée. Nos amis anglais ont en effet déversé quelque 75 000 tonnes de déchets nucléaires dans une quinzaine de sites de l'Atlantique (voir carte). Ils ont même trouvé qu'un site était tout désigné: la mer en face de la Hague. Et par quinze fois, immités deux fois par les Belges, ils y ont déversé leurs déchets entre 65 et 160 m de profondeur. Cette décharge sauvage se situe très exactement par 49° 50' N de latitude et 2° 18' W de longitude, à une trentaine de kilomètres des côtes françaises. Si les crustacés ou les coquillages accusent parfois des taux de radioactivité anormaux autour du Cotentin, fi n'y a pas que l'usine de retraitement de la Hague qui en soit responsable !

  Les cimetière marins de l'europe
Voici les sites où ont été largués, pendant trente-six ans, fûts et containers remplis de déchets radioactifs. Nous avons, à chaque fois, comptabilisé la radioactivité cumulée pour chaque pays, en gigabecquerels. Ces "décharges sauvages " se sont souvent faites très près des côtés. Par exemple, à 30 km à peine au large de Cherbourg, on trouve le dépotoir radioactif où nos amis anglais et belges se sont "soulagés" de 10 000 tonnes environ de déchets encombrants.

Autour de ces poubelles, on a trouvé du césium et du plutonium à des taux élevés. C'est cela qui a fait interdire ces déversements... tout au moins officiellement: des révélations provenant d'un responsable soviétique indiquent que plusieurs milliers de tonnes de déchets radioactifs civils et militaires - dont le réacteur du Lénine, le premier brise-glace nucléaire - auraient été déversées clandestinement jusqu'à très récemment dans la mer de Kara, au large de la Sibérie.

Par Jacqueline Denis-Lempereur
Science & Vie n°892 janvier 1992



La carte mondiale des épaves radioactives

Des déchets radioactifs ont été volontairement déversés dans une cinquantaine de sites marins répertoriés sur cette carte. Mais c'est surtout l'Atlantique nord qui a servi de poubelle aux Etats.

Nous possédons peu de données sur les accidents en mer impliquant des matières nucléaires, secret militaire oblige. Voici néanmoins la liste de ceux que vient de recenser - pour la première fois - l'AIEA, avec toutes les imprécisions qui subsistent sur les quantités de radioactivité rejetées, la localisation précise et parfois même sur le nom du sous-marin coulé. (retour texte)



1) Mutsu (1er septembre 1974). Fuite de radiations (neutrons), sur ce cargo japonais à propulsion nucléaire, due à des défauts de structure, à 800 km à l'est de Shiriyazaki.

2) Avion américain B-36 (13 février 1950) équipé d'une arme nucléaire, perdu au large de Puget Sound.

3) Avion américain (10 novembre 1950) perdu, avec des armes nucléaires à bord, quelque part sous la mer en dehors des Etats-Unis.

4) Avion américain B-36 (18 mars 1953) perdu, avec des armes nucléaires à bord; au large de Terre-Neuve.

5) Avion américain B-47 (10 mars 1956) perdu, avec deux capsules de matières radioactives, en Méditerranée.

6) Avion américain B-47 (5 mars 1958) équipé d'une arme nucléaire, perdu au large de la Géorgie.

7) Avion de chasse américain F 102 (mi 1960) équipé d'un missile nucléaire, perdu dans la baie de Haiphong,

8) Missile intercontinental américain (ICBM Thor Rocket) (4 juin 1962) tombé en mer près de l'île Johnston, lors d'un tir d'essai.

9) Missile intercontinental américain (ICBM Thor Rocket) (20 juin 1962) tombé en mer près de l'île Johnston, lors d'un tir d'essai.

10) Thresher (10 avril 1963), sous-marin américain SSN-593 coulé à 100 milles à l'est du Cap Cod par 2 590 m de profondeur, et qui a éclaté. Son réacteur nucléaire représente une radioactivité de l 147 000 giga becquerels.

11) Transit 5 BN-3 (21 avril 1964), satellite américain tombé au nord de Madagascar. Son générateur nucléaire SNAP-9A au plutonium 238 représente une radioactivité de 630 000 gigabecquerels

12) Avion américain (5 décembre 1965) qui, mal calé, est tombé du pont du porte-avions Ticonderoga à la suite d'un coup de roulis et a coulé à 5000 m de profondeur au large du Japon. Il était équipé d'une arme nucléaire.

13) 4 bombes nucléaires (17 janvier 1966) perdues par un avion américain B-52 à 5 milles de Palomares en Espagne, dont une en mer qui a été récupérée par 914 m de fond.

14) 4 armes nucléaires (21 janvier 1968) perdues par un avion B-52 sur la banquise près de Thulé. Une partie seulement du plutonium répandu a été récupérée.

15) Scorpion (entre le 21 et le 27 mai 1968), sous-marin américain SSN-589, perdu à 400 milles (740 km) au sud-ouest des Açores par plus de 3 3 000 m de profondeur et qui a éclaté. Son réacteur nucléaire représente une activité de 1295 000gigabecquerels, 16. Nimbus B-1 (18 mai 1968), satellite américain tombé à 100 m de profondeur, près de Santa-Barbara, avec son générateur nucléaire SNAP-19. A été récupéré.

17) Générateur SNAP-27 (11 avril 1970) contenant 1650 000 gigabecquerels de plutonium 238 et appartenant à un module de la mission Apollo tombé au sud des îles Fidji, par 6 000 m de profondeur.

18) Missile Phoenix (14 septembre 1976) perdu par un avion de chasse américain F-14 et récupéré à 75 milles des côtes écossaises.

19) Missile de croisière américain (25 février 1986), dans la mer de Beaufort.

20) Mont-Louis (5 août 1984), cargo français transportant 30 containers d'hexafluorure d'uranium, entré en collision avec un car-ferry britannique. La cargaison, représentant environ 6 000 millions de becquerels, fut récupérée deux mois plus tard, par 25 m de profondeur.

21. Sous-marin soviétique (11 avril 1968) perdu avec 5 armes nucléaires, à 750 milles au nord-ouest de l'île Oahu (Hawaii)

22) Sous-marin soviétique (1968) perdu dans le nord-est de l'Atlantique, avec 4 armes nucléaires.

23) Sous-marin soviétique (10 janvier 1970) perdu en baie de Naples avec des torpilles nucléaires.

24) Sous-marin soviétique (12 avril 1970) perdu dans le nord-est de l'Atlantique, avec 4 armes nucléaires.

25) Kashin Class (septembre 1974), destroyer soviétique perdu en mer Noire avec des armes nucléaires.

26) Sous-marin soviétique (juin 1983) perdu au large du Kamtchatka, avec 8 armes nucléaires.

27) Cosmos-1402 (7 février 1983), satellite soviétique avec un réacteur nucléaire d'une radioactivité estimée à 1000 000 de gigabecquerels, tombé à 1600 km à l'est des côtes brésiliennes.

28) Sous-marin soviétique (4 octobre 1986) équipé d'armes nucléaires, coulé à 1000 km au nord-est des Bermudes par 5 000 m de fond.

29) Komsomolets (7 avril 1989), sous-marin soviétique avec des armes nucléaires, coulé, à la suite d'un feu à bord, près des côtes norvégiennes, à 180 km au sud-ouest de l'île de Medvezhy, par 1 500 m de fond. Les Soviétiques espèrent le renflouer.

Quant aux deux derniers accidents recensés par l'AIEA, les Britanniques viennent d'affirmer, contrairement à ce qui avait d'abord été annoncé, qu'ils n'avaient pas d'arme nucléaire à bord. Ce sont:

30) HMS Sheffield (10 mai 1982), destroyer britannique coulé par un missile Exocet de la marine argentine, au large des îles Falklands.

31) HMS Resolution (19 mai 1985). Ce sous-marin britannique a perdu un missile Polaris non équipé, d'après les Britannique d'une tête nucléaire, au cours d'un essai ou d'une fausse manoeuvre, au large de la Floride. Doit-on croire les Britanniques?

http://atomicsarchives.chez.com/tcherno_sous_marin.html

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