L’argent devrait être émit sans intérêt.
Le Nouvel Ordre Mondial est basé sur la dette et l’usure. L’humanité est en train d’être reprogrammée et réduite en esclavage pour s’assurer que cette dette fictive soit remboursée. Tel est le moteur principal du « progressisme ». Les banquiers Illuminati remplacent Dieu. Ils redéfinissent la réalité pour la rendre conforme à leurs intérêts matériels et leur perversité.
Dissimulés derrière des institutions non-juives, les banquiers juifs sont parvenus à privatiser l’émission monétaire en la transformant en créance de l’Etat. L’argent est juste un moyen d’échange, semblable à un coupon. Il n’a pas de valeur intrinsèque mais il est indispensable à la vitalité économique. Les banquiers ont acheté tout et tout le monde, en commençant par les politiciens et les médias de masse, tout en s’assurant que l’humanité soit distraite et appauvrie par d’incessantes guerres et dépressions.
Par Anthony Migchels pour www.henrymakow.com
L’usure est le péché originel et la cause première de tous nos problèmes économiques et politiques.
En vérité nous disposons de tout ce dont nous avons besoin pour émettre une monnaie sans intérêt. Une économie débarrassée de l’usure mettrait fin à la pauvreté et sauverait nos âmes.
L’amour de l’argent est à la racine de tout mal. L’usure est la mise en pratique de l’avidité envers l’argent. Elle nourrit l’avarice de l’usurier. Elle pousse les créanciers à adopter un comportement toujours plus immoral. Elle saccage le tissu de la société et fait de tout contrat social une farce.
Des milliards de gens vivent dans une pauvreté abjecte à cause d’elle. Des communautés, des nations entières sont éviscérées afin de payer des intérêts à ceux qui sont dans l’opulence. Personne ne tient le décompte de ceux qui meurent prématurément sous son effet.
Les pays pauvres payent dix fois plus d’intérêt sur leur dette étrangère qu’ils ne reçoivent d’aide au développement.
Même lorsque nous ne sommes pas endettés, quarante pour cent de notre revenu est perdu au profit des intérêts répercutés dans les prix par les producteurs. La multitude paye entre cinq et dix trilliards par an aux plus riche. Toutes les autres charges sont basées sur le cout du capital et n’existerait même pas sans l’usure.
Il s’agit de l’ultime outil de centralisation du pouvoir et il est mondial. Il n’a fait que croitre au rythme des intérêts composés depuis des siècles, et maintenant cet incroyable cancer s’apprête à dévorer le corps qui le nourrit.
Les nations européennes ont fourni 4,5 trilliards $ en emprunt, facilité de crédit et garanties diverses pour « sauver » leurs banque et l’euro. La Fed a accordé un montant inimaginable de 16 trilliards $ en facilité de crédit à ses banquiers acolytes. La majeure partie n’a jamais été remboursée. Cela est nécessaire car sans les banques, nous n’aurions pas d’argent. Alors l’Occident a injecté 20 trilliards $ pour faire en sorte que des miettes sonnantes et trébuchantes circulent encore afin d’échanger des biens et des services.
Assurément la fin de notre civilisation approche lorsque nous permettons à un pillage d’une telle rapacité d’avoir lieu, tandis qu’il n’y a pas d’argent pour sauver les pauvres de la faim et préserver la planète de la pollution.
INSENSÉ
Nous croyons : « sans intérêt il n’y aurait pas de crédit ! Je ne prêterais pas si je n’obtenais rien en retour. »
Mais les institutions financières ne prêtent absolument rien !
L’argent n’est rien d’autre qu’une écriture comptable et l’emprunt le résultat automatique d’un bilan qui de par sa nature même contient le débit et le crédit.
Le problème n’est pas la création monétaire ! C’est en fait tout le contraire : il est merveilleux que nous n’ayons jamais besoin d’expérimenter le manque d’argent.
Le problème survient lorsque le comptable se met à arnaquer le débiteur en lui facturant des intérêts sans autre raison que le signe moins qui va avec. Et s’empare de tout cet intérêt comme rémunération de son activité comptable.
Nous payons 300 000 $ en intérêt sur 30 ans pour notre crédit immobilier de 200 000 $ qui a été créé en entrant des nombres dans un logiciel de comptabilité !
L’OR NE RÉSOUT RIEN
Nous ne voulons pas payer 300 000$ d’intérêts en menue monnaie ! Nous voulons une comptabilité à prix coutant ! Sans intérêt !
Même dans les temps anciens l’or et l’argent étaient mis en circulation par des intérêts privés. Cela est présenté comme une merveilleuse illustration de la libre concurrence. Mais qui fait circuler les pièces ? Ceux qui possèdent les mines bien sur !
Ils faisaient circuler le métal en le prêtant à intérêt et ont manipulé son volume depuis la nuit des temps.
De nos jours, personne ne sait combien d’or il reste. Toutes les mines d’or sont possédées et contrôlées par les banques privées. Ceux qui possèdent les mines constituent ce Pouvoir, tout part de là. D’énorme quantité d’or sont dans leurs coffres, prêtes à être lâchées sur le marché à travers le prêt usuraire, dans le but de créer des bulles spéculatives, avant d’arrêter de prêter un peu plus tard afin de créer une crise déflationniste lorsque les gens remboursent leurs prêts.
C’est exactement de la même manière qu’ils créent les cycles de croissance et de dépression avec la monnaie fiduciaire.
Prêtez attention à ce qu’ils font à l’or aujourd’hui. Il en a toujours été de même.
Le veau d’or est le symbole archétypal de l’avarice ; le Pouvoir Financier ne saurait se concevoir sans lui.
NOUS VOULONS UNE MONNAIE SANS INTÉRÊT
Jésus nous a enjoint de prêter gratuitement, sans rien attendre en retour. Les Védas tiennent l’usure en horreur. Moïse l’a interdite. La moitié du Coran égrène la menace d’un châtiment sévère à l’encontre de ceux qui la collecte.
L’argent n’a qu’une réalité comptable. Les épargnants n’ont pas besoin d’intérêts. Les banques n’ont pas besoin d’épargnants. Le débit et le crédit sont les deux faces de la même entré comptable. Ils sont automatiques.
Oui le volume doit être géré, mais cela est inévitable. Aucun système monétaire ne peut exister sans en contrôler le volume. Le problème n’est pas le mode de gestion mais le fait d’autoriser les vautours à l’exercer.
La raison pour laquelle nous connaissons des cycles de croissance et de récession, c’est que nous avons laissé les entités privées que sont les banques, gérer le volume en fonction de leurs intérêts propre. Ils ont mis en place les Banques Centrales pour créer l’illusion de « l’officialité ».
Dire que le « marché » doit s’en charger revient à dire que la Ploutocratie a fait du bon travail durant ces 5000 dernières années.
Nous voulons des prêts immobiliers sans intérêt, pas d’impôt sur le revenu, pas de pauvreté. Nous voulons l’abondance, la bonne volonté, une renaissance culturelle, la justice et la fin de la Ploutocratie.
Tuons l’Usure !
La religion interdit l'usure Voici comment les religions du Livre se sont positionnées sur la question de l’usure et du prêt à intérêt :
Le judaïsme
Le Pentateuque condamne l’usure. L’usure et l’intérêt sont regroupés sous le terme « tarbit ». Cependant, le tarbit est interdit entre juifs, mais permis entre juifs et non juifs. L’objectif de cette interdiction était la lutte contre la pauvreté.
Le christianisme
Les catholiques
Le catholicisme a condamné l’usure et le prêt à intérêt. L’objectif était d’éviter l’oppression et l’abus de position dominante, en mémoire des époques anciennes où les débiteurs insolvables étaient réduits en esclavage.
Dans les faits, le crédit et la dette sont restés présents chez les populations d’Europe à l’époque moderne. L’église catholique a retiré l’interdiction du prêt à intérêt du droit canon en 1830. Mais c’est en 1991 que le pape Jean-Paul II a officiellement accepté les principes de l’économie de marché.
En France, c’est dans les communautés catholiques qu’est apparu l’investissement socialement responsable.
Les protestants
Les positions des protestants ont été diverses. Luther n’était pas favorable au prêt à intérêt, sauf ceux faits pour aider l’Église, les prêtres, les étudiants, les vieux, les veuves et les orphelins.
De son côté, Calvin construit une théorie moderne de l’intérêt. Il faut prêter sans intérêt au pauvre et avec intérêt au riche, puisqu’il fera de l’argent avec ce prêt.
Le protestantisme américain, développé par le pasteur John Wesley, valorise l’enrichissement en se référant à la parabole évangélique des talents : « Seigneur, tu m’as confié cinq talents, voici cinq autres que j’ai gagnés. » Cette éthique se rapproche de celle des Quakers, communauté religieuse dont nous avons déjà parlé. Les Quakers sont considérés comme les premiers à avoir conçu un investissement responsable, en accord avec leurs croyances.
L’islam
À la différence des autres religions, l’islam continue d’interdire l’usure et il régit toujours les activités économiques de certains pays. La finance islamique en est une manifestation, notamment en Europe. Il faut préciser que le prêt à intérêt est admis dans la totalité du monde musulman sunnite.
En islam on parle de l’interdiction du ribâ, terme dont le sens rejoint le tarbit dans le judaïsme. Il a moins le sens d’usure que d’ »avantage illicite ». L’interdiction du ribâ a pour objectif d’abuser de la faiblesse ou de l’inexpérience de l’autre. Elle vise à une solidarité et une coopération accrue.
En conclusion, les religions du Livre ont toutes prohibé l’usure et le prêt à intérêt. Ces interdictions visaient à protéger les plus faibles contre eux-mêmes et contre les puissants. Elles sont globalement devenues moins fortes à mesure que se sont développées les sociétés modernes.
* Cet article est inclus dans l’ouvrage collectif L’Autre finance, de Daniel Bachet et Philippe Naszalyi