Alzheimer et Parkinson sont des maladies inflammatoires causées par des biotoxines !
Le caractère inflammatoire de la maladie d’Alzheimer/Parkinson est actuellement confirmé, ne serait-ce que par son nouveau traitement par le bleu de méthylène, sous forme de la spécialité Rember. Nous lisons en effet ceci dans Wikipédia : «Le bleu de méthylène est le produit qui serait actif dans un essai thérapeutique de phase II contre la maladie d'Alzheimer/Parkinson, en inhibant l'agrégation de la protéine Tau, constituant de base de la dégénérescence neurofibrillaire (Société TauRX, produit appelé Rember, Prof. Claude Wischick). »
Un autre inhibiteur de la protéine Tau est l’anticorps de synthèse nommé bapineuzumab, développé par la société irlandaise Elan. Ce produit est actuellement en tests de phase III (efficacité) sur 4 000 patients dans le monde. Le laboratoire Johnson & Johnson va investir 1 milliard de dollars afin de commercialiser au plus vite cette molécule. (Science et Vie, janvier 2010, p. 62)
Ce caractère inflammatoire fait suspecter une infection bactérienne. Or, dans de très nombreux cas d’Alzheimer et de Parkinson, l’on retrouve dans les tissus la bactérie spirochète Borrelia burgdorferi, responsable en particulier de la maladie de Lyme. Il convient donc de rechercher et éventuellement d’éliminer cette bactérie par les divers moyens indiqués dans la page en bas rédigée à son sujet.
L’hypothèse d’une infection bactérienne à l’origine de maladies neurologiques (Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques et même diabète) est fondée sur les travaux du chercheur allemand Heiko Braak, tels que rapportés par Mathieu Nowak dans l’article intitulé « Parkinson, l’incroyable hypothèse » (Science et Vie, novembre 2011, p. 98-102). Les neurones entourant le côlon (appelé « le deuxième cerveau ») présentent parfois des lésions identiques à celles que l’on trouve dans le cerveau (la substantia nigra en cas de Parkinson) de patients atteints de neuropathologies. Des parkinsoniens traités par antibiotiques pour une infection intestinale par Clostridium difficile ont en effet manifesté, dès reprise du transit intestinal normal, une amélioration très nette et durable de leurs symptômes nerveux. Comme dans le cas de la « protéine tau » trouvée dans le cerveau des sclérosés en plaques ou du prion dans l’encéphalopathie spongiforme, des toxines issues de bactéries ou de virus ou d’autres sources externes provoqueraient –d’abord dans la zone intestinale ce qui signe l’importation alimentaire- l’accumulation progressive d’une protéine (l’alpha-synucléine) formant finalement des corps de Lewy entraînant la mort des neurones intestinaux, puis se propageant jusqu’au cerveau avec les conséquences que l’on connaît.
Depuis 1819, quand James Parkinson a décrit la maladie de Parkinson en précisant "nous n'avons trouvé aucune cause pathologique concluante pour expliquer les causes et l'évolution de la maladie", nous avons plus de questions que de réponses concernant l'étiologie et la pathogénèse de la maladie de Parkinson, de la sclérose en plaques et de beaucoup d'autres maladies dégénératives du système nerveux ; ces maladies pourraient être classées dans la catégorie des maladies provoquées par les biotoxines. A ce jour, nous ne disposons pas de traitements qui arrêtent ces maladies ou les rendent réversibles.
Des autopsies réalisées sur de jeunes adultes décédés de la maladie de Parkinson n'ont pas démontré de processus dégénératifs. Ces morts semblent avoir été causées par des biotoxines migrantes dans le cerveau, entraînant l'anarchie dans les neurotransmetteurs (dopamine, sérotonine, GABA, acéthylcholine, etc...), dans les membranes nerveuses pré- et post-synaptiques, changeant l'action moléculaire des enzymes, des hormones et de beaucoup d'autres molécules. Finalement, dans l'explication du manque d'énergie et de fatigue invariablement présents dans la maladie de Lyme et dans la liste des 300 maladies présentées comme étant "proches" des biotoxines de Borrelia burgdorferi, un fait de toxicologie moléculaire a été corrélé : les neurotoxines de Borrelia burgdorferi empêchent le calcium de circuler, provoquant une destruction des enzymes et d'autres composants moléculaires impliqués dans la production d'énergie. Des rapports attestent de l'effet toxique de cette bactérie sur les noyaux cellulaires et même sur l'A.R.N. et l'A.D.N.
Le test français de Borrelia burgdorferi n'est pas fiable. Faites d'abord le test francais et, s'il est négatif, faites le test BCA, qui semble fiable à 100%, par le site Borreliose Centrum d’Augsburg (BCA) où se font les analyses (test Elispot) détaillées de cette maladie (tél. +49 821 455 471-0 - service@borreliosecentrum.be). Il s'agit d'un centre qui propose, en plus du traitement antibiotique une approche plus globale, dont la naturopathie, les conseils alimentaires, etc. Le rétablissement complet de plusieurs personnes atteintes de SLA au stade terminal après une thérapie appropriée montre à quel point il est crucial de diagnostiquer la maladie de Lyme. Référence : revue Nexus 65 (11-12/09) p. 58-65, sous la plume du Dr James A. Howenstine, qui suggère un traitement par Uncaria tomentosa (Griffe du Chat ou Liane du Pérou).
D’après le thérapeute Pierre Arzant, la bactérie Borrelia burgdorferi se retrouve dans 100% des cas d’Alzheimer et Parkinson, mais aussi -dans une proportion semble t-il moindre- dans la sclérose en plaques (SEP), dans la sclérose latérale amyotrophique (SLA), dans toutes les maladie psychiatriques y compris la schizophrénie, dans la fatigue chronique, la fibromyalgie, les dermatites, les maladies auto-immunes, les réactions inflammatoires oculaires, la surdité soudaine, la mort subite du nourrisson, le trouble du déficit de l’attention (TDA), l’hyperactivité, les douleurs chroniques, le cancer, les maladies cardiaques et dans bien d'autres affections. Transmissible par le sang et par le sperme, il n'est pas rare de voir toute une famille contaminée : il suffit de se frotter un œil et ensuite de donner une poignée de main. Une personne sur 6 est contaminée lors d'une transfusion de sang. Beaucoup de personnes sont contaminées sans le savoir. Tant que les défenses immunitaires sont intactes, il n'y a pas de symptômes, mais il suffit d'un stress, d'une vaccination, d'une intoxication au mercure dentaire pour que se déclenche une pathologie.
L’hypothèse d’une infection bactérienne à l’origine de maladies neurologiques (Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques et même diabète) est fondée sur les travaux du chercheur allemand Heiko Braak, tels que rapportés par Mathieu Nowak dans l’article intitulé « Parkinson, l’incroyable hypothèse » (Science et Vie, novembre 2011, p. 98-102). Les neurones entourant le côlon (appelé « le deuxième cerveau ») présentent parfois des lésions identiques à celles que l’on trouve dans le cerveau (la substantia nigra en cas de Parkinson) de patients atteints de neuropathologies. Des parkinsoniens traités par antibiotiques pour une infection intestinale par Clostridium difficile ont en effet manifesté, dès reprise du transit intestinal normal, une amélioration très nette et durable de leurs symptômes nerveux. Comme dans le cas de la « protéine tau » trouvée dans le cerveau des sclérosés en plaques ou du prion dans l’encéphalopathie spongiforme, des toxines issues de bactéries ou de virus ou d’autres sources externes provoqueraient –d’abord dans la zone intestinale ce qui signe l’importation alimentaire- l’accumulation progressive d’une protéine (l’alpha-synucléine) formant finalement des corps de Lewy entraînant la mort des neurones intestinaux, puis se propageant jusqu’au cerveau avec les conséquences que l’on connaît.
Pistes de traitement de la maladie de Lyme
Une étude approfondie (assortie de 19 références scientifiques) sur cette maladie a paru dans la revue Nexus 65 (11-12/09) p. 58-65, sous la plume du Dr James A. Howenstine, qui suggère un traitement par Uncaria tomentosa (Griffe du Chat ou Liane du Pérou). Borrelia Burgdorferi semble également sensible à « l'argent colloïdal » (tel qu’on le trouve par exemple dans l’Oligosol Cu-Au-Ag), ainsi qu’aux huiles essentielles (méthode suisse du « Tic-Tox », plus efficace que l’antibiothérapie).
Méthodes d’obtention de l’argent colloïdal
Une telle suspension nanométrique peut être obtenue par différents moyens, dont les suivants. On trouve par exemple sur le marché un petit générateur d’ions Ag plus ou moins solubilisés en colloïdes ou en nanoparticules dans de l’eau ultrapure et fonctionnant sous 30 V cc (ou 9 V cc en version portable). Cet appareil américain est certainement efficace, mais il est peu précis car la taille des particules obtenues varie avec l’intensité du courant envoyé sur l’électrode Ag ! L’adaptateur secteur convient pour le 240 V européen,mais ses 2 broches sont du type plat américain. Il existe des adaptateurs de voyage permettant de les raccorder à un socle européen pour broches rondes mais le plus simple est souvent de donner un coup de ciseaux sur le fil et de le visser dans une fiche normalisée.
A mon avis, il est facile de construire soi-même un petit électrolyseur de ce type et d’utiliser une cuiller en argent ou une électrode plus pure. Une électrode Ag pour dynamiseur Marcel Violet (toujours en vente aux Laboratoires Marcel Violet, 82 rue Saint-Lazare, 75009 Paris) serait aussi appropriée, d’autant que l’eau dynamisée à l’argent par l’électrolyseur à décharges Marcel Violet (également très simple à construire) serait certainement plus efficace afin de détruire la Borrelia. Plus simple encore, je suggère de passer commande en pharmacie d’une spécialité française contenant de l’argent colloïdal normalisé (on est ainsi plus certain de la pureté et du dosage) : le collyre « Stillargol 1 % ». Il s’agit d’un protéinate d’argent en solution à 1 % fabriqué par les Laboratoires Mayoly Spindler et que l’on pouvait autrefois obtenir par les grossistes habituels (autorisation 309996-7) mais qui ne semble plus disponible actuellement. Il y a des années que je l’utilise après quelques redilutions calculées pour arriver à la dose de 400 millionièmes (« ppm ») recommandée dans les études américaines relatives aux applications de cette suspension.
Dans les pathologies où la gaine de myéline a été abîmée, la cause infectieuse est certes combattue par l'argent colloïdal. Mais afin de réparer la myéline, il faut consommer chaque jour 1 jaune d'œuf cru bio du jour, pour le bon cholestérol (HDL) ainsi que de l'huile de coco (extraite de la pulpe et du lait de la noix de coco, que l’on peut aussi consommer nature) afin de consommer de l'acide laurique (ou dodécanoïque). Le cholestérol HDL et l’acide laurique favorisent en effet le développement des cellules souches, réparatrices de la gaine de myéline. Le cholestérol HDL est nécessaire à la synthèse de la myéline. Afin de faire monter le HDL, consommer le moins possible de graisse saturée, prendre des oméga 3, des pommes, stopper complètement la consommation de sucre blanc et d'alcool. Consommer des jaunes d'œuf crus ou très peu cuits (à la coque, car le jaune doit rester liquide).
La levure de bière est un complexe naturel de vitamines du groupe B. La vitamine B12, en collaboration avec les B9 et B6, est nécessaire à la conversion de l'homocystéine en méthionine, elle-même nécessaire à la production de myéline. On retrouve la méthionine dans la spiruline et dans les noix du Brésil. L'homocystéine est un acide aminé qui, en excès, est néfaste à nos nerfs. Quand la vitamine B12 fait défaut, l'homocystéine s'accumule dans le sang. Des taux élevés d'homocystéine sont responsables de problèmes cérébrovasculaires. La niacine (vitamine B3) améliore les problèmes de Parkinson. Des biopsies ont montré que les fibres nerveuses reconstituaient leur gaine de myéline après une cure de vitamine B11 ou L-acétyl-carnitine, dont l’action est favorisée par l'acide alpha-lipoïque (ALA). Notre organisme synthétise la carnitine en présence de méthionine et de lysine. La haute teneur en phospholipides (97%) et choline de la lécithine la rend indispensable pour le cerveau et la myéline. La vitamine D, le cuivre, l’iode, le fer et le zinc interviennent également dans le processus de myélinisation. L’huile d’onagre, par sa richesse en acide gamma-linolénique (GLA), contribue également à régénérer la gaine de myéline. Il est toutefois préférable d’obtenir cet acide gras par synthèse normale des précurseurs contenus dans d’autres huiles végétales.
Il convient aussi de prendre des anti-oxydants tels que le concentré de melon + Q10 + OPC + germanium + zinc + sélénium + oligo-éléments (sel de l'Himalaya). En fait, pour qu'une pathologie se déclare, il faut qu'il y ait 3 causes: (A) l'intoxication aux métaux lourds, vaccination ou mercure dentaire ou stress - (B) contamination par la bactérie Borrelia burgdorferi - (C) inversion de polarité de la cellule à cause de l'excès de sodium et du manque de potassium. Il faut donc agir de 5 façons: (1) détoxication (iode, sélénium, cobalt) - (2) décontamination de Borrelia burgdorferi par l'argent colloïdal et (3) réparation de la gaine de myéline (jaune d'oeuf bio cru + noix de coco) comme décrit ci-dessus.
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