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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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24 septembre 2013

La création de la Paneurope, tremplin du mondialisme

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La Paneurope, tremplin du mondialisme

La création de la Paneurope est due à l’action d’un aristocrate autrichien née d’une mère japonaise, Richard de Coudenhove-Kalergi (1894-1972). L’objectif déclaré de Coudenhove était d’empêcher les horreurs de la Première Guerre mondiale de se reproduire. Cette intention louable n’était que l’arbre qui cachait la forêt. En effet, très tôt, Coudenhove indiqua clairement la direction prise par son mouvement en élaborant un rapport à la SDN présenté en 1925. Son but était d’unifier l’Europe afin de l’intégrer dans le cadre d’une organisation politique mondiale unifiée. Pour cela, il évoquait dans son rapport la nécessité de créer des « continents politiques », l’ensemble devant constituer une fédération de fédérations dans la pensée de l’auteur . Ses affirmations fédéralistes rejoignent largement celles de la société fabienne. Continuant sur sa lancée, Coudenhove organise en 1926 le premier congrès paneuropéen à Vienne sous l’égide de son président d’honneur, le président du conseil Aristide Briand (1862-1932) . C’est lors de ce congrès réunissant plusieurs nationalités  qu’il fut décidé de choisir un hymne européen, l’Ode à la joie de Beethoven , qui est devenu par la suite l’hymne de l’Union européenne. Les objectifs de la Paneurope sont clairement affichés dans le cadre des « Principes fondamentaux » qui stipulent entre autres : « (…) L’union paneuropéenne se déclare attachée au patriotisme européen, couronnement des identités nationales de tous les Européens. A l’époque des interdépendances et des défis mondiaux, seule une Europe forte et politiquement unie peut garantir l’avenir de ses peuples et entités ethniques. L’union paneuropéenne reconnaît l’autodétermination des peuples et le droit des groupes ethniques au développement culturel, économique et politique (…) » .

Richard de Coudenhove-Kalergi (1894-1972)

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Au cours de la Seconde Guerre mondiale, R. de Coudenhove-Kalergi réfugié aux Etats-Unis put enseigner dans le cadre d’un séminaire — Research for a postwar european federation (« recherche pour une fédération européenne d’après-guerre ») — favorable au fédéralisme européen à la New York University. De retour en Europe en 1946, il contribua largement à la création de l’Union parlementaire européenne permettant par la suite la création, en 1949, du Conseil de l’Europe . Renforçant son influence sur tous les Etats, cette organisation européenne chapeaute des représentations nationales chargées de diffuser l’idéal de son fondateur  qui, après avoir reçu en 1950 la plus haute distinction européiste le Prix Charlemagne , a passé le relais à Otto de Habsbourg en 1972 puis à Alain Terrenoire.

On peut mieux comprendre l’impact de la Paneurope en s’intéressant au nerf de la guerre : l’argent. Les sources de financement de cet institut expliquent les profondes connivences de son dirigeant avec les autres acteurs du mondialisme. En effet, outre des mécènes industriels et financiers, R. de Coudenhove-Kalergi bénéficia du soutien du banquier Max Warburg, représentant de la banque allemande à Hambourg. Comme nous l’avons vu ci-dessus, son frère Paul (la branche états-unienne) était à la tête de la Fed et du CFR. On comprend tout de suite que R. de Coudenhove-Kalergi eut carte blanche pour coopérer avec les milieux financiers de Wall Street et leurs homologues londoniens. Cette connivence entre le fondateur de la Paneurope et les autres milieux mondialistes était d’autant plus grande que Max Warburg était membre du comité directeur d’IG Farben Allemagne tandis que son frère, Paul Warburg, était membre de la branche US d’IG Farben .

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L’arrivée d’Adolf Hitler au pouvoir, comme l’explique Antony Sutton, s’explique par les nombreux soutiens des industriels et financiers anglo-saxons via leurs homologues allemands. Dans cette affaire, le directeur de la Reichsbank, Hjalmar Schacht (1877-1970), fut un intermédiaire de première main. Son action fut d’autant plus profonde qu’il fut le ministre de l’Economie du IIIè Reich de 1934 à 1939. Le relèvement économique de l’Allemagne dû à son action permit à Hitler de poursuivre une politique qu’il n’aurait jamais pu exercer sans la remise à niveau du pays. De tels méfaits auraient dû le conduire à la peine de mort lors du procès de Nuremberg. Il n’en fut rien puisqu’il fut acquitté. En fait, Hjalmar Schacht était lié fortement à l’aristocratie commerciale anglo-saxonne. Son père, l’Etats-unien William Schacht, avait travaillé 30 ans au sein de la filiale d’Equitable Life Assurance de Berlin . Son fils était donc dès sa naissance dans le sérail du système mondialiste. Ceci est encore plus renforcé lorsqu’on sait que Hjalmar Schacht était depuis 1918 au comité directeur de la Nationalbank für Deutschland (« Banque nationale d’Allemagne »), au côté du banquier Emil Wittenberg qui était en même temps membre du comité directeur de la première banque soviétique créée en 1922, la Ruskombank . Celle-ci était dirigée par le banquier suédois … Olof Aschberg  précédemment vu. Pour continuer dans le tournis, nous pouvons préciser que le directeur de la section étrangère Ruskombank, l’Etats-unien Max May , était le vice-président de Guaranty Trust Company, une filiale d’un des piliers de Wall Street, JP Morgan ]. Dans cette affaire, un haut représentant américain de Wall Street travaillait donc au sein de l’élite bancaire soviétique. Pour compléter le tout, la collaboration d’Hjalmar Schacht avec ce milieu était renforcée par ses liens d’amitié avec le patron de la banque d’Angleterre Norman Montagu. On comprend mieux qu’Hjalmar Schacht  n’ait pas été vraiment inquiété au lendemain de la Seconde Guerre mondiale.

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Le soutien apporté par cette aristocratie commerciale et apatride anglo-saxonne au communisme, au nazisme ainsi qu’à la prise du pouvoir par Franklin Delano Roosevelt , relaté dans la trilogie Wall Street d’Antony Sutton, était aussi des formes d’expériences de laboratoires agissant dans un cadre local (Union soviétique, Allemagne nazie et Etats-Unis ). Sous une appellation différente, Antony Sutton en conclut que ces idéologies, appelées diversement « socialisme soviétique », « socialisme collectif » (pour le national-socialisme) et « socialisme de la nouvelle donne » (New Deal), n’étaient que des mises en forme d’un socialisme monopolistique ; idéal d’organisation qui doit désormais voir le jour à l’échelle planétaire dans le cadre du « nouvel ordre mondial ». La guerre de 1939-1945 résultant de tout ce travail d’arrière-fond permit le basculement vers un autre monde ; l’instauration de deux blocs apparemment antagonistes obéissant parfaitement au principe hégélien de la thèse et de l’antithèse. Cependant, ces deux mondes étant irrigués par les mêmes sources financières, il était possible de poser les jalons devant permettre la réalisation de l’Etat mondial.

L’après 1945, des lendemains qui chantent

 

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, nous pouvons relever trois dates essentielles dans l’immédiate après-guerre : 1946 ; 1947 et 1948. C’est le Premier ministre britannique, Winston Churchill qui a relancé l’idée d’unification de l’Europe dans un discours prononcé à Zürich, le 19 septembre 1946. En effet, il n’hésita pas à affirmer : « Il nous faut édifier une sorte d’Etats-Unis d’Europe » . Ces propos ravirent Richard de Coudenhove-Kalergi qui était soutenu par Churchill. Le fondateur de la Paneurope s’activant de son côté à la relance de l’idéal européen exposa l’histoire de son oeuvre et des projets à accomplir dans un ouvrage intitulé J’ai choisi l’Europe. Dans ce livre, Coudenhove bénéficia de la préface de … Winston Churchill.

 

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Winston Churchill (1874-1965)

 

La deuxième étape avec la réunion à Montreux en Suisse, en août 1947, constitue un passage décisif vers le renforcement des fondations de l’Etat mondial en préparation. En effet, divers représentants européens  et états-uniens  acquis aux principes d’un fédéralisme mondial se sont accordés pour créer deux instituts, sous l’égide du juriste suisse Max Habicht , dont l’efficacité se fait largement sentir : le « Mouvement fédéraliste mondial » (World federalist movement, WFM) et l’ « Union des fédéralistes européens » (Union of European Federalists, UEF).

 

Le WFM a présenté sa magna carta, lors de la réunion de Montreux, favorable à l’établissement de principes clefs afin d’instaurer un Etat mondial à base fédérative. Force est de constater que 63 ans après leurs formulations, leurs vœux sont largement exaucés. Il est, en effet, affirmé que « Nous, fédéralistes mondiaux, sommes convaincus que la création de la confédération mondiale est le problème capital de notre temps. Tant qu’il n’aura pas été résolu, toutes les autres questions — nationales ou internationales — resteront sans réponses valables. Ce n’est pas entre la libre entreprise et l’économie dirigée, le capitalisme et le communisme qu’il s’agit de choisir, c’est entre le fédéralisme et l’impérialisme ». Dans la foulée, cette Déclaration propose entre autres les principes suivants : « limitation des souverainetés nationales » avec « transfert à la Confédération des pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire », « création d’une force armée supra-nationale » ; en précisant en particulier ce fait d’une très grande actualité en ce début de XXIè siècle qu’ « une juste perspective fédéraliste doit intégrer les efforts faits sur les plans régional et fonctionnel. La formation d’unions régionales (ndlr : souligné par nous) — dans la mesure où elles ne constituent pas une fin en soi et ne risquent pas de se cristalliser en blocs — peut et doit contribuer au bon fonctionnement de la Confédération mondiale ». A la fin de cette Déclaration, il est précisé de favoriser la création d’une « Assemblée constituante mondiale » .

 

Parallèlement à la création du WFM, l’Union des fédéralistes européens (UEF) vit le jour à Montreux. Cependant, des travaux d’avant-garde avaient déjà préparé le terrain. En effet, sous l’influence de la Paneurope de R. de Coudenhove-Kalergi, il fut fondé en 1934 Europa Union défendant l’idéal d’une Europe unifiée selon le principe fédéral et inspiré du modèle suisse . Quatre ans plus tard, en novembre 1938, fut créée sous l’influence des fabiens Lord Lothian et Lionel Curtis, Federal Union. Cette dernière est une branche de l’UEF au même titre que le sont les différentes « filiales » française (l’UEF France), allemande (Europa Union Deutschland), italienne (UEF Italie) etc. Précisons que, pareil au principe des poupées russes, l’UEF est une branche du World Federalist Movement (WFM) . Par conséquent, nous avons là un institut européen oeuvrant en faveur du fédéralisme et qui épouse en même temps les travaux du WFM mais à l’échelle planétaire. Pourquoi est-il si important d’évoquer la mission de l’UEF ? Cet institut fédéraliste est dirigé par l’Anglais Andrew Duff, député au Parlement européen sous l’étiquette des « démocrates libéraux » . Il est membre aussi du European Council on Foreign Relations (l’ECFR, « Conseil européen des relations étrangères »)  créé en 2007, jumeau européen du CFR états-unien fondé en 1921. Andrew Duff est aussi celui qui, en collaboration étroite avec la Fondation Bertelsmann et le député autrichien Johannes Voggenhuber, a permis la relance du projet de constitution européenne après l’échec des référendums français et hollandais en 2005. Le Traité de Lisbonne n’aurait pas pu voir le jour — du moins plus difficilement — sans l’appui et les convictions d’Andrew Duff. Par ailleurs, force est de constater que l’influence outre-tombe d’un Cecil Rhodes et d’un Lord Milner s’est faite sentir lors de l’élaboration de la constitution européenne (dite « Constitution Giscard » prélude au Traité de Lisbonne) en 2003-2004. En effet, le « groupe Milner » et les fabiens ont toujours été favorables à l’unification de l’Europe à condition que cela se fasse sous direction anglo-saxonne. Au cours des deux guerres mondiales, les tentatives d’unité européenne sous direction allemande, puissance terrestre, ne pouvaient pas être acceptées par Londres et par Washington car la thalassocratie anglo-saxonne se retrouvait exclue des affaires du vieux continent. Richard de Coudenhove-Kalergi l’avait parfaitement compris à la lecture de son discours en 1950. Par conséquent, il est utile de s’intéresser au secrétaire général chargé de téléguider les travaux de la « Constitution Giscard », l’Anglais John Kerr. Son Curriculum vitae révèle qu’il est à la tête d’une compagnie pétrolière, la Royal Dutch Shell, et qu’il a été aussi ambassadeur de Grande-Bretagne aux Etats-Unis. Ses liens avec l’aristocratie commerciale anglo-saxonne révèlent aussi qu’il est membre du comité directeur chargé du recrutement des élites dans le cadre des « bourses d’études Cecil Rhodes » . Comme on peut le constater, la réussite de l’entreprise mondialiste est une affaire de temps ; mais ils y arrivent.

Enfin, le Congrès de la Haye (7-10 mai 1948) sous la présidence d’honneur de Winston Churchill et réunissant près de 800 militants pro-européens  a posé les premiers fondements d’une Europe unifiée. La figure de proue de ce Congrès fut le secrétaire général Joseph Retinger (1888-1960). Les vrais acteurs de l’histoire sont souvent dans les coulisses. C’est le cas de Retinger travaillant au service du CFR et du RIIA dont l’action fut déterminante dans le développement des structures mondialistes

par Pierre Hillard pour Réseau Voltaire.

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14 mai 2013

Les chercheurs de Saint-Pétersbourg ont découvert une vie extraterrestre dans l’Antarctique

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Les chercheurs ont découvert que lac Vostok était situé dans une zone d’activité sismique, et suite un séisme, des organismes inconnus ont pénétré dans l’eau. Ces créatures se sont développées à l’intérieur du lac, et leur constitution est différente des microorganismes terrestres.

S’agit-il du sujet d’un nouveau film hollywoodien ou d’une réalité effrayante ? Les chercheurs de Saint-Pétersbourg ont découvert une vie extraterrestre dans l’Antarctide. Les généticiens de l’Institut de physique nucléaire affirment que les microorganismes du lac sous-glaciaire Vostok ne correspondent à aucune espèce de bactéries connues. Leur ADN correspond à moins de 86% avec les espèces connues de bactéries. Le chef de l’expédition vers l’Arctique et l’Antarctique Valéry Loukine évoque un ADN inconnu dans un entretien accordé à La Voix de la Russie.

« Pour l’instant, nous avons découvert l’ADN de cette bactérie. Les recherches préliminaires n'ont révélé aucune information sur la physiologie de ces organismes, et les conditions sur leur milieu de vie. Nous n’avons pas encore ces données. Nous avons juste prélevé des échantillons. Ils font partie intégrante de l'environnement. Pour le reste, nous ne connaissons rien de ces organismes ».

Pour obtenir de plus amples renseignements, les scientifiques ont besoin de poursuivre les recherches. Le plus souvent, c'est l'utilisation des méthodes de microbiologie classique, les méthodes de culture des échantillons pour une étude plus approfondie des organismes « étrangers ». Mais dès maintenant, les chercheurs peuvent affirmer que ces organismes ne présentent pas de danger pour l’homme.

« Cet organisme vit dans un environnement unique qu’on ne rencontre nul part ailleurs, en dehors du lac Vostok. Une fois remontés à la surface, ces organismes meurent, car ils ne sont pas adaptés à la vie dans d’autres milieux que ce lac. C’est pourquoi ces organismes ne présentent pas de menaces pour l’humanité ».

Il n’est pas exclu que d’autres espèces d’organismes inconnus se trouvent sous la calotte de glace. Vostok est un écosystème unique complètement isolé de l'atmosphère, comparable aux océans sous-glaciaires décelés sur les satellites de Jupiter et de Saturne. La découverte de nouvelles espèces de bactéries nous permettrait d’en savoir plus sur l’évolution et le changement climatique.

Le forage de glace qui recouvre le lac Antarctique se poursuite depuis 30 ans. Mais ce n'est que l'année dernière que les chercheurs ont réussi à atteindre sa surface. A l'Académie des sciences, cet événement est comparable à l'atterrissage sur Mars. Pendant plusieurs millions d’années, le lac fut entièrement isolé de la surface terrestre. Personne ne sait d’où viennent les microorganismes qui le peuplent. Même s’il s’agit de bactéries, leur étude pourrait constituer une percée scientifique. En outre, grâce aux techniques utilisées pour identifier ces organismes, les chercheurs peuvent créer une méthode de recherche des formes de vie étrangère. T

11 août 2012

Alzheimer et Parkinson sont des maladies inflammatoires causées par des biotoxines !

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Le caractère inflammatoire de la maladie d’Alzheimer/Parkinson est actuellement confirmé, ne serait-ce que par son nouveau traitement par le bleu de méthylène, sous forme de la spécialité Rember. Nous lisons en effet ceci dans Wikipédia : «Le bleu de méthylène est le produit qui serait actif dans un essai thérapeutique de phase II contre la maladie d'Alzheimer/Parkinson, en inhibant l'agrégation de la protéine Tau, constituant de base de la dégénérescence neurofibrillaire (Société TauRX, produit appelé Rember, Prof. Claude Wischick). »

Un autre inhibiteur de la protéine Tau est l’anticorps de synthèse nommé bapineuzumab, développé par la société irlandaise Elan. Ce produit est actuellement en tests de phase III (efficacité) sur 4 000 patients dans le monde. Le laboratoire Johnson & Johnson va investir 1 milliard de dollars afin de commercialiser au plus vite cette molécule. (Science et Vie, janvier 2010, p. 62)

Ce caractère inflammatoire fait suspecter une infection bactérienne. Or, dans de très nombreux cas d’Alzheimer et de Parkinson, l’on retrouve dans les tissus la bactérie spirochète Borrelia burgdorferi, responsable en particulier de la maladie de Lyme. Il convient donc de rechercher et éventuellement d’éliminer cette bactérie par les divers moyens indiqués dans la page en bas   rédigée à son sujet.

L’hypothèse d’une infection bactérienne à l’origine de maladies neurologiques (Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques et même diabète) est fondée sur les travaux du chercheur allemand Heiko Braak, tels que rapportés par Mathieu Nowak dans l’article intitulé « Parkinson, l’incroyable hypothèse » (Science et Vie, novembre 2011, p. 98-102). Les neurones entourant le côlon (appelé « le deuxième cerveau ») présentent parfois des lésions identiques à celles que l’on trouve dans le cerveau (la substantia nigra en cas de Parkinson) de patients atteints de neuropathologies. Des parkinsoniens traités par antibiotiques pour une infection intestinale par Clostridium difficile ont en effet manifesté, dès reprise du transit intestinal normal, une amélioration très nette et durable de leurs symptômes nerveux. Comme dans le cas de la « protéine tau » trouvée dans le cerveau des sclérosés en plaques ou du prion dans l’encéphalopathie spongiforme, des toxines issues de bactéries ou de virus ou d’autres sources externes provoqueraient –d’abord dans la zone intestinale ce qui signe l’importation alimentaire- l’accumulation progressive d’une protéine (l’alpha-synucléine) formant finalement des corps de Lewy entraînant la mort des neurones intestinaux, puis se propageant jusqu’au cerveau avec les conséquences que l’on connaît.

Depuis 1819, quand James Parkinson a décrit la maladie de Parkinson en précisant "nous n'avons trouvé aucune cause pathologique concluante pour expliquer les causes et l'évolution de la maladie", nous avons plus de questions que de réponses concernant l'étiologie et la pathogénèse de la maladie de Parkinson, de la sclérose en plaques et de beaucoup d'autres maladies dégénératives du système nerveux ; ces maladies pourraient être classées dans la catégorie des maladies provoquées par les biotoxines. A ce jour, nous ne disposons pas de traitements qui arrêtent ces maladies ou les rendent réversibles.

Des autopsies réalisées sur de jeunes adultes décédés de la maladie de Parkinson n'ont pas démontré de processus dégénératifs. Ces morts semblent avoir été causées par des biotoxines migrantes dans le cerveau, entraînant l'anarchie dans les neurotransmetteurs (dopamine, sérotonine, GABA, acéthylcholine, etc...), dans les membranes nerveuses pré- et post-synaptiques, changeant l'action moléculaire des enzymes, des hormones et de beaucoup d'autres molécules. Finalement, dans l'explication du manque d'énergie et de fatigue invariablement présents dans la maladie de Lyme et dans la liste des 300 maladies présentées comme étant "proches" des biotoxines de Borrelia burgdorferi, un fait de toxicologie moléculaire a été corrélé : les neurotoxines de Borrelia burgdorferi empêchent le calcium de circuler, provoquant une destruction des enzymes et d'autres composants moléculaires impliqués dans la production d'énergie. Des rapports attestent de l'effet toxique de cette bactérie sur les noyaux cellulaires et même sur l'A.R.N. et l'A.D.N.

Le test français de Borrelia burgdorferi n'est pas fiable. Faites d'abord le test francais et, s'il est négatif, faites le test BCA, qui semble fiable à 100%, par le site Borreliose Centrum d’Augsburg (BCA) où se font les analyses (test Elispot) détaillées de cette maladie (tél. +49 821 455 471-0 - service@borreliosecentrum.be). Il s'agit d'un centre qui propose, en plus du traitement antibiotique une approche plus globale, dont la naturopathie, les conseils alimentaires, etc. Le rétablissement complet de plusieurs personnes atteintes de SLA au stade terminal après une thérapie appropriée montre à quel point il est crucial de diagnostiquer la maladie de Lyme. Référence : revue Nexus 65 (11-12/09) p. 58-65, sous la plume du Dr James A. Howenstine, qui suggère un traitement par Uncaria tomentosa (Griffe du Chat ou Liane du Pérou).

D’après le thérapeute Pierre Arzant, la bactérie Borrelia burgdorferi se retrouve dans 100% des cas d’Alzheimer et Parkinson, mais aussi -dans une proportion semble t-il moindre- dans la sclérose en plaques (SEP), dans la sclérose latérale amyotrophique (SLA), dans toutes les maladie psychiatriques y compris la schizophrénie, dans la fatigue chronique, la fibromyalgie, les dermatites, les maladies auto-immunes, les réactions inflammatoires oculaires, la surdité soudaine, la mort subite du nourrisson, le trouble du déficit de l’attention (TDA), l’hyperactivité, les douleurs chroniques, le cancer, les maladies cardiaques et dans bien d'autres affections. Transmissible par le sang et par le sperme, il n'est pas rare de voir toute une famille contaminée : il suffit de se frotter un œil et ensuite de donner une poignée de main. Une personne sur 6 est contaminée lors d'une transfusion de sang. Beaucoup de personnes sont contaminées sans le savoir. Tant que les défenses immunitaires sont intactes, il n'y a pas de symptômes, mais il suffit d'un stress, d'une vaccination, d'une intoxication au mercure dentaire pour que se déclenche une pathologie.

L’hypothèse d’une infection bactérienne à l’origine de maladies neurologiques (Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques et même diabète) est fondée sur les travaux du chercheur allemand Heiko Braak, tels que rapportés par Mathieu Nowak dans l’article intitulé « Parkinson, l’incroyable hypothèse » (Science et Vie, novembre 2011, p. 98-102). Les neurones entourant le côlon (appelé « le deuxième cerveau ») présentent parfois des lésions identiques à celles que l’on trouve dans le cerveau (la substantia nigra en cas de Parkinson) de patients atteints de neuropathologies. Des parkinsoniens traités par antibiotiques pour une infection intestinale par Clostridium difficile ont en effet manifesté, dès reprise du transit intestinal normal, une amélioration très nette et durable de leurs symptômes nerveux. Comme dans le cas de la « protéine tau » trouvée dans le cerveau des sclérosés en plaques ou du prion dans l’encéphalopathie spongiforme, des toxines issues de bactéries ou de virus ou d’autres sources externes provoqueraient –d’abord dans la zone intestinale ce qui signe l’importation alimentaire- l’accumulation progressive d’une protéine (l’alpha-synucléine) formant finalement des corps de Lewy entraînant la mort des neurones intestinaux, puis se propageant jusqu’au cerveau avec les conséquences que l’on connaît.

Pistes de traitement de la maladie de Lyme

 

Une étude approfondie (assortie de 19 références scientifiques) sur cette maladie a paru dans la revue Nexus 65 (11-12/09) p. 58-65, sous la plume du Dr James A. Howenstine, qui suggère un traitement par Uncaria tomentosa (Griffe du Chat ou Liane du Pérou). Borrelia Burgdorferi semble également sensible à « l'argent colloïdal » (tel qu’on le trouve par exemple dans l’Oligosol Cu-Au-Ag), ainsi qu’aux huiles essentielles (méthode suisse du « Tic-Tox », plus efficace que l’antibiothérapie).

Méthodes d’obtention de l’argent colloïdal

 

Une telle suspension nanométrique peut être obtenue par différents moyens, dont les suivants. On trouve par exemple sur le marché un petit générateur d’ions Ag plus ou moins solubilisés en colloïdes ou en nanoparticules dans de l’eau ultrapure et fonctionnant sous 30 V cc (ou 9 V cc en version portable). Cet appareil américain est certainement efficace, mais il est peu précis car la taille des particules obtenues varie avec l’intensité du courant envoyé sur l’électrode Ag ! L’adaptateur secteur convient pour le 240 V européen,mais ses 2 broches sont du type plat américain. Il existe des adaptateurs de voyage permettant de les raccorder à un socle européen pour broches rondes mais le plus simple est souvent de donner un coup de ciseaux sur le fil et de le visser dans une fiche normalisée.

 

A mon avis, il est facile de construire soi-même un petit électrolyseur de ce type et d’utiliser une cuiller en argent ou une électrode plus pure. Une électrode Ag pour dynamiseur Marcel Violet (toujours en vente aux Laboratoires Marcel Violet, 82 rue Saint-Lazare, 75009 Paris) serait aussi appropriée, d’autant que l’eau dynamisée à l’argent par l’électrolyseur à décharges Marcel Violet (également très simple à construire) serait certainement plus efficace afin de détruire la Borrelia. Plus simple encore, je suggère de passer commande en pharmacie d’une spécialité française contenant de l’argent colloïdal normalisé (on est ainsi plus certain de la pureté et du dosage) : le collyre « Stillargol 1 % ». Il s’agit d’un protéinate d’argent en solution à 1 % fabriqué par les Laboratoires Mayoly Spindler et que l’on pouvait autrefois obtenir par les grossistes habituels (autorisation 309996-7) mais qui ne semble plus disponible actuellement. Il y a des années que je l’utilise après quelques redilutions calculées pour arriver à la dose de 400 millionièmes (« ppm ») recommandée dans les études américaines relatives aux applications de cette suspension.

 

Dans les pathologies où la gaine de myéline a été abîmée, la cause infectieuse est certes combattue par l'argent colloïdal. Mais afin de réparer la myéline, il faut consommer chaque jour 1 jaune d'œuf cru bio du jour, pour le bon cholestérol (HDL) ainsi que de l'huile de coco (extraite de la pulpe et du lait de la noix de coco, que l’on peut aussi consommer nature) afin de consommer de l'acide laurique (ou dodécanoïque). Le cholestérol HDL et l’acide laurique favorisent en effet le développement des cellules souches, réparatrices de la gaine de myéline.  Le cholestérol HDL est nécessaire à la synthèse de la myéline. Afin de faire monter le HDL, consommer le moins possible de graisse saturée, prendre des oméga 3, des pommes, stopper complètement la consommation de sucre blanc et d'alcool. Consommer des jaunes d'œuf crus ou très peu cuits (à la coque, car le jaune doit rester liquide).

 

La levure de bière est un complexe naturel de vitamines du groupe B. La vitamine B12, en collaboration avec les B9 et B6, est nécessaire à la conversion de l'homocystéine en méthionine, elle-même nécessaire à la production de myéline. On retrouve la méthionine dans la spiruline et dans les noix du Brésil. L'homocystéine est un acide aminé qui, en excès, est néfaste à nos nerfs. Quand la vitamine B12 fait défaut, l'homocystéine s'accumule dans le sang. Des taux élevés d'homocystéine sont responsables de problèmes cérébrovasculaires. La niacine (vitamine B3) améliore les problèmes de Parkinson. Des biopsies ont montré que les fibres nerveuses reconstituaient leur gaine de myéline après une cure de vitamine B11 ou L-acétyl-carnitine, dont l’action est favorisée par l'acide alpha-lipoïque (ALA). Notre organisme synthétise la carnitine en présence de méthionine et de lysine. La haute teneur en phospholipides (97%) et choline de la lécithine la rend indispensable pour le cerveau et la myéline. La vitamine D, le cuivre, l’iode, le fer et le zinc interviennent également dans le processus de myélinisation. L’huile d’onagre, par sa richesse en acide gamma-linolénique (GLA), contribue également à régénérer la gaine de myéline. Il est toutefois préférable d’obtenir cet acide gras par synthèse normale des précurseurs contenus dans d’autres huiles végétales.

                                                                                                              

Il convient aussi de prendre des anti-oxydants tels que le concentré de melon + Q10 + OPC + germanium +  zinc + sélénium + oligo-éléments (sel de l'Himalaya). En fait, pour qu'une pathologie se déclare, il faut qu'il y ait 3 causes:  (A)  l'intoxication aux métaux lourds, vaccination ou mercure dentaire ou stress - (B) contamination par la bactérie Borrelia burgdorferi  - (C) inversion de polarité de la cellule à cause de l'excès de sodium et du manque de potassium. Il faut donc agir de 5 façons: (1) détoxication (iode, sélénium, cobalt) - (2)  décontamination de Borrelia burgdorferi par l'argent colloïdal et (3)  réparation de la gaine de myéline (jaune d'oeuf bio cru + noix de coco) comme décrit ci-dessus.

Décharge de responsabilité. Ce dossier n'est qu'une simple information. Il n’a aucune valeur médicale, donc aucune valeur de diagnostic et de ce fait ne dispense nullement la consultation de son médecin. Comme d'habitude, cet article est purement informatif. Chaque lecteur demeure donc, en fonction de son propre discernement, personnellement et intégralement responsable de l'usage qu'il en fera ou n'en fera pas.  Si vous êtes malade, veuillez consulter votre médecin. Toutes les informations relatives aux moyens et produits naturels de santé se trouvant sur le présent dossier,  sont données gracieusement à titre d'information et d'éducation des lecteurs et du public en général, dans une optique de prévention et d'invitation à la prise en charge de sa santé individuelle par soi-même. Il s'agit de cultiver par la prévention, le respect du corps en bonne santé. Ces informations ne constituent jamais, en aucun cas, une démarche de diagnostic ou de traitement des maladies. Les informations données ne prétendent pas avoir de valeur probante dans le domaine scientifique ou médical. Elles sont données de bonne foi, dans un but d'être utiles aux personnes, capables d'autonomie, en quête de santé naturelle, et elles sont mises à jour en fonction des expérimentations individuelles progressivement disponibles. Chacun qui utilise à son profit les informations données le fait donc sous sa propre responsabilité et doit à chaque fois faire preuve du plus grand discernement. Je n'assume, bien évidemment, aucune responsabilité d'ordre médical. Les personnes malades sont invitées à consulter un médecin.


3 avril 2010

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