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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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dalai lama
16 juillet 2016

« Le Manuscrit d’or, » se rapporte à l’enseignement hautement secret du 5ème Dalaï-lama

 

Manuscrit

« Le Manuscrit d’or, visions secrètes du 5ème Dalaï-lama » se rapporte à l’enseignement visionnaire hautement secret qui comprend vingt-cinq textes et leurs moyens d’accomplissement (sadhana). Ce sont des « Enseignements scellés extrêmement secrets » (gsung bka’-rgya-na). « C’est pourquoi, écrit le Dalaï-lama dans son avant-propos, au Tibet, ces enseignements n’existent que sous forme manuscrite et n’ont jamais été imprimés. »

Le secret lamaïste est-il comparable à celui des obédiences occidentales où sont initiés des oligarques de l’empire ? Les maîtres lamaïstes et les frères des loges noires dissimulent-ils des pratiques infâmes qui n’excluent pas les rites sanglants comme ceux évoqués dans « Le Manuscrit d’or ».

« Ce fut en 1642 que le cinquième Dalaï-lama, alors âgé de vingt-six ans, commença à percevoir certains signes qui furent interprétés comme ceux de dPal-ldan lha-mo. Le culte de cette divinité est censé avoir été introduit au Tibet par Acarya dMar-po. Elle fut à l’origine vénérée comme protecteur de la religion, chez les dGe-lugs-pa, par le premier Dalaï-lama dGe-dun-grub (1391-1474). Ce fut en 1646 que le cinquième Dalaï-lama, âgé de trente ans, eut pour la première fois des visions de la déesse et de sa suite. » (Samten Gyaltsen Karmay)

Les médias, outils de propagande de la globalisation du mal, propagent le mythe de la compassion du bouddhisme tibétain. Or, le bouddhisme magique ne s’apitoie pas sur le sort des faibles et des pauvres. Ce ne sont pas des hiérarques lamaïstes qui furent écorchés et dépecés pour satisfaire la soif de sang des déités du panthéon tantrique.

« Le Manuscrit d’or » contient des illustrations d’objets et d’ingrédients rituels utilisés dans le cycle de la déité des dalaï-lamas, la farouche dPal-ldan lha-mo. Un rituel de ce cycle exige des ingrédients humains. L’eau lustrale est remplacée par du sang humain, un cœur et des yeux se substituent aux fleurs, la lampe est alimentée parla graisse humaine fondue…

Tête humaine fraîchement coupée.

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Les prétendus experts du bouddhisme tantrique s’extasient devant les rites de sorcellerie sanglante du 5ème Dalaï-lama :
« Nous avons ici, dit un illuminé occidental, des représentations remarquables de certains aspects des voies tantriques et des voies du corps de gloire. »

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De plus en plus de personnes s’interrogent sur la nature du pouvoir occulte qui transforme de sulfureux leaders religieux et politiques en bienfaiteurs de l’humanité. Le maquillage, qui utilise le prix Nobel de la paix ou la béatification, est-il décidé dans les loges de la contre-initiation ? Quoi qu’il en soit, le lamaïsme contenu dans « Le Manuscrit d’or » s’apparente d’avantage au satanisme qu’au bouddhisme.

Les méthodes enseignées par le lamaïsme permettraient de créer un homme nouveau, un surhomme maîtrisant huit grands siddhi qui confèrent :

- le pouvoir de vaincre avec une épée magique,
- le pouvoir de découvrir les trésors cachés,
- le pouvoir de se déplacer très rapidement sans se fatiguer,
- la faculté de se rendre invisible,
- le pouvoir de transmuer les métaux en or et d'acquérir la jeunesse éternelle,
- le pouvoir de voler,
- la faculté d'aller n'importe où sur terre en un instant,
- le pouvoir sur le monde des esprits et des démons.

Pour devenir un maître accompli du tantrisme tibétain, les lamas exigent une longue purification préliminaire. Les néophytes doivent accomplir de nombreux exercices afin d'obtenir la qualification exigée par le lamaïsme. C'est un entraînement qui comprend quatre ou neuf pratiques principales. Chacune de ces pratiques est répétée cent mille fois. Les élèves des écoles Nyingma et Bön se livrent à neuf pratiques purificatrices préliminaires pour transformer leur esprit, c'est-à-dire qu'ils doivent totaliser près d'un million d'exercices spirituels.

Les neuf pratiques préliminaires des Bönpo

La pratique du gourou yoga est une visualisation du maître de la lignée bénissant le corps, la parole et l'esprit du disciple qui l'a invoqué.

La pratique des neuf réflexions sur l'impermanence (perte des biens, vieillesse, mort, état post-mortem, etc.).

La pratique de purification est une visualisation d'un Bouddha du panthéon lamaïste et la récitation de son mantra de cent syllabes.

On se prosterne cent mille fois devant l'image des maîtres de la lignée tout en récitant la formule de refuge. On prend refuge dans les Bouddhas, les maîtres et aussi les statues, stupas et textes sacrés...

L'offrande du mandala et la récitation de trois mantras sont particulièrement prisées pour compléter le programme de purification de l'adepte.

L'offrande de son corps est nommée « Tcheu » (la découpe). L'adepte visualise son propre corps dépecé et mis à cuire dans un chaudron afin d'alimenter toutes les créatures des six royaumes du samsara et les êtres des huit classes (démons compris). Cette visualisation morbide est répétée cent mille fois.

Après un long séjour dans un monastère de l'école kagyu du bouddhisme tibétain, l'anthropologue Marc Bosche s'interroge :

« Que pouvons nous déduire des pratiques répétitives du bouddhisme de tradition himalayenne, en particulier des mantras, des prières, des supplications au gourou, ou des préliminaires ? Cette répétition (des dizaines de milliers de fois, jusqu'à cent mille, voire un million pour le mantra de Chenrezig) est-elle toujours compatible avec l'idée de créativité, de richesse culturelle, de variété et de découverte ? N'y a-t-il pas là quelque chose qui peut éventuellement réduire cette ouverture et cet appétit d'apprendre et de connaître ? […]

Et dans les retraites du tantrisme bouddhique, la question se pose de l'intensité des pratiques répétitives. Quatre sessions de (3 heures chacune) de rituel quotidiennes (comportant ces nombreuses répétitions de mantras, de gestes ou de prières), plus le rituel collectif (protecteur courroucé) du soir rendent sans doute restreint le temps de la contemplation et des activités personnelles.
»

Une doctrine secrète immorale et criminelle

Les pratiques préliminaires ont pour but d'éradiquer les désirs grossiers, de brider l'égoïsme, de réduire l'attrait du monde et d'inculquer une morale religieuse. Ce formidable conditionnement transforme le plus grand nombre des pratiquants en dévots dociles, mais il n'affecte pas des « élus » qui, parvenus aux initiations supérieures, adoptent une doctrine totalement immorale. Doctrine qui enseigne exactement le contraire de ce que soutenait l'ascétisme bouddhique. Par exemple, la pédophilie est une pratique préconisée par les rites secrets des initiés lamaïstes, c'est même une sorte de devoir sacré.

Un lama tibétain, spécialiste des rites de Kalachakra, écrit :

« Le rite commence avec des fillettes de 10 ans. Jusqu'à leur vingtième année, les partenaires sexuelles représentent des vertus positives. Au-delà, elles comptent comme porteuses d'énergie de colère, de haine, etc. et comme femmes-démons. Dans les étapes initiatiques de 8 à 11 du tantra de Kalachakra, l'expérimentation se fait avec une « seule » femme. Pour les étapes de 12 à 15 appelées le Ganashakra, 10 femmes participent au rite aux côtés du maître. L'élève a le devoir d'offrir les femmes comme « présents » à son lama. Les laïcs se faisant initier doivent amener leurs parentes féminines (mères, sœurs, épouse, filles, tantes, etc.). En revanche, les moines ayant reçu la consécration ainsi que les novices peuvent utiliser des femmes de diverses castes qui ne sont pas leurs parentes. Dans le rite secret lui-même, les participants font des expériences avec les semences masculines et féminines (sperme et menstruation) ; les femmes ne sont pour l'initié masculin que des donneuses d'énergie et leur rôle cesse à la fin du rite ».
(Gen Lamrimpa, « Transcending Time, an explanation of the Kalachakra Six-Session », cité par E. Martens. http://kalachakranet.org/book_gl-transcending.html)

Pourquoi le dalaï-lama, les dignitaires du lamaïsme et les grands initiés de Kalachakra et de ses arcanes criminels, ne sont-ils pas interdits de séjour dans les pays qui punissent pénalement la pédophilie, le racisme, le cannibalisme ? Nous avons vu que la pédophilie est bien réelle dans certains rites secrets du lamaïsme. Le racisme est particulièrement présent dans le l'idéologie guerrière des lamas qui déclarent que les musulmans sont les ennemis de Shambhala et du dharma. Quant au cannibalisme, on le trouve dans plusieurs textes et notamment le tantra de Kalachakra.

Le kalachakra Tantra, " La Roue du Temps ", est le texte le plus sacré du bouddhisme tibétain. Selon la légende, sa rédaction est attribuée au premier roi du royaume mythique de Shambhala. Ce texte fondamental a été traduit en français. Il est distribué dans toutes les grandes librairies. Certains libraires, peu attentifs au contenu des livres qu'ils vendent, l'ont mis à côté de délicats textes religieux empreints de poésie mystique. Pourtant, le chapitre six du texte sacré des bouddhistes tibétains comprend un traité d'alchimie et de démonologie qui n'a rien de poétique. En effet, La strophe 125 évoque un recette de sorcellerie peu ragoûtante. Il est écrit :

" La consommation de matière fécales et d’urine, de sperme et de sang menstruel, mélangés à la chair humaine, prolonge la vie. Ce sont les cinq ingrédients qui entrent dans la composition des pilules de nectar ".

D'après les lamas, c’est le Bouddha lui-même qui aurait expliqué comment préparer et utiliser ces ingrédients pour rajeunir, supprimer toutes les maladies, mettre fin aux difformités corporelles…

De nos jours, des lamas distribuent parfois ces " pilules de nectar " à leurs élèves les plus zélés. C'est une faveur rare, toujours appréciée comme une grâce. Toutefois, le lama Kelsang Gyatso, entré dans la dissidence qui ébranle l’école Gelug, recommande de ne pas consommer ces pilules fabriquées avec des substances impures, telles que de l’urine et des excréments. Kelsang Gyatso ne croit pas que tous les lamas peuvent transformer de répugnants ingrédients en nectar thérapeutique. Mais la majorité des adeptes du lamaïsme pensent que Kelsang Gyatso est un séditieux qui cherche à saper l'autorité du dalaï-lama.

La sorcellerie est présente dans beaucoup d'autres textes religieux tibétains. Le Hevajra Tantra, particulièrement vénéré par les Sakyapa, indique les mantras utilisés pour les principales catégories de rites magiques. Des rites qui ignorent totalement la moralité et la compassion bouddhiques.

Les rites des lamas de haut rang permettraient d'obtenir le pouvoir :

- d'ensorceler ;
- d'arrêter les actions d'autrui, de les pétrifier ;
- de séparer deux amis, des parents, des amoureux, etc., et de créer de l'animosité entre les gens ;
- de faire fuir les ennemis, de les faire tomber en disgrâce, de détruire les habitations des ennemis ;
- de tuer ou de blesser les ennemis au moyen de pratiques en apparence inoffensives...

Ainsi des lamas, qui prétendent adhérer à la doctrine du renoncement du Bouddha, pratiquent secrètement un occultisme profondément immoral et criminel.

Mandala Matrix

Dans « Mandala Matrix » Marc Bosche se livre à une réflexion qui enchantera les newagers amateurs de technicité psychique :

« Je pensais rencontrer un monde psychique et spirituel, antique, ancien et hiératique pendant ma retraite spirituelle. Il est en effet apparu au début, un peu comme un décor, une toile peinte : les yidams, les mandalas et les formules des mantras apparaissant un peu en trompe l’œil comme aux avants scènes. Puis c'est - derrière - un autre monde qui s'est invité, comme s'il était une réalité plus active et efficiente, se " servant " de ces images traditionnelles et figées du bouddhisme himalayen.

Ce monde, qui s’est avéré au final prédateur et exploitif, n'avait rien d'antique, de vieux ou de traditionnel. Il m'est apparu comme ultra moderne selon nos critères, un monde de technologies sophistiquées venues de " mondes " parallèles aux nôtres. Il était doté de sciences appliquées psycho somatiques subtiles agissant "par osmose". Elles servaient en particulier à prélever nos énergies subtiles, les échantillonnant par qualités.
Ces activités subtiles étaient dotées de " feed back " (capacités de rétroaction), de coordination et d'auto contrôle cybernétique, etc.

Il m'a semblé que ce monde psychique du tantra bouddhiste n'est pas seulement peuplé de vieux " démons " ou de vieilles " dakinis " rouges, mais mu par des activités de technologies, inconcevables encore pour nous, qui prélèvent notre vitalité subtile, nos énergies de conscience et de vie de manière rationnelle et organisée. Ces activités ne nous renvoient des leurres yoguiques et des images tantriques toutes faites que pour mieux brouiller les pistes, comme pour mieux se cacher derrière. Le monde tantrique serait habité par une réalité technologique subtile, une bio science exploitive venue d'autres mondes, d'autres dimensions imperceptibles de l'expérience consciente et collective, dont nous n'avons encore aucune idée.

Nous ne serions ainsi pas seulement le " bétail des dieux ", comme l'écrit le voyageur tantrika Daniélou. Nous ne serions pas seulement le bétail humain trait pour le lait de notre vitalité et de nos énergies subtiles. Nous serions aujourd’hui dans une sorte d'élevage industriel imperceptible, dont les clôtures barbelées nous sont invisibles, reliés à des dimensions peuplées de collectivités inaccessibles. Leurs activités autonomes s'installeraient progressivement et perceptiblement dans les canaux et plexus subtils à l’intérieur du corps, en particulier lors de l'adhésion au tantra et de l'ouverture dévotionnelle.

Comme vous le voyez personne ne pourra y croire un seul instant, en-deçà de la faculté imaginative suscitée par l’évocation littéraire. Il est impossible de le prouver ou d'en apporter la moindre présomption de preuve. De plus je ne suis pas sûr des limites, ni des enjeux réels de ces phénomènes s'ils existent, ni qu'ils soient strictement limités au monde tantrique. En particulier l’éveil spontané de la kundalini s’apparente aussi à ces phénomènes en terme de symptômes perçus. Il est donc bien difficile chez un tantrika de différencier les activités subtiles qui ressortissent de l’ouverture à sa lignée de lamas, et ce qui est dû à l’activation autonome et universelle de la kundalini en lui. »


http://bouddhanar.blogspot.com/search?updated-min=2011-01-01T00%3A

 

Offrande du cœur d’un enfant né d’une union incestueuse. Le 14ème Dalaï-lama a déclaré : « J’étais assez jeune quand je reçus dans leur totalité les enseignements des visions secrètes du cinquième Dalaï-Lama. Je n’y fis pas très attention à l’époque, mais je me souviens avoir eu d’assez bons rêves ; il en ressort donc que nous avons un lien particulier. Plus tard, à Lhassa, je découvris les oeuvres du cinquième Dalaï-Lama, qui avaient été préservées principalement, je crois, par les Dalaï-Lamas suivants. Parmi elles se trouvent les enseignements très secrets, qui existent sous forme de manuscrits illustrés... Plus tard, en Inde, je me procurai ces écrits et passai plusieurs mois en retraite, faisant les pratiques des Kagyé, de Hayagriva, d’Avalokiteshvara, et d’autres encore. Pour ma part, je considère que j’ai beaucoup de chance : depuis le cinquième Dalaï-Lama, grâce aux aspirations et aux prières, je m’inscris dans la longue lignée de ceux qui portent le nom de Détenteur du Lotus. Et il semble bien qu’il y ait un lien tout à fait particulier avec le cinquième Dalaï-Lama.

» http://bouddhanar-1.blogspot.com/2009/12/offrandes-des-dalai-lamas-iii

Tête humaine fraîchement coupée. Les prétendus experts du bouddhisme tantrique s’extasient devant les rites de sorcellerie sanglante du 5ème Dalaï-lama : « Nous avons ici, dit un illuminé occidental, des représentations remarquables de certains aspects des voies tantriques et des voies du corps de gloire. » L'autre face du bouddhisme Le 8 octobre 2011, durant le colloque Extrémismes religieux, dérives sectaires et thérapeutiques, des participants ont demandé des informations complémentaires sur plusieurs thèmes : Les lamas et le Bouddha de médecine Si des lamas affirment que la méditation peut guérir toutes les maladies, quand ils tombent eux-mêmes gravement malades, ils s'en remettent toujours à la médecine moderne.

Par exemple, les deux hiérarques tibétains qui dirigent un monastère Bönpo du Népal sont en vie grâce à la médecine occidentale. Un vieux Rinpoché, affecté par de graves complications de son diabète, a recours depuis des années aux soins de médecins occidentaux. Le jeune Abbé du monastère, malade de la tuberculose, n'a pas effectué de retraite spirituelle sous les auspices du Bouddha de médecine pour guérir, il a pris lui-aussi l'avion pour être soigné dans l'une des meilleures cliniques de France. Guerre froide & lamaïsme Au début des années soixante, prend naissance le mouvement du Nouvel Age qui rejette les valeurs matérialistes de la société de consommation.

A cette époque, dès 1959, le dalaï-lama, les riches prélats et l'aristocratie tibétaine s'installent en Inde et incarnent la lutte des spiritualistes et des « initiés » contre l'ogre chinois communiste et matérialiste. La guerre froide opposera l'Amérique et ses alliés aux puissances communistes jusqu'à la chute du mur de Berlin. Durant cette période le Nouvel Age et le lamaïsme rencontreront un étonnant succès. En 1960, la Fondation Rockefeller implante huit centres d'études tibétaines aux USA et invite 17 lamas tibétains.

Le Dalaï-lama devient rapidement le chef de file emblématique d’un nouveau spiritualisme newageux. Qui voit la véritable nature du lamaïsme ? Il faut croire que l'amour d'une prétendue sagesse tibétaine rend aveugle. En effet, quand le musée Guimet expose, du 6 novembre 2002 au 24 février 2003, les objets liturgiques et les visions secrètes du Ve dalaï-lama représentées dans le Manuscrit d'or, qui s'indigne des rituels comprenant une tête humaine fraîchement coupée, un cœur d'enfant et d'autres organes ? Un rituel du Ve dalaï-lama est véritablement infernal et utilise du sang humain à la place d'eau lustrale, un cœur et des yeux en guise de fleurs. De la chair humaine brûlante remplace l'encens. Les lampes rituelles sont alimentées par de la graisse humaine fondue. Des tormas (gâteaux d'offrande) sont faites de chair et d'os... Les spécialistes de la religion tibétaine n'ignorent pas que des lamas ont réellement utilisé ces ingrédients dans de répugnants rituels et n'ont pas reculé devant le sacrifice humain. Sir Charles Alfred Bell (1870-1945), chargé des relations diplomatiques du gouvernement britannique avec le Tibet et le Bhoutan, évoque le sacrifice d’enfants dans l’un de ses livres.

Ces spécialistes du Tibet, souvent des professeurs de l'enseignement public et laïque, se taisent sur les crimes du lamaïsme parce qu'ils sont soumis aux lamas tibétains par des samayas (serments initiatiques d'allégeance). Mais ils font ouvertement l'apologie des doctrines tibétaines les plus acceptables. Dans l'un de ces livres Michel Strickmann dénonce cette situation en ces termes : « Des relents d’un exotisme qui fait long feu ont encouragé les pires formes d’esprit sectaire à pénétrer dans les institutions laïques, où aucun apologiste chrétien ne serait jamais autorisé à prêcher ou à enseigner ainsi. Les études tantriques et taoïstes ont été imprégnées de cette ambivalence. Le chercheur occidental, soi-disant objectif, se transforme soudain en apôtre et en crypto-initié, regrettant seulement que son engagement spirituel ne l’autorise pas à vous confier les faits dont il détient le secret. » L'omerta Les convertis au bouddhisme magique du Tibet ne peuvent pas critiquer les enseignements des lamas. La critique, considérée comme une rupture du serment initiatique, est punie de mort. Ce sont les dharmapalas, démons gardiens de la doctrine, qui feraient office d'exécuteurs des hautes œuvres, de bourreaux invisibles du lamaïsme. Le bouddhisme tibétain light Le silence des convertis permet la diffusion d'un bouddhisme tibétain allégé. « Si, dans nos pays, le Bouddhisme tibétain ne fait pas énormément de convertis effectifs et reste un phénomène assez marginal, il s'immisce toutefois de manière continue et insidieuse jusqu'au cœur de nos foyers douillets.

Ce n'est pas tant l'enseignement du Bouddha qui nous pénètre, mais un vocabulaire et une manière d’être, épousés, souvent inconsciemment, par un public de plus en plus large. La tranche de la population susceptible d'être touchée en premier, c'est nous : petits-bourgeois moyens, assis plus ou moins confortablement dans nos névroses et nous débattant avec plus ou moins de vigueur pour parvenir à un bonheur ronronnant et une bonne santé relative. Le BT-light - traduisons : le Bouddhisme tibétain à doses homéopathiques - n'exige pas de nous une conversion radicale. Si le cœur nous en dit, nous pouvons même garder la religion de notre baptême, telle est la grande tolérance du Bouddhisme ! Pour adhérer au BT-light, il suffit d’adopter un langage pacifiste, ouvert, compatissant, et d'afficher le sourire correspondant. Le drapé rouge-orangé est de bon ton aussi, tandis que sandalettes, carpettes et trompettes se procurent sur le site de Sa Sainteté. Un catalogue « Agenda Plus »

- que vous trouverez dans n’importe quelle bonne épicerie bio - vous offre un « condensé sucré » de pratiques qui, de près et de loin, font allusion au Bouddhisme tibétain. C’est que le BT-light se meut avec aisance parmi les nombreux satellites du New Age ! De même qu'avant la Seconde Guerre Mondiale, avec la Théosophie, l'Anthroposophie, les « Amis de Rampa », l’École Arcane, etc., les mouvements du New Age ont aujourd’hui le vent en poupe ; et, de même, ils utilisent un vocabulaire emprunté au Bouddhisme tibétain. L'extraordinaire production du New Age va bien au-delà d'un phénomène de mode. Un siècle après son envol, nous voguons encore entre ses multiples galaxies : une petite cure de massage ayurvédique sur l'une, un pique-nique macrobiotique sur une autre, puis c’est une troisième qui nous ouvre les bras pour une séance de Shambala-yoga..., et pourquoi ne pas finir la soirée sur un air de bio-danza, mariage sacré du Yin-Yang assuré ! Au préalable, n'oublions pas de tirer les cartes du Tarot ou les baguettes du Yi King afin de nous assurer un bon Feng Shui : garantie nécessaire pour réussir à vivre, de l'intérieur, notre spiritualité particulièrement dense ! Ces multiples pratiques se concentrent exclusivement sur le développement de l'individu et la « recherche de soi ». Comme dissolution de l'ego, on peut trouver mieux ! Tout cela est très amusant et peut effectivement apporter un certain épanouissement à beaucoup d’entre nous, mais faut-il oublier pour autant que le New Age est soutenu par une trame ultraconservatrice dont l'objectif inavouable est de désamorcer notre esprit critique ? » (Elisabeth Martens)

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1 juillet 2016

Les channels : le véritable pouvoir du Tashi Lama - le pape noir de l'ordre tibétain.

wallpaper-778642Les channels - les «canaux» en français - sont des médiums qui transmettent des messages de l'au-delà. Le public est supposé croire que ces informations émanent d'êtres spirituels prestigieux, mais la vérité est toute autre. En réalité, il s'agit d'une opération de conditionnement et de propagande qui est sous le contrôle d'entités qui se sont fait connaître en tant que «Maîtres de la Grande Loge Blanche» au 19ème siècle. Par l'intermédiaire d'un initié appelé «le Tibétain», cette Loge a annoncé son intention d'instaurer «le nouvel ordre mondial du nouvel âge». Derrière sa façade d'ouverture, le nouvel âge est une entreprise d'essence totalitaire contrôlée par les illuminati des hauts grades.

C'est à partir de centres secrets du Tibet que cette confrérie occulte a oeuvré au cours des siècles, utilisant le Lamaïsme tibétain comme couverture. Le Dalaï lama est placé à l'avant scène pour dissimuler le véritable pouvoir du Tashi Lama - le pape noir de l'ordre tibétain. Ces occultistes disposent de pouvoirs télépathiques permettant d'influencer le monde par la technique de «focalisation sur un point». C'est ainsi qu'ils ont répandu nombre d'idées que nous croyons modernes par l'emploi des rites répétitifs du lamaïsme qui servent d'amplificateur et de caisse de résonance. Ils projettent leurs pensées dans l'atmosphère à partir des hauteurs du Tibet et les martèlent par des rythmes magiques jusqu'à ce qu'elles se fixent dans nos consciences. Un pacte relie la Loge orientale à l'ordre des Jésuites, mais on ne sait lequel contrôle l'autre.

En se manifestant sous le nom flatteur de Grande Loge Blanche, ces initiés ont influencé des médiums pour répandre la propagande du nouvel âge. Cette opération de subversion spirituelle veut fondre toutes les religions dans la «nouvelle religion mondiale» annoncée par la médium Alice Bailey, disciple du Maître Tibétain. Le new age prépare la religion unique du nouvel ordre mondial par la confusion des principes et l'inversion de la révélation originelle en un culte rendu au monde et à l'homme. C'est le satanisme spirituellement correct. Le new age est entièrement luciférien.

L'enseignement jésuitique du Tibétain alimente les messages des channels et les théories des gourous du new age. Le discours démagogique s'organise autour de l'idéal de «sauver la planète» et de «s'unir dans l'amour». Mais le but réel de cette surenchère de «bonne volonté mondiale» échappe au public qui ne peut comprendre que des paroles de sagesse puissent avoir un sens politique. L'opération nouvel âge rencontre un succès dans tous les milieux car elle répond à l'espérance d'un âge d'or succédant à l'âge noir actuel. Or, rien de tel n'est annoncé dans les annales cosmiques. Selon la chronologie hindoue, l'âge noir - qu'on appelle le Kali Yuga – a commencé 3000 ans avant le Christ, et il doit durer encore 600 000 ans. Malgré l'imposture, les propagandistes du new age ne renonceront pas à leur illusion car ces marchands de rêves ont fait de l'âge d'or leur fond de commerce.

Le but final de cette stratégie est de réaliser la plus grande imposture de tous les temps : livrer le gouvernement mondial à un sauveur providentiel, en jouant habilement sur l'attente messianique enracinée dans les traditions religieuses. Curieusement, ce plan est connu de longue date en Occident, puisqu'il a été prophétisé dans le Livre de l'Apocalypse.

Depuis un siècle, la propagande de la Grande Loge Blanche a parfaitement fonctionné. Grâce aux réseaux financiers et politiques sous le contrôle des cercles d'illuminati, les circuits culturels et scientifiques sont préparés.
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Les channels abreuvent la sphère spiritualiste de messages qui répondent au besoin de compensation d'un public perturbé par les manipulations politiques et qui souffrent dans l'étouffoir matérialiste. Peu à peu, les croyances new age s'imposent dans tous les milieux, car elles proposent une ligne directe vers le monde invisible (guides, êtres de lumière, anges...). Or, ces entités faussement élevées ne sont que des désincarnés rétrogrades en perte de vitalité, et qui recherchent des proies. Certains channels illuminés ont subi un développement occulte négatif qui les a connectés à leur « surmoi karmique » - le « gardien du seuil » - d'où leur prétention et leurs titres aussi prestigieux que grotesques. Victimes d'un mirage colossal, ils trompent en toute bonne foi. Confrontés à la contradiction, ils se réfugient dans une attitude de supériorité spirituelle qui interdit le débat.

Ces messages de désinformation dont nul ne peut vérifier la provenance, mais qu'on présente comme émanant des «plans subtils», sont en réalité des injonctions hypnotiques pour empêcher le public de prendre conscience de la véritable situation mondiale. Car les choses ne vont pas bien pour les maîtres de l'opération nouvel âge. La force de leur propagande est à la mesure de la déstructuration de leur empire sur les plans invisibles. Pour faire face à la crise qui les menace, ils doivent mettre le paquet, au risque de se voir éjecter par de puissantes forces cosmiques. C'est pourquoi, les channels rivalisent d'imagination pour détourner les chercheurs de vérité vers un au-delà fantasmatique peuplé de guides spirituels, d'êtres de lumière et de maîtres ascensionnés, qui ne sont que des vampires menacés d'expulsion par les puissantes forces de renouvellement de l'ère du Verseau. Difficile à croire pour ceux qui sont intoxiqués par les rêves et les châteaux en Espagne des plans subtils ! Depuis ces dernières décennies, la propagande a d'abord mis en valeur le «plan astral», puis au fur et à mesure que des expérimentateurs ont visité ces domaines où séjournent les morts et les rétrogrades des anciennes initiations, on est monté de niveau, en passant au plan mental, puis au plan intuitif et jusqu'au plan causal. Aujourd'hui, des channels prétendent être en contact avec les dimensions non-manifestées, mais les informations qui proviendraient de ces plans ne pourraient pas être mises dans des mots! Toutefois, ne perdons pas de vue qu'il existe d'authentiques initiés qui disposent d'une conscience inter-dimensionnelle. Il ne faut pas confondre ces visionnaires avec les voyageurs de l'astral et autres pèlerins du Shamballah d'opérette. Il est difficile de faire le tri.

Pourquoi les « dieux » siégeant à la frontière de notre univers seraient-ils concernés par nos affaires, et pourquoi ordonneraient-ils des mesures politiques pour changer le monde? Il faut vraiment méconnaître les lois métaphysiques pour croire que le destin karmique de l'humanité pourrait être modifié pour plaire aux idéalistes du nouvel âge qui exigent de vivre dans un monde à leur convenance, alors qu'ils ont généré eux-­mêmes leur malheur depuis des millions d'années! La mystification saute aux yeux de quiconque sait que l'homme est une âme vivante qui s'est projetée dans la matière dense en s'écartant volontairement du centre de l'univers divin. Dans cette situation, au lieu d'admettre humblement que notre vraie patrie est ailleurs, nous préférons nous accrocher au monde et invoquer le ciel pour qu'il transforme la Terre en un paradis. L'idéologie nouvel âge est une aberration qui ne correspond à rien dans l'univers. C'est pourquoi elle se réfère à des autorités prestigieuses pour masquer sa vanité : Christ, Bouddha ou les grands sages de l'Antiquité. «On n'accorde de l'importance à ce qui est dit qu'en fonction de l'autorité qu'on prête à celui qui le dit.» C'est la devise des channels.

Le channel se croit en sécurité puisqu'il ne fait que transmettre des messages. Il ne se sent pas responsable des dégâts psychiques qu'il cause. Mais ses mensonges tuent des âmes.

Les prétentions des channels sont aussi grandiloquentes dans la forme qu'elles sont creuses dans le fond. C'est ainsi qu'un channel se proclame l'incarnation de Saint Michel pour mieux vendre son «eau de la vie» chargée en «ADN christique», et cela en dégoisant des sentences de l'inévitable Tibétain, le grand manipulateur jésuito-oriental du new age.

On ne parle plus explicitement de la venue du Christ-Maitreya, mais on propose une ascension de la Terre vers une autre dimension ! On parle beaucoup moins des Maîtres de Sagesse et de la Grande Loge Blanche qui commence à faire ringard, mais on se gargarise avec la «Hiérarchie Cosmique» et les «Maîtres Ascensionnés». Les «êtres de lumière» font toujours recette, or, ces «guides» s'alimentent de la lumière qu'ils dérobent! Comme notre monde, l'au-delà ne donne rien gratuitement. Il faut savoir que les démons viennent comme des anges de lumière, et que Satan vient comme un homme de paix. Et vous êtes libre de le croire.

Une anecdote. «L'archange Michaël» soi-disant incarné dans une femme nous a tancé pour que nous reconnaissions qui Elle Est (ces personnages mettent une majuscule quand ils disent «Moi»). Nous lui avons rétorqué que ses messages sont indignes de Saint Michel qui combat le Dragon-serpent encerclant notre système solaire, et que nous avons un petite idée de leur provenance. Bien entendu, on ne peut pas convaincre une victime de l'occulte qu'elle est dans l'illusion car un orgueil supérieur la possède. De plus, les entités qui la contrôlent sont des maîtres inflexibles. La mafia occulte veille sur ses casinos et ses filles de saloon.

La nuisance générée par les channels, ces aventuriers des limbes, serait dérisoire s'ils n'étaient au service d'une entreprise de subversion spirituelle dont le but est de mettre la confusion dans l'esprit des chercheurs de vérité. Ceux-ci, souvent purs et sincères, mais ignorant ce qui touche aux plans invisibles, reçoivent tout ce qui vient du «ciel» comme parole d'évangile. Or, l'invisible auquel l'homme a accès n'est rien d'autre que l'envers du monde visible. La parole «nul n'a vu Dieu» est explicite. Les royaumes célestes supérieurs sont hors d'atteinte pour ceux qui ne sont pas libérés.
Le monde divin est inaccessible. C'est une dimension qui se situe au-delà des sept plans de notre univers qui est le seul connu des occultistes. Dès qu'un explorateur de l'occulte entrevoit une faible lueur au-dessus de sa tête, il a tendance à se croire au devachan, trop vite baptisé «monde spirituel» par certains clairvoyants. La lueur de la chandelle peut cacher le soleil. Innombrables sont les dupes qui ont oublié le proverbe : «Si tu vois le Bouddha, tue-le car ce ne peut être qu'une illusion en travers de ta route». Si tu vois un «maître ascensionné», tue-le avant qu'il ne te mange la tête et le coeur.

Le nouvel âge est vénal, et c'est pourquoi son emprise se renforce dans notre société de consommation. Les marchands distribuent les innombrables productions dont le new age a inondé le marché des spiritualités. Qui aurait le courage de dire «ça suffit!» sans risquer la faillite ? Dans un moment de découragement, un libraire parisien nous déclara : «Regardez, ces livres étalés dans mon magasin, c'est de la m... ! Je me prostitue en vendant ces débilités new age». Ce libraire honnête a fermé boutique. Quant aux thérapeutes des médecines douces, ils ont adopté le consensus imposé par le new age. On ne va jamais contre la mode quand on est commerçant. Tout le monde a donc adopté le culte de «l'énergie» et de «l'ouverture des chakras». Or, cela n'est pas sans danger.

La rencontre du yoga et de la psychologie californienne a produit le développement personnel et ses multiples méthodes. Comme son nom l'indique, le développement personnel est le règne de l'ego décomplexé. Il faut «s'aimer soi-même», «aimer son corps», «développer ses pouvoirs latents», «s'harmoniser avec les plans subtils», «faire vivre son moi profond», ou bien «s'unir dans la paix et l'unité», «vivre dans l'amour inconditionnel», et tout ce fatras sirupeux qu'on lit dans la littérature new age. On distribue généreusement de belles paroles creuses mais on n'oublie jamais de passer à la caisse. La lumière, c'est de l'argent.

Parlons un peu de ces chakras qui fascinent tant les profanes depuis que le yoga les a fait connaître dans les années soixante. Compte tenu de l'usage qui a été fait de ces connaissances, les yogis auraient mieux fait de rester dans leurs retraites himalayennes.

Dans les civilisations traditionnelles, les initiés préservaient leurs connaissances en parsemant leurs écrits d'erreurs volontaires afin d'écarter les importuns et «tromper les imbéciles», selon le dicton zen. Une connaissance ésotérique digne de ce nom demeure secrète. C'est pourquoi les écritures sacrées telle que la Bible sont codées. Cela est vrai pour les écrits magico-techniques de l'Inde dont les aphorismes dissimulent des clés qui peuvent signifier le contraire de ce qu'ils semblent vouloir dire. Cela a pour but d'écarter les indésirables vers de fausses pistes, où ils risquent un moindre mal.

Une technique pour élever le taux vibratoire de l'organisme est l'usage du souffle rythmique - le pranayama. Se basant sur les traités en circulation, l'adepte peut parvenir à se soulever jusqu'au plan éthérique. Cette accélération de la rotation des chakras attire une quantité de prana solaire plus importante, d'où un sentiment de bien-être qu'on peut confondre avec une expérience spirituelle authentique, laquelle n'est jamais conditionnée par des techniques magiques mécaniques.

La sphère du new age s'est donc jetée avec avidité sur les méthodes d'éveil des chakras, pour vendre des trucs faciles à un public occidental qui veut des résultats rapides en échange du moindre effort. Compte tenu de leurs méthodes dérisoires, les chakras de nos yogis de salon ne risquent pas d'exploser et leur kundalini peut dormir tranquille, ou au minimum stimuler des crises sexuelles qualifiées hâtivement «d'expérience tantrique».

Pourquoi les véritables initiés ont-ils mis des embûches pour égarer les curieux? Parce qu'un mystère sacré doit rester à l'abri des «mains sales» - expression pour signifier que celui qui s'approche du sacré avec indignité s'empoisonne et peut se rendre malade.

Les écrits hermétiques qui traitent de la transmutation du corps ont voilé les secrets de cette transformation dans un langage alchimique obscur. La vraie Lumière est intérieure mais on la cherche au dehors, dans le ciel où ne brillent que les néons de l'illusion.

Il y a un secret sur les chakras et leur mode de rotation. Les chakras, qui sont des «roues» attirant les énergies subtiles dans le corps, tournent toujours dans le même sens dans les conditions naturelles. Lorsque l'âme immortelle est éveillée en l'homme, alors le sens de rotation des chakras s'inverse. Cette «conversion» permet d'attirer dans l'organisme des énergies nouvelles provenant des dimensions divines. Ces forces sacrées sont donc protégées de toute captation par des profanes qui n'auraient pas accompli le processus régulier de purification qu'on appelle la «mort de l'ego». Ni le développement personnel, ni le pseudo yoga ne peuvent inverser la rotation des chakras, car ce renversement énergétique dépend de la naissance effective de l'âme divine. A l'opposé, l'ouverture des chakras par amplification de la puissance énergétique naturelle ne conduit qu'à une liaison plus forte avec les plans invisibles des basses hiérarchies. C'est le piège occulte.

Les channels, comme les médiums sont des êtres qui se sont livrés durant une vie précédente à un développement magique rétrograde. Comme les médiums, ils disposent parfois d'un don de prédiction mais c'est une infirmité sur le chemin spirituel. Ils captent des informations mais à la manière des envoûtés. Ils ne maîtrisent rien. Ce sont des sangsues. Ils ont besoin de faire de la publicité pour trouver toujours plus de victimes, et élargir le cercle d'influence des « coques » qui les manipulent. (Les coques sont des entités désincarnées qui restent attachées à la Terre)

Leur ego est branché sur leur surmoi subconscient qu'ils confondent avec le Soi. Ils ont une habileté de dissimulation qui leur permet de se faire passer pour des «serviteurs de la lumière». Ce sont des faux prophètes quoiqu'ils puissent être sincères, car ils sont éblouis par la lumière de Lucifer. Aveugles, ils guident les aveugles et orientent leurs disciples sur la «voie large» des mirages de Maya, le reflet de la Réalité.

Ils manifestent leur égotisme par des titres prestigieux comme cette femme qui se présente en tant qu'incarnation de l'archange Michaël pour vendre ses grigris.

Comment peut-on déchoir jusqu'à se prendre pour l'archange Saint Michel ? Dès le départ, il faut brûler du désir de devenir quelqu'un dans la pyramide luciférienne. Or, les places au sommet sont rares et il est difficile de se frayer un chemin jusqu'à la cour du «Prince». En réalité, lorsqu'on observe les channels, ils remplissent des rôles peu honorables, comme les rabatteurs de foire qui haranguent les badauds. Ils sont eux-mêmes exploités mais ils aiment se croire au-dessus du panier. Le channel n'est qu'une péripatéticienne qui travaille pour les souteneurs de l'au-delà.

En résumé, les channels sont contrôlés par une Loge occulte qui poursuit un but politique la confusion spirituelle. Ces channels sont investis de la mission de diffuser des messages à caractère pseudo-spirituel. Ces révélations creuses n'offrent jamais de perspective libératrice mais au contraire, elles brident la découverte de la vérité. Elles brouillent les ondes de l'ère du Verseau par une caricature de spiritualité, afin de faire barrage à la vérité.

source : tiré du livre de joel la bruyère   Dixit Satanas

23 mars 2016

Conspiration Cybernétique & lamaïsme

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Le Manuscrit d'Or du cinquième dalaï-lama est un monstrueux Vade-mecum de magie noire. Il contient des rites macabres nécessitant des ingrédients répugnants. Selon le cycle du rD-rje gro-lod gnam-lcags ‘bar-ba, l’encens est remplacé par la chair humaine brûlante (sha-chen-gyi bdug-spos), les lampes sont alimentées par de la graisse humaine fondue (tshil-chen-gyi mae-me), le sang remplace l’eau rituelle, les fleurs sont substituées par des yeux… Une peau humaine (g.yang-gzhi) et un crâne sont utilisés par les magiciens tantriques qui suivent les instructions données par le Zur Chos-dbying rang-grol. L’initiation à la déesse gSang- sgrub, un aspect particulier de dPal-dan lhamo (la protectrice du dalaï-lama), demande une tête humaine fraîchement coupée.

La barbarie qui émaille la « spiritualité » du cinquième dalaï-lama n’émeut personne. Elle passe totalement inaperçue, noyée dans le courant d’éloges et d’émerveillement inconditionnels qui transporte le bouddhisme tantrique au cœur des nations modernes. De nombreux artistes et des intellectuels succombent à la fascination du lamaïsme magique et… sanguinaire. Mais qui veut voir les coupes crâniennes remplies de sang représentées sur presque tous les tangkas ? Les tantras les plus obscènes et les moins ragoûtants sont traduits et qualifiés de révélations merveilleuses.

L’attrait du lamaïsme s’explique-t-il par des influences occultes ? Nombre d’Occidentaux sont fascinés par les pouvoirs surnaturels, les fameux siddhis qui apparaissent en corollaires de l’évolution spirituelle. Malgré les avertissements traditionnels, des adeptes du lamaïsme entretiennent l’espoir secret de maîtriser des forces qui permettent de lire dans les pensées, de prévoir l’avenir, d’opérer des matérialisations, de rendre des objets invisibles, de pénétrer dans des corps étrangers et de pratiquer la lévitation. Pantañjali évoque ces pouvoirs surnaturels dans son « Yoga-soutra ».

Aujourd'hui, l'auteur de Conspiration Cybernétique a aimablement apporté sa contribution afin de nous permettre d'échapper aux manipulations des érudits tibétologues et autres propagandistes du lamaïsme. Il écrit :
« Dans mon livre Conspiration Cybernétique, j'explique notamment que le principe de réincarnation des TULKU est un mode de manipulation magique qui n'a pas séduit que les seuls lamas. Je pense que cette façon de maintenir des trames en activité au delà des règles propres à la manifestation terrestre d'une incarnation régulière, se pratique également pour le maintient de certaine dynasties à l’œuvre pour la domination du monde. Ce n'est donc pas un hasard si tout ce beau monde fait un si bon ménage.
Je décris les 2 voies possibles : soit par la transmission d'un patrimoine spécifique d'ADN et ou par le transfert d'une trame dans un nouveaux corps utilisé ensuite pour sa spécificité biologique réceptacle d'une entité propre à la dynastie en question. Par exemple, le grand-père renaît corps et âmes si l'on peut dire à travers le petit fils, etc.
Cela afin de garder l'emprise de la dynastie sur un empire financier et pour la poursuite d'un plan hégémonique caractérisant les eugénistes dans la tradition des fameux dieux venus du ciel... Autrement dit, les usurpateurs de l'humanité primordiale se sont maintenus contre vents et marées, tout comme les 14 incarnations du Dalaï-lama... Il est clair que si ces créatures avaient œuvré pour le bien de l'humanité nous n'en serions pas là.
L'objectif de la Conspiration Cybernétique est aussi de mettre en avant l'hypothèse que des changements en profondeur s'opèrent dans les constructions astrale des égrégores propre à ces trames. La dissolution est en cours et l'usage de cette magie ne pourra plus fonctionner par la redistribution des cartes qui vient. Il s'agit bien d'une mise à zéro des compteurs ce qui va permettre la reprise d'une trajectoire en vortex ascendant pour l'humanité et toutes les autres formes de vie terrestre. Il ne s'agira plus de la logique d'un cercle tournant sur lui même, rejouant en permanence le même film.
Par ailleurs, il est utile de dire que l'exploitation de la fission nucléaire à largement contribué aux dérèglements des plans éthériques, sabotant au passage la manifestation d'instructeurs clairvoyants destinés à l'accompagnement de l'humanité dans les changements en cours. Voilà une des raisons qui font que des êtres d'exception se sont retrouvés catapultés dans des existences ne leurs permettant pas d'accomplir leurs tâches... Voilà également pourquoi des cercles occultes ont mis en place de prétendus instructeurs, Paraclet et autre Maitreya... Et voilà pourquoi les gourous ont pris le pouvoir dans les consciences occidentales durant les années 50 et 70. Il s'agissait bien de remplir un vide sidéral implacable. D'autre part, l'énergie propre a une espèce répond à des exigences particulières pour le maintient de cette derrière sur le plan concordant avec son niveau d'évolution. Dans le cas de l'espèce humaine, le sabotage est parfait. L'intoxication chimique des corps et la démence organisée conditionnent globalement la destinée de l'espèce. Autrement dit, l'humanité est plaquée sur la note exclusive du sol alors que nous devrions bénéficier de toute la gamme. Il est clair que si cela était à nouveau possible nos formidables facultés nous permettraient de voir les ordinateurs pour ce qu'il sont c'est à dire des machines inutiles appartenant à une histoire révolue.
Voilà pourquoi un monde entièrement virtuel se construit sous nos yeux. Cet univers virtuel permet à ces entités aux abois d'accéder à la vie éternelle, qui leur fait défaut, grâce aux circuits de la sphère électromagnétique et bientôt quantique. Les plans supérieurs leur sont définitivement interdits, il n'ont alors pas d'autre choix que de créer de toutes pièces un monde de secours.
Ce n'est pas drôle car dans cette perspective il est clair que l'humanité laborieuse est obsolète. Le transhumanisme est là pour nous en convaincre. Ce n'est pas une illusion mais une triste réalité, car l'illusion est de croire que tout n'est qu'illusion, et le New Age est là pour nous y faire croire. »
5 novembre 2014

Au Tibet, des magiciens faiseurs de temps

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Au Tibet, magiciens faiseurs de temps

par le Dr André Migot
Pour de nombreux lecteurs, le seul nom de Tibet évoque des phénomènes mystérieux et surnaturels, une certaine littérature leur ayant présenté, de ce pays, un tableau romancé où l’on voit, à chaque détour du sentier, un ascète nu faisant fondre la neige autour de lui ou volant à travers l’espace.
Certes, des phénomènes supranormaux existent et j’ai pu en constater quelques-uns au cours des longs séjours que j’ai faits au Pays des Neiges. Mais ils sont rares. Les vrais thaumaturges ne se montrent pas et il faut vivre longtemps dans leur intimité pour connaître leurs pouvoirs.
Par contre, les pratiques magiques y sont très répandues.
Les images que ce texte accompagne se rapportent à l’une des plus curieuses : éloigner la grêle destructrice des récoltes ou au contraire faire tomber la pluie en cas de sécheresse. Dans les deux cas, le rôle du sorcier est d’agir sur les démons maîtres du temps et de les contraindre à lui obéir en pratiquant des rites spéciaux accompagnés de la récitation de formules appropriées. Pour comprendre l’importance de ces cérémonies magiques dans la religion tibétaine, il est nécessaire de dire quelques mots de ses origines.
Lamaïsme et magie
Cette religion, connue sous le nom de lamaïsme, représente une forme très spéciale du Bouddhisme, n’existant qu’en Mongolie et au Tibet. Lorsque le Bouddhisme pénétra dans ce pays au 7ème siècle de notre ère, il s’était déjà beaucoup éloigné de la doctrine primitive et avait constitué une nouvelle forme dite « tantrique » fortement imprégnée de magie. Au Tibet, il rencontre une religion autochtone très puissante : le Bön, culte de divinités naturelles, bonnes ou mauvaises, qu’il convenait de remercier ou d’apaiser par des sacrifices et des rites magiques. C’est de la fusion du Bouddhisme tantrique et du Bön, qu’est né le Lamaïsme ; et cela explique qu’il ait conservé jusqu’à nos jours, un aspect rituel et magique très prononcé.
La religion bön a survécu, mais elle s’est si bien assimilée au Lamaïsme qu’un monastère bön actuel ne diffère d’une lamaserie que par des détails peu importants, comme j’ai pu m’en rendre compte en visitant celui de Denchin-gompa dans l’Est tibétain.
Mais en dehors de ces monastères, il existe des religieux bön-po qui continuent à pratiquer la magie primitive. Ce sont des isolés, vivant dans des ermitages ou errant de village en village, vendant des charmes et des amulettes, prédisant l’avenir et pratiquant des rites magiques pour le compte des paysans. Ils sont généralement spécialisés et c’est parmi eux que se trouvent les « faiseurs de temps ».
Les bön-po n’ont pas d’ailleurs le privilège de ces pratiques magiques et de nombreux religieux appartenant au clergé lamaïque sont généralement spécialisés dans ce domaine. Chaque monastère, même dans la secte réformée des « bonnets jaunes », compte parmi ses membres quelques sorciers que l’on consulte en de nombreuses circonstances. Il existe même dans les grandes universités lamaïques de Lhassa des collèges spécialisés dans l’enseignement de la magie. Les religieux qui ont obtenu le diplôme de docteur de ces universités sont en général attachés aux grands monastères de la capitale. Ce sont les « maîtres de conjuration », intellectuels de la magie, tandis que les sorciers ordinaires sont des empiriques, généralement ignares, ayant reçu d’un maître l’enseignement traditionnel « de la bouche à l’oreille ».
Dzogchen-gompa
Certaines sectes ont une notoriété spéciale dans ce domaine, en particulier celle du « Grand Accomplissement ». En mai 1947, lors de mon premier voyage au Tibet, j’ai eu l’occasion de faire un séjour prolongé dans l’une de ses plus importante lamaserie : Dzogchen-gompa, située dans l’Est tibétain et d’y assister à certaines pratiques magiques.
Ce monastère est bâti dans un site admirable et je n’ai jamais vu, dans aucun pays du monde, de lieu plus manifestement prédestiné à la vie contemplative. Tapi dans un vallon élevé, oasis de verdure semblant suspendu dans le ciel, il fait face à un grand cirque boisé qui se perd dans les contreforts d’un puissant massif glaciaire qui domine le vallon de sa masse étincelante. C’est dans cette forêt escarpée que se trouvent les ermitages des lamas contemplatifs et des magiciens ; et j’ai pu y passer quelques jours dans une hutte contiguë à la maisonnette de l’un de ceux-ci. Bien qu’appartenant à la secte des lamas voisins, il menait une existence très indépendante, n’ayant guère de relations avec la lamaserie et se déplaçant au gré de ses occupations. Très peu communicatif, il me fut difficile de l’apprivoiser, mais sa qualité de confrère-médecin, et le don de quelques comprimés d’aspirine, me permirent cependant d’entrer dans ses bonnes grâces, ce qui est fort appréciable lorsqu’il s’agit d’un thaumaturge doué de pouvoirs redoutables !
Le Costume des lamas sorciers
Le costume habituel des sorciers est semblable à celui des lamas de la « secte rouge », mais au lieu d’avoir le crâne rasé, ils laissent pousser leur cheveux longs, les allongeant encore par des fils de laine nattés, l’ensemble noué en un chignon volumineux, véritable turban surplombant la tête. Pour les cérémonies importantes, ils passent, par dessus la robe de laine, une sorte de veste de soie et une étole également en soie. Le tissu en est parfois fort beau, mais le luxe de ce vêtement dépend évidemment des moyens financiers de l’officiant, et les magiciens errants ne possèdent souvent qu’une pauvre veste de soie sale, usée et rapiécée.
La pièce essentielle du costume est un chapeau spécial réservé aux cérémonies magiques. Il se compose d’une couronne de six pétales fixés autour d’un bonnet et formant une sorte de diadème. Chacun de ces pétales est fait d’une plaque de carton ou de métal doré, au centre de laquelle est peinte ou ciselée l’une des six syllabes de la fameuse invocation : « Om ma-ni pa-mé hum ! » véritable leitmotiv de la prière tibétaine.
Les instruments
Certains des instruments utilisés pour les cérémonies magiques appartiennent à l’arsenal habituel du culte lamaïque : le « dordjé », petit sceptre de cuivre symbolisant la flèche d’Indra exterminant les démons, la clochette, le « damarou », petit tambour (souvent fait de deux calottes crâniennes accolées et tendues de peau), les vases d’offrandes. Mais quelques autres sont spéciaux aux rites magiques : la dague de bois ou de métal dont la courte lame triangulaire est munie d’ailerons latéraux, tandis que la poignée est terminée par une tête de cheval représentant le démon tutélaire : Tamdin. Ce poignard est l’arme essentielle de la lutte contre les démons. Le miroir de métal enfin, est surtout utilisé pour la divination.
Les cérémonies magiques doivent se dérouler selon des règles très précises, indiquées dans des livres spéciaux ou tantra, que les officiants suivent scrupuleusement car la moindre erreur matérielle ferait perdre toute efficacité à l’opération. j’ai souvent assisté à la confection de mandala ou cercle magiques : un lama lit lentement le texte du tantra correspondant, tandis que ses collègues tracent avec un soin religieux le dessin compliqué, disposant minutieusement les fils et les poudre colorées, reprenant le texte, vérifiant si leur travail est bien conforme au rituel. Celui des « faiseurs de temps » est surtout fondé sur les tables astrologiques très utilisées au Tibet dans de nombreuses circonstances.
Comment chasser les orages
Les rites des « faiseurs de temps sont très archaïques et ils se sont vraisemblablement conservés sans grand changement depuis l’époque des sorciers pré-bouddhiques. Le but de la cérémonie est d’assurer la protection de la maigre moisson d’orge des paysans contre les orages et les chutes de grêle. Pour y parvenir, le sorcier utilise sa puissance magique dans une lutte sévère contre les forces naturelles, non pour les détruire, mais pour les détourner de leur cours. Il ne s’agit pas en effet de détruire un orage qui s’approche ou de l’empêcher de se résoudre en grêle, mais de le détourner vers une région autre que celle où opère le sorcier.
Les opérations préliminaires sont effectuées au printemps. Une procession des habitants du village conduite par le « faiseur de temps » se dirige vers un des sommets dominant la région. Chacun des participants porte un vestige animal : crâne de cheval, de mouton ou de chien, peau ou squelette de renard, de corbeau, de serpent ou de toute autre bête, préalablement rempli de bandelettes de papier inscrites de formules magiques, le tout entouré de fils de laine de cinq couleurs différentes. Un trou est creusé sur ce sommet, un feu y est allumé et chacun y jette ce qu’il avait apporté, tandis que le vent des hauts plateaux attise la flamme jusqu’à combustion complète. Des pierres sont alors amassées sur l’emplacement du bûcher pour former un petit cairn, à l’intérieur duquel on enferme parfois quelques flèches, un fer de lance ainsi qu’une image de l’oiseau mythique Garuda, monture de Vishnou et protecteur de la secte Bön.
Sur le cairn sont alors construits un certain nombre de petits édifices fragiles désignés sous le nom de « croix de fils », ils sont constitués par des baguettes entrecroisées autour desquelles on enroule des fils de laine de diverses couleurs. A la fin de la cérémonie, des rameaux de bouleaux agrémentés d’une plume blanche sont distribués aux assistants à la manière de nos rameaux bénits ; ils seront ultérieurement plantés dans les champs où ils joueront le rôle d’emblèmes protecteurs.
En dépit de la protection apportée par les « croix de fils », le rôle du « faiseur de temps » n’est pas terminé pour autant et c’est pendant l’été, saison des orages et de la grêle, qu’il devient capital, exigeant de lui un savoir, une vigilance et une décision de tous les instants. Il s’installe pour toute la saison dans une hutte spécialement édifiée à son intention par les villageois, sur un sommet d’où l’on jouit d’une vue très dégagée sur toute la région. Il peut ainsi surveiller le ciel et voir approcher les gros nuages annonciateurs de l’orage ou de la grêle, ce qui lui permet, s’il est suffisamment vigilant et compétent, d’agir à temps pour les arrêter.
Un bon « faiseur de temps » est capable de se rendre compte très rapidement du danger et de la menace de grêle qu’apporte le nuage qui approche, et il possède pour cela un certain nombre de moyens. L’un d’eux consiste à examiner l’image d’un nuage réfléchie sur une couche d’eau, au fond d’un large récipient plat fait d’un alliage spécial de cinq métaux précieux. Certains caractères de cette images lui indiquent si le nuage examiné apporte ou non la grêle, s’il risque d’éclater sur le village, mais il est impossible de connaître ces caractères qui sont le secret jalousement gardé du « faiseur de temps ». D’autres indications lui sont données par la sonorité de son damarou, ce petit tambour double dont nous avons parlé. Si elle est élevée « joyeuse » selon l’expression tibétaine, aucun danger ne menace le village ; si elle est au contraire assourdie, « menaçante », le danger de grêle est imminent et grave et il faut agir au plus vite pour le conjurer.
Le « faiseur de temps » se retire alors rapidement dans sa hutte. Brandissant son poignard magique, il récite des mantras destinés à influencer les divinités protectrice de la sectes à laquelle il appartient, à les « contraindre » à se faire ses auxiliaires dans la lutte contre les démons de l’orage. Nous avons vu que le « faiseur de temps » n’a pas la prétention de supprimer les nuages de grêle ou de les empêcher d’éclater sur le village dont il a la garde, son but est tout simplement de les détourner de leur cours naturel pour les orienter vers une autre région.
Si les paysans de la dite région ont également à leur service un « faiseur de temps » qualifié, vigilant et puissant, celui-ci renverra à son tour les nuages dans une autre direction. Cette lutte entre les pouvoirs des magiciens et les forces de la nature continuera jusqu’à ce que les nuages d’orage arrivent à proximité d’un village non protégé ou n’ayant à son service qu’un « faiseur de temps » incapable ou négligent ; n’étant arrêté par rien , ils fondront alors sur le village avec une force redoublée au grand détriment de la récolte qui risque d’être anéantie. Le malheureux magicien incapable ou négligent perdra évidemment toute la rémunération de son travail qui est toujours payé après la récolte, et seulement si elle est bonne. Il perdra également sa réputation et ses futurs engagements et sans parler de la sévère correction qu’il risque de recevoir des mains des paysans, furieux d’avoir été trompés et d’avoir perdu leur récolte par la faute de cet ignorant.
Heurs et malheurs des « faiseurs de temps »
Nous avons vu que la magie était utilisée dans toutes les sectes lamaïques, même dans la secte réformée des « bonnets jaunes » qui constitue l’Eglise officielle du Tibet, et à laquelle appartiennent le Dalaï-lama et le Panchen-lama. Nous avons également vu qu’il existe des collèges de magie dans les grandes universités lamaïques de Lhassa, et le gouvernement tibétain utilise les services réguliers de trois « faiseurs de temps », docteur ès-sciences magiques diplômés de ces universités.
Leur tâche essentielle consiste à empêcher la grêle de tomber dans le parc de Norbulingka, résidence d’été du Dalaï-lama dans la banlieue de Lhassa, ainsi que sur les fameux toits d’or du Potala, le palais-forteresse-monastère qui domine de sa masse puissante la capitale tibétaine et qui est le siège officiel du Dalaï-lama et du gouvernement tibétain. Une telle atteinte de la citadelle religieuse du Tibet serait en effet considérée par les Tibétains comme un présage funeste.
Ces trois « faiseurs de temps » officiels opèrent à tour de rôle. A titre de bénéfice, ils reçoivent du gouvernement la concession de terres de bon rapport et sont par ailleurs, autorisés à utiliser leur science pour le compte de particuliers, ce qui leur assure de substantiels revenus.
Mais leur haute situation est fragile, car un échec se traduisant par une chute de grêle sur l’un des deux emplacements privilégiés risque de leur attirer de très graves ennuis, et un certains nombre d’anecdotes circulent dans le peuple sur les heurs et les malheurs de ces grands personnages. On cite de belles réussites comme en ce jour fameux où la grêle cribla littéralement la campagne alentour du parc de Norbulingka sans qu’un seul grêlon atteignît l’intérieur du cercle magique tracé par le sorcier autour du domaine sacré. Par contre, un autre jour, la grêle ayant littéralement ravagé le parc du Dalaï-lama, le Régent, furieux, envoya chercher le « faiseur de temps » responsable, dans l’intention de le châtier sévèrement. Mais celui-ci déclara qu’il n’était en rien coupable, n’ayant pas le pouvoir de s’opposer à la volonté des dieux. Ceux-ci avaient, en effet, voulu prévenir par ce signe le Dalaï-lama qu’un danger imminent menaçait le peuple tibétain. Et pour prouver que sa compétence magique n’était pas en cause, il versa, sous les yeux du Régent, de l’eau dans un tamis sans qu’aucune goutte ne le traverse. Peu après cet incident, une grave épidémie de variole fit en effet de nombreuses victimes jusque dans l’entourage immédiat du Dalaï-lama.
Comment faire tomber la pluie ?
Le rôle des « faiseurs de temps » n’est pas uniquement d’éloigner la grêle, mais aussi de faire tomber la pluie en cas de sécheresse persistante. Ce cérémonial se rattache à un très vieux culte pré-bouddhique et même pré-aryen appartenant au fond le plus archaïque des religions indiennes : le culte des dieux-serpents habitant les sources et les rivières et considérés comme les divinités des eaux a persisté jusqu’à nos jours au Tibet, et le rituel actuellement utilisé par les « faiseurs de temps » est attribué à Tsong-kha-pa, le grand réformateur de la secte des bonnets jaunes.
Lorsque la sécheresse persistante devient inquiétante pour les cultures, on commence par organiser une procession des femmes du village, chacune portant sur son dos un des énormes livres sacrés de la lamaserie voisine ; en longue file elles tournent ainsi autour du village et des champs qui en dépendent. Si cette procession ne donne pas de résultats, on convoque le « faiseur de temps » qui procède alors à la cérémonie selon un rituel très compliqué.
L’officiant lave d’abord soigneusement le lieu où se déroulera la cérémonie, puis il y dépose une image de Tsong-kha-pa, des fleurs non vénéneuses, un gâteau blanc et un vase précieux dans lequel il place des pilules magiques, des fleurs et des épices tout en répétant cent huit fois le mantra de Tsong-kha-pa. Après avoir recouvert le vase d’un tissu rouge, il adresse aux dieux-serpents le petit discours suivant : « O ! vous, tous, nagas grands et petits, je viens vers vous non pour vous nuire mais pour vous demander de faire tomber la pluie, pour le grand bien des êtres et particulièrement des habitants de ce village. Vous savez que c’est Tsong-kha-pa qui vous a ordonné de m’obéir et si vous ne le faites pas, je vous briserai la tête par la puissance de mes mantras. Ecoutez-moi donc, et ne quittez pas ce lieu avant que la pluie ne tombe. » Après quoi, le lama continue la récitation de ses mantras tout en déposant des offrandes de nourriture, de pierre et de matériaux précieux devant les sources, les lacs et les rivières du voisinage, de façon à apaiser les divinités que les gens du village auraient pu mécontenter.
Finalement, un édifice magique très compliqué est construit dans un champ proche du village. Ce « palais de fils » ressemble un peu aux « croix de fils » dont nous avons déjà parlé, mais il est beaucoup plus élaboré et de taille beaucoup plus grande, pouvant atteindre jusqu’à quatre ou cinq mètres de hauteur. C’est un assemblage de baguettes et de fils de laine de couleurs diverses formant une élégante petite maison à claire-voie destinée à attirer et à abriter les esprits des eaux ; on espère, en effet, que cet aimable accueil les décidera à dispenser la pluie aux gens du village. La construction de ce palais de fils est longue et difficile, d’autant plus qu’elle doit obéir à des règles précises. Elle peut demander jusqu’à trente kilomètres de fils de laine, les doigts très habiles d’un spécialiste et plusieurs jours d’un travail patient et délicat.
Lorsque la sécheresse atteint toute une province, le gouvernement tibétain complète le travail des « faiseurs de temps » par des mesures officiels telles que l’interdiction des cérémonies pour empêcher la pluie. Cette défense pourrait apparaître sans objet, mais dans ce pays d’individualistes forcenés, il peut arriver que, en dépit de la sécheresse, quelques braves Tibétains fassent un sacrifice magique pour que la pluie ne vienne pas troubler la construction de leur maison, une fête de famille ou des danses lamaïques dans le monastère voisins !
Comme on le voit, les méthode utilisées au Tibet, pour lutter contre les dérèglements de la nature, sont pleines de poésie, d’imprévu et de fantaisie. Ont-elles plus ou moins d’effets que celles, d’apparence plus scientifique, que nous utilisons en Occident ? Il est bien difficile de le savoir avec certitude. Elles ont au moins l’avantage de passionner les Tibétains et de leur apporter un sentiment de sécurité métaphysique que nous sommes bien incapables d’éprouver, n’ayant pas la précieuse ressource de mettre sur le compte des dieux certains résultats qui pourraient paraître défavorables à des esprits superficiels, et que notre manque total de subtilité nous ferait naïvement considérer comme des échecs.
http://bouddhanar-1.blogspot.fr/2010/04/au-tibet-magiciens-faiseurs-de-temps.html
27 février 2014

POUR EN FINIR AVEC LES MENSONGES AU SUJET D'UNE PSEUDO ECOLE DE "SAGESSE",

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« Les divinités courroucées du bouddhisme tibétain et mongol relèvent d’une violence symbolique dont on peut se demander si elle constitue le retour du refoulé, un exutoire à la violence réelle, ou au contraire son reflet, voire sa cause profonde.

 

Il faut bien avouer qu’au cours de son histoire mouvementée, le bouddhisme a bien souvent été du côté du manche. Car avec ses pouvoirs occultes, sa magie noire, il dispose d’armes surhumaines capables de détruire les démons. Qui sont les démons ? [...] Dans chaque camp, des prêtres tantriques ourdissent des sorts.

 

 Bien sûr il faut choisir le camp de l’opprimé. Mais à long terme toute cette béatification aura des effets négatifs, quand on s’apercevra que le bouddhisme d'Hollywood est un mythe. »

 

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Bernard Faure

Professeur d’Histoire des Religions

Université de Stanford, Californie.

POUR EN FINIR AVEC LES MENSONGES
 
 
AU SUJET D'UNE PSEUDO ECOLE DE "SAGESSE",
 
AUTHENTIQUE VOIE DE PERDITION SPIRITUELLE.

Le bouddhisme bénéficie en Occident, fallacieusement, d’une aura de respect et de déférence, ceci participant de son image de non-violence, de sagesse et de sainteté, image qui est pourtant bien loin de correspondre à la réalité des faits. L’histoire démontre ainsi que le bouddhisme, loin d’avoir été la douce et bienfaisante école diffusant les préceptes du Bouddha (l’Eveillé), fut une entreprise qui ne dérogea pas à la règle commune de toutes les institutions religieuses mondaines, et épousa, avec un enthousiasme certain qui se traduira par des exactions sanguinaires, les thèmes les plus éculés de l’agressivité guerrière et belliqueuse, et, sous prétexte d’une ouverture « non-dualiste » à l’ensemble de la réalité phénoménale, se livra avec délectation au jeu pervers des déviations sexuelles outrées issues des reliquats des anciens cultes issus directement des tendances déviées du chamanisme.

Le bouddhisme tibétain est assez représentatif de cette attitude, ses différentes tendances ayant toujours exercé un pouvoir s’imposant comme une théocratie relativement oppressive et contraignante pendant des siècles. En effet, le Tibet fut soumis à un régime exclusif de servage exercé par les propriétaires terriens nobles, fonctionnaires et moines " bouddhistes ", servage souvent très oppressif : « Dans le Tibet, les prêtres détiennent la toute puissance, il s'agit d'une théocratie authentique où les pouvoirs absolus sont entre les mains d'un dieu réincarné. Les lamas ne sont plus seulement les juges, les instituteurs et les médecins, ils sont encore les plus riches propriétaires fonciers, les chefs politiques; outre les revenus qu'ils retirent des fermiers, ils exigent cadeaux et monnaies pour toute visite rituelle, toute bénédiction, toute cérémonie, la simonie est une loi rigoureusement appliquée.... » (R. Loup, Martyr au Tibet, Fribourg, 1950) .

De son côté, dans « Visa pour le Tibet »  Alan Winnington parlera du lamaïsme comme d'une « religion mécanique » considérant le travail des classes laborieuses comme dû par simple obligation naturelle à l'égard des moines qui n'hésitèrent nullement à s'allier aux nobles pour les exploiter d'une manière scandaleuse. Son constat  sur l'état de pauvreté indigente de la majorité des laïcs est frappant. Les châtiments corporels étaient d'une barbarie primaire, sachant que, du début du dix-septième siècle jusqu’au sein du dix-huitième siècle, les écoles rivales (Nyingmapa, Sakyapa, Kagyupa, Guélugpa) se livrèrent à des affrontements armés et à des exécutions sommaires d’une rare férocité, ce qui n’est pas sans quelques rapports avec l’univers spirituel du panthéon bouddhique, fleurissant de divinités plus terrifiantes et courroucées que franchement paisibles, images destinées à frapper l'imaginaire des fidèles, courbant l’échine devant une religion médiévale chargée d’un paganisme idolâtre exaltant les éléments naturels et les forces intermédiaires (esprits, puissances, etc), usant et abusant de la sorcellerie, ployant devant des superstitions ridicules, et surtout sollicités dans l'observance des préceptes en raison de leur « bienveillance matérielle », sonnante et trébuchante (au sens propre et figuré) à l'égard des religieux.
 
 
Il apparaît ainsi, que loin d’avoir été le royaume idéal consacré à  « l’Eveil » selon les caduques images d’Epinal, le Tibet vécu dans l’oppression obscurantiste d’une religion théocratique se distinguant par un cléricalisme infiniment supérieur aux pires égarements du christianisme ; n’oublions-pas que dès le treizième siècle l'Empereur Kublai Khan créa le premier Grand Lama qui devait présider tous les autres lamas à l'instar d'un pape qui préside ses évêques. Plusieurs siècles plus tard, l'Empereur de Chine envoya une armée au Tibet pour soutenir le Grand Lama, un homme ambitieux de 25 ans, qui s'était alors donné le titre de Dalaï (Océan) lama, dirigeant l’ensemble du pays (ce n’est d’ailleurs pas une  mince ironie de l’histoire que de constater que le premier Dalaï-lama fut installé par une armée chinoise…).
Pour élever son autorité, le premier Dalaï-lama saisira les monastères qui n'appartenaient pas à sa secte, et détruisit même les écritures bouddhistes qui étaient en désaccord avec sa revendication à la divinité. Le Dalaï-lama qui lui succéda poursuivit une vie sybaritique, jouissant de la compagnie de maîtresses licencieuses excitées par les pratiques tantriques les plus « endiablées », faisant la fête et agissant d’une manière peu conforme à une divinité incarnée. Pour cela, ce que nous cachent les pieuses hagiographies des ignorants bouddhistes occidentaux, il fut éliminé par ses prêtres. D’ailleurs durant 170 ans, malgré leur statut reconnu de « dieux », cinq Dalaï-lama furent assassinés par leurs grands prêtres ou par d'autres courtisans !


 
De leur côté, loin d’être en reste vis-à-vis de leurs homologues tibétains, nombre des maîtres bouddhistes zen, ne se sont pas contentés d'être des complices muets du pouvoir impérialiste japonais pendant des siècles, mais sont devenus, particulièrement à compter de l’ère Meiji (XIXe) des idéologues ardents de la politique nationaliste, encourageant et légitimant la guerre et les exactions au nom, précisément, du bouddhisme.

Comme l'écrivit un enseignant zen américain, l'ouvrage de Brian Victoria, « Zen en guerre » (universitaire d'origine néo-zélandaise, devenu moine dans la tradition Zen, décrivant  dans son livre avec précision l'implication des structures bouddhiques dans la politique expansionniste et militaire japonaise entre les années 1894-1945), abondamment documenté, fit l'effet « d'un missile à longue portée lancé depuis l'autre côté du monde qui touche en plein cœur les communautés zen occidentales ».
Ceux-là mêmes (pratiquants zenistes plutôt « alter-mondialistes » héritiers des valeurs de 68) qui croyaient, naïvement, le bouddhisme indemne des débordements du fanatisme religieux découvrent, avec frisson, que les écoles zen (Soto shû, Rinzaï shû, Nichiren shû, etc.), lorsqu'elles ne priaient pas pour la gloire de l'empereur et du Japon, préparaient leurs fidèles à la guerre totale. Ce livre courageux est à lire impérativement par tous ceux qui s'intéressent à l'histoire du bouddhisme extrême-oriental ainsi qu'à ses dérives. Bénédiction des drapeaux, croisade pour la défense de la civilisation, théories suspectes de la guerre juste, on croyait ces images et ces thèmes réservés à l'Occident ; or les « dits » maîtres de « l’illumination »  ont démontré sur ce sujet un zèle incroyable dans l’exaltation de la guerre génocidaire (Mandchourie, Corée, etc.), du meurtre systématique, du terrorisme et de la violence sous couvert d’indifférente impassibilité.
La compassion bouddhiste, bien loin de protéger l'Asie de pareilles dérives, participa à la mise en œuvre d’une idéologie guerrière au service d'un pouvoir agressif et ultra-impérialiste. Les plus grands maîtres (Kôdô Sawaki, Yamada Reirin, Hitane Jôzan), jusqu’au célèbre D. T. Suzuki, ont légitimé l'alliance entre le sabre et le Zen. Collecte de fonds pour l'effort de guerre, cérémonies spéciales pour l'obtention de la victoire, création de centres d'instruction, activités de renseignement, endoctrinement des populations, cette collusion n'a pas cessé en 1945, elle s'est métamorphosée dans le fameux « Zen d'entreprise », du Japon en plein essor.
Le pouvoir impérial a réussi à fabriquer de toutes pièces, avec la complicité des maîtres de sagesse, une « âme du Japon éternel » inquiétante. L'Occident n'est donc pas seul, loin de là, à porter la lourde tâche d'une impérative interrogation sérieuse des origines et de la nature des déviances totalitaires du siècle venant de s'écouler.
 
 
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Mais le plus grave est sans aucun doute l’énorme tromperie spirituelle que représente cette prétendue philosophie de sagesse qu’est le bouddhisme. Entouré d’un prestige tenant à la méconnaissance des occidentaux à l’égard de ses sources réelles, le bouddhisme est d’une nature bien différente des stupides clichés pour touristes fatigués et dépressifs en mal d’exotisme qui nous sont généreusement octroyés depuis des décennies par de nombreux canaux (livres, journaux, revues, télés,  films, etc.), sans compter sur le soutien indirect, mais cependant fort actif et utile, des tenants de la « Tradition » à la mode guénono-schuonienne qui nous chantent sur un air usé jusqu’à la corde qui est devenu aujourd’hui risible, le lassant et mensonger refrain de « l’unité transcendante des religions ».
 
 A ce titre, fort instructive est l’histoire de June Campbell qu’elle a racontée dans un livre émouvant paru en 1996 sous le titre Traveller in Space: Gender, Identity and Tibetan Buddhism [Voyageur de l’espace : sexe, identité et bouddhisme tibétain], June Campbell qui joua un rôle important auprès d’un maître extrêmement vénéré du bouddhisme tibétain puisqu’elle fut l'interprète du célèbre Kalou Rinpoché. Etant directement à son service, elle ne souffrait pas de la pression des échelons intermédiaires souvent très perceptible et dérangeante dans ces écoles, et était donc dans des conditions parfaites pour faire un « beau voyage spirituel » au service de ce très digne moine.
Cependant, il lui fallut, raconte-t-elle dans son livre, accepter les relations sexuelles que le maître exigea d'elle ( il était un « chaste » moine portant la robe et visiblement astreint à leurs voeux), puis les relations sexuelles avec l'un de ses proches, un parent à lui, c'est à dire sans doute une forme courante de la polyandrie répandue dans les cultures himalayennes. Enfin une deuxième maîtresse, beaucoup plus jeune évidemment et aux charmes « spirituels » supérieurs, fut introduite dans l’intimité des deux hommes et June dut accepter la nouvelle venue (qui mourut d'ailleurs prématurément sans doute en raison de quelques excessives "ascèses " sexuelles).
A l'issue de l'expérience, c'est à dire après la mort du vénérable Kalou, June mit près de quatorze années avant de pouvoir se résoudre à raconter son histoire. Et ce n'est pas un merveilleux voyage qu'elle raconte, mais l'histoire d'un douloureuse souffrance. Les deux hommes ayant exigé d'elle l'absolu secret sur ces relations qui auraient terni l'image du maître si elles étaient venues à la connaissance des disciples ; June se sentit, selon ses mots, « abused » (abusée, flouée, trompée), et mit longtemps pour se reconstruire.
Rappelons pour les moins avertis, que le fameux Kalou Rinpoché était sans doute le moine le plus réputé en Occident dans son école. Il était, et est reconnu comme un véritable « bodhisattva », beaucoup d’occidentaux « abusés », et non des moindres, s’étant mis à l’école de ce maître tantrique dispensant les fondements du Vajrayana. Le voyage de sa disciple fut cependant décevant, et on imagine sans peine ce que cela doit être que de suivre aveuglément des maîtres encore moins accomplis, de moindre exigence ou de moindre expérience.
 
 
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On remarquera, alors que des milliers d’occidentaux en rupture avec leur propre tradition, ne se signant jamais lorsqu’ils rentrent dans une église, ne récitant aucune prière chrétienne, totalement étrangers aux fondements doctrinaux du christianisme, vivants leurs existences comme des athées stupides, se précipitent sans discernement aucun aux pieds du moindre lama aviné et libidineux, (parfois de jeunes enfants incultes ou des adolescents boutonneux beaucoup plus intéressés par les mœurs « engageantes » des jeunes dévotes européennes pour le « coup » (sic) authentiquement « libérées », ou des lucioles de la société marchande ),  et que ce type de dérives tantriques qui conduisent, sous prétexte de libération spirituelle, à des situations psychologiques tragiques, n’est pas sans faire écho à ce qui se produisit par exemple dès les années 30 pour Jean Marquès Rivière, qui travaillait pour le journal Le Voile d’Isis dans lequel publiait l’élite occultiste de l’Europe et dont l’un des rédacteurs principaux était René Guénon, qui accomplira un rituel tantrique (« avec du sang et de l’alcool »), qui le laissa possédé par une déité tibétaine. Ce fut seulement par l’intervention d’un exorciste catholique qu’il put être libéré de la possession, faisant que par gratitude il se convertit au christianisme.
Kalou Rinpoché disait, sans doute pour consoler June Campbell et ses multiples maîtresses de passage, qu'il n'y a aucun mal dans le désir, qu’au contraire il est « de la nature de la félicité » et se présente comme tel lorsqu'il est reconnu dans son essence « non-duelle ». Encore une fois, est démontrée ici de façon patente, l’inexactitude totale de ces fausses théories prétendument « non-duelles » mais foncièrement sexualisées et travaillées par l’exaltation malsaine des désirs les plus triviaux, dominées par les pulsions grégaires de l’humaine condition, théories païennes oublieuses de ce qu’il en est de la nature profondément « désorientée » de l’homme depuis la rupture adamique, et en quoi le rêve d’une « pseudo libération », que l’on peut aisément qualifier de rigoureusement pélagien dans ses vues (ce qui peut d’ailleurs se dire de toutes les voies orientales globalement), s’appuyant sur des techniques forcément limitées (mantras, mudras, visualisations, etc.) et des conceptions faussées, est un rêve imaginaire qui se paye très chèrement et se conclut, généralement, par d’amères désillusions et des abîmes de déréliction.
 
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Le bouddhisme, qui sous couvert d’apprentissage d’innocentes techniques méditatives dont l’Occident aurait perdu la pratique selon les ridicules et absurdes thèses guénoniennes, alors même que l’on sait qu’il n’est jamais anodin de se livrer à des exercices qui véhiculent clairement des influences spirituelles bien définies et à l’évidence douteuses puisque sous-tendues par des principes contraires à l’enseignement des Ecritures, rien n’étant jamais « neutre » dans ces domaines contrairement à ce que l’on veut faire croire aux esprits crédules, le bouddhisme donc, dans ses différentes versions (Tibet, Japon, Chine, Corée), doit être de ce fait dénoncé pour ce qu’il est, c’est-à-dire un piège dangereux pour un chrétien, une voie sans issue à éviter, un itinéraire moralement périlleux pour une âme véritablement en quête de la Vérité, un cheminement incompatible avec les saintes lumières de la Révélation. 
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Christian Pose, occidental en quête de "l'Eveil", ancien moine bouddhiste qui voyagea plus de trois ans en Inde comme moine errant parmi la diaspora tibétaine, allant d'un lama à l'autre, d'un monastère lamaïste à un autre, et donc connaissant parfaitement la situation concrète de cette religion d'exportation qui s'est implantée avec une facilité déconcertante en occident avec l'aide des stupides dévots de la "tradition", livre un témoignage renversant et sans complaisance.

Voici ce qu'il écrit, confirmant en tous points les propos de l'auteur de la note :

« J'ai brûlé ma robe de moine du bouddhisme maha-vajrayana
tibétain il y a quelques années non sans raisons.
Comme beaucoup de frères et soeurs pauvres et critiques, j'ai eu
beaucoup de difficultés à supporter la restauration politique, en
France et en Inde, de la hiérarchie bouddhique en tant qu'une
structure sociopoliticoreligieuse du bouddhisme régional du Tibet.
Cette structure, sous-jacente aux enseignements généraux sur le
bonheur, l'amour et le bien-être, me paraîtra l'une des causes de
l'effondrement du bouddhisme au Tibet avant le XXème siècle. »

Un autre extrait plus long de ce même texte surprenant qui renverse de nombreuses images d'Epinal :

« Je suis convaincu que l'aristocratie tibétaine entretenue en Inde
(le pauvre subissant toujours de mauvais traitements dans les
townships tibétains) et dans le monde ne pourra sauver le Tibet de
sa part obscure : un Etat se résumant sociologiquement à une
institution théocratique et aristocratique clientéliste; que son
développement à partir de la structure préservée du pouvoir
d'ancien régime (au sein de la sphère du droit privé en Asie comme
en occident), contribuera à l'effondrement de ce qui reste comme à
l'occlusion de ce qui sera restauré.
[…] Si je condamne la Chine, je ne peux toutefois fermer les yeux
sur la responsabilité religieuse et politique (pénale ?) des
principales familles aristocratiques, monastiques,
gouvernementales après 1949, lesquelles se "battent" toujours en exil, non pour les droits fondamentaux de l'homme et les droits
shakyamuniens de l'homme réprimés durant des siècles au Tibet,
mais pour la conservation des privilèges historiques, la restauration
des institutions autocratiques bouddhiques autrement dit du
centralisme monastique, la maîtrise oligopolistique du travail ....
Fiefs, serfs, esclaves, corvées, justice arbitraire, contrôle des
naissances, des propriétés, dettes héréditaires. »

Écrit par : Maha-vajrayana
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2 février 2014

DAMBIJANTSAN, LE LAMA et la cruaute du tantrisme bouddhique en temps de guerre

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Dambijantsan, le lama vengeur assoiffé de sang




À quelle inhumanité et à quelle cruauté ce schéma tantrique peut conduire en temps de guerre, cela est montré par l’histoire du « lama vengeur », un moine des Bonnets Rouges du nom de Dambijantsan. C’était un Kalmouk de la région de la Volga qui avait été emprisonné en Russie pour activités révolutionnaires. « Après une fuite mouvementée », écrit Robert Bleichsteiner, « il alla au Tibet et en Inde, où il fut initié à la magie tantrique. Dans les années 1890, il commença ses activités politiques en Mongolie. Chevalier errant du lamaïsme, démon des steppes, et tantrika dans le style de Padmasambhava, il éveillait de vagues espoirs chez certains, de la peur chez d’autres, ne reculait devant aucun crime, sortait indemne de tous les dangers, de sorte qu’il était considéré comme invulnérable et intouchable, bref, il tenait tout le Gobi sous son emprise » (Bleichsteiner, 1937, p. 110).






Dambijantsan croyait être l’incarnation du héros guerrier de la Mongolie de l’Ouest, Amursana. Durant de nombreuses années, il réussit à commander une armée assez nombreuse et à exécuter un nombre remarquable d’actions militaires victorieuses. Pour cela, il reçut de hauts titres religieux et nobles de la part du « Bouddha vivant » d’Ourga. Le Russe Ferdinand Ossendowski parla de lui, mais sous un autre nom (Touchegoun Lama) [1] : « Quiconque désobéissait à ses ordres périssait. Nul ne savait le jour ni l’heure où, dans la yourte ou à coté du cheval galopant dans la plaine, l’étrange et puissant ami du Dalaï-lama apparaîtrait. Un coup de couteau, une balle ou des doigts vigoureux serrant le cou comme un étau, c’était la justice secondant les plans de ce faiseur de miracles » (Ossendowski, 1924, p. 116). De fait, la rumeur circulait que le « dieu vivant » de Lhassa avait honoré le Kalmouk militant.


La forme de guerre de Dambijantsan était d’une cruauté calculée qu’il considérait néanmoins comme un acte de vertu religieux. Le 6 août 1912, après la prise de Khobdo, il avait massacré les prisonniers chinois et sarten selon un rite tantrique. Comme un prêtre aztèque en pleine majesté, il leur ouvrit la poitrine avec un couteau et leur arracha le cœur avec sa main gauche. Il le plaça avec des morceaux de cervelle et d’entrailles dans des coupes faites avec des crânes afin de les offrir en sacrifice bali aux dieux de terreur tibétains. Bien qu’étant officiellement un gouverneur du Khutuktu, pendant les deux années suivantes, il se conduisit comme un autocrate en Mongolie de l’Ouest et tyrannisa un immense territoire par un règne de violence « au-delà de toute raison et mesure » (Bawden, 1969, p. 198). Sur les parois de sa yourte, il aimait suspendre la peau écorchée de ses ennemis.


Ce furent les bolcheviks qui s’occupèrent vraiment de lui. Il s’enfuit dans le désert de Gobi et se retrancha dans un fort avec un certain nombre de partisans fidèles. Sa fin fut tout aussi sanglante que le reste de sa vie. Les Russes envoyèrent un prince mongol qui prétendit être un envoyé du « Bouddha vivant » et put ainsi entrer sans mal dans le camp. Devant le « lama vengeur » sans méfiance, il tira sur lui six coups de revolver. Il arracha ensuite le cœur de sa victime et le dévora devant les yeux de tous les présents afin de terrifier et d’horrifier – comme il le dit plus tard – ses partisans. Il réussit ainsi à s’échapper. Plus tard, il retourna sur le site avec les Russes et prit la tête de Dambijantsan comme preuve. Mais dans ce cas, le fait « d’arracher et de manger le cœur » n’était pas seulement un terrible moyen de répandre la terreur, mais faisait aussi partie du culte traditionnel de la caste guerrière mongole, qui était déjà pratiqué sous Gengis Khan et avait survécu à travers les siècles. Il est aussi mentionné dans un passage de l’épopée de Gesar, que nous avons déjà cité. Il se trouve aussi comme motif dans les thangkas tibétains: Begtse, le dieu de la guerre hautement vénéré, brandit une épée dans sa main droite tout en portant un cœur humain à sa bouche avec sa main gauche.


Au vu des terribles tortures dont l’armée chinoise était accusée, et de l’impitoyable boucherie par laquelle répondaient les forces mongoles, une forme de guerre extrêmement cruelle fut la règle en Asie Centrale dans les années 20. C’est pourquoi une appréciation du lama vengeur a surgi parmi le peuple de Mongolie, qui va parfois jusqu’à une glorification de sa vie et de ses actions. Le Russe Ossendowski vit également en lui un rédempteur presque surnaturel.




Von Ungern Sternberg :
« l’Ordre des guerriers bouddhistes »






En 1919, l’armée du général russe blanc Roman von Ungern Sternberg se joignit à celle de Dambijantsan. Le Balte natif était de la même nature cruellement excentrique que le « lama vengeur ». Sous l’amiral Koltchak, il établit d’abord un bastion russe blanc en Orient contre les bolcheviks. Il voyait les communistes comme des « esprits du mal sous une forme humaine » (Webb, 1976, p. 202). Ensuite, il alla en Mongolie.


Grâce à son audace sans limites, il réussit à constituer une armée et à se placer à sa tête. Celle-ci devait bientôt provoquer la peur et l’horreur à cause de sa cruauté atavique. Elle était formée de Russes, de Mongols, de Tibétains et de Chinois. D’après Ossendowski, les régiments tibétains et mongols portaient un uniforme avec des vestes rouges et des épaulettes sur lesquelles figuraient le svastika de Gengis Khan et les initiales du « Bouddha vivant » d’Ourga (dans les milieux occultes, von Ungern Sternberg est ainsi vu comme un précurseur du national-socialisme allemand).


Pour constituer son armée, le baron appliqua la « loi d’inversion » tantrique avec une extrême précision. Les soldats recrutés étaient d’abord bourrés d’alcool, d’opium et de haschisch jusqu’à ne plus tenir debout et étaient ensuite laissés là toute la nuit pour dessoûler. Quiconque buvait encore après cela était fusillé. Le général lui-même était considéré comme invulnérable. Dans une bataille, il reçut 74 balles dans son manteau et sa selle sans être blessé. Tout le monde appelait le Balte à la moustache broussailleuse et aux cheveux ébouriffés le « baron fou ». Nous avons sous la main un portrait bizarre d’un témoin oculaire qui le vit dans les derniers jours avant sa défaite: « Le baron, avec sa tête tombant sur sa poitrine, chevauchait silencieusement devant ses troupes. Il avait perdu son chapeau et ses vêtements. Sur sa poitrine nue, de nombreux talismans mongols étaient suspendus à un cordon jaune brillant. Il ressemblait à l’incarnation d’un homme-singe préhistorique. Les gens avaient même peur de le regarder » (cité par Webb, 1976, p. 203).


Cet homme réussit à ramener le Khutuktu, chassé par les Chinois, à Ourga. Avec ce dernier, il effectua un rituel de défense tantrique contre l’Armée Rouge en 1921, bien que sans guère de succès. Après cela, le hiérarque perdit confiance dans son ancien sauveur et on dit qu’il prit lui-même contact avec les Rouges pour être débarrassé du Balte. En tout cas, il ordonna aux troupes mongoles sous le commandement du général de déserter. Von Ungern Sternberg fut ensuite capturé par les bolcheviks et fusillé. Après cela, les communistes avancèrent vers Ourga et, un an plus tard, occupèrent la capitale. Le Khutuktu avait agi correctement dans ses propres intérêts, car, jusqu’à sa mort, il demeura le chef de l’État, du moins formellement, bien que le pouvoir réel fût transféré peu à peu dans les mains du Parti Communiste.


Toutes sortes de spéculations occultes entourent von Ungern Sternberg, et peuvent essentiellement être remontées jusqu’à une seule source, le best-seller que nous avons déjà cité plusieurs fois, du Russe Ferdinand Ossendowski, avec le titre allemand de « Tiere, Menschen, Götter » [en français : « Bêtes, hommes et dieux »]. Le livre dans son ensemble est considéré comme douteux par les historiens, mais est cependant considéré comme authentique concernant sa description du baron (Webb, 1976, p. 201). Von Ungern Sternberg désirait vraiment établir un « ordre militaire bouddhiste ». « Pourquoi ? », demanda Ossendowski au baron, qui répondit avec emphase : « Pour protéger l’évolution de l’humanité et lutter contre la révolution, parce que je suis certain que l’évolution conduit à la divinité et que la révolution ne mène qu’à la bestialité » (Ossendowski, 1924, p. 245). Cet ordre aurait dû être l’élite d’un État asiatique qui réunirait les Chinois, les Mongols, les Tibétains, les Afghans, les Tatars, les Bouriates, les Kirghizes et les Kalmouks.


Après avoir calculé son horoscope, les lamas reconnurent en von Sternberg l’incarnation du puissant Tamerlan (1336-1405), le fondateur du second Empire mongol. Le général accepta cette reconnaissance avec fierté et joie, et, en tant qu’incarnation du grand Khan, il esquissa sa vision d’un empire mondial comme une « défense militaire et morale contre l’Occident pourri… » (Webb, 1976, p. 202). « En Asie, il y aura un grand État, de l’Océan Pacifique et de l’Océan Indien jusqu’aux rives de la Volga », prophétisa le baron, selon Ossendowski. « La sage religion de Bouddha s’étendra jusqu’au nord et jusqu’à l’ouest. Ce sera la victoire de l’esprit. Un conquérant, un chef, apparaîtra, plus fort et plus résolu que Gengis Khan … et il gardera le pouvoir entre ses mains jusqu’au jour heureux où, de sa capitale souterraine, sortira le Roi du Monde » (Ossendowski, 1924, p. 265).


Il avait ici émis la phrase clé qui continue à ce jour à occuper la scène occulte de l’Occident enthousiasmé, le « roi du monde ». Cette figure est supposée gouverner un royaume souterrain quelque part en Asie Centrale et exercer depuis là une influence sur l’histoire humaine. Même si Ossendowski se réfère à cet empire magique sous le nom d’Agarthi, ce n’est qu’une variante ou un supplément au mythe de Shambhala [2]. Son « Roi du Monde » est identique au souverain du royaume de Kalachakra.
Il « connaît toutes les forces de la nature, lit dans toutes les âmes humaines et dans le grand livre de la destinée. Invisible, il règne sur huit cent millions d’hommes qui sont prêts à exécuter ses ordres » (Ossendowski, 1924, p. 302). Se référant à Ossendowski, l’occultiste français René Guénon spécule que le Chakravartin pourrait être présent sous forme d’une trinité dans notre monde des apparences: dans la figure du Dalaï-lama, il représente la spiritualité, dans la personne du Panchen-lama, la connaissance, et dans son émanation le Bogdo Khan (Khutuktu), l’art de la guerre (Guénon, 1958, p. 37).



6 janvier 2014

Le Dalai Lama ami de Hitler a Obama, le Loup en habits de Moine.

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Le Dalai lama et son disciple Shoko Asahara (麻原 彰晃 Asahara Shōkō), fondateur de la secte japonaise Aum Shinrikyo célèbre depuis qu'il a perpétré l'attentat au gaz sarin dans le métro de Tokyo.

En mars 1995, des adeptes de cette secte religieuse japonaise, qui pratique l'hérésie, ont répandu du gaz toxique à l'intérieur du métro de Tokyo et ont fait plus de cinq mille victimes dont douze ont été tuées. Après cet incident tragique et sanglant, le Dalai Lama a fait une déclaration à l'Agence de presse japonaise « Kyodo News », dans laquelle il a dit qu'il considère Aum Shinri Kyo comme une secte religieuse propagatrice de la doctrine du bouddhisme et que son gourou Asahara Shoko est toujours son « ami ». Ses propos ont suscité une grande effervescence parmi l'opinion publique internationale. Pourquoi a-t-il tenu ce genre de propos malgré l'abominable acte perpétré par Asahara Shoko ? Parce que ce dernier était un de ses « meilleurs disciples » !

Le Dalai Lama avait effectué douze « visites » au Japon. Quant à Asahara Shoko qui est devenu son disciple, il s'est rendu en Inde en 1986, puis dès après son retour au Japon, il fonda officiellement Aum Shinri Kyo. L'année suivante, il se rendit une deuxième fois en Inde où il rencontra le Dalai Lama et c'était lors de cette entrevue que le Dalai Lama l'accueillit avec de l'eau bénite et ils établirent ainsi la « relation de maître-disciple ».

Et dans les huit années qui suivirent jusqu'en 1995 lorsque se produisit la tragédie sanglante, le maître et le disciple se sont rencontrés cinq fois, mais ils se communiquaient souvent par lettres. En 1989, le disciple offrit à son maître cent mille dollars US, alors que celui-ci lui donna en retour un « certificat » et une lettre de recommandation. Dans cette lettre de recommandation adressée aux autorités compétentes de la ville de Tokyo, le Dalai Lama fit l'éloge d'Asahara Shoko en certifiant qu'il est un « maître religieux très capable » et il attesta qu'Aum Shinri Kyo est une secte religieuse qui « pratique et propage le bouddhisme » et qui « promeut la charité et la bienfaisance publiques ». Dans la lettre, le Dalai Lama demande en plus aux autorités locales de Tokyo d' « exempter Aum Shinri Kyo des impôts et des taxes ». C'était grâce au « certificat » délivré par le Dalai Lama et sa lettre de recommandation que la secte Aum Shinri Kyo était devenue une organisation religieuse reconnue et acceptée officiellement par le gouvernement japonais. Celle-ci accumula par la suite des fonds considérables qu'elle utilisa pour entreprendre des recherches sur le sarin, un gaz toxique mortel, et pour le mettre en production.

Asahara Shoko reconnaît ouvertement que le Dalai Lama était son apôtre et qu'il lui a indiqué la voie à suivre. La doctrine et les règlements internes d'Aum Shinri Kyo venaient en grande partie du Dalai Lama.

 

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Pour ce qui est des relations entre Asahara Shoko, l'hebdomadaire allemand « Focus » a fait le commentaire suivant : « Sans le soutien du Dalai Lama, Asahara Shoko ne pouvait absolument pas mettre sur pied son empire sectaire. C'était grâce à l'appui du premier que le deuxième, d'un médecin charlatan et d'un petit escroc criminel, a pu devenir dans le très court délai de quelques années, le chef d'une secte religieuse japonaise. Il n'aurait jamais eu une ascension aussi vertigineuse comme le lancement d'une fusée et son entreprise ne se déroulerait jamais dans des conditions aussi favorables. Cela est certain. »

Le problème du “Yasukuni Shrine” a été toujours pour les Chinois quelque chose de très sensible, car les extrémistes japonais l'utilisent toujours pour rappeler la puissance d'antan de l'empire nipon. Les dirigeants des pays amis de la Chine ou des pays qui ont établi des relations diplomatiques avec elle, ainsi que les personnalités politiques éprises de la justice, ne se rendront jamais dans ce sanctuaire dans lequel sont enterrés les restes d'un grand nombre de criminels de guerre japonais qui ont commis des actes sanglants impardonnables à l'égard des autres peuples d'Asie et surtout envers le peuple chinois. Mais, le Dalai Lama a eu l'aplomb en 1980 de visiter “Yasukuni Shrine” et de se prosterner devant les restes des criminels de guerre. On voit par là que les agissements de ce dernier sont tout à fait contraires au comportement qu'un chef religieux doit avoir.

Le Chef du Parti du Tibet, Zhang Qingli, a une fois de plus dit lundi que le Dalai Lama était un « loup en robe de moine » et critiqué de nouveau la clique du Dalai Lama, qui ne souhaite que faire éclater la Chine.

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Zhang Qingli s'entretient avec des moines du monastère Sera.

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Dalai lama et son éducateur et ami , le nazi autrichien Heinrich Harrer

 

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Ce même Harrer en compagnie d'Adolf Hitler qui le remercie pour son rôle dans la gestion des camps de concentrations.

Il a ajouté qu'en le décrivant ainsi, il ne faisait que reprendre les termes mêmes que feu le Premier Ministre Zhou Enlai utilisait pour décrire le Dalai Lama.

Il a précisé que Zhou Enlai disait que le Dalai Lama était un « loup en robe de moine » après que le Gouvernement Central ait fait échouer une rébellion orchestrée par le Dalai Lama et ses soutiens en 1959. Par la suite, le Dalai Lama s'était enfui vers l'Inde et y avait créé un « Gouvernement tibétain en exil » autoproclamé.

« J'utilise à dessein les mots du Premier Ministre Zhou, pour dire que je m'oppose à la fourberie et pour donner une compréhension correcte des faits », a t-il dit.

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M. Zhang a également fait la comparaison entre le Dalai Lama et Rebiya Kadeer, une séparatiste ouighoure qui dirigé le Congrès Mondial Ouighour.

 

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Dr Bruno Beger officier nazi Reconnu coupable de crimes de guerre, Haut Conseiller Dalaï Lama.

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Miguel Serrano: Chef du parti nazi pour l'Argentine et qui promeut l'antisémitisme et les livres Prétendant que Hitler était un "Dieu". Également un bon ami du dalaï-lama avec qui il se réunit régulièrement

(source: http://www.choix-realite.org/4831/dalai-lama-amities-douteuses)
 

Voila pour le passé, maintenant regardons le présent…

 

 

Et très bonne video en anglais résumant tout ca et apportant encore plus de détails croustillants :

 

Toutes ces informations sur le fait que le Dalai Lama fait parti des Illuminatis ont été aussi rapportées par Cobra que vous connaissez si vous suivez ce site.

Pour ceux qui ne sont pas encore convaincus…
Ce qui est sur en tout cas c'est que si moi meme j'étais un homme saint, je n'irais certainement pas passer mes vacances avec Georges W Bush, Sarkozy, Obama, Kissinger, d'anciens Nazis, l'ancien Pape des jeunesses hitlériennes Benedict XVI, le nouveau Pape (Jésuite), Netanyahu, la famille royale d'Angleterre et toutes les putes d'hollywood.

Cela confirme une fois de plus tout ce que je vous disais, les religions sont la pour vous controler, prenez ce qu'il y a de bon dans chacune et jettez le reste aux ordures.

Dieu ne divise pas les hommes, il les unis. Récupérez votre cerveau, brisez vos chaines religieuses et communataires et unissons nous pour combattre le mal absolu.

 

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3 octobre 2013

Voilà à présent que le Dalaï-Lama se mêle de vacciner les bébés indiens

 

dalai-lama

Sayer Ji, directeur de la Nutrition  au Centre de naissance de Naples et fondateur de GreenMedInfo, nous annonçait cette surprenante nouvelle. (http://www.greenmedinfo.com)

Je suis entièrement d’accord avec ses propos que je vous livreLe Dalaï-Lama administre un vaccin polio à un nourrisson  

« Sur la photo ci-dessus on peut voir le Dalaï-Lama administrer le vaccin polio oral bivalent (bOPV) à un nourrisson dans le complexe du temple  Mahabodhi (Etat Indien du Bihar) – le site sacré où l’on pense que le Bouddha a reçu l’illumination il y a environ 2500 ans. 

« Au cours de cet événement télévisé et hautement symbolique, le Dalaï-Lama a, dans un geste de compassion, vacciné deux enfants, comme aussi manifesté son soutien à la Journée Nationale Indienne d’Immunisation et à l’Initiative Mondiale d’Eradication de la Polio dont les échecs et les duplicités ont été exposées dans d’autres articles. 

« Le 14e Dalaï-Lama n’est pas seulement le dirigeant politique exilé du Tibet, mais comme le pensent ses disciples, la manifestation vivante du Bodhisattva de la compassion, et en tant que telle une expression de l’illumination. Il n’est dès lors pas banal pour lui d’administrer personnellement des vaccins à des nourrissons à l’endroit même où l’on pense que le Bouddha a atteint l’illumination. » 

  

En vaccinant des nourrissons, le Dalaï-Lama aurait-il abandonné les Principes Ethiques du Bouddhisme ?

 « Le concept ne pas faire le moindre mal est fondamental dans les enseignements Bouddhistes comme dans ceux d’autres religions de l’Inde (Hindouisme, Jaïnisme). Ce principe est connu sous le nom d’Ahimsa (littéralement : éviter toute violence). On ne pourrait par exemple justifier la mise à mort d’un animal pour sauver sa propre vie. C’est une des raisons  pour lesquelles beaucoup de Bouddhistes sont végétariens. 

« On ne pourrait non plus justifier de tuer un enfant pour en sauver 1 million d’autres comme le font souvent ceux qui évaluent le rapport bénéfices/risques des vaccins (qui dans de rares cas peuvent handicaper ou tuer) par rapport à l’ensemble de la société. Il s’agit uniquement et simplement de ne pas faire le moindre mal. Dans le Bouddhisme, ce principe n’est pas davantage ouvert à la négociation que la filiation divine de Jésus pour les chrétiens.

 

Le Dalaï- Lama a, un jour, lui-même déclaré :

 « Si vous le pouvez, aidez les autres ; si vous ne le pouvez pas, au moins ne leur faites pas le moindre mal ».

« Quand le principe de la non violence ou Ahimsa s’applique à des interventions médicales ou à l’exposition à des produits chimiques, il se traduit par le « principe de précaution » qui exige que si une action est suspectée de comporter le risque de causer des dégâts au public ou à l’environnement, la charge de la preuve que le dit produit est sans danger incombe aux auteurs de l’action en question.

« […]  La plupart des études sur la sécurité des vaccins ont non seulement été financées par les fabricants de vaccins eux-mêmes, mais une grande partie des connaissances sur la sécurité des vaccins n’est acquise que bien longtemps après que les vaccins ont été mis sur le marché et que la population  a déjà été exposée aux risques. Ce qui veut dire que l’information la plus complète sur la sécurité des vaccins n’est acquise qu’au travers d’études de surveillance post marketing et des déclarations d’effets secondaires rapportés par le public.

« En d’autres mots, le principe de précaution est ignoré en faveur du « poids de la preuve » qui met sur les épaules de ceux qui ont déjà été exposés à un risque potentiel, de prouver qu’une intervention médicale comporte bel et bien des risques (alors que ces derniers n’en ont pas été complètement et préalablement informés). Ce point est essentiel par rapport au principe du consentement libre et éclairé.

«  […]  Dans le cas du vaccin contre la polio le risque connu d’une paralysie induite par le vaccin est évalué par rapport aux bénéfices théoriques de la vaccination. Contrairement au principe de précaution, la norme constitue à déterminer  “un niveau acceptable de dommages”. Si en fait il n’y a qu’un “faible pourcentage” d’enfants vaccinés qui deviennent paralysés ou qui décèdent après la vaccination, le vaccin sera néanmoins justifié et approuvé. Ceci viole clairement le principe Bouddhiste de l’Ahimsa évoqué plus haut. »

 Le Dalaï-Lama a contribué à « lancer » en Inde le nouveau vaccin polio bivalent qui comporte des risques plus élevés.

 « Il est triste de constater que le Dalaï-Lama n’a pas fait que vacciner deux enfants indiens le 10 janvier 2010, il a aussi officiellement lancé le nouveau vaccin polio oral bivalent (bOPV) qui selon un article de 2011 publié dans l’American Journal of Epidemiology aurait, dans une population Hongroise, présenté un risque de paralysie 4 fois plus élevé que le vaccin monovalent 3, et un risque 70 fois plus élevé de paralysie que le vaccin polio monovalent 1 auquel il était comparé.

« Plus troublant encore est le fait que 47.500 cas de paralysies associées au vaccin polio (paralysies flasques aiguës) auraient été découverts chez des nourrissons et enfants indiens rien qu’en 2011 à la suite du lancement du « nouveau vaccin amélioré.

« […]  Si la compassion vis-à-vis des pauvres et des malades est la véritable motivation des campagnes mondiales de vaccinations, pourquoi dès lors ne met-on pas autant l’accent et n’accorde-t-on pas autant de moyens pour l’alimentation et l’amélioration de l’hygiène ?

« On a dépensé des milliards de dollars pour fournir des milliards de doses de vaccins aux enfants indiens et pas un penny n’a été accordé pour améliorer et renforcer le système immunitaire de tous ces enfants.

 « Nous pouvons supposer que le Dalaï-Lama n’est pas bien au fait de ces divers éléments et fait confiance aux positions officielles concernant la sécurité des vaccins.

« Mais si c’est le cas, le Bouddha lui-même avait déjà pris position par rapport à une foi aveugle. Il disait :

« Ne croyez rien juste parce qu’un certain sage l’a dit. Ne croyez rien juste parce que c’est une croyance répandue et générale. Ne croyez rien juste parce que c’est écrit dans des livres anciens. Ne croyez rien juste parce que quelqu’un d’autre le croit… Quand après observation et analyse vous trouvez que la raison est respectée et que ce qui est proposé pourra contribuer au plus grand bien de tous, alors acceptez la chose et tentez d’y conformer votre vie.

« Ce qui est difficile à réaliser c’est qu’un leader politique et spirituel de son envergure ne puisse pas comprendre et suivre les principes Bouddhistes médico-éthiques, tout spécialement  quand il y va de la santé et du bien-être des plus vulnérables : les enfants pauvres et souvent malades.

«  […]  Il existe un nombre croissant de preuves qui montrent que les vaccinations de routine peuvent provoquer plus de 200 effets secondaires différents, y compris la mort. Cela c’est la science qui le dit ; il ne s’agit nullement d’opinions ou de croyances. »

                                                                                                                                                            Sayer Ji

 

Votre corps est précieux. Il est votre véhicule pour atteindre l’Eveil.

Prenez-en grand soin.

Bouddha


 

 http://www.greenmedinfo.com/blog/questioning-dalai-lama-who-would-buddha-vaccinate1

Sayer Ji, directeur de la Nutrition  au Centre de naissance de Naples et fondateur de GreenMedInfo, nous annonçait cette surprenante nouvelle. (http://www.greenmedinfo.com)

 

Je suis entièrement d’accord avec ses propos que je vous livre :

 

  

 

Le Dalaï-Lama administre un vaccin polio à un nourrisson  

 

 

 

« Sur la photo ci-dessus on peut voir le Dalaï-Lama administrer le vaccin polio oral bivalent (bOPV) à un nourrisson dans le complexe du temple  Mahabodhi (Etat Indien du Bihar) – le site sacré où l’on pense que le Bouddha a reçu l’illumination il y a environ 2500 ans. 

 

« Au cours de cet événement télévisé et hautement symbolique, le Dalaï-Lama a, dans un geste de compassion, vacciné deux enfants, comme aussi manifesté son soutien à la Journée Nationale Indienne d’Immunisation et à l’Initiative Mondiale d’Eradication de la Polio dont les échecs et les duplicités ont été exposées dans d’autres articles. 

 

« Le 14e Dalaï-Lama n’est pas seulement le dirigeant politique exilé du Tibet, mais comme le pensent ses disciples, la manifestation vivante du Bodhisattva de la compassion, et en tant que telle une expression de l’illumination. Il n’est dès lors pas banal pour lui d’administrer personnellement des vaccins à des nourrissons à l’endroit même où l’on pense que le Bouddha a atteint l’illumination. » 

 

  

 

En vaccinant des nourrissons, le Dalaï-Lama aurait-il abandonné les Principes Ethiques du Bouddhisme ?

 

 

 

« Le concept ne pas faire le moindre mal est fondamental dans les enseignements Bouddhistes comme dans ceux d’autres religions de l’Inde (Hindouisme, Jaïnisme). Ce principe est connu sous le nom d’Ahimsa (littéralement : éviter toute violence). On ne pourrait par exemple justifier la mise à mort d’un animal pour sauver sa propre vie. C’est une des raisons  pour lesquelles beaucoup de Bouddhistes sont végétariens. 

 

« On ne pourrait non plus justifier de tuer un enfant pour en sauver 1 million d’autres comme le font souvent ceux qui évaluent le rapport bénéfices/risques des vaccins (qui dans de rares cas peuvent handicaper ou tuer) par rapport à l’ensemble de la société. Il s’agit uniquement et simplement de ne pas faire le moindre mal. Dans le Bouddhisme, ce principe n’est pas davantage ouvert à la négociation que la filiation divine de Jésus pour les chrétiens.

 

 

 

Le Dalaï- Lama a, un jour, lui-même déclaré :

 

 

 

« Si vous le pouvez, aidez les autres ; si vous ne le pouvez pas, au moins ne leur faites pas le moindre mal ».

 

« Quand le principe de la non violence ou Ahimsa s’applique à des interventions médicales ou à l’exposition à des produits chimiques, il se traduit par le « principe de précaution » qui exige que si une action est suspectée de comporter le risque de causer des dégâts au public ou à l’environnement, la charge de la preuve que le dit produit est sans danger incombe aux auteurs de l’action en question.

 

« […]  La plupart des études sur la sécurité des vaccins ont non seulement été financées par les fabricants de vaccins eux-mêmes, mais une grande partie des connaissances sur la sécurité des vaccins n’est acquise que bien longtemps après que les vaccins ont été mis sur le marché et que la population  a déjà été exposée aux risques. Ce qui veut dire que l’information la plus complète sur la sécurité des vaccins n’est acquise qu’au travers d’études de surveillance post marketing et des déclarations d’effets secondaires rapportés par le public.

 

« En d’autres mots, le principe de précaution est ignoré en faveur du « poids de la preuve » qui met sur les épaules de ceux qui ont déjà été exposés à un risque potentiel, de prouver qu’une intervention médicale comporte bel et bien des risques (alors que ces derniers n’en ont pas été complètement et préalablement informés). Ce point est essentiel par rapport au principe du consentement libre et éclairé.

 

«  […]  Dans le cas du vaccin contre la polio le risque connu d’une paralysie induite par le vaccin est évalué par rapport aux bénéfices théoriques de la vaccination. Contrairement au principe de précaution, la norme constitue à déterminer  “un niveau acceptable de dommages”. Si en fait il n’y a qu’un “faible pourcentage” d’enfants vaccinés qui deviennent paralysés ou qui décèdent après la vaccination, le vaccin sera néanmoins justifié et approuvé. Ceci viole clairement le principe Bouddhiste de l’Ahimsa évoqué plus haut. »

 

 

 

Le Dalaï-Lama a contribué à « lancer » en Inde le nouveau vaccin polio bivalent qui comporte des risques plus élevés.

 

 

 

« Il est triste de constater que le Dalaï-Lama n’a pas fait que vacciner deux enfants indiens le 10 janvier 2010, il a aussi officiellement lancé le nouveau vaccin polio oral bivalent (bOPV) qui selon un article de 2011 publié dans l’American Journal of Epidemiology aurait, dans une population Hongroise, présenté un risque de paralysie 4 fois plus élevé que le vaccin monovalent 3, et un risque 70 fois plus élevé de paralysie que le vaccin polio monovalent 1 auquel il était comparé.

 

« Plus troublant encore est le fait que 47.500 cas de paralysies associées au vaccin polio (paralysies flasques aiguës) auraient été découverts chez des nourrissons et enfants indiens rien qu’en 2011 à la suite du lancement du « nouveau vaccin amélioré.

 « […]  Si la compassion vis-à-vis des pauvres et des malades est la véritable motivation des campagnes mondiales de vaccinations, pourquoi dès lors ne met-on pas autant l’accent et n’accorde-t-on pas autant de moyens pour l’alimentation et l’amélioration de l’hygiène ?

 « On a dépensé des milliards de dollars pour fournir des milliards de doses de vaccins aux enfants indiens et pas un penny n’a été accordé pour améliorer et renforcer le système immunitaire de tous ces enfants.

  « Nous pouvons supposer que le Dalaï-Lama n’est pas bien au fait de ces divers éléments et fait confiance aux positions officielles concernant la sécurité des vaccins.

 « Mais si c’est le cas, le Bouddha lui-même avait déjà pris position par rapport à une foi aveugle. Il disait :

 « Ne croyez rien juste parce qu’un certain sage l’a dit. Ne croyez rien juste parce que c’est une croyance répandue et générale. Ne croyez rien juste parce que c’est écrit dans des livres anciens. Ne croyez rien juste parce que quelqu’un d’autre le croit… Quand après observation et analyse vous trouvez que la raison est respectée et que ce qui est proposé pourra contribuer au plus grand bien de tous, alors acceptez la chose et tentez d’y conformer votre vie.

 « Ce qui est difficile à réaliser c’est qu’un leader politique et spirituel de son envergure ne puisse pas comprendre et suivre les principes Bouddhistes médico-éthiques, tout spécialement  quand il y va de la santé et du bien-être des plus vulnérables : les enfants pauvres et souvent malades.

 «  […]  Il existe un nombre croissant de preuves qui montrent que les vaccinations de routine peuvent provoquer plus de 200 effets secondaires différents, y compris la mort. Cela c’est la science qui le dit ; il ne s’agit nullement d’opinions ou de croyances. »

 

                                                                                                                                                            Sayer Ji

 

 

 

Votre corps est précieux. Il est votre véhicule pour atteindre l’Eveil.

 

Prenez-en grand soin.

 

Bouddha


 

 

 

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13 décembre 2011

LA METHODE LAMAÏSTIQUE au Tibet DE DOMINATION DU MONDE

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LA METHODE LAMAÏSTIQUE DE DOMINATION DU MONDE Nous allons vous donner maintenant d'autres indications quant à la méthode de domination du monde, appliquée par la fraternité lamaïstique du Tibet. A cet effet, il est bon d'essayer tout d'abord d'avoir une...
15 août 2011

Extraits de "Dalaï Lama, pas si zen", de Maxime Vivas,

Extraits de "Dalaï Lama, pas si zen", de Maxime Vivas,
Les bouddhistes de France reçoivent le Dalaï-Lama à Toulouse du 13 au 15 août. Mais qui est-il, un maitre spirituel ou un mouchard? Extraits de "Dalaï Lama, pas si zen", de Maxime Vivas, Max Milo (Juillet 2011). Le Dalaï-Lama est également subventionné...
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