Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
Les autorités ont été stupéfiées par la découverte horrible dans un cimetière éloigné de Mukdahan, en Thaïlande, près de la frontière avec le Laos
Les pelleteuses ont déterré un cadavre sur un ancien lieu de sépulture ; et les gens ont été étonnés de constater que la peau était encore intacte.
La peau, retrouvée suspendue au squelette du mort, était couverte de tatouages tribaux.
L’œuvre est censée avoir été encrée comme faisant partie d’un ancien sortilège de magie noire dans le but de rendre la peau impénétrable.
Les gens ont trouvé une peau préservée, censée avoir été tatouée dans le cadre d’un sort de magie noire (Photo : Exclusivepix Media)
Les personnes à l’origine de la découverte croient que l’encre utilisée dans l’écriture sanskrit et les images de tigre ont assuré que le corps de l’homme reste « en bon état » et ne pourrisse pas.
Mais d’une façon cruelle,
’est peut-être le «sort» qui l’a tué, selon une organisation archéologique thaïlandaise.
On croit que la peau a été encrée avec des tatouages dans le cadre d’un rituel de magie noire (Photo : Exclusivepix Media)
Le tatouage peut avoir empêché l’homme de subir une opération d’appendicite mortelle, a déclaré Goopaitongdaeng Jeemokkho Goopainueng Soonpaed (GORR).
Le gouvernement a partagé les images en ligne.
Le cadavre a été déterré à Mukdahan, Thaïlande (Photo : Exclusivepix Media)
Ils ont dit : « Les autorités ont nettoyé le cimetière avec les habitants et les bénévoles locaux, c’est alors qu’ils ont trouvé la peau d’un vieil homme qui est mort d’appendicite. Cependant, il ne pouvait pas subir de chirurgie parce que la peau était trop difficile à couper et il a fini par mourir dans la douleur agonisante de la maladie. La peau a beaucoup de tatouages et elle n’a pas pourri. Le sort pour le protéger et le rendre fort a stoppé le pourrissement de la peau. »
La peau avait été tatouée avec une écriture Sanskrit et les images d’un tigre (Photo : Exclusivepix Media)
La raison pour laquelle la peau n’a pas pourri n’est pas claire, mais la découverte a enthousiasmé beaucoup de thaïlandais superstitieux.
« C’est incroyable », a déclaré Suriya Rachatawet. «Cela montre que les sorts magiques fonctionnent vraiment.»
j'ai reçu quelques mails sur mon article sur la dangerosité des tatouages ,le premier article avait été soft je navais pas voulu citer les tatouages magiques pratiqués en asie pour ne pas faire l'amalgamme avec le tatouage nocif et negatif mais qui ne porte pas en lui la magie noire et un rite macabre de possession , la preuve que les tatouages sont d'origines satanistes pour infos les demons sont tatoués en enfer (lol riez bien) ,cette pratique est venu des enfers regardez la puissance malefique des tatouages en asie qui provoquent des transes et des possessions ,ou le tatouage a la suite de tantra extremment puissant et de prieres magique le moine appel un demon et le loge dans un masque de demon pour servir de receptacle de son esprit ensuite le masque est mis sur la tete du tatoué ainsi le tatouage devient habité par un demon , le tatouage devient vivant et lanimal ou les fausses divinitées quils representent se dechainent dans le corps du tatoués ce qui provoque une crise ,transe et possession collective voir la videos de ce festivale du tatouage en asie du sud est qui fait froid dans le dos les tatouages portent en eux une image anagramme du mot magie qui suffit pour comprendr'e que chaque image vehicule un pouvoir magique que lon peut activer intentionnellement ou par accident si ce nest le tatoué qui lactive de toute façon un demon qui passera par là le fera trop content du cadeau qu'on vient de lui faire le double de clef dun centre energetique le resultat se fera sentir sur le comportement il prendra de lassurance arrogance developpement de lego et du culte du corps son esprit sera eteint chaque jour un peu plus ,plus il fera de tatouage plus il sera controlé ,et sa spiritualité sera eteinte ;
ainsi que son coeur sans aucune possibilité de retour une fois que le coeur s'eteint tout est mort ..........
cette videos est un festival ou les tatoués viennent se faire activer la puissance de leur tatouage une fois activé ils sont sous possession dun demon qui les met en transe certin se prenent pour des animaux d'autre ,pour des esprits de guerrier invincible evidemment ce pouvoir conféré est occulte et laboutissement du paccte qu''ils font de leur propre volontée en choisissant de porter le dessin de la bete qui s'animera ensuite lors de rituels de magie noire tantrique très puissant ,suivant le dessin de votre tatouage vous porterez en vous l'energie pour donner la vie a ce symbole volontairement ou non cette magie s'apparente a celle des voeux en faisant le voeux de faire tel tatouage vous creez en fait l'energie necessaire a sa materialisation en vous vous lui servirez de corp materiel .
Au moyen d’une ascèse extrêmement étudiée et poussée, secondée par des « stations » physiques, le yoga –par le jeu des muscles et des diverses positions des membres correspondant à certains points déterminés du corps, nommés « chakras » -conduit la sève vitale à travers la colonne vertébrale jusqu’à ce sommet du corps humain, situé en haut de la tête, appelée la « Kundallini ». La « sussuma » est le canal conducteur de ces forces sexuelles serpentant le long de la colonne vertébrale, depuis l’organe sexuel jusqu’au-dessus de la tête, jusqu’à la « Kundallini ».
L’ »uraeus » égyptien (représentation symbolique du serpent naja), le très symbolique bonnet phrygien de la République, fille de la Révolution, en fournissent une certaine image. Egalement, le caducée. Emblème de la médecine (en rouge), il est composé d’un serpent, d’un faisceau de baguettes, autour duquel le serpent s’enroule en montant, et d’un miroir, placé au sommet du faisceau, et vers lequel le serpent darde sa tête. La véritable signification de cet emblème,essentiellement ésotérique, n’est pas celle que donne le dictionnaire, mais bien celle décrite au sujet de la doctrine et technique secrète du Yoga. Le serpent, c’est le Démon, travaillant les sens, le long de la colonne vertébrale que figure le caducée (ou faisceau de baguettes centrales, qui représente un conduit) pour aboutir à la « Kundallini », figurée ici parle miroir, reflet et symbole de l’illumination qui confère la connaissance, le pouvoir, la fortune et tous les autres avantages matériels, y compris la santé. « Toi qui sondes les cœurs et les reins,Ô Dieu juste ». l’expression de l’auteur sacré montre bien qu’il s’agit non seulement du domaine spirituel et psychique : « cœurs », mais aussi de domaine physiologique : « reins ». Là, dans cette « Kundallini », s’opère une sorte d’inversion de l’être physique et psychique, complètement révolutionné, atteignant à des états supranaturels où les sens trouvent largement leur compte, mais où l’ordre établi par Dieu dans l’être humain se trouve totalement renversé, disons inverti. Là où Dieu n’est pas, c’est Satan qui règne. Disons donc que c’est ici le jardin secret de Satan, où il introduit l’homme, initié par lui, à la connaissance du bien et du mal et achève, dans ce faux Eden, de ruiner son âme… et son corps. Il n’y a pas de « yoga chrétien » ; c’est une gageure que de le prétendre, parce que le yoga, en soi, c’est-à-dire dans son but final, est « intrinsèquement pervers »Il est utile de noter ici, au sujet des bienfaits du yoga, ce qui suit : sans doute le yoga peut-il obtenir une certaine souplesse du corps et des membres et un certain repos libérateur, mais cela aussi se paye. Il est reconnu combien peut devenir pernicieux pour l’organisme humain, l’emmagasinement de gaz carbonique dans les poumons, par la retenue prolongée de la respiration (technique du prana-yama), base essentielle, avec les postures, de la pratique et de la doctrine du yoga. Sans compter les effets désastreux sus le système nerveux, souvent amenés par cette technique.il en résulte que le yoga, après avoir ruiné l'âme en la détournant en réalité de son vrai bien, le Dieu de Jésus-Christ, doit faire appel à la magie, aux forces préternaturelles démoniaques. En réalité le non-être fait place à celui qui a jadis promis dans le jardin de l'Éden à sa première captive ; « Vous serez comme des dieux ». Le yoga est promesse de fausse divinisation ; c'est le serpent qui vient se lover au sein de sa mystique initiatique.A ce stade, l'âme se trouve paralysée, le yoga a introduit en elle le doute sur tout ce qui porterait son intelligence vers sa fin qui est Dieu (que l'on se rappelle le doute intégral de Descartes : ce doute est en réalité un sophisme car le doute lui-même entrerait alors dans l'illusion générale). L'âme est comme fixée dans un état de négation, elle s'est mise en quelque sorte en enfer. Par le vide, l'âme se met hors du temps, elle le transcende ; le yoga refuse le temps, car celui-ci est signe d'une divine création. La mystique chrétienne fait du temps un moyen privilégié de progression vers Dieu. Lisons cet extrait d'un ouvrage intitulé Nuage d'inconnaissance (Cool et cité par M.C. Sadrin : « La Vie spirituelle chrétienne n'est pas l'enstase (opposée à l'extase : celle-ci est une sortie en Dieu, celle-là est une rentrée en soi) yoguique: "Rentrer au-dedans de soi ne doit pas être entendu comme un travail corporel. Ce serait là le plus court chemin vers la mort du corps et de l'âme car ce serait folie qui conduirait l'homme en démence... " (chap. 51).
Ils (les adeptes du yoga) tournent leurs facultés dans leurs corps, contre le cours de la nature, se contraignant comme s'ils voulaient voir en dedans et par curiosité d'esprit, exténuent leur imagination si bien que ...le diable, ayant le pouvoir de provoquer illusoirement quelque fausse lumière ou des sons ou d'agréables odeurs et maintes flammes et chaleurs bizarres dans leur dos et dans leurs reins (c'est ce qui arrive dans les mouvements charismatiques), ils sont persuadés qu 'ils voient et qu 'ils ont un souvenir tranquille de leur Dieu (alors que) ce même ennemi qui leur susciterait de vaines pensées s'ils étaient en la bonne voie, (lui-même et celui-là) est le maître ouvrier et le patron de ce travail. "Et sache bien, sache-le bien, qu'il ne lui plaît pas d'arrêter le souvenir de Dieu, non, il ne le leur retire aucunement par peur de se voir suspecté" (chap. 52) » (ibid, p. 134). DE LA FASCINATION MAGIQUE A L'INITIATION
En réalité et dans toute sa profondeur, le yoga se révèle une mystique à base d'illumination initiatique appelée à opérer la fusion avec l'être qui se tapit sous l'appellation du grand soi, du non-être, de l'inconnaissable, de l'illimité, de l'être pur. Le yoga se fait religion, il n'est pas seulement une gymnastique du corps visant à la décontraction, une gymnastique de l'esprit appelée à faciliter l'accès au vide, il se situe au niveau de la magie, de la magie-religion ; l'adepte doit fusionner avec une entité qui ne peut être que luciférienne, afin de parvenir au sommet de toute mystique diabolique : la connaissance totale dans une prise de conscience de l'unité de l'âme avec tout l'univers (doctrine de l'immanence panthéistique), avec le dieu de la gnose, la puissance totale qui confère les pouvoirs charismatiques diaboliques (visions, locutions, lévitations, connaissance des pensées, dupasse, prophéties, guérisons, etc.), l'amour total qui assure les jouissances sexuelles avec l'esprit infernal.
On croit alors avoir la vision de Dieu : c'est le serpent qui fascine. Il n'y a pas d'extase en Dieu puisque l'âme se trouve séparée de son Créateur et Sauveur. Comment donc se fait-il qu'après avoir plongé dans le vide, l'âme sente qu'elle se trouve au contact d'une plénitude, d'une existence infinie, immanente à tout l'univers, en possession d'une béatitude lumineuse, à tout jamais indestructible. Certes, au cours de son cheminement vers la vacuité, l'esprit a vu se renforcer certaines de ses facultés, et c'est, aidé de cette puissance qui peu à peu l'a transformé au plus profond de lui-même, qu'il est parvenu d'une part à saisir le vide de tout ce qui est, et d'autre part à s'unir à un être qui l'emplit de lui-même et qui lui assure, à la place d'une vie toute vulnérable, une autre vie toute de liberté, sans aucune altération possible. Que s'est-il donc passé ?
Il n'est de solution à cette question que dans l'initiation qui provoque la fameuse illumination, cette fausse lumière qui traverse tout l'être et le transforme en un autre être de plus en plus incapable de saisir l'amour en Dieu, et se trouvant au contraire propulsé au sein d'un monde ténébreux où il devient le jouet de Lucifer. Ce n'est pas parce que certaines personnes apprennent à bien respirer, à mieux se sentir en elles-mêmes, à être plus dynamiques, moins dépendantes de leurs pulsions intérieures, moins asservies à la fluidité des mouvements de la vie et donc plus maîtresses d'elles-mêmes (quoique sur ces points tout danger ne se trouve pas écarté), que le yoga doive être considéré comme une science et une sagesse propres à opérer de véritables conversions de tout leur être. Il n'y a pas de doute que le yoga (comme d'ailleurs le zen et la méditation transcendantale) n'est que peu de chose s'il n'est pas le lieu de la transmission d'une influence spirituelle diabolique, s'il n'est pas le lieu d'un véritable ensemble initiatique. Le yoga est proprement initiatique parce qu'il présente les trois caractères essentiels de l'initiation luciférienne : la présence agissante d'un maître (9), une prière spéciale, le tout suivi d'une efficacité qui révèle la puissance d'un esprit supérieur, lequel se sert et du maître et de la prière adaptée à la situation dans laquelle se trouve l'âme captive.
Le mantram est cette courte formule secrète que le maître communique de bouche à oreille dans l'intimité d'une cérémonie initiatique destinée à faire de vous le prolongement de lui-même: celui auquel il cède, en même temps que son souffle (le mantram), une partie de son pouvoir.
Désormais, le mantram vous donnera droit à l'accès dam ses trésors spirituels, puisque prolongement de son organisme, vous serez toujours, par un lien invisible mais bien réel, rattaché subtilement à lui pour le meilleur et pour le pire ».
Où se trouve en tout cela le but recherché par des adeptes ignorants des sciences occultes : respirer, se détendre, assouplir ses muscles, mieux diriger ses forces vitales etc.. ? Justement l'un sert à l'autre : le mieux-être du corps sert de moyen et de prétexte à une action redoutable sur l'esprit et sur l'âme.
Que voyons-nous en effet dans le passage précité ? Un maître que l'on traduit par gourou: le terme ici employé est à prendre au sens fort, il s'agit de quelqu'un qui veut se rendre maître de l'âme appelée à lui être asservie, qui veut « posséder » cette âme. Que fait-il pour cela ? Il souffle tout bas une certaine « formule secrète » appelée mantram, absolument personnelle à chacun, et qui est chargée d'une influence telle qu'elle véhicule une partie du « pouvoir » du yogi.
Qu'est donc ce pouvoir ? Il est le résultat de l'efficacité d'une initiation supérieure, une participation à la puissance diabolique en échange d'une livraison de l'âme. On sait bien que Satan n'aurait pas un succès aussi énorme s'il n'appâtait pas ses victimes (pensons à sa première grande séduction au jardin de l'Éden : « vos yeux s'ouvriront et vous serez comme des dieux qui connaissent le bien et le mal... ». Or, le grand appât, c'est ce que l'on appelle « les pouvoirs sur le monde » (le charismatisme actuel donne bien une idée de ces pouvoirs). Ces pouvoirs sont nombreux, nous l'avons vu plus haut, mais il en est un qui séduit ceux qui veulent dominer, leurs semblables : le pouvoir d'asservir (pensons à Hitler etc.). Le yogi, digne de ce nom, a ce pouvoir-là.
Richard Bergeron écrit de son côté dans son ouvrage intitulé Le Cortège des fous de Dieu (Éd. Paulines) : « Ce qui caractérise le yoga, ce n'est pas seulement son côté pratique, c'est aussi sa structure initiatique. On n'apprend pas le yoga tout seul, on s'y fait initier par un maître. Guidé par son gourou, le yogi s'applique à dépasser successivement les comportements et les valeurs propres à la condition humaine. Il s'efforce de "mourir à cette vie" et c'est ici qu'on voit la structure initiatique du yoga. Nous assistons à une mort suivie d'une renaissance ( ?) à un autre mode d'être ( ?) : celui qui est représenté par la délivrance, par l'accès à un mode d'être non profane ( ?) et difficilement descriptible, que les écoles indiennes expriment sous des noms différents... » (p. 107).
Dans le numéro du 27 mai 1977, Paris-Match publiait un article intitulé : « ... ce qu'il faut savoir de ces techniques (orientales) pour se sentir mieux dans sa peau ». A propos du zen, technique de même inspiration que le yoga, l'auteur disait sans ambages: « Celui qui médite, assis sur un coussin dans la position du lotus (à noter qu'une telle posture est exactement l'inverse de l'attitude d'adoration à genoux, qui ramasse l'être sur lui-même pour la concentration guidée par la foi en Dieu), ... se concentre sur sa respiration, sur le vide, sur un 'Koan ', sorte de paradoxe choisi par le maître du type: ' 'Lorsqu 'on frappe dans ses mains, cela produit un son. Quel est le son d'une seule main (on remarquera le "vide" d'une telle question) ?". La pratique du zazen permet d'entrer dans le "samadhi", très profond état de concentration où l'on n'a plus conscience de soi, ni de l'univers, et surtout ( ?) d'arriver au "satori", l'éveil suprême ». On sait ce que recouvre un tel éveil !
La "réalisation", but de toutes ces techniques (orientales), n'est nullement celle de l'homme, c'est celle de cet esprit qui ne dit pas son nom, et qui se cache dans les ténèbres de l'impersonnalité, derrière le voile qu 'il tisse avec les fils de l'orgueil humain. Comment ne pas reconnaître ici celui qui depuis le début des temps tente l'homme et le trompe par son mensonge, toujours le même : "vous serez comme des dieux", c'est-à-dire comme moi-même, pleinement autosuffisants. LE LOUP DÉGUISÉ EN BERGER comment se fait-il que des hommes d'Église se laissent prendre à la « séduction » du yoga, privilégiant l'expérience vitale aux dépens de la vie de foi Précisons que chaque terme chrétien a un sens yoguique ; un yogi peut très bien commenter l'Évangile et y introduire en même temps son philtre démoniaque M.C. Sadrin raconte qu'« un maître parla pendant huit jours de l'Evangile de saint Jean dans un monastère, à l'admiration générale » et que « au bout d'une semaine tous rivalisaient d'envie d'expérimenter le soi
Le yoga qui est une recherche gnostique du soi et qui aboutit à une rencontre avec le démon, est appelé à devenir la base de la religion de l'avenir :
« Cette religion du soi serait... la future religion de tous les hommes. Ce serait une nouvelle église, bâtie sur la seule raison, sans révélation ni dogme, sans sacrifice ni mystère. Les jnanins (ou yogis) en seraient les grands prêtres, seuls capables de transmettre le savoir (la gnose) à une poignée d'initiés dirigeant les masses non éveillées encore » (ibid, p. 77).
Qu'est donc cet éveil sinon la découverte, au plus profond de l'âme, d'un soi qui se divinise pour aboutir à la fatale conclusion : Dieu n'est plus Dieu. Dieu n'est pas Dieu. Symptômes et effets rapportés par des spécialistes
La pratique du yoga, de la méditation et du qi gong (yoga chinois) peut entraîner chez certaines personnes une panoplie de symptômes physiques et mentaux et différents syndromes : le syndrome de kundalini, les crises d’émergence spirituelle et la réaction psychotique de qi gong. Des spécialistes se sont prononcés :
Dre Nicki Crowley, psychiatre à la clinique Lead for the Crisis Resolution Team, Buckinghamshire, Angleterre Elle affirme que ces pratiques (yoga, méditation et qi gong) peuvent provoquer des crises spirituelles qui sont des expériences intrapsychiques intenses similaires à des états psychotiques pathologiques. 1
Dre Jessica S. Lu et Dr Joseph M. Pierre de Los Angeles Ils ont étudié un cas où le Bikram yoga a provoqué une psychose avec des hallucinations visuelles et auditives, de la paranoïa, des pensés rapides, de l’agitation et de l’agressivité.2
Richard Castillo, professeur à l’Université d’Hawaï en psychologie et anthropologue médical Il a effectué beaucoup d’études auprès de centaines de yogis en Inde pour conclure que les effets à long terme des transes méditatives sont des doubles personnalités, des hallucinations visuelles et auditives religieuses, des croyances dans leurs propres pouvoirs spirituels, un état permanent de conscience altéré et divisé, des visions, etc
Chez les enfants…
Aujourd’hui plusieurs écoles donnent des cours de yoga et de méditation aux enfants. Pourtant, cette pratique présente des risques et peut causer des préjudices graves à la santé mentale et physique des enfants :
Sonia Lupien Ph. D., neuropsychologue, directrice scientifique du Centre de recherche Fernand-Seguin, Hôpital Louis-H. Lafontaine, Université de Montréal et directrice du Centre d'études sur le stress humain. Elle s’objecte au yoga à l’école parce qu’au lieu de diminuer le stress, il peut au contraire stresser des enfants. Elle soutient qu’il n’y a pas de chance à prendre avec une technique qui n’a pas fait ses preuves au niveau scientifique.
Le département de l’Éducation de l’État de l’Alabama Il a inséré dans la loi l’interdiction au personnel des écoles d’utiliser toutes techniques qui implique ou induit des états d’hypnose, de l’imagerie guidée, de la méditation et du yoga. 8
Alice Christensen, présidente de l’American Yoga Association (AYA).
Elle affirme que le yoga n’est pas approprié pour les enfants en bas de 16 ans en raison de ses effets sur les systèmes nerveux et glandulaire qui peuvent interférer avec la croissance naturelle de l’enfant. 9
À quelle inhumanité et à quelle cruauté ce schéma tantrique peut conduire en temps de guerre, cela est montré par l’histoire du « lama vengeur », un moine des Bonnets Rouges du nom de Dambijantsan. C’était un Kalmouk de la région de la Volga qui avait été emprisonné en Russie pour activités révolutionnaires. « Après une fuite mouvementée », écrit Robert Bleichsteiner, « il alla au Tibet et en Inde, où il fut initié à la magie tantrique. Dans les années 1890, il commença ses activités politiques en Mongolie. Chevalier errant du lamaïsme, démon des steppes, et tantrika dans le style de Padmasambhava, il éveillait de vagues espoirs chez certains, de la peur chez d’autres, ne reculait devant aucun crime, sortait indemne de tous les dangers, de sorte qu’il était considéré comme invulnérable et intouchable, bref, il tenait tout le Gobi sous son emprise » (Bleichsteiner, 1937, p. 110).
Dambijantsan croyait être l’incarnation du héros guerrier de la Mongolie de l’Ouest, Amursana. Durant de nombreuses années, il réussit à commander une armée assez nombreuse et à exécuter un nombre remarquable d’actions militaires victorieuses. Pour cela, il reçut de hauts titres religieux et nobles de la part du « Bouddha vivant » d’Ourga. Le Russe Ferdinand Ossendowski parla de lui, mais sous un autre nom (Touchegoun Lama) [1] : « Quiconque désobéissait à ses ordres périssait. Nul ne savait le jour ni l’heure où, dans la yourte ou à coté du cheval galopant dans la plaine, l’étrange et puissant ami du Dalaï-lama apparaîtrait. Un coup de couteau, une balle ou des doigts vigoureux serrant le cou comme un étau, c’était la justice secondant les plans de ce faiseur de miracles » (Ossendowski, 1924, p. 116). De fait, la rumeur circulait que le « dieu vivant » de Lhassa avait honoré le Kalmouk militant.
La forme de guerre de Dambijantsan était d’une cruauté calculée qu’il considérait néanmoins comme un acte de vertu religieux. Le 6 août 1912, après la prise de Khobdo, il avait massacré les prisonniers chinois et sarten selon un rite tantrique. Comme un prêtre aztèque en pleine majesté, il leur ouvrit la poitrine avec un couteau et leur arracha le cœur avec sa main gauche. Il le plaça avec des morceaux de cervelle et d’entrailles dans des coupes faites avec des crânes afin de les offrir en sacrifice bali aux dieux de terreur tibétains. Bien qu’étant officiellement un gouverneur du Khutuktu, pendant les deux années suivantes, il se conduisit comme un autocrate en Mongolie de l’Ouest et tyrannisa un immense territoire par un règne de violence « au-delà de toute raison et mesure » (Bawden, 1969, p. 198). Sur les parois de sa yourte, il aimait suspendre la peau écorchée de ses ennemis.
Ce furent les bolcheviks qui s’occupèrent vraiment de lui. Il s’enfuit dans le désert de Gobi et se retrancha dans un fort avec un certain nombre de partisans fidèles. Sa fin fut tout aussi sanglante que le reste de sa vie. Les Russes envoyèrent un prince mongol qui prétendit être un envoyé du « Bouddha vivant » et put ainsi entrer sans mal dans le camp. Devant le « lama vengeur » sans méfiance, il tira sur lui six coups de revolver. Il arracha ensuite le cœur de sa victime et le dévora devant les yeux de tous les présents afin de terrifier et d’horrifier – comme il le dit plus tard – ses partisans. Il réussit ainsi à s’échapper. Plus tard, il retourna sur le site avec les Russes et prit la tête de Dambijantsan comme preuve. Mais dans ce cas, le fait « d’arracher et de manger le cœur » n’était pas seulement un terrible moyen de répandre la terreur, mais faisait aussi partie du culte traditionnel de la caste guerrière mongole, qui était déjà pratiqué sous Gengis Khan et avait survécu à travers les siècles. Il est aussi mentionné dans un passage de l’épopée de Gesar, que nous avons déjà cité. Il se trouve aussi comme motif dans les thangkas tibétains: Begtse, le dieu de la guerre hautement vénéré, brandit une épée dans sa main droite tout en portant un cœur humain à sa bouche avec sa main gauche.
Au vu des terribles tortures dont l’armée chinoise était accusée, et de l’impitoyable boucherie par laquelle répondaient les forces mongoles, une forme de guerre extrêmement cruelle fut la règle en Asie Centrale dans les années 20. C’est pourquoi une appréciation du lama vengeur a surgi parmi le peuple de Mongolie, qui va parfois jusqu’à une glorification de sa vie et de ses actions. Le Russe Ossendowski vit également en lui un rédempteur presque surnaturel.
Von Ungern Sternberg : « l’Ordre des guerriers bouddhistes »
En 1919, l’armée du général russe blanc Roman von Ungern Sternberg se joignit à celle de Dambijantsan. Le Balte natif était de la même nature cruellement excentrique que le « lama vengeur ». Sous l’amiral Koltchak, il établit d’abord un bastion russe blanc en Orient contre les bolcheviks. Il voyait les communistes comme des « esprits du mal sous une forme humaine » (Webb, 1976, p. 202). Ensuite, il alla en Mongolie.
Grâce à son audace sans limites, il réussit à constituer une armée et à se placer à sa tête. Celle-ci devait bientôt provoquer la peur et l’horreur à cause de sa cruauté atavique. Elle était formée de Russes, de Mongols, de Tibétains et de Chinois. D’après Ossendowski, les régiments tibétains et mongols portaient un uniforme avec des vestes rouges et des épaulettes sur lesquelles figuraient le svastika de Gengis Khan et les initiales du « Bouddha vivant » d’Ourga (dans les milieux occultes, von Ungern Sternberg est ainsi vu comme un précurseur du national-socialisme allemand).
Pour constituer son armée, le baron appliqua la « loi d’inversion » tantrique avec une extrême précision. Les soldats recrutés étaient d’abord bourrés d’alcool, d’opium et de haschisch jusqu’à ne plus tenir debout et étaient ensuite laissés là toute la nuit pour dessoûler. Quiconque buvait encore après cela était fusillé. Le général lui-même était considéré comme invulnérable. Dans une bataille, il reçut 74 balles dans son manteau et sa selle sans être blessé. Tout le monde appelait le Balte à la moustache broussailleuse et aux cheveux ébouriffés le « baron fou ». Nous avons sous la main un portrait bizarre d’un témoin oculaire qui le vit dans les derniers jours avant sa défaite: « Le baron, avec sa tête tombant sur sa poitrine, chevauchait silencieusement devant ses troupes. Il avait perdu son chapeau et ses vêtements. Sur sa poitrine nue, de nombreux talismans mongols étaient suspendus à un cordon jaune brillant. Il ressemblait à l’incarnation d’un homme-singe préhistorique. Les gens avaient même peur de le regarder » (cité par Webb, 1976, p. 203).
Cet homme réussit à ramener le Khutuktu, chassé par les Chinois, à Ourga. Avec ce dernier, il effectua un rituel de défense tantrique contre l’Armée Rouge en 1921, bien que sans guère de succès. Après cela, le hiérarque perdit confiance dans son ancien sauveur et on dit qu’il prit lui-même contact avec les Rouges pour être débarrassé du Balte. En tout cas, il ordonna aux troupes mongoles sous le commandement du général de déserter. Von Ungern Sternberg fut ensuite capturé par les bolcheviks et fusillé. Après cela, les communistes avancèrent vers Ourga et, un an plus tard, occupèrent la capitale. Le Khutuktu avait agi correctement dans ses propres intérêts, car, jusqu’à sa mort, il demeura le chef de l’État, du moins formellement, bien que le pouvoir réel fût transféré peu à peu dans les mains du Parti Communiste.
Toutes sortes de spéculations occultes entourent von Ungern Sternberg, et peuvent essentiellement être remontées jusqu’à une seule source, le best-seller que nous avons déjà cité plusieurs fois, du Russe Ferdinand Ossendowski, avec le titre allemand de « Tiere, Menschen, Götter » [en français : « Bêtes, hommes et dieux »]. Le livre dans son ensemble est considéré comme douteux par les historiens, mais est cependant considéré comme authentique concernant sa description du baron (Webb, 1976, p. 201). Von Ungern Sternberg désirait vraiment établir un « ordre militaire bouddhiste ». « Pourquoi ? », demanda Ossendowski au baron, qui répondit avec emphase : « Pour protéger l’évolution de l’humanité et lutter contre la révolution, parce que je suis certain que l’évolution conduit à la divinité et que la révolution ne mène qu’à la bestialité » (Ossendowski, 1924, p. 245). Cet ordre aurait dû être l’élite d’un État asiatique qui réunirait les Chinois, les Mongols, les Tibétains, les Afghans, les Tatars, les Bouriates, les Kirghizes et les Kalmouks.
Après avoir calculé son horoscope, les lamas reconnurent en von Sternberg l’incarnation du puissant Tamerlan (1336-1405), le fondateur du second Empire mongol. Le général accepta cette reconnaissance avec fierté et joie, et, en tant qu’incarnation du grand Khan, il esquissa sa vision d’un empire mondial comme une « défense militaire et morale contre l’Occident pourri… » (Webb, 1976, p. 202). « En Asie, il y aura un grand État, de l’Océan Pacifique et de l’Océan Indien jusqu’aux rives de la Volga », prophétisa le baron, selon Ossendowski. « La sage religion de Bouddha s’étendra jusqu’au nord et jusqu’à l’ouest. Ce sera la victoire de l’esprit. Un conquérant, un chef, apparaîtra, plus fort et plus résolu que Gengis Khan … et il gardera le pouvoir entre ses mains jusqu’au jour heureux où, de sa capitale souterraine, sortira le Roi du Monde » (Ossendowski, 1924, p. 265).
Il avait ici émis la phrase clé qui continue à ce jour à occuper la scène occulte de l’Occident enthousiasmé, le « roi du monde ». Cette figure est supposée gouverner un royaume souterrain quelque part en Asie Centrale et exercer depuis là une influence sur l’histoire humaine. Même si Ossendowski se réfère à cet empire magique sous le nom d’Agarthi, ce n’est qu’une variante ou un supplément au mythe de Shambhala [2]. Son « Roi du Monde » est identique au souverain du royaume de Kalachakra. Il « connaît toutes les forces de la nature, lit dans toutes les âmes humaines et dans le grand livre de la destinée. Invisible, il règne sur huit cent millions d’hommes qui sont prêts à exécuter ses ordres » (Ossendowski, 1924, p. 302). Se référant à Ossendowski, l’occultiste français René Guénon spécule que le Chakravartin pourrait être présent sous forme d’une trinité dans notre monde des apparences: dans la figure du Dalaï-lama, il représente la spiritualité, dans la personne du Panchen-lama, la connaissance, et dans son émanation le Bogdo Khan (Khutuktu), l’art de la guerre (Guénon, 1958, p. 37).