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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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poliomyelite
14 novembre 2013

Sida origine : Hilary Koprowski teste, son vaccin polio expérimental « CHAT » sur 1 million d’Africains

VACCIN SIDA

La course au vaccin serait à l’origine de la catastrophe qui ravage aujourd’hui l’humanité entière. En effet, au cours des années 50, les Etats-Unis luttent de façon acharnée contre la polio, un fléau qui fait des dégâts au sein des enfants. Cette situation va conduire à une course effeinée pour la recherche d’un vaccin entre les plus grands scientifiques dont notamment Jonas Salk, Albert Sabin et Hilary Koprowski.

En février 1950, Hilary Koprowski est le premier à tester son prototype de vaccin oral sur un enfant américain de Letchworth village.

Cinq ans plus tard, soit le 2 avril 1955, c’est autour du vaccin de Jonas Salk d’être homologué. Celui-ci exige trois injections et une campagne de vaccination de masse va suivre cette homologation aux Etats- Unis (90 millions d’Américains seront vaccinés).

Le 23 avril de la même année (1955), c’est un drame autour de cette vaccination antipolio : 260 enfants ayant reçu le vaccin Salk tombent malades, onze d’entre eux en meurent. Des lots de vaccins provenant des laboratoires Cutter (en Californie) étaient défectueux : ils contenaient encore du virus vivant. Or, pour rappel, le vaccin de Jonas Salk, homologué, est un vaccin qui utilise un virus inactivé, autrement dit « tué ».
Dès le mois de mai 1955 (jusqu’en 1960), la course au vaccin est relancée entre Albert Sabin, au Children’s Hospital Research Foundation (Cincinnati), et Hilary Koprowski, d’abord au Laboratoire Lederle (Pearl River, État de New York) puis au Wistar Institute de Philadelphie.

De 1958 à 1959, Albert Sabin teste son vaccin oral, à base de virus vivant atténué, sur 6 millions d’enfants en URSS. De 1957 à 1960, Hilary Koprowski teste, de son côté, son vaccin expérimental « CHAT » sur 1 million d’Africains du Congo belge.

En novembre 1958, Albert Sabin analyse le vaccin « CHAT » de Hilary Koprowski et découvre qu’il est instable et contaminé par un virus inconnu. Au cours du même mois, l’OMS désapprouve dans une lettre confidentielle les campagnes de vaccinations de masse menées par Hilary Koprowski au Congo belge. Deux ans plus tard (printemps 1960), le vaccin oral d’Albert Sabin est homologué et utilisé dans le monde entier pour les campagnes de vaccinations antipoliomyélite de masse.

 

Voici en quelques mots où pourraient déjà se situer les origines du SIDA.

Sida : 26 millions de morts, 40 millions de personnes contaminées. L’épidémie la plus dévastatrice de l’histoire ravage notre planète depuis plus de 20 ans et pourtant son origine reste encore un mystère. Cependant la communauté scientifique est unanime : le virus du sida est né en Afrique et son ancêtre direct est présent chez les chimpanzés. Reste une énigme : comment le virus est-il passé de l’animal à l’homme ? De nombreuses théories ont été avancées et réfutées...

Aujourd’hui, seules deux hypothèses subsistent. La première suggère qu’en 1931, selon les calculs de la généticienne américaine Bette Korber, le virus du chimpanzé aurait contaminé un être humain qui consommait l’animal. Mais alors que les Africains mangent du singe depuis la nuit des temps, pourquoi cette transmission soudaine ?

La seconde suggère que le virus du sida serait le produit accidentel d’un vaccin oral contre la polio administré à un million d’Africains dans l’ex-Congo belge de 1957 à 1960 aux endroits mêmes où, une décennie plus tard, on détecte les premiers cas de sida dans le monde. Face à cette dernière théorie qui dérange, le petit univers de la grande Science est partagé entre l’examen de conscience et la dénégation : difficile d’admettre que la médecine ait pu, en combattant une maladie, créer un fléau bien pire encore. Ressuscitant les souvenirs des témoins, exhumant des archives inédites et suivant une incroyable quête de la vérité, ce film plonge le spectateur dans l’histoire d’une controverse scientifique sans précédent.



Ce sera en 1985, à la suite des travaux entre autres du chercheur André Nahmias que l’on commencera à suivre la progression d’une maladie dont la caractéristique particulière est la destruction des défenses immunitaires de l’organisme. Tous les malades atteints meurent de petites maladies comme la diarrhée. On l’appellera SIDA. La contamination la plus directe se fait par contacte sanguin avec le malade porteur du VIH, même si la maladie ne se manifeste pas encore. C’est cela qu’on appelle être SERO-POSITIF.

En somme, retenons un nom d’Hilary Koprowski. C’est lui qui était responsable de la vaccination de milliers d’enfants à partir d’un vaccin fabriqué à base des cellules extraites des reins de singe. Retenons aussi un virus inconnu et dangereux retrouvé dans les vaccins d’Hilary Koprowski par Albert Sapin : c’est lui qu’on nommera plustard VIH, à l’époque totalement inconnu.

Retenons aussi la date de 1985. Ce n’est pas la date de l’apparition on ou de la découverte du virus, mais c’était la véritable 1ière fois que les scientifiques avaient établi un lien entre le VIH et le SIDA. En effet, le VIH est responsable du SIDA, et enfin retenons un pays, le Congo Belge, l’épicentre du VIH. C’est-à-dire là où l’e virus est né pour se propager dans le monde entier.

Source : http://www.thotep.com

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23 octobre 2013

COUTS DES DOMMAGES VACCINAUX AUX USA

BBC-vaccination-forcee-ROR

Catherine Frompovich, 18 octobre 2013 (Extraits)

Selon le CDC et la FDA, les vaccins sont censés être sûrs. Comment se fait-il dès lors que la Division HRSA du Département Américain de la Santé et des Services Humains ait publié ses Rapports Statistiques [1] pour la période qui se termine le 3 septembre 2013 et qu’elle y fournisse  des données attestant que les vaccins provoquent des dommages de santé et peuvent même tuer ?

La période en question couvre les années fiscales depuis février 1989 jusqu’à février 2013. Au cours de cette période, il y a eu 3.387 plaintes qui ont fait l’objet de dédommagement et 9.651 plaintes qui ont été rejetées, un fameux camouflet par rapport aux intentions qui avaient présidé à l’élaboration du Programme National d’Indemnisation Pour Dommages Vaccinaux, et qui fut créé par le Congrès et repris dans la Loi 99-660. (selon l’auteur de cet article).

Le Tribunal Fédéral des Plaintes (AKA, le Tribunal des vaccins) a versé 2.569.336.538,59 $ en dédommagements et 104.202.681,85 $ pour les honoraires des avocats des victimes. Le tribunal a aussi payé les sommes de 56.375.431, 34 $ plus 15.190.454,29 $ pour les frais des avocats qui se sont occupés de plaintes rejetées, ainsi que pour les avocats intérimaires. A en juger par les sommes payées aux avocats, il semblerait que ces derniers soient bien mieux lotis que les plaignants qu’ils défendent et dont le tribunal a rejeté les plaintes. Concrètement les rapports abordent les sujets suivants : dommages de santé, décès, plaintes avec dédommagement, plaintes rejetées.

 

Si l’on étudie soigneusement les données, on pourra noter que les vaccins qui ont provoqué le plus de dommages sont :

DTC : 3.284 ; Grippe (Trivalent) : 1.108 ; MMR : 860 ; Hépatite B : 591 ; DTaP : 353 ;OPV (polio oral) : 280.

Le vaccin qui aurait causé le plus grand nombre de décès est le DTC avec 696 décès.

 Par coïncidence, parmi les 32 vaccins énumérés, seuls 5 n’ont entraîné aucun décès.

 Le tableau ci-dessous est pratiquement un copié collé à partir du site HRSA (Health Resources and Services Administration)

 

Plaintes déposées – Dédommagements accordés ou rejetés - 3 septembre 2013

 

                         Vaccins répertoriés comme rapportés par les plaignants

 Pour chaque vaccin le graphique distingue trois grandes catégories : 1. le nombre de plaintes (Dommages – Décès - Total), 2. Les vaccins pour lesquels un dédommagement a été accordé 3. Les vaccins pour lesquels les plaintes ont été rejetées. […] Le nombre total de vaccins administrés pendant la période susmentionnée est de 1.968.399.297 - pratiquement deux milliards de vaccins.Il est à noter que les chiffres repris dans ce tableau ne sont pas juxtaposables avec ceux du VAERS  (Système officiel de déclaration des effets secondaires des vaccins) Pour se faire une idée plus exacte de l’effet des vaccins, il est nécessaire de consulter les données du VAERS, comme de lire des déclarations du type de celles qui suivent :

Cout-des-dedomagements-USA--1-

Graph-cout-des-dedommagements--2-

 

  • Plus de 10 millions de vaccins sont, chaque année administrés aux enfants de moins d’un an, généralement entre 2 et 6 mois. C’est à cet âge que les nourrissons courent le plus grand risque d’effets secondaires, y compris des fièvres élevées, des convulsions, la mort subite et inexpliquée du nourrisson (MSIN). C’est peu de temps après les vaccinations que certains nourrissons feront ces complications « par coïncidence ».

 

  • Ces « coïncidences » rendent difficile l’évaluation d’un effet indésirable : est-il le résultat d’un mauvais état de santé ou d’une vaccination ? C’est la raison pour laquelle les personnes qui vaccinent sont encouragées à signaler tous les événements indésirables qui surviennent après la vaccination et ce, qu’ils croient ou non que la vaccination en soit la cause.

 Il est utile que le lecteur se rende compte que les effets secondaires des vaccins soient très souvent attribués à des « coïncidences ». Mais, si les nourrissons courent les plus grands risques d’effets secondaires entre 2 et 6 mois, pourquoi ne pas postposer les vaccinations. A ce sujet le Japon possède un programme de vaccination intéressant. (Voir : Immunization Law and Voluntary Vaccination)

 

[…] HRSA précise que VAERS est un système de déclaration passive et « la sous-déclaration est l’une des principales limitations des systèmes de surveillance passifs, ce qui est le cas pour VAERS. »  - Le terme « sous-déclaration » se réfère au fait que les rapports que VAERS reçoit ne concernent qu’une petite partie des réactions indésirables réelles. » Cette dernière phrase est claire et concrète. L’ancien commissaire de la FDA, David Kessler estime en 1993 que moins d’un pour cent des médecins rapportent les effets indésirables des médicaments. [2] Les vaccins sont des médicaments !

Et enfin, le taux actuel de l’autisme aux USA est de un sur 50, soit 2 pour cent des enfants âgés de 6 à 17 ans, tandis qu’à la fin des années 1970, il était de 1 pour 10.000.

 Quels ont été les facteurs déclencheurs ? Certains prétendent maintenant que c’est la pollution. Il est évident que les produits chimiques sont des polluants. Les médicaments et les vaccins sont fabriqués à partir de produits chimiques toxiques. Les neuf vaccins actifs qui sont administrés avec leur neurotoxines au cours d’une seule visite chez le médecin déversent pas mal de produits chimiques dans le corps des nourrissons.

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  Source Wikipedia

De 1996 à 2007- douze ans – les déclarations de cas d’autisme par 1.000 enfants ont augmenté de moins d’un cas à plus de cinq cas ! Nous sommes maintenant en 2013. Peut-on deviner ce qu’il en est de la situation actuelle ? Et bien, en 2012 le taux s’était élevé à 11,3 pour 1000 d’après le CDC américain. De 2007 à 2012 – en tout juste six ans – le taux d’autisme est passé d’un peu plus de 5 à 11,3 pour 1.000 enfants.

Réfléchissons quelque peu : en 1940 nous n’avions que deux vaccinations, le DTC et la variole. En 1980, on est passé à 9 vaccins. En 2012, on avait rendu obligatoires 49 doses de 14 vaccins pour les enfants jusqu’à l’âge de 6 ans. [3]

Qu’est-ce qui se passe finalement ? Pour une information approfondie sur les vaccins, sur leurs ingrédients toxiques, sur la politique vaccinale, les lecteurs peuvent s’en référer à l’ouvrage que je viens de publier : Vaccination Voodo, What YOU don’t Know About Vaccines disponible su Amazon.com  ( Le Voodo Vaccinal. Ce que VOUS ignorez au sujet des vaccins)

 

Références:

http://www.initiativecitoyenne.be/article-cout-des-dommages-vaccinaux-aux-usa-120705352.html

 [1] http://www.hrsa.gov/vaccinecompensation/statisticsreports.html

[2] Kessler, DA. “Introducing MEDWatch,” JAMA, June 2, 1993: 2765-2768

[3] Proud Parents of Unvaccinated Children on Facebook  

 https://www.facebook.com/pages/New-Proud-Parents-of-Unvaccinated-Children/113991452086710

3 octobre 2013

Voilà à présent que le Dalaï-Lama se mêle de vacciner les bébés indiens

 

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Sayer Ji, directeur de la Nutrition  au Centre de naissance de Naples et fondateur de GreenMedInfo, nous annonçait cette surprenante nouvelle. (http://www.greenmedinfo.com)

Je suis entièrement d’accord avec ses propos que je vous livreLe Dalaï-Lama administre un vaccin polio à un nourrisson  

« Sur la photo ci-dessus on peut voir le Dalaï-Lama administrer le vaccin polio oral bivalent (bOPV) à un nourrisson dans le complexe du temple  Mahabodhi (Etat Indien du Bihar) – le site sacré où l’on pense que le Bouddha a reçu l’illumination il y a environ 2500 ans. 

« Au cours de cet événement télévisé et hautement symbolique, le Dalaï-Lama a, dans un geste de compassion, vacciné deux enfants, comme aussi manifesté son soutien à la Journée Nationale Indienne d’Immunisation et à l’Initiative Mondiale d’Eradication de la Polio dont les échecs et les duplicités ont été exposées dans d’autres articles. 

« Le 14e Dalaï-Lama n’est pas seulement le dirigeant politique exilé du Tibet, mais comme le pensent ses disciples, la manifestation vivante du Bodhisattva de la compassion, et en tant que telle une expression de l’illumination. Il n’est dès lors pas banal pour lui d’administrer personnellement des vaccins à des nourrissons à l’endroit même où l’on pense que le Bouddha a atteint l’illumination. » 

  

En vaccinant des nourrissons, le Dalaï-Lama aurait-il abandonné les Principes Ethiques du Bouddhisme ?

 « Le concept ne pas faire le moindre mal est fondamental dans les enseignements Bouddhistes comme dans ceux d’autres religions de l’Inde (Hindouisme, Jaïnisme). Ce principe est connu sous le nom d’Ahimsa (littéralement : éviter toute violence). On ne pourrait par exemple justifier la mise à mort d’un animal pour sauver sa propre vie. C’est une des raisons  pour lesquelles beaucoup de Bouddhistes sont végétariens. 

« On ne pourrait non plus justifier de tuer un enfant pour en sauver 1 million d’autres comme le font souvent ceux qui évaluent le rapport bénéfices/risques des vaccins (qui dans de rares cas peuvent handicaper ou tuer) par rapport à l’ensemble de la société. Il s’agit uniquement et simplement de ne pas faire le moindre mal. Dans le Bouddhisme, ce principe n’est pas davantage ouvert à la négociation que la filiation divine de Jésus pour les chrétiens.

 

Le Dalaï- Lama a, un jour, lui-même déclaré :

 « Si vous le pouvez, aidez les autres ; si vous ne le pouvez pas, au moins ne leur faites pas le moindre mal ».

« Quand le principe de la non violence ou Ahimsa s’applique à des interventions médicales ou à l’exposition à des produits chimiques, il se traduit par le « principe de précaution » qui exige que si une action est suspectée de comporter le risque de causer des dégâts au public ou à l’environnement, la charge de la preuve que le dit produit est sans danger incombe aux auteurs de l’action en question.

« […]  La plupart des études sur la sécurité des vaccins ont non seulement été financées par les fabricants de vaccins eux-mêmes, mais une grande partie des connaissances sur la sécurité des vaccins n’est acquise que bien longtemps après que les vaccins ont été mis sur le marché et que la population  a déjà été exposée aux risques. Ce qui veut dire que l’information la plus complète sur la sécurité des vaccins n’est acquise qu’au travers d’études de surveillance post marketing et des déclarations d’effets secondaires rapportés par le public.

« En d’autres mots, le principe de précaution est ignoré en faveur du « poids de la preuve » qui met sur les épaules de ceux qui ont déjà été exposés à un risque potentiel, de prouver qu’une intervention médicale comporte bel et bien des risques (alors que ces derniers n’en ont pas été complètement et préalablement informés). Ce point est essentiel par rapport au principe du consentement libre et éclairé.

«  […]  Dans le cas du vaccin contre la polio le risque connu d’une paralysie induite par le vaccin est évalué par rapport aux bénéfices théoriques de la vaccination. Contrairement au principe de précaution, la norme constitue à déterminer  “un niveau acceptable de dommages”. Si en fait il n’y a qu’un “faible pourcentage” d’enfants vaccinés qui deviennent paralysés ou qui décèdent après la vaccination, le vaccin sera néanmoins justifié et approuvé. Ceci viole clairement le principe Bouddhiste de l’Ahimsa évoqué plus haut. »

 Le Dalaï-Lama a contribué à « lancer » en Inde le nouveau vaccin polio bivalent qui comporte des risques plus élevés.

 « Il est triste de constater que le Dalaï-Lama n’a pas fait que vacciner deux enfants indiens le 10 janvier 2010, il a aussi officiellement lancé le nouveau vaccin polio oral bivalent (bOPV) qui selon un article de 2011 publié dans l’American Journal of Epidemiology aurait, dans une population Hongroise, présenté un risque de paralysie 4 fois plus élevé que le vaccin monovalent 3, et un risque 70 fois plus élevé de paralysie que le vaccin polio monovalent 1 auquel il était comparé.

« Plus troublant encore est le fait que 47.500 cas de paralysies associées au vaccin polio (paralysies flasques aiguës) auraient été découverts chez des nourrissons et enfants indiens rien qu’en 2011 à la suite du lancement du « nouveau vaccin amélioré.

« […]  Si la compassion vis-à-vis des pauvres et des malades est la véritable motivation des campagnes mondiales de vaccinations, pourquoi dès lors ne met-on pas autant l’accent et n’accorde-t-on pas autant de moyens pour l’alimentation et l’amélioration de l’hygiène ?

« On a dépensé des milliards de dollars pour fournir des milliards de doses de vaccins aux enfants indiens et pas un penny n’a été accordé pour améliorer et renforcer le système immunitaire de tous ces enfants.

 « Nous pouvons supposer que le Dalaï-Lama n’est pas bien au fait de ces divers éléments et fait confiance aux positions officielles concernant la sécurité des vaccins.

« Mais si c’est le cas, le Bouddha lui-même avait déjà pris position par rapport à une foi aveugle. Il disait :

« Ne croyez rien juste parce qu’un certain sage l’a dit. Ne croyez rien juste parce que c’est une croyance répandue et générale. Ne croyez rien juste parce que c’est écrit dans des livres anciens. Ne croyez rien juste parce que quelqu’un d’autre le croit… Quand après observation et analyse vous trouvez que la raison est respectée et que ce qui est proposé pourra contribuer au plus grand bien de tous, alors acceptez la chose et tentez d’y conformer votre vie.

« Ce qui est difficile à réaliser c’est qu’un leader politique et spirituel de son envergure ne puisse pas comprendre et suivre les principes Bouddhistes médico-éthiques, tout spécialement  quand il y va de la santé et du bien-être des plus vulnérables : les enfants pauvres et souvent malades.

«  […]  Il existe un nombre croissant de preuves qui montrent que les vaccinations de routine peuvent provoquer plus de 200 effets secondaires différents, y compris la mort. Cela c’est la science qui le dit ; il ne s’agit nullement d’opinions ou de croyances. »

                                                                                                                                                            Sayer Ji

 

Votre corps est précieux. Il est votre véhicule pour atteindre l’Eveil.

Prenez-en grand soin.

Bouddha


 

 http://www.greenmedinfo.com/blog/questioning-dalai-lama-who-would-buddha-vaccinate1

Sayer Ji, directeur de la Nutrition  au Centre de naissance de Naples et fondateur de GreenMedInfo, nous annonçait cette surprenante nouvelle. (http://www.greenmedinfo.com)

 

Je suis entièrement d’accord avec ses propos que je vous livre :

 

  

 

Le Dalaï-Lama administre un vaccin polio à un nourrisson  

 

 

 

« Sur la photo ci-dessus on peut voir le Dalaï-Lama administrer le vaccin polio oral bivalent (bOPV) à un nourrisson dans le complexe du temple  Mahabodhi (Etat Indien du Bihar) – le site sacré où l’on pense que le Bouddha a reçu l’illumination il y a environ 2500 ans. 

 

« Au cours de cet événement télévisé et hautement symbolique, le Dalaï-Lama a, dans un geste de compassion, vacciné deux enfants, comme aussi manifesté son soutien à la Journée Nationale Indienne d’Immunisation et à l’Initiative Mondiale d’Eradication de la Polio dont les échecs et les duplicités ont été exposées dans d’autres articles. 

 

« Le 14e Dalaï-Lama n’est pas seulement le dirigeant politique exilé du Tibet, mais comme le pensent ses disciples, la manifestation vivante du Bodhisattva de la compassion, et en tant que telle une expression de l’illumination. Il n’est dès lors pas banal pour lui d’administrer personnellement des vaccins à des nourrissons à l’endroit même où l’on pense que le Bouddha a atteint l’illumination. » 

 

  

 

En vaccinant des nourrissons, le Dalaï-Lama aurait-il abandonné les Principes Ethiques du Bouddhisme ?

 

 

 

« Le concept ne pas faire le moindre mal est fondamental dans les enseignements Bouddhistes comme dans ceux d’autres religions de l’Inde (Hindouisme, Jaïnisme). Ce principe est connu sous le nom d’Ahimsa (littéralement : éviter toute violence). On ne pourrait par exemple justifier la mise à mort d’un animal pour sauver sa propre vie. C’est une des raisons  pour lesquelles beaucoup de Bouddhistes sont végétariens. 

 

« On ne pourrait non plus justifier de tuer un enfant pour en sauver 1 million d’autres comme le font souvent ceux qui évaluent le rapport bénéfices/risques des vaccins (qui dans de rares cas peuvent handicaper ou tuer) par rapport à l’ensemble de la société. Il s’agit uniquement et simplement de ne pas faire le moindre mal. Dans le Bouddhisme, ce principe n’est pas davantage ouvert à la négociation que la filiation divine de Jésus pour les chrétiens.

 

 

 

Le Dalaï- Lama a, un jour, lui-même déclaré :

 

 

 

« Si vous le pouvez, aidez les autres ; si vous ne le pouvez pas, au moins ne leur faites pas le moindre mal ».

 

« Quand le principe de la non violence ou Ahimsa s’applique à des interventions médicales ou à l’exposition à des produits chimiques, il se traduit par le « principe de précaution » qui exige que si une action est suspectée de comporter le risque de causer des dégâts au public ou à l’environnement, la charge de la preuve que le dit produit est sans danger incombe aux auteurs de l’action en question.

 

« […]  La plupart des études sur la sécurité des vaccins ont non seulement été financées par les fabricants de vaccins eux-mêmes, mais une grande partie des connaissances sur la sécurité des vaccins n’est acquise que bien longtemps après que les vaccins ont été mis sur le marché et que la population  a déjà été exposée aux risques. Ce qui veut dire que l’information la plus complète sur la sécurité des vaccins n’est acquise qu’au travers d’études de surveillance post marketing et des déclarations d’effets secondaires rapportés par le public.

 

« En d’autres mots, le principe de précaution est ignoré en faveur du « poids de la preuve » qui met sur les épaules de ceux qui ont déjà été exposés à un risque potentiel, de prouver qu’une intervention médicale comporte bel et bien des risques (alors que ces derniers n’en ont pas été complètement et préalablement informés). Ce point est essentiel par rapport au principe du consentement libre et éclairé.

 

«  […]  Dans le cas du vaccin contre la polio le risque connu d’une paralysie induite par le vaccin est évalué par rapport aux bénéfices théoriques de la vaccination. Contrairement au principe de précaution, la norme constitue à déterminer  “un niveau acceptable de dommages”. Si en fait il n’y a qu’un “faible pourcentage” d’enfants vaccinés qui deviennent paralysés ou qui décèdent après la vaccination, le vaccin sera néanmoins justifié et approuvé. Ceci viole clairement le principe Bouddhiste de l’Ahimsa évoqué plus haut. »

 

 

 

Le Dalaï-Lama a contribué à « lancer » en Inde le nouveau vaccin polio bivalent qui comporte des risques plus élevés.

 

 

 

« Il est triste de constater que le Dalaï-Lama n’a pas fait que vacciner deux enfants indiens le 10 janvier 2010, il a aussi officiellement lancé le nouveau vaccin polio oral bivalent (bOPV) qui selon un article de 2011 publié dans l’American Journal of Epidemiology aurait, dans une population Hongroise, présenté un risque de paralysie 4 fois plus élevé que le vaccin monovalent 3, et un risque 70 fois plus élevé de paralysie que le vaccin polio monovalent 1 auquel il était comparé.

 

« Plus troublant encore est le fait que 47.500 cas de paralysies associées au vaccin polio (paralysies flasques aiguës) auraient été découverts chez des nourrissons et enfants indiens rien qu’en 2011 à la suite du lancement du « nouveau vaccin amélioré.

 « […]  Si la compassion vis-à-vis des pauvres et des malades est la véritable motivation des campagnes mondiales de vaccinations, pourquoi dès lors ne met-on pas autant l’accent et n’accorde-t-on pas autant de moyens pour l’alimentation et l’amélioration de l’hygiène ?

 « On a dépensé des milliards de dollars pour fournir des milliards de doses de vaccins aux enfants indiens et pas un penny n’a été accordé pour améliorer et renforcer le système immunitaire de tous ces enfants.

  « Nous pouvons supposer que le Dalaï-Lama n’est pas bien au fait de ces divers éléments et fait confiance aux positions officielles concernant la sécurité des vaccins.

 « Mais si c’est le cas, le Bouddha lui-même avait déjà pris position par rapport à une foi aveugle. Il disait :

 « Ne croyez rien juste parce qu’un certain sage l’a dit. Ne croyez rien juste parce que c’est une croyance répandue et générale. Ne croyez rien juste parce que c’est écrit dans des livres anciens. Ne croyez rien juste parce que quelqu’un d’autre le croit… Quand après observation et analyse vous trouvez que la raison est respectée et que ce qui est proposé pourra contribuer au plus grand bien de tous, alors acceptez la chose et tentez d’y conformer votre vie.

 « Ce qui est difficile à réaliser c’est qu’un leader politique et spirituel de son envergure ne puisse pas comprendre et suivre les principes Bouddhistes médico-éthiques, tout spécialement  quand il y va de la santé et du bien-être des plus vulnérables : les enfants pauvres et souvent malades.

 «  […]  Il existe un nombre croissant de preuves qui montrent que les vaccinations de routine peuvent provoquer plus de 200 effets secondaires différents, y compris la mort. Cela c’est la science qui le dit ; il ne s’agit nullement d’opinions ou de croyances. »

 

                                                                                                                                                            Sayer Ji

 

 

 

Votre corps est précieux. Il est votre véhicule pour atteindre l’Eveil.

 

Prenez-en grand soin.

 

Bouddha


 

 

 

 http://www.greenmedinfo.com/blog/questioning-dalai-lama-who-would-buddha-vaccinate1

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30 octobre 2011

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