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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
humanisme
24 septembre 2016

Alejandro Jodorowsky : Non seulement tout est vivant, mais vous pouvez transformer votre réalité par la pensée

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Nous inventons nos propres fantômes.

Voici une vieille histoire japonaise (où apparaît un acte de psychomagie):

“Agonisante, une femme dit à son mari: ‘Je veux que tu sois fidèle à mon souvenir. Si tu te maries avec une autre, mon fantôme viendra te déranger !’ Il jura lui être fidèle. Quand elle mourut, il garda le deuil. Mais au bout d’un an il tomba amoureux d’une autre femme. La fantôme apparut pour lui dire : ‘Je te surveille ! Je sais ce que tu dis, quels cadeaux tu lui donnes et je peux répéter les mots avec lesquels tu lui fais la cour ! Je t’interdis de continuer à la voir !’ Se sentant ainsi surveillé, le pauvre homme ne pouvait rien faire. Il alla consulter un moine. Le moine lui dit: ‘Le fantôme dit savoir tout ce que tu fais. Alors, la prochaine fois qu’il apparaîtra, prends une poignée de riz et demande-lui combien de grains tu as dans la main. S’il te répond exactement, c’est un véritable fantôme. S’il ne te répond pas, ça signifie que tu l’as inventé’. Quand le fantôme apparut, l’homme lui demanda combien de grains de riz il avait dans son poing. Le fantôme s’est dissous !”

Nous croyons vivre libres dans le présent et cependant nous sommes conditionnés, ligotés, inhibés par les souvenirs. Ces souvenirs, imprimés dans notre cerveau, se manifestent à nous dans la vie sous la forme de fantômes. Nous croyons voir la réalité alors qu’en vérité nous ne voyons que des images de notre mémoire. Il faut défier ces fantômes ! Voir ce qui est réel et ce qui est produit par notre peur de désobéir aux interdictions. Nous ne pouvons être un adulte complet si nous n’abandonnons pas ces fantômes infantiles. Ces spectres intérieurs nous disent à chaque moment: “La vie est dangereuse, attention, fuis, ne l’affronte pas telle qu’elle est, déguise-la!”. Et c’est ainsi que la plupart de nous, par crainte du monde, le transforme en illusions, par des mensonges, drogues, activités superficielles, conscience endormie. Le moine de cette vieille histoire nous dit: “Dans ton poing tu as un nombre précis, objectif, de grains de riz : tu dois savoir combien de grains tu as”, c’est à dire, en triomphant sur ta subjectivité, tu dois savoir quelle est la réalité objective, l’affronter, travailler dans ce que tu aimes, aimer ce que tu fais et construire une vie véritable, sans crainte d’être ce que tu es en réalité. Pour vivre dans le “monde”, comme a dit le philosophe Bertrand Russell, tu dois accepter qu’il est horrible, horrible, horrible… En acceptant l’“horrible” du monde, tu peux lutter en lui, sans t’enfuir, en commençant à le transformer en le paradis que doit être tout présent réel.

Alejandro Jodorowsky : Il y a plusieurs phrases qui m’ont aidé à vivre. Comme par exemple: “Ce que je donne je me le donne, ce que je ne donne pas je me l’enlève”. “Ce que tu donnes fructifie, ce que tu ne donnes pas pourrit”. “Je ne veux rien pour moi qui ne soit pas pour les autres”. “On ne peut changer le monde, mais on peut commencer à le changer”

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Tout est vivant ”.
Non seulement tout est vivant, mais tout change aussi, aucune forme n’est permanente, tout grandit, se maintient, se fane, se transforme en autre chose. Les objets qui nous entourent établissent, à leur manière, des liens avec nous. Ces liens nous aident à grandir, à nous maintenir vivant, et ensuite nous dépérissons de manière équilibrée pour faire place à une nouvelle forme de vie. Si vous vous comportez ainsi, vous êtes positifs, mais si vous persistez à demeurer sans accepter le changement, vous êtes néfastes… Grandir et seulement grandir, essayant de ne jamais cesser de se développer, conduit à des catastrophes. Se maintenir dans ce qu’on considère qu’on est, éliminant de nouveaux apports et pertes nécessaires, conduit à la pétrification. Se donner à la destruction sans laisser naître la nouveauté, est néfaste…
Ce que nous avons de plus précieux c’est la vie. Nous devons la respecter, pas seulement la nôtre, mais la vie de tout ce que naît continuellement, se maintient un temps, puis périt… Nous devons apprendre à traiter les objets personnels avec la même délicatesse que celle avec laquelle nous traitons un enfant. Les objets inutiles sont des envahisseurs, ils dévorent une partie de notre énergie. Les objets que nous traitons de manière distraite, brusquement, se vengent en nous causant des accidents. Mais si nous les traitons avec respect, ils deviennent nos alliés, nous octroyant des valeurs.
La cérémonie japonaise du thé, est un acte magique basé sur le respect des objets et la reconnaissance de leur vie secrète. Le Maître du Thé, devant quelques invités, fait bouillir de l’eau et avec des gestes précis, essentiels, fabrique un thé simple, qui par l’intense attention avec laquelle il le fait, devient un élixir sacré. À l’époque où je travaillais avec le mime Marcel Marceau, j’ai assisté à une de ces cérémonies. Voir la beauté avec laquelle le Maître manipule ses cuillers en bois, son fouet pour mélanger le thé vert en poudre avec l’eau bouillante, sa manière révérencielle de lever la bouilloire, la tendresse avec laquelle il prit la tasse qu’il m’offrit, ont changé à jamais ma conception de la vie. Cette même attention intense et respectueuse pouvait se percevoir dans les objets qui accompagnaientt le Maître dans la pièce, une fleur exquise, un paysage peint avec de sobres traits noirs sur une simple feuille de bon papier, jamais d’ornement superflu, aucune lumière blessante, et, en tout, le calme guérisseur d’un temps perçu comme éternel.
Je te recommande cet exercice :
Parcours l’endroit où tu habites. Imagine que tous les meubles et les objets sont vivants, désireux de communiquer avec toi. Dis quelques phrases à chacun d’eux les remerciant de leur aide et en leur expliquant en quoi ils te sont utiles. Aux objets ou aux meubles qui sont de trop ou te sont inutiles, demande-leur pardon de les forcer à vivre sur un territoire qui ne leur correspond pas et le plus vite possible, donnes-les à qui les appréciera et les utilisera bien. Fais la même chose avec tes vêtements, avec tes livres, tes disques, tes accessoires de cuisine…
Je te l’assure : si tu te détaches de ce qui ne te sert pas et gardes seulement ce qui t’es utile, tu apprendras à faire de même avec les personnes qui t’entourent, ensuite ton esprit, et ta mémoire. Sans objets inutiles, ton foyer devient immédiatement un temple. Sans vêtements et décorations inutiles, ton aspect devient celui d’une personne sacrée. Sans pensées, ni sentiments, ni désirs inutiles, tu acquiers la santé physique et mentale, tu connais la joie de vivre.

3.- “Tout est connecté avec tout”.
Ce que tu fais ici provoque un écho là bas. Des liens invisibles nous unissent à toutes les choses de cette planète et du Cosmos. Tout ce qui arrive dans le monde t’affecte. Il n’y a pas une seule personne, du présent du passé ou du futur, avec laquelle tu n’es pas en relation. Ce que tu donnes ou fais aux autres, tu te le donnes ou fais à toi-même. Cependant, pour pouvoir vivre ta propre vie, il t’est nécessaire de créer ton “jardin secret”. Si tu ne le fais pas, tu es envahi par tes parents, tes amis, ton chef, n’importe quel intrus, profiteur ou égo charismatique. Rempli de ces personnages, tu cesses d’être toi-même. Quand en amour tu poursuis la symbiose totale, tu commets une erreur. La solitude intérieure est absolument nécessaire. Tu dois apprendre à te défendre psychiquement et matériellement pour ne pas être envahi. Ce n’est pas de l’égoïsme mais de la survie. Tu dois avoir quelque chose qui soit seulement à toi, même si, pour commencer, c’est n’est qu’un petit objet, un coin, un animal, une plante.
J’ai connu un guérisseur mexicain, Carlos Said, qui, avant de guérir ses patients avec des rites, fumigations et herbes, leur enroulait autour du cou une grosse corde avec un nœud coulant en leur disant : “Ce nœud t’indique que cette maladie est la tienne et pas la mienne. Ce n’est pas moi qui vais la guérir, elle t’appartient. Tu comprends ? Tu es malade car tu n’as pas su soigner ce qui est à toi”. La maladie est la recherche désespérée pour avoir un territoire personnel. La première chose que tu dois faire pour donner quelque chose aux autres, c’est d’être capable de te le donner à toi-même.

4. “Tout est possible”.
Certes, pour que tout te soit possible il est nécessaire que les autres croient que ceci est vrai. Si tu veux qu’une chose soit possible, tu dois faire croire aux autres que tu peux le faire. Si les autres ne le croient pas, tu n’y parviendras pas. Ton travail alors, te rendant compte que l’énergie cosmique )est partout, consistera en te convaincre que ce que tu fais est bien. Réunissant toutes tes forces, faisant des provisions de toute ta volonté, te coupant de l’inertie du passé, des nombreuses répétitions dans lesquelles s’embourbe ta famille, des angoisses que te provoque le futur, tu te submergeras dans le présent en te disant : “Si ce n’est pas maintenant, quand ? ; si ce n’est pas ici, où ? ; si ce n’est pas moi, qui ? Maintenant, ici-même est mon pouvoir. Je l’accepte et je l’absorbe. (attention l'auteur essaye de vous faire glisser dans une doctrine satanique ici est maintenant nous sommes des dieux et tout le cinemas habituel ,tout ce quil dit avant est exact cest ainsi que lon vous piège en melangeant le vrai avec un faux dissimulés dans de belles paroles qui enchantent )Ce présent dans lequel je vis est le même présent pour tous les êtres de l’univers, toute la matière cosmique. Cet immense pouvoir vital est en moi, dans mon corps et dans mon esprit. Je peux changer immédiatement ce qui est un poids, une habitude inutile qui me submerge dans le passé , toute défense d’être ce qu’en vérité je suis par peur de perdre, à cesser d’avoir, à être exclu(e). Je prendrai de toutes mes forces, maintenant, la décision de cesser de fumer, de dépendre émotionnellement de personne qui reconnaissent mes valeurs, de me plaindre que personne ne m’aime parce que j’ai le cœur fermé, de chercher des chefs, de mendier du travail au lieu de créer mes propres activités, etc… C’est à ce moment que je commence à me respecter… Avec qui je vis ? Qui est-ce que je fréquente ? Me rendent-ils la vie plus joyeuse ? Je me séparerai de ceux qui par leurs paroles ou leurs actes m’enlèvent la joie de vivre. Si une “amie” vient me voir pour remplir son temps et me parler d’elle-même pendant des heures, sans s’intéresser à moi, j’interromprai son bavardage en lui disant : “Il y a bon moment que tu ne me parles que de toi, tu m’as déjà vampirisé trop de temps, assez !, je romps avec toi, vas-t’en, je ne te saluerai plus”. Si tu ne sens pas avec l’autorité suffisante pour atteindre le pouvoir personnel, fais cet exercice : Donne des ordres anticipés à ce qui va naturellement arriver. Lève-toi très tôt et avant le lever du soleil, crie vers l’horizon: “J’ordonne que le soleil se lève !”(c'est bien pour se gonfler un ego a bloque et proclamer sa propre divinité )( Dès que tu sentiras tomber quelques gouttes, regarde vers le ciel et dit : “J’ordonne qu’il commence à pleuvoir”. Place-toi dans une rue achalandée et regarde passer les voitures en disant: “J’ordonne que les voitures avancent”. Si un patron te parle mal, pense : “J’ordonne que ce patron soit désagréable !” C’est ainsi comment tu apprendras à croire en toi-même. Après un certain temps, te sentant sûr de toi, tu pourras te dire : “Je m’ordonne de bien réaliser ceci ! La réalité peut m’obéir !”. Et la réalité t’obéira.

https://plancreateur.wordpress.com/category/alejandro-jodorowsky/page/21/

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9 avril 2013

Si 3 hommes s'unissent dans la sincérité ils auront la valeur de 111 .

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Ô mes frères de l’au-delà, ô mes compagnons au service du Bien ! Sachez, et vous le savez, que dans ce monde, surtout dans les services de l’au-delà, le principe le plus important, la plus grande force, l’intercesseur le plus agréé, le point d’appui le plus solide, le chemin véridique le plus court, la prière morale la plus acceptée, le moyen le plus prodigieux d’atteindre les buts, la vertu la plus élevée et l’adoration la plus pure, c’est la sincérité!

Puisque dans la sincérité, il y a beaucoup de lumière et beaucoup de force comme les particularités citées et puisque nous sommes dans une époque très difficile et face à des adversaires redoutables, à des passions étouffantes, à des innovations qui envahissent et aux égarements et que nous sommes peu et faibles, pauvres et impuissants, un devoir saint de foi et un service du Coran très lourd et grand, général et saint ont été mis sur nos épaules par la bonté divine, sans doute nous sommes obligés et chargés plus que tout le monde de gagner la sincérité avec toutes nos forces. D’un degré extrême, nous avons besoin d’installer en nous le secret de la sincérité. Sinon, d’une part le service que nous avons réalisé sera perdu en partie, il ne continuera pas; d’autre part nous serons intensément responsables.

Briser la sincérité pour la complaisance des intérêts personnels et certains sentiments bas, insignifiants, inutiles, nuisibles, mauvais, ennuyeux, égoïstes, pénibles et ostentatoires contre le bonheur éternel, c’est violer le droit de tous nos frères dans ce service, et s’opposer au service du Coran, c’est aussi manquer de respect envers le caractère sacré des vérités de la foi.

Ô mes frères! Il y a beaucoup d’obstacles nuisibles aux œuvres de bienfaisance, importantes et grandes! Les démons gênent beaucoup les serviteurs d’une telle oeuvre! Il faut résister face à ces obstacles et à ces démons en s’appuyant sur la force de la sincérité! Eloignez-vous des causes qui brisent la sincérité comme vous vous éloignez des serpents et des scorpions!

On ne peut avoir confiance en l’âme qui désire le mal! L’égoïsme et l’âme qui désire le mal ne doivent pas vous tromper!

Pour gagner et protéger la sincérité et repousser les obstacles, prenez comme guides les principes suivants :

Premier Principe : que votre action soit pour l’agrément de Dieu! S’il est satisfait, même si le monde entier est fâché, il n’y aura aucune importance. S’il accepte, même si tout le monde refuse, il n’y aura aucun effet. Après qu’il a été satisfait et après qu’il a accepté, s’il le veut et si sa sagesse le nécessite, même si vous n’êtes pas demandeurs, il fera accepter aussi aux autres, il les rendra contents. C’est pourquoi, dans ce service, il faut directement prendre pour base fondamentale l’agrément de l’Etre Absolu uniquement.

Deuxième Principe : ne pas vexer vos frères qui se trouvent dans le service de Dieu  et ne pas éveiller une mauvaise envie de façon à se montrer plus vertueux, au-dessus d’eux. Parce que, étant donné qu’une main ne jalouse pas l’autre main, un oeil ne vexe pas un autre œil, la langue ne s’oppose pas à l’oreille, le cœur ne voit pas la faute de l’âme, plutôt ils complètent réciproquement leurs manques respectifs, ils se cachent les défauts, ils viennent en aide dans leurs besoins, les uns aident les autres dans leurs devoirs; autrement, la vie de l’être humain s’éteint, son esprit s’enfuit et son corps se décompose.

Aussi, comme les rouages d’une usine ne s’opposent pas les uns aux autres, ils ne se dominent pas en se mettant les uns devant les autres; en regardant les uns les fautes des autres, en se critiquant, on ne rend pas inerte les uns en cassant l’ardeur des autres, plutôt ils s’entraident les uns les autres pour diriger vers l’objectif général leurs mouvements avec toutes leurs capacités. Ils marchent vers leur objectif fixé avec leur vraie solidarité, leur vraie union. Si un conflit ou une pression, ne serait-ce que d’un atome, s’en mêle, cela déréglera l’usine qui sera inefficace, stérile, le propriétaire de l’usine la démolira complètement après l’avoir disloquée.

Voilà, ô disciples de Risale-i Nur et vous, serviteurs de Dieu ! Vous et nous, nous sommes les membres d’une personne morale, digne du nom d’homme universel. Nous sommes comme les rouages d’une usine qui apporte le bonheur éternel pour la vie éternelle! Et nous sommes des serviteurs travaillant dans le vaisseau seigneurial qui conduit la communauté de Muhammed (pssl) à Darusselam (la demeure éternelle) qui est le rivage de la paix. Sans doute avons-nous besoin et avons-nous l’obligation de l’entraide, de la vraie union pour acquérir le secret de la sincérité qui assure avec quatre individus la force spirituelle de mille cent onze!

Oui, si trois « 1″ ne s’unissent pas, ils auront la valeur de « 3″. S’ils s’unissent, ils auront la valeur de « 111″. Si « 4″ fois « 4″ sont séparés, ils auront la valeur de « 16″. Si le mystère de la fraternité, l’union de l’objectif, l’union du devoir s’épaulent et l’emportent sur la même ligne, comme les « 4″ auront la valeur et la force de « 4444″, beaucoup trop d’événements historiques témoignent que la valeur et la force spirituelles de « 16″ fidèles frères dépassent par le secret de la sincérité celles de « 4000″. La sagesse de ce secret est que, dans un accord vrai et sincère, chacun des individus peut regarder avec les yeux des autres frères et aussi entendre avec leurs oreilles. Comme si chacun des hommes vraiment unis a la valeur et la force spirituelles regardant avec « 20″ yeux et réfléchissant avec la force de la raison de « 10″ personnes et travaillant avec « 20″ mains : oui, puisque la vraie entraide et la vraie union, c’est la cause de beaucoup d’avantages, elles sont aussi un bouclier et le point d’appui le plus important contre les peurs, même contre la mort. Parce que si la mort vient, elle prendra une âme. Avec le mystère de la vraie fraternité dans la voie de l’agrément de Dieu, dans les affaires de l’au-delà, comme il a autant d’esprits que de frères, si l’un meurt, en disant : « Que mes autres âmes restent vivantes! Car, en me faisant gagner de bonnes actions, je meurs seulement du point de vue des péchés. » il dort tranquillement.

Troisième Principe : Vous devez avoir toute votre force dans la sincérité et dans ce qui est juste. Oui, la force est dans l’état sérieux et dans la sincérité. Même les injustes gagnent de la force en étant justes et sincères dans leur injustice.

Quatrième Principe : c’est de vous honorer des honneurs de vos frères; considérez leurs qualités comme les vôtres et leurs vertus comme les vôtres!

Entre frères, on l’appelle se fondre, c’est-à-dire se fondre les uns dans les autres. C’est-à-dire que chacun oublie ses sentiments de l’âme et vit en pensée avec les qualités, et les sentiments de ses frères. En effet, l’essentiel de notre voie est la fraternité. Ce n’est pas une relation comme entre le père et le fils, ni entre le sheikh et son disciple. Plutôt, ce qui nous relie, ce sont les attaches de la vraie fraternité. Comme notre conduite est l’amitié profonde, notre tendance est l’amitié. Quant à celle-ci, elle nécessite l’ami le plus proche, le compagnon le plus dévoué, le camarade le plus compréhensif, le frère le plus généreux. La base fondamentale de cette amitié est la pure sincérité. L’homme qui brise celle-ci tombera du haut de la tour extrêmement élevée de l’amitié profonde, il est possible qu’il tombe dans un fossé très profond. Il ne pourra pas trouver une place pour s’y accrocher.

Oui, ceux qui quittent notre voie qu’est cette très grande avenue de piétée, peuvent aider sans le savoir la force de l’incrédulité qui porte l’hostilité contre nous. Si Dieu le veut, ceux qui entrent dans le cercle sacré du saint livre Miraculeux et clair par la voie de Risale-i Nour renforceront toujours la lumière, la sincérité et ne tomberont pas dans de tels fossés.

Ô mes compagnons au service du Bien ! Un moyen très influent de gagner et de conserver la sincérité, c’est de « se rappeler la mort. » Oui, comme c’est l’espoir lointain qui altère la sincérité et qui conduit a l’ostentation et à l’amour de ce monde, ce qui fait détester l’ostentation et qui fait gagner la sincérité, c’est de se rappeler la mort. Autrement dit, c’est de se sauver des intrigues de l’âme en pensant à sa mort, en considérant que le monde est passager.

Les amis de vérité ont tenu comme essentielles dans leur voie le fait de se rappeler la mort. Ils ont fait disparaître l’illusion de l’éternité qui est à l’origine de l’espoir lointain. Eux, en se considérant et en s’imaginant comme morts et en train d’être lavés, entrant dans la tombe, à force de l’imaginer, l’âme qui désire le mal abandonne en partie ses espoirs lointains, après être influencé par cette imagination et cette considération.

Il ne s’agit pas de faire venir l’avenir aujourd’hui, de façon à imaginer la fin, plutôt du point de vue de la vérité, c’est observer et aller en pensée du présent vers le futur.

Oui, nul besoin d’imagination, ni de supposition, chacun peut regarder sa dépouille mortelle, qui est le seul fruit se trouvant en haut de cet arbre de la vie! Étant donné qu’il voit avec sa dépouille mortelle pas seulement sa propre mort, s’il va un peu loin, il verra aussi la mort de son siècle et s’il va encore plus loin, il observera aussi la mort de ce monde, ce qui le conduit à la pure sincérité.

Extrait de « Traité de la sincérité » de la collection Risale-i Nur

4 février 2013

Nos pensées créent notre réalité et contrôlent notre univers mental

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La compréhension profonde du concept de la Pensée Créatrice est essentielle en Psychologie Spirituelle. C’est cette compréhension qui permet au processus de la Respiration Consciente d’être pleinement constructif et révélateur. Elle amène la personne à se responsabiliser plutôt qu'à se culpabiliser, à agir plutôt qu’à réagir, à dépasser l’univers restreint d’un mental limitant.

Penser, bien penser, est un art. Laisser les pensées contrôler notre univers mental est accepter l’auto-hypnotisme que ces pensées opèrent sur notre libre arbitre. Nous avons le choix de contrôler notre mental plutôt que d’être contrôlé par lui. Le mental est l’instrument et nous sommes le maître. Le mental est un instrument et la conscience notre essence. Si nous acceptons l’envahissement du mental comme une fatalité, cela signifie que nous nous considérons comme victimes de nous-mêmes. Cependant, si nous reconnaissons que nous créons, choisissons et entretenons nos croyances, alors nous avons un pouvoir sur elles : nous pouvons les changer. Si nous acceptons de reconnaître que nous pouvons donner la préférence à notre conscience, et que nous pouvons changer nos pensées et nos croyances, nous observons que notre réalité a une qualité tout à fait différente.

Le concept que la pensée est créatrice repose sur le principe de base que nos pensées créent notre réalité. De la façon dont nous percevons le monde, nous expérimentons notre réalité. Et non l’inverse !

Nos pensées créent notre réalité.

La plupart des gens admettent que si nous avons des pensées positives, alors notre réalité sera positive. Ils entrevoient bien là une relation de cause à effet. Mais ils croient que leurs croyances se sont forgées d’après leurs expériences. Ils croient que si leurs croyances colorent les expériences à venir, elles proviennent elles-mêmes des expériences du passé, telles des conclusions tirées de ces expériences. Cela est contradictoire. C’est l’inverse qui se produit.

La plupart des personnes croient que les expériences forgent nos systèmes de croyances, édifient nos pensées, parce que nous avons pris l’habitude d'en tirer des conclusions. Au lieu d’observer les pensées qui les conduisent à expérimenter une réalité, les gens préférent accuser la vie de les amener à penser ce qu’ils pensent. Ainsi, la plupart des personnes croient que leur réalité, c’est-à-dire ce qu’elles vivent, est une fatalité et qu’elles ne peuvent pas la changer. Elles vivent dans la croyance qu’elles sont victimes de la réalité et qu’il faudrait que leur réalité change pour qu’elles changent de croyances au sujet de cette réalité. Elles vivent dans la dépendance. C’est peut-être cela ne pas être libre. Quelquefois le miracle peut se produire. En fait la personne abandonne juste ce qu’il faut de contrôle pour s’autoriser à expérimenter de nouvelles réalités. Mais cela ne se reproduit que rarement, de façon aléatoire, et pas nécessairement dans les domaines de prédilection.

Le vrai miracle existe. La clé est en nous : nous avons cette fantastique possibilité de changer nos croyances. Nous pouvons dissoudre les croyances qui nous limitent et celles qui font que nous souffrons.

Changer une croyance, c’est tout d’abord reconnaître cette croyance et l’identifier comme limitante. En identifiant une croyance, nous la reconnaissons, et ainsi, nous la regardons en face. Nous faisons connaissance avec les croyances qui nous animent. C’est le fameux : "Connais-toi toi-même". Certaines de ces croyances peuvent nous maintenir dans des situations, expérimentées trop souvent, et que nous désirons ne plus vivre. Alors, en identifiant une pensée, ou une croyance, qui nous maintient, par exemple, dans un schéma comportemental qui nous fait souffrir, nous en reconnaissons l’étroitesse, les limites. Au lieu de fermer les yeux, de penser que cela ira mieux demain, et sans croire cela non plus en profondeur, nous pouvons observer cette pensée qui nous limite. Mieux encore, nous pouvons ressentir en quoi telle pensée nous empêche d’évoluer, d’aller de l’avant, de nous transformer. Nous pouvons apprendre, tout simplement, à ressentir la pensée même qui nous limite. Ressentir nos limites, c’est déjà accepter de reconnaître que nous avons ces limites. En ressentant de la sorte nos limites, nous allons au cœur de nous-mêmes. Nous évitons à notre mental de nous jouer un nouveau scénario, de procéder à des analyses stériles, et par conséquent, de nous faire tourner en rond.

Le fait de nous concentrer sur ce que nous ressentons, plutôt que d’essayer d’analyser ce que nous croyons ressentir, est libérateur. En contactant nos ressentis profonds, nous nous reconnaissons, nous prenons soin de nous. Nous pouvons alors observer quels sont nos besoins, quelles sont nos valeurs. Nous sommes focalisés vers l’intérieur de nous et cette introspection non mentale effectue une sorte de nettoyage, une clarification. Les choses deviennent plus claires en nous, donc plus simples. Les éléments de notre ressenti, reprenant leur place naturelle, perdent de leur pouvoir négatif. C’est un peu comme si dans un bureau en désordre, où tout devenait compliqué et inaccessible, nous rangions chaque chose à sa place et concluions les dossiers en suspens. Le fait de contacter nos propres ressentis permet de clarifier cet espace, et le soulage de sa charge négative. On ne peut pas échapper perpétuellement à soi-même. Et par le ressenti, nous évitons de jouer des jeux qui nous font perdre du temps, ou d’ajouter un masque supplémentaire à notre panoplie.

Nous sommes en constante évolution et le nier serait nous condamner. Cela est aussi une croyance, bien sûr, mais elle va dans le sens de la vie. Accepter cette évolution est tout simplement naturel. Ressentir, à un moment ou à un autre de notre vie, que nous sommes à l’étroit, et désirer plus d’espace est dans l’ordre naturel des choses. Nous ne sommes pas condamnés à vivre toujours dans les mêmes limites, à répéter les mêmes schémas, à vivre les mêmes expériences. Cependant, si après la lecture de ces mots vous croyez toujours cela, il est temps de changer votre croyance.

Nous sommes
ce que nous répétons constamment
que nous sommes.

Vous pouvez changer de croyance, et c’est sans danger. Cela ne veut pas dire que vous ne preniez pas de risque, mais le risque que vous prenez c’est celui d’arrêter d’être une victime : la victime de vos propres pensées.

Est-il facile de changer de croyance ? Si vous pensez que c’est très difficile, vous expérimenterez que c’est très difficile, et vous risquerez de continuer à construire vos anciens systèmes de croyances pour mieux vous sécuriser. Si vous pensez que c’est facile, alors ce sera facile, et la vie deviendra un jeu.

Le secret, c’est que vous avez le choix. Vous avez toujours le choix de penser ce que vous voulez penser. Personne ne vous oblige, maintenant, à penser quelque chose, ou à penser tout court. Cela s’est peut-être produit dans le passé, mais cela n’est plus dans le présent. Votre liberté réside dans le choix sans cesse renouvelé que vous avez de penser ce que vous voulez.

L’essence de la Pensée Créatrice
est de mieux se connaître,
de connaître et reconnaître ses limites,
afin de se respecter,
de s’aimer
et de développer
une véritable estime personnelle.

La Pensée Créatrice est très différente de la pensée positive. Je dirais même qu’elle n’a rien à voir avec elle. J’ajouterais volontiers, pour l’avoir trop souvent constaté, que la pensée positive est le plus gros obstacle à la Pensée Créatrice. Elle est aussi très souvent la cause de l’échec de la Pensée Créatrice.

L’objectif de la Pensée Créatrice n’est pas de penser positivement. Il est seulement d’enlever la charge négative des croyances limitantes. Transformer une pensée négative en pensée positive est une illusion. Comment allez-vous croire, spontanément et consciemment, une pensée positive sous prétexe qu’elle est positive, alors que pendant des années vous avez nourri la pensée opposée ? S’il suffisait d’échanger des pensées négatives contre des pensées positives, comme l’on appuie sur un interrupteur, cela fait longtemps que plus personne ne connaîtrait ni dépression ni souffrance. En fait, on ne change pas une pensée négative contre une pensée positive, mais la plupart du temps, on ne fait que recouvrir la première avec la seconde.

La pensée, ou croyance, n’est que la surface visible de quelque chose de plus profond. Ce quelque chose de plus profond, c’est un ressenti, un vécu, une forme-pensée, une énergie dans le sens large du terme. C’est cela qui est intéressant à dévoiler. Et non à recouvrir !

Par la Pensée Créatrice, nous avons accès à cette partie cachée de l’iceberg. Nous atteignons notre subconscient et la nature même de notre être. Le subconscient est l’arrière-plan, et il est beaucoup plus dense que ce qui ne fait qu’apparaître. Et ce n’est pas en cachant, revêtant, masquant, repeignant même, ou vernissant ce qui est apparent, que nous laisserons transparaître notre richesse. Le travail sur la Pensée Créatrice permet, non pas de transformer le négatif en positif, mais de faire résonner nos limitations, afin de pouvoir connaître notre Loi Personnelle, c’est-à-dire l’ensemble des formes-pensées qui constituent notre être et qui colorent notre personnalité. Lorsque, dans notre Loi Personnelle, ces formes-pensées nous limitent, maintiennent en nous peur, souffrance, inertie, etc., nous pouvons accéder à elles en apprenant à contacter nos ressentis profonds. Lorsqu’un sentiment de sécurité s’installe dans ces espaces, notre subconscient libère vers l’esprit conscient les énergies, les compréhensions nécessaires. Cette sécurité peut s’établir facilement ainsi grâce à la connaissance de soi, à l’acceptation. Elle est nourrie, ancrée grâce à l’énergie libérée par le souffle.

Utiliser la pensée positive, c’est mettre un vernis sur une surface au lieu de la décaper et de voir ce qu’il y a en dessous. C’est cacher les symptômes au lieu d’observer le terrain. C’est nier l’existence et le pouvoir de notre inconscient, et manifester que nous n’avons pas confiance dans notre subconscient.

Comprendre et apprivoiser le travail - difficile parce que fort délicat - sur la Pensée Créatrice, c’est plonger dans l’univers sensible de nos ressentis profonds et laisser se produire naturellement les changements. Accepter de pratiquer ce travail sur le ressenti, c’est manifester la confiance que nous avons en nous, dans notre être, davantage que dans nos actions. C’est manifester l’être au lieu d’essayer de prouver par le faire.

A la racine d’une pensée se trouve un ressenti profond. Et ce n’est pas par l’analyse des pensées que nous pouvons contacter ces ressentis. Car ils se situent en deçà du langage. Ce n’est pas non plus par l’analyse des ressentis que nous pouvons espérer une compréhension véritable de notre être profond. Pourquoi ? Parce que lorsque nous analysons les ressentis, nous sommes dans l’analyse, et non dans les ressentis. Il n’y a qu’en ressentant, en ressentant profondément, qu’une compréhension véritable peut naître. Alors, à cet instant, des énergies s’intègrent, les énergies liées au ressenti. Le ressenti est la manifestation présente d’une mémoire dont des énergies n’ont pas été intégrées. C’est un peu comme si certaines pièces d’un puzzle n’avaient pas reçu l’attention suffisante, l’énergie, pour se mettre à leur place, afin d’offrir la lecture cohérente d’une image.

Le pouvoir des pensées est immense,
il ne faut pas le sous-estimer.
C'est une raison suffisante
pour ne pas attribuer trop d’importance à ce pouvoir.
Si nous attribuons trop d’importance à ce pouvoir,
nous nous éloignons de nos ressentis profonds.
Nous nous transformons en machine à penser
et nous devenons notre propre produit.

Comprendre que la pensée est créatrice, c’est comprendre que si nous pensons qu’une chose est importante, alors elle le devient. La chose la plus importante est ce que nous ressentons. Et pourquoi pas ce que nous pensons? Nous pouvons penser ce que nous voulons. D’une journée à l’autre nos pensées changent. D’une saison à l’autre, elles peuvent s’opposer. D’une année à l’autre, elles peuvent se contredire. Nous sommes là, et nous avons la faculté de passer d’une pensée à une autre. Mais il en est autrement de notre ressenti : il est là, stable, présent, fidèle. Il peut se transformer, se modifier. Mais à l’inverse du monde de la pensée, c’est lui qui a quelque chose à nous dire. Nous faisons dire ce que nous désirons à nos pensées, mais notre ressenti profond a son message à nous délivrer. Le mental nous amène vers un "extérieur", qui est nous-mêmes bien sûr, ou une partie de nous. C’est une création. Le ressenti nous ramène "à la maison", vers l’intérieur. C’est une véritable réalisation personnelle.

De victimes, nous devenons créateurs de notre vie. Nous prenons alors conscience à quel point tout n'est que perception. Nous pouvons d'autant mieux apprécier ce qui nous est donné. Notre gratitude envers la vie n’en est que plus grande. Ainsi que nous le dit le proverbe :

La beauté n'est pas dans l'objet
mais dans l'œil qui regarde.

Le travail sur la Pensée Créatrice n’est réellement accessible que par la compréhension de ce qu’est le ressenti profond. Cette compréhension demande beaucoup de pratique, car les pièges du mental sont subtils et multiples. Souvent les personnes croient "ressentir", mais elles ne font que penser à propos de ce qu’elles ressentent. Alors le mieux est de pratiquer.
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