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rusty james news
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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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meteorites
13 octobre 2013

Environ 20 000 objets et débris de satelite en orbite menacent la Terre.

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On vous sensibilise aux dangers de l'espace avec les météorites et cometes en tout genre dans le seul but de créer une diversion ,le vrai danger qui pésent sur nos tetes est ces quelques 20000 objets qui gravitent autour de notre planète ,pourquoi ? comme pour le nucléaire et les essais atomiques qui firent exploser les cancers on accusa la cigarette ,ainsi c'est la faute aux fumeurs et non aux entreprises nucléaires ici on accusera pas les pays et les satelittes qui causeront des dégats mais on blamera les meteorites et on dira c'est pas de chance ......

 

Les Gaulois avaient raison. Ce qu’il faut craindre, c’est que le ciel nous tombe sur la tête. Du moins ce qu’il y a dans le ciel, et même au-dessus : nos déchets spatiaux qui encombrent l’espace circumterrestre. Depuis 1957, plus de 7 000 satellites ont été lancés. Ils ont pour la plupart cessé de fonctionner - on compte environ 800 satellites actifs - et sont retombés sur Terre. Mais il reste près de 20 000 objets en orbite, les trois quarts à moins de 1 000 km d’altitude. Le catalogue de l’US Space Command, qui les traque à l’aide de radars, en affiche près de 15 000 - satellites inactifs, étages de fusée, sangles, boulons et pièces diverses de plus de dix centimètres.

Ces objets représentent une double menace. D’abord, logique et gaulois, celle de «leur retour sur Terre», explique Christophe Bonnal, expert du Centre national d’études spatiales (Cnes), l’agence spatiale française. Pour ne pas l’oublier, il garde dans son bureau une sphère de titane d’un mètre et 50 kg, un réservoir d’hélium d’une fusée Ariane tombé dans un jardin en Ouganda. «Il y en a 200 comme ça dans l’espace, qui retomberont on ne sait quand, ni où. Et ce n’est qu’un exemple. Il y a aussi des turbopompes, des tuyères, 296 troisièmes étages du lanceur russe Cosmos 3M qui pèsent près de 2 tonnes», avertit l’ingénieur qui fait partie du groupe d’experts mobilisés par le Comité interagences sur les débris (IADC). «En moyenne, il tombe un objet lourd tous les trois jours, et un d’au moins 300 kg par mois», précise-t-il.

Les débris en orbite autour de la Terre (Nasa).

Jusqu’à présent sans faire de victime. Même les milliers de morceaux de la navette Columbia tombés sur le territoire des Etats-Unis en 2003, lors de son explosion au retour dans l’atmosphère. Un peu gêné, l’ingénieur avoue que, statistiquement, «c’est un coup de chance, puisque, d’après nos calculs, cela aurait déjà dû se produire». Un groupe de travail se serait réuni au Cnes sur le thème «qu’est-ce qu’on dit aux gens le jour où un de ces débris tue quelqu’un en France ?» Le flux de ces retombées varie au fil de la météo solaire. Lorsque l’astre est très actif, comme depuis un an et pour quelques années, il dilate la thermosphère, entre 90 et 500 km, ce qui freine les satellites et accélère leur retombée.

Le syndrome de Kessler

Paradoxe, cette menace du haut vers le bas n’est pas la seule. L’autre risque ? Ne plus pouvoir accéder à certaines orbites utiles. Elle porte le nom d’un mystérieux «syndrome de Kessler, explique Christophe Bonnal, une sorte de réaction en chaîne de collisions entre débris, provoquant leur fragmentation successive. Elle pourrait interdire d’utiliser les orbites les plus convoitées en y menaçant de détruire les satellites trop fréquemment». Un syndrome entrevu dès 1991 par Donald Kessler (Nasa). Depuis 2006, la situation s’est brutalement aggravée en orbite basse. En 2007, les militaires chinois détruisent un vieux satcom, Feng Yung 1C, à l’aide d’un missile. Démonstration de force, au prix de la génération de 3 000 débris. En 2008, les militaires américains tirent sur leur satellite espion USA-193. Ils se justifient en affirmant qu’il allait retomber sur Terre en trop gros morceaux. En février 2009, c’est un vieux satellite russe, Cosmos-2251, qui entre en collision avec un satcom de la constellation Iridium. Un des morceaux issus de cette collision est passé non loin de la station spatiale internationale, en mars dernier.

D’après certains modèles informatiques, le syndrome de Kessler serait imminent sur l’orbite la plus encombrée, vers 800 km d’altitude. Que faire ? Observer, calculer, prévoir. Niché au cœur du Cnes, à Toulouse, se trouve le Centre d’orbitographie opérationnelle (COO). «Ici, précise son responsable Fernand Alby, nous recevons les informations nécessaires à la gestion des 17 satellites en activité dont nous avons la responsabilité.» Ces informations proviennent du Joint Space Operations Center (JSpOc) de la base militaire de Vandenberg, en Californie, et sont réceptionnées dans une «salle sécurisée du COO», précise Alby. Mais aussi des moyens d’observation français, la France participant au club très fermé des Etats capables de surveiller l’espace, depuis 2005, notamment avec le radar Graves (1). Pour renforcer cette surveillance, l’Agence spatiale européenne et l’Office national d’études et de recherches aérospatiales (Onera) viennent de passer contrat avec l’industrie pour développer un radar plus puissant.

Une loi spatiale sévère

Avec ces informations, les matheux du COO «effectuent les calculs d’orbite et de retombées d’objets», explique Alby. Les seconds sont en réalité peu utiles. Un protocole prévoit que, si l’un menace de retomber sur la France, le COO alerte l’armée de l’air qui rend compte au gouvernement. Mais, comme l’imprécision du moment, et donc du lieu de la chute, est très grande, aucune décision de protection ou d’évacuation n’est envisageable.

En revanche, la menace de collision avec un satellite actif, ou la station spatiale, peut se traiter. Il vaut mieux, car le choc hypervéloce d’un objet en acier d’un centimètre équivaut à celui d’une voiture de tourisme à 130 km/h, même si la densité de ces débris équivaut à «deux bouteilles dans la Méditerranée», précise Bonnal.

A l’aide du catalogue et des observations, l’alerte automatique sur un risque de collision démarre sept jours avant son éventuelle survenue. Si l’alerte se maintient durant quatre jours, les experts sont mobilisés pour affiner les calculs. Les spécialistes, explique Alby, doivent prendre une décision d’action la veille du risque de collision, puisqu’il faut six à douze heures pour transmettre des ordres d’évitement à un satellite. Un scénario de plus en plus fréquent. «En un an, précise Fernand Alby, nous avons dû procéder à sept manœuvres pour les 17 satellites contrôlés par le COO.» En général, le satellite est remonté ou descendu d’une centaine de mètres sur son orbite, de manière à diminuer la probabilité d’une collision.

Peut-on continuer comme ça ? C’est la question posée par le syndrome de Kessler. Un laisser-faire pourrait déboucher sur un risque beaucoup trop élevé de destruction des satellites, commerciaux ou gouvernementaux. En outre, l’orbite la plus menacée se situe entre 700 et 1300 km, là où se trouvent la plupart des satellites d’observation civils.

Des décisions ont été prises pour tenter de ne pas aggraver la situation. La plupart des agences spatiales suivent des préconisations de plus en plus strictes pour éviter de polluer plus que nécessaire l’espace circumterrestre : concevoir des systèmes les moins «sales» possible; vider les satellites de leurs restes de carburants en fin de vie; lorsqu’ils ont rempli leur mission, les pousser vers la Terre pour qu’ils y retombent en moins de vingt-cinq ans, ou les catapulter vers des orbites cimetières, loin de celles les plus utilisées, avec leurs derniers grammes de carburant…

Autant de bonnes décisions, mais pas toujours appliquées. Ainsi, la loi spatiale française est-elle certes la plus sévère, mais, votée après sa mise en service, elle ne s’applique pas à Ariane-5. Dont le troisième étage, avoue Bonnal, n’est pas capable d’effectuer une plongée suicide vers la Terre après avoir largué ses satellites à l’inverse de nombre de ses concurrents. La menace de cet étage dure en moyenne soixante ans.

Cette politique semble insuffisante, alors que, d’après Euroconsult, le nombre de satellites d’observation civils et militaires actifs augmenterait de 160 actuellement à 304 en 2021. Eviter le déclenchement du syndrome de Kessler pourrait alors passer par une action d’éboueurs. Les agences spatiales planchent sur des engins capables d’aller chercher les gros débris pour les pousser au suicide vers la Terre avant qu’ils provoquent une collision. Les ingénieurs ont calculé le rythme de cette action de nettoyage. «Il en faudrait entre cinq et dix par an», avance Bonnal.

L’histoire a pris un tour imprévu lorsque, il y a peu, Jean-Jacques Dordain, le directeur général de l’Agence spatiale européenne (ESA), a reçu un drôle de coup de fil de la Nasa. Objet : Envisat. Ce satellite d’observation de la Terre fut un fleuron de la flottille de l’ESA. C’est un monstre comme on n’en fait plus. Huit tonnes, dont 150 kg d’hydrazine (produit hautement toxique), 26 mètres d’envergure, le tout en perdition depuis la perte de contrôle du satellite en mai dernier. Certains ont soupçonné une collision avec un débris. Mais un ingénieur affirme qu’il pourrait plutôt s’agir d’une mauvaise commande envoyée par les pilotes de l’ESA. En tout cas, il se trouve sur la plus encombrée des orbites, à 800 km. Et pourrait y rester environ deux siècles avant de chuter vers la Terre. Le pousser au suicide en abaissant son orbite serait une solution. Mais comment ? On va réfléchir, a dû répondre Dordain à la Nasa.

Un rêve géopolitique

Les ingénieurs ont des idées, rangées sous le sigle ARD («Active Removal Debris») : tirer sur les petits débris avec un puissant laser ; coller de vastes voiles sur les satellites pour augmenter leur traînée et accélérer leur chute (surtout bon pour les orbites les plus basses) ; les faire dérouler un câble électrodynamique vers le bas ; ou, carrément, construire un «chasseur de débris», selon Bonnal.

 

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Les ingénieurs du Cnes planchent sur un vaisseau de six mètres de long pour 17 tonnes. Automatique, doté de moyens de pilotage et de propulsion, il pourrait s’approcher d’un satellite et l’attraper même s’il «ne coopère pas». Armé d’un bras robot et de kits de désorbitation, il pousserait les satellites au suicide : placé juste devant l’objet, le chasseur, lui tirerait dessus afin de le ralentir.

Si les ingénieurs ne manquent pas d’idées, la réalisation n’est pas pour demain. «2020 au plus tôt pour le premier test», estime Bonnal. Il faut en effet résoudre de nombreux problèmes autres que techniques. Qui va payer ? Qui va piloter le chasseur ? Peut-on suicider un satellite mort sans l’accord du pays qui l’a lancé ? Si le pilotage échoue et que le déchet, au lieu de sombrer dans un coin perdu du Pacifique, tombe sur une ville, qui sera responsable ? Ces technologies peuvent-elles entraîner une militarisation de l’Espace ?

La solution, pense Bonnal, ressemble à un rêve géopolitique. D’abord décréter l’espace circumterrestre «bien commun» de l’humanité - un vocabulaire d’altermondialiste. Puis organiser de manière transparente le financement, la construction et les opérations du chasseur de débris avec la coopération de la plupart des puissances spatiales. Et interdire que la Nasa soit en réalité dominatrice. Finalement, souligne Bonnal, le moins difficile, c’est la technologie et l’argent, puisqu’il ne faudrait qu’une petite fraction des budgets spatiaux pour réaliser ce nettoyage aux allures de science-fiction. Pourtant, lors de la dernière conférence ministérielle de l’Agence spatiale européenne, à Naples le 21 novembre, rien de sérieux n’a été engagé à ce sujet.

Sylvestre HUET de LIBERATION .

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16 février 2013

Météorite: les réparations débutent en Russie, 4000 édifices touchés

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Une petite armée de travailleurs a commencé samedi à remplacer les quelque 200 000 mètres carrés de fenêtres fracassées par l'explosion d'une météorite dans la région de Tcheliabinsk, en Russie.

L'événement rarissime survenu vendredi matin a brisé les vitres de plus de 4000 édifices, principalement dans la capitale régionale, aussi nommée Tcheliabinsk. Environ 1200 personnes ont été blessées, la plupart d'entre elles par des éclats de verre.

Quarante blessés, dont deux dans un état grave, étaient toujours hospitalisés samedi, a annoncé l'agence de presse RIA Novosti, citant le ministère de la Santé de Tcheliabinsk.

Le gouverneur de la région, Mikhaïl Yurevich, a déclaré samedi que la facture pour les dommages causés par l'explosion en haute altitude, qui avait la puissance de 20 bombes atomiques selon les calculs des scientifiques, s'élevait à environ 1 milliard de roubles (33 millions $US).

Il a promis que toutes les vitres seraient remplacées d'ici une semaine. Un délai plutôt long dans une région où la température moyenne durant la journée est de -12 degrés Celsius. Pour plusieurs habitants, la priorité samedi était de boucher les fenêtres cassées à l'aide de bâches en plastique et de cartons.

Selon le bureau du gouverneur, plus de 24 000 personnes, incluant des bénévoles, se sont mobilisées pour recouvrir les fenêtres et recueillir des vêtements chauds et de la nourriture. Des employés de compagnies de vitres situées dans des régions voisines étaient aussi en route pour Tcheliabinsk.

Dans la ville de Tchebarkul, à environ 80 km de la capitale régionale, des plongeurs ont exploré le fond d'un lac gelé afin de retrouver des fragments de météorite qui y seraient tombés, laissant un trou de six mètres de diamètre dans la glace.

La porte-parole du ministère des Services d'urgence, Irina Rossius, a toutefois déclaré aux agences de presse russes que les recherches n'avaient rien donné.

8 février 2013

Un système de protection global contre la collision avec les astéroïdes est développé en Russie

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Un système de protection global contre la collision avec les comètes et les astéroïdes est actuellement développé en Russie. Récemment, notre planète a échappé à une collision avec l’astéroïde Apophis, mais en 2029 il menace à nouveau de heurter notre planète. Selon la NASA, 47.000 astéroïdes d’un diamètre de 100 mètres, se trouvant à une distance d’environ 8 millions de kilomètres, présenteraient une menace potentielle à la vie sur Terre. Quatre astéroïdes risquent de percuter la Terre avant 2050.

Il est temps de se protéger contre les intrus venant de l’espace et chercher des moyens de s’en protéger. Les scientifiques russes ont élaboré un plan d'action en cas de danger de collision d’un astéroïde avec la Terre, explique le représentant du Bureau d’étude Makeïev Sergueï Makhankov.

« Il y a une seule solution – détruire ces objets dangereux avant leur arrivée. Il s’agit de mettre en place des dispositifs de broyage des astéroïdes en petits fragments. Ou alors envoyer sur ces objets des systèmes permettant de changer leur trajectoire ».

Pour ce faire, des missiles balistiques intercontinentaux pourraient être envoyés vers ces objets, explique le chercheur du Bureau d’étude Makeïev Sabit Garaev.

« Nous installons un appareil avec un moteur et un système de contrôle sur la fusée. La fusée le transporte à une distance de plusieurs millions de kilomètres et le largue ensuite. Dans ce projet, nous pouvons utiliser des appareils d’exploration Kaïssa, ou le système de frappe Kapkan. Nous comptons envoyer en 2021 un appareil d’exploration sur Apophis, qui prélèvera des échantillons du sol et installera des capteurs qui poursuivront ensuite leur vol avec Apophis. Ces capteurs transmettront des données exactes sur la trajectoire de l’astéroïde. Et en 2036, si le risque de collision avec la Terre existe toujours, nous enverrons le système Kapkan qui grâce à ces modules pourra soit faire exploser l’astéroïde, soit le repousser ».

Les fusées porteuses Angara ou Rus permettront de placer les systèmes Kapkan sur l’astéroïde. Un missile balistique intercontinental pourra également faire l’affaire. Le chercheur estime que ces missiles pourront envoyer ces appareils à une distance de 10 millions de kilomètres, ce qui est largement suffisant pour parvenir jusqu’à l’astéroïde Apophis.

Les chercheurs sont unanimes à estimer qu’il vaut mieux détruire l’astéroïde en cas de risque de collision avec la Terre.

« Il est possible de déployer sur l’astéroïde plusieurs systèmes pour le broyer en petits morceaux de 40 mètres chacun », explique Sabit Garaev.« Ces morceaux pourront presque entièrement brûler dans l’atmosphère ».
Un tel dispositif fonctionnera uniquement si un corps céleste de 1,5 kilomètre de diamètre s’approche de la Terre. S’il s’agit d’une comète géante qui fonce sur la Terre à une vitesse de 70 kilomètres par seconde, ce système ne sera pas efficace, ajoute le scientifique. Une consolation cependant : ce genre de phénomène ne se produit qu’une seule fois toutes les 30 millions d’années


http://french.ruvr.ru

4 février 2013

le 15 février prochain l’astéroïde DA14 va s’approcher de notre planète.

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A peine remis des craintes de la fin du monde, nous avons une autre raison de nous inquiéter : le 15 février prochain, à 19h25 temps universel (21h25 heure de Paris) l’astéroïde DA14 va s’approcher de notre planète. Selon les estimations des scientifiques, il passera à une distance de 30.000 km de la Terre, plus près que l’orbite des satellites géostationnaires.

L’astéroïde DA14 a un diamètre de 50 mètres environ, et pèse près de 130.000 tonnes. Des astéroïdes de cette taille sont plusieurs a passer près de notre planète chaque année, explique à La Voix de la Russie le responsable de l’observatoire de Zvenigorod sous l’égide de l’Institut d’Astronomie de l’Académie russe des sciences Sergueï Barabanov.

« De nombreux objets célestes peuvent frôler ou entrer en collision avec la Terre. C’est assez courant que des astéroïdes d’un mètre de diamètre tombent sur Terre. En 2008, un astéroïde d’une telle taille est déjà tombé sur la Terre et rien de grave ne s’est produit : il s’est fissuré en plusieurs morceaux lors de la collision. L’astéroïde que nous attendons en février est certes plus grand, mais les estimations données sur son orbite et les paramètres physiques, notamment son diamètre, ne sont pas très exactes. Je ne pense pas qu’on puisse dire qu’il va devenir dangereux après sont rapprochement avec la Terre en 2013 ».

Selon le scientifique, toute l’attention des astronomes russes est concentrée actuellement sur un autre objet céleste – l’astéroïde Apophis. En 2029, il frôlera la Terre à 36.000 kilomètres de la surface, et sept ans après, s’approchera à nouveau de notre planète, passant cette fois à quelques milliers de kilomètres de notre planète. Toutefois, le scénario apocalyptique n’est pas attendu, rassure le spécialiste.

« La distance dangereuse pour la Terre – c’est la haute atmosphère. Si un astéroïde volera à 300-400 km de la surface terrestre, nous ne courons aucun danger ».

Les astéroïdes « vivent en familles », faisant partie des groupes des différents corps célestes. Ainsi le DA14 appartient au groupe d’Apollon. Son « rendez-vous » avec notre planète risque de modifier l'orbite de l'astéroïde, en réduisant le fameux demi-grand axe de l'orbite. Il risque donc de passer à un autre groupe de petites planètes, celle d’Aton.

« Le groupe d'Aton – c’est un petit groupe, qui est difficile de détecter car ses astéroïdes ne sont pas visibles depuis la Terre », explique l’astronome russe Léonid Elenine. « Mais du point de vue de ses propriétés orbitales et physiques, le DA14 restera le même. Il se rapprochera aussi bien de la Terre, et il va falloir le surveiller et faire des pronostics sur sa trajectoire. C'est la seule difficulté. On peut donc supposer qu’il va devenir un peu plus dangereux par la suite ».

Selon les scientifiques, pour faire un pronostic définitif, il faut surveiller le corps céleste de près et réaliser des calculs très précis de son orbite. Pour l’instant, les astronomes sont optimistes : la Terre ne risque pas de collision avec cet astéroïde au cours des années à venir. Espérons que leurs calculs approximatifs sont justes.

http://french.ruvr.ru

2 novembre 2011

La météo de la fin du monde

La météo de la fin du monde
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25 février 2011

Un ovnis en flamme qui tombe en chute libre

Un ovnis en flamme qui tombe en chute libre
Ce ne peut être un météorite ou un astéroïde a cause de la vitesse de déplacement supérieur a 60 000km/h de plus un astéroïde en passant le mur du son on aurait entendu un bang et la le silence ,aucun bang,,le mystère reste complet....
28 avril 2010

une énorme boule de feu terrorise le midle west us pendant 15mn

une énorme boule de feu terrorise le midle west us pendant 15mn
Une énorme boule de feu a traversé le ciel de plusieurs Etats du Midwest des Etats-Unis, mercredi 14 avril. Selon CNN, les autorités du Missouri, de l'Illinois, de l'Indiana et du Wisconsin ont été inondées de témoignages décrivant une "gigantesque boule...
17 janvier 2010

ovnis au dessus de la terre le 13 janvier 2010

ovnis au dessus de la terre le 13 janvier 2010
Un objet mystérieux à survolé la Terre (Source : Spaceweather) […] Est-ce un astéroïde ou un vaisseau spatial abandonné ? Le mystérieux objet « 2010 AL30 » a survolé la Terre aujourd’hui, à seulement 1/3 de la distance Terre-Lune, alors que les télescopes...
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