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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
ufologie
5 avril 2016

OVNIS en norvège ou une projection de plasma d’origine militaire

Seule étude scientifique des OVNi dans l'Histoire  faite par un asytrophysicien à Hessladen en Norvège  avec du matériel évolué

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:

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Mesures laser, spectromètre etc...

Les conclusions sont peu connues du Public
*
Il existe un site en Norvege où apparaissent continuellement des OVNI. Le site est connu des Ufologues.
C'est le site de Hessdalen
Une station de détection a été installée, et aux dernières nouvelles des rayons laser ont été braqués sur les OVNI par les scientifiques du site, et ceux-ci ont reçu le renvoi de leur rayon
Ils étudient s'ils ont affaire à une reflexion du rayon ou à une message.
 
Ce qui suit est le texte du lien :
Site de l'équipe scientifique de Norvege qui étudie les OVNI et qui est dirigée par astrophysicien italien.
Les lumières de Hessdalen
Il existe dans le monde entier des lieux où l’on peut observer de façon récurrente des phénomènes lumineux inexpliqués. Le plus célèbre de ces lieux dans l'univers de l’ufologie se trouve en Norvège, dans la vallée de Hessdalen, à environ 300 km au nord d'Oslo.

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Depuis 1981 apparaissent là-bas des phénomènes lumineux typiques du phénomène OVNI classique : formes lumineuses isolées ou en groupe, de couleur variable (donnant parfois l’impression d'une surface métallique), souvent pulsantes, immobiles ou se déplaçant de façon erratique, et parfois animées d’accélérations fulgurantes. Leur taille varie habituellement de 1 à 10 m de diamètre et la durée d’apparition s’étale d’une fraction de seconde à plus d’une heure. Les formes sont souvent observées en dessous du sommet des montagnes qui bordent la vallée ou à proximité du sol, et peuvent être ou non détectées au radar, qu’elles soient visibles à l’œil nu ou uniquement à l’aide d’un système de vision nocturne sensible aux rayonnements infrarouges. On observe aussi parfois des éclairs illuminant toute la vallée ou des flashs localisés, ce qui est assez classique en ufologie.
Comme dans le phénomène OVNI, les apparitions peuvent être accompagnées d’effets d'origine électromagnétique qui sont ici essentiellement de deux types : perturbation de l’alimentation électrique et dysfonctionnement des équipements lorsque les lumières se rapprochent, ou sensation de balancement " comme sur un bateau " chez certains des observateurs, sans doute due à l’influence sur le cerveau d’un fort champ électromagnétique de basse fréquence.
Mais contrairement au phénomène OVNI classique, et c’est tout l’intérêt de ces fameuses lumières de Hessdalen, la récurrence des apparitions permet ici à la science officielle de s’attaquer au problème sérieusement à l’aide d’appareils de mesure et non plus au travers de témoignages humains qu’elle a toujours accueillis avec réserve. L’équipe scientifique qui étudie ces phénomènes lumineux sur le terrain est aujourd’hui conduite par l’astrophysicien italien Massimo Teodorani dans le cadre du " Projet Hessdalen ".
Dans une interview donnée à Linda Moulton Howe en 2001 [LMH01],
Massimo Teodorani déclare que l’analyse spectroscopique des lumières de Hessdalen est typique d’un cocktail d’ions et d’électrons et qu’il s’agit donc de plasmas thermiques (comme nous l’avions proposé en deuxième partie au § 11), la température de certains de ces plasmas pouvant dépasser 10 000 °C. Massimo Teodorani ignore la cause de l’apparition de ces plasmas mais il constate une anomalie très surprenante : leur température reste constante même lorsque leur taille augmente, ce qui nécessite un apport d’énergie continuel dont l’origine est inconnue. En ce qui nous concerne et comme nous l’avons détaillé au § 11, nous considérons bien sûr que cette énergie provient d’une source extérieure, qu’il s’agisse d’un canon à particules, d’un canon laser ou d’un canon maser.

Mais Massimo Teodorani ne soupçonne pas qu’un tel stratagème puisse être mis en œuvre et il cherche une origine naturelle à ces plasmas. Et comme il ne la trouve pas, il en vient tout naturellement à se demander si ces plasmas ne dissimuleraient pas un objet solide. En filigrane, on devine alors la possibilité que cet objet soit une " soucoupe volante " même si l’astrophysicien évoque aussi l’idée d’un drone militaire miniaturisé [MT01 p. 39-40].

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Nous notons pourtant dans le rapport de l’année 2001 trois indices en faveur de notre hypothèse d’une projection de plasma d’origine militaire :
" [...] il apparaît parfois soudainement comme des "lignes" blanc bleuté dans le ciel, donnant l'impression à l'observateur que des boules de plasma sont tirées à très grande vitesse en direction du ciel " [MT01 p. 8], ce qui nous laisse penser que le rayon du tir est effectivement parfois visible. Les phénomènes lumineux observés sont souvent le résultat de la juxtaposition de points lumineux plus petits allumés alternativement comme on peut le voir lorsque l’on examine trame par trame les images vidéo réalisées [MT01 p. 17 et 21], ce qui cadre bien avec notre idée d’un mode de génération d’images proche de celui de nos téléviseurs (cf fig. 11-b du § 11).

" Les causes physiques du comportement [d’un de ces phénomènes lumineux typique] sont inconnues à l'heure actuelle. Ce que l'on peut simplement remarquer, c'est que le comportement observé indique qu'un mécanisme énergétique essaye d'abord à plusieurs reprises de se mettre en marche avant de pouvoir maintenir un haut niveau de luminosité et de s'éteindre brusquement. " [MT01 p. 28-29].

Ceci correspond précisément selon nous à la mise en route puis à l’arrêt du stratagème utilisé pour produire ces leurres lumineux ou ces leurres radar.

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Parmi les indices qui laissent soupçonner que les plasmas lumineux observés à Hessdalen sont d’origine artificielle et nécessitent l’intervention d’une intelligence (que nous croyons pour notre part bien terrestre), nous retiendrons les suivants :
 
Lorsqu’on observe un groupe de lumières en mouvement, la distance entre ces lumières reste constante ce qui voudrait évoquer la présence d’un objet sombre qui les relie. Le plus souvent, il s’agit d’un triangle dont la base est formée de deux plasmas blancs ou jaunes et la pointe d’un plasma rouge [ES02 p. 2]. (Une fois encore, ceci est typique du phénomène OVNI.)

Le plasma lumineux prend parfois une forme géométrique presque parfaite, ce qui ne semble guère naturel, comme en témoigne cet extrait de l’interview de Linda Moulton Howe [LMH01] : " Donc vous regardiez une sorte de boule de plasma et elle s’est soudain transformée en un rectangle ? – Absolument. Nous avons d’abord pensé qu’il s’agissait d’un artefact dû à la caméra vidéo. Mais en comparant la photo de ce phénomène à la vidéo, nous avons vu que [la forme] était identique. " [voir aussi MT01 p. 22 et 26].

Les habitants de Hessdalen témoins du phénomène signalent que les lumières disparaissent lorsqu’on les éclaire fortement. Nombre d’entre eux indiquent aussi que les lumières apparaissent précisément avant ou après qu’on soit en état de les photographier, comme si cela était délibéré.

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L’équipe scientifique a eu l’occasion de diriger à deux reprises à environ une heure d’intervalle un laser He-Ne vers une lumière qui se déplaçait durant plusieurs minutes en clignotant régulièrement. Instantanément, la cible a semblé " répondre " 8 fois sur 9 en émettant un double clignotement tant que le laser l’éclairait [ES84 § 3.7 et ES02 p. 4].

Mais pourquoi les militaires choisiraient-ils de générer systématiquement ces lumières en un même lieu, prêtant ainsi le flanc à un examen scientifique approfondi au risque d’être démasqués ?

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Notons à ce propos qu’après la première série d’examens scientifiques effectuée au début de l’année 1984, le nombre des apparitions lumineuses a fortement diminué.

Nous pouvons envisager en premier lieu que les lumières de Hessdalen sont dues à un test de production de leurres lumineux. Comme les formes générées sont très simples par rapport à certains ovnis sophistiqués que l’on peut rencontrer de nos jours (voir par exemple le cas d’Haravilliers, au § 42 de la deuxième partie), il faut alors supposer qu’elles sont produites par une armée maîtrisant mal cette technologie. Il peut s’agir soit de l’armée norvégienne elle-même, soit d’une armée alliée ayant passé un accord avec celle-ci. Cette armée ne peut réaliser ces essais dans une zone militaire car cela signerait trop clairement l'origine des phénomènes lumineux observés. Ou alors il lui faudrait les effectuer dans un hangar secret et donc uniquement à petite échelle. (L’armée est en fait confrontée au même problème pour la génération des cercles de culture – outre le fait qu’elle ne cultive pas de céréales – qui lui permettent semble-t-il de tester la précision de ses tirs maser à longue distance.) Elle a sans doute besoin ici d’un lieu stable où les équipements utilisés sont en place pour faire des essais répétés, ce qui diffère du phénomène OVNI habituel où ce qui est testé ponctuellement est d’une autre nature. Ces essais devraient bien sûr être effectués préférentiellement dans une zone totalement désertique pour échapper aux observateurs importuns, mais ces zones sont intrinsèquement hostiles et moins faciles d’accès, et peut-être la réaction des quelques 200 habitants de la vallée de Hessdalen est-elle intéressante à étudier. En outre, il est permis de supposer que ce lieu à des propriétés spécifiques, géologiques ou climatiques par exemple, favorables à la production des leurres lumineux.

Les lumières de Hessdalen sont peut-être aussi l’objet d'un test de détection de leurres lumineux, l’objectif étant de savoir reconnaître les leurres lumineux produits par un pays ennemi et d’arriver à maquiller ses propres leurres pour qu’ils ne soient pas reconnus comme tels. De ce point de vue, l’analyse de ces leurres par des scientifiques étrangers à ces tests peut être instructive sous réserve d’être certain qu’ils ne parviendront pas à percer le mystère de leur origine. La manipulation de ces scientifiques peut aussi constituer une expérience intéressante. Si tel n’était pas le cas, il est probable que l’armée aurait réussi à faire avorter tout projet de recherche scientifique sur les lumières de Hessdalen, ne serait-ce qu’en empêchant le bon fonctionnement de la station automatisée qui surveille 24h/24 une partie de la vallée.

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Il est possible enfin que les lumières de Hessdalen ne soient que les retombées involontaires d'un test de production et/ou de détection de leurres radar effectué normalement en dehors du spectre lumineux. Elles auraient donc vocation à disparaître au fur et à mesure que la technologie mise en œuvre sera maîtrisée. Mais si tel est le cas, on peut alors s’étonner que les tests n’aient pas lieu uniquement de jour de façon à rendre les lumières parasites moins visibles.

Au final, il nous semble que c’est probablement l’ensemble de ces tests qui sont réalisés en parallèle. Et sans doute à terme, les scientifiques en viendront-ils à conclure à une origine militaire de ces manifestations à condition qu’ils sachent raison garder face à l’étrangeté du phénomène. Pourtant, cette origine militaire ne devrait jamais pouvoir être définitivement établie, pour cause de secret défense : il faudra donc à un moment ou un autre mettre un terme à cette expérience.
*

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12 novembre 2014

Boire l'eau du robinet augumenterait les risques d'Alzheimer

53209202De nombreuses études attestent que les habitants des zones où l’eau potable est particulièrement
riche en sulfate aluminium et pauvre en magnésium et en calcium sont plus exposés à la maladie.

la maladie d’Alzheimer était plus de deux fois plus courante chez les Afro-Américains que chez les Yoruba nigérians de
même sexe et de même tranche d’âge. En résumé, à l’échelle mondiale comme à l’échelle ré-
gionale, la maladie d’Alzheimer n’a pas de profil spatial aléatoire relativement uniforme. Elle semble augmenter
plus vite que la population ne vieillit et son incidence et sa prévalence sont grandement affectées par la migra-
tion. Bref, elle ne présente aucune des caractéristiques géographiques attendues d’une maladie principalement
génétique. ?
Dans leur livre Genome, Bishop et Waldholz affirment qu’« en eux-mêmes et d’eux-mêmes, les gènes aberrants ne
provoquent pas la maladie. Généralement parlant, leur impact sur la santé d’une personne est minime jusqu’à ce qu’elle soit
plongée dans un environnement nocif. » Par conséquent, les répercussions d’un gène aberrant dépendent de la localité et
du mode de vie, autrement dit de la géographie. L’analyse documentaire précédente établit que les « environ-
nements nocifs » qui amplifient l’impact de l’héritage du gène APO E4 et d’autres aberrations génétiques liées à Alzheimer possèdent deux caractéristiques majeures. Ils présentent des variations spatiales très claires et leur nombre semble augmenter rapidement.

De nombreuses preuves suggèrent que ces environnements sont des zones où l’eau potable est riche en aluminium dissous (en particulier sous sa forme monomère) et pauvre en magnésium et en calcium. En outre, cette eau est
généralement pauvre en acide silicique. C’est le cas dans les endroits où les eaux de surface peu alcalines ont beaucoup de mal à amortir les impacts des pluiesacides, l’un de ces impacts étant une solubilité accrue de l’aluminium

. Dans les régions à fortes pluies acides et à faible alcalinité, les taux croissants d’aluminium dissous,
présents à la fois dans l’eau du sol et dans l’eau de ruissellement, entraînent de vastes dommages écolo-
giques. Il semble que cet élément soit aussi le facteur de risqueenvironnemental dominant dans la maladie d’Alzheimer.
Intoxication et pertes de mémoireEn 1988, il a été clairement prouvé qu’un excès d’aluminium dans l’eau potable pouvait affecter la mémoire. À la suite d’un accident survenu dans une installation anglaise d’adduction d’eau, la population locale a bu une eau contenant des taux
excessivement élevés de sulfate d’aluminium. Les malheureux qui avaient utilisé cette eau contaminée se sont presque tous
plaints de pertes de mémoire

On trouve aussi des preuves significatives du lien entre la démence et l’aluminium dans l’étude menée en Ontario par
McLachlan sur 668 autopsies de cerveaux atteints d’Alzheimer

Ces dernières ont démontré que le risque de développer la maladie d’Alzheimer avait été 2,5 fois
plus grand chez les habitants des agglomérations buvant de l’eau qui contenait plus de 100 µg d’aluminium par litre que chez les personnes vivant dans des zones où l’eau potable affichait un taux d’aluminium inférieur. Les résultats de
McLachlan étaient encore plus spectacu- laires pour ceux qui avaient bu de l’eau contenant 175 µg d’aluminium par litre. Selon la façon dont ces patients étaient regroupés, le risque relatif approché de développer la maladie d’Alzheimer allait
de 6,7 à 8,14. Autrement dit, leur cerveau avait 7 à 8 fois plus de risques de présenter les signes caractéristiques de la maladie d’Alzheimer si ces patients avaient régulièrement consommé de l’eau très riche en aluminium.Plusieurs auteurs ont tenté de quantifier l’ampleur du lien entre la maladie d’Alzheimer et l’aluminium. Forbes et McLachlan

, par exemple, ont étudié ce lien chez les très vieux, à savoir les personnes de plus de 85 ans. Ils ont découvert que,
après avoir tenu compte de six autres facteurs, tels que le fluorure, l’acide silicique, le fer, le pH et la turbidité, ceux qui
vivaient dans des quartiers où l’eau potable contenait plus de 250 µg d’aluminium par litre avaient presque 10 fois plus de
risques de développer la maladie d’Alzheimer. Cela confirmait une étude longitudinale antérieure réalisée en Ontario
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ayant établi que les hommes de plus de 75 ans qui buvaient de l’eau potable contenant au moins 0,0847 mg d’aluminium par litre
avaient 1,72 fois plus de risques de présenter une altération du fonctionnement mental.De même, après un contrôle statistique de cinq
autres variables, la mortalité d’Alzheimer affichait un rapport de cotes de 3,54 pour les personnes ayant bu de l’eau qui contenait
au moins 0,336 mg d’alu- minium par litre Une étude longitudinale plus récente de huit ans
s’est penchée sur 3 777 personnes de plus de 65 ans vivant dans le sud-ouest de la France en 1988-1989. Elle a con-
firmé que celles qui buvaient de l’eau dont la teneur en aluminium dépassait 0,1 mg par litre avaient deux fois
plus de risques de développer la maladie d’Alzheimer

- L’impact négatif de l’aluminium semble être atténué par l’acide silicique, le calcium
et le magnésium, notamment dans l’eau potable ayant un pH compris entre 7,85 et 8,05.

3 novembre 2014

LES « BLACK PROGRAM »: LE PROJET SILVER BUG

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Un programme pour étudier la conception d’un nouveau type d’aéronef à décollage et attérrissage vertical.

Le projet « Silver Bug », « cafard d’argent » (projet n° 9961) avait été développé conjointement par l’ATIC, le « Air Technical Center », le « Centre de Renseignement Technique de l’Air » et le WADC, « Wright Air Developpement Center », le « Centre de recherche et de développement de Wright », en février 1953. En fait, il s’inspirait à l’origine d’un programme Canadien démarré en 1952. C’est le général D.C. Putt de « l’USAF Air Research and Développement », la branche « Recherche et Développement de l’Air Force », qui en prendra la direction.
Ce programme avait pour but d’étudier la possibilité d’une une toute nouvelle conception d’aéronefs tout-à-fait radicale. Pour envisager la réalisation d’un disque volant, qui serait capable à la fois de décollages et d’atterrissages verticaux, et ayant une vitesse de vol supersonique. Au départ, le projet avait mis en concurrence deux types d’engins différents.

Le projet « Silver Bug » avait été lancé, lorsque le renseignement de l’Air Force avait rapporté des informations indiquant un grand intérêt de la part de l’Union Soviétique dans ce domaine d’activité.

Une autre motivation de l’Air Force était de trouver un moyen de limiter au maximum la vulnérabilité des bases aériennes, qui sont toutes tributaires de leurs pistes d’atterrissage. Non seulement les pistes prennent énormément de place de par leur longueur, mais elles seraient tout-à-fait identifiables par des photos aériennes et aussi par des satellites espions (même si l’on en était qu’au début de l’ère spatiale, il y avait bien, pour l’Air Force, un risque pour la sécurité nationale, quand des satellites espions pourraient être mis en orbite par l’URSS). De plus, l’armée de l’air y voyait-là un moyen de ne plus dépendre des pistes d’atterrissage de ses bases (qui bien-sûr deviennent inutilisables, dès qu’elles sont bombardées).

En cas de succès, les nouveaux engins devaient être entreposés en sous-sol, évitant ainsi la nécessité d’avoir des longues pistes.

Un programme conjoint Américano-Canadien.

Le projet Silver Bug, s’appuyait pour ses recherches sur les travaux du contractant de la défense A. V. Roe Limited, une société Canadienne (que l’on appelle plus communément « AVRO ») et qui était une filiale de l’entreprise Américaine « Hawker-Siddley Group ». Le principal objectif était de résoudre les contraintes de ces nouveaux engins et de leur forme, identiques aux « soucoupes volantes ». Pour offrir à la force aérienne Américaine, des systèmes d’armement avancés, capable de décoller et d’atterrir verticalement, avec des capacités et des performances supérieurs aux jets militaires de l’époque. Et pouvoir proposer une utilisation possible dans la majorité des bases déjà existantes.

De plus, les supérieurs de l’Air Force avaient bien définis que:

- « Il ne semble y avoir aucune raison fondamentale, pour laquelle cette étude ne devrait pas donner lieu à un système d’armement. Cependant il existe plusieurs domaines techniques qui doivent être étudiés avant qu’un développement du programme à grande échelle ne soit lancé »;

- « La simplicité de la construction de l’engin devrait atténuer un grand nombre des problèmes logistiques liés à la construction, qui sont normalement associés avec le développement de nouveaux aéronefs »;

- « Se basant sur ces éléments, le double programme de recherche-développement est justifiable »;

- « Les échanges d’informations techniques sur ce projet se feraient en liaison directe, entre le WADC et l’ATIC »;

- « Un effort doit être entrepris, pour déterminer si l’Union Soviétique travaille encore ou a déjà travaillée pour conduire un projet similaire, quand les travaux ont commencés et l’état actuel de l’avancée Soviétique ».

Deux types d’engins seront envisagés, mais un seul sera retenu.

Durant les deux premières années, des études préliminaires pour un modèle d’aéronef à décollage vertical seront lancées. Et parmi eux, deux types de projets (regroupant chacun différents prototypes) se démarqueront:

- L’un appelé « Projet Y », qui visait un engin en forme d’aile volante à pointe fuselée, avec un décollage vertical par l’arrière de l’appareil (procédé de décollage type « tail-sitter »);

- Et un autre, appelé « Projet Y2″, qui visait une plate-forme volante circulaire, qui reste à l’horizontal au moment du décollage (de type dénommé « flat-riser »).

Ils étaient tous les deux classé « secret ». Après étude par les contractants, pour servir de base de travail, le projet Y sera finalement abandonné au profit du projet Y2 (1). L’Air Force désirant un appareil plus maniable, préférait une forme de soucoupe. Les forces Américaines avaient déjà fait l’expérience d’avions supersoniques à décollage vertical dans différents autres programmes, qui avaient posés des problèmes d’aérodynamisme et ils préféreront choisir un engin de forme circulaire (2).

A partir de ce moment, la direction prise par la recherche sera de s’orienter définitivement vers une forme de soucoupe circulaire, pour concevoir un prototype d’engin à décollage vertical. Les prototypes seront au départ appelés « VTO Aircraft », pour « Vertical Take Off Aircraft », « aéronef à décollage vertical ».

Le principe de l’aéronef qu’avait retenu l’Air Force au départ.

La forme générale était celle d’une plate-forme circulaire ayant l’apparence d’un « disque ». Le tout surmonté d’un cockpit central pour le pilote. La première étude du prototype, prévoyait 6 réacteurs Armonstrong-Sidney « Viper 8″ placés en étoile, dans l’épaisseur du fuselage, autour de la partie centrale, avec un système de volet, pour orienter les flux de gaz des réacteurs.   Voilà les plans ci-dessous:

Il y aura une seconde étude de prototype, permettant aussi un large flux radial d’energie sur sa circonférence mais avec un système de motorisation différent. C’est celui-là qui avait été retenu. Il sera appelé le « MX-1794″ aux Etats-Unis et le « PV-704″ au Canada, voilà les plans ci-dessous :

Les caractéristiques de cet engin « Radial-Flow Engine Aircraft »:

Diamètre: 29,20 pieds;
Hauteur: 3,79 pieds;
Poids total du fuselage et du cockpit : 9532 livres;
Poids total du système de propulsion : 10450 livres;
Equipement de vol, radio-électrique, air conditionné et oxygène: 1068 livres;
Capacité du réservoir de fuel: 1140 gallons;
Poids à vide: 21050 livres;
Charges de fuel: 7750 livres;
Equipage (un pilote): 200 livres;
Poids total en chage: 29000 livres.

Un système de propulsion et de contrôle indissociable.

Contrairement à ce que l’on pourrait penser généralement en voyant les plans de cet aéronef, il ne s’agissait pas d’un engin à « antigravité ».

Il utilisait un mode de propulsion disons plus conventionnel, avec des rotors, des réacteurs et des turbines, et une chambre de compression qui étaient alimentées au fuel. Il y aura plusieurs versions étudiées, avec le principe de réacteurs et de turbines, qui comprimait l’air, en l’éjectant sur son pourtour. Une partie de l’air pouvant être dirigé dans n’importe quels endroits de la périphérie du disque, afin d’assurer l’inclinaison et l’orientation de l’appareil. Le système de pilotage de l’engin se faisant en contrôlant ces flux et leur puissance, qui pouvaient aussi contribuer à la propulsion verticale ou horizontal de l’appareil (que l’on appelle « l’effet Coanda »). Exemple avec le plan ci-dessous :

Ce qui pouvait passer pour un avantage, la propulsion et le système de contrôle ne faisant en fait qu’un, deviendra en fait la plus grande difficulté à surmonter. Pour arriver à un engin maneuvrable et capable des performances attendues. Et ce prototype n’aboutira finalement pas.

Les estimations des performances attendues selon le constructeur devaient être:

Plafond maximum à pleine vitesse: 80600 pieds;
Vitesse maximale: 2300 miles;
Vitesse de montée: 1,76 minutes par 36090 pieds.

Le Projet Silver Bug dans les médias.

Effectivement, plusieurs journaux et magazines, aussi bien Américain que Canadien, parleront de ce programme dès le début et ce tout au long des années cinquante. Donnant indifféremment sans même le savoir, des informations sur les différents prototypes du projet Silver Bug.

Le magazine « Look », avait publié un article en juin 1955, disant que AV Roe, Canada, Ltd, le constructeur Canadien, avait en cours un programme de conception de soucoupe qui était en développement depuis 1953. Et qu’il avait été abandonné à cause du coût qui était jugé trop élevé pour obtenir un démonstrateur de vol (il s’agit en fait du projet MX 1794, qui sera bien abandonné). L’article évoquait également une réunion d’ingénieurs, où il avait été annoncé que de nouvelles contraintes de l’Air Force avaient été mise en place, concernant les exigences en matière de performances, qui serait plus satisfaits par un aéronef en forme de soucoupe (ce que confirme le rapport déclassifié).

Le journal Canadien « Toronto Star », avait de son côté écrit dans son édition du 11 février 1953 que Avro-Canada, avait démarré un programme en 1953, pour élaborer une soucoupe volante. Et que leurs équipes travaillaient à l’usine de Malton, en Ontario. Le 16 février 1953, le ministre de la Production de défense a informé la Chambre des communes que Avro avait travaillé sur un « modèle à décollage vertical » d’une soucoupe volante qui serait capable de voler à 1500 miles à l’heure et de voler à la verticale.

Dans le journal de la société, « Avro News », le président de Avro-Canada avait déclaré que le prototype en cours de construction était « …si révolutionnaire que cela rendrait toutes les autres formes d’avions supersoniques obsolètes ».

Et dans un article dans un supplément du mois de décembre de la publication « Air Intelligence Digest », titré « le disque volant », des travaux de AVRO où figurait une illustration inexacte du prototype du projet.

A la suite de toutes ces « fuites » dans la presse le Pentagone fera une conférence de presse dans laquelle l’armée reconnaitra l’existence du projet Silver Bug et qu’ils travaillaient bien sur un engin en forme de soucoupe, et présenteront d’ailleur une illustration officielle du projet MX-1794.

Il faut bien le dire, ces divulgations dans les journaux à l’époque, même si elles ne donnaient pas toutes les informations, avaient entretenu une certaine confusion. Et en voyant l’Avrocar présenté au public, qui n’était pas le modèle présenté officiellement, il y aura une certaine suspicion, sur ce que pourrait cacher l’Air Force (et par certains côtés, on peut dire qu’elle perdure encore aujourd’hui).

Les différents d’aéronefs de la société AVRO.

Avec un même projet, partagé en deux programmes (un aux Etats-Unis et l’autre au Canada), plusieurs prototypes (certains abandonnés, d’autres retenu), le tout se déroulant sur plusieurs années, cela a certainement contribué à tout rendre assez confus, pour qui veut reconstituer les évènements. Et en voyant le résultat final avec l’Avrocar, qui de plus ne ressemblait pas à l’engin présenté dans les articles de presse et par le Pentagone; à l’époque, certains ont pensé qu’il n’aurait pût être en fait qu’un programme secondaire, « de façade ». Et que la recherche sur le prototype de 1955, le MX-1794, aurait peut-être ét poursuivie en secret. Plusieurs personnes à l’époque en avait eu alors la conviction (3).

Il y avait bien plusieurs engins différents à l’étude pour Silver Bug, sur lesquels travaillera la société AVRO. Il y aura:

- Un appareil se type « tail sitter » en forme d’aile volante (projet Y) des études préliminaires qui avait été rejeté et s’appelait l’Oméga;

- Deux appareils de type « flat riser » ou « Radial-Flow Engine Aircraft » en forme de soucoupe (projet Y2), dont un seul sera retenu (le MX 1794/PV 704) mais dont la recherche n’aboutira pas;

- Le « Weapon System 606″, qui était un fuselage classique sur une palte-forme de vol circulaire. Etudié pendant un temps après l’échec (et peut-être au même moment) du MX-1794/PV-704. Mais abandonné également;

- Et un dernier appareil, aussi de type « flat riser » (le VZ-9-AV), mais avec un concept légèrement différent de ce que voulait l’Air Force au dépard et qui donnera naissance à l’Avrocar.

Les documents déclassifiés du projet Silver Bug.

On peut se demander ce que pourrait nous apprendre les documents déclassifiés.
Actuellement, à part quelques documents déclassifiés de la CIA (concernant surtout les possibles recherches Soviétiques dans le même domaine), peu de documents officiels sont disponibles du côté Américain. Il y a un rapport technique sur le projet Silver Bug, publié le 15 février 1955 et qui a été déclassifié le 29 Mars 1995, obtenu suite à une demande du 15 février 1998, par le biais de la loi FOIA, par le CUFON, « The Computer UFO Network » (4).

Questionné à ce sujet, l’Air Force a fait répondre par le service des relations publiques de Wright-Patterson Air Force Base, à Dayton, qu’aucun autre rapport sur ce projet n’était disponible et à ce jour déclassifié (mais il existe un autre rapport, qui doit en fait être le même, mais à la mise en page et à la présentation des informations différentes. Mais le contenu doit être identique).

(1) On présente souvent l’inverse, en disant que c’est le projet Y2 qui avait été abandonné, au profit du Projet Y, mais c’est une erreur. Cela est bien mentionné à la page 1 (Section 1 Caracteristics) dans le dernier paragraphe (B. Description of the proposed Aircraft)  du rapport technique cité dans les sources.  Pour plus d’informations, voir la partie 2.

(2) C’était plusieurs projets de l’US Navy avec les firmes Loockeed et Convair, et un de l’US Air Force avec la firme Ryan Aeronautical Corporation pour les appareil à décollage en ayant une position vertical. Il y avait déjà eu aussi des engin avec une forme plate, par les firmes Roll Royce et Bell.

(3) Encore aujourd’hui, beaucoup le pense.

(4) Pour télécharger le rapport, cliquez sur le lien, link

Sources:
« Technical Report n° TR-AC-47, Joint ATIC-WADC Report on Project Silver Bug », publié le 15 février 1955 par l’Air Technical Intelligence Center de Wright-Patterson Air Force Base, Ohio. Declassifié le 29 mars 1995;
Magazine Top Secret n°12;
http://www.cufon.org;
http://www.avroarrow.org.

article source: http://actualitedelhistoire.over-blog.com/article-les-black-program-le-projet-silver-bug-partie-1-68928331.html

LES « BLACK PROGRAM »: LE PROJET SILVER BUG (Partie 2)

Le projet Y2.

Ce projet était une collaboration entre l’US Air Force et la société AVRO, pour la construction d’un engin à décollage et atterrissage vertical. Ce projet faisait partie du « Projet Silver Bug », mais au Canada il prendra le nom de « Projet Y2″, d’après le nom du projet qui avait été retenu suite aux d’études préliminaires (1). Et au Canada, on le surnomme aussi parfois « Projet Ladybird ».

La recherche Canadienne avait démarrée en 1952 (l’association avec le programme Américain commença en février 1953) et se terminera en 1962. Il était donc aussi constitué de la poursuite des recherches, qui avait été réalisées précédemment par les Canadiens. Le responsable des équipes était l’ingénieur Britannique John Frost qui était aussi conseillé par les anciens ingénieurs en aéronautiques Allemands Miethe et Shiever.

Le projet Y, rejeté par l’Air Force.

Parallèlement au projet Y2, il a existé pendant une courte période un autre projet visant lui aussi le même objectif, c’était le projet Y. Ce dernier proposait un prototype complètement différent. Il s’agissait d’une aile volante arrondie en pointe vers l’avant, propulsée par plusieurs réacteurs. Son mode de décollage devait se faire complètement à la vertical, à l’aide d’un procédé de trains retractables, pour servir de « pieds » à l’engin. Ce système de décollage à la vertical est désigné par le terme « tail-sitter ».

Une forme d’aile allongée devait être utilisé en raison du mode de propulsion par « radiaux de flux » conçus pour l’alimenter. Les moteurs avaient été conçus pour émettre des gaz d’échappement provenant de plusieurs petites turbines, ce qui augmentait la poussée. Il devait voler à 2500 miles à l’heure.

Mais à la suite des études préliminaires, ce prototype ne sera pas retenu par l’Air Force, qui préféra choisir le projet Y2, qui était un prototype de forme circulaire, comme une soucoupe. L’Air Force, tout comme la Navy, expérimentait déjà d’autres modèles d’appareils supersoniques, aux forme plus ou moins classique, pouvant décoller à la vertical. Mais ces projets n’auront pas convaincu, les appareils connaissant régulièrement des problèmes aérodynamique, qui les rendaient insuffisamment maniable (2).

Le prototype, qui avait reçu le nom de code de « Oméga », n’aura existé que sur plan et sa seul réalisation concrète sera une maquette en bois. Dont il existe quelques photographies prises dans un hangar de Malton, près de Toronto, où travaillait la société AVRO. C’est accidentellement qu’elles seront découvertes dans les archives nationales Britanniques au « Public Record Office » de Kew (photos ci-dessous).

   

Même s’il ne sera pas choisit par les Américains, les Canadiens tentèrent tout-de-même de le poursuivre pour leur propre compte, avec des fonds Britanniques. Finalement, l’Oméga sera totalement abandonné. Mais le brevet pour cet appareil a bien été déposé aux Etats-Unis le 6 novembre 1962. C’est le brevet N° 3062482 pour un « aéronef à turbine à gaz » (documents ci-dessous).

L’étude d’un nouveau principe de réacteur.

Cette étude avait été réalisé pour le projet Y, et devait équiper l’aile volante Oméga. Au contraire des réacteurs classiques, dont les rotors sont coaxiaux, et sont placés à l’intérieur du réacteur, le procédé d’AVRO était de placer le rotor du compresseur horizontalement (donc avec un axe de rotation vertical) qui comprime l’air de manière radial, en l’éjectant sur son pourtour. Une partie de l’air comprimé par le compresseur pouvait être dirigé dans n’importe quels endroits de la périphérie du disque, afin d’assurer l’inclinaison et l’orientation de l’appareil. Le système de pilotage de l’engin se faisant en contrôlant ces flux d’air froid et leur puissance, qui pouvaient aussi contribuer à la propulsion verticale ou horizontal de l’appareil. Indépendamment, ou en association avec les flux chauds venant de la chambre de combustion.
Mais suite aux essais en soufflerie réalisé de 1954 à 1960 qui ne seront pas concluant, durant toute la conception de ce nouveau type de moteur, ils décideront d’utiliser un réacteur classique.

Les différents design envisagés par AVRO.

Depuis 1952, la recherche Canadienne avait étudié plusieurs pistes pour ses prototypes, comme vous pouvez le voir sur les document ci-dessous, récapitulant les différents projets:

Le premier qui aura la préférence, sera le Projet dénommé « PV-704″ au Canada et « MX-1794″ aux Etats-Unis (à droite). C’était celui qu’avait retenu l’Air Force au début et lorsque ce dernier sera abandonné en 1955, ils se rabanteront un temps sur le « Weapon System 606A », avant de choisir définitivement le projet « VZ-9-AV », qui deviendra l’Avrocar (à gauche). Il n’y aura que ces deux engins qui deviendront des prototypes et subiront des essais en soufflerie (maquettes d’origine de la société AVRO ci-dessous):

Le projet PV-704.

Il avait une forme de soucoupe, avec un cockpit central, équipé de plusieurs réacteurs, alimentant plusieurs turbines. Une partie de l’air pouvant être dirigé dans n’importe quels endroits de la périphérie du disque, afin d’assurer l’inclinaison et l’orientation de l’appareil. Le système de pilotage de l’engin se faisant en contrôlant ces flux et leur puissance, qui pouvaient aussi contribuer à la propulsion verticale ou horizontal de l’appareil.

Mais après plusieurs tests de différentes versions en soufflerie (selon le nombre et la position des réacteurs), ce projet sera abandonné, officiellement faute de crédit. Mais le brevet pour cet appareil a bien été déposé aux Etats-Unis le 27 février 1962. C’est le brevet N° 3022963 pour un « aéronef de type disque à jets de contrôle périphérique » (document ci-dessous).

Le Projet WS-606A.

Suite à l’échec du PV-704, AVRO se tournera pendant une durée assez courte vers une autre piste avec le « Weapon System 606A » (dont il y aurait eu plusieurs versions). Qui était une engin de forme circulaire, avec un fuselage central et un cockpit de forme classique (illustration ci-dessous). Il se pourrait aussi qu’AVRO l’ait étudié paraléllement, pendant le projet « V7-9-AV », mais on n’en est pas certain. Lui ne dépassera le stade des plans et sera assez rapidement délaissé.

Le Projet VZ-9-AV.

AVRO poursuivra ses recherches en s’orientant vers le projet « VZ-9-AV ». Cet appareil de forme circulaire avec un moteur à réaction, serait maintenu au-dessus du sol par un « coussin d’air » et tiré vers le haut par « l’effet Coanda » (l’effet Coanda, est un effet aérodynamique mal maîtrisé, née d’un inventeur français, Henri-Marie Coanda, qui avait expérimenté avec un moteur à réaction rudimentaire dans les années trente. Il avait constaté qu’un réacteur horizontal pouvait fournir une poussée des deux côtés simultanément), la propulsion et la sustentation étant obtenu par l’aspiration de l’air par le haut et l’orienter ensuite vers le bas et le pourtour de l’engin (shémas ci-dessous).

D’après l’histoire communément admise, la majorité des participants étaient maintenu au secret le plus total, et seulement quelques-uns savaient exactement, ce sur quoi ils travaillaient (3). Mais cela n’empêcha pas les rumeurs à l’époque, comme se souvient le photographe Verne Morse: « Il y avait une rumeur stupide autour de l’usine disant que nous faisions la construction d’une soucoupe volante, et tout le monde riait à ce sujet ».

La première année de recherche s’avéra difficile. Le réacteur atteignait une température trop élevée, qui faisait fondre la structure d’acier du prototype, et les secousses violentes faisaient sauter les rivets du fuselage. Ce fût à ce moment que le gouvernement Canadien, après avoir dépensé quatre cent mille dollars Canadien sur le projet, décida d’arrêter les frais. L’Air Force reprit alors le financement du programme. Grâce à des nouveaux fonds, l’ingénieur John Frost a repensé le concept original, plaçant trois réacteurs Continental J69-T9 avec chacun 417 kilos de poussée unitaire, autour d’une turbine centrale qui était alimentée en air grâce à un apport circulaire que représentait la turbine au centre de l’engin (plan ci-dessous).

Le pilote serait assis dans un cockpit légèrement ovale, dans une bulle en plexiglas (l’engin n’était encore prévu que pour un seul pilote).

Mais les tests en soufflerie, réalisés sur un premier prototype (immatriculé « S/N 58-7055″), au Canada comme aux Etats-Unis (4), avaient démontrés qu’il y connaissait de graves problèmes de stabilité et qu’il y avait un risque de retournement de l’engin, à chaque accélération des réacteurs (ses problèmes ne seront jamais maîtrisé). L’USAF avait voulu l’équiper d’un empennage pour voir si cela permettrait de corriger le problème, mais Frost, refusera fermement d’approuver l’idée. Ce qui n’empêcha pas l’Air Force de faire une tentative en installant un aileron arrière, pour faire d’autres essais en soufflerie (photo ci-dessous).

 

Un second prototype (immatriculé « S/N 59-4975″), qui deviendra le démonstrateur de vol, fera ses premiers vols d’essais le 12 novembre 1959. Il y en aura d’autre en janvier 1960 et à partir de juillet 1960 jusqu’à la fin de l’année au Canada, pour les poursuivre aux Etats-Unis, jusqu’en juin 1961. Le projet s’arrêa le 30 avril 1962. Il y aura eu 75 heures de vol d’essai en tout. Au Canada, le pilote d’essai était celui de la société, Spud Potoki, un pilote d’origine Polonaise. Aux Etats-Unis il y aura deux pilotes d’essai: le major Walter J. Hodgson, de l’US Air Force et Fred J. Drinkwatter III, de la NASA.

La réalisation finale aura des cocardes Américaines peintes sur le fuselage. Et c’est à ce moment qu’il a été dénommé de ce qui devait être son nom définitif pour l’exploitation commerciale, par le terme « Avrocar ». (photo ci-dessous) aboutira à un engin de forme circulaire bi-place d’un diamètre de 5,50 mètres sur 1,47 de hauteur. Il pesait 2095 kilos à vide et la charge maximum au décollage était de 2563 kilos. La propulsion et la sustentation étaient obtenu par l’aspiration de l’air par le haut et l’orienter ensuite vers le bas et le pourtour de l’engin. Et c’est à ce moment qu’il aura son nom définitif pour l’exploitation commerciale, par le terme « Avrocar ».

La société AVRO y croyait vraiment.

Les responsables de la société était très enthousiaste. Le Département de publicité de la société avait même commencé à concevoir des brochures promotionnelles pour exploiter le potentiel de ce type d’engin volant, pour le jour où il serait dévoilé au public. Il devait d’être appelé le « Avrocar » (la « voiture Avro »), et ils espéraient qu’il y aurait de grandes retombées, pour des utilisations tant civiles que militaires. Il y aurait eu un « Avrowagon » pour les transport en commun, et une « Avroangel » (qui aurait été une ambulance aérienne) et un « Avropelican » air-mer, qui devait être capable de se poser sur l’eau, pour des sauvetages et la guerre anti-sous marine.

Ken Palfrey, un des dessinateur sur le projet, a déclaré que Frost avait de profonds espoirs: « Il avait l’intention d’un faire un, quatre fois plus grand, pour déplacer des troupes dans et hors les zones de combat, comme les hélicoptères font maintenant » (5).

Le bilan du Projet Silver Bug / Y2.

Les résultats ne seront pas à la hauteur de ce qui avait été attendu. Tant au niveau de ce que voulait l’Air Force au début, quand on voit le design des soucoupes étudiées au départ et ce que sera le résultat final avec l’Avrocar. Il planait à tout juste 90 centimètres du sol et devenait totalement et surtout dangereusement incontrôlable, dès que l’on tentait de dépasser un mètre d’altitude. Et sa vitesse maximum ne dépassa jamais 56,3 Km/heure. Mais au cours des années qui suivront et aussi bien des années plus tard, il y aura des retombées plus intéressantes de ce programme bien plus tard, quand d’autres constructeurs aéronautiques chercheront à faire des appareils à décollage vertical. Les résultats de la recherche du projet Y2, apporteront des données exploitables, pour la maîtrise des flux d’air provenant des réacteurs, pour d’autres programmes d’appareils à décollage vertical, qui eux aboutiront (comme par exemple avec le « Sea-Harrier » Britannique).

Le premier prototype pour les essais en soufflerie finira dans un entrepôt du Maryland, qui sert de centre de stockage pour le National Air and Space Museum en 1966 (photo ci-dessous).

Tandis que la version définitive du démonstrateur de vol, qui avait été présenté à la presse, sera restauré (il avait été présenté pendant quelques années à l’extérieur) et puis exposé au Musée de Fort Eustis en Virginie en 1979, où on peut toujours le voir aujourd’hui (photo ci-dessous).

(1) Pour plus d’informations, voir la Partie 1.

(2) Il y avait le XFV-1 (« Pogo ») de Lockheed et le XFY-1 (« Salmon ») de Convair pour la Navy, qui était des avions à double hélice, qui seront abandonné en 1955. Et le X13 de Ryan Aéronauticcal Compagny de l’Air Force qui était à réaction, et sera abandonné en 1957.

(3) En fait, le secret et la sécurité n’était pas si sévère que ça. Jean Pierre Petit, l’astrophysicien Français, s’était rendu aux Etats-Unis en 1961 et avait été au laboratoire de Stanford. Dans son livre « Ovnis et armes secrètes Américaines », il raconte que lorsqu’il s’est présenté à la porte d’entrée, il n’y avait pas de gardes et il était entré dans les bureaux sans le moindre problème, et comme il n’y avait personne, en ouvrant les portes des bureaux, qui n’étaient pas fermées, pour chercher quelqu’un, il se rendra compte qu’il n’y avait personne. Et il verra même l’Avrocar dans un hangar. Quand le personnel revint (il était parti déjeuné), le responsable piquera une colère, parce que Petit, n’aurait jamais dû voir un appareil aussi secret.

(4) En 1959 la Marine américaine viendra prendre le prototype pour des tests en soufflerie au Ames Researh Center de la Nasa à Moffet Field en Californie. Il a été mis dans un camion à plateau en pleine nuit. La police avait arrêté tout le trafic jusque dans le port de Toronto, et arrivé là, le prototype fût alors chargé sur un remorqueur américain. Le remorqueur descendit ensuite le long du canal Érié, le long de la voie pour New York, et ensuite à travers le canal de Panama, jusqu’en Californie.

(5) Frost quittera la société AVRO lorsque celle-ci fermera ses portes pour raisons financières 1962. Frost partira vivre en Nouvelle-Zélande où il mourru en 1979.

http://ufoetscience.wordpress.com/

Sources:
« Technical Report n° TR-AC-47, Joint ATIC-WADC Report on Project Silver Bug », publié le 15 février 1955 par l’Air Technical Intelligence Center de Wright-Patterson Air Force Base, Ohio. Declassifié le 29 mars 1995;
Magazine Top Secret n°12;
http://www.cufon.org;
http://www.lasieworks.com;
www.avroarrow.org.

http://ufoetscience.wordpress.com/

images et article à la source 

Liens externe:

http://icietmaintenant.fr/SMF/index.php?topic=7793.0

http://ovnis-usa.com/2009/04/01/mercredi-1er-avril/

http://ovnis-usa.com/le-projet-avalon/

http://area51blog.wordpress.com/2010/04/12/que-sest-il-reellement-passe-dans-la-

27 mai 2014

Les Aliens Viennent des Enfers

caelistis-porta

Les satanistes qui contrôlent les gouvernement, la NASA et les bases militaires secrètes comme la zone 51 utilisent à la fois l'occultisme et la technologie pour faire perdre pied à l'humanité.

Ils veulent que vous confondiez le monde des esprits (démons déguisés en aliens, petit-gris, reptiliens et autres créatures démoniaques) avec le monde réel (technologie d'engins volants à propulsion électro-magnétique, hologrammes géants, show spatial, mind control, Blue Beam.cesetres polymorphes peuplaient la terre avant lepremier homme cruel violent et sanguinaire ils furent detruit etlessurvivant repoussaient sur lesiles etal'interieur de laterre le peredeces creature etait satan paradoration envers dieu ilpris latete d'une armée d'ange et detruisit sa propre race ,il etait le genie leplus croyant et celui qui adoré le mieux dieu pour le remmercier, il fut elevé parmi les anges lui le djinn ,là les adorateurs de ce genie aime à le dire ange ,mais c'estfaux les anges etant sans libre arbitre ne desobeissent jamais àdieu ,lui etait un djinn avec un libre arbitre ,il est aussi leplusgrand scientifique sur terre d'ailleurs ceux qui ont pactisés avec lui obtinrent un avantage technologique qui leur permet de dominer le monde aujourdhui ......

 

23 janvier 2014

Les soucoupes volantes viennent de l'intérieur de la Terre 1ere partie

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Les soucoupes volantes viennent de l'intérieur de la Terre. Nous allons maintenant citer Ray Palmer, rédacteur en chef de Soucoupes volantes, expert en la matière, convaincu que les découvertes de l'amiral Byrd aux deux pôles offrent une explication sur l'origine des soucoupes volantes. Ray Palmer croit, en effet, que les engins volants non identifiés ne viennent pas d'autres planètes, mais de l'intérieur de la Terre, où existe une civilisation très en avance sur la nôtre en matière d'aéronautique, utilisant les soucoupes volantes pour leurs voyages aériens, et se propulsant à la surface de la Terre par l'intermédiaire des ouvertures polaires. La Terre creuse  Voici comment Palmer explique son point de vue « La Terre est-elle bien connue ? N'existe-t-il aucun endroit sur Terre qui pourrait nous fournir une explication possible sur l'origine des soucoupes volantes ? Il y en a deux. Ils se trouvent dans l'Arctique et dans l'Antarctique. « Les deux vols de l'amiral Byrd aux pôles prouvent que la configuration de notre globe dans ces régions a quelque chose « d'étrange ». Byrd s'envola vers le pôle Nord, mais ne s'y arrêta pas. Il continua au-delà, sur une distance de 2 700 kilomètres, puis fut obligé de rebrousser chemin, car sa réserve d'essence diminuait. Comme l'appareil progressait au-delà du pôle, apparurent des régions libres de glace, avec des lacs et des montagnes couvertes d'arbres, et même à un moment un animal monstrueux qui ressemblait à un mammouth de l'Antiquité. Tout cela fut rapporté par les occupants de l'avion. Pendant presque la totalité du voyage, l'appareil survola un paysage de montagnes, de forêts, de lacs et de rivières. « Quel était ce pays inconnu ? Est-ce que Byrd en naviguant plein nord était entré dans l'intérieur creux de la Terre à travers l'ouverture polaire ? « Avec la dernière expédition de Byrd au pôle Sud, nous pénétrons une fois de plus dans une région mystérieuse et inconnue, dont il n'est fait mention sur auc une carte. Et une fois de plus, après la première annonce de l'événement, c'est le silence total. Des milli ons de gens apprennent la chose - et quelle chose ! Elle mériterait au moins quelques commentaires. Mais rien ! La curiosité du public s'aiguise... dans le vide. On se heurte à un mur. Vraiment étrange... « Et pourtant les faits sont là.

Aux deux pôles existent de vastes éte ndues de terre inconnues, apparemment habitables, dont la superficie peut à peine êt re calculée. Cette superficie doit être énorme, peut- être aussi grande que celle des Etats-Unis tout entiers en ce qui concerne le pôle Nord, et encore plus grande au pôle Sud. « Les soucoupes volantes pourraient venir de ces deux terres inconnues " au-delà des pôles ". Notre opinion est que l'existence de ces terres ne peut être ré futée par personne, si l'on veut bien considérer sans préjugés les faits que nous venons d'énoncer. » Voilà ce que dit Ray Palmer. Et une fois de plus la question essentielle est posée. Si l'amiral Byrd a proclamé devant tous que son expédition au pôle Sud ét ait « la plus importante de l'histoire du monde », et si, au retour, il a ajouté : « La présente expédition a ouvert une nouvelle et vaste terre », par quel phénomène étrange et inexplicable une telle découvert e est-elle pratiquement entrée dans l'oubli ? Des raisons politiques. Il n'y a qu'une seule réponse rationnelle à ce mystère. Après la brève annonce publiée dans la presse américaine, et basée sur le rapport radio de Byrd, toute publicité ultérieure a été supprimée par le gouvernement, pour qui Byrd travaillait, et qui ava it des raisons politiques importantes à cacher cette découverte. Car les terres étranges survolées par l'amir al aux deux pôles sur une distance totale de 6 400 kilomètres sont probablement aussi grandes que l'Am érique du Nord et l'Amérique du Sud réunies. Et il est évident que le gouvernement des Etats-Unis a craint qu'un autre pays n'entreprenne des vols similaires et n'aille plus loin, jusqu'à revendiquer ces territoires pour son propre compte. « Considérant tout cela, écrit Ray Palmer, il n'est pas étonnant que les nations du monde entier se soient soudain vivement intéressées aux régions polaire s - et particulièrement à l'Antarctique - et qu'elles aient entrepris des explorations de grande envergure. » Cette terre, centre du mystère. Palmer estime que le nouveau territoire découvert par Byrd, et qui n'est mentionné sur aucune carte, se trouve à l'intérieur, et non à l'extérieur de notre gl obe. C'est pour cela que le grand explorateur l'a appelé « le Grand Inconnu ».

La Terre creuse Après avoir discuté de la signification du terme « au-delà » employé par Byrd, et non « au-dessus » ou « au travers » des pôles, Palmer conclut que la terre inconnue de Byrd se situe à l'intérieur des concavités polaires, et qu'elle jouit d'un climat cha ud puisqu'on y découvre une végétation verte et une vie animale. Voici ce qu'écrit encore Ray Palmer sur la question « En février 1947, l'amiral Richard E. Byrd fit la décl aration suivante : « J'aimerais voir cette terre au- delà du pôle. Cette terre qui est le centre du Grand Inconnu. » « Des millions de gens lurent cette déclaration da ns leurs journaux quotidiens. Des millions de gens se passionnèrent pour le vol de Byrd au-delà du pôle No rd. Des millions de gens entendirent la description radiodiffusée du vol, qui fut publiée aussi par les journaux. « De quelle terre était-il question ? Regardez une car te. Calculez les distances de tous les points connus Sibérie, Spitzberg, Alaska, Ca nada, Finlande, Norvège, Groenland, Islande... Ils sont à peu près tous à moins de 2 700 kilomètres du pôle. Et pourtant Byrd n'a survolé aucune terre connue. Ce qu'il a découvert, il l'a nommé lui-même « le Grand Inc onnu ». Et combien grand, en effet ! Car après 2 700 kilomètres de vol, il fut contraint de faire demi-tour par manque d'essence, et à ce moment il était loin d'avoir atteint les limites de ce territoire. Il n'aurait dû voir au-dessous de lui qu'un océan en partie bloqué par les glaces. Au lieu de cela, il survola des montagnes c ouvertes de forêts! « De forêts ! « Incroyable ! L'extrême limite des régions boisées se situe assez bas dans l'Alaska, le Canada et la Sibérie. Au nord de cette ligne, aucun arbre ne pousse ! Ce qui veut dire que, l ogiquement, tout autour du pôle Nord, on ne doit apercevoir le plus petit arbre dans un rayon de 2 700 kilomètres ! « Alors ? « Alors il faut croire que l'amiral Byrd a bien pénétré dans cette terre au-delà du pôle, cette terre qu'il désirait tant voir parce qu'elle était le centre du mystère. Un problème de navigation. « Pourtant, aujourd'hui, on ne trouve fait mention nulle part de cette terre mystérieuse. Pourquoi ? Le raid accompli par Byrd en 1947 était-il une fiction ? Les journaux ont-ils tous menti ? Menti aussi le radio qui émettait de l'avion de Byrd ? « Non, l'amiral Byrd a bien volé au-delà du pôle. « Au-delà ? « Que voulait dire l'amiral quand il a employé ce mo t ? Comment est-il possible d'aller " au-delà " du pôle ? Réfléchissons un instant. Imaginons que nous soyons transporté d'un coup de baguette magique au point exact du pôle Nord magnétique. Nous y arrivons in stantanément, sans savoir de quelle direction nous venons. Tout ce que nous savons, c'est que nous voulons alle r du pôle au Stipzberg. Mais où est le Spitzberg ? Quelle direction devons-nous prendre ? Celle du Sud, bien sûr ! Mais quel Sud ? Du pôle Nord, toutes les directions vont vers le Sud ! « C'est un simple problème de navigation. Toutes le s expéditions polaires, terrestres, maritimes, ou aériennes, ont dû faire face à ce problème.

Ou bien elles doivent revenir sur leurs pas, ou bien il leur faut découvrir quelle direction vers le Sud est la bonne, et cela quel que soit l'objet de la destination. Le problème est résolu de la façon suivante : on choisit une dir ection au hasard, n'importe laquelle, et on avance d'une vingtaine de milles ; puis on s'arrête, on fait le point à l'ai de des étoiles et de la boussole (l'aiguille aimantée n'est plus dirigée vers le bas mais vers le pôle Nord magnétique), et on trace la rout e sur la carte. Si on veut aller au Spitzberg, pour reprendre notre exemple, c'est alors facile de prendre la bonne direction vers le Sud. La Terre creuse  « L'amiral Byrd, lui, n'a pas suivi ce procédé trad itionnel de navigation. Une fois le pôle atteint, il continua sa route plein Nord sur une distance de 2 700 kilomètres. Et aussi étrange que cela paraisse, il a atteint cette « terre au-delà du pôle » qui, jusqu'à ce j our, si nous consultons les archives des journaux, des livres, de la radio et de la télévision, n'a jamais plus été explorée. « Cette terre, sur les cartes actuelles, ne peut pas exister. Et pourtant... elle existe, comme nous venons de le voir. Il faut donc en conclure que les car tes actuelles sont inexactes, incomplètes, et ne donnent pas une véritable image de l'hémisphère Nord. « Quoi qu'il en soit, il ne fait aucun doute pour nous qu'a été localisée dans le Nord une vaste étendue de terre - le centre du Grand Inconnu - dont les 2 700 kilomètres parcourus par Byrd ne sont qu'une infime partie. » Un black-out étrange, Une découverte aussi importante aurait dû être universellement connue. Seulement voilà, comme nous l'avons dit, le gouvernement américain fit le blackout total sur cette affaire, et il y réussit si bien qu'elle était pratiquement oubliée lorsque Giannini s'avisa de la mentionner dans son livre : M ondes au-delà des pôles, publié à New York en 1959. Mais là encore, par quelque étrange et obscure raison, le livre de Giannini ne reçut pas la publicité qu'il méritait et n'atteignit pas le grand public.

Cependant, à la fin de cette même année 1959, Ray Pa lmer prit connaissance de cet ouvrage, et il fut tellement impressionné par l'aventure fabuleuse de Byrd qu'il en parla aussitôt dans son magazine Soucoupes volantes, largement distribué dans tous les Etats-Unis. L'information parut dans le numéro de décembre 1959. A la suite de quoi se produisit une séri e d'incidents bizarres indiquant que des forces secrètes étaient à l'œuvre pour couper court à cette information et l'empêcher d'atteindre la grande masse des lecteurs. Quelles étaient ces forces secrètes ? Et quelles raisons particulières pouvaient-elles avoir de faire obstacle à une telle publication ? La réponse est facile : ces forces étaient les mêmes que celles qui avaient opéré au lendemain de la découverte de Byrd, et elles avaient les mêmes raisons de s'opposer à tous commentaires concertant cette découverte. Les révélations de Palmer sur les découvertes de By rd dans l'Arctique et l'Antarctique donnèrent pour la première fois une large publicité à l'extraordinaire av enture de l'explorateur. Elles avaient une portée plus grande que les chapitres que leur avait consacrés Giannini dans un livre au tirage restreint et qui n' avait bénéficié d'aucun lancement. C'est pour cela qu'on chercha à stopper leur divulgation sur une grande échelle. Des incidents bizarres. Le numéro de Soucoupes volantes, daté de d écembre 1959, était prêt à être distribué aux abonnés et mis en vente dans les kiosques, lorsqu'il fut retiré mystérieusement de la circulation. Quand la camionnette venant de l'imprimerie avec les paquets de magazines arriva chez l'éditeur, on n'y trouva plus le moindre exemplaire. Elle était vide ! L'éditeur téléphona à l'im primeur. Qu'est-ce que cela voulait dire ? L'imprimeur chercha dans ses papiers, mais ne trouva aucun récépi ssé prouvant que l'expédition avait été faite. Le tirage de ce numéro ayant été payé, l'imprimeur fut prié de remettre les presses en marche et de faire un nouveau tirage.

Mais, coïncidence étrange, les clichés étaient en si mauvais état qu'une réimpression immédiate était impossible. Où étaient passés les milliers d'exemplaires qui avaient été imprimés ? Pourquoi n'avait-on pas retrouvé le bon d'expédition ? S'il avait été égaré, et si les magazines avaient été envoyés à une mauvaise adresse, ils auraient dû être retournés à l'expéditeur. Or, ils ne le furent pas. Résultat : 5 000 abonnés ne reçurent pas le magazi ne. Un distributeur qui avait 750 exemplaires à vendre fut porté disparu, et les 750 exemplaires s'éva nouirent avec lui. Les magazines avaient été envoyés avec prière de les retourner en cas de non réception. On ne les revit jamais. Bref, ce fameux numéro de La Terre creuse 15 décembre 1959 disparut complètement. Néanmoins, plusieurs mois après, il était réimprimé et envoyé aux abonnés. Quelle bombe contenait donc ce magazine ? Simplement - et c'était beaucoup - un compte rendu du vol de l'amiral Byrd au-delà du pôle Nord, en 1947. C'était suffisant pour le faire considérer comme dangereux par les forces occultes qui tentaient de mainte nir à tout prix le black-out sur les découvertes de Byrd. La théorie de Giannini. De larges passages du livre de Giannini, Mondes au-delà des pôles, étaient cités dans le magazine. Voici ce qu'écrit Giannini « Depuis le 12 décembre 1929, les expéditions polaires de la Marine U.S. ont constaté l'existence d'une terre indéterminée au-delà des pôles. « Le 13 janvier 1956, alors que ce livre était en prépar ation, une unité de l'Air U.S. pénétrait sur une distance de 3 700 kilomètres au-delà du pôle Sud, qu'on supposait être le bout du monde. Pour des raisons majeures, cette randonnée mémorable fut négligée par la presse qui se contenta de la mentionner brièvement. « Les Etats-Unis, ainsi qu'une trentaine d'autres nations, préparèrent des expéditions polaires sans précédent au cours des années 1957-1958, ayant pour objectif de pénétrer dans cette terre au-delà des pôles.

Lorsqu'en 1926 j'avais émis l'idée d'une terre inconnue s ituée dans les hémisphères Nord et Sud, la presse avait décrété que cette affirmation était encore " plus audacieuse que tout ce que Jules Verne avait jamais imaginé ". » Et il est vrai, en effet, que le monde scientifique ne prêta aucune attention à l'étrange et révolution- naire théorie géographique que Giannini présentait dans son livre. On l'ignora, on la considéra comme une fantaisie sans fondement, un délire relevant de la scie nce-fiction. Et pourtant... Et pourtant les déclarations de l'amiral Byrd n'ont de sens que si on veut bien accepter cette théorie. Giannini écrit « Les extrémités nord et sud de la Terre n'ont pas de fi n réelle. On ne peut pas en faire le tour, au sens propre du terme. Cependant certains vols qualifiés d' " autour du monde " ont cont ribué à entretenir dans l'opinion l'idée fausse que la Terre peut être " circumnaviguée " au nord et au sud. « Franchir le pôle Nord et revenir vers la zone te mpérée, sans en faire le tour, est une chose impos- sible à réaliser. Il en est de même pour le pôle Sud. « L'existence de mondes au-delà des pôles a été confirmée par les explorations polaire s U.S. au long des trente dernières années. La plus importante étant celle du plus vieil explorateur du monde, le vice amiral Richard E. Byrd. » On n'a jamais survolé le pôle. Commentant les déclarations de Giannini sur l'impossibilité de continuer plein nord après le pôle et d'atteindre l'autre côté de la Terre (ce qui serait le cas si la Terre était convexe au lieu d'être concave au pôle), Ray Palmer écrit dans son magazine « Beaucoup de lecteurs croient que des vols comme rciaux franchissent continuellement le pôle et passent de l'autre côté de notre globe. Cela n'est pa s vrai, bien que les officiels des lignes aériennes, quand on les questionne, prétendent le contraire. Et pour quoi n'est-ce pas vrai ? Parce qu'interviennent des manœuvres de navigation qui éliminent automatiqueme nt tout vol en ligne droite au-delà du pôle.  Circumnavigation : voyage maritime (aérien) autour d'un continent. (NA.T.) La Terre creuse  « En examinant le trajet des vols à travers les régions polaires, nous nous apercevons que ce trajet contourne toujours le pôle, ou passe à côté, mais qu'il ne le survole jamais. N'est-ce pas étrange ? Il ne fait aucun doute que si on annonçait un vol passant directement au-dessus du pôle Nord, il attirerait un grand nombre de passagers désireux d'éprouver une sensati on nouvelle. Or, chose bizarre, aucune ligne aérienne n'a jamais offert un tel vol.

Tous les itinéraires passent à côté de ce point stratégique. Pourquoi ? Ne serait- ce pas parce que, si le pôle était vraiment franchi, l'avion, au lieu d'aborder l'autre côté du globe, s'enfoncerait dans cette terre au-delà du pôle, " le centre du Grand Inconnu ", comme l'appelait Byrd ? » Palmer suggère qu'une expédition avançant toujours pl ein nord devrait être organisée, reconstituant le trajet de l'amiral Byrd, et continuant sur sa lancée jusqu'à ce que soit atteint l'intérieur creux de la Terre. Apparemment, cela n'a jamais été tenté. Et pourtant la Marine des Etats-Unis possède dans ses archives un compte rendu des vols et des découvertes de Byrd. Peut-ê tre faut-il chercher la raison de cet oubli dans la nouvelle conception géographique de la Terre au ni veau des régions polaires. Conception qu'il est nécessaire d'accepter pour pouvoir donner toute leur signi fication aux découvertes de Byrd. Et comme, évidemment, les chefs de la Marine n'attachent pas une grande importance à cette théorie - quand ils ne l'ignorent pas -, il leur a été difficile d'apprécier à leur juste et réelle valeur les rapports de l'amiral. Ce qu'a dit plus haut Palmer, concernant les r outes aériennes commerciales qui ne passent pas au- dessus du pôle Nord, semble fondé à la lumière des nouvelles découvertes soviétiques sur le pôle magné- tique. Les Russes ont trouvé que le pôle magnétique n'éta it pas un point, mais une ligne. Cette ligne, nous pensons, quant à nous, qu'elle est circulaire et qu'elle délimite les bords de la concavité polaire. De sorte que n'importe quel point sur ce cercle pourrait être identifié au pôle Nord magnétique. Il serait alors impossible aux avions de traverser le pôle Nord, celui-c i se situant au centre de la dépression polaire, et non à la surface de la Terre. En effet, quand les pilotes croient atteindre le pôle Nord, après avoir fait les corrections habituelles de navigation, ils se trouvent en réalité sur le bord de la concavité polaire, là où se tient le pôle magnétique. Une technique de vol pour entrer dans la dépression polaire, Se référant à l'ouvrage de Giannini, Palmer commente « Ce livre étrange nous fournit la preuve définitive que la Terre revêt une forme étrange aux pôles. Elle n'est pas nécessairement creuse d'un bout à l'au tre, mais se présente un peu comme un beignet qui aurait beaucoup gonflé en cuisant et laisserait apparaître une profonde dépression à chaque extrémité. « Aucun être humain n'a jamais volé directement au-dessus du pôle Nord et continué tout droit. Moi, je pense que ce devrait être fait, et fait immédiatement. Et je voudrais être sûr qu'un tel vol ne se terminerait pas dans une des régions environnant le pôle, exact ement à l'opposé du point de départ. Il serait utile d'apporter un soin particulier à la technique de na vigation. Premier point : éliminer la boussole ou la triangulation sur les cartes existantes, et utiliser uni quement le gyrocompas qui permet de garder une direction droite, constante et invariable depuis l'inst ant du décollage jusqu'à celui de l'atterrissage. Et pas seulement un gyrocompas à plan horizontal, mais un aussi à plan vertical (une fois entré dans l'ouverture polaire). Voilà un point positif, indiscutable. « On sait qu'un gyrocompas horizontal, comme il en ex iste actuellement, permet à un avion de gagner continuellement de la hauteur à mesure que la Terre d écrit une courbe au-dessous de lui. Or, suivant notre théorie de la dépression polaire, cel a signifierait que lorsqu'un avion entre dans cette dépression le gyro- compas devrait indiquer une augmentation d'altitude plus importante que celle qu'il enregistrerait norma- lement, cette différence étant attribuable à la courbure in térieure de la Terre au pôle.

Si l'avion poursuit sa route vers le Nord, cette augmentation d'altitude ira croi ssant ; mais si, par contre, l'appareil essaie de se maintenir à la même hauteur, il suivra la courbe inte rne de la dépression polaire et plongera dans le creux intérieur de la Terre. » La Terre creuse Une série d'articles de Giannini. Voici maintenant ce qu'écrivit Giannini à un lecteur de Soucoupes volantes qui lui demandait certaines précisions « Le bureau de la Recherche navale de New York avait aimablement accordé à l'auteur la permission d'envoyer un message radio à l'amiral Byrd, message ad ressé à sa base arctique en février 1947, et lui souhaitant bonne chance. « L'amiral Byrd venait d'annoncer dans la presse " J'aimerais voir la terre au-delà du pôle. Cette terre est le centre du Grand Inconnu. " A la suite de cela, Byrd et un corps expéditionnaire effe ctuèrent un vol de sept heures sur une distance de 2 700 kilomètres au-delà du pôle Nord considéré comme le " bout " de la Terre. « En janvier 1947, avant le fameux vol, l'auteur réussit à vendre une série d'articles à une agence internationale de presse, et cela uni quement en donnant l'assurance au directeur de l'agence que Byrd irait véritablement au-delà de ce point fictif qu'est le pôle. « Le résultat ne se fit pas attendre. Dès que les ar ticles parurent dans la presse, le bureau des Ren- seignements de la Marine rendit visite à l'auteur. Cette enquête prouvait en tout cas une chose : que les théories révolutionnaires de l'auteur n'étaient pas aussi fantaisistes qu'on voulait bien le croire, et qu'elles trouvaient une confirmation définitive dans le vol de Byrd. « Plus tard, en mars 1958, l'auteur prononça une allocution radiophonique dans le Missouri, dans laquelle il soulignait l'importance de la découverte de l'amiral Byrd. » Evoquant les comptes rendus de la presse new-yorkaise sur l'expédition de Byrd de février 1947, Giannini écrit « Ces dépêches, décrivant le vol de Byrd au-dessus de terres et de lacs d'eau douce, se multiplièrent jusqu'au moment où une censure stricte fut imposée de Washington. » A la porte du Royaume intérieur de la Terre. Un autre écrivain américain s'intéressant aux UFOs , Michael X, impressionné par les découvertes de Byrd, arriva à la conclusion que les soucoupes volantes venaient d'une civilisation avancée à l'intérieur de la Terre. Byrd en avait visité les zones limitrophes. Michael X décrit ainsi le voyage de Byrd « Il y avait une étrange vallée au-dessous d'eux. Cette vallée, bizarrement, n'était pas couverte de glace, comme cela aurait dû être le cas. Elle était verte et luxur iante. Il y avait des montagnes avec d'épaisses forêts, de l'herbe grasse et des broussailles. Encore plus st upéfiant, un immense animal fut observé, avançant dans ces broussailles. Dans une région de glace, de neige et de froid intense, c'était à peine croyable. « Quand l'amiral entra dans ce territoire inconnu, où se trouvait-il en réalité ? A la lumière des théories de Marshall Gardner, on peut répondre qu'il éta it précisément à la porte du Royaume intérieur de la Terre. « L'Alaska et le Canada ont fourni ces derniers temps un grand nombre de témoignages de gens qui avaient aperçu des soucoupes volantes. Y a-t-il un rapport avec la " terre au-delà du pôle " - ce territoire inconnu situé à l'intérieur de notre globe ? « Nous pensons que si les soucoupes volantes sortent de l'intérieur de la Terre, et y retournent en passant par les ouvertures polaires, il est logique qu' elles soient aperçues d'une manière beaucoup plus fréquente par les habitants de l'Alaska et du Canada, ces pays étant évidemment très proches du pôle. » L'Oasis de Bunger.

La Terre creuse  Les observations ci-dessus - qui font état d'une forte concentration de soucoupes volantes dans la région arctique - correspondent à de semblables obs ervations faites par Bender et Jarrold dans l'An- tarctique. Certains experts pensent d'ailleurs que l'Anta rctique sert de base d'atterrissage aux UFOs. Quoi qu'il en soit, suivant la théorie développée dans le présent ouvrage, une chose est sûre : c'est par les ouvertures polaires qu'on peut avoir accès au Monde intéri eur de la Terre, c'est donc par là que passent les soucoupes volantes qui sont les super-engins aériens de ce monde. Aimé Michel, dans sa théorie de la « ligne droite », prouve que les souc oupes volantes ont presque toutes le même type de vol, suivant une direction nord-sud. Ce qui confirmerait encore, s'il en était besoin, leur origine polaire. En février 1947, à peu près à l'époque où l'amiral Byrd accomplissait son vol mémorable au-delà du pôle Nord, une importante découverte était faite dans l'Antarctique, celle de « l'Oasis de Bunger ». Le capitaine David Bunger était aux commandes d'un des six grands appareils de transport utilisés par la Marine américaine pour « l'Opération High-jump » (1946-1947). Il avait quitté la base de Shackleton, près de la Côte de la Reine Marie, dans la Terre de Wilkes, et il volait vers l'intérieur du continent antarctique, lorsque, à environ 6 kilomètres du littoral, il aperçut une région sans glace, avec des lacs. Ces lacs étaient de différentes couleurs. Cela a llait du rouge sombre au bleu profond, en passant par le vert. Ils avaient tous plus de 4 kilomètres de l ongueur. L'eau était plus chaude que dans l'océan. Bunger put le vérifier en posant son hydravion sur l'un de ces lacs. La grève était en pente douce. L'oasis représentait grossièrement un carré. Au-delà, c' était une étendue sans fin de neige éternelle et de glace. Deux des côtés de l'oasis se dressaient à près de trente mètres de hauteur et étaient constitués de grands murs de glace. Les deux autres côtés étaient moins abrupts. La présence d'une telle oasis en plein Antarctique semblerait indiquer dans cet endroit précis des conditions de températures plus clémentes. Tel qu'il en existerait si l'oasis se trouvait justement dans la dépression polaire sud ! On peut di fficilement expliquer autrement les choses. Dire que cela résulte d'une activité volcanique souterraine n'est pas une réponse satisfaisante. Ce territoire sans glace représente une surface d'environ 600 kilomètres carrés, étendue trop im portante pour être affectée par une source de cha- leur volcanique. Les courants de vent chaud en prove nance de l'intérieur de la Terre sont une meilleure explication. Ainsi, Byrd dans l'Arctique et Bunger dans l'Anta rctique ont découvert à peu près à la même époque des régions bénéficiant d'une température presque chaude. Mais ils n'ont pas été les seuls. Il y a quelque temps, un journal de Toronto, le Globe and Mail, publiait une photo d'une vallée verdoyante, prise par un aviateur dans la région arctique . Evidemment, l'aviateur avait pris le cliché en vol et n'avait pas cherché à atterrir.

C'était une belle vallée avec des collines vertes, appartenant certainement à ce même territoire que Byrd avait visité au-delà du pôle. Cette photo fut publiée en 1960. La Terre creuse  Récit d'un voyage à l'intérieur de la Terre. Autre confirmation de la découverte de l'amiral les relations d'individus affirmant qu'ils étaient entrés dans la dépression polaire nord (comme beaucoup d'explor ateurs de l'Arctique le firent sans le savoir) et avaient atteint le Monde souterrain dans l'intérieur creux de la Terre. Le Dr Nephi Cottom, de Los Angeles, a rapporté qu'un de ses patients, un homme d'origine nordique, lui avait fait le récit suivant « J'habitais près du cercle arctique, en Norvège. Un été, je décidai avec un ami de faire un voyage en bateau et d'aller aussi loin que possible dans le Nord. Nous fîmes donc une provision de nourriture pour un mois et primes la mer. Nous avions un petit bateau de pêche muni d'une voile, mais aussi d'un bon moteur. « Au bout d'un mois, nous avions pénétré très avant dans le Nord, et nous avions atteint un étrange pays qui nous surprenait par sa température. Parfois il faisait si chaud la nuit que nous n'arrivions pas à dormir. (Les explorateurs arctiques qui se sont enfoncés dans les régions polaires ont fait de semblables observations sur ces hausses de température qui parfois les poussaient à ôter leurs lourds vêtements chauds. - L'AUTEUR.) « Nous vîmes plus tard quelque chose de si étrange que nous en restâmes muets de stupeur. En pleine mer, devant nous, se dressait soudain une sorte de grande montagne dans laquelle, à un certain endroit, l'océan semblait se déverser ! Intrigués, nous continuâmes da ns cette direction, et nous nous trouvâmes bientôt en train de naviguer dans un vaste ca non qui conduisait au centre du globe. Nous n'étions pas au bout de nos surprises. Nous nous rendîmes compte un peu plus tard qu'un soleil brillait à l'intérieur de la Terre! « L'océan qui nous avait transportés au creux de la Terre se rétrécissait, devenait graduellement un fleuve. Et ce fleuve, comme nous l'apprîmes plus tard, traversait la surface interne du globe d'un bout à l'autre, de telle sorte que si on en suivait le cours jusqu'à son terme on pouvait atteindre le pôle Sud. « Comme nous le constatâmes, la surface interne de notre planète comprenait des étendues de terre et d'eau, exactement comme la surface externe.

Le soleil y était éclatant, et la vie animale et végétale s'y déve- loppait abondamment. « Au fur et à mesure que nous avancions, nous déc ouvrions un paysage fantastique. Fantastique parce que chaque chose prenait des proportions gigantesques, les plantes, les arbres... et aussi les êtres humains. Oui, les êtres humains ! Car nous en rencontrâmes, et c'était des GÉANTS. « Ils habitaient des maisons et vivaient dans des villes semblables à celles que nous avons à la surface, mais de taille plus grande. Ils utilisaient un mode de tr ansport électrique, une sorte de monorail qui suivait le bord du fleuve d'une ville à l'autre. « Certains d'entre eux aperçurent notre bateau sur le fleuve et furent très étonnés. Ils nous accueillirent amicalement, nous invitèrent à déjeuner chez eux. Mon compagnon alla dans une maison, moi dans une autre. «J'étais complètement désemparé en voyant la taille é norme de tous les objets. La table était colossale. On me donna une assiette immense, et la portion qu'elle contenait aurait pu me nourrir une semaine entière! Le géant m'offrit au dessert une grappe de raisin, et chaque grain était aussi gros qu'une pêche. Le goût en était délicieux. A l'intérieur de la Terre, les fruits et les légumes ont une saveur délicate, un parfum subtil. Rien de comparable avec ceux de "l'extérieur". « Nous demeurâmes chez les géants pendant une a nnée, goûtant leur compagnie autant qu'ils appré- ciaient la nôtre. Nous observâmes au cours de ce séjour un certain nombre de choses aussi étranges qu'inhabituelles, toujours étonnés par l'ampleur des connai ssances scientifiques dont faisaient preuve ces gens. La Terre creuse  Durant tout ce temps, ils n'affichèrent jamais la moi ndre hostilité envers nous, et ils ne firent aucune objection quand nous décidâmes de repartir chez nous. Au contra ire, ils nous offrirent même courtoisement leur protection au cas où nous en aurions eu besoin pour le voyage de retour. » Ces géants, de toute évidence, appartenaient à la race antédiluvienne des Atlantes. Ils s'étaient réfugiés à l'intérieur de la Terre pour échapper au déluge qui submergea leur continent. « Le Dieu qui fume. »

Une expérience identique d'une visite à l'intérieu r de la Terre, par l'ouverture polaire, fut rapportée par un autre Norvégien, Olaf Jansen, et consignée dans le livre The Smoky God (Le Dieu qui fume). Ce livre, écrit par Willis George Emerson, est basé sur le r écit fait par Jansen à l'auteur de son extraordinaire voyage. Le titre : Le Dieu qui fume se rapporte au soleil central situé dans l'intérieur creux de la Terre. Etant plus petit et moins brillant que le nôtre, il donne l'im pression d'être brumeux, comme entouré d'un nuage de fumée. Le livre relate la véritable expérience d'un Norvégien et de son fils qui, dans leur petit bateau de pêche, tentent avec un courage indomptable de trouver « la terre d'au-delà du vent du nord », dont ils ont entendu vanter la douceur et la beauté. Une extraordinaire te mpête les projette dans l'ouverture polaire, et ils se retrouvent à l'intérieur de la planète où ils vont séjour ner deux ans, pour ensuite revenir par l'ouverture opposée, au pôle Sud. Là, malheureusement, un iceberg coupe en deux le bateau. Le père est tué. Son fils est sauvé de justesse. Mais il passera vingt-quatre années de sa vie en prison, incarcéré pour déficience mentale. Personne n'avait cru à son histoire. Une fois relâché, il se garda bien de reparler de son aventure. Il devint pêcheur pour gagner sa vie. Au bout de vingt-six ans, ayant économisé assez d'argent, il partit pour les Etats-Unis, s'établit dans l'Illinois, et ensuite en Californie. Il avait près de 90 ans lorsque , par hasard, l'écrivain Willis George Emerson fit sa connaissance et devint son ami. Le vieillard lui rac onta alors la fantastique aventure de sa jeunesse, lui montra les cartes qu'il avait dressées de l'intérieur de la Terre. Il n'avait jamais osé reparler de cela, de peur qu'on le prenne de nouveau pour un fou et qu'on l'enferme. Mais maintenant la mort était proche, et puis Emerson était son ami. Alors... Alors le vieillard mourut, et le livre Le Dieu qui fume, racontant son étrange périple, parut en 1908. Il y est question des gens qui habitent l'intérieur de la Terre, et que lui, Olaf Jansen, et son père ont rencontrés. Ces êtres vivent de 400 à 800 ans et possèdent une science très avancée. Ils peuvent se transmettre leurs pensées en utilisant certains types de radiations, et ils possèdent des sources d'énergie plus puissantes que l'électricité. Ainsi ces engins aériens qu'ils ont mis au point, et que nous appelons soucoupes volantes, sont-ils propulsés par une énergie supérieure, tirée de l'électromagnétisme de l'atmo sphère. Quant à leur stature, elle est tout aussi remarquable. Ils mesurent entre trois et quatre mètres de haut. Il est intéressant de noter combien ce récit recoupe cel ui que nous avons cité plus haut. Pourtant ils sont tout à fait indépendants l'un de l'autre. De la même façon, la taille gigantesque des êtres humains correspond à celle des animaux, comme l'a mis en lumière l'amiral Byrd, qui, au cours de son vol au-delà du pôle Nord, aperçut un animal monstrueux ressemblant à un mammouth. Nous présenterons plus tard la théorie de Mars hall Gardner, selon laquelle les mammouths découverts gelés dans la glace ne sont pas, comme on le croit, de s animaux préhistoriques morts il y a des milliers d'années, mais d'énormes pachydermes vivant actuellement à l'intérieur de la Terre.

 
 
RAYMOND BERNARD
LA TERRE
CREUSE
La plus grande découverte géogr
aphique de l'histoire humaine
Traduit de l'américain par
ROBERT GENIN
Edition originale américaine THE HOLLOW EARTH
1969 by University Books Inc., New York.
© Editions Albin Michel, 1971.
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27 décembre 2013

Découvertes au Rwanda de sépulture de créatures gigantesques qui ressemblent peu aux humains.

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Une équipe d'anthropologues a trouvé une sépulture mystérieuse dans la jungle près de la ville de Kigali au Rwanda (Afrique centrale). Le reste appartient à des créatures gigantesques qui ressemblent peu aux humains. Chef du groupe de recherche estime qu'elles pourraient être les visiteurs d'une autre planète qui est décédé à la suite d'une catastrophe.

Selon les scientifiques, ils ont été enterrés à au moins 500 ans. Dans un premier temps, les chercheurs pensaient qu'ils ont découvert les restes d'anciennes colonies, mais aucun signe de vie humaine ont été trouvés à proximité.

Le 40 fosses communes avait environ 200 cadavres en eux, tous parfaitement conservés. Les créatures étaient grands - environ 7 pieds. Leurs têtes étaient disproportionnées et ils n'avaient pas la bouche, le nez ou les yeux.

Les anthropologues croient que les créatures ont été membres d'un atterrissage extraterrestre, probablement détruit par un virus terrestres pour lesquels ils n'avaient aucune immunité. Toutefois, aucune trace de l'atterrissage du vaisseau spatial ou de ses fragments ont été découverts.


Ce n'est pas la première constatation de telles découvertes . À l'été 1937, un groupe de scientifiques chinois menés par le professeur Chi Putei interrogés les grottes du mont Bayan-Kara-Ula. A l'intérieur ils ont trouvé des squelettes avec des têtes trop grandes et les organes chétifs. A proximité il ya eu 176 plaques de pierre. Dans le centre de chaque assiette il y avait un trou à partir de laquelle une rainure en spirale répartis sur le périmètre avec des personnages sur elle.

En outre, les parois des grottes ont été couverts avec des images du soleil levant, la lune et les étoiles, avec de nombreux points peints ou de petits objets, s'approche lentement de la montagne et la surface du globe.

Les experts dans le déchiffrage des caractères anciens écrits ont été intrigués au cours de la divulgation de secrets les spirales de la grotte de Bayan-Kara-Ula depuis deux décennies. Enfin, le professeur de l'Université de Pékin Zum Umniu déchiffré plusieurs inscriptions.

Les lettres rainuré rapporté que quelque 12 mille ans des objets volants se  sont  écrasé dans ces montagnes. Archéologues chinois ont découvert une mention des peuples qui vivaient dans les grottes montagneuses de Bayan-Kara-Ula.

Un cadavre d'un autre "étranger" a été trouvé par des spéléologues turc. Une momie de l'ère glaciaire se reposait dans un sarcophage en matériau cristallin. La hauteur de la créature humanoïde mâles ne dépassent pas 1 mètre 20 centimètres, sa peau était vert clair, et il avait de grandes ailes transparentes sur ses côtés.

Selon les chercheurs, en dépit de l'aspect inhabituel de la créature ressemblait davantage à une personne plutôt que d'un animal. Son nez, lèvres, oreilles, mains, pieds, les ongles, sont très semblables à l'homme. Seuls ses yeux étaient très différentes, trois fois plus grandes que celles d'un humain, et incolore, comme des yeux de reptile.

Il n'ya pas longtemps dans l'un des tombeaux anciens égyptiens une momie d'un homme de 2,5 mètres de haut a été trouvé. Il n'avait pas de nez ou les oreilles, et sa bouche était très large et n'avait pas la langue.

Selon l'archéologue Gaston de Villars, l'âge de la momie est d'environ 4 mille ans. Il a été enterré comme un noble égyptien - soigneusement momifiés et entouré d'objets domestiques, alimentaires et de l'art conçu pour l'au-delà. Cependant, comme il a été découvert, et non pas tous les objets autour de la recherche appartiennent à la culture égyptienne ou même de la Terre. Par exemple, parmi les découvertes était un disque rond en métal poli recouverte d'étranges personnages, un costume fait de métal avec les restes de quelque chose ressemblant à des chaussures en plastique, et de nombreuses tablettes de pierre rempli d'images d'étoiles, de planètes et de machines étranges. Le Sanctuaire, où une momie étrange a été trouvée examine aussi inhabituel. L'inhumation a été faite de la matière inconnue dans l'antiquité. La pierre a été littéralement sculptés dans la roche afin que les murs étaient lisses, comme le marbre poli. Il a regardé comme si il était coupé par un laser. Incidemment, la surface de la pierre a été fusionné. Le tombeau a été décorée avec une avance de substance ressemblant.

Cependant, les «étranges» théorie ne sont pas  les seules. Selon certains chercheurs, les «géants» et «nains» pourrait être une branche latérale simple de l'humanité qui ont vécu sur Terre, mais pour quelque raison que se sont éteints. ces récits sont clairement expliqués dans les livres anciens ces races venus du ciel certes ou plutôt tombés du ciel car exclut  pour une rébellion contre la création ils vinrent en légion et s'installèrent aux quatre coins du monde en jurant qu'ils installeraient la corruption a travers le monde ,ils y sont plutôt bien arrivés quand on voit l'état de notre planète ce sont ces génies qui enseignèrent aux hommes les plus grands secrets de l'univers ,les mathématiques ,l'astrologie,la magie, et la musique de leur chef PAN. il est amusant que la compagnie PAN américaine rende un si bel hommage a cette histoire dans l'ignorance totale  du plus grand nombre ......

.pravda.ru/science/mysteries/

27 septembre 2013

l'Équateur annonce que les OVNIS existent !

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Le gouvernement de l'Equateur a annoncé la déclassification des documents relatifs aux relations avec environ 44 rapports d'observations d'ovnis faites par des témoins officiels. Maintenant, le président de l'actuel gouvernement, a publié une dépêche officielle, dans laquelle il a ouvertement dit que les OVNI existent et ne sont pas une menace pour l'instant!Le CEIFO est la Commission Equatorienne pour l’Investigation du Phénomène OVNI, crée par le ministère de la défense le 5 avril 2005. Il est depuis géré sous la coordination nationale de l’ufologue Jaime Rodriguez.

A partir du 13 mars de cette année seront déclassifiés les 44 premiers témoignages officiels du CEIFO. C’est ce qu’annonce Jaime Rodriguez dans une lettre envoyée le 16 mars dernier à l’ufologue mexicaine Ana Luisa Cid.

Pour chacun de ces témoignages de militaires, le CEIFO a crée un mini-reportage vidéo avec interviews et reconstitutions des évènements.

Voici les premières vidéos sur les 44 qui seront publiées :

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Réunion secrète à l'arrivée des aliens sur laterre!
Ces nouvelles viennent du professeur Michael Salla, l'Université américaine à Washington, . Il a affirmé avoir reçu un email de deux collègues de confiance (Clay et Shawn Pickering) Clay & Shawn Pickering ont été interviewés par le Project Camelot pendant 4 heures. Ils communiquent sur le forum Open Minds depuis le printemps 2008, et sont à l’origine de l’information qui a circulé sur les possibles réunions secrètes aux Nations-Unies, en février de l’année dernière.

Ils reviennent sur leurs nombreux échanges avec un informateur de l’US Navy, surnommé la ‘Source A’. Celui-ci leur raconte depuis plusieurs mois que des agences sont en contact avec deux sortes d’aliens : une forme de vie étrange et très avancée,, mais aussi des représentants d’un race reptilienne particulièrement impressionnante.( oui oui en connais le refrain pas tant de blabla pour nous cacher que ce sont des demons )
. Il semble qu'un certain nombre d'États-nations sont préoccupés par l'impact d'observations d'ovnis ont augmenté et que vous souhaitez être informé de ce qui se passe. Leur source d'information, qui travaille actuellement sur le corps diplomatique, a dû Voyage tôt le matin pour assister à la réunion à l'Organisation des Nations Unies.

D'ores et déjà il apparaît que le compte à rebours est en cours à la divulgation officielle autour de 2013, et que les États-nations et l'ensemble des Nations Unies ont été informés. . Le processus d'acclimatation va s'accélérer au cours des cinq prochaines années, observations d'ovnis augmentation partout dans le monde forçant les gouvernements à faire des déclarations politiques publiques sur les OVNIs et sur la vie extraterrestre. En outre, la source affirme que les Russes sont très préoccupés par la question, ainsi que d'autres États nationaux sont concernés. Il est prévu  que le secret sur les ovnis seront  révélés officiellement fin  2013

7 septembre 2013

Pour qu'elles raisons assiste- t -on à la multiplication d'information sur le risque des comètes

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Un épandage de gaz ensuite on crée la forme en modulant la fréquence puis on fait vibrer les particules qui émettent alors de la lumière......il n'ya rien extraterrestre la dedans quand on nie dieu on parle de hasard ou de la nature et quand on comprend pas une chose on met dessus le mot ufo ou ovnis il serait plus simple de dire je ne sais pas non et chercher les causes au lieu de se focaliser sur les faits .....un super néon en fait sans verre , Tesla  éclaira le ciel en pleine nuit de" la ville ou il habitait  sans fils electrique ni ampoules ce phénomène serait issu de ses brevets .........

Pour qu'elles raisons  assiste- t -on  a la multiplication de ces essais et phénomènes inexpliqués lumineux  c'est en voyant la forme finale de ces phénomènes que m'est apparue   la réponse elle parait claire lorsque nous rejoignons les points entre eux

1ere question pourquoi nous parles t on de Ison et des comètes à venir ...

La seul réponse pour nous conditionner aux risques de ces objets célestes , il y'aura des millions de mort et qui viendra accuser qui que ce soit ....il est flagrant que les essais ressemblent  a une comète qui traverse la terre ........ces tirs sont des essais grandeur nature tout bêtement pas la peine de parler d'extraterrestres ou de quoi que ce soit arrêtons de regarder commençant a voir au delà de ce qu'on nous montre..

Je pense que ce test a pour but de créer un leurre de comète qui traversera la terre et frappera une zone précise une guerre des étoiles ou l'ennemi n'aura pas de nom ........ce serait par exemple une bonne manière d'anéantir un ennemi trop puissant comme la chine c'est plus facile que de l'envahir et le pire il y'aurait aucune riposte qui blâmera la comète .ou de frapper un continent pour l'affaiblir et réduire sa population....et les plus stupides diront plein  de gloriole " vous voyez je vous l'avait dit  sans savoir qu'ils sont manipulés a n'en plus pouvoir....Je pense que la manière la plus efficace de lutter contre ces infos bidons c"est de systématiquement les nier ou ne pas en faire échos regardez ce que font les médias avec les vrais évènements silence radios retournons l'internet contre eux parce que hélas 90% des blogs influents travaillent pour le système et le reste font la promotion de fausses infos en répétant comme des perroquets , trop occuper a se gargariser de leur visiteurs qui augmente au lieu de se focaliser sur la vie et son amélioration ainsi que  sa préservation , il faut se libérer de ces infos nauséabondes qui pullulent et discréditent la toile dans laquelle la plupart sont captifs ;   Il faut boycotter les sites qui passent leur temps a faire peur et qui ne puise  leur source que chez les gros leaders d'opinions américains ainsi ce sera plus efficace pour ne plus répandre le mensonge , internet ne serait plus la machine à énergie dirigée contre les populations car chaque pensée est de l'énergie il faut arrêter de nourrir les ténèbres de ce monde répandons sa lumière , celle du coeur  .et de l'esprit.

Vos pensées servent de catalyseurs de ces évènements n'y participez plus vivez et libérez vous des chaînes qui freines votre humanité et votre éveil ,expérimenter de nouvelles façons de penser pour devenir un humain complet au service de l'humanité .Godbless.

source : Rusty james

19 août 2013

Le Secret des Phénomènes ovnis et Ultra terrestres par john keel

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En 1967, Keel abandonne assez rapidement l'HET et développe la théorie alternative d'ultra-terrestres. Selon Keel, ceux-ci sont des intelligences malignes d'une autre dimension d'existence, capables de pénétrer dans notre réalité selon leur bon gré et de se consacrer à leur passe-temps favori : soumettre l'humanité à la terreur et la misère.

    J'ai abandonné l'hypothèse extraterrestre en 1967 lorsque mes propres investigation dans le domaine ont dévoilé un étonnant recouvrement entre les phénomènes psychiques et les ovnis. Mes découvertes furent très impopulaires à l'époque, mais dans les années qui suivirent, la plupart des enquêteurs européens, et nombre des scientifiques américains impliqués dans le sujet, ont vérifié et accepté mes conclusions.

Etrangement , une grande part du conte ovni est subjective et de nombreux événements supposés  liés aux ovnis sont en fait le produit d'un processus hallucinatoire complexe, en particulier dans les rapports de contactés et de type RR3. Le même processus a stimulé les croyances religieuses, les contes de fées, et les systèmes de croyances occultes d'autres siècles.

    Un très petit pourcentage d'observations (peut-être moins de 2 %) et d'événements indiquent que d'autres phénomènes étranges, mais naturels, sont souvent inclus, ou absorbés, dans les données ovni.

    Bien que nous ne puissions expliquer de manière satisfaisante l'ensemble des événements ovni en terme de connaissance et de technologie du jour présent, je pense que l'ultime solution va évoluer en un système complexe de nouvelle physique liée aux théories du continuum espace-temps. Il est possible, voire même très probable, qu'un système de contrôle cosmologique subtil soit en effet depuis l'aube de l'humanité et que les ovnis soient une partie de ce système.

    Les objets et apparitions ne proviennent pas nécessairement d'une autre planète et pourraient même ne pas exister en tant que constructions permanentes de matière. Il est plus probable que nous voyions ce que nous souhaitons voir et interprétons de telles visions d'après nos croyances contemporaines. Le problème peut être réduit à une série de questions philosophiques difficiles et pourrait être exploré par des scientifiques du comportement et des mathématiciens.John A. Keel

Keel enquête sur des milliers de signalements d'observation d'ovnis, depuis son implication dans la communauté du renseignements américain il y a plusieurs années, les stockant sur ordinateur afin de rechercher d'éventuelles répétitions ou parties similaires entre différents rapports.

Concernant la récurrence et la concentration de manifestations ovnis dans une zone géographique et temporelle, Kell développe la théorie de "zones fenêtres" par lesquelles les ovnis pourraient "entrer" dans notre monde physique.

Keel est en pseudo-retraite depuis 1988. Il réside à New York. En 2002, son rôle est tenu par Richard Gere dans le film de Mark Pellington inspiré de son livre sur le mothman.

Il décède le 3 juillet 2009.

Bien que je ne peux pas honnêtement dire que je pense de l'histoire; comme Fox Mulder, je crois. que Je suis devenu fasciné par l'idée que les extraterrestres ne seraient en fait que des manifestations de créatures qui peuplaient la terre avant l'homme et a qui l'ont doit probablement les monuments pyramidales et temples construit pour les honorer à savoir que le chef de ces djinn se nomme satan pour memo et non un ange déchu comme aime à le dire l'eglise catholique romaine .....


Ces invisibles hantent l'esprit humains depuis la nuit des temps vous les retrouvé dans les manifestations de polteigeist fantomes ovnis et possession pour faire simple

Genie (en arabe: djinn, ou djinn) est une créature surnaturelle dans la mythologie pré-islamique et islamique, qui (selon la mythologie) occupe un monde parallèle à celui de l'humanité, et ensemble avec les humains et les anges qui constitue les trois créations sensibles de Dieu (Allah). Selon le Coran, il ya deux créations qui ont le libre arbitre: les humains et les djinns. sources religieuses ne mentionnent pas grand-chose, mais le Coran mentionne que les djinns sont faits de la flamme sans fumée, et leur forme étant tout proche de l'homme, qui peut aussi être bon ou mauvais.

voila un court passage traduit du livre écrit par Rosemary Ellen Guiley and Philip Imbrogno.

Les djinns ont la capacité de prendre de nombreuses formes et de changer d'apparence, ils peuvent prendre une forme humaine ou animale, comme une vache, un scorpion, un serpent, un oiseau .... Le chien noir avec une tache blanche sur la tete  est le diable des chiens et les djinns apparaissent souvent sous cette forme. Ils peuvent aussi apparaître sous la forme d'un chat noir.

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Quand un djinn prend une forme humaine ou animale, il obéit aux lois physiques de cette forme, par exemple, il sera possible de voir ou de le tuer avec un coup de feu ou de le blesser avec un couteau. Pour cette raison, le djinn peut rester dans ces formes que pour un court laps de temps, car ils sont vulnérables. En fait, ils bénéficient de leur invisibilité pour effrayer les gens.

Q: Est ce que les -djinns sont  mâle ou femelle?

A: Oui, il ya des mâles et des femelles parmi les djinns. , les djinns ont la capacité de procréer et peuvent  avoir une descendance.

Q: Est-ce que le djinn est responsables de ces actes?

R: Tout comme les humains, les djinns sont responsables de leurs actes.
 les djinns respectent  des obligations par rapport à leur nature spécifique. Etre différent des êtres humains, leurs fonctions sont inévitablement différents, aussi.

Ils ont des croyances religieuses, aussi. Comme les êtres humains, ils peuvent être chrétiens, juifs, non-croyants ou des musulmans. Les musulmans parmi eux sont tout comme les musulmans parmi les hommes, certains sont pieux, d'autres sont mauvais.

Q: Estce que le -djinn a peur des humains?

A: Le djinn et les hommes se craignaient mutuellement,mais les premiers hommes qui les utilisèrent pour faire de la magie leur donnèrent une grande importance et dela le djinn compris qu'il pourrait dominer les hommes par la crainte et les djinns ont été en mesure de susciter la peur plus intensément sur  les hommes. Les djinns sont des êtres plus craintifs par nature, mais ils peuvent aussi  ressentir des émotions humaines comme la colère ou la tristesse. En fait, le bénéfice est tiré par le djinn de nos s États, étant mieux à même de provoquer la peur dans le cœur de l'homme. Comme de mauvais chiens, quand ils sentent la peur, ils vont t'attaquer. ( la nuit avec le sentiment d'oppression  que vous avez un jour ressenti qui vous amène à la peur et vous vous réveillez terrorisé c'est eux ..pas un cauchemard .....il se sert de votre peur pour vous dominer .demandez autour de vous le nombre de personne qui ont révé d'un chien noir   vous serez surpris )


Les fascinantes œuvres d'Evans-Wentz, The Fairy Faith dans les pays celtiques et Robert Kirk, Le Secret du Commonwealth des elfes, faunes et fées sont des ressources inestimables pour la recherche.

La meilleure façon de résumer ce que j'ai pu glaner (et ma recherche est loin d'être exhaustive) est à l'état des fées, elfes, etc ont une existence distincte de celle encore qui se chevauchent avec l'humanité. Ils ont leur propre société, la religion et de la technologie.

Vallée et chronique des œuvres de Keel nombreuses similitudes entre les traditions de fées médiéval et moderne jours contactés OVNI. Malheureusement je n'ai pas pu recueillir autant d'information sur le djinn jusqu'à ce que je sois tombé sur ce site lors de recherches sur la fin de Ted Owens, l'homme PK,

http://www.thejinn.net/

voici la vidéos qui introduit un livre fort bien documenté ,il est étonnant que l'on nous bassine d'ovnis et d'ET alors que pas un mot sur ces djinns qui existent depuis la nuit des temps personnellement je pense que les civilisations païennes adoraient ces djinns et vivaient avec eux ,,en égypte par exemple il est flagrant de voir leur divinité ne sont en fait que des génies  ,en Amérique latine tous les serpents et dragons d'asie ne sont que des représentant de ces djinns polymorphe ,et la magie servirait à faire appel à ces invisibles pour leur demander de l'aide pour la réalisation de tel ou tel projet ou sort....Alors le secret de l'humanité serait caché parce que si elle découvrait  l'existence de ces djinns les gens comprendraient que Dieu existe car il les a crée  ,voila peut être la plus grande raison pour laquelle vous n'entendrez donc jamais parlé de cette histoire ,mais plutôt d'extraterrestres hostile face à laquelle l'humanité devra s'unir pour y faire face  un indépendance day planétaire le V de leur Victoire en fait............

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faites vos recherches avant de nier sans preuves ne soyez pas imbus de vos préjuges accumulés lors de votre éducation (conditionnement)

qui a fait de votre intelligence un serviteur docile et de votre intuition un aveugle hostile.R James.

7 février 2013

Discussion à Davos 2013 découvrir une vie extraterrestre pour sapper les fondements des religions

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Il n’y avait pas que des sujets économiques traditionnels à l’agenda du Forum économique mondial de Davos. L’utilisation incontrôlée du génie génétique, les possibilités de la médecine en ce qui concerne le cerveau humain, la prolongation artificielle de la vie humaine et l’existence des civilisations extra-terrestres ont aussi fait partie des débats. La discussion, préparée avec le soutien du magazine Nature, porte le nom de X-factor et ressemble plus au scénario d’un film de science-fiction.

Selon les scientifiques, bientôt, grâce à des produits pharmaceutiques, l’humanité pourra jouir de super-pouvoirs. Vu que les scientifiques travaillent déjà à l’élaboration de traitements contre des maladies telles que la maladie d’Alzheimer et la schizophrénie, alors il est tout à fait probable qu’il y aura des médicaments qui pourront stimuler l’activité cérébrale de tout un chacun. Il existe déjà aujourd’hui des psychostimulants (Ritaline et modafinil), qui accélèrent l’activité cognitive cérébrale. Même si ces traitements sont prévus à l’origine pour les personnes atteintes de maladies mentales, ils pourront être utilisés par celles en bonne santé, afin qu’elles puissent mieux mémoriser des informations et montrer de bons résultats au travail et dans les études.

Les scientifiques sont d’accord sur le fait que le développement des super pouvoirs chez l’homme est possible à l’aide d’instruments électroniques de haute technologie : les expériences ont démontré qu’il était possible d’améliorer le fonctionnement du cerveau et de la mémoire en incorporant dans l’organisme des capteurs électroniques. Toutefois, cette méthode est complexe du point de vue technologique et, contrairement à des médicaments, ne devrait pas être accessible à l’homme moyen. Néanmoins, les scientifiques estiment que d’ici 10 ans, la neurobiologie va atteindre un nouveau palier et les capteurs et les senseurs électroniques iuits peuvent-ils être vendus librement et faut-il pour cela une base légale ?ntracérébraux vont être répandus partout. Une question se pose : est-il éthique de diviser la société entre ceux qui peuvent se permettre d’améliorer leur activité cérébrale et ceux qui ne le peuvent pas ? Ces prod

De plus, il y a un grand risque que ces préparations soient utilisées dans un but lucratif. En agissant sur le système neurotrophique humain, elles ne font pas que stimuler la mémoire et l’activité cérébrale, mais elles influent sur l’état psychologique de la personne qui en prendrait, la rendant plus malléable et vulnérable. De plus, cette technologie permet d’effacer la mémoire, ce qui peut avoir des effets sans précédent sur l’activité cérébrale humaine.

Les problèmes, de plus en plus nombreux, dus à l’augmentation de l’espérance de vie ont aussi fait l’objet de discussions. Les nouveaux progrès en médecine ont permis d’augmenter la longévité de l’homme de 35 %. C’est bien, mais cela est accompagné de dépenses importantes en matière de prestations sociales et du surpeuplement de la planète.

Les spécialistes estiment que la seule solution est l’euthanasie des personnes d’un âge assez avancé, parce que, grâce au progrès de la médecine, même les personnes les plus faibles et les plus malades pourront vivre jusqu’à 90-100 ans, ce qui va à l’encontre des lois de la nature, où seul le plus fort survit.

Mais le thème du débat le plus ambigu porte sur l’existence des civilisations extra-terrestres. De nombreux dirigeants mondiaux ont plus d’une fois fait des déclarations sur l’existence des extra-terrestres. Ainsi, lors d’un entretien avec les journalistes en décembre 2012, le Premier ministre russe Dmitri Medvedev a dit avec humour : « Je ne vais pas vous dire combien ils [les extra-terrestres] sont parmi nous, cela provoquerait la panique. » Cependant, l’intérêt que l’on porte à l’existence des civilisations extra-terrestres ne s’arrête pas là. La présence de ce thème à l’agenda du Forum de Davos le montre bien.

Les experts du Forum sont d’avis que, suite à la conquête de l’espace, l’humanité découvrira des civilisations extra-terrestres et des planètes habitées. C’est pourquoi ils appellent la communauté internationale à s’y préparer et à évaluer les risques probables d’une telle rencontre. Il faut également créer des services spéciaux dédiés à la recherche de civilisations extra-terrestres, qui aideront à prévenir les menaces venues de l’espace.

Toutefois, les experts pensent que, même si l’on découvre une intelligence extra-terrestre, cela ne changera pas considérablement la vie des êtres humains. Bien que cette découverte serait sensationnelle, il est peu probable qu’elle ait un effet immédiat sur la vie sur Terre, mais elle changerait la conscience psychologique et philosophique des hommes. La seule découverte d’un germe de vie sur une autre planète provoquera des discussions sur la possible présence de vie dans l’univers, ce qui à son tour pourrait saper les fondements de la philosophie et de la religion.

Ben voyons on comprend mieux pourquoi ils font semblant de chercher une vie extraterrestre ils finiront par nous dire çà y'est on a trouvé et alors si il ya un créateur pourquoi n'aurait t il crée que nous si son pouvoir est infini evidemment seul les sceptiques tomberont dans le piège une petite piqure de rappel pour bien comprendre ce qui nous attend ainsi vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas ....

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