Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
rusty james news
rusty james news
  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog

 

90243223_3015402811831487_8561877086778687488_o (1)

3323033

coronavirus-patentes

images (19)

219-2199429_love-heart-beautiful-wallpapers-happy-valentines-day-nature

1025600_652515874786871_1894874949_o


nVskOPKB

téléchargement (100)

universal-biometric-identity-1024x576

91848411

téléchargement (11)

tree_horizon_sunset_128367_5000x2830

f04543b60ef77267e2b31c5f3920fbb0

photo-1542805700-2fadb851b97a

qxJUj0O

 

pIHMc8u

7kKizZj

ZcuYl3V


sea-beach-sunset-boats-red-sky-1080P-wallpaper-middle-size

night-sky-background-7047

sky-wallpaper-38

18557077_1435376306500820_5842715664996553589_n

 

 

798041343248-national-geographic-wallpaper-zealand-photo-waikawau-desktop-bigest-images

Firefox_Screenshot_2017-02-18T13-56-14

16195622_1077703329024709_5740688279216232976_n

sf

 

Pyramides-Gizeh

atlantide-compressor

Ancien-arbre-1

Ancien-arbre-2 - Copie

Ancien-arbre-3 - Copie

h21

h25

h25

h26

h27

SDSDS

SZSDFZFS

ZDZD

931270ecd7_50010171_bohr-heisenberg-aip-niels-bohr-library

don

 

1a686c3b37ddba12f5e282679288047b

62e74d09a526f5250c3c16f5bbb7d342

3a2057e1930aac61c9451db179973253

5aa85f74b15975d75e8a6d4e547b40b0

5c3e0b7842f37a0d63504d0a032ca422

5f6fce1a34d9027bdedb78ef0658a5af

9dbf5fc4a80275b619f44e3e7a8314d2

a37cf9c85664975cf3660c8f21f70899

a96a954487d536bd6f75942a6d02f5b9

a977356a4e04ae0cdaf4c67ca90d1939

ad9ee9f2e4a1d0e83945b78313c60f27

b7e27913185d0679a669ce0f634d95f0

Archives
videos
21 mars 2020

Décryptage des principes et rites satanique franc-maçon

freemasonry-display

ÉSOTÉRISME : Décryptage des principes et rites satanique franc-maçon

 
L’ordre secret et fraternel de la franc-maçonnerie, étendu sur l’Empire Britannique, compte aujourd’hui 5 millions de membres; 3 millions aux États-Unis, dont 250,000 maçons noirs de la loge « Prince Hall » (rejetée par beaucoup de loges franc-maçonnes blanches).
-Quelques maçons la définissent comme « un beau système de moralité voilée dans l’allégorie et illustré par des symboles »… Également comme « laréalisation de Dieu par la pratique de la Fraternité » : atteindre Dieu en ayant de bons rapports avec son voisin…
… Elle a été décrite comme « la plus grande, la plus riche, la plus secrète et la plus puissante force privée dans le monde »…
Et certainement : 
 « la plus trompeuse » :
Et  pour le grand public et pour les 3 premiers degrés « d’initiation : apprenti, compagnon et maître maçon (base des » Loges bleues« )… ceux qui sont introduits sont expressément trompés! On leur fait croire qu’ils savent quelque chose, alors qu’ils ne savent rien de la vraie maçonnerie… 

Dans les propres mots d’Albert Pike, dont le livre « Morales et  Dogmes » est la « bible » de la maçonnerie, » une partie des symboles sont divulgués à l’initié mais, ce dernier est intentionnellement induit en erreur. On ne veut pas qu’il les comprenne. Leur vraie explication est réservée aux érudits, aux princes de la maçonnerie… C’est bien assez pour la plupart de ces maçons de croire que tout est contenu dans les degrés bleus « (« Morales et Dogmes « , p.819).
Maçonnerie : (Vient du français tailleur de pierre »), débute au 13ème siècle avec  » l’Union des Ouvriers » des constructeurs de cathédrales pour s’entraider ; c’était « des travailleurs » ou « de vigoureux maçons », qui se réunissaient en loge.
Franc-maçonnerie : L’histoire de la Franc-maçonnerie peut se diviser en trois périodes :  
Il a existé tout d’abord une maçonnerie dite opérative, qui ne comportait que des gens du métier de la construction.
Dans un deuxième temps, ces loges vont recevoir des hommes étrangers au métier mais de qualité, qui deviendront des « maçons acceptés ».
Enfin, les loges perdront tout caractère opératif, pour devenir purement spéculatives.
Il convient de rappeler rapidement ce qu’est la « maçonnerie du métier ». Elle est liée à la construction. Il faut noter que, de tous temps, les bâtisseurs ont eu le sentiment de faire œuvre sacrée. Citons, au sujet des bâtisseurs de cathédrales, ces lignes d’Albert Lantoine, historien de la Franc-maçonnerie : 
« Cet art qui consistait à proportionner les diverses parties d’un monument, à dresser des flèches et des clochers audacieux, à courber des voûtes grandioses, sur lesquelles, le son, loin de s’atténuer, prenait une ampleur plus harmonieuse, semblait un art magique. »
Ces « maçons opératifs » se déplaçaient de ville en ville et n’avaient pas de local permanent. Ils utilisaient, pour entreposer leurs outils, se réunir, s’instruire, préparer leur travail ou se détendre, des locaux appelés loges. On les appelait Francs-maçons parce qu’ils n’étaient pas assujettis à un fief. Ils étaient francs, c’est-à-dire libres.
Ces « Francs-maçons opératifs » observaient un certain nombre de règles qui avaient pour but aussi bien de respecter les normes de qualité et de morale, que de préserver les secrets du métier. Leurs obligations comportaient aussi des devoirs de solidarité. C’est cette « Franc- maçonnerie opérative » qui va se transposer en « Franc-maçonnerie spéculative » aux XVIIème et XVIIIème siècles,adoptant les rites et les attributs des religions antiques, des ordres, des sectes, adoptant l’occultisme, et des fraternités chevaleresques à caractère initiatique.
Les obligations des « Francs-maçons opératifs » deviennent une Loi morale ; les outils de la construction deviennent des symboles, et la promotion sociale des ouvriers bâtisseurs se transpose en amélioration morale, spirituelle et matérielle de la société.
Le 24 juin 1717, jour de la Saint-Jean, les membres de quatre loges londoniennes se réunissent et fondent la Grande Loge de Londres, première fédération de loge maçonnique. En 1721, le grand maître de la loge de Londres demande à James Anderson, pasteur de l’église presbytérienne écossaise, de compiler les Old charges (Anciens devoirs) des maçons et de rédiger de nouvelles constitutions.
En 1723, James Anderson publie à Londres les Constitutions of Free-masons. L’implantation par les anglais des loges maçonniques en France se situerait vers 1730, elles y préparèrent et anticipèrent la Révolution et la Terreur.
En 1738, la première obédience française fédération des loges voit le jour. C’est la Grande Loge de France. En 1773 apparaît une obédience rivale, le grand Orient de France.
Si, en 1738, la Grande loge de Londresse proclame Grande loge d’Angleterre, c’est qu’elle compte alors des loges à travers tout le pays, et même dans ses colonies, en Amériques du Nord, au Canada et aux Indes. Les Anglais vont l’exporter jusqu’en Turquie, en Chine et même jusqu’au Nicaragua. Partout en Europe, c’est la contagion avec les pays bas comme le Luxembourg et la Hollande. Sont touchés aussi l’Allemagne, l’Autriche, la Hongrie, la Bulgarie, la Roumanie, la Grèce. La Suisse, tout l’empire de Russie, l’Europe méridionale et notamment, le Portugal. 
La franc-maçonnerie compte différents rites et rituels. Au nombre des rites encore en usage aujourd’hui, on trouve d’abord :
le rite écossais ancien et accepté, le plus pratiqué au monde. Né en France au début du 18e siècle, ce rite est composé de trente-trois grades.
le rite écossais rectifié remonte aussi au 18e siècle mais il comprend six degrés.
le rite français dit aussi rite moderne qui a sept degrés définis par le Grand Orient de France en 1786. Il a été plusieurs fois modifié.
le rite émulation
le rite d’York,
le rite Misraim
et le rite de Memphis.
Officiellement, cette société se présente comme une organisation philanthropique, c’est-à-dire, axée sur les bonnes oeuvres et prônant des valeurs justes et morales. Mais, dans les faits, il en est tout autrement.
Dans le livre The Lost Keys of Freemasonery, Manly Palmer Hall, 33e degré, révèle que: « L’ordre maçonnique n’est pas qu’une simple organisation sociale mais elle est composée de tous ceux qui se sont liés ensemble pour apprendre et appliquer les principes du mysticisme et les rituels occultes« .
Les francs-maçons sont les druides contemporains écrit Albert Churchward, un franc-maçon du 33e degré. WilliamHutchinson nous dit que la franc-maçonnerie a emprunté plus de doctrines et de cérémonies aux druides qu’elle n’en a pris ailleurs. (Les druides anciens étaient des prêtres occultes qui adoraient plusieurs dieux, pratiquaient l’astrologie et ultimement, offraient des sacrifices humains.) 
Le vrai visage de la franc-maçonnerie n’est révélé qu’aux initiés de hauts niveaux.
W. Wilmhurst, un haut dignitaire des Loges, nous écrit dans The masonic initiation, page 42, « Pour ceux qui désirent seulement une organisation sociale agrémentée d’un peu de cérémonial pittoresque et fournissant une occasion de distraction ou de distinction personnelle, la maçonnerie ne sera jamais plus que la formalité qu’elle a toujours été et qu’elle est toujours pour beaucoup. Et, eux-mêmes resteront toujours dans l’ignorance de sa signification, de son but et de ses grands pouvoirs »
SYMBOLES MAÇONNIQUES :
- Le compas et l’équerre  formant le triangle de Dieu,
avec la lettre « G » au centre, ou « l’œil » de Dieu… Ou
au sommet d’une Bible ouverte.                                                                                 
-Ils sont les 3 joyaux indispensables d’une Loge, représentantles 5 points de la fm¨.¨
« l’égalité, la liberté et la fraternité ».                
-« Le compas » est l’élément masculin, représentent la solidarité en faisant un cercle; « l’équerre », l’élément féminin, représente la justice.
Les 5 points « de camaraderie« , symbolique :
-« Pied à pied » : aller aider votre frère.
-« Genou à genou » : Priez pour votre frère.
-« Sein à sein » : Tenez les secrets.
-« Main dans le dos » : Aidez votre frère tombé et justifiez son caractère dans son dos, aussi bien qu’avant son visage.
-« Bouche à oreille » : Chuchotez le bon conseil. 
Le triangle avec une pointe en haut est le symbole de SET (ou SUT). En Inde, le triangle est le sigle des disciples de Shiva et ils le portent sur leurs fronts.
SET est le dieu de la destruction pour les Hindous. Dans la bible satanique SET et SHIVA sont d’autres noms pour Satan.
Helena Petrovna Blavatsky affirme que Shiva Baal Moloch et Saturne sont identique. 
L’hexagramme, l’étoile à six pointes est un très ancien symbole et un des plus puissants pour les sorcières, les sorciers et les magiciens. On le trouve au front du génie de la Place de la Bastille à Paris, qui se trouve également sur les anciennes pièces de 10 francs…
L’hexagramme est utilisé en magie, en sorcellerie, en occultisme et pour faire l’horoscope du zodiaque. Ce symbole possèderait des forces mystérieuses.
Les sorciers croient qu’il représente l’identité symbolique d’une famille spécifique de démons appelés « trud ». Ils l’utilisent dans des cérémonies, soit pour appeler des démons, soit pour les éloigner.
Le mot Hex, sert à verser une malédiction, un sort sur quelqu’un. Il tient son origine de ce symbole. 
Le pentagramme, l’étoile a cinq branches, est le plus familier et le plus évident symbole occulte du nouvel-age. Le pentagramme est connu universellement comme le signe du diable parmi les satanistes. En revanche, le Nouvel-Age cherche encore à le présenter comme un symbole de bien de la magie blanche, symbole rempli de puissance para naturelle. 
 Le pentagramme avec son évidente signification occulte à été pendant des siècles l’un des signes préféré et favori des sociétés secrètes. Aujourd’hui, nous le retrouvons en affiche dans les loges maçonniques. Le pentagramme a une place d’honneur et de prééminence dans le temple mormon de Salt Lake City.
Les prêtres celtiques l’appelaient « le pied de la sorcière ». Au moyen-âge, il est devenu populaire en Angleterre et ailleurs en Europe comme étant « la croix du lutin », le signe du diable, l’étoile du sorcier et le sceau de Salomon.
Rudolf Koch, un expert en symbolisme, nous dit que dans les temps anciens, le pentagramme servait de charme magique parmi les gens de Babylone. Il était aussi utilisé parmi les Babyloniens pour la guérison et comme support médiumnique pour apporter la bonne fortune. 
Gary Jenning’s dans son livre « Black magic, white magic » nous révèle que le plus puissant et respecté de tous les symboles magiques est le pentagramme. Lorsque dessiné avec une pointe en bas, ce signe représente Satan et il est alors utilisé pour invoquer les esprits du mal. Lorsque dessiné avec une pointe en haut, ce symbole est utilisé pour la magie blanche.
Henry L. Stillson et William J. Hughan dans « History of freemasonery and concordant orders »,

 nous décrit le pentagramme comme ceci: « Cette étoile représente Dieu, tout ce qui est pur, vertueux et bien, quand elle est représentée avec une pointe en haut. Mais lorsqu’elle est représentée avec une pointe vers le bas, elle représente le mal et tout ce qui est opposé au bien, à la pureté et aux vertus. En fait, il représente le bouc de Mendes (Satan) ». Plus loin, dans ce livre, il nous explique que le saint et mystérieux pentagramme est appelé dans les écoles gnostiques, l’étoile flamboyante (the blazing star).

Dans « The questions of freemasonery », on apprend que le pentagramme inversé à l’intérieur d’un cercle est la plus haute forme d’expression satanique représentant Baphomet, le dieu de Mendes ou l’incarnation de Lucifer comme dieu. Ce même Baphomet fut introduit chez les moines Templiers français, découverte qui donna au roi Philippe le Bel un motif suffisant pour les anéantir… 

 L’œil qui voit tout

Les bibles issues du Nouvel-Age et leurs dirigeants nous enseignent que l’œil qui voit tout est l’œil d’Horus ou celui de Shiva.
Shiva est l’équivalent hindou d’Horus, le dieu soleil égyptien.
Qu’est-ce que les constructions et institutions suivantes ont en commun?
>La chambre de méditation des États-Unis
> Le grand sceau de États-Unis
> Les pyramides égyptiennes
> La chambre de prière dans la capitale des États-Unis
> Le « Temple of Understanding »
Réponse: L’œil qui voit tout!
L’œil qui voit tout, en fait, représente l’unité, une unité qui est incluse dans la sorcellerie du satanisme, de l’hindouisme, du shintoïsme, du bouddhisme et de beaucoup d’autres cultes aussi bizarres qu’étranges. 
The Keys of Enoch, page 508, une des principales bibles du Nouvel-Age, enseigne à ses adeptes que leur troisième oeil se connecte magiquement avec les entités extra-dimensionnelles. Elle déclare que du ciel, de sages entités  » surveillent la création  » à travers l’œil du Père de la création et l’œil d’Horus.
Texe Marrs dans « Mystery Mark of the New-Age », à la page 103, nous informe que le département du trésor américain dans une lettre, lui communiquait que ce symbole prenait son origine de fait, en Égypte. De plus, le comité formé au 18e siècle pour le design du sceau arborant le dollar américain, lequel incluait Benjamin Franklin, voulait essayer de représenter la nouvelle nation des États-Unis en tant que successeur de l’ancienne culture et du gouvernement égyptien antique. 
LE COMPAS ET L’ÉQUERRE
L’ex-sataniste, franc-maçon et sorcier William Schnowbelen, explique la vraie signification de l’équerre et du compas. La maçonnerie exalte la sexualité au niveau de la divinité, mais d’une manière déguisée et allégorique. L’équerre, le compas, ainsi que d’autres symboles maçonniques sont des références voilées se rapportant aux organes reproductifs. Le compas et l’équerre symbolisent les organes reproductifs de l’homme et de la femme engagés dans un rapport sexuel. Le G signifie Gnose, Génération, Grand architecte. 
Disque solaire ailé
Les origines de ce symbole remontent à la magie de l’Égypte ancienne. Albert Churchward dans son livre « Signs and Symbols of Primordial Man, the Evolution of Religious Doctrines from the Eschatalogy of Anciant Egyptians » nous dit que ce « winged sun disk » est utilisé par les maçons du 33e degré et que eux seul en connaissent le sens.
Ce symbole représente en fait la trinité divine égyptienne ORISUS (le dieu soleil) HORUS et ISIS. Ce symbole est aussi appelé RA, le dieu soleil. 

Dans le volume « Pratical Egyptian Magic », page 107, la description suivante est donnée: « L’emblème de l’élément de l’air consiste en un cercle de type disque solaire entre deux ailes. Dans un rituel de magie, il est suspendu au-dessus de l’autel en direction de l’est et est utilisé pour invoquer le sylphe (génie de l’air dans la mythologie gauloise et germanique), pour lui demander sa protection et sa coopération ».

***
 
LOGES FRANC MAÇONNES ET RITES:
 
Il y a principalement « 3 Rites », avec jusqu’à 1,000 degrés, variant de pays à pays, sans autorité centrale (l’Encyclopédie Britannica).
-ils se rencontrent dans « des Loges constituées d’au moins 7 membres; chaque loge est l’unité de base de la maçonnerie, comme « une paroisse » et personne n’est censé avoir un grade supérieur au maître de sa loge, pas même le grand maître. Une »Grande Loge » existe dans chaque état, avec au moins 4 loges, que l’on pourrait comparer à un « diocèse ». « Un grand maître » a un grade supérieur à n’importe quel maçon du 33éme degré. Dans la plupart des pays, les « Grandes Loges » sont des corps nationaux, mais cela a échoué aux États-Unis. 
La loge de base :  « Loge Bleue » :
Les loges bleues sont celles dans lesquels les 3 premiers degrés sont réunis : apprenti, compagnon et  maître. Les 3 premiers degrés portent des tabliers « bleus », la couleur officielle de la Franc-maçonnerie, seul moyen  approprié pour s’adresser au maître de la loge qui est « le maître d’adoration ». Il y a 33 grades en franc-maçonnerie, mais dans la réalité, ils n’existent pas tous. Ainsi par exemple on passera directement du 18ème au 30ème degré. Selon son grade, on appartiendra donc à plusieurs « loges » :
Loge bleue (1er au 3ème degré)
Loges de perfection (4ème au 14ème degré)
Chapitres (15ème au 18ème degré)
Aréopages (à partir du 30ème degré)
Degré
Titre
Existe réellement
Atelier
01
Apprenti
oui
Loge bleue
02
Compagnon
oui
03
Maître
oui
04
Maître Secret
oui
Loge de perfection
05
Maître Parfait
non
06
Secrétaire Intime
non
07
Prévôt et Juge
non
08
Intendant des Bâtiments
non
09
Maître Elu des Neuf
oui
10
Maître Elu des Quinze
non
11
Sublime Chevalier Elu
non
12
Grand Maître Architecte
non
13
Royal Arche
oui
14
Grand Ecossais de la Voûte Sacrée
oui
15
Chevalier d’Orient
non
Chapitre
16
Prince de Jérusalem
non
17
Chevalier d’Orient et d’Occident
oui
18
Souverain Prince Rose-Croix
oui
19
Sublime Ecossais
non
Aréopage
20
Vénérable Grand Maître de toutes les Loges
non
21
Noachite
non
22
Prince du Liban
non
23
Chef du Tabernacle
non
24
Prince du Tabernacle
non
25
Chevalier du Serpent d’Airain
non
26
Prince de Merci
non
27
Souverain Commandeur du Temple
non
28
Chevalier du Soleil
non
29
Grand Ecossais de Saint-André d’Ecosse
non
30
Chevalier Kadosch
oui
31
Grand Inspecteur Commandeur
oui
Grand Tribunal
32
Prince du Royal Secret
oui
Grand Consistoire
33
Souverain Grand Inspecteur Général
oui
Conseil Suprême
1-« le Rite écossais »:
Il a 33 degrés, on y parle politique et religion. Les athées ne sont pas admis, comme ne sont pas admis les noirs, les femmes, les enfants et les gens pauvres.
- Le 18éme degré, « de la Rose Croix », est ouvertement « anti-chrétien » : le candidat doit prendre une croix sans Jésus crucifié dessus, dénigrant le Calvaire, l’Ascension et la descente aux enfers et l’inscription INRI.
- Seul les chrétiens peuvent atteindre les degrés 18 à 33 et le degré 30.
Le « Chevalier du Kadosh » est ouvertement anti-catholique; « la vengeance » est le motif de ce degré.
- Les 3 premiers degrés portent des « tabliers bleus »; ceux de 4 à 18, des « tabliers rouges »; et ceux de 19 à 30 des « tabliers noirs »; enfin ceux de 31 à 33 des « tabliers blancs ».
- Il y a 2 juridictions aux Etats Unis :
… 1-« Au Nord », au nord de l’Ohio, avec quartier général dans Lexington, Mass.;
… 2-« Au Sud », avec 35 états et son quartier général à Washington, le district fédéral de Columbia, le plus ouvertement anti-catholique, fondateur « du Ku Klux Klan » et éditeur « du New Age Magazine ».
2- le « York Rite » ou « Rite américain » :
Avec 10 degrés, ce rite n’autorise pas que l’on échange en loge sur les thèmes de politique et de religion. Les athées ne sont pas admis ; même l’admission de quelques maçons chrétiens est refusée… Les femmes, les enfants, les noirs et les pauvres gens ne sont pas admis.
- Dans le 7ème degré, l’Arche Royale,  le nom du Dieu des maçons est découvert : « Jah-Bul-On », Jah pour « Yahweh », le Dieu de la Bible; « Baal« , le dieu des Assyriens, le faux dieu de la Bible; et « On« , le dieu soleil des Egyptiens, Osiris.
 
3- le « Grand Orient de France » : 
Ici, les athées sont admis. A commencé quand Napoléon 1er contraint les francs-maçons à n’avoir plus qu’une seule obédience, le Grand Orient, pour les trois premiers degrés (apprentis, compagnons et maîtres-maçons), le Suprême Conseil gardant son autorité sur les autres grades de la franc-maçonnerie française. Dans les années qui suivirent la chute de Napoléon, sa volonté ne fut plus respectée et la situation maçonnique évolua avec la création de nombreuses loges qui ne dépendaient pas du Grand Orient. 

Progressivement, ces loges se rassembleront sous l’autorité du Conseil suprême de France.
-  « Les Noirs »,
N’étaient pas admis dans la maçonnerie, mais plus tard la loge  » Prince Hall » fut créée pour les Noirs, avec 250,000 membres. Mais même maintenant les loges américaines rejettent la légitimité de loges noires maçonniques (Encyclopédie Britannica). 
-« Organisations alliées »,
Créées pour s’occuper des femmes des grands maîtres maçons, parents féminins des maçons « l’Ordre de l’Étoile Orientale »; pour les garçons, « l’Ordre de DeMolay » et « l’Ordre des Bâtisseurs ». Pour les filles, « l’Ordre des Filles du Travail » et « l’Ordre de l’Arc-en-ciel »… Plus les « Shriners » (adeptes du temple), connu pour leur travail charitable…
***
« MAÇONS »… « CHRISTIANISME »…
La plupart des responsables chrétiens et musulmans interdisent la franc-maçonnerie. Parce que c’est la société secrète la plus trompeuse, comme nous le verrons ensuite, mais surtout parce-qu’elle s’autorise d’une hiérarchie secrète dont ils considèrent les intentions cachées comme étant ouvertement anti-christ. [...]
-« Catholiques » :
Les francs-maçons ont été excommuniés de l’Église catholique par 8 Papes : En 1738 par Clément XII « In Eminenti », la première des 20 bulles contre la Franc-maçonnerie. Pie IX a publié 6 bulles attaquant la Maçonnerie. Léon XIII, en 1884, dans « Humanum Genus » a approuvé le faite que les franc-maçons « le but réel et suprême » et de « persécuter le christianisme avec haine et ils ne se reposeront jamais tant qu’ils ne mettront pas
à terre tous les établissements religieux établis par le Pape »… Et le dernier, Jean Paul II en 1983… Vous ne pouvez pas être catholique et  maçon!… Si vous voulez être  maçon, vous êtes automatiquement hors de l’Église catholique : excommunié!… Ce sont les mots publiés par le Cardinal Ratzinger, approuvé par Jean Paul II en novembre 1983 :  » Le jugement négatif de l’Église en ce qui concerne les associations maçonniques, depuis leurs principes toujours considérés irréconciliables avec la doctrine de l’Église, reste inchangé ; et donc l’adhésion à ces cercles reste interdite. Les catholiques qui s’inscrivent dans des associations maçonniques sont dans un état de péché grave et ne peuvent pas recevoir la sainte communion. Les autorités locales ecclésiastiques n’ont pas la faculté de prononcer un jugement sur la nature des associations maçonniques qui pourraient diminuer le jugement mentionné ci-dessus « .
-Les responsables  » baptistes », l’ont définie comme « une fraternité impie d’obscurité satanique »; « il y a une incompatibilité inhérente entre la maçonnerie et la foi chrétienne« ; « il y a grand danger que le maçon chrétien puisse lui-même compromette son alliance avec Jésus » (l’Union  Baptiste de l’Ecosse, 1965).
-« Luthériens », disent que  « la maçonnerie élève à l’idolâtrie » (Synode du Missouri, 1959).
-« Presbytériens » : « la maçonnerie est un établissement religieux et comme tel est certainement anti-chrétien (Assemblée Générale, Rochester, 1942).
-« L’Église anglicane » :  » un grand nombre de raisons fondamentales pose question sur la compatibilité de la franc-maçonnerie avec le christianisme (Synode Général, Londres, 1987… dont pourtant plusieurs membres du comité étaient maçons!).
-« Église russe Orthodoxe » : « n’importe quel Orthodoxe qui rejoint la maçonnerie perd tous ses droits et privilèges de son adhésion à l’Église (Acker, » des Autels Étranges « , pag.60).
-« Méthodistes » : « il y a un grand danger que le chrétien qui devient franc-maçon trouve lui-même de quoi ne plus comprendre ses croyances chrétiennes. Les méthodistes ne doivent pas devenir maçons (Assemblée Générale, Londres, 1985).
… Cependant, la plupart des maçons sont protestants, quelques uns seulement sont catholiques ( mais alors, ils ne le sont plus par le fait même, puisqu’ils sont définitivement excommuniés) et un certain nombre notamment dans la hiérarchie officielle grecque sont orthodoxes!. 
*** 
BEAUX « PRINCIPES »… « TROMPERIE » :
 
 
Albert Pike

« Les principes » apparents de la maçonnerie sont beaux et beaucoup de maçons sont des gens bons, honnêtes, induits en erreur par la « Fraternité », particulièrement les trois premiers degrés de maçons, ce qui représente la plupart d’entre eux!… Qui, dans les mots de Pike, déjà cités,  » sont intentionnellement induits en erreur par des interprétations fausses » (p.129)

- Pour être accepté comme  maçon,
Vous devez croire en « la paternité de Dieu, la fraternité des hommes et l’immortalité de l’âme »… Et cela peut paraître bon, mais comme un chocolat avec du poison mortel à l’intérieur, parce cela finira par faire voler en éclat vos croyances  chrétiennes, musulmanes ou juives…
-les « 3 principes » de la maçonnerie sont :
1-« Amour fraternel pour l’espèce humaine toute entière,
2-Soulager l’affligé,
3-La vérité comme un attribut divin « .
… Ces 3 principes, plus « la confiance en Dieu » sont justes et beaux… Mais beaucoup de maçons de haut degré ne sont guidés que par l’avidité et l’intérêt personnel, ou bien social, politique, ou  économique, faisant de la maçonnerie rien moins qu’une mafia, selon les propres termes de « Knight and Short »(« The Brotherhood », « Inside the Brotherhood).
le « 4 points parfaits d’entrée » sont : « la Gutta » (la gorge), « pectora » : la poitrine, « manus » : la main, et « pedes » :les pieds, pour apprendre le soin et la circonspection de ce que vous mangez et buvez, ce que vous dites et pensez dans votre cœur,  ce que vous faites,  et où vous allez… Bien!… Mais tandis que beaucoup de loges sont comme des clubs de frères consacrés pour faire la charité, quelques membres de haut degré sont obstinés dans la destruction des religions et des structures entières économiques et sociales de nations toutes entières…
les « 4 vertus cardinales », sont aussi belles : Modération, Fermeté, Prudence et Justice « … Mais tandis que beaucoup de loges respirent un esprit de philanthropie générale, quelques maçons de haut degré ont alimenté le public de mensonges ; pour la Grande Loge, la plus grande tâche est aujourd’hui de convaincre un public de plus en plus cynique que le Métier n’est ni une conspiration permanente, ni une société secrète, ni même » une société avec des secrets « , mais un club privé inoffensif qui réunit une communauté entière, qui inculque une morale élevée et des valeurs spirituelles à ses membres »…
Mais voilà : ce n’est pas que cela!… Parce que la franc-maçonnerie peut spirituellement enrichir une vie, mais elle peut surtout vous priver de vos valeurs chrétiennes… Elle  peut être conservatrice, mais aussi une force réactionnaire pour influer en politique, en religion, ou en économie, comme elle sera aussi une couverture pour une révolution de gauche ou de droite.
 
Les symbolismes de la Maçonnerie    –  Tromperie sur l’initiation
Tromperie sur  la Bible    le Dieu de Maçons
Tromperie de Religion  –  Tromperie sur les Serments    –  les Tabliers  –
 Les signes des 3 premiers degrés   –   Fraternité – Fruits
 
Les symbolismes de la Maçonnerie:
 
1-candidat Maçonnique : Préparé pour le serment.
-« Bander les yeux » comme un signe « de l’obscurité spirituelle ».
    -« Un câble de remorquage » autour de son cou comme un signe d’esclavage, de soumission  au maître et à la loge.
2-Grande salutation « signe de détresse ».
3-« Poignées de main » :apprenti, maître maçon …
 
 
Tromperie sur « l’Initiation » : (Voir l’image juste au dessus)
« Un bandeau sur les yeux », appelé « Trompeur » est toujours placé sur le candidat, pour signifier « qu’il vit dans l’obscurité spirituelle », être musulman, un chrétien, ou un juif, vivant « dans l’obscurité, l’impuissance et l’ignorance. Vagabondant  parmi les erreurs et recouvert des pollutions du monde extérieur et profane »… Ainsi, un chrétien , un juif ou un candidat musulman à la maçonnerie « vit encore dans l’obscurité spirituelle »!… Et le christianisme ou le judaïsme ou l’islam sont remplis d’erreurs!… Et plongent donc leurs fidèles dans « un monde profane »!…
… Le candidat doit également porter «  le câble de remorquage  » autour de son cou comme un signe d’esclavage, de soumission, non pas au Christ, ni à l’Église, mais au maître maçon et à la loge… Et on lui dira, et lui jurera, que « seule la loge mène les hommes dans la lumière spirituelle »… Parce qu’ « il est, lui,  l’iniquité venant à notre porte, cherchant la nouvelle naissance ».
 
- Et la plupart des apprentis à la maçonnerie font tout cela sans vraiment savoir ce qu’ils font ou disent… Mais c’est le premier grand pas pour laver un chrétien « de l’iniquité du Christianisme »!.
 

 

Tromperie « sur la Bible »:
Un des 3 joyaux d’une loge est sa « Bible » : laquelle pourra représenter aussi bien la Bible judéo-chrétienne que le Coran, les Védas, ou la Gîta… selon la religion des candidats… Tout est bon!… mais inutile, parce qu’aucune n’est « Parole de Dieu » pour la maçonnerie… Ils sont bons et utiles pour la maçonnerie, parce que le candidat doit prêter serment avec sa main droite sur la Bible, par exemple ; et que si ce livre ne signifie rien pour la maçonnerie, il signifie l’absolu pour le candidat chrétien, il devient donc très important pour les maîtres que leurs candidats viennent à prêter serment sur cette Bible!…
- La maçonnerie dit de belles choses de la dite »Bible », comme ceci par exemple: « la sainte Bible  nous donne la règle et elle guide  notre foi et notre pratique… La Bible est divine… Sa vérité est ouvragée dans le billet de 5 dollars  de notre étant »…
Mais qu’en est-il de la véritable attitude de la maçonnerie, un autre petit exemple va nous en éclairer : « la maçonnerie de la Loge bleue n’a rien du tout à faire avec la Bible. Elle n’est pas fondée sur la Bible. Si elle l’ était, ce ne serait plus la maçonnerie. Les juifs, les chinois, les turcs, chacun rejettent l’Ancien ou bien le Nouveau Testament, ou tous les deux,  et ce qui précède explique pourquoi  nous ne voyons aucune raison  que ces derniers ne puissent pas devenir des maçons » ( Sommaire de la Loi maçonnique, Pp.207-208).
 
« Le dieu » des maçons, n’est pas « le Dieu » des religions révélées :La soi-disant « croyance en  Dieu » est une des tromperies les plus grandes de la maçonnerie… Pour un maçon en effet, le seul  « dieu agissant » c’est « la Loge » et « le Maître d’adoration « , comme pour les communistes, « le dieu réel » est le Parti agissant pour l’État …
L’allégeance primaire et l’obéissance du maçon vont « au Maître d’adoration », seule forme appropriée pour s’adresser à lui!… Et bien sûr, à travers ce Maître à une autre « autorité supérieure de maçon  » : laquelle ? Nous le découvrirons… Dans la loge, « le maître » est « adoré », et cette relation de latrie n’est pas demandée envers Dieu!… Vous ne pouvez même pas faire mention de votre Dieu!.
… C’est pourquoi la maçonnerie est incompatible avec le christianisme, le judaïsme et l’islam, parce que leur allégeance primaire va « à dieu »… Et même beaucoup d’autorités civiles débattent pour savoir si l’adhésion au Métier est compatible avec l’administration civile, parce qu’il y est systématiquement organisé un détournement d’autorité, voire même des lois officielles des pays qui font leur cohésion sociale et leur sécurité. 
« Le Dieu » des 3 premiers Degrés, est « déiste », en ce sens qu’il est Créateur mais qu’on ne peut pas le connaître… C’est pourquoi Pike peut prétendre que « toutes les conceptions spécifiques de Dieu sont idolâtres, sauf celle de la maçonnerie » (« Morales et Dogmes », p.516)… Ainsi, le Dieu de la Bible, ou le Coran, mène à l’ »idolâtrie ».
… Le « Dieu »maçonnique est un Esprit illimité, éternel, universel, non confessionnel et international, divin  certes … mais « inaccessible »!… La seule autorité divine accessible, « le dieu agissant », est le maître d’adoration. Ainsi, un maçon va croire en un certain Dieu, sans se rendre compte que le corps entier de la franc-maçonnerie accueille tous les dieux des maçons dans le même Panthéon, pour autant que l’allégeance dans la loge va au maître d’adoration et qu’une autre présence divine n’est pas même autorisée à y être mentionnée.
… En fait, n’importe quelle loge est « une fédération de dieux et de religions »… Et la tromperie la plus grande revient à constater que le maçon qui fait « confiance à Dieu », ne fait pas confiance dans ce culte à son Dieu, mais bien à celui qui se cache derrière le Maître d’adoration!… et derrière les autorités secrètes et occultes au-dessus de ce dernier! C’est enfin une autre tromperie que de donner à penser que c’est en ce domaine la loge locale qui a l’autorité suprême. 
- Après le 3ème degré, 
La maçonnerie accepte une forme particulière de panthéisme, où « tout est dieu et où dieu est tout », une conception panthéiste de la déité qui est passée de Babylone à l’Inde et au courant ésotérico-gnostique, des doctrines secrètes de la troisième Kabbalah à la franc-maçonnerie et au mouvement du Nouvel Âge. Le prétendu « Grand Architecte de l’Univers », après le 3ème degré n’est pas « une personne »…
C’est « une nature », « une force », « une énergie »…
« Une pierre », « une étoile », « vous », « je »…
Il est « cela »
Tel est le chemin qui va doucement piéger la plupart des maçons  des 3 premiers degrés!…
… Et c’est pourquoi la maçonnerie prétend que Dieu est en chaque maçon… Mais dans le même sens que  Dieu est présent dans toute chose existante… 
-Le Métier veut les gens finissent par croire que la maçonnerie ouvre la porte à une fraternité universelle fédérant toutes les formes de la Foi. A y regarder de près tout fidèle comprendra qu’en vérité, la maçonnerie nie le Dieu de la Révélation divine dans laquelle il nourrit sa Foi dans le Seigneur.
… Ici, la maçonnerie lie des cultes et des religions de tous âges : les cultes d’Egypte, la  troisième Kabbalah, l’occultisme, le Spiritisme, l’Alchimie (dont le fondateur, Hermès, est supposé être un des pères de la franc-maçonnerie)… et même le Satanisme : Albert Pike est un haut maçon considéré et sataniste on ne peut plus officiel, qui prétend que « la religion maçonnique doit être maintenue dans la pureté de la doctrine luciférienne… La vraie religion est le satanisme… Lucifer est le Dieu de la Lumière et le Dieu des Bons, luttant pour l’humanité contre Adonaï, le Dieu des juifs et des chrétiens, le Dieu des ténèbres et de l’enfer ».
 
- Un grand problème !!
Pour les maçons honnêtes des 3 premiers degrés, comme pour la plupart des maçons, comment peuvent-ils participer à des rituels dont la signification occulte et le symbolisme ne leur est pas expliqué : ils doivent donner une confiance aveugle à ceux qui les célèbrent avec eux.
- Dans l’ensemble, le dieu des maçons est « relativiste » :
O
n ne peut pas le connaître, mais il est bon : Il vous ira « comme un gant »!
Seul le symbolisme en maçonnerie est ambigu et fausse en la détournant l’interprétation de l’individu quant  à la vérité de ce que dieu est.
[...]
Ainsi, « les serments »jurés main sur la Bible, ou sur le Coran, ou sur la Thora, sont des moqueries et une véritable profanation camouflée des Ecritures saintes, parce que les hommes jurent sur leurs Ecritures sacrées d’obéir aux croyances maçonniques religieuses qui, elles, nient et déforment ce que leurs Ecritures saintes sacrées enseignent vraiment . 
- La lettre majuscule« G »présente dans l’emblème, est mise là comme représentant « Dieu » ou plutôt « le Grand Architecte de l’Univers »... Mais c’est aussi là pour représenter et « la Géométrie, et la Gnose, et la Génération » ( la quantité, l’ésotérique, et la sexualité divine),  trinité réelle divine des maçons.
-« L’Enfer », de la Bible et du Coran n’est jamais mentionné dans les doctrines ou les rituels de maçonnerie.
 
- « Le ciel », est mentionné comme étant « la loge parfaite et glorieuse au-delà où l’Architecte Suprême de l’Univers préside »… Mais cette « Loge parfaite » n’est pas le Ciel de la Bible ou de la Révélation, parce que pour la maçonnerie « Dieu » n’est pas une personne… et « la Loge au-delà » n’est ni un lieu, ni un état, elle se trouve identifiée au divin impersonnel…
Autant dire qu’il s’agit d’une tromperie pour aider les maçons à faire face à la mort sans rechercher l’union personnelle avec leur Seigneur et Père!… Car en effet, « après la mort », chaque âme devient  Dieu, comme une goutte d’eau dans l’océan, elle se dilue dans l’énergie du tout, de « CELA »… 
- Ainsi, les 2 principes de la maçonnerie, « croire en Dieu et en l’immortalité de l’âme », sont les duperies les plus grossières de la maçonnerie [...]
Le problème énorme « de la Religion maçonnique » consiste en ce que elle amalgame des religions d’Egypte, de Perse, de Babylone, des Juifs, des Chrétiens, des Hindous, des Spirites, de l’Occultisme, de la Sorcellerie, de la troisième Kabbale… Et que tout peut être rajouté ou discuté, tout ce qui touche à l’essentiel peut y être relativisé…
 
 
Tromperie « sur les serments »
 « Le secret » :
« Les signes » des  » 3 premiers Degrés »
 
1-Apprenti : Coupez ma gorge et ma langue.
 
2-Compagnon : Ouvrez ma poitrine et mettez mon cœur et mes poumons sur mon épaule gauche.
 
3- Maître Maçon: Lancez mes intestins.
 
« Les serments » sont des plus trompeurs, ridicules, disproportionnés et, surtout, ils font nier au Maçon sa foi Chrétienne ou Musulmane.

1- Dans le Premier degré « l’apprenti » jure la main sur la Bible en disant : « moi, ( nom), en présence du Dieu Tout-puissant, promets solennellement et jure que je saluerai toujours, ne me cacherai jamais , et ne révélerai jamais quelconque secret sur les arts, parties,  points, mystères cachés de la franc-maçonnerie… Je dis cela librement sous peine d’avoir ma gorge tranchée, ma langue arrachée et mon corps enterré dans les  sables de la mer… » (Le Rituel de Duncan, pp. 34-35).

2- le Deuxième degré, « le compagnon » jure sur la Bible : en présence du Dieu Tout-Puissant, « sous peine d’avoir mon sein ouvert… Et mon cœur et mes poumons laissés tombés sur mon épaule gauche… Donc aidez-moi o dieu ».
3- le Troisième degré, « le maître maçon « , lui, doit jurer ainsi :« sous  peine que mon corps soit coupé en deux, mes intestins pris et brûlés en cendres… Donc aidez-moi o dieu ».
- Toutes ces « pénalités » sont grossièrement abusives et exagérées… juste pour avoir  révélé une prise secrète, ou un rite de loge, ou un mot de passe comme « Boaz » ou  » Tubal Cain « … Que fera-t-on alors à quelqu’un qui commet meurtre ou viol?… Ils soutiennent certes que tout cela n’est guère que « symbolique » : alors on doit dire a minima que l’on commence par un serment  « sacrilège »  ses premiers pas en atelier, puisqu’on y  jure solennellement devant Dieu quelque chose de symbolique… Tous les maçons prennent ces paroles littéralement et demeurent très craintifs des conséquences qu’impliqueraient leurs trahisons des secrets, surtout ceux concernant l’appartenance de leurs confrères…qui sont invariablement punis de mort
… Et le fait est que beaucoup de maçons ont été trouvés avec leurs gorges coupées, leur langues dehors, leur poitrine ouverte… Parce que, disent-ils, c’est  pour Dieu que l’on inflige ces peines, mais, apparemment, il y a bien des hommes qui le font pour Dieu!.
 
- La duperie principale consiste en ce que, avec ces serments, vous jurez à Dieu de soutenir une maçonnerie, quitte à y sacrifier jusqu’à votre foi chrétienne, juive ou musulmane.
A- Le candidat fait  serment de maître maçon.
 
B- le Tablier : un insigne d’innocence, l’obligation d’amitié, un symbole de changement profond d’attitude envers le travail et la société, un emblème de très grande signification pour un maçon.

[...] 

 
« LES LOGES:
Quelque Rosicruciens se réunissent en « loges », qui ressemblent à celles de la maçonnerie, et qui , à la différence de ces dernières, admettent des hommes et des femmes. Le Maître de la loge est assis au bout d’une pièce et la Maîtresse de la loge, une femme, est assise à l’autre bout.
La Vierge de Vestale est placée devant le Maître, un feu sacré allumé devant eux et de l’encens est utilisé dans les rituels de réunion. Au centre de la loge, est posé la »Shekinah »ou  triangle sacré, avec 3 bougies.
Les membres portent des tabliers de type maçonnique et avant chaque début de séance, ils prononcent un serment solennel pour tenir les secrets de la fraternité inviolés.
« Deux banquets spéciaux » :
Banquet du Nouvel An, vers le 21 mars,
Fête de l’Extérieur, autour du 23 septembre. 
 
Tablier de la Rose Croix

 

« LA ROSE »… ET « LA CROIX » :
Le symbole des Rosicruciens est une croix Chrétienne avec une rose en son centre. C’est d’ailleurs également « un symbolisme alchimique » :
-« La Croix », est le symbole du soleil, arbre de vie,  force génératrice, élément masculin.
-« La Rose », est l’élément féminin, symbole de la beauté et de la délicatesse. Le mariage, comme l’union du mâle et de la femme, est considéré comme une métaphore de la fusion alchimique élémentaire que l’âme subit dans sa montée illuminative spirituelle.
… « La croix » représente « le corps de l’homme », « la rose » symbolisant « l’âme de l’homme se déployant et se développant ».
Les éléments fondamentaux des deux sphères du Rosicrucianisme, terrestre et céleste, ne sont pas seulement visibles, mais sont ainsi fondus dans les symboles de la rose en sur-impression sur la croix.
« CHIFFRE 7″
C’est le chiffre parfait : à la naissance, ou au commencement, un être humain possède « un corps dense »; à l’âge de 7 ans, il atteint « le corps vivace »; à 14 ans, « le corps du désir »; et à 21, « l’esprit » est formé.
  
Histoire et légende : 
Le Rosicrucianisme trouve ses racines en Egypte avant Jésus-Christ…
Tous les groupes prétendent être fondés par « Christian Rosenkreutz » :
- Christian Rosenkreutz, est un personnage de « Fama Fraternitatis »  roman écrit par l’allemand Luthérien Johann V. Andreae en 1610…
Mais il n’a jamais existé!… En 1617, Andreae a publié un article exposant que le « Fama » était un roman, une satire, sans aucune base réelle, affirmation qu’il a confirmée et tenue jusqu’à sa mort…
Il a indiqué que les enseignements du Rosicrucianisme étaient faux et que l’histoire du mouvement était un tissu d’inventions légendaires…
Cependant, tous les groupes Rosicruciens tiennent le « Fama » comme leur livre doctrinal principal, avec deux autres romans écrits par Andreae, « Confessio Fraternitatis » (1615) et « Chymische Hochzeit Christiani Rosenkreutz » (1616)
Andreae a pourtant déclaré que ces deux livres, tout autant que le premier, étaient « des romans de fiction », sans aucune véracité!.
Organisations : Au moins 20 différentes :
- En « Europe » : elle a commencé en Bohême, en Allemagne, après le « Fama ».
7 groupes se sont formés en Europe.
-L’ « AMORC »,le plus grand, fondé par H. Spencer Lewis en 1915, dont le quartier général se trouve à San Jose en Californie, avec un immeuble qui inclut un musée, un temple, un bâtiment d’administration, la salle, le planétarium, une galerie d’art et une bibliothèque.
Leur périodique en langue anglaise s’appelle le « Rosicrucian Digest ».
-  » Camaraderie Rosicrucienne « , fondé par Heindel en 1909, à Oceanside en Californie.
- « Societas Rosicruciana », en 1879, à New York (321 W. 101 Street), exige que ses membres soient maçons. Son magazine trimestriel est « Mercury ».

Les secrets de la Rose-Croix

Publicité
Publicité
5 août 2017

Le secret final de l'énergie libre

CouvertureSecretFinal

 

THE FINAL SECRET OF FREE ENERGY

© 1993 T. E. Bearden

Version française - version dubbed into french
Traduction: Alfred Smile
A.D.A.S.
P.O. Box 1472
Huntsville, AL 35807
9 Février 1993 (Révisé le 23 Mars 1993)

 

Partie I

 

Avant-propos (*)

Ce document contient concrètement le secret pour libérer l'énergie du vide simplement, utilisant un nombre varié de source de potentiel (batterie, générateur électrostatique, etc..). L'objectif est de réaliser des appareils à énergie du vide pour le débutant. J'ai découvert le 'principe clé' en une trentaine d’années.

J'ai établit des définitions claires et précises afin de comprendre clairement le procédé. Ce document contient donc les points essentiels établis pour comprendre l'extraction de l'énergie du vide.

L'électromagnétisme est une discipline faussement fondée et incomplète. Par exemple la définition de l'énergie est fausse. Laissez-moi vous énumérer quelques-unes de ces anomalies rencontrées dans le modèle l'électromagnétisme classique comme suit:

-la définition de la charge et du potentiel ne sont pas définies .Les algorithmes pour calculer une amplitude sont bafouées. L'électromagnétisme fait encore usage des champs de force comme causes de tous les phénomènes EM. Il est dit depuis 1959 que les forces sont des effets et non des causes, que les champs de forces EM existent seulement à travers la particule de masse, chargée dans le système physique et que le potentiel est la première cause dans un phénomène EM. La masse et la force n'ont aucunes définitions adéquates, exactes et réelles en électromagnétisme. L'amplitude d'une charge électrique sur un électron n'est pas quantifiable. Elle est plutôt implicite étant une fonction de l'amplitude du flux de photons virtuel échangé entre le vide et la particule chargée. Quand la particule chargée est placée dans un potentiel diffèrent de l’actuel, alors l'amplitude du flux de photons virtuel et enfin l'amplitude de la charge électrique sur l'électron est altérée. La mécanique quantique n'a plus rien à démontrer quand à l'existence d'un éther. Le fait que les champs de forces EM et d'ondes existent dans l'éther est complètement faux.

Seuls, les potentiels et gradients de potentiels existent dans le vide. Les ondes EM dans le vide ne sont pas des champs de forces d'ondes tel qu'il est encore enseigné. A la place des ondes EM il y a oscillation de potentiels et gradients de potentiels. Les potentiels sont caractérisés par la présence d'une structure interne faite par une paire d'onde EM bidirectionnel où les paires d'ondes EM sont en blocage de phase dans une série 
d’harmoniques. Dans une paire d'onde photons et anti-photons sont constamment en couplage et découplage (gravitons à deux spin).C'est ainsi que gravitation et électromagnétisme sont maintenant unifiés

Aucun livre papier ou document ne fait référence aux équations de James Clark Maxwell .Les théorie de Maxwell et ses équations ont été rédigé en quaternion, les quels sont un système mathématique complet .L'électromagnétisme est une discipline échouée qui ne demande que ce qu'on la refasse. Jusque là le modèle présent bloque l'énergie libre, l'antigravité, une physique des champs unifiés, et une théorie unifiée de l'interaction esprit-matière.

Quelques définitions

  • Le vide quantique mécanique : Il se compose d'un intense flux de particules virtuelles (VPF).
  • Énergie et potentiel : L'énergie est synonyme de potentiel et vice versa .Elle est désordonnée statique ou dynamique.
  • Potentiel scalaire : Il est désordonné / dynamique dans le VPF du vide.
  • Potentiel vecteur : Il est désordonné / statique dans le VPF du vide.

 

Structure interne du potentiel scalaire

Structure d'un potentiel scalaire

Le potentiel prend l'aspect d'un flux de particules composé de deux ondes superposées dans l'espace mais inversées dans le temps (une onde [onde+anti-onde] ou [photon+anti-photon] :

StPotScal

 

Un potentiel de l'autre coté de l'univers

Donc nous avons un parfait flux intérieur de particules virtuel (VPF), développé dans le potentiel scalaire électrostatique. Nous avons aussi une disposition ordonnée parfaite développée dans ce potentiel. Quand nous rassemblons un simple ensemble de charge sur une balle ou une petite région de celle-ci, le potentiel scalaire EM de cette charge provient à travers l'univers. En cela nous avons une série d'harmoniques infinies d'ondes EM en phase dans le temps et l'espace s'en allant de la charge vers tout point distant de l'univers entier. Et nous avons une série d'harmoniques infinies d'ondes EM en phase « bloqué » dans l'espace et en phase inversé dans le temps, venant de tout point de l'univers qui revient à la source constituée des charges collectées.

 

Un potentiel est une rivière d'énergie

Le point est que vous avez dévoilé la présence d'une rivière cachée, possible grâce à deux chemins d'énergie entre cette collection de charges et tous les autres points dans l'univers. Il y a une énergie infinie dans chacune de ces ondes et anti-ondes développées. Mais dans une région localisée, la densité d'énergie dans chaque onde est finie. Aucun champ de force n’existe dans le vide, juste des gradients de potentiel.

Le potentiel d'ondes scalaire est en faite un potentiel d'ondes scalaire longitudinal. Les ondes EM dans le vide sont des ondes EG (électro-gravitationnel).

L'énergie interne est illimitée, infinie

Un potentiel statique qui est pareil à un excès d'énergie – est de façon interne – dynamique infini et illimité. Puisque l'énergie interagit localement avec la matière nous parlerons de densité d'énergie local (joules / Coulomb).

Un principe d'une grande importance

La seule façon que vous pouvez d'avoir un gros morceau ou un montant fini d'énergie pour être dissipé dans un circuit comme travail est d'avoir avant tout un potentiel de densité d'énergie local interagissant avec un collecteur local de masse fini. L'interaction normale de masse du collecteur local se fait par les électrons libres du circuit.

Tension, force, gradients de potentiel, charges et travail

Maintenant, intéressons-nous aux aspects des circuits. La tension est essentiellement définie comme étant une chute de potentiel. C'est la dissipation (de façon désordonnée) d'un montant fini de gradients de potentiel. Mais la seul façon d'obtenir un montant fini de gradients de potentiel (énergie) est d'abord en faisant interagir le gradient de potentiel interne /fini et de densité d'énergie en excès avec un collecteur de masse fini. Soit:

[Joules / Coulomb disponible pour être collectés]x[ Coulombs déjà collectés] = excès de Joules déjà collectés avec l'interaction des coulombs, disponible pour la dissipation. Donc la tension est réellement la dissipation d'une collection finie de gradients de potentiel d'énergie EM en excès. La dissipation de potentiel ou gradients de potentiel n'existe pas. Vous ne pouvez donc pas définir l'énergie (=potentiel) comme étant de la propre dissipation.

Nous capturons un gradient de potentiel à l'aide de quelques masses chargées - localement – habituellement des électrons libres sous la forme de gaz d'électrons libres – dans notre circuit. Nous exprimons la densité d'énergie finie d'un gradient de potentiel (avant collection sur les charges), dans la région local (Joules / Coulomb).Le dit-gradient de potentiel est un changement vers le potentiel ambiant ,et donc , il contient un excès de densité d'énergie (l'amplitude peut-être soit positive soit négative).Puis nous recueillons ce potentiel (densité de potentiel) sur un certain nombre de Coulomb, plaçant de minuscules petits gradients de potentiel à travers chaque électrons libres (couplage). Sur chaque particule ayant fait la collection d'un petit gradient, il y a une minuscule force F (s’écrit F°(ma) ,avec (ma) indivisible et inséparable).

Donc ce petit électron potentialisé se déplace tout seul dans le circuit. Dans la charge le petit électron subit secousses et accélérations, d’où radiation d'énergie. L'électron potentialisé s'est débarrassé du gradient réduisant la force à zéro.

 

Collection et dissipation de l'énergie

Nous considérons la densité d'énergie locale de potentiel scalaire en termes de Joules par seconde. C'est à dire dans une sphère spécifique de charge, le montant d'énergie collecté depuis un gradient de potentiel sur le nombre fini de charges collectant cette énergie est égale au nombre de Joules d'énergie par Coulomb multiplié par le nombre de Coulomb recevant le gradient de potentiel. Dissipation: Les Coulombs activés multipliés par l'excès d'énergie collecté par Coulomb activé donne le montant d'énergie dissipé dans la charge (travail effectué).

Nous définissons la collection comme la connexion du gradient de potentiel (une source) vers la masse chargé dans un élément du circuit (le collecteur), où un délai de temps fini pour potentialiser les électrons libres ne permet pas encore le déplacement comme du courant. Dans le collecteur pendant ce délai les électrons piégés sont activés par un gradient de potentiel en couplage avec ces derniers.

Techniquement le temps de délai dans le collecteur est appelé temps de relaxation, dans le cas de gaz d'électron libre (dans un fil ou un élément de circuit).

Pendant ce temps de relaxation les électrons potentialisés sont piégés, sans mouvements comme pour le courant .Chaque capture d'un nouvel électron libre entraine un petit gradient supplémentaire, mais aucun courant ne circule encore. Autrement dit, pendant le temps de relaxation fini, le potentiel est extrait depuis la source et ceci sans circulation de courant. Durant ce temps de relaxation, seul un courant de VPF est extrait de la source et y est réinjecté en continue par les échanges violents du VPF du vide avec les charges bipolaires de la source. Aucune énergie n'est consommée par et dans la source durant ce temps de relaxation mais il y est extrait des densités d'énergie libre. Cette densité d'énergie libre en couplage avec une quantité finie d'électrons nous donne un montant d'énergie collecté fini. Dans ce contexte, laissons l'opération se répéter pour donner une forme utilisable d'énergie libre.

 

Le gaz d'électrons

Une approche de type mécanique classique est nécessaire bien que se soit les lois de la mécanique quantique qui régissent le processus.

Quand un circuit est connecté à une source de gradient de potentiel (batterie), la première chose qui se passe immédiatement est que le gradient de potentiel s'emballe sur le fil relié le parcourant à la vitesse de la lumière.

Sur la surface du fil conducteur le gradient d'énergie se couple aux électrons libres dans le gaz d'électrons libres. Cependant à l'intérieur du fil ces électrons peuvent fortement résister, l'essentiel du déplacement du courant se fait donc à la surface du conducteur et se phénomène s'appelle effet de peau.

 

Force, gradients de potentiel couplé et translation d'électrons

Électrons couplés a un gradient de potentiel le tout en mouvement

Quand l'électron est activé par un gradient de potentiel couplé, il se déplace de lui même jusqu'à ce qu'il perde de son activation ou gradient de potentiel couplé.

Le champ de force EM est connu pour ses effets existant seulement dans et sur la particule chargée et n'existant pas séparément mais aussi n'existant pas dans le vide. Dans ce cas nous avons clairement indiqué que le gradient de potentiel du vide fourni le potentiel pour produire un champ électrique antiparallèle sur et dans une masse chargée par couplage. Un électron potentialisé se déplace uniquement grâce à une force. L'électron potentialisé accélère constamment. Cependant il est maintenu dans un état qui l'empêche de parcourir le fil directement.

L'électron doit sortir de l'intérieur du fil pour se poster à la surface de celui-ci pour être en mesure de se déplacer en tant que courant .Le collecteur est soit une bobine soit un condensateur le tout en matériau 
« spécial ». L'objectif est d'avoir un matériau qui a pour effet d'empêcher la circulation du courant et de maintenir les électrons (obtenu dans un gaz d'électrons libres), temporairement fixes – les électrons continuent de « battre » / « tournoyer » violemment à l'échelle microscopique, mais n'effectuent pas de translations à l'échelle macroscopique – pour un délai fini (temps de relaxation) – à la suite de quoi rassemblés tous ensemble à la surface ils sont préparés pour la circulation du courant. Pendant ce délai fini de temps de relaxation les électrons seront appelés NNTE (No Net Translation Electron). Durant ce délai de non courant les électrons deviennent potentialisés / activés par le gradient de potentiel « imprimé » à travers le collecteur.

 

Le secret de l'énergie libre

2 cycles / 2 circuits

(1) Nous connectons le collecteur à une source primaire de potentiel (batterie), pendant le cours instant où le courant ne circule pas – mais potentialise. C'est à dire pendant le délai du temps de relaxation nous permettons au flux de particules virtuelles (VPF) de circuler sur les électrons NNTE du collecteur pour les potentialiser et les activer – mais pas encore pour leurs permettre de circuler comme courant – mais seulement de les laisser se déplacer transversalement dans le fil du collecteur. Ceci est la capture d'un montant spécifique de gradient de potentiel à l'aide de la source (batterie) vers le collecteur. Nous avons gratuitement élevé la charge du collecteur qui fonctionne après quoi comme une source (batterie) secondaire.

(2) Le collecteur potentialisé est alors brusquement déconnecté de la source primaire (batterie), pour être branché sur un circuit fermé comportant une charge – et la source, la batterie, se trouve connectée à rien à ce moment là (sauf certainement à une densité d'énergie de gradient de potentiel du vide).Pour résumé ce qui a été ponctionné depuis la source est un gradient de potentiel seulement – sans circulation de courant.

Vous avez simplement multiplié la densité d'énergie locale de gradient de potentiel (appelé tension et qui est un excès de Joules/seconde), par le nombre de charges de Coulombs qui est activé dans le collecteur.

Aucun travail sur la charge de la source primaire (résistance interne de la batterie) n'a été permis - soit pas de circulation de courant d'électron n'a eu lieu dans le circuit [batterie-collecteur]. Nous n'avons pas permis cela.

A la place on s'est servi du collecteur activé comme une batterie temporaire secondaire. L'utilisation de cette 
« batterie » secondaire avec la charge se fait de façon tout à fait conventionnel. L'énergie EM capturée sera dissipée et la « batterie secondaire » ne sera plus potentialisée / activée.

 

Le circuit standard pour l'extraction d'énergie

Le circuit conventionnel

Le potentiel « source » bipolaire est connecté en circuit fermé avec la charge. Ceci connecte la résistance interne de la batterie et celle de la charge en série. Les électrons traversent la charge externe du circuit à travers la résistance interne de la batterie, du pôle – au pôle +. La dissipation d'énergie dans la résistance interne de la batterie est du travail qui dérange « la chimie » de la batterie qui s'efforce de maintenir la séparation des charges. De cette manière la séparation des charges de la source (qui est le seul accès au gradient de potentiel d'énergie), est en train de disparaître par la circulation du courant et la batterie qui à son tour se voit détruire le gradient de potentiel.

 

L'énergie de la charge externe est gratuite aux prix de l'énergie de la source

Ici est le secret de l'énergie libre électrique. L'énergie fournissant du travail à la charge est gratuite. La seule énergie qui coûte est celle utilisée à l'intérieur de la source par la résistance interne …
(Les compagnies d'électricité nous roulent dans la farine au sujet du gâchis d'énergie fait par nos appareils)

 

Toute énergie est gratuite

Pas un seul watt d'énergie peut ne pas provenir, en aucune manière, du vide !

 

Dissipation de l'énergie collectée

Le cycle de travail

Le gradient de potentiel est transféré dans le circuit de charge à travers la circulation des électrons lors de la connexion du collecteur potentialisé au circuit de charge. L'électron ne se soucie pas si la batterie est reliée ou non, il est son propre moteur de bateau avec sa propre petite machine de conduction. Lors du passage dans la charge les électrons éjectent leurs petits gradients de potentiel. Quand tous les électrons potentialisés ont irradiés dans la charge, ils ne sont plus alors potentialisés.

Notes de ce que l'on a fait

Nous avons pris quelques densités d'énergie EM capturées c'est à dire un gros morceau de gradient de potentiel, depuis la source puis nous l'avons connecté au collecteur. Sur un collecteur le gradient de potentiel est couplé, potentialisé et activé à ses électrons NNTE. Donc le collecteur à recueilli un montant fini d'excès d'énergie de Joules par Coulomb le tout multiplié par le nombre de coulomb capturés sur ses électrons libres devenus maintenant excité, activés. Désormais nous basculons le collecteur potentialisé à la charge. Rapidement le temps de relaxation dans le collecteur expire. Les électrons potentialisés dans le collecteur sont libérés pour se déplacer dans la charge externe du circuit. L'éparpillement, les chocs, les collisions, les accélérations irrégulières dans la charge éliminent le gradient de potentiel sur les électrons de conduction avec rayonnement EM soit rayonnement de chaleur. En se débarrassant des photons, les électrons perdent leur petit gradient de potentiel et aussi leur activation (excès d'énergie EM).

 

Qu'est-ce que l'énergie dans un circuit électrique

Énergie dans un circuit électrique

Il est un principe limpide.
L'énergie dans un circuit électrique implique seulement la potentialisation et la dépotentialisation des électrons porteurs dans ce circuit. Les circuits électriques utilisent simplement les électrons comme porteur de gradient de potentiel circulant depuis la source vers la charge. La secousse-accélération des électrons-activés dans la charge cause la perte du gradient de potentiel dans l'espace environnant sous forme de chaleur appelé aussi rayonnement EM.

Suite des opérations

Une fois le cycle II terminé nous reconnectons le collecteur à la source (cycle I) pour recommencer à nouveau la collection de gradients de potentiel d'énergie. Alors nous basculons à nouveau le collecteur une fois potentialisé sur le circuit externe de charge (cycle II) suite à quoi les électrons libre potentialisés vont pouvoir perdre leur gradient de potentiel au travers de la charge par rayonnement EM (chaleur).Nous pouvons se faire succéder le cycle I et II autant de fois que nous le souhaitons. Si vous permettez au courant de circuler lors du cycle I, vous réduisez alors la séparation de charge à l'intérieur de la batterie qui s'efforce de fournir le potentiel de la source.

Tout gradient de potentiel (excès de densité d'énergie piégé), est libre d'accès

Le potentiel est dû à l'échange violent de VPF entre le vide et les charges bipolaires séparés fournissant le gradient de potentiel de la source. L'énergie de l'univers entier est en circulation à travers le potentiel de la source. Vous pouvez avoir toute l'énergie piégée que vous souhaitez depuis la source.

Les règles du fer

Si vous établissez un courant, vous détruisez la barrière de bipolarité fournissant le gradient de potentiel (densité d'énergie de la source). Dans ce cas la source est en cours de destruction. Si vous n'établissez pas de courant vous ne détruisez pas la barrière de bipolarité et la source reste intacte. Dans ce cas vous pouvez continuez d'utiliser la source et d'extraire de l'énergie EM piégé à jamais.

 

Encore des définitions

Énergie : Elle est désordonnée et repose sur le VPF.

Énergie EM : Elle est désordonnée et repose sur le flux de photons virtuels du vide.

Énergie statique : Elle est un modèle ordonné, stationnaire avec respect d'un observateur externe.

Énergie dynamique : Elle est un modèle ordonné, non stationnaire avec respect d'un observateur externe.

Potentiel : Il est un modèle désordonné et qui repose sur le flux de particules virtuelles (VPF) du vide.

Potentiel scalaire : Il est un modèle ordonné et qui ne se déplace pas avec respect d'un observateur externe.

Potentiel vecteur : Il est un modèle ordonné qui est en mouvement avec respect d'un observateur externe.

Potentiel scalaire EM : Il est dynamique et repose sur le VPF du vide avec respect d'un observateur externe.

Encore une fois Énergie et Potentiel ont la même définition. Le potentiel est en fait de l'énergie piégée.

 

Le concept double de la Tension

Avant-propos

Le Voltmètre influence la mesure prise (à travers sa résistance interne de mesure) et rigoureusement les valeurs deviennent erronées.

On ne peut de toute évidence mesurer l'énergie ou potentiel comme de la Tension.

Toutefois pour clarifier et améliorer la compréhension des circuits électriques à énergie libre nous aurons besoin d'équations (pseudo-équations) en corrélation avec les moyens de mesures et d’expérimentations actuelles. Bien que faisant du tord à la rigueur d'esprit du scientifique dans le domaine de l'énergie libre.

Les pseudo-équations

T  : trapped (piégé)

m : translated (en mouvement)

d : dissipate or dissipating (dissipé …)

K : energie

V = Volt = chute de potentiel ou potentiel dissipé = rayonnement EM dans la charge (chaleur) = travail effectué par la charge

f : potentiel scalaire électrostatique

coul : Coulombs

i = ampère = dissipation des Coulombs potentialisés par seconde pendant la circulation du courant = amps toujours en translation = Amps sont des Coulombs par unité de temps, seconde, qui sont en train de dissiper leur excitation.

[Il y a seulement amps (avec super conductivité exclut) quand il y a une chute de potentiel à travers une charge (les électrons potentialisés traversent la charge)].

n : nombre d'électrons par Coulomb = 6,3.10^18 électrons/coulomb. 

Df = VT

Travail : Kd = Vd x ampd x sec = watts x sec = puissance x temps = Vd x (could/sec) x sec

-->>Dans le switching nous switchons KT  vers Kd donc :

 KT ==> Kd

Mais :     VT  x coulT = KT

Ou    :     Énergie piégée par Coulomb piégé : [VT] = [KT] / [coulT]

              MONTANT D'ENERGIE PIEGEE A CHAQUE CYCLE : [KT] = [VT] x [coulT]

C'est donc ce à quoi nous souhaitons connaître : le montant d'énergie piégé que l'on peu transférer dépend du nombre d'électron piégé dans le gaz d'électron libre piégé dans le collecteur et du gradient de potentiel appliqué à ces Coulombs piégés pour les potentialiser.

 

Temps de relaxation et semi conducteurs

Temps de relaxation

Le temps que prend les électrons libres dans un conducteur pour atteindre la peau du conducteur (surface fil), après que le potentiel soit appliqué est, évidement, appelé le temps de relaxation. Durant ce temps les électrons libres dans le gaz sont piégés jusqu'au moment de la production de courant (dissipation du potentiel). Cependant, immédiatement après la fin du temps de relaxation, un courant apparaît et la dissipation de l'énergie piégée commence.

Dans le cuivre le temps de relaxation est incroyablement, rapide. C'est environs : 1,5.10^-19 sec. Bien que dans le quartz c'est environs 10 jours ! Donc tel que vous le voyez nous avons besoin d'être situé entre ces deux valeurs et donc nous aurons à mixer ou doper les matériaux. Nous devons avoir un temps de relaxation suffisamment long tel que nous pouvons collecter et  

basculer confortablement entre les cycles I et II. Mais aussi le temps de relaxation nécessaire doit être assez court pour permettre des décharges rapides dans la charge, dès que nous connectons ensemble la source primaire et le collecteur. Plutôt que du simple cuivre nous aurions besoin d'un matériau semi-conducteur dégénéré.

Matériau semi-conducteur dégénéré

Un matériau semi-conducteur est intermédiaire entre un bon conducteur et un isolant. C'est un matériau non-linéaire et dopé. Un matériau semi-conducteur est un matériau qui a toutes ses bandes d'énergie pleines et remplies d'électrons, et enfin qui semble être un conducteur. Avec un tel matériau dopé on peut augmenter le temps de relaxation.

Du bon fil de cuivre... sûrement pas !

Les inventeurs de circuit sur-unitaire obtiennent plus de puissance à la sortie qu'à l'entrée. Mais dès que l'un d'eux cherche à améliorer l'appareil sur-unitaire avec utilisation de composants et matériaux purs et de meilleure qualité... BOOM ! Il n'y a plus du tout de sur-unité. Explication : La plupart des inventeurs obtinrent des effets de succès (parfois irréguliers), lorsqu'ils se débattaient avec des matériaux oxydés, usés, et vieux. En fait moins bon est le matériau meilleur sera le résultat. Plus c'est contaminé et dopé mieux c'est !

Le moment où vous aurez décidé de construire un circuit avec du bon fil de cuivre connecté entre la batterie ou un autre type de source et la partie du circuit contenant le collecteur, vous pourrez dire au revoir à la sur-unité. Vous aurez perdu ça dans le cuivre après les premières 1,5.10^-19 secondes !

Pensez d'un bon conducteur réellement tel que le cuivre comme un matériau linéaire essentiellement. Linéaire signifie énergie conservatrice. La sur-unité peut seulement être obtenue avec un effet hautement non-linéaire. Donc votre conducteur doit être constitué de matériaux non-linéaires. En fait ils doivent être des matériaux de type semi-conducteur dégénéré. Pour le circuit le cuivre et le fil de cuivre doivent être dopés.

L'installation électrique (tout le circuit) doit être constituée d'un matériau semi-conducteur dégénéré (DSC). 
Les industriels peuvent fabriquer cela avec le temps de relaxation désiré.

C'est un tel câblage qui doit être utilisé pour relier la source au collecteur. Le collecteur lui aussi doit être de cette nature. Le collecteur est soit un condensateur soit une bobine.

A l'inverse du collecteur vers la charge on veut utiliser du bon conducteur, du fil de cuivre sera parfait.

Maintenant que cela est fini, l'affaire est dans le sac. Pour la fabrication du matériau DSC, il faudra simplement au préalable calculer un temps de relaxation adéquat pour être adapté et intégré aisément dans le circuit avec les composants qui agissent sur le « switching ». Exemple : pour une valeur de 1 ms on pourrait même utiliser des composants mécaniques, alors qu'avec des nanosecondes les composants seront plus chers peut-être...

Donc dans le collecteur vous calculez le nombre de coulombs piégés que vous avez. Mesurez la « tension 
piégé » (densité d'énergie de potentiel de courant gratuit par coulomb) que vous extrayez depuis la source lors du temps de relaxation après connexion au collecteur. Multiplié le nombre de coulombs piégés dans le collecteur par la tension piégée durant la phase de collection, et vous avez le montant d'énergie en Joules que vous recueillez gratuitement, sans payer pour ça, depuis la source pour un nombre souhaité de cycles.

 

Sources, collecteurs et puissance

Mesurez l'énergie du vide

Vous êtes en train de posséder l'excès d'énergie électrique directement depuis le vide, comme cité plus haut. Le vide va gracieusement reconstituer toute la « tension piégé » depuis la source primaire durant le temps de relaxation des électrons. (Nous ne somme pas obligés d'attendre que le temps de relaxation des électrons soit atteint pour basculer le collecteur sur la charge externe du circuit).

La source peut-être presque rien

Vous pouvez utiliser comme source un simple fil élevé pour se placer entre la Terre et l'Ionosphère avec
200-300V/m. Le fil doit être dopé...

Finalement vous devez ajuster la répétition des « switching » en les synchronisant avec le temps de décharge avec la charge comme suit : (le temps en série est Dt1+Dt2+Dt3+Dt4)

(1) : extraire l'énergie piégé (potentiel), depuis la source sur le collecteur pendant le temps Dt1,

(2) : Basculer le collecteur sur la charge pendant le temps Dt2,

(3) : Attendez la décharge du collecteur à travers la charge durant le temps Dt3,

(4) : Re basculez le collecteur vers la source pendant le temps Dt4.

Limité seulement par un seul modèle?

Évidement il existe des variantes, je vous ai juste donné les points essentiels de la réussite. On peut combiner plusieurs collecteurs, utiliser de la THT pour la source ou placer une batterie à la place de la charge, etc, …

 

 

Partie II

 

 

INFORMATIONS SUPPLEMETAIRES SUR

LE SECRET FINAL DE L'ENERGIE LIBRE

Mise à jour : 15 février 1994
© 1994 T. E. Bearden1994

Use of Step-Charged Capacitor as the Collector by Tom Bearden

 

 

Introduction

Suite à de nouvelles découvertes et de nouveaux brevets déposé, j'ai ainsi rédigé se document.

 

Sommaire de l'invention

Une méthode et un appareil pour l'extraction d'énergie d'onde EM bidirectionnel depuis le vide par le gradient de potentiel scalaire à travers les terminaux d'une source électrique, collectant l'excès d'énergie dans un collecteur sans entropie, puis de façon séparé déchargeant l'énergie collecté à travers la charge pour exécuter un travail, sans renvoyer le courant de la charge à travers la source primaire contre son gradient de potentiel. C'est à dire, contre sa bemf (back-emf). Retirer le courant de la charge interne de la source réduit substantiellement la production de travail à l'intérieur de la source pour ne pas dissiper sa bipolarité. Disant que le travail de dissipation interne étant bien connu pour être la cause d'épuisement de l'habilité de la source à continuer de fournir une emf vers le circuit externe. Par réduction de ces dissipations internes, la source est capable de fournir plus d'énergie pour de la dissipation dans la charge externe qu'il en est pour la charge de la source. La source est capable d'opérer de façon sur-unitaire. LE système est dit ouvert, il extrait et utilise l'excès d'énergie EM depuis une libre circulation dans la source externe (le flux d'échange entre le vide environnant et la source bipolaire fait de cette dernière un système ouvert).

Ce système sur-unitaire peut opérer avec une grande efficacité, sans violation des lois de la physique, de façon analogue, mais entièrement différente, à peu près comme une pompe à chaleur (frigorifique). La bipolarité de la source est utilisée premièrement comme une antenne dipôle pour recevoir l'énergie d'onde EM bidirectionnel circulant depuis le vide et pour diriger cette énergie sans entropie à l'aide de composants « switcher » vers le collecteur ! La conduction des électrons dans le collecteur est temporairement restreinte, lesquels sont en train d'être sur-potentialisé par excès d'énergie en train d'être collecté sur eux. Le collecteur et ses électrons sur-potentialisés sont alors déconnectés de la source et connectés maintenant à travers la charge tel un circuit fermé et séparé. Les électrons dans le collecteur et leur excès d'énergie sont alors automatiquement relâchés pour circuler comme le courant en une décharge à travers la charge. Cette énergie effectue un travail dans la charge. Le collecteur (une fois l'énergie dissipée dans la charge), se rebranche sur la source pour un nouveau cycle de collection.

Fig1B

Figure 1A : Circuit type utilisant un générateur de rampes pour charger le condensateur sans travail, avec décharge séparé de l'énergie collecté sur la charge sans épuisement substantiel sur la source primaire.

Fig1A

Figure 1b : Circuit type pour charger un collecteur en semi-conducteur dégénéré (DSC), avec de simples impulsions sans travail appréciable avec décharge séparée de l'énergie collecté sur la charge sans épuisement substantiel sur la source primaire.

 

Toutes sources électrique de potentiel est déjà une source d'énergie libre

La source agit comme une antenne dipolaire pour recueillir en permanence le courant du potentiel scalaire (d^/dl), (courant se déplaçant sans masse), depuis le vide. Pour les conditions pour une charge libre, (di*/dl) est continuellement reçue depuis le vide par n'importe quel dipôle, et la circulation d'énergie est continuellement échangée en va et vient depuis le dipôle. Cet échange d'énergie libre avec le vide est vrai dans deux points : dans notre circuit qui possède un circuit ouvert de tension ou ddp (différence de potentiel), entre les deux pôles de la source. Les sources d’antennes dipolaires d'énergie libre sont partout. Nous avons juste à apprendre comment casser la symétrie dans l'échange de leurs flux d'énergie avec le vide, collecter quelques influx circulant librement et distribuer cet excès d'énergie collecté vers une charge séparée et isolée. Autrement dit nous avons simplement qu'à copier sur les pompes à chaleur (frigorifique).

Fig2

Figure 2 : Pourquoi les systèmes d'énergie électrique actuels ont une efficacité opérationnelle sous-unitaire?!

 

Condensateur (chargé par pulse) comme collecteur

Continuons notre recherche par un matériau spécial pour un temps de relaxation de gaz d'électrons prolongé pour le collecteur, un alliage composé de 98% d'Aluminium et 2% de Fer.

Cycle 1 (collection d'énergie) :

Cycle2

 

Puis temps de relaxation atteint :

Cycle1-b

 

Cycle 2 (dissipation d'énergie)

Cycle1-a

Cependant la production de cet alliage est assez onéreuse, c'est pourquoi nous recherchons autant que nous le pouvons d'autres solutions.

En attendant, on peut faire déjà autrement. Utilisons un condensateur normal pour le collecteur, en le chargeant avec un générateur de rampes. La preuve que ceci peut librement charger un condensateur avec de l'énergie, sans avoir à effectuer du travail appréciable est déjà connu dans la littérature. Vous pouvez charger un condensateur sans entropie et essentiellement sans avoir à établir un courant de masse d'électrons.

Pour faire court, nous considérons que le condensateur peut-être chargé sans déplacement de masse (d'électrons), de circulation de courant.

Nous envisageons, dans l'usage du circuit, que le déplacement «d'électrons sans masse » est un courant de potentiel scalaire (dØ/dl) - un courant de potentiel pure (d'énergie EM capturé), le long du conducteur ou à travers le vide.

 

Opération avec circuit à 2 fils, fermé, conventionnel

Là il y a circulation de courant dans ce circuit fermé, au travers la charge et le reste du circuit. Les électrons seront considérés comme un fluide matériel pour du travail à faire, pour transporter et décharger l'excès d'énergie EM et en forçant les électrons à revenir à travers la force électromotrice de retour (bemf), qui recharge encore les électrons envoyés avec un excès d'énergie EM, sous la forme d'excès de petites densités d'énergies capturées Ø’S, sur chaque électron recyclé.

Quelques excès de Ø collectés sur les électrons sont dissipés dans la charge comme du travail utile, mais seule la moitié est dépensée (le reste perdu en friction, inefficacité, etc), et ceci sans excès de Ø, petite densité d'énergie capturée.

Ces circuits à boucle fermé sont sous-unitaire perpétuellement (cf. fig. 2).

A noter que ces circuits sont tout de même des circuits ouverts « branchés » sur le vide et recevant en permanence de l'énergie libre, mais ils ont le défaut d'être conçu de manière suicidaire.

 

Efficacité opérationnelle

Nous définissons operational efficiency Alpha comme la puissance moyenne dans la charge divisé par la puissance moyenne à l'intérieur de la source pour dissiper et détruire la barrière de bipolarité.

 

Thermodynamique et système à sur-unité ouvert et en déséquilibre (asymétrique)

Dans cette approche nous avons un circuit ouvert lors de tous cycles de collections, avec une source externe qui reçoit un flux d'énergie sans relâche. Nous avons exprès cassé la symétrie d'échange avec le vide, d'énergie du système, en séparant dans l'espace et à travers le temps, l'opération par un cycle de collection d'énergie et un autre cycle de dissipation d'énergie. L'efficacité opérationnelle de la sur-unité est possible sans violation des lois de la nature. Bien que l'équilibre dans le flux d'énergie local ait été cassé, celui dans le flux d'énergie global ne l'a pas été.

 

Courant de déplacement sans masse

C'est la technique que nous utilisions. On utilise le déplacement de courant sans masse pour charger le condensateur, plutôt que le flux de courant d'électrons (habituel).C'est un flux d'énergie réel néanmoins. Il est un phénomène bien connu dans le chargement d'un condensateur. Un coté du condensateur charge déjà l'autre coté à l'aide justement de se déplacement de courant sans masse, transportant de l'énergie EM réel à travers l'espace qui sépare les deux plaques du condensateur - les électrons eux-mêmes ne traversent pas cet espace.

Le déplacement du courant est toujours bien connu pour être un transport d'énergie libre sans aucune dissipation en puissance ou/et travail. En établissant un déplacement de courant sans masse, seulement à partir de la source antenne à la place d'un flux de courant d'électrons, vous pouvez établir du travail gratuit ou du non travail, sans dissipation d'énergie de la source-antenne.

Le ' truc ' est d'empêcher la circulation de la composante masse (déplacement longitudinale des électrons) du courant électrique dans la source primaire lors du processus de collection.

Dans le document 1/3 nous avons expliqué que ceci pouvait être fait en utilisant pour collecteur un matériau semi-conducteur dégénéré avec un temps de relaxation du gaz d'électrons relativement étendu. Dans ce document il aura été plutôt question de charger gratuitement un condensateur par un générateur de rampes pour des raisons économique.

TBearden

Ci-dessus Tom Bearden théoricien et inventeur en énergie libre

 

 

Partie III

 

APPAREILS ELECTRIQUES SUR-UNITAIRE - PRATIQUE

PRACTICAL OVERUNITY ELECTRICAL DEVICES

© T.E. Bearden - 13 Mai, 1994

 

LEGENDE:

 = produit scalaire

Ø = Champ potentiel électrostatique scalaire

 = Nabla (désigne soit le gradient d'une fonction en analyse soit une connexion de Koszul en géométrie différentielle).

|x| = valeur absolue de x

uf = microFarad

La charge n'est pas quantifiée

La valeur de la charge est changeante lorsque celle ci se déplace dans le circuit et elle se représente par une fonction selon le contexte du potentiel.

 

Les deux composantes du courant électrique

La seule façon de comprendre l'énergie libre est d'abord d'appréhender le courant électrique tel que constitué par deux courants couplés ensemble : [(dØ/dt) (dm/dt)].

Le composant (dØ/dt), est connu et mal compris, il est le déplacement de courant sans masse.

Le composant (dm/dt), est le déplacement de courant de masse.

L'opérateur  signifie couplé à ou sur le point de le faire.

L'opérateur de couplage représente une opération bien réelle : l'échange de photons virtuels entre le potentiel du vide et la masse chargée.

 

La masse est un composant interne de force

C'est à travers la force que la masse prend toute son importance (exemple F=(ma)). On trouve la masse par exemple dans un champ électrique qui est défini comme étant la force par coulomb. Un champ électrique n'existerait pas sans la composante de masse. Un champ scalaire électrostatique ( Ø)cherche à se coupler à la masse d'une charge q tel que (Ø+ Ø)m et de là un champ-E (champ électrique), est créé et existe 
E s -[( Ø)(q)]/|q|. C'est ainsi que la masse devient un composant incontournable de force.

Un condensateur idéal est celui qui est un bloqueur d'électrons

Dans un condensateur classique les plaques et le diélectrique sont en mouvement due aux forces électrique. 
Il s'en suit un courant d'électrons se dissipant dans la source pour faire du travail... Il existe cependant des condensateurs rigidifiés (~$400 à $2000 le condensateur de 1 µF)...

Un condensateur idéal ne laisse pas passer de courant d'électrons mais laisse seulement passer le courant sans masse tel que décrit dans les équations de Maxwell.

 

Composant de blocage d'électrons

Il y a le « transistor semi-conducteur Fogal » du nom de l'inventeur William J. Fogal (un ami de Bearden - détenteur des brevets [5430413 High gain low distortion faste] et [5196809 High gain low distortion faste]). 
Il permet la séparation du courant en deux composants, bloquant uniquement le composant de flux de masse (les électrons).

Le transistor de Fogal bloque le passage des électrons au niveau des pattes, mais laisse le déplacement du courant dØ/dt de potentiel scalaire à travers lui.

 

Énergie, flux, montant fini d'énergie, collecteur

Le flux de courant (dØ/dt) est énergie alors que le flux de courant de masse (dm/dt) est du travail dans le circuit. Toutes mesures à l'aide d'un instrument de mesure ne seront que travail et non le calcul du montant de l'énergie. L'énergie ne peut-être mesurée en pratique et en théorie, à priori.

 

Secret de la sur-unité

La charge (masse chargé), fournie un flux libre sans masse d'énergie EM à partir du vide qui peut-être dirigé vers un collecteur qui emmagasine le tout dans un champ-E ou un champ-B.

Cependant le premier secret de l'énergie libre est le blocage de la composante de charge électrique de masse 
dm/dt du courant dq/dt permettant au flux d'énergie sans masse (dØ/dt)• de circuler vers le collecteur pour obtenir un champ-E ou un champ-B.

Le deuxième secret concerne la façon dont le deuxième cycle se déroule.

La masse du circuit de charge externe et la masse du collecteur devraient être les mêmes pour que le courant d'électrons chargés retourne à travers la fem-back de la source primaire, tel que autant d'excès de travail sera fait à l'intérieur de la source pour dissiper ses séparations de charges que de travail fait dans la charge externe. Dans ce cas la sur-unité serait détruite ! D'où la nécessité d'utiliser deux circuits isolés.

 

Un simple appareil sur-unitaire à boucle ouverte

 

Figu1

Cette figure montre un très simple mais puissant appareil à sur-unité, utilisant un semi-conducteur à blocage de charge [charge blocking semiconductor (CBS) (such as a Fogal semiconductor)], alimenté en AC.

Le ' truc ' du circuit c'est une source AC pour contrôler le CBS qui utilise une partie de l'énergie pour s’auto-alimenter et qui ne laisse passer toujours, uniquement, que la composante sans masse du courant dans le circuit de sortie. Le potentiel scalaire de sortie du CBS est obtenu avec l'enroulement primaire du transformateur élévateur de tension. Le gain en courant du CBS dépendra de la charge connectée dessus, et de son habilitée à bloquer le champ-E des charges capturées en augmentation, comme un flux d'énergie libre (dØ/dt) qui s'établit à travers lui par la charge. Ainsi la charge et le CBS doivent être le mieux pensés/choisies pour ne pas faire échouer nos plans. L'enroulement primaire du transformateur avec le potentiel scalaire (dØ/dt) produit un champ-H. Il emmagasine l'excès d'énergie dans ce champ. C'est un champ-H magnétique normal. 
Tout champ-H est produit par (dØ/dt). Ce champ-H se couple à l'enroulement secondaire. Dans le circuit secondaire le courant est un courant d'électrons et peut circuler sans contrainte du CBS. C'est un courant de masse chargée qui circule désormais dans la charge.

 

Amplification de puissance libre

Si on place un ampèremètre à la sortie du CBS, entre lui et le primaire du transformateur, le courant sans masse sera lu comme si de rien n'était (comme avec un courant d'électrons).

 

La résistance négative: un système (auto-alimenté et CBS) en boucle fermé

Figu2

Le dessin montre le bouclage fermé de l'appareil de tel façon que le système une fois lancé et stable peut se voir retirer la source d'alimentation du circuit.

Une résistance négative accepte des électrons entrant inertes depuis son pôle négatif, mais accepte aussi l'énergie (dØ/dt) entrante depuis le vide comme des photons virtuel se laissant absorbé par des électrons inertes tel que  Ø est ajouté au courant d'électrons créant un excès d'électrons excités.

La résistance négative est maintenant connue pour être une source d'énergie libre auto-contenue.

 http://www.magnetosynergie.com/Pages-Fr/Presentez/SecretFinal/FR-LeSecretFinal-01.htm

 

Et les liens vers les originaux en langue anglaise : 

Partie 1. http://www.cheniere.org/techpapers/Final%20Secret%209%20Feb%201993/indexold.html
Partie 2.http://www.cheniere.org/techpapers/Final%20Secret%20of%2015%20Feb%201994/index.html
Partie 3. http://www.cheniere.org/techpapers/Final%20Secret%2013%20May%201994/index.html

 

Site Internet de Thomas E. Bearden : http://www.cheniere.org/

2 novembre 2016

LES SECRETS EN PLEINE LUMIÈRE - GÉOMÉTRIE SACRÉE

san francisco secret

0

secret

 

Cette série documentaire en 23 courts épisodes rassemblés en playlist, réalisé par Scott Onstott, étudiant et professeur d'architecture qui s'est penché sur les mystères anciens pendant qu'il était professeur aux États-Unis dans les années 1990, explore les principaux monuments et leurs positions en Égypte, et apporte à votre symbolisme de l'attention codé dans d'autres endroits tels que Stonehenge, Babylone, Baalbek, la Mecque et le Vatican, Jérusalem, Rome, Paris, Londres, Édimbourg, Washington DC, New York et San Francisco.
Secrets In Plain Sight, met en lumière une obsession secrète partagée par les pharaons, les philosophes et les rois, templiers et francs-maçons, grands artistes et architectes, papes, élites et présidents, couvrant toute l’histoire du monde connut jusqu’à nos jours.

Les secrets en pleine lumière, révèle à quel point les anciennes connaissances de l’Égypte ont été codées en unités de mesure, ainsi que dans de célèbres œuvres d’art, dans la conception des bâtiments principaux de la planète, dans l’agencement des rues des villes et les espaces publics, dans le placement précis des obélisques et autres monuments importants sur la Terre, et dans l'harmonie musicale, et l'astronomie.
Le spectateur est amené à percevoir un élégant système harmonique reliant le corps humain avec l’architecture, l’urbanisme, le Système planétaire et solaire, le tout à l’échelle galactique.
Comme un Sherlock Holmes mathématicien, Scott Onstott dévoile les codes numériques cachés qui ont construit et construisent encore notre monde.

La maîtrise technique de Onstott des deux logiciels informatiques utilisés, combinée avec son habileté dans la reconnaissance des formes, vient enrichir les nombreuses illustrations conceptuelles éducatives et stimulantes incluses dans le documentaire. Les images sont d'une beauté mystérieuse, qui invite à la contemplation, la réflexion philosophique et la méditation. Elles nous permettent de percevoir des parallèles entre l'Univers en dehors de nous et notre univers intérieur.
Un tiers des illustrations expose les merveilles métrologiques encodées dans la Grande pyramide de Gizeh. On profite des découvertes de Onstott reliant tout, de la cellule pour le corps humain, aux temples anciens, sites sacrés, à l'architecture moderne, au Nil, à l'art, aux mathématiques, à la physique, le sport, la religion, le Soleil et les planètes, l'étoile Sirius et la distance au centre de notre Galaxie...

Épisode N°1 : Introduction; N°2, 3 et 4 : Washington DC; N°5 et 6 : New York; N°7 : Stonehenge; N°8 : La Grande pyramide; N°9 : San Francisco; N°10 et 11 : L'Égypte; N°12 et 13 : Jérusalem; N°14 et 15 : Rome; N°16 : Astronomie ésotérique; N°17 et 18 : Chartres; N°19 : Londres; N°20, 21 et 22 : Paris; et N°23 : La conclusion.

les secrets en pleine lumière Secrets in plain sight VOSTFR

les secrets esoteriques de la geometrie sacrée Secrets in plain sight VOSTFR

25 août 2016

Entrevue avec NIKOLA TESLA pour la revue "Immortality" en 1899.

Nikola-Tesla-Wallpaper

 

 

Tout est Lumière. Dans l’un de ses rayons se trouve le destin des nations. Chaque nation a son propre rayon dans cette grande fontaine de lumière que nous percevons comme le soleil. Et rappelez-vous qu’il n’y a aucun homme qui ait existé et qui ne soit mort !

nikola tesla, plavi portret3

JOURNALISTE : M. Tesla, vous avez remporté la gloire de l’homme qui s’est intéressé aux processus cosmiques. Qui êtes-vous, monsieur Tesla ?
TESLA : La question est juste, M. Smith, et je vais essayer de vous donner la réponse juste.

JOURNALISTE : On dit que vous venez de la Croatie, de la zone appelée Lika, où les arbres, les roches et le ciel étoilé grandissent à côté des gens. On dit que votre village natal porte le nom des flurs de la montagne, et que la maison dans laquelle vous êtes né se trouve à côté de la forêt et de l’église.
TESLA : Tout ce que vous dites est vrai. Je suis fier de mon origine serbe et de ma patrie croate.

JOURNALISTE : Les futuristes disent que le XXème et le XXIème siècles sont nés dans la tête de Nikola Tesla. Ils célèbrent le champ magnétique rotatif et chantent des hymnes au moteur à induction. Son créateur fut appelé «le chasseur qui attrapa la lumière dans ses filets depuis les profondeurs de la terre», et «le guerrier qui captura le feu du ciel». On dit qu’il est le père du courant alternatif et que vous ferez que la Physique et la Chimie dominent la moitié du monde. L’industrie le proclamera comme son saint suprême, un banquier pour les plus grands bienfaiteurs. Dans le laboratoire de Nikola Tesla, on a brisé un atome pour la première fois. On a créé une arme qui produit des vibrations sismiques. Là, on découvrit des rayons cosmiques noirs. Cinq races lui adresseront des prières dans le temple du futur, parce qu’il leur a enseigné un grand secret : on peut arroser les éléments d’Empédocle avec les forces de vie des éthers.
TESLA : Oui, voilà quelques-unes de mes découvertes les plus importantes. Malgré cela, je suis un homme vaincu. Je n’ai pas atteint le plus grand de mes objectifs.

JOURNALISTE : Quel est-il, M. Tesla ?
TESLA : Je voulais illuminer toute la Terre. Il y a suffimment d’électricité pour créer un deuxième soleil. La Lumière apparaîtrait autour de l’Équateur, comme un anneau autour de Saturne. L’humanité n’est pas prête pour la grandeur et le bien. À Colorado Springs, j’ai imprégné la terre d’électricité. Nous pouvons aussi arroser les autres énergies, comme l’énergie mentale positive. Elles sont dans la musique de Bach ou de Mozart, ou dans les vers de grands poètes. À l’intérieur de la Terre se trouvent les énergies de la Joie, de la Paix et de l’Amour, qui s’expriment par exemple au travers d’une fleur qui pousse sur la Terre, de la nourriture que nous lui soutirons et tout ce qui fait de la Terre le foyer de l’homme. J’ai passé des années à chercher le moyen d’inflencer les gens avec cette énergie. La beauté et le parfum des roses peuvent être utilisés comme médicament et les rayons du soleil comme nourriture. La vie a un nombre infini de formes et la tâche des scientifiques consiste à les trouver dans toutes les formes de la matière. Trois choses sont essentielles là-dessus. Je ne fais que les chercher. Je sais que je ne les trouverai pas, mais je ne perdrai pas espoir.

JOURNALISTE : Quelles sont ces choses ?
TESLA : La nourriture est un problème. Quelle énergie, stellaire ou terrestre, peut alimenter les affamés de la Terre ? Avec quel vin peut-on arroser toute la soif pour que les personnes puissent animer leur cœur et comprendre qu’ils sont des dieux ? L’autre chose est de détruire la puissance du mal et la souffance par laquelle passe la vie de l’homme ! Parfois, il y a comme une épidémie dans les profondeurs de l’espace. Dans ce siècle, la maladie s’est étendue de la Terre jusqu’à l’Univers. La troisième chose est : y a-t-il un excès de lumière dans l’Univers ? J’ai découvert une étoile qui pourrait disparaître, selon les lois astronomiques et mathématiques, et malgré cela, rien ne changerait. Cette étoile est dans cette galaxie. Sa lumière peut se diffser à une telle densité, qu’elle tiendrait dans une sphère plus petite qu’une pomme et serait en même temps plus lourde que notre Système Solaire. Les religions et les philosophies enseignent que l’homme peut arriver à être le Christ, Bouddha, et Zarathoustra. Ce que j’essaie de démontrer est révolutionnaire et presque inaccessible. C’est ce qu’il faut faire dans l’univers pour que chaque être naisse comme Christ, Bouddha ou Zarathoustra. Je sais que la gravité est contraire à tout ce qui doit voler et mon intention n’est pas de faire des dispositifs de vol (avions ou missiles), mais d’enseigner à l’individu à récupérer la conscience de ses propres ailes...En plus, je suis en train d’essayer d’éveiller l’énergie contenue dans l’air. Il y a des sources d’énergie principales. Ce que l’on considère comme étant de l’espace vide n’est qu’une manifestation de la matière qui n’est pas éveillée. Il n’y a pas d’espace vide sur cette planète, ni dans l’Univers...Les trous noirs, dont parlent les astronomes, sont les plus puissantes sources d’énergie et de vie.

JOURNALISTE : À la fenêtre de votre chambre de l’hôtel Waldorf-Astoria au trente-troisième étage, chaque matin viennent les oiseaux.
TESLA : Un homme doit être sensible aux oiseaux. C’est à cause de leurs ailes. L’être humain en avait autrefois, réelles et visibles.
 
JOURNALISTE : Vous n’avez pas cessé de voler depuis ces jours lointains à Smiljan !
TESLA : Je voulais voler depuis le toit et je suis tombé. Les calculs des enfants peuvent être faux. Rappelez-vous que les ailes de la jeunesse veulent tout avoir dans la vie !

JOURNALISTE : Avez-vous déjà été marié ? On ne sait pas si vous avez de l’affection pour l’amour ou pour une femme. Les photos de votre jeunesse montrent que vous étiez un homme attractif.
TESLA : Non, jamais. Il y a deux points de vue : ou bien on a beaucoup d’affection ou pas du tout. La voie du milieu sert pour rajeunir la race humaine. Pour certains hommes, les femmes nourrissent et fortifint leur vitalité et leur esprit. Chez d’autres personnes, être seul produit le même effet. J’ai choisi ce deuxième chemin.

JOURNALISTE : Vos admirateurs se plaignent du fait que vous attaquez la relativité. Votre affirmation selon laquelle la matière n’a pas d’énergie est étrange. Tout est imbibé d’énergie, où est-elle ?
TESLA : Il y eut d’abord l’énergie et ensuite la matière.

JOURNALISTE : M. Tesla, c’est comme quand vous avez dit que vous êtes né de votre père et non de vous.
TESLA : Exactement ! Que se passe-t-il avec la naissance de l’Univers ? La matière est créée à partir de l’énergie originelle et éternelle que nous connaissons comme la lumière. Elle brillait et les étoiles, les planètes, l’homme et tout ce qu’il y a sur la Terre et dans l’Univers apparurent peu à peu. La matière est une expression des formes infinies de la lumière, parce que l’énergie est plus vieille qu’elle. Il y a quatre lois de la Création. La première est que le mental ne peut pas concevoir ou mesurer mathématiquement la source de tout le plan déconcertant et obscur. Dans ce plan s’intègre tout l’Univers. La deuxième loi réside dans l’obscurité expansive, qui est la véritable nature de la lumière, depuis l’inexplicable et qui est transformée en lumière. La troisième loi est la nécessité de la lumière de devenir une matière de la lumière. La quatrième loi est : il n’y a ni début ni fin ; les trois lois précédentes ont toujours lieu et la Création est éternelle.

JOURNALISTE : Dans l’hostilité à la Théorie de la Relativité, vous en arrivez même à donner des conférences contre son créateur les jours de ses anniversaires...
TESLA : Rappelez-vous : ce n’est pas l’espace qui se courbe, mais le mental humain qui ne peut pas comprendre l’infini et l’éternité ! Si la relativité était bien comprise par son créateur, il gagnerait l’immortalité, même encore physiquement, si cela était son désir. Je fais partie d’une lumière qui est la musique. La lumière remplit mes six sens : je la vois, l’entends, la palpe, la sens, la touche et la pense. Penser à elle est mon sixième sens. Les particules de lumière sont des notes écrites. Un rayon peut être une sonate entière. Mille boules d’éclairs sont un concert. Pour ce concert, j’ai créé une boule d’éclairs qu’on peut entendre sur les pics gelés de l’Himalaya. À propos de Pythagore et les mathématiques, un scientifique ne peut et ne doit pas les enfreindre. Les nombres et les équations sont des signes qui marquent la musique des sphères. Si Einstein avait écouté ces sons, il n’aurait pas créé la Théorie de la Relativité. Ces sons sont des messages dirigés au mental sur le fait que la vie a un sens, que l’Univers existe en parfaite harmonie et sa beauté est la cause et l’effet de la Création. Cette musique est le cycle éternel des cieux stellaires. L’étoile la plus petite a complété la composition et fait aussi partie de la symphonie céleste. Les battements du cœur de l’homme font partie de la symphonie de la Terre. Newton apprit que le secret se trouve dans la disposition géométrique et le mouvement des corps célestes. Il reconnut que la loi suprême de l’harmonie existe dans l’Univers. L’espace courbe est le chaos, le chaos n’est pas la musique. Einstein est le messager de l’époque du bruit et de la furie.

JOURNALISTE : M. Tesla : Entendez-vous cette musique ?
TESLA : Je l’entends tout le temps. Mon ouïe spirituelle est aussi grande que le ciel que nous voyons au-dessus de nous. J’ai augmenté mon ouïe naturelle avec le radar. Selon la Théorie de la Relativité, deux lignes parallèles se donneront rendez-vous dans l’infini. C’est pour cela que la courbure de l’espace d’Einstein se redressera. Une fois créé, le son dure pour toujours. Il peut disparaître pour un homme, mais il continue à exister dans le silence qui est le plus grand pouvoir de l’homme. Non, je n’ai rien contre M. Einstein. C’est une personne très aimable et il a fait beaucoup de bonnes choses, certaines d’entre elles feront partie de la musique. Je vais lui écrire et essayer de lui expliquer que l’éther existe et que ses particules sont celles qui maintiennent l’Univers en harmonie et la vie dans l’éternité.

JOURNALISTE : Dites-moi, s’il-vous plaît, quelles conditions un Ange réunit-t-il sur la Terre ?
TESLA : J’en dénombre dix. Maintenez un bon enregistrement, et attentif.

JOURNALISTE : Je vais documenter toutes vos paroles, cher M. Tesla.
TESLA : Le premier prérequis est une haute conscience de sa mission et du travail à faire. Il doit, même si ce n’est que vaguement, exister dans les premiers jours. Ne soyons pas faussement modestes : le chêne sait qu’il est un chêne ; un arbuste, à son côté, sait qu’il est un arbuste. Quand j’avais douze ans, j’étais sûr que j’arriverais aux chutes du Niagara. Je savais dès mon enfance que j’atteindrais la plupart de mes découvertes, même si ce n’était pas bien clair...La deuxième condition à réunir est la détermination. Tout ce que j’ai pu, je l’ai terminé.

JOURNALISTE : Quelle est la troisième condition de l’ajustement, M. Tesla ?
TESLA : L'orientation de toutes les énergies vitales et spirituelles en œuvre. Par conséquent, la purifiation des nombreux effets et nécessités que l’homme a. Je n’ai donc rien perdu, j’ai seulement gagné. Je profite ainsi de chaque jour et de chaque nuit. Prenez note : Nikola Tesla fut un homme heureux...Le quatrième prérequis est d’ajuster l’assemblage physique avec un travail.

JOURNALISTE : Que voulez-vous dire, M. Tesla ?
TESLA : Premièrement, le maintien de l’assemblage. Le corps de l’homme est une machine parfaite. Je connais mon circuit et ce qui est bon pour lui. Des aliments que presque tout le monde mange sont pour moi nocifs et dangereux. Parfois, je visualise les cuisiniers du monde tous en train de conspirer contre moi… Touchez ma main.

JOURNALISTE : Elle est froide.
TESLA : Oui. Le torrent sanguin peut être contrôlé, et beaucoup de processus à l’intérieur et autour de nous. Pourquoi avez-vous peur, jeune homme ?

JOURNALISTE : Mark Twain a écrit L’étranger mystérieux, un livre merveilleux sur Satan, inspiré par vous.
TESLA : Le mot « Lucifer » est plus enchanteur. Mark Twain aime blaguer. Quand j’étais enfant, j’ai une fois été guéri en lisant ses livres. Quand nous nous sommes rencontrés ici et je le lui ai dit, il était si ému qu’il a pleuré. On est devenus amis et il venait souvent à mon laboratoire. Une fois, il m’a demandé de lui montrer une machine qui, par sa vibration, provoque un sentiment de joie. C’était l’une de ces inventions pour se divertir, ce que j’aime faire parfois. J’ai prévenu M. Twain de ne pas rester sous ces vibrations. Il ne m’a pas écouté et il demeura plus longtemps. Il se transforma en une fusée agrippant ses pantalons et il entra dans une salle. C’était diaboliquement amusant, mais je suis resté sérieux. Mais, pour ajuster le circuit physique, en plus des aliments, le sommeil est très important. Après un travail long et épuisant, qui requiert un effort surhumain, je serais complètement rétabli après une heure de sommeil. J’ai acquis l’habileté d’administrer le sommeil, m’endormir et me réveiller au moment désigné. Si je fais quelque chose que je ne comprends pas, je m’oblige à penser dans mon rêve pour trouver une solution. La cinquième condition d’ajustement est la mémoire. Peut-être que chez la plupart des gens, le cerveau est le gardien des connaissances sur le monde et la connaissance acquise au travers de la vie. Mon cerveau est occupé à des choses plus importantes que remémorer. Il rassemble ce qui est requis à un moment donné, c’est-à-dire, tout ce qui nous entoure. Il suffit de l’intérioriser. Tout ce que nous avons vu, écouté, lu et appris, nous accompagne sous la forme de particules de lumière. Pour moi, ces particules sont obéissantes et fidèles. Quand j’étais étudiant, j’ai appris par cœur Faust de Goethe, mon livre préféré, en allemand, et je peux le réciter au complet maintenant. J’ai retenu mes inventions durant des années « dans ma tête » avant de les réaliser.

JOURNALISTE : Vous mentionnez souvent le pouvoir de la visualisation.
TESLA : Je vais devoir remercier la visualisation pour tout ce que j’ai inventé. Les événements de ma vie et mes inventions sont réels à mes yeux, comme n’importe quelle chose ou article. Dans ma jeunesse, j’avais peur parce que je ne savais pas ce que c’était, mais plus tard, j’ai appris à utiliser ce pouvoir comme un talent exceptionnel et un cadeau. Je le nourrissais et le protégeais jalousement. Aussi, j’ai fait les corrections dans mes inventions au moyen de la visualisation et je les finissais de cette façon. Au travers de la visualisation, je résous mentalement des équations mathématiques complexes. Grâce à ce don que j’ai, je vais recevoir la distinction de Haut Lama du Tibet. Ma vue et mon ouïe sont parfaites, et j’ose dire qu’elles sont plus aiguës que chez les autres. J’entends le tonnerre à 150 kilomètres de distance et je vois des couleurs dans le ciel que d’autres personnes ne peuvent pas voir. J’ai cette amplifiation de la vue et de l’ouïe depuis que je suis enfant. Plus tard, je l’ai développée consciemment.

JOURNALISTE : Dans votre jeunesse, vous avez été plusieurs fois gravement malade. La maladie est-elle un prérequis pour s’adapter ?
TESLA : Oui. Souvent, c’est le résultat de l’excès d’épuisement ou de la force vitale, mais souvent c’est la purifiation du mental et du corps des toxines qui se sont accumulées. Il est nécessaire qu’un homme souffre de temps en temps. La source de la plupart des maladies est dans l’esprit. Par conséquent, l’esprit peut guérir presque toutes les maladies. Quand j’étais étudiant, j’ai attrapé le choléra qui a ravagé la région de Lika. Je me suis rétabli parce que mon père m’a finalement permis d’étudier la technologie, qui était ma vie. L’illusion pour moi n’a pas été une maladie, mais la capacité du mental à pénétrer au-delà des trois dimensions de la Terre. J’ai eu des illusions toute ma vie, et je les ai reçues comme tous les autres phénomènes qui nous entourent. Une fois, dans mon enfance, je marchais le long de la rivière avec mon oncle et je lui ai dit : «Une truite va sortir de l’eau, je vais jeter une pierre et la couper». Et c’est ce qui se passa. Apeuré et surpris, mon oncle s’exclama : «Vade retro, Satana !». C’était une personne éduquée et elle parlait en latin... J’étais à Paris quand je vis la mort de ma mère. Dans le ciel, rempli de lumière et de musique, des nuages flottaient ; c’étaient des créatures merveilleuses. L’une d’elles avait le caractère de la mère qui me regardait avec un amour infini. À mesure que la vision disparaissait, je sus que ma mère était morte.

JOURNALISTE : Quel est le septième ajustement, M. Tesla ?
TESLA : Savoir comment transformer l’énergie mentale et vitale en ce que nous voulons, et arriver au contrôle de tous les sentiments. Les hindous l’appellent Kundalini-Yoga. Cette connaissance peut être apprise, ce qui requiert beaucoup d’années, ou on peut aussi l’acquérir de naissance. Pour la plupart, je l’ai acquis de naissance. C’est en étroite relation avec l’énergie sexuelle, qui est l’une des plus étendues dans l’Univers. La femme est le plus grand voleur de cette énergie, et par conséquent du pouvoir spirituel. Je l’ai toujours su. C’est pour cela que j’ai été vigilant. J’ai créé de moi-même ce que je voulais : une machine réflexive et spirituelle.

JOURNALISTE : Neuvième ajustement, M. Tesla ?
TESLA : Faire tout notre possible, quelque soit le jour, quelque soit le moment, pour ne pas oublier qui nous sommes et pourquoi nous sommes sur la Terre. Il y a des personnes extraordinaires qui sont en train de lutter contre la maladie, la privation, ou la société qui les blesse avec sa stupidité, l’incompréhension, la persécution et d’autres problèmes dont le pays est rempli. Il y a beaucoup d’anges chutés sur la Terre.

JOURNALISTE : Quelle est la dixième adaptation ?
TESLA : C’est la plus importante. Écrivez dans la revue que M. Tesla a joué. Et toute sa vie, il a joué et il en a profité.

JOURNALISTE : M. Tesla ! Que ce soit en relation avec vos conclusions ou avec votre travail, ceci est un jeu ?
TESLA : Oui, cher jeune homme. Combien j’ai voulu jouer avec l’électricité ! Je frissonne toujours quand j’entends l’histoire du grec qui vola le feu. Une histoire terrible avec des clous et des aigles qui dévorent son foie. Zeus n’avait-il plus de foudres et de tonnerres et il fut blessé par la ferveur ? Il y a un malentendu… Les foudres sont les jouets les plus beaux qu’on puisse trouver. N’oubliez pas de souligner dans votre texte que Nikola Tesla fut le premier homme qui découvrit la foudre.

JOURNALISTE : M. Tesla, vous êtes en train de parler des anges et de leur adaptation sur la Terre.
TESLA : En réalité, c’est la même chose. Vous pouvez écrire ce qui suit : il osa prendre sur lui les prérogatives d’Indri, de Zeus, et de Pérun. Imaginez-vous l’un de ces Dieux avec un costume de soirée noir, avec le chapeau melon et avec des gants blancs en coton, en train de préparer des éclairs, des feux et des tremblements de terre pour l’élite de New-York !

JOURNALISTE : Les lecteurs adorent l’humour de notre journal. Vous me confondez quand vous dites que vos découvertes apportent d’énormes bénéfices pour les personnes et qu’en même temps, elles représentent un jeu. Beaucoup verront cela en fronçant les sourcils.
TESLA : Cher M. Smith, le problème est que les gens prennent tout trop sérieusement. S’ils ne prenaient pas tout trop sérieusement, ils seraient plus heureux et vivraient beaucoup plus longtemps. Un proverbe chinois dit que le sérieux réduit la vie. Mais pour que les lecteurs du journal ne froncent pas les sourcils, retournons aux choses que vous considérez importantes.

JOURNALISTE : Ils seraient ravis de connaître votre philosophie.
TESLA : La vie est un rythme qui doit être compris. Je sens le rythme, je le dirige et je me fais plaisir en lui. C’était très agréable et cela me donna la connaissance que j’ai. Tout ce qui vit est profondément et merveilleusement lié : l’homme et les étoiles, les amibes et le soleil, le cœur et la circulation d’un nombre infini de mondes. Ces liens sont incassables mais on peut les dompter, pour rendre possible et commencer à créer des relations nouvelles et différentes dans le monde, et qu’elles ne violent pas les vieilles. La connaissance vient de l’espace. Notre vision est l’ensemble le plus parfait. Nous avons deux yeux : le terrestre et le spirituel. On recommande qu’ils deviennent un seul œil. L’Univers est vivant dans toutes ses manifestations, comme un animal pensant. La pierre est un être pensant et sensible, tout comme les plantes, les bêtes et l’homme. Une étoile qui brille demande à être vue et si nous n’étions pas si égocentriques, nous comprendrions son langage et son message. La respiration, les yeux et les oreilles de l’homme doivent être en accord avec la respiration, les yeux et les oreilles de l’Univers.

JOURNALISTE : Quand vous dites cela, il me semble entendre les textes bouddhistes, des paroles ou « Parazulzusa » taoïstes.
TESLA : C’est ainsi ! Ceci signifie qu’il existe une connaissance générale, et que la Vérité que l’homme a toujours possédée existe. Selon mon sentiment et mon expérience, l’Univers a une seule substance et une énergie suprême avec un nombre infini de manifestations de la vie. Le mieux est que la découverte d’une nature secrète révèle l’autre. On ne peut pas les cacher. Elles existent autour de nous mais nous sommes aveugles et sourds pour elles. Si nous nous attachons émotionnellement à elles, elles viennent à nous d’elles-mêmes. Il y a un tas de pommes, mais seulement un Newton. Il n’eut besoin que d’une pomme qui tomba face à lui.

JOURNALISTE : Je vous pose une question que j’aurais pu vous poser au début de cette entrevue : que fut l’électricité pour vous, cher M. Tesla ?
TESLA : Tout est électricité. D’abord, il y eut la lumière, source sans fin d’où provient le matériel et qui est distribuée vers toutes les formes que représentent l’Univers et la Terre avec tous leurs aspects de la vie. Le noir est le véritable visage de la Lumière, c’est juste que nous ne le voyons pas. C’est une grâce remarquable pour l’homme et les autres créatures. Chacune de ses particules possède de la lumière, des radiations, de l’énergie thermique, nucléaire, chimique, mécanique et une énergie qui n’est pas encore identifie. Elle a le pouvoir de conduire la Terre sur son orbite. Elle est l’authentique levier d’Archimède.

JOURNALISTE : M. Tesla, vous êtes trop biaisé vis-à-vis de l’électricité.
TESLA : Je suis l’électricité. Ou si vous préférez, je suis l’électricité sous forme humaine. Vous êtes l’électricité aussi, M. Smith, mais vous ne vous en rendez pas compte.

JOURNALISTE : Est-ce pour cela que vous avez la capacité de supporter des décharges d’un million de Volts à travers votre corps ?
TESLA : Imaginez un jardinier attaqué par les herbes. En fait, ceci serait une folie. Le corps de l’homme et le cerveau sont faits d’une grande quantité d’énergie. En moi existe la plupart de l’électricité. L’énergie, qui est différente chez chacun, est ce qui fait de l’humain le « moi » ou l’« âme ». Pour d’autres créatures, dans leur essence, l’âme de la plante est l’âme des minéraux et des animaux. La fonction cérébrale et la mort se manifestent dans la lumière. Quand j’étais jeune, mes yeux étaient noirs, maintenant ils sont bleus et avec le temps, comme la tension du cerveau s’accroit, ils s’approcheront du blanc. Le blanc est la couleur du ciel. À travers ma fenêtre, un matin, une colombe blanche arriva. Je lui donnai à manger. Elle voulait me dire qu’elle était en train de mourir. Des jets de lumière sortaient de ses yeux. Je n’avais jamais vu autant de lumière dans les yeux d’aucune créature comme j’en vis chez cette colombe.

JOURNALISTE
: Le personnel de votre laboratoire parle d’éclairs de lumière, de feu et de tonnerres qui se produisent si vous êtes en colère ou en danger.
TESLA : C’est la décharge psychique ou un avertissement pour être vigilant. La lumière a toujours été de mon côté. Savez-vous comment j’ai découvert le champ magnétique rotatif et le moteur à induction, qui me rendit célèbre quand j’avais 26 ans ? Un soir d’été, à Budapest, je regardais avec mon ami le coucher de soleil. Des milliers de feux faisaient des tours dans des milliers de couleurs flamboyantes. Je me suis souvenu de Faust et j’ai récité ses vers et ensuite, comme dans un brouillard, j’ai vu le champ magnétique tourner et le moteur à induction. Je les ai vus dans le soleil !

JOURNALISTE : Le service de l’hôtel dit que lorsqu’il y a des éclairs, vous avez l’habitude de vous isoler dans votre chambre et de parler tout seul.
TESLA : Je parle avec l’éclair et le tonnerre.

JOURNALISTE : Avec eux ? Dans quelle langue, M. Tesla ?
TESLA : Surtout dans ma langue maternelle. Elle a les mots et les sons, surtout en poésie, raison pour laquelle elle est appropriée.

JOURNALISTE : Les lecteurs de notre revue seraient très reconnaissants si vous expliquiez cela.
TESLA : Le son n’existe pas seulement dans le tonnerre et l’éclair, mais aussi dans sa transformation vers l’éclat et la couleur. On peut écouter une couleur. La langue appartient aux mots, ce qui signifie qu’elle provient des sons et des couleurs. Tous les tonnerres et les éclairs sont différents et ont leurs noms. J’appelle certains d’entre eux par les noms de ceux qui étaient proches de moi dans ma vie, ou bien de ceux que j’admire. Dans l’éclat du ciel et le tonnerre vivent ma mère, ma sœur, mon frère Daniel, un poète : Jovan Jovanovic Zmaj et d’autres personnes de l’histoire serbe. Des noms tels que Asisaiah, Ézechiel, Léonard, Beethoven, Goya, Faraday, Pouchkine et tous les bancs de feux ardents et enchevêtrements d’éclairs et de tonnerres, qui ne cessent pas de toute la nuit, apportant la pluie précieuse à la Terre, brûlant des arbres ou des villages. Il y a des éclairs et des tonnerres, et ils sont les plus brillants et les plus puissants, ils ne s’évanouiront pas. Ils reviennent et je les reconnais parmi des milliers.

JOURNALISTE : Pour vous, la science et la poésie sont une même chose ?
TESLA : Ce sont les deux yeux d’une personne. On enseigna à William Blake que l’Univers naquit de l’imagination, qu’il se maintient et existera tant qu’il y aura un dernier homme sur la Terre. C’était la roue avec laquelle les astronomes ont pu rassembler les étoiles de toutes les galaxies. C’est l’énergie créatrice, identique à l’énergie de la lumière.

JOURNALISTE : Pour vous, l’imagination est plus réelle que la vie elle-même ?
TESLA : Elle donne de la lumière à la vie. Je me suis nourri avec ma pensée, j’ai appris à contrôler les émotions, les rêves et les visions. J’ai toujours apprécié la façon dont j’ai nourri mon enthousiasme. Durant toute ma vie, j’ai passé beaucoup de temps en extase. Voilà la source de ma joie. Elle m’a aidé durant toutes ces années à travailler, ce qui fut suffisant pour cinq vies. Le mieux est de travailler la nuit, à cause de la lumière stellaire et du lien étroit.

JOURNALISTE : Vous avez dit que je suis, comme tout être, la Lumière. Ceci me complimente, mais j’avoue ne pas très bien comprendre.
TESLA : Pourquoi est-il nécessaire de comprendre, M. Smith ? Il suff de croire. Tout est lumière. Dans l’un de ses rayons se trouve le destin des nations. Chaque nation a son propre rayon dans cette grande fontaine de lumière que nous percevons comme le soleil. Et rappelez-vous qu’il n’y a aucun homme qui ait existé et qui ne soit mort ! Il s’est transformé en lumière et il existe toujours en tant que tel. Le secret réside dans le fait que les particules de lumière rétablissent son état originel.

JOURNALISTE : C’est la résurrection !
TESLA : Je préfère l’appeler retourner à une énergie antérieure. Le Christ et beaucoup d’autres connaissaient le secret. Je suis en train de chercher la manière de conserver l’énergie humaine. Il s’agit des formes de la lumière, parfois directement comme lumière céleste. Je ne l’ai pas cherchée pour mon bénéfice propre, mais pour le bien de tous. Je crois que mes découvertes rendent la vie des gens plus facile et plus supportable, et elles conduisent les gens vers la spiritualité et la moralité.

JOURNALISTE : Pensez-vous que le temps puisse être aboli ?
TESLA : Pas totalement, dû au fait que la première caractéristique de l’énergie est qu’elle se transforme. Elle est en constante transformation, comme les nuages des taoïstes. Néanmoins, on peut tirer profit du fait que l’homme conserve la conscience après la vie terrestre. Dans tous les recoins de l’Univers, l’énergie de la vie existe ; l’une d’entre elles est l’immortalité, dont l’origine est hors de l’homme et l’attend. L’Univers est spirituel, comme notre moitié. L’Univers est plus moral que nous, parce que nous ne connaissons pas sa nature et la façon d’harmoniser notre vie avec lui. Je suis un scientifique, la science est peut-être la façon la plus appropriée de trouver la réponse à la question qui me poursuit toujours et qui fait que mes journées et mes nuits se transforment en feu.

JOURNALISTE : Quelle est cette question ?
TESLA : Comme vos yeux brillent ! Je voulais savoir ce qu’il se passe pour une étoile fugace quand le soleil s’éteint… Les étoiles tombent comme de la poussière ou des semences dans ce monde ou dans d’autres, et le soleil se disperse dans nos esprits, dans les vies de beaucoup d’êtres, ce qui renaîtra comme une nouvelle lumière ou comme le vent cosmique dispersés dans l’infini. Je comprends qu’il est nécessaire d’inclure cela dans la structure de l’Univers. Par contre, le problème est que l’une de ces étoiles et l’un de ces soleils, même le plus petit, se conserve.

IOURNALISTE : Mais M. Tesla, vous rendez-vous compte que ceci est nécessaire et est inclus dans la constitution du monde ?
TESLA : Quand un homme devient conscient, son objectif le plus élevé doit être de courir vers une étoile fugace et d’essayer de l’attraper. Il devra comprendre que sa vie lui a été donnée pour cela et il sera sauvé. Un jour, il sera possible d’attraper des étoiles !

JOURNALISTE : Et qu’arrivera-t-il alors ?
TESLA : Le Créateur rira en disant : «Elles tombent uniquement pour que tu les poursuives et que tu prennes possession d’elles».

JOURNALISTE : Tout cela n’est-il pas contraire à la douleur cosmique que vous mentionnez si souvent dans vos écrits ? Et la douleur cosmique, qu’est-ce c’est ?
TESLA : Non, parce que nous sommes sur la Terre… C’est une maladie dont la plupart des gens ne sont pas conscients et qui est à l’origine de beaucoup d’autres maladies, la souffance, la misère, le mal, les guerres et tout le reste, ce qui rend la vie de l’être humain absurde et horrible. On ne peut pas guérir cette maladie complètement, mais la conscience la rend moins compliquée et dangereuse. À chaque fois que l’un de mes proches a été blessé, j’ai senti de la douleur physique. Ceci est dû au fait que nos corps sont faits de matériel similaire, et notre âme est reliée avec les filaments incassables. La tristesse incompréhensible qui nous abat parfois signifie que quelque part, de l’autre côté de la planète, un enfant ou un homme généreux est mort. Parfois, l’Univers tout entier est malade de lui-même et de nous. La disparition d’une étoile et l’apparition des comètes nous affectent plus que ce que nous pouvons nous imaginer. Les relations entre les créatures de la Terre sont encore plus fortes, à cause de nos sentiments et de nos pensées. La fleur sentira encore plus ou bien elle tombera en silence. Nous devons apprendre ces vérités pour être guéris. Le remède est dans nos cœurs et aussi dans le cœur des animaux que nous appelons Univers.

8 PHRASES CÉLÈBRES DE NIKOLA TESLA

  • Peut-être vaudrait-il mieux, dans notre monde présent, qu’une idée révolutionnaire ou une invention, au lieu d’être aidée et applaudie, soit entravée et maltraitée dans son adolescence.
  • Nos vertus et nos défauts sont inséparables, comme la force et la matière. Quand on les sépare, l’homme cesse d’exister.
  • Le développement de l’homme dépend fondamentalement de l’invention. C’est le produit le plus important de son cerveau créatif
  • La compréhension mutuelle serait beaucoup plus facile si on utilisait une langue universelle.
  • J’ai investi tout mon argent dans des expériences pour faire de nouvelles découvertes qui permettront à l’humanité de mener une vie un peu plus facile.
  • Il n’y a pas d’émotion plus intense pour un inventeur que de voir l’une de ses inventions fonctionner.
  • Le scientifique ne cherche pas un résultat immédiat. Il n’espère pas que ses idées avancées soient acceptées facilement. Son devoir est d’asseoir les bases pour que ceux qui viennent montrent le chemin.
  • Un instrument bon marché, pas plus grand qu’une montre, permettra à son propriétaire d’écouter n’importe où, sur la mer ou sur la terre, des musiques ou des chansons, ou un discours d’un dirigeant politique, donné dans n’importe quel autre endroit lointain. De la même façon, n’importe quel dessin ou impression pourra être transférée d’un endroit à un autre.
  • http://www.vopus.org/fr/gnose/articles-interessants/entrevue-a-nikola-tesla.html
14 mars 2016

Thrive le film pour nous libérer du systéme en nous faisant avaler des couleuvres sur les ovnis

humboldt-cite-noam-chomsky-in-raison-liberte--L-YfjRcO

Au sujet du documentaire Thrive, réalisé par, et c’est intéressant, James Foster Gamble, membre de la famille et de l’entreprise homonyme Procter&Gamble, 80 milliards en 2010. Une des plus grandes entreprises du monde, avec Nestlé ou Unilever.


Thrive signifie:
grandir vigoureusement, prospérer.

Prospérer définition:
s’enrichir, se développer, croître

Après l’avoir regardé, quelque-chose me chicanait sans savoir quoi. A part le mot « prospérer » qui ne me plaît pas, car contient « réussite », « enrichissement ». Ensuite j’ai revu un autre docu, le 3e volet de la série Zeitgeist pour observer comment son auteur approche son sujet, et là j’ai pigé.

Ce documentaire offre des observations authentiques et « alternatives » qui parlent à la curiosité et l’idéalisme pacifique de la plupart des gens tout en offrant un message consumériste sous-jacent. C’est du marketing pour vendre de l’immobilisme. Il utilise les codes actuels suggérant un éveil de la conscience qui se passe réellement en nous parlant de phénomènes passionnants, tout en véhiculant des informations contraires, le status quo du capitalisme. Une vraie hypocrisie. Ce n’est pas étonnant, quand on sait par qui est créé et financé ce projet. Une entreprise qui réalise un bénéfice annuel de 80 milliards de dollars tout en dégraissant quand cela optimise ses marges peut-elle remettre en cause le système qui lui a permis de « prospérer »?

thrive

Ci-contre: sur l’affiche du film, un œil qui voit enfin ou un œil qui vous épie?

Enoncer du vrai pour vendre du faux

Thrive montre plein de choses passionnantes mais le message, le fond,FAIT SOURNOISEMENT la promotion des ovnis et tous les phenomenes sont reliés entre eux point par point ,la belle philosophie qui en ressort ressemble a un cas typique dun gateau empoisonné ils racontent tout ce que vous voudriez entendre pour pouvoir vous installer le programme souhaité sur les ovnis qui est une fumisterie diabolique .......Rjames

Le mouvement Thrive, en français développement, épanouissement, est un autre axe des opérations de désinformation made in USA. Mais, finalement, c’est bien que ces couillonnades existent, car cela permet assez aisément de montrer comment on tente de gruger les gens… »
(jp-petit.org/Greer)

Comme par hasard, Foster vante également les mérites de l'énergie du point zéro. Il est secondé par un scientifique, Nassim Haramein.

 

Nassim_Haramein

Nassim Haramein, un des piliers du mouvement Thrive

 

Je vais peut être vous faire sourire en vous disant qu'Haramein a tenté "de me recruter" en prenant contact avec moi il y a quelques années, sous l'angle science. Il n'est effectivement pas dépourvu de connaissances en mathématiques, et en particulier en géométrie différentielle. Plutôt que de continuer à ramer avec la foule de ceux qui tentaient d'y voir clair en cosmologie, après avoir publié un article ou deux dans Physical Review, Harramein préféra mettre son glaive au service de la désinformation, de manière certainement plus lucrative que ce pourrait lui offrir une université.

En refusant, j'ai sans doute loupé une juteuse opportunité. En effet la surface de Boy et beaucoup plus sophistiquée et riche que le tore à gorge nulle, objet devant lequel James Foster Gamble était tombé en arrêt. J'ai toujours pensé, en utilisant en plus les textes Ummo, que j'aurais pu fonder une secte à côté de laquelle la scientologie aurait fait figure de jardin d'enfants.

J'avais également sous le coude des théorèmes susceptibles d'avoir un impact fort comme :

- Deux univers perpendiculaires à un même troisième sont parallèles entre eux

- Une fourchette dont les dents sont infiniment serrées s'appelle une cuillère

- Tout corps astral plongé dans un fluide astral, reçoit une poussée dirigées du bas vers le haut, égal au poids de la matière astrale déplacée.

Dans le film de Thrive vous retrouverez les mêmes thèmes, et très souvent les mêmes personnes, utilisées par Greer dans son film Sirius. Lui-même fait une brève apparition dans Thrive.

Greer c'est la désinformation dans tout ses etats .......à éviter de fait on le voit dans le projet sirius faire des veillées  et invoquer des extraterrestres pour quils apparaissent dit ils aux participants ,ce serait plus liée à de la manipulation cérébrales via des hologrammes ou stimuli par onde electromagnetiques qui permettrait de mettre en état d'hypnose les participants ébahis

 

Publicité
Publicité
9 février 2016

Dans l'univers tout est énergie ! architecture et nature .

greece_2149973a

6 octobre 2015

Montage vidéo inédit - L’existence de Dieu confirmée par la Science ?

mt_blanc_mario

Einstein, “L’escalier de la science est comme l’échelle de Jacob, il ne s’achève qu’aux pieds de Dieu.” Il arrive un moment ou la science n’est plus suffisante pour apporter une explication véritable à nos origines, à notre destiné et au sens de toute chose. La réponse relève donc ensuite plus du bon sens et des considérations métaphysiques que de la science. Peut-être que la vérité ne se trouve ni dans la religion ni dans la science ou dans la philosophie, mais dans les trois réunies…

Néanmoins, il demeure intéressant de constater et de souligner un fait : plus la science avance, plus les textes sacrées des temps anciens se confirment et se révèlent être exacts et en adéquation avec les récentes découvertes. Il ne s’agit pas de faire du concordisme aveugle, mais d’évaluer simplement les faits :

Songer par exemple à la découverte scientifique récente du big bang qui démontrait officiellement que l’univers avait bien un commencement. La lecture de la Genèse l’affirmait déjà il y a plus de 2000 ans. voir l’article : http://www.hebdo.ch/au_commencement_eacutetait_le_big_bang_10612_.html

Songer à la lumière primordiale que l’astrophysique contemporaine a découverte récemment, laquelle indique que l’énergie primordiale de l’univers était d’abord majoritairement sous forme de rayonnement avant que les étoiles ne soient créées. Un communiqué de presse du CRNS dit : “La naissance du cosmos se serait accompagnée de l’émission d’un intense rayonnement”.  Il y a dèjà 2000 ans, la lecture de la Genèse affirme que la lumière fût créée en premier. Voir l’article : http://www.cnrs.fr/cw/dossiers/dosbig/decouv/xcroire/rayFoss/niv1_1.htm

Songer à la datation de l’univers et de la terre qui ont plusieurs milliards d’années alors que le texte de la Genèse affirme dans sa lecture littérale qu’elle aurait été créée en 6 jours et que notre terre serait donc jeune. La science prouve à l’aide de la relativité général d’Einstein que ce n’est pas incompatible et que les deux sont vrais, tout dépend du référentiel-Temps dans lequel on se trouve. Car le temps dépend de la matière, de sa gravité et de la vitesse. Voir l’article : http://www.lamed.fr/index.php?id=1&art=374 . Voir également l’article sur la relativité d’Einstein démontrant que l’écoulement du temps change selon la gravité : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/02/17/01011-20100217FILWWW00785-une-prediction-d-einstein-confirmee.php

Songer à la datation de notre première ancêtre commun appelé dans le monde scientifique “Eve mitochondriale”. La science a daté notre ancêtre commun à 150 000 ou 200 000 ans ? Et bien non, les scientifiques se sont aperçus que leur technique de datation basée sur la vitesse de mutation de l’ADN pouvait être 20 fois plus rapide que ce qu’il pensait, ce qui donne : 150 000 années / 20 = 7500 ans. Selon la genèse, Adam, notre ancêtre commun aurait environ 7000 ans. La genèse est une foie de plus confirmée. Voir l’article : http://www.larecherche.fr/content/recherche/article?id=18480

Songer aux recherches en génétique menées par Cavalli-Sforza et portant sur la linguistique. Ces travaux penchent ainsi en faveur de l’hypothèse d’une langue originelle… La genèse parle elle aussi d’une langue commune avant la construction de la tour de Babel. Voir l’article : http://www.croixsens.net/creation/langage.php

Songer à ces nombreux squelettes de géants retrouvés et datant de plusieurs milliers d’années, la bible affirme que les géants ont existé…

Songer aux preuves archéologiques de la coexistence des hommes avec les dinosaures et développées par le paléontologue Hans Joachim Zilmmer dans son livre l’erreur de Darwin”. Le texte de la Genèse décrit clairement de gigantesque animaux qui vivaient à l’époque de nos ancêtres.

Songer à cette troublante découverte de l’arche de Noé et confirmant encore une fois les récits bibliques : http://www.7sur7.be/7s7/fr/1506/Sciences/article/detail/1098039/2010/04/26/L-arche-de-Noe-decouverte-en-Turquie.dhtml

Songer à cet article, cosigné par Doron Witztum, Eliyahu Rips et Yoav Rosenberg, et paru en 1994 dans la prestigieuse revue de mathématique ”Statistical science’  qui prouve qu’un code contenu dans la bible existe et qu’il ne peut pas être attribué au hasard.

Songer aux Expériences de Mort Imminentes (E.M.I) vécues par des millions de personnes et aujourd’hui étudiées pas de nombreux scientifiques à travers le monde. Les E.M.I apportant des preuves sérieuses que l’esprit n’est pas le produit du cerveau. Il y a 2000 ans, la bible disait déjà que notre corps possédait une âme et un esprit… Voir les articles suivants : http://meditation-pratique.blogspot.com/2010/07/nde-dune-aveugle-de-naissance.html ET http://www.paranormal-info.com/Preuves-medicales-des-NDE.html

Songer enfin aux innombrables prophéties annoncées il y a des milliers d’années et dont la plupart ce sont réalisées… Voir une petite partie ici : http://www.christiananswers.net/french/q-eden/edn-t003f.html

On pourrait continuer longtemps ainsi.. 

http://www.prisedeconscience.org/science/montage-video-inedit-la-theorie-de-la-creation-a-lepreuve-de-la-science-2095

23 septembre 2015

Tesla a été le plus grand génie inventif du vingtième siècle

Orbs3_Tesla

Tesla est né dans la nuit du 9 au 10 juillet 1856 à minuit, de parents serbes, dans le village croate * de Smiljan, près du mont Velelit. Son père, le révérend Milutin Tesla avait quitté l’armée pour les ordres après s’être rebellé. Sa mère Duka avait un sens inné de l’invention et l’enfance de Nikola fut émaillée de mille petites astuces et travaux de cette mère qui ne savait pas lire mais qui savait par cœur des volumes entiers de poésie. Nikola héritera de cette prodigieuse mémoire car il était capable de déclamer des textes entiers de Goethe.  

 

" Le présent appartient aux sceptiques, le futur, pour lequel je travaille, est à moi."

Nikola Tesla

 



Il partit à new York en 1884, avec dit-on 4 cents en poche, la tête pleine de plans de machines tournantes et volantes et de poésie. Se battant pour ses idées, ses différences de vues avec Einstein sur l’ether furent l’objet de vifs débats entre eux.

Après avoir été boudé pendant des décennies, être passé au travers de cabales destinées à le faire tomber dans l’oubli, le génial Nikola Tesla revient en force dans la quête de l’Energie Libre, mais pas avec ce que notre époque - qui utilise pourtant une partie de ses travaux - lui doit encore.

Rappelons qu’il est l’inventeur du moteur asynchrone, qu’il a introduit l’utilisation du courant alternatif et inventé la célèbre bobine à induction qui porte son nom.

Pourquoi dit-on maintenant que Tesla est un génie ? Parce que, dans notre pays, c'est seulement de nos jours que l'on prend connaissance de ce que Tesla avait imaginé, mieux, fabriqué de ses propres mains. Ses inventions censurées permettent de dire aujourd’hui que l’on est passé à côté d’une autre forme de civilisation.

L’idée maîtresse de Tesla était que la Terre, avec son atmosphère formait un immense condensateur dans lequel il suffisait de puiser. Pour bien le prouver, Tesla alluma 200 lampes (10.000 watts en tout) à 40 km de distance de la source d'électricité, sans fils de connexion.

La Terre et l’atmosphère formant un système résonant, l’astuce était d’en " ouvrir le robinet " en créant un système oscillatoire harmonique sur les mêmes fréquences. A cette époque des débuts de la radio, quand les chercheurs étaient moins spécialisés et travaillaient avec tout ce qui leur paraissait relié à leur passion, il était probablement plus facile pour Tesla de comprendre ces principes.

Il travailla d’ailleurs sur les hautes fréquences, fabriqua des télécommandes sans fil, expliqua comment pouvait fonctionner ce qui deviendra ensuite le microscope électronique et découvrit le principe des radar etc.

Il a laissé 135.000 pages de documents qui sont loin d’être toutes exploitées. La légende s’empare de lui car son approche du futur paraît être la bonne.

Les intérêts de quelques puissants ont détourné l’attention du public de cet homme pacifique et sage. Pourtant, le 27/01/1978, paraissait un rapport de recherche intitulé '' les applications de Tesla dans le monde d'aujourd'hui '' à Stock Exchanges Midwest, Montreal et Philadelphie ".
Ce rapport précise d'emblée qu'il '' ne peut y avoir aucun paramètre dans la recherche d'investissement parce qu'une société humaine engendre constamment le changement. La poursuite de la recherche d'investissement consiste à essayer d'identifier le changement avant que son large impact ne soit compris. Ceci est un rapport inhabituel au sujet tellement étranger à la plupart des actionnaires banquiers et analystes '' …mais dont les '' implications seront si grandes sur le travail qu'ils essaient de faire et les responsabilités qu'ils ont ".

Ce rapport était destiné à faire connaître Nikola Tesla et faire comprendre aux Américains concernés " ce que l'Union Soviétique était en train de faire dans le domaine des hautes énergies, des basses fréquences, des ondes électromagnétiques de longue durée, et l'impact qu'elles paraissent avoir sur les conditions météorologiques et finalement les applications de cette technologie par les militaires ".



On peut affirmer que Tesla a été le plus grand génie inventif du vingtième siècle, peut- être le plus grand depuis Léonard de Vinci. Tesla était un personnage remarquable même s’il restait énigmatique aux yeux de tous. Il était connu pour son mode de vie excentrique, mais il a conservé malgré tout un profil social élevé. Tesla avait de nombreux amis, dont Samuel Clemmons, alias Mark Twain.

Comme Margaret Cheney l’écrit, Tesla (comme Einstein) était un "outsider" à vaste champ d’étude. Où d’aucuns s’arrêtaient net, avertis de ce qui ne pouvait pas être fait, lui, continuait. Il disait avoir lui-même " le courage de l’ignorance ".

Les corporatismes scientifiques modernes n’ont aucune tendance à encourager la survie de tels mutants. Il est tout à fait probable que, de nos jours, ni lui ni Edison n’auraient pu prospérer.

Quand on insiste auprès de nos " bons ingénieurs " (qui par le fait lui doivent leur moyens d’existence), ceux-ci vous diront que Tesla a inventé le courant alternatif et la " bobine Tesla " dont ils se servent quotidiennement, mais ils ne pourront probablement rien vous dire sur ses autres brevets (700) pas plus que sur sa capacité à tirer de l’électricité de l’atmosphère, ou ses conclusions disant que la Terre elle-même était un condensateur, ou ses expériences de transmission d’électricité autour du globe, virtuellement dans n’importe quel endroit de la planète.

Quelques traits de caractères et événements curieux de la vie de Tesla

Tesla a été très marqué par le décès accidentel de son frère Daniel âgé de douze ans, enfant surdoué admiré par Nikola. On sait peu de choses à ce sujet. Cet accident est peut-être en relation avec le cheval - très intelligent - qui avait un jour sauvé la vie au père de Tesla. Ses parents ont été très affectés de cette disparition, et tout ce que Nikola faisait et qui aurait pu lui valoir des compliments était évalué en fonction de ce que son frère Daniel était capable de faire. Le développement de Tesla dans l’enfance semble avoir subi un certain retard. Il fut souvent malade et par trois fois laissé pour mort. Il était obsédé par des pensées de souffrance, de mort. Il avait peur des ogres, des fantômes, du diable…Cependant, il adorait lire, cachant même sa bougie pour lire jusqu’à l’aube.

Sa famille le destinait à une carrière ecclésiastique, ce qui l’a fait souffrir longtemps avant de pouvoir arracher à son père, lors d’une grave maladie, l’autorisation de devenir ingénieur.

Le déménagement de sa famille fut également une épreuve car il aimait la campagne, et son amour des pigeons a certainement pour origine les merveilleux souvenirs de ses jeunes années.

Il avait des phobies, il détestait les boucles d’oreille, le camphre, le contact avec les cheveux. Il lui arrivait d’avoir un goût épouvantable dans la bouche en laissant tomber des carrés de papier dans une assiette d’eau. Il exigeait une douzaine de serviettes à chaque repas avec lesquelles il astiquait soigneusement ses couverts en argent. Il aimait tout ce qui était divisible par trois, calculait le volume de ses aliments, de ses boissons.

Grâce à sa vision précoce d’images (perturbatrices au début), Tesla échappa plusieurs fois à la mort : lors de la baignade où, prisonnier sous une structure en bois, il ne pouvait plus remonter respirer à la surface, ou lorsqu’il est resté agrippé à la maçonnerie du barrage dont l’eau avait monté…

L’entraînement intellectuel qu’il avait reçu dans sa famille, et l’introspection qu’il avait eu à pratiquer depuis tout jeune, alliés à la maîtrise des images mentales lui firent acquérir de grandes possibilités. Il se forgea une volonté de fer, capable de se défaire de toutes ses passions, la cigarette, le café, et surtout le jeu.

La censure au sujet de Tesla


A l’âge de 86 ans, Tesla ruiné, est décédé d’une thrombose coronaire dans sa chambre au New York Hôtel dans la 43 ème rue le 7 janvier 1943. Le médecin nota qu’il ne voyait pas de circonstances suspectes.

Quelques jours plus tard, le FBI s’est intéressé à ses papiers dont certains traitaient de nouvelles torpilles, de " rayons de la mort " et de bien d’autres inventions.

Tesla était convaincu du fait que l’Energie Libre existait. Son histoire est bien connue d’un petit groupe de chercheurs et scientifiques dont des russes particulièrement qui consultent les notes et papiers de Tesla au musée de Belgrade. (Voir Michrowski)

On sait bien comment il a déchiré son contrat avec Westinghouse afin de poursuivre son électrification de l’Amérique en courant alternatif, comment on lui a coupé l’herbe sous le pied par l’intermédiaire de J.P. Morgan quand ses expériences de Colorado Springs semblaient montrer que la transmission sans fil était faisable, comment sa tour de Wardenclyffe * à Long Island (une combinaison de station émettrice de radio et d’électricité) a été détruite quand il semblait que son nouveau système dont la théorie et les expérimentations étaient correctes, était proche de supplanter son ancien système à courant alternatif et que chacun pourrait disposer d’une électricité gratuite… mais c'était sans compter que les financiers ne voulaient ni la paix, ni la prospérité pour tout le monde.

En application de la loi FOIA, et après les avoir réclamées pendant 2 ans au FBI, W. Kosanovic, neveu de Tesla a récupéré en 1952 la plupart des archives de son oncle. Quelques dossiers déclassifiés, soit 256 pages (dont beaucoup ne sont ni publiées ni accessibles) contenant quelques informations intéressantes, et des pages sur des événements bizarres. (Voir Lazare Alavanja arrière petit neveu de Tesla dans notre prochain dossier)

Une campagne pour redonner à Tesla , Père oublié de la technologie, la place qu’il mérite

Les livres d’histoire aussi n’ont pas été aimables avec Tesla. Aux USA, des gens font encore référence aux services d’électricité en tant que Société Edison, bien qu’ils utilisent le système à courant alternatif Tesla Westinghouse et pas du tout le courant continu d’Edison.

A la centrale électrique des chutes du Niagara, la petite statue de Tesla n’est même pas éclairée la nuit, délibérément. En 1982, G.D.R., une chaîne de télé allemande passa un film yougoslave sur Tesla produit en 1981 par Kristo Papic de Zagreb. Dans ce film qui a manqué de moyens dans l’assistance technique et scientifique, c’est pourtant Orson Welles qui tenait le rôle de John Pierpont Morgan.

Les étudiants de Robert Wagner de Dexter, Michigan ont mené une campagne destinée à faire entrer Tesla au musée Smithsonian, trouvant très injuste que le musée montre bien son générateur polyphasé, mais dans l’exposition réservée à Edison.

Le buste de l’inventeur offert par les étudiants a été refusé par le conservateur du musée. Le groupe rock "Tesla " s’est allié aux étudiants, une collecte a permis de réaliser le buste en bronze, toujours refusé (en 1996) par le musée qui dit ne pas en avoir l’utilisation.

Le livret traitant des débuts de l’électricité édité par le musée en 1979 ne mentionne même pas Tesla. Pas plus que les manuels ne parlent de la décision prise par la Cour Suprême de Justice des USA en faveur de Tesla (alors décédé) face à Guglielmo Marconi qui avait utilisé 17 brevets de Tesla pour son célèbre signal radio traversant l’Atlantique.

Couverture-Orbs3Format 17 cm x 20 cm MAGAZINE ORBS
192 pages, images et illustrations couleur
Couverture : Carte graphique, vernis sélectif
Papier intérieur : Munken pur 120 gr

21 septembre 2015

Notre corps est une sorte de cristal liquide, un transmetteur idéal pour la communication, la résonance et la cohérence.

notre-adn-change

Il se pourrait bien que l’espèce globale que nous sommes soit au beau milieu d’une transition vers un état de conscience différent. Ce dernier se caractériserait par des propriétés quantiques telles que la cohérence et le champ d’information non-local. Un tel « champ de conscience » transformerait notre relation à autrui, à notre environnement, et élargirait notre réalité de perception. Cette évolution témoignerait de l’intégration d’un autre niveau : depuis des formes d’évolution biologique et socioculturelle vers une évolution neurogénétique. Dans cet article, j’examine comment les dernières découvertes en neurosciences, en biologie et physique quantiques ont démontré qu’une forme de conscience connectée et non-locale est fondée scientifiquement et physiquement. Cela prouve que certains états spirituels et transcendantaux reposent sur des principes valables au sein du nouveau paradigme scientifique.

 

Il est vain de toujours regarder vers l’avenir sans ne jamais agir pour l’avenir. John Frederick Boyes, essayiste anglais (1811-1879)

L’être humain doit devenir ce qu’il se pense être. Rudolf Steiner

La pensée humaine a besoin d’un nouveau modèle incluant l’être humain et sa conscience au sein d’un univers énergétique et qui soit également compatible avec la science moderne et les enseignements spirituels. Toutefois, ce besoin n’exige pas de notre part que nous rejetions le savoir accumulé jusqu’ici. Au contraire, il est question de travailler non seulement à partir de nos connaissances actuelles mais également de les élargir pour faciliter notre passage vers d’autres paradigmes de pensée en termes de conscience et de processus internes à l’être humain. En cette ère d’avancées scientifiques et technologiques, nous pouvons compter sur des découvertes et des études toujours plus exhaustives pour changer notre mode de pensée. Il est possible que les sciences humaines s’intéressent prochainement à notre compréhension de la conscience et à l’intime connexion qui nous unit les uns aux autres et, plus généralement, à notre environnement énergétique.

Récemment, la science a découvert que chacun d’entre nous « se promène » avec un ordinateur bioélectrique de 100 milliards de cellules, responsable du filtrage et de l’interprétation de ce que nous percevons et considérons comme notre « réalité ». La presque totalité de ces 100 milliards de neurones était déjà présente le jour de notre naissance ; avec environ 250 000 neurones créés chaque minute tandis que notre corps prend forme dans l’utérus. Pourtant, ce « décodeur » extraordinaire a subi d’importantes modifications perceptives au cours de notre évolution. Si l’on compare les squelettes des hommes préhistoriques, on ne note aucun changement dans l’anatomie pendant au moins 100 000 ans. En revanche, l’esprit humain, lui, a fait des bonds depuis les premières fresques rupestres. Cela montre que nous sommes passés d’une évolution biologique à culturelle puis neuroscientifique ; mais aussi que la suite requiert le développement de notre système nerveux et de notre conscience. Ce tournant significatif exige à nouveau de stimuler un changement de conscience. La prochaine étape consistera vraisemblablement à basculer vers une évolution neurogénétique. Cela sera nécessaire au dépassement de l’obstacle que nous rencontrons actuellement face au développement. Les civilisations précédentes (connues et peut-être même bien inconnues) se sont effondrées une fois atteintes leurs limites en termes de ressources matérielles, sans avoir cultivé en parallèle la conscience humaine. En temps de transition, il est fondamental qu’une « force d’énergie » consciente soit introduite dans le flot de la vie afin d’activer le prochain pic d’évolution. Sans une telle énergie, les systèmes matériels risquent de devenir incontrôlables (comme c’est le cas actuellement) et/ou de tomber en panne – ce qui pourrait bien arriver prochainement. Cette « force d’énergie » doit servir de tremplin pour aider la civilisation humaine à activer de nouveaux modes de compréhension et de connaissance de soi, souvent évoqués par Maslow comme l’actualisation de soi. Un activateur de ce type pourrait voir le jour, comme tend à démontrer cet article, des découvertes en neurosciences, en biologie et physique quantiques.

Je soutiens que les nouvelles recherches en physique quantique font la lumière sur les travaux relatifs à la conscience, l’esprit et le cerveau humains ainsi que notre système nerveux et matériel génétique (ADN). Ces recherches, sujets de cet article, donnent une vue d’ensemble sur la cohérence existant entre notre biologie, notre physiologie et un champ énergétique de conscience. Nous pouvons en déduire que nous sommes au bord d’une possible évolution quantique de l’espèce humaine. Il est également raisonnable de penser qu’il y a d’ores et déjà de nouvelles générations qui, en tant qu’agents de changement de l’évolution, présentent les symptômes desdites transformations. Comme pour tout passage évolutif, les prémisses d’une telle métamorphose sont déjà présentes au sein de l’espèce avant que le changement ne se généralise. Nous reviendrons plus tard sur ces spéculations.

Il est légitime de déclarer que notre civilisation globale se trouve désormais à un carrefour de développement en termes de ressources physiques et modes de pensée. Il est par conséquent impératif que nous orientions nos facultés de perception vers une potentielle transformation de l’évolution de la conscience. Ces dernières années, au moins chez les sociétés occidentales, la croissance s’est réalisée au détriment d’une évolution consciente. C’est l’une des principales raisons des échecs culturels de ces temps fondamentaux ; il y a eu peu de préparation, de discussion et de recherche sur la façon dont l’humanité pourrait gérer, physiquement et mentalement, un changement important qui bouleverserait les systèmes de croyance religieuse et scientifique. Cette ère matérialiste a tendance à reléguer les préoccupations spirituelles au rang de fantaisies. De la même manière, les personnes spirituelles considèrent souvent que la science n’est pas à même de nous guider vers le futur. Par conséquent, une grande quantité d’énergie a été investie dans la création d’un monde instable et radicalement divisé. Cependant, une réconciliation entre scientifiques et humanistes (Les deux cultures de C.P. Snow) ; et une fusion des recherches et des énergies s’avèrent nécessaires pour encourager une compréhension progressive de la trajectoire évolutive de notre espèce. Dans le pire des cas, nous pourrions faire face à un processus de dévolution. Quoi qu’il en soit, j’affirme que ce ne sera pas le cas. Cependant, une partie de notre dilemme réside dans notre aveuglement quant au fonctionnement de nos facultés mentales et perceptives.

Le cerveau humain, en tant que regroupement de cellules nerveuses, se comporte comme un récepteur de fréquence à plusieurs couches. Dû à un conditionnement initial en début de vie, chaque récepteur est configuré pour capter une certaine fréquence d’onde. Lorsque ces récepteurs s’accordent sur une forme d’ondes de fréquences spécifique, une réponse de « reconnaissance des formes » est envoyée au cerveau et interprétée en fonction des perceptions correspondant à cette fréquence. En d’autres termes, le fait de « s’accorder » implique l’interception de formes de fréquence familières dans l’océan de fréquences qui nous entourent constamment. En s’accordant sur ces mêmes formes, encore et encore, nous renforçons une certaine image de la réalité. Nous nous accordons sans le savoir sur une forme de réalité consensuelle à partir de laquelle nous construisons constamment  notre perception. Les formes de fréquences « étrangères » sont souvent ignorées car elles ne tombent pas dans notre plage de réception. La perception se crée donc de façon dynamique et continue, le cerveau balayant constamment les bandes de fréquences autour de nous. Cependant, si ce comportement de reconnaissance des formes n’évolue pas au fil du temps notre développement perceptif risque de stagner. Résultat : nous nous retrouvons piégés dans une certaine réalité. C’est pourquoi le développement humain demande que nous changions plusieurs fois de paradigmes afin de faire évoluer nos schémas collectifs de perception et de pensée. Autrement dit, notre développement repose sur des processus à la fois biologiques et psychiques. Selon Gopi Krishna, chercheur renommé dans le domaine de la conscience, la « maturation du système nerveux et du cerveau est un processus biologique, dépendant d’une foule de facteurs matériels et psychiques » (1999, 56).

Le point faible de ce processus réside dans notre habitude à ne percevoir que certaines formes et à ignorer les autres informations ou influences sensorielles. Egalement, l’espèce humaine n’a pas été collectivement informée des moyens à sa disposition pour passer d’une bande ou d’une forme de fréquences à une autre. Ce savoir a été détenu par plusieurs traditions de sagesse (ex : chamanisme, écoles mystérieuses et occultes) mais gardé hors du domaine publique. Au final, nous devenons figés et sectaires dans nos « croyances » sensorielles ; nous nous accrochons à une petite partie de la réalité, la percevant comme la totalité. Cependant, le cerveau humain et le système nerveux sont assez « agiles » pour basculer entre plusieurs formes de fréquences et interpréter des « réalités » au-delà du modèle consensuel. Beaucoup d’écoles ésotériques considéraient que le genre humain était trop immature pour endurer une telle préparation, d’où le recours à des rituels d’initiation et des examens de passage strictes et rigoureux. Cet embargo sur le « savoir-faire » a contribué à la domination de la science matérialiste ; au point d’apprendre à écarter toute expérience, ou pulsion, intuitive et subjective. Cependant, il est aujourd’hui nécessaire pour évoluer que notre grande dépendance en termes de recherche de satisfaction matérielle soit compensée par une augmentation des travaux sur la conscience confirmant le rôle clé d’un « esprit commun ». A mon avis, la prochaine étape du développement humain sera de nature neurogénétique, ce qui d’après la terminologie actuelle correspond à une forme de conscience quantique.

COHERENCE QUANTIQUE, CONSCIENCE QUANTIQUE

Le corps humain n’est autre qu’un flux constant de milliers d’interactions et processus biologiques et chimiques reliant entre eux les molécules, les cellules, les organes et les fluides à travers tout le cerveau, le corps et le système nerveux. Encore récemment, on pensait que ces innombrables interactions se produisaient suivant une séquence linéaire, passant l’information comme un coureur passe le relai à son coéquipier. Cependant, les dernières avancées en biophysique et biologie quantiques suggèrent la présence d’un degré élevé de cohérence entre tous les systèmes vivants. Grâce à des recherches scientifiques approfondies, on a découvert qu’une forme de cohérence quantique agissait au sein des systèmes biologiques vivants à travers ce que l’on appelle les excitations biologiques et l’émission de biophotons. Cela signifie que l’énergie métabolique est stockée sous forme d’excitations électromagnétiques et électromécaniques. Ce sont ces mêmes excitations cohérentes qui sont tenues pour responsables de la génération et de la conservation d’ordre à grande distance via la transformation d’énergie et de signaux électromagnétiques très faibles. Après presque vingt ans de recherches expérimentales, Fritz-Albert Popp a avancé l’hypothèse que les biophotons soient émis à partir d’un champ de cohérence électrodynamique au sein du système vivant (Popp et al. 1988). En fait, cela signifie que chaque cellule vivante émet ou renvoie un champ biophotonique d’énergie cohérente. Si chaque cellule émet ce champ alors le système vivant tout entier émet, par conséquent, un champ de résonance – un champ non-local et omniprésent. Etant donné que c’est par le biais des biophotons que le Vivant communique, alors il y a communication presque instantanée tout le long. Et cela, déclare Popp, est la base d’une organisation biologique cohérente – appelée cohérence quantique. Cette découverte a mené Popp à affirmer que la capacité à évoluer repose non pas sur une lutte agressive et une rivalité mais plutôt sur l’aptitude à communiquer et coopérer. Dans ce sens, la capacité intégrée de l’espèce à évoluer n’est pas fondée sur l’individu mais sur les systèmes vivants qui sont inter-reliés au sein d’un tout cohérent :

Les systèmes vivants ne sont donc ni les sujets seuls, ni des objets isolés, mais à la fois sujets et objets au sein d’un univers de signification en communication réciproque… Tout comme les cellules d’un organisme assument différentes tâches pour l’ensemble, différentes populations détiennent des informations non seulement pour eux-mêmes mais également pour tous les autres organismes, élargissant la conscience de la totalité, tout en s’éveillant de plus en plus à cette conscience collective. (Ho and Popp 1989)

Le biophysicien Mae Wan Ho décrit comment l’organisme vivant, notamment le corps humain, est coordonné tout du long et reste « cohérent au-delà nos rêves les plus fous ». Il s’avère que chaque partie de notre corps est « en communication avec le reste par le biais d’un milieu liquide cristallin, réactif, harmonisable et dynamique qui pénètre tout notre corps, depuis les organes et les tissus jusqu’à l’intérieur de chaque cellule » (Ho 1998, 82).

Cela signifie que ce « milieu » dans notre corps est une sorte de cristal liquide, donc un transmetteur idéal pour la communication, la résonance et la cohérence. Ces développements relativement récents en biophysique ont démontré que tous les organismes biologiques sont constitués d’un milieu à cristaux liquides. De plus, l’ADN est une structure en réseau à cristaux liquides (que certains appellent gel-cristal liquide) où les cellules sont impliquées dans une communication holographique instantanée via l’émission de biophotons (une source de lumière). Cela implique que tous les organismes biologiques vivants émettent continuellement des rayonnements lumineux qui forment un champ de cohérence et de communication. Par ailleurs, les biophysiciens ont découvert que les organismes vivants sont pénétrés par des formes d’ondes quantiques. Ho nous apprend que :

… le corps visible se trouve être juste à l’endroit où la fonction d’onde de l’organisme est la plus dense. Des ondes quantiques invisibles se déploient à partir de chacun d’entre nous et pénètrenttous les autres organismes. Par conséquent, chacun reçoit simultanément les ondes de tous les autres organismes, qui se fondent avec sa propre composition… Nous participons donc au théâtre de la création, en permanente représentation. Nous sommes constamment en co-création et en re-création, nous-mêmes et les autres organismes de l’univers… (Ho 1998, 116)

Cette information incroyable place en réalité chaque être vivant au sein d’un champ quantique non-local composé d’interférences d’ondes (où les corps s’emmêlent). Chez les systèmes vivants, c’est également la structure à cristaux liquides qui génère le champ électromagnétique de courant continu (C.C.) traversant le corps de tous les animaux. Il a également été remarqué que ce champ de courant continu possède un mode de semi-conduction bien plus rapide que le système nerveux (Becker 1988). Si les systèmes biologiques vivants agissent au sein d’un champ d’intrication non-local d’énergie de résonance, alors peut-être est-il possible d’en voir la manifestation dans le comportement physique ?

Mae-Wan Ho décrit en quoi les excitations cohérentes de chaque système vivant fonctionnent de la même manière qu’une régate : les rameurs doivent avancer par étape afin de créer une « phase de transition ». Cela indique qu’il y a une tendance inhérente dans la nature, et dans les systèmes vivants, à résonner ensemble (« en synchronisation ») de façon à maintenir l’ordre et la cohérence. Ce type de comportement sert à appuyer la relation entre l’individu et le collectif qui auparavant été considérée comme aléatoire. Cette découverte est importante car elle confère une certaine crédibilité au paradigme naissant d’un « cerveau planétaire » et d’une hausse de l’empathie planétaire. Ervin Laslo, philosophe à système, définit l’intelligence collective comme étant « le réseau de traitement d’information et d’énergie quasi neuronales créé par les 6 milliards et demi d’humains sur la planète. Ces derniers interagissent de bien des façons, publiques ou privées ; à bien des niveaux, locaux et mondiaux » (Laszlo 2008 : intro). Toujours au niveau physique, un bon nombre d’informations s’échangent déjà de plus en plus rapidement. Les principaux réseaux sociaux (tels que Facebook et MySpace) favorisent également l’empathie à distance entre les utilisateurs dans le monde entier. Dans ce cadre, une transformation des relations entre un nombre important de personnes dans le monde est déjà en cours. La science exacte va encore plus loin et avance que non seulement les relations empathiques mais également l’intrication augmentent entre les individus. Cette vision a récemment été corroborée par les neurosciences et la découverte des « neurones miroirs ».

Un « neurone miroir » est activé lorsqu’un être vivant (humains et animaux comme les primates et les mammifères) observe l’action d’autrui. Autrement dit, si un individu en regarde un autre manger une pomme, alors les mêmes neurones seront activés chez l’observateur ; tout comme s’il exécutait lui-même l’action. Ce comportement neuronal a été observé chez l’Homme dans les cortex pariétal inférieur et prémoteur. Le phénomène des « neurones miroir » a premièrement été découvert par une équipe de chercheurs en Italie dans les années 1990 alors qu’ils étudiaient l’activité neuronale chez les macaques. Cela a conduit beaucoup de neuroscientifiques renommés à déclarer que les neurones miroirs jouent un rôle clé dans le processus d’apprentissage (imitation) comme d’acquisition du langage. Pour vulgariser, nous pourrions dire que cette capacité est ce qui lie une personne de façon sympathique et empathique aux circonstances d’une autre personne. Cela pourrait également expliquer pourquoi les gens deviennent si sensibles en voyant les événements diffusés à la télévision, et se mettent même à pleurer en réponse à une scène de larmes. C’est de cette façon que nous sommes émotionnellement pris par l’effet miroir de l’activation neuronale. Si nous considérons que nos corps sont intriqués dans un champ de biophotons électriques à résonance quantique, on peut expliquer comment nous sommes atteints par les autres – via une interférence ou une perturbation du champ. Cette information est de taille lorsque l’on envisage d’accroître l’empathie entre des personnes à distance (via les communications numériques) ainsi que le potentiel d’activation des futures  aptitudes pour la communication télépathique.

Les neurosciences, la biologie et la physique quantiques sont toutes en train de converger et de révéler que nos corps ne sont pas uniquement des systèmes biochimiques mais également un système de résonance quantique sophistiqué. Cela nous aide à comprendre comment le corps peut être efficacement cohérent, et explique ce sentiment  « d’attraction » vers les autres, notamment les expressions : « bonnes vibrations », « bonnes énergies » et « être sur la même longueur d’onde ». Nos corps donc, tout comme nos cerveaux, s’avèrent fonctionner comme des récepteurs/décodeurs au sein d’un champ énergétique d’afflux d’informations. Cela justifie comment le corps humain est capable de stocker une vie entière de souvenirs et d’expériences ; étant donné la quantité de données pouvant être emmagasinée dans ce champ informationnel qui inclut le cerveau et le corps tout entier. Cette compréhension nouvelle du champ informationnel quantique chez l’Homme donne également une certaine crédibilité à l’existence des perceptions extra-sensorielles (PES) et des capacités qui en découlent. La conscience humaine ne se résume pas à de l’empathie, à une relation d’interférences avec d’autres champs de l’esprit ; elle émet et reçoit constamment de l’information. Pourtant, la science matérialiste de nos jours s’est principalement concentrée, jusqu’à récemment,  sur les preuves matérielles « solides » et se débat toujours avec les subtilités de la mécanique quantique. Comme Niels Bohr l’a très bien remarqué : « Si la mécanique quantique ne vous a pas profondément choqué, c’est que vous ne l’avez pas encore saisie ». Le « doux » royaume abstrait des visions et du sens de l’imagination sont généralement laissés aux artistes marginaux, aux mystiques, aux créateurs et autres inventeurs fous. La plupart de nos esprits modernes ont été privés du plein fonctionnement de leur cerveau gauche-droite et ont été limités à l’hémisphère gauche (rationnel) qui fonctionne sur un mode mécanique, linéaire, compétitif et restreint. Grosso modo, le cerveau droit (abstrait) et son monde magique de pensées visionnaires et créatrices a été mis à part et laissé pour compte (McGilchrist 2009). La principale activité de l’hémisphère droit était source de sagesse pour les indigènes, dans les pratiques chamaniques ou autres traditions similaires. La pensée occidentale et matérialiste a voulu l’occulter depuis tout ce temps. D’ailleurs, notre propre conditionnement intellectuel nous pousse bien souvent à juger ces « pratiques magiques » de primitives, barbares et d’à peine dignes de rééducation et/ou de colonialisme occidental. Pourtant, ceux d’entre nous résidant dans l’Ouest « civilisé », avec un hémisphère gauche dominant, évoluent quotidiennement dans un monde de biens matériels et d’attractions extérieures. On nous prône une existence en tant que forces séparées, comme des îles dans une mer déchainée, à la merci d’influences naturelles et physiques ; soumises au hasard. Or, nous savons désormais que ce n’est pas le cas.

Pour résumer, la biologie quantique a démontré que le corps jouit d’un niveau incroyable de cohérence et qu’un champ de conscience existe via l’ADN humain, et partant, le système nerveux. Notre structure biochimique est la rencontre d’énergies complètement intriquées qui se comportent comme un champ non-local à l’intérieur et à l’extérieur du corps humain. De plus, l’ADN est une structure en réseau à cristaux liquides qui émet des biophotons, sources de lumière. Cela nous amène vers une nouvelle considération de l’ADN en tant que générateur de champ quantique.

 

HYPER-COMMUNICATION ET CHAMP QUANTIQUE

 A la lumière de ces dernières découvertes, nous pouvons commencer à parler de l’ADN comme l’ADN quantique. Cela suggère que les 97 % de l’ADN humain qui n’interviennent pas dans la construction de protéines sont actifs au niveau quantique. Il est tout à fait possible qu’une manifestation future de la conscience quantique se fasse par l’activation partielle de ces 97 % de l’ADN dont la fonction a jusqu’ici dérouté tous les scientifiques. Cette activation serait liée à l’état de la conscience humaine ; elle serait restée en veille au vu de son manque de préparation pour sa manifestation. Ce champ de « force vitale » peut s’apparenter à « l’énergie pranique » omniprésente qui, selon Gopi Krishna, constitue le tremplin vers la croissance de l’évolution au sein du système nerveux humain :

Une opportunité omniprésente en tout être humain, en raison du processus évolutif toujours en cours, qui cherche à créer une disposition du cerveau et du système nerveux qui permette à chacun de transcender les barrières de l’esprit et d’atteindre un état de conscience bien au-delà de celui normalement hérité par l’humanité aujourd’hui. (1997, 226)

Cette étape de conscience transcendantale qui est décrite ci-dessus comme faisant partie de notre héritage évolutif naturel dépend du cerveau et du système nerveux humains. Nous savons désormais que le champ quantique de l’ADN est actif au sein de notre corps. Certains biophysiciens parlent déjà du processus quantique comme d’un possible dénominateur commun pour tous les processus vivants. En soi, un champ d’information quantique émis par le corps humain déterminerait la cohérence de notre résonance lumineuse (biophotons) en tant que taux vibratoire. Si la conscience humaine amorce une modification de son taux vibratoire, en réaction aux diverses influences extérieures (cosmiques, environnementales, culturelles), alors il est vraisemblable que l’ADN – en tant que champ quantique – subisse également une modification de sa résonance. Cela pourrait se traduire par l’activation de capacités, à ce jour inactives, contenues dans les 97 % dits inactifs de l’ADN. Cela peut être lié (ou pas) à l’intensification des fréquences électromagnétiques influençant notre système solaire dû à la précession des équinoxes. Il s’avère également que cette partie « inactive » de notre ADN pourrait permettre une forme d’hyper-communication.

Le biophysicien et biologiste moléculaire russe Pjotr Garjajev, qui a étudié l’ADN humain avec son équipe de chercheurs à Moscou, a trouvé que les 97 % « inactifs » de l’ADN détiendraient des propriétés complexes. Garjajev a découvert que l’ADN qui n’est pas utilisé pour la synthèse des protéines sert en réalité à la communication ; ou plus exactement à l’hyper-communication. Selon lui, l’hyper-communication désigne l’échange de données au niveau de l’ADN via le code génétique. Garjajev et son équipe ont conclu d’après l’analyse de la réponse vibratoire de l’ADN qu’il fonctionnerait comme une intelligence en réseau ; et qu’il permettrait l’hyper-communication d’informations entre tous les êtres sensibles. Par exemple, le groupe de recherche de Moscou a prouvé que des chromosomes endommagés (par les rayons x) peuvent être réparés. Leur méthode consistait en la capture des schémas informatifs de l’ADN puis en la transmission de ces mêmes schémas, par modulation des fréquences lumineuses, sur un autre génome afin de reprogrammer les cellules. C’est ainsi qu’ils ont réussi à transformer des embryons de grenouille en embryons de salamandre simplement en transmettant les schémas d’information de l’ADN. Les travaux de Garjajev montrent que certaines formes de fréquence peuvent être projetées (comme pour un faisceau laser) afin de transmettre l’information génétique, prouvant ainsi comment l’ADN agit via les fréquences vibratoires et la résonance. Cela signale également que l’ADN humain peut être modifié, ou altéré, par l’impact de fréquences extérieures. Les résultats de ces recherches tendent à prouver l’existence de phénomènes tels que la guérison à distance et autres aptitudes psychiques. Elles suggèrent aussi que l’ADN est un « langage » dynamique, fluide et vivant qui, en tant que champ informationnel quantique, est réceptif aux ondes laser (comme dans l’expérience mentionnée ci-dessus) mais également au son et aux ondes électromagnétiques (EM) – pourvu que les bonnes fréquences sont appliquées.

Le fait que l’ADN humain soit influençable et modifiable par fréquence (son,  lumière, langage et pensée) est probablement connu depuis des siècles par les maîtres, les mystiques et les traditions spirituelles. C’est peut être la raison pour laquelle une quantité d’exercices se fondent sur la concentration de la pensée (prière), les sons (musique, chants), la lumière (exposition à la lumière naturelle ou artificielle comme les verres teintés) et le langage/parole (récitations de mantras ou zikrs). L’ADN s’avère procéder non seulement comme un constructeur de protéines (fonction minoritaire) mais également comme un milieu de stockage, de réception et de communication d’informations. Le fait que Garjajev et ses collègues russes aient également trouvé des exemples où l’ADN pourrait avoir un comportement perturbateur sous vide – résultant en la production de ce qui semble être des trous de vers magnétisés – est quelque peu plus controversé. Ces trous de vers se sont avérés fonctionner comme des connexions en dehors de nos champs spatio-temporels habituels (ce qui sous-entend une communication inter-dimensionnelle). Ce phénomène mérite en effet des analyses et des expérimentations plus poussées. Quoi qu’il en soit, il semble possible que l’ADN soit impliqué dans plusieurs formes d’hyper-communication desquelles nous ne savons que très peu de choses présentement.

Afin d’appuyer les propos de Garjajev quant à l’hyper-communication, nous pouvons observer comment des principes similaires sont présents dans la nature. Par exemple, l’organisation d’une fourmilière se fait selon une forme de communication répartie. Lorsque la reine est séparée de sa colonie, les ouvrières continuent de construire conformément à un certain type de patron. Mais si la reine meurt, alors tout le travail de la colonie cesse comme si le patron avait soudainement été supprimé. Cela sous-entend que la reine n’a pas besoin d’être physiquement présente pour la poursuite des opérations. En revanche, elle doit être en vie sinon la conscience du groupe disparait du champ informationnel d’hyper-communication. Nous pouvons donc nous référer à ces formes d’hyper-communication comme à un champ de conscience quantique, ou tout simplement,  à la conscience quantique (étant donné que « quantique » implique la notion de champ non-local).

De la même manière, des phénomènes à distance tels que la guérison, la détection ou la télépathie peuvent fonctionner selon le même principe. Pour simplifier, nous pourrions dire que beaucoup d’entre nous l’ont ressenti sous la forme d’intuition et d’éclair d’inspiration. Nous pourrions même recevoir ces formes d’hyper-communication pendant notre sommeil. Il existe une quantité innombrable de personnes, d’artistes ou de concepteurs… qui ont été inspirés en rêve. Nous pouvons citer en exemple le compositeur italien Giuseppe Tartini qui a rêvé qu’un diable s’asseyait à son chevet pour lui jouer un air de violon. Le lendemain matin, Tartini écrivait la pièce de mémoire et l’intitulait La sonate des trilles du diable. Ces expériences ont tendance à se généraliser ; à moins que ce ne soit parce que les personnes se sentent davantage prêtes à en parler. Aussi, certains signes  indiquent que la nouvelle génération manifeste une forme plus élevée de clairvoyance et de dons extra-sensoriels. Cette sensibilité pourrait indiquer qu’une forme plus élevée de conscience collective soit en train d’émerger au sein de l’humanité ; et que ces capacités trouvent désormais plus d’occasions de s’exprimer. A cet égard, nous ferions bien de revenir aux pratiques recommandées depuis des siècles par les maîtres et les traditions spirituels : méditation, réflexion, observation, attention, etc. Einstein était connu pour avoir la tête « dans les nuages » et il a souvent déclaré que sa plus grande source d’inspiration lui venait lors de cet état de conscience. Nous pourrions donc encourager une relation plus authentique avec l’humanité en portant notre attention sur notre état et en nous mettant en quête d’harmonie et d’équilibre dans nos vies.

 

 ETATS QUANTIQUES ET CHAMP AKASHIQUE

Les outils permettant d’améliorer les états dits intérieurs (ou “quantiques”) existent et font partie de beaucoup de traditions, que ce soit au sein des principales religions (christianisme, islam, judaïsme, sikhisme) ; ou des autres courants de sagesse tels que le bouddhisme, le taoïsme et les pratiques méditatives. Sont également disponibles des documents écrits (livres, contes et poèmes) ayant pour but de stimuler l’activité de l’hémisphère droit. On peut citer le cas des histoires soufies (contes du Mulla Nasrudin) mais aussi d’histoires plus populaires telles que les contes des mille et une nuits  et les poèmes de Jalalludin Rumi (classés parmi les meilleures ventes en Occident). Nombre de ces traditions encouragent ainsi la méditation à plusieurs comme moyen d’encourager la conscience de groupe et la relation quantique. Il a été démontré que les méditants expérimentés peuvent atteindre un niveau très élevé de synchronisation interhémisphérique. Pareillement, il a été prouvé que les personnes qui méditent ensemble synchronisent leur activité cérébrale. Grâce à un électroencéphalogramme (SPECT), on a pu observer cette synchronisation de l’activité des ondes cérébrales chez les participants. Nous pouvons désormais avancer que ceci est le résultat de la résonance produite entre les différents champs quantiques, comme l’ont démontré les dernières recherches en biophysique. Dans une certaine mesure, cela a été reproduit par la vaste gamme de matériel audio à technologie hémisphérique qui est désormais en vente sur le marché (à qualité variable). Ces stimulateurs déclenchent un état modifié de conscience (EMC) ; ce que certains médecins appellent une conscience transpersonnelle. En ces états, des personnes ont éprouvé des connexions très profondes avec ce qui est généralement appelé la conscience collective. Le philosophe Ervin Laszlo nomme ce champ d’information collectif : champ akashique (2004).

Il est désormais raisonnable de supposer que ce bien nommé champ akashique non-local est en réalité une partie de notre champ de conscience quantique commun (nos champs se chevauchant). Si tel est le cas, nous pouvons nous demander si l’ADN, qui émet des biophotons et dispose de propriétés inter-dimensionnelles, ne serait pas lui-même le siège de la conscience quantique. La science moderne a bien longtemps considéré le cerveau humain comme étant le centre de la conscience ; mais cela reviendrait à la pensée matérialiste et linéaire que la conscience est le résultat de la matière complexe. Le cerveau est en effet la formation neurologique la plus complexe que nous ayons ; elle consiste en un réseau très intriqué de synapses. Pourtant, il est bien plus probable que le cerveau fonctionne comme le récepteur et transcripteur des signaux électriques émis à partir de l’ADN quantique. De cette façon, les trillions de sections de l’ADN humain agissent comme un champ quantique cohérent pour réguler chacune des parties de notre corps, simultanément et à chaque instant. Le corps humain est donc un champ quantique qui résonne ; il renfermerait des propriétés inter-dimensionnelles et pourrait être le « dépositaire » de la conscience. Notre réalité est donc le produit du travail de notre cerveau, qui transcrit les signaux en perceptions, mais c’est bien l’ADN qui est une intelligence vivante. L’idée que l’ADN soit une intelligence vivante n’est pas nouvelle pour beaucoup de traditions de sagesse indigènes. Par exemple, comme l’anthropologue Jeremy Narby l’a remarqué, les chamanes qui vivent des états de transe semblent souvent entrer en communication avec l’ADN comme moyen d’acquérir des connaissances sur les plantes, la guérison et le monde des esprits (Narby 1999). Par conséquent, Narby a exploré comment la Nature est également imprégnée de cette forme d’intelligence vivante, qui agit comme modèle de survie pour permettre la croissance de l’évolution (Narby 2006). Des chamanes, des personnes intuitives et d’autres personnes capables d’accéder à cette intelligence vivante perçoivent un « modèle » ou un patron derrière toutes les structures physiques, ce qui indique qu’un champ quantique d’intelligence vivante agit comme un tremplin évolutif pour tous les systèmes vivants.

Nous pouvons donc supposer que l’ADN humain, agissant comme champ d’énergie quantique, est aussi vraisemblablement le siège de la conscience humaine. De plus, nous pouvons dire que ce champ de conscience est exactement la même chose que le champ akashique. Aussi, de récentes  recherches suggèrent que l’ADN réagit à certaines influences externes telles que celles suscitées par la prière, la méditation et des sons ou des vibrations spécifiques. Cela offre des possibilités surprenantes quant à notre bien-être et à l’évolution de l’Homme, pourvu que nous nous montrions capables d’une certaine forme de communication avec notre propre intelligence vivante (notre « Moi supérieur » ?). Nous aurions même le potentiel d’interagir avec notre propre structure cellulaire en focalisant son esprit et en définissant clairement ses intentions. Cela aurait de profondes répercussions et suggérerait même que l’humanité ait l’opportunité d’entrer en relation – via la conscience quantique – avec son propre ADN et dessein de vie. Par ailleurs, si la résonance et les vibrations de conscience quantique peuvent se transmettre d’une génération à l’autre, alors il se pourrait que les nouvelles générations présentent des schémas de conscience différents. Cela pourrait constituer les signes avant-coureurs de l’évolution neurogénétique de l’humanité. Ces nouvelles générations seront les « agents de l’évolution » qui ouvriront la voie de la renaissance et du renouveau socioculturel.

LES AGENTS DE L’EVOLUTION – PROCHAIN SAUT QUANTIQUE ?

La conscience quantique (intelligence du vivant) pourrait bien correspondre au prochain stade de l’évolution de l’humanité ; c’est-à-dire, l’évolution de l’esprit planétaire de l’humanité. Bon nombre de mystiques et de spécialistes de la conscience y ont fait allusion sous plusieurs noms : allant de conscience cosmique ou super conscience, jusqu’à conscience transpersonnelle ou encore conscience intégrale… Toutes ces dénominations ont un point commun, à savoir : une amplification de l’intuition, de l’empathie et une meilleure connexion avec le monde et les autres ; mais également un sentiment de « savoir » ce que chaque situation exige. De plus, une telle forme de conscience quantique pourrait bien insuffler à chacun le sens du Grand Tout cosmique : la compréhension que l’humanité existe et évolue au sein d’un univers intelligent rempli de signification (peut-être même inter-dimensionnel). Cela participerait à donner un élan spirituel plus profond et mieux accepté au sein de l’humanité. Nous pouvons supposer qu’un basculement des forces géomagnétiques de la Terre (comme c’est déjà le cas) ; la variation des rayonnements entre chaque cycle solaire ; les pulsations galactiques émanant du centre de la galaxie ; le passage de notre système solaire par une partie plus « énergisée » de l’espace interstellaire ; pourraient – tous à leur façon – se traduire par des formes d’onde (vibrations) accrues pénétrant le champ quantique de l’ADN et facilitant un changement de la conscience humaine. Le pont menant à un nouveau degré d’intelligence vivante est par essence un passage vibratoire. Si ce dernier a le potentiel d’activer la conscience quantique, cela pourrait accroitre les facultés intuitives et les phénomènes extra-sensoriels devenant alors non seulement une partie importante de nos vies mais ouvrant également les portes d’une plus grande créativité et des capacités inventives servant les futurs de l’Homme. L’émergence de ces attributs chez une masse critique pourrait déterminer le prochain « saut quantique ». Les signes de ces nouvelles formes de conscience commencent à se manifester dans le monde, mais pour l’instant ils ne font pas l’objet de la recherche générale. De tels agents « mutationnels » de l’évolution regroupent des visionnaires, des mystiques, des artistes, des médiums, des personnes intuitives, des maîtres spirituels et ceux qui ont été nommés « enfants indigo » (Atwater 2005). Ces enfants (appelés « indigo » pour la couleur présumée de leur aura) sont décrits comme possédant une empathie, une créativité, une curiosité et une volonté accrues. Ils sont également censés être davantage enclin à la spiritualité dès leur plus jeune âge ; et avoir de fortes capacités intuitives. Du fait de leur résistance naturelle à l’autorité, ils sont considérés par le scolaire conventionnel comme étant perturbés, rebelles ou exclus. Pourtant, ce n’est là rien de nouveau : au cours de l’histoire, les acteurs sociaux ont eux aussi ressenti l’appel – et eu l’intuition – de résister à l’autorité et d’instaurer le changement (Billington 1998). Beaucoup d’individus ayant pris conscience du besoin de semer la graine de l’évolution dans la vie sociale ont été pris par les événements révolutionnaires et/ou impliqués dans les bouleversements socioculturels. Krishna remarque que ces élans évolutionnaires ont germé à partir de cette graine.

Je peux affirmer en toute confiance que les progrès réalisés par l’Homme dans tous les domaines –  depuis le stade sous-humain jusqu’à l’actuel – sont bien moins dus à ses propres faits qu’à l’activité des forces évolutionnaires en lui. Chaque inspiration d’invention, de découverte et d’œuvre d’art ; chaque création d’organisations politiques et sociales provient invariablement de l’intérieur, d’entre les profondeurs de sa conscience et par la grâce … d’une force évolutionnaire super intelligente chez l’être humain (1993, 166).

Ces élans témoignent des efforts, tentatives ou mouvements sociaux participant à fertiliser le “sol mental” afin qu’une nouvelle conscience puisse lentement s’enraciner et croître. En effet, les forces sociales, culturelles et matérielles mettent généralement un certain temps à répondre au besoin d’un paradigme de conscience évolutif.

Nous pouvons dire que pour une croissance continue de l’espèce et de la culture, certaines périodes de l’Histoire s’avèrent plus favorables : lorsque l’humanité est prête, voire aspire, à une activation des facultés et/ou des caractéristiques évolutionnaires. Il se peut que, en cette période culturelle fondamentale, l’humanité s’adapte d’elle-même ou qu’elle soit forcée de développer des aspects de conscience plus créatifs et inspirés. Cette transition – une partie de ce que j’appelle l’évolution neurogénétique – mettra à mal beaucoup des structures sociales désormais obsolètes qui ont largement divisé la pensée humaine. Cependant, comme dans tout changement de paradigme, les vieilles énergies doivent inévitablement faire place aux nouvelles, et ce n’est qu’une question de temps avant que les nouvelles générations passent à une conscience évolutive et à ses manifestations. Il est donc essentiel qu’une compréhension des questions spirituelles commence à transparaitre dans notre quotidien, et ce afin de contrebalancer le matérialisme social. Dans les années à venir, il est important que nous essayions de développer une conscience qui soit réceptive aux influences spirituelles, tout en étant conscients et attentifs aux dernières avancées scientifiques. Il est impératif que nous redonnions vie à notre sens collectif du bien-être et du lien qui nous unit – notre intrication – en tant qu’élément de notre développement à tous. Il est possible qu’un nouvel état de conscience quantique permette à l’humanité d’accéder à un champ d’information énergétique inimaginable. Cela ouvrirait donc de nouvelles perspectives d’intelligence créative et présagerait la suite sur le chemin de notre ascension.

 

CONCLUSION

Pour résumer, l’humanité en tant qu’espèce globale pourrait être au milieu d’une transition vers un état de conscience différent. Ce nouvel état pourrait vraisemblablement être caractérisé par des propriétés quantiques telles que la cohérence et les informations de champ non-local. Pour cette raison, j’ai qualifié ce nouvel état de champ de conscience quantique. Ce champ de conscience transformera notre relation à autrui, au monde, et étendra nos réalités de perception. Il pourrait aussi faire naître d’autres facultés, latentes jusqu’à présent, telles qu’une intuition, une télépathie et une pensée visionnaire accrues. Certaines de ces caractéristiques apparaissent déjà chez les nouvelles générations appelées « enfants indigo ». Ce développement évolutionnaire atteste d’une transition depuis des formes d’évolution biologiques et socioculturelles vers l’intégration d’un nouveau niveau : neurogénétique. Je soutiens que cette phase neurogénétique est essentielle pour permettre à l’humanité de grimper un nouvel échelon sur l’échelle de l’évolution. Comme un penseur l’a récemment remarqué : « nous vivons une période de changement où l’humanité se transforme. Notre conscience, au vaste potentiel de développement, doit vivre un lâcher-prise des vieilles structures limitatives, et marquer une rupture pour une expansion rapide… Nous avons besoin de comprendre les phénomènes en profondeur, et ne pas simplement accepter ce qu’on nous dit, ou ce qui nous est donné par le biais de circuits et d’institutions sociales bien structurés. Nous devons apprendre à accepter que notre pensée est une grande force spirituelle et concrète pour instiguer le changement. (Gulbekian 2004, 251) Si une personne n’était pas suffisamment préparée aux conséquences du changement alors cela pourrait causer déséquilibre et confusion. La responsabilité personnelle veut que chaque personne recherche l’équilibre des énergies intérieures et extérieures ; et de renforcer son sens de connexion, d’empathie et de vision créative. Les nouvelles découvertes en neuroscience, biologie et physique quantiques ont montré qu’une forme de conscience connectée non-locale a une base scientifique. Cela démontre que certaines expériences transcendantales ou spirituelles d’une unicité collective ont une base valide au sein d’un nouveau paradigme scientifique. Nos futurs évolutionnaires n’ont pas à être divisés entre la science et les sciences humaines mais peuvent être – doivent être – une fusion créatrice et un partenariat collaboratif.

 

Traduction réalisée par Jennifer Dureau  (contact : dureau.jennifer@gmail.com)

 

NOTES

 

1. Voir The Structure of Scientific Revolutions de Thomas Kuhn pour plus d’informations sur les changements de paradigme.

2. John von Neumann, mathématicien éminent, a calculé que lors d’une durée de vie moyenne de soixante-dix ans nous accumulons quelque 280 milliards de bits d’informations (Wiener 1961).

3. La précession des équinoxes (ou la Grande Année) se réfère au passage graduel de l’orientation de l’axe de rotation de la Terre, qui forme un cône dans un cycle d’environ 26 000 ans.

4. Pour plus d’informations, voir les travaux de Grazyna Fosar et Franz Bludorf.

5. Voir les nombreux rapports au sujet des “Enfants indigo” ou “nouveaux enfants” (Atwater 2003, 2005, Carroll and Tober 2004).

6. Voir le recueil de contes d’Idries Shah.

 

 REFERENCES

Atwater, P. M. H. 2003. The New Children and Near-Death Experiences. Rochester, VT: Bear & Co.

Atwater, P. M. H. 2005. Beyond the Indigo Children: The New Children and the Coming of the Fifth World. Rochester, VT Bear & Company.

Becker, R. O. 1998. The body electric. New York: William Morrow.

Billington, J. H. 1998. Fire in the minds of men. Piscataway, NJ: Transaction Publishers.

Carroll, L. and Tober, J. 2004. The Indigo Children. London: Hay House.

Fosar, G. and Bludorf, F. 2001. Vernetzte Intelligenz: Die Natur geht online. Omega Verlag Bongart–Meir.

Gulbekian, S. E. 2004. In the belly of the beast: Holding your own in mass culture. Charlottesville, VA: Hampton Roads.

Ho, M.-W. 1998. The rainbow and the worm: The physics of organisms. Singapore: World Scientific.

Ho, M.-W. and F. A. Popp. 1989. Gaia and the evolution of coherence. In 3rd Camelford Conference on the Implications of the Gaia Thesis: Symbiosis, Cooperativity and Coherence. The Wadebridge Ecological Centre, Camelford, Cornwall.

Krishna, G. 1993. Higher consciousness and Kundalini. Ontario, CA: F.I.N.D. Research Trust. ———. 1997. Kundalini: The evolutionary energy in man. Boston, MA: Shambhala. ———. 1999. The dawn of a new science. Markdale, ON: Institute for Consciousness Research.

Kuhn, T. 1996. The Structure of Scientific Revolutions. London: The University of Chicago Press.

Laszlo, E. 2004. Science and the Akashic Field: An integral theory of everything. Rochester, VT: Inner Traditions. ———. 2008. Quantum shift in the global brain. Rochester, VT: Inner Traditions.

McGilchrist, I. 2009. The master and his emissary: The divided brain and the making of the western world. New Haven, CT: Yale University Press.

Narby, J. 1999. Cosmic serpent: DNA and the origins of knowledge. London: Phoenix. ———. 2006. Intelligence in nature. London: Jeremy P. Tarcher.

Popp, F.-A., K. H. Li, W. P. Mei, M. Galle, and R. Neurohr. 1988. Physical aspects of biophotons. Experientia 44: 576–585.

Shah, I. 1985. The Exploits of the Incomparable Mulla Nasrudin. London: Octagon Press.

Snow, C. P. 1964. The Two Cultures and a Second Look: An Expanded Version of the Two Cultures and the Scientific Revolution. Cambridge: Cambridge University Press.

Steiner, R. 2006. Secret Brotherhoods and the Mystery of the Human Double. Forest Row: Rudolf Steiner Press.

Wiener,N. 1961. Cybernetics: or control and communication in the animal and the machine. Cambridge, MA: M.I.T. Press.

QUANTUM CONSCIOUSNESS_fr

18 décembre 2014

Eau, vaccins, chemtrails Ils effacent votre mémoire !

mind-control2_banner-640x267

Sophie Le Gall, la réalisatrice, a parcouru la France pour recueillir les preuves de la contamination de l’eau et interpeller les autorités...
C’est un danger invisible qui menace les foyers, une menace pour la santé des Français, des plus jeunes aux plus âgés. Les citoyens l’ignorent, l’eau potable qui coule de leurs robinets est souvent co...

Publicité
Publicité
1 2 3 4 5 6 7 > >>
Publicité