Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
rusty james news
rusty james news
  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog

 

90243223_3015402811831487_8561877086778687488_o (1)

3323033

coronavirus-patentes

images (19)

219-2199429_love-heart-beautiful-wallpapers-happy-valentines-day-nature

1025600_652515874786871_1894874949_o


nVskOPKB

téléchargement (100)

universal-biometric-identity-1024x576

91848411

téléchargement (11)

tree_horizon_sunset_128367_5000x2830

f04543b60ef77267e2b31c5f3920fbb0

photo-1542805700-2fadb851b97a

qxJUj0O

 

pIHMc8u

7kKizZj

ZcuYl3V


sea-beach-sunset-boats-red-sky-1080P-wallpaper-middle-size

night-sky-background-7047

sky-wallpaper-38

18557077_1435376306500820_5842715664996553589_n

 

 

798041343248-national-geographic-wallpaper-zealand-photo-waikawau-desktop-bigest-images

Firefox_Screenshot_2017-02-18T13-56-14

16195622_1077703329024709_5740688279216232976_n

sf

 

Pyramides-Gizeh

atlantide-compressor

Ancien-arbre-1

Ancien-arbre-2 - Copie

Ancien-arbre-3 - Copie

h21

h25

h25

h26

h27

SDSDS

SZSDFZFS

ZDZD

931270ecd7_50010171_bohr-heisenberg-aip-niels-bohr-library

don

 

1a686c3b37ddba12f5e282679288047b

62e74d09a526f5250c3c16f5bbb7d342

3a2057e1930aac61c9451db179973253

5aa85f74b15975d75e8a6d4e547b40b0

5c3e0b7842f37a0d63504d0a032ca422

5f6fce1a34d9027bdedb78ef0658a5af

9dbf5fc4a80275b619f44e3e7a8314d2

a37cf9c85664975cf3660c8f21f70899

a96a954487d536bd6f75942a6d02f5b9

a977356a4e04ae0cdaf4c67ca90d1939

ad9ee9f2e4a1d0e83945b78313c60f27

b7e27913185d0679a669ce0f634d95f0

Archives
25 décembre 2011

Une quinzaine de cas graves d’effets secondaires suite à la prise de médicaments contre le rhume

rhume-608993

La pharmacovigilance continue de faire parler d’elle. La cible cette fois ? Le rhume !

 

Une quinzaine de cas graves d’effets secondaires ont été détectés suite à la prise de médicaments que tout le monde connait, et que tout le monde a déjà pris au moins une fois. Ces médicaments contiendraient des vasoconstricteurs qui pourraient être néfastes et pourraient conduire dans certains cas à des problèmes cardiovasculaires.

 

Les médicaments concernés sont :

- les spécialités administrées par voie nasale (sur prescription),
- les spécialités administrées par voie orale. Exemple : Actifed, Humex rhume…
L’Afssaps rappelle qu’il faut impérativement suivre les posologies, et que dans les cas de rhume, ne pas dépasser 5 jours. Le rhume, aussi contraignant soit-il, se gérit tout seul en quelques jours.

 

Dernier point, pour vous aider à mieux faire passer votre rhume :

- Lavage des zones attaquées avec du sérum, spray d’eau de mer etc.,
- Aérez vos pièces et maintenez une température de 19° en moyenne,
- Dormez la tête surélevée.

enfin pour vous débarasser des rhumes cure vit c 1g par jour pendant 2 mois + 650mg de quercetin et lysine

Publicité
Publicité
25 décembre 2011

Danone en procès aux Etats Unis pour publicité mensongère à propos de ses produits Activia et Actimel

logo-corporate-danone

Un procès contre Danone aux Etats Unis qui fait l’objet du silence des médias

THE DANNON Co, filiale américaine de DANONE, est attaquée en justice aux Etats-Unis pour publicité mensongère concernant les yaourts bio Activia, Activia Lite et DanActive. Cette action collective met en avant le manque de preuves scientifiques de DANONE permettant à celui-ci d’affirmer que ces yaourts sont plus bénéfiques que d’autres pour la santé. Ils souhaitent le remboursement de tous les consommateurs ayant acheté ces yaourts et une "campagne publicitaire corrective".

En France, aucune publicité donnée dans les journaux télévisés pour cette information importante, compte tenu du battage médiatique pour ces petites bouteilles en plastique qui détiennent un triste record du poids de plastique par rapport au poids du produit...

Des produits Danone pourtant sous la surveillance de l’EFSA

Pourtant, ces mêmes produits font bien tardivement l’objet de l’intéret des autorités sanitaires européennes. Selon le Monde du 16/04/2010,Danone renoncerait à vanter les bienfaits pour la santé de deux de ses produits vedettes afin d’éviter une publicité négative et des procès.

Invoquant "le manque de visibilité dans l’application du règlement européen sur les allégations santé", le groupe agroalimentaire a annoncé qu’il retirait des bureaux de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) ses demandes de labélisation santé pour les yaourts Activia (2,6 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2009) et le lait fermenté Actimel (1,2 milliard). Des produits représentant à eux deux presque 25 % du chiffre d’affaires du groupe et sur lesquels l’EFSA devait rendre son avis d’ici à quelques semaines.

Concernant Actimel, la demande était double : l’EFSA devait autoriser ou non Danone à faire état d’une amélioration des défenses intestinales en général et d’une aide contre les diarrhées aiguës. Pour Activia, le produit devait pouvoir être promu comme un facilitateur de la digestion et une aide au transit intestinal. Tirant les conséquences de ce retrait, Danone a annoncé qu’il modifiait sa communication publicitaire et renonçait à toute allusion à un quelconque bénéfice sanitaire précis concernant ses laitages Activia et Actimel.

Un article du Monde très pro-Danone et anti-EFSA

Curieusement, dans le même article du Monde, le journaliste Yves Mamou se fait le porte parole de Danone donnant à sa prose un caractère suspect de publi-reportage déguisé.

Ainsi, il présente ce double retrait comme provisoire en attendant la soi disante clarification des critère de l’EFSA : Danone n’aurait ainsi pas voulu prendre le risque de renouveler la triste expérience de l’Immunofortis. En février, l’EFSA avait refusé d’homologuer les qualités médicales de cet ingrédient censé améliorer les défenses immunitaires des bébés.

L’Autorité européenne (EFSA) est ensuite présentée comme "peu souple" et source de dépenses supplémentaires pour les groupes alimentaires alimentaire qui ont choisi la santé du consommateur comme axe stratégique ( coût des études cliniques pour étayer les allégations santé).

Le journaliste Yves Mamou s’inquiète aussi pour le futur du groupe s’il ne peut plus bénéficier d’allégations de santé pour ses produits de masse en arguant qu’il y aurait un risque qu’il résiste moins bien à la concurrence des produits similaires vendus sous marque distributeur...

Danone de plus en plus axé sur le juteux marché des alicaments (alicaments : aliments ayant des qualités curatives, de médicament)

L’enjeu est important car, comme le fait remarquer un analyste voulant garder l’anonymat, "c’est la capacité à imposer des prix élevés sur des produits alimentaires dits de santé qui est menacée". Le marché des produits laitiers en particulier, où Danone est numéro un mondial, est tiré par la migration des aliments classiques vers les alicaments.

Or, Danone a justement axé sa stratégie sur ces produits réputés "bons pour le corps", avec "un portefeuille de métier 100 % santé et nutrition". Pour y parvenir, le groupe s’est ainsi délesté des biscuits LU (vendu à l’américain Kraft), en 2007, avant de racheter Numico, spécialiste de la nutrition médicale et infantile.

Selon les statistiques du cabinet Euromonitor, le marché européen des aliments "santé-bien-être" a augmenté de 25,6 % en cinq ans, passant de 100,1 à 125,7 milliards d’euros. En France, ce même marché est passé de 15 à 17,3 milliards, soit une augmentation de 15,6 %

25 décembre 2011

Le Manuscrit Secret du Moyen Age

13936

l’abri dans une bibliothèque poussiéreuse, sous clé, se cache un manuscrit étrange et obscur qui recèle les secrets oubliés du monde médiéval.

Composé de 150 feuillets en papier et écrit en dialecte souabe, le livre sur le Combat de 1459 est un des plus mystérieux manuscrits du Moyen-Âge au monde.
Dans ses magnifiques pages illustrées est regroupée une collection unique d’images de combats sanglants, de machines de guerre, d’inventions insolites et de duels. Aujourd’hui, la majorité de son histoire et de son contenu reste inexpliqué.Grâce à une interface dernier cri et une restauration pas à pas, les pages de ce manuscrit inconnu sont ramenées à la vie.
La véritable histoire de l’Europe durant le Moyen-âge se révèle être violente, secrète, spirituelle et contient une mine de connaissances.


Le manuscrit secret du Moyen Age (1/2) par LPDE
Le manuscrit secret du Moyen Age (2/2) par LPDE

25 décembre 2011

Le Soleil est le seul objet de notre système qui produise sa propre lumière visible.

coucher-de-soleil-sur-plage-720px

 

Le Soleil est le seul objet de notre système qui produise sa propre lumière visible. Quelle est la nature de cette lumière ?
Au modèle dominant de « la chaudière thermonucléaire » s'oppose désormais celui de la luminescence électrique...

Dès le XIXe siècle, les astronomes considérèrent que la force principale du ciel étant la gravité, l'énergie du Soleil résultait d'un « effondrement gravitationnel », une compression du gaz par gravité. De cette hypothèse simple, ils déduisirent que l'énergie produite durerait plusieurs dizaines de millions d'années. Cependant, vers la fin du siècle, les géologues acquirent la certitude que la Terre était beaucoup plus vieille que ne le supposait le modèle des astronomes. Cette divergence devait opposer astronomes et géologues pendant des décennies.
En 1920, l'astronome britannique Sir Arthur Eddington, fit un rapprochement entre l'hypothèse de l'effondrement gravitationnel et un principe physique nouveau et très prometteur : la fusion nucléaire. II postula qu'au centre du Soleil, les températures et les pressions étaient telles qu'elles induisaient une réaction nucléaire de fusion transformant l'hydrogène en hélium.
En 1939, deux astrophysiciens, Subrahmanyan Chandrasekhar et Hans Bethe, travaillant indépendamment, s'employèrent à quantifier l'hypothèse de l'effondrement gravitationnel et de la fusion nucléaire. Bethe exposa les résultats de ses calculs dans un bref rapport publié en 1939, intitulé « La production d'énergie dans les étoiles ».

Le mythe de la chaudière nucléaire

Le modèle élaboré par Eddington, Chandrasekhar et Bethe décrivait une chaudière nucléaire générant l'énergie des étoiles. Et pendant des décennies, les cosmologues, astronomes et astrophysiciens tinrent ce concept de base comme acquis. Les premières formulations de ce « modèle standard » suggèrent que, dans un nuage primordial, la force gravitationnelle génère, par compression progressive, un « disque circumstellaire » ; tandis que les matériaux extérieurs du nuage « tombent » vers le centre et que la gravité donne naissance à une sphère stellaire dont la température du noyau continue à augmenter avec la pression. Les, collisions des atomes de ce noyau dégagent une telle énergie que des électrons sont arrachés à leurs noyaux respectifs abandonnant des électrons libres et des protons d'hydrogène (ce que nous appelons aujourd'hui un plasma). Dans des étoiles similaires à notre Soleil, où la température du noyau est estimée inférieure à 15 millions de degrés Kelvin, la réaction nucléaire commence lorsque des protons d'hydrogène sont soudés ensemble dans la « fusion proton-proton » qui transforme l'hydrogène en hélium.
Certains critiques objectent cependant que, selon les lois régissant les gaz, les températures ne sont pas suffisantes pour provoquer la fusion. Ils évoquent la «barrière de Coulomb », en l'occurrence la répulsion électrique entre deux protons, deux charges de même signe. Une fois fusionnés, les protons devraient leur cohésion à la force nucléaire « forte », mais celle-ci ne peut prévaloir qu'à faible distance. Pour parvenir à la fusion, les protons devraient franchir la barrière de la répulsion électrique, qui est suffisante à les maintenir écartés pour toujours. Mais les successeurs d'Eddington accomplirent l'impossible grâce à une trouvaille appelée « pénétration par effet tunnel quantique » qui permet en principe à un très petit pourcentage de protons « d'apparaître » tout simplement à n'importe quel moment de l'autre côté de la barrière répulsive.

Électriquement neutre

Curieusement, les premières objections opposées au modèle solaire de fusion s'appuyaient sur la puissante force électrique. C'était longtemps avant l'âge de l'espace et la découverte que les particules de plasma chargées se répandent dans l'espace interplanétaire et interstellaire, et longtemps avant les recherches systématiques sur les plasmas et l'électricité dans l'espace.
Les champions de la « chaudière nucléaire » s'appuyèrent sur une série de suppositions fondamentales propres à l'astronomie, bien avant l'émergence d'un modèle nucléaire du Soleil. Ils ne s'inquiétèrent pas de mettre en question la validité de ces suppositions. Ils présumèrent que des nuages de gaz diffus dans l'espace pouvaient s'effondrer par gravité et former des étoiles. Ils présumèrent que la masse du Soleil pouvait être calculée simplement à partir des mouvements orbitaux des planètes. Ils présumèrent que les calculs newtoniens de masse, combinés avec les lois standards des gaz, leur permettaient de déterminer la pression et la température du noyau solaire. Enfin, les pionniers du modèle de la chaudière nucléaire firent une autre présomption propre à l'astronomie de l'époque : celle que le Soleil et les planètes sont neutres électriquement. Ils ne tinrent pas compte du rôle de l'électricité ni de celui des champs magnétiques que les courants électriques génèrent.

Un modèle dépassé ?

Toutes les présomptions faites pendant la première moitié du XXe siècle sont-elles confirmées après quelques décennies d'exploration spatiale ? Ceux qui, se fondant sur des données récentes, s'intéressent davantage aux phénomènes électriques, affirment que non seulement les anciens postulats ne trouvent plus de justification, mais qu'ils sont aujourd'hui démentis par les observations et les mesures. Ils font valoir qu'aucune des caractéristiques du Soleil, tel que nous l’observons, ne permet de soutenir l'hypothèse gravitationnelle, ni l'application des lois concernant les gaz, qu'il s'agisse de pression, de densité, de température ou de mouvements relatifs. L'observation la plus profonde que l'on puisse faire de la surface du Soleil livre des températures d'environ 6 000 degrés Kelvin. Et lorsque l'on scrute l'intérieur plus sombre des taches solaires on trouve des zones plus froides, pas plus chaudes. Par contre, en revenant vers l'extérieur, à la base coronale, la température bondit soudain à près de deux millions de degrés. Donc la couronne solaire surchauffée témoigne d'un gradient de température qui est à l'inverse de ce qu'avaient prévu les modèles antérieurs.

La gravité hors de cause

II semble même que le Soleil n'obéit pas à la gravité. La masse de particules chargées, expulsées par le Soleil sous forme de vents solaires, poursuit son accélération au-delà de Mercure, Vénus et la Terre. Les excroissances et éjections coronales massives n'obéissent pas davantage à la gravité, ni la migration des taches solaires. À l'inverse de ce que prédit la théorie, les couches externes de l'atmosphère solaire tournent plus vite que les couches inférieures, tandis que la rotation de la zone atmosphérique équatoriale est plus rapide que les zones de latitudes plus élevées. Si l'atmosphère du Soleil n'était soumise qu'à la gravité et à la chaleur de surface, elle n'aurait que quelques milliers de kilomètres d'épaisseur, alors que celle-ci excède parfois les cent mille kilomètres.
Le Soleil défie la théorie jusque par sa forme : l'étoile en rotation devrait être aplatie aux pôles et renflée à l'équateur, or c'est une sphère quasi parfaite, comme si la gravité et l'inertie étaient supplantées par quelque chose d'autre. Pour les théoriciens de l'électricité, ce « quelque chose d'autre » devrait se signaler de manière évidente par les particularités dominantes observées (en opposition avec les choses supposées et jamais observées). Les anomalies qui contredisent le modèle standard sont les caractéristiques prévisibles d'une décharge luminescente.

Naissance du modèle électrique

De plus en plus de chercheurs indépendants considèrent aujourd'hui que le Soleil est de nature électrique et consiste en une décharge luminescente alimentée par des courants galactiques. Ils soulignent le fait que le modèle de fusion n'avait prévu aucune des découvertes marquantes, alors que le modèle électrique prédit et explique les observations qui justement posaient le plus de problèmes dans l'observation du Soleil. II y a plus de soixante ans, le Dr Charles E.R. Bruce, de la Electrical Research Association en Angleterre, avait émis un nouveau postulat à propos du Soleil. Chercheur en électricité, astronome et expert sur la foudre, Bruce déclara en 1944 que « la photosphère solaire a l'aspect, la température et le spectre d'un arc électrique ; il en a les propriétés parce que c'est un arc électrique, ou un grand nombre d'arcs en parallèle ». « Cette caractéristique de décharge, disait-il, explique l'aspect grenu de la surface solaire ».
Cependant, le modèle de Bruce était fondé sur le concept conventionnel de foudre atmosphérique, ce qui le conduisait à envisager le Soleil « électrique » indépendamment de tout champ électrique extérieur.

La cible d'une décharge luminescente

Des années plus tard, inspiré par les travaux de Bruce, le brillant ingénieur Ralph Juergens fit une proposition révolutionnaire. Dans une série d'articles débutant en 1972, Juergens suggéra que le Soleil n'était pas un corps électrique isolé dans l'espace, mais l'objet le plus positivement chargé du système solaire, le centre d'un champ électrique radial; et ce champ, selon lui, se situe au sein d'un vaste champ galactique. Avec ce postulat, Juergens fut le premier à franchir le pas théorique vers l'idée d'une source d'énergie extérieure au Soleil.
Il avança l'hypothèse que le Soleil était la cible d'une « décharge luminescente coronale » alimentée par des courants galactiques. Afin d'éviter toute confusion concernant ce concept, il importe de faire la distinction entre le modèle solaire de décharge luminescente électrodynamique complexe et un simple modèle électrostatique, qui n'a rien à voir ici.
Dans la quasi-totalité du volume d'une décharge luminescente, le plasma est â peu près neutre, les protons et les électrons étant presque en nombres égaux. Dans ces circonstances, à la distance où se trouve la Terre par rapport au Soleil, la différence de charge est trop faible pour être mesurée ; elle représente peut-être un ou deux électrons par mètre cube.
Mais plus près du Soleil, la densité de charge est beaucoup plus élevée, et au niveau de la couronne et de la surface, le champ électrique est suffisamment puissant pour générer tous les phénomènes énergétiques que nous observons.

Confronter les deux modèles

Les théoriciens de l'électricité, Wallace Thornhill et Donald Scott réclament aujourd'hui une confrontation critique des deux modèles : la fusion et l'électricité. À la lumière des données récentes sur le Soleil, quel sera le modèle qui répondra le mieux aux épreuves d'unité, de cohérence, de simplicité et de prédictibilité ? Pourquoi tant de découvertes ont-elles surpris les chercheurs et même déçu les attentes du modèle de fusion ? Y aurait-il par contre quelque propriété fondamentale du Soleil qui infirmerait l'hypothèse de la décharge luminescente ?
Nos examens minutieux du Soleil ont révélé l'influence dominante de champs magnétiques qui sont les produits de courants électriques. Le modèle de fusion requiert des explications de plus en plus filandreuses pour rendre compte des taches solaires, des proéminences, des éjections de masse coronale et d'une foule d'autres particularités ; alors que nous avons simplement sous les yeux la façon dont se comporte une anode dans une décharge luminescente !
Dans le modèle électrique, le Soleil est « l'anode », ou l'objet chargé positivement dans l'échange électrique, tandis que la « cathode », ou partenaire chargé négativement, n'est pas un objet discret [isolé, distinct], mais la « cathode virtuelle » invisible qui commence à la limite de la couronne (les décharges coronales peuvent être comparées à la luminescence qui entoure parfois les câbles à haute tension se déchargeant dans l'air ambiant).
Cette cathode virtuelle s'étend loin au-delà des planètes. C'est ce que, dans le jargon de l'astronomie, on appelle « héliopause » [NDT : zone limite du système solaire, où les vents solaires rencontrent ceux provenant d'autres systèmes stellaires]. En termes d'électricité, c'est l'enveloppe cellulaire, ou « doublure », séparant la cellule plasmique qui entoure le Soleil (l'héliosphère) du plasma galactique environnant.

Un champ trop faible pour nos instruments actuels

Dans l'univers électrique, on s'attend à ce que de telles formes cellulaires se présentent entre des régions de plasmas aux propriétés différentes. Selon le modèle solaire de décharge luminescente, presque tout l'écart de voltage entre le Soleil et son environnement galactique se présente au bord de cette fine enveloppe limite de l'héliopause. À l'intérieur de celle-ci, subsiste un champ électrique radial, faible mais constant, dont le Soleil est le centre. Ce champ électrique est trop faible pour être localement mesurable avec les instruments actuels, mais dans sa totalité, au niveau du vaste volume de l'héliosphère, il est suffisant pour alimenter la décharge du Soleil. La partie visible de la décharge luminescente coronale se produit juste au-dessus de l'anode, parfois en plusieurs couches. La chromosphère rougeâtre du Soleil fait partie de cette décharge. Conjointement, les plus hautes énergies particulaires ne se situent pas dans la photosphère, mais au-dessus.

200 millions de degrés Kelvin

Pour les théoriciens de l'électricité, le Soleil est un exemple parfait de décharge luminescente ; en opposition complète avec le modèle de fusion qui implique une dissipation progressive de l'énergie depuis le centre vers l'extérieur. À environ 500 km de la photosphère, ou surface visible, on trouve les températures les plus basses : environ 4 400° K. Tandis qu'on s'en éloigne, les températures montent régulièrement pour atteindre environ 20 000° K au sommet de la chromosphère, à 2 200 km au-dessus de la surface. Là, elles font brusquement un bond de centaines de milliers de degrés pour ensuite continuer à monter régulièrement jusqu'à deux millions de degrés dans la couronne. Même à une distance d'un ou deux diamètres solaires, les atomes d'oxygène ionisés atteignent une température de 200 000 000° K !
En d'autres termes, le gradient « inversé » de température non seulement répond aux critères du modèle de décharge luminescente, mais il contredit toutes les attentes du modèle de fusion.

Une atmosphère de 100 000 km

Mais ce dernier aura encore à faire face à bien d'autres énigmes et contradictions. Comme l'a fait remarquer il y a des années l'astronome Fred Hoyle, compte tenu de sa forte gravité et de sa température de surface de seulement 5 800° K, en fonction des lois sur les gaz appliquées habituellement sur ces corps par les astrophysiciens, l'atmosphère du Soleil ne devrait mesurer que quelques milliers de kilomètres d'épaisseur. Or cette atmosphère gonfle jusqu'à 100 000 km où sa température monte à un million de degrés ou davantage. De là, des particules accélèrent en direction des planètes au mépris de la gravité. On devrait donc dire, en fait, que les planètes, y compris la Terre, gravitent à l'intérieur de l'atmosphère diffuse du soleil.

Des vents de 700 km/s

Les tenants de la théorie de la fusion furent confrontés à une autre surprise lors de la découverte que des jets de particules s'échappaient du Soleil à des vitesses estimées à 400 à 700 km/seconde. La « pression » de la lumière solaire ne peut expliquer une telle accélération des « vents » solaires. Dans un univers électriquement neutre et uniquement gouverné par la gravité, les particules ne seraient pas assez chaudes pour échapper à un corps de cette masse si celui-ci n'était, (selon la théorie), qu'un pôle d'attraction. Et pourtant, les particules des vents solaires poursuivent leur accélération au-delà de Vénus> de la Terre et de Mars. Étant donné que ce ne sont pas des « petites fusées » miniatures, cette accélération défie toutes les attentes !
Les champs électriques accélèrent les particules et par conséquent, selon les théoriciens de l'électricité, l'accélération des particules chargées du vent solaire est tout à fait explicable dans un champ électrique faible centré sur le Soleil. Et tout comme les champs magnétiques sont les témoins indéniables de la présence de courants électriques; l'accélération des particules indique la force d'un champ électrique.

Infime mais suffisant

Les critiques du modèle électrique font communément l'erreur de supposer que le champ électrique radial du Soleil devrait être non seulement mesurable, mais assez puissant pour accélérer vers le Soleil des électrons à des vitesses « relativistes » (jusqu'à 300 000 km/s). Selon cette argumentation, nous devrions observer des électrons passant en flèche à travers nos instruments et déployant des effets spectaculaires dans notre ciel nocturne. Mais, comme nous l'avons indiqué plus haut, dans un modèle de décharge de plasmo-luminescence, le champ électrique interplanétaire est extrêmement faible. Aucun instrument situé dans l'espace ne serait capable de mesurer, sur une distance de quelques dizaines de mètres, le différentiel de voltage radial, ni l'accélération du vent solaire. Cependant, nous sommes effectivement en mesure d'observer cette accélération sur des dizaines de millions de kilomètres, ce qui confirme que le champ électrique du Soleil, bien qu'imperceptible en termes de volts par mètre, suffit à entretenir un courant puissant dérivant à travers l'espace interplanétaire. Étant donné l'énorme volume de cet espace, ce courant est suffisant pour animer le Soleil.

Thunderbolts.info

25 décembre 2011

Brevet US de GÉNÉRATEUR de messages subliminaux a travers un Ecran TV et Ordinateur

tv-mind-control

Etats-Unis BREVET 5270800 - GÉNÉRATEUR message subliminal - Un générateur de messages subliminaux et supraliminaire combinée pour une utilisation avec un récepteur de télévision permet un contrôle complet des messages subliminaux et de leur mode de présentation. Un détecteur de synchronisation vidéo permet un générateur d'affichage vidéo pour générer un signal de message vidéo correspondant à un message texte alphanumérique reçu en synchronisme avec un signal de télévision reçues. Un mélangeur vidéo sélectionne soit le signal vidéo reçu ou le signal de message vidéo pour la sortie. Les messages produits par le générateur de message vidéo sont sélectionnables par l'utilisateur via une entrée clavier.

Une mémoire de messagerie stocke une pluralité de messages texte alphanumérique spécifié par l'utilisateur des commandes pour une utilisation sous forme de messages subliminaux. Ce message comprend la mémoire de préférence une mémoire en lecture seule stockage fixe prédéterminé de messages texte alphanumérique dirigés vers des sujets différents. Les ensembles de messages prédéterminés texte alphanumérique préférence inclure plusieurs affirmations positives dirigés vers le cerveau gauche et un nombre égal d'affirmations positives dirigés vers le cerveau droit qui sont alternativement présenté subliminale. Les messages du cerveau gauche sont présentés dans un mode texte linéaire, tandis que les messages du cerveau droit sont présentés dans un mode trois perspective dimensionnelle. L'utilisateur peut contrôler la longueur et l'espacement des présentations subliminales pour accueillir différents seuils conscient. Des variantes de réalisation comprennent un câble convertisseur combinée télévision et générateur de message subliminal, un récepteur de télévision et un générateur de combiner message subliminal et un ordinateur capable de présenter des messages subliminaux.

62258390_p

Le téléviseur et moniteur de votre ordinateur peuvent être utilisé pour manipuler votre système nerveux. En voici la preuve.


"RESUME: Les écrans d'ordinateur et des écrans de télévision peuvent être faites à émettre de faibles champs électromagnétiques à basse fréquence par simple impulsion de l'intensité des images affichées. Des expériences ont montré que la résonance Hz 1 / 2 sensorielle peut être excité de cette manière dans un objet à proximité du moniteur. La résonance Hz 2,4 sensorielle peut également être excité de cette façon. Ainsi, un moniteur TV ou moniteur d'ordinateur peut être utilisé pour manipuler le système nerveux des personnes à proximité. "

"Il est donc évident que le système nerveux humain peut être manipulé par les émissions d'écran du subliminal impulsions image TV." brevets LINKUnited États 6.506.148 la preuve ici dans ce brevet ....Current U.S. Class:     600/27 ; 600/545
Current International Class:     A61N 2/00 (20060101); A61N 002/00 (); A61B 005/04 (); A61M 021/00

la fréquence des ondes cérébrales qui est éprouvée pour provoquer des pensées suicidaires, par exemple, peuvent être enregistrées par l'ordinateur, puis de façon subliminale envoyé via des programmes de radio ou d'émissions TV! Ou, si le gouvernement veut provoquer un nombre énorme de gens  en  dépression, ou dans l'euphorie, ils peuvent émettre les signaux enregistrés par la radio ou de télévision et de toucher toute la population sur une période de temps!

Cette capacité peut même implanter des pensées spécifiques ou des commandes dans l'esprit des gens. Un grand nombre de personnes au sein d'une population peut soudainement recevoir des pensées ou des commandes simultanées, ce qui provoque beaucoup de réponse à cette  commande. Si la commande est de "tuer quelqu'un", vous avez soudainement   un grand nombre d'agressions violentes inexpliquées par des gens qui n'ont jamais commis de crimes auparavant.

Les experts nous ont parlé que de tels signaux mentalement déstabilisant serait, naturellement, plus fortement et touchent principalement les personnes dont emprise sur l'équilibre mental / émotionnel est moins solide, mais chacun à portée de la transmission aurait des réactions nettement négative dans une certaine mesure.Toutes ces personnes que l'ont croit bi-polaire

alors qu'elles sont victimes de signaux induient par les ondes hertziennes .des tests ont été effectueés pour provoquer des suicides dans le milieu carcéral ainsi que les vagues de tuerie dans les écoles ...CONFIRMATION DE TYPE HAARP transmissions pour les fusillades dans les écoles.

R.james

Publicité
Publicité
24 décembre 2011

L’Iran va mener dix jours de manoeuvres navales d’Ormuz au Golfe d’Aden

972ba10a-bd3c-11dc-a130-dec5419590f1TEHERAN – L’Iran va mener à partir de samedi dix jours de manoeuvres navales à l’est du détroit d’Ormuz, dans la mer d’Oman et dans le Golfe d’Aden, a annoncé jeudi le commandant de la marine, l’amiral Habibollah Sayyari.

C’est la première fois que des manoeuvres navales iraniennes couvriront une aussi large zone, a souligné l’amiral Sayyari cité par l’agence Fars.

Ces exercices permettront de tester de nouvelles torpilles et d’entraîner la coordination entre navires de surface et sous-marins pour faire face à la piraterie, au terrorisme et aux menaces environnementales, a précisé l’amiral.

La marine iranienne est responsable de la défense de haute mer de l’Iran, à l’est du détroit d’Ormuz, alors que le contrôle des eaux peu profondes et confinées du Golfe est confié aux Gardiens de la révolution.

La marine, dont les forces de haute mer sont limitées à une demi-douzaine de petites frégates ou destroyers et à trois sous-marins russes de classe Kilo, a multiplié depuis deux ans les opérations en mer d’Oman et dans le Golfe d’Aden, en particulier pour protéger les navires iraniens contre les pirates somaliens opérant dans cette zone.

Elle y a escorté plus de 1.300 navires et a enregistré une centaine d’accrochages armés avec des pirates, selon l’amiral Sayyari.

Les prochaines manoeuvres ne prévoient pas la fermeture du détroit d’Ormuz, qui relie le Golfe à la mer d’Oman et par où transite 40% du trafic maritime pétrolier mondial, a-t-il précisé.

Des rumeurs sur la possibilité d’un tel exercice avaient provoqué une brève flambée des cours du brut début décembre, alors que les relations entre l’Iran et ses voisins arabes du Golfe traversent une période de crise.

L’amiral Sayyari a toutefois réaffirmé jeudi que les forces iraniennes avaient le contrôle total du détroit d’Ormuz, et pourraient le fermer si elles en recevaient l’ordre. L’Iran a souvent affirmé qu’il pourrait bloquer cette voie d’eau stratégique s’il était attaqué ou empêché d’exporter son pétrole.

Les Etats-Unis maintiennent eux-mêmes dans le Golfe persique une présence navale puissante, la Ve flotte basée à Bahreïn.

A Washington, Mark Toner, un porte-parole du département d’Etat, a jugé jeudi que l’Iran, comme toute nation maritime, a le droit d’entraîner sa marine. C’est certainement ce que nous allons faire avec la nôtre.

Afp

22 décembre 2011

les principales oligarchies qui dominent le monde

euro2a2q

 

Alain Cotta, grand pourfendeur de l'euro devant l'Eternel, sort un nouvel ouvrage Le règne des oligarchies (éditions Plon).

Il accorde un bref entretien à Scripto sur ce sujet fondamental.

Entretien réalisé par Maurice Gendre

http://www.scriptoblog.com/index.php?option=com_content&view=article&id=646:alain-cotta-q-nulle-part-aujourdhui-il-nexiste-de-democratie-directe-pas-plus-que-representativeq-&catid=69:les-intervenants-externes&Itemid=57

1- Pouvez-vous nommer les principales oligarchies qui dominent le monde ?

L’oligarchie des USA, celle de la Chine et, en 3ème rang le Royaume Uni.

2- Où ces oligarques se réunissent-ils, où vivent-ils ? Où sont situés les épicentres de leur pouvoir ?

L’oligarchie est un groupe d’individus dont les lieux de réunion varient en fonction de leur situation économique et sociale ainsi que les circonstances auxquelles ils doivent faire face. Comme il s’agit d’un ensemble d’individus tenant de la meute de loups ou du nuage d’étourneaux il ne possède pas de chef attitré pas plus que d’épicentre fixe.


3- Des ponts existent-ils entre ces différentes oligarchies, comment cela se traduit-il ?

Entre ces différentes oligarchies il existe plusieurs ponts, d’abord ceux qui concernent les membres ayant même profession. Les militaires de toutes nations communiquent ensemble à travers leurs exercices de stimulation guerrière et leurs écoles de formation. Les dirigeants des grandes entreprises se rencontrent de façon officielle et officieuse ce qui constitue la vie organisée des oligopoles mondiaux des grands produits et des matières premières. Les politiques se rencontrent lors des réunions, elles aussi, officielles G6, 8, G20 et plus secrètes. Quant aux super riches, ils ont leurs lieux de rencontre bien connus, Davos, Saint Barth et autres lieux de villégiature agréables. Entre ces quatre ponts plusieurs passerelles, de l’appartenance à ces réseaux organisés (Opus Dei, franc-maçonnerie, services secrets).

4- En parallèle, des tensions et des dissensions semblent de plus en plus se faire jour entre elles, quelles formes et quelles tournures peuvent prendre ces désaccords ?

Les tensions et dissensions sont intimement liées à l’affrontement des pouvoirs nationaux qui eux-mêmes constituent désormais la vie d’une espèce humaine mondialisée. Des accords et désaccords traversent la géo-politique purement nationale. Toutes les grandes entreprises quelque soit leur appartenance nationale ont en commun leur volonté d’accroître leur réactivité et leur pouvoir ; les politiques d’affirmer l’autorité des nations qu’ils représentent, et les super riches de vivre le plus tranquillement possible. A tout cela il faut ajouter l’importance que représente pour de nombreuses personnes leur appartenance à des religions qui ne sont pas toujours tentées par l’œcuménisme.

5- Y a-t-il un voire plusieurs points communs fondamentaux entre ces différentes oligarchies, à tel point que l'on puisse dire que ces oligarchies forment l'Oligarchie ?

Les différents points d’accords entre certaines oligarchies nationales et les éléments communs à chacune d’entre elles (dirigeants d’entreprise, politiques…) ne sont pas tels que l’ont puisse parler d’oligarchie mondiale. Ce qui n’empêche point de pouvoir imaginer qu’elle existera un jour et de s’interroger aujourd’hui sur les modalités de sa formation et peut-être même de considérer que cette naissance constitue la raison d’être de la mondialisation.

6- Sur quelles armes s'appuient ces oligarchies pour asseoir leur domination sur le monde ?

Essentiellement sur l’arme économique et militaire, qui avec l’argent et le sexe constitue l’une des trois forces structurantes de l’espèce humaine.

7- Comment ces oligarchies se protègent-elles de la vindicte des peuples ?

Elles disposent de plusieurs moyens de protection : la réussite économique, la corruption et les moyens de détourner de l’attention des masses, désormais très efficaces : Internet, Twitter, facebook et plus généralement tous les médias de communication. Ajoutons que la complexité croissante des problèmes posés aux différentes collectivités nationales écarte naturellement la participation d’un très grand nombre d’individus à cause soit de leur incompétence, soit de leur indifférence à l’égard de solution qui ont peu d’influence sur leur vie quotidienne.


8- Tout processus de changement, en apparence assuré par le peuple et d'inspiration démocratique, est-il condamné à n'être en réalité que le cache-sexe des intérêts d'une faction de l'Oligarchie contre une autre faction de cette même Oligarchie à un moment donné de l'Histoire ? Pour dire les choses plus brutalement : un soulèvement populaire a-t-il la possibilité de ne pas être téléguidé par des puissances extérieures et/ou supérieures ?

Les processus de changements d’inspiration démocratiques ne peuvent aujourd’hui dissimuler leur rôle effectif. Nulle part aujourd’hui il n'existe de démocratie directe, pas plus que représentative. Partout où le pouvoir est exercé par des oligarchies qui ne sont pas représentatives, mais qui reçoivent en fait une délégation de pouvoir. L’évolution de toutes les techniques et la mondialisation de l’espace installent désormais les oligarchies comme le pouvoir dirigeant de toutes les organisations humaines : nation, famille, entreprise et religion.

L’inspiration démocratique a deux fondements. Le premier purement psychologique s’explique en ce que tout individu préfère croire qu’il est en démocratie plutôt que d’être lucide (« blessure la plus rapprochée du soleil » selon René Char) sur sa dépendance à l’égard d’une oligarchie. La seconde, plus sérieuse, consiste à invoquer la démocratie pour se prémunir des oligarchies attirées par un pouvoir personnel, proche des dictatures de fait, ainsi que le montre les mouvements actuels dans les pays arabes. En cette occurrence il s’agira, à notre avis, beaucoup plus d’un changement d’oligarchie que d’un quelconque établissement de la démocratie.

9- Quelles sont les plus graves menaces que ces oligarchies font peser sur le monde ? Comment s'en prémunir ?

L’oligarchie est devenu le mode naturel et général de l’exercice du pouvoir. Elle ne constitue pas d’autres menaces que celles tenant à l’usage exorbitant de son pouvoir.

22 décembre 2011

la France gage l’or de la Banque de France !

federal_lingots
SCANDALE


Comme jadis les pays dits « sous-développés », qui sont désormais « émergents » et nous rattrapent à toute vitesse, la zone euro se met sous tutelle du FMI (Le Figaro). Incapables de se diriger eux-mêmes, les européens – attention ce n’est pas une blague – versent de l’argent (150 milliards d’euros) au FMI pour qu’il le reprête à des pays européens en difficulté !

Mais au fait, comment fonctionne cette tuyauterie ? Il s’agit de « prêts bilatéraux des pays au FMI » et, c’est magique, « de tels prêts n'impliquent aucun risque en capital pour leurs souscripteurs, car le FMI est, par construction, toujours remboursé sur ses propres crédits ». On aimerait bien savoir comment car le FMI ne peut pas faire tourner la planche à billets. S’il enregistre des pertes, il faut bien que quelqu’un paye. En outre ces prêts sont en réalité des « avances », elles ne figurent donc pas dans le budget des Etats concernés. C’est magique, on vous le dit, de l’argent circule et il n’est décaissé de nulle part, et toute perte est impossible.

Ceci dit, comme le FMI et l’UE n’ont pas encore inventé la pierre philosophale, il y a quand même un « gage » dans cette affaire. Lisons l’article : « ces avances ne présentent aucun caractère budgétaire pour l'État prêteur: il s'agit en réalité d'accords de swap («échanges») à partir des réserves en devises et en or des banques centrales (telle la Banque de France) et le FMI. » Et voilà : l’or de la Banque de France (2435 tonnes) sert, au moins pour partie, de garantie à ce montage !

L’or de la Banque de France, c’est le patrimoine national, comme la Joconde ou la Tour Eiffel. S’en servir de gage pour un tel montage financier est une HONTE et un SCANDALE. Cette opération a été réalisée en catimini, c’est pitoyable. L’or de la Banque de France doit servir de garantie ultime (c’est notre « arme nucléaire » monétaire), nous exigeons que ce gage soit annulé, et comptez sur ce blog pour suivre l’affaire.


source: http://ladettedelafrance.blogspot.com/2011/12/scandale-la-france-gage-lor-de-la.html

On gage l'or de la France sur un accord de prêt à des pays qui ne rembourseront jamais. (Faillite oblige). Le gage sera donc récupéré par ces banksters qui s’empresseront de le racheter a bon compte avec nos sous, on perd a tous les coups ......europe,

22 décembre 2011

La connexion électrique entre le Soleil et la Terre

hdwallpapers45-copie-1

le 13 décembre 2007, est le 140ème anniversaire de la naissance du physicien norvégien Kristian Birkeland. Ce fut lui qui, au début du 20ème siècle, formula correctement l'hypothèse de courants électriques du Soleil allumant les aurores boréales et australes de la Terre. Pendant de nombreuses décennies, les scientifiques du courant principal rejetèrent largement la thèse de Birkeland, penchant plutôt pour l'opinion d'une magnétosphère terrestre constituant une chape impénétrable qui déclenche l'activité aurorale sous la « pression » du vent solaire.



Kristian Birkeland


​​​​Ce fut seulement en 1973, quand les satellites détectèrent la signature magnétique des courants électriques dans les aurores, que l'hypothèse de Birkeland fut validée de manière irréfutable, mais, durant deux décennies encore, de nombreux astronomes résistèrent aux implications de cette découverte.


​​​​Afin de vérifier ses idées sur le lien Terre-Soleil, Birkeland a construit une chambre à vide et a placé à l'intérieur une boule de métal magnétisée, appelée terrella, qui figurait la Terre. Il a observé le comportement de la terrella en atmosphère artificielle, chargée électriquement. Bizarrement, en plus de résoudre l'énigme des aurores de la Terre, les expériences électriques de Birkeland ont aussi simulé les anneaux planétaires et les manifestations énergétiques des jets cométaires. Pourtant, un siècle plus tard, les astronomes continuent à être déconcertés par ces phénomènes spatiaux. (Les observations de Birkeland sur les propriétés électriques des comètes furent publiées en 1913 dans Comets: Kristian Birkeland's theory).



La chambre à vide avec la terrella au centre


​​​​Plus d'un siècle après l'expédition polaire de Birkeland pour étudier les aurores boréales, les scientifiques du courant principal continuent à exprimer leur surprise ou même leur stupéfaction en observant les signes révélateurs des circuits électriques qui relient la Terre au Soleil. Cela parce qu'ils s'accrochent toujours au modèle théorique qui, de par son concept, exclue la possibilité de circuits électriques dans l'espace, même si ce modèle est réfuté par les nouvelles observations qu'ils qualifient d'« impossibles » (et parfois rejettent).


​​​​La déconnexion entre théorie et découverte astronomique se manifeste pleinement dans le récent communiqué de presse de la NASA : NASA Spacecraft Make New Discoveries about Northern Lights (un satellite de la NASA fait de nouvelles découvertes sur les aurores boréales).


​​​​Ce rapport traite des observations récentes des satellites THEMIS sur les « cordes magnétiques géantes qui relient la Terre à la haute atmosphère du Soleil, ainsi que des explosions aux abords du champ magnétique terrestre. » Décrivant la rencontre de THEMIS avec une « corde magnétique, » le chercheur de la NASA Dave Sibeck déclare : « Elle est très large, à peu près aussi vaste que la Terre, et est située à environ 40.000 milles (64.360 Km) au-dessus de la surface terrestre dans la région appelée magnétosphère. » Les chercheurs ont observé que la fameuse corde « se forme et se défait en juste quelques minutes, fournissant une bref mais important canal pour l'énergie du vent solaire. D'autres cordes se succèdent rapidement : « Elles semblent se produire sans discontinuer, » a dit Sibeck. »


​​​​« Cordes » magnétique ? Cette expression fait se demander comment la dynamique des fluides envisagée par la NASA peut expliquer une structure « semblable à une corde » qui se tord et change dynamiquement, et s'étend sur le trajet entier de la Terre au Soleil. Les scientifiques de la NASA utilisent souvent l'expression « flux de cordes » pour décrire ces voies filamenteuses tordues, parcourues de particules chargées électriquement. Mais pour les ingénieurs électriciens, cette terminologie révèle une profonde confusion chez les astronomes qui se démènent pour comprendre l'activité électrique imprévue. Le professeur Donald E Scott, auteur de The Electric Sky (Le ciel électrique), déclare : « Les cordes ont, bien entendu, un début et une fin. Pas les champs magnétiques. Ainsi, ce genre de langage de la NASA ne peut rien expliquer et est erroné théoriquement ainsi que trompeur. »


​​​​Les « cordes » auxquelles se réfèrent les chercheurs sont communément décrites en science du plasma comme des « courants électriques de Birkeland, » d'après le nom de leur découvreur susmentionné. Leur structure en corde n'est pas juste une bizarrerie, c'est la forme prise par les flux de courant en raison de l'attraction à longue portée et de la répulsion à courte distance entre les filaments de courant. Les « champs magnétiques tordus » sont tout simplement la signature d'un flux de courant électrique. Dans le cosmos, ces filaments de plasma entrelacés agissent comme des lignes électriques, qui véhiculent des « champs magnétiques alignés » sur les courants à travers l'espace interplanétaire et interstellaire.


​​​​En lisant le rapport de la NASA, le non initié pourrait croire que l'observation de ces « cordes » est nouvelle, qu'elles n'ont jamais été vues auparavant. Mais les courants de Birkeland font l'objet de recherches sur le plasma depuis plus d'un siècle. Cette expression désigne le courant électrique dans le plasma spatial. C'est cette fonction des filaments de plasma qui inspire l'affirmation des partisans de l'Univers Électrique, « Il n'y a pas d'île isolée dans le cosmos ! » Cependant, l'expression « courant de Birkeland » n'a jamais été intégrée au lexique de l'astronomie traditionnelle. Seulement ces dernières années, les astronomes ont admis le concept à contrecœur, quand les preuve ne permettaient aucune autre alternative.


​​​​Le rapport de la NASA continue : « La mission ne fait que commencer mais THEMIS nous a déjà étonné, » a dit Vassilis Angelopoulos, principal chercheur de la mission de l'Université de Californie de Los Angeles.


​​​​L'étonnement des chercheurs a commencé en mars, quand « un orage élémentaire a éclaté au-dessus de l'Alaska et du Canada, produisant de vives aurores pendant plus de deux heures. » Le rapport indique que : « L'orage élémentaire a immédiatement surpris les chercheurs, l'aurore ayant surgi vers l'ouest deux fois plus vite qu'on pensait que ce soit possible, traversant 15 degrés de longitude en moins d'une minute, » dit Angelopoulos. L'orage a carrément traversé tout le fuseau horaire polaire en 60 secondes !


​​​​En outre, « étonnamment les manifestations se produisaient en rafales. » Les photographies prises par les caméras au sol et par le satellite polaire de la NASA (qui soutient aussi la mission THEMIS) ont révélé une série de jaillissements détachés, chacun d'une durée d'une dizaine de minutes. « Certaines éruptions disparaissaient tandis que d'autres se renforçaient mutuellement et continuaient jusqu'à devenir des événements majeurs. »


​​​​L'énergie de cinq cent mille milliards de Joules de ces deux heures de déchaînement équivaut à peu près à celle d'un séisme de magnitude 5,5. En essayant de percevoir « d'où provenait toute cette énergie, » la NASA restait tâtonnante dans ses explications.


​​​​Le langage utilisé par les chercheurs révèle leur détermination à éviter de décrire des événements manifestement électriques en termes de circuit électrique. Ils se cramponnent plutôt à des notions de « collisions » mécaniques dans les structures magnétiques, générant d'une façon ou d'une autre les effets énergétiques observés, oubliant d'expliquer comment ces structures peuvent être magnétique sans électricité. Le rapport de la NASA décrit les « cordes magnétiques » (les courants électriques de Birkeland) observées par THEMIS comme des « faisceaux tordus de champs magnétiques organisés, ressemblant beaucoup à de la filasse torsadée en cordage de marine. » Cette description est colorée et poétique, mais équivaut-elle à une explication scientifique ? En laissant sans réponse, comment sont créées les cordes et pourquoi elles se tordent ?


​​​​Le rapport continue :

Des satellites ont détecté des signes de ces cordes avant, mais un seul satellite est insuffisant pour faire le relevé de leur structure en trois dimensions. Les cinq satellites de THEMIS ont été capables de réaliser cet exploit.

 

THEMIS a aussi observé un nombre relativement faible d'explosion du champ magnétique terrestre dans le front de choc. « Le front de choc est comme la vague de proue à l'avant d'un navire, » explique Sibeck. « C'est le lieu où le vent solaire est affecté par les premiers effets du champ magnétique terrestre. Quand un nœud magnétique du vent solaire frappe le front de choc, boum ! Ça produit une explosion, » dit-il.

 

​​​​User d'un pareil langage pour décrire les puissants courants électriques et les décharges d'énergie solaire revient à remplacer le jargon de la science avancée du plasma par celui de la mécanique des fluides. Nulle part le rapport ne mentionne le potentiel explosif de la « double couche, » la structure commune à toutes les gaines de plasma, ces retrécissements cellulaires qui entourent les objets chargés électriquement plongés dans le plasma, tout comme la magnétosphère terrestre.


​​​​Une double couche est constituée de deux couches de plasma parallèles où circulent des charges électriques opposées [*]. Une augmentation de tension catastrophique peut survenir dans la structure quand le flux est coupé. Cela provoque l'« explosion » de la double couche, comme on l'observe quand un disjoncteur est ouvert incorrectement. Les explosions observées par THEMIS sont des effets d'instabilités prévisibles dans l'interface de la gaine de plasma de la Terre, et dans les flux de particules chargées du vent solaire.


​​​​L'intelligibilité de nombreux phénomènes spatiaux, notamment des imprévisibles explosions de comètes, des supernovae, et des expulsions de masse coronale, pourra venir quand les astronomes examineront la bien documentée dynamique des explosions de la double couche électrique. Il est ironique que, s'accrochant au seul dogme de la pesanteur (pas d'électricité dans l'espace !), un dogme codifié avant d'avoir eu les outils de la science moderne du plasma, l'astronomie traditionnelle ait obstrué la voie du progrès scientifique inaugurée il y a un siècle par Kristian Birkeland.

​​​​« Cela semble être la conséquence naturelle de notre point de vue de présumer que l'espace entier est rempli de toutes sortes d'électrons et d'ions électriques volants. » Kristian Birkeland

 
Original : http://www.thunderbolts.info/news.htm
Traduit au mieux par Pétrus Lombard

21 décembre 2011

Chômage, Des Secrets Bien Gardés

58385_job-seekers-visit-a-national-agency-for-employment-in-nice

Fabienne Brutus est conseillère à l’emploi à L'ANPE. Elle décide de sortir de son devoir de réserve et publie en avril 2006 le livre « Chômage, des secrets bien gardés ». Dans cette interview, elle offre son témoignage et dissèque les directives, restructurations, camouflages et escamotages qui font dévier peu à peu l’ANPE vers une machine à exclure.Face au chômage en augmentation, l’ANPE (aujourd'hui Pôle Emploi, suite à sa fusion avec l'ASSEDIC) est une institution témoin de l’évolution politique d’un pays. Les chiffres deviennent alors gênants quand ils ne donnent pas l’illusion d’une bonne santé économique.

s

Publicité
Publicité
<< < 1 2 3 4 5 6 7 > >>
Publicité