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rusty james news
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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
mind controle
11 mars 2017

Katy perry son nouveau clip nous révèle le piège de ce monde de l'illusion

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Oblivia serait la ville de l'oublie qui fait référence au personnage de Léthé ,

L’oubli est un concept ambivalent qui échappe à toute systématisation parce qu’il touche à des domaines divers. Les Grecs l’ont incarné dans la figure mythique de Léthé,Léthé est aussi une rivière et, à ce titre, elle est fille d’Océan, Okéanos, père de tous les fleuves. Elle coule aux Enfers, qui sont « sa demeure » [8], et sépare le Tartare des Champs Elysées ; son eau [9] procure l’oubli à quiconque en boit. Chez Platon, tout comme chez Aristophane

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Traduction Chained To The Rhythm - Katy Perry

[Katy Perry]
Sommes-nous fous ?
Nous vivons nos vies à travers un objectif
Enfermés derrière nos barrières aux piquets blancs
Pareilles à des ornements
C'est si confortable, on vit dans une bulle, une bulle
C'est si confortable, ces problèmes qu'on occulte, qu'on occulte
Tu ne sens pas seul(e)
Là-haut, au royaume de l'utopie
Où rien ne te suffira jamais ?
Tu es joyeusement indifférent(e)
C'est si confortable, on vit dans une bulle, une bulle
C'est si confortable, ces problèmes qu'on occulte, qu'on occulte

[Katy Perry]
Ah, tout te paraît si beau
Alors, vois la vie en rose
Et continue à faire la fête

[Katy Perry]
Monte le son, c'est ta chanson préférée
Danse, danse, danse ; vas-y, déhanche-toi
Allez, monte le son, passe la en boucle
Tu titubes et trébuches, mort vivant, complètement soul
Oui, on est libres, c'est ce qu'on croit
Bois, ce verre est pour moi
On est tous enchaînés à ce rythme
A ce rythme
A ce rythme
Monte le son, c'est ta chanson préférée
Danse, danse, danse ; vas-y, déhanche-toi
Allez, monte le son, passe la en boucle
Tu titubes et trébuches, mort vivant, complètement soul
Oui, on est libres, c'est ce qu'on croit
Bois, ce verre est pour moi
On est tous enchaînés à ce rythme
A ce rythme
A ce rythme

[Katy Perry]
Sommes-nous sourds comme des pots ?
On continue à se voiler la face
Je pensais qu'on pouvait faire mieux que ça
J'espère qu'on en est capables
C'est si confortable, on vit dans une bulle, une bulle
C'est si confortable, ces problèmes qu'on occulte, qu'on occulte

[Katy Perry]
Ah, tout te paraît si beau (si beau)
Alors, vois la vie en rose
Et continue à faire la fête



[Katy Perry]
Monte le son, c'est ta chanson préférée
Danse, danse, danse ; vas-y, déhanche-toi
Allez, monte le son, passe la en boucle
Tu titubes et trébuches, mort vivant, complètement soul
Monte le son, c'est ta chanson préférée
Danse, danse, danse ; vas-y, déhanche-toi
Allez, monte le son, passe la en boucle
Tu titubes et trébuches, mort vivant, complètement soul
Oui, on est libres, c'est ce qu'on croit
Bois, ce verre est pour moi
On est tous enchaînés à ce rythme
A ce rythme
A ce rythme

Oui, on est libres, c'est ce qu'on croit
Bois, ce verre est pour moi
On est tous enchaînés à ce rythme
A ce rythme
A ce rythme

[Skip Marley]
Tel est mon désir
D'abattre ces murs pour établir le contact, inspirer l'air
Oui, vous les menteurs, dans vos hautes sphères
Il est compté, le temps de votre empire
Les vérités qu'ils nous servent sont si peu convaincantes
Comme tant de fois auparavant
Ils s'engraissent sur le dos des gens
Ils bafouillent et bredouillent
Bientôt, viendra pour nous la rébellion
Ils ont réveillé, ils ont réveillé les lions
(Waouh)

[Katy Perry]
Monte le son, c'est ta chanson préférée
Danse, danse, danse ; vas-y, déhanche-toi
Allez, monte le son, passe la en boucle
Tu titubes et trébuches, mort vivant, complètement soul
Oui, on est libres, c'est ce qu'on croit
Bois, ce verre est pour moi
On est tous enchaînés à ce rythme
A ce rythme
A ce rythme

{Katy Perry]
Monte le son
Monte le son
Ca continue, encore et encore
Ca continue, encore et encore
Ca continue, encore et encore
Parce qu'on est tous enchaînés à ce rythme
 http://paroles2chansons.lemonde.fr/paroles-katy-perry/paroles-chained-to-the-rhythm.html#MXfBEr2uZXUbAKr2.99

 

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18 février 2017

La manière et la technique d'instrumentaliser un individu.

mind control

Derrière ces deux noms obscures, se trouve l'un des crimes les plus diaboliques commit sur une partie de la population humaine, une forme de contrôle de l'esprit systématique qui a imprégné tous les aspects de la société sur près de cinquante ans.

Cet article est étayé par des documents déclassifiés du gouvernement Américain, des personnes anciennement rattachées à la communauté du renseignement Américains, des écrits d'historiens, de chercheurs compétents dans le contrôle mental, des publications de praticiens de la santé mentale, et les témoignages recueillis auprès des survivants. Soumis malgré eux à une forme très complexe d'un traumatisme à base de contrôle de l'esprit connu sous le nom de "programmation MONARCH". 
 

Les origines de la recherche "psychologique" et "psychiatrique".

Au 19ème siècle, la Grande-Bretagne et l'Allemagne ont été reconnus comme les principaux secteurs géographiques de travaux sur le "contrôle mental". Les premiers travaux de recherche ont commencé avec le Behavioral Science, qui a été fondée en Angleterre en 1882, tandis que la plupart des premières techniques médicales et psychiatriques impliqués dans le contrôle mental ont été initiées à l'Institut Kaiser Wilhelm en Allemagne. 
 
L'institut Tavistock des relations humaines a été créé à Londres en 1921 pour étudier le "point de rupture" des humains. Kurt Lewin, un psychologue allemand, est devenu le directeur de l'Institut Tavistock en 1932, à la même époque l'Allemagne nazie avait augmenté ses recherches sur la neuropsychologie, la parapsychologie, l'occultisme et le multi-générationnelle.

 

Fait intéressant, un échange progressif des idées scientifiques qui se passait entre l'Angleterre et l'Allemagne, notamment dans le domaine de l'eugénisme: le mouvement consacré à "améliorer" l'espèce humaine à travers le contrôle des facteurs héréditaires dans l'accouplement. Les échanges énigmatiques entre les deux pays étaient liés, en partie par l'Ordre de la Golden Dawn, une société secrète qui se composait de beaucoup de fonctionnaires de haut rang au sein du parti nazi et de l'aristocratie britannique. 
 
L'officier nazi SS Heinrich Himmler, était en charge d'un projet scientifique intitulé Lebersborn, qui comprenait un élevage sélectif et l'adoption d'enfants, avec un grand nombre de jumeaux parmi eux. L'objectif du programme était de créer une race supérieure (Aryens) qui ferait partie intégrante et ferait allégeance totale à la cause du IIIème Reich. 
 
Une grande partie de l'expérimentation préliminaire concernant le génie génétique et la modification du comportement a été menée par le Dr Josef Mengele à Auschwitz, où il a froidement analysé les effets du trauma-collage, de coloriage de l'oeil et de "jumelage", sur ses victimes. Outre l'expérimentation chirurgicale insidieuse effectuée au camp de concentration, certains des enfants ont été soumis à des quantités massives d'électrochocs.

 

Malheureusement, nombre d'entre eux ne survivront pas à la torture. Parallèlement, le "lavage de cerveau" a été réalisée sur des détenus à Dachau, qui ont été placés en état d'hypnose et à qui ont a donné de la mescaline, une drogue hallucinogène. Pendant la guerre, la recherche comportementale parallèle a été dirigée par le Dr George Estabrooks de la Colgate University. Son implication avec l'armée, le CID, le FBI et d'autres organismes demeure inconnu. Toutefois, Estabrooks serait sujet à des "lapsus" et il parla quelques fois de son travail impliquant la création de personnalités hypno-programmés et de "l'hypnose induite" par "dédoublement de la personnalité". 
 
Après la Seconde Guerre Mondiale, le Département Américain de la Défense a secrètement emmené un grand nombre des plus éminents scientifiques Allemand et d'agents des services de renseignements nazi aux Etats-Unis via l'Amérique du Sud et le Vatican. Le nom de code de cette opération était le projet PAPERCLIP (1). Un des plus éminents employé pour les Etats-Unis a été général allemand Reinhard Gehlen, ancien chef du Renseignement Allemand en URSS. En arrivant à Washington DC en 1945, Gehlen s'est longuement entretenus avec le président Truman, le général William "Wild Bill" Donovan, directeur de l'Office of Strategic Services (OSS) et Allen Dulles, qui allait devenir plus tard le chef de la CIA. L'objectif de leurs rencontres répétées fût de réorganiser le fonctionnement du système du renseignement Américain, le transformant en une organisation clandestine hautement efficace. L'aboutissement de leurs efforts a produit le Central Intelligence Group en 1946, rebaptisé Central Intelligence Agency (CIA) en 1947. 
 
Reinhard Gehlen a également eu une influence profonde en aidant à créer le Conseil national de sécurité, dont le National Security Act de 1947 a découlé.

A partir de cette nouvelle organisation, la législation a été mise en œuvre pour protéger un nombre inimaginable d'activités illégales du gouvernement, y compris les programmes clandestins de "contrôle de l'esprit". 


L'évolution du programme, avec le projet MK ULTRA.

Avec la CIA et le Conseil national de sécurité solidement établit, le premier d'une série de programmes secrets de "lavage de cerveau" a été lancé par la Navy à l'automne 1947. Ce "projet écran" nommé "CHATTER", avait été développé en réponse aux succès Soviétiques à travers l'utilisation de "sérum de vérité". Cette strategie, était simplement une histoire de couverture si le programme réel se trouvait exposé. La recherche a portée sur l'identification et l'essai de ces "sérums" pour un usage dans les interrogatoires et le recrutement d'agents. Ce projet a été officiellement achevé en 1953. 

La CIA a décidée d'intensifier les efforts dans le domaine de la modification du comportement, avec l'avènement du Projet BLUEBIRD, approuvé par le directeur Allen Dulles en 1950. Ses objectifs étaient les suivants:
 
1) Découvrir un moyen de conditionnement personnel pour empêcher la divulgation de renseignements non autorisés par les agents, que l'on aurait tenté de faire parler par des moyens connus;
2) Etudier la possibilité d'un contrôle d'un individu par l'application de techniques d'interrogatoire spéciales;
3) Enquêter sur l'amélioration de la mémoire;
4) Etablir des moyens de défense pour empêcher le contrôle par l'ennemi  du personnel de l'agence. 

En août 1951, le Projet BLUEBIRD a été rebaptisé Projet ARTISHOKE, qui a évalué les utilisations des techniques d'interrogatoire, dont l'hypnose et les drogues.

 

Le programme ARTISHOKE a cessé en 1956. Parallèlement, le projet MK ULTRA vit le jour le 13 avril 1953 sur le modèle proposé par Richard Helms, sous-directeur de la Central Intelligence (DDCI) avec la logique d'établir un "mécanisme de financement spécial de l'extrême sensibilité".  
 
L'étymologie hypothétique de "MK" peut éventuellement vouloir dire "Mind Kontrolle." La traduction évidente du mot allemand "Kontrolle" en anglais est "contrôle". Une foule de médecins Allemands, recrutés après-guerre auprès des spécialistes nazi, ont été un atout précieux à l'élaboration de MK ULTRA. La corrélation entre les expériences dans les camps de concentration et les nombreux sous-projets de MK ULTRA sont clairement évidents.

Les différentes possibiltés utilisées pour contrôler le comportement de l'homme en vertu de MK ULTRA inclues plusieurs moyens: Rayonnement, electrochocs, psychologie, psychiatrie, sociologie, anthropologie, graphologie, substances chimiques, harcèlements, dispositifs paramilitaires et la substance "LSD" étant la plus largement administrée.

 

Une procédure spéciale, désignée par le terme "MK DELTA", a été établie pour régir l'utilisation de MK ULTRA à l'étranger et pour protéger le projet.
 
Il y avait 149 sous-projets répertoriés sous l'égide de MK ULTRA (2). Le Projet MONARCH n'a pas été officiellement identifié par les documents du gouvernement comme l'un des sous-projets correspondant, mais il est utilisé depuis comme une appellation commune de la part des survivants, des thérapeutes, et des collaborateurs. MONARCH a en effet abouti à plusieurs sous-projets tels que l'opération "SPELLBINDER", qui a été mise en place pour créer des assassins "en sommeil" (le "Manchourian candidate" ou "candidat mandchou") (3) qui pourraient être activés lors de la réception d'un mot clé ou une expression alors qu'ils se trouvent dans un état de post-transe hypnotique. 

 

Le principe du projet MONARCH et la technique utilisée.

Le nom MONARCH n'est pas nécessairement défini dans le contexte de la noblesse royale, mais se réfère plutôt au papillon monarque.

 

Quand une personne subit un traumatisme provoqué par des électrochocs, une sensation de tête légère se produit, comme si l'on flottait ou volait comme un papillon. Il y a aussi une représentation symbolique se rapportant à la transformation ou la métamorphose de ce bel insecte: de la chenille en cocon (le sommeil, l'inactivité), à un papillon (naissance, nouvelle création) qui retournera à son point d'origine. 
 
Le symbolisme occulte permet de donner des informations supplémentaires sur le sens véritable de la Psyché, qui désigne à la fois pour le mot "âme" et "papillon" en provenance de la croyance que les âmes humaines deviennent des papillons tout en cherchant une nouvelle réincarnation. 
 
Certains groupes mystiques, comme les gnostiques, ont vu le papillon comme un symbole de la corruption de la chair. "L'Ange de la Mort" dans la pensée gnostique était dépeint par l'écrasement du papillon. Une marionnette à fils est une marionnette qui est attachée à des cordes et contrôlée par le maître de la marionnette, d'où le programme MONARCH, qui a était également désigné "Le syndrome de la marionnette". 
 
Le Projet MONARCH pourrait être mieux décrit comme une forme de dissociation structurée et de l'intégration cachée, afin de compartimenter l'esprit en de multiples personnalités dans un cadre systématique. Au cours de ce processus, il est souvent arrivé qu'il y ait des "cérémonies sataniques", ou des références à l'invocation de démons (pour que la victime à traumatiser, se croit "possédée", et donc ne plus être maitre de son corps et de ses pensées). 

 

La manière et la technique d'instrumentaliser un individu.

Une autre façon de présenter cette victimisation du corps et de l'âme, serait de le voir comme un programme informatique complexe: Un fichier (un double de la personnalité) est créé par un traumatisme, de dédoublement et de renforcement. Pour l'activation (le déclencheur) du fichier, un code d'accès spécifique ou mot de passe (le signal) est exigé.

 

La victime est appelé "esclave" par le programmeur, qui à son tour est perçu comme un "maître" ou un "Dieu". Environ 75% sont des femmes, car elles possèdent une plus grande tolérance de la douleur et ont tendance à être aussi plus facile à dissocier que les hommes. Les sujets sont principalement utilisés pour les opérations de couverture, la prostitution et la pornographie. Leur participation à des divertissements "sexuel" est établit. 

 

A l'appui, un ancien agent de la CIA a discuté de l'utilisation de ce personnel pour être utilisé comme "agent" dans le but d'infiltrer un groupe désigné, la collecte d'informations ou la diffusion d'un ordre du jour dans un mouvement politique (influencer les discussions), par exemple. 
 
Il y a alors un énorme changement pour la victime avec de nombreux programmes de "reconditionnement", par rapport à ses notions de bien et de mal. Une division de la lumière, d'un côté lumineux (le bien) et du côté sombre (le mal) modifie sa perception, et sont imbriquées dans son esprit, pour le faire changer à volonté. L'une des principales structures internes dans le système cérébral est en forme de double hélice, composée de sept niveaux. Chaque système a une sorte de "programmateur" interne que supervise le "gardien" (une entité créée de toute pièce et par laquelle, le cerveau de "l'esclave" se trouve dépendre). Qui accorde ou refuse l'entrée dans les différents "niveaux".

Quelques-unes des images internes essentiellement perçue par les victimes sont les suivantes: Arbres, L'Arbre kabbalistique de la Vie, Boucles de l'infini, Anciens symboles et des lettres, Toiles d'araignée, Miroirs ou bris, Masques, Châteaux, Labyrinthes Démons, monstres, Aliens, Coquillages, Papillons, Serpents, Rubans, Archets, Fleurs, Sabliers, Horloges, Robots, Chaîne de commandement des diagrammes, Schémas de circuits de cartes d'ordinateur. 


Descendance et lignée "satanique".

La majorité des victimes viennent de plusieurs générations de familles sataniques (lignées) et sont apparemment programmées "pour remplir leur destin comme les élus ou les générations choisi" (un terme inventé par Mengele à Auschwitz). Certaines sont adoptées par des familles de même origine. D'autres viennent souvent des orphelinats, des foyers d'accueil ou des familles incestueuses avec une longue histoire de pédophilie, où l'enfant a été retiré à la famille et s'est retrouvé en "foyer" ou en "centre" de l'Etat. Et il y a aussi de nombreux cas d'enlèvements pur et simple. Il semble également y avoir une connexion de divers membres de certaines familles affiliées au gouvernement, au milieu militaire ou au renseignement. 

De nombreuses victimes de ses abus proviennent de familles qui utilisent en fait, une sorte de "respectabilité culturelle officielle". Ils se disent adeptes du catholicisme, du mormonisme ou du protestantisme. Mais ils utilisent ces religions comme une "couverture" pour cacher leurs activités abominables (même si d'autres groupes religieux sont également impliqués). Les victimes réagissent en général plus facilement à une rigidité religieuse (dogmatique et légale), parce qu'il y a un parallèle par la structure hiérarchique, par rapport à la "programmation" de base. Autorité religieuse qui généralement n'est pas contestée, mais les victimes du Projet MONARCH, ont eu leur volonté usurpée par le biais d'indoctrinnement subjectifs et d'une prétendue autonomie, qui est en fait orienté. La victime se croit libre mais elle ne l'est pas.
 
Les caractéristiques physique de ces actions sur les victimes montrent souvent des cicatrices électriques multiples sur leur peau produits par des chariots ou des tables métalliques. Quelques-uns ont eu diverses parties de leurs corps mutilés par des couteaux, des marques au fer ou des trous d'aiguilles, un tatouage représentant un papillon ou d'autres tatouages pré-définis par leur symbolique, sont également fréquent. En règle générale, ceux des lignées "satanique" sont moins susceptibles d'avoir eu des marques sur leur corps, parce que leur peau est par le sang, relié au démon et, d'après leurs croyances, il doit "demeurer pure et sans tâche." 
 
Le but ultime de la manipulation sophistiquée de ces individus peut sembler incroyable, selon notre compréhension d'interprétation des choses physique et spirituelle. Les plus profondes et plus sombres modification dans les "lignées de sang satanique" sont comme étant, en "sommeil" jusqu'à ce que le l'Antéchrist ne se révèle. Et le moment venu, ils devraient recevoir leurs "instructions", pour servir et aider à l'accession au pouvoir de ce dernier.
 
Un "jumelage" entre deux personnes totalement différent et sans aucun lien de parenté, est encore une autre caractéristique étrange observé dans la programmation Monarch. Par exemple, deux jeunes enfants seraient solennellement engagé dans une sorte de rituel, déclaré prétendument "magique", aux enfants. Ils peuvent donc être conditionné pour être "inséparablement associé pour toujours" (comme si ils étaient de vrais jumeaux). Ils partagent essentiellement les deux moitiés de l'information du "programme", qui les conditionne et qui va leur donner des instructions auxquelles ils devront obéir, les rendant interdépendants l'un de l'autre. Tant qu'ils ne sont pas ensemble, ils ne "réceptionnent", qu'une seul partie de l'information, il faut qu'ils soient deux pour la recevoir et la comprendre.

Des phénomènes paranormaux tels que la projection astrale, la télépathie, PES..., semblent être plus marquée pour ceux qui ont subi ce processus. 

 

Les différents niveaux de la programmation MONARCH:

ALPHA: Considéré comme étant la programmation de base. Elle est appliqué pour le contrôle de la personnalité, caractérisé par la rétention extrêmement marquée de mémoire, avec une augmentation substantielle de la force physique et de l'acuité visuelle. La programmation Alpha est réalisée par la subdivision délibéré de la personnalité des victimes qui, par essence, provoque une dislassion des hémisphères gauche et droit du cerveau, permettant une union programmée du gauche et du droit grâce à la stimulation des neurones. 

BETA: Dénommé programmation "sexuelle". Cette programmation élimine tous sens et convictions morales et stimule l'instinct sexuel primitif, qui de trouve dénué de toutes inhibitions. 

DELTA: Celle-ci est la programmation des "tueurs", initialement développés pour la formation des agents spéciaux ou des soldats d'élite dans des opérations secrètes. Une production surrénales optimisée et un développement du contrôle de la violence et de l'agression est mise en place. Les sujets sont alors totalement dépourvues de peur. Un facteur obligatoire pour l'accomplissement de leur mission. Une programmation d'autodestruction et des instructions de suicide volontaire est instauré à ce stade. (4)

THETA: considéré comme la programmation purement "psychique". Les "lignés du sang" (ceux venant de plusieurs générations de familles sataniques) ont été déterminés car ils présenteraient une plus grande propension à avoir des capacités télépathiques que les autres. En raison des limites évidentes de leurs capacités, cependant, diverses formes de contrôle de l'esprit par des systèmes électroniques ont été développés et introduits, à savoir, des dispositifs bio-médical de télémétrie de l'homme ("GPS", sous forme d'implants cérébraux), réalisé par des lasers utilisant l'énergie micro-ondes et électromagnétique. Ceux-ci sont utilisés en conjonction avec des ordinateurs très sophistiqués et des systèmes de suivi par satellite.  

OMEGA: Une programmation "d'auto-destruction", aussi connu comme le "Code Green." Les comportements associés incluent les tendances suicidaires et / ou d'auto-mutilation. Ce programme est généralement activé lorsque la victime commence une thérapie suite a des interrogations et réussit à récupéré sa mémoire. Et éviter qu'elle ne dévoile ce qu'elle sait. 

GAMMA: Une programmation "de faux souvenirs", qui est en fait une forme de système de protection par "tromperie". Celle-ci suscite la désinformation et les erreurs dans la mémoire. Pour éviter que les vrais souvenirs reviennent, par exemple, grâce à l'hypnose. Ce niveau à tendance à être répété, si de façon malencontreuse, la programmation s'est trouvé "désactivé".

 

Déstructuration mentale, conditionnement et programmation. 

Le processus initial débute par la création de dissociation dans le sujet, se manifestant généralement à partir du moment de trois ans, jusqu'à six ans environ. Ceci est principalement atteint grâce à l'utilisation des électrochocs (parfois effectué même lorsque l'enfant est dans le ventre de la mère, dans le cas de femmes, faisant partie du Projet et tombant enceinte). Et par l'utilisation, contre lui, des peurs de l'enfant (insectes divers, reptiles, de l'obscurité, élimination d'un animal de compagnie devant lui qu'il a connut depuis tout petit...etc). Les sévices sexuelles sont souvent administré (vu que beaucoup des éléments sont destiné à devenir des "objets sexuels"). Le but est de démolir complètement l'esprit de la victime. 

 

En raison des graves traumatismes provoqué par ces méthodes, l'esprit, voulant fuir ces tortures, se détache en plusieurs personnalités distinctes. Anciennement dénommé "trouble de personnalités multiples", il est actuellement connu comme étant un "trouble dissociatif de l'identité" et constitue la base de la programmation, du projet MONARQUE. Un conditionnement ultérieur de l'esprit de la victime est améliorée grâce à l'hypnose, la contrainte, faire subir tour-à- tour la gentillesse et la torture, privation de nourriture, d'eau, de sommeil et la privation sensorielle (ne rien voir et ne rien entendre), ainsi que divers médicaments qui modifient certaines fonctions cérébrales. 

L'étape suivante consiste à intégrer et à faire assimiler la connaissance des commandes et des messages spécifiques pouvant être modifié. Ce résultat est obtenu grâce à l'utilisation de casques neurologiques, en liaison avec des générateurs assisté par ordinateur qui émettent des ondes sonores inaudibles ou des harmoniques qui affectent les liaisons du cerveau, en influençant les liaisons des neurones à l'inconscient et au subconscient. Des dispositifs optiques pour générer une "réalité virtuelle" sont parfois utilisés simultanément avec les générateurs d'harmoniques projetant des lumières colorées, des images réelles ou subliminales sur un écran. Des électrochocs sont ensuite utilisée pour faire oublier le souvenir du conditionnement dans la mémoire.
 
La programmation est mis à jour périodiquement et renforcées à travers des stimulus visuels, auditifs et écrits. Certains des thèmes utilisé lors de la première programmation sont souvent celle du Magicien d'Oz et de Alice aux pays des merveilles, saturé de symboles occultes (et n'oublions pas que pendant cette "programmation", les victimes étant des enfants, ils sont plus receptifs à ce genre de films et de dessins animés).

 

Beaucoup de films récents de Disney et les dessins animés sont utilisés dans une double manière:

 - Désensibiliser la majorité des victimes, en utilisant les images subliminales et la programmation neuro-linguistique;

 - Construire délibérément des déclencheurs spécifiques et des clés pour la programmation de base avec des enfants hautement impressionnables.

 Un bon exemple de la façon dont fonctionne la programmation subliminale est en regardant, entre autres, le dessin animé Pochahontas de Disney.


Dans le film, la grand-mère est une mystique qui conseille Pochahontas à écouter son cœur. La grand-mère parle constamment un double langage et en utilisant des "inversions": "Parfois, le chemin de droite n'est pas le plus facile", ce qu'il faut comprendre en langage ésotérique: le chemin de gauche (le chemin qui mène à la destruction) est le plus facile.

La musique joue un rôle aussi important dans la programmation, à travers des combinaisons de tonalités variables, des rythmes et des mots. 

Une liste partielle des autres fims utilisés pour renforcer la programmation de base sont: Pinnochio, Sleeping Beauty, Blanche-Neige, La Belle et la Bête, Aladdin, The Little Mermaid, Le Roi Lion, Star Wars, Ghost Busters, Trancers II, Batman, Bewitched, Fantasy Island, Reboot, Tiny Toons, Duck Tails, The Dead Sea Scrolls, le Livre Tall, de Make Believe.

 

Les programmeurs et les lieux.

Il est difficile de savoir qui a était le chercheur et le "programmeur" initial de ce projet, en raison de la quantité substantielle de désinformation et d'informations qui se contre-disent.

 

L'un des médecins identifié, était un médecin nommé le Dr Gruenbaum, qui auraient collaboré avec les nazis pendant la Seconde Guerre Mondiale, et le Dr Josef Mengele, dont la brutalité, et l'absence total d'humanité n'ont pas seulement marqué l'âme des survivants d'Auschwitz, mais aussi d'un nombre incalculable de victimes dans le monde. L'implication directe de Mengele au camp de concentration d'Auschwitz, a été étrangement minimisé lors du procès de Nuremberg, et par conséquent aucun effort réel par les Etats-Unis et ses Alliés n'a était entreprit pour le retrouver et le capturer.
Des responsables Américains faisaient des rapports sur Mengele en disant qu'il n'était maintenant "plus une menace", et devait vivre caché au Paraguay ou au Brésil, ou qu'il était simplement mort.
 
Ses travaux de recherche sans précédent, au détriment de milliers de vies, ont été un atout important pour les intérêts Américains. En plus d'utiliser le pseudonyme de M. Green (beaucoup de "programmeurs" utilisaient un pseudonyme qui était un nom de "couleur"), les survivants l'ont connu sous différents surnoms comme väterchen (papa), Schoner Josef (beau-Joseph), David et Fairchild. D'autres caractéristiques que se rappelle les survivants ont été la cadence de ses bottes noires luisantes quand il allait et venait et de son "I love you, l love you not", une chanson qu'il fredonnait. 

 

Il a lui-même torturé et tué un petit enfant en face d'un autre enfant, pendant une séance de programmation. Beaucoup de survivants se souviennent qu'ils devaient vivrent dans des cages. Evidemment, l'objectif de Mengele était de réduire les gens au niveau des animaux. Il faisait aussi exprès d'empêcher ses victimes de pleurer, de crier, ou de manifester une émotion excessive. 
 
Le Dr D. Ewen Cameron, aussi connu sous le pseudonyme de "Dr. White", a été l'ancien chef de l'Administration Canadienne, Américaine et mondiale de la "psychiatrie Associations". En raison d'une vaste expérience de Cameron, et des pouvoirs d'Allen Dulles, la CIA a injectée des millions de dollars dans des organisations comme la "Société pour l'étude de l'écologie humaine", qu'a présidé Cameron impitoyablement. Des expérimentations ont été menées à plusieurs endroits à Montréal, principalement à l'Université McGill, à l'Hôpital St-Mary's et au Allan Memorial Institute. 
 
Outre les méthodes classiques de la tyrannie psychiatrique, telles que les injections de drogues, les  électrochocs et la lobotomie, Cameron conçu la technique de "conduite psychique", où des patients non avertis étaient conservés dans un état comateux par des drogues pendant plusieurs semaines et à qui ont administré un traitement par électrochocs, alors que les casques electroniques étaient attaché à leur tête, des messages sonores répétitifs étaient transmis à des vitesses variables. Beaucoup de ceux-ci étaient des enfants maltraités, qui avait été rejeté par les orphelinats. 
 
Sans surprise, par discrétion, pour empêcher la divulgation officielle de ses travaux, le Dr Cameron a été exclus de la plupart des revues psychiatriques. Mais le Projet MK ULTRA devait être publiquement exposés en 1970, à travers les procès intentés par les survivants canadiens et leurs familles. La CIA et le gouvernement Canadien a réglé l'affaire, hors cour, afin de ne pas être tenus d'admettre officiellement ces actes répréhensibles, et de devoir dire la vérité. 
Un ancien lieutenant colonel de la division de la guerre psychologique de la DIA, Michael Aquino, est un des participants présumé, protégé par le gouvernement. Aquino, un génie excentrique obsédé par les rituels païens nazis, a fondé le "Temple de Seth", une émanation de "l'Eglise de Satan" de Anton LaVey. Aquino était affecté à la Base du Presidio de San Francisco. Il  se trouva mélé à un scandale dans lequel il a été accusé de pédophilie. 

 

Au désespoir des parents des jeunes victimes, toutes les accusations ont été rejetées. Sous le nom de code de "Malcolm", Aquino a été mentionné pour avoir développé des cassettes de formation sur la façon de créer un "esclave" Monarque et a travaillé comme agent pour le gouvernement et le renseignement militaire, dans le but d'assurer la liaison entre diverses organisations criminelles et des groupes occultes pour l'attribution et la répartition des "esclaves" du Projet MONARCH.
 
Heinrich Mueller a été un autre programmeur important qui a participé sous le nom de "Dr. Blue" ou "Gog". Apparemment, il a deux fils qui ont collaboré au trafic de ces être humains. Un autre, connu sous le nom de "M. Black" était apparemment Leo Wheeler, le neveu du défunt général Earle G. Wheeler, qui était le commandant de l'état-major pendant la guerre du Vietnam. Il y a aussi un protégé de Wheeler, E. Hummel qui est en activité dans le Nord-Ouest, avec W. Bowers.

Les autres prétendues manipulateurs identifiés, passés et présents, sont: Dr. Sydney Gottlieb, Lieutenant-colonel John Alexander, Dabney Richard Anderson (USN), Dr. James Monroe, Dr. John Lilly, Lt. Comdr. Thomas Narut, Dr. William Jennings Bryan, Dr. Bernard L. Diamond, Dr. Martin T. Orne, Dr. Louis J. West, Dr. Robert J. Lifton, Dr. Harris Isbel et Col. Wilson Green. 

Afin de garder MK ULTRA difficile à découvrir, la CIA a segmenté les sous-projets dans des domaines spécialisés de recherche et de développement dans les universités, les prisons, les laboratoires privés et les hôpitaux. Bien sûr, ils ont été généreusement récompensés par des subventions du gouvernement et des financement divers. 
 
Les noms et les lieux de certaines des principales institutions impliquées dans la programmation et les expérimentations de type Monarch ont été ou sont encore les suivantes: Cornell, Duke, Princeton, UCLA, University of Rochester, MIT, Georgetown University, Hospital Maimonides Medical Center, St. Elizabeth's Hospital (Washington DC), Bell Laboratories, Stanford Research Institute, Westinghouse Laboratories, General Electric, ARCO, Mankind Research Unlimited.

Le "conditionnement" final a été ou est encore habituellement créé sur des installations et des bases militaires, où la sécurité maximale est requise. Désigné sous la couverture d'un programme concernant "la mort imminente et les traumatismes", les plus sûrement identifiées sont:China Lake Naval Weapons Center, The Presidio, FT. Dietrick, FT. Campbell, FT. Lewis, FT. Hood, Redstone Arsenal, Offutt AFB (Air Force Base), Patrick AFB, McClellan AFB, MacGill AFB, Kirkland AFB, Nellis AFB, Homestead AFB, Grissom AFB, Maxwell AFB, Tinker AFB.

Les autres lieux reconnus comme des sites majeurs de la programmation sont les suivants:Langley Research Center, Los Alamos National Laboratories, Tavistock Institute, des zones à l'intérieur des secteurs du Mont Shasta (Californie), de Lampe (Montana) et Las Vegas (Nevada).


Les témoignages des survivants. 

Un des premiers cas documentés d'un agent secret monarque a était celui de l'ancienne mannequin des années quarantes, Candy Jones. L'ouvrage, "Le contrôle de Candy Jones" (Playboy Press) dépeint ses douze années d'intrigues comme espionne de la CIA.

Jones, dont le nom de naissance est Jessica Wilcox, avait apparemment le profil physiologique approprié pour être l'une des premières expériences sur les humains sous le couvert de recherches "scientifiques" avec l'autorisation de gouvernement pour le Projet MK ULTRA.

Le cas le plus médiatisé du projet monarch a refait surface grâce au livre "Trance-Formation of America: the true story".   

Cette autobiographie documentée contient les comptes-rendus des années où O'Brien, qui a connu l'inceste, et c'est l'implication de son père qui provoqua son introduction dans le Project monarch. Avec le co-auteur Mark Phillips, son sauveteur et déprogrammeur, Cathy raconte un éventail incroyable de crimes: la prostitution forcée (conditionnement à être un "objet sexuel"), pour ceux qui sont dans les échelons supérieurs de la politique mondiale, des missions clandestines comme le rôle d'une "mule", pour passer la drogue et aussi pour servir de messagerie entre l'industries musicale du pays, qui sont en rapport avec les activités illégales de la CIA. 
 
Paul Bonacci est un survivant courageux qui a connu pendant près de deux décennies la dégradation au titre du Projet MONARCH, il a révélé des preuves solides corroborant des crimes à grande échelle et la corruption aux niveaux municipal et de l'Etat, jusqu'à la Maison Blanche. Il a témoigné au sujet de jeunes garçons sexuellement abusé et sélectionnés à partir de Boy's Town dans le Nebraska et emmené à proximité Offut (AFB), où il dit qu'ils ont été soumis à une programmation intense de type MONARCH, dirigée principalement par le commandant Bill Plemmons et l'ancien lieutenant-colonel Michael Aquino. 

 

Après avoir bien tourmenter les jeunes garçons dans le but de manipuler leur esprit, ils ont été utilisés (avec des jeunes filles) dans la pornographie et la prostitution dans plusieurs pays (en majorité, les "grands pays" occidentaux). Bonacci s'est rappelé avoir été acheminé d'une base de l'armée via des avions-cargos, jusqu'à McClelland (AFB) en Californie. Avec d'autres malheureux adolescents et adolescentes, il a été emmené à la retraite cachée des élites, au Bohemian Grove. Les personnalités présentes ont pleinement profité de ces victimes innocentes, et ne se sont pas gêné pour commettre des perversions impensables, pour satisfaire leurs désirs déviants. Certaines victimes auraient été assassinés, pour traumatiser davantage les enfants, déjà suffisamment épouvanté.(5)
 
Les autres personnes qui auraient été des victimes du Projet, serait une actrice assez marginal (aujourd'hui décédée), un télé-évangéliste moralement corrompus, et une chanteuse de country. Quelques autres sont susceptibles d'avoir étaient utilisé: Sirhan-Sirhan, Charles Manson, John Hinckley Jr., Mark Chapman, David Koresh, Tim McVeigh et John Salvi. Plus quelques notables, fortement soupçonnés d'être des "pions", engendrés par MK ULTRA.    


 

Déprogrammeurs et enquêteurs.

Le Dr. Corydon Hammond, un psychologue de l'Université de l'Utah, a prononcé un discours étonnant intitulé "L'hypnose dans la dissociation des personnalités multiples: Abus Rituel" lors de la quatrième Conférence régionale annuelle de l'Est sur la violence et la personnalité multiple, le 25 juin 1992 à Alexandria, en Virginie. Il a essentiellement confirmé les soupçons de la foule de professionnels de la santé mentale, dans laquelle un certain pourcentage de leurs clients avaient subi une programmation pour le contrôle de l'esprit d'une manière intensive et systématique. Hammond fait allusion à la connexion nazie, militaire et de la CIA dans des recherches de contrôle de l'esprit. Peu de temps après la fin de son discours, il a reçu des menaces de mort. Ne voulant pas compromettre la sécurité de sa famille, le Dr Hammond cessé de diffuser toute information par la suite. 
 
Mark Phillips, un ancien sous-traitant d'électronique pour le Ministère de la Défense, était au courant de certaines des activités top secret de contrôle de l'esprit perpétrés par le gouvernement Américain. Sa forte et sincère préoccupation pour Cathy O'Brien, qui avait été déclaré "objet sexuelle attitré de la Présidence" par le Projet MONARCH, l'ont poussé à révéler le fonctionnement interne de cette grande tromperie à partir de 1991. Comme il le raconte, il a aidé Mme O'Brien à échapper à ses ravisseurs et a pût la présenter à son déprogrammateur, ils passèrent ensemble environ une année, caché en Alaska.(6)
Une thérapeute de la Nouvelle-Orléans, Valerie Wolf a présenté deux de ses patientes devant le Comité présidentiel pour les expériences sur les radiations de l'homme, le 15 mars 1995 à Washington DC. Le témoignage étonnant fait par ces deux femmes courageuses inclus dans leurs comptes-rendus: des médecins Allemands, la torture, des drogues, des électrochocs, l'hypnose et le viol, en plus d'être exposés à une quantité indéterminée de rayonnement. Les deux patientes ont déclaré avoir récupéré les souvenirs de ce programme de la CIA, sans régression ou de techniques d'hypnose. (C'est tout-à-fait possible, avec le temps, un sevrage des drogues et un choc psychologique, peuvent déclencher un retour progressif des souvenirs dans la mémoire).
 
Un avocat travaillant pour le cabinet Atlantic Richfield Co., David E. Rosenbaum, a effectué neuf années d'enquête (1983-1992) concernant des allégations de torture physique et de conditionnement coercitif de nombreux employés dans une usine d'ARCO à Monaca, en Pennsylvanie. Parmi ses clients, Jerry L. Dotey et Ann White, ont été victimes de l'exposition aux rayonnements, mais comme M. Rosenbaum a plus profondément poursuivit les séances d'entrevues, il a bien découvert des choses troublantes. Rosenbaum précise aussi: "Ils ont présentaient tous les deux des sentiments et des expériences qui indiquent qu'ils sont des jumeaux." Dotey et White auraient été soumis à la torture de nombreuse façon tandis que sous hypnose d'origine médicamenteuse, chacun reconnaît avoir subit au moins trois techniques de formation par les médecins de l'usine. 
Chaque victime a été formée pour entrer dans un état hypnotique par l'apparition de stimuli spécifiques, impliquant généralement un indice, un mot ou une phrase et formée pour "se souvenir d'oublier" ce qui s'est passé dans l'état hypnotique. Ils ont été soumis de façon répétée à des stimuli identiques de séquence de réponse, afin de produire des réactions presque automatique.

      

Le Dr. Bernard Diamant, le Dr. Martin Orne et le Dr. Josef Mengele ont régulièrement visité l'usine ARCO, selon Rosenbaum. Le conditionnement spécial de Dotey et White a été conçu pour la création artificielle de double personnalités. 
 
D'autres thérapeutes de renom impliqués dans les efforts de "déprogrammation" sont Cynthia Byrtus, Pamela lundi, Steve Ogilvie, Bennett Braun, Jerry Mungadze et Colin Ross. Certains conseillers ont été en mesure d'éliminer certaines parties de la programmation avec des succès limités.

Les journalistes qui ont récemment exposé dans leurs livres, ou des articles sur le sujet, de manière exemplaire sont Walter Bowart, "Operation Mind Control", Jon Rappoport, "Les expériences du contôle mental du gouvernement sur les enfants" et Alex Constantine, "Dictature Psychic in the USA". 

La société, dans son état apparent de vie "normale", est généralement dans la négation la plus écrasante de la preuve de ces choses, qui couvre plusieurs pays, des hommes politiques de hauts rangs, et des programmes secrets. 

 

(1) Pour plus d'informations, voir "Les Black Program: Le Projet PAPERCLIP".    

(2) Parmi ceux-ci, les projets: "MK NAOMI" (constitution, stockage et tests d'armes biologiques); "MK DELTA" (tests toxicologiques de drogues sur les êtres humains et les animaux); "THIRD CHANCE" (tests LSD sur la population en Europe. Un exemple concret de ce que pouvait être ce genre de tests, est ce qui s'est passé en France, dans le village de Pont Saint-Esprit, dans le Gard, avec de nombreux cas d'hallucinations parmi les habitants); "DERBY HAT" (tests LSD sur la population en Asie).

(3) Je vous invite, si le sujet vous intèresse, à regarder le film "Un crime dans la tête", avec Denzel Waschington. Ce film est assez "hérmétique", et il pourra en rebuter certain par son ambiance "pesante". Mais c'est un bon exemple de manipulation mentale, à l'image de MK Ultra et du Projet Monarch.  

(4) C'est très simple, ils font tuer une personne par le "tueur", en lui donnant l'ordre d'aller, une fois l'élimination faite, par exemple à tel hôtel, dans telle chambre, le plus souvent très haut dans les étages. De là ils lui donne l'ordre (un message préalablement implanté dans le subconscient et devant donner une réaction pré-définie), par téléphone, ou par une émission de télé qui lui auront dit de regarder, tout bêtement, de se jeter par la fenêtre ou bien de s'ouvrir les veines. Si il y a enquête, c'est un simple suicide. Si elle trouve une connexion avec le meurtre commit, la police ne peut identifier le coupable, puisque les sujets "Monarch", sont enlevés très jeunes, ils n'ont jamais eu d'existence légale, pour ainsi dire. Et comme il s'est donné la mort, pas de poursuites possibles. Le dossier est alors classé. C'est un exemple, il y a bien sûr d'innombrables possibilités. 

(5) Voir la catégorie "Les sociétés secrètes", pour plus d'informations.

(6) Pour lire des passages du témoignages de Cathy O'Brien, voir "Témoignage sur MK Ultra et Monarch", (plusieurs parties), dans la catégorie "Témoignages et révélations".

Sources:
David L. Carrico, "Le maçonnique Egyptien et ses Connections sataniques", 1992;
Walter H. Bowart, "Operation Mind Control", Editions Flatland, 1994, p. 216; 
Martin Cannon, Mind Control et le gouvernement américain, les vents dominants Research, 1994, p. 19;
Linda Hunt, Secret Agenda, St. Martin's Press, 1991; 
John Marks, "The Search For The Manchurian Candidate", Times Books, 1979, p. 60-61; 
Rapport final du Comité spécial d'étude des opérations gouvernementales, US Senate, avril 1976, p. 387 à 422; 
Barbara G. Walker, "le Dictionnaire féminin des symboles et des objets sacrés", Harper Collins, 1988; 
Marshall Cavendish, Man, Myth and Magic, 1995;
Dr. Corydon Hammond, Le discour Greenbaum 1992; Définitions programmation Monarch, Mark Phillips et Cathy O'Brien 1993;
Fritz Springmeier, "The illuminati formulate for create an Undetectable Total Mind Controlled Slave", 1996;
Gerald L. Posner, "Mengele: The Complete Story", McGraw-Hill, 1986; 
Lucette Matalon Lagnado, "Dr Josef Mengele" et "The Untold Story of the Twins of Auschwitz camp", Morrow, 1991; 
Gordon Thomas, Journey into Madness: "The True Story of Secret CIA Mind Control and Medical Abuse", Bantam Books, 1989; 
Cathy O'Brien et Mark Phillips, "Trance Formation of America" 1995; 
DeCamp John, "The Franklin Cover-Up", "l'enfance maltraitée", "le satanisme" et "Assassiner dans le Nebraska", AWT Inc, 1992; 
Anton Chaitkin, "Les Témoins de Franklin",  "le FBI et des élites américaines impliqué dans la torture" et "Assassiner des enfants", Le Taurillon, 1993;
Jon Rappoport, "Expériences de contrôle mental avec la CIA sur les enfants", Perceptions Magazine, Septembre-Octobre 1995, p. 56; 
David E. Rosenbaum, Esq., First Draft Vue d'ensemble des enquêtes sur le groupe, 1983-1993.

16 février 2017

La Television cest de la pollution psychique un troisieme oeil artificiel ...

oeil-bionique

Techniquement, la télévision est l'émission d'images visuelles sous forme d'ondes électromagnétiques, puis la reconversion en images visuelles des ondes reçues. le mot image est le mot magie sont etroitement liée car on envoit des images ou des sorts dans linconscient du spectateur qui en devient comme hypnotisé et sous son emprise comme le ferait n'importe qu'elle magie par son pouvoir de suggestions sur les plans metaphysiques qui se concrètisent  ensuite sur les plans physiques via nos centres energetiques ou chakras .......

C'est en 1884 que l'inventeur germano-russe Paul Nipkow fit breveter un dispositif de transmission d'images: le disque analyseur. C'était un volant perforé, tournant rapidement, au moyen duquel une scène éclairée était décomposée en points lumineux et sombres. La série de points de lumière ainsi obtenue était convertie en signaux électriques et télégraphiée vers un récepteur. Les impulsions d'entrée étaient reconverties en points lumineux et sombres, à partir desquels l'image d'origine était alors, plus ou moins précisèment reproduite à l'aide d'un disque identique, synchronisé sur le premier.



Le dispositif de Nipkow était primitif, mais la méthode sous-jacente de la "télévision" n'a jamais changé: les images sont toujours décomposées en points lumineux et sombres - pensez à la structure granulaire qui peut être remarquée sur des photographies très agrandies.

Il a fallu attendre 1923 pour obtenir des images de haute qualité, grâce à un américain né en Russie, Vladimir Zworykin, qui déposa une demande de brevet pour son "iconoscope", prototype du tube de télévision moderne. Le disque analyseur avait été remplacé par un canon à électrons, source de danger immédiat, comme nous le verrons.
Aux États-Unis, le premier service de télévision régulier entra en existence dans l'après-midi du 30 avril 1939, à l'occasion de l'ouverture de l'Exposition Mondiale de New York dont le thème était: "Le Monde de Demain". Les loges secrètes qui avaient tout organisé entendaient ainsi donner le coup d'envoi à une culture mondiale basée sur le contrôle des populations par l'image.

La National Broadcasting Company (NBC), sous les auspices de la Radio Corporation of America, diffusait les cérémonie à titre de démonstration. En quelques jours les gens commencèrent à s'aligner par milliers pour voir les démonstrations du nouvel appareil miracle. La fascination de l'humanité pour la télévision avait commencé.


Télévision datant de 1928




Premières images perçues à la télé

................

assez basique...




sur un écran qui ressemblait à celui-ci

 

Appareils créés par Bell. Imaginez la puissance que requérrait ces appareils !
Tout comme les premiers ordinateurs qui chauffaient la pièce...



Après guerre, la télévision devint rapidement une affaire mondiale. L'ère de la télévision amorcée à l'Exposition Mondiale de 1939 semblait partie à l'attaque, tambour battant et drapeaux au vent. Rien ni personne ne saurait l'arrêter.

Après des milliers d'années de civilisation en évolution lente, l'humanité, lorsqu'elle pénétra dans l'ère de la télévision, modifia complètement ses coutumes en une décennie ou deux seulement. La vie, soudainement, ne semble plus être qu'autre chose qu'un loisir de masse et les gens commencent par rester chez eux pour prendre leur repas-télé devant le tube-écran.

Il n'a pas fallu attendre longtemps pour que des parades publicitaires impitoyables commencent à claironner la doctrine de la "Consommation". Qui plus est, de nombreuses nations sont en cours de conditionnement par une programmation et une censure de la télévision contrôlées par le gouvernement - moyen efficace, s'il en est, d'injecter sans cesse aux masses des idéologies asservissantes.

La télévision est l'APPAREIL DU POUVOIR, du pouvoir sur les sentiments, sur les pensées, les désirs, la volonté, les esprits de pratiquement tout le monde.

Que sont, qui sont les "forces" qui détiennent ce pouvoir ? Nous devons trouver la réponse à cette question.




Le mystère de la lumière



La lumière est l'un des dons les plus précieux qui soient accordés à cette planète par le soleil. Depuis des millions d'années, celui-ci fournit l'énergie lumineuse et thermique sans laquelle la vie ne serait pas possible. L'on pense que la plus grande partie de cette fantastique énergie va se perdre dans l'incommensurable espace de l'univers. Mais cette croyance populaire est erronée car, dans la création divine, pas même une once d'énergie n'est gaspillée; tout est mis à contribution pour l'évolution de myriades d'entités se trouvant dans le corps solaire cosmique, lequel entre en interaction avec de nombreux systèmes solaires du macrocosme.

Des Hiérarchies spirituelles sublimes fonctionnent avec les Énergies Divines - appelées collectivement FOHAT dans la doctrine ésotérique universelle. L'énergie électromagnétique de Fohat est donc, dans sa plus haute manifestation, l'Amour divin. L'un de ses aspects les moins évolués est connu sous l'appellation "électricité". Avez-vous déjà pris une décharge électrique ? Vous aurez alors une vague impression de l'invincible puissance de Fohat.




Quel est le rapport avec la télévision ?



Il faut voir les choses sous leur véritable perspective. Considérez la télévision comme un phénomène typique de notre société technocratique pseudo-omnisciente qui est une menace terrible pour l'homme lui-même, ainsi que pour son environnement cosmique, car les champions du monde scientifique sont en train de se livrer à des expériences avec les diverses formes d'énergie de Fohat d'une manière tout à fait irresponsable.
L'homme pourrait avoir accès à la Divine Félicité de Fohat - le Monde de la Lumière de Dieu - grâce à la tranformation spirituelle de son être. Mais que préfère t-il choisir ? Il préfère suivre son pénible sentier à travers l'obscurité de son ignorance et de sa haine, ce qui conduit inévitablement au résultat que la Lumière de Fohat le brûlera sous forme de "chaleur". C'est ainsi que dans les mythes, Fohat devient un feu de jugement. Et selon certaines prophèties, c'est par le FEU - comme il est dit dans le Livre de l'Apocalypse - que cet actuel cycle de manifestation se terminera. C'est en même temps par le Feu que les "appelés" et les "élus" pourront gagner l'immortalité comme le phénix qui renaît de ses cendres.

L'Ère du Verseau déverse à nouveau la Lumière de Fohat sous forme de radiations qu'on appelle les "eaux vives". Mais au lieu de se transformer intérieurement en sublimant son système atomique individuel, l'homme a soulevé le voile de l'atome physique et a réussi, dans une imitation grotesque, à libérer "l'esprit contenu dans la bouteille", le répugnant pouvoir de la fission nucléaire.

L'humanité doit suivre une voie de développement positive ou négative. C'est la régénération ou la dégénérescence - il n'y a pas d'autre choix, pas de moyen terme. Mais ce que nous voyons se développer aujourd'hui à travers la science matérialiste est une réaction négative mise en place par des forces dirigeantes, agissant par une autoconservation aveugle.
Ils tentent de contrer l'évolution spirituelle régulière par une parodie infernale. Il ne peut en résulter qu'une tragédie que les plus nobles conducteurs de l'humanité ne seront pas en mesure d'écarter. Einstein était bien près de reconnaître la destinée fatale et inévitable de l'actuel ordre des choses lorsqu'il concluait: « Chaque étape semble être la conséquence inévitable de la précédente ». C'est dans cette perspective que nous alons considérer la télévision.

Il ne suffit pas de mesurer le rayonnement émis par le poste pour comprendre ce qu'il en est vraiment, parce qu'on oublie alors de voir quelles sont les forces qui oeuvrent par le biais de la télévision et quels événements sont à l'arrière-plan de ces phénomènes.

Les expériences nucléaires et autres essais scientifiques et techniques avec les énergies de Fohat constituent déjà une menace mortelle pour toute vie sur Terre et pour le délicat équilibre du sytème solaire également. Les couches protectrices de la Terre ont été sérieusement endommagées, si bien que les rayonnements maléfiques, non seulement percent jusque dans la vie terrestre, mais aussi hors de l'atmosphère, vers le reste du système solaire. Malgré ce tableau assez sombre, de grandes possiblités spirituelles sont ouvertes pour ceux qui sont capables de réagir positivement aux événements qui s'approchent.

La télévision est la réponse des forces obscures aux influx libérateurs de l'ère nouvelle. Ce n'est pas leur seule arme, mais c'est certainement l'une des meilleures pour leur objectif. La télévision serait donc une vaine tentative, par un usage détourné de la lumière de Fohat, de résister à la Lumière spirituelle véritable. En ce sens, c'est une contre-offensive stratégique ingénieusement mise au point dans la bataille des puissances terrestres contre les forces de la Vie divine. En plus de la pollution électromagnétique, une forme de pollution encore plus sérieuse provient de la télévision.

Le but franchement pervers de la télévision est
la POLLUTION PSYCHIQUE !

Et il lui fut donné d'animer l'image de la bête, afin que l'image de la bête parlât,

Instinctivement, nombre de personnes s'en rendent compte, et ils évitent autant que possible cette source de pollution pour leur âme. Mais elles deviennent rares.




Les Rayonnements



La télévision est l'une des merveilles de l'électronique, cette science de l'utilisation des électrons. Ces derniers sont de petites particules chargées d'électricité.

Les électrons associés à un atome ressemblent à de minuscules planètes tournant autour du "soleil" qui est le noyau de l'atome en question. Les atomes sont les pierres de construction de la matière. Ce qu'il est important de retenir c'est que la matière n'est pas seulement physique mais qu'il existe aussi une matière éthérique, astrale et mentale.
Un deuxième point à retenir également est que les matières physiques, éthérique, astrale et mentale sont très étroitement liées et s'influencent réciproquement sans cesse. Aucun phénomène physique n'a lieu sans conséquences sur les plans éthériques, astral, et mental. Expérimentant dans l'ignorance totale de ces aspects, le savant et l'ingénieur présentent toujours un danger latent.

Dans certaines conditions, un atome peut perdre un ou plusieurs de ses électrons planètaires. On dit alors qu'il est ionisé. Il est devenu un ion positif, chargé d'une ou plusieurs charges positives. Les électrons qui ont échappé à l'attracton d'un noyau atomique sont appelés des "électrons libres". Ce sont eux qui sont responsables du courant électrique parcourant un fil conducteur ou suivant une trajectoire dans le vide, donnant ainsi naissance à un champ électrique et magnétique.

L'espace est rempli de rayonnements de natures fort diverses. Il y a des rayonnements corpusculaires, formés par des protons, par des neutrons, par des électrons, et aussi des rayonnements électromagnétiques qui, eux, se propagent avec la vitesse de la lumière, étant eux-mêmes les constituants de la lumière. Ces rayonnemments sont classés suivant leur fréquence, inversement proportionnelle à leur longuer d'onde. Ces rayonnemments électromagnétiques sont formés de particules sans masse appelées " photons " et dont l'énergie est proportionnelle à la fréquence.

Allant dans le sens des fréquences croissantes, nous avons d'abord les basses fréquences (correspondant aux longues ondes de la radio), puis les fréquences moyennes (ondes moyennes de la radio), puis les fréquences comprises entre 3 et 30 mégahertz (ondes courtes de la radio), puis les fréquences entre 30 et 300 mégahertz (ondes ultracourtes utilisées en télévision et radio), puis les fréquences comprises entre 300 et 3000 mégahertz (soit entre 100 cm et 10 cm de longueur d'onde: les micro-ondes, radars, fours à mico-ondes, etc). Vient ensuite l'immense gamme des rayons infrarouges, puis les ultraviolets, et enfin les rayons X mous, puis les rayons X durs, et les rayons Gamma qui sont émis par les noyaux atomiques ou qui sont l'une des nombreuses composantes des rayons cosmiques.



Le tube-écran d'un tube de télévision est construit sur la base d'un canon à électrons qui projette des électrons en faisceau concentré sur l'écran.
La face interne de l'écran est recouverte d'un réseau de quelques milliers de points dont la fluorescence peut être excitée dans les trois couleurs de base de la TV en couleur. Chaque fois que le faisceau d'électrons frappe l'un de ces points, celui-ci émet une lumière d'autant plus intense que le faisceau est intense.

En s'arrangeant pour que le faisceau balaie l'écran, exactement comme on lit une page d'un livre ligne après ligne, et en faisant en même temps varier l'intensité, les points luisent avec plus ou moins de luminosité, ce qui crée l'illusion de l'image.

La répétition rapide de ce processus, y compris des changements progressifs dans l'image, suggère le mouvement. Des signaux acoustiques apportent la sonorisation.

Tout en regardant la TV, on se fait donc injecter de l'énergie rayonnante, non pas sous la forme de la lumière naturelle ambiante, provenant du soleil, mais avec cette "lumière de la télévision" bien caractéristique, toute artificielle, projetée dans une intention bien précise. Elle est projetée sur le spectateur par l'écran fluorescent au moyen du canon à électrons littéralement pointé vers la personne se trouvant devant le poste de TV.

Cette énergie pénètre le spectateur et affecte les glandes endocrines ainsi que les subtils organes éthériques qui jouent un rôle si crucial dans le développement et l'éveil spirituel.



La lumière solaire naturelle est constituée d'un mélange particulier de rayonnements électromagnétiques de diverses longueurs d'ondes, qui comprennent la lumière visible allant de 400 nm (violet) à 800 nm (rouge) (ou 4000 à 8000 angströms) et des rayonnemments infrarouges et ultraviolets, ainsi que des micro-ondes centimétriques, etc. Les proportions de ce mélange sont modifiées par l'action de l'atmosphère - au demeurant fortement endommagée - jouant le rôle de filtre sélectif, et ce que nous recevons au sol est la combinaison appropriée pour la croissance et la protection de toute vie sur terre.

La lumière artificielle issue d'une autre source envoie des ensembles de longueurs d'ondes entièrement différents, ce qui peut être suffisant pour créer des problèmes.

La lumière est une nourriture pour les cellules. La nature met ses enfants à un régime de lumière bien équilibré. Chaque fois que le régime est modifié, comme dans le cas de la lumière artificielle, certaines altérations des cellules se produisent, entraînant une détérioration du corps humain et de ses organes spirituels.

L'histoire a prouvé que les experts se sont toujours trompé dans leurs évaluations de la quantité de rayonnement que l'on suppose nocive pour l'homme.

Les effets des rayonnements sur l'homme sont mesurés en Rems (Roentgen Equivalent for Man) ou en millirems (millièmes de Rems). On estimait en 1950 qu'il fallait 1000 rems ou plus pour causer le cancer de l'embryon. En 1955, on estimait que 200 rems étaient une valeur plus proche de la réalité. Aujourd'hui certains pensent que 2 rems suffisent !
Dans les années soixante, les postes de TV étaient considérés comme "sûrs" lorsqu'ils émettaient 50 millirems par heure. En 1980, la limite de la tolérance fut ramenée au centième de cette grandeur: 0,5 millirems par heure. Et ainsi de suite.

On entend souvent des remarques telles que: « Ce n'est pas si nocif, et d'ailleurs, je ne m'assieds pas trop près ».
Considérez d'abord que la majorité des gens ne croit que ce qu'elle désire croire. C'est bien connu. En deuxième lieu, on ne se rend pas suffisamment compte du fait qu'une fois que le rayon X a pénétré dans le corps, il est absorbé par les cellules, au prix d'une détérioration de celles-ci. Les effets ainsi produits sont cumulatifs.

En d'autres termes, en trois ans de télévision à raison de 4 heures par jour en moyenne, on absorbera 2 Rems, soit assez pour entraîner théoriquement le cancer de l'embryon. Et pourtant, il y a des millions de mères qui pensent - mais pensent-elles ? - qu'elles font à leurs petits une grande faveur en les mettant en face de l'écran cathodique.
Est-ce aller trop loin que de conclure que TOUTE quantité de rayons X émanant de postes de TV est susceptible d'être nuisible pour l'homme ?
Beaucoup de gens sont devenus si drogués ou si obscurcis qu'ils tentent de justifier leur attitude en disant: « Un examen radiologique est pire », ou encore « Il y a de toute façon tellement de rayonnements ambiants », et autres maximes de cet acabit.

Cela est aussi logique que de dire: « Vous me dites que mon enfant est en train de se noyer ! Quelle importance ? Trois de mes enfants se sont déjà noyés ! »

Il faut bien admettre que ce n'est pas seulement la télévision qu'il faut incriminer, car les expositions aux rayonnements sont nombreuses. Mais cela ne la rend pas pour autant plus acceptable.
Aujourd'hui, des groupes demandent instamment: « Halte à la pollution de l'eau et de l'air ! ». Demain, ils sont susceptibles d'exiger: « Halte à la pollution électromagnétique ! ». « Arrêtez de polluer nos âmes et nos esprits ! ». Mais comme cela va croissant, il sera alors trop tard.




Les effets photobiologiques





Nous avons étudié certains effets nuisibles du rayonnement des postes de télévision sur le système humain. Il est possible que d'autres techniques surgissent, permettant une élimination totale du rayonnemment cathodiques. On met du temps à généraliser les écrans à cristaux, sans doute pour continuer à favoriser le tube cathodique.
Aujourd'hui l'exposition au rayonnement reste très réelle, et cela volontairement.

Ce qui est encore plus préoccupant, c'est l'endommagement irréparable de nos organes les plus subtils tels que les couches optiques, l'épiphyse (glande pinéale) et l'hypophyse (glande pituitaire) qui sont appelées à accomplir des fonctions fondamentales dans le développement spirituel d'un individu.

Ces remarquables organes réagissent à toute lumière reçue par la rétine de l'œil.

On estime généralement que l'œil n'a qu'une seule fonction: la vue. Mais la fonction des yeux, en liaison organique avec l'épiphyse et l'hypophyse est triple:

      1 - L'interprétation de l'énergie lumineuse sous forme d'images par les circuits conduisant au cerveau (perception visuelle ou processus de la vue) ;

 

      2 - L'assimilation de l'énergie lumineuse par les voies neurochimiques et son acheminement vers les glandes pinéales et pituitaires et, de là, dans l'ensemble du système endocrinien (ingestion de la lumière ou photosynthèse) ;

 

    3 - Et l'expression de la réalité de l'âme. L'œil est appelé "le miroir de l'âme".

Concernant la deuxième fonction (la lumière en tant que nutriment des cellules), il est de la plus haute importance de veiller à la qualité de la lumière que nous ingérons ; s'il s'agit par exemple de lumière naturelle, rayonnée vers nous par le soleil, ou de lumière artificielle. Est-ce la lumière ambiante ou est-ce une lumière artificielle concentrée et injectée pour ainsi dire dans nos yeux ?

La lumière artificielle peut avoir de nombreux effets nuisibles, dont nous ne sommes pas conscients. C'est particulièrement vrai si nous sommes constamment en train de fixer une lumière comme celle de la télévision.
Il est sans doute utile de répéter que la lumière solaire naturelle représente un régime lumineux bien équilibré, tandis que la lumière artificielle, quelle qu'elle soit, comprend un mélange de composantes spectrales (couleurs) peu favorable.

La lumière de la télévision couleur contient seulement trois bandes étroites de fréquences: le rouge, le bleu et le vert.

En conclusion, nous devons dire que l'on ne saurait être assez prudent avec la lumière cathodique, pour diverses raisons. Raisons de santé, mais, ce qui est encore plus important, simple raison de survie spirituelle.
Ces organes délicats - les yeux, les couches optiques, l'épiphyse et l'hypophyse, sans parler des corps subtils et des chakras - ne sont pas construits pour les expositions fatales que constitue le bombardement journalier par la lumière fluorescente à haute énergie et par certaines quantités de rayons X. Ces expositions les attaqueront, les paralyseront et les brûleront, pour ce qui est de leurs fonctions supérieures.
Ces organes sont destinés à fonctionner en tant que centres hautement évolués de l'Énergie lumineuse, comme purs canaux pour exprimer la Réalité rayonnante de l'Âme. Par exemple, ce que l'hermétisme appelle le "cercle de feu de la pinéale" est le lieu où l'Esprit et l'Âme se rencontrent.

Les puissantes vibrations spirituelles ont besoin de réceptacles vibrant avec une grande pureté. C'est alors que le troisième œil peut s'ouvrir. Mais la télévision risque au contraire de l'obturer, en maintenant ainsi les âmes sur une fréquence vibratoire où elles demeurent contrôlables et soumises.

Si le contrôle n'est pas le but ultime de la télévision, alors pourquoi en 2001, le ministre de la culture de l'Inde, a t-il annoncé que chaque foyer indien devait être équipé d'urgence d'un téléviseur, quitte à casser les prix ? Est-ce que la télé pourvoit aux besoins alimentaires ?

 

Joel labruyère

rusty james

13 janvier 2017

Pourquoi les gens sont les plus farouches defenseurs de la pensee dominante: Le conformisme social

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Pourquoi les gens se disputent toujours losrque l'on remet en cause la pensee dominante la réponse se trouve dans cette excellent documentaire cela va audelà deu simple conditionnement cest indetectable et terriblement efficace . Richard aimerait intervenir dans la réunion pour évoquer un problème qui lui tient à coeur mais une voix intérieure le su pplie de ne pas se mettre en avant, de ne pas se faire rema rquer... Milena , qui s'est - depuis toujours - déclarée hostile à ce qu'une femme ait le droit de se faire avorter, s'aperçoit qu'elle est enceinte. Or un enfant dans l'immédiat serait pour elle, une cata strophe... Rosine , pensant bien faire, a forcé ses enfants à manger. En lisant Alice Miller , elle en vi ent à se demand er si elle ne s'est pas vengée ainsi de ce que sa propre mère lui avait fait subir a utrefois En lisant " Les Héritiers " de Bourdieu et Passeron ,

Bob découvre le rôle d'instance de légitimation joué par le système scolaire dans la transmission héréditaire d es pr i- vilèges à l'intérieur des couches favorisées de notre société. Cette information le g ê- nerait peu s'il n'était tout à la fois militant syndical convaincu et professeur partic i- pant à ce titre à l'élimination des enfants des m ilieux défavorisés. J'aime bien ce que dit S. et je l'écoute avec plaisir, avec une certaine admiration même, jusqu'au moment où changeant de sujet, il prend une position tout à fait o p- posée à la mienne... D écoute toujours avec émotion les Quatre derniers lieder de Richard Straus s. En lisant une biographie du compositeur, D ap prend qu'il fut un musi cien officiel du IIIème Reich ... Resc apé des camps d'extermination, une telle information ne peut le laisser i ndifférent... Après avoir pendant 35 ans mené la vie frugale d'un curé de par oisse ouvrière, Luc découvre qu'il n'a plus la foi. Va -t-il choisir la sincérité et jeter le trouble parmi ses paroissiens, courir le risque d'un rejet violent par ces gens qui s ont maintenant sa seule famille ? Renoncer à son statut religieux, c'est aussi devoir trouve r un log e- ment, un nouvel emploi ...

D'autre part, prêcher pour un Dieu auquel il ne croit plus, justifier ce qui lui semble profondément choquant, devenir un mensonge vivant, cela lui semble tout à fait impossible... En 1960 , un journali ste c ommuniste français découvre , à l'occasion d'un voyage à l'Est, la formidable imposture des régimes soviétiques. Devait -il dire la vérité, dé- sespérer Billa ncourt et devenir pour ses amis et ses camarades, mais aussi pour ses employeurs , le renégat dont on s e détourne ? Devrait -il, pour survivre économiqu e- ment, chercher un emploi au Figaro, en somme passer à l'ennemi ? Il décida de se taire mais quelque chose s'était cassé à l'intérieur et il ne survécut que quelques a n- nées à sa terrible prise de con science... Harassé après 10 heures passées dans son atelier de chaudronnerie , Adolfo n'a pas supporté les pleurs de son fils et l'a giflé violemment. Le coup a réussi, mais Adolfo qui se veut un bon père, est maintenant mal à l'aise.

conflit entre valeur et but. J'ai évoqué plus hau t le cas assez banal de Milena. L a question du copiage dans les examens peut aussi nous fournir une illustration simple : SACHA qui sèche, peut, en louchant sur la copie de SARAH qui sait, trouver quelques idées et s'en t i- rer ; mais SACHA a des principes. S'il copie, il sera en dissonance avec ses princ i- pes . S'il ne copie pas, il sera en dissonance avec ses objectifs... Des deux côtés son mal est infini... Conflit entre deux loyautés C'est une situation familière pour les enfants déchirés entre des parents en conflit, ou sommés de dénoncer un cam arade... Parfois il s'ag it plutôt d'ambivalence : peur/attirance, amour/haine ou plus banalement affe ction/rancune... Parfois, notre territoire d'implication est divisé : Par exemple, les gens que nous aimons sont en conflit, ou bien les gens que nous estimons ne s'estiment pas ; o u bien encore nous admirons quelqu'un qui n'a que mépris pour un objet (livre, film , musique) qui nous a entho usiasmé. Ici encore les mésententes familiales peuvent fournir de r iches illustrations : outre les enfants déchirés évoqués plus haut, la figure la plus courante me semble celle qui écartèle un être humain lorsque le compagnon choisi (ou la compagne) et la mère ne s'acceptent pas. Parfois la fêlure est plus complexe et plus ou moins défin itive. Si je n'ai jamais senti un regard positif de mon paren t sur moi, puis -je m'estimer ? Et s i je n'ai pas d'estime pour moi -même 1 , puis -je estimer quelqu'un qui m'e stime ? Ces décalages, ces conflits, ces ambivalences, ces morcellements sont des v a- riantes du phénomène de dissonance et si nous y sommes attentifs, nous déco u- vrons que, plusieurs fois dans l'heure, nous sommes concernés .

Quand des personnes échangent fréquemment et de manière non défensive, les divergences tendent à s'estomper et la communication gagne en s écurité mais il n'y a pas que des avantages dans la mesure où les occasions de dissonances se restre i- gnent.. La tentation du mépris FRANTZ a choisi de deveni r professeur de maths par amour des maths. Il se r e- trouve enseignant des notions très élémentaires à des enfants faibles et peu mot i- vés... Va -t-il s'installer dans le m épris des élèves ? ou bien déplacer son intérêt vers un nouveau type de complexité et rech ercher pou rquoi les élèves ne comprennent pas? Amour et préjugé Al i est très amoureux de Célimène 1 et méprise les femmes qui ont eu de no m- breux amants Juliette lui dit que Célimène en a eu quelques diza ines. Comment réduire cette dissonance ? On peut en visager diverses v ariantes : 1- Ali renonce à son mépris pour les femmes qui ont choisi cette liberté et il peut ainsi continuer d'aimer Célimène . 2- Il rejette Célimène et préserve ainsi les principes qui lui f urent inculqués.

 

28 juin 2016

Jose Delgado – Contrôle physique de l’esprit : Vers une société psychocivilisée

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« Nous avons besoin d’un programme de psychochirurgie pour le contrôle politique de notre société. Le but est le contrôle physique de l’esprit. Chacun qui dévie de la norme donnée peut être chirurgicalement mutilé. L’individu peut penser que la réalité la plus importante est sa propre existence, mais c’est seulement son point de vue personnel. Même si cette attitude libérale est très séduisante, ceci manque de perspective historique. L’homme n’a pas le droit de développer sa propre façon de penser. Nous devons contrôler le cerveau électriquement. Un jour, les armées et les généraux seront contrôlés par stimulation électrique du cerveau. »Jose Delgado, physiologiste à l’Université de Yale, Procès verbal des séances du Congrès américain, numéro 26, vol. 118, le 24 février 1974.

Chers amis,

Je vous annonce une bonne nouvelle : l’horrible livre de l’ignoble savant José Delgado, « Physical Control of the Mind : Toward a Psychocivilized Society » est désormais accessible à tous sur le web, et ce sur plusieurs sites et via plusieurs moyens !

C’est une « bonne » nouvelle car à présent, la PREUVE que des savants-fous sont parvenus à CONTRÔLER les individus CORPS ET ÂME est disponible pour tous ET NE POURRA PLUS ÊTRE IGNORÉE !!!

Certes, je n’ai pu trouver que des versions incomplètes, mais le principal y est.

Ce livre a été écrit il y a PLUSIEURS DÉCENNIES, en 1969 pour être précis (voir sur Amazon)…

Demandez-vous donc OU ON EN EST ARRIVE AUJOURD’HUI (presque 40 ANS PLUS TARD) AU NIVEAU DU CONTRÔLE MENTAL DES INDIVIDUS ET DES PEUPLES ? Une pensée qui donne le vertige… et la nausée.

Vous pouvez par exemple trouver le livre (en anglais) sur le site suivant.

Vous allez le voir, le contrôle physique de l’esprit EST UN FAIT SCIENTIFIQUE AVÉRÉ, et le contrôle de l’individu, CORPS ET ÂME, via un IMPLANT CÉRÉBRAL actionné à distance par RADIOFRÉQUENCES, est une RÉALITÉ !!!

Certaines personnes de mauvaise foi ou très mal informées croient encore que Delgado n’a pas fait d’expérience sur des êtres humains… Ceux-là vont avoir un fameux choc et vont être forcés d’ouvrir les yeux et l’esprit à ce danger immense que représentent les puces implantables !

Vous ne comprenez pas l’anglais ? CE N’EST PAS GRAVE ! Je vais vous poster, dans les prochains jours, des traductions en français des passages importants de ce livre ! Restez donc tous bien en ligne les jours qui viennent…

Afin de vous donner un petit aperçu de ce qui va suivre, voici déjà un extrait, traduit pour vous en français.

A bientôt pour la suite…

Vic.


CHAPITRE NEUF : EVOLUTION HISTORIQUE DU CONTRÔLE PHYSIQUE DU CERVEAUA) Fait expérimental : les muscles d’une grenouille se contractent lorsqu’ils sont stimulés par électricité. Volta, 1800 ; Galvani, 1791 ; DuBoisReymond, 1848.

Implication : les « esprits vitaux » ne sont pas essentiels pour les activités biologiques. Les stimuli électriques contrôlés par l’homme peuvent être à l’origine du contrôle et de la modification des processus vitaux.

B) Fait expérimental : la stimulation électrique du cerveau auprès d’un chien anesthésié a provoqué les mouvements localisés de son corps et de ses membres. Fritsch et Hitzig, 1870.

Implication : Le cerveau est excitable. La stimulation électrique du cortex cérébral peut produire des mouvements.

C) Fait expérimental : la stimulation du diencéphale auprès de chats non anesthésiés a provoqué des effets moteurs bien organisés et des réactions émotionnelles. Hess, 1932.

Implication : des manifestations motrices et émotionnelles peuvent être provoquées chez des animaux éveillés.

D) Fait expérimental : chez des animaux seuls, l’apprentissage, le conditionnement, les réponses instrumentales, la douleur et le plaisir ont été provoqués ou inhibés par stimulation électrique du cerveau chez les rats, les chats et les singes. Delgado et collègues 1954 ; Olds et Milner, 1954 ; voir bibliographie dans Sheer, 1961.

Implication : des phénomènes psychologiques peuvent être contrôlés par stimulation électrique de certaines régions du cerveau.

E) Fait expérimental : dans les colonies de chats et de singes, l’agression, la domination, mountIng, et d’autres interactions sociales ont été provoqués, modifiés ou inhibés par radio stimulation de zones cérébrales spécifiques. Delgado, 1955, 1964.

Implication : le comportement social peut être contrôlé par stimulation radio de zones spécifiques du cerveau.

F) Fait expérimental : chez des patients, la stimulation du cerveau lors d’interventions chirurgicales ou avec des électrodes implantées pendant plusieurs jours ou mois a bloqué le processus de la pensée, a entravé la parole et le mouvement, ou dans d’autres cas, a provoqué la joie, le rire, la convivialité, la production verbale, l’hostilité, la peur, des hallucinations et des souvenirs. Delgado et collègues 1952, 1968 ; Penfield et Jasper, 1954 ; voir bibliographie dans Ramey et O’Doherty, 1960.

Implication : les fonctions mentales humaines peuvent être influencées par stimulation électrique de certaines régions du cerveau.

Résumé

Les fonctions autonomiques et somatiques, le comportement individuel et social, les réactions affectives et mentales peuvent être provoqués, maintenus, modifiés ou inhibés, à la fois chez les animaux et chez l’homme, par stimulation électrique de certaines structures cérébrales. Le contrôle physique de nombreuses fonctions du cerveau est un fait prouvé, mais les possibilités et les limites de ce contrôle sont encore peu connues.

Pages 70-71


Chers amis,

Voici ci-dessous, traduit pour vous en français, la partie finale du livre du savant malade José Delgado, un véritable nazi qui a testé sur des animaux ET SUR DES ÊTRES HUMAINS LES IMPLANTS CÉRÉBRAUX A RADIOFRÉQUENCE QUI PERMETTENT LE CONTRÔLE DU CORPS, DE L’ESPRIT ET DU COMPORTEMENT.

CETTE PARTIE NOUS PROUVE SANS LE MOINDRE DOUTE POSSIBLE QUE LE CONTRÔLE PHYSIQUE DU COMPORTEMENT EST BIEN RÉEL ET A DÉJÀ ÉTÉ TESTE !!!

Ceci nous signale aussi les DANGERS INFINIS LIES A CETTE TECHNOLOGIE LIBERTICIDE, TOTALITAIRE ET NAZIE !

PIRE : l’utilisation de ces implants démoniaques comme une ARME potentielle est également RECONNUE, puisque ces implants peuvent par exemple « RETARDER UN BATTEMENT DU COUR » !!! Il est donc possible de retarder ce battement… jusqu’à la mort !!!

Nous allons nous apercevoir que Delgado est un MATÉRIALISTE FORCENÉ, pour qui l’être humain se réduit finalement à un tas de matière. Delgado rejette, en définitive, toute conception spirituelle et repousse toute opposition ou objection (théologique, morale, éthique, philosophique) à l’application de sa technologie dictatoriale !

Nous allons voir la façon absolument perfide dont il tente de justifier la « nécessaire » utilisation de son abominable technologie… et aussi la façon absolument répugnante dont il retourne le problème : au lieu que ce soient les autorités qui prennent la décision (décision totalitaire, bien entendu, ce qui est toujours le cas et ce qui dénote la volonté immonde des dirigeants vendus au Nouvel Ordre Mondial), lui part du principe que ce sont des personnes (des malades mentales, dans l’exemple repris dans l’extrait ! ) qui lui « réclamaient » le contrôle de leur esprit via stimulation électrique du cerveau par le biais d’un implant cérébral !!! Ben voyons !

Nous allons voir également, dans l’extrait qui suit, comment de SIMPLES BAGARRES constituent, pour lui, une « raison suffisante » pour CONTRÔLER ET DIRIGER LE CERVEAU ET LE COMPORTEMENT DE L’INDIVIDU, SUPPRIMANT TOUTE FORME DE LIBRE ARBITRE ! Atroce…

Point intéressant : l’argumentation pseudo-médicale et policière utilisée par Delgado aujourd’hui est EXACTEMENT LA MÊME que celle qui est reprise aujourd’hui par d’autres crapules nazifiantes qui tentent d’imposer les puces implantables, telles que, par exemple, le sénateur belge et neurochirurgien Jacques Brotchi qui, quel « hasard », a proposé la puce implantable de contrôle comportemental pour les pédophiles !

Nous pouvons donc constater que selon les ignobles individus de ce genre, la MOINDRE INFRACTION au code que les dirigeants imposent constituent une « raison suffisante » pour SUPPRIMER LES LIBERTÉS PREMIÈRES DE L’INDIVIDU : le libre choix, le libre-arbitre et la liberté de pensée !!!

TOUT CECI NOUS INDIQUE UNE FOIS DE PLUS LA NÉCESSITÉ DE RENDRE TOTALEMENT ILLÉGALE ET INTERDITE DE GENRE DE TECHNOLOGIE LIBERTICIDE !

Sans quoi, nous finirons dans un société dans laquelle AUCUN CHOIX, AUCUN LIBRE-ARBITRE ET AUCUNE LIBERTÉ NE NOUS SERONT LAISSES !

Nous avons vu que le « crime de pensée » est désormais en train d’entrer en scène, via les dernières lois iniques et liberticides mises en place par le maléfique et totalitaire gouvernement des U.S.A. … LE MÊME RISQUE DE SE PRODUIRE CHEZ NOUS, nous l’avons vu aussi ! Sans ce contexte nazi de crime de la pensée, le CONTRÔLE DE L’ESPRIT ET DU COMPORTEMENT DEVIENNENT UNE ÉVIDENCE, ET L’UTILISATION DES PUCES IMPLANTABLES DE CONTRÔLE COMPORTEMENTAL ÉGALEMENT.

IL NE NOUS RESTE QUE TRÈS PEU DE TEMPS POUR RÉAGIR…

L’extrait, ci-dessous… Davantage d’extraits traduits en français suivront dans les prochains jours.

BONNE RÉVOLUTION… OU BON ESCLAVAGE !!! Vic.


MANIPULATION ÉLECTRIQUE DE LA PSYCHÉL’aspect le plus inquiétant de la stimulation électrique du cerveau est que la réactivité psychologique peut être influencée en appliquant quelques volts dans une zone déterminée du cerveau. Ce fait a été interprété par de nombreuses personnes

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comme une inquiétante menace à l’intégrité de l’homme. Dans le passé, l’individu pouvait faire face à des risques et des pressions tout en préservant sa propre identité. Son corps pouvait être torturé, ses pensées et ses désirs pouvaient faire face à des défis via des pots-de-vin, des émotions et via l’opinion publique, et son comportement pouvait être influencé par des circonstances environnementales, mais il avait toujours le privilège de décider de son propre destin, de mourir pour un idéal sans changer d’idée. La fidélité à notre passé affectif et intellectuel donne à chacun de nous un sentiment de stabilité transcendantale – et peut-être d’immortalité – ce qui est plus précieux que la vie elle-même.

La nouvelle technologie neurologique, toutefois, possède une efficacité raffinée. L’individu est sans défense contre la manipulation directe du cerveau parce qu’il est privé de ses mécanismes les plus intimes de réactivité biologique. Durant les expériences, une stimulation électrique d’intensité appropriée l’a toujours emporté sur le libre-arbitre ; et, par exemple, la flexion de la main provoquée par la stimulation du cortex moteur ne peut pas être évitée de son plein gré. La destruction des lobes frontaux a produit des changements dans l’efficacité qui sont au-delà de tout contrôle personnel.

La possibilité scientifique de l’annihilation de l’identité personnelle, ou même pire, son contrôle délibéré, a parfois été considérée comme une menace future plus terrible que l’holocauste atomique. Même les médecins ont exprimé des doutes quant à la propriété de la manipulation de la psyché, maintenant que l’identité personnelle devrait être inviolable, que toute tentative visant à modifier les comportements des individus est contraire à l’éthique, et que la méthode et la recherche qui y est associée – qui peuvent influencer le cerveau humain – devraient être interdits. La perspective d’un degré de contrôle physique de l’esprit provoque toute une série d’objections : des objections théologiques parce qu’elle affecte le libre-arbitre, des objections morales parce qu’elle affecte la responsabilité individuelle, des objections éthiques car elle peut bloquer les mécanismes d’autodéfense, des objections philosophiques, car elle menace l’identité personnelle.

Ces objections sont toutefois discutables. Une interdiction de l’avancée scientifique est évidemment naïve et irréaliste. Elle ne pourrait pas être imposée universellement, et, plus important encore, ce n’est pas

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la connaissance elle-même, mais sa mauvaise utilisation qui doit être réglementée. Un couteau n’est ni bon ni mauvais ; mais il peut être utilisé soit par un chirurgien, soit par un assassin. La science devrait être neutre, mais les scientifiques devraient prendre parti (242). L’esprit n’est pas une entité statique, innée appartenant à l’individu et autosuffisante, mais l’organisation dynamique des perceptions sensorielles du monde extérieur, corrélée et remodelée grâce à la structure anatomique interne et fonctionnelle du cerveau. La personnalité n’est pas une façon de réagir intangible, immuable, mais un processus souple en évolution continue, affectée par son milieu. La culture et l’éducation sont destinées à façonner des modes de réaction qui ne sont pas innés dans l’organisme humain ; elles sont destinées à imposer des limites à la liberté de choix. Les codes moraux peuvent différer complètement d’une civilisation à une autre. La polygamie était acceptable dans les temps bibliques, et est encore pratiquée chez les musulmans, mais elle est rejetée par de nombreux autres civilisations avec de fortes pressions sociales, juridiques, religieuses, éducatives afin d’obtenir un comportement monogame. Bien sûr, il n’y a pas d’obstacle physique à l’acquisition d’une demi-douzaine de femmes – du moins jusqu’à ce que la loi ou les dames entrent en jeu -, mais ensuite nous entrons dans un jeu de force, dans l’équilibre dynamique entre tous les éléments qui déterminent le choix du comportement. S’il y a de très fortes raisons de réagir d’une manière particulière (par exemple, de n’avoir qu’une seule femme), les chances de vivre selon une autre coutume sont tellement minces qu’elles sont négligeables.

C’est précisément le rôle de la stimulation électrique du cerveau : ajouter un nouveau facteur à la constellation d’éléments déterminants du comportement. Le résultat, comme on le voit de façon expérimentale chez les animaux, est une somme algébrique, avec la stimulation cérébrale qui prévaut habituellement sur les réactions. La pratique médicale visant à essayer de modifier les réactions antisociales ou anormales des malades mentaux est admise. La psychanalyse, l’utilisation de médicaments tels que les tranquillisants et les énergisants, l’application d’insuline ou d’électrochocs, et d’autres variétés de soins psychiatriques sont toutes destinées à influencer la personnalité anormale du patient dans le but de changer ses caractéristiques mentales indésirables. L’utilisation possible, par conséquent, d’électrodes implantées dans les malades mentaux ne devrait pas

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poser de complications éthiques inhabituelles médicales acceptées si les règles médicales acceptées sont suivies. Peut-être que l’efficacité limitée des procédures standard en psychiatrie constitue une raison pour laquelle elles n’ont pas provoqué d’alarme parmi les scientifiques ou les profanes. La psychanalyse nécessite une longue durée, et une personne peut facilement retirer sa coopération et refuser d’exprimer ses pensées intimes. Les électrochocs sont une méthode rudimentaire à l’efficacité douteuse chez les personnes normales. Bien que la stimulation électrique du cerveau en est encore au stade initial de son développement, elle est en revanche beaucoup plus sélective et puissante ; elle peut retarder un battement du coeur, déplacer un doigt, amener un mot à la mémoire, ou définir un ton comportemental déterminé.

Lorsque les indications médicales sont claires et que les procédures thérapeutiques standard ont échoué, la plupart des patients et des médecins sont prêts à tester une nouvelle méthode, à condition que la possibilité de succès soit supérieure au risque d’aggraver la situation. La décision cruciale pour commencer à appliquer une nouvelle méthode thérapeutique à des patients humains exige une combinaison d’évaluation intelligente des données, de connaissances en neurophysiologie comparative, de prévoyance, d’intégrité morale et de courage. Une agressivité excessive chez un médecin peut entraîner des dommages irréparables, mais une trop grande prudence peut priver les patients de l’aide nécessaire. La procédure chirurgicale de la lobotomie fut peut-être appliquée à de nombreux malades mentaux trop rapidement, avant que ses dangers et ses limites fussent compris ; mais la pallidectomie et la thalamotomie dans le traitement de la maladie de Parkinson rencontrèrent une redoutable opposition au départ avant d’avoir atteint leur reconnaissance actuelle et leur statut respecté.

Bien que le traitement pharmacologique et chirurgical des personnes atteintes de maladie mentale soit accepté comme bon, les personnes ayant d’autres écarts de comportement posent un autre type de problème éthique. Elles peuvent être dangereux pour elles-mêmes et pour la société lorsque leurs fonctions mentales sont maintenues dans les limites normales et que l’un des aspects de leur conduite personnelle est socialement inacceptable. Les droits d’un individu à obtenir un traitement approprié doivent être pesés avec une évaluation professionnelle de ses problèmes comportementaux et de leur éventuelle base neurologique, ce qui nécessite un jugement de valeur par rapport au comportement de la personne en comparaison

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avec les normes acceptées. Un exemple pour illustrer ces considérations.

Au début des années 1950, une patiente dans un hôpital psychiatrique d’état nous approcha, le Dr Hannibal Hamlin et moi-même, et nous demanda de l’aide. Elle était une belle femme de 24 ans, d’intelligence et d’éducation moyenne, et qui avait un long passé d’arrestations pour trouble de l’ordre. Elle avait été impliquée à plusieurs reprises dans des bagarres de café dans lesquelles elle incitait les hommes se battre contre elle et elle avait passé la plus grande partie des quelques années précédentes en prison ou dans des établissements psychiatriques. La patiente exprimait un vif désir, de même que l’impossibilité de modifier son comportement, et parce que le traitement psychiatrique avait échoué, elle et sa mère demandèrent instamment qu’une certaine forme de chirurgie cérébrale soit effectuée afin de contrôler son comportement peu scrupuleux et impulsif. Elles demandèrent en particulier que des électrodes soient implantées afin d’orienter la possible électrocoagulation d’une zone limitée du cerveau ; et si cela n’était pas possible, elles voulaient la lobotomie.

Les connaissances médicales et l’expérience, à l’époque, ne pouvaient pas savoir si l’électrostimulation du cerveau ou l’application de lésions cérébrales pourraient contribuer à résoudre ce problème du patient, et l’intervention chirurgicale fut donc rejetée. Lorsque cette décision fut expliquée, la patiente et sa mère réagirent avec les mêmes commentaires anxieux, demandant : « Quel est l’avenir ? La prison ou l’hôpital uniquement ? N’y a-t-il aucun espoir ?  » Ce cas révéla les limites de la thérapie et le dilemme d’un possible contrôle du comportement. En supposant que la stimulation à long terme d’une structure cérébrale déterminée pourrait influencer les tendances d’un patient à boire, flirter, et inciter des bagarres, serait-il éthique de changer ses caractéristiques personnelles ? Les gens changent leur caractère par l’automédication via la prise de drogues hallucinogènes, mais ont-ils le droit d’exiger que les médecins leur administrent un traitement qui va radicalement modifier leur comportement ? Quelles sont les limites des droits de l’individu et des obligations des médecins ?

Comme la science semble approcher la possibilité de contrôler de nombreux aspects du comportement de façon électronique et chimique, ces questions doivent être posées. Si, comme dans le cas de cette patiente, la déviation du comportement entre en conflit de façon si grave que la société

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la prive de sa liberté personnelle, une intervention médicale pourrait être justifiée. La conduite de cas criminels habituels est un autre exemple de ce type de problème. Exclamation Les décisions thérapeutiques liées à la manipulation psychique requièrent de l’intégrité morale et une éducation éthique. La formation scientifique se concentre principalement dans le domaine des sciences naturelles et néglige souvent l’étude et l’assimilation des codes de déontologie, considérant qu’ils sont au-delà du domaine de la science. Peut-être oublie-t-on souvent que l’enquêteur a besoin d’un ensemble de convictions et de principes, non seulement pour gérer l’argent des subventions, pour donner un véritable crédit au travail des autres, et afin d’être civilisé avec ses collègues, mais surtout pour orienter sa vie et ses recherches, et afin de prévoir les conséquences de ses propres découvertes.


Chers amis,

Voici une autre partie du livre de l’infect savant-fou Jose Delgado traduite pour vous en français.

Deux choses transparaissent de façon absolument limpide dans cet extrait :

1) Delgado fut le précurseur des actuelles puces cérébrales, telles que la M.M.E.A. (multiple micro electrode array) sur laquelle je vous avais déjà posté un article édifiant.

2) Les expériences actuelles menées à l’université de Reading (UK) par Kevin Warwick (un autre savant-fou transhumaniste qui se considère lui-même comme le premier « cyborg » et dont je vous avais déjà parlé) reprennent les expériences de Delgado afin de les amener plus loin encore.

Bref, Delgado a fait des émules… preuve s’il en est que, comme le disait Einstein, la science est devenue criminelle !

Les extraits ci-dessous nous parlent notamment de « communication radio bidirectionnelle avec le cerveau »… « Qu’est-ce que cela signifie ? », pourrait se demander le profane ou le novice.

Ce que cela signifie, c’est ce que l’article sur la M.M.E.A. que je vous avais déjà posté expliquait de façon très claire : qu’un individu auquel on a implanté une puce cérébrale activée par radiofréquence peut se servir de cette puce pour agir sur l’extérieur, mais que l’extérieur peut aussi intervenir sur l’individu, ce qui permet de le contrôler physiquement et spirituellement ! Dans les deux sens, donc…

Vous allez pouvoir constater que le CONTRÔLE de l’individu via ces implants démoniaques est total : comportemental, physique, biologique. Et ce qui est décrit ici a été développé et testé sur des humains il y a presque 40 ANS !

Vous allez voir également que Delgado, dans son livre abominable, NIE ou MINIMISE les dangers de cette puce cérébrale implantable qu’il a testée sur les humains , et considère que les « avantages » à en tirer (notamment au point de vue de la santé… on retrouve donc exactement le même prétexte pseudo-médical que celui mis en avant par VeriChip) sont plus importants que les dangers potentiels de manipulation des esprits, de suppression des libertés et de dictature orwellienne qu’elle représente ! Immonde !!!

Un petit détail encore : si vous souhaitez voir les tristes et répugnantes images liées à cette traduction, rendez-vous donc sur le lien original, en anglais…

Bonne lecture, ET BONNE INSURRECTION, SURTOUT ! Vic.


PARTIE III CONTRÔLE EXPÉRIMENTAL DES FONCTIONS CÉRÉBRALES SUR DES SUJETS DE BONNE CONDUITECHAPITRE DIX : CONTRÔLE EXPÉRIMENTAL DES FONCTIONS CÉRÉBRALES SUR DES SUJETS DE BONNE CONDUITE

Dans notre environnement technologique actuel, nous sommes habitués à l’idée que les machines puissent être contrôlées à distance par le biais de signaux radio.

Les portes de garage peuvent être ouvertes ou fermées en poussant un bouton dans la voiture ; les chaînes et le volume d’un téléviseur peuvent être ajustés en appuyant sur les boutons correspondants d’une petite télécommande sans bouger d’un bon fauteuil confortable ; et même les satellites en orbite peuvent être dirigés à partir de stations de pistage sur Terre. Ces réalisations devraient nous familiariser avec l’idée que l’on peut également contrôler à distance les fonctions biologiques des organismes vivants. Les chats, les singes ou les êtres humains peuvent être amenés à fléchir un membre, à rejeter de la nourriture ou à ressentir une excitation émotionnelle sous l’influence d’impulsions électriques qui atteignent les profondeurs de leur cerveau via des ondes radio intentionnellement envoyées par un investigateur.

Cette réalité a introduit une série de questions philosophiques et scientifiques, et a permis de mieux comprendre l’importance, les possibilités et les limites du contrôle du cerveau ; il convient de passer brièvement en revue la base de l’activité comportementale normale et la méthodologie pour sa potentielle modification artificielle, et ensuite d’examiner quelques exemples représentatifs du contrôle électrique du comportement, à la fois chez les animaux et chez l’homme.

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Nos connaissances actuelles des bases physicochimiques de l’activité biologique, qui possèdent une vaste bibliographie (23, 182, 203), permet d’énoncer les principes suivants :

(1) Toutes les manifestations comportementales, y compris leurs aspects mentaux, nécessitent l’existence d’ondes de négativité accompagnées par des changements électriques et chimiques au niveau cellulaire.

(2) Une dépolarisation membranaire, artificiellement induite par des moyens chimiques ou électriques, peut être suivie par des manifestations comportementales observables.

(3) Bien que la complexité de ces réponses soit extraordinaire et que bon nombre de leurs aspects soient inconnus, les explications sur l’activité motrice du comportement et sur l’activité psychique ne nécessitent pas « d’esprits vitaux » ni aucun autre principe métaphysique parce qu’elles sont liées à des lois physiques et chimiques qui peuvent être étudiées expérimentalement.

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Dans les investigations sur le cerveau ainsi que sur les muscles, l’activation électrique est préférable, car elle n’est pas nocive pour les cellules et permet l’étude répétée des mêmes processus biologiques. En appliquant de l’électricité, nous pouvons activer les mécanismes fonctionnels préétablis d’une structure et découvrir son éventuel rôle dans le comportement spontané. Par le biais de l’ESB (Electric Stimulation of the Brain, ou stimulation électrique du cerveau), il est possible de contrôler une variété de fonctions, un mouvement, les sécrétions d’une glande ou une manifestation mentale spécifique, en fonction de la cible. La méthodologie nécessaire et des exemples de résultats sélectionnés seront examinés dans les chapitres suivants.

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(…)

Communication radio bidirectionnelle avec le cerveau

La technologie électronique a atteint un haut degré de sophistication, et la communication radio bidirectionnelle avec les automobiles, les avions, et les véhicules spatiaux est courante, aujourd’hui. Le décalage notable dans le développement d’une instrumentation similaire pour la communication avec les profondeurs du cerveau reflète l’évolution déséquilibrée déjà évoquée de notre civilisation technologique, qui semble plus intéressée par l’accumulation de pouvoir que par le fait de comprendre et d’influencer les mécanismes fondamentaux de l’esprit humain.

Cette lacune est à présent comblée, et les figures 4 et 5 montrent qu’il est déjà possible d’équiper des animaux ou des êtres humains avec de minuscules instruments appelés « stimoceivers » pour la transmission radio et pour la réception de messages électriques vers et à partir du cerveau auprès de sujets complètement débridés. La microminiaturisation des composants électroniques de cet instrument permet le contrôle de tous les paramètres

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d’excitation pour la radio-stimulation de trois points différents à l’intérieur du cerveau et aussi l’enregistrement télémétrique de trois canaux de l’activité électrique intracérébrale. Chez les animaux, le stimoceiver peut être ancré au crâne, et les différents membres d’une colonie peuvent être étudiés sans perturber leurs relations spontanées au sein d’un groupe. Un comportement tel que l’agression peut être provoqué ou inhibé. Chez les patients, le stimoceiver peut être arrimé à des bandages placés autour de la tête, permettant la stimulation électrique et la surveillance de l’activité intracérébrale sans perturber les activités spontanées.

Les stimoceivers offrent de grandes promesses pour l’investigation, le diagnostic et la thérapie des troubles cérébraux chez les humains. L’information préliminaire concernant leur utilisation chez des patients souffrant de crises d’épilepsie au lobe temporal (voir figure 4) a démontré les avantages suivants par rapport aux autres méthodes d’exploration intracérébrale (60) :

(1) Le patient est instrumenté simplement, en branchant le stimoceiver dans la prise qui est vissée dans sa tête

(2) Il n’y a pas de perturbation de la spontanéité de l’individu ou du comportement social du patient.

(3) Le sujet est sous surveillance médicale continue, et les stimulations et leurs enregistrements peuvent être effectués de jour comme de nuit.

(4) Les études sont menées au cours des interactions sociales spontanées en milieu hospitalier, sans introduire des facteurs d’anxiété ou de stress.

(5) Chez les patients gravement perturbés, le cerveau peut être exploré sans le confinement d’une chambre d’enregistrement.

(6) Puisque le raccordement à des fils n’est pas nécessaire, il n’y a pas de risque que les électrodes soient délogées durant un comportement anormal.

(7) La stimulation thérapeutique programmée du cerveau peut être prolongée pendant le temps qui est nécessaire.

Il est raisonnable de supposer que dans un proche avenir, le stimoceiver pourra fournir le lien essentiel depuis l’homme vers l’ordinateur, puis à nouveau vers l’homme, avec un feedback réciproque entre les neurones et les instruments, feedback qui représente une nouvelle orientation pour le contrôle médical des fonctions neurophysiologiques. Par exemple, il est concevable que l’activité électrique anormale et localisée qui annonce l’imminence d’une crise d’épilepsie puisse être captée par l’extrémité des électrodes implantées, télémétrée vers une salle des instruments distante,

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enregistrée sur cassette et analysée par un ordinateur capable de reconnaître les schémas électriques anormaux. L’identification de la perturbation électrique spécifique pourrait déclencher l’émission de signaux radio afin d’activer le stimoceiver du patient et appliquer une stimulation électrique dans une zone inhibitrice déterminée du cerveau, bloquant ainsi le début de l’épisode convulsif.

Cette spéculation est supportée par les expériences suivantes achevées en juin 1969, en collaboration avec les Drs. Johnston, Wallace, et Bradley. Le chimpanzé Paddy (Figure 3), tandis qu’elle libre dans sa cage, fut équipée d’un stimoceiver afin de télémétrer l’activité cérébrale des noyaux amygdaloïdes droit et gauche vers une pièce voisine, où ces ondes furent reçues, enregistrées sur cassette, et analysées automatiquement par un ordinateur analogique en ligne. Cet instrument était chargé de reconnaître un schéma d’ondes spécifique, une rafale de petits faisceaux, qui est normalement présent dans les deux noyaux amygdaloïdes pendant une seconde, plusieurs fois par minute. L’ordinateur était également chargé d’activer un stimulateur, et à chaque fois que les faisceaux apparaissaient, des signaux radio étaient renvoyés vers le cerveau de Paddy afin de stimuler un point dans sa formation réticulée, connue pour avoir des propriétés de renforcement négatif. De cette façon, la stimulation électrique d’une structure cérébrale était subordonnée à la production d’un schéma spécifique d’électroencéphalogramme par une autre région du cerveau, et l’ensemble du processus d’identification de l’information et du contrôle de l’action était décidé par l’ordinateur en ligne.

Les résultats ont montré qu’environ deux heures après que le feedback cerveau-vers-ordinateur-vers-cerveau ait été établi, l’activité des faisceaux du noyau amygdaloïde était réduite à 50% ; et six jours plus tard, avec des périodes quotidiennes de 2 heures de feedback, les faisceaux étaient drastiquement réduits à seulement 1% de l’occurence normale, et le chimpanzé était plus calme, moins attentif et moins motivé pendant les essais comportementaux, bien que capable d’accomplir des tâches olfactives et visuelles sans commettre d’erreur.

L’ordinateur était ensuite déconnecté, et deux semaines plus tard, l’électroencéphalogramme et le comportement de Paddy revenaient à la normale. L’expérience a été répétée plusieurs fois avec des résultats similaires, soutenant

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les conclusions qu’une communication directe peut être établie entre le cerveau et l’ordinateur, contournant les organes sensoriels normaux, et aussi que l’apprentissage automatique est possible en envoyant des signaux directement dans les structures neuronales spécifiques sans participation consciente.

L’un des facteurs limitants dans ces études était l’existence de fils allant du cerveau au stimoceiver en dehors du cuir chevelu. Les fils représentaient une porte d’entrée potentielle pour les infections et pouvaient constituer un frein aux soins de la chevelure en dépit de leur petite taille. Il serait évidemment beaucoup plus souhaitable d’employer des instruments minuscules qui pourraient être implantés complètement sous la peau. A cet effet, nous avons mis au point dans notre laboratoire un petit stimulateur à trois canaux qui peut être implanté en sous-cutané et qui a pour but final d’être implanté dans le cerveau (Figure 6).

L’instrument est à l’état solide, ne possède pas de piles, et peut fonctionner indéfiniment. L’énergie électrique nécessaire, le contrôle à distance des paramètres de la stimulation, et le choix des canaux sont fournis par couplage transdermique, à l’aide d’une petite bobine qui est activée par la modulation de la fréquence de signaux radio. En février 1969, une expérience a commencé avec le singe Nona et le chimpanzé Suzi qui étaient équipés de stimulateurs sous-cutanés afin d’activer leur cerveau de temps en temps pour le reste de leur vie. Les contacts du terminal étaient situés dans les voies motrices, de façon à provoquer la flexion de la jambe controlatérale, un effet assez simple que pour pouvoir être observé et quantifié sans difficulté. L’étude de Nona et Suzi et les investigations enquêtes préliminaires effectuées auprès d’autres animaux ont démontré que l’instrumentation sous-cutanée est efficace, fiable et bien tolérée. Les réponses comportementales étaient cohérentes, et l’excitabilité motrice locale n’était pas modifiée par la répétition de l’expérimentation. Donc, les problèmes techniques concernant la stimulation des zones du cerveau aussi longtemps que nécessaire en l’absence de fils conducteurs traversant la peau ont été résolus, les possibilités scientifiques et thérapeutiques ont été multipliées et le confort des sujets a été considérablement accru.

La prochaine étape technique consistera à combiner la stimulation transdermique du cerveau avec la télémétrie transdermique de l’électroencéphalogramme.

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Figure 6

Les deux côtés d’un stimulateur transdermique à trois canaux. Cet instrument n’a pas de piles, est activé par ondes radio, et peut être utilisé à vie, de sorte que le cerveau peut être stimulé indéfiniment. Le Chimpanzé Suzi (à droite) dispose de deux unités (six canaux) implantées sous la peau de son dos.

Dans ce cas, le stimoceiver ne sera pas situé à l’extérieur de la peau, comme c’était le cas pour Paddy (Figure 3), et il ne sera pas limité à la seule stimulation transdermique (Figure 6) comme c’était le cas pour Nona et Suzi : l’instrument tout entier sera totalement sous-cutané. Cette technologie utilisée pour la communication non sensorielle entre le cerveau et les ordinateurs via la peau intacte est déjà à portée de la main, et ses conséquences sont difficiles à prédire. Dans le passé, les progrès de la civilisation ont considérablement amplifié la puissance de nos sens, de nos muscles et de nos compétences. A présent, nous ajoutons une nouvelle dimension : l’interface directe entre le cerveau et les machines. Bien que vraie, cette déclaration est peut-être un peu trop spectaculaire, et elle exige des éclaircissements prudents.

Nos connaissances actuelles concernant le codage de l’information, les mécanismes de la perception, et les bases neuronales du comportement sont tellement élémentaires qu’il est hautement improbable que les mises en corrélation électriques des pensées ou des émotions puissent être recueillies, transmises et

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appliquées par électricité à la structure appropriée d’un autre individu afin d’être reconnues et de déclencher des pensées ou émotions apparentées. Il est cependant déjà possible d’induire une grande variété de réponses, depuis des effets moteurs jusqu’à des réactions émotionnelles et des manifestations intellectuelles, par stimulation électrique directe du cerveau. De plus, plusieurs enquêteurs ont appris à identifier des schémas d’activité électrique (qu’un ordinateur pourrait également reconnaître) localisés dans des zones spécifiques du cerveau et liés à des phénomènes déterminés tels que la perception des odeurs ou la perception visuelle des bords des objets et des mouvements. Nous avançons rapidement dans la reconnaissance des formes des mises en corrélation électriques du comportement et dans la méthodologie pour la communication radio bidirectionnelle entre le cerveau et les ordinateurs.

On a exprimé la crainte que ces nouvelles technologies portent avec elles la menace d’éventuels contrôles à distance des activités cérébrales de l’homme par d’autres hommes, des contrôles non désirés et non éthiques, mais comme on le verra plus tard, ce risque est tout à fait improbable et est contrebalancé par les avantages cliniques et scientifiques qui en sont attendus. Les connaissances en électronique et la microminiaturisation ont tellement progressé que les limites semblent plutôt biologiques que technologiques. Notre plus grand besoin consiste à obtenir plus d’informations sur l’expérimentation des mécanismes neuronaux liés au comportement et aux processus mentaux, et la recherche auprès de sujets non réprimés promet d’aboutir à une nouvelle compréhension des esprits normaux et à des thérapies plus efficaces pour les cerveaux dérangés.

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CHAPITRE DOUZE :

STIMULATION ELECTRIQUE DU CERVEAU (ESB)

La commande générale de contrôle de l’ensemble de l’organisme réside dans le cerveau, et la nouvelle méthodologie des électrodes implantées a fourni un accès direct aux centres qui régissent la plupart des activités du corps. Le cerveau constitue également le substrat matériel des fonctions mentales, et en explorant ses neurones en plein travail, nous avons la possibilité d’étudier de façon expérimentale certains des problèmes classiques de mise en corrélation de l’esprit et du cerveau. En plus de nouvelles réponses, l’implantation d’électrodes a introduit de nouveaux problèmes : est-il faisable de provoquer des performances de type robotique chez les animaux et les humains en poussant les boutons d’un radio stimulateur cérébral ? Les pulsions, les désirs et les pensées pourraient-ils être placés sous le contrôle artificiel de l’électronique ? La personnalité peut-elle être influencée par stimulation électrique du cerveau ? L’esprit peut-il être contrôlé physiquement ?

Dans la littérature scientifique, il existe déjà une importante quantité de renseignements démontrant les remarquables effets induits par la stimulation électrique du cerveau. Le cour, par exemple, peut être arrêté quelque temps, être ralenti ou accéléré par une stimulation appropriée de structures corticales et sous-corticales déterminées, illustrant la réalité physiologique que c’est le cerveau qui contrôle le cour, et non l’inverse. La fréquence et l’amplitude respiratoires ont été contrôlées par stimulation électrique du cerveau ; les sécrétions gastriques et la motilité ont également été modifiées par stimulation cérébrale ;le diamètre de la pupille peut être réglé à volonté (Figure 7), depuis sa constriction maximale jusqu’à sa dilatation maximale, comme s’il s’agissait d’un appareil photographique ; il suffit de changer l’intensité du bouton de d’un stimulateur électrique connecté à la zone hypothalamique du cerveau (61).

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Figure Sept

Le diamètre de la pupille peut être commandé électriquement comme s’il s’agissait du diaphragme d’un appareil photographique. Ci-dessus, des yeux normaux, et en dessous, une constriction de la pupille droite provoquée par la stimulation de l’hypothalamus. Certains effets de la stimulation électrique du cerveau tels que celui-ci sont infatigables et peuvent être maintenus pendant plusieurs jours, aussi longtemps que la stimulation est appliquée (61).

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La plupart des fonctions viscérales ont été influencées par stimulation électrique du cerveau, de même que les perceptions sensorielles, les activités motrices, et les fonctions mentales. Plutôt que d’étudier chaque type de découverte en détail, nous avons choisi quelques exemples pour illustrer les principaux aspects du contrôle électrique du cerveau et de ses conséquences sur le comportement.


Chers amis,

Nous allons voir aujourd’hui comment le NAZI Delgado présente son horrible invention et comment il tente, de façon sournoise et perfide, nous persuader du « bienfondé » et de la « nécessité » de ces puces cérébrales…

Vous allez voir qu’en réalité, il s’autopersuade lui-même (c’en est presque de l’auto-hypnose), sans doute afin de NIER ce que sa conscience lui criait : qu’implanter des puces dans le cerveau d’animaux et d’êtres humains est une abomination !

Delgado essaie même de nous faire croire que ces puces cérébrales ne sont pas si dangereuses et qu’elles ne sont pas désagréables à porter, et qu’il est tout à fait « éthique » de planter des puces dans le cerveau des gens !!! Quel CULOT, quel MENSONGE et quelle MANIPULATION !!! Toute personne qui sait ce qu’est une trépanation réalise pleinement les DOULEURS HORRIBLES qu’ont dû endurer les personnes pucées. Sans même parler de ce que la « stimulation électrique » du cerveau peut provoquer…

Vous allez voir les prétextes pseudo-médicaux invoqués afin de « justifier » ces implants diaboliques.

Tout cela peut sembler, AU PREMIER ABORD Exclamation , « positif »…

Dans les jours qui suivent, je vous posterai la traduction concernant le CONTRÔLE PHYSIQUE DE L’INDIVIDU que ces puces infernales permettent, puis le TRÈS DANGEREUX CONTRÔLE DE L’ESPRIT, DU COMPORTEMENT, DE ÉMOTIONS ET DES SENSATIONS qu’elles permettent.

Vous constaterez alors que les buts véritables de Delgado étaient bien différents de prétendus buts « thérapeutiques »…

La traduction en français, pour vous, ci-dessous…

BONNE INSURRECTION… OU BON ESCLAVAGE !!! Vic.


DES ELECTRODES DANS LE CERVEAU HUMAINNos connaissances actuelles sur le système nerveux central se fondent principalement sur des enquêtes menées sur les animaux. L’expérience a montré que l’on peut répondre à de nombreuses questions sur l’implantation dans le corps humain, telle que celle de la tolérance biologique des électrodes par les tissus neuraux, et que l’on peut répondre à ces questions en recourant à des chats ou à des espèces inférieures. Certains des événements électrochimiques de la conduction neurale peuvent être analysés de façon tout aussi adéquate chez calamars que chez les mammifères, et pour certaines études de la mémoire, le poulpe s’est avéré un excellent sujet. Le rat a été – et reste – l’animal préféré des psychologues expérimentaux, car il s’agit d’un mammifère petit et peu coûteux qui peut être utilisé en grandes quantités afin de fournir des résultats comportementaux convenables pour une évaluation statistique. Le répertoire comportemental limité de ces animaux, cependant, ne peut être comparé aux activités complexes des singes et des primates. Ces espèces, les plus proches parents de l’homme, sont des sujets qui sont plus appropriés pour l’étude neurophysiologique du comportement intelligent, et lorsque nous voulons enquêter sur les plus hautes fonctions psychologiques du cerveau, fonctions qui impliquent la communication verbale, il n’y a pas de substitut possible à l’homme lui-même.

Le cerveau humain, comme toute autre partie du corps, risque de souffrir d’accidents traumatiques, de tumeurs ou de maladies, et il a souvent été nécessaire d’explorer les zones affectées afin d’identifier les structures, d’évaluer l’anomalie des tissus, de tester l’excitabilité et

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d’apprendre où sont localisées les fonctions importantes qui ne devraient pas être perturbées au cours des procédures chirurgicales. La participation consciente du patient fut nécessaire dans certaines de ces explorations afin, par exemple, de déterminer si l’aura des attaques épileptiques pouvait être déclenchée par la stimulation électrique d’un point spécifique du cortex, fournissant ainsi des informations sur la source possible de décharges épileptiques, source qui pourrait être supprimée via chirurgie. Pour ce genre d’enquête, le cerveau était placé sous anesthésie locale, ce qui représente une occasion exceptionnelle d’étudier les réponses comportementales et psychologiques provoquées par stimulation électrique du cerveau auprès de sujets pleinement éveillés. Les plus importants travaux dans ce domaine ont été effectués par Penfield et ses associés, à Montréal (174), et un nombre considérable d’études similaires ont été réalisées par d’autres neurochirurgiens aussi (2, 8, 97, 124, 163, 215).

L’exploration d’un cerveau ainsi exposé possède, toutefois, certaines limites évidentes. Elle doit être brève afin d’éviter la prolongation de la chirurgie ; les électrodes sont généralement maintenues en place manuellement, causant des différences au niveau de la pression mécanique qui est appliquée ; le cerveau ainsi exposé est sujet à de potentiels traumatismes thermiques, mécaniques et chimiques ; les aires corticales sont identifiées seulement par inspection visuelle ; et le stress physique et psychologique du patient qui subit l’opération crée des facteurs difficiles à contrôler. La plupart de ces handicaps peuvent être évités avec l’utilisation d’électrodes implantées, et compte tenu de l’expérience provenant de l’expérimentation animale, il était naturel que des enquêteurs consciencieux envisagent l’application de cette méthodologie pour des patients et dans des buts thérapeutiques et de diagnostic (19, 59, 9Cool.

Les neurochirurgiens avaient déjà prouvé que le système nerveux central n’est pas aussi délicat que la plupart des gens le croient, et au cours d’opérations chirurgicales thérapeutiques, des parties de tissu cérébral ont été coupées, congelées, cautérisées ou enlevées avec des effets négatifs négligeables pour les patients. L’introduction exploratoire d’aiguilles dans les ventricules cérébraux est une procédure clinique bien connue et relativement sûre, et puisque les électrodes sont plus petites que le diamètre de ces aiguilles, leur introduction dans le cerveau devrait être encore moins traumatisante. L’expérience a confirmé la sûreté et l’utilité de l’implantation à long terme d’électrodes chez l’homme, et la procédure a été utilisée dans des centres médicaux spécialisés tout autour du

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monde pour aider des milliers de patients souffrant d’épilepsie, de mouvements involontaires, de douleurs intraitables, d’anxiété névrotique et d’autres troubles cérébraux. En général, plusieurs assemblages de fines électrodes comptant un total de vingt à quarante contacts sont placés à la surface et/ou dans les profondeurs du cerveau, avec les connecteurs terminaux qui ressortent à travers le cuir chevelu et qui sont protégés par un petit bandage placé autour de la tête (voir la figure 4). Dans certains cas, les électrodes sont restées (implantées) pendant près de deux ans, avec une excellente tolérance.

Laisser des fils à l’intérieur d’un cerveau qui pense peut paraître désagréable ou dangereux, mais en réalité, les nombreux patients qui ont subi cette expérience n’ont pas été préoccupés par le fait d’être câblé, ni n’ont ressenti de l’inconfort dû à la présence de conducteurs dans leur tête. Certaines femmes ont prouvé leur capacité d’adaptation féminine face à ces circonstances en portant des chapeaux ou des perruques attrayants afin de dissimuler leur équipement crânien électrique, et de nombreuses personnes ont pu jouir d’une vie normale en tant que patients externes, retournant périodiquement à la clinique pour être examinées et stimulées. Dans un petit nombre de cas dans lesquels les contacts (des électrodes) sont situés dans des zones agréables, les patients ont eu l’occasion de stimuler leurs propres cerveaux en appuyant sur le bouton d’un instrument portatif, et l’on a rapporté que cette procédure a des bienfaits thérapeutiques.

Les électrodes implantées chroniquement permettent à de minutieuses explorations de diagnostic d’être effectuées sans limite de temps, et des excitations électriques répétées ou des coagulations bien contrôlées peuvent être mesurées selon les réactions du patient. En prime, des informations importantes sur les corrélations psychophysiologiques, fournissant des connaissances directes sur les bases cérébrales du comportement humain, sont en cours d’acquisition. Dans nos études (60, 109, 150), une situation d’interview a été choisie comme la méthode la plus susceptible d’offrir une alimentation continue en données verbales et comportementales. Alors que l’activité électrique de huit paires de points cérébraux était en train d’être enregistrée, nous avons mis sur cassette environ une heure de conversation entre le thérapeute et le patient. Des notes sur le comportement observable ont également été prises. Durant l’interview, les stimulations électriques du cerveau étaient appliquées pendant 5 secondes, avec des intervalles de trois minutes ou plus, et chaque point important fut étudié à plusieurs reprises.

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Figure 4 Deux jeunes filles qui souffrent de crises d’épilepsie et de perturbations comportementales nécessitant l’implantation d’électrodes dans le cerveau à des fins thérapeutiques et de diagnostic. Sous leur couvre-chef, chaque patiente porte un « stimoceiver », utilisé afin de stimuler le cerveau par radiofréquence et afin d’envoyer les signaux électriques de l’activité cérébrale par télémétrie alors que les patientes sont complètement libres au sein de l’hôpital (60). Un exemple d’enregistrements électriques est illustré à la figure 17.


Chers amis,

Voici un article qui va vous prouver que, DES LES ANNÉES 1960, le CONTRÔLE PHYSIQUE DES INDIVIDUS VIA DES PUCES CÉRÉBRALES FONCTIONNANT PAR RADIOFRÉQUENCE ÉTAIT DÉJÀ ACQUIS !

NOUS ALLONS VOIR ÉGALEMENT QUE LA VOLONTÉ DE L’INDIVIDU EST IMPUISSANTE FACE A CETTE INVASION IGNOBLE DE SON ESPRIT !!!

Bien entendu, à l’heure actuelle, on arrive à enregistrer sur ordinateur chaque schéma électromagnétique des mouvements bien coordonnés, des sensations, des émotions, voire des pensées… et à les transférer de manière précise au cerveau. Voir à ce sujet l’article que je vous avais traduit et posté sur ce forum et concernant la puce cérébrale M.M.E.A. (multiple micro electrode array, disponible également en anglais ici : http://www.angelfire.com/d20/philad… ).

Je vous poste aujourd’hui un autre extrait du livre de l’infect José Delgado (un hybride entre Viktor Frankenstein et du Dr. Mengele) afin de vous prouver sans le moindre doute que ces puces sont un DANGER ÉNORME pour toutes nos libertés !

Je terminerai de poster les extraits de ce livre dans les quelques jours qui viennent, avec la preuve du CONTRÔLE DE L’ESPRIT (émotions, sensations) VIA CES PUCES IMPLANTABLES DANS LE CERVEAU ! Ensuite, nous retournerons à l’actualité des puces implantables…

La traduction en français, pour vous, ci-dessous…

BONNE INSURRECTION… OU BON ESCLAVAGE ! Vic.


CHAPITRE 13 : RÉPONSES MOTRICESLe comportement est le résultat d’activités motrices, qui vont de la simple contraction musculaire jusqu’à la création d’une ouvre d’art. Si nous considérons les compétences qui sont impliquées dans la construction d’un nid, dans les stratégies d’animaux qui se battent ou dans la précision requise pour jouer du piano, il est évident que ces activités ne sont pas uniquement le résultat des processus physiques et chimiques de la contraction musculaire, mais dépendent d’une direction consciente – la complexité raffinée de leur commande cérébrale.

Très peu de choses sont connues sur les aspects automatiques des actes volontaires, sur la façon dont le but est lié à la performance, ou sur le fait de savoir comment les contractions (musculaires) sont organisées dans le temps et l’espace. La méthodologie actuelle, cependant, a placé certaines de ces questions à la portée de l’expérimentation. Le fait que la stimulation électrique du cerveau puisse induire des mouvements simples a été découvert au XIXe siècle, et, aujourd’hui, nous savons que l’organisation de la motilité cérébrale est localisée principalement dans le cortex du lobe pariétal. La stimulation de ce secteur provoque des mouvements du côté opposé du corps, tandis que sa destruction entraîne la paralysie. Ces découvertes ont été exprimées via des diagrammes attractifs montrant les zones motrices du cerveau sous la forme d’un « homoncule » couché la tête en bas dans le cortex pariétal, avec un grand visage et un gros pouce, en guise de caricature d’un petit homme en charge de la motilité. Cette image a été en partie responsable du fait que l’on considère le cortex comme étant l’organisateur suprême et intelligent du comportement.

Toutefois, d’autres études ont démontré que les réponses motrices obtenues à partir de ce cortex sont plutôt rudimentaires et que d’autres zones

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dans les profondeurs du cerveau possèdent un rôle déterminant dans l’organisation de la motilité qualifiée. Les concepts modernes suggèrent que le cortex ne devrait pas être considéré comme la plus haute structure hiérarchique du système moteur ou même comme le point de départ des impulsions motrices, mais plutôt comme une station routière, comme un autre maillon dans les boucles des corrélations sensori-motrices. La multiplicité et la complexité de la représentation motrice est logique lorsqu’on considère l’extraordinaire variété des formes de comportement qui constituent le seul moyen de communication entre l’individu et son environnement. Cette relation requiert une performance motrice avec une coordination temporelle et spatiale précise parmi de nombreuses unités fonctionnelles et le traitement d’une grande quantité d’informations pour l’adaptation et l’orientation des mouvements, et pour l’adaptation instantanée aux changements de circonstances. En raison de la complexité de ces mécanismes, on a supposé que la stimulation électrique artificielle ne pourrait jamais provoquer une performance motrice raffinée et dans un but déterminé. Le fait étonnant est que, en fonction de son emplacement, la stimulation électrique du cerveau est capable de provoquer non seulement des réponses simples, mais aussi un comportement complexe et bien organisé qui peut être très difficile à distinguer de l’activité spontanée.

(…)

Effets moteurs chez l’homme

L’effet le plus courant obtenu par stimulation électrique du cerveau humain est une simple réaction motrice, telle que la contraction d’un membre. Cet effet est souvent accompagné de l’absence d’un contrôle volontaire des muscles impliqués, et parfois il est limité à une paralysie sans autres symptômes observables. En général, les contractions provoquées sont simples au niveau des performances, de caractère artificiel, sans but, et sans l’élégance de la motilité spontanée. Par exemple, chez l’un de nos patients, la stimulation du cortex pariétal gauche grâce à des électrodes implantées a provoqué une flexion de la main droite en commençant par la contraction des deux premiers doigts et de la poursuite de la flexion des autres doigts. Le poing fermé fut ensuite maintenu pendant le reste de cette stimulation de 5 secondes. Cet effet n’est pas désagréable ni inquiétant, et il s’est développée sans interrompe le comportement ou la conversation spontanée en cours. Le patient était conscient du fait que sa main avait bougé de façon involontaire, mais il n’avait pas peur et c’est seulement sous notre questionnement qu’il a expliqué qu’il sentait que son bras était « faible et étourdi ». Lorsque le patient fut averti de l’arrivée de la stimulation et qu’on lui demanda d’essayer de garder ses doigts étendus, il ne put pas empêcher le mouvement provoqué et dit : « J’ai l’impression, docteur, que votre électricité est plus forte que ma volonté. »

Si cette stimulation était appliquée pendant que le sujet était en train d’utiliser volontairement sa main, par exemple pour tourner les pages d’un magazine, cette action n’était pas bloquée, mais la flexion provoquée de la main déformait la performance provenant de la volonté de la personne et entraînait le froissement ou le déchirement des pages. Dans notre expérience, et dans les rapports effectués par d’autres enquêteurs, la stimulation électrique du cortex moteur n’a pas provoqué des mouvements précis ou habiles, et dans tous les cas, les réponses provoquées ont été maladroites et anormales.

L’excitation d’une zone motrice supplémentaire, située à proximité du cortex moteur principal, peut produire trois types d’effets (174) :

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(1) Il peut y avoir des changements de posture, dans lesquels le mouvement commence lentement et atteint un point final déterminé avec, plus ou moins, l’implication générale de l’organisme.

(2) Les mouvements peuvent avoir un caractère phasique tel que le fait de donner des coups avec la main, faire un pas avec le pied ou fléchir et étendre les doigts ou le poignet.

(3) La réponse peut se composer de mouvements non coordonnés. La possibilité d’activer des membres paralysés par le biais de la stimulation électrique du cerveau possède un intérêt particulier. Par exemple, un patient souffrait d’une soudaine paralysie du bras et de la jambe gauche, paralysie probablement causée par une embolie, et au bout de quatre ans, il avait commencé à ressentir une douleur brûlante dans le côté gauche de son corps, douleur qui était exacerbée lorsqu’on touchait son thorax ou son bras gauche. Après l’échec des autres traitements, deux interventions chirurgicales furent effectuées afin de procéder à l’ablation des parties du cortex sensorimoteur, et on observa que la stimulation électrique effectuée dans la zone motrice supplémentaire produisait la vocalisation, la levée du bras paralysé, et d’autres réponses motrices. Ces effets étaient similaires à ceux provoqués chez d’autres patients non paralysés. Donc, il est clair que la zone supplémentaire du cortex indépendant possède des voies d’accès indépendantes des voies d’accès classiques et que les mouvements provoqués peuvent être indépendants de l’intégrité de la représentation motrice principale dans le cortex.

La stimulation électrique du cerveau produit apparemment des résultats similaires, qu’elle soit appliquée à la zone motrice d’un enfant ou d’un adulte, d’un travailleur manuel ou d’un artiste accompli. Les compétences et mouvements raffinés ne sont pas créés afin d’être représentés dans le cortex, ou du moins ils n’ont pas été suscités par cette stimulation électrique. Le cortex moteur est probablement un grand clavier situé sur le côté afférent, qui traite la sortie de l’activité, qui est en mesure de jouer les cordes de la contraction musculaire et de produire des mouvements, mais qui exige la direction d’autres structures cérébrales, qui sont encore peu connues à ce jour.

En contraste avec ces effets, la stimulation électrique du cerveau peut provoquer des réponses plus élaborées. Par exemple, chez l’un de nos patients, la stimulation électrique de la partie rostrale de la capsule interne produisit un tour de tête et un lent déplacement du corps de chaque côté et avec une séquence bien orientée et apparemment normale, comme si le patient

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était à la recherche de quelque chose. Cette stimulation fut répétée six fois sur deux jours, avec des résultats comparables. Le fait intéressant est que le patient considérait l’activité provoquée comme spontanée et offrait toujours une explication raisonnable pour celle-ci. Lorsqu’on lui demanda « Que faites-vous ? », les réponses furent : « je cherche mes pantoufles », « j’ai entendu un bruit », « je suis inquiet », et « je cherchais sous le lit ». Dans ce cas, il était difficile de déterminer si la stimulation avait provoqué un mouvement que le patient tentait de justifier, ou si une hallucination avait été suscitée ce qui, par la suite, amenait le patient à se déplacer et à explorer les environs.

Il y a très peu de rapports cliniques de mouvements complexes provoqués par stimulation électrique du cerveau et qui sont comparables aux réponses séquentielles observées chez les singes, ce qui pourrait indiquer que l’organisation cérébrale est moins stéréotypée chez l’homme que chez les animaux. La stimulation du lobe temporal chez l’homme a provoqué des automatismes incluant le tâtonnement maladroit avec des draps chirurgicaux ou avec les propres mains du patient, et des mouvements bien organisés visant à dégager la table d’opération.

Généralement, les patients n’ont pas de souvenir de ces automatismes provoqués. Des vocalisations et un discours plus ou moins intelligible peuvent également être inclus parmi ces réponses motrices complexes, bien qu’ils représentent l’activation des mécanismes moteurs et liés aux idées. Des vocalisations ont été obtenues par stimulation de la zone motrice dans le gyros précentral et aussi par stimulation de l’aire motrice supplémentaire dans les deux hémisphères. La réponse se compose habituellement d’un cri soutenu ou interrompu avec le son d’une voyelle qui a parfois une consonne comme composante (174).

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Chers amis,

Voici aujourd’hui pour vous, en français, l’EXTRAIT (tiré du livre de José Delgado « Physical control of the mind : toward a psychocivilized society« ) qui vous prouve SANS LAISSER PLANER LE MOINDRE DOUTE que la MANIPULATION DU COMPORTEMENT via des puces cérébrales actionnées par radiofréquence est une REALITE !!!

Ceci date d’il y a presque 40 ans… A L’HEURE ACTUELLE, TOUT CECI A ÉTÉ RAFFINE, DÉVELOPPÉ, ANALYSE, AMÉLIORÉ afin de pouvoir, via les puces cérébrales CONTRÔLER L’ESPRIT HUMAIN.

CECI A DÉJÀ ÉTÉ TESTE SUR DES HUMAINS !!!

L’EXTRAIT CI-DESSOUS, AINSI QUE LES AUTRES EXTRAITS QUE JE VOUS AI POSTES DE CE LIVRE ABOMINABLE, LE PROUVENT : LE MENTAL ET LE COMPORTEMENT DE L’ÊTRE HUMAIN PEUVENT COURT-CIRCUITER SA VOLONTÉ, SON LIBRE-ARBITRE, SA FAÇON D’AGIR ET DE PENSER !!! ON A DÉJÀ OSE MENER DES EXPÉRIENCES A CE SUJET IL Y A BIEN LONGTEMPS… ET AUJOURD’HUI, DES COMPAGNIES ET DES CENTRES « MÉDICAUX » SPÉCIALISÉS PROMEUVENT CETTE MÉTHODE DE NAZIS !!!

LES PUCES CÉRÉBRALES PEUVENT DONC CONTRÔLER UN INDIVIDU PHYSIQUEMENT (cf. l’article ci-avant) AINSI QUE SON MENTAL ET SON COMPORTEMENT (voir ci-dessous)… ON PEUT MEME LES UTILISER COMME ARMES (retarder les battements du coeur – cf. articles précédents – mais aussi provoquer de la douleur chez les individus – voir l’extrait ci-dessous) !!!

LES PUCES IMPLANTABLES (sous-cutanées, neurales, cérébrales) SONT UN DANGER ABOMINABLE. NOUS EN AVONS TOUTES LES PREUVES !

Nous nous devons d’ARRÊTER CES DISPOSITIFS DIABOLIQUES, ET RENDRE ILLÉGALES ET INTERDITES LES PUCES IMPLANTABLES POUR HUMAINS (et pour animaux aussi, d’ailleurs) !!!

BONNE REVOLUTION… OU BON ESCLAVAGE !!! Vic.


CHAPITRE QUATORZE : L’ENFER ET LE PARADIS DANS LE CERVEAULES SYSTÈMES DE SANCTION ET DE RÉCOMPENSE

Lorsque l’homme a évolué et s’est élevé au-dessus des autres puissants animaux, la taille et la complexité de son cerveau ont augmenté, en lui donnant une intelligence supérieure mais aussi plus d’angoisse, un chagrin plus profond et une plus grande sensibilité que n’importe quel autre être vivant. L’homme a également appris à apprécier la beauté, à rêver et à créer, à aimer et à haïr. Dans l’éducation des enfants ainsi que dans la formation des animaux, la punition et la récompense constituent les plus puissantes motivations pour apprendre. Dans notre orientation hédoniste de la vie visant à minimiser la douleur et à rechercher le plaisir, nous attribuons souvent ces qualités à l’environnement sans nous rendre compte que les sensations dépendent d’une chaîne d’événements qui aboutit à l’activation de mécanismes intracérébraux déterminés. Les dégâts physiques, la perte d’un enfant chéri, ou une catastrophe apocalyptique ne peuvent pas nous faire souffrir si certaines de nos structures cérébrales ont été bloquées par anesthésie. Le plaisir ne réside pas dans le fait d’être caressé sur la peau ou d’avoir le ventre plein, mais quelque part à l’intérieur de la boîte crânienne.

En même temps, la douleur et le plaisir ont d’importantes composantes culturelles et psychiques liées à l’histoire de l’individu. Des hommes inhibés par une sortie extraordinaire tribaux ou formation religieuse à endurer l’inconfort ont été torturés à mort sans montrer des signes de souffrance. On sait aussi qu’en l’absence de blessure physique, l’élaboration mentale de l’information peut produire la pire forme de souffrances. Le rejet social, les sentiments de culpabilité, et

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d’autres tragédies personnelles peuvent produire des manifestations autonomiques, somatiques et psychologiques plus grandes que la douleur physique.

Il existe une forte réticence à accepter que de telles interprétations personnelles et raffinées comme le fait d’avoir peur et d’être amoureux sont subordonnées à la dépolarisation de la membrane de groupes de neurones déterminés, mais ceci est un aspect des phénomènes émotionnels qui ne devrait pas être ignoré. Après une lobotomie frontale, des patients atteints du cancer ont indiqué que la douleur persistait sans faiblir, mais que leur souffrance subjective était radicalement réduite, et ils ne se plaignaient pas ni ne demandaient autant de médicaments qu’avant l’opération. Les patients lobotomisés réagissaient autant à des stimuli nociceptifs, sinon plus, qu’avant leur opération, sursautant lorsqu’on les piquait avec une aiguille et répondant rapidement aux tests objectifs de chaleur excessive, mais ils présentaient une diminution d’inquiétude. Il semble que dans les lobes frontaux, il existe un mécanisme de potentialisation de l’évaluation des souffrances personnelles, et après la lobotomie, la sensation initiale de douleur n’est pas modifiée, alors que la composante réactive à ce sentiment est fortement réduite. Ce mécanisme est assez spécifique des lobes frontaux ; la destruction bilatérale des lobes temporaux ne parvient pas à modifier les souffrances personnelles.

Les questions importantes à résoudre sont les suivantes : est-ce que certaines structures cérébrales possèdent le rôle spécifique d’analyser des types précis de sensations ? Est-ce que le codage de l’information au niveau des récepteurs est indispensable à l’activation de ces structures ? Il n’y a pas si longtemps, beaucoup de scientifiques auraient rejeté comme naïf le fait déjà démontré selon lequel la punition et la récompense peuvent être provoqués à volonté en manipulant les commandes d’un instrument électrique connecté au cerveau.

Perception de la souffrance

Dans les manuels scolaires et les articles scientifiques, des termes comme « récepteurs de la douleur », « fibres de la douleur », et « voies de la douleur » sont fréquemment utilisés, mais il convient de préciser que les nerfs périphériques ne sont pas porteurs de sensations. Les voies neuronales transmettent seulement des schémas d’activité électrique

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avec un message qui doit être déchiffré par le système nerveux central, et en l’absence de cerveau, il n’ya pas de douleur, même si certaines réactions de réflexe moteur peuvent encore être présentes. Une grenouille décapitée ne peut rien ressentir, mais elle sautera avec une assez bonne coordination motrice lorsqu’on lui pince les pattes arrière. Durant les sports de compétition ou sur le champ de bataille, l’émotion et le stress peuvent temporairement bloquer la sensation de douleur chez l’homme, et souvent les blessures ne sont pas immédiatement remarquées. L’interprétation cérébrale des signaux sensoriels est tellement décisive qu’un même stimulus peut être considéré comme agréable ou désagréable selon les circonstances. Un fort choc électrique sur les pieds effraie un chien et inhibe la sécrétion de sa salive. Si, toutefois, la même excitation « douloureuse » est suivie pendant plusieurs jours par l’administration de nourriture, l’animal accepte le choc, remuant la queue joyeusement et salivant par anticipation de la récompense de la nourriture. Certains de ces chiens ont été entraînés à appuyer sur un levier afin de déclencher le choc électrique qui précède l’alimentation. Pendant les relations sexuelles chez l’homme, les morsures, les égratignures et d’autres sensations potentiellement douloureuses sont souvent interprétées comme agréables, et certains déviants sexuels recherchent les châtiments corporels en tant que source de plaisir.

Le paradoxe est que, alors que la peau et les viscères possèdent plein de terminaisons nerveuses pour la réception sensorielle, le cerveau ne possède pas ce type d’innervation. Chez les patients sous anesthésie locale, le tissu cérébral peut être coupé, brûlé, déchiqueté ou congelé sans causer d’inconfort. Cet organe tellement insensible à sa propre destruction est, toutefois, le capteur exquis des informations reçues depuis la périphérie. Chez les espèces animales plus élevées, il y a une différentiation sensorielle impliquant les récepteurs périphériques spécialisées qui codent l’information externe en impulsions électriques et des analyseurs internes qui décodent les sensations entrantes qui circulent dans le but d’accroître la perception des sensations.

La plupart des messages sensoriels voyagent à travers les nerfs périphériques, les racines dorsales, la moelle épinière et la moelle vers les noyaux thalamiques dans le cerveau, mais à partir de là nous perdons leurs traces et nous ne savons pas où l’information est interprétée en tant que douloureuse ou agréable, ni la manière dont les composantes affectives sont attribuées à une sensation (212, 220).

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Bien que les investigations anatomiques indiquent que les fibres thalamiques se projettent vers le cortex « sensoriel » pariétal, la stimulation de ce secteur ne produit pas de douleur chez les animaux ni chez l’homme. Aucune gêne n’a été rapportée après l’excitation électrique de la surface ou de la profondeur des zones motrices, des lobes frontaux, des lobes occipitaux, de la circonvolution cingulaire et de nombreuses autres structures, alors que la douleur, la rage et la peur ont été provoquées par l’excitation du tegmentum gris central, et de quelques autres régions.

Les animaux partagent avec l’homme l’aspect expressif des manifestations émotionnelles. Quand un chien remue la queue, nous supposons qu’il est heureux, et quand un chat siffle et crache, nous supposons qu’il est furieux, mais ces interprétations sont anthropomorphes et, en réalité, nous ne connaissons pas les sentiments de quelque animal que ce soit. Plusieurs auteurs ont essayé d’établir une corrélation entre les manifestations objectives et les sensations ; par exemple, la stimulation de la cornée de l’oeil provoque une lutte, la dilatation de la pupille et la montée de la pression sanguine (87), mais ces réponses ne sont pas nécessairement liées à la prise de conscience des sentiments, comme cela est clairement démontré par la capacité défensive de la grenouille décapitée. L’étude expérimentale des mécanismes de la douleur et du plaisir chez les animaux est handicapée par leur absence de communication verbale, mais heureusement, nous pouvons déterminer si un animal aime ou n’aime pas la sensation perçue via l’analyse instrumentale de ses réponses. Les rats, les singes et d’autres espèces peuvent apprendre à appuyer sur un levier pour recevoir une récompense telle qu’une boulette de nourriture ou apprendre à éviter quelque chose de désagréable tel qu’un choc électrique sur la peau. Via l’acte volontaire de la manipulation d’un instrument, un animal exprime si oui ou non la nourriture, les chocs, ou la stimulation cérébrale sont désirables, ce qui permet une qualification objective de la sensation. De nombreuses structures cérébrales ont été étudiées de cette façon en vue d’identifier leurs propriétés de renforcement positives ou négatives.

À l’heure actuelle, il est généralement admis que des zones spécifiques du cerveau participent à l’intégration des sensations de la douleur, mais le mécanisme est loin d’être clair, et dans nos expérimentations animales, nous ne savons pas si nous stimulons les voies ou des centres d’intégration plus élevés. Le concept d’une conduction directe des messages de la douleur

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depuis la périphérie vers le système nerveux central était trop élémentaire. Les messages qui arrivent sont probablement traités à de nombreux niveaux avec des retours qui modifient la sensibilité et le filtrage de l’information à de nombreuses étapes, y compris au niveau des récepteurs périphériques. L’excitation du cerveau, par conséquent, peut avoir une incidence sur la transmission tout comme sur l’élaboration des ordres entrants et la rétroaction de la modulation. Les stimuli électriques ne transportent pas de message précis car ils sont une répétition monotone d’impulsions semblables, et le fait qu’ils constituent un élément déclencheur acceptable de la perception centrale de la douleur signifie que la réception d’un code sous forme de schémas n’est pas nécessaire, mais seulement l’activation non spécifique des ressources neuronales qui sont accessibles pour l’étude. En plus de l’importance de ces études pour trouver de meilleures thérapies pour l’atténuation de la douleur, il y a un autre aspect qui a beaucoup d’intérêt social : les relations possibles entre la perception de la douleur et la violence.

L’anxiété, la peur et la violence provoquées par stimulation électrique du cerveau chez les humains

L’anxiété a été considérée comme l’alpha et l’oméga de la psychiatrie. Elle est l’un des thèmes centraux de la philosophie existentielle, et elle nuance la vie normale – et anormale – de la plupart des êtres humains. Plusieurs états émotionnels peuvent être classés sous la rubrique de l’anxiété, notamment la peur, l’effroi, la panique et la terreur, qui sont des variantes de la même expérience. L’un des troubles mentaux les plus complexes, l’anxiété déraisonnable ou excessive, y compris les phobies et obsessions compulsives, souvent, ne répond bien souvent pas aux standards et, dans certains cas, il a été amélioré par électrocoagulation de zones discrètes du pôle frontal. Grey Walter (234) a signalé une récupération sociale totale de 85% chez un groupe de soixante malades atteints d’anxiété et d’obsessions traités avec des coagulations soigneusement dosées et effectuées via des électrodes implantées dans les lobes frontaux.

Sans entrer dans des discussions sémantiques, nous pouvons considérer que l’anxiété est un état émotionnel d’une tension consciente ou inconsciente, liées à des menaces réelles ou imaginaires, contre l’intégrité psychologique ou physique de l’individu. Un faible degré d’anxiété peut mobiliser, alors que des niveaux excessifs peuvent paralyser l’activité mentale et somatique. Au-delà d’une certaine limite, l’anxiété possède des caractéristiques fort déplaisantes. Dans des circonstances normales, elle est produite, de même que toute autre émotion,

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par les apports sensoriels de l’environnement et par des souvenirs, qui tous deux exigent une élaboration mentale de messages qui peuvent être influencés par des facteurs neuronaux et liés à l’humeur. En outre, il existe des preuves abondantes que l’anxiété et la peur peuvent être provoquées en tant que catégorie de réponse soit primaire, soit secondaire, par stimulation électrique du cerveau. La perception ou l’attente de la douleur peuvent être effrayantes, et dans certains cas, lorsque la stimulation électrique du cerveau a produites un malaise (inconfort) généralisé ou localisé, les patients ont exprimé leur inquiétude concernant la poursuite de l’exploration des procédures. En plus de la peur naturelle de la possibilité d’un nouvel inconfort, il pourrait y avoir eu une composante de l’anxiété primaire qui serait difficile à évaluer.

La destruction de parties discrètes du thalamus produit un soulagement de l’anxiété névrotique et de la névrose obsessionnelle compulsive qui est probablement lié à l’interruption des parcours toniques vers les lobes frontaux.

La stimulation du noyau thalamique, cependant, produit très rarement de l’anxiété, et les rapports des patients sont limités à des sentiments de faiblesse, d’être différent, de tournis, de flottement, et de quelque chose de semblable à l’intoxication par l’alcool (214).

Des manifestations plus claires de la provocation directe de la peur, sans autres sensations qui les accompagnent, ont été rapportées par plusieurs enquêteurs. Des lésions dans le thalamus médian donnent un soulagement efficace de la douleur avec un minimum de perte de sensibilité, et pour cette raison, cette zone a souvent été explorée électriquement chez les patients atteints du cancer. Dans certains cas, elle a produit des crises d’angoisse aiguë, qu’un patient décrit de façon frappante comme suit : « C’est un peu comme le sentiment d’avoir été manqué de peu par une voiture et d’avoir bondi en arrière vers la bordure (du trottoir) et de s’être dit « Brrr ». » Quelque chose au plus profond de lui donnait une impression très déplaisante, très inhabituelle, et il ne voulait certainement plus ressentir cela (73). Le fait surprenant est que la désagréable sensation de peur fut ressentie d’un côté du corps, du côté contraire à celui de la stimulation cérébrale. Sweet (221) a rapporté le cas d’un patient très intelligent, le doyen d’une université, qui, après une sympathectomie unilatérale afin de soigner l’hyperhidrose de ses membres supérieurs, a révélé que sa précédente et coutumière sensation de frisson en écoutant un émouvant passage de musique se produisait dans un seul côté (du corps), et il ne pouvait

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pas être ému dans la moitié de son corps qui avait reçu la sympathectomie. Ces cas étaient intéressants car les émotions sont généralement expérimentées de façon assez diffuse et bilatérale, sauf si l’innervation a été spécifiquement interrompue.

Le rôle du thalamus dans l’intégration de la peur est également suggéré par l’étude d’une patiente dont les attaques d’anxiété spontanées et paralysantes d’une intensité écrasante avaient mené à plusieurs tentatives de suicide et à un état chronique de dépression et d’agitation assez réfractaire aux médicaments et à la psychothérapie. La stimulation du noyau dorsolatéral du thalamus provoquait précisément le même type d’attaque à un niveau de la symptomatologie directement proportionnel à l’intensité appliquée. Il a été possible de trouver le seuil électrique pour une légère anxiété ou de l’augmenter à des niveaux supérieurs en tournant simplement le cadran d’un stimulateur. « On pouvait s’asseoir avec sa main sur le bouton et contrôler le niveau de son angoisse » (73).

Chez l’une de nos patientes, la stimulation d’une zone similaire dans le thalamus provoqua une expression typique de peur, et elle se tournait des deux côtés, explorant visuellement la pièce derrière elle. Lorsqu’on lui demanda ce qu’elle faisait, elle répondit qu’elle ressentait une menace et pensait que quelque chose de terrible allait se produire. Cette sensation de peur était perçue comme réelle, et elle avait la prémonition d’une catastrophe imminente de cause inconnue. Cet effet fut fiable durant plusieurs jours et ne fut pas altéré par l’utilisation de l’éclairage et d’une caméra destinés à documenter les découvertes. Son activité motrice et le choix des mots variaient en fonction de l’environnement naturel, mais l’expression de son visage et la sensation aiguë d’une peur non spécifique, inexplicable, mais réelle était similaire suivant les différentes stimulations. La réponse commençait avec un délai de moins d’une seconde, durait aussi longtemps que la stimulation, et ne laissait pas de séquelles observables. La patiente se souvenait de sa peur, mais n’était pas bouleversée par ce souvenir.

Certains patients ont affiché de l’anxiété et de l’agitation lorsque le pallidum fut stimulé à des fréquences supérieures à 8 cycles par seconde, et ils ressentaient également de la chaleur ou une constriction dans la poitrine (123). Quelques-uns ont rapporté une « anxiété vitale dans le côté gauche de la poitrine »,

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et criaient de façon anxieuse si la stimulation était répétée. Des réactions émotionnelles intenses furent provoquées par stimulation du noyau amygdaloïde, mais les réponses varièrent auprès du même patient, même avec les mêmes paramètres de stimulation. L’effet était parfois la colère, parfois la peur. Un patient a expliqué, « Je ne sais pas ce qui m’a pris. J’avais l’impression d’être un animal de l’air « (100).

La sensation de peur, sans aucune douleur concomitante a également été observée à la suite de la stimulation électrique du cerveau au niveau du lobe temporal (230). Cet effet peut être classé comme une « illusion de la peur » (174) car il n’y avait manifestement pas de véritable raison d’avoir peur en dehors de l’activation électrique artificielle de certaines structures cérébrales. Dans tous les cas, cependant, la crainte est une interprétation cérébrale de la réalité qui dépend d’une multitude de facteurs culturels et de l’expérience, avec des raisons logiques ou illogiques. Le fait qu’elle puisse être éveillée par la stimulation d’un petit nombre de zones du cerveau permet l’exploration des mécanismes neuronaux de l’anxiété, et comme hypothèse de travail, nous pouvons supposer que les qualités émotionnelles de la peur dépendent de l’activation de structures déterminées situées probablement dans le thalamus, le complexe amygdalien, et quelques autres centres encore non identifiés à ce jour. Cette activation dépend généralement de l’évaluation symbolique de données entrantes sensorielles et codées, mais le seuil de cette activation peut être modifié – et aussi atteint – par l’application directe de la stimulation électrique du cerveau. La connaissance des mécanismes intracérébraux de l’anxiété et de la peur permettra la mise en place d’un traitement pharmacologique et psychiatrique plus rationnel de la souffrance de nombreux patients, et pourra aussi aider à comprendre et à améliorer le niveau croissant d’anxiété dans notre civilisation.

On sait aussi que dans certains cas tragiques, des processus neurologiques anormaux peuvent être le facteur déterminant d’une violence déraisonnable et incontrôlable. Les personnes qui en sont atteintes peuvent souvent blesser ou même tuer soit des étrangers, soit des membres proches de la famille généralement traités avec affection. Un exemple typique était J.P., charmante et jolie jeune fille de 20 ans qui avait un passé médical incluant une encéphalite à l’âge de dix-huit mois et de nombreuses crises du lobe temporal et des attaques épileptiques de type grand mal durant les dix dernières années (6o). Son principal problème social consistait en de fréquents et imprévisibles accès de rage

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qui, à plus d’une douzaine de reprises, aboutirent à une agression contre une autre personne telle que planter un couteau dans le myocarde d’un étranger, ou une paire de ciseaux dans la cavité pleurale d’une infirmière. La patiente fut enfermée dans un service pour les gens atteints de folie criminelle, et des électrodes furent implantées dans son complexe amygdalien et son hippocampe pour l’exploration d’éventuelles anomalies neurologiques. Comme elle était plutôt impulsive, le confinement dans la salle d’enregistrement de l’électroencéphalogramme était impraticable, et elle devint l’un des premiers cas cliniques équipé d’un stimoceiver, ce qui permit d’étudier l’activité intracérébrale sans retenue (voir figure 4). Les enregistrements en profondeur pris alors que la patiente se déplaçait librement dans le service démontrèrent des anomalies électriques marquées dans les deux amygdales du complexe amygdalien et l’hippocampe. Les périodes spontanées de marche sans but coïncidaient avec une augmentation du nombre d’ondes fortes de haute tension. D’autres fois, le discours de la patiente était spontanément inhibé pendant plusieurs minutes au cours desquelles elle ne pouvait pas répondre à quelque question que ce soit, même si elle conservait une compréhension et une conscience partielles. Ces périodes coïncident avec des rafales de pics d’activité localisées au rayonnement optique (fig. 17). L’excitation émotionnelle transitoire était liée à une augmentation en nombre et en durée de salves de 16 cycles par seconde ; mais la patiente lisait les journaux, conversait avec les autres personnes, et se promenait sans causer de modifications notables dans l’activité électrique intracérébrale qui était télémétrée.

Au cours d’explorations approfondies, il a été démontré que des crises de comportement agressif, semblables aux éclats de colère spontanés de la patiente, pouvaient être suscitées par la stimulation radio de 3 contacts dans l’amygdale cérébrale de droite. Une excitation d’1,2 milliampère de cette zone fut appliquée pendant qu’elle jouait de la guitare et à chantait avec enthousiasme et compétence. À la septième seconde de la stimulation, elle jeta la guitare et, dans un élan de rage, lança une attaque contre le mur, et ensuite fit des va-et-vient sur le sol pendant plusieurs minutes, après quoi elle se calma progressivement fait silence et reprit son comportement joyeux habituel. Cet effet fut répété sur deux jours différents. Le fait que seul le contact situé dans le complexe amygdalien induisait la rage suggérait que le terrain neuronal

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Figure 17 L’enregistrement télémétrique de l’activité électrique du cerveau chez une des patientes illustrées en figure 4. Les emplacements des contacts étaient les suivantes : Canal 1 : noyau amygdaloïde ; Canal 2 : rayonnement optique antérieur ; Canal 3 : rayonnement optique postérieur. A : les salves spontanées apparaissant dans le Canal 1 étaient plus importantes lorsque le patient était psychologiquement excité. B : l’arrêt soudain et spontané du discours a coïncidé avec des rafales de pic au Canal 3. C : les enregistrements de contrôle n’ont pas été modifiés par le comportement amical ou par les différents types d’activité motrice telles que la marche et la lecture (60).

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autour du contact 3 était impliqué dans le problème comportemental du patient, et cette constatation est d’une grande signification clinique dans l’orientation de traitement ultérieur par coagulation locale.

La démonstration que la stimulation du complexe amygdalien peut provoquer des comportements violents a également été fournie par d’autres chercheurs. King (128) a décrit le cas d’une femme ayant des sentiments de dépression et d’aliénation, avec un ton vocal extrêmement plat et une expression faciale qui était vide et immuable au cours des interviews, et qui lors de la stimulation du complexe amygdalien avec 5 milliampères avait beaucoup changé ses inflexions vocales et avait montré une expression de colère. Pendant ce temps, elle avait dit : « J’ai l’impression que je veux me lever de cette chaise ! Ne me laissez pas le faire, s’il vous plaît ! Ne me faites pas cela, je ne veux pas être méchante ! « . Lorsque l’intervieweur a demandé si elle voulait le frapper, la patiente a répondu : « Oui, je veux frapper quelque chose. Je veux tenir quelque chose et le déchiqueter, tout simplement. Prenez-le, de façon à ce que je ne le fasse pas ! » Elle remit ensuite son foulard à l’intervieweur qui lui donna une pile de papier, et sans aucun échange verbal, elle la déchira en lambeaux en disant : « Je n’aime pas me sentir comme ça. » Lorsque le niveau de la stimulation fut réduit à 4 milliampères, son attitude changea en un large sourire, et elle expliqua : « Je sais que c’est idiot, ce que je suis en train de faire. Je voulais me lever de cette chaise et courir. Je voulais frapper quelque chose, déchiqueter quelque chose – n’importe quoi. Pas vous, juste n’importe quoi. Je voulais juste à me lever et déchiqueter. Je n’avais pas de contrôle sur moi-même.  » Une augmentation de l’intensité jusqu’à 5 milliampères donna lieu à nouveau à de semblables manifestations d’agressivité, et elle leva le bras, comme si elle allait frapper.

Il est remarquable que, bien que les patients paraissaient être hors de contrôle dans ces deux cas d’agression provoquée par électricité, ils n’attaquaient pas l’intervieweur, indiquant qu’ils étaient conscients de leur situation sociale. Cette constatation n’est pas sans rappeler le comportement des singes que l’on avait stimulés et qui dirigeaient leur agressivité en fonction de leur expérience antérieure et de leur rang social et n’osaient pas défier l’autorité bien établie des chefs. Apparemment, la stimulation électrique du cerveau peut provoquer un état de réactivité violente accrue qui est exprimé conformément à la structure individuelle et aux circonstances environnementales. Nous pouvons donc conclure que

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le changement émotionnel provoqué artificiellement n’est qu’un élément de plus dans la constellation des éléments qui déterminent le comportement.

(.)(Source : myweb et marialerouxi, merci à Ambre

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6 février 2016

Ken Robinson nous dit en quoi l'école tue la créativité

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- d'une petite fille qui était à un cours de dessin. Elle avait six ans et elle était au fond de la classe, en train de dessiner, sa maîtresse disait que cette petite fille d'habitude avait du mal à se concentrer, pourtant, elle l'était à ce cours de dessin. La maîtresse fascinée, est allée la voir et lui a demandée, "Qu'es-tu en train de dessiner?" Et la petite fille lui a répondu, "Je fais un dessin de Dieu." La maîtresse lui dit alors, "Mais personne ne sait à quoi ressemble Dieu." Et la petite fille répond, "Ils le sauront dans une minute." (Rires)

04:03 Quand mon fils avait quatre ans en Angleterre -- en fait il avait quatre ans partout, pour être honnête. (Rires) Je suis sûr de ça, partout où nous allions, il avait quatre ans cette année. Il jouait dans la pièce "Nativité". Vous vous souvenez de l'histoire? Non, pourtant c'est connu. Vraiment connu. Mel Gibson a fait la suite. Vous l'avez peut-être vu: "Nativité II." Bon, James a eu le rôle de Joseph, nous étions enchantés. Nous pensions que c'était l'un des rôles principaux. Nous avions remplis la salle de complices avec le T-shirt: "James Robinson EST Joseph! (Rires) Il n'avait pas à parler, mais vous connaissez le passage avec les trois rois qui arrivent? Ils viennent chargés de cadeaux, et ils amènent de l'or, l'encens et la myrrhe. ça c'est vraiment passé. Nous étions assis et je me disais qu'ils avaient oubliés une scène parce que nous avons demandé à James après : "Tu es d'accord avec ça?" Et il répond, "Oui, pourquoi, c'était pas ça?" Ils avaient juste interverti, c'était tout. Donc, les trois garçons sont arrivés, quatre ans avec des torchons sur la tête, puis ils ont posé leurs boîtes et le premier garçon a dit, "Je t'apporte de l'or." puis le second garçon a dit, "Je t'apporte de la myrrhe." et le troisième garçon a dit, "Je t'apporte Vincent"

05:22 Ce que ces choses ont en commun est que les enfants vont oser. Même s'ils ne savent pas, ils essaieront quelque chose. Vous ne pensez-pas? Ils n'ont pas peur de se tromper. Maintenant, je ne dis pas que se tromper, c'est pareil qu'être créatif. Ce que je dis ici, c'est que si vous n'êtes pas prêts à vous tromper, vous ne sortirez jamais rien d'original. Si vous n'êtes pas prêts à vous tromper. Et avec le temps en devenant adultes, la plupart de ces enfants perdent cette capacité. Ils sont devenus peureux d'avoir tort. Nous dirigeons nos entreprises comme ça, par ailleurs. Nous stigmatisons les erreurs. Et nous dirigeons notre système éducatif national de telle façon que les erreurs sont les pires choses qu'ont puissent faire. Le résultat, c'est que nous éduquons des gens en dehors de leurs capacités créatives. Picasso a un jour dit ceci : Tous les enfants sont des artistes nés. Le problème est de rester un artiste en grandissant. J'ai l'intime conviction: que nous ne grandissons plus dans cette créativité. nous grandissons en dehors. Ou plutôt, nous sommes éduqués en dehors. Pourquoi cela?

06:21 Je vivais à Stratford-on-Avon jusqu'à il y a environ cinq ans. En fait, nous avons déménagé de Stratford à Los Angeles. Vous pouvez imaginer l'aisance de cette transition. (Rires) En fait, nous vivions a un endroit appelé Snitterfield, juste à l'extérieur de Stratford, qui est l'endroit où le père de Shakespeare est né. Êtes-vous frappé par quelque chose? Je l'ai été. Vous ne pensiez pas que Shakespeare avait un père, n'est-ce pas? Parce que vous ne pensiez pas que Shakespeare a été enfant, n'est-ce pas? Shakespeare ayant sept ans? Je n'avais jamais pensé à ça. Je veux dire il a eu sept ans un jour. Il était même dans la classe de Littérature de quelqu'un? Cela devait être plutôt embêtant? (Rires) "Dois faire plus d'effort." Envoyé par son père au lit, qui dit, à Shakespeare, "Au lit, maintenant!" à William Shakespeare, "et pose ton stylo. et arrête de parler comme ça. Tu embrouilles tout le monde." (Rires)

07:34 Donc, nous avons déménagé de Stratford pour Los Angeles, et je veux juste dire un mot sur la transition. Mon fils ne voulait pas venir. J'ai deux enfants. Il a 21 ans maintenant, ma fille 16. Il ne voulait pas venir à Los Angeles. Il adorait l'idée, mais il avait une petite amie en Angleterre. C'était l'amour de sa vie, Sarah. Il la connaissait depuis un mois. Imaginez, ils avaient fêté leur quatrième anniversaire, et ça fait un certain temps à 16 ans. Donc, il était bouleversé dans l'avion, et il disait, "Je ne trouverai jamais une autre fille comme Sarah." Et nous étions plutôt content de ça, honnêtement, car elle était la principale raison pour laquelle nous quittions le pays. (Rires)

08:24 Quelque chose vous frappe quand vous déménagez pour l'Amérique et que vous voyagez à travers monde: chaque système éducatif sur Terre à la même hiérarchie de sujets. Tous. N'importe où vous allez. Vous pensez que ça serait différent mais non. Tout en haut, vous avez les mathématiques et les langues, puis les sciences humaines, et tout en bas les arts. Partout sur la planète. Et dans à peu près, tous les systèmes aussi, il y a une hiérarchie dans les arts. L'art et la musique sont normalement plus haut à l'école que l'art dramatique et la danse. Il n'y a aucun système d'éducation qui enseigne la danse chaque jour à des enfants comme nous leurs enseignons les maths. Pourquoi? Pourquoi pas? Je pense que cela est important. Je pense que les maths sont importantes, mais la danse aussi. Les enfants danseraient tout le temps si ont leurs donnaient l'autorisation. Nous avons tous un corps n'est-ce pas? Ou alors j'ai manqué une conférence? (Rires) La vérité, ce qui ce passe est, que quand les enfants grandissent, nous commençons à les éduquer progressivement de la taille. Puis nous nous concentrons sur leurs têtes. Et principalement sur une partie.

09:21 Si notre système éducatif était visité par un martien, et qu'il demandait "A quoi ça sert, l'enseignement public?" Je pense qu'on devrait conclure, que ceux qui réussissent, qui font tout ce qu'on attend d'eux, qui ont tous les bons points, qui sont les gagnants -- Je pense qu'on devrait conclure que le but final de l'enseignement public à travers le monde est de produire des professeurs d'université. N'est-ce pas? C'est eux qui arrivent premier. J'ai été l'un d'entre eux, donc bon. (Rires) J'aime les professeurs d'université, mais vous savez, nous ne devrions pas les placer au sommet des réalisations humaines. Il sont juste une forme de vie une autre espèce parmi les autres. Mais ils sont plutôt curieux, et je dis ça avec sympathie. Il y a, d'après mon expérience, quelque chose de singulier avec les professeurs -- pas tous, mais typiquement -- ils vivent dans leurs têtes. Ils vivent là-haut, et un peu seulement cette partie. Ils sont désincarnés, on peut dire, d'une manière littérale. Ils perçoivent leurs corps comme un moyen de transport pour leurs têtes, non? (Rires) C'est une façon de déplacer leurs têtes à des réunions. Si vous voulez une preuve réelle d'expérience de hors-corps, allez à une conférence locale, d'universitaires, puis allez avec eux en discothèque la dernière nuit. (Rires) Et là vous verrez, des adultes hommes et femmes se déhanchant de façon incontrôlable, en dehors du rythme, attendant la fin pour pouvoir rentrer chez eux et écrire un article sur ça.

10:58 Notre système éducatif est basé sur la notion d'aptitude académique. Et il y a une raison. Le système entier a été inventé -- à travers le monde, il n'y avait pas d'enseignement public, vraiment, avant le 19ème siècle. Ces systèmes sont tous apparus pour satisfaire les besoins d'industrialisation. La hiérarchie est donc fondée sur 2 idées. Premièrement, que les sujets les plus utiles au travail sont au sommet. Vous étiez donc de façon bienveillante écartés de certaines choses à l'école, des choses qu'enfants vous aimiez si elles ne vous permettaient pas d'obtenir un travail. N'est-ce pas? Ne fais pas de musique, tu ne seras pas musicien; Ne fais pas de l'art, tu ne seras pas un artiste. Un conseil bienveillant -- qui est maintenant, profondément faux. Le monde entier s'engouffre dans une révolution. Le second point est que l'habilite académique, domine vraiment notre vision de l'intelligence, car les universitaires ont modelé le système à leur image. Si vous imaginez, l'ensemble des enseignements publiques à travers le monde c'est un long processus d'accès à l'université. Et la conséquence est que beaucoup de gens talentueux, brillants, créatifs pensent qu'ils ne le sont pas, car les matières où ils étaient bons à l'école n'étaient valorisées, ou étaient même stigmatisées. Ça ne peut pas continuer ainsi.

12:07 Dans les 30 prochaines années, selon l'UNESCO, il y aura plus de personnes dans le monde diplômée que depuis le début de l'histoire. Plus de monde, et c'est la combinaison de toutes les choses dont nous avons discutées -- les technologies et ses impacts sur le travail, la démographie et l'énorme accroissement de la population. Soudainement, les diplômes ne valent plus rien. Pas vrai? Quand j'étais étudiant, si tu avais un diplôme, tu avais un travail. Si tu n'avais pas de travail, c'est que tu n'en voulais pas un. Et je n'en voulais pas un, honnêtement. (Rires) Mais aujourd'hui nos enfants diplômés préfèrent jouer aux jeux vidéo, car il faut un Master alors qu'avant tu n'avais besoin que d'une Licence et pour certains il faut même un Doctorat. C'est un processus d'inflation académique. Et cela nous montre que le système éducatif en entier est entrain d'évoluer sous nos pieds. Nous devons radicalement repenser notre vision de l'intelligence.

12:55 Nous savons 3 choses sur l'intelligence. Une, elle est variée. Nous pensons le monde de toutes les façons que nous l'expérimentons. Nous le pensons de façon visuelle, de façon auditive, de façon kinesthésique, Nous pensons de façon abstraite, nous pensons en mouvement. Deuxièmement, l'intelligence est dynamique. Si vous regardez les interactions du cerveau humain, comme nous l'avons vu hier dans de nombreuses présentations, l'intelligence est merveilleusement interactive. Le cerveau n'est pas divisé en compartiments. En fait, la créativité -- que je définis comme le processus d'avoir des idées originales qui ont de la valeur -- le plus souvent, provient de l'interaction de différentes façon de voir les choses.

13:32 Le cerveau est intentionnellement -- d'ailleurs, les deux hémisphères du cerveau sont reliés par un corps appelé le corps calleux. Il est plus épais chez les femmes. D'après Helen hier, je pense que c'est probablement la raison pour laquelle les femmes sont meilleures pour le multi-taches. Car vous l'êtes, non? Il y a beaucoup d'études, mais je le sais de mon expérience personnelle. Quand ma femme cuisine à la maison -- pas trop souvent, heureusement. (Rires) Donc quand elle cuisine -- non, elle fait bien certaines choses -- donc quand elle cuisine, vous savez en même temps, elle gère d'autres personnes au téléphone, elle parle aux enfants, elle repeint le plafond, elle fait une opération chirurgicale à cœur ouvert. Tandis que si je cuisine, la porte est fermée, les enfants sont dehors, le téléphone éteint, et si elle arrive, ça m'irrite. "Terry, s'il te plaît, j'essaie de faire cuire un oeuf. Laisse-moi tranquille." (Rires) En fait, vous savez cette vieille histoire philosophique, si un arbre tombe dans la forêt et personne ne l'entend est-ce que c'est arrivé? Vous vous rappelez cette histoire? J'ai vu un super t-shirt récemment qui disait, "Si un homme dit ce qu'il pense dans une forêt et qu'aucune femme ne l'a entendu, est-ce qu'il a toujours tort?" (Rires)

14:51 Et la troisième chose sur l'intelligence est qu'elle est distincte. Je suis en train d'écrire un nouveau livre appelé "Epiphany" (ndt :The Element), qui est basé sur une série d'interviews de personnes sur comment ils ont découvert leurs talents. Je suis fasciné par la façon dont certaines personnes y sont arrivé. J'ai été ainsi fasciné par une conversation que j'ai eue avec une merveilleuse femme que peut-être la plupart des gens ne connaissent pas, qui s'appelle Gillian Lynne, vous la connaissez? Certains oui. Elle est chorégraphe et tout le monde connaît son travail. Elle a fait "Cats" et le "Fantôme de l'opéra" Elle est merveilleuse. J'ai été au conseil d'administration du Royal Ballet, d'Angletere, comme vous pouvez le voir. En tout cas, en déjeunant avec elle, je lui demande, "Gillian, comment es-tu devenue danseuse?" Et elle me répond - c'est intéressant - que quand elle était à l'école, elle était vraiment sans espoir. Et l'école, dans les années 30, avait même écrit à ses parents en disant, "Nous pensons que Gillian a un problème pour apprendre." Elle ne pouvait pas se concentrer, était turbulente. Je pense qu'on dirait maintenant qu'elle a le Trouble du Déficit de l'Attention. N'est-ce pas? Mais c'était dans les années 30, et l'TDA/H n'avait pas encore été défini. Ce n'était pas une option disponible. (Rires) Les gens ne savaient pas qu'ils pouvaient avoir cela.

15:50 Bref, elle est allée voir ce spécialiste. Dans cette pièce aux lambris de chêne. Et elle était là avec sa mère, assise sur cette chaise au fond, assise sur ses mains depuis 20 minutes au moins pendant que l'homme discutait avec sa mère des problèmes de Gillian à l'école. Et à la fin -- parce qu'elle gênait les autres, ses devoirs étaient toujours en retard, etc, etc, -- petit fille de 8 ans -- à la fin le docteur s'est assis près de Gillian et lui a dit, "Gillian, J'ai écouté toutes les choses que ta mère m'a dites et j'ai besoin de lui parler en privé" Il lui dit, "Attends là, nous ne serons pas long." Et ils sont sortis et l'ont laissée. Mais quand ils quittèrent la pièce, il alluma la radio posée sur son bureau. Et quand ils quittèrent la chambre, il dit à sa mère, "Restez juste là et observez-là." A la minute où ils quittèrent la pièce, elle m'a raconté, qu'elle était debout, en train de bouger avec la musique. Et ils l'ont regardée pendant quelques minutes puis il s'est retourné vers sa mère et a dit, "Mme. Lynne, Gillian n'est pas malade, c'est une danseuse. Inscrivez là à une école de danse."

16:50 J'ai dit, "Qu'est ce qui s'est passé?" Elle m'a répondu, "Elle l'a fait. Et c'était merveilleux. Nous avancions dans cette pièce remplie de gens comme moi. De gens qui ne pouvaient pas s'asseoir sans bouger, De gens qui devaient bouger pour pouvoir penser." Ils ont fait du ballet, de la claquette, du ballet jazz du moderne, du contemporain. Elle a finalement été auditionnée pour la Royal Ballet School, elle est devenue soliste, et eut une merveilleuse carrière au Royal Ballet. Elle fut diplômée du Royal Ballet School et fonda sa propre troupe, la Gillian Lynne Dance Company, elle rencontra Andrew Lloyd Weber. Et elle fut responsable de certaines des plus grandes comédies musicales de tous les temps, elle donna du plaisir à des millions de personnes et est multi-millionnaire. Quelqu'un d'autre l'aurait sans doute mis sous médicament en lui disant de se calmer.

17:38 Je pense -- (Applaudissement) Ce que je pense est que: Al Gore a parlé l'autre nuit d'écologie et de la révolution recherchée par Rachel Carson. J'ai la conviction que notre seul espoir pour le futur est d'adopter une nouvelle conception de l'écologie humaine, une où nous commencerions à repenser notre conception de la richesse de la capacité humaine. Notre système éducatif a miné notre esprit de la même manière que nous avons épuisé la Terre : pour une ressource particulière. Mais pour l'avenir, cela ne nous aidera pas. Nous devons repenser les principes fondamentaux de l'éducation de nos enfants. Il y a cette merveilleuse citation de Jonas Salk, qui dit "Si tous les insectes disparaissaient de la planète dans les 50 ans qui suivent, ce serait la fin de la Terre. Si tous les humains disparaissaient de la planète dans les 50 ans suivants, toutes les formes de vies floriraient." Et il a raison.

18:32 Ce que TED célèbre est le cadeau de l'imagination humaine. Nous devons maintenant faire attention à utiliser ce cadeau, de façon sage, et éviter certains scénarios dont nous avons parlés. Et la seule façon de le faire est de voir la richesse de notre capacité créative, et voir nos enfants comme l'espoir qu'ils représentent. Notre tâche est de les éduquer de façon complète, afin qu'il puisse vivre dans ce futur. D'ailleurs -- nous ne verrons sans doute pas ce futur, mais eux si. Et notre mission est de les aider a faire quelque chose de leur futur. Merci beaucoup.

Ken Robinson nous dit en quoi l'école tue la créativité

13 janvier 2016

Les dentifrices au fluor n'ont pas l'effet que vous croyez

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Comme l'aluminium, le fluor est neurotoxique. C'est d'ailleurs un résidu de la production de l'aluminium. Le fluor agit, notamment sur les neurones, conduisant à la perte du sens critique et de la mémoire. C'est l'un des ingrédients de base du Prozac et du gaz neurotoxique Sarin, qui fut employé au Japon dans l'attaque du métro. Des preuves scientifiques indépendantes montrent que le fluor provoque des troubles mentaux variés et rendent les gens stupides, dociles et serviles, en plus de diminuer la longévité et d'endommager la structure osseuse. La première utilisation du fluor dans l'eau potable date des camps de concentration NAZIs, grâce à la I.G. Farben, société pharmaceutique géante notoire. C'est elle qui dirigeait des camps comme Auschwitz. Quelqu'un pense-t-il que les nazis firent cela parce qu'ils se sentaient concernés par la santé des dents de leurs prisonniers ? Cette médication massive des réserves d'eau en fluor servait à stériliser les prisonniers et à les abrutir pour s'assurer de leur docilité.
Le chimiste Charles Perkins dit que des doses répétées de fluor, même en quantité infinitésimale, réduisent les possibilités d'un individu à résister à la domination, en empoisonnant lentement, par narcotisme, une partie précise de son cerveau, le soumettant ainsi à la volonté de ceux qui veulent le gouverner. Il dit que le fluor est une « lobotomie légère et commode » et que la véritable raison qui se cache derrière la fluorisation de l'eau n'a rien à voir avec la santé dentaire des enfants. Le fluor accélère le vieillissement, et favorise les mutations génétiques et les cancers. Nos études et investigations depuis 40 ans, nous ont amenés à découvrir que l'utilisation de fluor (comme de l'aluminium), dans l'eau et les produits de soins corporels (dentifrices), n'est ni le fruit du hasard, ni celui de l'incompétence, mais bien celui d'un acte parfaitement délibéré.

Opération Fluor : Les dentifrices au fluor n'ont pas l'effet que vous croyez



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Pour la défense de l’environnement et l’écologie.
Pour rechercher et défendre la vérité dans tous les domaines.

6 octobre 2015

Doc “Le danger de la télévision : une boite de pandore ouverte dans votre salon

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Autrefois, c’était vous qui faisiez les images. Ajourd’hui, ce sont les images qui vous font”

“La violence à la télévision, ça donne envie de tout casser. Sauf, hélas, la télévision.”

Cruauté, violences psychologiques et sexuelles, humiliations : la téléréalité semble devenue folle. Son arrivée au début des années 2000 ouvrait une nouvelle ère dans l’histoire de l’audiovisuel. Cinquante ans d’archives retracent l’évolution du divertissement : comment la mise en scène de l’intime, dans les années 80, a ouvert un nouveau champ, comment la privatisation des plus grandes chaînes a modifié le rapport au téléspectateur. À l’aide de spécialistes, dont le philosophe Bernard Stiegler, ce documentaire démontre comment l’émotion a fait place à l’exacerbation des pulsions les plus destructrices.

Malgré tous les discours, l’acroissement considérable du déclin moral de notre société depuis ces dernières décennies se voit comme à l’oeil lorsque l’on considère le seul média qu’est la télévision d’aujourd’hui ; sa dégradation étant considérable et une majorité de personnes se laissant absorber plusieurs heures par jour devant elle sans réellement en discerner le côté hautement néfaste, entraine la psychée ambiante dans une spirale négative très dangereuse. Finalement, il ne serait pas faux de dire que la télévision a contribué à ouvrir une boîte de Pandore en plein salon.

Un excellent documentaire sur les dangers socio-culturelles que représente le média télévisuel, notamment la télé-réalité. Bernard Stiegler termine avec une phrase fracassante de vérité qui fait du sens lorsqu’on prend le temps de faire le bilan des 30 dernières années de télévision et de transformation de la société.

http://www.prisedeconscience.org/divers/le-danger-de-la-television-une-boite-de-pandore-ouverte-dans-votre-salon-analyse-dun-specialiste-2437

23 décembre 2014

Les jeux vidéos influencent la psychologie, les modes de pensées et les comportements des ados.

 

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Les psychologues constatent parmi leurs patients combien la musique ou les jeux vidéos influencent la psychologie, les modes de pensées et les comportements des ados.
Si la violence est croissante, les viols, les abus sexuels sur mineurs ( 15000 victimes mineurs répertoriées en france en 2012) si nous ne pouvons pas l'imputer qu'aux images subliminales notre question serait alors , "pourquoi en ce moment après 30 années d'influence par les images subliminales sur le sexe, sur satan, sur la violence?

 

 Les jeux vidéo sont sujets à plusieurs malentendus et polémiques. Certaines études sont contradictoires, bien que la plupart tentent de démontrer que de plus en plus de jeunes sont accros aux jeux vidéo et engendrent une augmentation de violence ou de troubles divers auprès des jeunes. Qu'en est-il réellement et à quelles etudes se fier ?

 

Notre vie est régulée par l’influence des médias : la télévision, de l’Internet et de la presse. Le matraquage médiatique virulent et incessant provoque une mutation de pensées collectives et individuelles. La fiction et le réel s’entrechoquent allègrement et engendrent une confusion chez certains individus.

 

Le professeur de pédiatrie de psychiatrie Richard E. Tremblay expose dans son ouvrage « Prévenir la violence » les liens entre la violence latente et le passage à l’acte suite à une vision réitérée de la violence dans les médias.
L’auteur démontre dans son ouvrage que la violence est un comportement qui apparaît et se développe bien avant l’adolescence, mais que, trop souvent, elle s’installe durablement parce qu’elle n’est pas prise en charge assez tôt. La violence télévisuelle ou des jeux vidéo ne ferait que motiver et éduquer ces jeunes violents génétiquement à exprimer une violence refoulée ou qui n'attend qu'à s'exprimer. Selon lui, il ne s’agirait que d’une minorité. Néanmoins, d’autres dangers sont observés : la dépendance et les dérives émotionnelles et de comportement pour ceux qui jouent des heures durant aux mêmes jeux violents.

 

Quel est l’impact réel des jeux vidéo sur les jeunes ? Développons ce sujet dans la continuité de cette étude. Ici nous traiterons plus de l'extrême violence dans les jeux et ses conséquences. En effet, tous les jeux ne sont pas forcément nocifs dans la mesure où ils sont utilisés avec modération. Bien que des procédés subliminaux soient ici aussi, dans certains cas, d’usage, les jeux d’actions violents sont toujours accompagnés d’images psychédéliques, stroboscopiques accompagnés de musique de fond généralement ultra violent « trash », « rap » ou « hard rock ». 
Ces genres musicaux ne sont pas choisis par hasard : ils stimulent et renforcent des émotions qui engendreront un niveau d’adrénaline supérieur.
Les conséquences des images accompagnées de musique excitante sont mesurées. Des images ultra rapide, à vitesse stroboscopique excitent des zones cérébrales qui stimuleront l’envie de jouer.

 

Un chiffre d’affaires mondial de plus de 6 milliards de dollars. Aux États-Unis, dans le budget des ménages, les dépenses en jeux électroniques, vidéo et numérique dépassent les dépenses vestimentaires et de santé. Une industrie dont le chiffre d’affaires dépasse le chiffre d’affaires du DVD, des recettes du cinéma et la vente/location des cassettes vidéo. Une histoire de gros sous ici aussi.

 


Isolés, obsédés de réussir les niveaux de jeu, de faire à chaque fois de meilleures performances, les jeunes voire les très jeunes enfants sont confrontés, dans l'excès, au phénomène de perte de la réalité. La frontière du réel et du virtuel devient vague.
Les études existantes prouvent que les jeux de vitesse développent chez certains jeunes des capacités de réflexes et de raisonnements inégalés. Une étude américaine affirme même que ces jeux améliorent les facultés visuelles. C’est un point positif. Les jeunes qui passent des heures entières à jouer sur leur console favorite deviennent dépendants, tout comme pour la musique ou la télévision.

 

Attention, un jeu ne fera pas systématiquement des criminels en herbe. Cependant les conséquences chez certains jeunes sont inquiétantes et les dérives ou le taux de violence augmente chez la plupart d’entre eux.

 

 

Ces jeux rendent les esprits moins sensibles et les habituent à accepter la violence, le sang, le gore. Les jeunes accros peuvent devenir indifférents à la violence réelle. Les jeunes meurtriers, coupables des massacres en milieux scolaires aux États-Unis et en Scandinavie avaient tous pour point commun qu’ils étaient accros aux jeux vidéo. Dans ces cas, ces jeux ont été des simulateurs virtuels qui les ont encouragés à passer à l’acte. Ces incidents, heureusement encore rares, deviennent de plus en plus fréquents. La violence, verbale ou physique, trouve une de ses sources dans les jeux vidéo.

 

 

 

LA DEPENDANCE AUX STIMULI

L’image peut paraître forte, mais elle est réaliste : tel des drogues, on s'habitue aux jeux vidéo. Pour assouvir les stimuli alors habitués à la violence, les doses doivent être plus conséquentes, les jeux deviennent de plus en plus agressifs que les précédents qui ne suffisent plus : plus de sang, plus de violence, plus de réalisme,… Les consoles ultra puissantes sont de plus en plus performantes dans le réalisme du jeu. On tue, on massacre sans se faire mal soi même tout en bénéficiant d'autant de vies que vous le désirez, on vole pour gagner des points, on commet des actes de violence pour accéder à des niveaux différents,...
Les conduites d’imitation commencent très jeune car ils imitent spontanément et de façon totalement inconsciente le comportement des personnes avec qui ils vivent. Pour certains enfants et jeunes ados, ces personnes peuvent être aussi d’ordre virtuel. Certains vivent leur jeu comme une réalité et ont complètement déconnecté avec la réalité. Ils ne mangent plus, ne dorment plus, les résultats scolaires ne sont plus à la hauteur de ce qu’ils étaient, …

 

Lorsque vous jouez à beaucoup de jeux vidéo d'action, vous avez besoin d'images de plus en plus puissantes afin de demeurer émotionnellement engagé dans le jeu. C'est ce qui s'appelle une « dépendance aux stimuli ». Ce terme décrit l'habitude que les jeunes prennent en recherchant des jeux de plus en plus violents afin de conserver leur intérêt. Tous les jeux vidéo, les jeux non violents inclus, peuvent être à l'origine d'un phénomène de dépendance. Un jeu très simple comme Tetris, par exemple, peut nous accrocher pendant plus longtemps que nous ne le souhaiterions.

 

Toutefois, les jeux violents amplifient ces caractéristiques en faisant appel à la partie de notre cerveau qui réagit, au côté impulsif et émotionnel plutôt qu'à celle qui raisonne.

 

 

 

QUELLES SONT LES CONSEQUENCES ?

Les jeux envoient les messages suivants :

  • On peut résoudre les problèmes rapidement et en s'investissant peu.

  • La meilleure façon de résoudre un problème est d'éliminer la source dudit problème.

  • Les problèmes sont, à la base, noirs ou blancs, bons ou mauvais.

  • Il est acceptable de se plonger dans la réalité imposée par les jeux vidéo, sans en remettre en question les règles.

  • Il faut agir selon notre instinct plutôt qu'adopter un comportement réfléchi et responsable lorsque l'on fait face à des problèmes.

  • L'imagination personnelle n'est pas aussi importante que l'habileté à résoudre un problème.

 

Comparez ce que les jeunes apprennent en jouant à des jeux vidéo violents avec ce qu'ils apprennent en jouant à des jeux vidéo de labyrinthes, de casse-tête, de simulation ou de chasse au trésor :

  • Les problèmes sont résolus avec de la patience, de l'initiative personnelle, de la persévérance, de la tolérance et de la souplesse.

  • La recherche d'information requiert un effort et cette information doit être soigneusement analysée afin qu'elle puisse servir à prendre des décisions éclairées.

  • La définition des problèmes et leur résolution impliquent des habiletés complexes.

  • La solution employée pour une situation particulière peut ne pas fonctionner pour une autre situation.

  • Il est important de faire preuve d'une pensée critique et créative comme la planification des actions, l'organisation de l'information, la prédiction des conséquences d'une action, l’apprentissage par essais et erreurs, l'évaluation des idées et l'analyse des solutions et de leurs conséquences.

  • L'utilisation de son imagination et de son sens de la réflexion est important afin de créer, avec l'auteur du jeu, des solutions créatives.

  • Il est nécessaire de songer à des réponses réfléchies, auxquelles on a pensé soi-même afin de résoudre les problèmes.

 

 

(Source : Screen Smarts: "A Family Guide to Media Literacy", par Gloria DeGaetano et Kathleen Bander.)

JEAN PIERRE CANTORNE, directeur des études et de la recherche à FCB INTERNATIONAL à affirmé : « Les jeux vidéo sont à la culture enfantine ce que représentaient la musique dans les années 60 et 70, ou la télévision dans les années 80: une grille de référence ». Les conclusions de FCB International, qui a interrogé plus de deux cents personnes dans sept pays (États-Unis, Allemagne, Grande-Bretagne, Singapour, Mexique, Brésil, Japon) sont alarmantes. « On savait les 6-11 ans fascinés par les ordinateurs, mais pas à ce point!  Nous assistons à une véritable révolution enfantine. Les enfants s'approprient totalement le monde du digital: d'une part parce qu'ils y trouvent tout en termes de "fun", de mode de vie et de pensée, d'autre part parce qu'ils sont seuls à y avoir accès. Ils en détiennent les règles et les adultes en sont proscrits. »

 

LES JEUX ET LES FAITS DIVERS

Tout comme la musique et d’autres supports médiatiques, les jeux arrivent a inspirer et conditionner les esprits et parfois même à créer des croyances qui influencent les jeunes dans leurs actions.

Bien souvent, des jeunes s’inspirent de leur « rôle" » de leur jeu préféré. Parfois ils vivent littéralement dans leur jeu et déconnectent de la réalité. Les parents perdent le cap et ne comprennent plus leur enfant qui semble avoir changé en quelques semaines seulement.

Il s’isole, ne parle plus, mange moins, dors mal et s’exprime avec violence surtout lorsqu’on lui interdit de jouer : la réaction est alors similaire à celle d’un junky que l’on prive de sa drogue…

La comparaison est réaliste et observée par les spécialistes en toxicologie. Sans vouloir être alarmiste, les cas de prise en charge psychologiques sont de plus en plus fréquents. La violence est en augmentation constante, suffisamment pour que nous y prêtions plus d'attention et que nous cherchions plus les causes de cette croissance inquiétante.


Cela n’enlève rien au fait que, dans le monde entier, des millions de joueurs pratiquent leurs jeux favoris sans aucune conséquences irréversibles. Seules les personnes psychologiquement fragiles sont plus sensibles aux dangers engendrés par un excès de jeu. En revanche, à fortes doses de jeux, un jeune peut se voir fragiliser par cet excès !

 

Les troubles engendrés par les jeux violents, couplé à de la musique violente affecte l'esprit et l’équilibre émotionnel !

Les esprits "les plus forts" pourront gérer leurs pulsions, mais ils ne peuvent pas gérer ce qu'ils ressentent.

Les images, les émotions et les sons sont, eux, enregistrés dans le cerveau.

Ici aussi, il y a de riches exemples de jeunes délinquants qui n'ont pas été capables de faire la différence entre réalité et monde virtuel.

Le massacre de l'Université de Virginie est encore un preuve, bien que le criminel, SEUNG-HUI CHO, atteint de troubles graves d'ordre psychologiques, s'est inspiré de la musique et des jeux vidéo violents.

 

Plus près de nous, en Belgique, la population était sous le choc d’une information aberrante. HANS VAN TEMSCHE, armé d’un gros calibre, tire de façon réfléchie sur des cibles humaines.

Il tuera deux personnes et en blessera une autre avant d’être arrêté par les forces de l’ordre. Ce jour là, il s’était habillé comme son héro de jeu « HITMAN ».

 

L’affaire atteint un paroxysme au moment où les victimes et jurés, indignés, apprennent que le jeune détenu de 18 ans jouait encore à ces mêmes jeux ultra violents… dans sa cellule. A tomber à la renverse !

 

Pour en savoir plus sur ces affaires, lire la page « les faits divers et les influences médiatiques »

 

Hans Van Temsche lors d'une reproduction sur la scène des crimes.

 

 

 

 

LES JEUX EN LIGNE

Ils permettent aux jeunes de s’amuser sans devoir investir dans l’une ou l’autre console hors de prix. En revanche, chose inquiétante, c’est la popularité et la quantité de jeux ultra violents proposés. Certains banalisent le meurtre et le suicide.

Certains jeux proposent de « suicider » votre personnage de diverses façons…

 

On tue ou on suicide pour « s’amuser »… Comment ne pas devenir alarmiste lorsque vous constatez que la mort et le suicide est devenu un argument de vente ? Tel un mode d'emploi morbide, le jeu devient une initiation à la violence personnelle.

 

Comment peuvent des parents encore penser que tout ceci n'aura aucune forme d'influence sur les jeunes de tout âges, surtout parmi les plus jeunes qui n'ont encore aucune notion de la mort et qu'elle est irréversible ?

Ils grandissent avec ces valeurs qui deviendront les leurs. Les conséquences se répercutent dans la société. Les pouvoirs publics se sentent impuissants. Ici encore, le rôle de la famille et des parents est essentiel.

 

Le bon vieux jeu "Pierre, papier, ciseaux"                                       Celui qui perd... a 1 chance sur 5 de mourir.


C'est la roulette Russe moderne.

 

Le perdant prend le risque de se faire exploser la tête...

Ce jeu, dont le graphisme est hyper simple, facile de conception
est accessible à tous sur le Net...

 

Bien entendu, chaque enfant
ne tiendra pas compte de l'avertissement en début de jeu.

 

 

 

Peut-on vraiment rire de la mort, du meurtre et du suicide sous prétexte que ce sujet ne doive pas être occulté ? Qu’en est-il de l’équilibre émotionnel en pleine construction d’un jeune de 10 ans qui aura déjà vu des milliers de meurtres sur un écran de télévision ou de jeu ?

 

Est-ce que les concepteurs de jeux sont à cours d'idées originales ? Il est en effet facile de gagner de l'argent sur des thèmes « faciles » et déjà éprouvés. Il suffit alors de faire une variante et les plus jeunes s'en contentent. Ces environnements ludiques banalisent la violence et peut être même une source d'inspiration pour ceux qui y passent leur temps.

Cette industrie, comme celle du rock, ne s'inquiète pas des conséquences qu'engendrent leurs produits. Pour eux, cela ne tourne qu'autour une seule chose : l'argent. Ce créneau se doit d'être rentable et générer des bénéfices. Les plus grandes maisons d'édition de jeux sont cotés en bourse. Les actionnaires attendent des résultats positifs et de la rentabilité.

 

 

 

Est-ce exagéré ou alarmiste ?

 

Posez-vous alors la question pourquoi ces jeux violents sont de plus en plus populaires et pourquoi ils sont les plus populaires et font partie de campagnes publicitaires des plus agressives ? Pourquoi y a-t-il ce regain de violence ? Il ne sort pas d’un néant sans avoir trouvé sa source quelque part. C'est un processus reconnu par tous les sociologues et psychologues. Chercher vers d'autres directions vous ramènerait toujours vers les jeux, les films et la musique violents. Il ne vient pas à l'esprit d'un enfant ou d'un ado d'exprimer ses frustrations avec tant d'agressivité et de déchaînement. Les armes blanches et même à feu se font de plus en plus présentes aussi. Les limites sont constamment repoussées.

 

La famille, valeur de base de la société, ne joue plus assez ce rôle d'éducateur. Trop souvent, les enfants sont laissés à eux-mêmes et se laissent « éduquer » par la musique, la télévision, Internet et les jeux. Les parents concernés, le tolèrent souvent, « pour avoir la paix », ils laissent tomber les bras et ils désertent tout sentiment de responsabilité, ou parce que « c'est trop difficile »...
Et puis, quand un drame inévitable se produit, le plus souvent les parents affirment ne pas comprendre pourquoi...

 

 

 

Cette même violence, nous la retrouvons principalement dans le rap ou le hard rock, dans les films, à la télévision,... cela devient quelque chose de normal voire un mode d’expression généralement accepté parce que l’on est « bombardé » de cette même violence sur les écrans. Peut-on parler de lien ? Ne devons-nous pas nous en inquiéter ? Les enfants ne doivent-ils devenir de plus en plus vite adultes ? Doivent-ils dès leur plus jeune âge être confrontés à cette violence de jeux sanglants ? Comment devra-t-il se développer au milieu d’un monde qui lui inculque que la violence est un moyen d’expression comme un autre ? La suggestion et la réitération sont conditionneurs. 



La musique, la télévision, les jeux vidéo, … Quelles influences ont ces médias, combinés l'un avec l'autre, réellement l’inconscient collectif ? Combien de jeunes ne jouent-ils pas en écoutant de la musique et se trouvent submergé dans leur jeu ?

 


Bien entendu, les médias restent et sont des moyens de distraction et d’éducation privilégiés. Ce sont de fantastiques vitrine vers d’autres univers, nous ne pourrions plus nous en passer. Il nous arrive à tous de jouer sur l’une ou l’autre console. Ils peuvent contribuer à la détente et parfois même au développement de certaines facultés, c’est vrai.
Nous devons juste rester vigilants et observer les conséquences que peuvent avoir de jouer de façon répétitive systématiquement à des jeux violents. Surtout pour les enfants et ados les plus vulnérables qui trop souvent restent dans le premier degré de perception.

Ce qu'il faut retenir, c'est que ce son les excès qui nuisent. C'est identique pour tout ce que nous consommons, entendons ou regardons.

 

 

 

source:  "Le subliminalFR"

L'Homme doit arriver à croire qu'il est "Moderne", et que sa modernité est composée de sa capacité, et de sa possibilité de pouvoir jouir largement, et maintenant de tout ce qui l'entoure.

Pour parvenir à cet objectif, il est impératif de pouvoir infiltrer les Médias (Radio, Télévision, Journaux), les milieux de la "Mode" et la "Culture" (les milieux de la Nouvelle Musique) par lesquels nous influencerons, à coup sûr, toutes les couches des Sociétés Occidentales. Ainsi en tenant sous la coupe des "Sens" la jeunesse (les adultes de demain), nous aurons par conséquent la voie libre pour infiltrer, et transformer en profondeur, sans être inquiétés, le Politique, le Système Légal et l'Education; ce qui nous permettra de modifier en profondeur le cours, l'orientation future des Sociétés visées par notre "Plan".

Les populations, nous le savons, n'ont pas de mémoire historique. Ils répètent inlassablement les erreurs du passé sans se rendre compte que ces mêmes erreurs avaient conduits leurs pères, avant eux, aux mêmes déchéances qu'ils vivront en pire avant la fin de ce siècle. Voyez, par exemple, ce que leurs grands-pères ont vécu au début de ce siècle grâce au travail acharné de nos prédécesseurs.

Après avoir connu, sans limites, la libération des moeurs, l'abolition de la morale (en d'autres mots, l'errance de l'esprit), ils expérimentèrent la "Crise Economique", puis la "Guerre". Aujourd'hui leurs petits-enfants et leurs enfants se dirigent droits vers un aboutissement semblable, pire encore car cette fois-ci, il nous permettra enfin de mettre sur pied notre "Nouvel Ordre Mondial" sans qu'aucun d'entre eux ne soient à même de s'en rendre compte, trop préoccupés qu'ils seront tous à satisfaire exagérément leur besoins sensuels les plus primaires.

"Décupler la "Société des Loisirs" qui nous a été si profitable à date. En nous servant de l'invention de la "Vidéo" que nous avons financé, et des jeux qui lui sont rattachés, finissons de pervertir la morale de la jeunesse. Offrons-lui la possibilité de satisfaire maintenant tous ses instincts.

 

3 octobre 2014

Mind control : Des impulsions lumineuses pour effacer et remplacer les souvenirs

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Des scientifiques sont parvenus à réactiver la mémoire de rats après avoir effacé une partie de leurs souvenirs en manipulant leurs synapses par impulsions lumineuses.

En manipulant les synapses de rongeurs, des chercheurs sont parvenus à effacer puis restaurer les souvenirs des animaux. APA / Science Photo Library / AFP En manipulant les synapses de rongeurs, des chercheurs sont parvenus à effacer puis restaurer les souvenirs des animaux. APA / Science Photo Library / AFP

 

MÉMOIRE. C'est une découverte qui pourrait aider la recherche contre la maladie d'Alzheimer. Des chercheurs ont annoncé avoir réussi à réactiver la mémoire de rats après avoir effacé une partie de leurs souvenirs. Ces travaux menés par une équipe de l'école de médecine de San Diego ont été publiés dimanche 1er juin dans la revue Nature.

"Nous pouvons créer un souvenir, l’effacer et le faire resurgir", a déclaré le Dr Roberto Malinow, professeur de neurosciences à l’université de Californie San Diego School et co-auteur de l’étude.

Si des scientifiques américains avaient déjà réussi à effacer des souvenirs, parvenir à réactiver cette mémoire effacée semble relever d'une petite prouesse. evidemment ils peuvent effacer et  remplacer vos souvenirs par d'autres synthetiques voir de lire vos pensées , je me souviens d'un matin ou j'avais  ouvert les yeux trop vite et je voyais des images défilées a grande vitesse devant mes yeux comme dans les meilleurs films , cela existe bel et bien je ne révais pas .

Des impulsions lumineuses pour manipuler les synapses

En partant du principe que les souvenirs s'inscrivent dans le cerveau à travers l'affaiblissement ou le renforcement des synapses (ces zones de contact entre deux neurones), les chercheurs ont voulu vérifier l'hypothèse qui postule que c'est l'affaiblissement de ces synapses qui efface les souvenirs quand leur renforcement les renforce.

 Voir les souvenirs se former

BASES. C'est un aperçu des bases moléculaires de la mémorisation : des scientifiques de l’Albert Einstein College de l’université de Yeshiva (New York) ont réussi à observer pour la première fois, chez la souris, le cerveau en train de fixer des souvenirs.

Des molécules clés fluorescentes

Pour observer les neurones sans interférer avec leur activité, les chercheurs ont développé un modèle de souris chez qui toutes les molécules d'ARN messager (ARNm, qui codent pour la protéine bêta-actine) brillent en fluorescence.

RÔLE MAJEUR. La bêta-actine est considérée comme jouant un rôle majeur dans la mémorisation ; la protéine agit notamment en favorisant les liaisons entre deux neurones. Il semblerait justement que l’établissement de telles liaisons stables permet de coder les souvenirs.

 

Pour ce faire ils ont conditionné les rongeurs à associer un stimulus à une peur. Les chercheurs ont donc manipulé les synapses des rongeurs avec de la lumière, grâce à l'implantation d'une fibre optique dans une région de leur cerveau. Dans le même temps, une décharge électrique était délivré dans la patte de l'animal afin que celui-ci associe la peur de la décharge à l'impulsion lumineuse.

Ils se sont aperçu qu'en modifiant la fréquence de l'impulsion lumineuse, ils influaient sur la peur contractée par les rongeurs. A basse fréquence le souvenir de la décharge disparaissait. Au contraire, avec des impulsions à haute fréquence la peur d'être électrocuté refaisait surface.

Nous pouvons entraîner un animal à avoir peur, à ne plus avoir peur, puis à avoir peur à nouveau, en stimulant les nerfs avec des fréquences qui renforcent ou affaiblissent les synapses", explique Sadegh Nabavi, co-auteur de l'étude.

Car en effet, l'analyse des changements chimiques survenus dans les synapses manipulées confirmait bien le renforcement ou l'affaiblissement de celles-ci.

ALZHEIMER. Les résultats de cette expérience pourraient ainsi permettre de mieux comprendre la maladie d'Alzheimer.

Nous avons montré que les lésions qui apparaissent dans le cerveau des patients atteints d'Alzheimer affaiblissaient les synapses de la même façon que nous l'avons fait pour effacer la mémoire des rongeurs", explique le Dr Roberto Malinow.

En effet, les personnes atteintes par cette maladie subissent dans le cerveau l'accumulation de la bêta-amyloïde responsable de l'affaiblissement des connexions synaptiques. Le même type d'affaiblissement que celui provoqué par les impulsions lumineuses de basse fréquence induitent dans le cerveaux des rats.

Cependant, si cette expérience semble ouvrir de nouvelles pistes pour la recherche, il est encore beaucoup trop tôt pour envisager le moindre test de ce genre sur l'homme.

http://www.sciencesetavenir.fr/biologie/20140129.OBS4128/video-voir-les-souvenir-se-former.html

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