Jean PILETTE
Docteur en médecine
L'aluminium a-t-il quelque chose à voir avec les champs électromagnétiques ? A part le fait que des feuilles d'aluminium sont utilisées par certains pour arrêter les ondes électromagnétiques des antennes de téléphonie mobile, qu'auraient en commun ce métal et les champs électromagnétiques ? Est-il possible de comparer quelque chose que l'on peut voir, toucher, peser comme l'aluminium et quelque chose d'invisible, d'insipide et qui ne pèse rien comme les champs électromagnétiques ? Y a-t-il un lien unissant ce métal et ce phénomène ? L'ALUMINIUM Le corps humain est le siège, depuis sa conception jusqu'à sa mort, de constantes réactions chimiques. Il réagit à tous les éléments chimiques avec lesquels il entre en contact.
Personne ne niera que l'oxygène est un gaz qui lui est indispensable. Mais qu'en estil d'un métal comme l'aluminium ? Comment se comporte-t-il dans l'organisme ? Sa présence dans les vaccins serait-elle indispensable ? L'aluminium est, sur notre terre, le plus abondant des métaux. Dans la nature, il n'existe pas à l'état libre.
Combiné à l'oxygène, au fluor et au silicium, il constitue environ 8 % de l'écorce terrestre. L'aluminium est un métal léger, très malléable, bon conducteur de l'électricité. Ces propriétés permettent de l'employer pour de nombreux usages. Il sert par exemple dans l'industrie automobile et dans l'industrie du bâtiment. Mais il sert aussi au conditionnement de nombreuses denrées alimentaires . Sous forme de sels, l'aluminium est utilisé dans le domaine agroalimentaire pour fabriquer des pesticides élaborer des additifs alimentaires , traiter les eaux afin de les rendre « potables » .
Dans le domaine cosmétique il sert à la fabrication de pommades, de dentifrices, de déodorants .
Dans le domaine médical, on le retrouve dans des prothèses dentaires et chirurgicales, ainsi que dans des médicaments et de nombreux vaccins. L'aluminium peut entrer dans l'organisme humain par les voies respiratoires, par la peau, par les muqueuses, par la voie digestive et par injection. L'aluminium est une substance toxique pour toutes les cellules de l'organisme . Il agit particulièrement sur les cellules du système nerveux .
L'aluminium accélère le processus de vieillissement des structures nerveuses du cerveau et favorise des maladies de neurodégénérescence telles que la maladie d'Alzheimer . Par son action destructrice sur la gaine de myéline , l'aluminium perturbe la propagation de l'influx nerveux et jouerait ainsi un rôle dans l'éclosion de la sclérose en plaques. Le risque d'avoir une sclérose en plaques serait plus important après avoir reçu des vaccins anti-hépatite B et antitétanique , vaccins qui contiennent de l'aluminium. Les enfants et nourrissons sont particulièrement sensibles à l'action de l'aluminium , spécialement les prématurés . Une étude comparative portant sur l'alimentation de prématurés au moyen de perfusions, a révélé des altérations du développement mental chez les nourrissons âgés de 18 mois dont les perfusions contenaient de l'aluminium .
Bien que l'on ait réduit la quantité d'aluminium dans beaucoup de solutions nutritives parentérales, on a remarqué que les enfants nourris avec ces solutions améliorées présentaient malgré tout un taux élevé d'aluminium dans le sang et que l'on ne pouvait exclure une accumulation d'aluminium dans leurs tissus 35 . Une alimentation artificielle des prématurés ne prenant pas en compte ces faits risquerait de favoriser ultérieurement chez eux l'apparition d'une démence 36. Lorsqu'un vaccin contenant de l'aluminium est injecté, une partie de cet aluminium reste au point d'injection ou se dissout dans le liquide interstitiel 37 et le reste passe très rapidement dans le sang.
Cet aluminium voyage dans tout le corps et va se déposer dans des tissus ou organes tels que le foie, les reins, les poumons, les os et le cerveau. Lorsque l'aluminium, introduit par l'une ou l'autre voie dans l'organisme, se retrouve dans la circulation sanguine, il se lie à certaines protéines du plasma sanguin. Dans le sérum 2 humain normal, l'aluminium se lie pour 60 % à la transferrine, protéine qui a pour fonction de transporter le fer, pour 34 % à l'albumine, et pour le reste au citrate . Lorsque l'aluminium se lie à la transferrine, il prend la place du fer qui n'est alors plus transporté vers les parties du corps qui en ont besoin
. La transferrine constitue alors un moyen de transport de l'aluminium vers les différents organes, en particulier vers le cerveau dont certaines régions possèdent une forte proportion de récepteurs de la transferrine. L'aluminium lié à la transferrine ou à l'albumine ne peut être éliminé par le filtre rénal .
Le cerveau est composé de deux grandes sortes de cellules, des neurones, cellules nobles qui assurent la fonction nerveuse proprement dite, et des cellules servant à la fois de squelette et de tissu nourricier, dont les astrocytes. Les astrocytes sont des cellules qui possèdent un corps volumineux et de nombreux prolongements grêles et ramifiés. Certains prolongements des astrocytes sont en contact avec les cellules endothéliales qui tapissent les parois des capillaires sanguins situés à la périphérie du cerveau. Ces prolongements des astrocytes et les cellules endothéliales des capillaires forment un réseau qui constitue une barrière, la barrière sangcerveau, encore appelée barrière hématoencéphalique. Cette barrière a pour fonction de protéger le cerveau. Elle empêche les substances nocives pour lui d'y entrer tout en laissant passer les substances qui lui sont bénéfiques. Elle laisse passer, tant du sang vers le cerveau que du cerveau vers le sang, toute une série de substances indispensables au bon fonctionnement soit du cerveau, soit du reste du corps. Il peut s'agir de substances nutritives, de minéraux, de vitamines, d'hormones, de certaines protéines. Lié à la transferrine et au citrate, l'aluminium passe aisément la barrière hématoencéphalique .
Comme l'aluminium est un métal qui, par lui-même, peut détériorer la barrière sang-cerveau , il pourra provoquer l'irruption dans le cerveau de l'albumine 50 et notamment de l'albumine liée à l'aluminium, ce qui ne fera qu'accentuer l'entrée d'aluminium dans le cerveau. Piégé dans le tissu nerveux, l'aluminium ne pourra en ressortir que très lentement , d'où son accumulation dans le cerveau. L'efficacité d'un vaccin est jugée à sa capacité de susciter dans l'organisme un taux élevé d'anticorps dirigés contre l'agent infectieux injecté. Plus ce taux d'anticorps est élevé, plus le vaccin est considéré comme immunogène. Ce qui ne veut pas nécessairement dire que le vaccin a la capacité de protéger contre une maladie infectieuse bien déterminée ni que le vaccin est la seule et la meilleure méthode pour éviter cette maladie . L'aluminium est ajouté aux vaccins dans le but d'augmenter la réaction du système immunitaire et de faciliter la production d'anticorps . Il est donc appelé adjuvant d'immunité. En fait l'aluminium agit comme tel parce qu'il porte atteinte à l'ADN . L'aluminium provoque l'apparition de radicaux libres, qui, à leur tour, attaquent toutes les parois cellulaires , y compris la paroi qui entoure le noyau de la cellule où se situe l'ADN, porteur du code génétique. L'aluminium est donc génotoxique et mutagène, aussi bien pour la plante et l'animal 64 que pour l'homme . L'aluminium est une véritable toxine de membrane . Sous son action la paroi des globules sanguins se détériore . La barrière sang-cerveau montre des dysfonctionnements .
Les parois des mitochondries et les gaines de myéline sont abîmées . L'aluminium vaccinal peut entraîner des dysfonctionnements du système immunitaire et prédisposer aux allergies . Par son action sur le système nerveux central il augmente le risque de développement de l'autisme . Mais cet adjuvant est aussi capable d'induire de nouvelles maladies. La myofasciite à macrophages présente des symptômes généraux comme de la fatigue, de la fièvre, des douleurs musculaires et articulaires. Cet ensemble de symptômes ressemble étrangement à ceux du syndrome de la Guerre du Golfe. Dans ces deux maladies l'aluminium vaccinal joue un rôle prépondérant L'aluminium entraîne des pertes de mémoire et provoque la mort des cellules nerveuses .
L'aluminium est donc, au même titre que le plomb un métal neurotoxique 83,84. Viendrait-il à quelqu'un l'idée d'injecter du plomb dans la cuisse d'un nourrisson ? Il est plus que temps d'ouvrir les yeux sur la toxicité de l'aluminium 85,86,87 .
LES CHAMPS ELECTROMAGNETIQUES Le corps humain est le siège de phénomènes électromagnétiques constants. Le coeur et le cerveau montrent une activité électrique intense, et chaque cellule en particulier génère des champs électromagnétiques. Comme producteur de champs électromagnétiques, le corps humain est sensible aux champs électromagnétiques externes. Ces 25 dernières années, avec l'avènement de la téléphonie mobile et des technologies sans fil, la quantité de champs électromagnétiques dans l'environnement a véritablement explosé. Que faut-il en penser ? Les débuts de l'électricité au XIXième siècle et son extension au XXième siècle ont considérablement changé notre mode de vie.
Des progrès importants ont pu être réalisés dans le domaine des machines et de l'automatisation. Malheureusement, bien que véhiculé par des câbles, le courant électrique domestique de basse fréquence (50 Hertz en Europe), engendre sur son passage des champs électromagnétiques perturbateurs. Lignes à haute tension, pylônes électriques, transformateurs, appareils électriques peuvent être cause de dépression 88, d'altération de la mémoire 89, de perturbations du sommeil , de troubles cardio-vasculaires , d'un risque accru de suicide 94, de cancer et de leucémie . Ils peuvent aussi favoriser des maladies de neurodégénérescence comme la sclérose latérale amyotrophique et la maladie d'Alzheimer . A ce tableau déjà sombre s'ajoutent les nuisances des champs électromagnétiques d'autres fréquences produits par les émetteurs radio et TV , les ordinateurs et écrans vidéo , les consoles de jeux électroniques, les babyphones, les téléphones fixes sans fil comme les téléphones DECT 115, les téléphones mobiles (GSM, smartphones, iPhones) , les antennes de téléphonie mobile , les radars , les smartmeters ou « compteurs intelligents » , les tablettes et les appareils permettant de capter internet sans fil... Environ 7 milliards d'individus vivent actuellement sur terre et plus de 5 milliards de GSM sont en circulation .
Au Grand Duché de Luxembourg, la 4G couvre 90 % de la population, et la 4G+ couvre déjà 40 % de cette population . Toujours plus puissants, les moyens de télécommunication s'étendent encore davantage. Toutes ces technologies sans fil entretiennent un véritable brouillard électromagnétique (« electrosmog ») que chaque cellule du corps humain doit gérer, si elle en est capable. Les champs électromagnétiques agissent sur toutes les cellules des organismes vivants, aussi bien celles des plantes et des animaux que celles des humains . Les êtres vivants possèdent dans leurs tissus de minuscules aimants naturels .
Dans le corps humain, ces minuscules aimants, constitués de cristaux de magnétite, un oxyde de fer (Fe3O4), sont situés principalement dans le cerveau ce qui le rend très sensible aux champs électromagnétiques. Le cerveau humain contient environ 5 millions de cristaux de magnétite par gramme de tissu, et les enveloppes qui entourent le cerveau, les méninges, en contiennent, elles, plus de 100 millions par gramme de tissu .
Lorsq'une onde électromagnétique de haute fréquence traverse des cellules qui ne contiennent pas d'aimants naturels comme la magnétite, ces cellules n'absorbent que 0,046 % de l'énergie transportée par l'onde. Mais des cellules qui contiennent des cristaux de magnétite absorbent jusqu'à 30 % de cette énergie, autrement dit 652 fois plus qu'une cellule qui ne contient pas de magnétite 144. Il n'est donc pas étonnant d'avoir la tête qui chauffe en téléphonant avec un mobile. Ces cristaux de magnétite qui réagissent aux faibles variations du champ magnétique terrestre naturel, réagissent violemment aux fortes variations magnétiques induites par les ondes artificielles. Les ondes électromagnétiques artificielles provoquent l'apparition de radicaux libres, composés chimiques très réactifs qui attaquent toutes les parois de la cellule, y compris la paroi du noyau qui protège l'ADN, le support des gènes. Des mutations peuvent ainsi survenir dans le patrimoine génétique des êtres vivants. Les champs électromagnétiques sont donc génotoxiques et mutagènes .
Les champs électromagnétiques altèrent la santé à tous les âges de la vie et en particulier au moment de la croissance . Les enfants et adolescents y sont particulièrement 4 sensibles . Altération de la mémoire, troubles du sommeil, fatigue, maux de tête, troubles cardio-vasculaires, allergies cutanées sont des symptômes fréquents déclenchés par ces ondes artificielles .
Les champs électromagnétiques altèrent la barrière sangcerveau . Ils permettent donc l'irruption dans le cerveau de produits qui ne devraient pas s'y trouver, comme par exemple l'albumine, protéine indispensable dans le sang, mais qui, dans le cerveau, crée de l'inflammation. Les champs électromagnétiques peuvent causer de l'électrohypersensibilité, un nouveau syndrome 166 dont les symptômes peuvent être déclenchés aussi bien par des ondes de basses fréquences que par des ondes de hautes fréquences, et qui peuvent survenir pour des intensités de puissance très faibles de ces ondes.
Il s'agit en quelque sorte d'une intolérance, d'une « allergie » à ces ondes. Des études de 2002 et 2006 estiment respectivement à 3 et 5 % la proportion de la population atteinte par ce syndrome. Aujourd'hui, en 2015, près de 10 % des individus souffriraient d' électrohypersensibilité. Atteinte de tous les règnes vivants, génotoxicité, production de radicaux libres, vieillissement prématuré 169, dysfonctionnement de la barrière sang-cerveau, altération de la gaine de myéline des nerfs , fatigue, perte de mémoire , toxicité pour les cellules nerveuses , maladies de neurodégénérescence, risque accru d'autisme , apparition de nouvelles maladies... : les modes d'action et les effets biologiques des champs électromagnétiques ressemblent étrangement aux modes d'action et aux effets biologiques de l'aluminium. Les effets des champs électromagnétiques nous amènent à reconsidérer certaines pratiques médicales comme la vaccination.
Des substances, introduites par injection dans l'organisme et destinées à rester confinées dans le compartiment sanguin, vont pouvoir, avec l'aide des champs électromagnétiques, franchir facilement la barrière sang-cerveau et pénétrer dans les cellules nerveuses. Ceci risque de causer des effets secondaires inattendus qui seront d'autant plus graves si le vaccin contient des substances neurotoxiques, comme l'aluminium par exemple. Pour diminuer l'impact des effets secondaires des vaccins sur le cerveau et notamment des vaccins adjuvantés à l'aluminium, il faudrait que la barrière sang-cerveau puisse jouer son rôle de membrane protectrice. De façon optimale, la vaccination devrait donc se passer dans une enceinte exempte de champs électromagnétiques.
Ceci est réalisable en tapissant par exemple toute une pièce de feuilles d'aluminium. Mais combien de temps faudrait-il maintenir le sujet vacciné dans une telle enceinte pour que le vaccin n'endommage pas sa barrière sangcerveau ? 10 minutes ? 1 heure ? 24 heures ? 3 jours ? 15 jours ?
Dans cette enceinte il faudrait aussi bannir tout appareil générant des champs électromagnétiques, car les champs produits à l'intérieur de l'enceinte se réfléchiraient sur les feuilles d'aluminium sans pouvoir s'échapper. Comment concilier cela avec l'obligation qu'a tout vaccinateur d'avoir du matériel de réanimation sous la main au cas où un choc anaphylactique surviendrait lors de la vaccination ? Vouloir protéger la barrière sang-cerveau des champs électromagnétiques pour l'altérer en même temps avec un vaccin contenant de l'aluminium, substance toxique pour cette barrière, est-là une démarche logique ?
La construction de telles enceintes destinées à la protection de la barrière sang-cerveau du vacciné ne semble dès lors pas être la bonne solution. L'aluminium dans les vaccins et les champs électromagnétiques dans l'environnement constituent une synergie hautement nuisible pour le cerveau de l'être humain, en particulier pour le cerveau des nourrissons et des enfants en période de croissance. Ces faits devraient nous amener à repenser toute la stratégie de prévention des maladies infectieuses et à nous intéresser à des pistes autres que la vaccination, capables de renforcer le système immunitaire sans risquer de l'endommager.
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