1 août 2017
Stanley Mayer un génie du 20 siecle de l'energie libre moteur à hydrogene
Ingénieur en électricité possédant d'une grande expérience, Stanley travaillait sur la fusion de l’hydrogène à température ambiante.
Il a été l'auteur de divers brevets en océanographie, monitoring cardiaque et systèmes de validation bancaires (42 en tout dont 10 au Canada). Début 1989, il a eu un traitement de faveur au bureau des brevets : certains de ses brevets ont été acceptés en 1993. La plupart d'entre eux font partie de la section 101, où l'accord pour le brevet dépend d'une démonstration réussie. Dans ce bureau les brevets de Meyer furent expédiés en 8 mois, ce qui est un délai court et inouï qui prouve qu'ils ont pensé que cette technologie était importante, d'autant plus que dans d'autres textes il est dit au contraire que 200.000 applications de brevets étaient en attente.
Il a travaillé pour la Fondation Battelle dans l'Ohio, à la mise au point du projet Gemini à la NASA et aussi au système d'alimentation en énergie sur le concept EBED pour le projet Guerre des Etoiles.
Il possédait des sociétés qui fabriquent de tels équipements et il a occupé des fonctions de co-sponsoring dans des affaires internationales.
Avec son frère, ancien ingénieur en électricité de l'USAF, il a monté une opération de plusieurs millions de dollars dans le domaine du transport et des pièces détachées.
Il avait l'esprit d'entreprise. La technologie Water Fuel Cell (W.F.C., nom de la technologie et de la société de Meyer) est la propriété de Stanley A. Meyer de Grove City dans l'Ohio. De nos jours, la W.F.C. International n'a pas de représentants officiels en Angleterre. Mais, malgré des controverses, au Royaume Uni, des membres du Parlement, des scientifiques du Ministère de la Défense, étudient la W.F.C. de Meyer tout comme de grands groupes industriels et des gouvernements étrangers.
Il a financé seul son travail scientifique, reconnu et récompensé par des organismes nationaux et internationaux, et a été élu inventeur de l'année dans le Who'Who américain de 1993. (Il a ensuite reçu des soutiens substantiels du Canada, d'Angleterre, et de Suède.
LE DECES DE STANLEY MEYER
Le 29 mars 1998, Eugène Mallove * rédacteur en chef de Infinite Energy confirmait sur Internet le décès de Stanley, âgé de 57 ans, après avoir appelé le service de pompes funèbres à Evans (information reprise par W. Bahman de P.A.C.E. et D.V.S.).
Le 21 mars, Stanley avait dîné dans un restaurant de Grove City en compagnie d’autres personnes. Il est brusquement sorti de table en disant qu’il avait été empoisonné, puis il a couru vers sa voiture sur le parking et s’est effondré.
Sa famille, sa femme Marylin, son frère jumeau Stefen Foster, un autre frère Henry, sa sœur Barbara Feret, une ribambelle de neveux et nièces, lui même n’ayant pas d’enfants, ont du se résigner à l'absence d'obsèques. Sa dépouille fut emportée pour être autopsiée. Les premières conclusions ont indiqué que sa mort était due à une maladie artérielle, mais comme la maladie incriminée aboutit très rarement à la mort, un autre examen en toxicologie a été ordonné, dont les résultats n’étaient toujours pas communiqués en avril 1998.
Inge et Adolf Schneider du NET journal (que nous remercions pour l'autorisation de publier la photo ci-dessus) avaient rendu visite à Meyer en septembre 1997. Stanley leur avait assuré qu’il avait signé des contrats avec des firmes américaines pour commercialiser sa voiture. Jerry Decker avait appris de Stanley même, rencontré à Denver que sa voiture était presque au point. Il était en bonne santé et plein d’énergie. En mars, il était sur le point d’avoir un grand succès pour la pose de la première pierre d’un centre de recherches de $50 millions à Grove City.
From: E.F. Mallove Subject: Meyer IS dead Date: Sunday, March 29, 1998 10:38 AM I just called the funeral home listed in the announcement of Meyer's death. I used directory information to get the number.
The gentleman there at Evans Funeral Home confirms that Meyer had indeed died and that there was a service there. I hope this ends speculation about the reality of Meyer's death. Gene Mallove
Ce 29 mars 1998, Eugène Mallove ne se doutait pas qu'il avait lui-même rendez-vous avec son assassin le 14 mai 2004... |
BREF HISTORIQUE DES MOTEURS A EAU.
Il est utile de replacer le travail de Meyer dans son contexte historique, car, en fait, on dit "fonctionnant à l'eau" pour parler de véhicules qui, en réalité sont alimentés en hydrogène.
La théorie concernant l'énergie de l'eau date de 120 ans. En 1874, Jules Verne avait eu la vision de ce "charbon du futur fournissant sans limites lumière et chaleur à un point tel qu'on ne l'avait jamais rêvé". A la même époque, August Otto, le père du moteur moderne à combustion interne, faisait des expériences avec l'hydrogène qu'il préférait à "l'abominable pétrole". Arrhenius, le grand physicien Scandinave, posait la théorie moléculaire qui régirait la dissociation moléculaire libre que Meyer démontre de nos jours.
L'Amirauté Britannique a expérimenté son premier moteur à eau dans les années 30, sous la direction de l'ingénieur en chef Richmond. Pendant la guerre le gaz de l'eau a été largement utilisé. Dans les années 50 British Petroleum a aussi investi sur cette idée. Vers 1970 Channel Islands a beaucoup parlé d’une Morris Mini Minor fonctionnant à l'eau, mais qui, après de grandes promesses de financement pour sa commercialisation, est rapidement tombée dans l’oubli.
Un scientifique d'Europe de l'Est durement éprouvé, Yull Brown (voir son dossier dans le sommaire des Carburants alternatifs) a mis au point un appareil dont le carburant est l'eau. Dans les années 70, l'Assemblée Législative de New South Wales a eu connaissance de l’expérimentation d'une voiture équipée d'un moteur à gaz - eau consommant 3,78 litres aux 1600 km.
Récemment, un jeune Californien a conçu un système simple et bon marché pour les voitures. Après avoir été mis en garde par le DoE de ne pas tenter de commercialiser le dit système (ce qui en démontre la simplicité), il a mis ses plans dans le domaine public.
Tous ces véhicules utilisent des systèmes qui produisent le gaz que l’on brûle à bord.
Les nouvelles technologies de l’hydrogène produisent 20 à peut-être 1000 fois plus d'énergie que les autres. La Royal Society a examiné un moteur dont l’efficacité est multipliée par un facteur de 4 à 6. Une communication officielle était prévue.
D'autres travaux (cités dans le prochain dossier "Sur la piste de l'Energie Libre…" ) comme ceux de Roger Billings ou l'"hypercar" de Amory Lovins, convertissent le gaz en électricité. L'amiral Griffin qui avait essayé en vain de perfectionner la voiture à eau du Dr Henry Cornish est entré en contact avec Meyer. Il a ainsi pu assister en personne à une de ses démonstrations.
W.F.C. affirme pouvoir remplacer les hydrocarbures utilisés de nos jours. Il suffit de moderniser l’injection des moteurs à combustion internes au moyen d’un contrôle électronique (par puce) simple et peu onéreux. Pour l’automobile, un kit W.F.C. se compose d'injecteurs contrôlés par puces et que l’on peut installer en moins d’une heure en les vissant dans les trous des bougies. Dans le cas des diesels, des avions et des gros générateurs de courant actuels, des adaptateurs similaires remplaceraient les injecteurs de carburant comme pour les brûleurs industriels. Des outils de soudure fonctionnant avec l'eau sont déjà vendus par plusieurs autres compagnies (Gaz de Brown probablement).
Pour un coût estimé à $1500, le procédé de Meyer n’est pas cher comparé à celui ($25.000) nécessité par l’adaptation des véhicules à la batterie - hydrogène. Cette dernière, basée sur une membrane à échange de particules n’est donc pas une technologie convenable pour les pays en voie de développement. De plus, il n’existe pas d’industrie qui fabrique ces batteries.
Meyer a aussi inventé des systèmes autonomes pour le chauffage domestique, et l'industrie, ainsi que pour la production d'eau chaude et de vapeur. Autres retombées de l'application du principe de W.F.C. dessalement de l’eau de mer, traitement des déchets, purification de l'eau (virus et bactéries étant tués par la fréquence et la chaleur) et modules traitant les oxydes et régénérant l’air .
CARACTERE EXCEPTIONNEL DU PROJET W.F.C.
Il ne s'agit pas d'électrolyse classique: il n’y a pas d'électrolyte, pas d'usure discernable d'électrode, pas d’énergie gaspillée en chaleur. En fait, le bénéficiaire de l’énergie surabondante disponible dans l’eau est la santé publique. En effet, selon le US National Board of Standards, l'eau contient 2,5 fois plus d'énergie que le pétrole.
Dans la W.F.C. de Meyer, l'eau est dissociée en gaz au moyen d’une tension électrique produite par des impulsions de courant continu à haut voltage (20 à 40 kV) à la fréquence de 10-15 kHz (d'autres sources Internet donnent 50 Mhz et de moins d'1mA.) L'inductance, en série avec la capacité amorce des résonances à l'intérieur de la molécule. Celles-ci ont pour effet de casser les liaisons covalentes entre les atomes d'hydrogène et d'oxygène, en utilisant très peu d'énergie. Les deux gaz ainsi séparés le restent jusqu'à ce qu'une énergie suffisante soit disponible pour les recombiner à nouveau sous forme d'eau. Ces principaux points sont repris pour créer une tension au niveau de la particule.
C’est vraiment l'oscillation de la particule qui joue un rôle de générateur d'énergie.
Meyer dit que, dans un élément d'injection de W.F.C., on a accès à un ZPE supplémentaire. C’est à travers un orifice situé dans le noyau, et que la tension électrique fait ouvrir et fermer que l’on peut faire travailler le ZPE. C'est une impulsion explosive plutôt qu'un éclair d'allumage miniature, qui fait mouvoir les pistons et alimente la transmission normalement tout en produisant seulement de la chaleur et un brouillard d'eau en échappement. Meyer décrit un processus similaire pour la division de molécules d'oxydes d'azote.
On peut atteindre une énergie considérable, dépassant de loin celle de la simple combustion de l'hydrogène. Des brûleurs industriels ont été conçus pour fonctionner au million de BTU/h.
Selon les calculs, la masse de ZPE est de l'ordre de 10 x 1093 gm par cm3 . L’énergie qui y est contenue équivaut à 2,5 millions de BTU par gallon d'eau (3,78 l aux USA). Le "vide" à l'intérieur de la molécule est grouillant d'énergie, comme on le sait déjà depuis 1873 avec James Clerk Maxwell et même depuis des milliers d'années dans les sciences orientales et la tradition. La molécule d'eau est l’intermédiaire qui permet de puiser dans l'éther.
TENTATIVES DE PROMOTION DE W.F.C. AU ROYAUME UNI
L'amiral Griffin, a été un des premiers à tenter d'obtenir une crédibilité scientifique et un financement industriel pour >une initiative privée d’expérimentation de la technologie W.F.C.. En tant que contrôleur de la Navy, et au nombre des créateurs de la Royal Navy moderne, il était responsable, de la mise en place du plan de développement de la technique basée sur l'hydrogène. Il s’était chargé des applications maritimes de W.F.C. et avait planifié une conversion de la Flotte.
Au premier stade de sa campagne, le but était de convaincre les militaires anglais et les représentants de l'industrie, que la technologie W.F.C. fonctionne, et qu'il était possible de traiter avec Meyer, celui-ci ayant d’ailleurs donné son accord pour une expérimentation d'un an prévue sur un bateau alimenté à l'eau, aux docks Ste Catherine à Londres.
Pour les articles scientifiques et les voyages des experts chez W.F.C., l'Amiral a dépensé personnellement 30.000 £, et Sebastian de Ferranti 10.000 £ (parmi d'autres sources de financement.) Pendant 6 ans, recherchant soutiens et engagements, l'Amiral Griffin a contacté sans succès plus de 100 départements du gouvernement et une partie des plus grandes industries avant de trouver enfin un commanditaire financier.
La façon dont l’amiral a conduit sa campagne a été soumise à quelques critiques relatives à la faisabilité et aux prétentions du plan initial. Toutefois, cette campagne laisse entendre que l'"Establishment" connaît bien le travail de Meyer. L'agence de recherche de la Défense et le MoD ont montré leur intérêt dans le développement des activités de Meyer.
Une exploitation de la technologie Meyer alliée à une certaine éthique, excluant les applications militaires, recevrait un plus grand soutien international. C’est vers des zones géographiques où existent des besoins majeurs, et pour des buts plus respectables, tels que l'approvisionnement en eau potable et le maintien de l'agriculture indispensable, qu’il faudrait s’engager.
INITIATIVES DANS LE DEVELOPPEMENT DE LA TECHNOLOGIE W.F.C.
Meyer était engagé dans la constitution d'un réseau de concessions, et il mettait au point des applications spécifiques sous autorisation de licence.
On dit que des contrats de développement du type "Proof of Concept" portant sur plus de $200 M sont en cours avec de grands groupes industriels. La NASA et l'USAF ont un accès direct à la technologie de Meyer car ses activités sont soumises à la loi sur la sécurité nationale aux USA. Lors de sa dernière visite chez Meyer, l'Amiral a pu observer le développement des travaux sur un certain nombre de moteurs allant des tondeuses auto portées aux grosses locomotives diesel, en passant par les tracteurs ordinaires.
On mentionne aussi dans le bulletin de W.F.C. d'autres initiatives provenant d'autres pays, et, en Amérique, un réseau commercial est prévu pour adapter les systèmes en modernisant les véhicules existants. Il y avait des séminaires réguliers sur les investissements, et Meyer employait des équipes de spécialistes.
Des recherches ont été faites pour établir des centres au dehors de l'Amérique. On a cité le Royaume Uni (jusqu’au décès de l’Amiral) ainsi que la Suède et l'Ukraine. Meyer tient beaucoup à ne pas augmenter les risques de concentration de toute l’activité dans un seul centre. De nombreux organismes, bien connus comme le MITI au Japon et ETZ en Allemagne ont tenté, en vain de reproduire les travaux de Meyer.
On dit que Meyer n'a pas produit les articles scientifiques convenant aux revues de ses pairs, ce qui explique que les rapports sur son travail aient été limités. Etant donné la résistance au NET en général et la compétition naturelle dans les domaines de l'énergie, c'est compréhensible. Les brevets US ont été accordés sous la clause d'une "mise en pratique" équivalente, selon Meyer, à des essais indépendants.
Il y a eu des controverses dans les médias au sujet de son travail mais pas encore d’enquête véritable et complète. Meyer qui avait trouvé qu'un article paru dans New Energy News était trop partial et déformé a demandé qu'il en soit publié un autre. Les matériels de commercialisation sont avares de détails au sujet des processus impliqués.
On a tenté plusieurs fois d'"acheter" Meyer aussi bien dans son travail que personnellement, et il a été victime de provocations. Il est facile de comprendre sa prudence, car il semble attendre avant d'agir, que se diffuse largement l'idée que l'eau peut être un carburant. Il projette plutôt de contrôler sa technologie pour s’assurer que son invention sera dévolue au bien de l’humanité.
Il existe une vidéo de 1993 de ISNE, présentée par INE. Fin 1995, une compagnie de télévision anglaise, INCA a rendu visite à W.F.C.. L’émission "Ca marche avec de l'eau", commentée par Arthur A. Clarke a été suivie de nombreuses demandes de renseignements, et de visites d'organismes tels le DRA (Ministère de la Défense) et une prestigieuse Université. Un membre de la Chambre des Communes a également contacté W.F.C. et suit ses progrès.
Stanley Meyer s’était rendu en Angleterre et dans certains pays d'Europe en Octobre 96. Il avait exposé à plusieurs industriels la viabilité de la technologie W.F.C.. De nombreux contrats "Proof of Concept" ont concerné les domaines de l'aviation, l'agriculture, du chauffage domestique et industriel, des transports par voies de terre et maritime (en particulier la technologie Hyperdrive ® qui concerne essentiellement un sous-marin de pointe.)
ARTICLES DE JOURNAUX SCIENTIFIQUES ET UNIVERSITAIRES
Voici de nombreuses confirmations basées sur des essais dans des laboratoires gouvernementaux et universitaires.
28 ème IECEC Intersociety Energy Conversion Engineering Conférence, août 1993 : " démonstrations répétées devant de nombreux témoins "…
Aeronautic and Space Administration (NASA) Documentation : " utilité de ce procédé pour l'aéronautique "…
Ray Bachnak, Docteur en physique, Professeur et Président de Electronic Engineering Technology, Franklin University, Columbus, Ohio 1996 : " le circuit VIC ® doit accomplir la fonction prévue "…
Dr. T. Nagypal, Professeur à l'Université de Vienne, et Ingénieur consultant dans l'Industrie : " mais votre théorie fonctionne…l'efficacité est de 300 % "…
Rea O' Neill, Professeur de technologie scientifique, Institut de technologie de Dublin, Irlande : " c'est une méthode assurément différente du processus d'électrolyse classique, c'est une technologie qui pourra fournir aux véhicules un carburant alternatif dans un proche futur "…
Amiral Sir Anthony Griffin, Contrôleur de la British Navy (en retraite), Rapport Perkins, 1993 : " L'Université du Sussex a réussi à produire de l'hydrogène à partir d'une installation de montage expérimentale basée sur les circuits de Meyer "…
Professeur Robert Bailey, Département d'Ingénierie Mécanique, Université d'Etat de l'Ohio, Grove City, dans un article du 06/03/1996 intitulé: "Intervention divine" : " Il n'y a aucun doute: cela fonctionne "…
Paul Czysz, Professeur en Aéronautique, Université de Saint-Louis, consultant auprès de la NASA, Programme Equinoxe de Canal 4, à Londres, émission du 17/12/1995 : " Ca marche avec de l'eau" : " c'est une technologie qui capte manifestement le ZPE "…
Science Explained, le monde de la science au quotidien, Colin, A. Ronan, Editeur général, Copyrighted Science Book, 1993…confirme que l'atome d'oxygène a une charge électrique négative, et que celui d'hydrogène a une charge positive…
Les Notes Cliffs de 1993 de Harold D. Nathan, Docteur en physique, vérifient l'effet de liaison électrovalente inhabituel entre des structures moléculaires gazeuses et liquides dans des équations où chaque groupe d'ions atomiques différents a un symbole de charge électrique positive ou négative.
De nombreux laboratoires indépendants d'universités ont confirmé l'importance de la tension élevée pour un courant faible.
Gary L. Johnson de l'Université d'Etat du Kansas a intitulé son rapport: "Explosions dans l'eau induites par l'électricité". Il y indique qu'il a découvert que la force de l'explosion augmentait avec le voltage et que le volume d'eau diminuait.
Roy Azevedo, Peter Graneau et Charles Millet de l'Université Northeastern, ainsi que Neal Graneau du Collège Royal de Londres ont intitulé leur rapport: "De puissantes explosions de plasma -eau". Ils y confirment des résultats semblables en utilisant un voltage pulsant de 30 à 40 kilovolts.
Les docteurs Ukrainiens Eugene Antonov et Vladimir Dresyiannikov, ont vérifié comme les précédents chercheurs les différents aspects de la technologie brevetée de Meyer.
LES CONTRATS W.F.C.
Après des années de recherche et de mise au point, la technologie W.F.C., est arrivée au stade de conception du système et de préfabrication par les premiers financements des contrats W.F.C. Proof of Concepts. Ceci signifie que l'on s'attend à la fabrication prochaine aux normes industrielles, de modules W.F.C..
Cependant, il faudra alors que l'eau prenne l'appellation de carburant, et que la technologie W.F.C. soit testée et certifiée pour l'EPA et convienne aux règlements d'autres gouvernements. Quand on en sera là, l'objectif de W.F.C. d'utiliser l'eau comme carburant pourra émerger au grand jour. Les concessions W.F.C. prospéreront, et la dépendance aux carburants fossiles touchera à sa fin. C’est une foi qui a animé toutes les démarches de W.F.C.. Après beaucoup de travail, on s’attend à la voir atteindre son but.
Le contrat " Proof of Concept ", en quatre points, est une sorte de contrat unique qui protège aussi bien W.F.C. que celui à qui il est concédé, utilisateur et / ou compagnie maîtrisant parfaitement une haute technologie.
L’Agrément International W.F.C. sur l'accord de contrat désigne les paramètres du système d'énergie à modifier et établit les termes et conditions particulières portant sur la totalité du contrat.
Le Contrat de projet W.F.C. International concerne la construction de deux systèmes de kits de prototype W.F.C., aux fins d'essais et de mises au point aux normes industrielles, en vue de la production. W.F.C. fournit au signataire les spécifications de la conception, et celui-ci construit les prototypes. W.F.C. fournit aussi l'interface électronique et le logiciel nécessaires pour lancer les modules.
L’acceptation contractuelle de l’Agrément International de licence de brevet W.F.C., énonce les conditions et les termes pour une licence de fabrication à l’échelle d’une grande distribution W.F.C..
L’Agrément pour contrat de concession industrielle de W.F.C. International, mentionne les termes et les conditions d'une licence de concession industrielle sur une zone géographique donnée. Cette licence n'entrera pas en conflit avec les concessionnaires locaux mais encouragera la croissance des concessions.
W.F.C. soutient de nombreux contrats dans des domaines énergétiques divers dont le premier porte sur le chauffage domestique et industriel ainsi que les transports avec l’important projet Proof of Concept de Résonateur à vapeur industriel W.F.C.® . Ce module peut être adapté sur d'énormes chaudières industrielles et stabiliserait les coûts énergétiques d'un grand nombre d'industries. De plus, il empêche l'eau de geler quand on utilise l'injecteur à carburant eau W.F.C. dans l'application choisie.
DES CONTROVERSES MALHONNETES, DES FREINS…
Récemment, W.F.C. a été déclaré coupable d’une fraude grossière, accusé de ne pas avoir montré quoi que ce soit qui fonctionne, ni de quelconques progrès. Les plaignants étaient des investisseurs d’un programme de carburant concurrent. Aucun des trois témoins " experts " n’avait de références scientifiques et parmi eux, il s’en trouvait deux qui avaient tenté précédemment de prendre la direction de W.F.C.. Lors du procès, le juge a été jusqu’à couper l'enregistrement audio du tribunal pendant une démonstration de la technologie W.F.C..
Meyer (qui depuis 1980 avait dépensé plus de 1,6 millions de dollars) a donc déposé une requête en rejet de la décision de cette cour de justice contre le juge qui a bafoué les lois du Conseil Supérieur de Justice de l’Ohio alors même que la confirmation scientifique se déroule.
Au cours d’une réunion prévue au Parlement britannique, à la Chambre des Lords, Meyer devait parler de la W.F.C. et de la production d’énergie par l’extraction de l’hydrogène de l’eau. Mais cette réunion a été annulée à la dernière minute.
LES AVANTAGES ECOLOGIQUES DE W.F.C.
Le sous-produit de l'injecteur W.F.C. ® est un brouillard d'eau qui retourne à l'environnement, où il recevra à nouveau l'énergie du soleil par absorption de l'énergie photonique. On peut alors recueillir cette eau sous forme de pluie, et la recycler de nouveau dans le moteur, que ce soit en système ouvert ou fermé.
La technologie W.F.C., spécialement conçue pour convenir aux transports, participe à la dépollution de l'atmosphère, en empêchant le prélèvement de l'oxygène nécessaire à la respiration, en éliminant le rejet d'oxydes chimiques dans l'atmosphère, tel qu'il se produit aujourd'hui avec les combustibles fossiles, en revitalisant les niveaux d'énergie des molécules d'air, et en dissociant les oxydes chimiques déjà présents, depuis 70 ans.
Avec la technologie W.F.C., le moteur à combustion interne, au lieu d'être un système polluant, devient un système purificateur d'air Conscient de cet avertissement et des signes évidents des dangers majeurs encourus par la planète, des chercheurs du monde entier font connaître, grâce à Internet, les avantages de la technologie W.F.C..
L'OSCILLATION DE LA PARTICULE EN TANT QUE GENERATEUR D'ENERGIE.
C'est ainsi que Meyer définit lui-même le processus relatif à la W.F.C. (qui fait l’objet de 26 brevets US et internationaux et dont un plus grand nombre encore sont en cours).
Depuis longtemps les scientifiques ont observé que des atomes stimulés de différentes façons sur des fréquences résonantes particulières provoquent la libération de l'énergie qu'ils contiennent. Thomas Edison en a fait la démonstration en utilisant un flux de courant pour faire osciller les atomes d'un filament dans une ampoule, dans le but de produire une énergie lumineuse. Gordon Gould a utilisé l'oscillation des particules en faisant absorber puis rayonner à nouveau par un atome l'énergie de photons cohérente dans ce que l'on appelle Laser. Le précurseur du Laser, se servait de cette même oscillation avec l'absorption et le re-rayonnement de l'énergie électromagnétique, ce qui donnait la propagation de micro ondes appelée Maser.
Des instruments de musique qui utilisent des caisses de résonance amplifient les ondes sonores, et se servent ainsi également de l'oscillation des particules en absorbant puis ré - émettant à nouveau l'énergie acoustique amplifiée.
On peut s'interroger sur la cause des éclairs ou sur ce qui alimente l'énergie d’un ouragan ou d’une tornade, phénomènes naturels fréquents. Chaque réponse a un point commun : le " fléchissement " ou l'oscillation de la molécule d'eau. L'éclair se produit lorsque le front de l'orage " fléchit " les atomes de molécule d'eau exposés à des nuages d'orage à charge électrique négative.
Le fléchissement de la molécule d'eau présente dans le courant d'air tourbillonnant que constitue un ouragan ou une tornade, libère une énergie énorme qui aide à la formation de l'orage. Une élévation de la température initiale fait tourbillonner l'air, délimitant ainsi une zone d'humidité dans le courant d'air. Le courant tourbillonnant de l'air ascendant crée une tension électrique opposée sur les molécules d'eau qui se trouvent dans l'atmosphère chargée par l'électricité du courant d'air en déplacement. Cette tension " fléchit " électriquement les atomes pour libérer l'énergie qui alimente l'ouragan ou la tornade.
D'OU PROVIENT CETTE ENERGIE ET COMMENT EMANE-T-ELLE DE L'ATOME?
Soumis à une pulsation électrique, un orifice d'énergie, localisé dans le noyau de l'atome, est physiquement contraint à s'ouvrir pour permettre à une plus grande quantité d'énergie de pénétrer dans le spectre d'énergie de l'atome.
L’énergie est libérée par l'intermédiaire des atomes dans notre univers. C'est ce qui a été quantifié par l'équation d'Einstein E=mc2. Quand il a élevé au carré la vitesse de la lumière, il s'est aperçu que le potentiel d'énergie lumineuse était plus grand que la troisième dimension dans laquelle nous existons. Cette énergie universelle ou ZPE, pénètre continuellement dans notre troisième dimension par les orifices d'énergie des atomes. C'est ce qui permet à toutes les structures atomiques de la troisième dimension d'exister ou bien de se maintenir dans un état d'équilibre atomique. S'il n'en était pas ainsi, aucune des formes de vie connues n'existerait. Comment se fait-il qu’une minuscule graine donne un séquoia géant ? Comment l'enfant dans le sein de sa mère peut-il subir une structuration atomique pour entretenir la vie? Ni la graine ni la mère ne tirent assez d'énergie du soleil ou de la nourriture pour pouvoir fabriquer ne serait - ce qu'un atome. Comment l'univers poursuit-il son expansion parallèlement à la création de sa masse physique?
Il semble que l'énergie nécessaire à la création de l'univers et de la vie tels que nous les connaissons émanent du noyau de l'atome, par l'intermédiaire de l'orifice d'énergie. C'est ainsi que tous les atomes fonctionnent en tant que générateurs d'énergie.
Jusqu'ici, il a fallu une grande énergie d’entrée pour que le processus d'oscillation de l'atome libère de l'énergie. C'est ce que démontre avec violence un dispositif thermonucléaire qui ouvre réellement, puis détruit, l'orifice d'énergie des atomes d'uranium 235 et 238.
Mais c'est dans le déclenchement de ce processus à un faible niveau énergétique que réside le secret. Le processus devient alors réalisable économiquement, et utilisable par un consommateur moyen. Pour accomplir cet exploit, Meyer a eu l'idée de se servir de champs de voltage de polarité opposée sur la molécule d'eau. Ceci produit une tension électrique qui fait que les atomes de la molécule d'eau dépassent l'état d'équilibre atomique et se dissocient ou se scindent en gaz hydrogène et oxygène.
Aux environs de 40 kilovolts les gaz prennent automatiquement feu, ce qui produit une énergie thermique explosive (gtnt). A de plus hauts voltages, même, et à la fréquence de résonance de la molécule d'eau, l'orifice d'énergie est ouvert et on peut alors voir une libération contrôlée, de fantastiques quantités d'énergie.
Cette méthode ne dépense pas de grandes quantités d'énergie puisque la tension n'est pas consommée dans un circuit électronique. L'énergie n'est ni créée, ni détruite mais libérée à partir de l'atome (voir figure 2)
Meyer appelle ses électrodes des exciteurs, en fait, ce sont des plaques parallèles en acier inox placés en parallèle ou selon un schéma concentrique. La production de gaz semble être inversement proportionnelle à la distance qui les sépare, le brevet indique 1,5 mm pour de bons résultats. La vraie différence réside dans l'alimentation de la batterie pour laquelle Meyer se sert d'une inductance externe qui paraît être en résonance avec la capacité de la batterie - l'eau pure ayant apparemment une constante diélectrique d'environ 5 - ce qui produit un circuit parallèle résonant. Ce circuit est excité par un générateur à impulsion à haute puissance, avec ensemble la capacité de la batterie et une diode de redressement, le tout formant un circuit de pompage de charge.
Selon Harold Aspden, Meyer se sert de tubes métalliques concentriques immergés dans l'eau et renvoie les impulsions entre les tubes ce qui induit des effets de champs rayonnants augmentant vraisemblablement la dissociation ionique des molécules d'eau et produit l'hydrogène et l'oxygène avec l'énergie captée dans l'éther. (New Energy News août 96)
Figure 1- Optical thermal lens ®
Le développement W.F.C. de la technologie EASER ® maîtrise ensuite cette puissance, sans toutefois détruire l'atome et son orifice d'énergie (voir figure 7).
Cette libération d'énergie dans EASER ® vient de la seule "flexion" de l'atome d'hydrogène (ou de tout autre atome) par des tensions électriques pulsantes dans un environnement de vide. Le EASER ® devient donc ainsi un soleil miniature contrôlable.
L'élément le plus courant sur Terre, l'hydrogène, est le carburant parfait en raison de sa grande énergie et de sa disponibilité. L'atome d'oxygène soutient notre vie. L’eau, combinaison d'hydrogène et d'oxygène, est aussi bien génératrice de vie que purificatrice. Il est donc fort à propos d'utiliser l'eau en tant que source d'énergie propre et recyclable.
CONFIRMATION DE LA TECHNOLOGIE W.F.C.
Depuis 1985, W.F.C. s’est employé à persuader la communauté scientifique de changer sa façon de comprendre la nature de la molécule d'eau et des forces qui agissent sur elle. Il lui fallait comprendre que la molécule d'eau est chargée en dipôle électrique, et qu'il y a là une force d'attraction électrique entre les atomes de charge opposée. Il n'existe pas de force électromagnétique entre les atomes différents de la molécule d'eau, puisque les 8 électrons de l'orbite extérieure "L" des atomes d'oxygène se mettent par paire et tournent dans des directions opposées. L'orbite "L" de l'atome d'oxygène admet jusqu'à 8 électrons mais pas plus pour la stabilisation de la molécule d'eau.
La force d'attraction électrique est équivalente aux deux électrons d'hydrogène partagés occupant l'orbite "L" de l'atome d'oxygène chargé négativement. Le potentiel de tension appliqué pendant la pulsation de la molécule d'eau n'est pas consommé dans le circuit électronique. Le stress électrique de polarité électrique opposée favorise l'oscillation moléculaire, comme dans un générateur à énergie.
Il ne faut qu'une force d'attraction extérieure pour dissocier la molécule d'eau; ce sont les champs de tension opposée agissant sur la molécule d'eau qui sont la cause de ce stress. Finalement, des gouttelettes d'eau peuvent être converties instantanément en énergie thermique explosive (gtnt) à des niveaux de tension plus élevés (jusqu'à 40 kilovolts et plus).
Figure 2 - Burner Nozzle ®
Suite logique : le montage des tuyères de brûleur industriel W.F.C. ® . Le brûleur peut répondre à tous les besoins de chauffage, de la maison individuelle aux mégawatts des centrales électriques en passant par le brûleur industriel d’une puissance de l'ordre du million de BTU/h. Avantage de la technologie W.F.C.: cette buse de brûleur peut être adaptée pour remplacer de vieux brûleurs, ou bien peut faire partie d'un nouveau système de chauffage.
Des contacts intéressants ont été pris avec la marine, les transports aériens, les producteurs d'électricité, des entreprises de dessalement de l'eau de mer, et de traitement de déchets toxiques ou non. Les contacts outre-mer comprennent l'Angleterre, l'Allemagne, l'Autriche, la Belgique, la Suède, le Canada, l'Australie, la Nouvelle Zélande, la Thaïlande, l'Inde, la Corée et l'Ukraine. Les contacts américains incluent Hawaï et l'Alaska ainsi que presque tous les états. Les USA et le monde se préparant à entrer dans l'ère de l'hydrogène, W.F.C., sera le mieux placé pour répondre aux besoins en énergie du monde entier.
Figure 3 - W.F.C. Industrial Steam Resonator®
Mis au point aux normes industrielles avec un contrat Proof of Concept, cet appareil formé d’une rangée de tubes, chauffe l’eau sans flamme apparente, à la température choisie, et sous différentes conditions climatiques.
Ses applications sont nombreuses : bains industriels, chauffage des piscines et des serres, chauffage domestique à eau ou à air, injection de vapeur pour détruire les mauvaises herbes.
LA DUNE BUGGY W.F.C.
Figure 4
Au volant, Stanley Meyer, Dr Russel E. Fowler, Directeur du personnel et de la présentation de la technique de W.F.C., (second à partir de la droite)
Aux USA, l’intérêt se porte plus sur une voiture alimentée à l'eau, en Angleterre, sur un bateau et en Suède, sur un chauffage individuel.
Une Dune Buggy a été modifiée en 1985, pour participer à une course de 1900 miles en Novembre 1991, en Australie. Dans sa batterie à eau, qui reste froide après plusieurs heures de fonctionnement, le processus de combustion thermique utilise l’oxygène de l’eau au lieu de l’extraire de l’atmosphère. Meyer compte miniaturiser son système.
On peut comparer le coût estimé du système Meyer modernisé destiné à l’automobile - 1500 dollars déboursés uniquement lors de l’installation - aux 14.000 dollars d’achat de carburant qui seraient nécessaires pour alimenter la même voiture pendant toute sa durée d’utilisation. On pourrait produire 11000 de ces équipements par jour.
L'utilisation des gaz ionisés provenant de l'air ambiant peut favoriser l'augmentation énergétique de la flamme en portant le taux de combustion de gaz au niveau de celui des carburants fossiles.
L'absorption de l'énergie des photons soutient le " temps atomique " restant pour permettre, grâce à une étincelle adéquate, une mise à feu des gaz de combustion (hydrogène et oxygène de l'eau) présents et soumis au stress électrique pulsant. La fréquence de pulsation appliquée, ainsi que l'amplitude de voltage, et le calibrage volumétrique de la gouttelette d'eau déterminent la production d'énergie. Une seule goutte d'eau de 7,4 µl (micro litre) suffit à faire fonctionner un moteur à injection à combustion interne de 50 chevaux. Avec une gouttelette d'eau de 148 µl par cycle d'injection, c’est un moteur à injection de 1000 chevaux qui peut fonctionner. (voir figure 7)
Figure 5 - W.F.C. Water Fuel Injector ®
La modification d'une voiture est probablement un des projets les plus stimulants en raison de la variété de systèmes qu'il faut étalonner avec les protocoles de tests de fiabilité. C'est ce que W.F.C. est sur le point d'accomplir car elle achève la programmation informatique et aussi celle d'autres composants électriques et du hardware. On perfectionne aussi l'injecteur à carburant eau W.F.C. qui peut convenir à tous les besoins énergétiques couverts par la combustion de carburants fossiles. Il peut remplacer les bougies des voitures, les injecteurs de diesel, les orifices d'injecteurs dans les moteurs d'avions et les turbines à vapeur, et les orifices des tuyères dans les moteurs de fusée alimentés à l'eau.
Figure 6 - Converting Water Droplets instantly
Dans cet injecteur, variante de la cavité résonante W.F.C. ® qui accroît le dégagement d'énergie du processus W.F.C., les gouttelettes d'eau sont converties instantanément en gaz hydrogène et oxygène mis à feu dans un champ de tension à impulsions. Cet injecteur a été tout spécialement mis au point pour libérer l'énergie par l'orifice de l'atome (voir figure 10). Les gouttelettes d'eau arrivent selon un certain débit dans la cavité résonante effilée qui fonctionne comme un guide d'ondes de tension. La gouttelette d'eau soumise aux impulsions à haut voltage de polarité opposée, est instantanément transformée en ses deux composants gazeux (voir figure 10). Immédiatement après, avec une tension électrique supérieure, les gaz libérés deviennent des gaz ionisés (éjection d'électrons), et sont finalement rejetés loin de l'orifice de la buse d'injecteur à eau carburant W.F.C. ® d’allumage du gaz.
Figure 7 - Voltage tickling of state space ®
La forme effilée de la sonde de voltage positif au centre, amplifie la séquence d’impulsions de voltage pour augmenter continuellement le stress électrique sur les gaz libérés de la molécule d'eau, tout le long de la cavité résonante qui fonctionne comme un circuit de compression de voltage…activant ainsi, le stade d'amorçage d'énergie que l'on appelle Voltage Tickling of State Space ®
L'injecteur W.F.C. ® accomplit en un seul instant plusieurs fonctions continues à savoir
- la libération des gaz hydrogène / oxygène provenant de la gouttelette d'eau injectée
- l'oscillation des gaz combustibles flottant librement sous le stress électrique pulsant qui fait osciller la particule comme un générateur d'énergie
- et enfin l'ionisation des gaz combustibles par l'émission d'un électron juste avant que les gaz sous pression soient éjectés par l'orifice de la buse.
Quand les gaz expulsés en tension reviennent à un état d'équilibre stable, les atomes de gaz " en flexion " libèrent l'énergie - déclencheur qui fait démarrer et propage le processus de combustion du gaz, dont on utilise l'énergie.
Selon ses caractéristiques électriques et physiques, la cavité résonante W.F.C. ® peut satisfaire à différents besoins énergétiques. Par exemple, dans le domaine du transport automobile, elle devient injecteur à carburant eau. Celui-ci remplace la bougie d'allumage classique d'un moteur à essence ou diesel, sans que l'on ait besoin de changer le moteur. L'injecteur peut aussi être conçu en série pour convenir à l'adaptation et la modernisation de chaudières industrielles ou dans le montage de tuyères de brûleurs W.F.C.
Dans ces cas-là, les injecteurs W.F.C. ® sont spécifiquement conçus pour convertir instantanément et à la demande les gouttelettes d'eau en énergie explosive thermique (gtnt). C'est ce qui permet à la technologie de l'injection de l'eau carburant d'être en conformité avec la National Security Energy Act de 1992.
Cette loi exige d’utiliser de l'oxygène dans la combustion du gaz hydrogène pour faire fonctionner la Dune Buggy ou n'importe quel autre moteur à combustion interne. Pour recevoir l'appellation de nouveau, un carburant doit donc ajouter de l'oxygène à son processus de combustion. Et parmi toutes ses propriétés admirables, l’eau, justement, fournit son propre oxygène.
La conversion de la gouttelette d'eau en énergie thermique explosive instantanée, au moyen d'un cycle d'injection permet aussi à la technologie W.F.C. d'être en conformité avec les directives de sécurité nationale aux USA car elle prévient tout risque d'explosion lors d'une collision. En effet, l'eau est le meilleur moyen de stocker l'hydrogène, puisqu’il y est contenu et ne peut donc pas y brûler.
Figure 8 - W.F.C. Exhaust Air Reclaimer Technology ®
Le développement de la technologie de régénération d'air W.F.C. ® , (figure 8) est perfectionné pour éliminer les émissions possibles d'oxyde d'azote (ou gaz hilarant), ainsi que d'autres gaz indésirables. Le mélange à deux pour un d'hydrogène avec l'oxygène dans la molécule d'eau est assuré continuellement à travers l'injecteur à carburant eau W.F.C., ce qui donne une formation de quantités négligeables d'oxyde d'azote. Si toutefois une molécule d'oxyde d'azote se formait, le Air Reclaimer ® en séparerait simplement les éléments en azote et oxygène. Le sous-produit de ce type d'injecteur est un brouillard d'eau qui retourne à l'environnement. La technologie W.F.C. de régénération de l'air peut vaincre la liaison électrovalente de ces oxydes, (comme pour la dissociation de la molécule d'eau), en les plaçant dans des zones de voltage de polarité opposée
L'UTILISATION DE L'EAU EN CARBURANT
L'eau contenant deux fois et demi plus d'hydrogène que l'essence, l'énergie de l'eau libérée en énergie thermique explosive, équivaut à plus de 2 millions de BTU par gallon (3,78 litres aux USA) d'eau. C'est ce qui se passe, avec une tension électrique pulsée, d'abord sur la molécule d'eau, puis sur les atomes des gaz hydrogène et oxygène.
Figure 9 - Electrical Polarization Process
En commençant par le processus de polarisation électrique W.F.C. ® , (voir figure 9) et en continuant avec le processus de fracture de l'hydrogène, on libère de plus en plus d'énergie. Quand les atomes d'hydrogène et d'oxygène sont soumis aux impulsions de tension, les électrons sont contraints de s'éloigner du noyau des atomes. Leur spin orbital décroît et les atomes entrent alors dans un état de non équilibre. A chaque nouvelle impulsion, les électrons sautent sur des niveaux d'énergie plus élevés, puisque les atomes cherchent à redevenir stables. C'est ce qui fait osciller l'atome et donne le phénomène de libération d'énergie à travers l'oscillation de la particule - générateur d'énergie. A l'étape suivante d'augmentation différentielle, les électrons qui sautent sont alors éjectés loin de la molécule allongée soumise à la tension électrique. Cette diminution dans la masse atomique fait que l'orifice d'énergie s’agrandit…ce qui libère, à partir de l'atome, de bien plus grandes quantités d'énergie explosive thermique (gtnt) qu'auparavant.
Le potentiel de voltage négatif (B-) et le potentiel de voltage positif (B+) de même intensité, mais opposé, surmonte la force de liaison électrovalente des atomes d'hydrogène et d'oxygène de la molécule d'eau. Ceci oblige l'atome d'oxygène porteur d'une charge électrique négative à être attiré vers la zone de voltage stationnaire positif (B+), alors qu'au même instant, les atomes d'hydrogène chargés positivement sont attirés électriquement vers le champ de tension stationnaire négatif (B-).
Cette force d'attraction électrique opposée accomplit instantanément trois fonctions dans une séquence d'événements:
1 - la molécule d'eau s'allonge
2 - le rapport de temps partagé des électrons de la structure atomique de l'hydrogène et des atomes de gaz est changé, ce qui affaiblit la liaison électrovalente entre les atomes d'hydrogène et d'oxygène,
3 - le fait de pulser et d'augmenter la tension électrique sur la molécule d'eau affaiblit le champ magnétique des atomes de gaz combustible, ce qui provoque l’extinction de la covalence de la molécule d'eau en réduisant la vitesse orbitale de spin des électrons concernés et soumis à la tension électrique.
Ces 3 étapes permettent alors, à un très faible niveau d'énergie initiale, de désunir les atomes de gaz composant la molécule d'eau. Cette entrée d’énergie dépend beaucoup du voltage et démarre dans la gamme du millivolt / milliampère. Cependant, la fuite d'ampères est maintenue à son minimum, tandis que le voltage augmente considérablement. C'est à 40 kilovolts et au-delà que les deux gaz s'enflamment automatiquement, lorsqu'ils sont dissociés. Le processus est économique, puisque l'on maintient l'ampérage à son minimum et que le champ de tension de polarité n'est pas consommé dans un circuit électrique. Et il est aussi sans danger, puisque l'hydrogène pur n'est pas stocké, mais brûle à la demande avec les atomes d'oxygène de l'eau. De plus, la technologie des Inventions W.F.C. ne crée pas d'énergie mais libère seulement l'énergie déjà présente dans les atomes d'hydrogène et d'oxygène, se conformant ainsi aux lois de la thermodynamique. "Amorcés " électriquement, les atomes fonctionnent comme des générateurs d'énergie. Les lois de la thermodynamique s'appliquent seulement une fois que l'énergie est libérée de l'atome.
Cette dissociation ou fission unique de la molécule d'eau a été favorisée par l'invention du VIC ® (circuit amplificateur de tension W.F.C. voir figure 10).
Figure 10 - W.F.C. Voltage Intensifier Circuit ®
Celui-ci est tout spécialement conçu pour maintenir la fuite d'ampères à son niveau le plus bas, ce qui permet au potentiel de tension de polarité opposée d'accomplir le travail nécessaire à la séparation des atomes de la molécule d'eau. Grâce aux caractéristiques d'inductance du VIC ® et à sa conception unique, on peut augmenter la tension aux niveaux requis. On peut aussi réduire le flux d'ampères tout en permettant au potentiel de voltage de polarité opposée d'opérer la séparation de la molécule d'eau chargée électriquement en bipolaire, et ce au moyen d’une force d'attraction électrique opposée, ou stress électrique. L'auto inductance répartie sur chaque bobine empêche essentiellement un afflux d'ampères (ou retarde le flux de courant) sur l'orifice d'eau.
Simultanément, la capacité répartie sur chaque bobine provoque une augmentation du potentiel de voltage appliqué, avec des polarités opposées placées en vis à vis dans la molécule d'eau : le processus de polarisation électrique ® est ainsi accompli. Chaque bobine fonctionne ensuite en tant que bobine d'impédance (self) chargeante dont la résonance s'accorde aux propriétés diélectriques de l'eau, lorsque la fréquence de pulsations est ajustée pour s'attirer un minimum de flux d'ampères, alors que le potentiel de voltage tente de monter vers l'infini (si le circuit électrique le lui permettait.) L'augmentation du nombre de spires de chaque bobine qui est directement relié à l'augmentation de l'amplitude du voltage de pulsation appliqué, augmente le stress électrique au-dessus de l'orifice d'eau.
Dans tous les travaux d'ingénierie relatifs à tous les systèmes, dont chaque processus bénéficie de celui qui l'a précédé et l'amplifie, la technologie de la conception électronique programmable par EEPROM ® assure sécurité et fiabilité des produits W.F.C. De plus, cette technologie se prête à une production de masse, puisque on maîtrise très bien depuis quinze ans la microélectronique et l'injection de plastique moulé.
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