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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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6 juillet 2013

Le vaccin anti-méningocoque C préconisé aux gays pour seulement 3 cas survenus en Île de France!!

 

GAY-PRIDE


C'est tout de même un "drôle" de hasard que l'on crée subitement un nouveau groupe cible pour le vaccin anti-méningocoque C qui est justement en perte de vitesse depuis plusieurs mois chez les enfants où il fait de moins en moins recette (et pour cause vu que le vaccin est statistiquement plus risqué que la maladie, c'est prouvé!)...

-26% des ventes en France de ce vaccin anti-méningocoque C en 2012.

 

Difficile dans ces conditions de ne pas voir la volonté des pouvoirs publics de sauver les parts de marchés des fabricants qu'ils considèrent, de l'aveu même d'un rapport du Sénat français de 2007, comme leurs "partenaires naturels"!

 

L'excuse invoquée est qu'il y aurait eu 3 cas d'infections invasives à méningocoque de type C chez des homosexuels de sexe masculin, en Île de France entre le 13 et le 20 juin dernier et que 2 d'entre eux auraient fréquenté des établissements gays endéans les 10 jours qui auraient précédé leur hospitalisation.

 

Entre 2010 et 2013 dit aussi l'article, 22 cas d'infections invasives à méningocoque ont été décelés dans la communauté gay de New York  avec 7 décès. Les autorités locales ont alors recommandé le vaccin contre la méningite C aux homosexuels et cela aurait, selon l'article toujours, évité la survenue du moindre cas de méningite C chez les gays de cette ville depuis février 2013. (Quelle rapidité d'action pffffiou, miracle!!! Sauf que la méningite C survient par vagues et jamais de façon constante)

 

22 cas pour une communauté gay d'une ville aussi grande que New York et pour une période de 3 ans, ça fait 7 cas par an et 2,3 décès par an en moyenne. On ne peut pas parler d'épidémie, ni justifier non plus avec ça les risques de ce vaccin, au demeurant plus élevés que la probabilité statistique de contracter cette maladie. On ne fournit aucun chiffre du nombre d'homosexuels vaccinés qui ont pu souffrir d'effets secondaires graves du vaccin en comparaison.

 

Ce serait l'Europride, manifestation gay européenne, qui aurait justifié "la prudence" des autorités françaises mais il faut savoir compter et savoir aussi que ces manifestations européennes rassemblent souvent plusieurs centaines de milliers de participants, un juteux business qui n'est donc pas à dédaigner par Big Pharma, avec un vaccin qui coûte environ 25 euros la dose.

 

Les vaccins contre la méningite C contiennent par ailleurs tous de l'aluminium, qui est une substance notoirement toxique pour le système nerveux et d'ailleurs de plus en plus remise en cause, en France notamment.

  

Après le juteux business des pharmas assuré par l'obligation vaccinale pour TOUS les pèlerins qui se rendent à la Mecque, voici maintenant un business du même genre mais sans obligation stricte. Tel un lézard qui arrive à se faufiler partout, la pression vaccinale mute et se transforme au gré de l'évolution sociale. A la manière d'un caméléon, elle ne cesse d'inventer de nouvelles incitations et de nouvelles contraintes déguisées.

 

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 http://www.initiativecitoyenne.be/article-le-vaccin-anti-meningocoque-c-preconise-aux-gays-pour-seulement-3-cas-survenus-en-ile-de-france-118919396.html

Source de cette info sur cette nouvelle recommandation vaccinale: Yagg.com

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6 juillet 2013

Ma Anandamoyi : l'absolue Unité de l'univers , Sur le chemin de l'infini ,

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Ma Anandamoyi est un des plus grands maîtres spirituels de l'Inde du XXe siècle. Elle enseigne l'absolue Unité de l'univers. Pour elle, il n'y a qu'UN où TOUT a sa place. Les paroles choisies par Jean-Claude Marol traduisent la joie permanente qui habitait cette sage décédée en 1982. Ma Anandamoyi se disait aussi bien hindouiste, musulmane ou chrétienne. Ici, ce sont des paroles presque zen. Des milliers de personnes de toutes appartenances (ou sans appartenance) religieuses ont été bouleversées par cette femme qui parle de paix intérieure et de conscience cosmique. Pour elle, le but unique de la vie humaine est de « réaliser Dieu » à la fois en soi, dans l'univers et dans l'absolu. « Dieu est mon propre moi » écrit-elle. Pour y parvenir l'homme doit dépasser le mental, rejeter l'ego, détruire les attachements. Et cela peut se faire aussi bien en vivant dans le monde qu'en se retirant. Les façons de dire de Ma étaient vives, rieuses. De succulents moments de sa vie où l'humour a une large place sont condensés en quelques récits pour clore ce livre. En face de nous, Ma est un miroir de notre Être vrai, elle nous fait découvrir des potentialités qui sont en nous.

 

Ma Anandamoyi est liée à tous inconditionnellement.

 

Dans le monde, rien n'est isolé, tout interagit.

Création, maintien, destruction ne sont qu'un seul et même événement.

Mais votre façon de mener votre vie vous a fait prendre tout de travers.

Vous vous retrouvez empêtrés en vous-mêmes.

Il va falloir dans votre relation remettre tout à plat.

 

Dieu donne ses instructions de toutes les façons. On peut apprendre des arbres, des animaux. Le guru est partout présent.

 

Pour chacun, le chemin est différent. Là où vous êtes commence un chemin. Car il n'y a que Lui et nul autre où que l'on se tourne. Lui-même vous prend en charge. Jamais, jamais Il ne vous abandonne.

 

Tout est dans la main de Dieu, vous êtes son instrument, il vous utilise comme il lui plaît. Comprenez que tout est Lui et vous serez aussitôt déchargés de tout fardeau. Que résultera-t-il de votre abandon à Lui ? Rien ne vous semblera « autre ». Tout sera « vôtre »... Votre Soi.

 

Vous voyez un bouton de fleur et vous ne voyez que lui ; là en réalité se trouvent déjà contenus la fleur épanouie, le fruit, la graine, toute la plante.

 

Pour réaliser ce qui est, vous suivez tant d'injonctions, de chemins... Mais tout chemin limite. De toutes vos forces, ayez l'imagination de balayer toutes vos représentations. Au-delà de la représentation est la révélation de Cela que vous êtes vraiment.

 

Ce n'est pas nécessaire de passer par les lettres et les mots pour comprendre un langage. Quels que soient les gens qui m'environnent, leurs pensées captent mon attention et leur langage émerge directement en moi.

 

Je considère toutes les mains comme les miennes. En réalité je mange toujours de ma propre main.

 

Dieu est Un. Pour réaliser ce Un nous devons être « d'un seul tenant ». Nous devons de façon impérative « faire un » avec soi-même dans tout ce que nous entreprenons.

 

Chaque doigt de la main a sa singularité, chaque partie du corps a sa fonction.

De la même façon, essayez de considérer chaque personne comme vous-même. Vous en viendrez à considérer en temps voulu chaque manifestation dans l'univers comme une partie de vous.

 

A un moment de chaque journée vous devriez maintenir le souvenir de Dieu pendant au moins dix minutes. Même si vous ne pouvez pas vous extraire de vos occupations, gardez au moins le silence et pensez à Lui, de la façon que vous voulez. Pas besoin d'ablutions. C'est au point qu'il n'y a pas d'inconvénient à ce que vous vous trouviez aux toilettes pour Le prier !! Donnez-Lui ces dix minutes. Offrez-Lui ce moment. Si vous le pouvez, préservez ensuite ce que vous étiez alors...

 

Le roi, le guru et le sacré garnement

 

Il était une fois un roi. Il ne manquait de rien et pourtant il clamait partout son insatisfaction. Un jour il entend dire qu'une initiation et des directives spirituelles données par un guru sont nécessaires pour trouver le calme intérieur.

Le roi fait rechercher son guru familial. Il l'avait oublié depuis bien longtemps. Le guru en question, laissé sans ressources, menait une vie misérable. L'initiation que lui demandait le roi était une aubaine ! Il accourt au palais et dit au roi que sa paix intérieure est garantie. Le roi reçoit son initiation à l'heure propice et le guru reçoit un confortable salaire. Le roi récite consciencieusement son mantra pendant des mois. Mais de calme intérieur... aucun ! Un jour, excédé, il menace son guru :

« J'ai reçu l'initiation, j'ai suivi tes directives spirituelles et mon esprit ne connaît aucun répit. Si dans huit jours je ne suis pas en paix et si tu n'as rien d'autre à me proposer, ta famille et toi serez exécutés. »

A ces mots le pauvre guru est paniqué. La nourriture ne passe plus. Il ne trouve plus le sommeil et voit avec angoisse la mort s'approcher.

Le guru avait un fils. Un drôle de gaillard qui n'avait rien voulu apprendre et passait ses jours à rôder dans la forêt. Il n'apparaissait qu'aux heures des repas. Autrement nul ne savait ce qu'il faisait de son temps. Six jours ont passé. Le septième jour, dans la maison du guru, l'état d'esprit n'était pas à préparer un repas. Le guru et sa femme se rongeaient les ongles d'angoisse. A midi le fils arrive pour son repas. Rien n'est prêt. Il demande ce qui se passe. Son père lui raconte tout et que si le roi le lendemain ne recevait pas de meilleurs conseils, ils seraient tous décapités.

- S'il n'y a que ça, dit le fils, je m'en occupe. J'irai demain trouver le roi. Aujourd'hui on mange...

Le père reprend courage. La mère prépare à manger. Le lendemain le guru et son fils se présentent devant le roi.

- Alors, cher guru, ces sept derniers jours j'ai pratiqué scrupuleusement les exercices que tu m'as donné. Je suis de moins en moins calme. Je te préviens, si tu n'as rien de mieux à me proposer aujourd'hui, autant dire que ta tête ne va pas longtemps rester sur tes épaules !

- Mon fils va tout vous expliquer, se hâte de dire le père.

- Vraiment ? dit le roi.

- Majesté, je peux vous éclairer, confirme le fils, mais il faudra que vous fassiez tout ce que je vous demanderai. Si vous suivez ce que je vous dis, vous comprendrez pourquoi vous n'arrivez à rien et vous trouverez l'issue.

Le roi consent à tenter l'expérience.

- Suivez-moi, dit le fils. Il charge le roi et son père de deux rouleaux de corde. Tous trois s'enfoncent dans la forêt jusqu'à rencontrer trois arbres splendides. Le fils du guru demande au roi et à son père de s'adosser chacun à un arbre. Il les ligote puis grimpe dans le troisième arbre, saute de branche en branche et chante tout son saoul. Le roi fulmine. Ses liens lui scient les membres. Il ordonne au père de le détacher. Le guru s'exclame :

- Comment pourrais-je vous délivrer alors que je suis attaché ?

Le roi réalise d'un coup : « Mais oui... bien sûr ! Comment aurais-je pu rester paisible alors que j'étais si étroitement ligoté à ce monde ? Comment ai-je pu demander à un homme lui-même attaché de me libérer de mes liens ? »

Alors il dit au fils :

- Maintenant tu peux me délivrer. J'ai trouvé ce qui donne la paix.

Le fils du guru, ce sacré garnement, aussitôt le délivre. Le roi revint-il à ses affaires ? Erra-t-il en ascète ? De toute façon il n'était plus noué au monde. Pour lui maintenant tout ne pouvait que bien aller...

 

Vivre... tout simplement

 

Les maladies de Ma décourageaient tous les médecins. Leurs diagnostics étaient constamment remis en cause par des symptômes de jour en jour contradictoires. Elle recouvrait sa santé de façon fulgurante. Son pouls d'un moment à l'autre s'accélérait ou était à peine perceptible. Sa température variait considérablement. Aucun médecin n'osait lui prescrire de médicaments (qu'ils soient allopathiques, homéopathiques ou ayurvédiques). Les rares fois où cela a été tenté le mal ne fit qu'empirer.

Elle a dit : « Les maladies sont des êtres comme vous. Je ne vous renvoie pas quand vous venez à moi. Pourquoi ferais-je une exception avec elles ? C'est aussi Son jeu. »

 

Dans les années 1939-1940 se déclara en Ma Anandamoyi un cancer généralisé... Tous ses organes étaient l'un après l'autre envahis par la maladie. Ses souffrances étaient terribles. Les médecins ne pouvaient que déclarer sa fin irrémédiable.

Une nuit, un médecin assista à ce phénomène : il vit soudain Ma sous les traits de la déesse Durga. Le corps prenait de lui-même des postures yogiques.

Le lendemain matin elle dit au médecin :

« Alors dites-moi ! Maintenant où est le cancer ? »

Ma était à nouveau en parfaite santé.

 

A Vindhyachal, l'ashram de Ma est situé sur une colline semi-désertique. Ma était là pour un court séjour. Le chef du district, Narsingh Babu, vint à l'ashram le soir même. Mataji était dans sa chambre au premier étage. Elle semblait l'attendre et l'entraîna aussitôt sur la véranda qui donne à l'ouest. De là, elle lui désigna du doigt un endroit en contrebas qui mesurait environ cinq mètres sur sept. « Tu vois, dit-elle, là-bas sous terre, un bon nombre de statues de dieux et de déesses sont cachées. Il m'ont dit : « C'est irritant de rester enterrés. Sors-nous de là. »

Mataji regarda Narsingh Babu d'une manière engageante : « Peux-tu faire quelque chose à ce sujet ? » Ce dernier avait perdu sa mère à un âge précoce et avait bénéficié de la gentillesse de Ma à bien des occasions. Sans aucune hésitation il promit de faire de son mieux. Il savait très bien qu'il s'agirait d'une tâche extrêmement difficile car le sol était rocailleux. Il était nécessaire de faire appel à des experts.

Bientôt le chantier battit son plein. Le premier jour, les ouvriers ouvrirent un trou de trois mètres sur six ; de statues... pas la moindre trace ! Les travailleurs dépités se dirent : « Il n'y a là que de la pierraille et rien d'autre ! »

Le second jour, Mataji leur demanda sans hésiter de poursuivre leur tâche. Narsingh Babu savait que Mataji ne disait pas un mot en vain, il encouragea donc ses ouvriers, les assurant du succès. Ils creusèrent...

La fosse s'agrandit ; on retira de gros rochers mais on ne trouva pas une seule statue. Mataji dit : « Continuez à chercher ! »

Les ouvriers doutaient du bon sens de cette entreprise mais ils suivirent les ordres de leur chef. Lui était bien décidé à se plier au souhait de Ma. La fouille continua. Quelques temps plus tard, le Chef de district travaillait à son bureau. L'ingénieur l'appelle au téléphone, très excité : « Venez immédiatement, nous venons de trouver les statues ! » Narsingh Babu n'avait pas besoin de se le faire dire deux fois, il alla en toute hâte sur le terrain de l'ashram. On avait exhumé environ deux cents statues en bon état ! Toutes de réelles oeuvres d'art...

La nouvelle de la découverte se répandit comme une traînée de poudre. Affluèrent de partout à Vindhyachal des archéologues, des journalistes, des curieux. Cette découverte stupéfiante intéressa aussi des spécialistes de divers pays. Mais Elle, qui était la cause première de tout ce bouleversement, ne jeta qu'un seul regard à ces statues, puis s'en fut, comme si rien de particulier ne s'était produit.

5 juillet 2013

Les épandages aériens de produits chimiques dans l'atmosphère et réduction de la population par stérilisation.

 

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Communément dénommés par l'appellation anglophone « chemtrails »,
les épandages aériens réalisés dans l'atmosphère de nombreux pays sont la cible de toutes les spéculations. Bien que leur existence soit historiquement bel et bien avérée, l'immense majorité de la population n'a pas même connaissance de cette théorie classée par la doxa médiatique dans la catégorie des élucubrations conspirationnistes.
 
Réalité des épandages

Les épandages aériens de produits chimiques dans l'atmosphère ont une histoire relativement ancienne, remontant au moins au début du siècle dernier :
déjà en 1927, Donald Bradner et Nicholas Oglesby déposèrent un brevet pour un système de diffusion de produits chimiques à partir d'avions. [2] Des centaines d'autres brevets en lien avec la modification du climat, qu'ils concernent de nouveaux moyens d'épandage ou de nouveaux produits chimiques, seront officiellement déposés de 1927 à nos jours, [3] les produits chimiques étant dès lors stockés au sein d'importants containers à bord des avions. En ce qui concerne les dispositifs extérieurs de vaporisation, de nombreux brevets militaires, publics et privés expliquent comment il est possible d'éjecter différents agents chimiques dans la stratosphère ou la troposphère par le biais de mécanismes complexes encastrés sur le réacteur d'avion ou intégrés directement à l'intérieur du réacteur.

Des motifs inhabituels dus aux trajectoires excentriques prises par certains avions épandeurs peuvent d'ailleurs régulièrement être observés : courbes, zig-zags, boucles, cercles... Dans le ciel de New-York, un avion alla même jusqu'à tracer le message « LAST CHANCE » (littéralement, « DERNIÈRE CHANCE ») en allumant et en coupant alternativement son système d'épandage. [4] Que ces tracés surprenants soient le fait de pilotes téméraires n'appréciant guère de déverser des produits dont ils ne connaissent sûrement pas la nature dans l'atmosphère, au risque de heurter leur hiérarchie, ne serait que peu surprenant. La question n'est donc pas tant de savoir si ces épandages existent, mais bel et bien à quoi ils sont destinés.
L'une des explications les plus couramment avancées est la modification du climat : en 1946, le Dr. Schaeffer de General Electric fit en effet la découverte que le déversement d'iodure d'argent au sein des nuages favorisait les précipitations,
[5] à la suite de quoi furent lancés par l'armée des États-Unis
les projets Cirrus (1947-1952), Storm fury (1961-1983) et Popeye (1967-1972),
qui prévoyaient notamment le contrôle des précipitations ou de la trajectoire des ouragans. [6,7,8] Historiquement, toutefois, certains de ces épandages avaient des objectifs bien différents.

En 2002, un rapport gouvernemental apporte la preuve que l'armée britannique a mené des opérations d'épandage de substances toxiques à grande échelle sur sa propre population entre 1940 et 1979. [9] De 1955 à 1963, notamment, de très importantes quantités de sulfide de cadmium zinc sont déversées le long des côtes britanniques. Il était affirmé aux militaires en charge de ces programmes que les épandages concernaient uniquement des expériences climatiques.
Les États-Unis effectueront des tests identiques sur l'ensemble de leur territoire
[10] : dénommés par l'acronyme « LAC » (Large Area Coverage – littéralement, Couverture de Larges Surfaces), ces programmes avaient deux objectifs principaux : tester l'effet d'une substance nocive sur une large part des populations de ces pays, et comprendre comment conduire les épandages afin d'optimiser les surfaces touchées en fonction des conditions météorologiques. 

Les propriétés fluorescentes du zinc permettaient à l'armée de repérer la dispersion des produits répandus depuis des bases terrestres : des particules de sulfide de cadmium zinc seront ainsi repérées à des distances supérieures à 2 000 km du point de largage. Concrètement, cela signifie que les habitants de Paris seraient concernés par d'éventuels épandages à la frontière occidentale de la Russie. Un vol de 600 km permettait ainsi le relâchement d'environ 2 tonnes de sulfide de cadmium zinc.
[11] Bien que les gouvernements britannique et états-unien aient affirmé l'innocuité des substances répandues, le cadmium était déjà considéré lors de la Seconde guerre mondiale comme arme chimique par les Alliés eux-mêmes.
Il est actuellement considéré comme un métal extrêmement toxique, dont les effets sur la santé vont des problèmes respiratoires au cancer en passant par l'insuffisance rénale ou les dommages au foie. [12] De 1961 à 1968, ce sont des bactéries telles que le bacille globigii, simulant le comportement de l'anthrax, et escherichia coli qui sont déversées sur les îles britanniques. Des tests similaires seront de nouveaux reproduits de 1971 à 1975, les armées britannique et états-unienne travaillant cette fois-ci en collaboration. La sociologue Lisa Martino-Taylor, ayant eu accès à des documents militaires déclassifiés, a quant à elle révélé que l'armée des États-Unis ajoutait des particules radioactives au sulfide de cadmium zinc, notamment au-dessus des quartiers populaires [13a,13b] : aucun homme politique ne fut averti de ces épandages et il était répondu aux plus curieux que l'armée testait des écrans chimiques pour se protéger contre une éventuelle attaque soviétique.

En réalité, le Département de la défense des États-Unis effectuait également de nombreux tests d'armes biologiques sur sa population en des endroits localisés – sans épandages aériens donc : le Dr. Hanley Stanson, ancien scientifique au sein de l'armée, révélera en 2010 qu'il existait bien plus de programmes que les huit officiellement reconnus en 1976 par le Pentagone. Pour la seule région de la Nouvelle-Angleterre, plus d'une vingtaine de programmes existaient dans les années 50 et 60. [14] Ce n'était pourtant qu'un début au sein des recherches sur les armes biologiques : à partir des années 70, une mini-révolution s'opéra avec, notamment, les Defense Appropriations for 1970, autorisant le déblocage de fonds colossaux pour les recherches sur les armes biologiques. Lors d'une audience devant le Congrès, le Dr. MacArthur dressa un état des lieux de la discipline qui allait selon lui passait de l'étude des microorganismes existants à la création par bio-ingénierie de tous nouveaux agents pathogènes. [15] D'après d'anciens scientifiques ayant travaillé à l'obscur Fort Detrick, le nombre de projets sur la conception de nouveaux agents pathogènes en tous genres explosa dès lors. [16] Si la vaporisation de produits toxiques dans l'atmosphère afin d'y exposer volontairement les populations civiles est un fait historique avéré et que les arguments utilisés pour justifier ces épandages aux yeux des effecteurs de ces programmes et des civils indiscrets étaient systèmatiquement la protection des populations contre l'éventuelle attaque d'un état tiers ou la modification du climat, il ne semble plus possible de considérer que cela puisse être le cas aujourd'hui. Aucune raison ne justifie pourtant que les épandages aériens furent abandonnés à la fin des années 70, au contraire.
 
Un détour par le néomalthusianisme

La question du contrôle de la population mondiale sur la scène publique étant actuellement un sujet non seulement inabordé mais, plus que cela, tabou, cela ne fut pourtant pas toujours le cas : au cours de la seconde moitié du vingtième siècle, les néomalthusiens n'étaient pas aussi timides qu'ils le sont aujourd'hui.
Avec la création en 1961 de la première mégastructure écologique, le World Wildlife Fund par, entre autres, le Prince Bernhard, Julian Huxley (le frère de l'auteur du Meilleur des mondes) ainsi que Godfrey Rockefeller, le mouvement environnementaliste contemporain révèle ses accointances plus que troublantes avec les idéologies néomalthusienne et eugéniste. [17a,17b] Le premier était membre du NSDAP, le parti nazi, et a toujours été suspecté par les services de renseignement britannique d'être un agent double nazi même après qu'il eut rendu sa carte du parti en 1936. [18a,18b] Inventeur du concept de transhumanisme, le second était un ardent défenseur de l'eugénisme et membre proéminent de la British Eugenics Society dont il fut vice-président puis président. [19] Le dernier appartient quant à lui à la sulfureuse famille Rockefeller dont les liens avec le contrôle de la population sont non seulement multiples mais assumés.

Il existe essentiellement deux moyens de réduire le nombre d'individus d'une population dans le temps : faire baisser le taux de natalité et augmenter le taux de mortalité. Que de nombreux organismes se soient activement employés à trouver des solutions pour le premier est loin d'être un secret, et au premier chef desquels la Fondation Rockefeller qui explique très clairement dans son rapport officiel de 1968 s'intéresser à l'élaboration de vaccins stérilisants [20]. Le célèbre rapport du Club de Rome de 1972, The Limits to Growth (littéralement, Limites à la croissance), popularisera l'idée selon laquelle l'augmentation constante de la population, étant donnée la finitude des ressources naturelles, représente un danger pour l'humanité dans son ensemble. En 1980, le rapport confidentiel National Security Study Memorandum, rédigé sous la direction de Henry Kissinger en 1974, fut déclassifié. [21] Il appelait notamment à une réduction massive de la population dans l'ensemble des pays du tiers-monde : plus particulièrement visés étaient l'Inde, le Bangladesh, le Pakistan, le Nigéria, le Mexique, l'Indonésie, le Brésil, les Philippines, la Thaïlande, l'Égypte, la Turquie, l'Éthiopie et la Colombie. Établissant que les meilleurs moyens d'arriver à des résultats probants sont les famines, les guerres et les programmes de stérilisation, le rapport contient des directives à mettre en place explicitement via le financement de l'organisation non-gouvernementale US Aid au sein de sections dont les titres parlent d'eux-mêmes : Action pour créer les conditions du déclin de la fertilité : population et stratégie d'assistance du développement, par exemple.

La même année, John D. Rockefeller III fut l'orateur principal à la conférence réservée aux organisations non-gouvernementales lors de la première Conférence sur la population des Nations unies à Bucarest. [22] Il y plaidera toujours plus la 
« réduction de la population » dans les pays du tiers-monde ainsi que le contrôle des technologies à la disposition de ces derniers afin d'empêcher un développement trop rapide. Seulement, le contrôle de la fertilité n'a apparemment pas paru suffisamment efficace pour une stabilisation rapide de la population.
Les moyens envisagés par les aspirants à une moindre population mondiale évolueront alors de la réduction de la fertilité dans les années 70 à des scénarios plus radicaux dans les années 80 et 90 concernant l'augmentation du taux de mortalité, voire l'effondrement civilisationnel. Ami du Prince Bernhard et troisième président du WWF, le Prince Philip déclarait par exemple en1988 [23] :

« Dans l'éventualité où je serais réincarné, j'aimerais l'être en tant que virus mortel, afin de contribuer à résoudre le problème de la surpopulation. »

En 1991, quelques temps avant de devenir consultant pour les Nations unies et la Banque mondiale, Jacques Cousteau s'exprimait quant à lui dans une entrevue avec le journal Unesco Courier [24] :

« La population mondiale doit être stabilisée, et pour cela nous devons éliminer 350 000 personnes par jour. C'est si terrible à contempler que nous ne devrions même pas dire cela. Mais la situation générale dans laquelle nous nous trouvons est lamentable. »

En septembre 1991, un document issu du groupe de réflexion britannique Cobden Clubs aurait circulé dans certains milieux chargés de l'organisation du Sommet de la Terre de Rio de Janeiro de 1992. Il y aurait été noté [25] :

« Étant données les instabilités globales, dont celles du bloc de l'ex-Union soviétique, le besoin d'un contrôle ferme de la technologie, de l'armement et des ressources naturelles à travers le monde est désormais absolument essentiel. La réduction immédiate de la population mondiale, d'après les recommandations du Fonds Draper des années 1970, doit être mise en place immédiatement. L'importante surpopulation actuelle, désormais bien au-delà de la capacité de support du monde, ne peut plus être résolue par des réductions futures dans le taux de natalité via la contraception, la stérilisation ou l'avortement, mais doit être adressée dans le présent par la réduction du nombre d'individus existants.
Cela doit être fait par n'importe quel moyen nécessaire. »

Ce document ayant été mis en ligne de façon anonyme, sa crédibilité reste toutefois relative. Il est néanmoins certain que les véritables enjeux de l'organisation du Sommet de la Terre de Rio de Janeiro étaient plus complexes que ceux présentés par les médias dominants, d'importantes tensions se faisant jour entre les Nations unies et les pays en développement. À propos de la confiscation des ressources naturelles et refusant de céder la souveraineté de son pays aux Nations unies, le général brésilien Sotero Vaz en charge du commandement militaire amazonien, menacera peu avant la conférence de s'opposer militairement aux Nations unies si celles-ci attentaient à la souveraineté brésilienne. [26] L'Inde, la Chine, les Philippines, le Chili, le Vénézuela, l'Éthiopie, le Ghana et la Malaysie enverront également leurs négotiateurs faire comprendre aux experts occidentaux des Nations unies qu'ils savaient de quoi il retournait. Maurice Strong, le sous-secrétaire général et organisateur principal du Sommet de Rio, s'était fait quant à lui depuis longtemps l'avocat de l'effondrement du monde civilisé. [27] En 2002, lors du second Sommet de la Terre à Johannesbourg, les luttes d'influence s'exerçant dans les coulisses du pouvoir furent au moins aussi importantes. L'ex-général russe Konstantin Petrov accusa publiquement les dirigeants des banques et des multinationales de poser un ultimatum aux dirigeants mondiaux en exigeant la réquisition de l'ensemble des infrastructures essentielles au développement humain telles que l'eau, l'énergie et les matières premières, de s'approprier d'immenses réserves naturelles en Russie ainsi que de vouloir réduire drastiquement la population mondiale, d'un facteur deux ou trois. [29] Un chiffre corroboré par le réalisateur Aaron Russo dans l'entrevue qu'il donnera à propos de ses discussions avec Nicholas Rockefeller. [30]

Retour aux épandages aériens

C'est dans ce contexte de radicalisation des idées néomalthusiennes qu'à partir de l'extrême fin des années 1990, les épandages aériens acquérirent une envergure jusque-là inégalée dans certaines régions du monde, à commencer par les États-Unis, et attirèrent de ce fait l'attention du public vigilant. De nombreux échantillons de l'air ambiant seront prélevés par des organismes et laboratoires indépendants, révélant des quantités anormalement élevées de métaux lourds tels que l'aluminium, le baryum ou le strontium dont les effets toxiques sur la santé sont dévastateurs. Des échantillons de l'air de Phoenix montraient par exemple des taux d'aluminium et de baryum respectivement 6 400 et 278 fois plus élevés que la limite toxique fixée par le gouvernement des États-Unis. [31] Dans son film « Bye bye blue sky », Patrick Pasin révèle que l'armée française a quant à elle déjà passé commande pour l'achat de 10 tonnes de baryum, un métal n'ayant aucune utilité militaire conventionnelle en ces quantités. [32]

Vers le milieu des années 2000, de nombreuses personnes, d'abord aux États-Unis, principalement en Californie, au Texas et en Floride, puis au Canada, en Afrique du sud, en Australie et en Nouvelle-Zélande prétendront être atteints d'une pathologie inconnue (improprement désignée par le terme Morgellons) comprenant de multiples symptômes tels que lésions de la peau, douleurs osseuses et articulaires, fatigue chronique, anxiété. Les malades prétendaient ressentir la présence d'organismes étrangers et que des fibres de très petite taille étaient expulsées de leur peau.
Des laboratoires indépendants conduisirent des analyses des échantillons dermatologiques envoyés par les malades de différents pays et mirent en évidence l'existence de fibres constitués de différents matériaux tels que du polyéthylène, du silicium ou d'autres matières inorganiques. [33] Une classification des différentes fibres découvertes a été effectuée par Jan Smith. [34] Étudiées en laboratoires, ces fibres ne correspondent à aucune fibre industrielle ou vestimentaire répertoriée et ne brûlent pas lorsqu'elles sont soumises à des températures supérieures à 950°C.
Très probablement issues de la nano-ingénierie militaire, elles seraient capables d'interagir avec les éléments constitutifs du corps humain afin de se développer au sein-même des organismes des malades.

Parmi les premiers à s'être intéressés à la question et à avoir proposé des moyens de soulager les symptômes expérimentés par les malades, Cliff Carnicom et le Dr. Gwen Scott mirent en évidence le lien entre les fibres extraites des lésions cutanées des malades et les épandages aériens. Ils prétendirent également avoir été contactés en 2009 par l'une des personnes en charge du développement de certaines de ces fibres, ayant travaillé pour l'armée des États-Unis et ayant été persuadée que ces fibres seraient utilisées dans des conflits extérieurs afin d'affaiblir la condition des combattants ennemis, sauvant ainsi la vie des soldats états-uniens. [35a,35b] En réalité, un réseau complexe d'agents pathogènes, aussi bien organiques qu'inorganiques et pouvant interagir, serait répandu dans l'atmosphère :
fibres, métaux lourds, bactéries, champignons, virus. Des informations identiques seront confiées à Hank P. Albarelli Jr. par des scientifiques de Fort Detrick :
le développement de nano-robots y commença après les Defense Appropriations for 1970, lorsque le Pentagone s'engagea dans une multitude de projets de bio-ingénierie. [36]

S'il est parfois suggéré que les épandages puissent avoir un lien avec le contrôle du climat, la présence de telles armes biologiques parmi les substances relâchées plaident plutôt en faveur d'un programme de dépopulation : comme cela fut le cas au cours des opérations Large Area Coverage au Royaume-Uni et aux États-Unis,
la modification du climat n'est-elle pas plutôt le prétexte donné aux effecteurs des épandages que l'objectif ? Il est d'ailleurs remarquable que la menace du réchauffement climatique, plus que controversée au sein du monde scientifique,
soit apparue à la fin des années 1980 (la création du GIEC datant de 1988) simultanément à la radicalisation idéologique des néomalthusiens : sans elle,
la justification d'un programme de grande ampleur d'épandages aériens eut été certainement plus délicate. Les avancées des dernières décennies en nano-ingénierie ouvrent par ailleurs malheureusement la voie à des possibilités infinies en matière d'affaiblissement du système immunitaire. Des problèmes qui ne seront sérieusement adressés que lorsqu'un débat public sera autorisé, si jamais cela est même envisageable...


http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/chemtrails-et-depopulation-une-136230
http://fr.groups.yahoo.com/group/acseipica/ par Dominique Pelissier.
http://stop-chemtrails.skyrock.com/
http://www.cielvoile.fr/article-chemtrails-et-depopulation-une-approche-historique-118035954.html

 
5 juillet 2013

L’Allemagne veut sauver les banques en difficulté en opérant une ponction sur les dépôts et les actifs de 8%

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les ministres des Finances de l’UE ne sont pas parvenus à se mettre d’accord pour garantir la survie des banques en difficultés au terme de 20 heures de discussion.Mercredi, ils poursuivront les débats pour tenter de parvenir à une solution avant le prochain sommet européen de jeudi et vendredi.

Le ministre des Finances allemand Wolfgang Schäuble a proposé que les actionnaires, les créanciers, les déposants et les titulaires de comptes subissent une ponction de 8%, affirmant que cette solution demeurait plus favorable pour eux, car leurs pertes seraient beaucoup plus importantes si les banques faisaient faillite.

Son collègue français Pierre Moscovici juge que cette mesure va trop loin. Comme les ministres des Finances de la Grande-Bretagne et de la Suède, il craint qu’elle ne provoque une ruée bancaire massive, et il préfère que les pays conservent une plus grande liberté pour décider ce qui doit être fait au moment où ils seront confrontés à cette question. Pour le ministre des Finances espagnol, Luis de Guindos, ce qui compte, c’est de définir l’ordre dans lequel les différents agents de l’économie seront mis à contribution, et la protection des petits épargnants.

Mais Schäuble et Moscovici ne sont pas parvenus à surmonter leur désaccord. Le ministre des Finances allemand a estimé que les règles ne pouvaient pas être à géométrie variable en fonction des situations, parce que cela pourrait créer un avantage concurrentiel pour certaines banques.

La contribution forcée des déposants a été un sujet tabou jusqu’au début de cette année, avec le plan de sauvetage de Chypre. La solution adoptée dans l’île méditerranéenne, la contribution obligatoire des épargnants possédant des dépôts supérieurs à 100.000 euros pour sauver «Leur» banque, a créé un précédent qui servira désormais de modèle pour le sauvetage des banques à l’avenir.

L’idée de Schäuble n’est pas nouvelle. Déjà en 2011 le Boston Consulting Group avait estimé qu’imposer une taxe de 30% sur tous les actifs serait la seule façon de sortir de la crise de l’euro. Selon certains économistes il n’y a pas d’autre solution que de prendre l’argent là où il est : sur les comptes des épargnants.

Entre 2008 et 2011, les contribuables européens ont consacré plus de 4,5 trillions d’euros, soit un tiers du PIB de l’UE, au sauvetage des pays et des banques.

Source : http://news360x.fr/lallemagne-veut-sauver-les-banques-en-difficulte-en-operant-une-ponction-sur-les-depots-et-les-actifs-de-8/express.be

5 juillet 2013

le Pr Henri Joyeux, cancérologue a déclaré " 85 % des chimiothérapies sont contestables, voire inutiles"

 

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La vérité très indésirable sur la chimio

Cela fait des années que la chimiothérapie est dénigrée par de très nombreux cancérologues, français et américains et non des moindres, ont osé exprimer leur doute quant aux guérisons obtenues par les voies classiques.

Hardin B Jones, alors professeur de Physique médicale et de Physiologie à Berkeley, avait déjà communiqué en 1956 à la presse les résultats alarmants d’une étude sur le cancer qu’il venait de mener durant vingt-trois ans auprès de cancéreux et qui l’avait conduit à conclure que les patients non traités ne mourraient guère plus vite que ceux qui recevaient la chimiothérapie, bien au contraire. « Les patients qui ont refusé tout traitement ont vécu en moyenne douze ans et demi. Ceux qui se sont soumis à l’intervention chirurgicale et aux autres traitements traditionnels ont vécu en moyenne trois ans seulement[1]. » Et le Dr Jones soulevait aussi la question des sommes fabuleuses engendrées par le « Cancer business ». Les conclusions déstabilisantes du Dr Jones n'ont jamais été réfutées. (Walter Last, The Ecologist, vol. 28, n°2, Mars-avril 1998.)
Le 4 octobre 1985, le Pr. G.eorges Mathé confirmait à L’Express : « Il y a de plus en plus de cancers parce que le dépistage est beaucoup plus précoce, mais on ne les maîtrise pas aussi bien qu’on le dit, malgré la chimiothérapie qui est surtout prônée par les chimiothérapeutes et par les laboratoires [ce qu’il  appelait la « cancer-connection], et pour cause : ils en vivent. Si j’avais une tumeur, je n’irais pas dans un centre anticancéreux » (cf. Le Monde, 4 mai 1988). À son tour, le Dr Martin Shapiro écrivait dans un article « Chimiothérapie : Huile de perlimpinpin ? », : « Certains cancérologues informent leurs patients du manque d’évidence que ce traitement soit utile, d’autres sont sans doute égarés par l’optimisme des parutions scientifiques sur la chimiothérapie. D’autres encore répondent à une stimulation économique. Les praticiens peuvent gagner davantage en pratiquant la chimiothérapie qu’en prodiguant consolation et apaisement aux patients mourants et à leurs familles. » (cf. Los Angeles Times, 1er septembre 1987).
Cet avis est largement partagé par les docteurs E. Pommateau et M. d’Argent qui estiment que la chimiothérapie « n’est qu’un procédé de destruction de cellules malignes comme la chirurgie ou la radiothérapie. Elle ne résout pas le problème capital des réactions de l’hôte qui devrait être, en dernier ressort, les seules à rechercher pour arrêter la poussée cancéreuse »  (Leçons de cancérologie pratique).
Pour sa part, le Pr Henri Joyeux, cancérologue à Montpellier, a déclaré à maintes reprises que « ce sont des intérêts financiers gigantesques qui permettent d'expliquer que la vérité scientifique soit encore aujourd'hui trop souvent occultée : 85 % des chimiothérapies sont contestables, voire inutiles ».
Pour eux, comme pour bien d’autres médecins, les seuls cas de guérison avec cette thérapeutique sont des cas qui peuvent guérir spontanément, c’est-à-dire dans lesquels l’hôte peut organiser ses propres défenses. Il est difficile d’être plus clair : la chimiothérapie ne sert à rien ! Et pour la progression des cas de guérisons, le Dr Jean-Claude Salomon, directeur de recherche au CNRS, cancérologue, estime que le pourcentage de survie à cinq ans après le diagnostic initial s’est accru pour la seule raison que l’on sait faire des diagnostics plus précoces, mais que s’il n’est pas accompagné d’une baisse de la mortalité, l’augmentation du pourcentage de survie à cinq ans n’est pas un indice de progrès. « Le diagnostic précoce n’a souvent pour effet que d’allonger la durée de la maladie avec son cortège d’angoisse. Cela contredit bien des affirmations concernant les prétendues avancées thérapeutiques. » (cf. Qui décide de notre santé. Le citoyen face aux experts, Bernard Cassou et Michel Schiff, 1998) Le Dr Salomon précise qu’on comptabilise sans distinction les vrais cancers et des tumeurs qui n’auraient sans doute jamais provoqué de maladie cancéreuse, ce qui contribue à augmenter artificiellement le pourcentage des cancers « guéris ». Cela augmente aussi, évidemment, celui des cancers « déclarés ». Encore un fait confirmé par le Dr Thomas Dao, qui fut directeur du département de chirurgie mammaire au Roswell Park Cancer Institute de Buffalo de 1957 à 1988 : « Malgré l'usage répandu de la chimiothérapie, le taux de mortalité par cancer du sein n'a pas changé ces 70 dernières années. » Ainsi que par John Cairns, Professeur de microbiologie à l’université d’Harvard, qui a publié en 1985, une critique dans le Scientific American : « À part quelques rares cancers, il est impossible de déceler une quelconque amélioration par la chimiothérapie dans la mortalité des cancers les plus importants. Il n’a jamais été établi que n’importe quel cancer peut être guéri par la chimiothérapie. » Nouvelle confirmation du Dr Albert Braverman, hématologue et cancérologue New Yorkais, dans le Lancet : « De nombreux cancérologues recommandent la chimiothérapie pour pratiquement toutes les tumeurs, avec un optimisme non découragé par un échec quasi immanquable […] aucun néoplasme disséminé, incurable en 1975, n’est guérissable aujourd’hui. » (cf. La Cancérologie dans les années 1990,  vol. 337, 1991, p.901). Quant au Dr Charles Moertal, cancérologue de la Mayo Clinic, il admet que : « Nos protocoles les plus efficaces sont pleins de risques et d’effets secondaires ; et après que tous les patients que nous avons traités aient payé ce prix, seule une petite fraction est récompensée par une période transitoire de régression incomplète de la tumeur. »

Alan Nixon, ancien Président de l’American Chemical Society, est encore plus radical : « En tant que chimiste, entraîné à interpréter des publications, il m’est difficile de comprendre comment les médecins peuvent ignorer l’évidence que la chimiothérapie fait beaucoup, beaucoup plus de mal que de bien. » 

Ralph Moss est un scientifique non médecin qui étudie le cancer depuis des lustres. Il écrit des articles sur le sujet dans de prestigieux journaux, tels que leLancet, le Journal of the National Cancer Institute, le Journal of the American Medical Association, le New Scientist, et a publié un ouvrage The Cancer Industry[2] : « Finalement, il n’existe aucune preuve que la chimiothérapie prolonge la vie dans la majorité des cas, et c’est un grand mensonge d’affirmer qu’il existe une corrélation entre la diminution d’une tumeur et l’allongement de la vie du patient. » Il avoue qu’il croyait autrefois en la chimiothérapie, mais que l’expérience lui a démontré son erreur : « Le traitement conventionnel du cancer est tellement toxique et inhumain que je le crains davantage que mourir d’un cancer. Nous savons que cette thérapie ne marche pas — si elle marchait vous ne craindriez pas davantage le cancer qu’une pneumonie. […] Cependant, la plupart des traitements alternatifs, quelles que soient les preuves de leur efficacité, sont interdits, ce qui oblige les patients à se diriger vers l’échec car il n’ont pas d’alternative. Le Dr Maurice Fox, professeur émérite de biologie au MIT (Massachusetts Institute of Technology)[3] a constaté, comme nombre de ses pairs, que les cancéreux qui refusaient les soins médicaux avaient un taux de mortalité inférieur à ceux qui les acceptaient.

Le Centre du Cancer de l’université McGill au Canada a envoyé un questionnaire à 118 médecins spécialisés dans le cancer des poumons afin de déterminer le degré de confiance qu’ils accordaient aux produits que les scientifiques de l’université étaient en train d’évaluer. On leur demandait d’imaginer qu’ils avaient un cancer et de dire quel médicament ils choisiraient parmi six autres en cours d’essais. Il y eut 79 réponses des médecins, parmi lesquelles 64, soit 81 % n’accepteraient pas de participer aux essais de la chimiothérapie à base de Cisplatine qu’ils étaient en train de tester et 58 autres médecins parmi les mêmes 79, soit 73 %, estimaient que les essais en question étaient inacceptables, étant donne l’inefficacité des produits et leur degré élevé de toxicité[4].

De son côté, le Dr Ulrich Abel, épidémiologiste allemand du Centre du cancer de Heidelberg-Mannheim, a passé en revue tous les documents publiés sur la chimiothérapie par plus de 350 centres médicaux à travers le monde. Après avoir analysé, pendant plusieurs années, des milliers de publications, il a découvert que le taux global de réussite de la chimiothérapie à travers le monde était « lamentable », seulement 3 %, et qu'il n’existe tout simplement aucune preuve scientifique indiquant que la chimiothérapie pouvait « prolonger de façon sensible la vie de patients souffrant des cancers organiques les plus courants ». Il qualifie la chimiothérapie de « terrain vague scientifique » et affirme qu'au moins 80 % de la chimiothérapie administrée à travers le monde est inutile et s'apparente aux « habits neufs de l'empereur », alors que ni le docteur ni le patient ne souhaitent renoncer à la chimiothérapie. Le Dr Abel a conclu : « Nombre de cancérologues tiennent pour acquis que la chimiothérapie prolonge la vie des patients. C'est une opinion fondée sur une illusion qui n'est étayée par aucune des études cliniques[5] ». Cette étude n’a jamais été commentée par les grands médias et a été entièrement enterrée. On comprend pourquoi.

En résumé, la chimiothérapie est elle est très toxique et ne peut faire la différence entre les cellules saines et les cellules cancéreuses. Elle détruit peu à peu le système immunitaire qui ne peut plus protéger le corps humain des maladies ordinaires. Quelque 67 % des gens qui meurent pendant le traitement de leur cancer le doivent à des infections opportunistes qui n’ont pas été combattues par le système immunitaire.

L’étude la plus récente et significative a été publiée par le journal Clinical Oncology[6] et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward[7] de l’Université de New South Wales-St. Vincent's Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney.
Leur travail minutieux est basé sur l’analyse des résultats de toutes les études contrôlées en double aveugle menées en Australie et aux États-Unis, concernant la survie de 5 ans mise au crédit de la chimiothérapie chez les adultes durant la période de janvier 1990 à janvier 2004, soit un total de 72 964 patients en Australie et de 154 971 aux États-Unis, tous traités par chimiothérapie. Cette vaste étude démontre qu’on ne peut plus prétendre, comme de coutume, qu’il ne s’agit que de quelques patients, ce qui permet aux systèmes en place de les balayer avec mépris du revers de la main. Les auteurs ont délibérément opté pour une estimation optimiste des bénéfices, mais malgré cette précaution, leur publication prouve que la chimiothérapie ne contribue qu’à un peu plus de 2 % à la survie des patients après 5 ans, soit  2,3 % en Australie, et 2,1 % aux États-Unis.
 
 
« Certains praticiens restent pourtant optimistes et espèrent que la chimiothérapie cytotoxique[8] prolongera la vie des cancéreux », ont déclaré les auteurs dans leur introduction. Ils demandent à juste raison, comment il se fait qu’une thérapie qui a si peu contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années, continue à obtenir un tel succès dans les statistiques des ventes. Il est vrai qu’on peut leur répondre que les patients peu curieux ou simplement affolés n’ont aucun choix : on ne leur propose rien d’autre.
Massoud Mirshahi, chercheur à l’université Pierre et Marie Curie et son équipe ont découvert en 2009 que de nouvelles cellules du micro-environnement tumoral seraient impliquées dans la résistance à la chimiothérapie des cellules cancéreuses et les récidives avec l’apparition de métastases. Ces cellules ont été appelées « Hospicells », car elles servent de niches qui ont la propriété de fixer un grand nombre de cellules cancéreuses et de les protéger de l’action de la chimiothérapie.
Les « Hospicells » proviennent de la différenciation des cellules souches de moelle osseuse, et sont présentes dans les épanchements chez les malades atteints de cancers (liquide d’ascite, épanchements pleuraux). Les cellules cancéreuses, agglutinées autour d’une « Hospicell », forment de véritables petits nodules cancéreux.
Dans ces nodules ont été également identifiées des cellules immuno-inflammatoire.
La microscopie électronique a démontré qu’il y avait des zones de fusion entre les membranes des « Hospicells » et celles des cellules cancéreuses, permettant le passage de matériel d’une cellule à l’autre. De plus, les chercheurs ont observé le transfert de matériel membranaire de l’« Hospicell » vers les cellules cancéreuses, phénomène appelé trogocytose. Plusieurs autres mécanismes, comme le recrutement des cellules immunitaires suppressives ou la sécrétion de facteurs solubles par les « Hospicells » aident aussi à la résistance des cellules cancéreuse contre la chimiothérapie.
Compte-tenu de cette importance, il est suggéré que les cellules cancéreuses « nichées » sur une « Hospicell » pourraient être considérées comme responsables de la maladie résiduelle. Pour la recherche, il importe donc de trouver des drogues susceptibles à la fois de détruire les cellules cancéreuses et les « Hospicells »[9].

L’étude la plus significative a été publiée par le journal Clinical Oncology[10] et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward[11] de l’Université de New South Wales-St. Vincent's Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney.

D’autres études ont paru dernièrement : La première, publiée dans la revue Nature, indique qu'une grande majorité des études sur le cancer sont inexactes et potentiellement frauduleuses. Les chercheurs n'arrivent que rarement à répliquer les résultats des grandes études « de référence ». Parmi 53 études importantes sur le cancer, pourtant publiées dans des revues scientifiques de haut niveau, 47 n'ont jamais pu être reproduites avec des résultats semblables. Ce n'est pas une nouveauté d'ailleurs, puisque, en 2009, des chercheurs de l’University of Michigan's Comprehensive Cancer Center avaient également publié des conclusions de célèbres études sur le cancer, toutes biaisées en faveur de l'industrie pharmaceutique. Et il reste de notoriété publique que certains médicaments contre le cancer provoquent des métastases.

Cette longue liste de publications, toutes négatives et non exhaustives quant aux « bienfaits » de la chimiothérapie, pourraient s’expliquer par les travaux de certains chercheurs de la Harvard Medical School à Boston (USA), qui ont constaté que deux médicaments utilisés en chimiothérapie provoquent le développement de nouvelles tumeurs, et non pas le contraire ! Il s'agit de ces nouveaux médicaments qui bloquent les vaisseaux sanguins qui « nourrissent » la tumeur. Les spécialistes les appellent traitements « anti-angiogénèse ». Ces médicaments, le Glivec et le Sutent (principes actifs, imatinib et sunitinib), ont un effet démontré pour réduire la taille de la tumeur. Cependant, ils détruisent de petites cellules peu étudiées jusqu'à présent, les péricytes, qui maintiennent sous contrôle la croissance de la tumeur. Libérée des péricytes, la tumeur a beaucoup plus de facilité à s'étendre et à « métastaser » dans d'autres organes. Les chercheurs de Harvard considèrent donc maintenant que, bien que la tumeur principale diminue de volume grâce à ces médicaments, le cancer devient aussi beaucoup plus dangereux pour les patients ! (Cancer Cell, 10 juin 2012). Le Professeur Raghu Kalluri, qui a publié ces résultats dans la revue Cancer Cell, a déclaré : « Si vous ne prenez en compte que la croissance de la tumeur, les résultats étaient bon. Mais si vous prenez du recul et regardez l'ensemble, inhiber les vaisseaux sanguins de la tumeur ne permet pas de contenir la progression du cancer. En fait, le cancer s'étend. »

 Une étude encore plus surprenante mais moins récente a été publiée par le journal Clinical Oncology[12] et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward[13] de l’Université de New South Wales-St. Vincent's Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney.
Leur travail minutieux est basé sur l’analyse des résultats de toutes les études contrôlées en double aveugle menées en Australie et aux États-Unis, concernant la survie de 5 ans mise au crédit de la chimiothérapie chez les adultes durant la période de janvier 1990 à janvier 2004, soit un total de 72 964 patients en Australie et de 154 971 aux États-Unis, tous traités par chimiothérapie. Cette vaste étude démontre qu’on ne peut plus prétendre, comme de coutume, qu’il ne s’agit que de quelques patients, ce qui permet aux systèmes en place de les balayer avec mépris du revers de la main. Les auteurs ont délibérément opté pour une estimation optimiste des bénéfices, mais malgré cette précaution, leur publication prouve que la chimiothérapie ne contribue qu’à un peu plus de 2 % à la survie des patients après 5 ans, soit  2,3 % en Australie, et 2,1 % aux États-Unis.

Enfin, une étude publiée dans la revue Nature Medicine en 2012, pourrait changer l'idée que l'on se fait de la chimiothérapie. Les chercheurs du Fred Hutchinson Cancer Research Center de Seattle auraient en effet découvert que celle-ci déclencherait chez des cellules saines la production d'une protéine alimentant les tumeurs.

Alors que des chercheurs travaillaient sur la résistance à la chimiothérapie dans des cas de cancers métastasés du sein, de la prostate, du poumon et du colon, ils ont découvert par hasard que la chimiothérapie, non seulement ne guérit pas le cancer, mais active plutôt la croissance et l’étendue des cellules cancéreuses. La chimiothérapie, méthode standard de traitement du cancer aujourd’hui, oblige les cellules saines à libérer une protéine qui en réalité alimente les cellules cancéreuses et les fait prospérer et proliférer.

Selon l’étude, la chimiothérapie induit la libération dans les cellules saines d’une protéine, WNT16B, qui aide à promouvoir la survie et la croissance des cellules cancéreuses. La chimiothérapie endommage aussi définitivement l’ADN des cellules saines, préjudice à long terme qui persiste longtemps après la fin du traitement par chimio.

 « Quand la protéine WNT16B est sécrétée, elle interagirait avec les cellules cancéreuses proches et les ferait grossir, se répandre et le plus important, résister à une thérapie ultérieure, » a expliqué le co-auteur de l’étude Peter Nelson du Centre de Recherche Fred Hutchinson sur le cancer à Seattle, concernant cette découverte totalement inattendue. « Nos résultats indiquent que dans les cellules bénignes les réponses en retour peuvent contribuer directement à une dynamique de grossissement de la tumeur, » a ajouté l’équipe au complet selon ce qu’elle a observé.


Ce qui revient à dire : Éviter la chimiothérapie augmente les chances de recouvrer la santé.

Comment se fait-il qu’une thérapie qui a si peu contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années continue à obtenir un tel succès dans les statistiques des ventes. Il est vrai que les patients peu curieux ou simplement affolés n’ont aucun choix : on ne leur propose rien d’autre que « le protocole ». À quelle pression le cancérologue actuel est-il soumis pour choisir le traitement du patient ? Jadis, le bon médecin choisissait en son âme et conscience, selon le serment d’Hippocrate, le meilleur traitement pour son patient. Il engageait ainsi sa responsabilité personnelle après un entretien prolongé avec son malade.
« Depuis les années 1990 — et singulièrement de façon de plus en plus autoritaire depuis le plan cancer de 2004 — la liberté de soigner du cancérologue a disparu en France et dans certains pays occidentaux. Au prétexte fallacieux de la qualité des soins, tous les dossiers de patients sont “discutés” en réunion multidisciplinaire où, de fait, l’essai thérapeutique en cours testant les drogues nouvelles est imposé par la “communauté”. Le praticien qui souhaite déroger à ce système doit s’expliquer et encourt tous les ennuis possibles, en particulier celui de voir le service auquel il participe perdre son autorisation de pratiquer la cancérologie. » Le Dr Nicole Delépine résume ainsi ce qui peut arriver quand on s’éloigne des stricts protocoles pour les adapter à la situation personnelle des malades.
Seuls, 3 médecins sur 4 osent refuser la chimio pour eux-mêmes, en cas de cancer, en raison de son inefficacité sur la maladie et de ses effets dévastateurs sur la totalité de l'organisme humain. Mais ce détail est bien caché aux malades.

 Le Docteur Jacques Lacaze, diplômé de cancérologie et ardent défenseur des travaux du Dr Gernez sur le sujet, estime que la seule vraie solution est la prévention. « En effet, un cancer a une vie cachée de 8 ans en moyenne. Durant cette longue période, l'embryon de cancer est très vulnérable, un rien peut le faire capoter. TOUS les spécialistes admettent cette réalité, mais très peu d'entre eux préconisent une politique de prévention. Pourtant, elle est facile à mettre en œuvre. Nous savons que la courbe d'incidence du cancer démarre vers 40 ans, donc qu'un futur cancer s'installe vers 32 ans. L'étude SUVIMAX a montré qu'une simple complémentation en vitamines et sels minéraux suffisait à faire baisser cette incidence de cancers d'environ 30 %. Cette étude a duré 8 ans. Aucune conséquence en politique de santé publique n'en a été tirée. Bien entendu, l'industrie pharmaceutique ne veut pas en entendre parler : on ne scie pas la branche sur laquelle on est assis. Le corps médical est sous la coupe des “grands patrons” qui font la pluie et le beau temps et qui sont grassement rémunérés par cette industrie (cherchez sur internet, vous verrez que la plupart de ces grands patrons émargent d'une façon ou d'une autre à un laboratoire). Et la majorité des médecins de base suivent sans broncher ! Et malheur à ceux qui pensent le contraire et qui contestent chimiothérapie ou vaccins ou antibiothérapie. […] Je dois ajouter, car cela correspond à ma pratique et à des études réelles faites par quelques services spécialisés, de nombreux produits qualifiés de complémentaires ou alternatifs sont efficaces, mais interdits et pourchassés par les autorités aux ordres de l'industrie pharmaceutique. »

Pour en savoir plus, sur la prévention des cancers, vous pouvez consulter le site gernez.asso.fr

Il ne faut pas oublier dans cette affaire que seule la pression des personnes concernées, c'est à dire nous tous, fera plier ce système. 

       


[1] Transactions of the N.Y. Academy of Medical Sciences, vol 6, 1956.

 

[2] Equinox Press, 1996.

 

[4] Cité par le Dr Allen Levin, dans son ouvrage The Healing of Cancer.

 

[5] Abel U. « Chemotherapy of advanced epithelial cancer, a critical review ». Biomed Pharmacother. 1992 ; 46(10) : (439-52).

 

[6] « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294.

 

[7] Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine.

 

[8] Propriété qu'a un agent chimique ou biologique d'altérer et éventuellement détruire des cellules.

 

[9] Oncologic trogocytosis of an original stromal cells induces chemoresistance of ovarian tumours. Rafii A, Mirshahi P, Poupot M, Faussat AM, Simon A, Ducros E, Mery E, Couderc B, Lis R, Capdet J, Bergalet J, Querleu D, Dagonnet F, Fournié JJ, Marie JP, Pujade-Lauraine E, Favre G, Soria J, Mirshahi M.

 

[10] « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294.

 

[11] Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine.

 

[12] « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294.

 

[13] Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine.

 http://www.sylviesimonrevelations.com/article-la-verite-tres-indesirable-sur-la-chimiotherapie-118907562.html

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4 juillet 2013

CEA ChArMEx Chemistry-Aerosol Mediterranean Experiment et l’origine d’une aggravation des conditions météorologiques estivales

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Communiqué de presse CEA / CNRS du 20 juin 2013

 

Du 10 juin au 10 août 2013, le CEA et le CNRS coordonnent une grande campagne de mesures en vue d’établir l’état des lieux le plus complet de la pollution atmosphérique en Méditerranée. Ce projet international, nommé ChArMEx (Chemistry-Aerosol Mediterranean Experiment), partie intégrante du méta-programme international interdisciplinaire MISTRALS (Mediterranean Integrated STudies at Regional and Local Scales), vise à améliorer notre compréhension des interactions entre pollution atmosphérique et climat. Ces interactions pourraient être à l’origine d’une aggravation des conditions météorologiques estivales chaudes et sèches dans le bassin méditerranéen, ainsi que d’une augmentation de la détérioration de la qualité de l’air.


La Méditerranée est un laboratoire naturel qui permet d’étudier l’effet du réchauffement climatique et de prédire la qualité de l’air d’une grande partie de l’Europe. Plus d’une centaine de scientifiques d’une dizaine de pays (1) sont mobilisés dans et autour du bassin occidental pour réaliser l’inventaire le plus complet jamais réalisé des espèces chimiques présentes dans l’atmosphère, de leurs transformations au cours du transport des masses d’air, et de leurs impacts sur le climat régional.


Une vaste panoplie de moyens d'observation sera déployée en Méditerranée nord-occidentale : des avions pour réaliser des mesures aéroportées et radiosondages, des ballons dérivants, des ballons sondes, ainsi qu’un voilier fonctionnant avec une pile à hydrogène, pour ne pas polluer les relevés. En parallèle, les mesures depuis le sol seront renforcées sur huit sites en France, en Italie et en Espagne, grâce à la mise en place d'instruments de mesures atmosphériques (lidars, radiomètres, compteurs de particules, analyseurs chimiques de différentes sortes…).


L’une des innovations mises en œuvre dans ChArMEx, testée en 2012, est le déploiement couplé de ballons dérivants et d’avions : capables de suivre l’évolution de la concentration en ozone ou en particules, les ballons servent également de traceurs aux avions pour analyser les mêmes masses d’air à plusieurs étapes de leur transport. Ces ballons permettront pour la première fois de suivre en continu au fil de l’air l’évolution de la concentration en ozone et celle de la granulométrie des particules sur plusieurs centaines de kilomètres. Il s’agit d’un moyen particulièrement puissant de tester la formation d’ozone et la sédimentation des poussières prévues par les modèles.


Lancé en 2010, ChArMEx a déjà fait l’objet d’une première campagne de mesures intensives en juin- juillet 2012. Celle-ci a d’ores et déjà apporté des résultats particulièrement étonnants :

  • première surprise, la pollution en particules fines mesurée au Cap Corse, dans un lieu isolé des sources de pollution, a été plus forte que celle mesurée pendant la même période dans la banlieue parisienne ;
  • deuxième surprise, l’observation par ballon sonde au-dessus de Martigues (Provence) a révélé de grandes quantités de particules de poussières sahariennes de diamètre compris entre 15 et 30 micromètres, considérées généralement comme étant trop lourdes pour être transportées si loin de leurs sources, et qui ne sont généralement pas prises en compte par les modèles.


Si de telles observations se reproduisent, cela indiquerait que les modèles sous-estiment par exemple les transferts de poussières désertiques qui contribuent à fertiliser la surface de la Méditerranée, et qu’il faut expliquer comment celles-ci restent aussi longtemps en suspension dans l’air.


D'une envergure sans précédent en Méditerranée nord-occidentale, la campagne de l'été 2013 permettra d'engranger un nombre considérable de données, notamment sur les zones encore peu couvertes par les précédentes campagnes de mesures. Ces résultats contribueront à affiner la représentation des processus dans les modèles climatiques et de prévision de qualité de l’air.

 

La Méditerranée, laboratoire climatique de l’Europe

Située à la confluence de plusieurs déversoirs naturels drainant l’air provenant des continents limitrophes (l’Europe et l’Afrique), cette région est le réceptacle de toutes sortes de pollutions :

  • d’origine humaine, venant surtout du nord et se déversant dans le bassin via les grandes vallées fluviales (Rhône, Pô) ou de grands complexes industriels et urbains (Barcelone, Marseille, Gênes, Alger, Sfax) ;
  • d’origines naturelles, venues du cœur du Sahara sous la forme de gigantesques panaches de poussières désertiques.


Toutes ces pollutions convergent dans le bassin qui, cerné de toute part par des reliefs, fait office d’immense réacteur chimique. Sous l’effet du climat méditerranéen, chaud, ensoleillé et sec, cette pollution évolue : de nouvelles espèces chimiques apparaissent, tandis que d’autres se transforment, ou disparaissent. Une partie de cette pollution va acquérir une nocivité accrue, donnant lieu à la formation de l’ozone et des poussières ultrafines susceptibles de causer des troubles respiratoires et cardiovasculaires. Elle va aussi modifier le climat en provoquant plus de sécheresse encore. Le début d’un cercle vicieux qui fait peser un risque sanitaire sur la population.


ChArMEx-France implique près de 120 scientifiques d’une vingtaine de laboratoires (2) , ainsi que les partenaires suivants : le CNRS, l’ADEME, le CNES, l’ANR, le CEA, Météo-France, la Collectivité Territoriale de Corse, Qualitair Corse, la Région Paca, Airpaca, l’École des Mines de Douai, l’École polytechnique, ainsi que les Universités de Aix-Marseille, Clermont-Ferrand, Paris Diderot, Littoral Côte d’Opale, Joseph Fourier, Lille 1, Lyon, Paris-Est-Créteil, Pierre-et-Marie-Curie, Strasbourg, Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines.


ChArMEx s'inscrit dans le méta-programme international et interdisciplinaire MISTRALS (Mediterranean Integrated Studies aT Regional And Local Scales, 2010-2020) dédié à la compréhension du fonctionnement du bassin Méditerranéen et piloté par le CNRS. MISTRALS France est soutenu par 13 organismes (3) .

 

Et avec autant de scientifiques y'en a pas un seul pour s'interroger sur les chemtrails , vive la science !

 http://www.ipsl.fr/Actualites/Actualites-scientifiques/ChArMEx-une-traque-exceptionnelle-de-la-pollution-atmospherique-en-Mediterranee

2 juillet 2013

Le Hezbollah révèle de nouvelles informations secrètes sur la CIA (vidéo)

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N.Raad

Nouveau coup dur à la CIA au Liban. Après le démantèlement des réseaux d’espionnage opérant pour le compte des services de renseignements américains au Liban, et les révélations faites ces derniers mois par le Hezbollah sur les noms des officiers libanais agents pour le compte de cette organisation américaine, la résistance islamique est allée encore plus loin en dévoilant des informations secrètes sur la structure de la CIA au Liban.

S’exprimant à la chaine de télévision Al Manar vendredi soir, le député du Hezbollah au parlement libanais Hassan Fadlallah a fourni les noms, les dates de naissances, les surnoms des agents de la CIA au Liban, le mécanisme de leur action, et les objectifs de leur recrutement.

La résistance islamique a dévoilé en détails l’action de renseignements de la CIA à partir d’un siège permanent dans l’un des bâtiments de l’ambassade américaine à Awkar (Beyrouth), « qui gère et commande de nombreux réseaux répartis sur le sol libanais dans les différents secteurs : politique, social, pédagogique, médical, médiatique, militaire… »

S’agissant de la structure de ce bureau, Hassan Fadlallah a indiqué que son président est l’officier Daniel Patrick Mcfeely, né le 29/6/1966,. Il a succédé à Louis Kahi qui a quitté ce poste début 2009.

Selon le reportage diffusé par Al Manar, Mcfeely agit sous le titre de diplomate travaillant à l’ambassade américaine,. Il dirige une équipe de dix officiers, dont des femmes, chargée de commander l’action d’espionnage au Liban et de poursuivre les réseaux sécuritaires appartenant aux renseignements américains.

Ils opèrent tous sous le titre de diplomates à l’ambassade américaine, mais d’autres officiers viennent souvent de l’extérieur pour une courte période (quelques semaines ou quelques mois), afin d’exécuter une mission bien détfinie et de rentrer  ensuite chez eux.

Parmi ces officiers, le reportage a cité : Rosendo Cedano, Chuck Lisenbee, Sarah Getter, ainsi que d’autres officiers agissant sous de faux-noms tels que « Nick », « Jim », « Youssef », « Lisa », et « John ».

La résistance islamique a également révélé le programme d’action des agents dont les lieux des rencontres entre les officiers et les agents qui se tiennent dans des lieux publics comme « Starbucks », « McDonalds », « Pizza Hut», ainsi que des rencontres tenues dans la voiture du haut officier portant une plaque diplomatique de l’ambassade américaine.

Le reportage a souligné que le bureau de renseignement américain au Liban recrute des gens parmi les différentes fonctions et classes sociales libanaises: (des employés gouvernementaux, des membres sécuritaires et militaires officiels, des membres dans certains partis politiques libanais, des personnalités libanaises politiques, médiatiques, religieuses, sociales, médicales...).

Il charge les agents de recueillir des renseignements sur tout ce qui se rapporte aux membres et aux responsables du Hezbollah : leurs numéros de téléphone, leurs adresses, les écoles de leurs enfants, leurs difficultés financières, les noms des responsables du Hezbollah dans les villages, les armes  qui sont en leur possession, les dépôts d’armes, les structures logistiques de la résistance, ainsi que les cadres recherchés par les Israéliens afin de faciliter leur assassinat.

Ce même reportage souligne que lors de la guerre de juillet 2006, les renseignements américains ont mobilisé leurs agents pour détecter toute action de la résistance. Ils fournissaient aux Israéliens toutes les informations sur le terrain, permettant aux sionistes de bombarder certains immeubles et cibles civiles.

Les Américains basés à Awkar ont également demandé à leurs agents et espions des informations sur les institutions médicales, sociales et financières du Hezbollah, réparties sur tout le territoire libanais. Dans certains cas, les renseignements américains soumettaient aux officiers israéliens la direction de certains réseaux de la CIA pour pouvoir les diriger directement!

A la fin de la première étape de recrutement d'un agent, on l'accueille à l'ambassade américaine où il subit des interrogatoires pour lui arracher toutes les informations en sa possession, et préparer un dossier complet et détaillé sur lui.

Le reportage de la résistance islamique a également dévoilé l’ampleur de la corruption financière au sein de la CIA, les officiers empochant l’argent réservé à leurs informateurs !

Tout en précisant que ces détails représentent une "partie infime" des informations collectées par le Hezbollah dans cette guerre du renseignement, le député Hassan Fadlallah a appelé l’Etat libanais à convoquer officiellement l’ambassadrice américaine à ce sujet.

Dans ce qui suit, une vidéo sur la longue date de la CIA au Liban et sa guerre contre le Hezbollah:

http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?fromval=1&cid=18&frid=18&eid=40896

 

2 juillet 2013

Benjamin Freedman : Le Temoin Du Siecle, Révélations historiques vostfr

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Ce documentaire sur  Benjamin Freedman révèle des événements peu connus, qui en vérité ont déterminé l’histoire du monde durant ce 20éme siècle. Vous serez peut être choqués d’apprendre pourquoi les USA entrèrent  dans la première guerre mondiale, et même sidérés quand vous considérerez que le destin du monde a été décidé par un ’’coureur de jupon,’’ qui ne pouvait pas se passer de femme mariée,


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29 juin 2013

Seuls trois vaccins sont obligatoires en France L'imposition de tout autre vaccin est illégale.

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Par Doctorix le Gaulois

Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis médecin généraliste depuis 35 ans, et j'ai vacciné pendant 33 ans, sans état d'âme et en toute innocence coupable, oxymore seulement apparent : l'innocent ne sait pas, mais le médecin qui ne sait pas est coupable. Ma seule information a été la faculté (qui glissa joyeusement sur le sujet en 2-3 heures), et surtout la presse médicale et ses valets, les visiteurs médicaux ; jamais le dogme n'a été remis en question.

Il a fallu l'insistance et l'arrogance de Madame Bachelot à l'occasion de la grippe porcine pour que s'ouvre enfin ma machine à penser, à douter. Des ouvrages contestataires me sont tombés dans les mains comme par magie, et j'ai du non seulement remettre en question cette vaccination, mais l'ensemble des vaccins. Chaque nouveau bouquin m'a apporté des révélations, m'a appris le formidable mensonge entretenu depuis Pasteur, dont j'ai découvert qu'il n'était qu'un escroc, avec une nombreuse descendance. J'en parlerai plus tard peut-être.

Comprenez qu'un médecin qui refuse de vacciner prend quelques risques avec son Ordre, et compromet gravement ses revenus (en 7 ans, un enfant « rapporte » au moins 500 euros sous cet angle) : ce qui n'incite guère ni à la réflexion, ni à la remise en question. J'ai franchi ce pas, après bien d'autres confrères, dans la discrétion. De plus en plus de confrères et de moins en moins de discrétion, pour eux comme pour moi, car les mentalités évoluent. Nos détracteurs nous montrent qu'en fait ils n'ont jamais étudié la question, ou choisi de ne pas l'entendre. En principe, celui qui se donne la peine d'étudier vire sa cuti dans les mois qui suivent.

J'ai donc vacciné trois fois depuis un an (au lieu de 300), sous contrainte, au désespoir, et non sans avoir tout tenté pour expliquer (Je n'ai pas poussé la seringue à fond, pour me donner bonne conscience, mais c'est quand même trois échecs personnels). Cela ne se reproduira plus. Mon chiffre d'affaire n'a pas baissé, ce qui prouve qu'on peut le faire. Je vois moins d'enfants, et c'est dommage pour eux. Mais je vis, je vis bien, je vis mieux, et je vis avec la conscience de faire ce qu'il faut. Voici, par exemple, pourquoi j'agis ainsi (mais j'ai des centaines d'articles tout aussi convaincants).

Un dernier mot : seuls trois vaccins sont obligatoires en France (et aucun dans un grand nombre de pays): Diphtérie, Tétanos et Polio. L'imposition de tout autre vaccin est illégale, dans tous les cas de figure, et même punie par la loi, sauf dans certaines professions (médicale et militaire), ce qui est hautement discriminatoire et contestable.

Je recommande un petit livre de la collection Jouvence, écrit par un collectif de médecins suisses, très facile à lire, et qui ne vous coutera que 4,90 euros, mais vous amènera en douceur à la raison : « Qui aime bien, vaccine peu » qu'on peut commander sur editions-jouvence. De plus, on ne peut pas ne pas avoir vu le film « Silence on vaccine » (en bas de page)

Vaccins : accédez à l'entièreté des faits

Des médecins, des infirmières et des scientifiques engagés pour la protection de votre santé et celle de vos enfants :

Nicola Antonucci, MD David Ayoub, MD Nancy Turner Banks, MD Timur Baruti, MD Danny Beard, DC Françoise Berthoud, MD Russell Blaylock, MD Fred Bloem, MD Laura Bridgman, FNP, ND Kelly Brogan, MD Sarah Buckley, MD Rashid Buttar, DO Harold Buttram, MD Lisa Cantrell, RN Lua Català Ferrer, MD Jennifer Craig, PhD, BSN, MA Robert Davidson, MD, PhD Ana de Leo, MD Carlos de Quero Kops, MD Carolyn Dean, MD, ND Mayer Eisenstein, MD, JD, MPH Todd M. Elsner, DC Jorge Esteves, MD Edward « Ted » Fogarty, MD Jack Forbush, DO Milani Gabriele, CRNA, RN Sheila Gibson, MD, BSc Mike Godfrey, MBBS Isaac Golden, ND Gary Goldman, PhD Garry Gordon, MD, DO, MD(H) Doug Graham, DC Boyd Haley, PhD Gayl Hamilton, MD Linda Hegstrand, MD, PhD James Howenstine, MD Suzanne Humphries, MD Belén Igual Diaz, MD Philip Incao, MD Joyce Johnson, ND A. Majid Katme, MBBCh, DPM Tedd Koren, DC Alexander Kotok, MD, PhD Eneko Landaburu, MD Luc Lemaire, DC Janet Levatin, MD Thomas Levy, MD, JD Stephen L'Hommedieu, DC Paul Maher, MD, MPH Andrew Maniotis, PhD Steve Marini, PhD, DC Juan Manuel Martínez Méndez, MD Sue McIntosh, MD Richard Moskowitz, MD Sheri Nakken, RN, MA Christiane Northrup, MD Amber Passini, MD Ronald Peters, MD, MPH Jean Pilette, MD Pat Rattigan, ND Zoltan Rona, MD, MSc Chaim Rosenthal, MD Robert Rowen, MD Máximo Sandín, PhD Len Saputo, MD Michael Schachter, MD Viera Scheibner, PhD Penelope Shar, MD Bruce Shelton, MD, MD(H) Debbi Silverman, MD Kenneth « KP » Stoller, MD Terri Su, MD Didier Tarte, MD Leigh Ann Tatnall, RN Adiel Tel-Oren, MD, DC Sherri Tenpenny, DO Renee Tocco, DC Demetra Vagias, MD, ND Franco Verzella, MD Julian Whitaker, MD Ronald Whitmont, MD Betty Wood, MD Eduardo Ángel Yahbes, MD

Les signataires, ci-dessus, représentent une palette de professionnels comprenant des pédiatres, des médecins de famille, des neurochirurgiens, des professeurs de pathologie, de chimie, de biologie et d'immunologie. Tous ont, de façon indépendante, investigué l'ensemble des données scientifiques relatives à ce sujet et en arrivent aux conclusions que vous pourrez lire dans ce document.

MD, DO, MB, MBBCh indiquent tous une formation de doctorat en médecine ou de niveau équivalent.

ND indique une formation médicale du niveau d'un doctorat mais dans des domaines plus spécifiques de la pratique médicale.

FNP signifie une infirmière pratiquant à domicile.

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les médecins n'arrivent pas à trouver la cause de beaucoup de maladies ? C'est parce qu'ils sont conditionnés à ignorer le lien existant entre les vaccins et diverses pathologies. Les maladies suivantes sont celles pour lesquelles il existe une association avec les vaccins, documentée dans la littérature médicale :

• Allergies et eczema • Arthrite • Asthme • Autisme • Reflux acide du jeune enfant nécessitant le cours aux inhibiteurs de la pompe à protons, des médicaments qui ont beaucoup d'effets secondaires • Cancer • Diabète juvénile • Maladies rénales • Fausses couches • Longue liste de maladies neurologiques et auto-immunes • Syndrome de la Mort Subite du Nourrisson (MSN) • Et beaucoup, beaucoup plus

Il y a certains effets secondaires des vaccins qui sont documentés dans la littérature médicale et/ou dans les notices des fabricants :

• Arthrite, troubles sanguins, thromboses, attaques cardiaques, septicémie • Infections des oreilles • Evanouissements (avec rapports de fractures consécutives) • Insuffisance rénale nécessitant une dialyse • Convulsions/épilepsie • Réactions allergiques sévères, comme l'urticaire ou l'anaphylaxie • Mort subite • Beaucoup de diagnostics habituellement donnés comme motifs d'hospitalisation • Le programme national d'indemnisation des accidents post-vaccinaux (NVCIP) a octroyé plus d'1,2 milliard de dollars ($) d'indemnisation aux victimes, enfants comme adultes.

L'autisme est associé aux vaccins

L'autisme était rare avant les programmes de vaccination de masse qui ont été amplifiés en 1991, avec l'introduction des vaccins contre l'hépatite B et l'Hib (méningite). Des dizaines de milliers de parents peuvent attester que leurs enfants sont devenus autistes vraiment peu de temps après avoir reçu ces vaccins ou d'autres.

Prenez connaissance de l'information disponible sur le site fourteenstudies.org. Vous verrez que les études réfutant le lien entre vaccins et autisme, sont hautement contestables. Les compagnies pharmaceutiques, les compagnies d'assurance et le système médical vivent financièrement de vos maladies.

• Les vaccins ne procurent pas d'immunité à vie, ce qui signifie que des rappels sont recommandés.

• Chaque injection de rappel accroit le risque d'effets secondaires.

• Les effets secondaires des vaccins peuvent vous rendre malade pour le restant de votre vie. Et, fort opportunément, il existe beaucoup de médicaments pour traiter les effets secondaires provoqués par les vaccins.

• Aux Etats-Unis, vous ne pouvez pas poursuivre le fabricant ou votre médecin lorsqu'un accident survient après une vaccination. L'un et l'autre sont protégés par la loi nationale sur les dommages vaccinaux chez l'enfant (« National Child Vaccine Injury Act ») de 1986. Cette loi signée et rendue effective par le président Ronald Reagan stipule :

« Aucun producteur de vaccins ne pourra être rendu responsable, dans une action civile, des dommages ou des décès liés à un vaccin. » (Loi publique 99-660)

Beaucoup de médecins et de professionnels de la santé ne se vaccinent pas et ne font pas vacciner leurs enfants. Pourquoi ne le font-ils pas ?

• Ils savent qu'il n'est pas prouvé que les vaccins soient sûrs ou efficaces.

• Ils savent que les vaccins contiennent des substances dangereuses.

• Ils savent que les vaccins génèrent de graves problèmes de santé.

• Ils ont déjà eu à traiter des patients souffrant de graves effets secondaires de vaccins. La seule personne qui retire avantage d'être en bonne santé, c'est vous et ceux sur qui vous veillez.

• Les compagnies pharmaceutiques ont infiltré et pris le contrôle du système médical dans son ensemble, incluant les écoles de médecines, les journaux médicaux, les hôpitaux, les cliniques et les pharmacies locales. Les revenus des médecins dépendent donc d'une foi aveugle, qui implique de ne jamais remettre en question le moindre aspect de la moindre vaccination. Même quand le médecin a sous les yeux les preuves évidentes d'un dommage vaccinal, il/elle est habituellement peu disposé(e) à envisager la vaccination comme en étant la cause. Malgré le fait que la science et la médecine non corrompues confortent l'abandon des vaccins, agir ainsi peut être considéré comme suicidaire pour sa carrière professionnelle. Les signataires de ce document assument définitivement et courageusement ces risques pour votre sécurité et celle de vos enfants.

• Les hôpitaux tirent financièrement avantage des hospitalisations et des examens.

• Les compagnies pharmaceutiques retirent des milliards de dollars des vaccins.

• Les compagnies pharmaceutiques gagnent des dizaines de milliards de dollars grâce à la vente de médicaments destinés à « traiter » les effets secondaires et les maladies chroniques à vie causées par les vaccins.

• Les vaccins sont la clé de voûte du système médical. Sans vaccins, les coûts des soins de santé diminueraient parce qu'au final, nous aurions une société plus saine dans son ensemble. Nous avons échangé la varicelle contre l'autisme, la grippe contre de l'asthme, des infections ORL pour du diabète,... et la liste pourrait encore continuer. En voulant frénétiquement éradiquer des microbes relativement bénins, nous avons troqué des maladies temporaires contre des maladies chroniques à vie, lourdes, insidieuses, des désordres, des dysfonctions, des inaptitudes et autres incapacités.

Combien y a-t-il de vaccins ?

Si les enfants américains reçoivent toutes les doses de tous les vaccins, ils se font administrer 35 injections qui contiennent 113 différentes sortes de particules microbiennes, 59 produits chimiques différents, 4 types de cellules ou d'ADN animal ainsi que de l'ADN humain issu de foetus avortés et de l'albumine humaine.

Si vous pensez que vous n'avez pas de souci à vous faire parce que vos enfants sont plus âgés, pensez-y à deux fois. Il y a pas moins de 20 vaccins supplémentaires qui sont actuellement dans le pipeline de développement de l'industrie pharmaceutique pour être mis sur le marché dans les quelques prochaines années, la plupart destinés aux adolescents et aux adultes.

Certains composants des vaccins : Comment est-il possible que les vaccins ne puissent pas faire de tort à votre santé avec ça ?

• Des virus ou bactéries adventices issues des milieux de culture à partir desquels les vaccins sont fabriqués

• Du mercure, un neurotoxique notoire, qui se trouve toujours dans les flacons multi-doses de vaccin contre la grippe utilisés dans le monde entier. En outre, le mercure se trouve toujours, à l'état de trace, dans plusieurs autres vaccins.

• De l'aluminium, un poison qui cause la dégénérescence des os, de la moelle osseuse et du cerveau.

• Des cellules animales de singes, de reins de chiens, de poulets, de vaches, et d'humains.

• Du formaldéhyde (utilisé pour l'embaumement des morts), un cancérigène notoire.

• Du polysorbate 80, connu pour causer l'infertilité chez la souris femelle et l'atrophie testiculaire chez la souris mâle.

• De la gélatine, issue des porcs et des bovins, connue pour causer des réactions anaphylactiques et que l'on retrouve en grande quantité dans les vaccins ROR et ceux contre la varicelle et le zona.

• Du monosodium glutamate (MSG) dans les vaccins à inhaler contre la grippe, une substance connue pour causer des perturbations métaboliques (par ex. diabète), des convulsions et d'autres troubles neurologiques.

Les conflits d'intérêts

• Les mêmes personnes qui font la réglementation et les recommandations en matière vaccinale tirent aussi avantage de la vente des vaccins. Par exemple, le Dr Julie Gerberding, qui a dirigé le CDC pendant 8 années est, à présent, présidente de Merck Vaccins. Le Dr Paul Offit, membre du Comité de Conseil en matière de pratiques vaccinales (ACIP) a développé et fait breveter son propre vaccin. Selon le CDC, pour un groupe moyen d'environ 10 pédiatres, la valeur approximative du stock de vaccins infantiles à écouler et disponibles dans leurs bureaux, avoisine les 100.000 $. Ces médecins s'enrichissent des visites au cours desquelles vos enfants sont vaccinés et aussi des visites de suivi, qui font suite aux effets secondaires de ces vaccins reçus.

Les pédiatres reçoivent des primes trimestrielles de la part des « mutualités » (« health maintenance organizations » - HMOs) avec lesquelles ils collaborent pour maintenir des taux élevés de couverture vaccinale dans leur clientèle et ils sont, semble-t-il, réprimandés par les compagnies d'assurance lorsque les taux de vaccination chutent.

Existe-t-il la moindre étude comparant la santé des enfants vaccinés à celle des non vaccinés ?

Une étude financée par Generation Rescue, appelée l' « étude Cal-Oregon » a questionné les parents d'enfants vaccinés vs. ceux d'enfants non vaccinés. Sur les 17.674 enfants inclus dans cette étude, les résultats ont montré :

• Les enfants vaccinés avaient 120% plus d'asthme. • Les garçons vaccinés avaient 317% plus de troubles de déficit d'attention avec hyperactivité (TDAH) • Les garçons vaccinés avaient 185% plus de désordres neurologiques • Les garçons vaccinés avaient 146% plus d'autisme.

Les filles représentent seulement 20% du nombre total d'enfants repris dans cette étude. Pour lire la totalité de l'étude par vous-même, allez sur GenerationRescue.org pour lire un rapport sur la faible incidence de l'autisme parmi les enfants Amish non vaccinés, allez sur vaccinationcouncil.org.Plus d'études encore au sujet de l'autisme, voir ici, et ici.

Les exemptions vaccinales aux Etats-Unis

Vous avez le droit de refuser ! Utilisez-le. On ne peut pas obliger que votre enfant se fasse vacciner pour fréquenter une école publique. Chaque état rend possible des exemptions et vous avez le droit de refuser les vaccins que vous estimez indésirables (exemptmychild.com) Trouvez un dispensateur de soins qui est en phase avec votre choix de ne pas vacciner et qui vous respectera sur le site vaccinationcouncil.org

Beaucoup de gens choisissent la santé et la sécurité en disant NON aux vaccins.

Les groupes qui ne vaccinent généralement pas incluent les praticiens holistiques, les chiropracteurs, les parents qui donnent eux-mêmes les cours à domicile et ceux appartenant à certaines religions. Des milliers de témoignages écrits par des parents d'enfants non vaccinés au sujet de l'excellent état de santé de leurs enfants sont disponibles sur divers sites internet. Les décisions concernant la vaccination vous appartiennent à vous et à votre époux - (se)/partenaire. Personne d'autre n'a à s'en mêler. Ce n'est pas l'affaire des autres membres de votre famille, de vos voisins ou de votre belle famille !

Pour avoir une santé brillante, vous aurez besoin de vous investir pour apprendre certaines choses nouvelles.

• Le choix de santé sûr est de dire NON aux vaccins. Vous avez le contrôle des choix de santé que vous faites pour vous-même et pour vos enfants. Vous n'avez aucun contrôle sur les conséquences d'une vaccination.

• Vous n'avez pas besoin d'un « pédiatre attitré » pour simplement peser et mesurer votre enfant et faire les injections. Envisagez la possibilité de recourir à un praticien naturopathe, un chiropracteur pour enfants, un praticien en médecine orientale ou un homéopathe. Vous pourrez constater que les praticiens de la famille des ostéopathes sont plus ouverts en ce qui concerne les choix vaccinaux.

• Les enfants naissent avec de puissantes défenses naturelles. Si cela n'était pas le cas, ils mourraient tous, peu après la naissance. D'énormes cascades de réactions immunitaires complexes commencent dès les premiers cris de la naissance. Ces processus ont besoin de se dérouler naturellement, sans être interrompus par l'injection de substances toxiques.

• Informez-vous au sujet des maladies que les vaccins peuvent « prévenir ». Votre enfant n'entrera sans doute jamais en contact avec la plupart de ces microbes et si c'était le cas, quasiment tous les enfants sains et non vaccinés s'en remettent sans aucune séquelles avec à la clé, une immunité durable à vie. La santé ne peut pas « jaillir » de la seringue.

• Informez-vous au sujet de l'importance de la fièvre, comment en tirer profit chez soi à la maison et quand recourir à un médecin. La plupart des épisodes fiévreux se résolvent d'eux- mêmes en quelques heures quand on se soigne raisonnablement (drtenpenny.com)

• Comprenez que votre enfant peut être vacciné et malgré tout contracter la maladie que vous souhaitiez prévenir. Les vaccins ne peuvent pas assurer la protection qui leur est attribuée. La santé ne peut pas « jaillir » de la seringue, ce n'est pas quelque chose qui s'injecte.

• Prenez conscience que les principales clés de la santé sont une bonne alimentation, une eau pure, un sommeil adéquat, de l'exercice et de la joie de vivre.

• Apprenez aussi des informations basiques sur les vitamines, en particulier l'information vraiment cruciale au sujet de la vitamine D3. Apprenez comment utiliser les plantes essentielles et les bases de l'homéopathie pour entretenir sa santé et gérer les troubles mineurs.

• Informez-vous davantage sur les vaccins que votre médecin ne l'a fait. Votre médecin n'a probablement jamais rien lu sur les vaccins à part les publications sponsorisées par l'industrie qui en font évidemment l'éloge.

• Sachez que vous payez pour les soins de santé ; le traitement des maladies est remboursé par les compagnies d'assurance. Votre assurance payera les médicaments et les vaccins.

• Gérer votre budget de façon à pouvoir rester en bonne santé. Votre vie en dépend.

 

http://legauloisdechaine.blog.lemonde.fr/2011/05/10/sante-vaccinations-peut-on-ne-pas-le-faire-oui-on-peut/

29 juin 2013

Des scientifiques russes proposent de « désorbiter » l’astéroïde 1999 RQ36

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Des scientifiques russes proposent de « désorbiter » l’astéroïde 1999 RQ36. Aujourd’hui, il est considéré comme le plus dangereux des astéroïdes de ce type. Selon les calculs de certains experts, cet astéroïde pourrait modifier sa trajectoire et frapper la Terre en 2182, suite à l’échauffement d’une de ses faces par le Soleil.

Les spécialistes de l’Institut de recherche spatiale (IKI) de l’Académie des sciences de Russie ont proposé de dévier la trajectoire de l’astéroïde à l’aide d’un autre astéroïde. On peut altérer la trajectoire de cet astéroïde représentant une menace pour notre planète comme celle d’une boule dans une partie de billard ordinaire : la queue de billard serait le vaisseau spatial, la boule blanche serait le petit astéroïde, et la boule visée serait l’objet cosmique dangereux pour la Terre. Cette idée est apparue dans le cadre de ce que l’on nomme l’assistance gravitationnelle, que l’on utilise pour modifier la vitesse des engins spatiaux, comme l’a expliqué au présentateur de La Voix de la Russie, Nathan Eysmont, de l’Institut de recherche spatiale.

« Si vous avez un vaisseau spatial et que vous voulez, sans dépenser de carburant, modifier sa vitesse, alors, en passant à proximité d’une planète – la Terre ou la Lune – vous pouvez changer sa vitesse de sorte qu’après, cet engin se dirigera où vous le souhaitez. Maintenant, substituez à cet engin un astéroïde. Ainsi, nous pouvons diriger ces 1.500 tonnes là où il faut ».

Initialement, les scientifiques russes ont travaillé sur le problème que représentait l’astéroïde Apophis. En 2004, quand cet astéroïde a été découvert, on a cru qu’il menacerait de frapper la Terre en 2036. A présent, les experts excluent cette hypothèse. Cependant, il s’est fait jour qu’un danger pouvait être représenté non par l’astéroïde Apophis, mais par l’astéroïde 1999 RQ36. L’Institut de recherche spatiale a commencé à chercher un objet apte à dévier sa trajectoire, et il s’est avéré que le mieux placé pour cela était l’astéroïde Apophis. Comme on dit, « à quelque chose malheur est bon ». Il est possible de lancer un vaisseau spatial de la Terre à Apophis, et en utilisant l’assistance gravitationnelle, de donner une impulsion à l’astéroïde. Après avoir survolé la Terre, l’objet cosmique changera d’orbite et tombera finalement sur l’astéroïde 1999 RQ36. Du reste, comme données sur la dangerosité de sa trajectoire, on peut utiliser la partie d’un autre astéroïde, comme le proposent certains chercheurs étrangers, estime Nathan Eysmont.

En Russie, on étudie l’idée de créer un détachement d’astéroïdes. Certains envisagent de placer de petits astéroïdes qu’il serait possible d’orienter contre une cible, si un « objet ennemi » apparaissait. Cette méthode bien qu’inhabituelle, paraît tout à fait réaliste sur le plan technique avec les moyens disponibles d’aujourd’hui, selon l’expert. Aucune nouvelle avancée technologique ou révolution scientifique n’est nécessaire pour cela.
L’astéroïde circumterrestre 1999 RQ36 appartient au groupe d’Apollon. Son diamètre moyen est de 510 mètres. La chute de cet astéroïde sur la Terre serait équivalente à une explosion de 2 700 mégatonnes de TNT

http://french.ruvr.ru/2013_05_20/Le-billard-cosmique-des-scientifiques-russes/

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