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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
chercheurs
5 septembre 2017

Des nano-machines creusent dans des cellules cancéreuses et les tuent en à peine 60 secondes

 

 

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Ces machines motorisées sont activées par des rayons lumineux et peuvent détruire en creusant dans des cellules en quelques minutes.

Les prix Nobel de chimie 2016 avaient découvert comment créer des nanomachines à partir de molécules, et une autre équipe de scientifiques vient de mettre cette découverte en application. Pour une étude publiée dans la revue Nature, des chimistes de trois universités américaines et britanniques ont créé des nanomachines capables de forer des cellules cancéreuses.

Ces machines sont si petites que cinquante mille d’entre elles collées ensemble seraient environ de la largeur d’un cheveu humain. Chaque nanomachine motorisée est sensible à une protéine particulière (dix spéciments différents ont été crées), et lorsqu’elles sont activées par des rayons lumineux, elle tournent sur elles-mêmes trois millions de fois par seconde, ce qui leur permet de percer une cellule.

Des tests à développer

À Durham University, les chercheurs ont testé leurs machines sur des cellules de cancer de la prostate, et en moins de trois minutes, une de ces nanomachines a pu forer la cellule et la détruire.

«Nous nous rapprochons de notre ambition de pouvoir utiliser des nanomachines activées par la lumière afin de cibler des cellules cancéreuses dans les tumeurs au sein et les mélanomes, y compris celles qui ne peuvent pas être traitées par la chimiothérapie» a expliqué le professeur Robert Pal.

Les chercheurs sont en train d’expérimenter avec ces machines sur des micro-organismes et des petits poissons afin de voir si cela est efficace dans un organisme vivant.

«L’espoir est de passer rapidement aux rongeurs pour tester l’efficacité des nanomachines pour de nombreux traitements médicaux»,précisé le professeur James Tour.

Une des limitations actuelles est que l’activation par rayon ultraviolet ne permet de traiter que des cellules en surface des tissus, là où la lumière peut être dirigée via fibre optique.

Sources: Telegraph /http://laminedinfos.fr/2017/09/05/incroyable-des-nano-machines-creusent-dans-des-cellules-cancereuses-et-les-tuent-en-a-peine-60-secondes/ Disclose.tv

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17 juillet 2016

Un expert de Monsanto déclare que des fourmis génétiquement modifiées pourront remplacer les abeilles

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Une équipe de chercheurs de chez Monsanto croit, qu’ils pourraient être sur le point de trouver une solution quant à la mystérieuse chute de la population des abeilles partout sur la planète, une menace qui met en danger l’approvisionnement alimentaire de la planète dans son ensemble.

La subvention de 3 millions de dollars accordée par l’Environmental Protection Agency (EPA) a permis à l’équipe de chercheurs de Monsanto de développer des stratégies alternatives pour « survivre » au syndrome d’effondrement des colonies d’abeilles (CCD), un phénomène qui a pris de l’ampleur ces dernières décennies et qui se produit lorsque la majorité des abeilles ouvrières d’une colonie disparaissent, une situation qui pourrait« considérablement influer sur l’approvisionnement alimentaire dans le monde », admettent les experts.

« Les dernières études ont trouvé un lien entre les pesticides néonicotinoïdes qui sont largement utilisés dans les cultures de maïs génétiquement modifié. L’ingénierie génétique agricole est devenue un élément essentiel de l’agriculture dans le monde moderne d’aujourd’hui, nous avons dû développer des moyens afin de promouvoir à la fois la continuité de l’ingénierie génétique agricole et la survie des abeilles, un défi passionnant », admet John Leere, le chef biochimiste du projet.

John Leere, le chef biochimiste de Monsanto, croit qu’une fourmi génétiquement modifiée pourrait éventuellement remplacer les abeilles, en cas d’effondrement des colonies de l’espèce.

L’équipe de chercheurs a développé une fourmi génétiquement modifiée qui pourrait « potentiellement sauver l’approvisionnement alimentaire mondial ».

« Du fait que l’ingénierie génétique agricole et que les pesticides néonicotinoïdes sont là pour rester, nous avons tout d’abord essayé de modifier les abeilles pour accroître leur système immunitaire quant aux pesticides, en ayant très peu de succès voire aucun, » a admis le spécialiste.

« Cependant, nous ne désespérions pas et avions finalement conduit des batteries de tests sur les reines vierges et les mâles d’une espèce de fourmis. Bien que les fourmis perdent généralement leurs ailes après l’insémination de la reine et qu’elle donne naissance à une nouvelle colonie, la manipulation génétique a produit une espèce de fourmis volantes qui sont très similaires à nos abeilles si familières et 50 fois plus résistantes à certains pesticides, » dit-il, visiblement très enthousiasmé par la découverte.

« Grâce aux manipulations génétiques, nous pourrons éventuellement créer une espèce hybride qui possédera à la fois les caractéristiques de pollinisation propres aux abeilles, aussi bien que les propriétés d’immunisation aux pesticides de certaines espèces de fourmis. Un mariage somptueux qui aurait mis des milliers d’années à se former tout seul dans la nature, » explique t-il.

Selon une récente étude de Greenpeace, 70% des cultures humaines, qui fournissent environ 90 pour cent de l’apport alimentaire dans le monde, sont pollinisées par des abeilles. La National Statistics Agriculture des États-Unis présentent un déclin des abeilles d’environ 3,2 millions de ruches en 1947 pour atteindre 2,400,000 de ruches en 2008, soit une réduction de 25%.

Sources: NewDailyReportNouvel Ordre Mondial

17 juillet 2016

Et si les dents pouvaient se régénérer?

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Des chercheurs de l’Inserm et de l’université Paris-Descartes ont réussi à comprendre le mécanisme de régénération des dents. Ils sont parvenus à isoler des cellules souches dentaires et à décrire le mécanisme par lequel elles parviennent à réparer des lésions de la dent. De nouveaux traitements dentaires pourraient en découler.

La dent est formée de 3 couches de matériau :

— l’émail, qui recouvre la couronne (la surface visible).

— la dentine, ou ivoire, qui comprend une cavité

— la pulpe dentaire, au centre de la dent, constituée de tissus vivants : nerfs, vaisseaux sanguins et lymphatiques.

Lorsqu’une lésion dentaire apparaît, les cellules souches de la pulpe se réveillent pour tenter de réparer la dent. Mais jusqu’à ce jour, on n’en connaissait pas le processus. Les chercheurs sont récemment parvenus à extraire et isoler des cellules souches de dent de souris qu’ils ont pu analyser.

Ils ont réussi à identifier à la surface de ces cellules 5 récepteurs spécifiques à la dopamine et à la sérotonine, deux neurotransmetteurs essentiels à l’organisme. Ces molécules agissent comme des signaux d’alarme, en déclenchant le processus de réparation. Les chercheurs se sont donc demandé quelle était la source de production de ces neurotransmetteurs.

Il s’est finalement avéré que la production de ces molécules était issue des plaquettes sanguines activées lors de la lésion dentaire. Les neurotransmetteurs ainsi libérés vont activer les cellules souches qui vont réparer la dent.

 

« Dans la recherche sur les cellules souches, il est rare de pouvoir à la fois isoler des lignées de cellules, d’identifier les marqueurs permettant de les reconnaître – ici les 5 récepteurs —, de découvrir le signal qui les recrute – la sérotonine et la dopamine —, et la source de ce signal – les plaquettes sanguines. Dans ce travail, nous avons pu, de manière inattendue, explorer l’ensemble du mécanisme », explique Odile Kellermann, responsable de l’équipe de l’Inserm et de l’Université Paris Descartes, principale auteure de ces travaux.

Vers de nouvelles stratégies thérapeutiques

« Actuellement, les dentistes utilisent des matériaux de coiffage (hydroxyde de calcium) et des biomatériaux à base de phosphate tricalciques pour réparer la dent et combler les lésions. Nos résultats permettent d’envisager des stratégies thérapeutiques inédites qui viseraient à mobiliser les cellules souches résidentes de la pulpe afin d’amplifier le pouvoir naturel de réparation des dents sans avoir recours à des matériaux de substitution », conclut Odile Kellermann.

Les bases sont posées pour étendre ces recherches obtenues chez le rongeur aux cellules souches de la dent chez l’homme afin d’initier de nouvelles stratégies de réparation des dents.

Sources : Futura-sciences

20 décembre 2015

Le fabuleux remède venu du Pôle Nord

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En 1971, trois chercheurs danois partent étudier les Inuits (Eskimos) sur la côte ouest du Groenland.

Ils observent que, malgré leur énorme consommation de graisse animale, les Eskimos n’ont que très peu de mauvaises graisses dans le sang et ignorent les maladies cardiaques.

Leur découverte est si spectaculaire qu’elle est publiée dans la plus célèbre revue médicale du monde, la revue anglaise The Lancet [1]. Les Eskimos ne mangent pas n’importe quelle graisse : c’est essentiellement de la graisse de phoque et de poissons gras comme l’omble chevalier, très riches en acides gras oméga-3.

Au lieu de rendre malade, ce régime protège contre l’infarctus, les attaques cardiaques, les maladies des artères, et mêmes les cancers !

Cette découverte ouvre une nouvelle ère dans la recherche en nutrition. Elle conduira à revoir entièrement le préjugé selon lequel « la graisse fait grossir » et rend malade. On s’apercevra qu’il existe de bonnes et de mauvaises graisses. Que le cerveau, qui est fait à 80 % de graisse, a pour principal constituant une sorte d’oméga-3, l’acide gras docosahexaénoïque (DHA). Le DHA contribue à un meilleur développement nerveux, réduit le risque de dépression et augmente l’intelligence des enfants et adolescents qui en consomment.

Aujourd’hui, les oméga-3 marins, issus du poisson (et maintenant du krill), sont massivement recommandés et même ajoutés à de nombreux aliments pour favoriser la santé. L’American Heart Association (Association américaine contre les maladies cardiaques) recommande de consommer quotidiennement des compléments alimentaires d’oméga-3 pour éviter les maladies cardiaques.

L’Union Européenne, pourtant réputée pour ses réticences à reconnaître des vertus thérapeutiques aux produits naturels, a fini par autoriser les vendeurs d’oméga-3 à indiquer que les oméga-3 réduisent le taux de cholestérol et ont des bienfaits sur le développement du cerveau.

« Le Panel a conclu qu’une relation de cause à effet existe entre la consommation d’acide alpha-linolénique (oméga-3) et la contribution au développement des cellules du cerveau et des tissus nerveux. » Agence Européenne de Sécurité Alimentaire, 2011 [2].

Les huiles de poisson seraient également bonnes pour l’audition [3] et réduiraient les problèmes de peau.

Le ketchup des Inuits

Le phoque a la particularité d’avoir une viande maigre (avec peu de graisse) mais d’être entouré d’une épaisse couche de gras qui l’isole des froids extrêmes du climat polaire.

On trouve donc plusieurs centimètres d’épaisseur de graisse sous la peau de l’animal, ce qui peut représenter jusqu’à 50 % de son poids total. Pour un jeune phoque, on parle de 7 à 10 kg de gras.

Les Inuits ont appris à exploiter cette prodigieuse source de calories.

Ils font fermenter la graisse du phoque jusqu’à ce qu’elle dégage une puissante odeur, mélange de vieux fromage bleu et de viande faisandée. Cela n’a pas beaucoup de goût par contre, mais c’est si gras, si huileux, que la sensation reste en bouche très longtemps. Et ils s’en servent comme condiment, autrement dit pour donner du goût à leur nourriture, par exemple la viande de caribou.

Pour rire, certains appellent cette préparation le « ketchup des Inuits » [4].

On pourrait croire qu’il est très mauvais pour la santé d’assaisonner ainsi sa nourriture avec de la graisse, mais certains disent que c’est bon parce que, nous l’avons vu, la graisse de phoque est une bonne graisse, riche en oméga-3.

Une histoire un peu trop belle

Il faut toutefois savoir que plusieurs chercheurs remettent en cause aujourd’hui l’idée selon laquelle les Eskimos étaient en pleine santé.

Nous leur devons la découverte des oméga-3 et de leurs vertus, particulièrement grandes dans le cadre du régime alimentaire diversifié que nous avons aujourd’hui.

Mais la réalité de la vie des Eskimos, et de leur état de santé, était beaucoup moins rose que les chercheurs des années 70 ont voulu le croire.

Les populations Inuits ayant conservé leur mode de vie traditionnel étaient déjà, en 1970, pratiquement éteintes. Elles ne se limitaient plus qu’à quelques centaines de personnes, dispersées à travers d’immenses territoires inaccessibles, et dont la plupart ne connaissaient pas leur âge. De plus, les Eskimos paraissent beaucoup plus vieux que leur âge réel.

« Bigre, ce vieillard m’a l’air en pleine forme ! », devaient se dire les explorateurs, sans se douter que le « vieillard » n’avait que… 35 ans.

Aujourd’hui, l’hypothèse des Eskimos protégés des maladies cardiaques est remise en cause par les travaux de Peter Bjerregaard [5] et tout récemment (avril 2014) de George Fodor, cardiologue à l’Institut du Cœur de l’Université d’Ottawa [6].

Evitez d’imiter les Eskimos

Quoi qu’il en soit, il reste clair que le mode de vie traditionnel des Eskimos était malgré tout beaucoup plus sain qu’il n’est devenu aujourd’hui.

Pendant des milliers d’années, ce mode de vie leur a permis de résister à des conditions épouvantables. Victimes du froid extrême, mourant d’accidents de chasse, de chutes dans l’eau glacée, de noyade lors de la chasse à la baleine (ils ne savaient pas nager : se retrouver dans l’eau signifiait la mort), ils étaient obligés de tuer ou d’abandonner leurs enfants dès qu’ils en avaient plus d’un en bas âge. Et dès qu’une personne sentait ses forces l’abandonner, elle se laissait tomber du traineau, dans la neige, tandis que les autres continuaient leur chemin.

Imaginez que pendant toute la nuit polaire, qui durait 6 mois, ils vivaient à quatre familles dans une « maison d’hiver » qui faisait 15 mètres carrés, à essayer de se tenir au chaud !!

C’est ainsi que les Inuits ont survécu des dizaines de milliers d’années. Ils continuaient à s’accrocher à la vie malgré les épreuves, les malheurs, les souffrances.

Aujourd’hui, il en va tout autrement.

Un destin tragique

Les adolescents Inuits ont école, chauffage, motoneiges, Internet, jeux vidéos et, bien sûr, nourriture industrielle en abondance.

Ils boivent en moyenne 1 litre de soda par jour, selon le Dr Eric Dewailly, chercheur canadien de l’Université de Laval au Québec.

Ils se nourrissent de chips, cookies, fast-food, à tel point qu’ils ont 3 fois plus de lipides sanguins en moyenne que les Européens.

L’obésité a augmenté de 50 % par rapport à 1992. L’hypertension a doublé entre 1992 et 2004. Ceci en une décennie, pour une civilisation qui dure depuis des dizaines de milliers d’années !

Mais il y a bien pire encore.

Depuis 1990, les Inuits ont commencé à se suicider massivement. Aussi incroyable que cela puisse paraître, 21 % des Inuits interrogés en 2004 ont déclaré avoir essayé de se suicider.

Dans les communautés isolées, 1 jeune sur 4 prend de la cocaïne, et ne me demandez pas comment elle est arrivée jusque là [7].

La morale de l’histoire

L’histoire des Inuits doit nous faire profondément réfléchir. Car elle nous concerne tous.

Elle montre à quel point le confort matériel peut ne pas apporter le bonheur à lui seul.

Toutes ces choses qui nous entourent, nourriture, électronique, bagnoles, peuvent nous nuire lorsqu’elles nous absorbent au point de nous faire oublier les choses essentielles de la vie (chercher un sens à son existence, avoir un projet de vie, une espérance…)

L’homme est la plus fragile des créatures. Il n’a ni griffe, ni crocs, ni fourrure et sa force lui vient de son esprit.

Mais au milieu de la plus grande abondance matérielle, il peut se laisser mourir s’il ne trouve plus de quoi nourrir son esprit et son âme.
(la suite ci-dessous)

Nous sommes tous des Inuits…

Evidemment les Inuits n’ont pas eu le choix : le choc de la civilisation occidentale a été trop rude.

Leurs références culturelles, spirituelles, religieuses, se sont effondrées comme un château de cartes. Les précieux savoirs minutieusement transmis depuis des centaines de générations pour survivre dans l’Arctique sont brutalement devenus inutiles, obsolètes comme on dit. Le traumatisme a été trop grand.

Mais n’oublions pas que, autant que nous sommes, nous pouvons rencontrer les mêmes problèmes : face à un monde qui change trop vite, un environnement transformé trop profondément, des modes de vies bouleversés, des modes alimentaires nouveaux et malsains.

Savons-nous, au juste, ce que tout cela va donner sur le long terme ? Ces changements, ces révolutions devrais-je plutôt écrire, permettront-ils à nos enfants, petits-enfants, arrière-petits-enfants, de maintenir un équilibre de vie suffisant pour continuer la grande aventure de l’humanité ?

C’est bien sûr très difficile à dire et c’est pourquoi la sagesse veut que nous fassions preuve de prudence avant d’accepter n’importe quelle nouveauté.

https://www.santenatureinnovation.com/le-fabuleux-remede-venu-du-pole-nord/

 

2 juillet 2013

Benjamin Freedman : Le Temoin Du Siecle, Révélations historiques vostfr

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Ce documentaire sur  Benjamin Freedman révèle des événements peu connus, qui en vérité ont déterminé l’histoire du monde durant ce 20éme siècle. Vous serez peut être choqués d’apprendre pourquoi les USA entrèrent  dans la première guerre mondiale, et même sidérés quand vous considérerez que le destin du monde a été décidé par un ’’coureur de jupon,’’ qui ne pouvait pas se passer de femme mariée,


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29 juin 2013

Seuls trois vaccins sont obligatoires en France L'imposition de tout autre vaccin est illégale.

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Par Doctorix le Gaulois

Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis médecin généraliste depuis 35 ans, et j'ai vacciné pendant 33 ans, sans état d'âme et en toute innocence coupable, oxymore seulement apparent : l'innocent ne sait pas, mais le médecin qui ne sait pas est coupable. Ma seule information a été la faculté (qui glissa joyeusement sur le sujet en 2-3 heures), et surtout la presse médicale et ses valets, les visiteurs médicaux ; jamais le dogme n'a été remis en question.

Il a fallu l'insistance et l'arrogance de Madame Bachelot à l'occasion de la grippe porcine pour que s'ouvre enfin ma machine à penser, à douter. Des ouvrages contestataires me sont tombés dans les mains comme par magie, et j'ai du non seulement remettre en question cette vaccination, mais l'ensemble des vaccins. Chaque nouveau bouquin m'a apporté des révélations, m'a appris le formidable mensonge entretenu depuis Pasteur, dont j'ai découvert qu'il n'était qu'un escroc, avec une nombreuse descendance. J'en parlerai plus tard peut-être.

Comprenez qu'un médecin qui refuse de vacciner prend quelques risques avec son Ordre, et compromet gravement ses revenus (en 7 ans, un enfant « rapporte » au moins 500 euros sous cet angle) : ce qui n'incite guère ni à la réflexion, ni à la remise en question. J'ai franchi ce pas, après bien d'autres confrères, dans la discrétion. De plus en plus de confrères et de moins en moins de discrétion, pour eux comme pour moi, car les mentalités évoluent. Nos détracteurs nous montrent qu'en fait ils n'ont jamais étudié la question, ou choisi de ne pas l'entendre. En principe, celui qui se donne la peine d'étudier vire sa cuti dans les mois qui suivent.

J'ai donc vacciné trois fois depuis un an (au lieu de 300), sous contrainte, au désespoir, et non sans avoir tout tenté pour expliquer (Je n'ai pas poussé la seringue à fond, pour me donner bonne conscience, mais c'est quand même trois échecs personnels). Cela ne se reproduira plus. Mon chiffre d'affaire n'a pas baissé, ce qui prouve qu'on peut le faire. Je vois moins d'enfants, et c'est dommage pour eux. Mais je vis, je vis bien, je vis mieux, et je vis avec la conscience de faire ce qu'il faut. Voici, par exemple, pourquoi j'agis ainsi (mais j'ai des centaines d'articles tout aussi convaincants).

Un dernier mot : seuls trois vaccins sont obligatoires en France (et aucun dans un grand nombre de pays): Diphtérie, Tétanos et Polio. L'imposition de tout autre vaccin est illégale, dans tous les cas de figure, et même punie par la loi, sauf dans certaines professions (médicale et militaire), ce qui est hautement discriminatoire et contestable.

Je recommande un petit livre de la collection Jouvence, écrit par un collectif de médecins suisses, très facile à lire, et qui ne vous coutera que 4,90 euros, mais vous amènera en douceur à la raison : « Qui aime bien, vaccine peu » qu'on peut commander sur editions-jouvence. De plus, on ne peut pas ne pas avoir vu le film « Silence on vaccine » (en bas de page)

Vaccins : accédez à l'entièreté des faits

Des médecins, des infirmières et des scientifiques engagés pour la protection de votre santé et celle de vos enfants :

Nicola Antonucci, MD David Ayoub, MD Nancy Turner Banks, MD Timur Baruti, MD Danny Beard, DC Françoise Berthoud, MD Russell Blaylock, MD Fred Bloem, MD Laura Bridgman, FNP, ND Kelly Brogan, MD Sarah Buckley, MD Rashid Buttar, DO Harold Buttram, MD Lisa Cantrell, RN Lua Català Ferrer, MD Jennifer Craig, PhD, BSN, MA Robert Davidson, MD, PhD Ana de Leo, MD Carlos de Quero Kops, MD Carolyn Dean, MD, ND Mayer Eisenstein, MD, JD, MPH Todd M. Elsner, DC Jorge Esteves, MD Edward « Ted » Fogarty, MD Jack Forbush, DO Milani Gabriele, CRNA, RN Sheila Gibson, MD, BSc Mike Godfrey, MBBS Isaac Golden, ND Gary Goldman, PhD Garry Gordon, MD, DO, MD(H) Doug Graham, DC Boyd Haley, PhD Gayl Hamilton, MD Linda Hegstrand, MD, PhD James Howenstine, MD Suzanne Humphries, MD Belén Igual Diaz, MD Philip Incao, MD Joyce Johnson, ND A. Majid Katme, MBBCh, DPM Tedd Koren, DC Alexander Kotok, MD, PhD Eneko Landaburu, MD Luc Lemaire, DC Janet Levatin, MD Thomas Levy, MD, JD Stephen L'Hommedieu, DC Paul Maher, MD, MPH Andrew Maniotis, PhD Steve Marini, PhD, DC Juan Manuel Martínez Méndez, MD Sue McIntosh, MD Richard Moskowitz, MD Sheri Nakken, RN, MA Christiane Northrup, MD Amber Passini, MD Ronald Peters, MD, MPH Jean Pilette, MD Pat Rattigan, ND Zoltan Rona, MD, MSc Chaim Rosenthal, MD Robert Rowen, MD Máximo Sandín, PhD Len Saputo, MD Michael Schachter, MD Viera Scheibner, PhD Penelope Shar, MD Bruce Shelton, MD, MD(H) Debbi Silverman, MD Kenneth « KP » Stoller, MD Terri Su, MD Didier Tarte, MD Leigh Ann Tatnall, RN Adiel Tel-Oren, MD, DC Sherri Tenpenny, DO Renee Tocco, DC Demetra Vagias, MD, ND Franco Verzella, MD Julian Whitaker, MD Ronald Whitmont, MD Betty Wood, MD Eduardo Ángel Yahbes, MD

Les signataires, ci-dessus, représentent une palette de professionnels comprenant des pédiatres, des médecins de famille, des neurochirurgiens, des professeurs de pathologie, de chimie, de biologie et d'immunologie. Tous ont, de façon indépendante, investigué l'ensemble des données scientifiques relatives à ce sujet et en arrivent aux conclusions que vous pourrez lire dans ce document.

MD, DO, MB, MBBCh indiquent tous une formation de doctorat en médecine ou de niveau équivalent.

ND indique une formation médicale du niveau d'un doctorat mais dans des domaines plus spécifiques de la pratique médicale.

FNP signifie une infirmière pratiquant à domicile.

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les médecins n'arrivent pas à trouver la cause de beaucoup de maladies ? C'est parce qu'ils sont conditionnés à ignorer le lien existant entre les vaccins et diverses pathologies. Les maladies suivantes sont celles pour lesquelles il existe une association avec les vaccins, documentée dans la littérature médicale :

• Allergies et eczema • Arthrite • Asthme • Autisme • Reflux acide du jeune enfant nécessitant le cours aux inhibiteurs de la pompe à protons, des médicaments qui ont beaucoup d'effets secondaires • Cancer • Diabète juvénile • Maladies rénales • Fausses couches • Longue liste de maladies neurologiques et auto-immunes • Syndrome de la Mort Subite du Nourrisson (MSN) • Et beaucoup, beaucoup plus

Il y a certains effets secondaires des vaccins qui sont documentés dans la littérature médicale et/ou dans les notices des fabricants :

• Arthrite, troubles sanguins, thromboses, attaques cardiaques, septicémie • Infections des oreilles • Evanouissements (avec rapports de fractures consécutives) • Insuffisance rénale nécessitant une dialyse • Convulsions/épilepsie • Réactions allergiques sévères, comme l'urticaire ou l'anaphylaxie • Mort subite • Beaucoup de diagnostics habituellement donnés comme motifs d'hospitalisation • Le programme national d'indemnisation des accidents post-vaccinaux (NVCIP) a octroyé plus d'1,2 milliard de dollars ($) d'indemnisation aux victimes, enfants comme adultes.

L'autisme est associé aux vaccins

L'autisme était rare avant les programmes de vaccination de masse qui ont été amplifiés en 1991, avec l'introduction des vaccins contre l'hépatite B et l'Hib (méningite). Des dizaines de milliers de parents peuvent attester que leurs enfants sont devenus autistes vraiment peu de temps après avoir reçu ces vaccins ou d'autres.

Prenez connaissance de l'information disponible sur le site fourteenstudies.org. Vous verrez que les études réfutant le lien entre vaccins et autisme, sont hautement contestables. Les compagnies pharmaceutiques, les compagnies d'assurance et le système médical vivent financièrement de vos maladies.

• Les vaccins ne procurent pas d'immunité à vie, ce qui signifie que des rappels sont recommandés.

• Chaque injection de rappel accroit le risque d'effets secondaires.

• Les effets secondaires des vaccins peuvent vous rendre malade pour le restant de votre vie. Et, fort opportunément, il existe beaucoup de médicaments pour traiter les effets secondaires provoqués par les vaccins.

• Aux Etats-Unis, vous ne pouvez pas poursuivre le fabricant ou votre médecin lorsqu'un accident survient après une vaccination. L'un et l'autre sont protégés par la loi nationale sur les dommages vaccinaux chez l'enfant (« National Child Vaccine Injury Act ») de 1986. Cette loi signée et rendue effective par le président Ronald Reagan stipule :

« Aucun producteur de vaccins ne pourra être rendu responsable, dans une action civile, des dommages ou des décès liés à un vaccin. » (Loi publique 99-660)

Beaucoup de médecins et de professionnels de la santé ne se vaccinent pas et ne font pas vacciner leurs enfants. Pourquoi ne le font-ils pas ?

• Ils savent qu'il n'est pas prouvé que les vaccins soient sûrs ou efficaces.

• Ils savent que les vaccins contiennent des substances dangereuses.

• Ils savent que les vaccins génèrent de graves problèmes de santé.

• Ils ont déjà eu à traiter des patients souffrant de graves effets secondaires de vaccins. La seule personne qui retire avantage d'être en bonne santé, c'est vous et ceux sur qui vous veillez.

• Les compagnies pharmaceutiques ont infiltré et pris le contrôle du système médical dans son ensemble, incluant les écoles de médecines, les journaux médicaux, les hôpitaux, les cliniques et les pharmacies locales. Les revenus des médecins dépendent donc d'une foi aveugle, qui implique de ne jamais remettre en question le moindre aspect de la moindre vaccination. Même quand le médecin a sous les yeux les preuves évidentes d'un dommage vaccinal, il/elle est habituellement peu disposé(e) à envisager la vaccination comme en étant la cause. Malgré le fait que la science et la médecine non corrompues confortent l'abandon des vaccins, agir ainsi peut être considéré comme suicidaire pour sa carrière professionnelle. Les signataires de ce document assument définitivement et courageusement ces risques pour votre sécurité et celle de vos enfants.

• Les hôpitaux tirent financièrement avantage des hospitalisations et des examens.

• Les compagnies pharmaceutiques retirent des milliards de dollars des vaccins.

• Les compagnies pharmaceutiques gagnent des dizaines de milliards de dollars grâce à la vente de médicaments destinés à « traiter » les effets secondaires et les maladies chroniques à vie causées par les vaccins.

• Les vaccins sont la clé de voûte du système médical. Sans vaccins, les coûts des soins de santé diminueraient parce qu'au final, nous aurions une société plus saine dans son ensemble. Nous avons échangé la varicelle contre l'autisme, la grippe contre de l'asthme, des infections ORL pour du diabète,... et la liste pourrait encore continuer. En voulant frénétiquement éradiquer des microbes relativement bénins, nous avons troqué des maladies temporaires contre des maladies chroniques à vie, lourdes, insidieuses, des désordres, des dysfonctions, des inaptitudes et autres incapacités.

Combien y a-t-il de vaccins ?

Si les enfants américains reçoivent toutes les doses de tous les vaccins, ils se font administrer 35 injections qui contiennent 113 différentes sortes de particules microbiennes, 59 produits chimiques différents, 4 types de cellules ou d'ADN animal ainsi que de l'ADN humain issu de foetus avortés et de l'albumine humaine.

Si vous pensez que vous n'avez pas de souci à vous faire parce que vos enfants sont plus âgés, pensez-y à deux fois. Il y a pas moins de 20 vaccins supplémentaires qui sont actuellement dans le pipeline de développement de l'industrie pharmaceutique pour être mis sur le marché dans les quelques prochaines années, la plupart destinés aux adolescents et aux adultes.

Certains composants des vaccins : Comment est-il possible que les vaccins ne puissent pas faire de tort à votre santé avec ça ?

• Des virus ou bactéries adventices issues des milieux de culture à partir desquels les vaccins sont fabriqués

• Du mercure, un neurotoxique notoire, qui se trouve toujours dans les flacons multi-doses de vaccin contre la grippe utilisés dans le monde entier. En outre, le mercure se trouve toujours, à l'état de trace, dans plusieurs autres vaccins.

• De l'aluminium, un poison qui cause la dégénérescence des os, de la moelle osseuse et du cerveau.

• Des cellules animales de singes, de reins de chiens, de poulets, de vaches, et d'humains.

• Du formaldéhyde (utilisé pour l'embaumement des morts), un cancérigène notoire.

• Du polysorbate 80, connu pour causer l'infertilité chez la souris femelle et l'atrophie testiculaire chez la souris mâle.

• De la gélatine, issue des porcs et des bovins, connue pour causer des réactions anaphylactiques et que l'on retrouve en grande quantité dans les vaccins ROR et ceux contre la varicelle et le zona.

• Du monosodium glutamate (MSG) dans les vaccins à inhaler contre la grippe, une substance connue pour causer des perturbations métaboliques (par ex. diabète), des convulsions et d'autres troubles neurologiques.

Les conflits d'intérêts

• Les mêmes personnes qui font la réglementation et les recommandations en matière vaccinale tirent aussi avantage de la vente des vaccins. Par exemple, le Dr Julie Gerberding, qui a dirigé le CDC pendant 8 années est, à présent, présidente de Merck Vaccins. Le Dr Paul Offit, membre du Comité de Conseil en matière de pratiques vaccinales (ACIP) a développé et fait breveter son propre vaccin. Selon le CDC, pour un groupe moyen d'environ 10 pédiatres, la valeur approximative du stock de vaccins infantiles à écouler et disponibles dans leurs bureaux, avoisine les 100.000 $. Ces médecins s'enrichissent des visites au cours desquelles vos enfants sont vaccinés et aussi des visites de suivi, qui font suite aux effets secondaires de ces vaccins reçus.

Les pédiatres reçoivent des primes trimestrielles de la part des « mutualités » (« health maintenance organizations » - HMOs) avec lesquelles ils collaborent pour maintenir des taux élevés de couverture vaccinale dans leur clientèle et ils sont, semble-t-il, réprimandés par les compagnies d'assurance lorsque les taux de vaccination chutent.

Existe-t-il la moindre étude comparant la santé des enfants vaccinés à celle des non vaccinés ?

Une étude financée par Generation Rescue, appelée l' « étude Cal-Oregon » a questionné les parents d'enfants vaccinés vs. ceux d'enfants non vaccinés. Sur les 17.674 enfants inclus dans cette étude, les résultats ont montré :

• Les enfants vaccinés avaient 120% plus d'asthme. • Les garçons vaccinés avaient 317% plus de troubles de déficit d'attention avec hyperactivité (TDAH) • Les garçons vaccinés avaient 185% plus de désordres neurologiques • Les garçons vaccinés avaient 146% plus d'autisme.

Les filles représentent seulement 20% du nombre total d'enfants repris dans cette étude. Pour lire la totalité de l'étude par vous-même, allez sur GenerationRescue.org pour lire un rapport sur la faible incidence de l'autisme parmi les enfants Amish non vaccinés, allez sur vaccinationcouncil.org.Plus d'études encore au sujet de l'autisme, voir ici, et ici.

Les exemptions vaccinales aux Etats-Unis

Vous avez le droit de refuser ! Utilisez-le. On ne peut pas obliger que votre enfant se fasse vacciner pour fréquenter une école publique. Chaque état rend possible des exemptions et vous avez le droit de refuser les vaccins que vous estimez indésirables (exemptmychild.com) Trouvez un dispensateur de soins qui est en phase avec votre choix de ne pas vacciner et qui vous respectera sur le site vaccinationcouncil.org

Beaucoup de gens choisissent la santé et la sécurité en disant NON aux vaccins.

Les groupes qui ne vaccinent généralement pas incluent les praticiens holistiques, les chiropracteurs, les parents qui donnent eux-mêmes les cours à domicile et ceux appartenant à certaines religions. Des milliers de témoignages écrits par des parents d'enfants non vaccinés au sujet de l'excellent état de santé de leurs enfants sont disponibles sur divers sites internet. Les décisions concernant la vaccination vous appartiennent à vous et à votre époux - (se)/partenaire. Personne d'autre n'a à s'en mêler. Ce n'est pas l'affaire des autres membres de votre famille, de vos voisins ou de votre belle famille !

Pour avoir une santé brillante, vous aurez besoin de vous investir pour apprendre certaines choses nouvelles.

• Le choix de santé sûr est de dire NON aux vaccins. Vous avez le contrôle des choix de santé que vous faites pour vous-même et pour vos enfants. Vous n'avez aucun contrôle sur les conséquences d'une vaccination.

• Vous n'avez pas besoin d'un « pédiatre attitré » pour simplement peser et mesurer votre enfant et faire les injections. Envisagez la possibilité de recourir à un praticien naturopathe, un chiropracteur pour enfants, un praticien en médecine orientale ou un homéopathe. Vous pourrez constater que les praticiens de la famille des ostéopathes sont plus ouverts en ce qui concerne les choix vaccinaux.

• Les enfants naissent avec de puissantes défenses naturelles. Si cela n'était pas le cas, ils mourraient tous, peu après la naissance. D'énormes cascades de réactions immunitaires complexes commencent dès les premiers cris de la naissance. Ces processus ont besoin de se dérouler naturellement, sans être interrompus par l'injection de substances toxiques.

• Informez-vous au sujet des maladies que les vaccins peuvent « prévenir ». Votre enfant n'entrera sans doute jamais en contact avec la plupart de ces microbes et si c'était le cas, quasiment tous les enfants sains et non vaccinés s'en remettent sans aucune séquelles avec à la clé, une immunité durable à vie. La santé ne peut pas « jaillir » de la seringue.

• Informez-vous au sujet de l'importance de la fièvre, comment en tirer profit chez soi à la maison et quand recourir à un médecin. La plupart des épisodes fiévreux se résolvent d'eux- mêmes en quelques heures quand on se soigne raisonnablement (drtenpenny.com)

• Comprenez que votre enfant peut être vacciné et malgré tout contracter la maladie que vous souhaitiez prévenir. Les vaccins ne peuvent pas assurer la protection qui leur est attribuée. La santé ne peut pas « jaillir » de la seringue, ce n'est pas quelque chose qui s'injecte.

• Prenez conscience que les principales clés de la santé sont une bonne alimentation, une eau pure, un sommeil adéquat, de l'exercice et de la joie de vivre.

• Apprenez aussi des informations basiques sur les vitamines, en particulier l'information vraiment cruciale au sujet de la vitamine D3. Apprenez comment utiliser les plantes essentielles et les bases de l'homéopathie pour entretenir sa santé et gérer les troubles mineurs.

• Informez-vous davantage sur les vaccins que votre médecin ne l'a fait. Votre médecin n'a probablement jamais rien lu sur les vaccins à part les publications sponsorisées par l'industrie qui en font évidemment l'éloge.

• Sachez que vous payez pour les soins de santé ; le traitement des maladies est remboursé par les compagnies d'assurance. Votre assurance payera les médicaments et les vaccins.

• Gérer votre budget de façon à pouvoir rester en bonne santé. Votre vie en dépend.

 

http://legauloisdechaine.blog.lemonde.fr/2011/05/10/sante-vaccinations-peut-on-ne-pas-le-faire-oui-on-peut/

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