Le 8 janvier 1454 : Le jour où L’Eglise Catholique déclara l’extinction de la race noire
michel Duchaine
Le 8 janvier 1454 : Le jour où L’Eglise Catholique déclara et sanctifia l’extinction de la race noire
La Bulle pontificale d’appel à la « guerre sainte » contre les Nègres, datée du 8 janvier 1454 et rédigée par le Pape Nicolas V (de son vrai nom Tomaso Parentucelli) a eu des conséquences désastreuses pour l’Afrique noire.
Extrait de la Bulle du Pape Nicolas V, 8 janvier 1454.
« Nous avions jadis, par de précédentes lettres, concédé au Roi Alphonse, entre autres choses, la faculté pleine et entière d’ATTAQUER, de CONQUERIR, de VAINCRE, de REDUIRE et de SOUMETTRE tous les les Nègres, païens et autres ennemis du Christ où qu’ils soient, avec leurs royaumes, duchés, principautés, domaines, propriétés, meubles et immeubles, tous les biens par eux détenus et possédés, de réduire leurs personnes en servitude perpétuelle (…) de s’attribuer et faire servir à usage et utilité ces dits royaumes, duchés, contrés, principautés, propriétés, possessions et biens de ces infidèles nègres et païens (…). »
Cette date devrait être déclarée journée de deuil dans toute l’Afrique noire.
Les Nègres aujourd’hui qui se déclarent Chrétiens(catholiques et autres) doivent savoir de quoi ils se rendent complices et prendre leur responsabilités. Ils doivent se poser la question de savoir s’ils le font en toute connaissance de cause au regard du tribut payé par les nôtres. Chaque franc que vous donnez à la quête le dimanche contribue à financer et perpétuer le système qui a mené notre peuple au bord de l’extinction. Prenez rendez-vous avec vous-même et réfléchissez-y sérieusement.
Je rends hommage ici aux valeureux ancêtres résistants des Noirs:
MACKANDAL, DESSALINES, BOIRON-TONNERRE, TOUSSAINT LOUVERTURE, MAMBO ATY, ZUMBI, MULATRESSE SOLITUDE, HARRIET TUBMAN, NAT TURNER et tous les autres résistants.
Le Dieu de nos ancêtres a vaincu le dieu des barbares, nous sommes toujours là, debout, plus que jamais!
On n’oubliera jamais Ô GRAND JAMAIS !
« Ô Dieu des Ancêtres qui créa la terre et qui créa le soleil qui nous inonde de sa lumière. Ô Dieu qui porte les océans, qui provoque le rugissement du tonnerre.Ô Dieu qui a des oreilles pour entendre , toi qui es caché derrière les nuages , qui nous montre notre cheminement originel , tu vois à quel point le Blanc nous fait souffrir. Le Dieu de l’homme blanc lui commande de commettre des crimes.Mais notre Dieu qui est si bon , si juste , si vrai nous ordonne à présent de nous venger de toutes les souffrances endurées.C’est lui qui dirigera désormais nos armes et nous conduira à la victoire.C’est lui qui dorénavant nous aidera et nous protégera.Mais il exige que nous rejetions définitivement l’image hideuse du Dieu de l’homme blanc qui est si perfide et si cruel.Écoutez mes frères la voix triomphante de la liberté qui chante et résonne dans nos cœurs à jamais purifiés ».
(EXTRAIT DU « SERMENT AU DIEU DES ANCÊTRES » PRONONCÉ PAR HOUGAN DUTTY BOUKMAN ZAMBA AU COURS DE LA « CÉRÉMONIE DU BWA KAY MAN » QUI S’EST DÉROULÉE AU MORNE ROUGE (HAITI) DANS LA NUIT DU 14 AOÛT 1791)
le pape nicolas v mise les sarrasins en esclavage pour le christ
Le citron (citrus) est un produit miraculeux pour tuer les cellules cancéreuses
Bienfaits du citron.
Le citron (citrus) est un produit miraculeux pour tuer les cellules cancéreuses. Il est 10.000 fois plus puissant que la chimiothérapie.
Pourquoi ne sommes-nous pas au courant de cela?
Parce qu'il existe des laboratoires intéressés par la fabrication d'une version synthétique qui leur rapportera d'énormes bénéfices.
Vous pouvez désormais aider un ami qui en a besoin en lui faisant savoir que le jus de citron lui est bénéfique pour prévenir la maladie. Son goût est agréable et il ne produit pas les horribles effets de la chimiothérapie.
Si vous en avez la possibilité, plantez un citronnier dans votre patio ou votre jardin.
Combien de personnes meurent pendant que ce secret est jalousement gardé pour ne pas porter atteinte aux bénéfices multimillionnaires de grandes corporations ?
Comme vous le savez, le citronnier est bas, n'occupe pas beaucoup d'espace et est connu pour ses variétés de citrons et de limes. Vous pouvez consommer le fruit de manières différentes: vous pouvez manger la pulpe, la presser en jus, élaborer des boissons, sorbets, pâtisseries, ...
On lui attribue plusieurs vertus mais la plus intéressante est l'effet qu'elle produit sur les kystes et les tumeurs.
Cette plante est un remède prouvé contre les cancers de tous types. Certains affirment qu'elle est de grande utilité dans toutes les variantes de cancer. On la considère aussi comme un agent anti microbien à large spectre contre les infections bactériennes et les champignons, efficace contre les parasites internes et les vers, elle régule la tension artérielle trop haute et est antidépressive, combat la tension et les désordres nerveux.
La source de cette information est fascinante: elle provient d'un des plus grands fabricants de médicaments au monde, qui affirme qu'après plus de 20 essais effectués en laboratoire depuis 1970, les extraits ont révélé que: Il détruit les cellules malignes dans 12 types de cancer, y compris celui du côlon, du sein, de la prostate, du poumon et du pancréas...
Les composés de cet arbre ont démontré agir 10.000 fois mieux que le produit Adriamycin, une drogue chimiothérapeutte normalement utilisée dans le monde, en ralentissant la croissance des cellules du cancer. Et ce qui est encore plus étonnant: ce type de thérapie avec l'extrait de citron détruit non seulement les cellules malignes du cancer et n'affecte pas les cellules saines.
Institut de Sciences de la Santé, L.L.C. 819 N. Street, Baltimore, MD 1201
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ANNEXE
de Viny Eden
Ceci est la dernière nouveauté en médecine, effective pour contrer le cancer!!!
Bienfaits du citron.
Le citron (citrus) est un produit miraculeux pour tuer les cellules cancereuses.
Il est 10.000 fois plus puissant que la chimiothérapie.
Pourquoi ne sommes-nous pas au courant de cela? Parce qu'il existe des laboratoires intéressés par la fabrication d'une version synthétique qui leur rapportera d'énormes bénéfices. Si vous en avez la possibilité, plantez un citronnier dans votre patio ou votre jardin.
Combien de personnes meurent pendant que ce secret est jalousement gardé pour ne pas porter atteinte aux bénéfices multimilionnaires de grandes corporations? Comme vous le savez, le citronnier est bas, n'occupe pas beaucoup d'espace et est connu pour ses variétés de citrons et de limes.
Effectivement, de nombreuses études indiquent que la consommation d'agrumes, dont le citron et la lime, exerce un effet favorable contre le cancer. .
Cancer (prévention). Plusieurs études ont démontré que la consommation d’agrumes serait reliée à la prévention de certains types de cancers3,4,18,33, comme le cancer de l’oesophage, le cancer de l’estomac, le cancer du côlon, de la bouche et du pharynx. Selon l’une de ces étudess33, une consommation modérée d’agrumes (soit de 1 à 4 portions par semaine) permettrait de réduire les risques de cancers touchant le tube digestif et la partie supérieure du système respiratoire. En ce qui concerne le cancer du pancréas, les études demeurent controversées
Cancer (ralentir la progression). Les flavonoïdes, des composés antioxydants contenus dans les agrumes, ont démontré qu’ils pouvaient ralentir la prolifération de plusieurs lignées de cellules cancéreuses9,16,35 et diminuer la croissance des métastases34. Ces propriétés pourraient servir à l’élaboration de thérapies antitumorales
D’autres composés contenus dans les agrumes (les limonoïdes) ont également démontré des effets anticancer in vitro ou sur des modèles animaux. Ils pourraient diminuer la prolifération de cellules cancéreuses12,13 du sein15, de l’estomac13, du poumon13, de la bouche12,17 et du côlon
Maladies cardiovasculaires. Plusieurs études épidémiologiques ont démontré qu’un apport régulier en flavonoïdes provenant d’agrumes est associé à une diminution du risque de maladies cardiovasculaires37. Les flavonoïdes contribueraient à améliorer la vasodilatation coronarienne, à diminuer l’agrégation des plaquettes sanguines et à prévenir l’oxydation du « mauvais » cholestérol (LDL).
- Inflammation. Plusieurs études ont démontré que les flavonoïdes des agrumes avaient des propriétés anti-inflammatoires. Ils inhiberaient la synthèse et l’activité de médiateurs impliqués dans l’inflammation (dérivés de l’acide arachidonique, prostaglandines E2, F2 et thromboxanes A2)37.
- Hypercholestérolémie. Les flavonoïdes et les limonoïdes des agrumes et de leurs jus pourraient avoir un potentiel de réduction de l’hypercholestérolémie. Des études réalisées chez l’animal ont démontré que certains d’entre eux abaissaient le cholestérol sanguin10,11,19. Cependant, ces études n’ont pas été effectuées à partir de composés extraits directement du citron ou de la lime.
Autres. Parmi d’autres effets observés, deux limonoïdes présents dans les agrumes (la limonine et la nomiline) inhiberaient la réplication du virus de l'immunodéficience humaine (VIH), en plus d’inhiber l’activité de la protéase du virus20. De plus, certains limonoïdes du citron démontrent une activité contre certains champignons pathogènes21. D’autres limonoïdes22 et certaines protéines26 amélioreraient le système immunitaire chez l’animal. Ces résultats sont prometteurs, mais n’ont pas fait l’objet d’études cliniques contrôlées. Il est donc impossible pour l’instant de transposer ces effets chez l’humain.
Plusieurs études prospectives et épidémiologiques ont révélé qu’une consommation élevée de fruits et de légumes diminuait le risque de maladies cardiovasculaires28, de certains cancers29 et d’autres maladies chroniques1,2,30.
Que contiennent le citron et la lime?
Le pouvoir antioxydant du citron et de la lime est considéré comme faible, car il est calculé en fonction d’une portion normale, qui est relativement petite. Néanmoins, le citron et la lime renferment divers composants qui peuvent avoir un effet favorable sur la santé et sur la prévention de plusieurs maladies.
Flavonoïdes
Le citron et la lime renferment différents types de flavonoïdes. Ces composés antioxydants permettent, entre autres, de neutraliser les radicaux libres du corps et, ainsi, prévenir l’apparition des maladies cardiovasculaires, de certains cancers et d’autres maladies chroniques. Les principaux flavonoïdes contenus dans le citron et la lime sont l’ériocitrine et l’hespérétine. Des expériences menées sur des animaux ont démontré que l’ériocitrine et l’hespérétine, extraits de l’écorce (peau) du citron ou de son jus, pouvaient diminuer ou prévenir l’augmentation des dommages reliés au stress oxydatif5,6. De plus, l’ériocitrine pourrait induire l’apoptose de cellules leucémiques. La partie blanche de l’écorce du citron est celle qui contient le plus de ces 2 flavonoïdes.
La nobiletine, un autre type de flavonoïde contenu dans les agrumes, aurait des propriétés antiangiogéniques. Elle contribuerait à ralentir la croissance des tumeurs et des métastases34. Enfin, selon une étude menée sur des cellules du pancréas, la capacité à inhiber la prolifération de cellules cancéreuses de la lime serait proportionnelle à son contenu en flavonoïdes ainsi qu’en limonoïdes36.
Limonoïdes
Les principaux limonoïdes que renferment les agrumes sont la limonine et la nomiline. On les retrouve principalement dans les pépins12, mais aussi dans le jus13. Les limonoïdes possèdent une certaine capacité antioxydante14. Ils pourraient aussi entraîner l’apoptose de cellules neuroblastiques cancéreuses (cellules nerveuses embryonnaires, se différenciant ensuite en neurones)16. Des études laissent présager qu’ils pourraient prévenir certains types de cancers chez l’animal. Par exemple, l’obacunone, un type de limonoïde, s’est avéré efficace pour diminuer l’incidence de tumeurs du côlon18 et pour diminuer le nombre de tumeurs de la bouche12.Mais il n’existe pour le moment aucune donnée quant à un effet similaire chez l’humain. L’action synergique de plusieurs limonoïdes entre eux, ou avec d’autres composés (comme les flavonoïdes), pourrait accentuer leur action sur les cellules cancéreuses.
Fibres solubles
Les agrumes sont riches en fibres solubles, principalement en pectine, que l’on retrouve dans l’écorce et dans la membrane blanche autour de la chair (albédo). Par leur aptitude à diminuer le cholestérol sanguin, les fibres solubles contribuent à réduire l’incidence des maladies cardiovasculaires23. Des chercheurs ont démontré que l’écorce de citron était efficace pour diminuer les taux de cholestérol sanguin et hépatique chez l’animal24. Cependant, en plus de la pectine, d’autres composés présents dans l’écorce du citron pourraient participer à ce processus.
De plus, la pectine du citron, comparée à celle de 3 autres agrumes (pamplemousse, tangerine et orange), présente la meilleure capacité à inhiber la croissance de certaines tumeurs cancéreuses in vitro25. Par contre, ces données nécessitent davantage d’analyse avant de conclure à des effets bénéfiques de la pectine de citron ou de lime sur le cancer chez l’humain.
Protéines
Une équipe de chercheurs a découvert qu’un extrait de jus de lime pourrait améliorer la réponse immunitaire chez l’animal26. Cet effet serait attribuable à un ensemble de protéines présentes dans l’extrait de jus de lime. Ces mêmes composantes protéiques pourraient participer à l’arrêt de la prolifération de cellules cancéreuses observé in vitro27
Prudence..... Le citron, la lime, ainsi que leurs jus, devraient également être évités par les personnes souffrant de reflux gastro-oesophagien, d'oesophagite peptique et de hernie hiatale (en phase aiguë de ces maladies) ou du moins en prendre progressivement.... car notre organisme doit se réhabituer à des aliments aussi magnifiques que nous avons remplacés hélas par des aliments cuits et oxydés par la cuisson.
Source: Institut de Sciences de la Santé, L.L.C. 819 N. Causez Street, Baltimore, MD 1201
L'enquête interdite Daniel Balavoine - L'assassinat révélé par l'Au-delà...
"Dès que l'affaire de Daniel Balavoine et de ses amis aura explosé, la réaction en chaîne dont je t'ai déjà parlé se produira à la suite, et rien ne pourra l'interrompre. C'est comme les pétards d'une bande, liés les uns aux autres, qui éclateront tour à tour." Olivier
Enfouie sous le sable du désormais célèbre rallye Paris/Dakar, une vérité somnole-t-elle depuis 27 ans, dans l'attente impatiente d'être exhumée ? Selon la version officielle, le mardi 14 janvier 1986, vers 19 heures, l'héli- coptère du Dakar s'est écrasé avec cinq personnes à bord, dont Daniel Balavoine et Thierry Sabine, organisateur du rallye. Les passagers sont tous morts sur le coup.
En avril 2006, TOP SECRET n° 24 publie un premier dossier sur ce fait divers tragique devenu une affaire, suite aux révélations et messages de l'Au-delà que Jean Pernin reçoit de son fils Olivier et Daniel Balavoine, à partir de janvier 2004.
Jean est rejoint dans sa quête par Marie-Madeleine Jacob qui communique avec sa fille Léa, décédée à l'âge de huit ans.
D'autres personnes sont également venues apporter tout naturellement leur pierre à la construction de cet édifice portant le nom de Vérité.
Olivier communique avec son père de façon télépathique. Léa s'exprime plutôt par la gestuelle, le dessin, la peinture et le graphisme. Si les messages de l'Au-delà peuvent sembler fantaisistes, voire ridicules pour de nombreuses personnes, il convient cependant de les prendre au sérieux dès qu'ils rencontrent un écho ici-bas, grâce à des témoignages qui viennent les confirmer. En conséquence, lorsque messages de l'au-delà et témoignages terrestres se confondent pour ne former plus qu'un, ils constituent dès lors un faisceau de preuves d'une limpidité redoutable.
Alors que Jean Pernin avait toujours cru à la thèse accidentelle, les messages ont chamboulé sa vie et l'ont plongé presque malgré lui dans une enquête extraordinaire digne d'un thriller de cinéma. Voici donc la suite considérablement enrichie de cette étonnante enquête que nous avions abordée en 2006. Ce nouvel article est une bombe, un scénario qui pourrait relever de l'imaginaire le plus débridé. Et pourtant...
"Daniel est mon ami, mon fidèle compagnon"
Je ne comprends pas ce court message d'Olivier, reçu en novembre 1996, soit trois mois après le début de mes premiers contacts avec le monde invisible. En effet, Olivier évoque une personne qui est manifestement un ami dans sa nouvelle vie, mais dont je n'ai jamais entendu parler. Il n'avait pas d'ami portant ce prénom, ni d'ailleurs de connaissances familiales.
Au printemps 1997, le Daniel évoqué l'année précédente dévoile son identité : Daniel Balavoine.
Olivier me parle également de Coluche, François Mitterrand, Claude François, du Commandant Cousteau... Je recueille l'information, mais ne pose aucune question quant aux causes du décès des deux premiers nommés. Pour moi, il s'agit dans les deux cas d'un décès accidentel. Toutefois, il est vrai que la suspicion était de mise pour de nombreuses personnes. À l'époque, je ne la partageais pas...
Janvier 2004, tout commence
Un hommage télévisuel de début janvier 2004, consacré à Daniel Balavoine, apporte son premier lot de doutes. En effet, alors que différentes personnes s'expriment au cours de l'émission (proches et connaissances de Daniel) je reçois cette information cryptée en pleine figure :
"Il y a une intrigue autour de cette mort. On ne nous a pas dit toute la vérité. "
C'est d'ailleurs en ces termes que je m'adresse à la famille Balavoine (beau-frère de Daniel), quelques jours plus tard au téléphone, alors qu'il me faut communiquer le premier message de Daniel reçu très exactement le 13 janvier 2004, vers 20 h.
Je n'ai pour réponse que le silence gêné de ce monsieur, par ailleurs très sympathique. A-t-il cru à mon histoire ? Je l'ignore ! Pourtant, je pense que cet échange ne l'a pas laissé indifférent. Aurait-il lui aussi des doutes quant à la version officielle ?
Dans ce premier message, Daniel n'évoquait en aucun cas les circonstances de sa mort. Par contre, il nous mettait en garde contre tous les pouvoirs qu'il combattait. Il nous demandait de poursuivre le combat.
Extraits : "Partez à l'assaut de toutes les citadelles qui gouvernent le monde. Les êtres qui vous gouvernent sont de dangereux prédateurs. J'ai provoqué ces individus suffisants qui parlent avec le mensonge à la bouche. Le pouvoir appelle le pouvoir, l'argent appelle l'argent. Plus ils en ont, plus ils en veulent. Ils ne seront jamais rassasiés. Portez des coups sévères à ces individus. Le monde est aujourd'hui malade à cause de ces gens..."
9 février 2004, nouveau message, une autre vérité jaillit.
"La mort de Daniel Balavoine n'est pas une mort naturelle, mais provoquée... La date réelle de sa mort n'est pas le 14 janvier, mais le 13 janvier. C'est encore une magouille politique pour disperser les cartes... Un participant au rallye a joué un rôle important dans cette affaire. Il était un faux ami de Daniel. C'est lui qui est à l'origine de l'accident par le sabotage auquel il a contribué".
Puis le 11 février 2004, Daniel poursuit :
"Chers assassins... Qui sème le vent récolte la tempête... du désert ! Vous m'avez fait mourir physiquement, et avec moi bon nombre de mes amis. C'est moi qui étais visé, pas eux. Pourtant, vous n'avez pas hésité à sacrifier des innocents. Permettez-moi maintenant de vous dire ceci : la mort, ma mort, que vous avez provoquée et précipitée, devait de toute façon se produire dans les mois suivants.
Je devais être victime d'un accident d'automobile. Il était prévu que mon rappel se produise assez rapidement. Je suis désolé de vous le dire, mais toute votre stratégie n'aura servi à rien, si ce n'est de vous retrouver bientôt (et pour certains d'entre vous, c'est déjà le cas) face au tribunal de votre âme et de votre conscience."
Olivier dresse un portrait-robot du saboteur : "Cette personne est un homme charmant, bien sous tous rapports selon la formule consacrée. On lui donnerait le Bon Dieu sans confession. C'est le dernier de tous les suspects possibles qui pourrait être accusé. Il trompe son monde. Il a trompé sa famille et ses propres amis. Il a trahi pour une piètre ambition, pour un petit pouvoir et pour une bien modeste somme d'argent, au regard de l'immense richesse qui l'attendait ici.
Son seul faux pas est celui d'avoir cédé à la tentation et de renoncer aux valeurs qu'il prônait. Il a été bien naïf de croire en certains prophètes du pouvoir. Il a cru qu'il serait placé sur un piédestal après cette histoire sordide. Il est vrai qu'il a bénéficié de certaines faveurs. Pourtant, le véritable piédestal sur lequel il se hissera très bientôt est celui de la vérité, qu'il ne pourra plus très longtemps dissimuler"
Il est clair que le saboteur avait un intérêt personnel dans cette affaire. Daniel Balavoine était peut-être le seul visé, mais la motivation de cet individu se trouvait ailleurs. C'est la raison pour laquelle il n'a écouté que son orgueil et sa soif de pouvoir. Le réveil a été douloureux, c'est certain. Pauvre de lui qui peut encore racheter sa dette spirituelle en avouant sa faute. Libérer sa conscience est un acte important avant le grand départ. Il allège considérablement le fardeau.
En janvier 1986, Daniel Balavoine installait des pompes à eau en Afrique
Rêves étranges
Après avoir reçu ces premiers messages, je suis entré dans un cycle de songes assez révélateurs de la nouvelle situation. Je vivais ces événements nocturnes avec une telle intensité, que j'ai rapidement compris qu'il y avait une relation directe avec les informations communiquées par mes messagers. L'opposant invisible entrait donc en scène pour tenter de m'intimider, voire me dissuader d'aller plus loin dans ma démarche.
À cet égard, les premiers rêves me firent quelque peu transpirer, mais ils n'étaient pas cauchemardesques. Ceci dit, il en fallait bien davantage pour me décourager. Je savais par mon fils que j'étais protégé. C'est certainement ce qu'a compris celui qui tentait de me mettre des bâtons dans les roues, car les songes sont devenus soudain très différents. Je vous livre, ci-après, les plus significatifs. Nous attendons désormais avec grande impatience que le tout dernier songe se réalise :
1) Début avril 2004 : Le temps est beau. Je suis sur une place pleine de monde. Mon regard se porte au loin, au sommet d'une montagne en forme de volcan. Soudain, une énorme déflagration se produit. La cime de la montagne explose. Une pluie de lave incandescente arrose la place et provoque une panique. Aucun morceau de lave ne m'atteint. Un refuge salutaire m'accueille.
2) Fin mai : Je marche tranquillement sur un chemin de montagne limité sur ma gauche par une paroi rocheuse et caillouteuse. Quatre individus au faciès inquiétant sont en équilibre instable une dizaine de mètres plus haut. Ils attendent mon passage et font rouler quelques rochers de bonne taille pour tenter de m'écraser. Finalement, ils perdent l'équilibre et dévalent jusqu'à moi. Ils deviennent étrange- ment dociles et deux d'entre eux se laissent capturer. Les deux autres s'échappent.
3) Fin novembre : Je suis attablé avec Daniel Balavoine et d'autres personnes que je n'identifie pas. Daniel est souriant et blagueur, la plaisanterie est de mise. L'atmosphère est détendue et joyeuse. Je me surprends à l'interpeller comme il le fit en 1980 avec un certain futur président de la République. L'échange est théâtral et comique. Cependant, rien de nouveau n'est révélé à propos de l'affaire.
4) Fassala. C'est le nom d'un village (Mali ou Niger) qui m'est communiqué très clairement par Jean Claude Carton, que je rencontre au cours d'une réception dans un songe d'une réalité exceptionnelle. Pourquoi ce nom m'est-il communiqué ? Quelque chose est-il à trouver dans cette localité ?
5) 17 décembre : Je m'entretiens par téléphone avec un homme de média pour lui transmettre les dernières informations sur l'affaire. Soudain, la voix de cet homme se modifie. Je reconnais alors le saboteur. Au début de la conversation, il me parle avec sang-froid et condamne lui aussi fermement les auteurs du crime.
Puis, l'échange évolue. Finalement, sa voix le trahit. Il devient hésitant et ne trouve plus ses mots. Le ton est grave et caverneux. L'homme bafouille et marque de nombreux temps morts dans son intervention. Pour finir, je l'entends sangloter et le sens contraint de se libérer de cet énorme poids qu'il porte sur sa conscience.
Quand les témoignages confirment les messages
Au cours de l'émission Plus près des étoiles de décembre 2005, animée par Jean-Claude Carton sur l'antenne de Radio Ici et Maintenant, à laquelle nous avons participé pour évoquer cette affaire, c'est l'appel téléphonique de Marc Peccoux, diplomate à Nouakchott en janvier 1986, qui nous a subjugués. Il s'est manifesté à deux reprises au cours de l'émission.
Voici un extrait de son témoignage :
"Je voulais seulement vous apporter une précision. J'avais prescrit l'hôpital de Nouakchott parce que l'on m'avait dit qu'on n'arrivait pas à joindre les services de Dakar. On m'a appelé dans la nuit, je dormais, ça m'avait même mis de mauvaise humeur. On a certainement essayé de joindre plusieurs ambassades ou organismes sanitaires pour essayer de rapatrier ces blessés. On m'avait seulement dit : "On vous appelle, car on vient d'avoir un accident dans le cadre du circuit Paris/Dakar, et nous voudrions absolument évacuer ces blessés vers un hôpital.
L'accident venait d'arriver. La personne était française, comme un médecin. Une voix de quelqu'un qui était jeune. C'était un interlocuteur qui était sur place, et il m'a dit : nous sommes obligés tout de suite de transporter les blessés dans un hôpital.
Les gens n'étaient pas présents à leur bureau, tandis que moi, j'avais par souci de sécurité, relié mes bureaux qui se trouvaient en dessous de mon domicile, à ma chambre à coucher. J'avais toujours un téléphone près de moi."
M.Peccoux est très clair. Ce ne sont pas cinq morts sur le coup dont il est question, mais des blessés qu'il faut rapidement évacuer. De plus, il a été réveillé en pleine nuit. Ce qui veut dire que des passagers de l'hélicoptère étaient encore en vie tard dans la soirée. Nous l'avons rencontré après son intervention. Il évoque aussi une nuit de week-end. Quoi qu'il en soit, même si sa mémoire peut lui jouer des tours, il dément formellement la version officielle.
Il est certain de ne pas avoir été dérangé le mardi 14 janvier en fin de journée ou dans la nuit, mais dans l'une des nuits précédentes...
Samedi 29 janvier 2005, au cours de l'émission télévisée consacrée aux 25 ans de Starmania, sur France 2, la date du 13 janvier est clairement prononcée. S'agissant de l'action humanitaire de Daniel qui profita de l'infrastructure du Dakar pour installer des pompes à eau, la commentatrice annonce sans état d'âme :
"C'est là, dans la nuit du 13 janvier 1986 qu'il est victime d'un accident d 'hélicoptère".
Ce document sonore est à la disposition de tous. Pourquoi une telle erreur ? Qui a informé cette personne ou lui a fait prononcer un lapsus ?
Le carnet de bord de l'hélicoptère est rempli jusqu'au 12 janvier
Au cours du journal télévisé du 20 janvier 1986 sur Antenne 2, le journaliste Patrick Chêne présente en ces termes le carnet de bord (ou carnet de route) retrouvé dans les débris du crash. Ce qui est étonnant pour un journaliste en principe curieux de nature, c'est qu'il semble ne pas se rendre compte de l'énormité de ce qu'il dit. Où alors ? :
"Le 12 janvier, l'hélicoptère est à Niamey, et ainsi figure la dernière inscription RAS et la signature de François-Xavier, et le P qui indique que François Xavier était le pilote de la machine ce jour-là, comme les jours précédents d'ailleurs."
C'est un nouvel élément qui plaide en faveur de l'accident survenu le 13 et non le 14 janvier. Cette journée de repos est systématiquement ignorée du programme. Or, l'hélicoptère a volé, c'est une certitude, des témoins le confirment. François-Xavier Bagnoud, commandant de bord, n'a donc pas rempli le carnet de bord le 13 et encore moins le 14. Et pour cause.
Pourtant, la réglementation est précise : le carnet de route doit être tenu à jour et convenablement rempli au plus tard en fin de journée et/ou après toute anomalie, incident ou accident. La mise à jour du carnet de route doit être faite sous la responsabilité du commandant de bord et signée par lui, notamment en ce qui concerne : la date, le nom des membres d'équipage et leur fonction à bord, l'origine et la destination du vol, l'heure de départ et l'heure d'arrivée, le temps de vol, la nature du vol, le carburant embarqué lors de l'avitaillement, les anomalies constatées pendant le vol ou une mention explicite d'absence d'anomalie.
Détail de ce qui pourrait être l'étui qui contenait le carnet de route
Lundi 13 janvier en soirée, à l'hôtel Gaweye de Niamey
Le directeur des sports d'Antenne 2 est sur place pour rencontrer les équipes de la chaîne qui couvre l'épreuve. Le soir de son arrivée, il dîne avec Daniel Balavoine, Thierry Sabine et son équipe. Il s'exprime dans l'émission. Les derniers jours d'une icône.
"On est une bonne quinzaine, toute l'équipe du Dakar autour de Thierry, Daniel, quelques journalistes qui faisaient partie du noyau dur de l'épreuve, des anciens, et l'ambiance était formidable..." Mais que s'est-il passé après cette soirée ? Message :
"L'hélicoptère a bien redécollé assez tard, ce qui explique le réveil de Marc Peccoux, le diplomate. Il était environ minuit lorsqu'il fut réveillé. L'accident s'est produit vers 23 h." Lors d'un appel téléphonique à l'hôtel Gaweye, je suis en contact avec des interlocuteurs qui se souviennent parfaitement de cette soirée. Ainsi, après lui avoir exposé l'objet de ma démarche, la réceptionniste me dit spontanément :
"Ce n'est pas à la suite de ça que Thierry est décédé aux biefs ?"
Cette réponse me surprend. Nous faisons quelques recherches et constatons que le Niger forme de nombreux biefs (canaux parallèles) à la sortie de Niamey.
C'est ensuite Jean-Marie Da Silva, employé de l'hôtel, qui témoigne à son tour :
"Je me souviens très bien de cette soirée. Il est venu avec son petit hélicoptère qu'il a même posé juste sur le parking. Ils étaient deux ou trois dans l'hélicoptère. Ils sont partis un peu tard, j'ai souvenance effectivement de ce départ. À l'hôtel, on nous a annoncé son décès, son crash. Je ne sais pas qui a pris les commandes. Il y avait des journalistes à l'hôtel qui nous ont donné cette information. Je me souviens très bien parce que nous, on s'est même demandé comment il avait pu déposer l'hélicoptère devant notre hôtel."
Le lendemain matin, mardi 14 janvier, Thierry Sabine devait donner le départ de l'étape Niamey — Gourma-Rharous, à 4 h. Compte tenu de l'énorme armada mécanique, le départ a-t-il été donné en ville ou à l'extérieur ? Quoi qu'il en soit, d'après ces témoignages, il semble clair que le crash se soit produit dans cette nuit du 13 janvier. D'ailleurs, Jean-Marie Da Silva n'a pas pu confondre le 13 et le 14, car Thierry Sabine était censé être à plusieurs centaines de km le lendemain, et ne pouvait donc se trouver à l'hôtel Gaweye. Dans un message, Léa pointe précisément sur une carte le lieu du crash, au nord- ouest de Niamey, tout près du fleuve Niger.
Message du 12 juin 2008. Une charge explosive ?
"L'hélicoptère a été saboté avant le décollage. La première défaillance l'a obligé à se poser. Mais des hommes armés lui ont donné l'ordre de redécoller. C'est après qu'ils ont tiré lorsque l'appareil a pris de l'altitude. Le dégât provoqué à l'hélice s'est accentué au cours du vol pour provoquer rapidement la chute de l'appareil. Le rotor de queue a été endommagé par la première explosion... par le petit explosif placé sur l'axe du rotor. Mais il n'a pas été complètement endommagé, d'où l'atterrissage. En fait, ils n'ont pas réussi à saboter totalement l'appareil avec la première explosion. Donc, ils l'ont obligé à redécoller pour que le premier impact joue son rôle. Les balles tirées n'ont été qu'un complément pour assurer sa chute. La première explosion n'a pas fait le travail souhaité."
L'axe du rotor de queue est très accessible et facile à saboter
Message du 31 août 2008
"L'hélicoptère a bien été saboté lors de son stationnement à l'hôtel. C'est là que le saboteur "ami" du pilote et de Thierry Sabine a œuvré. En effet, il lui était très facile, étant donné qu'il faisait partie du groupe, de s'approcher de l'appareil sans attirer l'attention, et placer la charge explosive là où vous savez.
Le saboteur a toujours bénéficié d'une grande notoriété. Personne aujourd'hui ne le soupçonne, excepté quelques-uns de ses amis de l'époque qui ont compris le manège. L'hélicoptère a bien redécollé assez tard, c'est ce qui explique le réveil nocturne de Marc Peccoux."
Sur le site Dakardantan se trouve une page d'hommages consacrée aux victimes de l'accident. L'adresse : http://www.dakardantan.com/forum/il-etait-une-fois-le-14- janvier-86-vt437.html. On trouve sur cette page un témoignage particulièrement intéressant rédigé par Bibi 64 que nous appel- lerons Bernard puisqu'il donne son vrai nom un peu plus loin sur la page. L'homme travaillait dans l'avion PC du Dakar pour assurer la transmission de la copie des journalistes et le téléphone pour l'organisation. Son témoignage est sincère et ne peut pas être remis en question.
Bernard est formel. Il donne point par point la chronologie des évènements tels qu'il les a vécus. On apprend ainsi que les avions étaient basés sur l'aéroport de Gao où avait eu lieu la veille l'arrivée de l'étape.
Après quoi Bernard raconte sa rencontre avec Balavoine, et nous apprend comment Daniel a accepté de suivre Thierry Sabine dans l'hélicoptère pour finalement se rendre à Gourma Rharous, lieu d'arrivée de l'étape du jour. Bernard agrémente son récit de nombreux détails (le chef du village qui fait un remarquable mouton aux herbes), mais curieusement il reste très évasif sur les dates. Aucune précision de date et aucune heure dans son récit. On sait seulement que la veille, l'étape se terminait à Gao. Il rencontre Daniel le lendemain.
Puis Daniel part avec Thierry Sabine vers Gourma Rharous où se terminait l'étape du jour (le 14 donc). On découvre aussi qu'à 4 heures du matin (le 15 donc), il est le premier à apprendre le drame de la bouche des militaires. Son récit est parfaitement conforme à la version officielle. Sauf que... il y a juste un problème dans ce récit. Où est passé le jour de repos, le 13 janvier ? De fait, l'arrivée de l'étape à Gao a eu lieu le 12.
Si sa rencontre avec Daniel Balavoine a bien eu lieu le lendemain de cette étape comme il le dit, alors cette rencontre ne peut pas avoir eu lieu 14, mais le 13.
Et donc tout le reste de son témoignage, l'arrivée de l'étape à Gourma Rharous le 14 au soir, et son réveil à 4 heures du matin le 15 devient incohérent. C'est comme si Bernard ne se souvenait pas du 13, comme si ce jour de repos avait été escamoté de sa mémoire... Un missing-time de 24 heures très étrange, comme si ce témoin capital avait subi une séance d'hypnose. Tout le monde connaît l'exem- ple de ces gens hypnotisés à qui on a ordonné d'oublier le chiffre 5, comme si celui-ci n'avait jamais existé. Puis on les réveille, et on leur demande de compter les doigts de leurs mains. Et là, stupéfaction, les malheureux se retrouvent avec 11 doigts au lieu de 10. Et pour cause, puisqu'ils passent directement du 4 au 6, le cinq ayant été complètement effacé de leur mémoire. Ils ne comprennent évidemment pas ce qui leur arrive, et ils restent impuissants devant ce constat impa- rable : 11 doigts. En lisant le témoignage, on ne peut s'empêcher de penser à quelque chose comme ça...
Comme par miracle, cinq corps ont été éjectés de cet amas de ferraille qui se situe à 150 mètres du point d'impact. Ils sont retrouvés pour quatre d'entre eux, disposés en arc de cercle devant l'appareil. Ils sont intacts I
Gourma-Rharous, un accident mis en scène ? L'arbre qui cache la forêt... du mensonge !
Plusieurs témoignages nous le confirment de façon implicite. Tout d'abord, c'est Gérard Jouany, seul journaliste présent arrivé le premier sur les lieux de l'accident qui témoigne :
"L'écureuil est réduit à quelques pièces encore intactes, le moteur et la poutre, tout est débris. Devant l'appareil, dans un arc de cercle, quatre corps. Ils ont été éjectés : ce sont Balavoine, Odent, Sabine et Lefur.
Il manque le pilote. Nous le trouvons à la lueur de nos lampes frontales, de l'autre côté de l'épave, à droite. Il est tout seul.
Le vent avait-il cessé ? Oui, avec la nuit, le vent tombe sur ces régions d'Afrique. Horrible question : dans quel état se trouvaient les corps ? Ils n'étaient pas méconnaissables. Balavoine repose sur le dos, il porte son diamant à l'oreille gauche. Tout près se trouve Nathaly Odent, dans la même position. Ils sont intacts. Nous hésitons cepen- dant à les reconnaître. Il faudra le passepo.t de Balavoine. Balavoine Daniel, né à Alençon, dans l'Orne. Un médecin expliquera simplement que les visages gonflés sont dus à l'intensité du choc. Les trois autres sont recroquevillés. Les blessures abdominales de Thierry Sabine sont probablem.nt dues à la ceinture de sécurité. C'est tragiquement simple. Personne n'a été découpé par le rotor comme certains l'ont dit".
(extrait de son article dans Paris-Match). Gérard Jouany questionne :
"Les corps étaient-ils vraiment méconnaissables au point qu'on ait décidé de ne pas les montrer aux familles ?"
Comme chacun l'a lu, sa réponse est non ! Par conséquent, il est incompréhensible que les familles qui se sont rendues sur place n'aient pas pu voir leurs défunts. Quelle ignoble frustration. Les corps étaient intacts. Ils n'étaient pas méconnaissables les familles ne peuvent les voir. Pourquoi ?
Où est passée la dune de 30 m ?
De l'aveu même de certains coureurs, cette dune est un mirage. Ce qui est regrettable, c'est que les mirages ne se produisent pas la nuit. Pour rester sérieux, Franck, ex-pilote militaire, ayant effectué des missions sur ces profils de terrain en Afrique francophone, met sérieusement à mal les explications plus ou moins fantaisistes entendues ici et là. Il s'est exprimé durant 20 mn dans l'émission : Plus près des étoiles de décembre 2005. Nous n'avons jamais entendu une telle expertise. N'en soyons pas surpris. Les menteurs, complices et autres dissimulateurs sont à l'œuvre dans cette sombre histoire (extraits de l'intervention de Frank) :
- "Dans une nuit tombée, il n'y a pas de vent de sable. (Confirmé par Gérard Jouany).
-Il est facile de piloter un hélicoptère sur des théâtres de ce genre. Les profils des terrains sont neutres et doux. En l'occurrence, voler la nuit est un vrai délice, même en l'absence de lune. La clarté est telle dans le désert qu'elle nous permet de bien voler
- Un vent de sable ne peut pas faire heurter une dune à un hélicoptère.
Compte tenu de la vitesse estimée, le pilote avait largement le temps d'éviter une dune et même une falaise. Un hélicoptère a des projecteurs puissants qui procurent une vision d'au moins 150 mètres, et sont capables de percer des cumulonimbus.
La seule difficulté est la panne motrice, mais elle permet d'être en autogiration. Ce qui permet de se mettre (moteur coupé volontairement ou involontairement) en autogire, et de pouvoir nous poser en chute assez dure. Le matériel à mal, on peut aussi avoir mal à ses propres vertèbres, on peut avoir des blessés, mais en aucun cas quatre ou cinq morts. En aucun cas, on ne peut avoir autant de dégâts.
Plusieurs journalistes ont évoqué cette dune de trente mètres, ou moins, ou plus ! Ensuite, cette dune s'est transformée en un terrain plat montant dont le pilote aurait mal apprécié la pente.
Ce qui est quasiment méprisant pour François- Xavier Bagnoud, pilote très expérimenté, auteur de nombreuses missions de sauvetage en haute montagne. Une chose est sûre, la dune n'existe pas et n'a jamais existé.
Il y avait certainement plus de risque à évoluer à Arcachon autour de la dune du Pilat". Compte tenu des informations communiquées plus haut par nos messagers, l'hélicoptère est vraisemblablement tombé d'un bloc, ou alors, comme l'explique Franck, il a pu descendre en autogiration. Tout dépend en fait de l'état du pilote. François-Xavier Bagnoud avait-il toujours la maîtrise de l'appareil ? A-t-il été touché par les tirs ? Quoi qu'il en soit, aucun des passagers n'a pu survivre au choc...
Gros plan de la queue et de la partie arrière de l'épave. Un détail saute immédiatement aux yeux. Hormis la couleur de l'ensemble, la longueur de la béquille de queue et l'angle de raccordement à la base de l'em- pennage sont différents. Nous remarquons également trois cercles colorés (photo non retouchée) qui semblent indiquer l'endroit du 1 er sabotage (axe du rotor de queue). Qui les a dessinés ? Pourquoi ? Est- ce un nouvel indice ?
Avons-nous affaire à un ou à deux hélicoptères ?
Fiche technique de l'appareil en question (source : Direction Générale de l'Aviation Civile) :
L'empennage étant la seule partie exploitable de l'appareil crashé, nous avons concentré notre étude technique sur cette pièce. Cette étude nous livrera des indices inespérés. Observons tout d'abord sa forme.
Mise à la même échelle des angles d'empennage et de la taille de la béquille
Conclusion : À ce stade de l'étude, les experts consultés sont formels : Il ne s'agit pas du même appareil. Cependant, nous ne sommes pas au bout de nos surprises, le meilleur reste à venir !
Un témoin au comportement étrange
En janvier 2011, à l'occasion du 25ème anniversaire de la mort de son fils François-Xavier, pilote de l'appareil, Albina du Boisrouvray donne cette interview au journal suisse L'illustré (extrait) :
"Un concurrent a assisté au crash. Il a constaté le désastre et poursuivi sa course. Vingt minutes après, il était à Gourma. Prétendument en état de choc, il a attendu trois heures avant de donner l'alerte. Peut-être que s'il avait réagi plus vite, quelqu'un aurait pu être sauvé. Je suis allée le voir et j'ai hésité à porter plainte contre lui pour non-assistance à personne en danger. Pour l'exemple. Mes proches m'en ont dissuadée."
Cette information était-elle connue du public avant janvier 2011 ? Nous l’ignorons ! Quoi qu'il en soit, il s'agit d'un détail ô combien important pour un enquêteur. De toute évidence, il y a eu des fuites. Le comportement de ce témoin n'est pas passé inaperçu. Une personne du bivouac qui savait a libéré sa conscience. Le témoin en question n'avait pas que des amis, c'est clair ! Nous imaginons qu'il en est de même aujourd'hui.
Comme Albina du Boisrouvray ne donne aucun nom, il n'est pas aisé de faire la relation avec le témoin suivant. Est-ce le même ? Sont-ils différents ? Deux témoins ont semble-il assisté au crash. Ils étaient dans le même véhicule.
Dans la version officielle, l'un des deux. Charles Belvèze nous explique... (extrait de l’émission Un jour un destin, présentée par Laurent Delahousse) :
- Charles Belvèze : "C'était une étape très très dure. On arrive au niveau d'un hélicoptère, ce qui, sur le Dakar, est une chose tout à fait normale. Avec mon coéquipier, on voit cet hélicoptère décoller. L'hélicoptère décolle et il nous prend en chasse. Il se situe au-dessus de nous et on roule comme ça à peu près 25/30 km. La nuit tombe progressivement. On pense qu'en effet il nous suivait pour avoir un repère au sol.
Lui avait un petit phare qu'on voyait balayer de temps en temps autour de la voiture, et puis on entendait son bruit de pales au-dessus de nous."
- Laurent Delahousse : "Et tout d'un coup ?" - CB : "Il y a eu un bruit un peu comme quand vous jetez une allumette dans un barbecue plein d'essence.
C'était un "vouf" assez important...
Et là, il y a eu une gerbe d'étincelles qui a tourné en quelque sorte, à tel point qu'avec mon coéquipier, on a pensé qu'il nous envoyait une balise pour nous signaler qu'on n'était pas sur la bonne piste.
Pendant deux secondes, on n'a pas pensé que c'était l'hélico, mais très rapidement quand même, on s'est dit, oui c'est l'hélico. On se rend sur place, on regarde dans nos phares, on voit que tout est pulvérisé. Nous n'avons rien dans la voiture pour venir en aide en quoi que ce soit."
- LD : "Donc, vous faites ces derniers 8 km qui restaient et vous arrivez au bivouac. Et à ce moment-là, vous expliquez aux uns et aux autres ce que vous venez de vivre ?
- CB : Pas aux uns et aux autres. On va tout de suite à la direction de la course qui est sur la ligne d'arrivée, où on doit rendre nos cartons et noter notre arrivée et on leur dit : "Vite, il y a un hélicoptère qui est tombé". Comme ils (les passagers de l'hélicoptère de Sabine) avaient prévenu auparavant Pierre Lartigue parce qu'ils étaient censés se poser; parce que c'était l'heure de nuit, la direction de course nous dit : "Non, non, pas du tout, ils sont posés, vous êtes un peu fatigués, on comprend ça, vous avez eu une étape très difficile. On ne nous croit pas."
- LD : Jusqu'au moment où quelqu'un finit par vous croire ? - CB : Oui, c'est Bernard Giroux, pour ne pas le nommer; qui nous connaissait et qui se dit, en effet : ces deux-là,
des hallucinations à deux, je n'y crois pas. Peut-être un à la rigueur; mais pas deux."
Ce témoin nous apprend aussi que l'hélicoptère s'est crashé très près de son 4x4 (20 à 50 mètres.) Miraculeusement, l'équipage n'a reçu aucun éclat ni projectile quelconque ! Par ailleurs, un détail nous frappe en visionnant ce témoignage. C'est cette espèce de satisfaction étrange et parfois même une forme de jubilation sur le visage du témoin. Nous avions l'impression qu'il commentait autre chose qu'un terrible accident ayant fait cinq victimes.
De toute évidence, lorsqu'on prend connaissance de ces deux interviews, on se dit qu'il y a quelque chose qui cloche.
J'ai contacté à plusieurs reprises Charles Belvèze. Il n'a jamais répondu aux courriels pourtant très courtois que je lui ai adressés. S'est-il volontairement muré dans le silence ? A-t-il reçu des ordres, des menaces ?
S'est-il trouvé au mauvais endroit, au mauvais moment ? Autant de questions qui ne trouvent pas (pour l'instant) de réponse. Quoi qu'il en soit, il a décidé d'ignorer totalement notre démarche. Il n'est d'ailleurs pas le seul. Curieusement, Charles Belvèze n'a pas terminé son récit. En effet, son action ne s'arrête pas à son retour au bivouac. Je cite de nouveau Gérard Jouany (extrait de son article) :
- Gérard Jouany : "Le doute s'installe, il faut vérifier. Je décide alors de prendre Belvèze dans ma voiture, la Mercedes 4x4 d'Europe I avec laquelle je fais la piste avec les concurrents depuis le départ de Versailles. Belvèze est précis : "tu remontes la piste pendant onze kilomètres et c'est là". Au kilomètre 11, effectivement Belvèze sur- saute. Il reconnaît : "À gauche, ce sont mes traces',' dit-il. Je prends à gauche, je remonte une pente de sable, j'allume tous mes phares, des longues portées qui éclairent à un kilomètre. Cinquante mètres après, nous voyons le spectacle d'horreur..."
Contacté début janvier 2013 par téléphone, cet important témoin semble tomber des nues lorsque j'évoque avec lui certains détails plutôt épineux de l'affaire. À l'en croire, je porte à sa connaissance des informations qu'il ignorait. Manifestement troublé, il préfère néanmoins s'en tenir à "sa version" me dit-il. C'est-à-dire à ce qu'il a vu et consigné dans son article. Je suis persuadé que cet échange l'aura conduit à une profonde réflexion !
A l’arrivée au bivouac, Charles Belzève prévient que l’hélicoptère s’est crashé, mais on ne le croit pas.
Message d'Olivier, 10 mars 2008
"Papa, le traître a reçu des consignes. Il ne doit rien laisser transparaître dans sa vie qui puisse le laisser soupçonner. Je peux toutefois vous dire qu'il est sérieusement malmené par sa conscience depuis qu'il sait que des rumeurs circulent sur ce sujet.
Assoiffé de pouvoir, orgueilleux comme il est difficile de l'être, il cherche par tous les moyens à dominer ses peurs, et le meilleur moyen pour dominer et vaincre la peur est de se convaincre que le danger n'existe pas, n'existera plus jamais. Pour lui, c'est une affaire classée et il est certain que personne ne parlera. Mais là, il se trompe lourdement parce qu'il sera réveillé par nos soins."
Le rapport d'accident
L'année 2008 est particulièrement active en recherches, compte tenu des nombreux messages reçus. Il nous manquait un élément de poids : le rapport technique d'accident. C'est en mai que je décide d'aller à sa recherche. Tout naturellement, je me tourne vers l'Aérospatiale rebaptisée aujourd'hui Eurocopter, basée à Marseille. Constructeur de l'hélicoptère Écureuil, cette entreprise était bien sûr directement concernée par l'enquête d'expertise technique à laquelle elle a participé.
Baladé d'interlocuteur en interlocuteur, de bureau en bureau pendant plusieurs semaines, j'apprends finalement que le rapport d'accident n'a pas été retrouvé. Je décide alors de frapper fort en signalant à ma dernière interlocutrice que nous n'hésiterions
pas (dans un documentaire en préparation) d'évoquer la possibilité d'une rétention d'information. Cet avertissement eut un effet immédiat. Dans le courant de l'après-midi, je recevais un message téléphonique d'une collaboratrice du BEA (Bureau d'Enquêtes et d'Analyses pour la sécurité de l'aviation civile) basé au Bourget.
Au BEA, après plusieurs semaines de recherches, j'apprends avec stupéfaction que le dossier est vide. Décidément, où est donc passé ce rapport ? Ci -après, mon courriel du 27 novembre 2008 :
"Bonjour Madame, comme suite à mon courriel du 20 juin 2008, et aux entretiens téléphoniques que nous avons eus, je vous saurai gré : De bien vouloir me faire parvenir par écrit la raison de la non-communication par le BEA du rapport d'expertise relatif à l'accident d'hélicoptère Ecureuil de l'Aérospatiale, survenu le 14 janvier 1986 au Mali, près de Gourma-Rharous.
Notre demande était relative au rapport d'expertise établi par l'expert dépêché par l'Aviation Civile Française à l'époque (et non pas relative au rapport du pays, établi par les autorités maliennes).
D'après ce que m'a dit au téléphone Monsieur X le BEA n'a pas de rapport d'expertise dans le dossier. Une demande aurait été faite par le BEA au pays (son tél du 19 sept), puis au Quai d'Orsay (son tél du 22 oct.), puis auprès de l'Ambassade de France au Mali... (Son tél du 25 nov.)
Par ailleurs, à défaut du rapport d'expertise technique, pouvez-vous me faire parvenir une copie de votre dossier du BEA auquel Monsieur X faisait référence ? Sinon, je vous serais reconnaissant de bien vouloir nous communiquer également la raison de cette non-communication. Dans cette attente et vous en remerciant par avance, recevez mes cordiales salutations. ‘’
Jean Pernin.
Finalement, dans l'attente d'un rapport manifestement difficile à extraire, j'obtiens directement de mon interlocuteur masculin du BEA, qu'il me fournisse les coordonnées téléphoniques de son collègue malien. Ce qui fut fait. C'est ainsi, comme vous le lirez ci-après, que le rapport me fut communiqué presque instantanément par Monsieur Oumar BA, Directeur du Contrôle de la Sécurité et de la Sûreté, ANAC Mali. J'ai enfin trouvé une personne à l'écoute, serviable et dévouée s'il en est.
Son courriel du 16/12/2008
'Bonjour Jean, Juste pour vous dire qu'on m'a transmis votre appel téléphonique de ce matin. Je m'en excuse. J'étais en réunion de Direction. D'autre part, j'ai le plaisir de vous confirmer que le rapport final relatif à l'accident d'hélico de janvier 86 a été retrouvé après de grosses recherches, la Direction de l'aviation civile ayant changé de locaux beaucoup de fois. Je vous le ferai parvenir dès qu'on aura fini de le scanner. Salut !
Oumar BA, Directeur du Contrôle de la Sécurité et de la Sûreté, ANAC Mali."
En fin de journée de ce 16 décembre 2008, je recevais un nouveau courriel d'Oumar BA avec, en pièce jointe, le fameux rapport d'accident. Pour la petite histoire, j'en ai bien sûr informé ma première interlocutrice du BEA qui, quelque peu stupéfaite, surprise et dépitée, me dit :
"C'est le monde à l'envers !"
Elle m'en demanda naturellement une copie. Néanmoins, il n'était pas question de la lui transmettre sans l'accord de mon interlocuteur malien qui, bien sûr, me le donna. Malheureusement, malgré plusieurs tentatives, cette pièce jointe n'a jamais voulu quitter mon ordinateur. Je n'ai pas insisté, j'ai rapidement compris que l'invisible s'y opposait.
Que recèle ce rapport ?
S'agissant de l'hypothèse désormais tout à fait plausible du crash de deux hélicoptères, ce rapport ne pouvait concerner que le second, soit celui du 14 janvier en fin de journée, à proximité de Gourma- Rharous.
En conséquence, il convenait de rechercher des indices susceptibles de différencier les deux appareils, voire de mettre en lumière des incohérences, des situations curieuses ou aberrantes. Un crime n'étant jamais parfait, la cueillette ne pouvait qu'être fructueuse. Ainsi, nous apprenons (prem19.00partie du rapport).
- Page 2 : "Vers 19:20, les Autorités Administratives de GOURMA RHAROUS ont été avisées par un concurrent, de l'accident du F-GEAM survenu vers 19:00 UTC sur la dune de IN DURAN à 9 km au sud- ouest de la ville et à 15 mètres environ à droite de la piste reliant GOSSI à GOURMA RHAROUS".
Commentaire : Quant au timing, il faut le revoir (cf témoignage d'Albina du Boisrouvray et/ou du concurrent en question).-
- Page 5 : "Il est à noter que les enquêteurs ont trouvé que le tableau de bord avait été littéralement pillé".
Commentaire : Très important à noter : sur le rapport, le mot démonté est écrit à la main au-dessus de pillé. Alors, pillé ou démonté ? Pourquoi ce pillage ou ce démontage ? Un soldat malien était soi- disant sur place et montait la garde pour écarter les importuns ou les chacals.
"L'examen de la documentation de l'appareil fait ressortir un bon état d'entretien". Commentaire : La défaillance technique est donc a priori exclue.
- Page 7 : "Le 13 janvier journée de repos à NIAMEY, l'hélicoptère immatriculé F-GEAM dépose un plan de vol IFR à 13:28 pour GAO Itinéraire NIAMEY-GOURMA RHAROUS avec escale à TERA-OUENRENDA et TESSIT".
Plus loin, on lit : "GAO n'était qu'une escale Intermédiaire sur l'étape NIAMEY-GOURMA RHAROUS où le F-GEAM s'est posé à 14.53 le 14 janvier 1986. Il s'y est ravitaillé en Jet Al (470 I) et a décollé à 15:24 pour GOURMA RHAROUS. Il n'a pas déposé de plan de vol à GAO, L'aéronef n'était donc pas suivi par les Services de Contrôle de GAO à GOURMA RHAROUS. Les dernières personnes à avoir vu les occupants de l'aéronef sont M,Lartique et Giroud, compétiteurs du Rallye.".
Commentaire : "Il n'a pas déposé de plan de vol'. Si ces informations sont exactes, pourquoi le carnet de bord est-il arrêté au 12 janvier ? François-Xavier Bagnoud, pilote sérieux et méticuleux, ne peut avoir négligé cette consigne qui exige le remplissage du carnet de bord au plus tard en fin de mission. Si une autre personne pilotait, c'est une tout autre histoire ! Quant à Bernard Giroux, il est mort 1 an et demi plus tard lors d'une compétition d'offshore, avec Didier Pironi et Jean-Claude Guénard. Mais ce n'est qu'une malheureuse coïncidence...
- Page 8 : "L'accident a eu lieu pratiquement sur la route directe reliant Kossi à GOURMA RHAROUS" [...] Les conditions étaient encore VMC pour un hélicoptère". Commentaire : Les conditions météorologiques de vol à vue (VMC) sont : hors des nuages et en vue de la surface, la visibilité doit être supérieure à 800 m pour les hélicoptères. Ce qui était le cas lors du départ de Gao et qui est ensuite estimé à 300 / 500 mètres, selon le rapport.
"L'habitacle est complètement détruit. En plus, l'épave a été pillée avant le schéma de répartition figuré en annexe".
- Page 9 : "Tableau de bord : Nous avons été informés que tous les éléments du tableau de bord ont été démontés par le représentant du SNIAS (Aérospatial)'’.
Commentaire : ce qui est un démontage ressemble à un pillage !
Pourquoi un tel empressement, une telle précipitation ? Fallait-il substituer à la vue ou au contrôle des éléments compromettants ? Alors qu'habituellement, les experts tentent de reconstituer entièrement les épaves afin de pouvoir déterminer les raisons du crash, ici c'est exactement le contraire qui se produit.
Tableau de bord de l'hélicoptère L'épave est très disloquée. La longueur de dispersion de l'épave est révélatrice d'une vitesse importante à l'impact. L'état de détérioration du rotor principal dénote une puissance motrice importante au moment du choc. C'est une confirmation de ce qui est consigné en page 2 :
"L'hélicoptère en régime de croisière serait rentré en contact du sol en piqué. Au premier contact, l'habitacle s'est disloqué et le reste de l'épave a rebondi et a heurté un arbre dont une branche s'est détachée avant d'être envoyé sur le dos".
Commentaire : Comment expliquer le crash dans ces conditions alors que nous avons vu qu'il n'y avait pas de véritable dune ? Manifestement, l'appareil était devenu totalement incontrôlable. Le pilote ne maîtrisait plus la machine. D'ailleurs, y avait-il à cet instant un pilote aux commandes ? Si cette opération est une mise en scène, il est permis d'en douter. Un hélicoptère télécommandé pouvait servir à simuler un crash...
Page 10 : "Au cours des rebonds, les portières et plusieurs autres éléments de la cabine se sont détachés".
Commentaire : Est-il possible que le harnais de sécurité n'ait pas retenu prisonnier de l'habitacle au moins un passager ? Supposons que les passagers n'étaient pas attachés. Si les corps ont été éjectés, ils auraient dû logiquement être retrouvés tout au long du crash. Or, bizarrement, Gérard Jouany les retrouve disposés en arc de cercle devant la carlingue.
"DEVIS DE POIDS DE L'ACCIDENT Cinq personnes étaient à bord de F-GEAM. Mais il ne nous a pas été permis d'évaluer le poids du chargement récupéré sur les lieux de l'accident, les organisateurs du rallye l'ayant emporté. Il n'était donc pas possible d'établir un devis de poids". Commentaire : De nouveau, la précipitation est de mise...
- Page 11 : "ENREGISTREMENT : A bord, aucun enregistrement n'a été trouvé. ATS, un procès-verbal d'écoute à GAO mentionne uniquement l'arrivée et le départ de F-GEAM".
Commentaire : Le constat parle de lui-même!
"FONCTIONNEMENT DES SERVICES DE SECOURS ET DE SAUVETAGE. PHASE D'URGENCE : un concurrent du rallye aurait donné l'alerte en arrivant à GOURMA RHAROUS. Aussitôt, les autorités ont dépêché la gendarmerie sur les lieux". Commentaire : S'agit-il du concurrent qui a attendu trois heures ? C'est fortement probable.
"Aucun incendie ne s'est déclaré malgré l'écoulement du restant du carburant". Commentaire : Le premier témoin du crash évoque un "vouf" important, comme quand on jette une allumette dans un barbecue plein d'essence. Étrange...
- Page 12 : "LES TEMOIGNAGES : L'enchainement rapide des évènements n'a pas permis d'au- ditionner le ou les témoins oculaires".
Commentaire : Ben voyons. Comme par hasard... Toujours selon les témoignages recueillis :
"Au sujet des conditions météorologiques, tout le monde est unanime à dire que le vent soufflait fort ce jour-là et que la visibilité était très réduite".
Commentaire : "Le vent était tombé avec la nuit."(Gérard Jouany). En conséquence, le vent ne pouvait donc pas être en cause. D'après lui, il restait des particules de sable en suspension qui pouvaient gêner la visibilité. Concernant la dispersion des éléments de l'hélicoptère, il est écrit en page 9 du rapport :
"L'aéronef semble être arrivé entier au sol car tous les débris longent la trajectoire du crash du premier point d'impact à l'arrêt complet de l'épave".
- Page 17, des détails nous sont donnés : "DISPERSION DES ELEMENTS SUR LE SITE DU CRASH : 10 m habillage et portes. 20 m plancher cabinet + planche de bord. 100 m pale jaune + adaptateur de Fq + antivibreur". Commentaire : Précisions apportées au commentaire de la page 10. À 10 mètres, soit tout près du premier point d'impact, l'appareil ne comporte plus ni habillage, ni portes. Ce qui veut dire que l'éjection des corps (si corps il y avait) a pu se produire très tôt, et non en bout de course.
Par contre, si ces corps sont restés prisonniers de l'habitacle (ce qui est peu probable), il est impossible qu'ils soient demeurés intacts. Tout pompier ou sauveteur digne de ce nom n'a jamais retrouvé de corps intacts dans un accident de ce type.
Quant à la planche de bord qui comporte l'instrumentation, a-t-elle été pillée, démontée du bloc final, ou simplement récupérée à 20 mètres du point d'impact ?
Pourquoi aurait-elle été démontée/pillée ? C'est une question qui mériterait toute notre attention. Constat final et déduction logique : L'appareil qui s'est crashé le 14 en soirée ne transportait vraisemblablement personne. Les victimes de la veille ont été amenées sur place et arrangées dans la hâte ou la précipitation. De toute évidence, le metteur en scène a manqué de temps ou d'imagination.
D'après les témoignages dont nous disposons et les éléments les plus probants du rapport d'accident, nous sommes face à une orchestration qui a joué jusqu'à présent une partition sans fausse note.
Toutefois, force est de constater que les fausses notes deviennent désormais audibles, et qu'elles donneront lieu sans tarder à une véritable cacophonie. Lorsqu'un musicien déraille et s'éloigne de sa partition, l'orchestre s'emballe !
L'empennage livre un autre secret : le numéro de série
Sur chaque appareil figure un numéro de série que l'on retrouve sur le haut de l'empennage, juste au- dessus de l'inscription "Écureuil". Ce numéro est également gravé sur une plaque signalétique fixée sur l'appareil. Malheureusement, compte tenu de l'état de l'épave, cette plaque ne nous est pas accessible. Comme nous l'avons lu plus haut, le F-GEAM porte le numéro de série : 1689. Il est d'ailleurs parfaitement lisible sur les photos de l'épave. Jusque-là, tout est cohérent et dans l'ordre des choses. Cependant, les choses se corsent grâce à un second cliché du crash (page 11 du supplément de VSD 438), très certainement la 1" prise de vue, compte tenu de l'absence d'activité autour de l'épave :
Quel jour et à quelle heure la seconde photo a-t-elle été prise ? Nous l'ignorons. Questionné, le photographe reste silencieux. Nous l'avons bien sûr sollicité afin de disposer du cliché original.
Comparatif des deux clichés. En plus du doute sur les numéros de série on voit que la distance entre le dernier chiffre et la tôle déchirée est différente.
Comme par hasard, l'original n'est plus en sa possession. Idem pour VSD qui ne l'a plus dans ses archives. Curieusement, les pièces à conviction disparaissent ou se volatilisent. De fait, nous pouvons bien le dire à présent : nous sommes devant ce qui pourrait bien être une affaire d'État. Et la preuve est devant nous...
La déchirure et les numéros de série en gros plan comparés
Sur l'image ci-dessous, prise semble-t-il à l'aube par un photographe averti, le numéro de série n'est plus le même.
Comme ce cliché a été pris sous un angle très légèrement différent, nous ne pouvons lire que les trois premiers chiffres : 145?. Quoi qu'il en soit, même si le dernier chiffre n'est pas lisible et le second (4) incomplet, nous sommes loin de 1689. En conséquence, la déduction est simple, le numéro de série s'est transformé entre les deux prises de vue, et certainement pas par l'action du Saint Esprit. À cet instant du fignolage de la basse besogne, ce n'est pas lui qui sévissait en ce lieu ! Cette photo étant logiquement la première, il est fort possible que les protagonistes du second crash se soient aperçus (certes un peu tardivement) de leur oubli. Il fallait donc vite réparer cette grossière erreur avant que les enquêteurs fassent leur travail. Du moins, nous pouvons le supposer. Une simple manipulation sur Photoshop a permis au conspirateur de transformer en quelques secondes un numéro de série non conforme en 1689, et faire coller les faits à la réalité.
Autre observation : La position du dernier chiffre par rapport à la déchirure. Si le numéro 1689 a été recopié, il devait être totalement lisible.
Identification des appareils
Après quelques recherches, nous trouvons deux appareils dont le numéro de série commence par 145. 1) L'Écureuil AS 350 B immatriculé F-GCTM, N° de série 1453. Il était présent sur le Dakar en cette année 1986. Cet hélicoptère a aussi été utilisé trois fois en 1981 pour l'émission : La Chasse au Trésor, de Philippe de Dieuleveult : autre aventurier disparu de façon mystérieuse !
2) L'Écureuil AS 350 B immatriculé F-GICG (photo ci-dessus), N° de série : 1451. S'agissant de ce second appareil, la fiche signalétique nous apprend qu'aucun propriétaire n'est identifié avant le 8 juin 1988, date du premier enregistrement en France. Or, cet hélicoptère a été construit en 1981, il a donc eu logiquement d'autres propriétaires avant. Pourquoi n'en avons-nous pas de trace ? D'après la DGAC, l'appareil était certainement imma- triculé dans un pays étranger. Ceci expliquant cela.
Cet aéronef a été radié le 22 janvier 1997 pour le motif : détruit. Cependant, le premier propriétaire français (juin 1988), contacté par téléphone, nous apprend que son acquisition (F-GICG) était un héli- coptère reconstruit par l'Aérospatiale à partir de la plaque d'identité d'un appareil détruit. Une hypothèse s'impose: l'appareil crashé le 14 janvier 1986 aurait-il cédé sa plaque d'identité au F-GICG ? En effet, compte tenu des formalités administratives et techniques, un temps relativement court (14 janvier 1986 - 8 juin 1988) séparerait la "mort" de l'un et la "renaissance" de l'autre.
Dès lors que la plaque (numéro de série...) peut être réutilisée pour une reconstruction après une destruction, tout devient possible !
En conséquence, l'information est importante. L'Aérospatiale avait deux réseaux : le neuf et l'occasion. Il y avait des cellules neuves et du matériel de récupération qui était recyclé. L'entreprise reconstruisait donc des hélicoptères avec ces éléments, en partant d'une plaque d'identité existante d'appareils détruits. La seule traçabilité étant le numéro de série.
Le cercueil est vide ?
Cette information publiée dans le premier article de TOP SECRET n°24 est particulièrement troublante. Tout d'abord, Daniel la communique à notre amie Christine par écriture automatique, au début de chacun des messages qu'elle reçoit dès fin 2004 : "Le cercueil est vide, mon corps est ailleurs..."
J'en ai ensuite confirmation dans un message de décembre 2005, lui aussi publié dans le même article. Olivier : "Le corps de Daniel est enterré au Mali. L'Afrique a été son berceau, il est naturel qu'elle soit devenue la terre d'accueil de sa dernière demeure en ce bas monde."
Comme nos messagers font toujours (en principe) bien les choses, c'est comme par hasard un porteur du cercueil de Daniel qui valide sans le savoir les messages de l'Au-delà. En effet, il nous confirme que le cercueil était très léger et contenait du sable. Il a très clairement entendu ce sable couler lorsque le cercueil a été incliné lors de sa descente dans le caveau.
Rappelons-nous que Gérard Jouany a retrouvé des corps intacts. Comme ce porteur est également graveur sur marbre et très souvent au cimetière, il nous apprend aussi que la tombe est entretenue principalement par des fans.
Conclusion : Où est donc passé le corps de Daniel Balavoine ? Il faudra bien un jour résoudre cette énigme !
Le mobile ?
Hormis les superbes textes qu'il écrivait et mettait en musique, Daniel Balavoine s'était fait remarquer au moins à deux reprises sur le plan politique. Sa première intervention marquante, gravée dans la mémoire de tous, s'est produite lors du journal télévisé d'Antenne 2 midi, le 19 mars 1980 (Invités : François Mitterrand, Daniel Balavoine, le juge rouge Jacques Bidalou) :
"Daniel Balavoine prend la parole :
"(...) Ça c'est ça que je voudrais qu'on m'explique parce que moi je ne le sais pas. Ce n’est pas l'information qui me le dit. Je voudrais savoir pourquoi M.Boulin a été suicidé ou s'est suicidé ? On ne le saura jamais. Pourquoi M. Fontanay a été assassiné ? Pourquoi l'affaire De Broglie n'a jamais été éclairée ? Pourquoi le juge Renault, on ne sait ni pourquoi ni comment, il a été assassiné ? (...)".
Seconde intervention dans l'émission 7/7 du 31 octobre 1983. Le frère de Daniel est militaire au Liban lorsque l'attentat du Drakkar cause la mort de 73 soldats français.
Extraits hauts en couleur :
"Je voudrais dire devant tout le monde que j'emmerde les anciens combattants, que je n'en ai rien à foutre de tout ça... Si mon frère pouvait m'entendre, je lui dirais de revenir parce qu'on lui dit qu'il va là-bas pour la paix, et ça, ce sont des mensonges.
Il va là-bas pour les enfoirés des pouvoirs qui ont créé des guerres où qu'elles soient pour des idéologies et des religions et que tout ça, c'est de la saloperie... Il est là-bas pour utiliser des armes, pour faire le com- merce et l'industrie des armes...
Tout ça, c'est de la merde et on n'en veut plus, et j'emmerde tous les pouvoirs d'où qu'ils soient, quelles que soient leurs idéologies, et j'emmerde en même temps ceux qui croient que c'est facile de le faire, parce qu'ils n'ont qu'à venir le faire à ma place". "J'emmerde tous les pouvoirs'’ ... Comment Daniel Balavoine pouvait-il croire que de tels propos resteraient impunis ? comment pouvait-il croire que les autorités allaient laisser vivre plus longtemps un tel électron libre refusant de se soumettre à quelque pouvoir que ce soit et refusant même la protection de contre-pouvoir ?...
Car c'est ce à quoi nous assistons aujourd'hui avec certains dissidents actuels qui sont malheureusement inféodés à d'autres mafias pour survivre. Car pour pouvoir taper fort contre une mafia dominante, il faut obligatoirement demander la protection d'une autre mafia opposée.
Il faut obligatoirement se compromettre et se fourvoyer dans l'erreur et le mensonge, sachant que toutes ces mafias sont de toute façon manipulées par les mêmes êtres au-dessus qui tirent les ficelles. Danièle Balavoine lui, était une lumière dans l'obscurité, un insoumis, inféodée à aucun contre- pouvoir, aucune mafia, totalement libre et indépendant, guidé par la seule énergie d'amour et de vérité. C'est pourquoi il était si vulnérable.
Il n'est pas nécessaire d'épiloguer longuement sur les faits et gestes de la France en Afrique durant ces années peu glorieuses. Les personnages présentés sur la couverture du livre en étaient de grands et "merveilleux" acteurs.
Daniel Balavoine avait sérieusement chauffé les oreilles de l'un d'eux avec ses interventions publiques fracassantes, lequel avait vainement tenté de le mettre dans sa poche après son célèbre coup de gueule de mars 1980. Il serait bon d'entendre à ce propos notre ami Jacques Bidalou, le fameux premier "juge rouge" de France qui était présent lors de la rencontre Mitterrand Balavoine à la télévision puis au dîner qui s'ensuivit.
Daniel désirait avant tout garder sa liberté, il était un électron libre. Il avait compris que tous ces systèmes étaient véreux et pourris jusqu'à la moelle. Il avait tout compris de ce spectacle désolant. Investi d'une mission, il savait qu'il devait aller plus loin pour démasquer et déstabiliser cette mafia politicienne qui a toujours pignon sur rue aujourd'hui.
Message du 6 mai 2011
"Il ne faut pas chercher midi à quatorze heures. Le pouvoir a éliminé un gêneur dont il percevait la puissance grandissante. Il a bien sûr pensé qu'avec son flair et sa curiosité, Balavoine pourrait découvrir le pot aux roses du trafic d'armes africain, dans lequel ce pouvoir était mêlé. Le pouvoir de l'époque organisait le trafic d'armes avec l'Afrique.
Les fils des commanditaires qui œuvraient dans la cellule du même nom, ont été repérés par les protagonistes du rallye. Ils se sont rendu compte de ce qui se passait, mais n'en ont pas parlé de peur que le rallye s'arrête. Par contre, notre ami Daniel qui lui n'avait pas la langue dans sa poche, se préparait à le révéler. Voilà le mobile de son assassinat."
Dans sa chanson Vendeurs de larmes, Daniel Balavoine n'a-t-il pas fustigé les trafiquants d'armes ? Par ailleurs, nous apprenons dans le livre de François-Xavier Verschave, que la première cohabitation (1986- 1988) restera dans les mémoires comme la belle époque de la Françafrique. Durant cette période, le réseau brasse à plein régime, animé en particulier par : "Monsieur Afrique" forcément surnommé : "Papamadit".
Conférence de Mâcon, samedi ler décembre 2012
Ce fut notre première conférence spécifique sur ce thème : l'Affaire Daniel Balavoine dévoilée par l'Au- delà. Il s'agissait d'un autre pèlerinage, à une petite distance de La Roche de Solutré !
Invités par l'association : Soleil Levant, devant un public nombreux et manifestement séduit par le sujet, nous avons développé la thèse de l'Au-delà grâce aux messages reçus, aux témoignages qui les confirment et à l'étrangeté des situations et autres constats dont vous avez pris connaissance.
Deux excellents médiums étaient présents dans la salle dans l'attente de leur intervention publique en seconde partie. Nous avons attiré leur attention sur toute manifestation du monde divin, susceptible de se produire durant notre prestation. Le cas échéant, elles pouvaient également apporter un complément qui pouvait leur être communiqué par Daniel Balavoine ou d'autres décédés. Ce qui fut le cas.
Après la séance, elles nous rapportèrent l'une et l'autre ce qui suit : "Daniel confirme la date du 13 janvier, ainsi que tous les éléments de votre enquête". Il dit également : "Nous ne sommes pas morts dans l'appareil qui a été montré aux journalistes."
Il a rigolé lors d'une intervention lui rappelant le souvenir de l'émission 7/7 : "J'ai toujours mon humour. Merci."
Vision d'un médium : rire, plaisanterie et bonne ambiance à bord de l'hélicoptère avant "l'accident". Les pales arrière (hélice de queue) sont bloquées et défaillantes.
L'hélico pique du nez (elle le dessine) et du coup s'écrase sur plusieurs mètres. Longueur, désintégration. Les pales ont été bloquées ou touchées par quelque chose. Enfin, l'ancien président est apparu furtivement, la mine triste...
Le grand black-out
"Un black-out radio a-t-il retardé la diffusion de la nouvelle puisque c'est douze heures plus tard que l'accident a été connu du monde entier ? Ma réponse est non."
C'est encore Gérard Jouany (témoin de la première heure) qui pose cette question et donne en même temps la réponse. Certes, le black-out radio a bien existé. Par qui ? Pour qui ? Pourquoi ? Nous ne le savons pas ! Cependant, il en est un autre beaucoup plus important dont personne n'a jamais parlé. Et pour cause !
En prenant connaissance de cet article, il est naturel que le lecteur s'interroge sur les moyens matériels et humains mis en oeuvre dans une telle mise en scène.
En effet, comment est-il possible d'obtenir le silence, voire la complicité de si nombreux témoins ? C'est une question légitime que personne ne peut ni ne doit occulter, ou balayer d'un revers de main. Aussi, toujours soucieux de comprendre les tenants et aboutissants de cette opération criminelle qui dépasse l'entendement, nous avons de nouveau questionné nos interlocuteurs invisibles.
Message du 11 décembre 2012, jour de la St Daniel
"Comme vous l'avez certainement tous compris, la soirée du 13 janvier à l'hôtel Gaweye fut copieusement arrosée. Il y avait (comme le dit le principal témoin) une bonne et même joyeuse ambiance. La fête s'est terminée assez tard et ensuite, ce fut le retour au bivouac pour le départ de la course le lendemain à 4 heures. Donc, il ne fallait pas traîner et rentrer très vite pour être en pleine forme. Certains ont bien sûr repris leur véhicule, et d'autres sont montés avec Thierry Sabine dans cet hélicoptère maudit qui n'était plus le même.
En effet, il avait reçu au cours de la soirée le poison qui allait provoquer le désastre. Le saboteur présent à cette réception profita d'une sortie momentanée de l'hôtel pour poser l'objet dont nous avons déjà parlé. Vers 22 heures, cette joyeuse équipe s'est dispersée pour rejoindre le campement. Mais, dans ce cortège un peu hétéroclite, il n'y avait pas que les participants à la fête. Il y avait également les hommes de l'ombre qui suivaient attentivement le déroulement des opérations.
Lorsque l'hélicoptère se posa, les voitures arrivèrent immédiatement sur les lieux pour parfaire la besogne. Mais les concurrents du rallye et autres journalistes présents à la fête sont arrivés aussi. S'ensuivit une grande confusion entre ceux qui savaient tout de l'opération en cours, et les autres qui l'ignoraient.
Annoncer l'accident le soir même après une soirée bien arrosée, aurait eu un effet désastreux sur l'image du rallye.
De plus, un problème financier se posait à cause de la couverture des accidents de course par les assureurs. Comment, en effet, imaginer une seule seconde qu'un assureur aurait couvert le crash après avoir relevé sur la carlingue de l'hélicoptère, de nombreux impacts de balles ?
Personne ne pouvait le concevoir. Pour le commanditaire, le maquillage de l'attentat en accident était un impératif. Il ne pouvait être question de le présenter en l'état. C'est alors que les intérêts inconciliables des uns et des autres trouvèrent par la force des choses (et surtout la raison) un compromis des plus diaboliques. En cette nuit d'horreur; le Diable épousa la Vertu !
Certes, ce ne fut pas un mariage d'amour; mais un mariage de raison et surtout d'intérêts financiers aussi éloignés l'un de l'autre que la Terre et le Ciel. Le consensus assorti de menace, d'intimidation ou
d'acceptation par la force de nouvelles règles du jeu, fut obtenu sans grande difficulté. Certains acteurs du rallye n'ayant pas de problème particulier avec leur conscience réussirent facilement à convaincre les plus réticents en leur faisant très rapidement comprendre que leur intérêt se trouvait dans cet arrange- ment, et non ailleurs. C'est ainsi qu'un second accident fut rapidement organisé pour le lendemain soir avec toute la mise en scène que, désormais, vous connaissez.
Les participants au rallye Paris/Dakar auraient fait n'importe quoi pour qu'il ne disparaisse pas subitement. C'est la raison pour laquelle ils ont consenti d'énormes sacrifices moraux pour les uns, et accepté pour les autres de substantiels revenus en contrepartie du rachat de leur silence. Pourtant, comme vous le constatez aujourd'hui, mais davantage demain, le gigantesque édifice du mensonge commence à se fissurer, et s'écroulera comme ce château de sable construit dans le désert, un certain 13 janvier 1986."
Ce nouveau message, digne d'un scénario Hitchcockien, en ébranlera plus d'un. Il ravira bien sûr les adeptes de la théorie du complot, mais irritera fortement tous ceux qui s'y opposent avec beaucoup de virulence. Au cours de mes échanges avec quelques acteurs du rallye, j'ai tout entendu. Certains étant particulièrement prolixes et non avares de détails (invérifiables et confortant toujours la version officielle) alors que d'autres, peu nombreux, mais dérangés par ma démarche, m'ont renvoyé sans ménagement à cette fameuse théorie du complot. Dans ce cas, l'échange fut toujours bref, je n'ai jamais insisté. Un journaliste très connu, présent sur le rallye, m'a récemment répondu : "Les éléments dont vous faites état manquent de sérieux. Ce ne sont d'ailleurs pas des éléments et ils ne valent pas qu'on s'y attarde, à moins d'être un maniaque des théories du complot."
Alors qu'il ignorait le but de mon appel, un manager de Daniel Balavoine m'a immédiatement tenu les mêmes propos au téléphone. Décidément, c'est une obsession. Complot ou non, il est néanmoins surprenant de lire dans Paris-Match du 31 janvier 1986, ce qu'écrit le journaliste Jacques-Marie Bourget : "Chez les concurrents, le plus ouvertement inconsolable est Cyril Neveu, leader du classement moto. Ce motard sans colère, mais avec un insurmontable désespoir; porte le deuil de son rallye perdu. De son pote assassiné. "Pourquoi utilise-t-il le terme assassiné en évoquant Thierry Sabine ?
Quoi qu'il en soit, par-delà ces péripéties, il est certain qu'au moins un membre de cette équipée sauvage s'est précipité en ville pour appeler les secours (réveil du diplomate). Comme les passagers n'étaient pas tous morts sur le coup lors de la chute de l'appareil précipitée par le mitraillage, il a certainement agi en son âme et conscience. Malheureusement, aucun survivant n'était toléré.
La suite est donc facile à deviner. Toutefois, une remarque s'impose pourquoi a-t-il eu un contact aussi lointain (Dakar et Nouakchott) pour chercher des secours, alors qu'il existe un hôpital à Niamey ? S'agit- il d'une question de moyens médicaux, compte tenu de la gravité des blessures ? C'est probable ! Cependant, un message de septembre 2008 apporte un début de réponse : "Toutes les communications étaient bloquées, notamment pour avertir l'hôpital de Niamey."
L'argumentaire opposé.
Comme vous l'avez constaté à la lecture de cet article, les documents, témoignages et autres messages présentés plaident fortement en faveur d'un "accident" qui se serait produit dans la nuit du 13 au 14 janvier.
Le crash du 14 ne serait qu'une incroyable mise en scène ayant pour but de créer une diversion, avec la complicité d'un certain nombre de personnes. Cependant, les contradicteurs soutiennent et soutiendront mordicus qu'ils ont vu Thierry Sabine, Daniel Balavoine et les autres victimes, le mardi 14 janvier. Ils leur ont parlé, leur ont serré la main... Bref, ils étaient bien vivants en chair et en os jusqu'au mardi soir (note : voir à ce sujet le témoignage de Bernard sur Dakardantan.com et se souvenir de ce que nous avons dit sur les pouvoirs de l'hypnose).
Ainsi, nous voilà face à deux versions qui s'opposent et se contrarient fortement. Il est vrai que les arguments des seconds qui s'appuient a priori sur du concret auraient de quoi décourager notre démarche.
En effet, pourquoi ces gens mentiraient-ils puisqu'ils auraient été les témoins directs de ces rencontres du 14 janvier ? Leur sincérité doit-elle être remise en cause ? Certains semblent pourtant confondre la journée de repos du 13 avec la journée de course du 14. Ils ne savent plus très bien. Un photographe m'a dit par exemple qu'il avait pris des photos du match de foot entre équipes africaines, dont Thierry Sabine a donné le coup d'envoi.
Lorsque je lui ai demandé si Thierry Sabine n'avait pas autre chose à faire un jour de course, il m'a répondu que le rallye était coincé entre les montagnes, et ne risquait rien ce jour-là. Étrange réponse. Il a également dit que les journalistes se livraient au farniente. Les journalistes étaient-ils au repos un jour de course ?
Conclusion
Compte tenu du message précédent évoquant la menace, l'intimidation, le sacrifice moral, l'achat du silence..., quelle crédibilité faut-il accorder à tous ces témoignages ?
L'organisation du crime qui est à l'œuvre dans cette affaire a coulé habilement la chape de plomb du silence, à l'instar des affaires précédentes que Daniel Balavoine avait par ailleurs dénoncées.
Le message ci-dessous, reçu le 6 mars 2008, donne le sens de la démarche spirituelle de nos parents, guides et amis du monde invisible. Il s'agit d'un acte d'amour qui ne juge pas, mais qui est préventif.
Les êtres de Lumière nous aiment plus que nous ne pouvons l'imaginer. Ils désirent nous préparer à cette vie future, nous faire prendre conscience de ce qui nous attend. Par-delà cette affaire prétexte, nous sommes tous concernés par les fautes, les erreurs, les manquements à la vie auxquels nous sommes confrontés. En conséquence, il nous est fortement conseillé d'assainir le passif et d'alléger autant que faire se peut le fardeau de notre âme... avant de repartir !
Notre Vérité, notre Attente, notre Pardon
"Paris-Dakar ... Pari du cœur. Cette formule trouve aujourd'hui tout son sens. En sortant le mystère de l'ombre surgira la Lumière. La rose qui pique a p perdu ses épines au profit de la douceur de ses pétales.
Hors du temps de la haine, hors du temps de la division, tous les paris deviennent possibles. Mais ils ne sont pas tous gagnés.
Celui que nous vous proposons est un pari assuré du succès. C'est grâce à cette affaire aujourd'hui révélée que les cœurs des uns et des autres (coupables ou victimes) vont se réconcilier.
Notre démarche est un acte d'amour et non de dénonciation facile et inutile. Nous sommes venus rétablir
une vérité trop longtemps dissimulée. Oui, il est vrai que cette vérité en débusquera d'autres. C'est la loi de justice qui s'impose désormais justice de l'amour, justice du cœur, justice de la raison. Tout être ici-bas, toute personne vivant en ce bas monde doit comprendre qu'un jour, une nouvelle justice habitera sa vie. Fini le compromis. Fini le calcul. Finie la tromperie. Sans justice, il n'est point de salut pour l'avenir de l'homme. Les masques vont tomber Il n'est plus possible ni raisonnable de les conserver.
Par les messages que nous communiquons, nous souhaitons du plus profond de notre âme faire comprendre aux humains que la vie se poursuit. Aujourd'hui, il s'agit pour nous de provoquer en votre esprit, en votre âme et en votre conscience, l'électrochoc salutaire, le réflexe futur, l'attitude nouvelle qui devra s'imposer.
Sous peu, la vérité absolue vous sera dévoilée. Personne ne peut résister à la volonté divine. Même l'orgueilleux, le matérialiste inflexible ou le non-croyant seront dans l'obligation de s'incliner.
Parce que nous avons reçu pour mission d'aller au terme de cette révélation, nous seuls en portons l'entière responsabilité. Sachez que les coupables et leurs innocentes victimes en sont les initiateurs. Les personnes dévouées qui ont choisi de relayer cette information, ne sont que des instruments gardant leur totale liberté. La vaillance et le courage ne les ont pas abandonnés. La menace et la crainte ne les ont jamais accaparés.
Loin de nous l'idée de pointer le doigt accusateur. L'erreur est humaine, elle appartient à tous. L'erreur doit cependant être corrigée avant le grand retour. C'est tout le sens de notre mission qui trouvera au travers de ce document, l'expression attendue par la majorité des humains : le cri de la Vérité ! La parole des sages et des repentis."
Nous espérons que ce dossier rendu public via le magazine TOP SECRET permettra de relancer l'affaire du point de vue de la justice.
Nous avons en effet présenté suffisamment d'éléments nouveaux particulièrement troublants pour justifier que s'ouvre une nouvelle instruction consacrée à ce dossier. Le contraire serait incompréhensible. Y aura-t-il un gendarme parmi les lecteurs qui osera soumettre à un procureur ce dossier en mettant en avant les éléments étranges que nous avons soulevés ici : la comparaison de l'empennage de l'appareil ainsi que le problème de différence des numéros de série. Ces deux éléments imposent que soit ouverte une instruction. Les témoins de cette affaire seront-ils enfin entendus par un représentant de la loi dans le cadre d'une procédure, en lieu et place des habituels plateaux télé ? "Il est vrai que cette vérité en débusquera d'autres’’ nous dit l'au-delà.
En effet, derrière l'affaire Daniel Balavoine, nous sentons poindre déjà le mystère de la mort de Coluche, lui aussi ô combien dérangeant, et l'énigme de la disparition de notre regretté ami Jean-Edern Hallier.
Une équipe de tueurs sévissait-elle à l'époque dans les coulisses au plus haut niveau de l'état ?...
Ecrit par Jean Pernin pour Top Secret magazine. Diffusé pour La Vérité !
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DMI La destruction des valeurs spirituelles par Albert Pike texte rare
La D. M. I., et nous l'expliquons ésotériquement par : Destruction, Matérialisation, Imposition. En d'autres termes, il faut Imposer, par le travail maçonnique, la Destruction de tout ce que la Matérialisation n'atteint pas.
Les trois points qui suivent chacune de ces trois initiales signifient que le travail maçonnique de Destruction, de Matérialisation et d'imposition est triple.
I. DESTRUCTION :
1° de la Superstition; - 2° de la Tyrannie Politique; - 3° de l'Anti-Maçonnisme.
II. MATÉRIALISATION :
1° de la Conscience; - 2° de l'Etat; - 3° de l'Enseignement.
III. IMPOSITION :
1° à la Famille ; - 2° à la Nation; -3° à l’Humanité.
C'est pourquoi, le travail maçonnique doit consister, par tous les moyens quels qu'ils soient, à Imposer pratiquement à la Famille d'abord, à la Nation ensuite, et àl'humanité enfin, la Destruction : de la Superstition, là où la Matérialisation n'a pu faire son oeuvre sur la Conscience; de la Tyrannie Politique, là où l'Etat n'a pu être matérialisé ; de l'Anti-Maçonnisme, là où l'Enseignement n'a pu être atteint par la matérialisation.
Tel est l'ordre de mise en pratique du D. M. I. qui résume en trois lettres notre loi.
Il est absolument nécessaire de ne laisser parvenir au grade de Chevalier Kadosch que des Frères choisis parmi ceux qui sont intimement convaincus de l'existence d'une Cause Première. Retenez au grade de Rose-Croix tous ceux dont l'âme vous paraît s'ouvrir à la Vraie Lumière, mais qui ont néanmoins de la lenteur à comprendre ; instruisez-les graduellement, soumettez leur intelligence à des épreuves, exposez-leur surtout le rôle du feu, agent actif de la nature ; mais ne les pressez pas.
Les athées nous sont bons comme auxiliaires, mais dans les Loges Symboliques seulement. Il faut leur dire que, si, par le premier article de la Déclaration de Principes du 22 septembre 1875, nous avons proclamé l'existence d'un principe Créateur, sous le nom de Grand Architecte de l'Univers, c'est uniquement pour attirer à l'Ordre l'adhésion des croyants libéraux et faire preuve de tolérance envers tous les cultes. Mais n'agissez qu'avec la plus grande prudence vis-à-vis des athées ; ils sont plus difficiles à convaincre que les hommes qui, croyant à la divinité, en ont une fausse idée. L'idée de ceux-ci peut à la longue se rectifier; l'athée, au contraire, s'obstine dans sa négation. Ne vous servez donc des athées que pour les oeuvres politiques, et ne leur confiez jamais le soin de faire en loge des conférences sur les questions philosophiques.
C'est avec le plus grand soin qu'il est nécessaire de choisir les adeptes. Dans beaucoup d'orients, on les prend trop au hasard ; aussi tardons-nous à atteindre le but.
Ne conférez la Maîtrise qu'au Compagnon qui se connaît lui même. Sur le fronton des anciens temples érigés au Dieu de la Lumière, on lisait cette inscription en deux mots : « Connais-toi ». Nous donnons le même conseil à tout homme qui veut s'approcher de la science.
N'initiez jamais au troisième degré l'homme qui, malgré les enseignements reçus aux deux grades précédents, est demeuré esclave des préjugés du monde profane. Il ne parviendra jamais tant qu'il ne se réformera pas. Au grade de Compagnon, vous lui ouvrez les portes des Loges d'Adoption ; là, vous le jugerez bien. Vous verrez si ses préjugés tombent. S'il reste esclave de ses passions, s'il s'attache exclusivement à une femme, ne vous préoccupez plus de lui, vous perdriez votre temps. Il ne saurait être un adepte; car le mot « adepte » signifie celui qui est parvenu par sa volonté et par ses oeuvres, qui méprise les préjugés et qui triomphe de ses passions.
L'homme qui a peur de perdre ses idées ; celui qui redoute les vérités nouvelles et qui n'est pas disposé à douter de tout plutôt que d'admettre quelque chose au hasard, celui-là n'est point pour nous. S'il soupçonnait notre secret, il le comprendrait mal ; son âme timide en serait troublée. Il deviendrait dangereux. Aussi, dès que vous sentez que vous vous êtes mépris sur le caractère et le tempérament d'un homme à qui vous avez conféré le premier grade et même le second, excluez-le adroitement, mais impitoyablement, en faisant naître des prétextes quelconques d'élimination.
On ne montre pas la lumière aux oiseaux de nuit. La leur montrer, c'est la leur cacher; car elle les aveugle et devient pour eux plus obscure que les ténèbres.
Notre science est la science traditionnelle des secrets de la nature ; elle nous vient des mages, adorateurs d'Ormudz, nom persan du Principe du Bien, du Génie de la Lumière. Il ne faut donc la communiquer qu'à bon escient et avec des précautions infinies, attendu qu'au moyen de cette science, l'adepte se trouve investi d'une sorte de toute-puissance et peut agir surhumainement, c'est-à-dire d'une manière qui passe la portée commune des hommes.
Pour parvenir au sanctuaire de notre Dieu, quatre qualités sont indispensables : 1° une intelligence éclairée par l'étude; 2° une audace que rien n'arrête; 3° une volonté que rien ne brise ; 4° une discrétion que rien ne puisse corrompre ou enivrer.
SAVOIR, OSER, VOULOIR, Se TAIRE, voilà les quatre verbes du mage qui sont écrits dans les quatre formes symboliques du sphinx.
La première science étant la connaissance de soi-même, la première aussi de toutes les oeuvres de la science, celle qui renferme toutes les autres, c'est la création de soi-même. L'adepte doit dépouiller le vieil homme profane et se créer une humanité nouvelle. De même que l'homme ne devient le roi des animaux qu'en les domptant ou en les apprivoisant, sous peine d'en devenir la victime ou l'esclave, de même l'homme doit vaincre ses passions, dont les animaux sont la figure, doit commander à toutes les forces instinctives de la nature, sous peine d'être broyé par elles.
Celui qui aspire à devenir un vrai Maçon doit être, dirons-nous, l'héritier du sphinx ; il doit en avoir la tête humaine pour posséder la parole, les ailes d'aigle pour conquérir les hauteurs, les flancs de taureau pour labourer les profondeurs, et les griffes de lion pour se faire place à droite et à gauche, en avant et en arrière.
A la science de Faust, le vrai Maçon joindra l'impassibilité de Job. Il piétinera la superstition dans son coeur. Il sera sans indécision et sans caprices. Il n'acceptera le plaisir que lorsqu'il le voudra, et il ne le voudra que lorsqu'il le devra.
Nous recommandons très instamment de multiplier les Loges d'Adoption. Elles sont indispensables pour former des Maçons bien maîtres d'eux-mêmes. Le prêtre essaye de dompter sa chair en s'astreignant au célibat ; il commet là un crime social, et, en même temps, il entreprend contre la nature une lutte impossible. Le vrai Maçon, au contraire, arrive à la perfection, c'est-à-dire à se dominer, en employant son zèle dans les Loges d'Adoption à se soumettre aux épreuves naturelles. Le commerce avec la femme commune à tous ses Frères lui fait une cuirasse contre les passions qui égarent le coeur. Celui-là seul peut vraiment posséder la volupté de l'amour, qui a vaincu, par l'usage fréquent, l'amour de la volupté. Pouvoir, à volonté, user et s'abstenir, c'est pouvoir deux fois. La femme t'enchaîne par tes désirs, dirons-nous à l'adepte ; eh bien, use des femmes souvent et sans passion ; tu deviendras ainsi maître de tes désirs, et tu enchaîneras la femme. D'où il résulte que le vrai Maçon parviendra facilement à résoudre le problème de la chair, que le prêtre ne résoudra jamais ; et c'est lui qui sera le vainqueur et le sage, parce qu'il aura pris, contrairement au prêtre, l'épée triomphante et raisonnable de l'action, au lieu du bouclier absurde de l'abstention systématique, arme défensive vouée d'avance à la défaite.
Dans la question du choix des adeptes, la Maîtrise est le premier degré important. Les grades d'Apprenti, Compagnon et Maître sont dans tous les rites : les deux premiers ont leur signification au point de vue doctrinal, et l'on ne saurait les supprimer ; mais ils sont avant tout les grades préparateurs de la Maîtrise. Aussi, les officiers qui confèrent le troisième degré à un Frère peu disposé à comprendre et incapable de se vaincre, sont impardonnables.
Evidemment il n'est pas de nécessité absolue que l'homme que vous allez diriger vers les hauts grades soit immédiatement parfait et ait compris notre secret dès son entrée dans la Maçonnerie. Ce que Nous vous demandons, c'est de l'observer avec le plus grand soin pendant son Apprentissage, d'abord, et de faire, ensuite, de la Loge d'Adoption, où il pénétrera quand il sera Compagnon, votre critérium, votre instrument de contrôle infaillible. L'Atelier de Frères, qui ne s'annexe pas une Loge de Soeurs, est un Atelier incomplet, destiné fatalement à ne jamais perfectionner ses membres ; il ne produira que des Maçons, dont la politique sera le principal souci, qui se préoccuperont surtout des intrigues et des compétitions, qui s'agiteront dans le vide, qui avanceront tantôt de trois pas pour reculer après d'autant, en un mot, qui feront du mauvais travail et dont la politique sera incohérente.
Ce qui est indispensable, aussi, c'est de faire élire comme officier de Loge, au moins au Vénéralat et aux fonctions d'Orateur, des Frères pourvus des hauts grades ; car le Vénérable et l'Orateur sont les conducteurs des Apprentis et des Compagnons vers la lumière de la Maîtrise, qui n'est elle-même qu'un pâle reflet de la Vraie Lumière. Or, des aveugles ne peuvent conduire des aveugles, et le chemin de la lumière est perdu, quand les guides portent encore un bandeau sur les yeux. Pour faire quelque chose, il faut savoir ce que l'on veut faire ou du moins avoir foi en quelqu'un qui le sait; mais comment risquerait-on sa vie à l'aventure et suivrait-on au hasard celui qui ne sait pas lui-même où il va ?
Une fois que, par l'observation, vous aurez acquis la certitude que votre homme peut, sans inconvénient, être conduit à la parfaite initiation du Chevalier Kadosch, conférez-lui la Maîtrise, commencez à soulever pour lui un coin du voile ; et si vraiment vous le jugez digne de recevoir un jour la révélation, vous lui ferez connaître le Verbe, au grade de Rose-Croix.
Nous appelons Verbe ou Parole le voile essentiel de l'être et le signe caractéristique de la vie. Toute forme est le voile d'un verbe, parce que l'idée mère d'un verbe est l'unique raison d'être des formes. Toute figure est un caractère, tout caractère appartient et retourne à un verbe. C'est pourquoi les anciens sages avaient formulé leur dogme unique en ces termes : « Ce qui est au-dessus est comme ce qui est au-dessous, et ce qui est au-dessous est comme ce qui est au-dessus.» Notre Dieu est comme le Dieu des prêtres, et pourtant celui-là n'est pas celui-ci ; ils sont semblables, quant à leur éternité et à leur puissance surnaturelle; mais il n'y a pas identité entre eux. A telle lumière répond telle obscurité ; au feu s'oppose l'eau ; l'ordre n'est l'ordre, que parce qu'il a contre lui le chaos qui lutte pour l'absorber. Mais, logiquement, la lumière remportera le triomphe final sur les ténèbres, en les repoussant et les enchaînant à jamais aux extrêmes confins de l'immensité ; le feu sortira vainqueur de sa lutte contre l'eau, en la dissolvant et reculant les limites de son domaine ; l'ordre régnera sur le chaos écrasé, non détruit. Telle est la loi suprême, le destin inéluctable.
Mais il faut néanmoins reconnaître que les deux opposés sont semblables, comme essence. La forme est proportionnelle à l'idée ; l'ombre est la mesure du corps calculée avec sa relation au rayon lumineux ; le fourreau est aussi profond que l'épée est longue ; la négation est proportionnelle à l'affirmation contraire ; la production est égale à la destruction dans le mouvement qui conserve la vie, et il n'y a pas un point dans l'espace infini qui ne soit le centre d'un cercle dont la circonférence s'agrandit et recule indéfiniment dans l'espace.
Ce qui est dans le surnaturel est reproduit dans l'humanité, en des proportions moindres, il est vrai. Toute individualité est donc indéfiniment perfectible, puisque le moral est analogique à l'ordre physique, et puisqu'on ne saurait concevoir un point qui ne puisse se dilater, s'agrandir et jeter des rayons dans un cercle philosophiquement infini. Par conséquent, le Compagnon éprouvé dont vous aurez fait un Maître, et qui, Maître, aurait été jugé digne de devenir Rose-Croix, est perfectible entre vos mains et sera le Kadosch de la sainte initiation, l'Elu qui connaîtra la Vraie Lumière, parce que le regard de ses yeux lucides aura traversé le voile du Verbe.
Pour distinguer le futur Elu, le futur Kadosch, dès le grade de Maître, vous vous attacherez à discerner les Frères doués d'une imagination ardente, et vous négligerez les esprits terre à terre. L'imagination est, en effet, comme l'oeil de l'âme. L'homme, dont le cerveau ne travaille pas à la découverte des grands mystères, possède une âme incomplète, une âme irrémédiablement frappée de cécité. C'est l'imagination qui est la plus forte puissance intellectuelle, et c'est elle qui fait triompher même physiquement. Etes-vous en danger dans une bataille ? Croyez-vous invulnérables comme Achille, et vous serez vraiment invulnérables. La peur attire les balles, et le courage fait rebrousser chemin aux boulets. Le vrai Maçon est audacieux, et il triomphera, parce que, grâce à son imagination ardente, il verra la vérité avant même qu'elle ait paru devant les yeux de son corps. Toute la question est de diriger vers la saine raison l'imagination de l'adepte. Le prêtre qui obscurcit la conscience du fidèle en lui imposant des dogmes que la raison ne peut expliquer, fait de ce fidèle, s'il a une imagination ardente, un fou. Au contraire, l'imagination appliquée à la raison, c'est le génie.
En résumé, Nous ne saurions trop insister sur ce point : le succès dépend du choix des adeptes, et, pour bien choisir les adeptes, pour avoir de bons Maîtres qui seront ensuite d'excellents Rose-Croix et enfin de parfaits Kadosch, il faut que les Ateliers pratiquent la Maçonnerie dans son intégralité, chaque Atelier ayant sa Loge d'Adoption, qui est le meilleur moyen de contrôle de la perfectibilité des Compagnons, et il faut que les Ateliers aient, en outre, à leur tête, au moins un Chevalier Kadosch, c'est-à-dire un Maçon ayant reçu la Vraie Lumière.
Nous avons examiné avec très grand soin les Annuaires du Grand Orient de France, que le Grand Collège des Rites nous envoie régulièrement, et Nous avons constaté que, dans les Loges Symboliques du Rite Français, le Vénérable est souvent un Maître, très rarement un Rose-Croix, presque jamais un Chevalier Kadosch. Nous voyons là la cause des agitations stériles, qui condamnent le Rite Français à piétiner sur place. Aussi, dans la Maçonnerie Française, où ce rite possède 379 Ateliers, tandis que le Rite Ecossais en a 116 seulement, le progrès est d'une lenteur désolante, et les Loges sont, Nous avons le devoir de le dire, envahies par les brouillons politiques. Les résultats acquis sur le terrain gouvernemental de la nation manquent de stabilité ; l'ennemi peut, sans cesse, préparer un retour offensif ; une bonne loi, dont le vote parlementaire a été amené par le concert maçonnique, est mal appliquée ou même ne tarde pas à tomber en désuétude. Cela tient à ce que, dans le Rite Français, l'orient de l'Atelier, au lieu d'être, comme cela est indispensable, un foyer de lumière, est occupé, neuf fois sur dix, par des officiers dont les yeux sont encore clignotants.
En cette année (1889), le Conseil de l'Ordre, au Grand Orient de France, compte 15 Maîtres, 3 Rose-Croix, 2 Chevaliers Kadosch, et 13 Souverains Grands Inspecteurs Généraux. Il y a là un progrès sur les années précédentes ; mais, au sein de ce conseil administratif, les Frères ayant reçu la parfaite initiation, c'est à dire les Chevaliers Kadosch et les Souverains Grands Inspecteurs Généraux, sont encore en nombre égal à celui des simples Maîtres ; de sorte que la majorité dépend des 3 Rose-Croix, c'est à dire de 3 Frères dont l'instruction maçonnique n'est pas terminée. Cette situation est profondément regrettable.
Il faut absolument que le Rite Français s'inspire mieux des traditions de l'Ordre. Sinon, il végétera dans l'impuissance, et les temples des autres rites, dans les contrées autres que la France, continueront avec douleur, à fermer leurs portes aux imparfaits initiés de ce Grand Orient.
D'autre part, il faut éviter aussi de passer d'un extrême à un autre. En France, - du moins, dans la plupart des Loges du Rite Français, - on a trop de tendances à professer un scepticisme absolu. C'est ainsi qu'on Nous a communiqué des planches de convocation d'Ateliers, où ne figure pas la formule : A la gloire du Grand Architecte de l'Univers. Dès 1877, nous avions malheureusement prévu qu'on en viendrait là. Jusqu'en cette année 1877, le premier article de la Constitution du Rite Français portait : « La Franc-Maçonnerie a pour principes l'existence de Dieu, l'immortalité de l'âme et la solidarité humaine. » Le Convent de septembre 1877, au Grand Orient de France, supprima l'affirmation de la divinité, et vota que l'article premier de la Constitution du Rite Français porterait : « La Franc-Maçonnerie a pour principes la liberté absolue de conscience et la solidarité humaine. » En 1884, le Convent annuel des Loges du Rite Français aggrava encore cette suppression de l'affirmation de la divinité, en introduisant ceci dans la rédaction du dit premier article : « Considérant les conceptions métaphysiques comme étant du domaine exclusif de l'appréciation individuelle de ses membres, la Franc-Maçonnerie se refuse à toute affirmation dogmatique. » Voilà certainement un excès, que Nous réprouvons de toutes nos forces.
Mais, par contre, en Italie et en Espagne, de nombreux Frères, - bien intentionnés, sans doute, - pèchent par l'excès contraire, et leur erreur mérite d'être relevée.
En effet, ces Frères, mûs par une légitime haine contre le Dieu des prêtres, glorifient son adversaire sous le nom de Satan, et en lui conservant la situation et le rôle d'un ange déchu, révolté. Il y a là une hérésie manifeste. Le mot de Satan, ayant été inventé par l'imposture sacerdotale et s'appliquant à un être surnaturel subalterne ou diable, ce mot n'a pas lieu d'être prononcé, ne doit pas être prononcé en Maçonnerie.
On Nous a signalé une Loge de Gènes qui a poussé l'inconscience jusqu'à arborer dans une manifestation publique une bannière portant : Gloire à Satan! A Milan, des Frères Maçons ont, dans une fête, fait exécuter et ont chanté un Hymne à Satan. D'Espagne, on Nous a fait hommage d'une poésie signée par le Frère Bartrina, poésie dont voici le texte :
REHABILITACION
Solo estaba Satan en el infierno
Siglos hacia, cuando entro Caïn ;
Ambos a Dios juraron odio eterno
Y dar juraron a su imperio fin.
- Soy la revolucion, por Dios maldita,
Desterrada por Dios, dijo Satan.
- Soy et trabajo que a ese Dios irrita,
Dijo et terrible Vastago de Adan.
Miraronse : en la luz de la mirada
Brillo rayo de colera en los dos.
Y la raza de Abel tremblo asustada,
Y hasta en su trono estremeciose Dios.
La maldicion divina con su peso
No los hundio. - Raza de Abel, atras!
Plaza al triunfante carro del progreso,
Quo arrastra Caïn y empuja Satanas !
H. JOAQUIN-MARIA BARTRINA.
Certes, ces vers sont animés par un souffle généreux ; mais ils sont en opposition directe à l'orthodoxie maçonnique.
Les égarés qui glorifient Satan considèrent, en général, que le Dieu des prêtres a manqué à de prétendues promesses faites par lui à l'humanité, et, en présence de la désertion de ce Dieu, ils font appel au diable. Tel est le système de la goétie, qui est une aberration, qui est la démonomanie.
Existe-t-il un diable ? - Les prêtres disent : Oui. - Nous répondons : Non.
Qu'est-ce que le diable ? - C'est, disent les prêtres, le prince des anges, qui s'est révolté par orgueil contre Dieu, et qui, ayant été vaincu par l'archange Mikaël, a été, pour son châtiment, précipité en enfer, où il est condamné à rôtir éternellement en la compagnie d'autres anges, ses complices, devenus des démons, et de ceux d'entre les humains qui n'ont pas vécu selon la loi des prêtres.
Or, cette légende sacerdotale est un infâme mensonge, et nos Frères qui glorifient Satan n'aboutissent, en réalité, qu'à consacrer l'imposture et à nous nuire maladroitement dans l'opinion de la multitude ignorante.
C'est pourquoi, Nous condamnons, de la façon la plus formelle, la doctrine du Satanisme, qui est une divagation de nature à faire le jeu des prêtres. Les Francs-Maçons satanistes donnent, sans s'en douter, des armes contre la Franc-Maçonnerie.
Ce que nous devons dire à la foule, c'est : - Nous adorons un Dieu, mais c'est le Dieu que l`on adore sans superstition.
A vous, Souverains Grands Inspecteurs Généraux, Nous disons, pour que vous le répétiez aux Frères des 32e, 31e et 30e degrés : - La religion maçonnique doit être, par nous tous, initiés des hauts grades, maintenue dans la pureté de la doctrine luciférienne.
Car le Dieu Lucifer de la théurgie moderne n'est pas le démon Satan de la vieille goétie. Nous sommes Ré-Théurgistes Optimates, et non praticiens de la magie noire.
Les prêtres, en inventant Satan, ont créé les sorciers, leurs sanglants sacrifices du Moyen-Âge, leurs folles assemblées, leurs criminels et horribles conventicules de goules et de striges. Mais il y a deux magies : la magie lumineuse, et la magie des ténèbres. Il est vrai que les prêtres, lorsqu'ils ont eu l'omnipotence, ont persécuté également les mages de la sagesse et les mages de la folie, ont brûlé les Templiers, nos pères, aussi bien que les sorciers, oubliant que ces derniers, sans eux, n'eussent pas existé.
La magie créatrice du démon, cette magie qui a dicté le Grimoire du pape Honorius, 1'Enchiridion de Léon III, les exorcismes de l'église catholique, les réquisitoires des Laubardemont, les sentences de Torquemada, cette magie n'est pas la nôtre ; cette horreur, cette démence, avec son cortège de turpitudes et de cauchemars, c'est la Rome papale qui doit en porter la responsabilité.
Elle a été enfantée par Adonaï, calomniateur de Lucifer. Dans sa rage contre son éternel et magnanime antagoniste, le Dieu Mauvais a bouleversé chez les hommes superstitieux la notion des choses saintes, Il a nié la divinité du Père du Bien et l'a appelé le Mal. Il a voulu écraser la raison sous les pieds de la crédulité aveugle. Il a perverti le sens de toutes choses, il a porté son chaos jusque dans la logique des mots. L'hypocrisie a été par lui transformée en sainteté ; le vice, en vertu ; le mensonge, en vérité ; le caprice et l'arbitraire, en justice ; la divagation et la foi de l'absurde, en science théologique. La nuit a osé appeler nuit le jour; ténèbres, la lumière ; licence, la liberté ; erreur, la philosophie. L'orgueil, qui se prétend infaillible et se cantonne dans l'obscurité de ses dogmes illogiques et anti-naturels, l'orgueil superbe a eu le cynisme de nommer orgueil l'humble raison qui doute, qui ne croit que lorsqu'elle est sûre, qui n'émet une affirmation que lorsque la preuve des faits a été irrévocablement donnée par la science ; oui, Adonaï et ses prêtres ont jeté au ciel de notre Dieu toutes les boues de leur impudence, en qualifiant d'orgueilleuse l'intelligence raisonnable, qui cherche la solution des grands problèmes, qui marche sans cesse à une découverte nouvelle, qui est toujours insatiable de vérité.
Si Lucifer n'était point Dieu, Adonaï, dont tous les actes attestent la cruauté, la perfidie, la haine de l'homme, la barbarie, la répulsion pour la science, si Lucifer n'était point Dieu, Adonaï et ses prêtres le calomnieraient-ils ?
Oui, Lucifer est Dieu, et malheureusement Adonaï l'est aussi. Car la loi éternelle est qu'il n'y a pas de splendeur sans ombre, pas de beauté sans laideur, pas de blanc sans noir ; car l'absolu ne peut exister que comme deux ; car les ténèbres sont nécessaires à la lumière pour lui servir de repoussoir, comme le piédestal est nécessaire à. la statue, comme le frein à la locomotive.
En dynamique analogique et universelle, on ne s'appuie que sur ce qui résiste. Aussi l'univers est-il balancé par deux forces qui le maintiennent en équilibre : la force qui attire et celle qui repousse. Ces deux forces existent en physique, en philosophie et en religion. Et la réalité scientifique du dualisme divin est démontrée par les phénomènes de la polarité et par la loi universelle des sympathies et des antipathies. C'est pourquoi les disciples intelligents de Zoroastre, ainsi qu'après eux les Gnostiques, les Manichéens, les Templiers ont admis, comme seule conception métaphysique logique, le système des deux principes divins se combattant de toute éternité, et l'on ne peut croire l'un inférieur à l'autre en puissance.
Donc, la doctrine du Satanisme est une hérésie; et la vraie et pure religion philosophique, c'est la croyance en Lucifer, égal d'Adonaï, mais Lucifer Dieu de Lumière et Dieu du Bien, luttant pour l'humanité contre Adonaï Dieu des Ténèbres et Dieu du Mal....
... Donné au Grand Orient de Charleston, le quatorzième jour du cinquième mois de l'an 000889 de la Vraie Lumière (14juillet 1889, ère vulgaire). ALBERT PIKE, 33e.
Extraits de cette instruction de Pike ont été publié par Domenico Margiotta dans ses ouvrages : Souvenirs d’un trente-troisième. Adriano Lemmi chef suprême des Francs-Maçons (Delhomme et Briguet, 1894) et : Le Palladisme culte de Satan-Lucifer dans les Triangles Maçonniques (H. Falque, 1895, pages 61 à 66).
Des inscriptions de sorcellerie kabbalistiques cachées sur des vetements pour femmes
Des vêtements avec des inscriptions de sorcellerie en vente pour les femmes Une rigoureuse vigilance devrait être observée par les femmes musulmanes lorsqu’elles choisissent leur vêtement du dessus (abbaya). Les fabricants de prêt-à-porter n’ont pas hésité à y imprimer des inscriptions kabbalistiques de sorcellerie juive et on peut se laisser facilement abuser. Il s’agit en fait[...]
Beaucoup de femmes musulmanes aiment les abbayas, pour la beauté du vêtement mais aussi pour sa largeur qui respectent leur pudeur et ne laisse pas paraitre leurs courbes.
Il en existe pour tous les goûts, ornés de perles, de strass ou avec des calligraphies en arabe. Cependant, il a été découvert que sur certaines d'entre elles étaient inscrites des écritures de sorcellerie juive.
C'est avec une grande stupeur qu'on peut y lire :
« ne prie pas »
« ne jeûne pas »
« ne te marie pas »
Mais aussi des écritures dont nous ne comprenons pas la signification, cela a été traduit tel quel :
« en mariage de cadavres entre humains »
« sorcellerie de Lawath puissant pour l'honneur »
Certains pensent que ces talismans pourraient empêcher les femmes à accomplir leur prière et même empêcher certaines de se marier.
La connaissance est un sens interdit sur la route du conditionnement
Un être possédé par ses sens, et esclave de ceux-ci, n'a ni idéal, ni force intérieure pour défendre quoi que ce soit.Il est un "Individualiste" par nature, et représente un candidat parfait pour le conditionnement qui fera de lui un robot sans aucune révolte , à son propre asservissement. R James
Toutes les périodes historiques ayant mené à la décadence des civilisations étaient toutes marquées, sans exception, par "L'Es-prit d'Errance des Hommes". Aujourd'hui, nous devons faire en sorte que cet "Esprit" se traduise par une "Société Mondiale du Loisir" sous toutes ses formes. Ce "Loisir" doit se composer du [Sexe], des [Drogues], du [Sport], des [Voyages/l'Exotisme], et des [Loisirs] en général, mais accessibles à toutes les couches de la Société. L'Homme doit arriver à croire qu'il est "Moderne", et que sa modernité est composée de sa capacité, et de sa possibilité de pouvoir jouir largement, et maintenant de tout ce qui l'entoure.
Pour parvenir à cet objectif, il est impératif de pouvoir infiltrer les Médias (Radio, Télévision, Journaux), les milieux de la "Mode" et la "Culture" (les milieux de la Nouvelle Musique) par lesquels nous influencerons, à coup sûr, toutes les couches des Sociétés Occidentales. Ainsi en tenant sous la coupe des "Sens" la jeunesse (les adultes de demain), nous aurons par conséquent la voie libre pour infiltrer, et transformer en profondeur, sans être inquiétés, le Politique, le Système Légal et l'Education; ce qui nous permettra de modifier en profondeur le cours, l'orientation future des Sociétés visées par notre "Plan".
Les populations, nous le savons, n'ont pas de mémoire historique. Ils répètent inlassablement les erreurs du passé sans se rendre compte que ces mêmes erreurs avaient conduits leurs pères, avant eux, aux mêmes déchéances qu'ils vivront en pire avant la fin de ce siècle. Voyez, par exemple, ce que leurs grands-pères ont vécu au début de ce siècle grâce au travail acharné de nos prédécesseurs.
Après avoir connu, sans limites, la libération des moeurs, l'abolition de la morale (en d'autres mots, l'errance de l'esprit), ils expérimentèrent la "Crise Economique", puis la "Guerre". Aujourd'hui leurs petits-enfants et leurs enfants se dirigent droits vers un aboutissement semblable, pire encore car cette fois-ci, il nous permettra enfin de mettre sur pied notre "Nouvel Ordre Mondial" sans qu'aucun d'entre eux ne soient à même de s'en rendre compte, trop préoccupés qu'ils seront tous à satisfaire exagérément leur besoins sensuels les plus primaires.
nous devons infiltrer le "Système d'éducation" des Nations pour y faire disparaître, sous le couvercle de la "Modernité" et de "l'Evolution", l'enseignement de la Religion, de l'Histoire, de la Bienséance tout en diluant, en même temps, sous une avalanche d'expérimentations nouvelles dans le milieu de l'Education, celui de la langue et des mathématiques.
De cette manière, en enlevant aux jeunes générations, toute base et toute frontière morales, toute connaissance du passé (donc toute fierté nationale), donc tout respect d'autrui, tout pouvoir par la connaissance du langage et des sciences (donc sur la réalité), nous contribuerons à fabriquer une jeunesse largement disposée à toutes les formes de délinquance. Dans ce nouvel univers morcelé par la peur des parents, et leur abandon de toute responsabilité face à leurs enfants, nous aurons la voie libre pour former, à notre manière et selon nos objectifs premiers, une jeunesse où l'arrogance, le mépris, l'humiliation d'autrui seront considérés comme étant les nouvelles bases de "l'Affirmation de Soi" et de la "Liberté".
Pour achever l'éclatement de la famille, du système d'éducation, donc de la Société en général, il est primordial d'encourager la "Liberté Sexuelle" à tous les échelons de la Société Occidentale. Il faut réduire l'individu, donc les masses, à l'obsession de satisfaire leurs instincts primaires par tous les moyens possibles. Nous savons que cette étape représente le point culminant par lequel toute Société finira par s'effondrer sur elle-même. N'en a-t-il pas été ainsi de l'Empire Romain à son apogée, et de toutes civilisations semblables à travers l'histoire ?
Par des hommes de Science et des laboratoires financés par nos Loges, nous avons réussi à faire mettre au point un procédé chimique qui révolutionnera toutes les Sociétés Occidentales, et reléguera aux oubliettes pour toujours, les principes moraux et religieux Judéo-Chrétiens. Ce procédé, sous forme de pilule, ouvrira la voie toute grande à la "Liberté Sexuelle" sans conséquences, et poussera les "Femmes" des Nations à vouloir briser avec ce qui sera alors perçu comme étant le joug du passé (l'esclavage des femmes soumises à l'homme et à la famille traditionnelle Judéo-Chrétienne).
Jadis "Centre et pivot de la cellule familiale", la femme moderne, maintenant en tant qu'individu indépendant, voudra briser avec son rôle traditionnel, se détacher de la famille, et mener sa vie selon ses propres aspirations personnelles. Rien de plus naturel, nous le savons, mais là où nous interviendrons fortement, ce sera d'infiltrer tous les nouveaux "Mouvements de Contestation Féminins" en poussant leur logique jusqu'à ses extrêmes limites de conséquence. Et ces limites se trouvent déjà inscrites dans l'éclatement définitif de la famille traditionnelle et de la Société Judéo-Chrétienne.
Cette "Libération Sexuelle" sera le moyen ultime par lequel il nous sera possible de faire disparaître de la "Conscience Populaire" toute référence au "Bien et au Mal". L'effondrement de cette barrière religieuse et morale nous permettra d'achever le processus de la fausse "Libération de l'Homme de son Passé", mais qui, en réalité, est une forme d'esclavage qui sera profitable à nos "Plans Mondialistes".Cette porte ouverte pour l'encouragement à la "Liberté sexuelle", au "Divorce", à "l'Avortement" sur demande, à la reconnaissance légale des diverses formes d'homosexualité nous aidera à modifier en profondeur les bases historiques du "Droit Légal" des Sociétés. Elle sera un atout majeur pour pousser l'ensemble des individus à un relâchement général des moeurs; pour diviser les individus les uns par rapport aux autres, selon leur instinct et leurs intérêts propres; pour détruire l'avenir de la jeunesse en la poussant aux expériences néfastes de la sexualité hâtive et de l'avortement; et pour briser moralement les générations futures en les poussant à l'alcoolisme, aux drogues diverses (dont nos Officiers supérieurs des Loges Internationales se chargeront d'en prendre le contrôle au niveau mondial), et au suicide (celui-ci considéré par une jeunesse désabusée et abandonnée à elle-même, comme étant une fin chevaleresque).
A travers l'Etat, attachons-nous à bien mettre en évidence le "Respect" obligatoire de la diversité des "Cultures", des "Peuples", des "Religions", des "Ethnies" qui sont autant de moyens, pour nous, pour faire passer la "Liberté Individuelle" avant la notion "d'Unité Nationale"; ce qui nous permettra de mieux diviser les populations des Etats-Nations, et ainsi les affaiblir dans leur autorité, et dans leur capacité de manoeuvrer. Poussé à ces extrêmes limites, mais sur le plan international, ce concept, dans le futur, poussera les ethnies des différentes Nations à se regrouper pour revendiquer, individuellement, chacune leur propre part du "Pouvoir"; ce qui achèvera de ruiner les Nations, et les fera éclater dans des guerres interminables.
Lorsque les Etats-Nations seront ainsi affaiblis par autant de luttes intestines, toutes fondées sur la reconnaissance des "Droits des Minorités" à leur Indépendance; que les nationalistes divisés en différentes factions culturelles et religieuses s'opposeront aveuglément dans des luttes sans issue; que la jeunesse aura totalement perdu contact avec ses racines; alors nous pourrons nous servir des Nations-Unies pour commence à imposer notre Nouvel Ordre Mondial.
D'ailleurs, à ce stade-là, les "Idéaux Humanitaires, Sociaux et Historiques" des Etats-Nations auront depuis longtemps éclaté sous la pression des divisions intérieures.]
les protocoles de toronto .......
Le mystère des sinkhole un phénomène mondiale en augmentation
Il ya deux semaines e n Virginie un gouffre a fermé une partie de la I-81 près de Fairfield. La semaine dernière, il a été la route 250 ouest de Staunton. Et maintenant, c'est près de l'autoroute à nouveau. Ils sont en partie pourquoi VDOT de Staunton district a passé plus d'un million de dollars cette année sur des éboulements d' infrastructures.
Cette semaine il ya un autre gouffre grande pour les entrepreneurs de l'excavation et de remplissage. La cause de ces trous est karstique la géologie de la vallée de Shenandoah avec une roche calcaire qui n'est pas aussi solide qu''elle en a l'air.
un autre énorme trou de 20 mètres de larges dans la province du Zhejiang en Chine orientale.
ces phénomènes de sinkhole se généralisent a travers la planète ,je sais que les micro ondes permettent de ramollir un sol est le rendre plus friable et malléable ce phénomène étant globale je pense a une arme globale type HAARP ,depuis 7ou 8 ans je constate que les glissements de terrains et autres phénomènes a travers le monde sont en augmentation, évidemment que la pluie accentue la glisse ou l'éboulement je dis çà pour les critiques et les sceptiques mais ce ne sont que les conséquences pas l'origine ni les causes .....
Pour moi le sol est fragilisé par l'émission de micro ondes comme sur cette photos satellite météo inexpliquée,et une fois que la pluie va humidifier le sol est le sous-sol alors tout s'effondrera, le crime parfait .
L’observatoire météorologique gouvernemental australien à Kalgoorlie et Gile en Australie de l’Ouest déclare qu’il n’y avait aucun phénomène météorologique qui correspond à l’énorme anneau qui s’est formé sur les images satellites il y a quelques jours
une sacrée mise en scène digne des meilleurs films bien orchestrée pour faire accepter au plus grand nombre que si demain il se passe un évènement majeur, alors ce sera naturelle,moi je pense qu'il sera provoqué ,oui pour éliminer le surplus d'humains inutiles et qui déstabilisent l'ordre qui naîtra du chaos ,le système devient instable les gens et les consciences se réveillent alors il faut accélérer l'agenda ,il n'ya pas de hasard c'est planifié de longue date ...
Un marin paralysé par la radiation de Fukushima dénonce les mensonges du gouvernement américain
Une base navale américaine a été durement touchés par le rayonnement de Fukushima et voici son histoire, illustrant en outre pourquoi le gouvernement des États-Unis ne peut pas faire confiance en informant le peuple sur le danger de Fukushima.
Impliqué dans les efforts de secours de l’USS Ronald Reagan, après la crise de Fukushima sur la centrale nucléaire en 2011, Steve Simmons a commencé à éprouver des symptômes dévastateurs plusieurs mois après son retour.
"Vous commencez à avoir des fièvres, les ganglions lymphatiques commencent à enfler, vous avez des sueurs nocturnes , vous avez des spasmes musculaires et vous perdez la sensation dans les jambes, et vous ne pouvez pas sentir vos jambes quand vous vous brûlez au 2ème degré , et comment expliquez-vous ces choses? ", a déclaré Simmons ,à WUSA 9 News
Simmons a été rejoint par plus de 70 autres marins américains souffrant de maladies similaires, y compris le cancer de la thyroïde , les tumeurs cérébrales et de la leucémie. Malgré une décontamination et divers traitements ,sur l’officier Michael Sebourn on a détecté des niveaux " incroyablement dangereux de rayonnement », tandis que sur le USS Reagan, le ministère de la Défense a continué à affirmer que les niveaux de radioactivité sont sécuritaires .
"Comment pouvez-vous prendre un navire et le placer dans le champs d’exposition de la radioactivité d’une centrale nucléaire pendant cinq heures et plus, comment voulez-vous aspirez les déchets contaminés nucléaire dans le système de filtration de l’eau et pensez ,ensuite, pendant une minute qu’il n’y a pas risque de santé à tout le monde à bord? ", a déclaré Simmons .
Plusieurs marins américains malades ont déposé une plainte contre Tokyo Electric Power Company (TEPCO), affirmant que la compagnie d’électricité a caché des informations de rayonnement à la Marine des États-Unis après l’effondrement initial de Fukushima.
«TEPCO a poursuivi une politique qui a causé des préjudices graves aux sauveteurs, y compris les plaignants, de se précipiter dans une zone dangereuse qui était trop proche de Fukushima (la centrale nucléaire] qui avait été endommagé," selon les avocats des plaignants ,au procès.
Tout en niant tout danger pour le public, le gouvernement fédéral a tranquillement stocké des millions de doses d’iodure de potassium sur les préoccupations des médias sur la situation de Fukushima.
Les récentes remarques faites par l’ancien hôte ,MSNBC Chenk, ont également révélé les tentatives du gouvernement de minimiser la gravité de la situation à Fukushima. Essayer d’informer ses téléspectateurs en 2011, odes avertissements ont été dit de ne pas avertir du danger de rayonnement "parce que la position officielle du gouvernement est que tout est sous contrôle."
Malgré la déception évidente et continu du gouvernement, peu de médias ont remis en question les points de discussion officielles. Suite à la découverte récente d’une augmentation de rayonnement de l’ordre de 500% pour cent sur une plage de Californie, les journalistes de Infowars rendus dans la région pour enquêter sur l’apparition alarmante, et trouver des niveaux plus proches de 1.000 pour cent plus élevé que la normale.
Des découvertes bizarres et inquiétants à West Coast sur la vie marine, y compris " la fonte des étoiles de mer , " mortalité massive et du "jamais vu" baleineaux gris uni , n’ont fait qu’ajouter à l’inquiétude du public.
Avec le grand rayonnement de Fukushima qui atteint maintenant la côte ouest de l’Amérique , selon les experts de la physique , le silence du gouvernement japonais et…américain est à prévoir.
Source:
http://michelduchaine.com/tag/conspiration-2/