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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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armement
28 février 2017

TRUMP RELANCE LA COURSE AUX ARMEMENTS : ‘LA PLUS GRANDE DE L’HISTOIRE DE L’AMÉRIQUE’

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« Nous devons gagner, nous devons commencer à de nouveau gagner des guerres. 
Quand j’étais jeune, tout le monde disait que nous ne perdions jamais de guerre. Vous vous souvenez ? L’Amérique ne perdait jamais. Et maintenant, nous ne gagnons jamais de guerre ».
– Donald Trump devant les gouverneurs US.
 
Donald Trump a proposé ce lundi « une hausse historique » des dépenses du Pentagone pour répondre aux menaces d’un monde « dangereux », une augmentation de 54 milliards de dollars qui serait en particulier compensée par une réduction de l’aide internationale. A la veille de son premier discours devant le Congrès, le président des Etats-Unis a affiché, lors d’une rencontre avec des gouverneurs, sa volonté de présenter un budget 2018 qui respecterait sa « promesse de protéger les Américains ». 
 
La Maison Blanche va suggérer une hausse de 54 milliards de dollars pour la Défense, soit une augmentation d’environ 9% d’une année sur l’autre. Elle sera compensée par une baisse d’un montant équivalent pour les dépenses non-militaires, soit « la proposition de réduction la plus importante depuis les premières années de l’administration Reagan (1981-1989) », selon Mick Mulvaney, directeur du Budget. Evoquant une réduction de l’aide internationale, ce dernier a mis en avant les promesses de campagne du magnat de l’immobilier: « Nous dépenserons moins à l’étranger et plus chez nous ».
 
L’exécutif a souligné que ce n’était que le début du processus de consultations, et refusé de rentrer dans le détail des baisses attendues pour le puissant département d’Etat, en charge de la diplomatie américaine, ou encore de l’Agence de protection de l’environnement (EPA), en pointe dans la lutte contre le changement climatique. La présentation détaillée du budget fédéral (d’un montant total de près de 4.000 milliards de dollars) n’est cependant pas attendue avant plusieurs mois. Et les discussions s’annoncent, comme à chaque fois, ardues avec le Congrès qui tient les cordons de la bourse.
 
La défense représente environ la moitié des dépenses du budget de fonctionnement de l’Etat fédéral, qui elles-mêmes ne représentent qu’environ un tiers des toutes les dépenses fédérales (les deux autres tiers concernent les grands programmes sociaux de santé et de retraite). « Vous en saurez plus demain (mardi) soir », a ajouté M. Trump. « Ce sera un événement majeur, un message au monde en ces temps dangereux, sur la force et la détermination de l’Amérique », a encore dit le président septuagénaire qui avait évoqué il y a quelques jours « la plus grande montée en puissance de l’armée de l’histoire de l’Amérique ».
 
UN MILITARISME SANS PRECEDENT
 
Début février, des chefs militaires américains avaient décrit devant le Congrès une armée américaine affaiblie par des années de ressources budgétaires insuffisantes et près de deux décennies de conflits. S’ils ont déjà convaincu Donald Trump, c’est le Congrès qui tient in fine les cordons de la bourse. Profitant des retraits de troupes américaines d’Irak et d’Afghanistan, son prédécesseur démocrate, Barack Obama, avait réduit les dépenses militaires.
 
A 3,3% du PIB, soit près de 600 milliards de dollars, elles restent toutefois de loin les plus importantes du monde. Elles sont près de trois fois supérieures à celles de la Chine, la deuxième puissance militaire mondiale, et plus de huit fois supérieures à celles de la Russie, selon les chiffres de l’institut de référence suédois Sipri.
 
« Nous devons gagner, nous devons commencer à de nouveau gagner des guerres », a lancé Donald Trump devant les gouverneurs, reprenant des propos de campagne. « Quand j’étais jeune, tout le monde disait que nous ne perdions jamais de guerre. Vous vous souvenez ? L’Amérique ne perdait jamais. Et maintenant, nous ne gagnons jamais de guerre ».

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TRUMP : LE NOUVEAU STADE DE L’IMPERIALISME AMERICAIN
 
Alors que beaucoup d’analystes (confondant analyse et émotion du moment) se gargarisaient d’un « Trump isolationniste » (sic) ou « se rapprochant de la Russie » (resic), j’annonçais dès début décembre 2016 que « Trump ce sera la relance du militarisme à un niveau jamais égalé ». Mon analyse géopolitique prévisionnelle était une fois encore la bonne …
 
* Lire mon analyse de 2016 pour EODE THINK TANK :
La présidence Trump : vers un nouveau stade de l’impérialisme américain …
sur http://www.eode.org/eode-think-tank-la-presidence-trump-vers-un-nouveau-stade-de-limperialisme-americain/  
 
LUC MICHEL / EODE GEOPOLITIQUE
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19 octobre 2013

Projet AirSeaBattle US ou comment Rompre ou détruire la chaîne de frappe chinoise

AIRSEA BATTLE CANALBLOG

Tandis que le Pentagone affirme que sa nouvelle doctrine d’AirSeaBattle ne vise aucun adversaire particulier, les Chinois se découvrent comme la principale cible et puisque le concept suggère que les Etats-Unis frapperaient la Chine avant que cette dernière ne frappe les forces américaines, ceci, « pourrait précipiter une course aux armements coûteuse et déstabilisatrice, et faire en sorte qu’une crise conduise plus probablement vers les hostilités ». Voilà l’avertissement lancé par deux chercheurs de la Rand Corporation, un groupe de réflexion de haut niveau proche du ministère américain de la Défense.

Les deux chercheurs, David Gompert et Terrence Kelly, ont publié leurs conclusions dans un article de la revue Foreign Policy, daté du 3 août (une publication du Council on Foreign Relations (CFR), un club influent au cœur de l’establishment de la côte Est américaine), ainsi que dans un rapport de 220 pages de la Rand Corporation le même jour.

Gompert et Kelly soulignent que la doctrine AirSeaBattle envisage, afin de surmonter les soi-disants capacités de déni d’accès et d’interdiction de zone (Anti-Access/Area Denial, A2/AD) de l’ennemi, de « rompre la chaîne de frappe », c’est-à-dire à viser les senseurs et systèmes de commandes qui contrôlent les missiles de la partie adverse. Une fois détruites les capacités de cette dernière, vos forces seront en mesure d’opérer avec beaucoup moins de risque. Voilà en quoi consiste, écrivent Gompert et Kelly, AirSeaBattle mais également le grand risque stratégique.

Rompre ou détruite la chaîne de frappe chinoise est une idée séduisante, poursuivent-ils, mais la Chine a les ressources pour menacer les forces américaines dans le Pacifique. Un échec dans le développement de contre-mesures laisserait les Etats-Unis avec une capacité d’opération militaire, de dissuasion à l’égard de la Chine et de soutien de ses alliés en déclin, ainsi qu’une capacité affaiblie à exercer son influence dans cette région vitale. Cette simple idée pourrait avoir des conséquences désastreuses : les cibles d’AirSeaBattle devraient être touchées avant qu’elles ne causent des dommages significatifs aux forces américaines. A l’exception des navires et des satellites en orbite, les cibles qui comprennent la chaîne de frappe chinoise, – bases aériennes et navales, lanceurs de missiles, senseurs terrestres, centres de commande et de contrôle – sont situées en Chine elle-même.

« Attaquer le territoire chinois aurait de sérieuses répercussions géopolitiques », ajoutent-ils. La Chine de 2013 n’est pas l’Union soviétique de 1980. La Chine est une partie intégrale de l’économie mondiale et un partenaire potentiel des Etat-Unis dans la gestion des affaires de la planète.

Et puis la « Chine est plus en mesure de nous concurrencer en termes technologiques que ne l’a jamais été l’Union soviétique ». Ceci signifie que la Chine est capable d’attaquer ces réseaux mêmes dont dépend AirSeaBattle pour attaquer les réseaux chinois, ce qui risque de provoquer une cyberguerre dont personne n’est en mesure d’appréhender les implications.

Les forces américaines dans le Pacifique occidental sont en fait en train de devenir plus vulnérables aux contre-mesures chinoises, et AirSeaBattle pourrait fournir un palliatif à cette vulnérabilité, concèdent-ils, « mais elle peut également aggraver les craintes chinoises à l’égard des intentions américaines, provoquer les Chinois à redoubler leur effort A2/AD – qu’ils considèrent comme éléments essentiels de leur défense nationale – et accroître la probabilité d’un conflit ».

Puisque AirSeaBattle place une prime sur des premières frappes, et que les Etats-Unis ont initié deux conflits en Irak avec des premières frappes, il s’ensuit que ceux qui doivent se défendre contre de tels agissements peuvent décider de frapper les premiers, « même s’ils n’avaient pas prévu de déclencher une guerre. C’est une situation dangereuse lorsque les deux côtés mettent une prime à une première frappe. »

« Le plus inquiétant, d’un point de vue stratégique, est que AirSeaBattle prend en compte comment une guerre contre la Chine pourrait commencer mais laisse de côté les questions de savoir quel cours prendrait ensuite une telle guerre, où elle pourrait conduire et comment on pourrait y mettre fin dans des termes qui seraient favorables aux Etats-Unis », écrivent Gompert et Kelly. « C’est une chose que d’attaquer l’Irak ou la Libye (ou même l’Iran). C’est tout autre chose que d’attaquer le deuxième Etat le plus puissant [du monde]. »

L’alternative à tout ceci, concluent-ils, est que les Etats-Unis doivent disposer leurs forces de manière à compliquer leur ciblage par la Chine, sans menacer cette dernière de premières frappes sur son territoire, tout en étant encore capables de contrer les mouvements agressifs de toute puissance régionale, ajoutant ainsi de la stabilité plutôt que d’en enlever. D’autres ont proposé une approche similaire, en particulier le colonel des Marines à la retraite T.X. Hammes de l’Université nationale de la Défense, avec une stratégie qu’il appelle Contrôle Off-Shore [Stratégie de blocus naval qui prévoit de bloquer le détroit de Malacca], également conçue pour dissuader une agression chinoise potentielle sans forcément menacer le territoire chinois.

Ajoutons toutefois que tant qu’on ne s’attaque pas au principal problème, qui est la crise financière transatlantique en cours, les efforts géopolitiques britanniques pour une guerre globale ne pourront être déjoués.

http://www.solidariteetprogres.org/actualites-001/article/pour-la-rand-corporation-airseabattle-menace-de.html

27 août 2013

Contrat Militaire de 12 milliards de Dollars entre le Maroc et les Etats-Unis,Contre qui Mohammed VI s’arme-t-il?

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Ce marché intervient dans le sillage d'une campagne d'agression médiatique contre l'Algérie d'une extrême violence et dans la foulée d'une éventuelle reprise des armes par le Front Polisario.

La crise économique qui pousse inexorablement le Royaume entre les griffes du FMI n'a pas fait renoncer le souverain marocain à décider d'ouvrir les cordons de la bourse pour mettre sur la table un joli pactole. «Le Maroc et les Etats-Unis ont conclu récemment un accord d'armement qui s'est soldé par un contrat d'une valeur de 12 milliards de dollars, ce qui représente 5,97% de la valeur du contrat global annoncé par le département de la Défense américain avec la compagnie Raytheon», spécialisée dans les systèmes d'armement et ce, dans le cadre des préparatifs aux manoeuvres navales communes entre les deux pays, qui se tiendront dans les eaux méditerranéennes au cours de l'année prochaine» annonce le quotidien arabophone marocain Al Massa qui tire à quelque 100.000 exemplaires. L'opération aurait été finalisée lors de la visite du secrétaire américain à la Marine, Rays Mabus, qui a effectué une visite de travail au Royaume du 11 au 13 août. Une information qui n'aurait pas nécessité de commentaires si le Maroc, qui traverse une grave crise économique, n'avait pas fait, à de nombreuses reprises, appel aux institutions de Bretton Woods (Banque mondiale et Fonds monétaire international) pour mener à bien certaines réformes qui de surcroît, doivent s'accompagner de douloureuses répercussions sur la société marocaine.
Il est, par conséquent, tout de même étonnant que le pouvoir marocain qui ne peut se permettre le luxe d'une dépense aussi faramineuse ait décidé d'endetter encore un peu plus le pays (la dette extérieure qui est passée de 189,1 milliards de dirhams -28 milliards de dollars- en 2011 à plus de 212 milliards de DH à la fin de l'année 2012 alors que le chômage touche plus de 10% de la population active). Le Maroc avait déjà dépensé la coquette somme de 3,1 milliards de dollars pour l'achat d'armes en 2011. Il est à noter cependant que ce marché intervient dans le sillage d'une campagne d'agression médiatique contre l'Algérie d'une extrême violence et dans la foulée, d'une éventuelle reprise des armes par le Front Polisario.
Une option qu'il n'a en effet, pas exclu lors de la tenue de son université d'été à Boumerdès (une quarantaine de kilomètres à l'est d'Alger). «Le retour à la lutte armée contre l'occupant marocain est une décision qui relève du Front Polisario qui est seul à le décider en toute souveraineté et au moment opportun», a indiqué la ministre de l'Education et de l'Enseignement, Meriem Essalek Hamada qui a tenu à souligner que «les Sahraouis se considèrent en guerre depuis 1973, successivement contre les occupants espagnol et marocain, jusqu'à l'obtention de leur indépendance par l'exercice de leur droit légitime à l'autodétermination».
Les Marocains ont-ils interprété ces propos comme une déclaration de guerre? Ils ne le diront pas, mais si on se fie à leur position par rapport à la question du Sahara occidental, il y a tout lieu de voir dans ce fabuleux contrat militaire, passé avec les Américains, une opération de politique de défense loin d'avoir des objectifs classiques: sécurisation des frontières, rétablissement de l'ordre public, lutte contre la subversion interne...
Le Maroc aurait-il, dans ce cas, des intentions belliqueuses? Le secrétaire général de l'Istiqlal, deuxième force politique du pays, a publiquement revendiqué des territoires algériens. «La récupération de ces territoires (Tindouf, Béchar, Kenadsa, dixit Hamid Chabat, Ndlr) est une exigence du peuple marocain», avait déclaré Hamid Chabat (voir L'Expression du 29/06/2013). Ce qui ne peut se faire la fleur au fusil.
De là à mettre un tel projet à exécution, il y a certainement un pas que le Maroc ne saurait franchir..

http://www.algerie360.com/algerie/contrat-militaire-de-12-milliards-de-dollars-entre-le-maroc-et-les-etats-uniscontre-qui-mohammed-vi-sarme-t-il/

infos supplementaires sur la normalisation entre l'état hébreux et le maroc.

C’est dans le militaire que cette «normalisation passive» est la plus discrète. Fait rarissime pour un pays arabe, Rabat a opté pour des achats militaires auprès de l’industrie d’armement israélienne. Le sujet est tellement sensible que les deux pays en font un secret d’État.

Selon IsraelValley, le site officiel de la chambre de commerce France Israël, l'entreprise publique Israël Military Industries (IMI) a conclu avec Lockheed Martin un accord très juteux portant sur la fourniture de certains équipements et composants électroniques pour les deux escadrilles d’avions F-16 achetés par le Maroc aux États-Unis.

Le contrat est évalué à plus de 100 millions de dollars et porte sur la fourniture de matériel de navigation, de transmission et des réservoirs de kérosène permettant à ces appareils de se ravitailler en vol. Israël est le 5e exportateur d’armements dans le monde, mais il est très rare qu’il contribue directement à des contrats de vente d’armes à un pays arabe.

L’armée marocaine a déjà été équipée par la technologie et le matériel des équipementiers israéliens, notamment pour des blindés légers de l’armée de terre ou du matériel électronique qui équipe le mur du Sahara, la ligne de défense édifiée par l’armée royale pour empêcher les incursions des séparatistes du Front Polisario. Ces transactions passaient généralement par des intermédiaires en Afrique du Sud du temps d’Hassan II.

Le Centre de coopération internationale dépendant du ministère israélien des Affaires étrangères, le Mashav, est souvent le moyen efficace pour conclure des marchés. Les technologies de télécommunication, en plein boom sur le continent, sont également un marché porteur. La société israélienne Alvarion, leader mondial du Wimax prospecte au Maroc. Mais cette haute technologie se déploie aussi dans le monde secret de la surveillance: experts militaires, spécialistes des écoutes téléphoniques, informaticiens, spécialistes des liaisons satellites se concertent et collaborent en secret.

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