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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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cardinaux
31 juillet 2016

les ondes de forme sont les énergies intermédiaires entre le plan matériel et spirituel

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Les constructions bioénergétiques doivent avoir :

– Du vert négatif magnétique

– De l’UV

– De l’Or (se capte sur Orange, ou en tenant une pièce d’or dans la main)

– la phase horizontale est magnétique et verticale électrique.

– V- : base de tous les centres énergétiques

– UV : base de l’environnement des anges et êtres de lumière. Vibration purifiante et relaxante. Equilibre les organes hyper excités. Calme le système nerveux.

– OR : augmente sagesse et prospérité. Equilibre système immunitaire.

couleurs Magn Elect Observations personnelles
V +(vert) 180° Il est à la charnière entre le magnétique et l’électrique, il donne un mouvement alternatif. C’est une situation d’équilibre on peut considérer le courant V+ comme bénéfique. Il est perçu autour des mégalithes (menhirs, cairns, dolmens), des églises et des chapelles. La silice émet en V+ par exemple la superbiomine qui est une poudre de roche riche en silice (homéopathie silicéa).
Bu (bleu) 195° 15° Très bénéfique, elle sert à neutraliser les nuisances et à déterminer les points de neutralisations. Le V+ et le Bu réunis mis en contact avec une nuisance de terre électrique, la neutralise. Un aimant, une champenoise posée sur un point Bu rééquilibre un lieu et suppriment le V-. Les prises de terre sont à placer sur ce point. Certaines terres rares expriment le Bu magnétique ainsi que le kombucha (boisson acide produite avec un champignon qu’on met dans du thé : voir l’impatient n°216 Novembre1995)(homéo poconéol n°4 , le R L B, le P 400 de Beljanski. Le Bu s’exprime peu ou pas en en phase électrique (3ème cercle autour des menhirs).
In (indigo) 210° 30° C’est une fréquence ressentie en magnétique sur certains produits ayant une action sur l’état général. Il est peu perçu en électrique..
Vi (violet) 225° 45° C’est la vibration d’équilibre des produits sains. En électrique, c’est la vibration de l’équilibre de santé. Entre 45° et 55° nous sommes dans la normale. Toutes les agressions de stress et de maladies nous décalent en énergie vers le V- E et le Noir E (105°) qui traduisent un état général très dégradé.
Uv (ultra violet) 240° 60° Il est peu perçu en magnétique (On le rencontre dans certains produits pour les plantes). Par contre c’est actuellement la source de pollution qui perturbe le plus notre environnement. Elle est portée par les courants telluriques qu’elle charge au contact des prises de terre, des poteaux électriques ou au passage sous les lignes à hautes tensions. Elle provoque le stress et l’agressivité, ceci s’observe aisément en porcherie où elle provoque l’agressivité des porcs qui se traduit par du cannibalisme. Sur le passage de ces lignes on détecte de l’Uv E. Les produits stockés sur des zones en UV E s’imprègnent et se dénaturent surtout les produits qui agissent par leur charge vibratoire, exemple : l’homéopathieLe stockage des aliments pour les animaux est à déconseiller sur les zones en UV .
Bc(Blanc) 255° 75 C’est l’onde de Chartes. Elle se détecte dans l’axe de toutes les anciennes églises elle est présente sous les menhirs les dolmens ; elle sert de référence pour la recherche des courants d’eau pour les forages, les bonnes fontaines vibrent en Bc ; l’eau de la fontaine de Lourdes en est une référence. Le Bc E traduit une pollution du courant d’eau par l’électrique peut se confondre à l’ UV E .
V- ‘(vert -) 270° 90° Il est essentiellement perçu en électrique à 90°. C’est une des nuisances les plus sournoises. Dans son livre (ondes de vie ondes mort) Jean de la Foye, décrit très bien le V-. Cette vibration ultra courte crée sur son passage les fissures dans les enduits et les bétons, provoque une forte nuisance dans l’environnement et induit certaines maladies. Le V- est peu ou perçu en magnétique
12% »>N (Noir)(kombucha) 285° 105° Très proche du V-, il signe entre autres les forces occultes, la mémoire des lieux et de graves nuisances. On le trouve en magnétique à 285°, c’est alors une force de vitalité et de stimulation, il est bien perçu dans le kombucha et dans le poconéol n°75 ( produit homéopathique). Vous trouverez deux cercles noirs M autour des menhirs bien placés ?
Ir (Rouge) 300° 120° Votre pendule équatorial en phase magnétique le curseur sur IR vous aller réagir par exemple sur le vinaigre de cidre, le kombucha. L’IR renforcerait la résistance aux virus. Sur certaines lignes telluriques on observe de l’Ir électrique à 120° . Il provoque stress et agressivité.
R(rouge) 315° 135° Il s’observe sur les produits anti-infectieux. (en homéopathie belladona) Il est peu perçu en électrique
O (Orange 330° 150° S’observe sur certains produits préconisé dans les infections (mercurius en homéopathie) Il vous reste à découvrir, il est peu ressenti en électrique à 150°
J (Jaune) 345° 165° C’est une vibration intéressante, vous la trouvez en spirale dans les anciennes églises. C’est une couleur reposante vous pouvez la charger avec votre pendule le curseur sur J en phase magnétique ; le point Bu est toujours situé dans une zone Jaune, qui est propice pour le repos. Il vous reste à la rechercher. Le jaune électrique à 165° .Je ne l’ai jamais détecté

 

 

 

Et ci après mes réflexions et découvertes personnelles :

On définit en général les ondes de forme (ODF) comme des ondes générées par les formes. Par exemple la pyramide génère du V- au niveau de la chambre du roi, c’est à dire à la verticale du sommet, à un tiers de la hauteur en partant du bas

D’après mes recherches, elles sont du même type de vibration que le « magnétisme humain » ou « magnétisme « animal », ou le chi et je donne la définition suivante :

« les ondes de forme sont les énergies intermédiaires entre le plan matériel et le plan spirituel, le monde spirituel étant les forces créant la matières au sens large. Elles existent des qu’il y a matière ou pensée. Ces ondes ne sont cependant émises, donc détectables que quand la matière est soumise à une tension énergétique (champs magnétique …) et sont modulées par la forme elle même et les forces spirituelles constructrices et relatives à la forme. »

Cette définition permet de comprendre pourquoi les ondes de forme permettent le transfert d’énergies subtiles à grandes distances. Par exemple, les appareils ou schémas de radionique envoient des ondes de symboles ou de l’énergie sur un être ou objet en liaison avec le témoin mis sur l’appareil. Les actions faites par radionique pouvant aussi bien être au niveau santé physique qu’émotionnelle ou psychique.

Les ondes de forme ont les actions suivantes : (j’ai cherché ces actions au pendule)

V- : en relation avec le magnétisme (des aimants)

BC : action plan Spirituel

UV : en relation avec le Chi

VI : action de ralentissement, de mise en sommeil

IN : action de purification, de Distillation

Bleu : action d’apprentissage, de construction

V+ : action de dissolution, de digestion, assimilation

J : action de réparation, de guérison

O : action d’équilibre des forces

R : action d’excitation, de réchauffement

IR : action d’échange, de mise en état d’instabilité

N : action de mémorisation

Pour détecter les ODF, j’ ai découvert la méthode suivante :
Chaque articulation d’un doigt est en relation avec une ODF précise. En mettant le pouce en contact avec une articulation, nous émettons cette ODF, et par conséquent, sommes à même de mieux la capter.

 

La main tenue en position horizontale permet de capter et émettre les phases magnétiques et la main en position verticale les phases électriques. (voir photos ci après)

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Quand on parle « Ondes de forme » (ODF), on pense automatiquement aux ondes émises par les formes. Nous allons voir que les ODF sont bien plus que cela. Comme bien souvent, le langage nous conduit dans un raisonnement limité.

Lors d’un voyage en Egypte, Chaumery et Belizal, 2 radiesthésistes chevronnés du début du 20ème siècle, ont vu un chat momifié dans la grande pyramide, dans la chambre du roi, et, chose étrange, il ne semblait pas avoir subit de processus de momification. Quelque force étrange avait fait cela ? Voilà un mystère à résoudre pour nos amis.

En tant que radiesthésistes, ils se sont mis à étudier les énergies présentes. Il faut dire qu’à l’époque, la radiesthésie s’expliquait surtout par l’interaction des ondes sur les pendules et baguettes. La théorie physique était de mise. Le premier livre de Chaumery et Belizal est sorti vers 1930 et la radiesthésie mentale est née vers cette époque. Les radiesthésistes avaient coutume, essentiellement suite aux théories de l’Abbé Mermet, de Turenne, de Lesourd et de quelques autres « Grands de la Radiesthésie », d’analyser le monde en termes de longueurs d’ondes et de rayons fondamentaux. Ils avaient ainsi découvert que chaque élément de base a une certaine direction de rayonnement spécifique appelé rayon fondamental qui contient les informations de l’élément. Il est est de même des couleurs. Ainsi, le vert radie essentiellement vers l’est, le rouge vers le sud, le bleu vers le nord est, … Et ils analysaient également les choses par leur polarité, polarité à comparer avec le + et le – d’un pile, simplement selon le sens de rotation du pendule, sens des aiguilles d’une montre pour positif et sens contraire pour négatif.

Pour ma part, étant mentaliste de conviction, j’ai longtemps considéré tout cela comme des conventions plus ou moins inconscientes ou acceptées par raisonnement implicite. Cependant, je me disais que si des radiesthésistes aussi compétents que l’ Abbé Mermet et ses amis s’attardait à ces théories, elle valaient la peine d’être considérées. Alors, de temps en temps j’ai repris mon pendule à onde de formes et cherchais. Mais, ainsi que le disent de nombreux auteurs, je ne les trouvais pas au même endroit que Chaumery et Belizal. Cependant, ils avaient de super résultats dans leurs applications.J’ai lu par exemple que Bélizal, devant un groupe de personnes, a accroché une forme en bois un peu bizarre à un arbre bien vigoureux, et quelques temps après, cet arbre a perdu ses feuilles et est mort. Avec une telle démonstration on peut difficilement nier une certaine réalité de ces énergies. J’ai donc continué mes essais de temps en temps et un beau jour j’ai enfin compris mon erreur: Nous ne sommes plus en 1930. Les forces dans nos maisons et autour de nous ont énormément changées. Cette fois ci, avant de chercher les couleurs, j’ai cherché le nord de forme de l’endroit ou j’étais et orienté mon tableau selon le nord de forme, et enfin, à partir de là, j’ai trouvé les mêmes couleurs que Chaumery et Belizal. J’avais maintenant la preuve de la réalité de ces ondes sous mon pendules et qu’ il ne s’agit donc pas uniquement de convention mentales.

En fait, je pense que la radiesthésie est un acte mental qui passe par notre Esprit. Nous pouvons grâce à cela détecter toutes espèces de choses existantes. Cela dépend de notre orientation mentale. Je peux ainsi, entre autres, détecter les énergies extrêmement fines, qu’aucun appareil à ce jour n’est capable de détecter, et dont certaine, n’étant plus du domaine matériel, ne seront d’ailleurs jamais détectable par un objet matériel, dont les ondes de forme. Ne confondons pas la technique de la radiesthésie avec ses applications. Je m’applique donc, avec mon mental, à rechercher les ondes de formes.

Poursuivons maintenant notre étude de ces ondes mystérieuses. De retour chez eux, nos deux radiesthésistes se sont dit que ces ondes étaient probablement liées à la forme particulière de la pyramide et à son orientation. Ils ont donc commencé par étudier une forme simple : une sphère. Pour cela, ils ont posé une sphère en bois sur un cylindre, ont pris un 2ème cylindre dans la main gauche, un pendule de couleur rouge et ont analysé les ondes sélectionnées par le cylindre. Ils ont découvert que, sans penser à rien, c’est à dire selon eux sans convention mentale, mais d’après moi avec la convention implicite de recherche d’accord avec la couleur rouge, que le pendule tournait en face de certains endroits précis. En reliant ces endroits par un trait, ils ont découvert que ceux ci suivaient une courbe de forme hélicoïdale du pôle nord au pôle sud de la boule. (voir dessin ci après).

ODF-detection-belizal

Ils ont par la suite refait la recherche avec les autres couleurs de l’ arc en ciel en changeant la couleur du pendule utilisé pour la détection et ont trouvé d’ autres courbes de même style, d’ un écartement uniforme entre elles, exceptés quelques vides, qu’ils ont combles en cherchant les réactions par rapport au blanc, au noir, à l’infra rouge et à l’ultra violet.
Ces courbes n’étaient pas fixes et faisaient une rotation complète en 24 heures. Ceci nous donne une indication intéressant quant à leur origine. Après de nombreuses recherches, ils ont réussi à bloquer les couleurs sur la sphère, grâce à des perforations à des endroits précis.

Sur l’équateur, nous avons ainsi les couleurs suivantes :

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Appelons cela le spectre Belizal. Vous pouvez remarquer que le vert se trouve 2 fois. Une fois avec la polarité + et une fois avec la polarité -. Ceci est du au fait, en cherchant le rayon fondamental, que le vert se situe au milieu des couleurs vers l’est.. Les couleurs rouge, rayon fondamental vers le sud, orange, rayon fondamental vers le sud est, le jaune ont une polarité négative, les couleurs bleu, indigo et violet sont de polarité positive et rayonnent vers le nord, nord est. Le vert, entre les deux a une partie des verts, ceux qui tirent plus vers le jaune en polarité négative et les verts qui tirent plus vers le bleu en polarité positive. Ils ont ensuite crée des pendules spécifiques permettant la détection de ces couleurs, dont en particulier le pendule Universel. Grâce à un réglage du fil sur son anse à la verticale d’un point choisi, ce pendule émet cette énergie de couleur, permettant ainsi sa détection plus facilement, car il en fait témoin en même temps.

Ils ont ensuite étudié les énergies environnantes avec ce pendule et ont découvert que tout pouvait s’analyser par une combinaison de ces couleurs. Ce sont en fait des noms donnés aux énergies non détectables matériellement, en particulier les ondes du domaine vital. Certaines ondes, en particulier le vert négatif ont des effets très particuliers, voire dangereux si en excès. En fait, tout excès d’une couleur, quelle qu’elle soit et quelle que soit sa polarité est à éviter. Seul l’équilibre est gage de bonne santé. Par exemple, le V- se retrouve en quantité excessive dans la chambre du roi de la grande pyramide. Une de ses propriétés est de détruire les bactéries en desséchant, ce qui explique la momification du chat. De nombreuses expériences ont été faites depuis sur les propriétés de la pyramide et on cite entre autre l’affûtage de lames de rasoir, la momification de viandes, la stimulation de certaines onde cérébrales, le renforcement d’un vœux, l’ élimination d’ insectes dans les cultures, …

Par la suite Jean de La Foye a continué d’étudier ces énergies et a d’ailleurs écrit un livre très intéressant, que je ne peux qu’encourager à lire, mais fort complexe : « Ondes de vie, Ondes de mort » dont je me suis beaucoup inspiré.

Un jour, en se promenant dans la forêt avec son pendule, il a ramassé une feuille d’ arbre, l’a tenue par le bout de la feuille et soudain son pendule s’est mis à tourner à un endroit où précédemment il n’a pas eu de réaction. Que s’est il passé ? La feuille est polarisée et a une énergie, bien que feuille morte. Cette énergie a déséquilibré le champ énergétique de l’arbre, rendant ainsi détectable les couleurs qui avant étaient dormantes. Il s’est aperçu que les couleurs pouvaient être trouvées sur un cercle du double du diamètre du tronc et que les couleurs se trouvaient chacune deux fois. Les deux couleurs de même nom sont opposées diamétralement, et elles faisaient tourner le pendule dans des sens opposés, ce qui a donné à Jean de la Foye l’idée de les appeler « magnétiques » et « électriques ». Bien que ces couleurs réagissent plus avec des témoins magnétiques ou électriques selon le cas, il faut bien faire attention à ne pas confondre avec le champ magnétique d’un aimant et le courant électrique d’une pile ou dans un câble électrique. Ce sont des dénominations qui ont été choisies pour des raisons de réactions, mais qui hélas donnent lieu à des confusions. Par exemple, si vous détectez une couleur en électrique, cela ne veut pas dire qu’il a des champs électriques. Qu’il y a une certaine analogie avec le champ électrique, oui, mais c’est tout. De même, faites attention à ne pas transformer les couleurs en conventions mentale. Par exemple, dans un endroit où ont eu lieu des sacrifices, il y a eu génération de V-. Ceci est un résultat. Cependant, si vous trouver du V- dans une endroit, cela ne suffit pas pour déduire qu’il y a eu sacrifice. La découverte du V- ne sera qu’un élément tendant à orienter vers cette déduction.

Nous avons donc maintenant le cercle Bélizal, non polarisé et le cercle Jean de la Foye polarisé. Il faut faire bien attention à ne pas confondre. Les couleurs polarisées ne peuvent être découvertes que dans un champ perturbé, soit perturbé par sa configuration ou l’environnement, …, soit perturbé par un outil comme la feuille pour les besoins de l’analyse. En clair, cela signifie que si vous trouvez des couleurs polarisées dans une maison, elle est perturbées. Ce n’est pas forcément le cas si vous trouvez des couleurs non polarisées.

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Jean de la Foye cite plusieurs propriétés intéressantes et étranges des ODF polarisées : elle suivent les creux, comme par exemple les tuyaux, sautent dans les conducteurs électriques, sont déviées par des prismes en bois, sont réfléchies par les miroirs, certaines matières laissent passer le magnétique uniquement et d’autres l’ électrique, elles existent sur différent niveaux : physique, vital et spirituel, sont facilement portées à distance, …

Jean de la Foye mis au point une forme particulière permettant de sélectionner une onde choisie et de l’envoyer à distance, en général dans un but de correction énergétique : l’ émetteur têtard.

Je m’ en suis inspiré pour mettre au point la baguette abeille.

Que sont exactement les ondes de forme ? Des expériences ont montré que si nous prenons on crayon posé sur un table bien équilibrée, il s’ensuit une émission d’énergie vers le sud et cette énergie correspond à la couleur sélectionnée selon le cercle Jean De La Foye. L’image suivante vous expliquera mieux que mes paroles. Le crayon y émet du BcM (Blanc magnétique).

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D’autre part, si nous déséquilibrons le lieu, c’est à dire que si nous déplaçons le nord ODF de 90° vers la droite, l’émission ne se fera plus au sud, mais à l’ ouest. Il en est est de même pour tout déplacement de ce nord: l’émission change de direction et se fait toujours t au sud de forme. Qu’est ce qui fait se déplacer le nord de forme ? Une énergie nouvelle génèrera une nouvelle ODF de telle sorte que l’énergie joue le rôle de l’est. Et avec cela nous avons la clé des ODF.

http://www.roland-gerber.com/2011/01/01/etude-sur-les-ondes-de-forme-suite-2/

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30 juillet 2016

Les lieux et les formes de pouvoir expliqués par la biogéométrie

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Le livre « BioGéométrie » d’Ibrahim Karim se base sur la géobiologie et l’architecture pour déterminer où et comment est émise l’énergie « sacrée » bénéfique pour la vie. Selon l’auteur, cette énergie peut même diminuer les effets négatifs de « l’électrosmog ». Je vais tenter ici de résumer la thèse présentée dans son livre et sur son site.

Ibrahim Karim est architecte de formation, il étudia en Suisse et reprit le cabinet d’architecte « Alemara Consulting House » de son père, qui était architecte pour le Moyen-Orient. Durant ses études, il rencontra le Dr. Mahfouz qui devint le ministre égyptien de la santé. Ibrahim Karim fut ensuite consultant pour divers ministères de pays du Moyen-Orient, et conçut les premières formes biogéométriques en 1992. En 1972 il a en effet été initié à la radiesthésie, en rencontrant le Dr. Fawzi Soleiman Soweha et le Dr. Khalil Messiha. Cela le conduisit à la Maison de la Radiesthésie à Paris. C’est par la radiesthésie et des méthodes de biofeedback qu’Ibrahim Karim chercha à concevoir des formes qui puisse résonner avec leur environnement ou les êtres vivants. Ibrahim Karim est lié au Vesica Institute, ainsi qu’à « Creating Healthy Spaces », et est apparu dans divers médias. Il a étudié l’effet de la biogéométrie dans l’agriculture (avec le Prof. Peter Mols) et a étudié l’effet sur la santé (projet du Dr. Taha Khalifa). Enfin, entre 2003 et 2005, il a implanté des formes sur des antennes relai en Suisse (à Hemberg et Hirschberg).

Energies spirituelles

Le livre insiste sur l’importance de l’énergie « BG3″, qui veut dire « BioGéométrie Trois ». Ce sont « trois qualités de base » qui sont en résonance avec une énergie subtile harmonisante et spirituelle. Ces trois qualités sont : « Le vert négatif horizontal », « l’harmonique supérieure de l’ultra violet », et « l’harmonique supérieure de l’or ». L’énergie de l’harmonique supérieure de l’or est une énergie spirituelle qui est en résonance avec l’or physique. C’est pourquoi l’alchimie peut faire évoluer les métaux en or. [Note : Stéphane Cardinaux explique (voir plus loin) que le vert négatif est en fait du blanc. On peut se demander donc, si "l'harmonique supérieure de l'ultra violet" n'est pas une énergie au-delà du magenta et que "l'harmonique supérieure de l'or" n'est pas une énergie au-delà du pourpre (la pierre philosophale est rouge et "pourpre" veut dire "le pur du pur", cf. Fulcanelli).]

Ibrahim Karim cherche à développer une « Physique de la Qualité » (opposée à notre « physique de la quantité ») qui étudierai les énergies subtiles sous-jacentes à la matières. Selon Ibrahim Karim, les sens perçoivent les octaves de fréquences de la matière (couleurs, sons, saveurs, odeurs,…) et il y a donc une organisation mathématique de la matière par des archétypes décelables dans les nombres et les formes géométriques. Ces archétypes se retrouvent dans les langages et systèmes (yi king, tarot, cinq éléments, etc). On peut faire des équivalences. Le rouge peut donc être l’équivalent du Do, par exemple.

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Qualités universelles se manifestant dans le domaine sensoriel. Image : Ibrahim Karim

Comme nous le disions dans cet article :

« Les vibrations dans l’univers évoluent et s’organisent en gammes, et qu’il s’agisse du son ou de la lumière (couleurs), la compréhension de ces lois permet d’accéder à ce qu’il y a « derrière » la manifestation. Nous pouvons alors comprendre l’unité derrière tous les phénomènes, un lien profond les rassemblant.

La synesthésie est une faculté qui prouve l’unité des vibrations. La synesthésie (naturelle ou provoquée par des substances psychoactives) permet de « voir les sons », « d’entendre les couleurs », de « goûter une odeur », etc. Il est également possible de « voir les mots en couleurs », ce qui revient à voir un texte avec tous les mots d’une couleur différente, automatiquement. Le cerveau semble donc capable de traduire par son fonctionnement, la perception des « sens subtils », qui ne sont dès lors pas dissociés en « cinq sens », mais qui unissent tous les aspects de la réalité. »

Cet autre article donne une origine possible à la synesthésie : une meilleure communication entre les différentes aires du cerveau (et l’activité du cerveau est directement liée à l’activité « spirituelle », comme l’a montré Corine Sombrun) :

« Par exemple, un synesthète peut non seulement voir la couleur rouge mais « l’entendre » aussi. L’origine ? Un excès de substance blanche dans le cerveau qui permet la connexion entre les différentes zones du cortex et le transfert d’informations. Les surdoués semblent particulièrement concernés par cette prolifération de substance blanche et seraient très fréquemment synesthètes. »

Contrairement au son (l’oreille humaine peut entendre 10 octaves), les yeux ne voient qu’une octave de couleur. C’est pourquoi nous ne parlons pas de résonance pour la couleur.

Cette énergie BG3 est présente dans les lieux terrestres ou célestes, qui sont des lieux de pouvoir spirituel où se retrouvent des monuments sacrés. Mais on peut aussi la retrouver ailleurs,

Radiesthésie

Ibrahim Karim a étudié la radiesthésie d’abord en trouvant des instruments de Chaumery et Bélizal. Il étudia ensuite des auteurs des années trente, dont Turenne, Enel (Scariatin), Voillaume et d’autres. C’est la mort tragique de Chaumery qui marqua la fin de cette époque. C’est Madame Lambert, à la Maison de la Radiesthésie de Paris, qui lui donna les manuscrits originaux, parce qu’une guérisseuse, Jacqueline Debeaux, lui a dit qu’elle devait attendre la venue de « l’égyptien ».

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Le livre d’Enel, disponible sur scribd

Ibrahim Karim remarqua que le pendule fonctionne comme une corde de musique, et la longueur de la corde est très importante, elle permet de précisément mesurer les énergies. C’est ce qui poussa Ibrahim Karim a étudier le travail de Hans Kayser, Hans Jenny et à revenir à l’Antiquité (monocorde de Pythagore). C’est Enel, en 1940-1950 qui utilisa le principe du pendule de Chaumery pour étudier les énergies des tombes de saints chrétiens en Egypte.

« Enel découvrit que [toutes les tombes] émanaient une certain qualité de vibration dans la zone de ce que nous appelons « Vert Négatif ». Le Vert Négatif est une qualité d’onde porteuse qui a des propriétés de communication très puissantes sur tous les niveaux d’énergie de la nature, et est une porte sur d’autres dimensions. Enel nomma cette qualité d’énergie « Omega ». Dans la gamme de couleur qualitative de la radiesthésie, Omega fait partie de la zone du Vert Négatif Horizontal, dans la zone grise entre le blanc et le noir, à l’opposé du vert. Enel conclut que la présence de cette énergie Omega indique la présence d’une énergie spirituelle (…) »

« L’exemple le plus connu est la pyramide. Elle est capable de momifier naturellement n’importe quel fruit en son centre (à un tiers de sa hauteur à partir du centre de sa base) du fait qu’elle émet du « vert négatif ». On lui prête aussi la propriété de rafuter de vieilles lames de rasoir. Personnellement, je n’ai pas essayé.

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Le « vert négatif » s’appelle ainsi car il est à l’opposé du vert sur le spectre des couleurs en radiesthésie.

Sinon un autre exemple moins connu mais que je retrouve chez beaucoup de mes clients, c’est l’antenne rateau de télévision. Elle émet un rayonnement vert négatif verticalement. » (Source)

« Ils ont ensuite étudié les énergies environnantes avec ce pendule et ont découvert que tout pouvait s’analyser par une combinaison de ces couleurs. Ce sont en fait des noms donnés aux énergies non détectables matériellement, en particulier les ondes du domaine vital. Certaines ondes, en particulier le vert négatif ont des effets très particuliers, voire dangereux si en excès. En fait, tout excès d’une couleur, quelle qu’elle soit et quelle que soit sa polarité est à éviter. Seul l’équilibre est gage de bonne santé. Par exemple, le V- se retrouve en quantité excessive dans la chambre du roi de la grande pyramide. Une de ses propriétés est de détruire les bactéries en desséchant, ce qui explique la momification du chat. » (Source)

« Le Vert négatif est également indissociable de basse vibration. En règle générale tout ce qui vibre bas émet du vert négatif en abondance.

Cette analogie V- / basse vibrations est non seulement vrai au niveau énergétique, mais également au niveau physique, car on sait qu’un lieu est plus froid lorsqu’il est saturé en V- (Il y a d’ailleurs existé un projet à un époque de faire des chambres froides en utilisant cette onde.)

On peut même aller jusqu’à expliquer de cette façon la raison pour laquelle un lieu où sont pressentes des entités basses (je pense notamment aux âmes errantes) sont anormalement froids (et donc par conséquent, la légende qui tend à dire qu’un fantôme dégage du froid.) » (Source)

Suite à ces recherches, Ibrahim Karim a déterminé que les monuments sacrés utilisaient le vert négatif horizontal, mais aussi deux autres énergies. A propos du « vert négatif », Stéphane Cardinaux explique dans Géométries sacrées, p.28 :

« Le spectre des vibrations-couleurs de MM. Chaumery et De Bélizal, datant des années trente, comporte, entre le rouge (l’écarlate) et le violet (le pourpre), du noir, du blanc et du « vert négatif ». Ils ont dessiné et nommé ces couleurs par commodité, mais n’ont jamais dit que le « vert négatif » était réellement de couleur verte. Ces pseudo-couleurs servent simplement à différencier ce qui se passe entre le magenta et le pourpre. Le spectre électromagnétique ne comprend qu’une seule fois le vert, l’introduire deux fois dans un spectre subtil est une absurdité.
En tant que vibration, le « vert négatif » existe pourtant bel et bien, mais il est… blanc !
Dans la pratique, ce blanc est légèrement rosé car contenant toujours un peu de pourpre et de magenta. C’est la couleur du 7ème chakra et celle aussi de l’âme humaine, la fameuse couleur « fleur-de-Pêcher » des anthroposophes. (…) Le blanc est la vibration la plus puissante qui existe, mais l’être humain n’est capable de l’absorber qu’en partie. Exploitée dans les pyramides égyptiennes, cette énergie a le pouvoir de momifier, c’est-à-dire de dessécher la matière vivante et de la cristalliser en une matière minérale imputrescible. (…) Cette énergie est très négative pour les êtres vivants, leur corps éthériques se rétractent et se densifient pour protéger le corps physique contre cette agression. (…)
Une énergie « négative » peut être transmutée en une énergie « positive ». Cette énergie devient alors favorable à l’être humain, le corps éthérique se dilate de façon extrême, facilitant ainsi la décorporation de l’âme. Tel est le but de la Grande Pyramide, lorsque vous êtes dans la Chambre du Roi, couché dans le sarcophage vide. »

Ondes électromagnétiques et ondes de compression

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Ces énergies qui informent la matière sont difficiles à mesurer. Un peu comme pour la parapsychologie étudiant la télépathie. Ces ondes sont instantanées et simultanées. Ibrahim Karim explique que les ondes électromagnétiques, en se déplaçant, émettent des ondes « secondaires », des « ondes de compression », comme une turbulence autour d’un bateau en déplacement qui forme des tourbillons autour de lui. Ce sont des « ondes longitudinales », qui se déplacent plus ou moins vite.

C’est Paul Devreux et Konstantin Meyl qui ont étudié les ondes scalaires, un type d’onde longitudinale de compression. On parle aussi d’ondes de torsion en Russie. Pour Konstantin Mayl, les réseaux d’énergie (Hartmann, etc) sur terre sont des ondes scalaires, et que les méthodes des sourciers se basent sur ces ondes. Konstantin Meyl explique aussi que l’électrosmog est grandement aggravé par ces ondes. [A noter qu'Ibrahim Karim dit aussi, dans son livre (paru en 2010) que ces ondes ont un rôle dans le réchauffement climatique... alors qu'on sait qu'il n'y a pas de réchauffement mais un refroidissement.]

Konstantin Meyl a déterminé également que les longueurs d’ondes scalaires sont les mêmes dans les temples qui sont dédiés aux mêmes dieux. (p.29) Cela montre qu’ils associaient chaque dieu à une qualité d’énergie différente.

Ibrahim Karim pense aussi que lorsque Pythagore faisait référence à la musique des sphères, il évoquait en fait l’audition d’ondes de compression/scalaires qui sont proches du son par leur nature, et qui pourraient être causées par l’écho (sous forme d’onde longitudinale) de l’énergie solaire sur les planètes. En effet, ces « ondes secondaires » de type longitudinale sont alimentées par les ondes EM mais sont similaires aux ondes sonores « à un niveau inaudible au-delà de notre capacité auditive », et donc sont influencées par les formes.

Les ondes « scalaires » sont les ondes de forme (de la Terre)

Stéphane Cardinaux mentionne aussi ces « ondes de compression » évoquées par Ibrahim Karim et le rapport qu’elles ont avec le son.

« Des expériences et notre ressenti nous ont fait comprendre qu’il manquait une clé importante à notre théorie sur les réseaux. (…) Nous sommes actuellement persuadés d’être en présence d’un phénomène éthérique et non électromagnétique. Si tel avait été le cas, il y aurait bien longtemps qu’un appareil aurait été mis au point. (…) Grâce au Sonotest, les réseaux peuvent être mis en évidence quand le son semble passer d’une oreille à l’autre – comme si le son venait d’endroits différents lorsque l’appareil traverse une ligne. (…) Notre intuition nous conduit d’ailleurs à penser que les sons font le lien entre les plans et que l’électromagnétisme reste limité au domaine de la matière physique. (…) A notre avis, les ondes électromagnétiques en elles-mêmes n’ont que peu d’effet sur le corps. A faible intensité, c’est l’information véhiculée par la vibration éthérique qui, elle, a une forte incidence. (…) Nous estimons que les réseaux telluriques ne sont rien d’autre que les ondes de forme de la Terre, activés par le champ magnétique – leur source d’énergie – véhiculant des informations, telle la signature vibratoire des métaux et métalloïdes dont est composée la planète. Cela permet de comprendre pourquoi l’information des métaux, réémise par radionique, influence une ligne – qui se met à vibrer par résonance avec ledit métal. (…) Il semble y avoir de fortes similitudes entre les ondes sonores et les réseaux telluriques. [Stéphane Cardinaux fait référence à une expérience de type Plaque de Chnaldi]. »

Ibrahim Karim a un avis similaire sur ces ondes (qui au passage peuvent avoir une « torsion » droite ou gauche selon leur position par rapport au mouvement de l’onde EM qui les a produites). Ces ondes sont comme des « vagues » qui constituent la « signature vibratoire » de tout objet. :

« Les différents types de grilles d’énergie subtile de la terre résultent d’ondes secondaires longitudinales de compression causées par le mouvement dans les patterns électromagnétiques de la terre. » (p.216)

Les composantes de l’onde EM

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Source image

Puis Ibrahim Karim explique que le rayonnement électromagnétique du soleil est constitué d’une composante magnétique et d’une composante électrique, l’une « verticale », l’autre « horizontale ». La lune annule l’effet électrique du soleil (vertical). A propos de la polarisation, voir cette page sur la lumière et ceci sur les radars :

« De nombreux radars sont conçus de manière à transmettre le rayonnement des hyperfréquences en polarisation horizontale (H) ou verticale (V). Cette onde transmise, qu’elle soit en polarisation H ou V, peut générer une onde rétrodiffusée avec différentes polarisations. On appelle polarimétrie radar la technique d’analyse de la combinaison de ces polarisations. » (Source)

Le danger des ondes EM utilisées dans la société

Ibrahim Karim pense qu’il est faux de dire que les ondes non-ionisantes, comme les ondes radio, sont sans danger. « Sur le plan subtil, il y a des changements dans la qualité de l’effet sur les systèmes vivants d’énergie » (p.40) Nous sommes exposés sans arrêt à ces ondes non-ionisantes, et pourtant, leur « qualité » est « similaire à celle des rayons X ». L’impact sur la santé est plus difficilement décelable que pour les ondes ionisantes mais est réel. (p.41) Notre système immunitaire est lentement mais surement annihilé. Stéphane Cardinaux fait une remarque intéressante au sujet de cet électrosmog :

« J’ai eu la chance de pouvoir expérimenter une chambre de Faraday spécialement construite pour arrêter les ondes électromagnétiques. (…) A l’intérieur, les réseaux sont très clairement perceptibles, avec les mains et audibles avec le Sonotest. Cette expérience démontre que les réseaux ne sont pas de nature électromagnétique.

J’ai profité de cette chambre pour prendre des valeurs bioénergétiques. J’étais intéressé à comparer deux zones neutres, l’une dans la chambre et l’autre à l’extérieur pour déterminer l’impact de la pollution électromagnétique ambiance (electrosmog). La différence est de 30%, c’est-à-dire que notre énergie serait d’un tiers plus élevée si nous ne subissions pas cette pollution. Les valeurs correspondent à la banlieue de Fribourg, donc sans comparaison avec ce que certains subissent dans une grande ville. » (p.52, Géométries sacrées vol. 1)

Les « points cancer »

Ibrahim Karim cite Gustav Freiherr Von Pohl, un scientifique allemand, qui enquêta sur les taux de cancer dans plusieurs villes, en 1929. Il prit la ville avec le plus haut taux de cancer et la ville avec le plus bas taux de cancer, et perçut que 80% des cas de cancer ne se trouvaient que sur 10% de la zone

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« Hauts-lieux Cosmo-telluriques« , de Blanche Merz, qui indique que le points le plus puissant en Suisse se trouve à Forch. Après y avoir été, Ibrahim Karim a eu la nausée pendant plusieurs jours.

étudiée. « C’est une indication claire que le problème était lié à certains lieux. » (p.43) Ces lieux se trouvent au-dessus de croisements de cours d’eau souterrain, qui « créent une sorte de vortex ou portail qui se connecte à la dimension spirituelle et confère ses qualités à l’énergie du vortex sur le plan spatiotemporel. Cela produit une Qualité d’Energie Spirituelle qui est ralentie à une vitesse que nous pouvoir percevoir. » (p.45) Des exemples : Chartres, Lourdes, le puits de Zamzam à la Mecque, etc.

Chaumery et Bélizal ont déterminé que sur ces points, on retrouvait une énergie puissante (à la fois horizontale-magnétique et verticale-électrique) nommé Vert Négatif. Cette énergie a des caractéristiques d’une onde porteuse.

Pour expliquer ce qu’est le Vert Négatif, Ibrahim Karim prend l’exemple du soleil et de la terre. Sur la partie éclairée, tout le spectre des couleurs se retrouvera selon l’inclinaison des rayons. Mais l’espace qui se trouve exactement de l’autre côté du soleil aura le « Vert Négatif ». Dans cet espace, seule l’énergie qui a pu pénétrer le globe sera présente.

Pourquoi certains points guérissent et d’autres rendent malade

Les ondes ont un aspect horizontal et vertical (magnétique et électrique). « Quand l’aspect vertical du Vert Négatif est présent, il perturbe l’énergie de nos cellules. » Et des formes peuvent agir sur cette énergie.

« Des formes comme les pyramides, hémisphères et cônes, ont une configuration possédant une qualité d’énergie spéciale. Ces formes ont une qualité d’énergie de Vert Négatif émanant de leur base. Le Vert Négatif dans ce cas irradie à la fois la constituante horizontale et verticale. De telles formes sont dangereuses car elles émettent une radiation très nocive. Des formes que nous rencontrons couramment tous les jours peuvent être dangereuses si elles ne sont pas modifiées adéquatement. Autrefois, les constructeurs connaissaient les propriétés de ces formes et pouvaient annuler les effets nuisibles de ces formes puissantes avec quelques ajustements mineurs. » (p.54)

Comme dans la nature on retrouve à la fois les constituantes verticale et horizontale, il s’agit d’annuler

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Plusieurs façons d’annuler le Vert Négatif Vertical. Une autre manière est d’indenter les faces comme pour la grande pyramide (qui a donc 8 faces)

la constituante verticale. « Il y a une qualité d’énergie venant du ciel, nommée « Energie Stellaire » en Radiesthésie, qui neutralise le Vert Négatif Vertical. Lever les mains au-dessus de la tête pendant un moment capturera cette énergie et nettoiera le corps de tout Vert Négatif Vertical. » (p.55)

Pour en revenir aux formes, la pyramide comme la demi-sphère (qui sont semblables) émettent du Vert Négatif vers leur base, parce ce sont des formes coupés en deux.

Les égyptiens comme les constructeurs de mégalithes ont utilisé certaines pierres en granit, amenées de loin, pour amplifier l’énergie du lieu de pouvoir. La nature des roches est donc importante.

Castaneda, notamment dans Histoires de pouvoir, explique que les « lieux de pouvoir » sont des endroits où un accès à d’autres dimensions de conscience est plus aisé. Le lieu de pouvoir de Castaneda se trouvait au sommet d’une colline, mais il en signale d’autres, notamment une falaise et les grottes à la base. Cela fait automatiquement penser aux grottes peintes, comme Lascaux. Simon Buxton rapporte en effet que :« les peintures rupestres sont dues au fait que les hommes de la préhistoire considéraient les parois comme des « membranes » qui pouvaient ouvrir sur d’autres mondes, celui des « sages enseignants ». » Ibrahim Karim note à ce sujet que : « Les hommes des cavernes

Kosta Danaos mentionne une grotte à Moni Katholikou en Grèce, et explique pourquoi les humains s’y rendaient : pour être plus proche du champ d’énergie yin et donc des esprits (qui sont yin, comme les veines métallifères). Simon Buxton rapporte également une expérience de conscience dans un espace souterrain spécifique :

« Kernow exerce un attrait particulier sur nous, car cet endroit perte encore des traces de la Lyonesse et de l’Atlantide, ces iles jadis englouties par les flots, et dont le souvenir s’est perdu dans les profondeurs de nos esprits. (…) »

La raison de leur voyage en Cornouailles est que selon la structure rocheuse d’une région engendre sa vie intérieure. Chaque type de roche a un effet sur le psychisme.
Bridge et Brindille descendent dans une sorte de « cabane ruche » souterraine, une salle avec une résonance particulière.

« Le son de sa voix en ce lieu avait une riche résonance et je pouvais comprendre pourquoi on avait donné ce nom à cette salle, car elle ressemblait à la structure intérieure d’un bournac, sauf que celle-ci était complètement souterraine. Une atmosphère chargée y régnait. 
En guise d’explication de la riche sonorité de l’endroit, Bridge fit la remarque suivante : « Cet environnement rituel a été construit spécialement pour créer de telles propriétés acoustiques. Nous y chantons à l’intention des abeilles lors des cérémonies que nous y menons et qui sont effectuées uniquement par ceux qui sont en étroite communion avec la Terre. »

Les propriétés acoustiques des monuments anciens sont étudiées par l’archéoacoustique. Il a été déterminé que l’effet sur le cerveau est réel (voir sur le 110 Hz cette page et celle-ci.)

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Tour de Harran, Mésopotamie. Source image

L’association d’un lieu de pouvoir à un bâtiment produisait certaines fréquences selon la taille de la construction. Menhirs, tours rondes d’Irlande, tour de Babel (?), obélisques, minarets, clochers (qui ont une forme de pyramide ! comme les obélisque) agissent tous à ce niveau énergétique, comme une « flûte » dont la forme permet de canaliser l’énergie du Vert Négatif.

Ibrahim Karim évoque aussi la construction des villes. « Les villes formaient comme un énorme cristal qui reliait les lieux de pouvoir terrestres et célestes (…).«  Les constructions et les rues de villes modernes (ex: Washington, Paris…) et des villes anciennes sont placées sur le réseau de lignes d’énergie, les « ley lines », qui suivent par exemple les chemins de pèlerinage ou les routes romaines sur lesquelles marchaient les soldats. Ces lignes s’élèvent très haut dans le ciel, ce sont donc plutôt des « grilles atmosphériques ». Les anciens monuments, comme les alignements mégalithiques de Bretagne et les pyramides égyptiennes, suivent exactement ces réseaux, pour preuve, cette étude de Howard Crowhurst.

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La mosquée du sultan Hassan, calquée sur les grilles d’énergie jusqu’au moindre détail, construite en 1361 au Caire.

Stéphane Cardinaux, que mentionne Ibrahim Karim dans sa bibliographie, explique que non seulement les anciennes constructions se servent de ces grilles énergétiques et des « lignes de ley », mais qu’elles utilisent également des « courants telluriques » qui sont comme les vaisseaux sanguins de la terre :

« Les civilisations du monde ayant vénéré la Terre Mère ont toutes établi leurs lieux sacrés sur des courants telluriques. En Occident, cette tradition se perd avec la disparition des derniers druides (reconvertis dans les communautés monastiques) et la Grande Peste de 1350. » (…) « De nombreux chemins de pèlerinage fort anciens suivent le parcours de courants telluriques. Il est probable que les Anciens devaient, tout comme moi, voir ces courants sous la forme de « rivière rouge » serpentant dans le paysage. La curiosité les a certainement poussés à suivre ces courants en les remontant pour voir d’où ils sortaient. Nombre d’entre eux mènent à des grottes où l’énergie est encore amplifiée par la vibration de la roche et celle du courant, renvoyée par les parois, un peu à l’image d’un four à micro-onde. » (Stéphane Cardinaux, Bioénergie, pp 198-200)

Ibrahim Karim dit ensuite que :

« Les objets placés sur certains croisements peuvent harmoniser l’énergie des grilles grâce à leur qualité de matériau ou leur conception géométrique. » (p.67)

« Les murs étaient placés sur les lignes des réseaux, et les colonnes sur les croisements des réseaux. Les bâtiments étaient ainsi empreints de l’énergie subtile harmonisante, qui, au-delà du bien être et de la prospérité des habitants, joua un rôle majeur sur la conservation du bâtiment pendant des siècles et millénaires. L’origine de l’architecture orthogonale, carrée et rectangulaire était naturelle car les bâtiments étaient calqués sur les grilles du système d’énergie subtile de la terre. » (p.67)

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Les points d’énergie forment des vortex qui sont visibles par clairvoyance. Il y en a un derrière l’autel de la cathédrale d’Albi, ou au centre du labyrinthe de Chartres.

Usage chamanique et thérapeutique des lieux de pouvoir

Cette énergie que l’on retrouve dans les lieux sacrés a cet effet de « centrage spirituel » du au « BG3″. Le corps, comme un instrument, réagit par résonance et s’harmonise. Ces endroits auraient pu être utilisés pour une « thérapie par le rêve », où la personne malade puisse accéder à un autre niveau de conscience et se purifier. « La forte énergie induisait des états de conscience altérés dans lesquels le sujet faisant l’expérience de rêves purificateurs, et d’expériences hors-du-corps qui produisaient un effet guérisseur holistique à tous les niveaux. » (p.75)

Ibrahim Karim fait l’hypothèse que les ouvertures dans la pyramide étaient conçues pour relier la construction à des énergies cosmiques correspondant à des lieux de pouvoir non-terrestres. Le but est de permettre à l’âme d’y accéder, dans le cadre de pratiques chamaniques.

L’énergie BG3, comme nous l’avons vu, « ouvre un portail sur d’autres réalités et améliore la communication avec d’autres dimensions. Cette porte au-delà de l’espace-temps a donné lieu aux lieux de pouvoir sacrés de nombreuses cultures, depuis le temps préhistoriques jusqu’au monde moderne. » (p.86) Un tel type de portail existerait près de Rennes-les-Bains (nous en avons déterminé l’endroit dans ce document), en raison de la configuration du terrain et de la présence de fer dans le sol.

Évoquant la grande pyramide, Ibrahim Karim explique que : « L’utilisation de ces chambres comme machines temporelles aurait nécessité des rituels spéciaux. Pour le non-initié, cet état aurait pu les bouleverser et produire une expérience traumatique pouvant avoir des effets psychologiques permanentes. Quand l’empereur français Napoléon Bonaparte se rendit en Egypte en 1798, il passa une nuit dans la Chambre du Roi de la Grande Pyramide. Quand il en ressortit, on relata qu’il était extrêmement troublé et choqué par quelque chose dont il refusait de parler. (…) Il insista pour ne jamais en parler. Avant sa mort, un ami qui lui rendit visite lui demanda ce qu’il s’était passé cette nuit-là. Napoléon allait en parler, mais s’est arrêté et a dit : « Quelle importance ? C’était tellement étrange que personne ne me croirait de toute façon. » (p.88)

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« Nous remarquons ainsi l’analogie entre d’une part le peuple qui habitait le Wiltshire il y a 5000 ans environ et d’autre part le peuple scythe présent dans le Caucase il y a 3000 ans : ces deux peuples se sont distingués par de nombreuses sépultures en forme de tumulus, et par une place particulière accordée aux chevaux. » (Source : D. Harran)

Ces chambres, utilisées comme « caissons » ouvrant sur d’autres dimensions, peuvent être expliquées par le travail de l’astrophysicien et astronome russe Nikolai Kozyrev (1908-1983) qui avait suggéré l’existence d’une nouvelle forme d’énergie imprégnant tout l’univers. Ce serait comme des « Ondes Temporelles », que tout objet émet et reçoit. Elles pourraient seulement être détectées par leur effet piezoélectrique sur certains cristaux. « Ces ondes temporelles, cependant, peuvent être réfléchies à 100% par l’aluminium ou le granit et pourraient inverser leur polarité si elles sont réfléchies par des miroirs. »

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Caisson

Cela expliquerait à la fois les effets du psychomanteum, des miroirs et de leur utilisation magique. « Deux autres chercheurs, Kaznacheev et Trofimov, ont réalisé des expériences en 1990. Ils ont construit le « Miroir de Kozyrev », qui était constitué d’un cylindre d’aluminium dans lequel une personne pouvait rentrer. L’aluminium réfléchissait toutes les ondes temporelles du dehors de sorte qu’elles ne pénétraient pas à l’intérieur, et maintenait les ondes temporelles émises par la personne à l’intérieur du cylindre. Les personnes qui passaient du temps dans le cylindre rapportaient des changements de perceptions importants. Et Ibrahim Karim rapporte que le taux de BG3 est important à l’intérieur. Est-ce quelque chose de similaire qui se trouve dans les anciens monuments ?

Olga Kharitidi, dans son livre The Master of Lucid Dreams, rapporte également de telles expériences. Dans un centre d’étude en parapsychologie tenu par le Dr Smirnov, ils étudiaient scientifiquement les personnes placées en état de transe dans une pièce noire où se trouvaient des miroirs. Et dans son premier livre, Entering the Circle, elle décrit de nombreuses expériences au sein d’un caisson composé de miroir rond. Ce caisson, qui se trouvait dans le laboratoire du Dr. Dmitriev, servait à « ouvrir des canaux vers d’autres états de conscience » (chap. 13-16) « Nous avons appris que c’était une des façons d’altérer la perception du temps d’un individu. Nous ne comprenons pas totalement de quelle façon, mais les miroirs servent à transformer le temps et l’espace de la personne à l’intérieur. » Dans une de ces expériences, elle se retrouve ailleurs avec un homme qui lui explique ce qu’était la grande civilisation d’Eurasie, au nord de la Sibérie, qui fut détruite par un changement catastrophique du climat, et dont il reste des traces de la philosophie dans le zoroastrisme.

L’énergie BG3 permettrait-elle aussi de manipuler la gravité ?

Quand Ibrahim Karim rencontra Yacoub Al-khousamy à Louxor, il lui raconta une histoire sur le sujet de l’anti-gravité. « Il parla du nombre de fois où il vit dans sa jeunesse son père réaliser des exploits d’anti-gravité, où une énorme pierre était par exemple rendue légère et pouvait facilement être déplacée au bon endroit. La tradition locale dans la région, cependant, attribuait cette connaissance et ces dons à Khoja Yacoub lui-même. » (p.93)

Cela ressemble beaucoup à l’exploit d’Ed Leedskalnin qui construisit le Château de Corail par des techniques associant probablement rotation, son et électricité, qui lui ont permis de déplacer de lourdes pierres sans recourir à la force physique. C’est donc à nouveau cette énergie BG3 ou « yin », qui semble être en jeu ici.

Une autre observation d’Ibrahim Karim vient appuyer ce lien entre BG3 et gravité. Il a déterminé que l’eau qui entoure le bébé dans le ventre semble avoir les mêmes qualités d’énergie que l’eau des lieux sacrés. « Pas étonnant que la mère soit vénérée dans de nombreuses religions et cultures. » (p.94)

Mouvements et gestes pour accumuler l’énergie BG3

Le Dr V. S. Ramachandran explique, dans Phantoms in the Brain, que c’est le lobe frontal de l’hémisphère droit qui s’active lorsque quelqu’un vit une expérience mystique. Persinger a nommé cet endroit le « point de Dieu ». Ibrahim Karim explique donc que des techniques religieuses, comme dans le soufisme, servent à équilibrer cette énergie pour ne pas provoquer une perturbation cérébrale. Ibrahim Karim évoque certains rituels et dit que le simple fait de lever le doigt crée un tourbillon d’énergie qui manifeste l’énergie BG3 [Note : On retrouve ce rituel utilisé à des fins alchimiques dans la Franc-maçonnerie turque.]

La capacité de centrage

Après avoir expliqué que l’univers se divisait entre deux polarités, Ibrahim Karim explique que plus on se rapproche du centre, plus on est équilibré, tandis que plus on se trouve dans le mouvement (en

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Symbole du soleil en alchimie

terme de dispersion, fragmentation), plus on est déséquilibré. Cependant c’est le fait que ces deux forces existent dans l’univers qui fait la création (yin/yang). L’auteur donne l’exemple d’un atome, avec des charges positives et négatives qui sont en conflit. Le mouvement de l’électron, sa vibration, produit la « réalité » de l’atome, qui autrement est plongé dans le vide. « L’espace vide est rempli de mouvement équilibré par les lois d’une sagesse supérieure. » (p.111)

Dès lors qu’il existe un centre, il produit une harmonie autour de lui, car : « le centre réel du point central n’a ni attribut de temps ou d’espace, et ainsi il est lié à une autre dimension que la figure géométrique qu’il équilibre. Cette connexion transcendantale du centre à une autre dimension est une porte au travers duquel le moment intemporel primordial se manifeste au sein de la dualité du mouvement et de la forme. » (p.111)

Ainsi, c’est la connexion à ce centre qui permet « d’informer » le milieu (la réalité spatiotemporelle). C’est ainsi l’information qui produit la réalité, d’abord sous forme de « champ morphogénétique » puis de monde matériel. C’est la connaissance qui est le principal constituant de la matière. Les formes représentent cette connaissance « figée » dans le mouvement de la matière. « L’architecture sacrée ancienne est du « son gelé » (…) Ces monuments sont des symphonies musicales intemporelles, jouant sur nos champs d’énergie à un niveau inconscient. » (p.189)

C’est une telle « connexion au centre » qui expliquerait le fonctionnement du reiki : une « réinformation » du corps. D’autres thérapies utilisent aussi l’information : l’homéopathie ou encore la lithothérapie (les pierres transmettant « l’information » manquante). Nous verrons plus loin qu’Ibrahim Karim propose une nouvelle thérapie, utilisant les formes ou symboles pour « réinformer » l’individu.

Les formes comme des interfaces

Les formes constituent une interface entre la matière/l’énergie supérieure (éthérique) et la matière/l’énergie matérielle (électromagnétique). C’est pourquoi toute forme est une « interface », une frontière, et c’est à chaque frontière que se révèle l’énergie BG3 (frontière de l’horizon entre ciel et terre, frontière entre mer et plage, frontière entre jour et nuit…). La frontière d’une forme agit comme une couche de séparation isolante entre le système d’énergie intérieur et l’environnement extérieur. La frontière contrôle l’échange d’information et d’énergie. Ainsi, une forme « informe » l’environnement par ce qu’elle transmet comme information. C’est pourquoi les peaux ont tant d’importance dans le chamanisme.

Ibrahim Karim explique que les points d’acupuncture sont comme des interfaces qui permettent à l’information de circuler entre le corps et l’environnement.

Comme tout est conscient, tout s’échange de l’information. C’est pourquoi Ibrahim Karim pense qu’il doit y avoir un « langage universel ». « Si nous pouvions trouver le langage universel primordial qui interconnecte tout dans l’univers et maintient son unité, peut-être pourrions-nous communiquer et échanger des informations avec le vent, parler aux arbres, animaux et oiseaux, et à toute chose dans l’univers, visible ou invisible. » (p.120) Ce langage doit être vibratoire. Il est constitué de rythmes, car toute vibration, toute note, est un rythme.

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Hans Kayser (1891-1964), un auteur suisse essentiel sur la dimension spirituelle des harmoniques.

Quand une résonance se crée entre deux champs énergétiques, les deux systèmes ne retournent pas ensuite à leur état initial. Les systèmes « s’informent » mutuellement. C’est par la résonance que l’évolution se produit. Tout, dans l’univers, est interconnecté et s’échange des informations.

Ibrahim Karim explique ensuite dans les chapitres suivants son idée de l’évolution de l’humanité, au niveau cérébral. D’abord une unité de cerveau droit (rapport direct à la nature), puis de cerveau gauche (intellect/ego), puis nous en revenons au cerveau droit et une double activation pourrait s’effectuer (vision du monde comme une unité avec ego intégré). A noter que l’on peut percevoir l’influence de Schwaller de Lubicz dans le fait qu’il pense que les égyptiens voyaient dans les divinités des archétypes vibratoires de la création, des « neters« . Ibrahim Karim dit que ces neters se retrouvent dans notre panthéon des anges, et que toutes ces divinités forment toujours le chiffre 9 (elles sont incomplètes, ce sont des aspects de l’unité). Il y a 72 ou 81 anges, 99 noms de Dieu, etc.

Ibrahim Karim explique que les statues égyptiennes étaient spécifiquement conçues pour harmoniser l’environnement, de par leurs proportions.

L’auteur explique que les formes sont une autre manière d’agir sur la matière, elles agissent comme un « son ». En 2005 Ibrahim Karim rencontra le Dr. Emoto dans son laboratoire du Liechtenstein et ils firent des expériences prouvant que la biogéométrie agit sur les cristaux de glace.

Les nombres

Ibrahim Karim a déterminé que certains nombres partagent l’énergie BG3. Ces nombres sont les suivants :

13, 19, 28, 34, 43, 54, 68, 72, 83, 89, 99… etc

Ces nombres ne sont pas basés sur des proportions mais seulement sur l’énergie BG3. Il y a un lien avec le nombre d’or et le fait que l’ellipse (exemple : l’oeuf) est la forme harmonique idéale. Cependant, le nombre 16 qui apporte l’énergie BG3 au nombre d’or n’est pas le seul à créer des proportions importantes.

Les applications de la biogéométrie

La dernière partie du livre est dédiée aux applications pratiques de la biogéométrie, qui concernent principalement l’architecture (comprise comme une gestion de l’espace à un niveau subtil), mais qui peuvent servir dans beaucoup d’autres domaines.

Nous avons vu que les « ondes longitudinales/de torsion/de compression » sont comme des vagues qui ont leurs harmoniques autour des objets. Cette vibration qui se propage contient « les pensées et les émotions qui imprègnent la matière, l’énergie cosmotellurique du lieu, toutes les énergies  électromagnétiques et toutes les informations sur la matière qui rayonne (structure, couleur, type d’atome). » Selon Stéphane Cardinaux, qui a dessiné de nombreuses ondes de forme dans Bioénergie, les pyramides produisent deux changements du champ de torsion de l’énergie cosmotellurique.

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Ondes de forme d’une pyramide. Image : Stéphane Cardinaux

Il est intéressant de noter que Stéphane Cardinaux note que « les ondes de forme sont accentuées par les phénomènes cosmotelluriques [et par les champs EM comme un téléphone sans fil]. Elles renforcent les effets négatifs des courants d’eau souterrains et des failles au point de rendre parfois une maison invivable. » (p.220)

Puis Stéphane Cardinaux indique, en étudiant un mandala, que « je suis convaincu que ce type de géométrie a une action, non seulement au niveau éthérique, mais aussi sur les plans astral et mental. »

Ibrahim Karim montre, dans ce même ordre d’idées, que chaque type de formes a une action sur les plans physique, émotionnel, mental et spirituel de l’individu. Il a réalisé un classement des formes en relation avec leur résonance sur l’individu.

Il explique ensuite que certains motifs ont également une action. Il les appelle des « BioSignatures », parce que leur formes correspondent à des organes internes. Il intègre ces motifs dans l’architecture ou dans le mobilier.

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Détail de la couverture du livre, montrant des symboles, les « BioSignatures ».

Ibrahim Karim a mené des expériences avec des BioSignatures sur des bactéries (1992) et les intègre même à des puces électroniques. « Nous avons établi que les formes peuvent entrer en résonance, comme les notes de musique. » (…) « Nous pouvons créer une résonance entre un motif et un organe. »(p.248)

Les BioSignatures sont étonnamment similaires aux symboles utilisées dans le reiki, et d’autres comme ceux du Kunta Yoga. Ils font également penser aux « sigils » magiques d’Austin Osman Spare. On peut également y voir une ressemblance avec les symboles de Stephenville et quelques « alphabets aliens« .

« Une forme de BioSignature est très sensible à des changements mêmes infimes du motif. Si elle est dessinée d’une autre manière ou en commençant par un autre endroit, la forme ne produira pas la qualité d’énergie subtile désirée. Elles pourront avoir la même apparence, mais perdre leur pouvoir. Le point de début et de fin de la forme dessinée est une affaire très délicate (…) » (p.254)

Leur action est similaire à celle du Kunta Yoga tel que décrite par Ilia Beliaev :

« Le Kunta Yoga comprend des centaines de signes et de mantra, ainsi que des pratiques diverses, destinées à dirigier le flux de l’énergie intérieure. La visualisation des signes à l’intérieur des chakra et des nadî (centres et canaux énergétiques) les purifie et leur donne la forme d’accomplir une transformation intérieure. Les symboles et mantra du Kunta peuvent être également utilisés pour le contrôle des situations extérieures, grâce au changement de leur structure énergétique : par exemple, on peut neutraliser une attaque, aussi bien physique qu’astrale, à l’aide du symbole « ahimsâ », qu’il faut visualiser distinctement entre l’agresseur et sa victime. Après une certaine pratique, le symbole « s’allume » d’un vif éclat, simplement quand on y pense. (…)

Il faut représenter les symboles dans des tons clairs. On peut également travailler avec des signes de couleur noire, mais ils doivent être entourés d’une auréole dorée.
Habtieullement, le symbole prend lui-même la couleur la plus adaptée à une situation donnée. Dans le Kunta, il y a aussi bien des symboles généraux – pour la purification, l’alimentation en énergie, l’harmonisation ou la protection – que des symboles plus spécialisés – comme, par exemple, le symbole pour la recherche de sa moitié androgyne, des signes pour le travail avec les énergies solaire et lunaire, des symboles médicaux, et d’autres encore. (…)

La plupart des signes s’accompagnent de mantra, mais il existe aussi des symboles muets. Une prononciation précise des mantra détermine le succès de l’emploi de la technique. Lorsque la prononciation du mantra est exacte, un bruissement ténu se fait entendre et se prolonge après que le mantra a été dit. Cette émission sonore signifie que le mantra qui accompagne la visualisation du symbole correspondant fonctionne au maximum de son efficacité » (Tosha, p.52-53)

Là encore, on retrouve cet aspect d’équivalence entre le son et la forme, il semblerait donc que pour « activer » des énergies spirituelles, de telles associations doivent être utilisées. Par exemple, visualiser un symbole tout en émettant le son propre à sa fréquence, correspondant à une couleur, ainsi qu’à une pensée, etc. Lorsque l’association est juste, cette technique pourrait agir directement sur la réalité, en provoquant des décharges d’énergies, ou même en « matérialisant » des objets. Comme pour faire le pain, où il faut des proportions justes de chaque ingrédient, chaque « constituant » de la matière est requis.

« Nous en sommes arrivés au point où nous pensons qu’il y a eu, par le passé, une technologie qui faisait usage de la simple arithmétique et de la géométrie, ou des relations spatiales, en conjonction avec le son, pour accomplir des choses de grande portée. Nous sommes également arrivés à la conclusion que cette ancienne technologie était la science de la maîtrise de l’espace, du temps, et de la pesanteur.
Voilà le secret de l’Âge d’Or. Voilà pourquoi leur civilisation était fondée sur d’autres éléments que la nôtre. A part le fait que des cataclysmes ont pu balayer la plupart des marques d’une telle civilisation, nous avons ici une raison supplémentaire de l’absence de vestiges métalliques et autres objets manufacturés qui pourraient  être considérés comme des témoignages de la « civilisation ». » (Laura Knight-Jadczyk, L’Histoire secrète du monde, p.415)

Correspondances avec les recherches de Dominique Moret

Il est intéressant, pour finir, de noter les liens entre le chercheur Dominique Moret et le livre d’Ibrahim Karim. Les recherches de Dominique Moret ont fait l’objet d’un article dans le dernier numéro de Top Secret Magazine (n°64, p.38 sqq), et cet article s’intitule justement « Le secret des ondes scalaires. »

Dans cet article, Dominique Moret retrace son parcours (il était ingénieur s’occupant de projets d’installations d’antennes-relais) et sa découverte de la géobiologie. Il dit alors avoir fait des expériences hors du commun (par exemple obtenir de l’eau solide à température ambiante, modifier la tension superficielle de l’eau et obtenir un liquide noir qui pénètre même le caoutchouc, etc). Il a été primé 21 fois au concours Lépine. Plus tard, il découvrit la théorie de Jean-Marc Roeder en 2004, l’holodynamique quantique, qu’il considère comme une base solide de compréhension.

« Pour faire court : il existe un milieu propagatif que certains appellent l’éther et que dans l’holodynamique quantique on va appeler les élastons. Ce sont des corps sphériques extrêmement élastiques qui permettent effectivement de transmettre des vibrations…
Les ondes électromagnétiques et ces corps sont les constituants de ce qu’on appelle l’espace-temps, mais sont aussi les constituants de la matière si on les comprime.
Et justement, les seules ondes capables d’agir de cette façon-là, ce sont les ondes scalaires qui agissent sur le milieu, mais en mode compressif. Et à un moment donné, l’élaston est suffisamment comprimé pour apparaître sous forme de matière dans notre univers. Voilà comment ça se passe. Ce n’est pas de l’énergie. C’est un corps superfluide, qui permet des transmissions d’informations à grande vitesse (…) Mais ce corps est à la fois petit et tellement élastique qu’on n’a pas les moyens, si tu veux, de le percevoir. Puisque c’est le milieu où justement se propagent les ondes électromagnétiques. Par contre, en le comprimant, il acquiert curieusement du temps. Le temps s’accélère localement et il s’accélère tellement que l’élaston devient de la matière. Ce qui permet de comprendre que la matière se crée en permanence et que la matière se « décrée » en permanence.
C’est-à-dire qu’en permanence, de la matière est créée dans tout l’univers, et en permanence de la matière disparaît dans tout l’univers parce qu’il y a effectivement des émissions scalaires, tous azimuts, partout.
On va dire, souvent en mode compressif, donc capables de créer de la matière, et aussi en mode expansif, capables de « décréer » de la matière. »

Il est intéressant ensuite de noter, après avoir évoqué les propriétés du granit et du quartz, que Dominique Moret a cherché à utiliser la silice pour générer des composés capables de garder des informations spécifiques (par exemple pour créer des médicaments).

Dominique Moret a ensuite développé des médaillons qui puisaient dans l’électrosmog l’énergie pour équilibrer le corps, en se basant sur les principes de la bioélectronique (Louis-Claude Vincent). Ces médaillons peuvent même faire repousser des membres sectionnés, car les ondes scalaires vont renforcer les champs électriques qui englobent le corps et reconstituer les cellules.

Dominique Moret explique que Tesla, Lakhovsky, Prioré, Reich… utilisent tous les ondes électromagnétiques en polarité horizontale. Et il y a un champ magnétique à la surface de la terre qui dépolarise les ondes radios, ainsi toutes les ondes électromagnétiques qui sont émises de tout l’univers sont repolarisées en polarité horizontale. 

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Ce schéma montre la polarisation des ondes. Image : Ibrahim Karim

Ainsi, c’est le champ magnétique qui guérit, car dans les lieux qui guérissent ce champ est plus important, et il est peu important dans les lieux qui rendent malade (on le détecte par un géomagnétomètre). Mais ce n’est pas le champ lui-même qui guérit, c’est quand ce champ affaibli ne permet pas de dépolariser les ondes EM. Les polarités verticales vont donc perturber l’eau du corps et des pathologies apparaissent (changement de résistivité, de rH2…)

Les polarités verticales (composante électrique) vont développer des potentiels électriques, ce qui va par exemple permettre à l’eau de monter dans les murs et d’endommager un bâtiment. Dominique Moret commercialise des appareils pour empêcher cela, par la repolarisation des ondes.

Dominique Moret, comme Ibrahim Karim, déplore « l’électrosmog », car toutes nos ondes (portables, wifi, etc), sont en polarité verticale. Elles abaissent la vitalité de tous les organismes. « Ce n’est pas un hasard, c’est bien une intention manifeste. » (p.41) Dominique Moret prétend donc, comme Ibrahim Karim, agit directement sur l’électrosmog pour le repolariser et annuler ses effets péjoratifs.

Il dit que si les antennes-relais étaient en polarité horizontale, elles émettraient deux fois plus loin et on aurait à installer quatre fois moins d’antennes mais « le gros souci, c’est qu’on soignerait l’ensemble d’une population… »

Aussi, comme Ibrahim Karim, Dominique Moret pense que les ondes scalaires sont le secret des transmutations alchimiques. Il mentionne Kervran (Transmutations à basse énergie) qui évoque les transmutations par le vivant. Et comme pour l’alchimie dont les élixirs auraient la capacité de « rendre la jeunesse », Dominique Moret explique que par une recharge scalaire, on peut récupérer l’énergie perdue au cours de la vie.

Il y a de toute évidence un lien ténu entre énergie et mémoire, car quand on sait que la mémoire est stockée dans notre corps tout entier, et qu’un travail sur soi (comme la « récapitulation » mentionnée par Castaneda) permet de la retrouver, on remarque que le « nettoyage » des traumas permet de récupérer l’énergie initiale (luminosité/vitalité). C’est ainsi qu’en quelque sorte, on retrouve les « charges scalaires » (les pensées sont émises en mode scalaire), et l’on supprime les informations parasites qui se trouvent dans la mémoire de l’eau des cellules.

http://newsoftomorrow.org/arts/geobiologie/les-lieux-et-les-formes-de-pouvoir-expliques-par-la-biogeometrie-dibrahim-karim

23 février 2016

L'intronisation de Lucifer s’est déroulée au sein de la Citadelle Catholique Romaine, le 29 juin 1963

 

Le satanisme au Vatican

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Le 21 juin 1963, Giovanni Battista Montini, devient pape sous le nom de Paul VI. Quatre

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L'intronisation de Lucifer, l’Archange déchu, s’est déroulée au sein de la Citadelle Catholique Romaine, le 29 juin 1963 », une semaine après le couronnement du pape.

29 juin 1963, inauguration du Temps du Prince de ce monde

« À partir du moment où le Conclave s’était terminé, le 21 juin 1963, avec l’élection de Paul VI, le temps d’organiser l’Événement était plutôt court, mais le Tribunal Suprême avait décrété qu’aucune autre date ne pouvait être mieux adaptée pour l’Intronisation du Prince que celle de la fête des saints Pierre et Paul et qu’aucun autre lieu ne pouvait être meilleur que la Chapelle Saint Paul, située qu’elle était si près du Palais Apostolique. [...] 
L ’Évènement de l’Intronisation créerait une couverture parfaite, sans la moindre anicroche, pour cacher le Prince parmi les membres de l’Eglise officielle de la Citadelle Romaine. Intronisé dans les Ténèbres, le Prince serait en mesure de fomenter cette même Obscurité comme jamais auparavant. Amis et ennemis seraient touchés de la même manière. L’Obscurité de la volonté de- viendrait si profonde qu’elle obscurcirait même l’objectif officiel de l’existence de la Citadelle: la perpétuelle ado- ration du Sans Nom. Au bon moment et à la fin, le Bouc expulserait l’Agneau et entrerait en Possession de la Citadelle. L ’Évêque Léo était hors de lui à l’avance. «L’inachevé s’achèverait. Ce sera le sommet de ma carrière, l’évè- nement culminant du XXème siècle». Il faisait nuit.
Le Gardien et quelques Acolytes tra- vaillaient en silence pour préparer le tout dans la Chapelle Mère de Saint Paul. Un demi cercle d’agenouilloirs tour- nés vers l’Autel. Sur l’Autel se trouvaient cinq chande- liers avec des bougies noires. Un Pentagramme d’ar- gent était posé sur le Tabernacle et était couvert d’un voile r ouge sang. Un T rône, symbole du Prince Régnant avait été positionné à gauche de l’Autel. Les murs avec les char- mantes fresques représentant les évènements de la vie du Christ et de l’Apôtre, avaient été r ecouverts de tissu noir brodé d’or avec les symboles de l’histoire du Prince. T andis que l’heure s’approchait, les fidèles Serviteurs du Prince, à l’intérieur de la Citadelle, commencèrent à arri- ver. La Phalange Romaine. Parmi eux, quelques uns des hommes les plus illustres qu’on pouvait trouver dans le collège, la hiérarchie et la bureaucratie de l’Église Ca- tholique Romaine. Parmi eux, en outre, des représen- tants séculiers de la Phalange, de même importance que les membres de la Hiérarchie. Comme par exemple cet homme, le Prussien qui était en train d’entrer. Un tout premier spécimen de la nouvelle ra- ce laïque, si tant est qu’il en soit. Il n’avait pas encore quarante ans et c’était déjà un homme important dans certaines affaires critiques internationales. La lumière des bougies noires scintillait sur les verres de ses lunettes à la monture d’acier et sur sa tête chauve, comme pour le distinguer des autres.
Choisi comme Délégué International et Plénipotentiaire Extraordinaire pour l’Intronisa- tion, le Prussien porta à l’Autel une bourse de cuir conte- nant les Lettres d’Autorisation et les Instructions, avant de rejoindre sa place dans le demi-cercle. T rente minutes environ avant minuit, tous les age- nouilloirs étaient occupés par la moisson habituelle d’une Tradition du Prince qui avait été semée, nourrie et cultivée au sein de la Citadelle antique, pendant une période d’environ quatre-vingt ans. La Chapelle Satellite – une grande salle de réunion dans les souterrains d’une école paroissiale – avait été équipée selon la stricte observance des Règles.
T out d’abord l’Autel positionné sur l’extrémité nord de la Chapelle. À plat sur l’Autel, un grand Crucifix avec la tête tournée au nord. Un brin en avant , le Pentagramme r ecouvert d’un voile rouge flanqué de deux bougies noires. Au-dessus, une Lampe du sanctuaire rouge qui brillait de sa Flamme Rituelle. À l’extrémité est de l’Au- tel, une cage: dedans, Flinnie, un petit chiot de sept se- maines, sous l’effet d’un sédatif, prêt au bref moment de son utilité au Prince. Derrière l’Autel, des cierges d’ébène dans l’attente d’être allumés par la Flamme Rituelle. A présent le mur sud. Sur une crédence, l’Encensoir et le récipient contenant des morceaux de charbon et d’encens. En face de la crédence, les Pilastres Rouges et Noirs aux- quels étaient suspendus le Bouclier du Serpent et la Clo- chette de l’Infini. Maintenant le mur Est. Il y avait les Fioles contenant Ter- r e, Air, Feu et Eau qui entouraient une deuxième cage. Dans la cage, une colombe, inconsciente de son destin, comme parodie non seulement du Faible Sans Nom, mais aussi de l’entière Trinité. Le card. Joseph Bernardin (1928-1996), après son ordination fut pendant des années, secrétaire personnel de Mgr John Joyce Russel, Évêque de Char- leston. Bernardin, nommé par Paul VI Archevêque de Cincinnati, devint en- suite Secrétaire et Président de la Conférence Épiscopale Américaine et Archevêque de Chicago.
Bernardin était homosexuel et fut accusé de violen- ce charnelle par un certain Steven Cook lequel, sans retirer ses accusations, conclut la cause par un accord qui prévoyait le versement de millions de dol- lars. Bernardin fut en outre accusé par une femme sous le pseudonyme d’ “Agnès”, de perversion sexuelle à son égard lorsqu’elle était une enfant, en 1957 à Greenville et d’avoir été violée par lui et par Mgr John Joyce Russel à l’âge de 11 ans au cours d’une cérémonie occulte à laquelle elle fut contrainte de participer parce que son père, membre de la secte qui organi- sa l’évènement, l’avait offerte au groupe comme “Victime”. Le Pupitre et le Livre préparés contre le mur ouest. Le demi-cercle des agenouilloirs tournés au nord, vers l’Au- tel. À côté des agenouilloirs, les Emblèmes de l’Entrée: la Jatte des Os sur le côté ouest prêt de la porte, la Lune Croissante et l’Étoile à Cinq Pointes avec les Pointes du Bouc tournées vers le haut. Sur chaque chaise, une copie du Missel à l’usage des Participants. Les Participants entrèrent par la porte.
L ’Archiprêtre et le Frère Médecin avaient la Victime déjà prête. Encore une demi-heure et son Messager du Cérémonial commence- rait à se mettre en contact téléphonique avec la Chapelle Mère du Vatican.
Entre les deux Chapelles, les exigences étaient différentes en ce qui concerne soit l’équipement soit les Participants. Ceux de la chapelle Saint Paul, tous des hommes, revê- taient les habits et les larges ceintures du rang ecclésias- tique ou d’impeccables vêtements noirs de rang séculier. Concentrés sur un seul but, leurs yeux fixaient l’Autel et le Trône vide, ils semblaient être le pieux clergé de Rome et les adorateurs laïcs tels qu’on les croyait habituelle- ment. Les Participants américains dans la Chapelle Satellite étaient autant hommes que femmes et au lieu des habits somptueux, comme ils arrivaient, ils ôtaient leurs habits et mettaient l’habit sans coutures prescrit pour l’Intronisation – rouge-sang pour le Sacrifice - qui arrivait jusqu’aux ge- noux, sans manches, avec le col en V et ouvert en avant.
Une fois vêtus, les Participants passaient devant la Jatte des Os, y plongeaient leur main pour en prendre une petite poignée et rejoignaient leur place dans le demi-cercle des agenouilloirs tournés vers l’Autel. Lorsque la Jatte des Os fut vidée et les agenouilloirs remplis , le Tapage Rituel commença à rompre le silence. Au cliquetis incessant des Os, chaque Participant commença à parler, à lui-même, aux autres, au Prince ou à personne. Pas de manière stridente au début, mais sur une cadence rituelle inquiétante. Le mur- mure croissant de prières et de suppliques et le cliquetis continuel des Os dégagèrent une sorte de chaleur contrôlée. Le son devint rageur, comme s’il débouchait dans la vio- lence. Il devint un concert contrôlé du chaos. Une lamen- tation à l’unisson de Haine et de Révolte. Un prélude concentré de la célébration de l’Intronisation du Prince de ce Monde à l’intérieur de la Citadelle du Faible. Portant des habits rouge-sang qui coulaient gracieuse- ment, Léo entra dans la sacristie. Pendant un instant, il lui sembla que tout était finalement prêt pour l’occasion. Son concélébrant, l’Archiprêtre pelé et avec des lunettes, déjà vêtu, avait allumé un cierge noir en préparation de la Procession. Il avait ensuite r empli de vin rouge un grand Calice d’or et l’avait couvert avec une patène vermeille.
Sur la patène, il mit une énorme hostie blanche de pain azyme. Un troisième homme, Frère Médecin, était assis sur un banc. Habillé comme les deux autres, il tenait une petite fille sur ses genoux. C’était sa fille Agnès. Léo la regar- dait avec satisfaction car elle semblait calme et condescen- dante. Elle portait une robe blanche flottante qui lui arri- vait aux chevilles. Et comme à son petit chien sur l’Autel, on lui avait donné un léger sédatif pour lui faire accomplir son rôle de V ictime sacrificielle des Mystères. Conscient du fait que la Chapelle Mère du Vatican atten- dait la communication téléphonique pour commencer le Cérémonial, Léo fit un signe de tête à l’Archiprêtre qui s’assit tout prêt du Frère Médecin, prit la pauvre Agnès et la mit sur ses genoux. C’était l’heure. Au tintement de la Cloche de l’Infini, tous les Participants de la Chapelle de Léo se mirent debout à l’unisson.
Missels en main, le clic-clac continuel des Os comme accompagnement macabre, ils commencèrent à chanter à tue-tête la triomphante profanation de l’Hymne de l’Apôtre Paul: «Maran Atha! Viens Seigneur! Viens Prince! Viens! Viens!» Les acolytes, hommes et femmes bien préparés s’achemi- nèrent de la sacristie à l’Autel. Derrière eux, Frère Méde- cin portait la Victime à l’Autel et l’étendit à côté du Cru- cifix. À l’ombre du Pentagramme voilé, les cheveux d’Agnès touchaient presque la cage qui contenait son petit chien. Après le Médecin, par ordre de rang, l’Archiprêtre portait le cierge noir et prit place à gauche de l’Autel. En dernier , l’Évêque Léo s’avança, portant le Calice et l’Hostie tandis qu’il chantait: «Ainsi soit-il!» Les derniers mots du chant antique ont déferlé sur l’Autel, dans la Cha- pelle Satellite. La main avec l’index et le petit doigt levés et le pouce caché sous les deux doigts du milieu serrés contre la paume, symbolise le “dieu avec les cornes”, c’est-à-dire le dieu-pan des gnostiques, ou le Baphomet, le “dieu” de la Franc-maçonnerie.
Le dos de cette main est le signe du salut au diable.
Le Messager du Cérémonial informa sa Contrepartie Vaticane que les Invocations allaient commencer. Un brusque silence enveloppa la Chapelle Américaine. L ’Évêque Léo éleva solennellement le Crucifix qui se trouvait à côté du corps d’Agnès, le mis à l’envers contre le devant de l’Autel, et, tourné vers l’assemblée, il leva sa main gauche dans le signe inverti de la bénédiction: le dos de la main vers les Participants, le pouce et les deux doigts du mi- lieu contre la paume, index et petit doigt levés pour in- diquer les cornes du Bouc. “Invoquons!”. Dans une atmosphère d’obscurité et de feu, le Chef Célé- brant, dans chacune des Chapelles , entonna une série d’Invocations au Prince. Les Participants des Chapelles chantèrent un répons. Attentif à chaque détail, l’Évêque Léo regardait la Victi- me. Même si elle était en état de demi-conscience, Agnès combattait encore. Elle protestait encore.
Elle sentait encore la douleur. Elle priait encore avec extrême ténacité. Léo en était ravi. “Quelle parfaite petite victime”. Si agréable au Prince. Sans s’arrêter, Léo et le Gardien continuèrent les 14 Invocations tandis que les Gestes Convenables qui suivaient chaque Répons devinrent un théâtre tapageur de perversité. À la fin, l’Évêque Léo termina la première partie du Céré- monial, avec la Grande Invocation: «Je crois que le Prin- ce de ce Monde sera Intronisé cette nuit dans l’Antique Citadelle et de là-bas, Il créera une Nouvelle Commu- nauté». La Réponse arriva avec un brio impressionnant même dans ce milieu horrible: «Et son Nom sera “l’Église Universelle de l’Homme”».

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Le moment était venu pour l’Évêque d’élever Agnès dans ses bras à l’Autel. C’était le moment pour l’Archiprêtre d’élever le Calice de la main droite et la grande Hostie avec la gauche. C’était le moment pour Léo de guider la prière de l’Offertoire, en attendant après chaque Demande Rituelle, le répons des Participants prise dans leurs Mis- sels. Léo mit Agnès sur l’Autel et picota l’index de sa main gauche jusqu’à ce que le sang commence à suinter de la petite blessure. T ranspercée de froid et prise d’une nausée croissante, Agnès se sentit soulever de l’Autel, mais sans être en me- sure de concentrer son regard. Elle se déroba à la piqûre aigüe à sa main gauche. Elle ne réussit à comprendre que quelques mots: “Victime... Agnès... née trois fois... Ra- hab Jéricho...”. Léo plongea son index gauche dans le sang d’Agnès, le montra aux Participants pour qu’ils le voient et commença les chants de l’Offertoire. «Ce sang de notre Victime a été versé. Pour que notre service au Prince puisse être complet. Pour qu’il puisse régner suprême dans la Maison de Jacob. Dans la Nou- velle Terre de l’Élu». À présent c’était le tour de l’Archiprêtre. Calice et Hostie encore levés, il donna le Répons Rituel de l’Offertoire. «Je Te porte avec moi, Victime Pure. Je Te porte dans le Nord Impie. Je Te porte à la Présence du Prince».
L ’Archiprêtre mit l’Hostie sur la poitrine d’Agnès et tint le Calice avec le vin sur son pelvis. Avec à son côté l’Archi- prêtre et l’Acolyte Médecin, l’Évêque Léo regarda le Mes- sager du Cérémonial. Une fois rassuré que le Gardien au visage de granit et sa Phalange Romaine étaient en parfaite synchronie, lui et ses célébrants commencèrent à entonner la Prière de la Supplique. «Nous te demandons, Seigneur Lucifer, Prince de l’Obscurité, Moissonneur de toutes nos Victimes, d’ac- cepter notre offrande, pour la Perpétration de beaucoup de Péchés».
Puis, en parfait unisson, l’Évêque et l’Archiprêtre pronon- cèrent les paroles les plus sacrées de la Messe Latine. A l’élévation de l’Hostie: “HOC EST ENIM CORPUS MEUM”. À l’élévation du Calice: “HIC EST ENIM CALIX SANGUINIS MEI, NOVI ET ÆTERNI TES- T AMENTI, MYSTERIUM FIDEI QUI PRO VOBIS ET PRO MULTIS EFFUNDETUR IN REMISSIO- NEM PECCATORUM. HÆC QUOTIESCUMQUE FECERETIS IN MEI MEMORIAM FACIETIS”. Immédiatement, les Participants répondirent en renouve- lant le Vacarme Rituel, un déluge de confusion, un méli- mélo de paroles et de cliquetis d’Os, avec toutes sortes de gestes lascifs tandis que l’Évêque mangeait un petit frag- ment de l’Hostie et buvait une petite gorgée au Calice. Sur un signal de Léo – encore le Signe de la bénédiction inverti – le Vacarme Rituel se transforma en un chaos plus ordonné au moment où les Participants commencèrent do- La main avec l’index et le petit doigt levés et le pouce mis sur les deux doigts du milieu serrés contre la paume , est un signe de reconnaissance entre les personnes membres de sociétés sataniques occultes. Le dos de cette main est le signe du salut au diable. reussit difficilement à se mettre plus ou moins en rang.
En passant à côté de l’Autel pour recevoir la Communion – un morceau d’Hostie et une gorgée au Calice – ils avaient aussi l’occa- sion d’admirer Agnès. Puis préoccupés de ne pas perdre un instant du premier V iol Rituel de la Victime, ils revin- rent très vite à leur place et regardaient dans l’attente alors que l’Évêque concentrait toute son attention sur la petite. Agnès essaya de toutes ses forces de se libérer lorsque le poids de l’Évêque vint sur elle. Même en cet instant, Agnès tourna la tête comme pour chercher de l’aide dans ce lieu impitoyable. Mais il n’y avait pas la moindre lueur d’espoir d’une aide. L’Archiprêtre était là qui attendait son tour pour accomplir le dévorant sacrilège. Son père était là qui attendait. Le feu des cierges noirs se reflétait en rouge dans leurs yeux. Le feu lui-même brûlait dans ces yeux. À l’intérieur de tous ces yeux. Feu qui brûlerait longtemps après l’extinction des bougies. Qui brûlerait pour tou- jours... Léo se tint de nouveau à l’Autel, le visage en sueur plein de nouvelles sensations, son moment suprême de triomphe personnel. Un signe de tête au Messager du Cérémonial au téléphone. Un moment d’attente. Un hochement de tête en réponse: Rome était prête. «De par le pouvoir à moi conféré comme Célébrant Pa- rallèle du Sacrifice et comme Exécuteur Parallèle de l’Intronisation, je conduis tous les Participants ici et à Rome à t’invoquer, Prince de toutes les Créatures! Au nom de tous les ci-présents dans la Chapelle et de tous les Frères de la Chapelle Romaine, je T’invoque, o Prince!». La deuxième Prière d’Investiture fut cette fois conduite par l’Archiprêtre en ces termes: «Viens, prends posses- sion de la Maison de l’Ennemi.
Entre dans un endroit qui a été préparé pour Toi. Descends parmi tes Fidèles Serviteurs qui ont préparé ton lit, qui ont dressé Ton Autel et l’ont béni par l’infamie». Il était juste et convenable que l’Évêque offrît la Dernière Prière d’Investiture de la Chapelle Satellite: «Dans le r espect des Instructions Sacrosaintes du Sommet de la Montagne, au nom de tous les Frères, maintenant je T’adore, Prince des Ténèbres. Avec l’Étole de toutes les Impiétés, moi à présent, je place dans Tes mains la T riple Couronne de Pierre, selon la volonté adamantine de Lucifer, pour que Tu puisses régner ici, pour qu’il n’y ait qu’une seule Église, une seule Église de la Mer à la Mer, une Vaste et Puissante Congrégation d’Hommes et de Femmes, d’animaux et de plantes, afin que notre Cosmos soit à nouveau un, sans frontières et libre». Après ces dernières prières et après le dernier geste de Léo, tous s’assirent.
Le Rite passa à la Chapelle Mère de Rome. L ’Intronisation du Prince au sein de la Citadelle du Faible était désormais presque terminée. Ne restaient que l’Auto- risation, la Loi des Instructions et la Preuve . Le Gar- dien regarda depuis l’Autel le Délégué International Prussien qui avait amené la Bourse de peau contenant les Lettres d’Autorisation et des Instructions. T ous le regar- dèrent lorsqu’il quitta sa place et s’achemina vers l’Autel. Il prit la bourse dans ses mains, en retira les papiers et lut la Loi d’Autorisation avec un fort accent: «Sur mandat de l’Assemblée et des Anciens Sacro- saints, j’institue, j’autorise et je reconnais cette Cha- pelle comme dorénavant la Chapelle Intérieure, comme prise, possédée et devenue entièrement propriété de Celui que nous avons intronisé Seigneur et Maître de notre destin humain. Quiconque, à travers cette Cha- pelle Intérieure, sera désigné et choisi comme succes- seur final en ligne droite de l’Office de Pierre, devra par le serment même de son office, s’engager lui et tous ceux qu’il commandera, à être l’instrument volontaire et le collaborateur des Constructeurs de la “Maison de l’Homme sur Terre” et de tout le Cosmos de l’Homme. Il devra transformer l’antique Hostilité en Amitié, To- lérance et Assimilation, car elles sont appliquées aux formes de naissance, éducation, travail, économie, com- merce, industrie, apprentissage, culture, façons de vivre et de donner la vie, la mort et de comment affron- ter la mort.
C’est ainsi que sera modelée la “Nouvelle Ère (New Age) de l’Homme”». Le card. Jean-Marie Villot, Secrétaire d’État de ... Jean Paul I et de Jean Paul II jusqu’à sa mort en 1979. Le card. Villot, franc-maçon de la “Liste Pecorelli” avec les données 6/8/166, 041/3, JEANNI, était fils de parents qui appartenaient à la Loge Ro- se-Croix et était Rose-Croix lui-même. Dans le récent livre de G. Galeazzi et F. Pinotti, “Wojtyla segreto”, le card. Villot et Mgr Marcinkus sont indiqués comme les exécuteurs matériels de l’assassinat de Jean Paul I. Malachi Martin, dans son livre “Windswept house”, indique Jean-Marie Villot comme un des participants à la Messe noire officiée dans la Chapel- le Paulinienne au Vatican, le 29 juin 1963. 10 “Chiesa viva” *** Juillet-Août 2012 Pendant l’été d’il y a deux ans, la presse rapportait: «Le 30 juin 2009, on présenta à la presse la Chapelle Paulinienne restaurée au cœur du Palais du Vatican. De- puis de nombreuses années fermée et inutilisée, malgré la présence de deux fresques de très grande importance ar- tistique, peintes par Michelangelo. De même l’autel a été enlevé et replacé. La Chapelle Paulinienne est aussi l’endroit où se réunis- sent les Cardinaux au début d’un conclave, avant de passer dans la Chapelle Sixtine pour les serments solennels et le début des procédures prévues.
Justement sur ce lieu grandiose mais inconnu de la plupart, et précisément sur le fait que l’Autel avait été enlevé et re- mis, avaient circulé bien des hypothèses, en autre, que la Chapelle avait été reconsacrée au cours d’un long rite, par Benoît XVI». Lorsqu’on lit ces lignes, on demeure perplexe à la pensée que la Chapelle “cœur” de la chrétienté, le “lieu identi- taire de l’Église catholique”, la “Chapelle où réside le rôle du Pape comme gardien du Corpus Christi”, le “Lieu où se réunissent les Cardinaux au début d’un conclave”, soit restée “depuis bien des années inutilisée”. Et puis, le bruit que la Chapelle avait été reconsacrée par Benoît XVI “ne soit qu’une des hypothèses qui circu- laient”, que les cierges, le Crucifix et l’image de la Sain- te Vierge avaient été enlevés, ne font que renforcer l’idée que les “mystères du Vatican” sont en train de perdre leur auréole de “mystère”, nous laissant entrevoir une réalité terrifiante qui est en train de s’affirmer et de se confirmer toujours plus rapidement et lourdement sur la dépravation d’un Clergé qui dépasse la corruption du corps et de l’âme pour se perdre dans la corruption de l’esprit! Dans son livre “Windswept house”, l’auteur jésuite et exorciste, Malachi Martin, écrit aux pages 492-493: «À l’improviste, il devint indiscutable qu’à présent, durant ce Pontificat, (Jean Paul II), l’organisation de l’Église Catholique Romaine portait une présence permanente de clercs qui pratiquaient le culte de Satan et l’ai- maient; des Évêques et des Prêtres qui sodomisaient des garçons et se sodomisaient entre eux; des sœurs qui pratiquaient les “Rites Noirs” de la Wicca et qui vi- vaient en relations lesbiennes ...
Tous les jours, y compris le dimanche et les jours saints, des actes d’hérésie et de blasphème étaient commis et permis sur les sacrés Autels par des hommes qui avaient été appelés à être prêtres. Des actions et des rites sacrilèges non seule- ment étaient accomplis aux saints Autels du Christ, mais ils avaient la connivence ou tout au moins la per- mission tacite de certains Cardinaux, Archevêques et Évêques... Au nombre total c’était une minorité – quelques chose comme un à dix pour cent du personnel de l’Église. Mais de cette minorité, beaucoup occupaient de façon surprenante des positions ou des rangs élevés (chancelleries, séminaires et universités)... Les faits graves et inquiétants étaient principalement deux: les liens systématiques d’organisation – autrement dit le réseau – qui avaient été établis entre quelques groupes de clercs homosexuels et des confréries de satanistes et la puis- sance et l’influence effrénée de ce réseau”. L ’année 2006, aux États-Unis, fut publié le livre de la fameuse chercheuse américaine, la doctoresse Randy En- gel, intitulé: “The Rite of Sodomy – Homosexuality and the Roman Catholic Church”. Plus qu’un livre, c’est une “encyclopédie de l’horreur” qui en 1.282 pages

Le but ultime n’était pas de liquider l’organisation Catholico-Romaine, mais de la transformer en quelque chose de vraiment utile, en la rendant homogène et assimilable à un grand ordre mondial qui s’occuperait exclusivement de questions humaines avec des objectifs purement humains. […] Son Nom sera « l’Église Universelle de l’Homme ».

En 1972, Paul VI choisit la date du 29 juin pour faire son discours sur « la fumée de Satan qui est entrée dans l’Église ». Les célébrations du 15ème anniversaire de Pontificat de Paul VI se déroulèrent le 29 juin 1978. Pourquoi ne pas avoir choisi la date de son couronnement au lieu de celle de l’intronisation de Lucifer ?

Dans son livre « Windswept house », l’auteur jésuite et exorciste, Malachi Martin, écrit aux pages 492-493 :

« À l’improviste, il devint indiscutable qu’à présent, durant ce Pontificat, (Jean Paul II), l’organisation de l’Église Catholique Romaine portait une présence permanente de clercs qui pratiquaient le culte de Satan et l’aimaient ; des Évêques et des Prêtres qui sodomisaient des garçons et se sodomisaient entre eux ; des sœurs qui pratiquaient les « Rites Noirs » de la Wicca et qui vivaient en relations lesbiennes … Tous les jours, y compris le dimanche et les jours saints, des actes d’hérésie et de blasphème étaient commis et permis sur les sacrés Autels par des hommes qui avaient été appelés à être prêtres. Des actions et des rites sacrilèges non seulement étaient accomplis aux saints Autels du Christ, mais ils avaient la connivence ou tout au moins la permission tacite de certains Cardinaux, Archevêques et Évêques… Au nombre total c’était une minorité – quelques chose comme un à dix pour cent du personnel de l’Église. Mais de cette minorité, beaucoup occupaient de façon surprenante des positions ou des rangs élevés (chancelleries, séminaires et universités)... Les faits graves et inquiétants étaient principalement deux : les liens systématiques d’organisation – autrement dit le réseau – qui avaient été établis entre quelques groupes de clercs homosexuels et des confréries de satanistes et la puissance et l’influence effrénée de ce réseau ».

L’année 2006, aux États-Unis, fut publié le livre de la fameuse chercheuse américaine, la doctoresse Randy Engel, intitulé: « The Rite of Sodomy – Homosexuality and the Roman Catholic Church ». Plus qu’un livre, c’est une « encyclopédie de l’horreur » qui en 1.282 pages, 4.523 notes et plus 350 livres de bibliographie, décrit jusque dans les détails les plus scabreux, le monde de corruption et de perversion sexuelle d’une partie du clergé catholique américain qui semble avoir atteint des limites inimaginables. [...]

Le livre se termine par la Section V : « Le Vatican et les pièces finales du puzzle » qui finit par ces mots: « Aucun changement significatif dans la doctrine ou dans la discipline de l’Église, ne peut avoir lieu sans la volonté d’un Pape ! ».

La Franc-maçonnerie elle-aussi connaît bien cette règle. En effet déjà dans le temps, Nubius, Chef de la Haute-Vente, c’est-à-dire Chef du satanique Ordre des Illuminés de Bavière, avait programmé un plan de destruction de l’intérieur, de l’Église Catholique prévoyant une Révolution qui devait partir du haut. Tous leurs efforts tendaient en effet à faire élire un Pape qui fût un des leurs ! Un tel pape fut Paul VI, le Pape qui changea l’Église!

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Le Père Gabriele Amorth lui aussi, exorciste officiel du diocèse de Rome, est au courant de l’existence de sectes sataniques parmi le clergé, à Rome. Dans un extrait de ses mémoires, on peut lire :

– Satanistes au Vatican ?

« Oui, même au Vatican il y a des membres de sectes sataniques ».

– Et qui en fait partie ? S’agit-il de prêtres ou de simples laïcs ?

« Il y a des Prêtres, des Prélats et même des Cardinaux ».

Excusez-moi, monsieur l’abbé, mais vous comment le savez-vous?

« Je le tiens de personnes qui ont pu me le rapporter parce qu’elles ont pu le savoir directement. Et c’est une chose « confessée » plusieurs fois par le Démon lui-même sous obéissance pendant les exorcismes ».

– Le Pape en est-il informé?

« Bien sûr qu’il en a été informé! Mais il fait ce qu’il peut. C’est une chose terrifiante. Et puis réfléchissez que Benoît XVI est un Pape allemand, il vient d’une nation décidément hostile à ces choses. En Allemagne en effet, il n’y a pratiquement pas exorcistes, et pourtant le Pape y croit : j’ai eu l’occasion de parler avec lui trois fois, lorsqu’il était encore Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi. Bien sûr qu’il y croit !... »

– Alors est-ce vrai ce que disait Paul VI : que la « fumée de Satan » est entrée dans l’Église?

« C’est malheureusement vrai parce que même dans l’Église, il y a des adeptes des sectes sataniques. Cette particularité de la « fumée de Satan », Paul VI en référa le 29 juin 1972. Certes, il a rompu la glace en soulevant le voile du silence et de la censure qui durait depuis trop longtemps, mais cela n’a pas eu de conséquences pratiques. Il en fallait un comme moi qui ne vaut rien, pour donner l’alarme, pour obtenir des effets pratiques ».

Donc, comme l’a affirmé le père Amorth, Benoît XVI est au courant du fait qu’au Vatican , il y a des Cardinaux, des Évêques et des Prêtres qui sont membres de sectes sataniques, « mais il fait ce qu’il peut » !

Paul VI lui aussi savait que la « fumée de Satan » était entrée dans l’Église et pour le dire il choisit exprès le même jour, le 29 juin, jour où furent célébrées les deux Messes noires pour introniser Satan au Vatican. Et même « s’il a soulevé le voile de silence et de censure qui durait depuis trop longtemps », cela « n’a cependant pas eu d’effets pratiques ».

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On pourrait penser qu’après l’invocation à Lucifer de l’ex-Évêque de Charleston, Mgr John Joyce Russel :

«… avec l’Étole de toutes les Impiétés, je remets dans tes mains la Triple Couronne de Pierre, selon la volonté adamantine de Lucifer, afin que tu puisses régner ici…», et après la déposition de la Tiare de la part de Paul VI, le 23 novembre 1964 et aussi après l’élimination de la Tiare des Armoiries Apostoliques de la part de Benoît XVI, ces deux Papes ne pourraient que se résigner à « parler sans avoir d’effets pratiques » et à « faire ce qu’on peut », car en éliminant la Tiare, ils ont exprimé leur volonté de ne plus gouverner l’Église !

Pourquoi la décision de déposer la Tiare et de l’éliminer des Armoiries du Saint Siège ? S’agit-il d’une décision personnelle ou imposée par quelqu’un ? [...]

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Désormais font partie de l’histoire, les faits suivants :

– la décision d’élire Pape le cardinal Roncalli fut prise par la Franc-maçonnerie.

– l’élection du cardinal Montini comme Pape est due à l’intervention de quelques membres de la Haute Franc-maçonnerie juive des B’naï B’rith.

– le choix du cardinal Karol Wojtyla comme successeur sur le siège pontifical fut fait par Zbigniev Brzezinski, chef des B’naï B’rith de Pologne et son grand électeur au conclave fut le franc-maçon cardinal König.

– Que ce soit la Franc-maçonnerie à élire le Pontife est prouvé par la lettre du cardinal Baggio écrite au grand Maître de la Franc-maçonnerie italienne, aussitôt après la mort de Paul VI, dans laquelle il lui offrait ses services, lui rappelant aussi la promesse de le faire Pape.

Fait également partie de l’histoire toute la documentation publiée et jamais démentie qui démontre l’appartenance à la Franc-maçonnerie de Roncalli, Montini et Baggio, de même que les Prélats que Montini plaça aux postes clefs du Vatican et de l’Église dans la monde.

L’œuvre de démolition de l’Église Catholique – comme le savait bien Mgr John Joyce Russel – n’était pas de « supprimer l’organisation Catholique Romaine, mais de la transformer en quelque chose de vraiment utile, en la rendant homogène et assimilable à un grand ordre mondial qui s’occuperait exclusivement de questions humaines avec des objectifs uniquement humanistes », et ce, grâce à la création d’une « Maison de l’Homme sur la Terre », une « Nouvelle Ère de l’Homme » et « une Église Universelle de l’Homme »...  11 notes et plus 350 livres de bibliographie, décrit jusque dans les détails les plus scabreux, le monde de corruption et de perversion sexuelle d’une partie du clergé catholique américain qui semble avoir atteint des limites inimagi- nables. Après avoir illustré, dans les deux premières Sections, la perspective historique et l’homosexualité masculine, indi- viduelle et collective, les Sections III et IV du livre on res- pectivement pour titre : “L’Église américaine et la Révo- lution homosexuelle” et “L’homosexualisation de l’Église américaine”.
Le livre se termine par la Section V: “Le Vatican et les pièces finales du puzzle” qui finit par ces mots: «Aucun changement significatif dans la doc- trine ou dans la discipline de l’Église, ne peut avoir lieu sans la volonté d’un Pape!». La Franc-maçonnerie elle-aussi connaît bien cette règle. En effet déjà dans le temps, Nubius, Chef de la Haute- V ente, c’est-à-dire Chef du satanique Ordre des Illumi- nés de Bavière, avait programmé un plan de destruction de l’intérieur, de l’Église Catholique prévoyant une Révolution qui devait partir du haut.
T ous leurs efforts ten- daient en effet à faire élire un Pape qui fût un des leurs! Un tel pape fut Paul VI, le Pape qui changea l’Église! Le Père Gabriele Amorth lui aussi, exorciste officiel du diocèse de Rome, est au courant de l’existence de sectes sataniques parmi le clergé, à Rome. Dans un extrait de ses mémoires, on peut lire: – Satanistes au Vatican? «Oui, même au Vatican il y a des membres de sectes sa- taniques». – Et qui en fait partie? S’agit-il de prêtres ou de simples laïcs? « Il y a des Prêtres, des Prélats et même des Cardi- naux». Excusez-moi, monsieur l’abbé, mais vous comment le sa- vez-vous? «Je le tiens de personnes qui ont pu me le rapporter parce qu’elles ont pu le savoir directement. Et c’est une chose “confessée” plusieurs fois par le Démon lui-même sous obéissance pendant les exorcismes». – Le Pape en est-il informé? «Bien sûr qu’il en a été informé! Mais il fait ce qu’il peut. C’est une chose terrifiante. Et puis réfléchissez que Benoît XVI est un Pape allemand, il vient d’une nation décidément hostile à ces choses. En Allemagne en effet, il n’y a pratiquement pas exorcistes, et pourtant le Pape y croit: j’ai eu l’occasion de parler avec lui trois fois, lors- qu’il était encore Préfet de la Congrégation pour la Doctri- ne de la Foi.
Bien sûr qu’il y croit!...» – Alors est-ce vrai ce que disait Paul VI: que la “fumée de Satan” est entrée dans l’Église? «C’est malheureusement vrai parce que même dans l’Église, il y a des adeptes des sectes sataniques. Cette particularité de la “fumée de Satan”, Paul VI en référa le 29 juin 1972. Certes, il a rompu la glace en soulevant le voile du silence et de la censure qui durait depuis trop longtemps , mais cela n’a pas eu de conséquences pra- tiques. Il en fallait un comme moi qui ne vaut rien, pour donner l’alarme, pour obtenir des effets pratiques». Donc, comme l’a affirmé le père Amorth, Benoît XVI est au courant du fait qu’au Vatican , il y a des Cardinaux, des Évêques et des Prêtres qui sont membres de sectes sa- taniques, “mais il fait ce qu’il peut”! Paul VI lui aussi savait que la “fumée de Satan” était en- trée dans l’Église et pour le dire il choisit exprès le même jour, le 29 juin, jour où furent célébrées les deux Messes noires pour introniser Satan au Vatican. Et même “s’il a soulevé le voile de silence et de censure qui durait depuis trop longtemps”, cela “n’a cependant pas eu d’effets pratiques”.
On pourrait penser qu’après l’invocation à Lucifer de l’ex- Évêque de Charleston, Mgr John Joyce Russel: «... avec l’Étole de toutes les Impiétés, je remets dans tes mains la Triple Couronne de Pierre, selon la volonté adaman-tine de Lucifer, afin que tu puisses régner ici...», et après la déposition de la Tiare de la part de Paul VI, le 23 novembre 1964 et aussi après l’élimination de la Tiare des Armoiries Apostoliques de la part de Benoît XVI, ces deux Papes ne pourraient que se résigner à “parler sans avoir d’effets pratiques” et à “faire ce qu’on Couverture du livre “The Rite of Sodomy”, de la célèbre chercheuse catho- lique américaine titulaire de plusieurs prix, doctoresse Randy Engel. Le livre de 1282 pages, fournit les noms et les détails de tous les cardinaux, évêques et prêtres qui ont eu des problèmes avec le justice américaine à cause de leur vi- ce impur et contre nature. 12 “Chiesa viva” *** Juillet-Août 2012 peut”, car en éliminant la Tiare, ils ont exprimé leur vo- lonté de ne plus gouverner l’Église! Pourquoi la décision de déposer la Tiare et de l’éliminer des Armoiries du Saint Siège? S’agit-il d’une décision personnelle ou imposée par quelqu’un? Une réponse précise nous la trouvons dans les paroles du Délégué International Prussien, lorsque, à la fin de la Messe noire célébrée dans la Chapelle Paulinienne, il lut la Loi d’Autorisation: «... Quiconque, à travers cette Cha- pelle Interne, sera désigné e choisi come successeur fi- nal de l’Office Papal, devra jurer lui-même et tous ceux qu’il commandera, d’être l’instrument plein de bonne volonté et collaborateur des Fondateurs de la “Maison de l’Homme sur la Terre” et sur tout le Cosmos de l’Homme...»

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Peu avant, il avait dit que cette Chapelle avait été «prise, possédée et appropriée par Lui, Celui que nous avons établi Seigneur et Commandant de notre destin humain (Lucifer)». Désormais font partie de l’histoire, les faits suivants: – la décision d’élire Pape le card. Roncalli fut prise par la Franc-maçonnerie. – l’élection du card. Montini comme Pape est due à l’in- tervention de quelques membres de la Haute Franc- maçonnerie juive des B’naï B’rith. – le choix du card. Karol Wojtyla comme successeur sur le siège pontifical fut fait par Zbigniev Brzezinski , chef des B’naï B’rith de Pologne et son grand électeur au conclave fut le franc-maçon card. König. – Que ce soit la Franc-maçonnerie à élire le Pontife est prouvé par la lettre du card. Baggio écrite au grand Maître de la Franc-maçonnerie italienne, aussitôt après la mort de Paul VI, dans laquelle il lui offrait ses ser- vices, lui rappelant aussi la promesse de le faire Pape. Fait également partie de l’histoire toute la documentation publiée et jamais démentie qui démontre l’appartenance à la Franc-maçonnerie de Roncalli, Montini et Baggio, de même que les Prélats que Montini plaça aux postes clefs du Vatican et de l’Église dans la monde.
On ne peut donc pas affirmer que ces Papes, les pauvres, “font ce qu’ils peuvent” et “parlent mais sans effets pratiques”, car au contraire, ces Papes savaient et savent qui commande au Vatican, à qui ils doivent réellement obéir, qui les a réellement élus et dans quelle Chapelle a été prise cette décision! On pourrait se poser la question de savoir si Paul VI a réellement participé à la Messe noire célébrée dans la Chapelle Paulinienne, ce lointain 29 juin 1963, mais ce ne serait qu’une curiosité d’importance secondaire. Lorsque nous savons que l’œuvre de démolition de l’Église Catholique – comme le savait bien Mgr John Joyce Russel – n’était pas de “supprimer l’organisation Catholique Romaine, mais de la transformer en quelque chose de vraiment utile, en la rendant homogène et assimi- lable à un grand ordre mondial qui s’occuperait exclu- sivement de questions humaines avec des objectifs uni- quement humanistes”, et ce, grâce à la création d’une “Maison de l’Homme sur la Terre”, une “Nouvelle Ère de l’Homme” et “une Église Universelle de l’Homme”, nous nous demandons ce qui est plus important: de prêter serment devant Délégué International Prussien ou bien, pendant quinze ans de pontificat, de mettre en acte la substance et le contenu de ces serments diaboliques.
Il suffit de lire le chapitre “Sa nouvelle Religion” du livre de l’abbé Luigi Villa, “Paul VI bienheureux?” pour dé- couvrir comment Paul VI a inventé un christianisme nouveau décloué de la Croix. Il a remplacé le “Culte de Dieu” par le “Culte de l’Homme”, la primauté du surna- turel par la primauté du naturel et du temporel, la pri- mauté de la “loi de Dieu” par la primauté de la “conscien- ce”, la primauté du “Règne de Dieu” et de la “vie éter- nelle” par la primauté du “monde”, de la “paix” et du “paradis sur terre”. Un christianisme qui considère le Christ comme un “libé- rateur”, non pas du péché, mais de la souffrance et l’as- servissement, un Évangile confondu avec la “Charte des Droits de l’Homme” et mis au service de la “justice so- ciale”, les “Droits de Dieu” abolis au profit de l’exalta- tion des “Droits” et des “goûts” de l’homme, l’évangélisation du surnaturel “docete” réduite à un “dialogue” qui ne s’appuie que sur les moyens humains et ne vise plus à la conversion. Un christianisme qui en idolâtrant l’homme, a fait procla- mer la “Liberté Religieuse” comme droit fondamental et absolu de l’homme et a promu un faux amour de l’homme sur lequel Paul VI a fondé sa “religion de l’Homme”: Le Père Gabriel Amorth, exorciste officiel du diocèse de Rome, dans ses “Mémoires”, affirme qu’au Vatican se trouvent des Cardinaux, des Évêques et des Prêtres qui appartiennent à des sectes sataniques, et les sources sont des personnes qui le lui ont dit, en tant que directement impli- quées et les déclarations du Démon au cours des exorcismes. “Chiesa viva” *** Juillet-Août 2012 13 «L’homme moderne n’arrivera-t-il pas un jour (...) à tendre l’oreille à la voix merveilleuse de l’Esprit qui palpite en elle (la nature)? Ne sera-ce pas la religion de demain?». «L’humanisme laïc et profane est apparu enfin dans sa terrible stature et a, en un certain sens, défié le Concile. La religion de Dieu qui s’est fait homme s’est rencon- trée avec le religion de l’homme qui s’est fait Dieu... Nous plus quiconque, NOUS AVONS LE CULTE DE L ’HOMME!». «Toutes les richesses doctrinales (du Concile) ne visent qu’à une chose: servir l’homme». «Notre humanisme devient christianisme et notre christianisme devient théocentrique, au point que nous pouvons également affirmer: pour connaître Dieu, il faut connaître l’homme». «L’homme nous est révélé comme un géant. Il nous est révélé divin. Il nous est révélé divin non en soi, mais dans son principe et dans son destin. Honneur à l’hom- me, honneur à sa dignité, à son esprit, à sa vie!» «Honneur à l’homme, honneur à la pensée, honneur à la science!...
Honneur à l’homme, Roi de la Terre et main- tenant aussi Prince du ciel!». Mais dans la Sainte Écriture, il est écrit: « Maudit soit l’homme qui se confie en l’homme et de la chair fait son bras et dont le cœur s’éloigne du Seigneur». Ce que nous pouvons nous demander alors, c’est le sens des paroles de la Sainte Vierge à Fatima, lorsque dans son troisième secret, elle prononça ces mots: «Satan réus- sira effectivement à s’introduire jusqu’au sommet de l’Église!». La Sainte Vierge se rapportait-elle au fait que Satan serait intronisé dans la Chapelle Paulinienne ou alors dans le “cœur” de l’Église, car le “sommet de l’Église” n’est pas un lieu ou une chapelle, mais c’est une seule personne: le Pape! Et alors que veut dire l’expression: “Satan s’in- troduira jusqu’au Pape”? Puisque Satan ou Lucifer est le “dieu” de la Franc-maçon- nerie, puisque son orgueil le pousse à se substituer en tout à Jésus-Christ et puisque le sommet de l’Église est le Vi- caire du Christ, la phrase de la Sainte Vierge ne peut signi- fier autre chose que Satan arrivera à faire du Pape son V icaire! Et comment peut-on le démontrer?
L ’Apocalypse affirme que l’Antéchrist est formé par les trois Bêtes: le Dragon, la première Bête sortie de la mer, la deuxième Bête sortie de la terre qui a deux cornes sem- blables à celles d’un agneau, mais qui parle comme un Dragon. La Franc-maçonnerie ou mieux, les Juifs kabbalistiques, expriment cette réalité par la Tr oisième Trinité maçon- nique qui se compose de Lucifer, de l’ Empereur du Monde, du Patriarche du Monde. Le V icaire de Satan est donc la deuxième Bête sortie de la terre, appelée par la Franc-maçonnerie: Patriarche du Monde. Sur la partie antérieure du Pallium de Paul VI apparaissent trois Croix Templières de couleur noire dont une est surmontée d’un “flambeau” qui la traverse en diagonale. D’après les textes des experts en symbolisme maçonnique, la Croix Templière assume les significations suivantes: 1. Le Culte du Phallus («la Croix Templière révèle l’idée Mè- re de la Cabale: c’est le signe de la quadruple génération qui engendra les 4 mondes... c’est le Phallus, la force génératrice qui ouvre tous les trésors de la nature»). 2. Le Culte de l’Homme («La Croix Templière exprime dans l’unité des triangles convergents au centre, les significations de spiritualité divine et de son immanence en l’homme»). 3. Le Culte de Lucifer («La Croix Templière cache le Tétragramme Sacré Hébreu composé des lettres du Nom Divin JHWH» – c’est à dire du Dieu cabalistique Lucifer – n.d.r.).
Ces trois cultes sont les trois principes animateurs des trois séries de 11 degrés de la Franc-maçonnerie R.É.A.A. pour obtenir la corruption du corps, de l’âme et de l’esprit du maçon. Le franc-maçon Gorel Porciatti attribue à la Croix Templière une autre signification intéressante: «Alors que la Croix Latine correspond au cube, symbole de la Terre au niveau sous-jacent, la Croix Templière correspond au développement de la pyra- mide, symbole du Feu Universel au niveau supérieur». À cause de sa caractéristique de symboliser le “sommet” et le “feu” qui surplombe la Terre, la “pyramide” a été choisie com- me symbole du satanique Ordre des Illuminés de Bavière qui en fait, est au sommet de toutes les Obédiences maçonniques. Les Illuminés ont cependant un autre symbole bien connu: le “flambeau” qui est représenté sur tant de peintures, tableaux, étampes qui glorifient “l’esprit” et le “génie” de la Révolution Française, c’est-à-dire l’ Ordre des Illuminés qui fut la vraie âme et le vrai moteur de cette Révolution et qui porte et offre le “flambeau” à l’homme pour le libérer de Dieu et des chaînes de sa Loi.
Le “flambeau” apparaît aussi entre les cornes du Baphomet, le dieu panthéiste de la Franc-maçonnerie. Dans la symbolique maçonnique, quand un symbole est posé sur un autre, cela veut dire que le symbole qui est au-dessus “transcende” celui de dessous, c’est-à-dire qu’il “dépasse”, “outrepasse”, “existe en-dehors et au-dessus de la réalité sous-jacente”. Lorsqu’on met en ordre toute cette symbolique selon la hiérarchie maçonnique dans le domaine spirituel, on obtient la succession suivante: 1. La Croix Latine, sur la poitrine de Paul VI indique la Reli- gion catholique, à l’usage des profanes. 2. La Croix Templière, sur la poitrine de Paul VI indique la Re- ligion gnostique maçonnique avec ses trois Cultes maçon- niques, à l’usage des francs-maçons. 3. La Croix Templière, entendue comme Pyramide, indique la Doctrine Athée communiste des Illuminés de Bavière. 4. Le Flambeau sur la Croix Templière indique le Pontife Su- prême de la Franc-maçonnerie Universelle ou Patriarche du Monde. 
Vu que la tâche de démolir l’Église par sa transformation en un “grand ordre mondial qui ne s’occupe que de questions hu- maines avec des objectifs humanistes” est la tâche que le fon- dateur des Illuminés de Bavière, Adam Weishaupt, s’est confiée à lui-même et à ses successeurs, le Patriarche du Mon- de assume automatiquement la charge de Chef de l’Ordre des Illuminés qu’on appelle: Pontife Suprême de la Franc-ma- çonnerie Universelle et aussi Patriarche de la Franc-maçon- nerie. Si un Pape devenait le V icaire de Lucifer, à cause de l’orgueil de Lucifer et de l’obligation à l’obéissance que Lucifer im- pose à ses sujets, c’est une quasi certitude que cette réalité se- rait imprimée ou représentée d’une quelque façon occulte, mê- me si “impénétrablement cachée” sous la symbolique kabbalis- tique maçonnique. Le monument maçonnique à Paul VI sur le Sacré Mont de Va- rese est un exemple de cette règle, de même que l’Étoile à 5 pointes sculptée sur le dos de la main de Paul VI, sur le panneau n° 12 de la “Porte de bronze” de la Basilique Saint Pierre. Mais une représentation du V icaire de Lucifer, Deuxième Bête de l’Apocalypse sortie de la terre, Patriarche du Monde ou Patriarche de la Franc-maçonnerie implique une symbolique spécifique qu’on ne puisse pas confondre avec n’importe quelle autre idée. À la page précédente est rapportée la symbolique de la Croix Templière avec le flambeau en travers qui définit Paul VI comme le Patriarche de la Franc-maçonnerie et Patriarche du Monde.
À côté on a analysé l’étrange signature de Paul VI sur son portrait officiel et ses significations de guerre à Dieu, d’Anté- christ et de deuxième bête de l’Apocalypse. Reste le point fondamental: comment peut-on démontrer que Paul VI tout en ayant agi tout le long de son Pontificat, en plei- ne conformité aux serments diaboliques prêtés au Délégué Inter- national, au terme de la Messe noire du 29 juin 1963, ait été à ce moment-là ou même précédemment en connaissance de la figu- re cabalistique du Patriarche du Monde et que de quelque ma- nière, il ait manifesté l’intention d’aspirer à cette position? En 1943 mourut Giuditta Alghisi, mère de Paul VI. Au cime- tière de Verolavecchia (Brescia), on lui édifia un monument funèbre, qui existe encore, sans aucun symbole chrétien, mais avec sur la stèle, un ensemble de symboles maçonniques appa- remment confus et indéchiffrables. Quelques années plus tard, l’abbé Luigi Villa découvrit cet étrange monument funèbre et le rapporta au Saint Office. Par la suite, il reçut du card. Ottaviani et du card. Palazzini l’information que les symboles du monument funèbre avaient été personnellement dessinés par Mgr Giovanni Battista Montini.
Source : Chiesa viva.

 

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