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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
electromagnetisme
18 mars 2017

Champs Electro-Magnétiques, conscience et ADN

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Il est essentiel de poursuivre la recherche sur ces relations électromagnétiques, car peut-être que la survie de notre espèce psychophysique en dépend. Elles affectent notre mental, la structure génétique et cellulaire de notre corps, nos cycles de sommeil et de rêve, nos émotions et peut-être même de notre esprit. Il faut poursuivre la surveillance et le relevé des effets de ces actions sur l’atmosphère et de leur influence potentielle sur l’ionosphère et la RS, et donc sur le cerveau humain et la santé. Nous approchons de la fin d’un cycle de taches solaires et devrions consacrer un cycle complet de 11 années à récolter des résultats précis de données, comme le suggérait Hainsworth (Miller & Miller, 2002-2003).

Divers chercheurs et physiciens sont en train de rassembler des données pertinentes sous les auspices du Journal of Non-Local and Remote Mental Interactions (JNLRMI) (voir site Internet http://www.emergentmind.org), édité par le scientifique Lian Sidorov. Une des hypothèses majeure de ce groupe est que les champs EM extérieurs au corps sont cruciaux pour notre conscience. Matti Pitkanen a mis au point un modèle physique appelé Topological Geometrodynamics (TGD), qui met en lumière la relation étroite entre la physiologie humaine et la RS ainsi que d’autres schémas ELF et électromagnétiques.

Pitkanen pense que le champ magnétique terrestre n’est pas le seul facteur déterminant de la vie consciente, il cite aussi les champs interplanétaires et interstellaires. Ses démonstrations font référence à l’existence de canaux de flux magnétique, composante du champ magnétique mondial, qui se comporte comme un dipôle électrique. Une large gamme d’ondes EM, en particulier les micro-ondes et les ondes radio, joue probablement un rôle clef dans l’homéostasie, dans l’ensemble des interactions mentales à distance entre les cellules et d’autres structures et la représentation sensorielle, ainsi que dans les télé-interactions mentales à la fois dans et hors du corps. Il explique que le niveau de bruit du champ magnétique terrestre doit être assez bas pour permettre l’ESP (la perception extrasensorielle).

Il y a plusieurs décennies, Alan Frey avait évoqué des notions de champ similaires, désignant en particulier ta gamme des micro-ondes. Ces champs EM ne sont que corrélatifs à la conscience. Toutefois, le modèle TGD permet d’assigner au champ corporel de quelqu’un une identité quantique de champ topologique. Pitkanen suggère aussi que ces champs et ondes ont une influence lorsque les systèmes biologiques exécutent des processus quantiques analytiques. Son approche biophysique indique que les circuits neuraux et les molécules sont liés par des mécanismes de verrouillage par ce processus de circulation magnétique (champs magnétiques dipolaires topologiquement quantifiés).

Pitkanen considère même le champ magnétique terrestre comme une interaction de champ magnétique dipolaire quantifié de nouage, de liaison et de torsion complexe. Le TGD perçoit le cerveau et le système nerveux comme l’organe sensoriel de notre moi électromagnétique étendu, qui possède une échelle de grandeur au moins égale au diamètre terrestre. Il ajoute que les phénomènes psi et les guérisons à distance pourraient impliquer le transfert de fréquences électromagnétiques spécifiques par les « wormholes » [Ndt : notion propre à la cosmologie, litt. « trous de vers » ; voir théorie des univers jumeaux] à longueur de Plant et par les effets frontières postulés par le TGD, ce qui permettrait le transfert quasi-instantané de l’information.

L ’hypothèse du canevas sensoriel magnétique (MSC) décrit un mécanisme permettant de « partager les qualia » [Ndt : « qualia » = aspects phénoménaux de notre vie mentale ; « quale » au singulier] associés à des points distants sur la sphère géomagnétique, essentiellement une forme d’imbrication cognitive entre l’opérateur et la cible... Un des avantages évidents du TGD par rapport à d’autres modèles de transmission subtile d’énergie est que les champs EM ne sont pas directement portés de l’émetteur à la cible, mais sont générés simultanément en chaque lieu par un courant (géométrique) de vide : ainsi demeurent-ils cohérents en évitant le paradoxe de la non atténuation sur la distance...

L’illusion de notre localisation est renforcée par les données que nous apportent nos sens, c’est-à-dire les perceptions auxquelles nous sommes accoutumés à prêter attention. (Sidorov, 2002).

D’autres recherches suggèrent que l’interaction fondamentale des champs externes et internes constitue la bonne voie. Joseph Jacobson (2002), du MIT, a trouvé un moyen de connecter et déconnecter des cellules avec les ondes radio. Son équipe a aussi « dézippé » et manipulé l’ADN avec des impulsions de radiofréquences. Le même procédé fonctionne aussi avec les protéines et celles-ci gouvernent presque tous les processus chimiques cellulaires.

D’autre part, le physicien Peter Gariaev a proposé un génome fondé sur les ondes, dont le canal d’information principal est le même pour les biophotons et les ondes radio (cf. http://www.emergentmind.org).

En 1973, Miller et Webb décrivirent l’ADN comme un projecteur holographique (cf. Embryonic Holography, 2002). En d’autres termes les gènes sont encodés et se manifestent via la lumière et les ondes radio, ou l’holographie acoustique (cf. Miller, Miller et Webb : Quantum Bioholography, 2002). Des schémas d’interférence délocalisés créent des champs d’étalonnage (schémas directeurs) pour l’organisation spatio-temporelle de notre corps. Le système fonctionne comme un bio-ordinateur à ondes. L’ADN peut aussi fonctionner comme un cristal liquide colloïdal émettant une faible lumière de type laser qui peut être convertie en un signal électroacoustique.

Pour conclure, Miller et Miller, ainsi que d’autres, postulent que :

Des champs électromagnétiques complexes déterminent l’organisation de tous les systèmes biologiques. Fondamentalement, nous sommes des êtres électromagnétiques plutôt que chimiques. L’interaction ondulatoire est la clef qui détermine la structure biologique et son fonctionnement optimal. Les biosystèmes sont sensibles aux champs électromagnétiques naturels et artificiels. Les perturbations des champs de l’environnement peuvent induire des changements dans les organismes que ces champs informent. Les fréquences et amplitudes de champs affectent notre état bio-dynamique.

Les fréquences ELF de la Résonance de Schumann sont intimement liées à celles des ondes cérébrales humaines. Des changements induits naturellement ou artificiellement dans la RS pourraient affecter de manière subtile, voire forte, la génération des ondes cérébrales. En particulier, cela pourrait conduire à des changements de schémas de fréquences de résonance et aux phénomènes qui en résultent tels que l’homéostasie, les REM, la psi et la guérison.

Pendant une dizaine d’années, Robert Beck... fit des recherches sur l’activité des ondes cérébrales des guérisseurs de toutes cultures et religions, (il énumère les médiums, les chamans, les radiesthésistes, les guérisseurs chrétiens, les voyants, les lecteurs d’ESP les praticiens de Kahuna, Santeria, Wicca et autres), qui, indépendamment de leurs systèmes de croyances, manifestaient « des signatures EEG quasi identiques » au moment de leurs actions de « guérison » : une activité d’ondes cérébrales de 7,8 à 8 Hz, qui durait d’une à plusieurs secondes et qui était « synchronisée en phase et en fréquence avec les micro-pulsations géo-électriques de la Terre ; la RS ». (Sidorov, 2001).

Les cristaux liquides (l’ADN, les ventricules cervicaux et les structures cellulaires) du corps humain peuvent fonctionner comme des antennes qui détectent et décodent les signaux ELF globaux et locaux. Beal (1996) suggère que les cristaux liquides (qui sont des éléments intrinsèques des membranes cellulaires) agissent comme des mécanismes de détection, amplification et mémorisation pour les schémas ELF EM de l’environnement. Les protéines tendent à s’orienter selon le EMF (champ électromagnétique) résonnant à 10 Hz et seraient donc très sensibles aux changements d’ELF dans cette gamme. Un champ d’ondes cohérent peut émaner de la matrice de cristaux liquide (LC) du corps.

La structure propre et l’organisation des tissus vivants sont cependant gouvernées par la molécule clé qu’est l’ADN. Le système génétique (qui, pour être plus précis, est constitué d’une fonction de translation equidirectionnelle qui peut partir aussi bien de l’ADN de l’ARN que de la protéine) s’avère être un code complexe, multidimensionnel avec des matériaux (nucléotide) à la fois locaux (codon) et globaux (contexte) et des paramètres de champs (hologramme EM), tous interdépendants et également sujets aux influences externes de l’environnement. (Sidorov, 2002).

 Il existe un rapport étroit entre les désordres du comportement humain et les périodes de perturbations solaires et magnétiques.

Réciproquement, des études ont montré que des sujets qui vivent assez longtemps isolés des rythmes électromagnétiques développent des irrégularités croissantes et des rythmes physiologiques chaotiques. Ceux-ci sont rétablis de façon spectaculaire par l’intervention d’un faible champ électrique de 10 Hz. Les premiers astronautes en furent victimes jusqu’au moment où des générateurs RS furent installés dans les vaisseaux spatiaux.

Les anomalies géomagnétiques (tensions tectoniques, earthlights, perturbations du champ géomagnétique) peuvent induire certaines formes de perception paranormale, telles que des hallucinations visuelles et auditives, et les TLT (transitoires du lobe temporal, ou attaque légère).

Aussi, un des effets de la méditation est de« »calmer l’esprit« c’est une méthode permettant d’installer le »libre cours« (ou périodes de silence thalamique) et d’être entraîné par les rythmes géophysiques naturels. Cette forme d’accord ou de »magnéto-réception" est relayée par la glande pinéale (30% de ses cellules sont sensibles au magnétisme) et les tissus organiques contenant de la magnétite.

Persinger (1989) fait observer que l’activité profonde du lobe temporal existe en équilibre avec la condition géomagnétique globale. Lorsqu’il y a une brusque diminution de l’activité géomagnétique, il semble se produire une majoration des processus qui facilitent la perception psi, particulièrement la télépathie et la clairvoyance. Les augmentations de l’activité géomagnétique peuvent réduire le niveau de mélatonine de la glande pinéale et contribuer à réduire les seuils d’attaques corticales. En fait, la mélatonine est en relation aVec les désordres du lobe temporal tels que les dépressions et les attaques. (Krippner 1996).

Les conditions ELF globales optimales (nuit calme, faible activité solaire, faible pollution EM) peuvent faciliter les perceptions paranormales, y compris psi telles que ESP, vision et guérison à distance.

La psi est toujours présente dans l’espace et le temps, attendant d’être activée par une crise, par l’émotion ou par des paramètres de stimulus optimaux en laboratoire. L’activité. géomagnétique est susceptible d’affecter la capacité de détection de cette information par le cerveau, particulièrement les chemins neuraux qui facilitent la consolidation et l’accès conscient à cette information. En l’absence de cette activité géomagnétique, l’éveil au stimulus psi serait moins probable et les « capacités de réserves latentes » du cerveau ne seraient pas utilisées. (Krippner 1996).

Sidorov (2001) et d’autres ont suggéré que l’intention humaine fonctionne comme une fenêtre variable de transmission/réception dans l’échange d’information extrasensorielle, peut-être dans la gamme des fréquences ELF électromagnétiques. La synchronisation cérébrale de l’émetteur et du récepteur avec la RS facilite la psi ou « l’entraînement thérapeutique », amplifiant, ré-émettant des formes d’ondes cohérentes dérivées de l’environnement, imitant le schéma d’ondes de l’environnement. Sidorov avance l’hypothèse suivante :

Les ondes cérébrales (particulièrement dans la gamme alpha) peuvent être transmises via le système périneural (ou via l’excitation de Frohlich) vers n’importe quelle zone éloignée du corps, et même vers des organismes adjacents, par les ondes EM ELF Ces fréquences peuvent être amplifiées par des ondes RS voisines ou par un mécanisme de feedback typique des chemins physiologiques du corps (semblables aux cascades immunologiques et neuro-endocrinologiques).

À leur tour ces fréquences de base peuvent réactiver les processus de guérison interrompus, favoriser la croissance, accélérer les réponses immunitaires et en général provoquer le démarrage des fonctions inhérentes aux tissus corporels en « rééquilibrant ses énergies » (selon la médecine orientale) ou (dans la terminologie de Real) en reconfigurant l’orientation des cristaux liquides des composants des membranes cellulaires et en déclenchant ainsi des réponses intracellulaires spécifiques. (Sidorov, 2001).

Nous émettons l’hypothèse, avec Pitkanen et Sidorov, que la RS pourrait être le substrat d’un mécanisme de perception extrasensorielle de type radar commun à tous les êtres vivants. De même que l’eau bondissant sur les rochers ou sur tous objets submergés, cette fréquence non-spécifique est absorbée et ré-émise en schémas interférentiels uniques propres à chaque objet rencontré.

Ce schéma d’interférence est un composite de propriétés externes et internes, puisque les atomes et molécules les constituants ainsi que leur assemblage global retransmettent tous cette énergie selon leurs configurations spécifiques. Non seulement cela, mais les « ondes de sonde » peuvent être modulées en fréquence et en forme de manière intentionnelle afin de fournir une information spécifique (schémas d’interférence). Décodées par le cerveau, elles reviennent quasi instantanément « sur le dos » de la RS. Une fois reprises, le cerveau décode le schéma. Dans cette transformation de type Fourier, l’information est traduite en données conscientes, de façon similaire à d’autres processus sensoriels.

Réciproquement, des effets spécifiques peuvent être empreints comme bio information et « produire une action mystérieuse à distance » lorsque le signal arrive à destination. Sous de bonnes conditions globales (préalables), le schéma peut, à son tour, éviter la dissipation usuelle et s’accoupler à l’onde stationnaire dominante (état de conscience") qui est saisie et portée par la RS.

L’intention mentale peut fonctionner comme une fenêtre variable de transmission/réception dans l’échange d’information extrasensorielle. Accordée à la RS, elle peut porter à des cibles lointaines une telle information et fonctionner comme un interface primitif de type radar. Tout ceci et d’autres mécanismes dépend de ce que les fréquences RS demeurent dans leur gamme médiane, en harmonie avec nos ondes cérébrales.

À l’issue de près de huit décades d’EEG et autres études d’imageries du cerveau, nous sommes contraints d’admettre que nous ne pouvons toujours pas préciser avec certitude d’où proviennent les voltages de l’EEG. Becker ; 1985, pg.88)...

Il est concevable que le système périneural selon Becker ou la matrice LC de l’organisme (incluant, sans limitation, les tissus conjonctifs, les membranes cellulaires et IWN) pourrait fonctionner comme un réseau de récepteurs sensoriels du corps entier pour le canevas de signaux sensoriels magnétiques de Pitkanen, avec encodage spécifique de schémas d’excitation pour différents types d’information... Les réseaux de cristaux liquides omniprésents du corps et leurs possibilités de configurations quasi infinies en font des candidats de premier plan pour constituer les récepteurs sensoriels primaires que la parapsychologie espère trouver.

On peut même concevoir que les propriétés de conjugaison de phase de l’ADN (Popp et Chang, 1998) leur confèrent un fonctionnement d’antenne multi-mode, modifiant leurs fonctions selon les champs de signaux environnants et peut-être en agissant non seulement comme un programme régulateur mais aussi un élément de perception « extrasensorielle ». (Sidorov, 2002).

 Richard Alan Miller et Iona Miller - NEXUS

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17 mars 2017

Psychotronique :Transmission de maladies par effet de champ bioplasmique

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 il est un phénomène que je ne pouvais occulter c’est celui de pouvoir communiquer à distance des pathologies voire la mort et ce sans dispersion d’agents pathogènes (virus, bactéries) ou autres moyens “ classiques ”. Les premières démonstrations de transmissions psychophysiques de maladies succèdent aux travaux de l’histologiste soviétique Gurvitch qui démontra la contamination à distance de cultures de tissus (in vitro) sains par des cultures rendues pathologiques par un virus. Schématiquement : un tissu unique est séparé en deux parties qui sont mises en culture dans un milieu approprié. L’infestation soit virale soit bactérienne ou chimique d’une des deux cultures est transmise à l’autre. La transmission optimale se faisant si les récipients sont en quartz (qui lui, laisse passer les rayons U.V et I.R.) . Gurwitch confirmait ainsi ce qui est nommé le rayonnement mitogénétique par photons U.V. Les biologistes Russes parlent d’influence “ télépathique ” cellulaire. Je connais bien les expériences de Vlaïl Kasnachaïev de l’Institut Médical de Novossibirsck (cultures infestées de virus Cocksackie A 13). La recherche militaire a très rapidement compris ce que permettrait le développement maîtrisé de la transmission psychophysique des maladies. Il fut constaté (Krivorotov) que les sujets psi manifestant des capacités de guérisseur, multipliaient par 1.000 l’intensité des photons U.V (bio-photons) lorsqu’ils se concentraient sur leur patient. A l’aide de dispositifs qu’il serait trop complexe d’exposer ici , les sujets psi effectuent un transfert – par transmission psychotronique – de maladies mortelles à d’autres organismes par un processus d’orthorotation (Bearden). Le transfert s’expliquerait par le fait que le schème morbide virtuel qui s’introduit (secrètement) dans l’ensemble conscience-organisme au niveau du biochamp de la “ victime ” est activé par son propre corps physique (résonance morphique) où il exerce une influence destructrice sur des groupements de molécules (clusters) et des structures cellulaires en déclenchant des processus énergétiques et biochimiques dommageables. Ces schèmes morbides sont véhiculés dans la composante temporelle des photons UV, sachant que les “ signaux ” psi choisissent la ligne “ directe à travers l’hyperespace ”.

 

Le Psi perturbera t-il les

codes secrets du 21 ème siècle

comme la Cryptographie Quantique ?

 

Les codes secrets destinés aux espions n’échappent pas aux progrès scientifiques les plus en pointe. Les instructions destinées aux espions intiment de détruire le message après lecture ; les propriétés quantiques comblent le voeu des services secrets : le message est détruit parce qu'il est lu !

 

Le message quantique est constitué de photons - les particules de lumière - envoyés un à un à la suite les uns des autres. Le photon est le support du message, et sa polarisation, c'est-à-dire l'orientation de son champ électrique, la teneur du message. L'essence de la méthode tient à la mesure de la polarisation d'un photon. On utilise pour cette opération un filtre, symbolisé par une grille. Quand la grille est parallèle à la polarisation du photon, le photon traverse et est détecté ; quand la grille est perpendiculaire à la polarisation, le photon est absorbé et ne traverse pas. Lorsque la grille fait un angle de 45 degrés avec la polarisation du photon, celui-ci a une probabilité égale à un demi de traverser, et donc une chance sur deux de donner un signal en sortie.

 

Supposons que j'envoie un message composé de 1 et de 0. Pour envoyer 1, j'envoie un photon de polarisation verticale, et pour envoyer 0 un photon de polarisation perpendiculaire, c'est-à-dire horizontale. Si vous utilisez une grille verticale vous détecterez un photon dans le premier cas et pas de photon dans le second cas et le message sera parfaitement transmis. Le problème est que si un espion sait que le message est envoyé avec ce code de polarisation, il peut le détecter aussi bien que vous. Aussi je décide de compliquer l'émission en envoyant les photons 1 selon un axe de polarisation verticale ou selon un axe à 45 degrés de la verticale, et les photons 0 selon la polarisation horizontale ou à 135 degrés de la verticale. J'envoie ainsi une suite de 0 et de 1 selon une orientation de codage aléatoire, c'est-à-dire que je détermine la direction de polarisation

 

Un cryptage pas si sûr…

 

En cryptographie quantique, reprécisons-le, les photons sont émis un à un et captés après passage à travers une grille. Le photon traverse quand sa polarisation est parallèle à la grille, est absorbé quand il est perpendiculaire et la probabilité de traversée est 112 quand sa polarisation est à 45 degrés (ou 135 degrés) de la grille. À chaque polarisation est associée un bit 0 ou I. Dans la plupart des cas le photon est modifié par son passage à travers la grille, ce qui fait que le message est détruit quand il est lu. Une comparaison des orientations émises et reçues permet à l'émetteur et au récepteur d'établir une suite de bits, suite qui constitue un code secret permettant de coder un message ultérieur vertical ou à 45 degrés en tirant à pile ou face, mais je garde en mémoire la liste de mes tirages, De votre côté vous examinez la polarisation de chaque photon avec un filtre vertical ou à 45 degrés, le choix étant fait là aussi au hasard.

 

Lorsque mon orientation et la votre coïncident, vous avez le bon message, sinon (émetteur et détecteur sont à 45 degrés), le message que vous recevez ne signifie rien puisque, une fois sur deux, et sans que l'on puisse le déterminer, nous enseigne la mécanique quantique, le photon ne passe pas. je vous envoie alors la liste de mes orientations de polarisation : tout le monde peut la lire mais personne ne pourra en tirer profit, car vous avez été le seul à lire la suite de bits codés et qui a été détruite par la mesure. Vous savez alors quels chiffres correspondent à mon émission et vous me transmettez les numéros des bits que vous avez bien déchiffrés. Nous avons ainsi en commun une liste de bits convenablement déchiffrés, que personne d'autre ne peut connaître et qui peut nous servir à coder nos messages futurs. De plus je peux savoir si un intrus a intercepté tout ou partie du message, car tout photon lu est irrémédiablement détruit. Certes, me direz-vous, mais l'espion peut re-émettre les photons une fois qu'il les a lus.

 

Le talon d’Achille : les sujets Psi ?

 

Peut-être mais il se trompera souvent lorsque l'espion oriente mal sa grille, ce qui se produit une fois sur deux, il renvoie un photon mal imité qui n'est pas, une fois sur quatre, celui qui a été envoyé. Pour vérifier la présence ou l'absence d'un espion nous pouvons échanger non seulement le numéro des bits communs, mais aussi la nature du message (pour une partie de celui-ci, sacrifiée) ; si les messages diffèrent entre l'émetteur et le récepteur, c'est qu'un espion a essayé d'intercepter le message. Dans ce cas, nous jetterons nos listes au panier et j'en émettrai une nouvelle. La liste de 0 et de 1 ainsi établie entre nous, me servira à vous envoyer un message que vous seul pourrez reconnaître. La prolifération des communications incite les utilisateurs à coder leurs échanges. La cryptographie quantique est l'un des rares systèmes qui pourrait être absolument sûr, mais non seulement sa réalisation pratique est difficile, mais l’intervention d’un sujet Psi qui peut à un moment donné du processus, modifier l’orientation du photon (collapse Psi ) et rendre le cryptage obsolète au moment de sa « lecture » par le récepteur. En effet, il est délicat d'envoyer des photons isolés sans qu'ils soient absorbés, et le fondement de la méthode tient au fait que chaque photon transmet un message. S'il y avait plusieurs photons munis du même message, il suffirait au sujet d’en « prélever » un à l'insu des utilisateurs. Actuellement le système fonctionne avec un émetteur et un utilisateur distants de quelques dizaines de centimètres. Les progrès technologiques permettront d'augmenter cette distance, et dans le vide intersidéral où émettent les satellites, la méthode semble utilisable. Le talon d’Achille de ce cryptage est bel et bien le (ou les) sujet psi qui, déjà familiarisé aux générateurs de hasard émetteurs de photons, agirait sans trop de difficulté sur ces systèmes qui ne sont sûrs … que pour les promoteurs de ce type de cryptage !

Concluons : Pendant que la communauté scientifique “ civile ” s’échine à combattre l’étude de tout ce qui touche au paranormal, elle ferait mieux de s’y pencher très sérieusement et de ne pas laisser ces recherches uniquement aux militaires et aux politiques. Pour ces derniers, le problème posé n’est plus la réalité du psi mais plutôt de savoir comment le maîtriser pour en faire un instrument de pouvoir !

 

L’idée que les phénomènes Psi puissent être utilisés à des fins militaires ne datent pas d’hier si l’on en juge par l’article publié en 1916 dans les colonnes des « Annales des Sciences Psychiques »

Annales des Sciences Psychiques

REVUE MENSUELLE . 26ème Année - Février 1916 - N°2

Pourrait-on utiliser pour la guerre les phénomènes parapsychiques ?


M. L. Bardonnet a fait sur ce sujet d'actualité, une conférence à l'Hôtel des Sociétés Savantes, le Dimanche 6 février. Le conférencier est auteur d'un ouvrage : L'Univers Organisme, dont M. Emile Boirac a parlé assez favorablement dans la Revue de Philosophie de M. Th. Ribot. Il pense que les théories philosophiques et scientifiques qu'il a développées dans son livre peuvent contribuer puissamment à l'explication et à la systématisation des phénomènes parapsychiques, ou métapsychiques, de telle façon que les facultés de « vision à distance » présentées par quelques sujets pourraient probablement être employées pour découvrir l'emplacement des troupes, des fortifications, des batteries ennemies, etc. Il demande que des expériences soient faites au plus tôt dans ce sens.

L'auditoire, très nombreux, s'intéressa à la conférence de M. Bardonet, aussi bien à cause de l'originalité de ses aperçus que par l'élocution facile et limpide avec laquelle ses pensées furent exposées. M. de Vesme fit observer que tous les psychistes devaient nécessairement accueillir les théories et les projets de M. Bardonnet avec un scepticisme assez justifié par ce qu'ils connaissent de l'imperfection et de l'inconstance des facultés des « clairvoyants ». Il exprima toutefois l'avis que la proposition du conférencier ne devait pas être écartée a priori, ce qui lui paraissait anti-scientifique. M. le colonel Frater proposa la nomination d'une Commission chargée d'entreprendre les expériences réclamées par M. Bardonnet. On décida que la Commission serait constituée par le Comité de Direction de la Société.

Le Comité se réunit, en effet, quelques jours plus tard. Tout en reconnaissant que ce que l'on connaît de la clairvoyance ne permet guère d'envisager avec beaucoup de confiance la réussite de ces expériences, il décida de les entreprendre, en faisant appel aux sujets et opérateurs de bonne volonté. En effet, la Société n'ayant ni la volonté ni la possibilité de faire des expériences sur des buts militaires, ceux-ci ne devront être visés que plus tard, par d'autres groupes autorisés, dans le cas où les premières expériences faites par la Société aboutiraient à un résultat favorable .

Or ces premières expériences devront se borner à constater si, par les systèmes indiqués par M. Bardonnet, des sujets sont à même de décrire avec une fréquence et une uniformité suffisante, des localités et des scènes lointaines. Cela servira du moins à l'étude des phénomènes de « vision supernormale à distance ». Les expériences ont déjà commencé avec divers sujets, dont Madame Camille Hoffmann, la. somnambule bien connue qui a servi aux études, des savants de « l'Ecole de Nancy » et. dont on a beaucoup parlé au moment de l'affaire Cadiou, quand elle fit retrouver le.corps de l'assassiné. Chassée de Nancy par les obus allemands, elle est venue se réfugier à Paris, rue du Mont-Dore, 4. Les personnes qui auraient des communications à faire au sujet de ces expériences sont priées de s'adresser au Secrétariat de la Société.

 

 

Notes

Terme désignant la parapsychologie dans les pays de l’Est.

Defense Intelligence Agency

National Security Agency

Terme général utilisé par les Russes pour désigner la télépathie et l’action d’influence à distance par effet psi.

Sur la cinquantaine, citons : Labo. de Physique Théorique de Moscou (Terletsky), Institut Polytechnique Départ. de cybernétique. St Pétersburg, Institut de Physiologie Clinique de Kiev (A. Podchibiakine), Institut de Médecine Clinique Expérimentale. Novossibirsk ( V. Kanachaïev), Laboratoire Filatov de Physiologie de la vision (A. Chevalev) Odessa. Nous pourrions citer les 42 autres laboratoires dont nous avons connaissance pour les raisons déjà évoquées dans le cadre de l’opération « Stargate ».

Extra Low Frequency. Ondes de très basses fréquences comprises dans le spectre de celles de l’organisme humain et principalement du cerveau : de 7 Hz à 33 Hz.

Sujet récepteur conscient ou inconscient de l’information (message) télépathique

Enregistre la variation de la volémie sensible ici, au taux d’adrénaline libérée sous l’action du SN sympathique.

Leucopénie : diminution pathologie des globules blancs dans le sang.

Celui là même à l’origine l’enquête qui aboutit sur le scandale du Watergate et qui força le Pentagone en 1995 à publier le rôle de la CIA dans l’opération Stargate.

Schème : représentation abstraite, structure d’ensemble d’un objet, d’un processus.

Hyperespace : réunion de toutes les entités provisoirement saisissables par les mathématiques, mais non par la physique, au-delà de notre Univers à trois ou quatre dimensions. Paul Davies, le qualifie d’espace composé d’espaces. Brian Josephson (Prix Nobel) voit dans l’hyperespace détaché de l’espace et du temps le “ champ d’opération ” de tous les effets psychiques paranormaux, étant donné qu’ici, il n’existe plus ni avant, ni après, mais uniquement la simultanéité.

 http://www.girard.fr/textes/actualite-news.htm

30 juillet 2016

Les lieux et les formes de pouvoir expliqués par la biogéométrie

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Le livre « BioGéométrie » d’Ibrahim Karim se base sur la géobiologie et l’architecture pour déterminer où et comment est émise l’énergie « sacrée » bénéfique pour la vie. Selon l’auteur, cette énergie peut même diminuer les effets négatifs de « l’électrosmog ». Je vais tenter ici de résumer la thèse présentée dans son livre et sur son site.

Ibrahim Karim est architecte de formation, il étudia en Suisse et reprit le cabinet d’architecte « Alemara Consulting House » de son père, qui était architecte pour le Moyen-Orient. Durant ses études, il rencontra le Dr. Mahfouz qui devint le ministre égyptien de la santé. Ibrahim Karim fut ensuite consultant pour divers ministères de pays du Moyen-Orient, et conçut les premières formes biogéométriques en 1992. En 1972 il a en effet été initié à la radiesthésie, en rencontrant le Dr. Fawzi Soleiman Soweha et le Dr. Khalil Messiha. Cela le conduisit à la Maison de la Radiesthésie à Paris. C’est par la radiesthésie et des méthodes de biofeedback qu’Ibrahim Karim chercha à concevoir des formes qui puisse résonner avec leur environnement ou les êtres vivants. Ibrahim Karim est lié au Vesica Institute, ainsi qu’à « Creating Healthy Spaces », et est apparu dans divers médias. Il a étudié l’effet de la biogéométrie dans l’agriculture (avec le Prof. Peter Mols) et a étudié l’effet sur la santé (projet du Dr. Taha Khalifa). Enfin, entre 2003 et 2005, il a implanté des formes sur des antennes relai en Suisse (à Hemberg et Hirschberg).

Energies spirituelles

Le livre insiste sur l’importance de l’énergie « BG3″, qui veut dire « BioGéométrie Trois ». Ce sont « trois qualités de base » qui sont en résonance avec une énergie subtile harmonisante et spirituelle. Ces trois qualités sont : « Le vert négatif horizontal », « l’harmonique supérieure de l’ultra violet », et « l’harmonique supérieure de l’or ». L’énergie de l’harmonique supérieure de l’or est une énergie spirituelle qui est en résonance avec l’or physique. C’est pourquoi l’alchimie peut faire évoluer les métaux en or. [Note : Stéphane Cardinaux explique (voir plus loin) que le vert négatif est en fait du blanc. On peut se demander donc, si "l'harmonique supérieure de l'ultra violet" n'est pas une énergie au-delà du magenta et que "l'harmonique supérieure de l'or" n'est pas une énergie au-delà du pourpre (la pierre philosophale est rouge et "pourpre" veut dire "le pur du pur", cf. Fulcanelli).]

Ibrahim Karim cherche à développer une « Physique de la Qualité » (opposée à notre « physique de la quantité ») qui étudierai les énergies subtiles sous-jacentes à la matières. Selon Ibrahim Karim, les sens perçoivent les octaves de fréquences de la matière (couleurs, sons, saveurs, odeurs,…) et il y a donc une organisation mathématique de la matière par des archétypes décelables dans les nombres et les formes géométriques. Ces archétypes se retrouvent dans les langages et systèmes (yi king, tarot, cinq éléments, etc). On peut faire des équivalences. Le rouge peut donc être l’équivalent du Do, par exemple.

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Qualités universelles se manifestant dans le domaine sensoriel. Image : Ibrahim Karim

Comme nous le disions dans cet article :

« Les vibrations dans l’univers évoluent et s’organisent en gammes, et qu’il s’agisse du son ou de la lumière (couleurs), la compréhension de ces lois permet d’accéder à ce qu’il y a « derrière » la manifestation. Nous pouvons alors comprendre l’unité derrière tous les phénomènes, un lien profond les rassemblant.

La synesthésie est une faculté qui prouve l’unité des vibrations. La synesthésie (naturelle ou provoquée par des substances psychoactives) permet de « voir les sons », « d’entendre les couleurs », de « goûter une odeur », etc. Il est également possible de « voir les mots en couleurs », ce qui revient à voir un texte avec tous les mots d’une couleur différente, automatiquement. Le cerveau semble donc capable de traduire par son fonctionnement, la perception des « sens subtils », qui ne sont dès lors pas dissociés en « cinq sens », mais qui unissent tous les aspects de la réalité. »

Cet autre article donne une origine possible à la synesthésie : une meilleure communication entre les différentes aires du cerveau (et l’activité du cerveau est directement liée à l’activité « spirituelle », comme l’a montré Corine Sombrun) :

« Par exemple, un synesthète peut non seulement voir la couleur rouge mais « l’entendre » aussi. L’origine ? Un excès de substance blanche dans le cerveau qui permet la connexion entre les différentes zones du cortex et le transfert d’informations. Les surdoués semblent particulièrement concernés par cette prolifération de substance blanche et seraient très fréquemment synesthètes. »

Contrairement au son (l’oreille humaine peut entendre 10 octaves), les yeux ne voient qu’une octave de couleur. C’est pourquoi nous ne parlons pas de résonance pour la couleur.

Cette énergie BG3 est présente dans les lieux terrestres ou célestes, qui sont des lieux de pouvoir spirituel où se retrouvent des monuments sacrés. Mais on peut aussi la retrouver ailleurs,

Radiesthésie

Ibrahim Karim a étudié la radiesthésie d’abord en trouvant des instruments de Chaumery et Bélizal. Il étudia ensuite des auteurs des années trente, dont Turenne, Enel (Scariatin), Voillaume et d’autres. C’est la mort tragique de Chaumery qui marqua la fin de cette époque. C’est Madame Lambert, à la Maison de la Radiesthésie de Paris, qui lui donna les manuscrits originaux, parce qu’une guérisseuse, Jacqueline Debeaux, lui a dit qu’elle devait attendre la venue de « l’égyptien ».

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Le livre d’Enel, disponible sur scribd

Ibrahim Karim remarqua que le pendule fonctionne comme une corde de musique, et la longueur de la corde est très importante, elle permet de précisément mesurer les énergies. C’est ce qui poussa Ibrahim Karim a étudier le travail de Hans Kayser, Hans Jenny et à revenir à l’Antiquité (monocorde de Pythagore). C’est Enel, en 1940-1950 qui utilisa le principe du pendule de Chaumery pour étudier les énergies des tombes de saints chrétiens en Egypte.

« Enel découvrit que [toutes les tombes] émanaient une certain qualité de vibration dans la zone de ce que nous appelons « Vert Négatif ». Le Vert Négatif est une qualité d’onde porteuse qui a des propriétés de communication très puissantes sur tous les niveaux d’énergie de la nature, et est une porte sur d’autres dimensions. Enel nomma cette qualité d’énergie « Omega ». Dans la gamme de couleur qualitative de la radiesthésie, Omega fait partie de la zone du Vert Négatif Horizontal, dans la zone grise entre le blanc et le noir, à l’opposé du vert. Enel conclut que la présence de cette énergie Omega indique la présence d’une énergie spirituelle (…) »

« L’exemple le plus connu est la pyramide. Elle est capable de momifier naturellement n’importe quel fruit en son centre (à un tiers de sa hauteur à partir du centre de sa base) du fait qu’elle émet du « vert négatif ». On lui prête aussi la propriété de rafuter de vieilles lames de rasoir. Personnellement, je n’ai pas essayé.

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Le « vert négatif » s’appelle ainsi car il est à l’opposé du vert sur le spectre des couleurs en radiesthésie.

Sinon un autre exemple moins connu mais que je retrouve chez beaucoup de mes clients, c’est l’antenne rateau de télévision. Elle émet un rayonnement vert négatif verticalement. » (Source)

« Ils ont ensuite étudié les énergies environnantes avec ce pendule et ont découvert que tout pouvait s’analyser par une combinaison de ces couleurs. Ce sont en fait des noms donnés aux énergies non détectables matériellement, en particulier les ondes du domaine vital. Certaines ondes, en particulier le vert négatif ont des effets très particuliers, voire dangereux si en excès. En fait, tout excès d’une couleur, quelle qu’elle soit et quelle que soit sa polarité est à éviter. Seul l’équilibre est gage de bonne santé. Par exemple, le V- se retrouve en quantité excessive dans la chambre du roi de la grande pyramide. Une de ses propriétés est de détruire les bactéries en desséchant, ce qui explique la momification du chat. » (Source)

« Le Vert négatif est également indissociable de basse vibration. En règle générale tout ce qui vibre bas émet du vert négatif en abondance.

Cette analogie V- / basse vibrations est non seulement vrai au niveau énergétique, mais également au niveau physique, car on sait qu’un lieu est plus froid lorsqu’il est saturé en V- (Il y a d’ailleurs existé un projet à un époque de faire des chambres froides en utilisant cette onde.)

On peut même aller jusqu’à expliquer de cette façon la raison pour laquelle un lieu où sont pressentes des entités basses (je pense notamment aux âmes errantes) sont anormalement froids (et donc par conséquent, la légende qui tend à dire qu’un fantôme dégage du froid.) » (Source)

Suite à ces recherches, Ibrahim Karim a déterminé que les monuments sacrés utilisaient le vert négatif horizontal, mais aussi deux autres énergies. A propos du « vert négatif », Stéphane Cardinaux explique dans Géométries sacrées, p.28 :

« Le spectre des vibrations-couleurs de MM. Chaumery et De Bélizal, datant des années trente, comporte, entre le rouge (l’écarlate) et le violet (le pourpre), du noir, du blanc et du « vert négatif ». Ils ont dessiné et nommé ces couleurs par commodité, mais n’ont jamais dit que le « vert négatif » était réellement de couleur verte. Ces pseudo-couleurs servent simplement à différencier ce qui se passe entre le magenta et le pourpre. Le spectre électromagnétique ne comprend qu’une seule fois le vert, l’introduire deux fois dans un spectre subtil est une absurdité.
En tant que vibration, le « vert négatif » existe pourtant bel et bien, mais il est… blanc !
Dans la pratique, ce blanc est légèrement rosé car contenant toujours un peu de pourpre et de magenta. C’est la couleur du 7ème chakra et celle aussi de l’âme humaine, la fameuse couleur « fleur-de-Pêcher » des anthroposophes. (…) Le blanc est la vibration la plus puissante qui existe, mais l’être humain n’est capable de l’absorber qu’en partie. Exploitée dans les pyramides égyptiennes, cette énergie a le pouvoir de momifier, c’est-à-dire de dessécher la matière vivante et de la cristalliser en une matière minérale imputrescible. (…) Cette énergie est très négative pour les êtres vivants, leur corps éthériques se rétractent et se densifient pour protéger le corps physique contre cette agression. (…)
Une énergie « négative » peut être transmutée en une énergie « positive ». Cette énergie devient alors favorable à l’être humain, le corps éthérique se dilate de façon extrême, facilitant ainsi la décorporation de l’âme. Tel est le but de la Grande Pyramide, lorsque vous êtes dans la Chambre du Roi, couché dans le sarcophage vide. »

Ondes électromagnétiques et ondes de compression

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Ces énergies qui informent la matière sont difficiles à mesurer. Un peu comme pour la parapsychologie étudiant la télépathie. Ces ondes sont instantanées et simultanées. Ibrahim Karim explique que les ondes électromagnétiques, en se déplaçant, émettent des ondes « secondaires », des « ondes de compression », comme une turbulence autour d’un bateau en déplacement qui forme des tourbillons autour de lui. Ce sont des « ondes longitudinales », qui se déplacent plus ou moins vite.

C’est Paul Devreux et Konstantin Meyl qui ont étudié les ondes scalaires, un type d’onde longitudinale de compression. On parle aussi d’ondes de torsion en Russie. Pour Konstantin Mayl, les réseaux d’énergie (Hartmann, etc) sur terre sont des ondes scalaires, et que les méthodes des sourciers se basent sur ces ondes. Konstantin Meyl explique aussi que l’électrosmog est grandement aggravé par ces ondes. [A noter qu'Ibrahim Karim dit aussi, dans son livre (paru en 2010) que ces ondes ont un rôle dans le réchauffement climatique... alors qu'on sait qu'il n'y a pas de réchauffement mais un refroidissement.]

Konstantin Meyl a déterminé également que les longueurs d’ondes scalaires sont les mêmes dans les temples qui sont dédiés aux mêmes dieux. (p.29) Cela montre qu’ils associaient chaque dieu à une qualité d’énergie différente.

Ibrahim Karim pense aussi que lorsque Pythagore faisait référence à la musique des sphères, il évoquait en fait l’audition d’ondes de compression/scalaires qui sont proches du son par leur nature, et qui pourraient être causées par l’écho (sous forme d’onde longitudinale) de l’énergie solaire sur les planètes. En effet, ces « ondes secondaires » de type longitudinale sont alimentées par les ondes EM mais sont similaires aux ondes sonores « à un niveau inaudible au-delà de notre capacité auditive », et donc sont influencées par les formes.

Les ondes « scalaires » sont les ondes de forme (de la Terre)

Stéphane Cardinaux mentionne aussi ces « ondes de compression » évoquées par Ibrahim Karim et le rapport qu’elles ont avec le son.

« Des expériences et notre ressenti nous ont fait comprendre qu’il manquait une clé importante à notre théorie sur les réseaux. (…) Nous sommes actuellement persuadés d’être en présence d’un phénomène éthérique et non électromagnétique. Si tel avait été le cas, il y aurait bien longtemps qu’un appareil aurait été mis au point. (…) Grâce au Sonotest, les réseaux peuvent être mis en évidence quand le son semble passer d’une oreille à l’autre – comme si le son venait d’endroits différents lorsque l’appareil traverse une ligne. (…) Notre intuition nous conduit d’ailleurs à penser que les sons font le lien entre les plans et que l’électromagnétisme reste limité au domaine de la matière physique. (…) A notre avis, les ondes électromagnétiques en elles-mêmes n’ont que peu d’effet sur le corps. A faible intensité, c’est l’information véhiculée par la vibration éthérique qui, elle, a une forte incidence. (…) Nous estimons que les réseaux telluriques ne sont rien d’autre que les ondes de forme de la Terre, activés par le champ magnétique – leur source d’énergie – véhiculant des informations, telle la signature vibratoire des métaux et métalloïdes dont est composée la planète. Cela permet de comprendre pourquoi l’information des métaux, réémise par radionique, influence une ligne – qui se met à vibrer par résonance avec ledit métal. (…) Il semble y avoir de fortes similitudes entre les ondes sonores et les réseaux telluriques. [Stéphane Cardinaux fait référence à une expérience de type Plaque de Chnaldi]. »

Ibrahim Karim a un avis similaire sur ces ondes (qui au passage peuvent avoir une « torsion » droite ou gauche selon leur position par rapport au mouvement de l’onde EM qui les a produites). Ces ondes sont comme des « vagues » qui constituent la « signature vibratoire » de tout objet. :

« Les différents types de grilles d’énergie subtile de la terre résultent d’ondes secondaires longitudinales de compression causées par le mouvement dans les patterns électromagnétiques de la terre. » (p.216)

Les composantes de l’onde EM

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Source image

Puis Ibrahim Karim explique que le rayonnement électromagnétique du soleil est constitué d’une composante magnétique et d’une composante électrique, l’une « verticale », l’autre « horizontale ». La lune annule l’effet électrique du soleil (vertical). A propos de la polarisation, voir cette page sur la lumière et ceci sur les radars :

« De nombreux radars sont conçus de manière à transmettre le rayonnement des hyperfréquences en polarisation horizontale (H) ou verticale (V). Cette onde transmise, qu’elle soit en polarisation H ou V, peut générer une onde rétrodiffusée avec différentes polarisations. On appelle polarimétrie radar la technique d’analyse de la combinaison de ces polarisations. » (Source)

Le danger des ondes EM utilisées dans la société

Ibrahim Karim pense qu’il est faux de dire que les ondes non-ionisantes, comme les ondes radio, sont sans danger. « Sur le plan subtil, il y a des changements dans la qualité de l’effet sur les systèmes vivants d’énergie » (p.40) Nous sommes exposés sans arrêt à ces ondes non-ionisantes, et pourtant, leur « qualité » est « similaire à celle des rayons X ». L’impact sur la santé est plus difficilement décelable que pour les ondes ionisantes mais est réel. (p.41) Notre système immunitaire est lentement mais surement annihilé. Stéphane Cardinaux fait une remarque intéressante au sujet de cet électrosmog :

« J’ai eu la chance de pouvoir expérimenter une chambre de Faraday spécialement construite pour arrêter les ondes électromagnétiques. (…) A l’intérieur, les réseaux sont très clairement perceptibles, avec les mains et audibles avec le Sonotest. Cette expérience démontre que les réseaux ne sont pas de nature électromagnétique.

J’ai profité de cette chambre pour prendre des valeurs bioénergétiques. J’étais intéressé à comparer deux zones neutres, l’une dans la chambre et l’autre à l’extérieur pour déterminer l’impact de la pollution électromagnétique ambiance (electrosmog). La différence est de 30%, c’est-à-dire que notre énergie serait d’un tiers plus élevée si nous ne subissions pas cette pollution. Les valeurs correspondent à la banlieue de Fribourg, donc sans comparaison avec ce que certains subissent dans une grande ville. » (p.52, Géométries sacrées vol. 1)

Les « points cancer »

Ibrahim Karim cite Gustav Freiherr Von Pohl, un scientifique allemand, qui enquêta sur les taux de cancer dans plusieurs villes, en 1929. Il prit la ville avec le plus haut taux de cancer et la ville avec le plus bas taux de cancer, et perçut que 80% des cas de cancer ne se trouvaient que sur 10% de la zone

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« Hauts-lieux Cosmo-telluriques« , de Blanche Merz, qui indique que le points le plus puissant en Suisse se trouve à Forch. Après y avoir été, Ibrahim Karim a eu la nausée pendant plusieurs jours.

étudiée. « C’est une indication claire que le problème était lié à certains lieux. » (p.43) Ces lieux se trouvent au-dessus de croisements de cours d’eau souterrain, qui « créent une sorte de vortex ou portail qui se connecte à la dimension spirituelle et confère ses qualités à l’énergie du vortex sur le plan spatiotemporel. Cela produit une Qualité d’Energie Spirituelle qui est ralentie à une vitesse que nous pouvoir percevoir. » (p.45) Des exemples : Chartres, Lourdes, le puits de Zamzam à la Mecque, etc.

Chaumery et Bélizal ont déterminé que sur ces points, on retrouvait une énergie puissante (à la fois horizontale-magnétique et verticale-électrique) nommé Vert Négatif. Cette énergie a des caractéristiques d’une onde porteuse.

Pour expliquer ce qu’est le Vert Négatif, Ibrahim Karim prend l’exemple du soleil et de la terre. Sur la partie éclairée, tout le spectre des couleurs se retrouvera selon l’inclinaison des rayons. Mais l’espace qui se trouve exactement de l’autre côté du soleil aura le « Vert Négatif ». Dans cet espace, seule l’énergie qui a pu pénétrer le globe sera présente.

Pourquoi certains points guérissent et d’autres rendent malade

Les ondes ont un aspect horizontal et vertical (magnétique et électrique). « Quand l’aspect vertical du Vert Négatif est présent, il perturbe l’énergie de nos cellules. » Et des formes peuvent agir sur cette énergie.

« Des formes comme les pyramides, hémisphères et cônes, ont une configuration possédant une qualité d’énergie spéciale. Ces formes ont une qualité d’énergie de Vert Négatif émanant de leur base. Le Vert Négatif dans ce cas irradie à la fois la constituante horizontale et verticale. De telles formes sont dangereuses car elles émettent une radiation très nocive. Des formes que nous rencontrons couramment tous les jours peuvent être dangereuses si elles ne sont pas modifiées adéquatement. Autrefois, les constructeurs connaissaient les propriétés de ces formes et pouvaient annuler les effets nuisibles de ces formes puissantes avec quelques ajustements mineurs. » (p.54)

Comme dans la nature on retrouve à la fois les constituantes verticale et horizontale, il s’agit d’annuler

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Plusieurs façons d’annuler le Vert Négatif Vertical. Une autre manière est d’indenter les faces comme pour la grande pyramide (qui a donc 8 faces)

la constituante verticale. « Il y a une qualité d’énergie venant du ciel, nommée « Energie Stellaire » en Radiesthésie, qui neutralise le Vert Négatif Vertical. Lever les mains au-dessus de la tête pendant un moment capturera cette énergie et nettoiera le corps de tout Vert Négatif Vertical. » (p.55)

Pour en revenir aux formes, la pyramide comme la demi-sphère (qui sont semblables) émettent du Vert Négatif vers leur base, parce ce sont des formes coupés en deux.

Les égyptiens comme les constructeurs de mégalithes ont utilisé certaines pierres en granit, amenées de loin, pour amplifier l’énergie du lieu de pouvoir. La nature des roches est donc importante.

Castaneda, notamment dans Histoires de pouvoir, explique que les « lieux de pouvoir » sont des endroits où un accès à d’autres dimensions de conscience est plus aisé. Le lieu de pouvoir de Castaneda se trouvait au sommet d’une colline, mais il en signale d’autres, notamment une falaise et les grottes à la base. Cela fait automatiquement penser aux grottes peintes, comme Lascaux. Simon Buxton rapporte en effet que :« les peintures rupestres sont dues au fait que les hommes de la préhistoire considéraient les parois comme des « membranes » qui pouvaient ouvrir sur d’autres mondes, celui des « sages enseignants ». » Ibrahim Karim note à ce sujet que : « Les hommes des cavernes

Kosta Danaos mentionne une grotte à Moni Katholikou en Grèce, et explique pourquoi les humains s’y rendaient : pour être plus proche du champ d’énergie yin et donc des esprits (qui sont yin, comme les veines métallifères). Simon Buxton rapporte également une expérience de conscience dans un espace souterrain spécifique :

« Kernow exerce un attrait particulier sur nous, car cet endroit perte encore des traces de la Lyonesse et de l’Atlantide, ces iles jadis englouties par les flots, et dont le souvenir s’est perdu dans les profondeurs de nos esprits. (…) »

La raison de leur voyage en Cornouailles est que selon la structure rocheuse d’une région engendre sa vie intérieure. Chaque type de roche a un effet sur le psychisme.
Bridge et Brindille descendent dans une sorte de « cabane ruche » souterraine, une salle avec une résonance particulière.

« Le son de sa voix en ce lieu avait une riche résonance et je pouvais comprendre pourquoi on avait donné ce nom à cette salle, car elle ressemblait à la structure intérieure d’un bournac, sauf que celle-ci était complètement souterraine. Une atmosphère chargée y régnait. 
En guise d’explication de la riche sonorité de l’endroit, Bridge fit la remarque suivante : « Cet environnement rituel a été construit spécialement pour créer de telles propriétés acoustiques. Nous y chantons à l’intention des abeilles lors des cérémonies que nous y menons et qui sont effectuées uniquement par ceux qui sont en étroite communion avec la Terre. »

Les propriétés acoustiques des monuments anciens sont étudiées par l’archéoacoustique. Il a été déterminé que l’effet sur le cerveau est réel (voir sur le 110 Hz cette page et celle-ci.)

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Tour de Harran, Mésopotamie. Source image

L’association d’un lieu de pouvoir à un bâtiment produisait certaines fréquences selon la taille de la construction. Menhirs, tours rondes d’Irlande, tour de Babel (?), obélisques, minarets, clochers (qui ont une forme de pyramide ! comme les obélisque) agissent tous à ce niveau énergétique, comme une « flûte » dont la forme permet de canaliser l’énergie du Vert Négatif.

Ibrahim Karim évoque aussi la construction des villes. « Les villes formaient comme un énorme cristal qui reliait les lieux de pouvoir terrestres et célestes (…).«  Les constructions et les rues de villes modernes (ex: Washington, Paris…) et des villes anciennes sont placées sur le réseau de lignes d’énergie, les « ley lines », qui suivent par exemple les chemins de pèlerinage ou les routes romaines sur lesquelles marchaient les soldats. Ces lignes s’élèvent très haut dans le ciel, ce sont donc plutôt des « grilles atmosphériques ». Les anciens monuments, comme les alignements mégalithiques de Bretagne et les pyramides égyptiennes, suivent exactement ces réseaux, pour preuve, cette étude de Howard Crowhurst.

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La mosquée du sultan Hassan, calquée sur les grilles d’énergie jusqu’au moindre détail, construite en 1361 au Caire.

Stéphane Cardinaux, que mentionne Ibrahim Karim dans sa bibliographie, explique que non seulement les anciennes constructions se servent de ces grilles énergétiques et des « lignes de ley », mais qu’elles utilisent également des « courants telluriques » qui sont comme les vaisseaux sanguins de la terre :

« Les civilisations du monde ayant vénéré la Terre Mère ont toutes établi leurs lieux sacrés sur des courants telluriques. En Occident, cette tradition se perd avec la disparition des derniers druides (reconvertis dans les communautés monastiques) et la Grande Peste de 1350. » (…) « De nombreux chemins de pèlerinage fort anciens suivent le parcours de courants telluriques. Il est probable que les Anciens devaient, tout comme moi, voir ces courants sous la forme de « rivière rouge » serpentant dans le paysage. La curiosité les a certainement poussés à suivre ces courants en les remontant pour voir d’où ils sortaient. Nombre d’entre eux mènent à des grottes où l’énergie est encore amplifiée par la vibration de la roche et celle du courant, renvoyée par les parois, un peu à l’image d’un four à micro-onde. » (Stéphane Cardinaux, Bioénergie, pp 198-200)

Ibrahim Karim dit ensuite que :

« Les objets placés sur certains croisements peuvent harmoniser l’énergie des grilles grâce à leur qualité de matériau ou leur conception géométrique. » (p.67)

« Les murs étaient placés sur les lignes des réseaux, et les colonnes sur les croisements des réseaux. Les bâtiments étaient ainsi empreints de l’énergie subtile harmonisante, qui, au-delà du bien être et de la prospérité des habitants, joua un rôle majeur sur la conservation du bâtiment pendant des siècles et millénaires. L’origine de l’architecture orthogonale, carrée et rectangulaire était naturelle car les bâtiments étaient calqués sur les grilles du système d’énergie subtile de la terre. » (p.67)

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Les points d’énergie forment des vortex qui sont visibles par clairvoyance. Il y en a un derrière l’autel de la cathédrale d’Albi, ou au centre du labyrinthe de Chartres.

Usage chamanique et thérapeutique des lieux de pouvoir

Cette énergie que l’on retrouve dans les lieux sacrés a cet effet de « centrage spirituel » du au « BG3″. Le corps, comme un instrument, réagit par résonance et s’harmonise. Ces endroits auraient pu être utilisés pour une « thérapie par le rêve », où la personne malade puisse accéder à un autre niveau de conscience et se purifier. « La forte énergie induisait des états de conscience altérés dans lesquels le sujet faisant l’expérience de rêves purificateurs, et d’expériences hors-du-corps qui produisaient un effet guérisseur holistique à tous les niveaux. » (p.75)

Ibrahim Karim fait l’hypothèse que les ouvertures dans la pyramide étaient conçues pour relier la construction à des énergies cosmiques correspondant à des lieux de pouvoir non-terrestres. Le but est de permettre à l’âme d’y accéder, dans le cadre de pratiques chamaniques.

L’énergie BG3, comme nous l’avons vu, « ouvre un portail sur d’autres réalités et améliore la communication avec d’autres dimensions. Cette porte au-delà de l’espace-temps a donné lieu aux lieux de pouvoir sacrés de nombreuses cultures, depuis le temps préhistoriques jusqu’au monde moderne. » (p.86) Un tel type de portail existerait près de Rennes-les-Bains (nous en avons déterminé l’endroit dans ce document), en raison de la configuration du terrain et de la présence de fer dans le sol.

Évoquant la grande pyramide, Ibrahim Karim explique que : « L’utilisation de ces chambres comme machines temporelles aurait nécessité des rituels spéciaux. Pour le non-initié, cet état aurait pu les bouleverser et produire une expérience traumatique pouvant avoir des effets psychologiques permanentes. Quand l’empereur français Napoléon Bonaparte se rendit en Egypte en 1798, il passa une nuit dans la Chambre du Roi de la Grande Pyramide. Quand il en ressortit, on relata qu’il était extrêmement troublé et choqué par quelque chose dont il refusait de parler. (…) Il insista pour ne jamais en parler. Avant sa mort, un ami qui lui rendit visite lui demanda ce qu’il s’était passé cette nuit-là. Napoléon allait en parler, mais s’est arrêté et a dit : « Quelle importance ? C’était tellement étrange que personne ne me croirait de toute façon. » (p.88)

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« Nous remarquons ainsi l’analogie entre d’une part le peuple qui habitait le Wiltshire il y a 5000 ans environ et d’autre part le peuple scythe présent dans le Caucase il y a 3000 ans : ces deux peuples se sont distingués par de nombreuses sépultures en forme de tumulus, et par une place particulière accordée aux chevaux. » (Source : D. Harran)

Ces chambres, utilisées comme « caissons » ouvrant sur d’autres dimensions, peuvent être expliquées par le travail de l’astrophysicien et astronome russe Nikolai Kozyrev (1908-1983) qui avait suggéré l’existence d’une nouvelle forme d’énergie imprégnant tout l’univers. Ce serait comme des « Ondes Temporelles », que tout objet émet et reçoit. Elles pourraient seulement être détectées par leur effet piezoélectrique sur certains cristaux. « Ces ondes temporelles, cependant, peuvent être réfléchies à 100% par l’aluminium ou le granit et pourraient inverser leur polarité si elles sont réfléchies par des miroirs. »

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Caisson

Cela expliquerait à la fois les effets du psychomanteum, des miroirs et de leur utilisation magique. « Deux autres chercheurs, Kaznacheev et Trofimov, ont réalisé des expériences en 1990. Ils ont construit le « Miroir de Kozyrev », qui était constitué d’un cylindre d’aluminium dans lequel une personne pouvait rentrer. L’aluminium réfléchissait toutes les ondes temporelles du dehors de sorte qu’elles ne pénétraient pas à l’intérieur, et maintenait les ondes temporelles émises par la personne à l’intérieur du cylindre. Les personnes qui passaient du temps dans le cylindre rapportaient des changements de perceptions importants. Et Ibrahim Karim rapporte que le taux de BG3 est important à l’intérieur. Est-ce quelque chose de similaire qui se trouve dans les anciens monuments ?

Olga Kharitidi, dans son livre The Master of Lucid Dreams, rapporte également de telles expériences. Dans un centre d’étude en parapsychologie tenu par le Dr Smirnov, ils étudiaient scientifiquement les personnes placées en état de transe dans une pièce noire où se trouvaient des miroirs. Et dans son premier livre, Entering the Circle, elle décrit de nombreuses expériences au sein d’un caisson composé de miroir rond. Ce caisson, qui se trouvait dans le laboratoire du Dr. Dmitriev, servait à « ouvrir des canaux vers d’autres états de conscience » (chap. 13-16) « Nous avons appris que c’était une des façons d’altérer la perception du temps d’un individu. Nous ne comprenons pas totalement de quelle façon, mais les miroirs servent à transformer le temps et l’espace de la personne à l’intérieur. » Dans une de ces expériences, elle se retrouve ailleurs avec un homme qui lui explique ce qu’était la grande civilisation d’Eurasie, au nord de la Sibérie, qui fut détruite par un changement catastrophique du climat, et dont il reste des traces de la philosophie dans le zoroastrisme.

L’énergie BG3 permettrait-elle aussi de manipuler la gravité ?

Quand Ibrahim Karim rencontra Yacoub Al-khousamy à Louxor, il lui raconta une histoire sur le sujet de l’anti-gravité. « Il parla du nombre de fois où il vit dans sa jeunesse son père réaliser des exploits d’anti-gravité, où une énorme pierre était par exemple rendue légère et pouvait facilement être déplacée au bon endroit. La tradition locale dans la région, cependant, attribuait cette connaissance et ces dons à Khoja Yacoub lui-même. » (p.93)

Cela ressemble beaucoup à l’exploit d’Ed Leedskalnin qui construisit le Château de Corail par des techniques associant probablement rotation, son et électricité, qui lui ont permis de déplacer de lourdes pierres sans recourir à la force physique. C’est donc à nouveau cette énergie BG3 ou « yin », qui semble être en jeu ici.

Une autre observation d’Ibrahim Karim vient appuyer ce lien entre BG3 et gravité. Il a déterminé que l’eau qui entoure le bébé dans le ventre semble avoir les mêmes qualités d’énergie que l’eau des lieux sacrés. « Pas étonnant que la mère soit vénérée dans de nombreuses religions et cultures. » (p.94)

Mouvements et gestes pour accumuler l’énergie BG3

Le Dr V. S. Ramachandran explique, dans Phantoms in the Brain, que c’est le lobe frontal de l’hémisphère droit qui s’active lorsque quelqu’un vit une expérience mystique. Persinger a nommé cet endroit le « point de Dieu ». Ibrahim Karim explique donc que des techniques religieuses, comme dans le soufisme, servent à équilibrer cette énergie pour ne pas provoquer une perturbation cérébrale. Ibrahim Karim évoque certains rituels et dit que le simple fait de lever le doigt crée un tourbillon d’énergie qui manifeste l’énergie BG3 [Note : On retrouve ce rituel utilisé à des fins alchimiques dans la Franc-maçonnerie turque.]

La capacité de centrage

Après avoir expliqué que l’univers se divisait entre deux polarités, Ibrahim Karim explique que plus on se rapproche du centre, plus on est équilibré, tandis que plus on se trouve dans le mouvement (en

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Symbole du soleil en alchimie

terme de dispersion, fragmentation), plus on est déséquilibré. Cependant c’est le fait que ces deux forces existent dans l’univers qui fait la création (yin/yang). L’auteur donne l’exemple d’un atome, avec des charges positives et négatives qui sont en conflit. Le mouvement de l’électron, sa vibration, produit la « réalité » de l’atome, qui autrement est plongé dans le vide. « L’espace vide est rempli de mouvement équilibré par les lois d’une sagesse supérieure. » (p.111)

Dès lors qu’il existe un centre, il produit une harmonie autour de lui, car : « le centre réel du point central n’a ni attribut de temps ou d’espace, et ainsi il est lié à une autre dimension que la figure géométrique qu’il équilibre. Cette connexion transcendantale du centre à une autre dimension est une porte au travers duquel le moment intemporel primordial se manifeste au sein de la dualité du mouvement et de la forme. » (p.111)

Ainsi, c’est la connexion à ce centre qui permet « d’informer » le milieu (la réalité spatiotemporelle). C’est ainsi l’information qui produit la réalité, d’abord sous forme de « champ morphogénétique » puis de monde matériel. C’est la connaissance qui est le principal constituant de la matière. Les formes représentent cette connaissance « figée » dans le mouvement de la matière. « L’architecture sacrée ancienne est du « son gelé » (…) Ces monuments sont des symphonies musicales intemporelles, jouant sur nos champs d’énergie à un niveau inconscient. » (p.189)

C’est une telle « connexion au centre » qui expliquerait le fonctionnement du reiki : une « réinformation » du corps. D’autres thérapies utilisent aussi l’information : l’homéopathie ou encore la lithothérapie (les pierres transmettant « l’information » manquante). Nous verrons plus loin qu’Ibrahim Karim propose une nouvelle thérapie, utilisant les formes ou symboles pour « réinformer » l’individu.

Les formes comme des interfaces

Les formes constituent une interface entre la matière/l’énergie supérieure (éthérique) et la matière/l’énergie matérielle (électromagnétique). C’est pourquoi toute forme est une « interface », une frontière, et c’est à chaque frontière que se révèle l’énergie BG3 (frontière de l’horizon entre ciel et terre, frontière entre mer et plage, frontière entre jour et nuit…). La frontière d’une forme agit comme une couche de séparation isolante entre le système d’énergie intérieur et l’environnement extérieur. La frontière contrôle l’échange d’information et d’énergie. Ainsi, une forme « informe » l’environnement par ce qu’elle transmet comme information. C’est pourquoi les peaux ont tant d’importance dans le chamanisme.

Ibrahim Karim explique que les points d’acupuncture sont comme des interfaces qui permettent à l’information de circuler entre le corps et l’environnement.

Comme tout est conscient, tout s’échange de l’information. C’est pourquoi Ibrahim Karim pense qu’il doit y avoir un « langage universel ». « Si nous pouvions trouver le langage universel primordial qui interconnecte tout dans l’univers et maintient son unité, peut-être pourrions-nous communiquer et échanger des informations avec le vent, parler aux arbres, animaux et oiseaux, et à toute chose dans l’univers, visible ou invisible. » (p.120) Ce langage doit être vibratoire. Il est constitué de rythmes, car toute vibration, toute note, est un rythme.

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Hans Kayser (1891-1964), un auteur suisse essentiel sur la dimension spirituelle des harmoniques.

Quand une résonance se crée entre deux champs énergétiques, les deux systèmes ne retournent pas ensuite à leur état initial. Les systèmes « s’informent » mutuellement. C’est par la résonance que l’évolution se produit. Tout, dans l’univers, est interconnecté et s’échange des informations.

Ibrahim Karim explique ensuite dans les chapitres suivants son idée de l’évolution de l’humanité, au niveau cérébral. D’abord une unité de cerveau droit (rapport direct à la nature), puis de cerveau gauche (intellect/ego), puis nous en revenons au cerveau droit et une double activation pourrait s’effectuer (vision du monde comme une unité avec ego intégré). A noter que l’on peut percevoir l’influence de Schwaller de Lubicz dans le fait qu’il pense que les égyptiens voyaient dans les divinités des archétypes vibratoires de la création, des « neters« . Ibrahim Karim dit que ces neters se retrouvent dans notre panthéon des anges, et que toutes ces divinités forment toujours le chiffre 9 (elles sont incomplètes, ce sont des aspects de l’unité). Il y a 72 ou 81 anges, 99 noms de Dieu, etc.

Ibrahim Karim explique que les statues égyptiennes étaient spécifiquement conçues pour harmoniser l’environnement, de par leurs proportions.

L’auteur explique que les formes sont une autre manière d’agir sur la matière, elles agissent comme un « son ». En 2005 Ibrahim Karim rencontra le Dr. Emoto dans son laboratoire du Liechtenstein et ils firent des expériences prouvant que la biogéométrie agit sur les cristaux de glace.

Les nombres

Ibrahim Karim a déterminé que certains nombres partagent l’énergie BG3. Ces nombres sont les suivants :

13, 19, 28, 34, 43, 54, 68, 72, 83, 89, 99… etc

Ces nombres ne sont pas basés sur des proportions mais seulement sur l’énergie BG3. Il y a un lien avec le nombre d’or et le fait que l’ellipse (exemple : l’oeuf) est la forme harmonique idéale. Cependant, le nombre 16 qui apporte l’énergie BG3 au nombre d’or n’est pas le seul à créer des proportions importantes.

Les applications de la biogéométrie

La dernière partie du livre est dédiée aux applications pratiques de la biogéométrie, qui concernent principalement l’architecture (comprise comme une gestion de l’espace à un niveau subtil), mais qui peuvent servir dans beaucoup d’autres domaines.

Nous avons vu que les « ondes longitudinales/de torsion/de compression » sont comme des vagues qui ont leurs harmoniques autour des objets. Cette vibration qui se propage contient « les pensées et les émotions qui imprègnent la matière, l’énergie cosmotellurique du lieu, toutes les énergies  électromagnétiques et toutes les informations sur la matière qui rayonne (structure, couleur, type d’atome). » Selon Stéphane Cardinaux, qui a dessiné de nombreuses ondes de forme dans Bioénergie, les pyramides produisent deux changements du champ de torsion de l’énergie cosmotellurique.

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Ondes de forme d’une pyramide. Image : Stéphane Cardinaux

Il est intéressant de noter que Stéphane Cardinaux note que « les ondes de forme sont accentuées par les phénomènes cosmotelluriques [et par les champs EM comme un téléphone sans fil]. Elles renforcent les effets négatifs des courants d’eau souterrains et des failles au point de rendre parfois une maison invivable. » (p.220)

Puis Stéphane Cardinaux indique, en étudiant un mandala, que « je suis convaincu que ce type de géométrie a une action, non seulement au niveau éthérique, mais aussi sur les plans astral et mental. »

Ibrahim Karim montre, dans ce même ordre d’idées, que chaque type de formes a une action sur les plans physique, émotionnel, mental et spirituel de l’individu. Il a réalisé un classement des formes en relation avec leur résonance sur l’individu.

Il explique ensuite que certains motifs ont également une action. Il les appelle des « BioSignatures », parce que leur formes correspondent à des organes internes. Il intègre ces motifs dans l’architecture ou dans le mobilier.

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Détail de la couverture du livre, montrant des symboles, les « BioSignatures ».

Ibrahim Karim a mené des expériences avec des BioSignatures sur des bactéries (1992) et les intègre même à des puces électroniques. « Nous avons établi que les formes peuvent entrer en résonance, comme les notes de musique. » (…) « Nous pouvons créer une résonance entre un motif et un organe. »(p.248)

Les BioSignatures sont étonnamment similaires aux symboles utilisées dans le reiki, et d’autres comme ceux du Kunta Yoga. Ils font également penser aux « sigils » magiques d’Austin Osman Spare. On peut également y voir une ressemblance avec les symboles de Stephenville et quelques « alphabets aliens« .

« Une forme de BioSignature est très sensible à des changements mêmes infimes du motif. Si elle est dessinée d’une autre manière ou en commençant par un autre endroit, la forme ne produira pas la qualité d’énergie subtile désirée. Elles pourront avoir la même apparence, mais perdre leur pouvoir. Le point de début et de fin de la forme dessinée est une affaire très délicate (…) » (p.254)

Leur action est similaire à celle du Kunta Yoga tel que décrite par Ilia Beliaev :

« Le Kunta Yoga comprend des centaines de signes et de mantra, ainsi que des pratiques diverses, destinées à dirigier le flux de l’énergie intérieure. La visualisation des signes à l’intérieur des chakra et des nadî (centres et canaux énergétiques) les purifie et leur donne la forme d’accomplir une transformation intérieure. Les symboles et mantra du Kunta peuvent être également utilisés pour le contrôle des situations extérieures, grâce au changement de leur structure énergétique : par exemple, on peut neutraliser une attaque, aussi bien physique qu’astrale, à l’aide du symbole « ahimsâ », qu’il faut visualiser distinctement entre l’agresseur et sa victime. Après une certaine pratique, le symbole « s’allume » d’un vif éclat, simplement quand on y pense. (…)

Il faut représenter les symboles dans des tons clairs. On peut également travailler avec des signes de couleur noire, mais ils doivent être entourés d’une auréole dorée.
Habtieullement, le symbole prend lui-même la couleur la plus adaptée à une situation donnée. Dans le Kunta, il y a aussi bien des symboles généraux – pour la purification, l’alimentation en énergie, l’harmonisation ou la protection – que des symboles plus spécialisés – comme, par exemple, le symbole pour la recherche de sa moitié androgyne, des signes pour le travail avec les énergies solaire et lunaire, des symboles médicaux, et d’autres encore. (…)

La plupart des signes s’accompagnent de mantra, mais il existe aussi des symboles muets. Une prononciation précise des mantra détermine le succès de l’emploi de la technique. Lorsque la prononciation du mantra est exacte, un bruissement ténu se fait entendre et se prolonge après que le mantra a été dit. Cette émission sonore signifie que le mantra qui accompagne la visualisation du symbole correspondant fonctionne au maximum de son efficacité » (Tosha, p.52-53)

Là encore, on retrouve cet aspect d’équivalence entre le son et la forme, il semblerait donc que pour « activer » des énergies spirituelles, de telles associations doivent être utilisées. Par exemple, visualiser un symbole tout en émettant le son propre à sa fréquence, correspondant à une couleur, ainsi qu’à une pensée, etc. Lorsque l’association est juste, cette technique pourrait agir directement sur la réalité, en provoquant des décharges d’énergies, ou même en « matérialisant » des objets. Comme pour faire le pain, où il faut des proportions justes de chaque ingrédient, chaque « constituant » de la matière est requis.

« Nous en sommes arrivés au point où nous pensons qu’il y a eu, par le passé, une technologie qui faisait usage de la simple arithmétique et de la géométrie, ou des relations spatiales, en conjonction avec le son, pour accomplir des choses de grande portée. Nous sommes également arrivés à la conclusion que cette ancienne technologie était la science de la maîtrise de l’espace, du temps, et de la pesanteur.
Voilà le secret de l’Âge d’Or. Voilà pourquoi leur civilisation était fondée sur d’autres éléments que la nôtre. A part le fait que des cataclysmes ont pu balayer la plupart des marques d’une telle civilisation, nous avons ici une raison supplémentaire de l’absence de vestiges métalliques et autres objets manufacturés qui pourraient  être considérés comme des témoignages de la « civilisation ». » (Laura Knight-Jadczyk, L’Histoire secrète du monde, p.415)

Correspondances avec les recherches de Dominique Moret

Il est intéressant, pour finir, de noter les liens entre le chercheur Dominique Moret et le livre d’Ibrahim Karim. Les recherches de Dominique Moret ont fait l’objet d’un article dans le dernier numéro de Top Secret Magazine (n°64, p.38 sqq), et cet article s’intitule justement « Le secret des ondes scalaires. »

Dans cet article, Dominique Moret retrace son parcours (il était ingénieur s’occupant de projets d’installations d’antennes-relais) et sa découverte de la géobiologie. Il dit alors avoir fait des expériences hors du commun (par exemple obtenir de l’eau solide à température ambiante, modifier la tension superficielle de l’eau et obtenir un liquide noir qui pénètre même le caoutchouc, etc). Il a été primé 21 fois au concours Lépine. Plus tard, il découvrit la théorie de Jean-Marc Roeder en 2004, l’holodynamique quantique, qu’il considère comme une base solide de compréhension.

« Pour faire court : il existe un milieu propagatif que certains appellent l’éther et que dans l’holodynamique quantique on va appeler les élastons. Ce sont des corps sphériques extrêmement élastiques qui permettent effectivement de transmettre des vibrations…
Les ondes électromagnétiques et ces corps sont les constituants de ce qu’on appelle l’espace-temps, mais sont aussi les constituants de la matière si on les comprime.
Et justement, les seules ondes capables d’agir de cette façon-là, ce sont les ondes scalaires qui agissent sur le milieu, mais en mode compressif. Et à un moment donné, l’élaston est suffisamment comprimé pour apparaître sous forme de matière dans notre univers. Voilà comment ça se passe. Ce n’est pas de l’énergie. C’est un corps superfluide, qui permet des transmissions d’informations à grande vitesse (…) Mais ce corps est à la fois petit et tellement élastique qu’on n’a pas les moyens, si tu veux, de le percevoir. Puisque c’est le milieu où justement se propagent les ondes électromagnétiques. Par contre, en le comprimant, il acquiert curieusement du temps. Le temps s’accélère localement et il s’accélère tellement que l’élaston devient de la matière. Ce qui permet de comprendre que la matière se crée en permanence et que la matière se « décrée » en permanence.
C’est-à-dire qu’en permanence, de la matière est créée dans tout l’univers, et en permanence de la matière disparaît dans tout l’univers parce qu’il y a effectivement des émissions scalaires, tous azimuts, partout.
On va dire, souvent en mode compressif, donc capables de créer de la matière, et aussi en mode expansif, capables de « décréer » de la matière. »

Il est intéressant ensuite de noter, après avoir évoqué les propriétés du granit et du quartz, que Dominique Moret a cherché à utiliser la silice pour générer des composés capables de garder des informations spécifiques (par exemple pour créer des médicaments).

Dominique Moret a ensuite développé des médaillons qui puisaient dans l’électrosmog l’énergie pour équilibrer le corps, en se basant sur les principes de la bioélectronique (Louis-Claude Vincent). Ces médaillons peuvent même faire repousser des membres sectionnés, car les ondes scalaires vont renforcer les champs électriques qui englobent le corps et reconstituer les cellules.

Dominique Moret explique que Tesla, Lakhovsky, Prioré, Reich… utilisent tous les ondes électromagnétiques en polarité horizontale. Et il y a un champ magnétique à la surface de la terre qui dépolarise les ondes radios, ainsi toutes les ondes électromagnétiques qui sont émises de tout l’univers sont repolarisées en polarité horizontale. 

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Ce schéma montre la polarisation des ondes. Image : Ibrahim Karim

Ainsi, c’est le champ magnétique qui guérit, car dans les lieux qui guérissent ce champ est plus important, et il est peu important dans les lieux qui rendent malade (on le détecte par un géomagnétomètre). Mais ce n’est pas le champ lui-même qui guérit, c’est quand ce champ affaibli ne permet pas de dépolariser les ondes EM. Les polarités verticales vont donc perturber l’eau du corps et des pathologies apparaissent (changement de résistivité, de rH2…)

Les polarités verticales (composante électrique) vont développer des potentiels électriques, ce qui va par exemple permettre à l’eau de monter dans les murs et d’endommager un bâtiment. Dominique Moret commercialise des appareils pour empêcher cela, par la repolarisation des ondes.

Dominique Moret, comme Ibrahim Karim, déplore « l’électrosmog », car toutes nos ondes (portables, wifi, etc), sont en polarité verticale. Elles abaissent la vitalité de tous les organismes. « Ce n’est pas un hasard, c’est bien une intention manifeste. » (p.41) Dominique Moret prétend donc, comme Ibrahim Karim, agit directement sur l’électrosmog pour le repolariser et annuler ses effets péjoratifs.

Il dit que si les antennes-relais étaient en polarité horizontale, elles émettraient deux fois plus loin et on aurait à installer quatre fois moins d’antennes mais « le gros souci, c’est qu’on soignerait l’ensemble d’une population… »

Aussi, comme Ibrahim Karim, Dominique Moret pense que les ondes scalaires sont le secret des transmutations alchimiques. Il mentionne Kervran (Transmutations à basse énergie) qui évoque les transmutations par le vivant. Et comme pour l’alchimie dont les élixirs auraient la capacité de « rendre la jeunesse », Dominique Moret explique que par une recharge scalaire, on peut récupérer l’énergie perdue au cours de la vie.

Il y a de toute évidence un lien ténu entre énergie et mémoire, car quand on sait que la mémoire est stockée dans notre corps tout entier, et qu’un travail sur soi (comme la « récapitulation » mentionnée par Castaneda) permet de la retrouver, on remarque que le « nettoyage » des traumas permet de récupérer l’énergie initiale (luminosité/vitalité). C’est ainsi qu’en quelque sorte, on retrouve les « charges scalaires » (les pensées sont émises en mode scalaire), et l’on supprime les informations parasites qui se trouvent dans la mémoire de l’eau des cellules.

http://newsoftomorrow.org/arts/geobiologie/les-lieux-et-les-formes-de-pouvoir-expliques-par-la-biogeometrie-dibrahim-karim

24 mai 2013

La télévision ,l'ombre qui se projette dans les ames.

eye_tvLa télévision n’est pas une innovation technique fortuite. Elle a été inventée dans un but très précis. En ce début du XXIe siècle, elle touche des milliards d’êtres humains pour lesquels, d’un avis unanime, la vie sans la télévision serait insupportable et impensable.

Abandonnez la naïve croyance que l’ingéniosité qui l’a fait naître ne serait que technique, qu’il n’y a pas à son origine des « cerveaux » beaucoup plus évolués et un « plan » bien élaboré. Au contraire, comme nous nous en rendrons compte bientôt, un « esprit supérieur » a été — et est encore — actif en ce domaine, se chargeant de planifier avec soin ce progrès technique étonnant afin de prendre le contrôle total des masses.

La télévision n’est pas apparue soudainement, comme ex nihilo. Il faut la voir en perspective. Elle est associée à un grand nombre d’inventions : la radio, le cinéma, le télégraphe et le téléphone, le radar, l’enregistrement magnétique, etc. Mais la télévision est le point culminant absolu, l’invention supérieure capable de capter l’attention et l’intérêt à titre constant, c’est-à-dire l’esprit et les désirs de milliards de gens. C’est l’invention la plus hypnotique, la plus importune, la plus puissante et par conséquent la plus dangereuse de toutes. C’est pourquoi face à la télévision, il faut prendre une attitude ferme, sinon c’est elle qui décide pour vous.

Selon une enquête, il y aurait environ un million de personnes qui s’abstiennent volontairement de télévision en France. Mais lorsque l’habitude est prise, il est difficile de revenir en arrière à cause de la pression familiale et sociale. Une fois que le diable est dans la maison, nous savons que la lutte est inégale, et que les enfants en sont les premières victimes.

La situation semble irréversible car le risque d’exposition est multiple. Ainsi, lorsque, par miracle, vous n’avez pas la télévision chez vous, vous êtes environné de voisins dont les postes marchent à plein volume ; vous êtes entouré par des milliers d’émetteurs à grande puissance, par les pylônes des antennes émettrices en modulation d’amplitude ou de fréquence, par des stations de radar, des faisceaux hertziens pour communications par satellites, par les bornes pour téléphones mobiles, etc. D’autre part, celui qui ne regarde pas la télévision, passe malgré tout une partie de son temps devant un écran cathodique d’ordinateur. Nul ou presque n’y échappe.

Bien que leurs effets soient assez sérieux, on ne saurait s’arrêter à ceux du rayonnement seul, car il existe d’autres influences qu’il faut aussi étudier.

Le tableau d’ensemble d’une telle étude montre une dégénérescence totale et rapide de toute vie humaine sur cette planète, dans une mesure telle que ce qu’on appelle « la vie » deviendra bientôt impossible sous la forme que nous avons connue.
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Qu’est-ce que la télévision ?

Techniquement, la télévision est l’émission d’images visuelles sous forme d’ondes électromagnétiques, puis la reconversion en images visuelles des ondes reçues.

C’est en 1884 que l’inventeur germano-russe Paul Nipkow fit breveter un dispositif de transmission d’images : le disque analyseur. C’était un volant perforé, tournant rapidement, au moyen duquel une scène éclairée était décomposée en points lumineux et sombres. La série de points de lumière ainsi obtenue était convertie en signaux électriques et télégraphiée vers un récepteur. Les impulsions d’entrée étaient reconverties en points lumineux et sombres, à partir desquels l’image d’origine était alors, plus ou moins précisément reproduite à l’aide d’un disque identique, synchronisé sur le premier.

Le dispositif de Nipkow était primitif, mais la méthode sous-jacente de la « télévision » n’a jamais changé : les images sont toujours décomposées en points lumineux et sombres — pensez à la structure granulaire qui peut être remarquée sur des photographies très agrandies.

Il a fallu attendre 1923 pour obtenir des images de haute qualité, grâce à un américain né en Russie, Vladimir Zworykin, qui déposa une demande de brevet pour son « iconoscope », prototype du tube cathodique de la télévision moderne. Le disque analyseur avait été remplacé par un canon à électrons, source de danger immédiat, comme nous le verrons.

Aux Etats-Unis, le premier service de télévision régulier vit le jour dans l’après-midi du 30 avril 1939, à l’occasion de l’ouverture de l’Exposition Mondiale de New York dont le thème était : « Le Monde de Demain ». Les loges secrètes qui avaient tout organisé entendaient ainsi donner le coup d’envoi à une culture mondiale basée sur le contrôle des populations par l’image.

La National Broadcasting Company (NBC), sous les auspices de la Radio Corporation of America, diffusait les cérémonies à titre de démonstration. En quelques jours les gens commencèrent à s’aligner par milliers pour voir les démonstrations du nouvel appareil miracle. La fascination de l’humanité pour la télévision avait commencé.

Après la guerre, la télévision devint rapidement une affaire mondiale. L’ère de la télévision amorcée à l’Exposition Mondiale de 1939 semblait partie à l’attaque, tambour battant et drapeaux au vent. Rien ni personne ne pourrait plus l’arrêter.

Après des milliers d’années de civilisation en évolution lente, l’humanité, lorsqu’elle pénétra dans l’ère de la télévision, modifia complètement ses coutumes en une décennie ou deux seulement. La vie, soudainement, ne semble plus être autre chose qu’un loisir de masse et les gens commencent par rester chez eux pour prendre leur repas-télé devant le tube-écran.

Il n’a pas fallu attendre longtemps pour que des parades publicitaires impitoyables se mettent à claironner la doctrine de la « consommation ». Qui plus est, de nombreuses nations sont en cours de conditionnement par une programmation et une censure de la télévision contrôlées par le gouvernement — moyen efficace s’il en est d’injecter sans cesse aux masses des idéologies asservissantes.

La télévision est l’APPAREIL DU POUVOIR, du pouvoir sur les sentiments, sur les pensées, les désirs, la volonté, les esprits, de quasiment tout le monde.

Que sont, qui sont les « forces » qui détiennent ce pouvoir ? Nous devons trouver la réponse à cette question.


Le mystère de la lumière

La lumière est l’un des dons les plus précieux qui soient accordés à cette planète par le soleil. Depuis des millions d’années, celui-ci fournit l’énergie lumineuse et thermique sans laquelle la vie ne serait pas possible. L’on pense que la plus grande partie de cette fantastique énergie va se perdre dans l’incommensurable espace de l’univers. Mais cette croyance populaire est erronée car, dans la création divine, pas même une once d’énergie n’est gaspillée ; tout est mis à contribution pour l’évolution de myriades d’entités se trouvant dans le corps solaire cosmique, lequel entre en interaction avec de nombreux systèmes solaires du macrocosme.

Des Hiérarchies Spirituelles sublimes fonctionnent avec les Energies Divines — appelées collectivement FOHAT dans la doctrine ésotérique universelle. L’énergie électromagnétique de Fohat est donc, dans sa plus haute manifestation, l’amour divin. L’un de ses aspects les moins évolués est connu sous l’appellation « électricité ». Avez-vous déjà pris une décharge électrique ? Vous aurez alors une vague impression de l’invincible puissance de Fohat.

Quel est le rapport avec la télévision ? Il faut voir les choses sous leur véritable perspective. Considérez la télévision comme un phénomène typique de notre société technocratique pseudo-omnisciente qui est une menace terrible pour l’homme lui-même, ainsi que pour son environnement cosmique, car les champions du monde scientifique sont en train de se livrer à des expériences avec les diverses formes d’énergie de Fohat d’une manière tout à fait irresponsable.
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L’homme pourrait avoir accès à la divine félicité de Fohat — le Monde de la Lumière de Dieu — grâce à la transformation spirituelle de son être. Mais que préfère-t-il choisir ? Il préfère suivre son pénible sentier à travers l’obscurité de son ignorance et de sa haine, ce qui conduit inévitablement au résultat que la Lumière de Fohat le brûlera sous forme de « chaleur ». C’est ainsi que dans les mythes, Fohat devient un feu de jugement. Et selon certaines prophéties, c’est par le FEU — comme il est dit dans le Livre de l’Apocalypse — que cet actuel cycle de manifestation se terminera. C’est, en même temps, par le Feu que les « appelés » et les « élus » pourront gagner l’immortalité comme le phénix qui renaît de ses cendres.

L’Ere du Verseau déverse à nouveau la Lumière de Fohat sous forme de radiations qu’on appelle les « eaux vives ». Mais, au lieu de se transformer intérieurement en sublimant son système atomique individuel, l’homme a soulevé le voile de l’atome physique et a réussi, dans une imitation grotesque, à libérer « l’esprit contenu dans la bouteille », le répugnant pouvoir de la fission nucléaire.

L’humanité doit suivre une voie de développement positive ou négative. C’est la régénération ou la dégénérescence — il n’y a pas d’autre choix, pas de moyen terme. Mais ce que nous voyons se développer aujourd’hui à travers la science matérialiste est une réaction négative mise en place par des forces dirigeantes, mues par une auto-conservation aveugle.

Elles tentent de contrer l’évolution spirituelle régulière par une parodie infernale. Il ne peut en résulter qu’une tragédie que les plus nobles conducteurs de l’humanité ne seront pas en mesure d’écarter. Einstein était bien près de reconnaître la destinée fatale et inévitable de l’actuel ordre des choses lorsqu’il concluait : « Chaque étape semble être la conséquence inévitable de la précédente ». C’est dans cette perspective que nous allons considérer la télévision.


Les Rayonnements

La télévision est l’une des merveilles de l’électronique, cette science de l’utilisation des électrons. Ces derniers sont de petites particules chargées d’électricité.

Les électrons associés à un atome ressemblent à de minuscules planètes tournant autour du « soleil » qui est le noyau de l’atome en question. Les atomes sont les pierres de construction de la matière. Ce qu’il est important de retenir, c’est que la matière n’est pas seulement physique mais qu’il existe aussi une matière éthérique, astrale et mentale.

Un deuxième point à retenir également est que les matières physique, éthérique, astrale et mentale sont très étroitement liées et s’influencent réciproquement sans cesse. Aucun phénomène physique n’a lieu sans conséquences sur les plans éthérique, astral, et mental. Expérimentant dans l’ignorance totale de ces aspects, le savant et l’ingénieur présentent toujours un danger latent.

Dans certaines conditions, un atome peut perdre un ou plusieurs de ses électrons planétaires. On dit alors qu’il est ionisé. Il est devenu un ion positif, chargé d’une ou plusieurs charges positives. Les électrons qui ont échappé à l’attraction d’un noyau atomique sont appelés des « électrons libres ». Ce sont eux qui sont responsables du courant électrique parcourant un fil conducteur ou suivant une trajectoire dans le vide, donnant ainsi naissance à un champ électrique et magnétique.

L’espace est rempli de rayonnements de natures fort diverses. Il y a des rayonnements corpusculaires, formés par des protons, par des neutrons, par des électrons, et aussi des rayonnements électromagnétiques qui, eux, se propagent à la vitesse de la lumière, étant eux-mêmes les constituants de la lumière. Ces rayonnements sont classés suivant leur fréquence, inversement proportionnelle à leur longueur d’onde. Ces rayonnements électromagnétiques sont formés de particules sans masse appelées « photons » et dont l’énergie est proportionnelle à la fréquence.

Allant dans le sens des fréquences croissantes, nous avons d’abord les basses fréquences (correspondant aux longues ondes de la radio), puis les fréquences moyennes (ondes moyennes de la radio), puis les fréquences comprises entre 3 et 30 mégahertz (ondes courtes de la radio), puis les fréquences entre 30 et 300 mégahertz (ondes ultracourtes utilisées en télévision et radio), puis les fréquences comprises entre 300 et 3000 mégahertz (soit entre 100 cm et 10 cm de longueur d’onde : les micro-ondes des radars, des fours à micro-ondes, etc.). Vient ensuite l’immense gamme des rayons infrarouges, puis les ultraviolets, et enfin les rayons X mous, puis les rayons X durs, et les rayons Gamma qui sont émis par les noyaux atomiques ou qui sont l’une des nombreuses composantes des rayons cosmiques.

Le tube-écran d’un téléviseur est construit sur le principe d’un canon à particules qui projette des électrons en faisceau concentré sur l’écran.

La face interne de l’écran est couverte d’un réseau de quelques milliers de points dont la fluorescence peut être excitée dans les trois couleurs de base de la TV en couleur. Chaque fois que le faisceau d’électrons frappe l’un de ces points, celui-ci émet une lumière d’autant plus intense que le faisceau est intense.
En s’arrangeant pour que le faisceau balaie l’écran, exactement comme on lit une page d’un livre ligne après ligne, et en faisant en même temps varier l’intensité, les points luisent avec plus ou moins de luminosité, ce qui crée l’illusion de l’image.

La répétition rapide de ce processus, y compris des changements progressifs dans l’image, suggère le mouvement. Des signaux acoustiques apportent la sonorisation.

Tout en regardant la TV, on se fait donc injecter de l’énergie rayonnante, non pas sous la forme de la lumière naturelle ambiante, provenant du soleil, mais avec cette « lumière de la télévision » bien caractéristique, toute artificielle, projetée dans une intention bien précise. Elle est projetée sur le spectateur par l’écran fluorescent au moyen du canon à électrons littéralement pointé vers la personne se trouvant devant le poste de TV.

Cette énergie pénètre le spectateur et affecte les glandes endocrines, ainsi que les subtils organes éthériques qui jouent un rôle si crucial dans le développement et l’éveil spirituel.

La lumière solaire naturelle est constituée d’un mélange particulier de rayonnements électromagnétiques de diverses longueurs d’ondes, qui comprennent la lumière visible allant de 400 nm (violet) à 800 nm (rouge) (ou 4000 à 8000 angströms) et des rayonnements infrarouges et ultraviolets, ainsi que des micro-ondes centimétriques, etc. Les proportions de ce mélange sont modifiées par l’action de l’atmosphère — au demeurant fortement endommagée — jouant le rôle de filtre sélectif, et ce que nous recevons au sol est la combinaison appropriée pour la croissance et la protection de toute vie sur terre.

La lumière artificielle issue d’une autre source envoie des ensembles de longueurs d’ondes entièrement différents, ce qui peut être suffisant pour créer des problèmes.

La lumière est une nourriture pour les cellules. La nature met ses enfants à un régime de lumière bien équilibré. Chaque fois que le régime est modifié, comme dans le cas de la lumière artificielle, certaines altérations des cellules se produisent, entraînant une détérioration du corps humain et de ses organes spirituels.

L’Histoire a prouvé que les experts se sont toujours trompés dans leurs évaluations de la quantité de rayonnements que l’on suppose nocive pour l’homme.

Les effets des rayonnements sur l’homme sont mesurés en rems (Roentgen Equivalent for Man) ou en millirems (millièmes de rems). On estimait en 1950 qu’il fallait 1000 rems ou plus pour causer le cancer de l’embryon. En 1955, on estimait que 200 rems étaient une valeur plus proche de la réalité. Aujourd’hui, certains pensent que 2 rems suffisent !

Dans les années soixante, les postes de TV étaient considérés comme « sûrs » lorsqu’ils émettaient 50 millirems par heure. En 1980, la limite de la tolérance fut ramenée au centième de cette grandeur : 0,5 millirems par heure. Et ainsi de suite.

On entend souvent des remarques telles que : « Ce n’est pas si nocif, et d’ailleurs, je ne m’assieds pas trop près ».

Considérez d’abord que la majorité des gens ne croit que ce qu’elle désire croire. C’est bien connu. En deuxième lieu, on ne se rend pas suffisamment compte du fait qu’une fois que le rayon X a pénétré dans le corps, il est absorbé par les cellules, au prix d’une détérioration de celles-ci. Les effets ainsi produits sont cumulatifs.

En d’autres termes, en trois ans de télévision à raison de 4 heures par jour en moyenne, on absorbera 2 rems, soit assez pour entraîner théoriquement le cancer de l’embryon. Et pourtant, il y a des millions de mères qui pensent — mais pensent-elles ? — qu’elles font à leurs petits une grande faveur en les mettant en face de l’écran cathodique.

Est-ce aller trop loin que de conclure que TOUTE quantité de rayons X émanant de postes de télévision est susceptible d’être nuisible pour l’homme ?

Beaucoup de gens sont devenus si drogués ou si obscurcis qu’ils tentent de justifier leur attitude en disant : « Un examen radiologique est pire », ou encore : « Il y a, de toute façon, tellement de rayonnements ambiants », et autres maximes de cet acabit.

Cela est aussi logique que de dire : « Vous me dites que mon enfant est en train de se noyer ! Quelle importance ? Trois de mes enfants se sont déjà noyés ! »

Il faut bien admettre que ce n’est pas seulement la télévision qu’il faut incriminer, car les expositions aux rayonnements sont nombreuses. Mais cela ne la rend pas pour autant plus acceptable.

Aujourd’hui, des groupes demandent instamment : « Halte à la pollution de l’eau et de l’air ! ». Demain, ils sont susceptibles d’exiger : « Halte à la pollution électromagnétique ! » ou « Arrêtez de polluer nos âmes et nos esprits ! ». Mais comme cela va croissant, il sera alors trop tard.
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Les effets photo-biologiques

Nous avons étudié certains effets nuisibles du rayonnement des postes de télévision sur le système humain. Il est possible que d’autres techniques surgissent, permettant une élimination totale du rayonnement cathodique. On met du temps à généraliser les écrans à cristaux, sans doute pour continuer à favoriser le tube cathodique.

Aujourd’hui l’exposition au rayonnement reste très réelle, et cela volontairement. Ce qui est encore plus préoccupant, c’est l’endommagement irréparable de nos organes les plus subtils tels que les couches optiques, l’épiphyse (glande pinéale) et l’hypophyse (glande pituitaire) qui sont appelées à accomplir des fonctions fondamentales dans le développement spirituel d’un individu.

Ces remarquables organes réagissent à toute lumière reçue par la rétine de l’œil. On estime généralement que l’œil n’a qu’une seule fonction : la vue. Mais la fonction des yeux, en liaison organique avec l’épiphyse et l’hypophyse est triple :

1 – L’interprétation de l’énergie lumineuse sous forme d’images par les circuits conduisant au cerveau (perception visuelle ou processus de la vue) ;
2 – L’assimilation de l’énergie lumineuse par les voies neurochimiques et son acheminement vers les glandes pinéales et pituitaires et, de là, dans l’ensemble du système endocrinien (ingestion de la lumière ou photosynthèse) ;

3 – Enfin, l’expression de la réalité de l’âme. L’œil est appelé « le miroir de l’âme ».

Concernant la deuxième fonction — la lumière en tant que nutriment des cellules — il est de la plus haute importance de veiller à la qualité de la lumière que nous ingérons : s’il s’agit, par exemple, de lumière naturelle rayonnée vers nous par le soleil ou de lumière artificielle. Est-ce la lumière ambiante ou est-ce une lumière artificielle concentrée et injectée pour ainsi dire dans nos yeux ?

La lumière artificielle peut avoir de nombreux effets nuisibles, dont nous ne sommes pas conscients. C’est particulièrement vrai quand nous sommes constamment en train de fixer une lumière comme celle de la télévision.

Il est sans doute utile de répéter que la lumière solaire naturelle représente un régime lumineux bien équilibré, tandis que la lumière artificielle, quelle qu’elle soit, comprend un mélange de composantes spectrales (couleurs) peu favorable. La lumière de la télévision couleur contient seulement trois bandes étroites de fréquences : le rouge, le bleu et le vert.

En conclusion, nous devons dire que l’on ne saurait être assez prudent avec la lumière cathodique, pour diverses raisons. Raisons de santé, mais aussi, ce qui est encore plus important, simple raison de survie spirituelle.
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Ces organes délicats – les yeux, les couches optiques, l’épiphyse et l’hypophyse, sans parler des corps subtils et des chakras – ne sont pas conçus pour les expositions fatales que constitue le bombardement journalier par la lumière fluorescente à haute énergie et par certaines quantités de rayons X. Ces expositions les attaqueront, les paralyseront et les brûleront, pour ce qui est de leurs fonctions supérieures.

Ces organes sont destinés à fonctionner en tant que centres hautement évolués de l’énergie lumineuse, comme purs canaux pour exprimer la réalité rayonnante de l’âme. Par exemple, ce que l’hermétisme appelle le « cercle de feu de la pinéale » est le lieu où l’esprit et l’âme se rencontrent.

Les puissantes vibrations spirituelles ont besoin de réceptacles vibrant avec une grande pureté. C’est alors que le troisième œil peut s’ouvrir. Mais la télévision risque au contraire de l’obturer, maintenant ainsi les âmes sur une fréquence vibratoire où elles demeurent contrôlables et soumises.

Si le contrôle n’est pas le but ultime de la télévision, alors pourquoi en 2001, le ministre de la culture de l’Inde a-t-il annoncé que chaque foyer indien devait être équipé d’urgence d’un téléviseur, quitte à casser les prix ? La télé pourvoirait-elle aux besoins alimentaires ?


Le rythme sans âme

Afin de bien saisir la violence faite à l’âme, et plus spécialement aux jeunes âmes soumises passivement au bombardement cathodique, il convient de mentionner la façon dont se déroule un processus réel que l’on a parfois appelé « l’atomisation de l’âme ».

En regardant la télévision, on a l’impression de regarder des images, alors que ce qui est effectivement perçu par la conscience est la lueur phosphorescente de 300 000 minuscules points.

Il n’y a là aucune image. Ces points semblent être constamment allumés mais, en fait, ils ne le sont pas. Tous les points vont et viennent de 25 à 30 fois par seconde (25 en Europe), créant l’effet de scintillement cathodique. Ce scintillement se produit si rapidement que l’œil, et donc la conscience, ne peuvent le suivre.

La traduction de l’énergie lumineuse en images visuelles à l’intérieur du cerveau ne se fait qu’environ 10 fois par seconde. C’est grâce à un regard fixe, combiné à la rémanence de l’écran, que les yeux son trompés, pour ainsi dire, et acceptent les images comme étant réelles.

Mais l’âme est trompée moins facilement ; et, profondément, dans les recoins cachés de la conscience, la sensation prévaut que l’on est intérieurement déchiré en petits morceaux, que l’on est dispersé en milliers d’atomes par ce que les yeux ont transmis. Cette impression d’être atomisé est tout à fait réelle et démontre une polarisation déformée des corps subtils — éthérique, astral, mental. Il est vrai, au sens propre, qu’on se retrouve avec « moins d’âme ». Le fait que cette expérience tend à s’estomper avec les années de vision quotidienne de la TV n’est qu’une preuve supplémentaire du fait que le « moins d’âme » s’est transformé en « absence d’âme ». La télévision transforme les gens en êtres sans âme, en zombies.

Examinons cela de plus près en posant un autre problème, immédiatement associé à ce qui précède, à savoir la pulsation, ou le battement du poste récepteur.

Nous connaissons tous les effets hypnotiques du battement persistant, lors d’un concert de rock par exemple, qui peut même induire un état de transe. Ce qui est visé ici, c’est la question du rythme et son influence sur l’état vibratoire du sang et sur les corps subtils.
Le battement mécanique produit par certaines formes de « musique » moderne conduit essentiellement à une régression vers la magie archaïque et, en ce sens, est un phénomène déplorable. La croissance potentielle de l’âme est remplacée par un esclavage effectif de l’âme. Or la télévision, dans votre salle de séjour, produit un battement électronique tout aussi dangereux.

Le scintillement, 25 ou 30 fois par seconde, de tous les points de l’écran cathodique, produit par les balayages fulgurants du faisceau d’électrons, fait que l’écran entre en pulsation au même rythme. Cette constante pulsation lumineuse, accompagnée d’un son strident (15 750 Hz), habituellement situé immédiatement au-dessous du seuil de perception acoustique, est responsable de nombreuses migraines et détériorations visuelles. Elle a encore d’autres effets sérieux. On a signalé l’apparition croissante d’épilepsie parmi ceux qui sont particulièrement sensibles à ce genre de pulsation.

Il y a encore l’effet d’hypnose : une pièce sombre, les yeux au repos, le corps tranquille, le regard sur une lumière scintillant constamment, tout cela crée des conditions optimales pour une transe hypnotique. Ce n’est pas sans raison que tant de personnes sensibles se plaignent de se sentir hypnotisées, fascinées, vidées mentalement, ou se sentent comme des zombies, etc.

Une technique extrêmement astucieuse, appelée « suggestion subliminale », s’intègre au battement du tube au moyen d’images-éclair envoyées à la fréquence du battement, bien plus rapide que la vue.

Alors que les processus visuels se traînent derrière, à vitesse sub-électronique, les publicitaires ont accès à la vitesse électronique du faisceau de balayage des électrons. On se fait percuter par la publicité sans être en mesure de la traiter assez vite, si bien qu’on l’enregistre dans la région subconsciente de l’esprit. De là, elle exerce une tension bizarre, qui apparemment peut pousser les gens jusqu’au point d’acheter l’article vanté, qui a été vu inconsciemment à la télévision. « Vu à la télé ! »

La pulsation rythmique du poste de télévision est, entre autres effets, responsable de l’hyperkinésie des enfants et, en général, d’un état d’agitation accrue dans les véhicules supérieurs de l’homme.

Les corps subtils prennent des surcharges électrostatiques et sont stimulés, alors qu’il n’y a pas d’exutoire facile à cette agitation. Afin de se débarrasser de cette sensation, on est poussé à… regarder la télé, afin de supprimer temporairement la sensation d’être mal dans sa peau. Il en résulte une plus grande stimulation qui invite à plus de spectacle télévisé, jusqu’à ce que l’effet d’accoutumance ferme le cercle.

Une génération d’êtres insatisfaits et malheureux a été engendrée, dont les glandes endocrines sont irrémédiablement endommagées, dont les corps invisibles sont surchargés, désorganisés et dépouillés de leurs qualités intrinsèques.

Ils sont abandonnés « sans âme » — dans un état d’irritation et de nervosité extrêmes. Cela se manifestera par une conduite agressive et par une grande incertitude quant à ce qui est réel et ce qui ne l’est pas.

Une personne consciente ne se laissera pas séduire par le culte de l’image. Elle refusera d’abdiquer sa liberté intérieure et elle respectera son âme en lui offrant d’autres divertissements que des stimulations superficielles.

Mais la télévision n’est pas le seul péril. Elle est le chef de file d’un développement que l’on appelle « révolution ou explosion des communications ».

Une modification rapide de la conscience est évidente. Les portes de la perception de l’homme sont en train de s’ouvrir toujours plus largement, mais de manière totalement négative, pour conduire vers des espaces virtuels et hallucinatoires, à des océans d’images et de projections sonores, pour nous projeter dans les verts pâturages de perceptions sensorielles et extra-sensorielles jusqu’ici inconnues. L’humanité semble être en train de passer collectivement les portes de l’au-delà.

Les nouveaux médias fournissent apparemment à l’humanité souffrante une nouvelle pipe d’opium. L’Ere du Verseau qui frappe à la porte déchire l’atmosphère terrestre à l’aide de ses rayonnements. Il en résulte nudité et vacuité, un silence où résonne la parole : « Homme où es-tu ? Réveille-toi de ton sommeil de mort ! » Mais l’homme ne veut pas se réveiller, recouvrant au contraire sa nudité d’appareillage électronique, se « narcotisant » et enveloppant son existence vide d’illusions audio-visuelles.
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On peut considérer que l’humanité et la Terre portent un manteau électromagnétique d’irréalité. Dans un proche avenir, les communications feront partie d’un réseau mondial et universel de distribution d’énergie électrique capable d’être transformée en d’innombrables formes. Ainsi, la Terre pourra être enkystée dans une atmosphère de télécommunications électriques l’environnant de toutes parts.

C’est une nouvelle Tour de Babel qui s’érige. Cela augmentera la distorsion et le brouillage de la parole autrefois prononcée par l’homme, le Verbe qu’il doit prononcer à nouveau, l’écho évanescent de son origine divine.

Nous devons souligner l’effet enkystant et emprisonnant de la télévision et de l’internet. Considérez la Terre tournant comme un monde mis sous tension, avec ses milliards d’êtres humains branchés sur n’importe quel fantasme synthétique et n’importe quelle manipulation politique, tout en glissant dans des espaces psychiques multidimensionnels, inondés d’excitations programmables, disponibles sur des consoles domestiques.

Quelle est la face cachée de ce phénomène ?

L’ensemble de l’évolution de la soi-disant « explosion des télécommunications » n’est rien d’autre qu’une réaction négative planifiée pour contrer les rayonnements spirituels de l’Ere du Verseau. L’humanité montre les signes d’un réveil massif et cela représente une menace immédiate pour certaines hiérarchies visibles et invisibles.

Si ces hiérarchies se trouvaient soudain privées de leurs troupeaux d’adorateurs qui grouillent dans la sphère matérielle, leur règne serait réduit à néant. C’est pourquoi cette gigantesque machination a pris naissance, en vue de maintenir les êtres humains à l’intérieur du cercle enchanté de la technologie électromagnétique. Pour les maîtres du jeu, c’est une question de survie.

Etant donné qu’une prise de conscience croissante s’effectue chez d’innombrables êtres humains, cet éveil doit être réduit à néant par des efforts implacables et continus pour maintenir les masses sous la fascination du progrès et du loisir constant.

La vision intérieure croissante doit être aveuglée par des images artificielles. L’écoute intérieure croissante doit être assourdie par des sons. L’éveil intérieur doit être submergé de sensations.
Un support tel que la télévision se devait d’être mis au point pour entraîner une perpétuelle réaction du type : « Oh ! Dis-donc, regarde un peu, c’est super ! »

Dans ce combat inégal, l’humanité a déjà perdu, mais l’individu sérieux s’en sortira s’il ne reste pas dans l’ignorance des réels enjeux de l’ère nouvelle.

tiré de l'excellent livre

Dixit Satanas

La conspiration à la lumière de la gnose

Auteur: Joël Labruyère

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