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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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19 juin 2013

« Bad Banks » : une bombe de 1.000 milliards d’euros pour les contribuables européens

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Six ans après la crise, plus de 1.000 milliards d’euros d’actifs douteux ou illiquides restent stockés dans les « bad banks »

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Éclipsée par la crise des dettes souveraines et par la récession des économies réelles, la crise des « subprimes » n’est pas une affaire classée. Détonateur de la bombe financière européenne, elle laisse une facture que les banques et les États européens ne sont pas près de régler.

Pour se sauver, de grands établissements de crédit, paralysés par les créances douteuses et les actifs illiquides accumulés au fil des ans depuis 2007, ont constitué des « bad banks ». Bilan, six ans après le début de la crise financière?: plus de 1.000 milliards d’euros d’actifs restent encore stockés dans ces structures de défaisance en Europe.

En amont, la création de ces dernières répond toujours à la nécessité de tirer un trait arbitraire sur les actifs toxiques et non stratégiques, pour que les activités cœur de métier restent attractives aux yeux des investisseurs.

Mais les « bad banks » peuvent prendre différentes formes: une structure nationale rachetant des actifs aux banques privées, comme l’a fait l’Irlande avec la Nama (National Asset Management Agency) ; une banque insolvable nationalisée et séparée en « good bank » et « bad bank » ; et enfin une structure de cantonnement à l’intérieur d’un établissement privé.
Partie émergée de l’iceberg

C’est le schéma retenu par plusieurs banques françaises. Dont, en tête, Dexia. La « bad bank » de l’établissement franco-belge recensait fin mars 266 milliards d’euros d’actifs douteux gérés en extinction. Un record en Europe. Mais deux des poids lourds du secteur ont également eu recours à une « bad bank » interne.

Natixis, la banque de financement et d’investissement du groupe coopératif BPCE, s’est doté en 2009 d’une GAPC (gestion active des portefeuilles cantonnés), regroupant 35 milliards d’actifs toxiques ou illiquides.

Quatre ans plus tard, à la fin mars 2013, la banque n’en gérait plus « que » 13,5 milliards, misant sur la fermeture de sa GAPC à la mi-2014. La Société Générale suit une trajectoire analogue?: sa « bad bank » Inter Europe Conseil, constituée début 2010 avec 35,5 milliards d’euros d’actifs douteux, en rassemblait 8,8 milliards à la fin de 2012.

Les plus de 1.000 milliards logés au sein des « bad banks » européennes ne constituent toutefois que la partie émergée de l’iceberg. Des centaines de milliards de créances douteuses et de fonds communs de créance, dont la valeur de marché s’est brutalement dégradée, figurent dans les livres des banques européennes. La banque de financement et d’investissement du Crédit Agricole, Cacib, n’a pas créé de « bad bank » et ne détenait plus, à la fin 2012, que 1,15 milliard d’actifs douteux en cours de cession.

Ces actifs dégradés, que les États, les banques et les marchés savent si mal évaluer, constituent-ils une bombe financière à retardement ? Une gestion à très long terme, en extinction ou au gré des opportunités de marché, permettra aux banques de digérer leurs erreurs. Mais elle pèse sur le dynamisme du secteur financier.

Les Échos

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18 juin 2013

Manuel pour détruire un pays

clinton_12521_77691. Quand, naviguant sans savoir où tu vas, tu trouves une terre, affirme que tu l’as découverte et extermine tous ses habitants.

2. Si, une fois les habitants exterminés, tu ne trouves personne qui travaille gratis pour toi, enlève des centaines de milliers d’Africains et convertis-les en esclaves, jusqu’à avoir une proportion de 8 esclaves pour un colon.

3. Pour les dompter, donne-leur du fouet sur le dos et mets-leur une religion dans le crâne qui les force à adorer leurs exploiteurs.

4. Viole les femmes esclaves et confie aux mulâtres qui naissent les pires tâches de répression envers leurs frères.

5. Afin de mettre en évidence la supériorité morale des maîtres, remets le pays aux mains des flibustiers de l’île de la Tortue commandés par le pirate Du Casse, en 1697.

6. Augmente l’exploitation jusqu’à ce qu’ Haïti, en 1791, produise 89.000 tonnes de sucre, plus que la Barbade, la Jamaïque et Cuba réunis, tout en t’assurant que pour les producteurs, la vie soit la plus amère du monde.

7. Proclame la Liberté, la Fraternité et l’Egalité dans la métropole française en 1789, mais quand les esclaves se soulèvent pour réclamer la même chose en 1791, envoie une expédition de 40.000 hommes (en 1801) pour empêcher que les Haïtiens soient traités en hommes et en citoyens

8. Accepte en 1816 l’aide généreuse d’Haïti pour obtenir l’Indépendance de l’Amérique Latine, mais oublie de l’inviter au Congrès de Panama en 1826.

9. Après que les esclaves insurgés ont mis en déroute  les 40.000 envahisseurs en 1804, attends jusqu’en 1826 pour reconnaitre leur Indépendance, en échange d’une indemnisation de 150 millions de francs-or à payer, non pas aux esclaves, mais à leurs anciens maitres.

10. Attends que cette dette démolisseuse détruise ce qui n’a pas été dévasté par la guerre de libération, et favorise en 1915 une invasion des USA, qui occupent le pays jusqu’en 1934.

11. Pendant cette occupation militaire, fais avancer les privatisation: privatisation de la nature (en 1925 60% des forêts étaient détruites, aujourd’hui 98%), privatisation de la société (80% de pauvreté), privatisation de l’éducation (52% d’analphabètes), privatisation de la santé (mortalité infantile de 110 pour mille), privatisation de la terre (70% des agriculteurs n’en possèdent pas), privatisation de la sécurité sociale (les pensions de vieillesse et le droit de grève sont abolis), privatisation des salaires (1,50 dollar par jour), privatisation des bénéfices (les investisseurs obtiennent des retours sur investissements de 500%), privatisation du commerce (70% des exportations vont vers les USA), privatisation des iles (les îles Cayémites et La Tortue ont été bradées), privatisation des droits de l’homme (30.000 opposants disparus en 15 ans), privatisation du sang (acheté 3 dollars le litre et revendu 25 dollars le litre.)

12. Au moment de retirer les troupes, laisse le pays occupé par des dynasties de dictateurs brutaux qui assassinent tous ceux qui luttent pour améliorer le niveau de vie, pour les réformes sociales ou pour la démocratie.

13. Si un candidat gagne des élections démocratiques, appuie un coup d’État qui le renverse, l’enlève et l’exile.

14. Après le Coup d’Etat, privatise la « Minoterie d’Haïti » et « Ciment d’Haïti », les entreprises de farine blé et de ciment, et vends-les à une entreprise de Kissinger, pour qu’en cas d’urgence les Haïtiens n’aient ni pain ni ciment pour reconstruire leur pays.

15. Si le dictateur qui a envoyé le démocrate en exil est démis par le peuple, envahis de nouveau Haïti avec 18 bateaux de guerre, 2 porte-avions nucléaires, des dizaines d’hélicoptères Blackhawk, des véhicules blindés et 6.000 soldats criant : « Nous ne sommes pas en guerre ; nous venons restaurer la démocratie et apporter de l’aide humanitaire. »

16. Une fois le dictateur restauré, laisse de nouveau le pays occupé par les forces militaires de l’ONU.

17. Si, malgré tout cela, le président élu démocratiquement et démis revient de l’exil et gagne de nouveau les élections en 2001, empêche l’arrivée de toute aide extérieure, impose un blocus, appuie un nouveau coup d’État, enlève le démocrate et envoie-le en exil en Afrique du Sud.

18. Occulte les dénonciations comme celle de Marguerite Laurent, du Réseau de Leadership des avocats haïtiens (HLLN), et avocate de Jean Bertrand-Aristide, qui soutient : « Il a été prouvé que les USA ont découvert du pétrole à Haïti il y a des décennies et que, du fait des circonstances géopolitiques de cette époque, ils ont décidé de garder le pétrole haïtien en réserve pour quand celui du Moyen-Orient sera épuisé. » Ceci est détaillé par le Dr. Georges Michel dans un article daté du 27 mars 2004, dans lequel il résume l’histoire des explorations et des réserves pétrolières d’Haïti, et dans les recherches de Ginette et Daniel Mathurin. Il y a aussi des preuves que ces mêmes grandes entreprises  pétrolières US, les monopoles d’ingénierie et les sous-traitants de la Défense qui leur sont liés ont fait des plans, il y a des décennies, pour les eaux des mouillage d’Haïti, soit pour installer des raffineries de pétrole soit pour développer des installations de stockage de pétrole brut, qui serait ensuite transbordé à bord de petits pétroliers pour être acheminé vers les USA et les ports des Caraïbes.

19. Utilise contre le pays, sans déclaration de guerre, tout le répertoire des armes psychologiques, chimiques, bactériologiques, virales, climatiques et tectoniques que peuvent produire les laboratoires du mal.

20. Quand la catastrophe naturelle s’abat sur un peuple qui a supporté tant de catastrophes politiques et sociales, occupe ses aéroports et ses points stratégiques avec des unités de la IVème flotte, de la 82ème division aéroportée, 20.000 marines armés et 3.500 soldats supplémentaires de l’ONU, pour empêcher l’arrivée de secours, achever par balles ceux que le séisme n’a pas exterminés et convertir le pays en base militaire.

Une fois ce pays immolé revenu à l’esclavage, n’oublie pas que ce manuel est à format unique et s’applique à tous les pays du monde, avec la seule différence que c’est chacun à son tour.

Source Bridge/ Luis Britto Garcia

18 juin 2013

La conspiration de l'Âge du Verseau consiste à l'établissement d'une dictature mondiale

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Ainsi a-t-on transformé le droit et la culpabilité. L'homme qui combattra pour la vérité sera considéré comme un ennemi à détruire. La conspiration de l'Âge du Verseau et du Gouvernement Mondial apparaît comme l'établissement d'une dictature à l'échelle mondiale dont l'idéologie est basée sur l'humanisme.      

 

 Dans une dictature semblable, l'individu qui, au nom de ses principes religieux, de sa conscience ou de sa foi, s'opposerait au complot contre l'homme et Dieu, sera considéré et identifié comme étant un criminel. On retrouve là ce qui se passait il y a deux mille ans sous l'empire romain. C'est le même schéma: est criminel celui qui s'élève contre l'idéologie gouvernementale établie pour la majorité des gens. Qui étaient ces criminels il y a deux mille ans ? C'étaient les chrétiens. Qui étaient les ennemis sous le régime communiste ? Les chrétiens. Cette fois-ci, le cadre change et devient international.

 

"Tout comme nos collègues soviétiques, sous l'éthique de situation de notre Nouvel Ordre humaniste, nous ne sommes pas limités dans les méthodes que nous pouvons appliquer pour gagner.

"Nous pouvons procéder à pacifier et sécuriser les masses, donc se débarrasser de tous ceux qui vont représenter un danger pour l'instauration de ce Nouvel Ordre.

"Si certains d'entre vous sont encore surpris par ceci, c'est que vous n'avez pas encore compris ce que j'essaie d'expliquer. Vous n'avez pas non plus compris ce que vos enfants ont si bien appris à travers vingt ans de système d'éducation de notre gouvernement.       

"Nous vivons l'ère où les hommes ont placé leur conscience dans le gouvernement au lieu de quelques superstitions appelées divin ou Dieu. Ce sont les anciennes morales religieuses qui ont causé tous nos problèmes [c'est ce que pense actuellement la quasi totalité du monde moderne déjà prêt à accepter le Gouvernement Mondial]. Un Nouvel Âge appelle un nouveau système de croyance, un nouveau code moral, une nouvelle religion. Il est agréable de voir presque toutes les religions du monde se regrouper gentiment et unies en se préparant à servir le Nouvel Ordre Mondial.

"Je voudrai vous présenter le Docteur Sidney Saymon. Un homme très efficace, qui mérite une grand reconnaissance pour son travail de rééducation de l'humanité. Il parle simplement et ce qu'il dit est sans équivoque. Il explique aux éducateurs d'enfants à qui il s'adresse que la clarification des valeurs est une méthode pour les professeurs de changer les valeurs de leurs élèves sans se faire prendre. Cela veut dire que sous des nouveaux déguisements, sous un nouveau dialogue, on enseigne de nouvelles valeurs sans que les enfants et les parents s'en rendent compte, et sans que les éducateurs puissent être accusés de quoi que ce soit [on parle des valeurs en général sans en préciser la nature]. Le résultat est garanti : un affrontement entre les enfants et les parents. Donc la clarification des valeurs est un autre terme pour éthique de situation. L'enseignement doit faire comprendre que l'important n'est pas les valeurs que l'on choisit, mais de les choisir librement par vous-même [leur nature est sans importance], sans pression des parents, prêtres, amis, ou société religieuse.

"Les architectes du programme d'enseignement du nouvel humanisme dans les écoles du gouvernement, doivent être remerciés pour avoir remodelé les valeurs de ces futures générations.

"Quand la loi nationale des garderies sera adoptée, ce sera un grand jour pour les humanistes et les proposants [sic] de la paix mondiale. Nous pourrons accomplir notre objectif une fois pour toutes lorsque nous aurons l'attention des enfants en âge pré-scolaire de six à neuf heures par jour. Regardez ce que nous avons entrepris avec les groupes plus âgés de la jeunesse américaine.

"Ces garderies auront pour mission de préparer la jeunesse intérieurement à l'acceptation du Gouvernement Mondial.

"C'est ainsi que les émissions dites populaires et niaiseries, de jeux basés sur l'argent, sont appréciées d'un public conditionné qui apprécie l'émission en fonction des nouvelles valeurs anti-chrétiennes et humanistes auxquelles il adhère inconsciemment [la télévision française, quant à elle, avec sa publicité impudique, primaire et stupide, offre des émissions qui constituent une incitation permanente aux mauvaises mœurs et à la violence sous toutes ses formes].

"Les gens ainsi conditionnés fuiront la réalité et la vérité ; ils auront peur. Nous aboutirons à une armée de schizophrènes !

"Il va de soi qu'une telle société exigera une nouvelle forme de police.

"Un de nos éducateurs de l'humanité m'a dit il y a quelques semaines, que les religieux américains d'antan n'en croiraient pas de leurs yeux de voir les changements que nous nous sommes permis. Cette personne avait raison parce que nous avons mis le futur non pas  sur le gouvernement, mais sur la capacité de tous et chacun de nous gouverner nous-mêmes, de nous soutenir nous-mêmes et ainsi de suite. C'est pourquoi le Gouvernement Mondial est bon pour tous.

"Les Américains ne désirent plus assumer les responsabilités de ce gouvernement actuel. Heureusement pour eux, il y a une toute nouvelle génération de leaders et de gens au gouvernement, soucieux de s'occuper d'eux malgré leur consentement.

"S'agissant de la main d'œuvre policière : comme les citoyens abandonnent par peur de plus en plus de leurs droits, de plus en plus de policiers sont nécessaires afin de superviser les activités de cette population afin qu'elle demeure en sécurité [en cage !].

"La construction de l'Etat Providence engendre des troubles dans la société, d'où un renforcement des membres de la police.

"Qui aurait pensé il y a cent ans que l'intégration de la peur de tout serait la réponse à l'établissement du Nouvel Ordre Mondial.

"Le mérite de ces innovations revient aux libres penseurs de la dernière génération d'avoir réussi le coup de maître de faire en sorte que la peur serve de mécanisme de base pour permettre n'importe quoi au plan des populations.

"La vieille génération n'aurait pas accepté ce nouvel ordre des choses, ces nouvelles valeurs. Heureusement cela n'a pas posé trop de problème parce qu'ils sont rapidement remplacés par la mort ou la retraite. Il n'en restera plus aucun d'ici sept à huit ans, soit 1997/98. Nous avons l'assurance que tous ceux qui avaient des valeurs morales chrétiennes n'auront plus aucun poste clé dans le gouvernement dans les domaines exécutif, judiciaire et militaire.

"Donc à ce moment-là, l'établissement d'un Nouvel Ordre Mondial ne trouvera plus aucun obstacle. Au même moment, les agences de police essaient par nécessité de filtrer les individus qui croient aux anciennes valeurs traditionnelles et de ne pas les engager.

"C'est pourquoi on a changé les valeurs du système d'éducation. Afin que les jeunes qui entrent dans la vie active soient imbus de principes humanistes et aient rejeté toutes les valeurs et superstitions chrétiennes. Ceci doit être fait parce que nous savons que les religieux ne feront pas les choses qui leur seront demandées sous le nouveau système. Pour ceux qui restent attachés au fondamentalisme religieux de l'ancien monde, ils sont tranquillement mis de côté sous toute forme de prétexte de la part des nouveaux dirigeants. Par exemple l'abaissement de l'âge de la retraite est une mesure qui nous a permis et rend aujourd'hui possible l'élimination de tous ces individus qui ne sont pas imbus de nos valeurs humanistes.

"Certains des officiers  de l'ancien temps se plaignent et font valoir que ce type de discrimination est anticonstitutionnel et immoral. Mais nous savons qu'ils ont tort. Sous l'éthique de situation toutes les choses sont morales du moment qu'elles avancent vers Le but. Ainsi ces officiers ne sont pas retirés pour une cause diabolique mais parce qu'ils sont jugés non fonctionnels pour accomplir les tâches qui seront exigés d'eux.

"L'ancien monde avait compris que c'était le plus grand des péchés que de mentir à leur Dieu. Les générations de dévots qui vont rentrer dans le Nouvel Ordre Mondial doivent comprendre que le plus grave des péchés est de mentir à leur nouveau Dieu, le Gouvernement . L'individu n'existe pas ! Seul compte l'intérêt du Gouvernement Mondial.

"Toute déloyauté de la sorte viendrait à l'encontre de la marche vers le progrès engagé par ceux qui mènent la gloire du Nouvel Ordre Mondial. Nous ne sommes pas préoccupés avec quelques résistances au Nouvel Ordre, car par nécessité pratique leur destin a déjà été simplement établi dans le Plan."

Merci à Serge Monast  RIP

17 juin 2013

Le code génétique holographique : Des hologrammes sont présents dans les organismes vivants

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Le code génétique holographique

Dr. Peter Gariaev
Merci à Wave Genetics

Le Dr. Piotr (Peter) Gariaev et son équipe, de l'Académie russe des Sciences naturelles et de l'Académie des Sciences médicales, ont étudié la nature et le fonctionnement du champ vibratoire créé dans l'organisme par l'ADN, à la fois par la théorie et par l'expérience. Leur apport essentiel est de montrer que ce champ a les caractéristiques d'un hologramme, comme nous allons l'expliquer, et que cet hologramme porte les informations génétiques d'organisation et de coordination du fonctionnement des cellules. En somme le génome comporte une partie moléculaire, celle des gènes que nous connaissons, et une partie ondulatoire, le génome ondulatoire ou supergène.

La notion d'hologramme est apparue en physique lorsqu'on a découvert des figures lumineuses transmises par un objet éclairé, et que ces figures ont été enregistrées sur film photographique. Ces figures ne se présentent pas comme une image directe de l'objet tel qu'on le voit, mais sous forme de graphiques - des hologrammes - composés des interférences que fait la lumière qui l'éclaire (voir en annexe). L'hologramme a l'avantage étonnant de conserver l'image de l'objet en 3 dimensions et de pouvoir la restituer. De plus, chaque partie du graphique contient les informations de la totalité de l'objet. C'est pourquoi il a été nommé hologramme, ce qui signifie diagramme de la totalité.

L'idée que des hologrammes sont présents dans les organismes vivants et portent des informations a déjà été avancée par le neurobiologiste Karl Pribram, suivi par d'autres équipes. Il a démontré que les souvenirs sont enregistrés non pas dans la matière du cerveau, mais dans son champ holographique (voir en annexe).

En accord avec les propositions de l'équipe de Gariaev, W. Schempp et P. Marcer ont montré que l'ADN a une fonction de stockage des informations et que sa capacité est considérable (A mathematically specified template for DNA and the Genetic Code in terms of the physically realisable processes of Quantum Holography, 1996, Proc. Symposium Living Computers, University of Greenwich). En outre, c'est à partir de ces concepts que Schempp a grandement perfectionné la technique d'imagerie par résonance magnétique (IRM) qui est adoptée internationalement, ce qui montre que l'hologramme n'est pas seulement une hypothèse théorique, mais une réalité physique.

Les études de Schempp montrent que les hologrammes sont inscrits dans le plan des paires de bases de la double hélice. Voilà enfin une réponse à la question de savoir pourquoi la molécule d'ADN comporte 2 brins qui portent la même information génétique. C'était incompréhensible selon le code génétique moléculaire classique.

Gariaev conçoit le génome des organismes supérieurs sous forme d'une grille holographique. Les hologrammes de l'ADN contiennent les codes fondamentaux du développement et de la forme complète de l'organisme, même quand l'organisme est à l'état d'embryon. On peut dire qu'ils sont le Soi de l'être vivant.

Langage fractal

Le champ vibratoire holographique s'appuie sur la structure entière de l'ADN et surtout sur les 98,7% non-protéinocodant, qui détiennent donc un rôle fondamental (voir Architecture de l'ADN). On a vu que ces parties ont une structure fractale. Cette caractéristique est transmise dans les hologrammes porteurs des informations génétiques issues de ces parties. Cela signifie que les informations fonctionnent sur plusieurs échelles.

Gariaev insiste sur l'existence de synonymes dans les séquences de l'ADN. Par exemple, dans un codon dont on a lu les 2 premières lettres A et G, comment distinguer AG et GA, et comprendre le sens de la troisième lettre? C'est, dit-il, le contexte qui lève l'ambiguïté, comme dans le langage humain. Ce contexte est donné par le champ holographique.

15 juin 2013

LES AIMANTS GUÉRISSEURS

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Le magnétisme pénètre le corps, pour permettre à nos fonctions vitales de mener à bien leur rôle. Dans cette une approche thérapeutique, le magnétiseur utilise l'énergie électromagnétique qui enveloppe les corps des êtres vivants pour soulager différents mal.

Compte tenu que chaque être vivant est un aimant vivant en attraction avec d'autres aimants, il possède une énergie propre avec la faculté de la partager. Ces échanges d'énergie favorisent l'équilibre, contrairement à la maladie qui est un état de déséquilibre, de faiblesse passagère, d'autre fois fatale.

LES AIMANTS GUÉRISSEURS


« L’aimant attire le fer, écrivait Paracelse au xv siècle : il a aussi un pouvoir sur toutes les maladies qui se propagent à partir d’un centre, sans cesser d’affecter celui-ci, et l’application sur ce centre peut y ramener la maladie, la circonscrire et l’arrêter. La
règle d’or de la médecine consiste précisément à arrêter 1’extension du mal, à le rassembler, à le faire disparaître. L’aimant est donc spécialement favorable dans toutes les inflammations, flux et ulcérations, dans les maladies de l’intestin et de l’utérus, dans les affections internes aussi bien qu’externes. »


C’est sous la direction de Charcot que fut entreprise, en 1879, l’étude de l’influence des aimants sur des malades de La Salpêtrière.
Charcot ne faisait d’ailleurs que reprendre les expériences de Maggiorani qui, en 1869, avait essayé
de restaurer la médication magnétique en cherchant à 1’établir sur des données scientifiques.
Les barreaux aimantés furent donc expérimentés à nouveau, à cause de leur facilité d’application. Les
résultats parurent assez intéressants et constants pour que Proust et Gilbert-Ballet fassent une étude assez
approfondie de leur utilisation. Onze malades furent choisis comme sujets : huit femmes atteintes d’anesthésie ; trois hommes, l’un affecté d’hémi-anesthésie saturnine, un autre d’anesthésie toxique par le sulfure de carbone, et le troisième d’hémi-anesthésie produite par une tumeur cérébrale. Les résultats furent les suivants : toutes les hémi-anesthésies sensorielles disparurent temporairement, quelle qu’ait été la cause de 1’affection. Le nombre, la force des aimants, les temps
d’application varièrent avec chaque malade de 15 à 20 minutes a plusieurs heures, avec un ou plusieurs aimants. Il en fut de même de certaines anesthésies diffuses et généralisées.


-7-A noter que la sensibilité reparaît, dans le côté anesthésié, du centre à la périphérie et c’est toujours
le thorax qui recouvre la sensibilité en premier lieu. Ce fait paraît établir une différence entre la métallothérapie et l’action des aimants. Dans le premier cas, les métaux semblent agir sur les parties périphériques
du système nerveux. (L’application d’une pièce d’or à l’avant-bras détermine le retour de la sensibilité d’abord
à son niveau, pour ensuite s’étendre). Au contraire, les aimants paraissent agir sur les organes centraux.
Chez un malade atteint de tumeur cérébrale et d’hémianesthésie à gauche, si l’on appliquait les aimants de ce côté, la sensibilité reparaissait, mais de l’autre côté se produisaient des phénomènes épileptiformes. La durée pendant laquelle persistait la sensibilité était variable, mais courte, sauf chez deux des malades (tumeur et intoxication par le sulfure de carbone), où, après la quatrième application des aimants, le retour de la sensibilité dura plus de 40 jours.


Proust et Ballet, mettant en rapport deux malades hémianesthésiques, en plaçant la main de l’un dans
la main de l’autre, appliquèrent les aimants au premier : ils constatèrent alors que, par l’intermédiaire du corps du premier malade, agissant comme conducteur, l’action des aimants était transmise au second qui voyait, comme le premier, son anesthésie disparaître.
Des expériences variées leur montrèrent que, dans ce cas, il ne s’agissait pas d’une action à distance des aimants sur le second malade, puisque si l’on met les deux patients à côté l’un de l’autre, dans la même position que précédemment, mais sans que les mains soient en contact, l’action des aimants sur le second malade n’as pas lieu Dans nos traitements par les courants négatifs,
selon la méthode d’Abrams, si nous réunissons deux ou plusieurs malades se tenant mutuellement par la main,
nous constatons la transmission du courant négatif auquel est soumis le premier malade en rapport avec
l’appareil, jusqu’au dernier de la chaîne. Un écouteur téléphonique en relation avec ce dernier, permet d’entendre le courant rythmé appliqué au premier patient.

L’application prolongé des aimants provoqua chez trois malades de vives douleurs au niveau de l’épigastre
et à la partie intérieure du thorax. -8-Debove appliqua le traitement par les aimants à des hémiplégiques et constata leur action sur la mobilité et chez cinq malades, atteints d’hémiplégie saturnine, il nota le retour de l’audition, de la vue et de  l’odorat. Si les aimants ne sont pas doués de propriétés rigoureusement spécifiques, ils font cependant partie du groupe des agents physiques qui semble agir principalement sur les affections nerveuses. L’aimant peut aussi agir, sans être directement en contact avec la  peau,à 1 ou 2 centimètres de distance, en face de la  partie du corps sur laquelle on veut agir, ou sur la vertèbre. Sous l’action des aimants, le tonus et les zones  de matité ou de submatité des organes se modifient.


L’influence d’un barreau aimanté sur l’organisme a été étudié par le Dr Jules Regnault. C’est ainsi qu’il
a constaté que les pôles d’un barreau aimanté approchés de l’extrémité des mains, modifient l’index oscillométrique, et que les réactions changent avec le sexe du sujet examiné. Il semble donc bien qu’il existe une polarité sexuelle et une énergie allant de la main versla terre.


Un aimant placé au niveau de la 7e vertèbre cervicale, sans contact, fait diminuer un anévrisme de l’aorte de 2 centimètres environ.
Une des extrémités d’un barreau aimanté approchée à 5 centimètres du foie, modifie la matité hépatique : il en est de même si l’on approche l’aimant de la 2e vertèbre lombaire. « Aucune raison ne s’oppose scientifiquement à ce que l’aimant possède des propriétés biologiques; cellesci ne sont pas niées pour la chaleur et l’électricité.


Pourquoi refuser à une énergie physique ce qu’on accorde aux autres surtout si, comme il est plus que probable, les agents physiques ne sont que des formesvariées d’une même énergie. L’expérience montre que l’aimant pour agir, n’a pas besoin, d’être volumineux
ni doué de propriétés magnétiques énergiques s’il est actif par ses pôles » (Drs Comment et Creuzé).Depuis que ces pages ont été écrites de grands progrès ont été réalisés dans la fabrication des aimants et leurs applications industrielles.
C’est ainsi que sont nés les aimants permanents fabriqués par des laboratoires spécialisés et dont la
forme nouvelle a été désignée sous le nom de Ticonal. -9-Les alliages Ticonal (nom déposé des alliages nickel - alu - cobalt à direction privilégiée) sont élaborés au four électrique à haute fréquence à partir de matières spécialement affinées. Le métal est coulé à 1600° dans des moules de précision, en sable et bakélite, où il refroidit sous contrôle.

Les pièces sont soumises à un traitement thermique complexe dans un champ magnétique puissant de direction rigoureusement superposable à la direction d’aimantation finale.  Après les opérations de rectification et finition, les aimants sont contrôlés et expédiés par lots homogènes.  Les alliages Ticonal ont une très grande intensité d’aimantation. Les autres formes sont destinées à l’industrie etapplicables aux compteurs, moteurs, téléphone, etc... Des aimants artificiels utilisés en industrie et en bijouterie ont été réalisés avec des poudres agglomérées  de métaux analogues ou ayant les mêmes propriétés que les aimants indiqués ci-dessus.

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12 juin 2013

Le vaccin pourrait aussi contenir une enzyme au pouvoir mutagène héréditaire..

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La composition des vaccins !

Si tous les médecins connaissaient la composition des vaccins, il est probable qu'ils seraient plus prudents dans leurs recommandations vaccinales...

En effet, les vaccins contiennent principalement des microbes et des virus qui peuvent devenir redoutables lorsqu'ils sont combinés à d'autres virus, inoffensifs par eux-mêmes. Les vaccins contiennent également des adjuvants destinés à conserver ou à désinfecter leur bouillon de culture :

- Le formaldéhyde, ou formol, classé dans la catégorie des cancérigènes probables pour l'homme (groupe 2 A).

- Le mercurothiolate, thimérosal ou thiomersal (1), destiné à limiter le risque de contamination bactérienne, constitué à 49,6 % de mercure. Les toxicologues estiment que sa toxicité est équivalente à celle du méthyl-mercure et le rapport sur le mercure, présenté en 1997 au Congrès américain, met clairement en évidence la toxicité potentielle du thimérosal qui se cumule à celle du mercure alimentaire.

- L'hydroxyde d'aluminium (2), adjuvant qui augmente et prolonge la réponse immunitaire aux antigènes inoculés, est couramment utilisé dans les vaccins. Traversant la peau, l'hydroxyde d'aluminium pénètre les tissus pour s'y fixer, se combiner à la ferritine du sang, en lieu et place du fer, et gagner la circulation générale, éventuellement jusqu'au cerveau. Tout récemment, le Pr Ghérardi, de l'hôpital Henri Mondor à Créteil, a décrit une pathologie particulièrement invalidante dont la fréquence ne cesse de croître : la myofasciite à macrophages (MFM) et qui se manifeste au point d'injection des vaccins. En outre, l'aluminium paraît être impliqué dans la maladie d'Alzheimer.

- Certains vaccins sont cultivés sur la bile de bœuf ou le sérum fœtal de veau, susceptibles de transmettre l'encéphalite spongiforme bovine.

- Quant au vaccin anti-hépatite B, c'est un vaccin génétiquement modifié, il entre donc dans la catégorie des OGM que les Français ont massivement rejetés.

D'après le rapport technique 747 de l'OMS, trois types de contaminants peuvent se retrouver dans le produit final : d'abord des virus, ensuite des protéines capables de cancériser d'autres cellules et surtout de l'ADN provenant de cellules de culture, avec le risque de malignité que pourrait représenter à long terme un ADN contaminant hétérogène (de nature différente), en particulier s'il s'avère qu'il contient des séquences potentiellement cancérigènes.

Fabriqué par Pasteur-Mérieux, le vaccin GenHevac B est préparé à partir de l'antigène HBs produit par fragments du génome de deux virus, le SV 40, virus de singe et le MMTV, virus de la tumeur mammaire de la souris. Ces cellules sont immortelles, ce qui signifie qu'elles ont un caractère de cellule cancéreuse. Le virus SV 40 est souvent associé au médulloblastome, la plus fréquente des tumeurs du cerveau en pédiatrie.

Détail encore plus inquiétant, le vaccin pourrait aussi contenir une enzyme au pouvoir mutagène, la TdT (Terminal Desoxynucleotidyl Transferase), que l'on trouve dans diverses cellules normales ou pathogènes, capables de modifier les gènes en multipliant ainsi considérablement les maladies génétiques chez les vaccinés et leur descendance. Le potentiel mutagène de cette enzyme a été démontré par des chercheurs américains, notamment dans des essais in vitro lors de la synthèse d'ADN. Ces fragments d'ADN peuvent générer des mutations à moyen ou long terme et générer ainsi des effets cancérigènes.

Le vaccin Engerix B, préparé par les techniques du génie génétique, contient cette enzyme qui se trouve être dix fois plus active que dans les autres vaccins (20 #g au lieu de 2 #g).

De surcroît, les vaccins génétiques contiennent de la ribonucléase, très probablement d'origine virale. Cette enzyme dégrade les ARN de la cellule et également les polymères synthétiques.

En outre, ces cellules sont nourries avec du sérum de veau, dont l'usage est interdit par la législation concernant les médicaments injectables en raison du risque de contamination par des prions particulièrement dangereux.

Ainsi, ce vaccin inocule, de façon absolument certaine, des substances éventuellement cancérigènes et des résidus d'outils de manipulations génétiques qui pourraient bien être à l'origine de cas de tératogenèse. Par ailleurs, d'après leurs promoteurs, on ne pourra mesurer l'éventuelle efficacité de ces vaccins, comme leur nocivité, que dans 15 ou 20 ans. Toute personne inoculée est donc un cobaye !

Sylvie Simon

7 juin 2013

Catastrophe à venir Dans la Manche, des fûts remplis de déchets nucléaires datant des années 50 et 60

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Le risque de catastrophe nucléaire ne s'arrête pas aux centrales elles-même, il persiste bien au delà sous la forme de déchets disséminés de par le monde. Alors que pour Areva qui veut nous faire croire que « tout va bien », évoquant la partie visible de l'iceberg que sont les sites de stockage officiels, nonobstant les dépôts dits « sauvages » que certains d'entre vous connaissent déjà, qu'en est-il de la situation réelle ?

Pas besoin d'avoir bac +5 pour comprendre que la ressource principale des habitants de cette planète - sans laquelle aucune vie n'existerait - est l'eau. Qu'arriverait-t-il si l'eau du globe était exposée à une irradiation prolongée causée par la détérioration de containers radioactifs au fond des océans ? Je vous laisse juger par vous même de ce qui nous attend dans l'avenir, ainsi que de la gravité de la situation  ignorée du plus grand nombre... Le veilleur

Des fûts de déchets nucléaires dans la Manche


Dans la Manche, devant la côte française, des fûts remplis de déchets nucléaires datant des années 50 et 60 et toujours intacts gisent au fond de la mer. L'information a été dévoilée par la télévision franco-allemande Arte. A l'aide d'un sous-marin téléguidé, deux fûts ont ainsi été filmés à 124 mètres de profondeur, à quelques kilomètres seulement de la côte française.

Un danger latent ?


Pour les organisations gouvernementales, ces fûts constituent un danger latent car le rayonnement peut atteindre la chaîne alimentaire. Auparavant, on pensait que les fûts étaient rouillés et ouverts, et qu'ainsi les déchets radioactifs étaient dispersés dans l'océan, les rendant inoffensifs. Le reportage d'Arte montre qu'il n'en est rien. Les déchets sont bien intacts au fond de la Manche.

Aucune raison d'agir

Les gouvernements compétents ne voient aucune raison d'agir. Selon eux, cela concerne une quantité faible et modérée de déchets radioactifs. La Grande-Bretagne a immergé des fûts jusqu'en 1982 dans la Manche et dans d'autres lieux au nord de l'océan Atlantique. D'autres pays, parmi lesquels la Belgique, la Suisse et l'Allemagne, ont utilisé cette technique interdite depuis lors. source 7sur7.be

Dans la Manche, plus de radioactivité qu'à Fukushima ?

Y-a-t-il plus de tritium - de l'hydrogène radioactif - dans les eaux de la Manche que dans celles du Pacifique, à proximité de la centrale de Fukushima ? C'est ce qu'affirme l'Association pour le contrôle de la radioactivité dans l'Ouest (ACRO), qui a mesuré, le 17 octobre 2012, une concentration en tritium de 110 becquerels par litre d'eau dans la baie d'Ecalgrain. A quelques pas de de l'usine Areva de La Hague, dans la Manche.

Une quantité anormale : l'ACRO relève habituellement moins de 27 becquerels par litre d'eau.

« En dix ans de surveillance mensuelle à Goury (ndlr : au cap de la Hague), de 1998 à 2007, l'IRSN (Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire ) n'a jamais mesuré de concentration supérieure à 33,3 Bq/L », écrit l'association dans son communiqué. L'ACRO rappelle également que la concentration naturelle de tritium est de l'ordre de 0,1 Bq/L.

Parmi les mesures qu'elle effectue régulièrement, l'entreprise Areva, qui exploite le site de la Hague, dit n'avoir rien remarqué d'anormal. Ses installations nucléaires rejettent des effluents liquides radioactifs directement dans la mer, au large. Une pratique encadrée par des autorisations spécifiques. L'idée est de diluer ces liquides radioactifs dans les eaux de la Manche, afin de les rendre inoffensifs. Peu importe que les rejets radioactifs se déplacent ensuite, au gré des courants, le long des côtes de la Basse-Normandie.

« Les seules usines de retraitement d'Areva à La Hague (Manche) et de Sellafield (sa cousine anglaise) constituent le rejet radioactif le plus important au monde résultant d'une activité humaine »
, indique Greenpeace. L'organisation environnementale cite un rapport réalisé en 2001 pour le compte du Parlement européen, qui conclut que ce rejet est équivalent à un accident nucléaire à grande échelle chaque année.

« Plusieurs études ont d'ailleurs établi une recrudescence statistiquement importante de leucémie dans la région de La Hague », ajoute l'ONG. Mais pour le chef de l'Autorité de sûreté nucléaire, Simon Huffeteau, le taux de tritium mesuré par l'ACRO n'est pas inquiétant.


« C'est une valeur qui est ponctuelle, qui ne représente pas d'enjeu sanitaire », explique-t-il. Une valeur ponctuelle pourtant largement supérieure aux mesures effectuées début mars, dans les eaux du Pacifique à proximité de Fukushima (13 Bq/l) et au large (3 Bq/l). Que s'est-il donc passé à la Hague, s'interroge l'ACRO ? source bastamag.net

36.000 fûts de déchets radioactifs immergés dans l'Atlantique

Plus de 14.000 tonnes de déchets radioactifs ont été immergées à la fin des années 1960 par la France dans des fosses de l'Atlantique, rappelle l'Andra à l'occasion de son inventaire national publié mercredi. Cette pratique a ensuite été abandonnée en 1983.

C'est dans le cadre de deux opérations coordonnées à l'époque par l'Agence pour l'énergie nucléaire (AEN) de l'OCDE que la France avait procédé à ces immersions, aux côtés de nombreux autres pays européens. En 1967, l'Allemagne, la Belgique, la France, le Royaume-Uni et les Pays-Bas ont ainsi immergé environ 11.000 tonnes de déchets (36.000 fûts) dans un site à 400 km au large de la Galice (Espagne) par plus de 4600 mètres de fond.

Ces déchets, liquides et directement évacués dans la mer ou solides et emballés dans des fûts métalliques, représentaient une radioactivité de l'ordre de 300 térabecquerels. A titre de comparaison, l'accident survenu à la centrale japonaise de Fukushima en mars 2011 a relâché plusieurs dizaines de millions de milliards de becquerels dans l'atmosphère et l'océan Pacifique.

Centre de stockage dans la manche

En 1969, une nouvelle opération, regroupant cette fois la Belgique, la France, le Royaume-Uni, l'Italie, les Pays-Bas, la Suède et la Suisse s'est traduite par l'immersion d'environ 9000 tonnes (de l'ordre de 900 TBq) sur un site à 900 km à l'ouest de la Bretagne, à une profondeur comprise entre 4000 et 4600 mètres. La France a cessé ces immersions avec l'ouverture, la même année, de son Centre de stockage de la Manche, fermé depuis lors.

Mais l'AEN a poursuivi les campagnes d'immersion jusqu'à un moratoire signé en 1983, sur un seul site au large du golfe de Gascogne, utilisé par la Belgique, le Royaume-Uni, les Pays-Bas et la Suisse. La France n'a jamais déversé ses déchets nucléaires dans la Manche. En revanche, avant que l'AEN n'encadre les opérations (de 1949 à 1966), le Royaume-Uni, et la Belgique dans une moindre mesure, ont immergé leurs déchets dans la fosse des Casquets, à 15 km seulement au nord-ouest des côtes françaises du cap de La Hague.

La France a également utilisé deux sites du Pacifique, à proximité de l'atoll de Mururoa, où elle effectuait des essais nucléaires militaires, pour immerger des déchets par plus de 2000 mètres de fond. Ces déchets, conditionnés ou non, ont été coulés entre 1972 et 1982 et représentaient au total quelque 2500 tonnes, pour environ 70 milliards de becquerels.

Plus de 1,3 million de mètres cubes de déchets nucléaires en tous genres étaient stockés en France fin 2010, un volume appelé à doubler d'ici à 2030, selon l'inventaire publié mercredi 11 juillet par l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra).

De 1,320 million de mètres cubes fin 2010, le volume global de ces déchets pourrait en effet atteindre 2,7 millions en 2030, selon les nouvelles prévisions. « En France, la production de déchets radioactifs représente l'équivalent de 2 kg par an et par habitant », souligne l'Andra dans son rapport.

Disponible sur le site de l'Andra, www.andra.fr, cet inventaire est « un outil de gestion » et un moyen « d'anticiper les besoins de stockage » pour l'avenir mais aussi une source d'informations précises pour le citoyen, a souligné devant la presse son président, François-Michel Gonnot.

59 % viennent des centrales, 11 % des activités militaires

Ces déchets radioactifs proviennent principalement des centrales nucléaires (59 %) mais aussi de laboratoires de recherche (26 %), des activités militaires (11 %), de l'industrie non nucléaire (3 %) et du secteur médical (1 %), selon le dernier inventaire de l'Andra. Ils ne présentent pas tous les mêmes risques, insiste l'organisme public chargé de concevoir des solutions pour les stocker en toute sécurité.

Les plus dangereux sont les déchets dits « de haute activité » (HA) issus pour l'essentiel du traitement des combustibles usés dans les réacteurs nucléaires de l'Hexagone. Fin 2010, ces déchets HA représentaient 2700 m3, soit seulement 0,2 % du total déjà produit. Mais ils contiennent à eux seuls 96 % de la radioactivité totale des déchets nucléaires, à raison de plusieurs milliards de becquerels par gramme. Leur volume devrait doubler d'ici à 2030.

Viennent ensuite les déchets de « moyenne activité à vie longue » (MA-VL), dont la période radioactive dépasse 31 ans. Ces déchets (40.000 m3 fin 2010, 3 % du total), sont surtout issus des gaines entourant les combustibles nucléaires.

La majeure partie des stocks français est constituée de déchets de faible et moyenne activité à vie courte (63 % du volume total pour 0,02 % de la radioactivité). Ils sont liés à la vie des installations nucléaires ou produits par les laboratoires de recherche ou médicaux. Après avoir été stockés dans la Manche - un centre ouvert en 1969 et désormais fermé - ils sont pris en charge dans l'Aube depuis 1992.

Un nouveau centre d'enfouissement pour 2025

Les déchets HA et MA-VL ont, eux, vocation à être enfouis à grande profondeur dans le Centre industriel de stockage géologique (Cigéo) à l'étude par l'Andra, qui devrait ouvrir en 2025 à la limite de la Meuse et de la Haute-Marne. En attendant, ils sont entreposés sur les sites où les colis de déchets sont produits, à La Hague (Manche) et Marcoule (Gard).

Issus du démantèlement des premières centrales au graphite ou de l'ancienne industrie du radium, les déchets de faible activité à vie longue constituent 7 % du volume total et environ 0,01 % de la radioactivité. Ils sont le plus souvent stockés sur les sites qui les ont produits, faute de solution définitive. Ils incluent également des milliers d'objets radioactifs anciens (fontaines au radium, paratonnerre au radium, vieux détecteurs d'incendie, etc.).

Le reste est constitué de ferrailles, béton et gravats produits par l'industrie ou le démantèlement des installations nucléaires, soit 360.000 m3 de déchets dits « à très faible activité » (TFA). Le volume de TFA, stockés en surface dans l'Aube depuis 2003, devrait atteindre 1,3 million de mètres cubes en 2030. source Le monde

Les « Tchernobyl » sous-marins

Où vont les sous-marins nucléaires naufragés ? Au fond de la mer comme leurs semblables à moteur Diesel. Seule différence, dans ces tragédies, c'est que les sous-marins nucléaires relâchent dans le milieu marin une source formidable de radioactivité qui vient s'ajouter à celle des bombes et des missiles perdus, sans parler des fûts radioactifs qu'une douzaine de pays, le Royaume-Uni en tête, ont rejetés à l'eau pendant trente-six ans.

Nous ne trahirons pas un secret militaire en révélant que 510 sous-marins nucléaires sillonnent les mers du monde entier. A cette flotte, il faut ajouter 65 navires militaires et 10 bateaux civils à propulsion nucléaire. Ces tout derniers n'ont à leur bord qu'un ou deux réacteurs nucléaires qui servent à leur propulsion, mais les autres, sous-marins compris, transportent généralement des armes nucléaires sous forme de bombes ou de missiles.

Lorsque le navire coule, avec ou sans sa charge, personne n'en parle. Idem lorsqu'une arme est perdue au cours d'une manoeuvre. Les gouvernements nient d'abord les faits, puis, lorsque les preuves s'accumulent, ils finissent par reconnaître, par exemple, qu'un missile « non armé » a bien été tiré. Il n'y a que le grand publie qui soit trompé par ces communiqués lénifiants, car les services secrets du monde entier savent, eux, très exactement ce qui s'est passé.

Dans le lot de sous-marins coulés, il n'est pas exclu que certains aient purement et simplement été envoyés à la casse. Une façon peu coûteuse de se débarrasser d'un matériel périmé ! La marine américaine l'avait fortement envisagé pour une centaine de ses bâtiments qui devaient être démantelés entre 1982 et 20l2.

Pour la première fois, l'Agence internationale pour l'énergie atomique (AIEA), à Vienne, a tenté de recenser ces accidents. Ce travail, qui aurait été infaisable sans la détente, était destiné à la Conférence internationale sur la pollution marine qui s'est tenue à Londres du 25 au 29 novembre 1991. L'AIEA a retrouvé la trace de 31 accidents, pas moins, dont 16 ne sont d'ailleurs toujours pas reconnus par les pays concernés (voir carte plus bas). Mais il y en a peut-être davantage ! Le nombre d'armes nucléaires associées à ces accidents n'est pas toujours connu. On ne sait pas non plus précisément de quelles armes il s'agit. Dans la plupart des cas, ce sont des têtes nucléaires de missiles.

Ce sont les Etats-Unis qui sont responsables de la majorité des pertes (18 sur 31), ce qui semble logique puisqu'ils possèdent le stock d'armes nucléaires le plus important de la planète. Les Soviétiques, moins loquaces encore que les Américains, apparaissent loin derrière : 9 accidents dont 7 de sous-marins.

Mais il n'y a pas que les bateaux. Ainsi, lorsqu'un avion B-52 s'est écrasé, le 21 janvier 1968, sur la banquise non loin de la base de Thulé au Groenland, les quatre bombes qu'il transportait se sont brisées et la matière radioactive, principalement du plutonium, s'est répandue sur 50 km à la ronde contaminant tout le milieu marin. Mais c'est une affaire oubliée.

Parfois c'est un satellite équipé d'un générateur nucléaire qui quitte son orbite et regagne la Terre, c'est-à-dire la plupart du temps la mer puisque la surface des terres émergées est huit fois moindre que celle des océans.

Inutile de dire que ces engins sont rarement récupérés, soit parce qu'on ne les localise pas avec précision, soit parce qu'ils reposent à de trop grandes profondeurs. Les Russes envisagent toutefois de renflouer un de leurs sous-marins, le Komsomolets, abîmé en mer du Nord près de la côte norvégienne, le 7 avril 1989, avec des missiles à bord. Le gouvernement norvégien a d'ores et déjà interdit la pêche autour de cette zone, car des inspections ont prouvé que le réacteur fuyait et que la corrosion, plus rapide que prévue, gagnait les têtes nucléaires.

Au total, ce sont des millions de milliards de becquerels qui reposent au fond des mers, soit plusieurs fois la dose que la catastrophe de Tchernobyl a injecté dans l'atmosphère. Cette radioactivité accidentelle s'ajoute à celle qu'une poignée d'Etats, Royaume-Uni en tête, ont déversé volontairement, durant 36 ans, dans une cinquantaine de sites, pour se débarrasser de leurs déchets nucléaires prétendus de faible ou moyenne activité.
 

Les premiers déversements volontaires remontent à 1946, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale; les Américains avaient alors choisi des sites dans le Pacifique non loin des côtes de la Californie. Le dernier a eu lieu en 1982 dans l'Atlantique nord, à un millier de kilomètres environ des côtes françaises.

Ce mode de rejet a finalement cessé sous la pression des pays qui s'y opposaient. Car, jusque-là, il était autorisé et réglementé par la Convention pour la prévention de la pollution marine, signée en 1975 et connue sous le nom de Convention de Londres. C'est ainsi que des centaines de milliers de fûts de déchets enrobés dans du bitume ou du ciment, parfois groupés dans des containers, reposent au fond des mers. Il suffit de 10 à 15 ans pour que ces matériaux se désagrègent sous l'effet de l'eau de mer ! Et il est arrivé, dans les tout débuts, qu'on verse directement les déchets sans emballage, en vrac, voire sous forme liquide !

Qui sont exactement les pollueurs ? Douze pays. Certains, comme l'Italie, l'Allemagne ou la Suède, n'ont failli qu'une seule fois, et n'ont rejeté que de faibles quantités de radioactivité. La France, quant à elle, qui a disposé du Centre de stockage de la Manche, près de la Hague, ne s'est livrée que deux fois à ces déversements, mais les quantités étaient plus importantes (voir schéma ci-contre).
 

Mais le pompon revient de loin au Royaume-Uni qui, à lui seul, est responsable de près de 80 % de la radioactivité rejetée. Nos amis anglais ont en effet déversé quelque 75 000 tonnes de déchets nucléaires dans une quinzaine de sites de l'Atlantique (voir carte ci-contre). Ils ont même trouvé qu'un site était tout désigné : la mer en face de la Hague. Et par quinze fois, immités deux fois par les Belges, ils y ont déversé leurs déchets entre 65 et 160 m de profondeur. Cette décharge sauvage se situe très exactement par 49° 50' N de latitude et 2° 18' W de longitude, à une trentaine de kilomètres des côtes françaises. Si les crustacés ou les coquillages accusent parfois des taux de radioactivité anormaux autour du Cotentin, fi n'y a pas que l'usine de retraitement de la Hague qui en soit responsable !

Autour de ces poubelles, on a trouvé du césium et du plutonium à des taux élevés. C'est cela qui a fait interdire ces déversements... tout au moins officiellement: des révélations provenant d'un responsable soviétique indiquent que plusieurs milliers de tonnes de déchets radioactifs civils et militaires - dont le réacteur du Lénine, le premier brise-glace nucléaire - auraient été déversées clandestinement jusqu'à très récemment dans la mer de Kara, au large de la Sibérie.

La carte mondiale des épaves radioactives
 

Des déchets radioactifs ont été volontairement déversés dans une cinquantaine de sites marins répertoriés sur cette carte. Mais c'est surtout l'Atlantique nord qui a servi de poubelle aux Etats. Nous possédons peu de données sur les accidents en mer impliquant des matières nucléaires, secret militaire oblige. Voici néanmoins la liste de ceux que vient de recenser - pour la première fois - l'AIEA, avec toutes les imprécisions qui subsistent sur les quantités de radioactivité rejetées, la localisation précise et parfois même sur le nom du sous-marin coulé.

1) Mutsu (1er septembre 1974). Fuite de radiations (neutrons), sur ce cargo japonais à propulsion nucléaire, due à des défauts de structure, à 800 km à l'est de Shiriyazaki.

2) Avion américain B-36 (13 février 1950) équipé d'une arme nucléaire, perdu au large de Puget Sound.

3) Avion américain (10 novembre 1950) perdu, avec des armes nucléaires à bord, quelque part sous la mer en dehors des Etats-Unis.

4) Avion américain B-36 (18 mars 1953) perdu, avec des armes nucléaires à bord; au large de Terre-Neuve.

5) Avion américain B-47 (10 mars 1956) perdu, avec deux capsules de matières radioactives, en Méditerranée.

6) Avion américain B-47 (5 mars 1958) équipé d'une arme nucléaire, perdu au large de la Géorgie.

7) Avion de chasse américain F 102 (mi 1960) équipé d'un missile nucléaire, perdu dans la baie de Haiphong,

8) Missile intercontinental américain (ICBM Thor Rocket) (4 juin 1962) tombé en mer près de l'île Johnston, lors d'un tir d'essai.

9) Missile intercontinental américain (ICBM Thor Rocket) (20 juin 1962) tombé en mer près de l'île Johnston, lors d'un tir d'essai.

10) Thresher (10 avril 1963), sous-marin américain SSN-593 coulé à 100 milles à l'est du Cap Cod par 2 590 m de profondeur, et qui a éclaté. Son réacteur nucléaire représente une radioactivité de l 147 000 giga becquerels.

11) Transit 5 BN-3 (21 avril 1964), satellite américain tombé au nord de Madagascar. Son générateur nucléaire SNAP-9A au plutonium 238 représente une radioactivité de 630 000 gigabecquerels

12) Avion américain (5 décembre 1965) qui, mal calé, est tombé du pont du porte-avions Ticonderoga à la suite d'un coup de roulis et a coulé à 5000 m de profondeur au large du Japon. Il était équipé d'une arme nucléaire.

13) 4 bombes nucléaires (17 janvier 1966) perdues par un avion américain B-52 à 5 milles de Palomares en Espagne, dont une en mer qui a été récupérée par 914 m de fond.

14) 4 armes nucléaires (21 janvier 1968) perdues par un avion B-52 sur la banquise près de Thulé. Une partie seulement du plutonium répandu a été récupérée.

15) Scorpion (entre le 21 et le 27 mai 1968), sous-marin américain SSN-589, perdu à 400 milles (740 km) au sud-ouest des Açores par plus de 3 3 000 m de profondeur et qui a éclaté. Son réacteur nucléaire représente une activité de 1.295.000 gigabecquerels,

16) Nimbus B-1 (18 mai 1968), satellite américain tombé à 100 m de profondeur, près de Santa-Barbara, avec son générateur nucléaire SNAP-19. A été récupéré.

17) Générateur SNAP-27 (11 avril 1970) contenant 1.650.000 gigabecquerels de plutonium 238 et appartenant à un module de la mission Apollo tombé au sud des îles Fidji, par 6000 m de profondeur.

18) Missile Phoenix (14 septembre 1976) perdu par un avion de chasse américain F-14 et récupéré à 75 milles des côtes écossaises.

19) Missile de croisière américain (25 février 1986), dans la mer de Beaufort.

20) Mont-Louis (5 août 1984), cargo français transportant 30 containers d'hexafluorure d'uranium, entré en collision avec un car-ferry britannique. La cargaison, représentant environ 6000 millions de becquerels, fut récupérée deux mois plus tard, par 25 m de profondeur.

21) Sous-marin soviétique (11 avril 1968) perdu avec 5 armes nucléaires, à 750 milles au nord-ouest de l'île Oahu (Hawaii)

22) Sous-marin soviétique (1968) perdu dans le nord-est de l'Atlantique, avec 4 armes nucléaires.

23) Sous-marin soviétique (10 janvier 1970) perdu en baie de Naples avec des torpilles nucléaires.

24) Sous-marin soviétique (12 avril 1970) perdu dans le nord-est de l'Atlantique, avec 4 armes nucléaires.

25) Kashin Class (septembre 1974), destroyer soviétique perdu en mer Noire avec des armes nucléaires.

26) Sous-marin soviétique (juin 1983) perdu au large du Kamtchatka, avec 8 armes nucléaires.

27) Cosmos-1402 (7 février 1983), satellite soviétique avec un réacteur nucléaire d'une radioactivité estimée à 1.000.000 de gigabecquerels, tombé à 1600 km à l'est des côtes brésiliennes.

28) Sous-marin soviétique (4 octobre 1986) équipé d'armes nucléaires, coulé à 1000 km au nord-est des Bermudes par 5000 m de fond.

29) Komsomolets (7 avril 1989), sous-marin soviétique avec des armes nucléaires, coulé, à la suite d'un feu à bord, près des côtes norvégiennes, à 180 km au sud-ouest de l'île de Medvezhy, par 1 500 m de fond. Les Soviétiques espèrent le renflouer.

Quant aux deux derniers accidents recensés par l'AIEA, les Britanniques viennent d'affirmer, contrairement à ce qui avait d'abord été annoncé, qu'ils n'avaient pas d'arme nucléaire à bord. Ce sont :

30) HMS Sheffield (10 mai 1982), destroyer britannique coulé par un missile Exocet de la marine argentine, au large des îles Falklands.

31) HMS Resolution (19 mai 1985). Ce sous-marin britannique a perdu un missile Polaris non équipé, d'après les Britannique d'une tête nucléaire, au cours d'un essai ou d'une fausse manoeuvre, au large de la Floride. Doit-on croire les Britanniques ?


Source © Le veilleur

7 juin 2013

Emission de formes et mystérieuses émanations spirituelles

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Une nouvelle approche de l’Univers… Un reportage de Joël André

 

Si les mathématiques, l’architecture et l’esthétique apportent d’innombrables données descriptives et analytiques concernant les Formes, aucune science actuelle ne semble pourtant poser le problème fondamental : « Que sont les Formes ? ». Et surtout : « Que font les Formes ? ».

Dès 1930, André de Bélizal et les ingénieurs Chaumery et Morel abordaient néanmoins la question et aboutissaient, dans une sorte de tentative de conciliation entre la radiesthésie et l’électromagnétisme, à la notion d’Ondes de Forme.


Une seconde génération de chercheurs, entre autres l’archéologue Enel, puis Jean de la Foye et Roger de Lafforest, reprenaient les résultats des pionniers et accumulaient les vérifications expérimentales. On ignorait toujours la nature exacte de ces « Ondes de Forme », mais l’influence de ces mystérieuses émanations sur le végétal et le vivant pouvait être reproduite à partir d’émetteurs artificiels, décelée par des détecteurs et utilisée à des fins précises.

L’entretien qui va suivre évoque, bien entendu, ces étapes préliminaires sans lesquelles les recherches actuelles resteraient incompréhensibles. Sans s’y attarder, toutefois, et ceci pour deux raisons.

 

Il n’est pas souhaitable de donner trop de précisions pratiques sur les dispositifs expérimentaux utilisés dans ce domaine. Leur simplicité apparente dissimule des potentialités redoutables que le débutant enthousiaste (comme parfois le chercheur confirmé) risque de découvrir à ses dépens et… à ceux des autres !

Mais surtout, les travaux menés actuellement par le Groupe ARK’ALL constituent une sorte de révolution par rapport au passé. On ne parle plus d’Ondes de Forme mais d’Émissions dues aux Formes. Pourquoi ? Parce que l’on n’a pas à faire à des ondes, ni celles du spectre électromagnétique, ni celles de tout autre système vibratoire connu. En bref : les Émissions dues aux Formes n’appartiennent pas à notre Univers physique…

 

On trouvera bien d’autres propos « insoutenables » tout au long de cet entretien avec Jacques Ravatin. Les Initiés de l’Antiquité conversaient-ils avec les Dieux ? L’alphabet hébreu recèle-t-il l’état latent de toute réalité ? Les Pyramides, les statues de l’île de Pâques et les Cathédrales sont-elles autant de gigantesques Émetteurs ? Et par-là même des véhicules vers ce que le diagramme relativiste du Temps désigne comme « Ailleurs » ? Encore s’agirait-il d’un Ailleurs… autre que celui des physiciens. Notre univers physique ne serait qu’une restriction de l’univers réel, du Global.

On ne saurait rester insensible aux propos de Jacques Ravatin en tant qu’ils concernent les aspects les plus fondamentaux de. la connaissance. Et des questions plus immédiates telles que l’habitat, l’environnement, la médecine et la technologie du Futur. Même sur ces thèmes de civilisation, on verra que les formulations défient toutes nos habitudes de pensée.

Si les mathématiques, l’architecture et l’esthétique apportent d’innombrables données descriptives et analytiques concernant les Formes, aucune science actuelle ne semble pourtant poser le problème fondamental : « Que sont les Formes ? ». Et surtout : « Que font les Formes ? ».

 

Dès 1930, André de Bélizal et les ingénieurs Chaumery et Morel abordaient néanmoins la question et aboutissaient, dans une sorte de tentative de conciliation entre la radiesthésie et l’électromagnétisme, à la notion d’Ondes de Forme.



Une seconde génération de chercheurs, entre autres l’archéologue Enel, puis Jean de la Foye et Roger de Lafforest, reprenaient les résultats des pionniers et accumulaient les vérifications expérimentales. On ignorait toujours la nature exacte de ces « Ondes de Forme », mais l’influence de ces mystérieuses émanations sur le végétal et le vivant pouvait être reproduite à partir d’émetteurs artificiels, décelée par des détecteurs et utilisée à des fins précises.

 

L’entretien qui va suivre évoque, bien entendu, ces étapes préliminaires sans lesquelles les recherches actuelles resteraient incompréhensibles. Sans s’y attarder, toutefois, et ceci pour deux raisons.

 

Il n’est pas souhaitable de donner trop de précisions pratiques sur les dispositifs expérimentaux utilisés dans ce domaine. Leur simplicité apparente dissimule des potentialités redoutables que le débutant enthousiaste (comme parfois le chercheur confirmé) risque de découvrir à ses dépens et… à ceux des autres !

 

Mais surtout, les travaux menés actuellement par le Groupe ARK’ALL constituent une sorte de révolution par rapport au passé. On ne parle plus d’Ondes de Forme mais d’Émissions dues aux Formes. Pourquoi ? Parce que l’on n’a pas à faire à des ondes, ni celles du spectre électromagnétique, ni celles de tout autre système vibratoire connu. En bref : les Émissions dues aux Formes n’appartiennent pas à notre Univers physique…

 

On trouvera bien d’autres propos « insoutenables » tout au long de cet entretien avec Jacques Ravatin. Les Initiés de l’Antiquité conversaient-ils avec les Dieux ? L’alphabet hébreu recèle-t-il l’état latent de toute réalité ? Les Pyramides, les statues de l’île de Pâques et les Cathédrales sont-elles autant de gigantesques Émetteurs ? Et par-là même des véhicules vers ce que le diagramme relativiste du Temps désigne comme « Ailleurs » ? Encore s’agirait-il d’un Ailleurs… autre que celui des physiciens. Notre univers physique ne serait qu’une restriction de l’univers réel, du Global.

 

On ne saurait rester insensible aux propos de Jacques Ravatin en tant qu’ils concernent les aspects les plus fondamentaux de. la connaissance. Et des questions plus immédiates telles que l’habitat, l’environnement, la médecine et la technologie du Futur. Même sur ces thèmes de civilisation, on verra que les formulations défient toutes nos habitudes de pensée.

 

Mais alors, fallait-il publier ces propos, ou encore n’était-il pas trop tôt pour le faire ?

 

De deux choses l’une : ou bien les affirmations de Jacques Ravatin sont exactes et les recherches de son groupe sont en passe de révolutionner la science actuelle. Il serait alors impardonnable de faire obstacle à leur diffusion et à leur libre appréciation par tous. Ou bien elles relèvent d’un enthousiasme exagéré et d’un manque total de prudence scientifique, auquel cas, selon la formule consacrée, elles n’engagent que leur auteur, sa bonne foi et ses compétences universitaires.

 

Dans un cas comme dans l’autre, Jacques Ravatin nous a paru capable de prendre ses responsabilités. Sa carrière universitaire (après un doctorat en physique mathématique, il enseigne aujourd’hui cette discipline à l’Université d’Amiens) ne le laisse pas sans répondant sur le plan polémique. Sa pratique expérimentale (il fut également ingénieur-chimiste au C.N.R.S.) laisse espérer qu’il a su garder les yeux ouverts lors de ses investigations. L’assurance avec laquelle il se propose d’opérer les principales transformations physico-chimiques connues par des voies entièrement ignorées de nos laboratoires serait insensée si elle ne reposait sur un acquis vérifiable. Les thèses et brevets se multiplient d’ailleurs autour des travaux du Groupe Ark’All et l’industrie privée leur accorde déjà un soutien non négligeable.



Mais supposons que les propos qui vont suivre ne relèvent que d’extrapolations sans fondement ou encore d’observations réelles mais hâtivement généralisées, bref d’un abus d’interprétation. Il n’en serait pas moins nécessaire de les lire et de les relire. Einstein ne disait-il pas avoir recueilli certaines idées majeures de ses théories à la lecture… d’ouvrages de science-fiction !

 

 

Question – Joël André : Étant donné le domaine insolite que nous allons aborder, il serait bon de donner une idée de votre formation scientifique et des fondements de vos présentes recherches.

 

 

Réponse – Jacques Ravatin : Dès la fin de mes études secondaires, j’étais préoccupé par l’existence de réalités inconnues de la science classique. Je pensais que certains phénomènes relevaient d’une approche différente.

 

Je me mis à la recherche de ce que j’appelle des Systèmes non-Cartésiens. Dans les milieux universitaires, les avis sur l’existence de tels systèmes étaient très partagés.

 

En 1965, dans ma thèse de physique mathématique, je montrais que certains grands problèmes de la Physique étaient justiciables d’autres systèmes de référence, d’autres approches que celles utilisées jusqu’à présent.

 

Le Jury de Thèse était présidé par le Pr Depommier, aujourd’hui Directeur d’un grand Laboratoire de Physique à Montréal. Il fut très intéressé par la notion de Systèmes non-Cartésiens et m’encouragea à poursuivre mes recherches.

 

Désirant approfondir mes connaissances mathématiques, j’ai travaillé un certain temps sur des algèbres très spéciales. Puis, j’entrepris des recherches au C.N.R.S.

 

Je continuais à penser aux Systèmes non-Cartésiens, jusqu’au jour où j’entendis Roger de Lafforest, au cours d’une émission télévisée, parler de certaines recherches sur les Formes et leurs effets insolites sur les êtres vivants.



R. de Lafforest mentionna mes recherches théoriques comme susceptibles d’éclairer les résultats obtenus par plusieurs chercheurs, dont lui-même, sur le plan expérimental. J’ai donc pris contact avec lui et il m’a permis de faire connaissance avec les travaux dus à André de Bélizal sur ce que l’on appelait alors les « Ondes de Forme ». Il m’a fait découvrir entre autres les curieuses propriétés d’une forme égyptienne dite « Louksor », celle que l’on retrouve sur la bague protectrice que M. de Bélizal avait baptisée « bague atlante ».

 

Les propriétés insoupçonnées des Formes me donnaient accès à l’un de ces Systèmes non-Cartésiens dont j’avais cherché si longtemps un exemple réel. De leur côté, les pionniers comme Turenne, de Bélizal, Chaumery, Enel et les chercheurs de la seconde génération tels que Jean de la Foye et R. de Lafforest avaient beaucoup expérimenté et raisonné par analogie. En reprenant leurs résultats à la lumière des modèles non-cartésiens que j’avais élaboré sur le plan abstrait, on pouvait enfin avancer et savoir de quel aspect du réel relevaient les énigmatiques influences émises par les Formes.








 

 

 

 

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La Forme « Louksor ». Elle figurait sur une bague en grès noir retrouvée en Égypte vers la fin du XIXe siècle.


A. de Bélizal avait constaté les effets de cette bague sur divers aspects de sa vie quotidienne, sur le plan tant physique que psychique. Ce fut l’origine de ses recherches sur ce qu’il baptisa par la suite « Ondes de Forme ».



Selon Jacques Ravatin, cette bague compense les effets néfastes de certaines Émissions dues aux Formes. L’archéologue Carter la portait lors de l’ouverture du tombeau de Tout Ankh Amon en 1922. Il fut le seul rescapé de la vague de décès inexpliqués qui frappa dix-huit personnes associées de près aux fouilles de la mission Carter-Carnavon, celle qui devait aboutir à l’invention de la tombe du pharaon et du célèbre trésor. Les chercheurs auraient été atteints par des Émissions nocives dues au déplacement des objets funéraires : la disposition de ces derniers dans les sépultures égyptiennes répond en effet à des notions d’équilibre des Formes et leur agencement très particulier ne peut être bouleversé sans risques.

 

Q – Pouvez-vous, en un bref historique, relater les principales étapes qui ont marqué l’évolution du problème jusqu’à sa forme actuelle ?

 

 

R -Pour ce qui va suivre, il convient d’abord de parer à un argument trop connu dès que l’on parle de radiesthésie. L’usage du pendule est en effet contesté sous prétexte que sa giration serait due à d’imperceptibles mouvements musculaires, conscients ou non, de la part du sujet qui le manipule.

 

Or, dès 1850, le baron de Reichenbach avait mis au point un type de pendule qui excluait l’action musculaire du sujet. Il s’agit d’un pendule dont le fil, à une certaine hauteur, est enroulé un bon nombre de fois autour d’un cylindre fixe. Le sujet n’avait d’autre contact avec le pendule que l’extrémité de l’index posé sur le fil au niveau du cylindre d’enroulement. L’intervention des secousses musculaires, même importantes, était donc exclue, ce qui n’empêchait pas le pendule d’entrer en giration selon les principes habituels.

 

Après cette précision indispensable, j’en viens à une autre expérience due également à Reichenbach et directement liée à ce qui nous intéresse. Sur le pôle positif, orienté au Nord, d’un aimant droit, on plaçait un cylindre en bois. On demandait alors à un clairvoyant, placé dans une chambre noire, de concentrer son attention sur le cylindre. Au bout d’une heure environ, le sujet voyait apparaître autour de la circonférence du cylindre un disque de couleurs rangées dans l’ordre du spectre lumineux que nous connaissons en optique.

 

Vers 1905, le colonel de Rochas avait lui aussi découvert par diverses expériences des émissions n’appartenant pas au spectre électromagnétique connu. Ces expériences furent reprises et développées par l’ingénieur Turenne en 1928, puis par de Bélizal, Chaumery et Morel. Les mêmes émissions furent repérées et comme c’était l’âge d’or des applications de l’électromagnétisme, les chercheurs que je viens de citer ont tenté de concilier leurs découvertes avec les théories régnantes. Ils ont donc baptisé les émissions du nom des couleurs-témoins à partir desquelles le pendule entrait en giration et ils ont distingué deux aspects de ces « ondes de forme », magnétique et électrique. On pensait à l’époque qu’il s’agissait d’une bande encore inexplorée du spectre électromagnétique.



Nous savons aujourd’hui que les prétendues « ondes de forme » ne sont pas des ondes et n’appartiennent pas aux champs électromagnétiques. C’est pourquoi nous parlons à présent des « Émissions dues aux Formes ».





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La « décomposition du spectre des couleurs par la sphère » selon Bélizal et Chaumery. Les abréviations sont les suivantes : V = vert ; Bu = bleu ; I = indigo ; Vi = violet ; UV = ultra-violet ; Bc = blanc ; N = noir ; IR = infra-rouge ; R = rouge ; O = orangé ; J = jaune.


Schéma de Jean de La Foye, paru dans son livre « Ondes de vie, Ondes de mort ».

 



Q – Avant de voir comment vous en êtes venu à cette conclusion, pouvez-vous donner un aperçu de la façon dont les pionniers que vous venez de citer ont en quelque sorte « défriché » la question ?

 

 

R – Aucun détecteur classique n’étant sensible aux émissions dont nous parlons, Chaumery et de Bélizal ont utilisé la méthode radiesthésique, en y apportant d’ailleurs quelques améliorations sensibles.

 

Sur une sphère en bois, ils ont essayé de repérer au pendule des points émetteurs de ce qu’ils appelaient « ondes de forme ». La méthode était celle du « témoin », classique en radiesthésie. Un exemple : tenez de la main gauche un morceau de tissu ou de papier rouge ; de la main droite, lancez le pendule en oscillation rectiligne au-dessus de la sphère. A la verticale d’un point précis, le pendule entre en giration. Le point ainsi repéré est dit « émetteur » de la couleur rouge. Suivant le sens de giration du pendule, la « couleur » sera dite négative ou positive. On aura par exemple au pôle Nord de la sphère un point d’émission faisant tourner le pendule pour un tissu-témoin vert et dans le sens des aiguilles d’une montre : ce point reçoit l’appellation de Vert positif ou V+. Le point diamétralement opposé reçoit le nom de Vert négatif ou V-.

 

Chaumery et Bélizal ont constaté que les points-couleurs se répartissaient à la surface de la sphère selon des spirales régulières qui subissent un certain décalage en fonction du mouvement de la Terre. Pour « fixer » la position de ces spirales, ils ont eu l’idée de percer deux trous diamétralement opposés sur l’équateur de la sphère.

 

 

Q – Ces préliminaires sont à l’origine de l’ingénieux « pendule universel » qui a permis d’étudier bien des propriétés et effets de Forme, sur des objets actuels ou antiques…

 

 

R – Le Pendule universel est en effet constitué d’une masse sphérique en bois sur laquelle sont reportés les points-couleurs identifiés par Bélizal et Chaumery. Le fil coulisse sur une anse mobile fixée au pendule et peut ainsi être réglé au-dessus du point d’émission désiré. La giration se produira à la verticale d’un objet émettant selon les caractéristiques du point émetteur sélectionné sur le pendule.

 

C’est un instrument très utile, tout comme le pendule équatorial mis au point par les mêmes auteurs. Et les acquis des premiers chercheurs n’ont rien perdu de leur valeur pratique. Simplement la terminologie était inadéquate et les Emissions repérées appartenaient à un champ restreint, dont nos investigations actuelles continuent de tenir compte sous le nom de « Champ de Taofel de Bélizal ».



Ce qu’il faut bien comprendre si l’on veut accéder aux recherches actuelles sur les Emissions dues aux Formes, c’est qu’elles n’ont rien à voir avec ce que nous connaissons sous le nom d’ondes ou de vibrations et que les « Couleurs » émises par divers points de la sphère ou d’autres solides sont d’une autre nature que les couleurs perçues par nos sens. Elles n’appartiennent pas à notre univers physique.

 

 

Q – Comment est-on passé des recherches concrètes et des analogies électromagnétiques ou chromatiques aux conceptions infiniment plus abstraites que vous soutenez à présent ?

 

 

R – Je pense que les recherches d’Enel ont été déterminantes. Avant même de s’intéresser aux Émissions dues aux Formes, Enel était initié aux doctrines ésotériques de l’Antiquité. Il a sans doute été le premier à comprendre que les pouvoirs des Formes relevaient d’un mode de pensée radicalement différent du nôtre. Plutôt que de se tourner vers les critères scientifiques du moment, il a considéré le problème du point de vue de la Kabbale hébraïque et des grands systèmes cosmogoniques de l’Inde et de l’Egypte anciennes. Cela lui a permis d’approfondir le sens des architectures sacrées qui sont, pour la pensée matérialiste, rigoureusement incompréhensibles. Enel fut aussi un des premiers à soupçonner la relation entre Emissions dues aux Formes et cancer. Il a même découvert une Émission agissant sur les cellules cancéreuses, celle que nous appelons l’Émission Cancer d ‘Enel.








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Placée sur un disque de bois convenablement percé et orienté, cette figure kabbalistique, dite de la Synthèse, engendre des Émissions Dynamiques dont les effets sont remarquables sur le vivant et les eaux.





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Le Pa-Kua, figure chinoise combinant le cercle Yin/Yang et les trigrammes du Yi-King. Il émet des Émissions au Champ « Bélizal » et d’autres à caractère « Möbius ». Bien que possédant des propriétés thérapeutiques, il est d’un emploi délicat : en état « KSh Ph » ou   Magie, ses effets sont inattendus et puissants.

5 juin 2013

Les armes psychotroniques sont des armes qui influencent le système nerveux avec des rayons non ionisants

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En URSS, des ondes basse fréquence sont projetées sur des villes pour susciter certains comportements.
En 1962, quand les américains cherchaient des micros derrière les murs de leur ambassade, ils ont découvert un rayon d'ondes microélectriques dirigé sur l'ambassade. Celui-ci causait des maux tête, des vomissements, de la fatigue, des cancers. Pendant 12 ans, ces faits sont restés secrets, même pour le personnel concerné.
D'après le conseiller à la sécurité Zbigniew Brzezinski, l'ambassade des USA à Moscou enregistre le plus haut taux de cancer.
{Livre, Livre Jaune N° 5 (Le), Collectif d'auteurs, Ed. Félix}

Signal de Moscou :
En 1962, en cherchant des "micros" dans l'ambassade américaine en URSS, les américains ont découvert un rayon d'ondes microélectriques dirigé sur l'ambassade. Ce dernier affecte le système nerveux, crée des maux de tête, une faiblesse générale, de la fatigue, des nausées, une irritabilité, des angoisses, des dépressions, une inhibition des capacités intellectuelles.
(les révélations de Jack Anderson en 1972 ont permis de mettre la vérité à jour).
Le personnel de l'ambassade américaine de Moscou détient le plus haut taux de cancer au monde. (d'après Z. Brzezinsky).
...
Signal d'Eugène (ville dans l'Oregon aux USA) :
Signal inconnu enregistré à 9000 m d'altitude. On a décelé la présence d'ondes électromagnétiques dans des zones d'habitation. Cela a créé des maladies mais l'affaire a été enterrée.
...
La fréquence de résonance de l'ionosphère est presque identique à celle du cerveau humain. L'ionosphère est donc une onde porteuse parfaite à partir de laquelle on peut atteindre le cerveau sans changer la fréquence d'émission. C'est ce lien entre la sphère électromagnétique de la Terre et les fréquences de résonances du cerveau qui est à la base des armes stratégiques.
Richard Helms (ancien responsable de la CIA), a fait une déposition devant la commission Warren le 19/06/1964 :
"les soviétiques développent des armes sophistiquées qui leur permettront d'influencer le comportement de citoyens soviétiques, de façon à les mettre en harmonie avec les exigences du système politique.
Cette technologie donne également accès au "codage" d'informations, dont le but est de manipuler la pensée du citoyen."
Charles Oleszycki, conseiller au ministère des affaires étrangères, département du contrôle des armes et du désarmement révèle dans son livre que le Département d'Etat a menti, qu'il est en réalité en possession de document sur les armes invisibles. Il ne pouvait ignorer les paragraphes secrets de l'accord SALT II, dans lesquels les soviétiques proposent d'interdire des armes à infrason, "les rayons de la mort" et toute arme électromagnétique dont le but est la manipulation biologique. Pourquoi interdire si ce n'est que ça existe ?
...
Les armes psychotroniques sont des armes qui influencent le système nerveux avec des rayons non ionisants (différents des armes atomiques qui elles ont un rayon ionisant). Elles ont des effets physiologiques, changements biologiques et neurologiques.
{Livre, Coucou, c'est Tesla, l'énergie libre, Collectif d'auteurs, Ed. Félix}

En se servant d'armes psychotroniques (armes Tesla) relativement faciles à construire, il est aisé de priver de sa conscience de veille tout soldat qui part à l'attaque et de lui enlever toute agressivité.
Le magazine 2000, n° 97, déc. 93 indique à propos des armes psychotroniques :
"Vous souvenez vous des images de la Guerre du Golfe lorsque des milliers de soldats irakiens sortirent de leurs tranchées en capitulant ? Ils se rendirent même aux journalistes qu'ils prenaient pour des soldats et ils furent la proie bienvenue des canons de l'artillerie américaine, bien qu'ils aient brandi leurs drapeaux blancs. De plus en plus d'experts militaires sont persuadés que ce n'est pas le ravitaillement, insuffisant des troupes de Saddam Hussein qui a provoqué cette capitulation soudaine et massive mais que ce sont bien les armes psychotroniques de Mind-Control des Etats Unis.
Quelques unes de ces super armes de haute technologie se servent des effets qu'ont les ondes de fréquences radio sur le cerveau humain. Ainsi que le relate en janvier 1993, un rapport de la revue spécialisée Aviation Week and Space Technology, le ministère de la défense des Etats Unis équipe maintenant des fusées avec du matériel qui peut provoquer des pulsions électromagnétiques (EMP's) pour paralyser l'ennemi sans devoir se servir pour autant de composantes atomiques, biologiques ou chimiques.
Avec ce type d'arme, le premier but est de couper les systèmes électroniques ennemis. D'autres appareils produisent des ultrasons, des ondes de sons ELF (de fréquences extrêmement basses) qui provoquent des nausées et des vomissements et perturbent à l'extrême le sens de l'orientation des personnes ciblées. Ces armes ont un rayon d'action d'au moins 2500 km."
{Livre, Livre Jaune N° 5 (Le), Collectif d'auteurs, Ed. Félix}

http://parc-vramc.tierranet.com : Kathleen Sullivan est devenue un soutien pour les autres victimes du contrôle du cerveau et pour leur famille.
{Magazine, Nexus, No 3, 07-08/1999}

Les procédés des armes psychotroniques ou RF (radiofréquences) ont été exposés lors de la conférence de Los Alomos vers fin 1993.
"Cela consiste à transmettre un champ d'énergie destructeur pour les équipements électroniques ou une information sous la forme d'un champ radioélectrique ou électromagnétique modulé d'une façon spécifique en direction d'une personne ou d'un groupe de personnes afin d'influencer le comportement psychologique."
Les artificiers savent généralement qu'il vaut mieux éviter d'utiliser à proximité des détonateurs dans de la dynamite ou des pains de plastic, un talkie-walkie, et à plus forte raison un téléphone portable. L'émission d'un portable pourrait en effet en provoquer l'explosion.
{Livre, Armes de l'ombre (Les), Marc Filterman, Ed. Carnot, Collection Ciceron}

En Octobre 2000, du Congrès Denis J. Kucinich a présenté à la Chambre des représentants un projet de loi, qui obligerait le président américain à s'engager dans des négociations visant à l'interdiction des armes spatiales fondées.
Dans ce projet de loi, la définition d'un système d'armes comprenait:
«Une autre(definition) non reconnue ou encore inexploitée signifie infliger la mort ou des blessures, ou endommager ou détruire, une personne (ou la vie biologique, la santé physique, santé mentale ou physique, et bien-être économique d'une personne) ... par utilisation des mers, ou de l'espace-systèmes terrestres utilisant des rayonnements électromagnétiques, psychotroniques, sonores, laser, ou d'autres énergies destinée à des personnes individuelles ou des populations ciblées dans le but de guerre de l'information, gestion de l'humeur, ou contrôle de l'esprit de ces personnes ou des populations "(15).
Comme dans tous les actes législatifs cités dans le présent article, le projet de loi se rapporte au son, la lumière ou la stimulation électromagnétique du cerveau humain.
armes psychotroniques appartiennent, au moins pour un profane mal informé de la recherche militaire secrète, au domaine de la science-fiction, puisque jusqu'à présent aucune des expériences scientifiques publiées a été présentée d'une manière significative à l'opinion publique mondiale.
Qu'il est possible de manipuler le comportement de l'homme avec l'utilisation du subliminal, soit par des messages sonores ou visuels, est maintenant généralement connu et reconnu par la communauté scientifique.
C'est pourquoi dans la plupart des pays, l'utilisation de ces technologies, sans le consentement de la personne concernée, est en théorie interdit. Inutile de dire que l'utilisation de ces technologies est entreprise secrètement, sans la connaissance ou le consentement des personnes ciblées.
Dispositifs utilisant la lumière pour la stimulation du cerveau constituent un autre mécanisme par lequel la lumière clignote sous certaines fréquences, pourraient être utilisées pour manipuler le psychisme humain.
En ce qui concerne l'utilisation du son, un dispositif de transmission d'un faisceau d'ondes sonores, qui peuvent être entendues que par des personnes à qui le faisceau d'ondes sonores est ciblé, a été rapporté dans les médias de plusieurs nouvelles. Dans ce cas, le faisceau est constitué par une combinaison de l'échographie et les ondes sonores qui provoque la personne visée pour entendre le son dans sa tête. Une telle procédure pourrait affecter l'équilibre mental de l'individu ciblé et le convaincre qu'il est, pour ainsi dire, malade mental.
Cet article examine le développement de technologies et des connaissances concernant le fonctionnement du cerveau humain et la manière dont les nouvelles méthodes de manipulation de l'esprit humain sont en cours d'élaboration.
L'énergie électromagnétique
L'une des principales méthodes de manipulation se fait par l'énergie électromagnétique.
Dans la littérature scientifique déclassifiée  quelque 30 expériences ont été publiés  à l'appui de cette hypothèse (1), (2). Déjà en 1974, en URSS, après avoir testé avec succès au sein d'une unité militaire à Novossibirsk, le Radioson (Radiosleep) a été enregistrée avec le Comité du gouvernement sur des questions d'inventions et les découvertes de l'URSS, décrite comme une méthode d'induction du sommeil par des moyens d' ondes radio (3), (4), (5).
Dans la littérature scientifique, la faisabilité technique d'induire le sommeil chez un être humain grâce à l'utilisation des ondes radio est confirmée dans un livre écrit par un scientifique britannique impliqué dans la recherche sur les effets biologiques de l'électromagnétisme (6). Un rapport de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) sur la non ionisants et publié en 1991 confirme que:
«Beaucoup d'effets biologiques observés chez les animaux exposés à des champs ELF semblent être associés, directement ou indirectement, avec le système nerveux ..." (2).
Parmi les expériences publiées, il y a ceux où micro-ondes pulsées ont causé la synchronisation des neurones isolées de la fréquence des impulsions de micro-ondes. Par exemple, une décharge neuronale à une fréquence de 0,8 Hz a été forcée de cette manière de tirer les impulsions à une fréquence de 1 Hz. En outre, les micro-ondes pulsées ont contribué à l'évolution de la concentration des neurotransmetteurs dans le cerveau (neurotransmetteurs sont une partie du mécanisme qui provoque la décharge des neurones dans le cerveau) et de renforcer ou atténuer les effets de médicaments administrés dans le cerveau (1).
L'expérience où les fréquences du cerveau principal enregistré par EEG ont été synchronisée avec la fréquence des impulsions micro-ondes (1,2) pourrait expliquer la fonction de l'installation de Russie Radioson. Micro-ondes pulsées de la fréquence du sommeil causerait la synchronisation de l'activité du cerveau avec la fréquence du sommeil et de cette manière de produire le sommeil.
Impulsions de micro-ondes de fréquence prédominante dans le cerveau à un état d'éveil pourrait, selon la même procédure, de refuser le sommeil à un être humain.
Un rapport provenant du programme d'essais de la recherche Département micro-ondes à l' Institut Walter Reed Army de recherche en états
"Impulsions micro-ondes semblent couple au système nerveux central et de produire une stimulation semblable à la stimulation électrique sans rapport avec la chaleur".
Dans une expérience de nombreuses fois reproduites,micro-ondes pulsées sur une fréquence exacte causé l’afflux d'ions calcium de la cellule nerveuse (1,2). Le calcium joue un rôle clé dans la mise à feu des neurones et Ross Adey, membre de la première équipe scientifique qui a publié cette expérience, a exprimé publiquement sa conviction que cet effet d'un rayonnement électromagnétique serait nuire à la concentration sur les tâches complexes (7).
Robert Becker, qui avait part à la découverte de l'effet de champs pulsés à la guérison des fractures, a publié les extraits du rapport de Walter Reed Army Institute programme d'essais. Dans la première partie "effets affaiblissement rapide» doit avoir été testée (8). Ne sont pas celles basées sur les effets sur l'expérience de Ross Adey et d'autres avec efflux de calcium?
Le scientifique britannique John Evans, qui travaillent dans le même domaine, a écrit que les deux Ross Adey et Robert Becker ont perdu leurs postes et de subventions de recherche et a appelé les «exilés de pensée libre» (6). En 1975, aux Etats-Unis, une expérience militaire où a été publié micro-ondes pulsées produites, dans le cerveau d'un sujet humain, une perception audio des nombres de 1 à 10 (9). Encore une fois la possibilité de convaincre un individu qu'il est mentalement malade est évidente. Le programme d'essais de l'American Institute Walter Lire l'Armée de la recherche, où l'expérience a eu lieu, avec les chiffres "invite de stimulation auditive par des effets sonores" et vise enfin à "un comportement contrôlé par la stimulation» (8).
Supposons que les paroles dans le cerveau ont été transcrits dans des fréquences ultrasonores. Ne serait donc pas l'objet percevoir ces mêmes mots que ses propres pensées?
Et serait-ce pas dire que ce que son comportement était contrôlé de cette manière par l'émission de fréquences ultrasons? À cet égard, l'American Air Force 1982 "Rapport final sur les besoins de recherche en biotechnologie pour les systèmes aéronautiques jusqu'en l'an 2000», déclare:
"Alors que l'attention première doit être à la dégradation de la performance humaine à travers la charge thermique et les effets des champs électromagnétiques, les travaux ultérieurs devraient porter sur les possibilités de diriger et d'interroger le fonctionnement mental, en utilisant des domaines appliqués à l'extérieur ..." (10).
Plusieurs scientifiques ont averti que les dernières avancées en neurophysiologie pourraient être utilisés pour la manipulation du cerveau humain.
En Juin 1995, Michael Persinger, qui a travaillé sur la marine américaine projet des armes électromagnétiques non-létales , a publié un article scientifique dans lequel il déclare:
«La capacité technique d'influencer directement la majeure partie des quelque six milliards de cerveaux de l'espèce humaine, sans médiation par le biais classique modalités sensorielles en produisant des informations de neurones dans un milieu physique dans lequel tous les membres de l'espèce sont immergés ... est maintenant légèrement possible» ( 11).
En 1998, les Comité français  national de bioéthique a averti que «les neurosciences sont de plus en plus reconnues comme posant une menace potentielle pour les droits de l'homme» (12). En mai 1999, la conférence de neuroscientifiques, parrainée par l'ONU, a eu lieu à Tokyo. Sa déclaration finale officiellement reconnaît que:
"Aujourd'hui,nous avons les ressources intellectuelles physiques et financières  pour maîtriser la puissance du cerveau lui-même, et de développer des dispositifs de toucher l'esprit et même de contrôler ou d'effacer la conscience ... Nous tenons à professer notre espoir que cette poursuite de la connaissance sert la paix et le bien-être" (13).
5 juin 2013

Comment rester serein et optimiser nos potentiels énergétiques

Comment rester sereins à une époque où nous sommes continuellement happés par des événements tous plus perturbants les uns que les autres ? Les modifications de la ceinture de Van Allen, les modifications tectoniques, les pollutions électromagnétiques, les puissants changements du champ magnétique terrestre touchent tant la psyché humaine que l’équilibre énergétique du biotope global. Comme le dit un proverbe chinois : « le Poisson pourrit toujours d’abord par la tête ». Or, nous sommes bien à la fin de cette ère et l’équilibre psychique est mis à rude épreuve en ces temps incertains.

Il nous faut donc une autre vision, un autre mode de vie, une culture, un art de l’instant présent pour parvenir à vivre cette époque de bouleversements. Nous sommes aidés en cela par ce que l’on nomme les nouvelles énergies. Ces dernières actualisent des facultés humaines jusqu’alors inconnues et inusitées. Elles se manifestent depuis mars 2010 par un feu qui traverse le corps de haut en bas, et qui est suffisamment puissant pour être notable par n’importe qui. Ces nouvelles énergies que nous pouvons nommer retour du Christ ou KRST en égyptien, nous viennent de notre centre galactique qui corrige par des ondes informationnelles sa création. Ce feu nouveau modifie la structure énergétique humaine et le biotope. Il semble être une aide d’adaptation pour l’homme, structurant chez certains, un 8e et 9e shakra.

Une conscience différente du temps impacte progressivement l’individu. Peut-être faut-il envisager à terme des modifications génétiques adaptatives bénéfiques sur l’ensemble du biotope. Tout cela se réalise dans un milieu mutagène d’ondes, de fréquences calées sur des harmoniques de l’eau, impactant notre processeur cérébral, notre métabolisme, le tout agencé de nano pollutions et d’une radioactivité en continuelle augmentation.

Ce contexte contrasté laisse entrevoir deux voies mutagènes antagonistes : l’une dégénérative, l’autre adaptative et réparatrice.

Or, il semble qu’une des clefs pour faire le bon choix est d’être à l’écoute des modifications de ses propres énergies. Les percevoir, les rendre fonctionnelles, les activer au besoin, est possible pour tout un chacun. Il nous semble juste de dire que si les centres énergétiques d’un être humain sont parfaitement alignés, actifs et ouverts aux nouvelles énergies, équilibre psychique et santé globale sont au rendez-vous. Tout ceci requiert un certain nombre d’exercices que nous avons testés dans l’ordre ci-dessous.

 

chakras

1°) SCANNER SES SHAKRAS Quelle que puisse être la méthode utilisée, pensée, antenne de Lecher, pendule, ou autre outils plus techniques, il est important de trouver le moyen de scanner ses propres structures shakrales. Il apparaît depuis un an que les shakras subracinaires à la base des pieds sont d’une importance fondamentale. Les blocages énergétiques viennent essentiellement du bas, bloquant les subracinaires, le premier shakra et progressivement montent. Une personne encline à des blocages récurrents de ses structures énergétiques est sujette à des maladies, à des manipulations en tout genre et est psychiquement fragile. Si vous arrivez simplement à trouver vos blocages énergétiques c’est que vous êtes aptes à les débloquer, à les réharmoniser. Nous sommes tous dotés de puissantes capacités énergétiques et psychiques. Il devient essentiel d’exercer ces sens pour harmoniser et aligner nos propres centres énergétiques.

2°) FUITES ÉNERGÉTIQUES Dans notre milieu pollué une réharmonisation des shakras est loin d’être suffisante. Il s’avère en effet que nombre de personnes ont des fuites énergétiques importantes. Lors d’une intervention chirurgicale, seul le corps physique est réparé, laissant béant des trous énergétiques dans l’éthérique. Il convient donc de trouver ces fuites énergétiques et de les boucher, à défaut, le travail fait sur les shakras n’aura qu’un faible impact. Cet exercice est essentiel pour maintenir dans le temps une harmonisation.

3°) COEX Au même titre qu’il est possible d’optimiser notre subconscient en reformatant les équations parasitaires de nos comportements conditionnés, il convient de travailler ici sur nos COEX. Ces derniers sont des sphères émotionnelles greffées sur notre éthérique. Elles sont liées à un accident, à une mémoire parasitaire surgissant. La psychologie transpersonnelle ou holotropique évoque largement l’existence de ce phénomène ; il suffit de vous y reporter. Pour travailler sur des COEX il vous faut maintenir une convention mentale de manière à les repérer et à les dissoudre.

nano-robot

4°) NANO POLLUTIONS Il existe depuis peu des formes de nano implants ou pollutions nano qui influent sur nos structures énergétiques. Il convient également de les neutraliser. Comment ? Il semble que nous ayons tous une capacité à générer des ondes scalaires. Ces dernières, focalisées par convention mentale sur notre propre corps, neutralisent à peu près toute structure nanométrique en les « court-circuitant ». C’est un exercice qu’il est bon de faire à plusieurs pour optimiser les résultats.

5°) MINI FUITES Il y a chez certains individus des mini fuites énergétiques dues à des mini aiguilles manifestées dans l’éthérique. Elles peuvent être au nombre de plusieurs centaines. Il convient de tout neutraliser.

6°) AXES DIMENSIONNELS DES CORPS ÉTHÉRIQUES Une fois les blocages, fuites et systèmes parasitaires levés, le travail n’est pas fini. Il est essentiel de caler les corps subtils de la personne. Selon plusieurs expériences réalisées cet été, il convient de travailler sur douze axes dimensionnels. On peut évidemment considérer que du point de vue des champs subtils les axes dimensionnels sont infinis. Disons que par convention et par expérimentation, un cadre cosmologique dodécaédrique (12D) nous est apparu efficace. Alors pourquoi recaler les corps subtils ? Disons succinctement qu’une personne peut avoir un corps subtil décalé vers le bas, le haut, ou encore qu’un corps désaxé peut désynchroniser sa perception du temps ou de l’espace. Il convient donc d’ajuster les axes des corps subtils en procédant méthodiquement par dimension de 1 à 12.

7°) VÉRIFICATIONS Selon notre protocole expérimental il s’avère que le recalage des corps subtils d’un individu peut faire apparaître des choses non perceptibles auparavant. Il faut donc procéder à une vérification de chacun des points ci-dessus mentionnés et corriger ce qui émerge à nouveau. Une ultime vérification consiste à tester le flux cosmo-tellurique de la personne 12,5 sur l’échelle de Lecher ou par simple convention mentale au pendule, sur un optimal en pourcentage représenté par un demi cercle noté de 0 à 100%. Pour tester les ajustements apportés, nous avons utilisé un protocole en testant leur efficacité et potentialité dans le temps. C’est très variable en fonction des individus allant de 3 jours à plusieurs mois.

8°) RÈGLES D’OR Il s’avère que tout travail sur les énergies d’un individu requiert autorisation et protection. On peut dans certains cas ne pas être autorisé à travailler sur les corps subtils de quelqu’un. Il faut alors s’y tenir ; c’est le cœur de sa vie qui, expérimentant une épreuve, bloque tout accès. En clair, il est impossible d’imaginer monter un cabinet et soigner n’importe qui sans y être autorisé. Par ailleurs, tout soin engendre des interpénétrations de champs entre thérapeute et patient. Il convient donc de savoir si le thérapeute sera suffisamment protégé pendant les soins. S’il n’a pas le niveau de protection requis, il faut renoncer à toute intervention. Le non-respect de cette double règle d’or « Autorisation / Protection », applicable à chaque exercice de ce protocole, engendre des dysfonctionnements chez le thérapeute et chez le patient. Or, si un thérapeute n’est pas fonctionnel, il fera toujours plus de mal que de bien à chaque intervention. La vigilance s’impose donc en croisant questions et vérifications à plusieurs individus si nécessaire au début.

EN CONCLUSION Il s’agit ici d’un protocole expérimental non dogmatique qui peut évoluer, s’affiner, changer et qui doit s’adapter à chaque individu. Nous n’avons fait que peu d’expériences de ce type et nous vous offrons ici quelques principes déjà connus de certains énergéticiens.

Tous ces travaux sont purement expérimentaux et ont été testés cet été 2011 fortuitement dans le cadre de soins apportés à des membres de l’équipe Morphéus. Ils ne prétendent être ni exhaustifs, ni définitifs. Ils ne demandent qu’à être vérifiés et testés par des thérapeutes chevronnés. S’ils sont parlants et utiles pour certains de nos lecteurs, nous nous en réjouissons. La seule chose qui importe ici est de comprendre qu’un individu baigné dans les nouvelles énergies peut optimiser de manière fonctionnelle son action, ses perceptions, son sens critique, et sa vie en général. Nous avons l’intime conviction que l’humain est une merveilleuse et puissante machine qui peut s’auto-régénérer, s’auto-ajuster, s’auto-harmoniser à l’époque où nous vivons. Nos facultés s’éveillent, utilisons- les au mieux !

Frédéric Morin

Morphéus n°47

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