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rusty james news
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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
co2
21 avril 2016

ecologie : Espagne ils ont Transformé du CO2 en pétrole par des microalgues

 

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Le procédé biotechnologique
Le procédé de synthèse breveté et développé par BFS s’inspire du processus naturel à l’origine de la formation du pétrole d’origine fossile. Il utilise des éléments comme l’énergie solaire (comme source principale d’énergie), la photosynthèse et les champs électromagnétiques associés aux propriétés organiques du phytoplancton (micro-algues marines) pour convertir le CO2 issu des émissions industrielles, en une biomasse puis en un pétrole artificiel similaire au pétrole fossile, sans soufre et sans métaux lourds, en quelque sorte un pétrole propre.barril2
La culture intensive des micro-algues et l’absorption massive du CO2 s’opère en milieu fermé et dans des photobioréacteurs verticaux pour une optimisation des surfaces d’implantation, un meilleur contrôle des propriétés physico-chimiques du milieu d’élevage et une rentabilité optimale.

 

phytoplancton

 

Les échangeurs Phytoplanctons et cyanobactéries
Le phytoplancton et les cyanobactéries sont des organismes vivants unicellulaires microscopiques, ancêtres de toutes formes de vie animale et végétale, et à l’origine du pétrole qui s’est formé à partir de leur décomposition. Ce sont des organismes « autotrophes », qui utilisent pour leur croissance un processus photosynthétique semblable à celui des plantes. Ce sont d’authentiques usines biochimiques en miniature, capables de réguler le CO2.

Le phytoplancton marin est responsable de plus de la moitié de la fixation totale du CO2 sur notre planète. Le rendement de ces micro-algues est nettement supérieur à celui des plantes terrestres. En effet, certains de ces micro-organismes unicellulaires se divisent par mitose toutes les 24 heures et se multiplient à l’identique sans autre apport que la cellule d’origine, de la lumière, de l´eau et du CO2. Les équipes de recherche biologique BFS travaillent à partir de souches de phytoplancton à haute teneur en lipides, sélectionnées parmi plus de 30.000 espèces répertoriées, sans manipulation artificielle et sans prélèvement sur la biodiversité.

La concentration cellulaire normale de ces micro-organismes dans l’eau de mer est de l’ordre de 100 à 300 cellules par millilitre. En milieu d’élevage, BFS atteint dans ses bioréacteurs une croissance exponentielle des micro-algues avec des concentrations de 300 millions à 1 milliard de cellules par millilitre ; une avancée technologique qui permet à BFS d’obtenir une biomasse à haut dosage énergétique puis, par extraction thermochimique, un pétrole artificiel de qualité élevée !



La captation du CO2
Le CO2 est le principal élément du cycle du carbone. Il intervient dans les échanges de carbone entre les êtres vivants, l’atmosphère et les éléments photosynthétiques. La technologie BFS vise à capturer le CO2 rejeté par les industries en installant ses implantations à proximité. Le processus de traitement du CO2 permet de passer d’un carbone gazeux capturé (CO2) à un carbone organique (1 kg de biomasse dispose de 52% de carbone) pour arriver à un carbone minéral avec 65% de carbone et produire en toute fin un hydrocarbure avec 85% de carbone ; garantissant dès l’origine un pétrole BFS pleinement utilisable dans un moteur à combustion.
Enfin, la production journalière BFS élimine 938 kg de CO2 issu des émissions anthropiques par baril produit et convertit 2.168 kg de CO2 par baril.

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Des photobioréacteurs profilés pour une rentabilité optimum
La culture intensive des micro-organismes s’opère en milieu fermé dans des photobioréacteurs verticaux de 8 mètres de haut pour optimiser les surfaces d’implantation au sol et la productivité à l’hectare. Les photobioréacteurs BFS offrent une large surface de réception à l’énergie lumineuse afin d’assurer la fixation des photons et la production de biomasse en continu, avec un rapport m2/m3 optimisé. Ils ont été pensés pour être également « autonettoyants ». Le confinement du milieu d’élevage, assuré par le maintien constant d’une « pression positive », assure qu’aucun élément extérieur pathogène ou contaminant ne peut pénétrer le milieu de culture ni en altérer sa productivité.

La mise en structure cellulaire des tubes des photobioréacteurs facilite la photosynthèse.

Un pétrole « propre » en 48h !

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Un pétrole similaire au pétrole d’origine fossile
A la différence des biocarburants produits à partir de matières premières agricoles qui ne peuvent être utilisés qu’à hauteur de 5 voire 10% dans les moteurs, le pétrole issu de la technologie BFS est un excellent substitut au pétrole d’origine fossile. Il en présente les mêmes caractéristiques en matière de densité énergétique avec un pouvoir calorifique élevé, prouvé et certifié, de 9.700 kcal/kg*. Une fois raffiné, il peut donc être utilisé sans aucune adaptation particulière dans les moteurs. Ses coûts de raffinage sont par ailleurs moindres car exempts de souffre et de produits secondaires toxiques. A l’instar de son cousin d’origine fossile, le pétrole BFS peut également servir à fabriquer des plastiques, des solvants, des résines synthétiques, des détergents ou des engrais.
*rapports Intertek et SGS

Un substitut au pétrole produit en moins de 48 heures
Elaboré à partir des émissions de CO2 des industries dites polluantes telles les cimenteries, les déchetteries, les centrales thermiques ou encore les raffineries, le pétrole BFS est produit directement sur place ou, selon les options retenues, sur un site distant de transformation.

Alors que le pétrole d’origine fossile a nécessité des millions d’années pour se former à la suite d’un long et complexe processus de sédimentation, 48h suffisent à produire le pétrole BFS. Il faut en effet près de 24h pour obtenir le gisement de biomasse et autant pour en extraire le pétrole par voie thermochimique. Les installations BFS fonctionnent 24h/24 pour permettre l’absorption massive du CO2 et assurer une production en continu du pétrole.

Les coproduits et sous-produits innovants

 

Un potentiel d’extraction à forte valeur ajoutée
Le gisement de biomasse obtenu au cours du processus de conversion du CO2 en pétrole offre un potentiel d’extraction de multiples coproduits et sous-produits à forte valeur ajoutée. Parmi ceux-ci, on retrouve notamment le charbon actif qui, de par sa capacité d’absorption, trouve ses applications dans les systèmes de filtration d’air et les omégas 3 qui se révèlent être de véritables partenaires de notre santé au quotidien…

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Les omégas, des partenaires essentiels de notre santé
Le gisement de biomasse obtenu au cours du processus de conversion contient 3% d’omégas 3. Généralement extraits des noix, du soja, du colza mais encore des poissons « gras » tels, par exemple, le saumon ou l’anchois, les omégas 3 sont essentiels au bon fonctionnement des systèmes nerveux, cardiovasculaire, oculaire, cutané, pileux et reproductif.


Ces dernières années, ces acides gras polyinsaturés se sont imposés comme des partenaires essentiels de notre santé au quotidien, d’autant plus que l’organisme humain est incapable de les produire. Des compléments alimentaires à la prévention de certains cancers en passant par la lutte contre la maladie d’Alzheimer, le marché des omégas 3 et 6 est en plein essor. Il attire de très nombreux acteurs, parmi lesquels les industries agroalimentaire, pharmaceutique et cosmétique

http://www.bio-carburant.info/

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7 janvier 2015

La couche de glace en arctique et en antarctique est-elle la plus importante depuis plus de 25 ans

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Une fois encore les données sur le climat, après celles sur la quasi-stagnation des températures depuis le début du siècle, entretiennent la confusion tant elles semblent en contradiction avec les prédictions catastrophistes notamment du Giec. 
Ainsi, la couche de glace en arctique et en antarctique est-elle la plus importante depuis plus de 25 ans comme le montrent les données collectées par sunshinehours.

Ce que les statistiques indiquent, c’est que la surface de glace a continué à s’étendre en antarctique (elle et est même plus épaisse qu’estimé auparavant) et est restée stable en arctique. 

"Même si la glace est moins importante [en arctique] en comparaison des 20.000 km3 qui étaient présents en octobre au début des années 1980, il n’y a aucune preuve qui indique un effondrement imminent", écrit la BBC.
Le site Reporting climate science est un peu plus direct que la BBC et explique "que pour la seconde année consécutive, l’été arctique a été relativement froid et cela a conduit à ce que la fonte des glaces a été moins importante que lors des années précédentes. 
Cela s’est traduit pas le fait que de la glace plus épaisse et plus ancienne a survécu en automne et en hiver à la fois en 2013 et en 2014". 

 http://s2.lemde.fr/image/2013/09/12/534x267/3476776_3_98a7_la-banquise-arctique-aurait-gagne-60-en_a70c7157459e816d44870c254c0f37ae.jpg



Des conclusions qui sont issues des données récupérées par le satellite CryoSat2 de l’Agence spatiale européenne.
L’Agence spatiale européenne indique dans un communiqué, toujours à partir des données de CryoSat2, "qu’en dépit d’un déclin – bien documenté – de 40% de la glace en arctique durant l’été depuis la fin des années 1970… la banquise arctique est peut être plus résistante que cela a été considéré précédemment".
La question de la glace aux pôles rejoint celle de la stabilisation des températures à l’échelle de la planète depuis le début du siècle. 
Ainsi, si la planète vient de vivre, en moyenne, sa décennie la plus chaude depuis le début des relevés de températures en 1880 et si l’année 2014 devrait être la plus chaude depuis 1880, la progression s’est nettement ralentie. 

La saga de Noël en Antarctique, avec ses navires piégés dans les glaces et leurs passagers tuant le temps parmi les manchots, s'est achevée mercredi après la libération par ses propres moyens du bateau russe.
(c) Afp
Touristes Australiens prisonniers des glaces de l'Antartique au cours de l'hiver 2013-2014 qui voulaient observer le réchauffement climatique !

Les températures ont augmenté de près d'un degré depuis la fin du XIXe siècle et de seulement quelques centièmes de degré depuis 15 ans. 
En dépit d'une concentration toujours plus élevée de CO2 dans l'atmosphère, la température moyenne en surface du globe a tendance à se stabiliser. 
Plusieurs explications sont avancées, notamment l’absorption plus élevée qu'attendue de CO2 par les océans, mais aucune ne fait l’unanimité.

Il ne s’agit pas ici de contester la réalité du changement climatique et de l’impact des gaz à effet de serre issus de l’activité humaine sur l’environnement, mais de s’interroger sur la pertinence des modèles qui annoncent invariablement des catastrophes imminentes.

  par Eric Leser 
http://www.slate.fr/story/96375/couche-glace-etend-planete#xtor=RSS-2

http://changera.blogspot.fr/2015/01/la-couche-de-glace-setend-sur-la-planete.html

4 juin 2014

Geoingenierie : Le carbonate de calcium utilisé dans les chemtrails

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Le calcaire, riche en carbonate de calcium, est la matière première pour la production de chaux. Ce produit était déjà connu et utilisé par les différents peuples de l’Antiquité. En raison de son grand danger, le travail a été confié à un petit nombre de travailleurs bien formés. Ils le mélangent avec du sable pour le mortier utilisés dans la construction. Le calcaire, réduit à des fragments de la taille de quelques centimètres, a été introduit dans des fours spéciaux, chauffés à 800-1000 degrés Celsius pendant environ dix heures, pendant lesquelles s’est produit le prétendu "burnout", une réaction chimique qui libère du dioxyde de carbone (CO2) et produit de l’oxyde de calcium ou de la chaux vive. La chaux est une substance blanche, très poreuse et hygroscopique. Lorsque mouillé avec de l’eau, la chaux déclenche une réaction thermique par lequel la température monte jusqu’à 300 degrés Celsius. S’il est mis en contact avec un matériel inflammable, le feu prend rapidement.

La diffusion de carbonate de calcium avec les chemtrails est, comme nous l’avons déjà noté, nuisibles à l’agriculture. Les sols calcaires, en fait, sont impropres à la culture: le principal défaut de la fertilité des sols calcaires est due à l’immobilisation de certains nutriments. Ce défaut est doux dans les sols modérément calcaires, mais se produit de façon plus intense au-dessus de pH 8. Peu de plantes montrent leur plein potentiel productif dans ce type de terrain.

En plus de cette implication, il est évident que le composé d’essai est soumis à des réactions chimiques et thermiques liés aux propriétés hygroscopiques et aussi a l’absorption de l’humidité. L’effondrement des valeurs hygrométriques de l’atmosphère et l’augmentation des températures, un résultat typique de beaucoup d’activités d’aérosols, sont des phénomènes qui peuvent être expliquées en remettant en question le carbonate de calcium, tandis que le bien-diabolisé dioxyde de carbone, selon des études récentes, n’est pas décisif dans ce que l on appel "l’effet de serre".

Donc des valeurs thermiques exceptionnellement élevées pour cette période, peu ou très peu de chutes de neige, sont des situations induites par la géo ingénierie clandestine et illégale et n’est pas un phénoméne naturel.

 

Des millions de tonnes de chlorure de calcium sont produites annuellement aux seuls USA. En 1990, son cours était de 182 $ par tonne. C’est un composé qui possède de nombreuses applications :
Du fait de son caractère très hygroscopique, il

peut être utilisé pour sécher l’air, d’autres gaz ou des liquides organiques ou des semences . Lorsqu’il absorbe l’eau ou la vapeur d’eau de la substance à sécher, il se transforme en saumure :
CaCl2 + 2 H2O → CaCl2·2H2O
Le processus de dissolution du chlorure de calcium est très exothermique et des températures supérieures à 60 °C peuvent être atteintes rapidement. L’ingestion de pastilles de chlorure de calcium peut donc occasionner de graves brûlures.
Du fait de la chaleur émise lors du processus de dissolution, le chlorure de calcium peut être utilisé pour faire fondre de la glace. Au contraire du chlorure de sodium, il n’est pas nocif pour le sol et les plantes. Il peut également agir à des températures plus basses que le chlorure de sodium. Pour cet usage, il se présente sous la forme de petites boules de quelques millimètres de diamètre (comme sur la photo au début de la page).
Il est utilisé lors du mélange du béton pour accélérer la prise et le rendre plus dur.
Il est utilisé sur certaines autoroutes pour fixer la poussière : en réagissant avec l’humidité de l’air, il permet de maintenir une fine couche liquide à la surface de la chaussée ce qui maintient la poussière.
Le chlorure de calcium a un goût amer. Il est ajouté aux aliments cuisinés industriellement pour augmenter la dureté cellulaire de la nourriture, comme par exemple dans les cornichons, olives, compotes de pommes, haricot-princesse en bocaux.
Il est aussi utilisé en biologie moléculaire, celui-ci permet en effet de rendre des bactéries compétentes en dégradant leurs lipopolysaccharides de surface. Il les rend ainsi apte à la transformation par un vecteur. Il peut aussi servir comme agent de transfection cellulaire avec des cellules animales.
Il peut également être utilisé en alimentaire (numéro E509), notamment pour solidifier les alginates, gélifiant.
Les solutions de CaCl2 ont la propriété de rendre les parois cellulaires de certaines bactéries plus poreuses (notamment E. coli). Cela en fait un produit utilisé en laboratoire dans la recherche génétique.

Le chlorure de calcium est irritant. Il doit être manipulé avec des gants. Il est relativement sans danger à manipuler, mais il ne doit pas être ingéré. Comme il réagit de manière exothermique avec l’eau, il peut occasionner des brûlures de la bouche ou de l’œsophage.

C’est un matériau très hygroscopique qui doit donc être conservé dans des récipients bien fermés.

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