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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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12 août 2015

Un remède contre le cancer découvert il y a 100 ans ?

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Le Dr William Coley, chirurgien orthopédiste, a vécu de 1862 à 1936. C’est à l’âge de 28 ans qu’il voit son premier patient décéder à la suite d’un cancer des os. Le sentiment d’impuissance et de culpabilité qui le saisit va le guider vers une mission : trouver un remède contre le cancer qui a emporté sa patiente.

En 1880, le Dr Coley se rend à l’université de Yale dans le Connecticut, déjà réputée pour sa faculté de médecine. Il y trouvera quelques centaines d’archives de cas similaires à la maladie de sa patiente. Durant des semaines, il concentre ses efforts dans la recherche de cas connus de sarcome (tumeur maligne), dont les malades auraient survécu. Sa patience finira par payer puisqu’il trouve enfin ce qu’il cherche, sa découverte aurait dû alors révolutionner le monde de la médecine.

 

Une quête fructueuse

Parmi la centaine de dossiers inspectés, un seul retiendra son attention, celui d’un homme dont le sarcome a étonnamment disparu après avoir contracté une maladie infectieuse : l’érysipèle. Cette maladie, qui a pratiquement disparu aujourd’hui, est une infection de la peau due une bactérie connue sous le nom de streptocoque. Elle peut provoquer des plaques sur tout le corps et causer de la fièvre, mais reste bénigne.

William Coley se lance donc dans la recherche d’autres cas similaires, et trouve plusieurs dossiers rapportant la disparition soudaine et mystérieuse de sarcomes à la suite d’un érysipèle. Convaincu qu’il est sur la bonne piste, il entreprend de créer un remède et concentre des bactéries mortes d’érysipèle, ce qui les rend moins dangereuses. Cette mixture sera nommée « Toxines de Coley ».

Une guérison inattendue 

Le 24 janvier 1893, un jeune patient atteint d’une tumeur abdominale massive reçoit la première injection des Toxines de Coley directement dans la tumeur. L’opération a été renouvelée tous les trois jours, avec pour conséquences des montées de fièvre brutales entraînant une régression presque instantanée de la tumeur ! En l’espace de quatre mois, sa taille a diminué de 80 % et 12 semaines plus tard, en août 1893, la tumeur n’était pratiquement plus perceptible. Le patient Jonh Ficken, fut totalement guéri du cancer, il décéda 26 ans plus tard d’un infarctus.

Une découverte condamnée par le pouvoir de l’argent

Au début du XXe siècle, la radiothérapie se développa et marqua le début d’une autre ère de la médecine, sur laquelle nous comptons encore aujourd’hui pour nous soigner. À cette époque, on a considéré que les machines à rayons radioactifs étaient plus simples à industrialiser.

Le docteur Coley s’était intéressé à ces techniques issues du travail novateur de Marie Curie, il a d’ailleurs investi en se procurant deux machines de radiothérapie. Rapidement, il comprit que leur utilisation n’équivalait pas la guérison d’un cancer grâce à son traitement. Il consacra le reste de sa carrière à soigner des malades atteints de cancers avec succès, jusqu’à sa mort en 1936.

La chimiothérapie apparût ensuite et le business qu’elle engendra ne cessa de croître, laissant dans l’oubli les Toxines de Coley.

Un récent espoir

En 1999 des chercheurs ont repris les travaux du Dr Coley pour comparer les résultats avec les traitements modernes contre le cancer. Les Toxines étaient bien plus efficaces. C’est la société américaine MBVax qui a repris les recherches sur le traitement et en a fait bénéficier à 70 malades atteints de cancers en phase terminale. Pour ces patients c’était comme une dernière chance, il leur a été permis de se soigner de manière alternative, car ils avaient peu de chances de survivre à leur cancer, alors que cela est souvent refusé à d’autres malades.

Les résultats sont parlants : dans 20 % des cas la rémission fût complète et dans 70 % des cas la tumeur a diminué.

Malgré cette preuve indéniable que les Toxines de Coley peuvent guérir du cancer, la société MBVax n’est pas en mesure d’entreprendre des études nécessaires à leur commercialisation. Pour mener les essais et répondre aux normes des laboratoires MBVax devrait en effet pouvoir investir quelques centaines de millions de dollars.

Trois médecins sur quatre refuseraient la chimiothérapie pour eux-mêmes en cas de cancer selon un rapport publié en 2012, et ce pour la simple raison qu’elle est inefficace et que ses effets sont dévastateurs sur tout l’organisme. Bien entendu, tout cela n’est pas dévoilé aux malades.

Source : Cancer.org ,citizen.post Jacque Lacaze (cancérologue

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30 octobre 2014

Les AKG jouent un rôle important dans le traitement des maladies du sang et irradiations

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Vous avez sans doute entendu parler d'un remède connu des vieux amateurs de médecines naturelles sous le nom de "huile de foie de requin du Groenland". Un peu comme l'huile de foie de morue. Si vous ne connaissez pas cette vieille pratique nordique, vous avez peut-être entendu parler des alkylglycérols extraits de cette huile de requin, des lipides qui ont longtemps défrayé la chronique comme traitements complémentaires du cancer et qui, finalement, ont été boudés par le grand public (qui leur a préféré les Oméga 3). Pourquoi ? Parce que les alkylglycerols sont extraits du requin et de nombreuses personnes se privent de ce remède afin de ne pas participer au massacre des requins...

La malédiction de ce poisson, c'est que tout est bon chez lui : la chair et les ailerons se mangent, du cartilage on fait des compléments alimentaires, avec les dents, des bijoux, avec la peau, des sacs et des chaussures et pour finir, on extrait de son foie une huile, dont le squalène qu'elle contient est largement exploité par l'industrie des cosmétiques qui en met partout (dans les lotions, les déodorants, les crèmes solaires, les baumes à lèvres, le maquillage...).

Avertissements

La triste réalité, en 2013, c'est que 3 millions de requins sont exterminés chaque année et que certaines espèces des profondeurs sont menacées d'extermination. L'extraction des alkylglycérols ne représente qu'une part très infime du business de l'huile de foie de requin, laquelle passe massivement par l'exploitation du squalène par l'industrie des cosmétiques.

Mais, n'ayant nullement l'intention de participer de près ou de loin à ce massacre, je vous dirai trois choses avant d'aller plus loin :

1. Si l'huile de foie de requin est un précieux remède, il n'est pas nécessaire d'en abuser. C'est un produit à réserver à ceux qui en ont besoin ou à utiliser ponctuellement en prévention. Les peuplades scandinaves et du pourtour arctique qui en ont toujours consommé pour ses propriétés fortifiantes et cicatrisantes continuent à le faire de façon raisonnée, l'huile de foie étant ici un sous-produit de leur pêche et non le fruit de pratiques barbares comme le « livering » (rejet des carcasses après extraction du foie !).

2. Il est tout à fait possible de ne pas participer à ce massacre en se fournissant chez des laboratoires qui utilisent des espèces de requins non menacées et qui peuvent garantir que les foies employés ne sont que des sous-produits de la pêche. Ils ne sont pas nombreux mais ils existent.

3. Il ne faut pas confondre les alkylglycérols et le squalène dont on tire aussi des compléments alimentaires vendus sous le nom « d'huile de foie de requin »

Pourquoi les requins ne sont-ils jamais malades ?

Le requin n'a pas l'apanage des alkylglycérols (AKG) puisque ces alcools gras découverts en 1922 (et synthétisés par Robinson, prix Nobel en 1930) font aussi partie du corps humain. Le lait maternel en contient une bonne quantité et ils sont naturellement présents dans la graisse du foie, de la rate, et dans la moelle osseuse.

Autrement dit dans toutes les parties stratégiques de nos défenses immunitaires. Ils y jouent un rôle-clé puisqu'ils sont entre autres à l'origine des facteurs d'agrégation des macrophages. Mais dans le foie de requin, qui est un animal qui n'a pas muté depuis près de 400 millions d'années, on estime que ces alkylglycérols sont présents à 50%. Or un foie de requin de taille normale est rempli d'une centaine de litres d'huile !

Depuis longtemps intrigués par ces poissons qui peuvent vivre 100 ans sans contracter pratiquement aucune maladie grâce à ce qui ressemble à un système de surveillance immunitaire sans faille, les scientifiques s'accordent à attribuer cette résistance aux infections et aux tumeurs aux AKG.

Des centaines d'années d'usage traditionnel et des dizaines d'années de constatations scientifiques

Les Japonais appellent l'huile de foie de requin « samedawa » : panacée. Cette appellation traditionnelle résonne avec le roman « Le vieil homme et la mer », un classique fort bien documenté d'Hemingway, où l'huile de foie de requin apparaît comme un trésor de santé : « Et de même il buvait une tasse d'huile de foie de requin chaque jour au grand pot qu'il gardait dans sa cabane, là où la plupart des pêcheurs gardent leur matériel. La plupart des pêcheurs en haïssent le goût. Mais il n'y avait rien de pire que de se lever aux heures où ils se levaient, et c'était ce qu'il y avait de meilleur contre les rhumes et les grippes, et bon pour les yeux aussi. ».

Dans la médecine traditionnelle scandinave, et ce depuis les Vikings, l'huile de foie de requin a toujours eu une place de choix. On l'utilisait surtout pour les problèmes digestifs mais aussi pour traiter des situations aussi particulières qu'un gonflement des ganglions lymphatiques. En 50 ans, il y eu des centaines d'observations scientifiques réalisées. Il ne s'agit peut-être « que » d'études in vitro ou sur des animaux mais cette littérature est très documentée.

Voici donc ce qu'il faut retenir de l'action de ces précieux « messagers » du système immunitaire : - Les AKG jouent un rôle important vis-à-vis des macrophages (globules blancs) mais ils participent aussi à l'activation et la modulation de la production des globules rouges et des plaquettes. D'où leur intérêt dans le traitement des maladies du sang ainsi que dans la réparation des dégâts hématologiques liés aux irradiations.

- Les AKG sont aussi à l'origine des plasmogènes qui sont des antioxydants et des modulateurs de la fluidité des membranes cellulaires. A ce niveau membranaire, les AKG présentent la capacité d'inhiber une protéine, la Kinase C, impliquée dans la prolifération cellulaire anarchique. D'où leur intérêt dans l'action préventive des terrains cancérigènes.

- Les AKG interviennent dans l'activation et la modulation du facteur d'agrégation plaquettaire (PAF) qui joue un rôle crucial dans la maîtrise des réponses inflammatoires. D'où leur intérêt devant les rhumes, les grippes, les allergies (je connais des personnes qui en font des cures de printemps pour passer la saison des pollens), toutes les inflammations en général, l'asthme, les rhumatismes, le psoriasis...

Et des effets bénéfiques encore inexpliqués

Sur 50 ans, les utilisateurs des alkylglycerols sont évidemment nombreux. C'est à travers cette expérience populaire non négligeable qu'ont été rapportés des effets inattendus qui trouvent difficilement, pour le moment, une explication claire. Il apparaît par exemple que les alkylglycerols sont un traitement efficace de l'eczéma du nourrisson (on en met dans le biberon et c'est tout)...

De nombreux consommateurs d'AKG ont eu la surprise de voir les symptômes du syndrome de Raynaud (maladie des doigts gelés) disparaître après une courte période d'utilisation. De la même manière, on ne comprend pas pourquoi les forces spéciales de plusieurs pays passent de grosses commandes d'AKG... Elles n'ont sûrement pas toutes du psoriasis... En fait, on ne sait pas vraiment ce qui fonctionne dans ce produit, mais ça fonctionne, et souvent de manière imprévisible.

Adjuvant des thérapies anti-cancer depuis 2006

Les AKG sont de puissants immunomodulateurs et jouent probablement un rôle en tant que tels directement actif sur les tumeurs et les métastases. C'est ce que semble indiquer les résultats d'études menées en Suède par l'Institut de neuroscience de Göteborg qui montrent des effets cytotoxiques (entraînant la mort des cellules tumorales) des AKG sur des carcinomes ovariens, mammaires et prostatiques. Cela reste cependant à confirmer.

En revanche, leurs bienfaits longtemps supposés dans le traitement d'appoint du cancer ont été vérifiés cliniquement grâce à une étude menée sur 10 ans par le centre anti-cancer de Montpellier. Ses résultats, publiés en 2006, confirment d'autres travaux suédois du Karolinska Institute auquel on doit la mise en lumière des principales propriétés des AKG.

Cette étude randomisée en double aveugle contre placebo a abouti à des résultats très clairs dans le cas de la prise en charge du traitement du cancer du sein. La supplémentation en AKG en accompagnement de la chimiothérapie ou des rayons :

  • a fait diminuer, chez 66% des femmes, les érythèmes radiques (les plaques rouges sur la peau occasionnées par les radiations),
  • a divisé par 2 les symptômes asthéniques (dépression de l'état général par affaiblissement des fonctions des organes et des systèmes),
  • a amélioré par un facteur de 5 la qualité de vie (perte de cheveux, fatigue, sommeil, humeur...) des patientes lors de leur traitement,
  • a permis de protéger l'immunité générale des patientes en empêchant la leucopénie (chute des globules blancs) et l'effondrement des plaquettes. Ce qui a eu pour effet d'éviter les infections secondaires dues à la baisse du système immunitaire consécutive aux traitements.

Ces effets protecteurs (observés également dans l'accompagnement du traitement du cancer du rectum et du côlon) ont poussé le Pr Henri Joyeux, cancérologue reconnu, à prescrire des AKG à ses propres patients. Les AKG n'interfèrent pas avec les traitements classiques (sinon en les favorisant) et ne provoquent aucune toxicité ou effet secondaire.

Un produit unique depuis 35 ans

Le succès des AKG ne date pas d'hier, je vous l'ai dit. Il existe donc sur le marché de nombreux produits mais tous n'ont pas la même rigueur de fabrication, et la même composition. Pour être capable de vous en conseiller un, je suis remonté aux sources de la découverte des alkylglycerols.

Le « père » des alkylglycerols, un Suédois, le Dr Brohult (le premier à en avoir étudié les propriétés thérapeutiques au début des années 50) a été non seulement celui qui a découvert les Omega 3 mais aussi le premier à déposer un brevet sur l'extraction des alkylglycerols. La propriété de son brevet est toujours entre des mains suédoises et appartient à la société Natumin Pharma (une herboristerie devenue un laboratoire) qui, depuis des années, n'a cessé d'améliorer le procédé d'extraction afin de préserver les 4 familles d'AKG présentes dans l'huile de foie de requin, dont les alkylglycérols méthoxy-substitués, très fragiles. Ces alkylglycérols sont vendus sous la marque Ecomer en France

Une pêche sous contrôle

Vous vous doutez que j'ai vérifié d'où venaient les requins. Une seule espèce est ici concernée, en l'occurrence abondante dans l'Atlantique nord : Squalus Acanthias ou Aiguillat commun. Cette espèce ne fait pas partie des listes des espèces marines en danger de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) et les requins, bien plus petits que les requins du Groenland, sont pêchés à la ligne pour leur chair (que l'on retrouve dans les fish and ships).

Simplement les entrailles, au lieu d'être jetées, sont récupérées. Rien à voir avec la pêche en grands fonds ou le ratissage des océans à l'asiatique : ici s'appliquent les quotas européens et les normes des Nations Unies relatives à la pêche durable et raisonnée. Cette population de requins Squalus Acanthias est stable et n'est nullement menacée par la diffusion de l'huile de leur foie. Par ailleurs, comme les AKG sont des huiles extrêmement résistantes, elles ne souffrent pas de l'oxydation rapide qui touche généralement les huiles, ce qui permet de les conserver longtemps, autrement dit de mieux gérer la ressource.

Un processus de production transparent

L'extraction des AKG résulte d'un processus assez complexe, réalisé à des températures élevées : le premier distillat (le liquide récupéré de l'alambic) est séparé en couches ; la couche supérieure est retirée pour être traitée (lavage à la vapeur pendant 1 heure) tandis que la couche inférieure est éliminée.

Cette huile lavée l'est une seconde fois avec une solution alcaline, un procédé permettant d'éliminer tous les acides gras nocifs, puis le résultat est purifié (métaux lourds, impuretés diverses) avant un dernier lavage à la vapeur (qui expurge les résidus oxydés) et l'extraction finale des AKG. Le résultat est garanti sans métaux lourds ni produits toxiques et débarrassé au fil de ce méthodique processus du squalène, des graisses indésirables, des excès de vitamines A et D et du cholestérol du requin.?Et évidemment, il n'y a pas de colorant, aucun conservateur ou additif.

Gare au squalène et autres chimères...

Le squalène présenté aujourd'hui comme ayant les même propriétés que les alkylglycérols, est en fait un produit banal de l'industrie du requin. Les alkylglycérols extraits de l'huile de foie de chimère, qui connaîssent un certain succès depuis le milieu des années 2000, s'ils sont extraits de manière sérieuse, ont peut-être les mêmes effets que les AKG de requin, mais ils n'ont jamais été étudiés. Il faut aussi rappeler que la chimère est un poisson d'abysse en voie d'extinction qui rassemble de faibles populations, qui se reproduit peu et n'est pêché que pour son foie.

Une tasse quotidienne, peut-être pas...

Après ses vertus immunitaires et ses propriétés anti-cancer, qui ont monopolisé la recherche depuis 1952 (et suscité tant de copies de l'original...), c'est désormais sur son action générale sur la santé humaine que s'orientent maintenant les chercheurs. Je ne serais pas surpris que les alkylglycérols rentrent un jour dans la panoplie des produits anti-vieillissement. En attendant, à moins d'être un courageux pêcheur dans sa cabane comme Santiago qui avalait sa tasse quotidienne, il faudra vous contenter de quelques capsules.

http://www.alternativesante.fr/alkylglycerols/les-alkylglycerols-c-etait-mieux-que-les-omega-3

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