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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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cure
13 septembre 2017

La racine de gingembre est un remède miracle contre le cancer de la prostate

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(NaturalNews) Le cancer de la prostate est l'un des cancers les plus traités en général. À l'âge de 50 ans, environ 40% de tous les hommes ont déjà un cancer de la prostate et ne le connaîtront probablement jamais. Mais il ne les tuera pas non plus, à moins qu'ils ne soient examinés et traités avec les protocoles de Big Pharma. Ensuite, les choses prennent un tournant laid, car le cancer bénin et à croissance lente devient le type de tueur. Le nombre de cancer de la prostate double à 80 pour cent de tous les hommes à l'âge de 80 ans. Si vous êtes dans l'affaire de la vente de traitements contre le cancer, c'est une bénédiction financière et une vache.

La prostate masculine augmente naturellement avec l'âge. Plus il est grand, plus les chances que certaines cellules de la prostate deviennent cancéreuses. Ceci est principalement dû à nos régimes hautement inflammatoires pleins de gluten, des OGM causés par le cancer, des sucres et des additifs chimiques combinés à nos modes de vie sédentaires et aux mauvaises habitudes des selles.

Le Groupe de travail sur les services préventifs des États-Unis a constaté cette année que les tests sanguins PSA sont trop peu fiables et donnent des faux positifs à 80 pour cent du temps, alors que 1.000 hommes ont besoin d'être examinés pour éviter une seule mort de cancer de la prostate - mais ce n'est pas le pire. Beaucoup succomberont à l'impuissance, à l'incontinence, aux crises cardiaques et même à la mort du traitement de petites tumeurs qui ne les auraient jamais tuées en premier lieu.

Le gingembre est le remède miracle

Le British Journal of Nutrition a publié récemment les résultats d'une étude américaine dans laquelle l'extrait de gingembre (zingiber officinale) a effectivement tué des cellules de cancer de la prostate humaine, alors que les cellules prostatiques saines ne sont pas mortes. Les résultats se sont produits à une dose quotidienne de 100 mg d'extrait de gingembre par kg de poids corporel (selon un homme pesant 150 livres, cela équivaut à environ 550 mg d'extrait par jour). En huit semaines, l'extrait de gingembre a réduit la croissance de la tumeur de la prostate en deux. Les chercheurs ont estimé que 100 grammes de gingembre frais mangés quotidiennement offriront les mêmes résultats.

En tant que champion du cancer , le gingembre a des effets anti-inflammatoires, antioxydants et antiprolifératifs sur les tumeurs faisant du gingembre un agent chimiopréventif prometteur. L'extrait entier de gingembre détient des effets significatifs inhibiteurs de la croissance et l'induction de la mort dans un éventail de cellules cancéreuses en interrompant la progression du cycle cellulaire du cancer, en altérant la reproduction du cancer et en modulant l'apoptose. Mais surtout, le gingembre n'a pas de toxicité dans des tissus normaux et à séparation rapide tels que l'intestin et la moelle osseuse.

Le gingembre pris par voie orale peut prévenir ou soulager les nausées résultant de la chimiothérapie, du mal des transports, de la grossesse et de la chirurgie.

Non seulement le gingembre peut-il endurer le cancer, mais il est un remède naturel pour la maladie du voyage, la nausée, l'indigestion, les flatulences, les coliques, le syndrome du côlon irritable, la perte d'appétit, les frissons, la mauvaise circulation, les crampes menstruelles, la dyspepsie, les brûlures d'estomac, l'indigestion et bien d'autres problèmes gastro-intestinaux. La racine de gingembre est également un anti-inflammatoire puissant pour les problèmes articulaires et est indiqué pour l'arthrite, les fièvres, les maux de tête, les maux de dents, la toux, la bronchite, l'arthrose, la polyarthrite rhumatoïde, la tendinite, l'hypercholestérolémie et la pression sanguine et peuvent également prévenir les caillots de sang internes. Le gingembre est même anti-viral et fait réchauffer le rhume et le remède contre la grippe.

La prostate fait et ne le fait pas

Il existe des études montrant que les hommes consommant de grandes quantités d'acide folique synthétique et d'oxyde de zinc sont plus susceptibles de développer un cancer de la prostate. Les hommes prenant également de grandes quantités de multi-vitamines à forte dose développent le cancer de la prostate plus fréquemment. D'autre part, d'autres études suggèrent que l'huile de poisson, le magnésium, la curcumine, le brocoli et le lycopène (présents dans les produits à base de tomates) contribuent à protéger les hommes contre le cancer. Éviter tous les aliments transgéniques et les aliments transformés ainsi que leur litanie d'additifs chimiques est un must pour la santé de la prostate. Le maintien d'un régime faible en glucides est également connu pour réduire le risque de développer un cancer de la prostate.

Oh, et n'oubliez pas de prendre la racine de gingembre.

Sources pour cet article

Cancer Research 1999 Mar 15; 59 (6): 1225-30.
Journal du National Cancer Institute 2007; 99: 754-64.
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21849094
http://ije.oxfordjournals.org/content/36/2/278.full

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29 mars 2017

Remèdes efficaces contre les radiations nucléaires

A DIFFUSER LARGEMENT AUTOUR DE VOUS ! MERCI !

 
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Remèdes efficaces contre les radiations nucléaire..
 
Une explosion nucléaire ne constitue pas la plus grande menace

Contrairement à la croyance populaire, la plus grande menace d'exposition aux radiations n'est pas le souffle de radiations ionisantes provoqué par une explosion
nucléaire. Les radiations de faible intensité, émises pendant de longues périodes,provoquent les plus grands dommages au niveau des structures cellulaires. Ces radiations de faible intensité proviennent de l'exposition répétitive aux radiations qui émanent de l'absorption de particules aériennes radioactives se déposant sur
les aliments, ou de radiations en provenance de l'eau ou des sols incorporées à la structure cellulaire de l'aliment. Au final, ces radiations de faible intensité, émises pendant de longues périodes, produisent de grandes quantités de radicaux libres. Cette production de radicaux libres provoquent des maladies dues aux radiations
mortelles et contribue à l'augmentation du taux de cancers Quand tout le monde s'apprête à consommer des pastilles d'iode, voici un protocole suivi par un médecin qui se trouvait en zone rouge lors de l'explosion nucléaire d'Hiroshima.
Refusant de quitter son hôpital et ses malades, il a réalisé un protocole simple contre les radiations. Alors que tous les êtres humains alentour ont été irradiés, totalement brûlés ou morts de leucémie, les malades ont tous survécu.
Le nuage de radio-activité est attendu en France par les scientifiques vers le 21 Mars. Sa concentration sera moins élevée qu'au Japon mais...

L' iode radio-actif représente un risque pour toutes les personnes atteintes d'hyperthyroïdie. Alors ne prenons, autant que possible, aucun risque.

Ce protocole est à suivre dès maintenant en préparation puis sur une période de 15 jours.

La seule mise en garde à prendre en compte est la prise de charbon actif qui annule tous les traitements chimiques pendant 4 heures après la prise.
Tous les ingrédients ci-dessous proposés ont soit la capacité de contenir les cellules irradiées pour les éliminer avec les selles, soit la capacité d'annuler l'effet négatif des radiations.
Essayez de manger des céréales complètes et des fibres, évitez les légumes frits, les viandes rouges, les laitages de vache, les farines blanches et les sucres raffinés.

Ce protocole est valable pour tous: adultes, enfants et animaux.
Il suffit de diminuer les doses en fonction du poids de chacun. Pour les animaux, mélanger le miso à la nourriture, mettre un peu d'eau argileuse dans leur eau et de chlorure de magnesium sur le pelage.
Ingrédients:

- Miso en poudre - soja fermenté (magasin bio ou sur Internet), 10 sachets.

- Charbon suractivé en granulés  200 grammes (10 jours).

- Chlorella bio 500 mg algues

- Vitamines C 1000 mg 2g/jours

- Calcium

- lecithine de soja 1200 mg qui protège les nerfs, le cerveau et les gonades des radiations.


- Chlorure de Magnésium en sachet ou Nigari (pharmacie, magasin bio ou sur Internet).

- Une bouteille en verre pour le chlorure de magnésium (surtout pas de plastique).

- De l'eau filtrée, ou en bouteille, Mont Roucous, Rosée de la Reine, ou osmosée et régénérée avec un appareil du genre Aqua Avanti, etc...



 lécithine qui protège les nerfs, le
cerveau et les gonades des radiations.
Aliments contenant de la chlorophylle réduisent de 50% les effets secondaires des radiations
Betteraves protègent à 97-100% du césium-137
Ail, ginseng et oignon protègent à 97-100% des mutagénèses, riche en
sélénium, effet antioxydant
Algue bleu-vert protège du krypton-85, césium-137
augmente l'immutabilité cellulaire
riche en chlorophylle
Cystéine évacue les radicaux libres, protège contre les rayons X, le cobalt-
60 et le soufre-35
Vitamine C et rutine réduit les effets secondaires des radiations de 50%, stimule les
vaisseaux sanguins
Vitamine A/D évacue le strontium-90 des os
Vitamine E protège le foetus du césium-137, stimule le système immunitaire,
anticancéreux, protège des radicaux libres


Laver et peler les produits à l'eau oxygénée élimine 100% des retombées radioactives
Préparation :

- 1 cuillère à soupe dans un verre d'eau. Mélanger avec une cuillère en bois puis éloignez le verre des sources électriques, téléphones portables, fours à micro ondes, etc...

- Préparation du chlorure de magnesium: Versez un sachet de chlorure de magnésium dans une bouteille en verre. Puis versez-le dans un verre comme du sirop et ajouter de l'eau. Très amer, l'on peut ajouter du sirop mais pas de jus de fruits acides. Il se conserve au réfrigérateur (ce qui enlève un peu d'amertume) et se conserve plus de 3 mois.

- Préparation du Miso: Dans un mug ou un bol verser une cuillerée à café, puis verser de l'eau chaude sans la faire bouillir.

- Préparation du charbon: Dans un verre verser deux cuillères à soupe de charbon, bien mélanger puis boire le mélange et rallonger jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de charbon dans le verre...

Posologie pour un adulte de 65 kg:

 
Charbon activé: 2 à 3 cuillerées à soupe mélangées dans un verre. Boire beaucoup d'eau si vous avez tendance à la constipation. Le chlorure de magnésium étant un laxatif, tout doit s'équillibrer.

Chlorure de magnésium: 30 ml, toutes les 3 heures.

Miso: 4 mugs par jour.

Gingko Biloba: En comprimés, en cas de sévères séquelles d'irradiations, troubles de la parole, vertiges, etc...

Exemple de protocole:

Au lever: 1 verre d'argile. Les 2 à 3 premiers jours ne pas mélanger le fond et boire l'eau à la surface.

10H00 : Boire 30 ml de chlorure de magnésium.

11H00 : Boire 1 bol de soupe miso.

13H00 : Boire 30 ml de chlorure de magnésium.

16H00 : Boire 30 ml de chlorure de magnésium.

17H00 : Boire un bol de soupe miso.

19H00 : Boire 30 ml de chlorure de magnésium.

20H00 : Boire un bol de soupe miso.

21H00 : Boire un verre de charbon suractivé.

Bain détoxicant 500 g de sel marin, 500 g de bicarbonate de soude


Après c'est à chacun de trouver son protocole en fonction de son ressenti et de son agenda quotidien.

Alors restez à l'écoute!  N'hésitez pas à augmenter un peu les doses.

Merci à tous de diffuser ce message à vos proches ainsi qu'à vos contacts au Japon..

source ici http://www.greenlightcenter.fr

27 juin 2016

Quels sont les signes d’un besoin de détoxication hépatique ?

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Dans notre organisme le foie est le principal organe en charge d’assurer la détoxication, et son activité s’adapte à la quantité de xénobiotiques qui lui est amenée. Ces xénobiotiques sont des molécules étrangères à notre organisme tels que les médicaments, les hormones, les métaux lourds, mais aussi les composés chimiques associés à la préparation des aliments (tels que les fameux corps de Maillard). Le foie est la principale usine « d’épuration » de l’organisme : il traite la plupart des molécules qui lui sont étrangères et filtre en permanence le sang. Les cellules qui le constituent – les hépatocytes – bénéficient pour ce faire d’une longue durée de vie, de l’ordre d’une année voire de 500 jours, et d’une capacité importante de régénération.

Comment votre foie élimine-t-il les xénobiotiques ?

Pour assurer l’élimination des xénobiotiques, le foie intervient en plusieurs étapes pour transformer la substance initialement toxique en un dérivé soluble, qui sera éliminé par les urines ou les matières fécales. Le foie va éliminer ces substances à travers plusieurs étapes complexes, dont le bon fonctionnement dépend du niveau d’exposition aux xénobiotiques mais également de la prédisposition génétique et du statut nutritionnel.

Quels sont les signes d’un besoin de détoxication hépatique ?

Quand le foie n’est plus en mesure d’éliminer efficacement les xénobiotiques, différents symptômes peuvent apparaître : fatigue chronique, difficultés de récupération, acouphènes, migraines, somnolences post-prandiales, mauvaise haleine, langue chargée, réveils nocturnes, teint pâle ou jaunâtre, nausées avec sensibilité accrue aux odeurs fortes, à l’alcool ou à la caféine, etc. Je vous conseille de vous référer à un professionnel de santé pour déterminer si ces symptômes sont en lien avec une surcharge hépatique, indépendamment de l’existence d’une perturbation des marqueurs biologiques.

En pratique, voici quelques conseils pour faciliter le travail du foie :

  • Favoriser l’apport de certains nutriments : antioxydants (vitamines C, E, bêta-carotène, polyphénols, flavonoïdes, caroténoïdes, zinc, manganèse, cuivre, sélénium), acides aminés (méthionine, glutamine), oligo-éléments (magnésium, vitamines du groupe B).
  • Faites une part belle aux végétaux frais à chaque repas, d’origine biologique, crus ou cuits à chaleur douce. De manière générale privilégiez des cuissons douces, à la vapeur, notamment pour éviter la formation des corps de Maillard (composés chimiques formés lors de la cuisson des grillades par exemple).
  • Hydratez-vous : au moins 1,5 voire 2 L d’eau par jour, pour permettre un fonctionnement optimal du foie et de son drainage des toxiques.
  • Certains aliments permettent de soutenir les fonctions de « détox » du foie : les brocolis, les choux, l’ail, le curcuma, le café (maximum 2 café par jour, d’origine biologique et avant 17h, traditionnel et non au percolateur favorisant le passage d’Aluminium), le radis noir, le romarin, les petites baies. L’artichaut est plutôt utilisé sous forme de complément alimentaire du fait de l’utilisation de la tige et non de la feuille.
  • Le desmodium (Desmodium adscendens) peut être utilisé en cas d’atteinte des cellules du foie, par exemple suite à une hépatite. La chlorella favorise elle l’élimination des métaux lourds.
  • Attention au millepertuis et au pamplemousse, qui peuvent interagir négativement avec le processus de détoxication hépatique. En cas de traitement médicamenteux, le plus simple est de demander conseil à votre médecin ou de lire l’article développé qui suit.

 

En conclusion, faut-il systématiquement réaliser une cure de détoxication ?

Au regard de l’environnement dans lequel nous évoluons, soulager les fonctions du foie par certains aliments semble en effet bénéfique. Si vous êtes notamment sujet(te) aux troubles fonctionnels évoqués précédemment, la fameuse cure de « détox » peut s’avérer nécessaire en complément d’une alimentation de qualité. Prenez-soin de votre foie, il le mérite !

Pour ceux qui veulent aller plus loin et découvrir le dossier complet, c’est par ici !

 

Faut-il se « détoxifier » ?

Jeûne, monodiète, drainage : info ou intox ? La détoxication est un thème indémodable pour les médias. Mais que se cache-t-il véritablement derrière ces termes ? Est-ce efficace, et vraiment nécessaire ? Sommes-nous exposés aux toxiques en permanence ? Faisons le point sur ces régimes « détox ».

Notre environnement est-il toxique ?

Médicaments, hormones et antibiotiques contenus dans les viandes animales industrielles, alcool, tabac, pilules contraceptives, pesticides, herbicides, gaz d’échappement, métaux lourds (pour ne citer que le Cadmium contenu dans le tabac ou encore le Béryllium présents dans certains amalgames dentaires, le Plomb, le Mercure, l’Arsenic, le Nickel ou l’Aluminium), phtalates, bisphénol A, additifs alimentaires, solvants, détergents, etc. Autant de substances totalement étrangères à l’organisme auxquels nous sommes régulièrement confrontés depuis quelques décennies et regroupées sous le terme de xénobiotiques (littéralement « molécules étrangères à la vie »). Notre environnement est devenu bien différent de celui dans lequel évoluaient nos ancêtres chasseurs-cueilleurs. Cette liste est malheureusement non exhaustive. On pourrait  la compléter par les composés issus des cuissons à haute température, les amines hétérocycliques formées lors des grillades ou des fritures, les corps de Maillard donnant ce fameux gout grillé aux aliments. Que des bonnes choses pour le palais, me direz-vous. Peut-être, tout est affaire de gout. Par contre votre organisme, lui, n’apprécie guère cette accumulation de toxiques. D’autres sources de pollutions, issues la plupart du temps d’un organisme vivant, peuvent exister : on parle de toxines endogènes quand elles sont produites par l’organisme humain (les métabolites hormonaux ou l’ammoniac par exemple) ou exogènes si elles proviennent d’un organisme étranger (comme la toxine botulique). Toutefois pour des raisons de simplification, nous regrouperons l’ensemble des substances sous le terme de « toxiques ».

Mais alors… Serions-nous tous condamnés face à cette invasion de toxiques ? Fort heureusement, non. La machinerie cellulaire est encore une fois formidablement organisée pour y répondre efficacement. L’organisme dispose en effet de plusieurs organes d’élimination, les émonctoires, pour traiter et éliminer les toxines. Il s’agit principalement des poumons, de la peau, des intestins et du foie. Toutefois, comme pour l’ensemble des fonctions cellulaires, tout est une question d’équilibre et d’homéostasie : en cas de défaut d’élimination ou d’excès d’exposition à ces toxiques, ceux-ci peuvent s’accumuler dans l’organisme.

La notion d’intoxication est complexe. Certaines substances peuvent en effet s’avérer hautement toxiques et engendrer des troubles endocriniens, une lésion de certains organes voire un décès. D’autres possèdent quant à eux des effets plus insidieux, du fait de leur accumulation progressive dans l’organisme. Ils peuvent être à l’origine d’un risque accru de cancer par mutation de l’ADN ou d’une perturbation des réactions enzymatiques des cellules, entraînant fatigue, perte de vitalité et troubles fonctionnels. Tout dépend de la dose, de la voie d’absorption, du type et de la gravité de l’exposition. Les effets à long terme de ces toxiques peuvent par ailleurs s’additionner pour créer une malencontreuse synergie, « l’effet cocktail », délicate à évaluer. Le système d’évaluation des risques est en effet avant tout fondé  sur l’établissement de Doses Journalières Admissibles (DJA) par l’organisme pour chaque polluant ou sur la mesure de biomarqueurs d’exposition dans les urines et dans le sang. La science relative à la toxicologie étant complexe mais en dehors du sujet, j’invite ceux qui souhaitent approfondir ces notions à explorer les ouvrages du Pr Narbonne, expert Français toxicologue et auteur du livre « Sang pour sang toxique ». Nous n’aborderons donc pas ici la toxicité aiguë des substances dangereuses pour l’organisme, mais davantage les effets insidieux sur la vitalité de tous ces xénobiotiques polluant le foie.

Le foie, un organe majeur pour notre santé

Imaginez une usine de retraitement des déchets active 24h sur 24, assurant plus de 500 fonctions différentes et en charge de filtrer tout ce que vous buvez, mangez ou faites pénétrer dans votre organisme. Cet organe, actif tout au long de votre vie et pesant 1,5 kg, c’est votre foie. C’est un organe essentiel au maintien d’un état de santé optimal et dont l’implication dans de nombreux troubles fonctionnels est souvent sous-estimée.  En effet, nos pensées pour le foie sont en général dédiées aux lendemains difficiles, après une soirée bien arrosée ou un repas copieux. Mais au delà de son rôle dans la digestion, le foie assure le dur labeur de traiter la plupart des molécules étrangères à l’organisme et de filtrer en permanence le sang circulant dans l’ensemble de l’organisme. Fort heureusement, les cellules qui le constituent – les hépatocytes – bénéficient pour ce faire d’une longue durée de vie, de l’ordre d’une année voire de 500 jours. Elles possèdent par ailleurs une capacité de renouvellement particulièrement étonnante. Le foie d’un rat se reconstitue par exemple en moins de 10 jours lorsque l’on réalise une ablation de 70% de celui-ci.  De manière schématique, vous régénérez votre foie environ une fois par an, en particulier la nuit. Pour l’anecdote, dans la mythologie, Prométhée fut condamné par Zeus à se faire éternellement dévorer le foie le jour par un aigle tandis qu’il se reconstituait la nuit, après avoir volé les Dieux en offrant le feu sacré à la race humaine. La capacité de régénération du foie semblait donc déjà connue des Grecs anciens !

Quels sont les signes d’un besoin de détoxication ?

Sans foie, point de vie. Au delà de son rôle de détoxication, le foie assure en effet bien d’autres fonctions. On peut ainsi citer la formation de la bile, la mise en réserve des glucides sous forme de glycogène, la participation au métabolisme des graisses, la formation de corps cétoniques (en cas de jeûne) et d’urée, la synthèse des enzymes, des protéines plasmatiques de l’inflammation, des facteurs de coagulation, etc. On comprend alors aisément que le foie soit un organe sans cesse en quête d’énergie !

Une sollicitation prolongée à travers une consommation importante de xénobiotiques peut s’avérer à l’origine de nombreux troubles fonctionnels non spécifiques, tels que :
  • Fatigue chronique,
  • Difficultés de récupération,
  • Acouphènes,
  • Migraines,
  • Somnolences post-prandiales,
  • Mauvaise haleine,
  • Langue chargée,
  • Réveils nocturnes (le foie étant particulièrement actif la nuit, les réveils entre 2 et 4h du matin seraient, selon la médecine chinoise, caractéristiques d’une faiblesse hépatique),
  • Teint pâle ou jaunâtre,
  • Nausées avec sensibilité accrue aux odeurs fortes, à l’alcool ou à la caféine, etc.

Si certains de ces symptômes vous concernent, que vous êtes soumis à un traitement médicamenteux ou hormonal, et que vous êtes d’amateur d’alcool, de café et peu attentif à l’origine (biologique ou non) des aliments que vous consommez, cet article vous sera utile ! Bien entendu, l’analyse et la pondération de ces troubles fonctionnels par un professionnel de santé demeurent indispensables pour déterminer leur lien possible avec une surcharge hépatique. Ces signes peuvent en effet ne pas être associés à une perturbation de la biologie classiquement utilisée comme marqueur d’une atteinte hépatique  (transaminases, gamma GT, bilirubine, phosphatases, etc.).  Pour autant votre foie peut s’avérer dépassé par cet afflux de xénobiotiques ou être en déficit de micronutriments indispensables à la bonne réalisation de ses fonctions. Par ailleurs, le métabolisme du foie étant étroitement lié à celui de l’intestin à travers ce que l’on appelle le cycle entéro-hépatique, il est fréquent qu’une perturbation du métabolisme de l’un des deux organes impacte celui du second.

Prenons l’exemple de Mme S., femme dynamique de 28 ans. Mme S. vit à Paris, est cadre et amatrice de café à longueur de journée pour compenser la fatigue liée à des soirées parfois bien arrosées. Sous pilule contraceptive et fumeuse, elle banalise la prise de paracétamol du fait de ses maux de tête répétés et de ses acouphènes qu’elle attribue à son rythme de vie stressant. Elle vient consulter car elle se sent fatiguée, sujette à des inconforts digestifs récurrents et à des réveils nocturnes. Elle attribue cette fatigue à une alimentation constituée de repas pris bien souvent à l’extérieur et sans petit déjeuner car elle n’a pas faim le matin, se réveillant nauséeuse. Elle est adepte des régimes détox dont elle entend régulièrement parler : après avoir testé le régime raisins, le jeûne, la monodiète et le régime sans gluten, elle souhaite s’inscrire dans une démarche globale, consciente que son hygiène de vie est étroitement liée à son état.

 

Comment votre foie élimine-t-il les xénobiotiques ?

Pour assurer l’élimination des xénobiotiques, le foie intervient en plusieurs étapes, dans l’objectif de transformer la substance initialement toxique en un dérivé soluble pouvant être éliminé par les urines et les matières fécales. La plupart de ces molécules toxiques sont en effet liposolubles, expliquant d’ailleurs qu’elles s’accumulent dans les cellules du tissu adipeux, les adipocytes. Pour cette raison, les poissons gras en fin de chaîne alimentaire tels que le saumon ou le thon peuvent accumuler des quantités significatives de métaux lourds, à l’inverse des petits poissons (sardines, maquereaux, anchois) qui sont donc à privilégier. La parenthèse étant refermée, revenons à notre foie qui doit donc éliminer ces substances à travers deux étapes, que l’on nomme « phases ». Courage, un peu de concentration s’impose :

  • La phase I est dite de fonctionnalisation. Les enzymes de cette phase, regroupées pour la plupart sous le terme de cytochromes P450, vont « oxyder » les toxiques liposolubles en leur ajoutant un radical chimique spécifique. Le stress oxydatif est généralement considéré comme responsable du vieillissement cellulaire, mais n’oublions pas qu’il assure des rôles essentiels au bon fonctionnement de l’organisme lorsqu’il est bien contrôlé, à l’instar de cette première phase. Il s’agit du système d’oxydation le plus puissant de l’organisme. Le statut en micronutriments est donc essentiel pour permettre à ces complexes enzymatiques de fonctionner de manière optimale : les vitamines B2, B3, B6, B9 et B12, le Magnésium, le Zinc, le Manganèse, le Chrome et le Cuivre sont particulièrement importants. L’activité des cytochromes est par ailleurs variable en fonction des individus du fait de l’existence d’un polymorphisme génétique important. A noter que les composés intermédiaires issus de cette première phase sont alors instables et peuvent s’avérer plus toxiques que les composés originels, notamment en cas de statut antioxydant insuffisant.
  • La phase II est dite de conjugaison. Elle est en charge, non pas de garantir une bonne syntaxe, mais de transformer les substances oxydées issues de la première phase en molécules hydrosolubles pouvant être ainsi éliminées par les urines et la bile. Cette transformation est assurée selon différents mécanismes en fonction de la nature des substances. On parle alors de sulfoconjugaison, de glucurono-conjugaison, de détoxication par méthylation ou par acétylation. Au-delà de leur dénomination technique, ces réactions sont dépendantes du statut nutritionnel, notamment en Glutathion, Taurine, Arginine, Glutamine, Ornithine, oligo-éléments, vitamines B2, B5, B6, B9, B12 et C. Par ailleurs, le début de cette seconde phase neutralise les dérivés oxydés issus de la première phase : l’organisme doit donc bénéficier d’un statut optimal en nutriments antioxydants et assurant le bon fonctionnement de certaines enzymes au nom soporifique de SOD (Super Oxyde Dysmutase) et GPx (Glutathion Peroxydase) : vitamines C, E, bêta-carotène, Sélénium, Cuivre, Manganèse, Zinc, flavonoïdes, etc.
  • Une dernière phase dite de solubilisation, en charge d’éliminer enfin les métabolites de l’organisme alors devenus hydrosolubles, grâce à la bile.

Le mécanisme de détoxication hépatique, complexe, est régi par l’équilibre entre les différentes phases. En fonction de notre génétique, notre capacité à transformer les toxiques en dérivés intermédiaires peut varier de manière significative. Par ailleurs, la première phase est dite « inductible » : les enzymes peuvent devenir de plus en plus efficaces et de plus en plus nombreuses en fonction du niveau d’exposition aux toxiques. Ce qui peut apparaître de prime abord comme un avantage certain : oui, à la condition essentielle que la seconde phase soit toutefois aussi efficace. En effet, rappelez-vous que les molécules intermédiaires peuvent être plus toxiques que les molécules originelles. C’est d’ailleurs une des raisons de toxicité de certains médicaments chez des personnes présentant un déséquilibre de fonctionnement entre ces deux phases de détoxication. Il peut par ailleurs exister une interaction entre ces dérivés et certaines protéines cellulaires à l’origine de la formation d’haptènes, molécules potentiellement impliquées dans des réactions inflammatoires ou immunitaires. Prenons pour exemple l’alcoolisme chronique : la première phase permet de métaboliser l’éthanol (l’alcool) en dérivés toxiques, notamment l’acétaldéhyde, qui doivent alors être solubilisés au cours de la seconde phase. Si cette dernière est déficiente, les métabolites intermédiaires seront à l’origine d’une atteinte des cellules du foie, voire d’une cirrhose en cas d’exposition chronique. Cette notion d’inductibilité enzymatique explique d’ailleurs la raison pour laquelle les personnes consommant régulièrement de l’alcool sont de moins en moins sujettes à l’ivresse, l’alcool étant rapidement métabolisé en acétaldéhyde. L’efficacité de la seconde phase est, quant à elle beaucoup moins inductible que la première et sous la dépendance de nombreux facteurs, dont :

  • La prédisposition génétique. Citons à titre d’exemple le président Churchill qui tolérait une grande quantité d’alcool sans déclencher pour autant de complications majeures pour sa santé.
  • Le statut en micronutriments, évoqué précédemment, et en particulier en acides aminés soufrés (méthionine, cystéine, taurine), substrats essentiels à la phase de conjugaison.

 

La Taurine, bon ou mauvais pour la santé ?

L’image de la Taurine est régulièrement mise à mal à travers son utilisation à forte dose dans les boissons énergisantes et suite à l’avis exprimé par l’organisme en charge de la sécurité sanitaire, l’ANSES (anciennement AFSSA). Rappelons pourtant que la Taurine, à dose physiologique, est un dérivé d’acide aminé soufré indispensable au bon fonctionnement de l’organisme. Il intervient dans les métabolismes cardiaques, musculaires, de détoxication, de production des acides biliaires et compose naturellement les viandes, les produits laitiers, les algues ou encore les huîtres. Les apports alimentaires représentent toutefois environ 200 mg/jour, soit 5 fois moins qu’une seule canette de boisson énergisante, cette dernière associant par ailleurs et surtout d’autres ingrédients tels que la caféine ou le glucuronolactone à forte dose. Ce cocktail peut alors provoquer des complications détonantes sur le plan cardiaque ou psychique.

Quels sont les effets de l’alimentation sur le foie ?

La consommation importante d’alcool, d’aliments riches en pesticides, additifs, hormones ou antibiotiques dans les viandes animales, une cuisson trop forte des aliments sous forme grillée (y compris tous les produits brunis par la réaction de Maillard : croûte de pain, biscuits, produits torréfiés, etc.) sont autant de facteurs alimentaires augmentant le travail de détoxication par le foie. Une consommation importante et chronique d’aliments glucidiques à fort index glycémique favorise également les risques de stéatose hépatique non alcoolique.

Faites-vous du foie gras ?

Nous parlons bien ici de votre foie et non de celui des oies ou des canards… Touchant de 20 à 40 % de la population adulte dans les pays occidentaux et près d’un adolescent sur 3, la stéatose hépatique non alcoolique (NAFLD pour non-alcoholic fatty liver disease) peut progresser vers une fibrose à un stade avancé ou une cirrhose (21% des patients atteints selon une étude menée sur 132 patients) (1). Cette maladie est par ailleurs étroitement liée au diabète : plus de 90% des patients obèses souffrant de diabète présentent cette maladie. Le foie ayant une capacité de régénération importante, son atteinte sous forme de fibrose peut être réversible à la condition d’une prise en charge médicale et nutritionnelle adaptée. En revanche, la cirrhose est un stade plus avancé dans lequel les hépatocytes perdent leur capacité de régénération : elle devient alors irréversible.

Une sédentarité chronique, des repas trop riches, notamment en glucides à index glycémique élevé sont à l’origine d’une sécrétion accrue d’insuline par le pancréas. Or l’insuline agit sur une hormone (HSL, Hormone-Sensitive Lipase) favorisant la libération d’acides gras libres et leur diffusion dans le foie, tout en augmentant la conversion de glucose en acides gras, qui pourront alors former des triglycérides stockés sous forme de graisse dans le foie. Une telle accumulation peut générer un afflux de composés inflammatoires du fait d’un stress oxydatif, à l’origine de fibroses puis de la cirrhose.

Plusieurs études menées par le Dr Ludwig ont mis en évidence un risque accru d’accumulation de graisses dans le foie suite à la consommation d’aliments à index glycémique élevé, notamment ceux riches en amylopectine (2, 3)Pour rappel, l’index glycémique permet de quantifier l’effet des glucides présents dans un aliment sur l’élévation du taux de sucre, donc secondairement sur la sécrétion d’insuline (voir article).

Le fructose est un glucide possédant un index glycémique bas et a été de ce fait mis en avant pendant des années comme substitut idéal au sucre de table (saccharose). Consommé sous la forme de fruits ou de miel, il ne présente aucun risque pour la santé. A l’inverse, l’excès de fructose est à l’origine d’une accumulation de graisses dans le foie et de triglycérides dans le sang, d’un risque accru de diabète, d’obésité, voire d’hyperperméabilité intestinale (4, 5).

Or de nombreux produits industriels et sodas, en particulier issus d’Outre-Atlantique, contiennent du sirop de maïs riche en fructose (High Fructose Corn Syruputilisé pour ses propriétés industrielles en termes de liant et de pouvoir sucrant. Il s’agit là d’un exemple caractéristique de l’effet bénéfique d’un nutriment à faible dose et délétère lorsqu’il est consommé à l’excès.

Bonne nouvelle… ce mécanisme est réversible : réduire la consommation d’aliments à index glycémique élevé tout en veillant à un apport suffisant de graisses  (huiles d’olive, de colza, de noix, de lin, avocat, petits poissons gras, oléagineux) et de protéines de qualité est un geste particulièrement bienveillant pour le foie (6).

Le statut micronutritionnel est essentiel pour permettre aux enzymes en charge de la détoxication hépatique d’assurer leurs fonctions : antioxydants (vitamines C, E, bêta-carotène, polyphénols, flavonoïdes, caroténoïdes, Zinc, Manganèse, Cuivre, Sélénium), acides aminés (méthionine, cystine,  glutamine, arginine), oligo-éléments, magnésium, vitamines B (B1, B2, B3, B5, B6, B9 et B12). Une alimentation riche en végétaux frais, d’origine biologique, crus ou cuits à chaleur douce est donc le premier geste santé à réaliser pour prendre soin de son foie.

Certains aliments permettent de soutenir les fonctions de détoxication du foie : on peut ainsi citer le brocoli (7), les choux de Bruxelles, l’ail, le curcuma, la betterave, la pomme, le gingembre, les algues... Ils possèdent la propriété de stimuler les gènes des enzymes de la seconde phase, point intéressant pour les personnes présentant un génotype défavorable. Le brocoli (en particulier les jeunes pousses) est riche en sulforaphanes, reconnus pour leurs propriétés sur la prévention du cancer. Plus précisément, le brocoli contient un actif de la famille des glucosinolates et une enzyme, la myrosinase qui interagissent pour produire le sulforaphane, uniquement lorsque le végétal est croqué, la mastication permettant de mettre en contact les deux actifs.  Par ailleurs une étude publiée dans la revue Journal of Food Science en 2013 révèle que cette enzyme est inactivée par la cuisson ou la surgélation (8).

Rien de tel donc que de jeunes pousses de brocoli frais ! Vous pouvez également les agrémenter de radis (blanc ou noir), chou (rouge, chinois), roquette, cresson, moutarde forte ou wasabi, qui contient naturellement de la myrosinase.

Le café, riche en antioxydants et acide caféique, présente de nombreux bénéfices sur la santé, en particulier dans le cadre de la prévention de la maladie de Parkinson, d’Alzheimer, du diabète ou de certains cancers (pancréas). Boire quotidiennement du café semble également réduire les risques de maladies chroniques du foie (9). Toutefois, sa consommation mérite d’être modérée (environ 2 cafés par jour, d’origine biologique et avant 17h, traditionnel et non au percolateur favorisant le passage d’Aluminium) compte tenu des effets de la caféine sur le système nerveux.

Le jus de pamplemousse inhibe quant à lui l’activité des enzymes du complexe cytochrome P450 3A4 (ou CYP3A4) de la première phase du fait de la présence d’un composé spécifique, la naragénine. Le jus est donc à éviter en cas de surcharge hépatique ou chez les personnes sous traitement médicamenteux (statines, benzodiazépines, ciclosporine et cisapride notamment). A titre d’exemple, un seul verre de jus de pamplemousse peut modifier durant 72 heures la pharmacocinétique d’un médicament. Le Millepertuis traditionnellement utilisé dans  les compléments alimentaires pour le traitement des syndromes dépressifs ou des troubles du sommeil, majore lui l’activité des cytochromes P450, de même que le tabac, l’alcool et certains médicaments (anti-infectieux, anti-épileptiques).

Bien entendu, l’hydratation est un facteur essentiel pour assurer une détoxication hépatique efficace. Il est d’ailleurs bien connu que les lendemains de soirées bien arrosées sont particulièrement difficiles pour les personnes qui n’ont pas pris la peine de s’hydrater suffisamment (avec de l’eau !) pour compenser l’effet déshydratant de l’alcool. Boire au minimum 1,5 à 2 L d’eau par jour est donc essentiel.

 

L’effet délétère de l’alcool sur le foie n’est par ailleurs plus à démontrer. Mais qu’en est-il du vin ? Riche en resvératrol, un antioxydant particulièrement puissant pour protéger des maladies cardio-vasculaires et dégénératives, du cancer et du diabète, il expliquerait en partie le French Paradox. Toutefois, le vin peut également contenir de nombreux pesticides et de fortes quantités de sulfites, en particulier les vins blancs moelleux, majorant ainsi la surcharge en xénobiotiques du foie et réduisant la dégradation de l’alcool.  Attention donc à la qualité et à l’origine du vin. Les vins d’origine biologique sont à privilégier, pour votre foie autant que pour les viticulteurs, parole d’amateur !

Privilégier une chaleur douce pour la cuisson (vapeur) afin de limiter la production de composés toxiques (corps de Maillard, amines hétérocycliques produites lors des grillades notamment).

Quel est l’intérêt d’une complémentation et de la phytothérapie ?

De nombreux actifs végétaux peuvent être intéressants pour soutenir les fonctions hépatiques, voire stimuler la détoxication. Toutefois, plusieurs types d’actions peuvent être distinguées.

Certains extraits végétaux sont utilisés pour stimuler la sécrétion de bile (action cholérétique) ou son évacuation vers l’intestin (action cholagogue), afin de  « drainer » le foie en cas de surcharge ou de foie paresseux :

  • L’artichaut est riche en un composé amer, la cynaropicrine, que l’on trouve dans les feuilles, mais également en acides phénols comme la cynarine ou l’acide caféique. Les feuilles d’artichaut ont quant à elle la réputation de faciliter la digestion. La teneur de l’artichaut en acides phénols lui permet de protéger les hépatocytes contre le stress oxydant. Chez la femme allaitante la consommation d’artichaut est déconseillée, celui-ci pouvant inhiber le processus de lactation.
  • Le radis noir possède des propriétés similaires à celles de l’artichaut ainsi qu’une action cholagogue (il facilite l’évacuation de la bile vers l’intestin), de même que le romarin (10). Le radis noir contient des flavanoïdes et raphanol, ainsi que des glucosinolates pouvant se transformer en principes actifs, comme le sulforaphane, induisant lui-même les enzymes de détoxication de la phase II. Les cytochromes de la phase I sont inhibés par d’autres enzymes. Sa consommation permet donc d’optimiser les fonctions de détoxication du foie.
  • Le romarin contient, comme l’artichaut, des acides phénols (acides rosmarinique et caféique), des flavonoïdes, des dérivés terpéniques, quinones diterpéniques et essences aromatiques. Il peut être apporté sous forme d’infusion de feuilles.

 Les complexes micronutritionnels sont eux destinés à soutenir les fonctions de détoxication du foie à travers les enzymes de phase I et II.

 

D’autres actifs sont utilisés pour leurs qualités protectrices :

  • Le curcuma possède des propriétés hépato-protectrices. Son association à la pipérine, extraite du poivre, permet par ailleurs d’améliorer sa biodisponibilité (11). Riche en curcuminoïdes, le curcuma possède également des propriétés anti-oxydantes et anti-inflammatoires : il représente de ce fait un formidable allier pour votre santé
  • Le chardon-marie, riche en silymarine et silybine, est également régulièrement utilisé pour les mêmes qualités. Grâce à ces propriétés, il peut être utile en complément d’un traitement médicamenteux pour une hépatite, mais également en protection du foie contre une chimiothérapie.
  • Le sulforaphane est le principe actif du brocoli dont nous avons parlé précédemment. Certains compléments alimentaires proposent des extraits standardisés et sont souvent associés aux vitamines, minéraux et antioxydants évoqués au cours de cet article. Le glutathion (stocké dans le foie) et l’acide alpha-lipoïque (intervenant dans le recyclage du glutathion) sont des antioxydants naturellement produits par l’organisme et parfois proposés sous forme de complémentation en cas d’atteinte hépatique ou de déficits.
  • L’apport de Taurine peut également être intéressant en cas de besoin accru de soutien des fonctions hépatiques.
  • En cas de sollicitation importante du foie, les besoins en vitamine B3 sont majorés. L’organisme peut en effet fabriquer partiellement cette vitamine en utilisant un acide aminé particulier, le Tryptophane, dont on a déjà évoqué l’intérêt dans la production d’un neuromédiateur, la sérotonine. Dans le cadre d’un programme micronutritionnel, il s’agit d’un point à considérer en cas de troubles de l’humeur notamment (voir cet article).
  • Enfin, le Desmodium (Desmodium adscendens) est une plante d’origine Africaine, particulièrement intéressante en cas d’atteinte des cellules du foie (les hépatocytes) et dont l’importation en France est attribuée au Dr Pierre Tubéry dans les années 1970. A la différence des autres actifs mentionnés précédemment, ce végétal possède la propriété d’intervenir sur la régénération des hépatocytes : il est donc notamment conseillé en cas de cirrhose, d’hépatites ou suite à une chimiothérapie.
  • L’ail des ours, la Coriandre et la Chlorella sont quant à eux davantage utilisés pour favoriser l’élimination des métaux lourds.

Que de solutions pour un seul besoin ! Effectivement, à l’image du travail de votre foie et du nombre de mécanismes impliqués, les actions possibles sont multiples. Mais il existe un besoin essentiel et commun à toutes ces situations : la nécessité de bénéficier d’enzymes fonctionnelles, donc d’une alimentation riche en micronutriments (vitamines, minéraux, oligo-éléments, acides aminés soufrés) et d’une bonne hydratation. Ainsi, le foie assurera ses fonctions efficacement. En fonction des situations, le choix peut alors se porter vers une restauration du statut en micronutriments en priorité, associée à des végétaux à l’action détoxifiante (artichaut par exemple pour les toxines et chlorella pour les métaux lourds) ou soutenant la régénération des hépatocytes (le desmodium) si ces derniers ont été atteints par un traitement médicamenteux ou une hépatite.

Avoir recours à un jeûne ou à une monodiète (de raisin ou de tout autre aliment rendu vertueux par les médias) permet en toute logique d’alléger le travail du foie, la quantité de nutriments et de xénobiotiques étant ainsi considérablement réduite. L’organisme pourra alors naturellement consacrer son énergie à éliminer l’excès de toxiques accumulés antérieurement et à son fonctionnement général. Ces phases de restrictions alimentaires doivent toutefois demeurer ponctuelles : de tels choix doivent en effet s’envisager sur le court terme au risque de générer des déficits nutritionnels, donc une moindre efficacité des réactions enzymatiques et une difficulté à la réintroduction d’une alimentation plus conventionnelle. Jeûner un jour par mois, voire plus fréquemment pour certains, n’entravera pas le statut en micronutriments. Pour autant une telle démarche ne s’avère pas indispensable pour permettre au foie d’assurer ses fonctions.

Et le foie du sportif ? (12)

Bien souvent délaissé au profit des muscles… Le foie est pourtant un organe essentiel en matière de pratique sportive. Il est notamment en charge de stocker, sous forme de glycogène hépatique, le glucose distribué dans le sang entre les repas. Son métabolisme est en étroite relation avec celui de son acolyte, le glycogène musculaire : il est donc impliqué dans la gestion de la performance, notamment à travers les métabolismes de la glycogénolyse, de la néoglucogénèse et du cycle de Cori. Par ailleurs, l’activité physique est responsable d’une production accrue de déchets que le foie va devoir éliminer, d’autant plus que contrairement à d’autres organes, l’entraînement en endurance ne semble pas associé à une adaptation du foie, hormis une légère augmentation de sa taille. Cet organe, bien que fortement irrigué (de l’ordre de 1,5 à 1,8 L par minute au repos) est relativement « bien » protégé au cours de l’effort, malgré une légère diminution du volume sanguin hépatique (de l’ordre de 15%, variable en fonction de l’activité physique). Les pathologies hépatiques liées à la pratique sportive sont avant tout d’origine traumatique (en cyclisme notamment), virale (en cas de ravitaillement douteux) ou secondaires au coup de chaleur à l’effort. Toutefois la prise de médicaments, de compléments alimentaires dont la traçabilité n’est pas garantie, ou de produits dopants augmente de manière significative les risques de toxicité hépatique, au delà de tout débat éthique. Certains écrits mentionnent une légère baisse des taux de glutathion après l’exercice qui, associée aux pertes accrues en oligo-éléments et à la consommation importante d’oxygène, expose le sportif à des risques majorés de stress oxydatif.

En conclusion, faut-il systématiquement réaliser une cure de détoxication ?

Au regard de l’environnement dans lequel nous évoluons et du nombre de xénobiotiques auxquels nous sommes quotidiennement confrontés, oui, j’aurais tendance à conseiller de soutenir la détoxication par une cure de micronutriments et d’extraits végétaux au moins une fois par an. Elle n’est pour autant pas indispensable pour tous et dépend, d’une part de notre phénotype (ou prédisposition génétique) et d’autre part du niveau d’exposition aux toxiques. Si vous êtes sujet(te) aux troubles fonctionnels évoqués précédemment, une telle cure peut s’avérer nécessaire. Et bien entendu, elle ne trouve à mon sens sa pleine légitimité qu’intégrée à une démarche globale de prise en charge de la qualité de l’alimentation et de l’hygiène de vie générale.

Anthony Berthou

Références :

http://www.sante-et-nutrition.com/nutrition-et-detoxication/

  1. Gramlich T, Kleiner DE, McCullough AJ, Matteoni CA, Boparai N, Younossi ZM. Pathologic features associated with fibrosis in nonalcoholic fatty liver disease. Hum Pathol. 2004 Feb;35(2):196-9.
  2. Ludwig DS. Examining the health effects of fructose. JAMA. 2013 Jul 3;310(1):33-4.
  3. Scribner KB, Pawlak DB, Ludwig DS. Hepatic steatosis and increased adiposity in mice consuming rapidly vs. slowly absorbed carbohydrate. Obesity (Silver Spring). 2007 Sep;15(9):2190-9.
  4. Kavanagh K, Wylie AT, Tucker KL, Hamp TJ, Gharaibeh RZ, Fodor AA, Cullen JM. Dietary fructose induces endotoxemia and hepatic injury in calorically controlled primates. Am J Clin Nutr. 2013 Aug;98(2):349-57.
  5. Livesey G, Taylor R. Fructose consumption and consequences for glycation, plasma triacylglycerol, and body weight: meta-analyses and meta-regression models of intervention studies. Am J Clin Nutr. 2008 Nov;88(5):1419-37.
  6. Browning JD, Baker JA, Rogers T, Davis J, Satapati S, Burgess SC. Short-term weight loss and hepatic triglyceride reduction: evidence of a metabolic advantage with dietary carbohydrate restriction. Am J Clin Nutr. 2011 May;93(5):1048-52.
  7. Kall MA, Vang O, Clausen J. Effects of dietary broccoli on human drug metabolizing activity. Cancer Letters. 1997 Mar 19 ; 114 (1-2) : 169-70.
  8. Dosz EB, Jeffery EH. Modifying the processing and handling of frozen broccoli for increased sulforaphane formation. J Food Sci. 2013 Sep;78(9):H1459-63.
  9. Molloy JW, Calcagno CJ, Williams CD, Jones FJ, Torres DM, Harrison SA. Association of coffee and caffeine consumption with fatty liver disease, nonalcoholic steatohepatitis, and degree of hepatic fibrosis. Hepatology. 2012 Feb;55(2):429-36.
  10. Inatania R, Nakatani N, Fuwaa H. Antioxidative effect of the constituents of rosemary (Rosmarinus officinalis L.) and their derivatives. Agric. Biol. Chem. 1983 ; 47 : 51-8.
  11. Chuang SE, Kuo ML, Hsu CH, Chen CR, Lin JK, Lai GM, Hsieh CY, Cheng AL. Curcumin-containing diet inhibits diethylnitrosamine-induced murine hepatocarcinogenesis. Carcinogenesis. 2000 Feb;21(2):331-5.
  12. Moses F. The effect of exercise on the gastrointestinal tract. Sport Med. 1990;9(3):156-72.
16 juin 2016

Le miel et la cannelle guérissent 17 maladies

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Les gens de nombreuses cultures ont utilisé le miel et la cannelle pour traiter de nombreux problèmes de santé depuis des siècles. La sagesse populaire conserve encore la connaissance des propriétés de guérison tant du miel bio que de la cannelle.

1. Arthrite: Prenez tous les jours, matin et soir, une tasse d’eau chaude avec deux cuillères à café de miel et une petite cuillère à café de poudre de cannelle. Si pris régulièrement, même l’arthrite chronique peut être guérie.

2. Infections de la vessie: Prenez deux cuillères à soupe de poudre de cannelle et une cuillère à café de miel dans un verre d’eau tiède et buvez. Cela détruit les germes dans la vessie.

3. Cholestérol: Deux cuillères à soupe de miel et trois cuillères à café de cannelle en poudre mélangées dans 500 ml d’eau réduit le niveau de cholestérol dans le sang de 10 pour cent dans les deux heures.

4. Rhumes: Prenez une cuillère à soupe de miel tiède avec 1/4 cuillère à café de cannelle en poudre par jour pendant trois jours pour guérir la plupart des toux chroniques, grippes, et libère les sinus.

5. Maladies cardiaques: Faites une pâte avec du miel et de la cannelle en poudre et consommez la au petit déjeuner tous les jours pour réduire le taux de cholestérol dans les artères et sauver le patient d’une crise cardiaque.

6. Estomac: Soigne les maux d’estomac et annule également les ulcères d’estomac à la racine.

7. Gaz: Si le miel est pris avec de la cannelle en poudre l’estomac est soulagé des gaz.

8. Système immunitaire: L’utilisation quotidienne du miel et de la cannelle en poudre renforce le système immunitaire et protège le corps contre les bactéries et les virus.

9. Indigestion: La cannelle en poudre saupoudrée sur deux cuillères à soupe de miel avant de manger soulage l’acidité et facilite la digestion des repas les plus lourds.

10. Grippe: Le miel contient un ingrédient naturel qui tue les germes de la grippe et sauve le patient de la grippe.

11. Longévité: Prenez tous les jours quatre cuillères de miel et une cuillère de cannelle en poudre  pour ralentir les ravages de la vieillesse.

12. Boutons: Appliquez une pâte faites à partir de trois cuillères à soupe de miel et une cuillère à café de cannelle en poudre sur les boutons avant de dormir et lavez le lendemain matin avec de l’eau chaude pendant deux semaines pour supprimer les boutons à partir de la racine.

13. Perte de poids: Quotidiennement le matin une demi-heure avant le petit déjeuner sur un estomac vide, et le soir avant de dormir, boire une infusion de canelle en poudre avec du miel dans une tasse d’eau pour éviter que la graisse ne s’accumule dans le corps.


14. Maladies de peau: Appliquez le miel et la cannelle en poudre sur les parties affectées guérit l’eczéma, la teigne et tous les types d’infections de la peau.

15. Fatigue: La teneur en sucre du miel est plus utile que préjudiciable pour renforcer le corps. Une moitié de cuillère à soupe de miel prise dans un verre d’eau et saupoudrée de cannelle, prise chaque jour le matin et l’après-midi augmente la vitalité de l’organisme en une semaine.

16. Cancer: Le cancer avancé de l’estomac et des os ont été soignés avec succès en prenant une cuillère à soupe de miel avec une cuillère à café de cannelle en poudre pour un mois, trois fois par jour.

17. Perte d’audition: De miel et de la cannelle en poudre, pris à parts égales tous les jours le matin et le soir, aident à restaurer l’audition.

Gardez ces deux aliments puissants à portée de main chez vous.

Comment faire une recette avec de la cannelle et du miel:

Tout ce dont vous avez besoin est de la cannelle, du miel et de l’eau! Vous avez besoin de 2 cuillères à soupe de miel et 1 cuillère à soupe de cannelle pour une tasse d’eau. C’est si simple! Portez la cannelle à ébullition et laisser mijoter jusqu’à ce que la consistance soit lisse. Ajoutez ensuite du miel, et laissez refroidir ou boire chaud. Je préfère utiliser du miel bio et moudre la cannelle pour obtenir de la poudre fraîche de cannelle. La cannelle de Ceylan est bien meilleure au goût et pour la santé.

Source : Health Unlocked

Les propriétés médicinales de la cannelle sont mises à profit par la médecine chinoise depuis près de 2000 ans avant J.C. et par la médecine ayurvédique de l'Inde. Certaines propriétés reconnues de longue date, de cette plante, ont pu être attribuées à l'huile essentielle et à ses constituants.

On retrouve deux sortes de cannelles sur le marché. La cannelle de Ceylan (C. zeylanicum ou verum, provient de Ceylan) et la seconde variété, et qui est celle que l'on retrouve le plus généralement dans le commerce (pour son prix nettement plus avantageux) est la cannelle chinoise,(Cinnamomum cassia ou aromaticum).
On utilise les tuyaux de l'écorce secondaire et pour l'huile essentielle on utilise également les feuilles.

La cannelle de Ceylan est celle ayant la réputation d'être la meilleure, ce qui est sans doute vrai pour ce qui est de son arôme en utilisation culinaire, mais pas nécessairement vrai pour son usage médicinal. La cannelle chinoise est utilisée avec beaucoup de succès par la médecine traditionnelle chinoise et est aussi efficace que la variété de Ceylan.

Pour un usage médicinal, en utilisant l'écorce sous forme de poudre ou en tisane, les propriétés des deux variétés sont relativement égales. La seule différence serait d'éviter d'utiliser la variété chinoise (cassia) en poudre; celle-ci contenant un pourcentage non négligeable de coumarines. Pour la variété chinoise, on l'utilisera plutôt sous forme de tisane, les coumarines n'étant pas solubles dans l'eau.
Voir notre chronique La cannelle abaisse le taux de glucose sanguin, mais sachez choisir votre cannelle et comment l'utiliser.

L'écorce de cannelle est utile dans les cas de:

Gastrite et troubles de la digestion
Flatulences
Contrôle de la glycémie
États nauséeux
Perte d'appétit
Fatigue
Soulagement de la douleur lors de blessures
Blessures
En prévention ou traitement d'affections bactériennes, virales ou champignons.

Pour les propriétés et utilisation de l'huile essentielle de cannelle,

 

Propriétés de l'écorce:

L'écorce de cannelle possède des propriétés toniques antispasmodiques. Elle est un stimulant des glandes salivaires et des muqueuses gastriques. Elle favorise la digestion, l'expulsion des gaz et calme les spasmes de l'estomac et des intestins.

La cannelle possède également une action stimulante sur l'utérus, sur le muscle cardiaque et le système respiratoire.
De récentes recherches lui attribuent également un rôle dans l'équilibre de la glycémie sanguine, par une action semblable à celle de l'insuline. La cannelle possède une huile essentielle, l'eugénol, dont les qualités anesthésiantes peuvent soulager certaines douleurs, lorsque utilisé localement, sous forme de poudre, sur certaines blessures.

Les qualités antibactériennes, antivirales et antifongiques peuvent également protéger contre les infections, soit en usage interne ou en usage externe lors de blessures. La cannelle fait partie de la composition d'une des meilleures tisanes contre la grippe. (voir la chronique : Voila le temps des rhumes et grippes).

Utilisation :

On utilise la cannelle sous forme de tuyau d'écorce ou de poudre. On l'ajoute à la préparation de certains plats culinaires, aux tisanes ou, sous forme de poudre, en application locale.

Mode d'emploi :

Un demi-bâton de cannelle, ou ¾ de c. à café de poudre, pour une tasse d'eau bouillante. Boire jusqu'à 3 tasses par jour.

Précautions :

Ne pas dépasser 3 tasses par jour.
Ne pas utiliser la cannelle pour des enfants de moins de 2 ans.
Les femmes enceintes et allaitant ne doivent pas consommer de tisanes ou remèdes à base de la cannelle.

HUILE ESSENTIELLE DE CANNELLE

L'huile essentielle de cannelle est un antiseptique très puissant, avec l'huile essentielle d'origan d'Espagne, c'est la plus puissante pour lutter contre les bactéries, parasites, champignons et virus. L'aldéhyde cinnamique ainsi que l'eugénol, inhibent transitoirement la croissance des Aspergillus producteurs d'aflatoxines. [1]
Elle est utile dans les cas de:

Infections gastro-intestinales, diarrhées (incluant amibiases, typhus, dysenteries)
• Infections tropicales
• Infections bucco-dentaire
• Bronchites et grippes
• Fatigue physique et psychique
• Impuissance

Il existe trois huiles essentielles différentes de cannelle:

• La cannelle de Ceylan, zeylanicum ou verum (produite à partir de l'écorce)
• La cannelle de Ceylan, zeylanicum ou verum (produite à partir des feuilles)
• La cannelle de Chine, cassia ou aromaticum (produite à partir de feuilles et rameaux)

Les composés chimiques de ces différentes cannelles, ce que l'on nomme le chémotype, est différent pour chacune de ces variétés.

L'huile essentielle de la cannelle de Chine est plus riche en aldéhydes aromatiques (aldéhyde cinnamique, cinnamaldéhyde) que celle de la cannelle de Ceylan et contient beaucoup moins d'eugénol et autres phénols.
Par contre, la cannelle de Chine contient des coumarines, et il faut l'éviter chez les personnes sous traitements anticoagulants.

En pratique, pour traiter de graves infections, on utilisera de préférence l'H.E. cannelle de Ceylan (écorce) ou l'H.E. cannelle de Chine (cassia). L'H.E. à base d'écorce de cannelle, contient également des phénols, qui sont de puissants antibactériens, mais sont également toxiques pour le foie. Il est donc préférable d'éviter cette variété pour les personnes souffrant de troubles hépatiques, et de limiter à une période très courte son utilisation.

La variété chinoise est vendue beaucoup moins chère et est tout aussi puissante (si pas plus) que la variété de Ceylan. Mais, pour son contenu en coumarines, on ne l'utilisera pas pour une personne sous médication anticoagulante. L'avantage de la variété chinoise, est qu'elle ne contient pas de phénols (ou des traces), tout en étant très puissante.

Utilisation sous forme d'huile essentielle

Quelle que soit la variété utilisée, on prendra 1 goutte d'huile essentielle dans 1 c. à café d'huile d'olive ou de miel, deux fois par jour, pour un traitement ne dépassant pas sept jours. Ne jamais consommer pure ou dans un liquide.
Pour l'utilisation de la variété de Ceylan, on peut ajouter à cette posologie, 1 goutte d'huile essentielle de thym (chémotype à thujanol). Le thujanol protègera le foie de la toxicité des phénols, et le thym agira en synergie avec la cannelle pour une plus grande puissance et efficacité.

Précaution importante:
Il faut éviter d'utiliser l'huile essentielle de cannelle en voie externe, sur la peau. Cette huile essentielle est très dermocaustique et les risques de réactions allergiques et allergies de contact sont très élevés. Lorsqu'elle est utilisée sur la peau (en massage), elle doit absolument être fortement diluée, 5 à 10%, dans une huile végétale de base.
Toujours faire un test de tolérance avant l'utilisation (1 goutte diluée dans 1 c. à café d'huile végétale, placée sur la peau de l'avant-bras. Attendre 24h pour s'assurer qu'il n'y a pas de réaction allergique).

4 avril 2016

Les herbes médicinales qui auront un impact incroyable sur votre corps et votre esprit

Une herbe médicinale est toute herbe qui aura un impact direct sur la façon dont vous vous sentez, en ciblant une fonction spécifique, commençant par votre cycle de sommeil jusqu’à votre système immunitaire. Celles qui ont des pouvoirs particulièrement puissants sont considérées comme super-herbes et c’est du costaud !

Tout comme les super-aliments, les super-herbes sont aussi évasives et ne sont pas facilement trouvable dans une épicerie ordinaire. Elles ne sont pas facilement disponibles, fraîches, et sont plutôt proposées en poudre, ou sous forme de supplément.

Si vous êtes en train d’aménager votre jardin, certaines de ces herbes sont facilement cultivées aussi !

Les herbes médicinales suivantes auront un impact incroyable sur votre corps et votre esprit :

Millepertuis (Hypericum perforatum)

Le millepertuis est connu pour ses effets antidépresseurs, même s'il était autrefois considéré comme une plante magique, un "chasse diable". Depuis près de 2 500 ans, il sert à repousser la mélancolie. Calmant, le millepertuis commun, ou millepertuis officinal, est aussi efficace contre l'insomnie, pour favoriser un sommeil réparateur, pour aider dans le sevrage du tabac ou pour soulager des plaies.

 Nom scientifique : Hypericum perforatum

Noms communs : millepertuis, millepertuis perforé, millepertuis officinal, herbe de la Saint-Jean, chasse-diable, herbe aux fées, herbe aux mille vertus, herbe à mille trous, herbe à la brûlure, herbe du charpentier, trascalan, trucheron

Noms anglais : balm of warrior , St John's wort , touch and deal , tipton's weed , rosin rose , goatweed , chase-devil , klamath weed

Classification botanique : clusiacées ou hypéricacées ( Clusiaceae ou Hypericaceae )

Les différentes formes et préparations : infusions, teintures mères, extraits fluides, poudres, nébulisats, gélules, huiles essentielles, extraits standardisés, cataplasmes, crèmes.

Les propriétés médicinales du millepertuis

Utilisation interne

Propriétés astringentes, antiseptiques, analgésiques, anti-inflammatoires, antispasmodiques, sédatives, anxiolytiques, antidépressives, antioxydantes, antivirales.

Utilisation externe

Cicatrisant, antiseptique, analgésique, anti-inflammatoire.

Indications thérapeutiques usuelles

Traitement des dépressions légères, des troubles psychosomatiques, des états dépressifs légers ou saisonniers, de l'anxiété, de l'agitation nerveuse. Il améliore la qualité du sommeil et permet de lutter contre les insomnies. Le millepertuis perforé contribue à réduire le stress. Peut être utilisé pour soulager des troubles obsessionnels compulsifs. Atténue les douleurs musculaires telles que les crampes, les névralgies. Traitement des contusions, cicatrisation des plaies et des brûlures du premier degré.

Autres indications thérapeutiques démontrées

Réduction des symptômes liés à la ménopause et au syndrome prémenstruel tels que les bouffées de chaleur, les palpitations. Soulage les maux de dents.

Histoire de l'utilisation du millepertuis en phytothérapie

Autrefois, le millepertuis officinal était connu comme un chasse-diable qui faisait fuir les mauvais esprits, une plante utilisée en magie blanche. Il y a près de 2 500 ans, le millepertuis était déjà recommandé pour traiter la mélancolie, mais aussi pour soigner les plaies, les infections ou les brûlures. Le millepertuis tire son nom de son apparence, car, à contre-jour, les feuilles donnent l'impression d'être percées de milliers de trous.

Description botanique du millepertuis

Le millepertuis est une plante herbacée vivace, pouvant atteindre 90 cm de hauteur (de 20 à 90 cm), qui aime les endroits secs et ensoleillés. La tige est d'une couleur rougeâtre, avec des feuilles ovales opposées deux à deux. Ce qui ressemble à de petits trous, ce sont des organes glandulaires contenant l'huile essentielle. Les fleurs sont pentamères (corolle de cinq pétales), d'une couleur jaune éclatant. Elles dégagent un léger parfum d'encens. Quand on écrase une fleur ou la tige, une substance rouge s'écoule. Le fruit est une capsule qui s'ouvre en trois parties.

Composition du millepertuis

Parties utilisées

En phytothérapie, on utilise les sommités fleuries et les jeunes feuilles.

Principes actifs

Hypéricine (substance contenue dans les fleurs et les bourgeons qui normalise les neurotransmetteurs intervenant dans le changement de l'humeur) ; hyperforine ; tanins ; huile essentielle ; résine molle ; acides phénols ; flavonoïdes ; xanthones (qui agit comme un sédatif antidépresseur).

Dans les feuilles et la tige : flavonoïdes, antioxydants, antispasmodiques.

Utilisation et posologie du millepertuis

Dosage

Il est recommandé de prendre les préparations de millepertuis au cours des repas, afin d'éviter des problèmes gastriques. Pour le traitement d'une dépression, il faut compter entre deux et quatre semaines de traitement pour que les effets du millepertuis se fassent sentir. Il est important de demander l'avis d'un médecin avant d'entreprendre un traitement.

- En extrait liquide : de 1 à 2 ml trois fois par jour pour les douleurs névralgiques, les plaies douloureuses des mains, les brûlures au premier et deuxième degré.

- En extrait standardisé solide : 300 mg trois fois par jour

- En extrait standardisé liquide : 0,5 à 0,9 ml trois fois par jour

- Teinture mère : 3 à 6 ml. trois fois par jour pour les troubles du sommeil ou les syndromes prémenstruels. Pour la dépression légère, on peut prendre jusqu'à 50 gouttes de teinture mère de plante fraîche trois fois par jour.

Des préparations peuvent être réalisées à la maison :

- En infusion : mettre de 2 à 4 g de fleurs séchées dans 150 ml d'eau bouillante durant 5 à 10 minutes. Boire trois fois par jour pour lutter contre les troubles du sommeil.

- Huile de millepertuis : pour les massages et les cataplasmes pour cicatriser les plaies et soulager les brûlures, utiliser une part de plante sèche pour dix parts d'huile d'olive. Appliquer cette préparation sur les parties lésées de une à trois fois par jour. Masser avec cette huile pour soulager les crampes et les névralgies.

Pour les enfants de six à douze ans, le dosage doit être divisé par deux.

Précautions d'emploi du millepertuis

Un traitement à base de millepertuis ne doit pas être arrêté subitement, il convient de réduire progressivement les doses.

Contre-indications

Le millepertuis ne doit pas être utilisé chez les personnes souffrant de troubles bipolaires.

Cette plante est déconseillée aux femmes enceintes ou à celles qui allaitent ainsi qu'aux enfants de moins de 6 ans. Il est contre-indiqué de se mettre au soleil lors d'un traitement au millepertuis, car l'hypéricine a un effet photosensibilisant. Il est également contre-indiqué chez les personnes présentant un problème de fertilité, un déficit de l'attention avec hyperactivité, une dépression majeure ; chez les personnes atteintes de schizophrénie ou de la maladie d'Alzheimer.

 

3 plantes pour -aider-vraiment-un-proche-a-arreter-de-fumer


Le kudzu : c'est la plante souveraine face aux dépendances, ce que les Asiatiques savent depuis fort longtemps. La racine de kudzu est un puissant modérateur des sensations de manque et un équilibrant des fonctions nerveuses. Prendre 2 à 12 gélules par jour, progressivement le premier mois, puis continuez à ce rythme de 10 ou 12 par jour jusqu'à ce que les envies et que l'hyper-activité nerveuse s'estompent. Diminuez alors progressivement. Pour info, le kudzu est complètement inoffensif.

- Le gymnema : cette plante supprime l'envie de sucre. Or il faut savoir que pour améliorer le goût des cigarettes blondes, les feuilles de tabac sont pulvérisées avec du sucre et des édulcorants. La prise régulière de Gymnema sylvestris (2 gélules par jour midi et soir) possède l'étonnant pouvoir de supprimer la sensation de sucré ainsi vos cigarettes vous paraîtront dégoûtantes. Autre avantage, cette cure agira sur une éventuelle boulimie et sur toute envie de grignotage.

- Le griffonia : grâce à son action anti-dépressive, la graine de cette petite plante africaine (Griffonia simplicifolia) permet d'éviter la fameuse déprime et la nervosité ou l'anxiété qui accompagnent un arrêt brutal. La griffonia contient du 5-htp, précurseur de la sérotonine, elle-même précurseur de la mélatonine. Son action sur le moral et sur le sommeil a été confirmée par plusieurs études et l'on a même constaté qu'elle avait un effet modérateur de l'appétit. Prendre de 3 à 6 gélules par jour selon la composition des gélules.

- Une tisane dépurative : pour cela, choisissez une tisane qui mélangera, à parts égales, l'aunée (racine), le chardon-Marie (graine), l'aubépine (fleurs), l'aspérule odorante (fleurs) et l'astragale (racine). Demandez à votre herboriste ou votre pharmacien de vous la préparer. Outre l'action détoxinante de l'organisme, ce genre de tisane, à boire tout au long de la journée modifie aussi le goût de la cigarette.

- Dans tous les cas, n'oubliez pas de manger des produits riches en vitamine C voire de vous complémenter en vitamine C naturelle car la cigarette brûle cette vitamine et provoque une carence chronique chez le fumeur.

 

 

L’échinacée

echinacee

L’échinacée est un genre de fleurs qui fait partie de la famille des Astéracées. Ils ne se trouvent que dans l’est et le centre de l’Amérique du Nord. L’échinacée cible le système immunitaire et peut vous aider à vous débarrasser du rhume.

Les Amérindiens l’utilisaient pour de nombreux problèmes de santé. Elle a également été utilisée pour traiter la fièvre scarlatine, la syphilis, le paludisme, la septicémie et la diphtérie. Aujourd’hui, l’échinacée est utilisée pour réduire la durée du rhume et de la grippe et peut aider à en diminuer les symptômes comme la toux, les maux de gorge et la fièvre.

La valériane

valeriane

La valériane est une plante à fleurs vivaces dont la racine a des propriétés sédatives et anxiolytique. Elle agit comme remède naturel pour le sommeil et est beaucoup plus naturel que d’avaler des somnifères (ce qui peut amener à l’addiction).

Des études montrent que la racine de la valériane peut réduire le temps qu’il vous faut pour vous endormir et aussi améliorer la qualité du sommeil.

Si vous avez épuisé toutes les possibilité et que vous avez tout essayé pour lutter contre l’insomnie ou simplement pour mieux dormir, sans médicaments, pensez à la racine de la valériane.

Le curcuma

curcuma

Le curcuma est une plante vivace de la même famille que le gingembre et est originaire du sud-ouest de l’inde. Il est largement connu comme un agent anti-inflammatoire puissant contre de nombreuses maladies.

Il a été utilisé pour traiter les affections respiratoires, les troubles hépatiques, l’anorexie, les rhumatismes, les plaies diabétiques, le nez qui coule, la toux et la sinusite. Il est également utilisé pour traiter les entorses et les enflures, la dyspepsie et l’insuffisance veineuse.

Le ginkgo biloba

ginkgo-Biloba

 

Vous vous sentez lent et faible ? Le Ginkgo Biloba peut être le remède dont vous avez besoin. Il est la seule espèce vivante dans la division des Ginkgophyta dans laquelle tous les autres membres sont maintenant éteints (le Ginkgo Biloba est effectivement considéré comme un « fossile vivant » pour avoir survécu à plusieurs périodes d’extinction).

Ce produit de l’arbre Ginkgo est connu pour augmenter vos niveaux d’énergie en augmentant la production de l’ATP (Adénosine Triphosphate) au niveau cellulaire.

Ce faisant, il améliore la réflexion, la mémoire et le comportement. Il réduit également l’anxiété et améliore l’énergie sexuelle.

Le Ginkgo Biloba est depuis longtemps un pilier important dans la médecine traditionnelle chinoise.

Cette plante médicinale qui est native de Chine a de nombreuses propriétés médicinales et des effets protecteurs pour notre corps.


Ginkgo

- L’un des principaux avantages du Ginkgo Biloba est d’améliorer la circulation sanguine grâce à sa teneur élevée en flavonoïdes.

Cela va permettre de garder notre cerveau en bon état, ce qui va favoriser la concentration intellectuelle et la diminution de la fatigue cérébrale.

Pour ces raisons, le Ginkgo Biloba est fortement recommandé chez les personnes âgées et les personnes souffrant de maladies dégénératives comme la maladie d’Alzheimer.

- La plante est également recommandée pour augmenter l’énergie et améliorer la mémoire.

Le Ginkgo Biloba est également un excellent allié pour lutter contre la dépression.

- Grâce à sa grande quantité d’antioxydants, le Ginkgo favorise la circulation sanguine et aide à prévenir les caillots sanguins.

Le Ginkgo Biloba est un excellent complément alimentaire pour les personnes en convalescence après une thrombose, des problèmes cardiaques ou des accidents vasculaires cérébraux (A.V.C)

- Grâce à ses effets sur la circulation, il est également utile pour augmenter la libido, améliorer les érections et la sensibilité du clitoris.

- Grâce à ses nombreux antioxydants il aide à lutter contre la formation des radicaux libres responsables du vieillissement prématuré de la peau et des maladies comme le cancer.

- Pourvu de propriétés anti-inflammatoires circulatoires, il est fortement recommandé pour les patients souffrant de diabète, de maladies rhumatismales comme l’arthrite et les douleurs musculaires.

-Vasodilatateur, il est efficace dans le traitement des problèmes d’hémorroïdes et des phlébites.

-Il serait également un excellent allié contre les maux de tête et les migraines.

- Améliore la circulation sanguine vers le cerveau, et semble accélérer la récupération après un accident vasculaire cérébral.

- Il est généralement utilisé comme tonique, en particulier en cas de fatigue pendant une période intense d’activité dans lequel nous avons le sentiment typique de l’épuisement.

- Bénéfique pour la réparation de la membrane intestinale, il augmente la microcirculation et le transport des éléments nutritifs pour le foie et d’autres tissus, il est aussi un puissant anti-inflammatoire.

http://www.mr-plantes.com/2014/04/ginkgo-biloba/

 Origine du Ginkgo Biloba

Le Ginkgo Biloba est un arbre originaire d’Extrême-Orient, il est dioïque.


Ginkgo Biloba Arbre

On retrouve les plantations de Ginkgo Biloba dans de nombreuses régions de Chine, du Japon et de Corée où il peut dépasser les 40 m de hauteur, mais il a une croissance lente même si l’arbre peut vivre plus de 1000 ans. Ses branches sont généralement droites, épaisses et rigides chez les jeunes sujets avec une écorce brun foncé, des rainures et crevasses très distinctes.

Il a des belles feuilles en forme d’éventail, vert jaunâtre, souvent avec deux lobes (Bilobé, d’où vient le nom de Biloba).

Quelques vieux Ginkgo Biloba peuvent même produire des racines aériennes.

Le fruit est un peu comme une prune, mais a une odeur très désagréable à maturité.

A l’intérieur du fruit, il y a une noix comestible, à consommer crue ou grillée. Après cuisson le goût est un croisement entre les pommes de terre et la châtaigne.

Le Ginkgo Biloba est un arbre très rustique, connu pour sa force contre la maladie, très tolérant à la pollution, le feu, le froid, le manque de lumière et même la radioactivité.

L’arbre a été découvert en Occident dans les années 1690 par un botaniste allemand.

Ce dernier a découvert l’arbre dans le jardin d’un monastère bouddhiste japonais.

A partir de ce moment, les premiers spécimens de Ginkgo Biloba ont atteint l’Europe dans les années 1720 et l’Amérique en 1758.

- Le ginkgo biloba facilite et renforce la circulation sanguine, en particulier la circulation cérébrale.
- Il serait une excellente prévention et soignerait également la démence sénile, la perte de mémoire, la maladie d'Alzheimer, la perte d'audition et de vue.
- Il protégerait contre le mal d'altitude.
- Le ginkgo est particulièrement indiqué en cas de Maladie de Raynaud, de neuropathies, de gangrènes ou même de circulation périphérique difficile.
- Il est reconnu pour soulager l'angine et améliorer la circulation coronaire, soigner les varices et autre artériosclérose.
- En diminuant la viscosité du sang, le ginkgo prévient également des caillots sanguins.
- Participe à la convalescence des malades cardiaques, victimes d'un AVC ou d'un traumatisme à la tête.
Système respiratoire
- Lutte efficacement contre l'asthme et la bronchite chronique.
- Inhibe l'inflammation respiratoire lors d'allergie respiratoire.
- Renforce les défenses immunitaires de l'organisme, excellent pour lutter efficacement contre les infections respiratoires, toux et autres rhumes et maux de gorge.
Mental & émotionnel
- Excellent traitement de phytothérapie luttant efficacement contre la dépression et l'anxiété.
Système immunitaire
- Des études tendent à montrer que le ginkgo détiendrait bel et bien une activité antitumorale.
Protection des yeux
- Diminue les dommages de la rétine, lutte contre les radicaux libres, assure une excellente protection oculaire.
- S'emploie fréquemment en phytothérapie pour soigner la dégénérescence maculaire et une mauvaise circulation rétinienne.
- Effet ralentissant et de prévention des glaucomes, de la rétinopathie due au diabète et même de la cataracte.

Le chardon-marie

chardon-marie

Originaire de la région méditerranéenne, le chardon-Marie fait partie de la même famille de fleurs que les tournesols et les marguerites. Il a été depuis 2000 ans utilisé pour traiter les problèmes hépatiques, des reins et de la vésicule biliaire. Il protège le foie contre les toxines et l’aide à se réparer par la multiplication de nouvelles cellules.

Ces raisons font du chardon-Marie une plante très intéressante pour traiter la gueule de bois ou pour être un outil essentiel pour le sevrage d’antibiotiques ou d’autres médicaments.

Certaines études affirment que le chardon-Marie est efficace pour arrêter les cellules cancéreuses de se diviser et de se reproduire ainsi que pour raccourcir leur durée de vie et réduire l’apport sanguin vers les tumeurs.

http://www.alternativesante.fr/addictions/

http://www.floramedicina.com/25-plantes-medicinales-connaitre

http://mangermediterraneen.com/5-herbes-medicinales-qui-vous-donneront-des-super-pouvoirs-ou-presque/3/

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9 mars 2016

Prévenir le cancer : 11 conseils pour diminuer votre risque d'être frappé

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La curcumine est, parmi tous les nutriments, celui dont les effets sur le cancer sont les mieux documentés dans la littérature scientifique.
La curcumine est un dérivé du curcuma, le pigment qui donne au curry sa couleur jaune-orangé. C'est un composé qui a été l'objet de nombreuses études, et dont les effets sur la santé sont multiples. La conséquence est que le curcuma connaît un succès croissant en tant que complément alimentaire. 100 grammes de curcuma contiennent 3 à 5 grammes de curcumine.
Les médecines traditionnelles chinoise et indienne exploitent les vertus thérapeutiques de la curcumine depuis des milliers d'années. Elle est particulièrement connue pour ses puissantes propriétés anti-inflammatoires. Or, comme vous le savez sans doute, l'inflammation chronique est un facteur sous-jacent de nombreuses, si ce n'est pas de toutes les maladies chroniques. Il a été démontré que la curcumine influence l'expression de plus de 700 gènes, ce qui pourrait expliquer en partie ses nombreux bienfaits sur la santé.
Ses effets sur le cancer ne sont donc pas, et de loin, son seul intérêt. Toutefois, c'est de son potentiel en tant qu'agent anti-cancer dont je vais vous parler aujourd'hui. A la fin de cet article, vous trouverez également une liste de mesures préventives contre le cancer à appliquer dans la vie de tous les jours.

La curcumine efficace chez les souris contre une tumeur du cerveau mortelle

Dans un article publié dans le Journal of Nutritional Biochemistry du mois de juillet 2011, des chercheurs expliquent que la curcumine pourrait être la solution pour stopper un type mortel de cancer du cerveau appelé glioblastome. L'étude, réalisée sur des souris, vient appuyer des observations qui avaient déjà été faites auparavant. Les scientifiques y ont montré qu'elle réduisait la tumeur chez 9 des 11 animaux étudiés (81 %), sans montré de signe de toxicité. (1)
Mieux encore, la curcumine n'affectait pas les cellules en bonne santé, suggérant qu'elle cible sélectivement les cellules cancéreuses. Ils ont aussi constaté qu'elle agissait en synergie avec deux médicaments utilisés en chimiothérapie, augmentant l'élimination des cellules cancéreuses.

Les auteurs déclarent :
"En résumé, les données présentées ici suggèrent que la curcumine est un agent potentiel pour les thérapie des glioblastomes."

Un de MEILLEURS compléments pour beaucoup de cancers

Mais les médecins connaissaient depuis de nombreuses années ce potentiel anticancer de la curcumine. Parmi tous les nutriments, c'est elle qui a fait l'objet du plus grand nombre d'articles scientifiques sur ses vertus anti-cancer.
Une étude publiée en 2008 dans la revue scientifique Cancer Prevention Research a observé que la curcumine inhibe la motilité (leur capacité à se déplacer) des cellules du cancer du sein et leur propagation en inhibant le fonctionnement du l'alpha-6-bêta-4 intégrine, ce qui implique qu'elle pourrait servir comme agent thérapeutique efficace dans les tumeurs qui sur-expriment l'alpha-6-bêta-4. (L'alpha-6-bêta-4 est associé au développement du cancer en contribuant à la résistance des cellules à l'apoptose et aux métastases. L'apoptose signifie la mort cellulaire programmée : les cellules cancéreuses ont la particularité de ne pas mourir quand elles le devraient, ce qui contribue au développement des tumeurs). (2)
En 2009, un étude publiée dans la revue scientifique Molecular Pharmacology a observé que la curcumine inhibe la croissance des cellules cancéreuses du pancréas, et accroît la sensibilité des cellules à la chimiothérapie. (3)
Une étude de 2009 a constaté que la curcumine favorise la mort cellulaire des cellules du cancer du poumon. (4)
Une étude de 2010 a conclu que la curcumine a la capacité de cibler les cellules souches cancéreuses. (5)

Comment la curcumine combat-elle le cancer ?

En Inde, où le curcuma est très répandu dans la cuisine, la prévalence, c'est-à-dire la fréquence, de quatre cancers très répandus chez nous – cancer du colon, du sein, de la prostate, du poumon – est dix fois plus faible. En fait, le cancer de la prostate, qui est le plus souvent diagnostiqué chez les hommes européens, est rare en Inde, et ce phénomène est attribué, en partie, à la consommation de curcuma. Il apparaît que la curcumine agit contre le cancer de plusieurs façons :

      – Inhibition de la prolifération des cellules des tumeurs ;

 

      – Aide votre corps à détruire les cellules mutantes, afin de les empêcher de se répandre dans votre corps;

 

      – Inhibe la transformation de cellules normales en cellules de tumeur ;

 

      – Diminue l'inflammation ;

 

      – Empêche le développement des vaisseaux sanguins nourrissant la tumeur ;

 

    – Inhibe la synthèse d'une protéine considérée comme essentielle pour la formation des tumeurs.

Quel est le meilleur type de curcuma ?

Pour bénéficier de toute la puissance de la curcumine, choisissez un complément alimentaire à 100 % de curcumine, extrait de curcuma certifié biologique, contenant au moins 95 % de curcuminoïdes. La formulation ne doit contenir aucun additif ni excipient (la substance ajoutée au complément pour faciliter la fabrication ou la conservation), et le fabriquant doit apporter une garantie de qualité sur toute la chaîne de production : non-pollution des sols, plantation, culture, récolte sélective, production et conditionnement du produit final.
Pour la cuisine, choisissez une poudre de curcuma pure plutôt que du « curry ». Biologique de préférence. Une étude scientifique a montré que la poudre de curry tend à contenir très peu de curcumine en comparaison avec le curcuma.

Conseils pour l'usage de la curcumine

Actuellement, il n'existe pas de formulation disponible dans la commerce pour être utilisée contre le cancer, et il faut que vous sachiez que de hautes doses sont nécessaires, la curcumine n'étant pas très bien absorbée par l'organisme. La dose anti-cancer typique peut atteindre 3 grammes d'un bon extrait biodisponible de curcumine, trois à quatre fois par jour.
Pour contourner ce problème, vous pouvez faire une micro-émulsion de poudre de curcumine. Mélangez une cuillère à soupe de curcumine avec 1 ou 2 jaunes d'œufs, avec une cuillère à café ou deux d'huile de noix de coco fondue. Utilisez ensuite un mixer pour émulsifier le mélange.
Une autre stratégie qui peut aider à augmenter l'absorption de la curcumine est de mettre une cuillère à soupe de poudre de curcumine dans 12,5 cl d'eau bouillante (elle doit bouillir au moment où vous ajoutez la poudre, l'efficacité est réduite si l'eau est tiède). Après l'avoir fait bouillir 10 minutes, vous aurez créé une solution à 12 %, que vous pouvez boire une fois rafraîchie. Vous y trouverez un goût boisé. Notez bien que la concentration en curcumine va diminuer progressivement. Au bout de six heures, la solution ne sera plus qu'à 6 %, donc il est préférable de la boire dans les quatre heures.
Attention aux tâches : la curcumine est un pigment jaune très puissant. Ce liquide peut tâcher de façon indélébile non seulement les tissus, mais également certains plastiques (matériel de cuisine). A manipuler, donc, avec précaution.

Prévenir le cancer : 11 conseils pour diminuer votre risque d'être frappé

Ces trente dernières années, le cancer a doublé dans le monde, et les estimations indiquent qu'il pourrait tripler d'ici 2030. Clairement, nous devons commencer à nous occuper sérieusement de prévention du cancer.
L'impressionnant potentiel de la curcumine pour combattre le cancer ne doit pas faire oublier qu'un mode de vie sain – et non l'absorption de quelconques quantités de compléments alimentaires – est la MEILLEURE façon d'éviter de devenir une nouvelle statistique des ravages du cancer. Ma conviction est que vous pouvez potentiellement éliminer votre risque de cancer et d'autres maladies chroniques, et améliorer radicalement vos chances d'en guérir si vous êtes actuellement touché, en suivant les stratégies suivantes de réduction du risque :

diminuez fortement votre consommation de sucres

      et de féculents (aliments contenant une grande quantité d'amidon). Cela vous permettra de normaliser votre niveau d'insuline dans votre sang, l'hormone anti-sucre. C'est l'une des plus efficaces mesures que vous puissiez prendre pour diminuer votre risque de cancer, et pour ce faire, réduire votre consommation de sucre, céréales et pommes de terre est la priorité. L'élimination du fructose (sirop de blé) est particulièrement importante, et si vous avez le cancer, réduisez votre consommation de fructose à moins de 10 grammes par jour, toutes sources confondues.

 

Optimisez votre niveau de vitamine D

      , pour le maintenir entre 50 et 70 ng/mL. Les preuves scientifiques qui témoignent du fait qu'une déficience de vitamine D joue un rôle crucial dans le développement du cancer sont écrasantes. Les chercheurs dans ce domaine ont estimé qu'environ 30 % des décès par cancer pourraient être évités chaque année en optimisant les niveaux de vitamine D de la population générale. (6) A votre niveau personnel, vous pouvez diminuer votre risque de cancer de moitié ou plus, simplement en vous exposant assez au soleil toute l'année. Vous pouvez aussi utiliser un bon complément oral de vitamine D3 mais le soleil reste votre première solution. Si vous êtes traité pour un cancer, il est probable qu'un niveau supérieur de vitamine D (de 80 à 90 ng/ml) vous soit bénéfique.

 

Faites régulièrement de l'exercice physique :

      il existe des signes probants que l'exercice physique diminue fortement votre risque de cancer, principalement en réduisant les niveaux d'insuline et en normalisant les œstrogènes. Par exemple, les femmes qui font régulièrement de l'exercice peuvent diminuer leur risque de cancer du sein de 20 à 30 % par rapport aux inactives. L'exercice n'a pas besoin d'être intensif, au contraire, mais il doit être fréquent et varié.

 

Les périodes de jeûne

      aident au processus de guérison intégrale et peuvent même avoir un effet rajeunissant, en aidant le corps à se débarrasser de ses cellules mortes et malades et de ses toxines.

 

      – Augmentez vos apports d'acides gras oméga-3 d'origine animale ;

 

      – Mangez beaucoup de légumes, idéalement frais et bios, en privilégiant les légumes colorés et en particulier les légumes verts à feuille ainsi que les crucifères, c'est-à-dire toutes les sortes de chou mais aussi les radis et le cresson, qui ont des propriétés anti-cancer intéressantes.

 

      – Dotez-vous d'une technique personnelle pour diminuer vos émotions négatives qui risquent d'activer vos gènes de cancer. 85 % des cancers sont causés par des émotions mal gérées. Le yoga, la prière, la méditation, la sophrologie font partie des moyens de rétablir un équilibre intérieur propice.

 

      – Conservez votre poids idéal ;

 

      – Dormez assez, et d'un sommeil de bonne qualité ;

 

      – Réduisez votre exposition aux toxines environnementales, comme les pesticides, les produits chimiques ménagers, les désodorisants d'ambiance, la pollution atmosphérique et les toxines des plastiques comme le bisphénol A.

 

      – Restreignez votre usage des téléphones portables et autres appareils sans fils, et, lorsque vous les utilisez, prenez toutes les précautions possibles pour vous protéger des rayonnements électromagnétiques.

 

    – Cuisinez en privilégiant les modes de cuisson doux : pochage, cuisson à la vapeur, ébullition, plutôt que friture. Evitez absolument la cuisson au barbecue.


A votre santé !
https://www.santenatureinnovation.com/author/jean-marc-dupuis/

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Références :
(1) J Nutr Biochem. 2012 Jun;23(6):591-601.
(2) Cancer Prev Res (Phila). 2008 Oct;1(5):385-91.
(3) Mol Pharmacol. 2009 Jul;76(1):81-90.
(4) Biol Pharm Bull. 2010;33(8):1291-9.
(5) Cancer Lett. 2010 Jul 1;293(1):65-72.
(6) http://www.eurekalert.org/pub_releases/2007-08/uoc--ssm082107.php

Source :
Dr Joseph Mercola, "The Cancer-Fighting Spice So Potent - It Even Beat Brain Tumors in Mice...", 2011.

9 février 2016

10 trucs à faire tous les jours pour vivre longtemps et en bonne santé

mer gif rusty james

Plusieurs lecteurs m’ont indiqué que la chronique de Serons-nous immortels ? est intéressante, mais qu’il serait bien d’avoir une synthèse des conseils concrets que donne ce livre, étant donné la taille de celui-ci et de la chronique. C’est chose faite avec ces 10 choses qui pourront faire une différence énorme dans votre vie si vous les appliquez jour après jour, car il n’y a rien de plus puissant pour construire quelque chose que de le faire brique après brique, jour après jour : un jour nous nous retournons et contemplons étonné l’édifice de notre vie, composé de toutes ces briques, de tous ces jours que nous avons accumulés. En s’occupant de notre santé chaque jour, nous posons tous les jours une brique dans l’édifice de notre vie longue et pleine de santé. Voici dix de ses habitudes qui sont autant de briques à poser chaque jour. Suivez le guide.

Avertissement : je ne suis ni médecin, ni nutritionniste. Je m’appuie néanmoins sur deux livres écrits ou co-écrits par des médecins pour cet article :

  • Serons-nous immortels ?, co-écrit par le docteur Terry Grossman, qui s’appuie sur plus de 200 études scientifiques pour étayer ses propos.
  • Anticancer, du docteur David Servan-Schreiber

1 – Limitez au maximum votre consommation de viande rouge

Il est préférable d’éviter dans tous les cas la viande rouge, même maigre, car le bétail est en général saturé par les hormones et les antibiotiques utilisés par les élevages industriels, notamment parce qu’il faut plus de temps pour élever une vache ou un cochon qu’une poule. De plus cette viande est souvent riche en cholestérol, et il y a un risque d’infection par les prions, en raison de la maladie de la vache folle.

Au pire, mangez de la viande rouge bio, mais essayez de privilégier la viande blanche et les poissons riches en EPA/DHA, notamment le saumon. Prenez les bio si vous le pouvez.

2 – Privilégiez les bonnes graisses

C’est à dire les graisses Omega 3 et Omega 6 plutôt que saturées et les mauvaises graisses insaturées (pour une explication de ce que sont les graisses saturées et insaturées, voir le chapitre 6 : Graisses et protéines de Serons-nous immortels ?).

Pour cela, concentrez-vous sur les aliments suivants :

  • Les noix
  • Les poissons riches en EPA et DHA, notamment le saumon (le saumon sauvage en contient plus que le saumon d’élevage) et ayant des taux faible de mercure.
  • De l’huile d’olive extra-vierge (ce dernier point est très important).
  • Des graines de lin et de l’huile de lin pressée naturellement.
  • Des légumes.
  • Du tofu.
  • Les viandes maigres, et en particulier les viandes blanches (poulet, dinde). Evidemment, il est préférable de sélectionner des volailles fermières élevées sans hormones et sans antibiotiques.

Et évitez absolument :

  • Les graisses saturées des viandes grasses, du beurre, du lait et des autres produits animaux.
  • Les huiles de cuisine commerciales (toujours leur préférer de l’huile d’olive extra-vierge).
  • Les graisses hydrogénées de la margarine ou des graisses végétales, et de presque toutes les pâtisseries commerciales.
  • De frire en friteuse. Il est préférable de faire sauter à feu vif en utilisant de l’huile d’olive extra-vierge, et le mieux est de mettre de l’eau dans un wok, d’y ajouter une petite quantité de d’huile, et de faire cuire pendant un temps court à température moyenne ou modérée.

3 – Bien mâcher est très important pour notre santé

En effet, avaler de trop gros morceaux avant qu’ils n’aient été correctement broyés, et mélangés à de la salive, oblige le tube digestif à secréter des quantités plus importantes d’enzymes digestives puissantes, ce qui peut provoquer un excès de gaz et des ballonnements, et avec le temps léser l’estomac. Donc prenez votre temps lorsque vous mangez. (Je vous invite également à lire 5 excellentes raisons de manger plus lentement.)

4 – Mangez 5 fruits et légumes par jour

Voici le conseil phare donné par le programme officiel du Ministère de la Santé, Manger Bouger, avec raison.

Les bénéfices apportés par la consommation de légumes frais, naturels et pauvres en amidon sont innombrables : ils contiennent une myriade de nutriments précieux et des fibres, et ont un index glycémique et une densité calorique faible. Il faut toutefois faire attention à ne pas trop les faire cuire : une cuisson trop forte leur ferait perdre leurs vitamines, leurs produits phytochimiques et d’autres nutriments. L’idéal est une légère cuisson à la vapeur, ou une consommation crue pour certains d’entre eux.

Attention, il s’agit de 5 portions de fruits et légumes : manger 3 radis et deux raisins ne suffira évidemment pas ! Et il est tout à fait possible d’en manger 10 portions : 5 est le minimum recommandé. Astuce : plutôt que de compter le nombre de fruits et légumes que vous mangez, ce qui peut être pénible, pensez simplement à faire en sorte que la moitié de chaque repas soit composé de légumes ou de fruits.

Pensez à consommer des produits bien colorés : En mangeant tout une série de légumes naturellement colorés, vous obtenez toute une série de nutriments vitaux.

Vous pouvez également boire du jus de légume fraîchement pressé : en mettant des légumes frais, naturels et pauvres en amidon dans une centrifugeuse électrique, on obtient une des boissons les plus saines qui soit, pauvre en calories, très riche en vitamines et minéraux. Les meilleurs légumes pour cela sont le céleri, le concombre et le fenouil, et vous pouvez utiliser de petites quantités de feuilles rouges ou vertes de romaines, d’endive, de scarole, d’épinard, de persil ou de chou frisé. Evitez les légumes riches en sucre comme les betteraves ou les carottes.

5 – Buvez du thé à la place du café

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Crédit Photo emueses

De nombreux constituants du thé sont bons pour la santé. Une étude récente publiée dans le journal de L’American Hearth Association (Association Américaine pour le Coeur) a découvert que boire deux tasses de thé par jour réduisait le risque de mort par infarctus du myocarde dans la proportion remarquable de 44% (Tea consumption and mortality after acute myocardial infarction). Cette découverte s’applique au thé noir et au thé vert, mais pas aux tisanes. Le thé contient également de la L-thréonine, qui réduit le taux de cortisol et favorise la relaxation. Le thé le plus bénéfique est le thé vert, avec des antioxydants supplémentaires qui diminuent les risques de maladies cardiaques ou de cancer. Essayez de prendre votre thé sans sucre (voir conseil suivant).

6 – Réduisez fortement votre consommation de sucre

Lorsque nous consommons un repas contenant beaucoup de sucres, le taux de glucose sanguin s’élève rapidement et le pancréas réagit en secrétant immédiatement beaucoup d’insuline, qui régule le glucose, en contribuant notamment à le faire passer dans les cellules. Cela maintient le glucose sanguin sous contrôle, mais ces pics d’insuline temporaires dépassent souvent leur objectif et amènent le taux de glucose sanguin à un niveau trop bas, ce qui conduit à un besoin plus intense de sucres – un véritable cercle vicieux !

Avec le temps, un abus continuel de ce cycle fait que les cellules de notre organisme développent une sensibilité plus faible à l’insuline. Cette résistance à l’insuline est une des causes principales du syndrome métabolique, et peut également conduire au diabète de type 2, qui fait que quelque soit la quantité d’insuline produite par l’organisme, le glucose sanguin demeure toujours trop élevé.

De nombreux problèmes sont causés par des taux excessifs de glucose sanguin, comme une inhibition du système immunitaire, la favorisation de la croissance de cellules pathologiques comme les infections fongiques et les cancers, la compétition avec la vitamine C qui emprunte le même système de transport, et qui se voit ainsi gênée dans sa mission de lutte contre les infections et l’élaboration des tissus de l’organisme, etc.

Il faut donc éviter au maximum les aliments trop riches en sucre et privilégier ceux ayant un index glycémique (IG) bas. Vous pouvez consulter par exemple le tableau des aliments du site La Nutrition.

7 – Mangez Anticancer

Voici les recommandations des auteurs de Serons-nous immortels ? afin de prévenir au maximum l’apparition de cancers, qui rejoignent beaucoup ceux du  docteur David Servan-Schreiber dans Anticancer :

– Buvez des jus de légume : débutez votre journée avec un verre de 225 à 350 ml de jus de légume franchement pressé, comme partie intégrante de votre petit-déjeuner. Mélangez du jus de quelques concombres, brocolis, chou frisé, chou, d’une carotte (mais pas plus pour éviter des excès de sucre) et d’autres légumes verts. Cela vous apportera presque la moitié de vos besoins avant même d’avoir quitté votre domicile. Choisissez évidemment de préférence des légumes biologiques.

– Adoptez le régime alimentaire méditerranéen : pauvre en viande rouge et donnant la priorité aux céréales complètes, au poisson et aux fruits et légumes frais, il a été associé à de nombreux bénéfices, dont une réduction du risque de cancer. Le régime méditerranéen fait également appel à des quantités généreuses d’huile d’olive extra-vierge, de tomates fraîches, de sauce tomate, et de tomates cuites.

– Evitez le Satan blanc : le sucre blanc. Les cellules cancéreuses consomment très avidement ce sucre, et vous pouvez inhiber la formation d’un cancer en éviter les aliments dont la charge glycémique est élevée.

– Ayez une activité physique : l’activité physique a été associée à une plus faible incidence du cancer, au contraire d’un mode de vie sédentaire. Les adultes doivent pratiquer une activité modérée pendant un minimum de 150 minutes par semaine, obtenues selon toute combinaison possible, avec un minimum de 10 minutes par séance. Les enfants et adolescents doivent pratiquer une activité physique modérée à vigoureuse pendant au moins 60 minutes par jour.

– Evitez les pesticides : L’exposition aux produits chimiques agricoles a été liée à de nombreux cancers. Les agriculteurs ont un risque de cancer du l’estomac accru de 40%, du rectum de 50%, du larynx de 40% et de la prostate de 40%. Il est donc important de manger des aliments bio.

– Perdez votre excès de poids :  être en surcharge pondérale ou obèse est un facteur indépendant pour divers types de cancers.

– Évitez le tabac : cela paraît évident, et ça l’est. La liste des maladies liées à la fumée des cigarettes se lit comme le petit livre noir de l’Ange de la Mort. Fumer augmente le risque de cancer dans tous les tissus que touche la fumée du tabac au niveau de ses voies d’entrées (poumons, bouche, gorge, larynx), de ses voies de sorties (reins et vessie) et de différents endroits entre ces voies (col de l’utérus, pancréas). Fumer augmente également de manière très importante les risques de maladies cardiovasculaires, y compris l’infarctus du myocarde, la mort cardiaque subite et les accidents vasculaires cérébraux. Et fumer augmente de manière importante les risques de problèmes pulmonaires comme l’emphysème, l’asthme, la bronchite chronique, la broncho-pneumo-pathie chronique obstructive (BPCO), etc. Et ce n’est qu’une liste incomplète ! Les auteurs recommandent donc, si vous fumez, de vous engager immédiatement dans un programme d’arrêt du tabac.

Pour aller plus loin, vous pouvez télécharger le livret d’accompagnement de Anticancer, les réflexes anticancer au quotidien, ou lire le livre Anticancer (ou le livre audio si vous n’avez pas le temps de lire 😉 ).

8 – Faites du sport régulièrement

sport

Crédit Photo vramak

Voici les divers bénéfices de la pratique d’une activité régulière :

  • Diminution des risques de maladies
  • Réduction de la pression sanguine
  • Augmentation de la force des ligaments et des tendons
  • Réduction du stress et aide à la guérison et à la dépression
  • Amélioration du sommeil
  • Réduction du risque de plus types de cancer (dont ceux du côlon, de la prostate et du sein)
  • Amélioration de l’apparence physique
  • Amélioration de la confiance en soi
  • Renforcement des os, réduction du risque d’ostéoporose
  • Augmentation de l’énergie

Une étude a montré que le taux de décès global d’un groupe qui pratiquait une activité physique moyenne était de 60% inférieur à celui du groupe sédentaire témoin.

Le mieux est de pratiquer une activité physique aérobie (avec de l’oxygène) régulière. Celle-ci permet d’accélérer le rythme de votre coeur et de votre respiration, et d’augmenter la consommation d’air. Ce type d’activité regroupe des sports comme la marche, la natation, le vélo, l’aviron et le ski de fond. Un aspect clé de ce type d’activité est qu’elle implique au moins 20 minutes d’effort continu et rythmé des muscles les plus importants, dans toutes les parties du corps : bien que notre coeur bénéficie aussi de l’effort significatif mais bref demandé dans certains sports comme le tennis ou le basket, ces derniers ne sont pas des formes optimales d’activité physique aérobie.

9 – Massez et faites-vous masser

massage

Crédit Photo wanhoff

Le stress aboutit à la stimulation du cortex surrénal, qui produit une hormone : le cortisol. Le cortisol provoque une augmentation très importante mais temporaire de l’énergie, et un stimulation des centres de la mémoire du cerveau afin qu’ils travaillent plus rapidement. D’autres hormones sont secrétées lors du stress, notamment l’adrénaline et de la noradrénaline.

Ces hormones sont très puissantes : elles arrêtent presque le processus digestif, augmentent la pression sanguine, le sucre sanguin, le taux du cholestérol, le taux du fibriogène, le rythme des battements cardiaques et de la respiration. Ce mécanisme, prévu pour s’activer occasionnellement en cas de danger physique subit, est encore utile de temps en temps, mais son activation continue est un facteur majeur de maladies cardiaques, de diabète de type 2, d’accidents vasculaires cérébraux, de cancers, de polyarthrite rhumatoïde, de dépression et d’accélération du vieillissement.

Il y a de nombreux manières de lutter contre le stress, et le massage en est une qui n’est sans doute pas suffisamment utilisée dans notre société.

Cette pratique a de nombreux effets positifs reconnus :

  • Apaise et calme
  • Soulage la douleur
  • Améliore le sommeil
  • Augmente la capacité respiratoire
  • Améliore la digestion et réduit la constipation
  • Améliore la circulation sanguine et lymphatique, ce qui entraîne une meilleure oxygénation et une meilleure élimination des toxines
  • Améliore la santé de la peau
  • Accroît la conscience de ses émotions
  • Augmente l’estime de soi et la valorisation personnelle
  • Contribue à l’ouverture d’esprit et à la résistance au stress

Vous pouvez vous faire plaisir en vous offrant les services de masseurs professionnels, et évidemment faire cela “en amateur”, avec votre conjoint, ou même pratiquer vous-même de l’auto-massage : par exemple, massez-vous les épaules en allant chercher avec vos doigts les omoplates, et baillez pendant que vous vous faites ce massage. Ce petit auto-massage faisable en tout circonstance est très relaxant et vous permettra de vous détendre facilement dans presque toutes les situations.

Si vous massez ou vous faites masser en amateur, n’oubliez pas l’huile de massage, qui fait toute la différence entre les amateurs et les amateurs éclairés 😉 . Vous pouvez également vous faire des automassages avec de l’huile de massage : pour aller plus loin, lisez 50 auto-massages aux huiles essentielles.

10 – Méditez

Méditation

Crédit Photo alicepopkorn

Une autre voie royale pour lutter contre le stress est la méditation. Comme je l’indique dans ma chronique de L’art de la Méditation, de nombreuses études scientifiques – comme celle-ci (université d’Harvard), celle-ci (université de Montréal) ou celle-là (voir aussi les conférences du Mind & Life Institute ou toutes ces autres études) – ont découverts ou prouvés de nombreux bénéfices à la pratique de la méditation, comme :

  • Une réduction considérable du stress
  • Une réduction de l’anxiété, de la tendance à la colère, et des tendances dépressives
  • Un renforcement notable du système immunitaire
  • Un renforcement des émotions positives et des facultés d’attention
  • Une diminution de la tension artérielle chez les hypertendus
  • etc.

Lisez L’art de la Méditation ou la chronique pour apprendre à méditer, puis pratiquez. Il vaut mieux de petites séances régulières (de 10 à 15 minutes par exemple) que de grandes séances irrégulières.

Vivre longtemps: conclusion

Si vous arrivez à mettre en place ces habitudes au quotidien, les études sont formelles : vos chances de vivre longtemps, en bonne santé, heureux et relaxé seront grandement améliorées, et vos chances de mourir prématurément d’une maladie grave comme le cancer ou une maladie cardiaque seront grandement diminuées. Cela ne tient qu’à vous . Mais surtout n’oubliez pas : “Toute chose avec modération, y compris la modération”. Si vous tombez de cheval, remettez-vous en selle tout de suite : de nombreux programmes ont été abandonnés par des personnes découragées après une défaillance temporaire. Sachez faire de petits écarts, tant que le gros de votre régime alimentaire reste sain.

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6 février 2016

Doc Cancer : les remèdes interdits (3/3) - l'histoire de Harry Hoxsey

 

GCG

Le cancer est une épidémie mondiale grandissante avec des statistiques alarmantes : 20 000 personnes meurent du cancer chaque jour ; 1 personne sur 3 sera confrontée à un cancer à un moment de sa vie ; et 1 million d’Américains sont diagnostiqués avec le cancer chaque année.

Le traitement standard du cancer a été le même pendant de nombreuses décennies et est constitué de la chirurgie, de la radiothérapie et de la chimiothérapie, les deux derniers étant toxiques pour les cellules saines dans le corp humain.

Ces traitements, ainsi que la recherche sur le cancer, génèrent des millions de dollars chaque année pour l’industrie médicale, les dépenses pour un patient typique atteignent en moyenne $50,000 (36 000 euros) pour traiter la maladie.

Au cours du siècle dernier, plusieurs traitements naturelles contre le cancer ont été développés et utilisés pour soigner des patients aux États-Unis et dans d’autres pays développés. L'histoire de la thérapie du cancer Hoxsey est l'un des plus controversés de l'histoire du remplacement des soins de santé aux États-Unis . Une grande partie de cette controverse est due à Harry Hoxsey lui-même. Il était une figure plus grande que nature qui a développé des combinaisons à base de plantes et ouvert des cliniques à travers le pays pour traiter les patients atteints de cancer . Le traitement du cancer Hoxsey est encore utilisé . Pendant ce temps , le débat sur son efficacité fait rage . Histoire

Harry Hoxsey développé une pommade externe pour le cancer de la peau et une formulation à base de plantes interne pour traiter d'autres cancers dans les années 1920 . Il a ouvert un total de 17 cliniques qui traitaient les patients cancéreux. L'American Medical Association , le National Cancer Institute des États-Unis et la US Food and Drug Administration ont dénoncé Hoxsey et ses formules comme des fraudes et ont cherché à fermer ses cliniques . Après plusieurs procès , dont un qu'il a gagné contre le Journal de l' American Medical Association pour diffamation , le gouvernement américain a interdit la vente de la thérapie du cancer à base de plantes Hoxsey . En 1963 , l'une des anciennes infirmières de Hoxsey ouvert une clinique à Tijuana, au Mexique , qui continue à traiter les patients atteints de cancer avec les formules de Hoxsey . L'Internet a permis une large diffusion des formulations à base de plantes de Hoxsey .

Types

Il existe deux principaux types de formulations à base de plantes qui composent le traitement du cancer Hoxsey . Une pommade externe qui est utilisé principalement pour brûler des excroissances de peau est basé sur le sanguinaire herbe . Il dispose également de tels produits chimiques comme l'oxyde de zinc , du soufre et du talc ajoutés pour obtenir une pâte épaisse et noire . La formule interne qui Hoxsey utilisé pour le cancer contenait un grand nombre de plantes . La combinaison a évolué et changé . La formule comprend aujourd'hui le trèfle rouge , la bardane , l'épine-vinette , de réglisse , nerprun bourdaine et . La combinaison dissout les tumeurs et aide le corps à éliminer les toxines , selon les promoteurs .

Fonction

nombreux rapports médicaux et les avis écrits par la communauté médicale traditionnelle dénoncent Hoxsey et ses formules comme frauduleuse . Selon l'American Cancer Society : " preuves scientifiques disponibles ne supporte pas les revendications que le traitement à base de plantes Hoxsey a aucune valeur dans le traitement du cancer chez l'homme . " Ce sentiment se retrouve dans la plupart des évaluations traditionnelles du protocole Hoxsey pour le cancer . L'American Cancer Society fait état que certaines des plantes utilisées dans la formule Hoxsey ont montré des effets anti- cancer dans les études animales .

Considérations

Bien qu'il y ait pas eu beaucoup des études sur les effets du traitement à base de plantes complètes Hoxsey sur des cellules cancéreuses in vitro , la plupart des plantes utilisées dans les préparations ont été testées avec des résultats surprenants. Selon l'article publié en 2000 par le Journal de l'American Botanical Council intitulé « Tempête dans une bouteille Tonic : Un groupe de mauvaises herbes " , la plupart des herbes utilisées dans la formule Hoxsey ont une longue histoire d'utilisation par les Amérindiens . Plusieurs herbes , notamment l'épine-vinette , nerprun bourdaine et ont été déterminés à être actif contre le cancer dans les études scientifiques .
Importance

L'intérêt en phytothérapie pour traiter un grand nombre de les conditions qui affligent l'humanité moderne , y compris le cancer , a continué d'augmenter . Les formules de Hoxsey restent parmi les protocoles les plus populaires à base de plantes de traitement du cancer .

Cancer : les remèdes interdits (3/3) - l'histoire de Harry Hoxsey



Quelques exemples : Une concoction naturel d’herbes appelé Essiac, créé par l’infirmière Rene Caisse au Canada dans les années 1920. Un autre remède à base de plantes créé par Harry Hoxsey , qui a financé les cliniques dans 17 Etats avant qu’ils ne soient tous fermés par la FDA à la fin des années 1950.

Et encore un autre : la thérapie de Gerson, créé par le médecin allemand Maximilian Gerson, qui fut l’un des premiers à proposer une approche nutritionnelle pour le traitement des maladies chroniques dans les années 1940.


Documentaire 3: L’histoire de Harry Hoxsey



L’histoire de Harry Hoxsey, deuxième héro du 20ème siècle présenté dans le film de Mazzucco après Renée Caisse. Hoxsey est un homme qui a proposé un remède contre le cancer dans les années 20. Deux institutions terroristes aux Etats-Unis l’AMA et la FDA lui ont pourri la vie pendant 40 ans avec la seule technique que ces médiocres connaissent: l’attaque au porte monnaie.

30 octobre 2015

Les 15 aliments qui obligent les cellules cancéreuses à mourir

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Voici 15 aliments qui obligent les cellules cancéreuses à mourir, suppriment les toxines et traquent sans cesse les radicaux libres

Un quelconque régime alimentaire ne va ni provoquer ni traiter un cancer. Mais nous pouvons limiter les risques, car certains aliments, par leurs vertus antioxydantes, sont plus protecteurs que d’autres, explique Pr David Khayat, chef de service à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris.

La recherche au cours de la dernière décennie a démontré l’évidence que ce que vous mangez a un effet global sur votre santé. La simple vérité est qu’un régime anti-cancer n’est pas si différent des aliments sains que vous devriez manger de toute façon. Il s’agit une grande quantité de fruits et légumes biologiques, ainsi que de la viande maigre ou du poisson.

Pour compiler une liste des aliments de lutte contre le cancer, il faudrait énumérer la plupart des fruits, des légumes, des protéines et des plantes. Certaines aliments combattent l’inflammation encourageant la croissance du cancer. D’autres aliments forcent la mort des cellules cancéreuses, tandis que d’autres encore aident le corps à éliminer les toxines et protègent contre les radicaux libres. Les aliments sains et bio vont attaquer toute maladie à un certain niveau.

A éviter, tous les aliments carbonisés.

Alors, qu’y a-t-il sur la liste des aliments anti-cancer?

Quasiment l’exact opposé du régime alimentaire occidental. Des aliments biologiques qui incluent les légumes colorés, les fruits, les haricots secs, les graisses saines, l’ail, les plantes médicinales, les épices et les protéines maigres. Bien que ce ne soit pas une liste complète, nous allons jeter un oeil à quelques faits marquants:

1. Haricots secs

Les haricots secs offrent de nombreux composés phytochimiques ainsi que des fibres. Les composés phytochimiques comme les saponines ont la propriété d’inhiber la reproduction des cellules cancéreuses; les inhibiteurs de protéase ralentissent la division de ces cellules, et l’acide phytique, lui aussi, ralentit la progression des tumeurs. Les haricots secs contiennent aussi des folates, une vitamine B qui réduit le risque de cancer du pancréas.

2. Graine de nigelle / huile

Aussi connue comme le cumin noir. Il y a à ce jour 656 études révisées par des pairs sur cet aliment incroyable. Cette graine a la vertu de stabiliser et renforcer le système immunitaire. Le Dr Hwyda Arafar MD, PhD, utilise la graine de nigelle dans le traitement des patients atteints de cancer du pancréas avec des résultats étonnants de 80% de mort cellulaire.

3. Carottes

Les carottes sont riches en bêta carotène, un antioxydant dont les scientifiques pensent qu’il protège les membranes cellulaires contre les dommages dus aux toxines et il ralentit la croissance des cellules cancéreuses. Elles fournissent des antioxydants qui peuvent combattre le VPH. Les carottes peuvent se révéler bénéfiques dans le traitement de la leucémie.

4. Légumes crucifères

Les légumes crucifères comme le chou chinois, le brocoli, le chou vert, le chou kale, le chou frisé, le chou-fleur contiennent du sulforaphane et des indole-3-carbinols (l3Cs). Ce sont deux anti-cancer puissants. Ils aident à détoxifier le corps et inhibent le développement des cellules précancéreuses en tumeurs malignes. Dans des études menées par le World Cancer Research Fund et l’American Institute for Cancer, le brocoli et d’autres légumes crucifères étaient particulièrement protecteurs contre les cancers de la bouche, de l’oesophage et de l’estomac. Vous pouvez également envisager de consommer des graines germées de brocoli pour une régénération nutritionnelle encore plus efficace.

5. Ail

Les mêmes composés soufrés qui donnent à l’ail sa forte odeur peuvent empêcher les substances causant le cancer de se former dans votre corps, accélèrent la réparation de l’ADN et tuent les cellules cancéreuses. N’oubliez pas d’inclure d’autres aliments du groupe des alliacés, les oignons, les poireaux, les échalotes et la ciboulette. Le soufre présent dans ce groupe d’aliments facilite la mort des cellules du cancer de la prostate, du côlon, du sein et du poumon.

6. Gingembre

Le gingembre a des propriétés anti-inflammatoires puissantes et peut ralentir la croissance du cancer. Cette racine épicée est également utile pour soulager les nausées, les migraines, les douleurs musculaires et l’arthrite. Le pouvoir anti-inflammatoire du gingembre tue les cellules cancéreuses de l’ovaire dans un tube à essais plus rapidement que la chimio, selon une étude effectuée au Centre du Cancer de l’Université du Michigan.

7. Raisins et resvératrol

La recherche montre que le resvératrol offre de nombreux avantages en matière de santé y compris réduire l’inflammation et prévenir l’oxydation du cholestérol LDL. Il permet également de limiter la propagation des cellules cancéreuses et déclenche la mort de ces cellules. Si vous cherchez à augmenter votre consommation de resvératrol, envisagez de consommer du raisin, des myrtilles, des canneberges et des grenades, chacun d’entre eux offrant un large éventail d’antioxydants.

8. Thé vert

Riche en polyphénols et catéchines, notamment l’EGCG (gallate d’épigallocatéchine). L’EGCG est foudroyant sur les cellules cancéreuses. Ce puissant antioxydant aide à détoxifier le foie et retarde la croissance du cancer. Des études de laboratoire ont montré que les catéchines du thé peuvent réduire les tumeurs et réduire la croissance des cellules tumorales.

9. Grenade

Des études ont montré que le jus de grenade permettait de réduire le risque lié au cancer de la prostate et probablement celui lié au cancer du sein. Associé avec du brocoli, du curcuma et du thé vert, il a fait chuter de 63 % les niveaux de PSA des patients atteints du cancer de la prostate. Et cela en six mois.

10. Algues

Les algues Kelp, Kombu, Hijiki, Nori et Arame sont des aliments puissants et riches en minéraux et vitamines que l’on peut facilement ajouter aux soupes, salades, quinoa ou autre. Les algues offrent une quantité d’avantages nutritionnels et curatifs.

  • Le Kelp aide à éliminer les particules radioactives et les métaux lourds de l’organisme.
  • Le Kombu contribue à abaisser la pression artérielle et est abondant en iode, carotènes, vitamines B, C, D et E; c’est également une algue riche en protéines et qui contient également du calcium, du magnésium, du potassium, de la silice, du fer et du zinc.
  • Le Hijiki stimule les cellules tueuses naturelles pour la protection contre les maladies.
  • Le Nori est riche en carotènes, calcium, fer, iode et phosphore.
  • L’Arame est l’une des sources les plus riches en iode. Les herboristes utilisent l’Arame pour aider à réduire les fibromes du sein et de l’utérus.

Les algues séchées se trouvent également en poudre à utiliser dans les bains détoxifiants.

11. Epinards

Cet aliment vert polyvalent contient de la lutéine et de la zéaxanthine. Ces caroténoïdes suppriment des molécules instables et les radicaux libres de votre corps. Ils sont également présents dans d’autres légumes à feuilles vertes foncées. Une étude du NIH/AARP portant sur plus de 490 000 personnes a trouvé que celles qui mangeaient plus d’épinards étaient moins susceptibles de développer le cancer de l’oesophage. Certaines études suggèrent que les caroténoïdes des épinards et d’autres aliments réduisent le risque de cancer de l’ovaire, de l’endomètre, du poumon, et le cancer colorectal.

12. Fraises

Cette baie est riche en antioxydants comme la vitamine C et l’acide ellagique. L’acide ellagique présente des propriétés anti-cancéreuses qui suralimentent les enzymes pour ralentir la croissance des tumeurs. Toutes les baies contiennent de puissants antioxydants, ce qui signifie qu’elles arrêtent naturellement le processus qui crée des radicaux libres endommageant les cellules. D’autres baies riches en flavonoïdes comme les framboises, les myrtilles, les mûres, et les canneberges sont également de puissants antioxydants et sont considérées comme des aliments protecteurs. Les fruits et les baies ont le potentiel de réduire les risques de cancer du poumon, de la bouche, de l’estomac et de l’oesophage.

13. Tomates

Le lycopène est un antioxydant très concentré dans les tomates. De nombreuses études suggèrent qu’une alimentation riche en lycopène est liée à un risque plus faible de cancer de la prostate. Dans les tests de laboratoire, le lycopène stoppe le développement d’autres types de cellules cancéreuses, celles du sein, des poumons et de l’endomètre. D’autres aliments qui contiennent du lycopène incluent la pastèque, le pamplemousse rose et les poivrons rouges. Cependant, alors que la consommation régulière de tomates et de poivrons est associée à un moindre risque de plusieurs cancers, notamment le cancer de la prostate, elle a un inconvénient qui est la solanine. Si vous avez une inflammation, la solanine est susceptible d’empirer et d’aggraver la situation.

14. Curcuma

La curcumine est l’un des plus puissants antioxydants trouvés dans le curcuma et a de nombreux avantages pour la santé. Il a été largement étudié pour sa capacité à tuer de nombreuses lignées de cancers. James A. Duke, un ethnobotaniste, a publié des résumés complets de 700 études sur le curcuma.

15. Vitamine D

Certes, la vitamine D n’est pas un aliment, mais il y a une infinité d’études qui montrent que cette vitamine joue un rôle dans la réduction du risque de cancer du sein et du côlon, ainsi que l’amélioration du taux de survie des personnes atteintes du cancer du poumon.

Mise à jours:

16. Le café

une étude menée par des chercheurs de la faculté de médecine de Harvard a montré que le fait de consommer 4 à 6 tasses de café par jour diminuait de façon importante le risque de rechute pour les cancers de la prostate. Une autre étude, publiée dans la revue Breast Cancer Research, suggère qu’une consommation moyenne de 5 tasses de café par jour réduirait le risque de développer un cancer du sein.

17. L’œuf et le pain blanc ou aux céréales, qui sont des aliments indispensables dans une alimentation équilibrée pour la santé. A condition, s’agissant de l’œuf, que le patient n’ait pas de cholestérol.

18. Les petits poissons comme les sardines, les maquereaux, les anchois, ou les harengs.

Une sardine peut contenir de 20 à 30 fois plus d’oméga 3 qu’une sole ou une morue. Cependant, il apparaît que l’ingestion importante d’oméga 3 au travers de la consommation de saumon augmente le risque de cancer de la prostate. A limiter: les gros poissons (thon, espadon…) situés en haut de la chaîne alimentaire, qui sont les plus contaminés par les polluants organiques persistants.

19. Le vin rouge consommé avec modération a des vertus anticancéreuses grâce à sa teneur en resvératrol, un puissant antioxydant.

A éviter, tous les aliments carbonisés.

« La nourriture que vous mangez peut être soit la forme de médecine la plus sûre et la plus puissante, soit la forme de poison la plus lente. » Anne Wigmore

Sources:
www.mdpi.com

15 aliments qui obligent les cellules cancéreuses à mourir

 

cellules-cancéreuses

Voici 15 aliments qui obligent les cellules cancéreuses à mourir, suppriment les toxines et traquent sans cesse les radicaux libres

Un quelconque régime alimentaire ne va ni provoquer ni traiter un cancer. Mais nous pouvons limiter les risques, car certains aliments, par leurs vertus antioxydantes, sont plus protecteurs que d’autres, explique Pr David Khayat, chef de service à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris.

La recherche au cours de la dernière décennie a démontré l’évidence que ce que vous mangez a un effet global sur votre santé. La simple vérité est qu’un régime anti-cancer n’est pas si différent des aliments sains que vous devriez manger de toute façon. Il s’agit une grande quantité de fruits et légumes biologiques, ainsi que de la viande maigre ou du poisson.

Pour compiler une liste des aliments de lutte contre le cancer, il faudrait énumérer la plupart des fruits, des légumes, des protéines et des plantes. Certaines aliments combattent l’inflammation encourageant la croissance du cancer. D’autres aliments forcent la mort des cellules cancéreuses, tandis que d’autres encore aident le corps à éliminer les toxines et protègent contre les radicaux libres. Les aliments sains et bio vont attaquer toute maladie à un certain niveau.

A éviter, tous les aliments carbonisés.

Alors, qu’y a-t-il sur la liste des aliments anti-cancer?

Quasiment l’exact opposé du régime alimentaire occidental. Des aliments biologiques qui incluent les légumes colorés, les fruits, les haricots secs, les graisses saines, l’ail, les plantes médicinales, les épices et les protéines maigres. Bien que ce ne soit pas une liste complète, nous allons jeter un oeil à quelques faits marquants:

1. Haricots secs

Les haricots secs offrent de nombreux composés phytochimiques ainsi que des fibres. Les composés phytochimiques comme les saponines ont la propriété d’inhiber la reproduction des cellules cancéreuses; les inhibiteurs de protéase ralentissent la division de ces cellules, et l’acide phytique, lui aussi, ralentit la progression des tumeurs. Les haricots secs contiennent aussi des folates, une vitamine B qui réduit le risque de cancer du pancréas.

2. Graine de nigelle / huile

Aussi connue comme le cumin noir. Il y a à ce jour 656 études révisées par des pairs sur cet aliment incroyable. Cette graine a la vertu de stabiliser et renforcer le système immunitaire. Le Dr Hwyda Arafar MD, PhD, utilise la graine de nigelle dans le traitement des patients atteints de cancer du pancréas avec des résultats étonnants de 80% de mort cellulaire.

3. Carottes

Les carottes sont riches en bêta carotène, un antioxydant dont les scientifiques pensent qu’il protège les membranes cellulaires contre les dommages dus aux toxines et il ralentit la croissance des cellules cancéreuses. Elles fournissent des antioxydants qui peuvent combattre le VPH. Les carottes peuvent se révéler bénéfiques dans le traitement de la leucémie.

4. Légumes crucifères

Les légumes crucifères comme le chou chinois, le brocoli, le chou vert, le chou kale, le chou frisé, le chou-fleur contiennent du sulforaphane et des indole-3-carbinols (l3Cs). Ce sont deux anti-cancer puissants. Ils aident à détoxifier le corps et inhibent le développement des cellules précancéreuses en tumeurs malignes. Dans des études menées par le World Cancer Research Fund et l’American Institute for Cancer, le brocoli et d’autres légumes crucifères étaient particulièrement protecteurs contre les cancers de la bouche, de l’oesophage et de l’estomac. Vous pouvez également envisager de consommer des graines germées de brocoli pour une régénération nutritionnelle encore plus efficace.

5. Ail

Les mêmes composés soufrés qui donnent à l’ail sa forte odeur peuvent empêcher les substances causant le cancer de se former dans votre corps, accélèrent la réparation de l’ADN et tuent les cellules cancéreuses. N’oubliez pas d’inclure d’autres aliments du groupe des alliacés, les oignons, les poireaux, les échalotes et la ciboulette. Le soufre présent dans ce groupe d’aliments facilite la mort des cellules du cancer de la prostate, du côlon, du sein et du poumon.

6. Gingembre

Le gingembre a des propriétés anti-inflammatoires puissantes et peut ralentir la croissance du cancer. Cette racine épicée est également utile pour soulager les nausées, les migraines, les douleurs musculaires et l’arthrite. Le pouvoir anti-inflammatoire du gingembre tue les cellules cancéreuses de l’ovaire dans un tube à essais plus rapidement que la chimio, selon une étude effectuée au Centre du Cancer de l’Université du Michigan.

7. Raisins et resvératrol

La recherche montre que le resvératrol offre de nombreux avantages en matière de santé y compris réduire l’inflammation et prévenir l’oxydation du cholestérol LDL. Il permet également de limiter la propagation des cellules cancéreuses et déclenche la mort de ces cellules. Si vous cherchez à augmenter votre consommation de resvératrol, envisagez de consommer du raisin, des myrtilles, des canneberges et des grenades, chacun d’entre eux offrant un large éventail d’antioxydants.

8. Thé vert

Riche en polyphénols et catéchines, notamment l’EGCG (gallate d’épigallocatéchine). L’EGCG est foudroyant sur les cellules cancéreuses. Ce puissant antioxydant aide à détoxifier le foie et retarde la croissance du cancer. Des études de laboratoire ont montré que les catéchines du thé peuvent réduire les tumeurs et réduire la croissance des cellules tumorales.

9. Grenade

Des études ont montré que le jus de grenade permettait de réduire le risque lié au cancer de la prostate et probablement celui lié au cancer du sein. Associé avec du brocoli, du curcuma et du thé vert, il a fait chuter de 63 % les niveaux de PSA des patients atteints du cancer de la prostate. Et cela en six mois.

10. Algues

Les algues Kelp, Kombu, Hijiki, Nori et Arame sont des aliments puissants et riches en minéraux et vitamines que l’on peut facilement ajouter aux soupes, salades, quinoa ou autre. Les algues offrent une quantité d’avantages nutritionnels et curatifs.

  • Le Kelp aide à éliminer les particules radioactives et les métaux lourds de l’organisme.
  • Le Kombu contribue à abaisser la pression artérielle et est abondant en iode, carotènes, vitamines B, C, D et E; c’est également une algue riche en protéines et qui contient également du calcium, du magnésium, du potassium, de la silice, du fer et du zinc.
  • Le Hijiki stimule les cellules tueuses naturelles pour la protection contre les maladies.
  • Le Nori est riche en carotènes, calcium, fer, iode et phosphore.
  • L’Arame est l’une des sources les plus riches en iode. Les herboristes utilisent l’Arame pour aider à réduire les fibromes du sein et de l’utérus.

Les algues séchées se trouvent également en poudre à utiliser dans les bains détoxifiants.

11. Epinards

Cet aliment vert polyvalent contient de la lutéine et de la zéaxanthine. Ces caroténoïdes suppriment des molécules instables et les radicaux libres de votre corps. Ils sont également présents dans d’autres légumes à feuilles vertes foncées. Une étude du NIH/AARP portant sur plus de 490 000 personnes a trouvé que celles qui mangeaient plus d’épinards étaient moins susceptibles de développer le cancer de l’oesophage. Certaines études suggèrent que les caroténoïdes des épinards et d’autres aliments réduisent le risque de cancer de l’ovaire, de l’endomètre, du poumon, et le cancer colorectal.

12. Fraises

Cette baie est riche en antioxydants comme la vitamine C et l’acide ellagique. L’acide ellagique présente des propriétés anti-cancéreuses qui suralimentent les enzymes pour ralentir la croissance des tumeurs. Toutes les baies contiennent de puissants antioxydants, ce qui signifie qu’elles arrêtent naturellement le processus qui crée des radicaux libres endommageant les cellules. D’autres baies riches en flavonoïdes comme les framboises, les myrtilles, les mûres, et les canneberges sont également de puissants antioxydants et sont considérées comme des aliments protecteurs. Les fruits et les baies ont le potentiel de réduire les risques de cancer du poumon, de la bouche, de l’estomac et de l’oesophage.

13. Tomates

Le lycopène est un antioxydant très concentré dans les tomates. De nombreuses études suggèrent qu’une alimentation riche en lycopène est liée à un risque plus faible de cancer de la prostate. Dans les tests de laboratoire, le lycopène stoppe le développement d’autres types de cellules cancéreuses, celles du sein, des poumons et de l’endomètre. D’autres aliments qui contiennent du lycopène incluent la pastèque, le pamplemousse rose et les poivrons rouges. Cependant, alors que la consommation régulière de tomates et de poivrons est associée à un moindre risque de plusieurs cancers, notamment le cancer de la prostate, elle a un inconvénient qui est la solanine. Si vous avez une inflammation, la solanine est susceptible d’empirer et d’aggraver la situation.

14. Curcuma

La curcumine est l’un des plus puissants antioxydants trouvés dans le curcuma et a de nombreux avantages pour la santé. Il a été largement étudié pour sa capacité à tuer de nombreuses lignées de cancers. James A. Duke, un ethnobotaniste, a publié des résumés complets de 700 études sur le curcuma.

15. Vitamine D

Certes, la vitamine D n’est pas un aliment, mais il y a une infinité d’études qui montrent que cette vitamine joue un rôle dans la réduction du risque de cancer du sein et du côlon, ainsi que l’amélioration du taux de survie des personnes atteintes du cancer du poumon.

Mise à jours:

16. Le café

une étude menée par des chercheurs de la faculté de médecine de Harvard a montré que le fait de consommer 4 à 6 tasses de café par jour diminuait de façon importante le risque de rechute pour les cancers de la prostate. Une autre étude, publiée dans la revue Breast Cancer Research, suggère qu’une consommation moyenne de 5 tasses de café par jour réduirait le risque de développer un cancer du sein.

17. L’œuf et le pain blanc ou aux céréales, qui sont des aliments indispensables dans une alimentation équilibrée pour la santé. A condition, s’agissant de l’œuf, que le patient n’ait pas de cholestérol.

18. Les petits poissons comme les sardines, les maquereaux, les anchois, ou les harengs.

Une sardine peut contenir de 20 à 30 fois plus d’oméga 3 qu’une sole ou une morue. Cependant, il apparaît que l’ingestion importante d’oméga 3 au travers de la consommation de saumon augmente le risque de cancer de la prostate. A limiter: les gros poissons (thon, espadon…) situés en haut de la chaîne alimentaire, qui sont les plus contaminés par les polluants organiques persistants.

19. Le vin rouge consommé avec modération a des vertus anticancéreuses grâce à sa teneur en resvératrol, un puissant antioxydant.

A éviter, tous les aliments carbonisés.

« La nourriture que vous mangez peut être soit la forme de médecine la plus sûre et la plus puissante, soit la forme de poison la plus lente. » Anne Wigmore

Sources:
www.mdpi.com
www.ncbi.nlm.nih.gov
www.ncbi.nlm.nih.gov
www.greenmedinfo.com
www.ncbi.nlm.nih.gov
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15 aliments qui obligent les cellules cancéreuses à mourir

 

cellules-cancéreuses

Voici 15 aliments qui obligent les cellules cancéreuses à mourir, suppriment les toxines et traquent sans cesse les radicaux libres

Un quelconque régime alimentaire ne va ni provoquer ni traiter un cancer. Mais nous pouvons limiter les risques, car certains aliments, par leurs vertus antioxydantes, sont plus protecteurs que d’autres, explique Pr David Khayat, chef de service à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris.

La recherche au cours de la dernière décennie a démontré l’évidence que ce que vous mangez a un effet global sur votre santé. La simple vérité est qu’un régime anti-cancer n’est pas si différent des aliments sains que vous devriez manger de toute façon. Il s’agit une grande quantité de fruits et légumes biologiques, ainsi que de la viande maigre ou du poisson.

Pour compiler une liste des aliments de lutte contre le cancer, il faudrait énumérer la plupart des fruits, des légumes, des protéines et des plantes. Certaines aliments combattent l’inflammation encourageant la croissance du cancer. D’autres aliments forcent la mort des cellules cancéreuses, tandis que d’autres encore aident le corps à éliminer les toxines et protègent contre les radicaux libres. Les aliments sains et bio vont attaquer toute maladie à un certain niveau.

A éviter, tous les aliments carbonisés.

Alors, qu’y a-t-il sur la liste des aliments anti-cancer?

Quasiment l’exact opposé du régime alimentaire occidental. Des aliments biologiques qui incluent les légumes colorés, les fruits, les haricots secs, les graisses saines, l’ail, les plantes médicinales, les épices et les protéines maigres. Bien que ce ne soit pas une liste complète, nous allons jeter un oeil à quelques faits marquants:

1. Haricots secs

Les haricots secs offrent de nombreux composés phytochimiques ainsi que des fibres. Les composés phytochimiques comme les saponines ont la propriété d’inhiber la reproduction des cellules cancéreuses; les inhibiteurs de protéase ralentissent la division de ces cellules, et l’acide phytique, lui aussi, ralentit la progression des tumeurs. Les haricots secs contiennent aussi des folates, une vitamine B qui réduit le risque de cancer du pancréas.

2. Graine de nigelle / huile

Aussi connue comme le cumin noir. Il y a à ce jour 656 études révisées par des pairs sur cet aliment incroyable. Cette graine a la vertu de stabiliser et renforcer le système immunitaire. Le Dr Hwyda Arafar MD, PhD, utilise la graine de nigelle dans le traitement des patients atteints de cancer du pancréas avec des résultats étonnants de 80% de mort cellulaire.

3. Carottes

Les carottes sont riches en bêta carotène, un antioxydant dont les scientifiques pensent qu’il protège les membranes cellulaires contre les dommages dus aux toxines et il ralentit la croissance des cellules cancéreuses. Elles fournissent des antioxydants qui peuvent combattre le VPH. Les carottes peuvent se révéler bénéfiques dans le traitement de la leucémie.

4. Légumes crucifères

Les légumes crucifères comme le chou chinois, le brocoli, le chou vert, le chou kale, le chou frisé, le chou-fleur contiennent du sulforaphane et des indole-3-carbinols (l3Cs). Ce sont deux anti-cancer puissants. Ils aident à détoxifier le corps et inhibent le développement des cellules précancéreuses en tumeurs malignes. Dans des études menées par le World Cancer Research Fund et l’American Institute for Cancer, le brocoli et d’autres légumes crucifères étaient particulièrement protecteurs contre les cancers de la bouche, de l’oesophage et de l’estomac. Vous pouvez également envisager de consommer des graines germées de brocoli pour une régénération nutritionnelle encore plus efficace.

5. Ail

Les mêmes composés soufrés qui donnent à l’ail sa forte odeur peuvent empêcher les substances causant le cancer de se former dans votre corps, accélèrent la réparation de l’ADN et tuent les cellules cancéreuses. N’oubliez pas d’inclure d’autres aliments du groupe des alliacés, les oignons, les poireaux, les échalotes et la ciboulette. Le soufre présent dans ce groupe d’aliments facilite la mort des cellules du cancer de la prostate, du côlon, du sein et du poumon.

6. Gingembre

Le gingembre a des propriétés anti-inflammatoires puissantes et peut ralentir la croissance du cancer. Cette racine épicée est également utile pour soulager les nausées, les migraines, les douleurs musculaires et l’arthrite. Le pouvoir anti-inflammatoire du gingembre tue les cellules cancéreuses de l’ovaire dans un tube à essais plus rapidement que la chimio, selon une étude effectuée au Centre du Cancer de l’Université du Michigan.

7. Raisins et resvératrol

La recherche montre que le resvératrol offre de nombreux avantages en matière de santé y compris réduire l’inflammation et prévenir l’oxydation du cholestérol LDL. Il permet également de limiter la propagation des cellules cancéreuses et déclenche la mort de ces cellules. Si vous cherchez à augmenter votre consommation de resvératrol, envisagez de consommer du raisin, des myrtilles, des canneberges et des grenades, chacun d’entre eux offrant un large éventail d’antioxydants.

8. Thé vert

Riche en polyphénols et catéchines, notamment l’EGCG (gallate d’épigallocatéchine). L’EGCG est foudroyant sur les cellules cancéreuses. Ce puissant antioxydant aide à détoxifier le foie et retarde la croissance du cancer. Des études de laboratoire ont montré que les catéchines du thé peuvent réduire les tumeurs et réduire la croissance des cellules tumorales.

9. Grenade

Des études ont montré que le jus de grenade permettait de réduire le risque lié au cancer de la prostate et probablement celui lié au cancer du sein. Associé avec du brocoli, du curcuma et du thé vert, il a fait chuter de 63 % les niveaux de PSA des patients atteints du cancer de la prostate. Et cela en six mois.

10. Algues

Les algues Kelp, Kombu, Hijiki, Nori et Arame sont des aliments puissants et riches en minéraux et vitamines que l’on peut facilement ajouter aux soupes, salades, quinoa ou autre. Les algues offrent une quantité d’avantages nutritionnels et curatifs.

  • Le Kelp aide à éliminer les particules radioactives et les métaux lourds de l’organisme.
  • Le Kombu contribue à abaisser la pression artérielle et est abondant en iode, carotènes, vitamines B, C, D et E; c’est également une algue riche en protéines et qui contient également du calcium, du magnésium, du potassium, de la silice, du fer et du zinc.
  • Le Hijiki stimule les cellules tueuses naturelles pour la protection contre les maladies.
  • Le Nori est riche en carotènes, calcium, fer, iode et phosphore.
  • L’Arame est l’une des sources les plus riches en iode. Les herboristes utilisent l’Arame pour aider à réduire les fibromes du sein et de l’utérus.

Les algues séchées se trouvent également en poudre à utiliser dans les bains détoxifiants.

11. Epinards

Cet aliment vert polyvalent contient de la lutéine et de la zéaxanthine. Ces caroténoïdes suppriment des molécules instables et les radicaux libres de votre corps. Ils sont également présents dans d’autres légumes à feuilles vertes foncées. Une étude du NIH/AARP portant sur plus de 490 000 personnes a trouvé que celles qui mangeaient plus d’épinards étaient moins susceptibles de développer le cancer de l’oesophage. Certaines études suggèrent que les caroténoïdes des épinards et d’autres aliments réduisent le risque de cancer de l’ovaire, de l’endomètre, du poumon, et le cancer colorectal.

12. Fraises

Cette baie est riche en antioxydants comme la vitamine C et l’acide ellagique. L’acide ellagique présente des propriétés anti-cancéreuses qui suralimentent les enzymes pour ralentir la croissance des tumeurs. Toutes les baies contiennent de puissants antioxydants, ce qui signifie qu’elles arrêtent naturellement le processus qui crée des radicaux libres endommageant les cellules. D’autres baies riches en flavonoïdes comme les framboises, les myrtilles, les mûres, et les canneberges sont également de puissants antioxydants et sont considérées comme des aliments protecteurs. Les fruits et les baies ont le potentiel de réduire les risques de cancer du poumon, de la bouche, de l’estomac et de l’oesophage.

13. Tomates

Le lycopène est un antioxydant très concentré dans les tomates. De nombreuses études suggèrent qu’une alimentation riche en lycopène est liée à un risque plus faible de cancer de la prostate. Dans les tests de laboratoire, le lycopène stoppe le développement d’autres types de cellules cancéreuses, celles du sein, des poumons et de l’endomètre. D’autres aliments qui contiennent du lycopène incluent la pastèque, le pamplemousse rose et les poivrons rouges. Cependant, alors que la consommation régulière de tomates et de poivrons est associée à un moindre risque de plusieurs cancers, notamment le cancer de la prostate, elle a un inconvénient qui est la solanine. Si vous avez une inflammation, la solanine est susceptible d’empirer et d’aggraver la situation.

14. Curcuma

La curcumine est l’un des plus puissants antioxydants trouvés dans le curcuma et a de nombreux avantages pour la santé. Il a été largement étudié pour sa capacité à tuer de nombreuses lignées de cancers. James A. Duke, un ethnobotaniste, a publié des résumés complets de 700 études sur le curcuma.

15. Vitamine D

Certes, la vitamine D n’est pas un aliment, mais il y a une infinité d’études qui montrent que cette vitamine joue un rôle dans la réduction du risque de cancer du sein et du côlon, ainsi que l’amélioration du taux de survie des personnes atteintes du cancer du poumon.

Mise à jours:

16. Le café

une étude menée par des chercheurs de la faculté de médecine de Harvard a montré que le fait de consommer 4 à 6 tasses de café par jour diminuait de façon importante le risque de rechute pour les cancers de la prostate. Une autre étude, publiée dans la revue Breast Cancer Research, suggère qu’une consommation moyenne de 5 tasses de café par jour réduirait le risque de développer un cancer du sein.

17. L’œuf et le pain blanc ou aux céréales, qui sont des aliments indispensables dans une alimentation équilibrée pour la santé. A condition, s’agissant de l’œuf, que le patient n’ait pas de cholestérol.

18. Les petits poissons comme les sardines, les maquereaux, les anchois, ou les harengs.

Une sardine peut contenir de 20 à 30 fois plus d’oméga 3 qu’une sole ou une morue. Cependant, il apparaît que l’ingestion importante d’oméga 3 au travers de la consommation de saumon augmente le risque de cancer de la prostate. A limiter: les gros poissons (thon, espadon…) situés en haut de la chaîne alimentaire, qui sont les plus contaminés par les polluants organiques persistants.

19. Le vin rouge consommé avec modération a des vertus anticancéreuses grâce à sa teneur en resvératrol, un puissant antioxydant.

A éviter, tous les aliments carbonisés.

« La nourriture que vous mangez peut être soit la forme de médecine la plus sûre et la plus puissante, soit la forme de poison la plus lente. » Anne Wigmore

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7 septembre 2015

Il aurait soigné son cancer grâce à cet incroyable remède

rayons-de-lumiere-fond-decran

Les médecins sont choqués : un homme chez qui on a diagnostiqué un cancer a complètement guéri grâce à cet incroyable remède naturel

Il n’existe aucun remède pour le cancer, c’est ce que disent les médecins. Et une fois qu’on vous diagnostique un cancer, vous devriez dire adieu à votre vie heureuse et saine ? Ce n’est pas ce que nous pensons. La chimiothérapie était censée être votre seule amie, une « amie » qui vous qui vous fait subir une agonie interminable, et celui qui survit doit partager son expérience.

On ne sait toujours pas pourquoi de plus en plus de gens du monde entier font confiance à la nature et à ses cadeaux. La médecine conventionnelle n’approuvera jamais ces remèdes naturels, car la nature ne dégage aucun bénéfice.

Les gens partagent des histoires étonnantes en expliquant comment ils ont soigné leur cancer. Certains utilisent des carottes, d’autres du chanvre, du curcuma, du bicarbonate de soude, et aujourd’hui, nous avons entendu l’histoire d’un homme qui a guéri son cancer avec du miel.

Il y a 13 ans, on a diagnostiqué l’un des cancers les plus dangereux à Ante Kresich, le cancer du poumon, et les médecins lui ont dit qu’il ne lui restait plus longtemps à vivre.

Mais Kresich a complètement guéri en utilisant du miel et des herbes médicinales, et il a de nombreux documents qui le prouvent.

« J’ai quitté l’hôpital en avril, et en été j’étais déjà un homme complètement différent. Quand je suis allé consulter mes médecins, ils ont eu du mal à croire que j’étais encore en vie, et quand ils ont vu les résultats des examens ils n’en revenaient pas », explique Kresich.

Les médecins lui ont conseillé de poursuivre le traitement. Grâce au miel et aux herbes, le cancer du poumon a complètement disparu, et les résultats n’ont montré aucune trace de la maladie.

Aujourd’hui, en bonne santé et plein d’énergie, Ante a un nouveau passe-temps : les abeilles. Les gens viennent du monde entier pour lui demander des conseils, et il ouvre sont cœur à tous ceux qui désirent vivre et avoir une vie saine.

« Les gens qui ont un destin semblable au mien viennent me voir et je leur raconte mon histoire, l’agonie que j’ai dû subir et le remède qui m’a aidé. Mes recettes les aident, elles leur donnent de l’espoir, » déclare Kresich, et il estime qu’à partir de maintenant il est de son devoir d’aider les autres.

Depuis les temps anciens le miel est connu pour avoir des propriétés curatives. Dans la médecine traditionnelle ce produit des abeilles est utilisé depuis des centaines d’années. Grâce à ses propriétés curatives, on le considère comme la nourriture des dieux, et c’est l’un des remèdes les plus puissants pour de nombreuses maladies et de nombreux troubles.

Dans la tombe de Toutankhamon on a trouvé du miel qui avait probablement plus de 3 000 ans. Pendant les guerres, les Romains et les Grecs utilisaient le miel pour renforcer l’organisme, et aussi pour soigner les blessures. On utilisait également le miel dans les cultes religieux, les rituels d’embaumement, et pendant longtemps, il était réservé à l’élite car il coûtait relativement cher.

Les abeilles produisent ce liquide doré et épais de différentes couleurs, différentes saveurs, en transformant le nectar sucré de la fleur. Kresich et de nombreuses autres personnes sont témoins que lorsqu’on le mélange à des épices comme le pin, le gingembre et d’autres plantes, le miel peut guérir le cancer, même si la médecine conventionnelle n’approuve pas ce remède.  Un femme de Bosnie a envoyé sa recette de miel et de gingembre en espérant qu’elle aiderait d’autres personnes à soigner leur cancer.

On lui avait diagnostiqué un cancer du système endocrinien et elle a passé 20 jours en soins intensifs. Personne ne croyait qu’elle allait rester en vie. Cependant, elle a commencé à utiliser un remède de gingembre et de miel, et en quelques jours elle est revenue à la vie.

MIEL REMEDES

Elle a réussi à guérir sans chimiothérapie, et comme elle le dit maintenant, elle est en meilleure santé que jamais, parce que le cancer a complètement disparu, grâce à cet incroyable remède.

Voici la recette :

Vous avez besoin de quelques belles racines de gingembre. Broyez finement le gingembre et mélangez avec ½ kilo de miel. N’oubliez pas que le miel doit être bio et propre, achetez-en à un producteur de confiance.

Conservez ce remède dans des bocaux, et consommez une cuillère à soupe 3-4 fois par jour. Il est également important d’éviter tout contact avec des objets métalliques, utilisez plutôt une cuillère en bois.

Vous devriez voir les premiers résultats en seulement 4 jours.

Il est également important de rester positif, peu importe ce que vous dit votre médecin. Vous devez éviter la dépression, vous devez gagner cette bataille avec toute l’aide dont vous pouvez bénéficier.

Maintenant, vous avez le miel de votre côté, et comme vous pouvez le voir, il peut même guérir tous les types de cancer les plus dangereux, même si on vous dit qu’il ne vous reste pas longtemps à vivre.

La coutume de manger du miel autour de Roch Hachana pour une année « douce* » date d’avant le 7ème siècle, époque où on la trouve citée par les Geonim de Babylone.

Elle semble résumer nos prières et, de plus, nous rappeler la terre d’Israël où « coule le lait et le miel ».

(Psaumes 19, 11 et119, 103 ; Prov. 16, 24 ; Ezechiel 3, 3)

[Et voilà] ce que ton Seigneur révéla aux abeilles : "Prenez des demeures dans les montagnes, les arbres et les treillages que [les hommes] font. Puis mangez de toute espèce de fruits, et suivez les sentiers de votre Seigneur, rendus faciles pour vous." De leur ventre, sort une liqueur, aux couleurs variées, dans laquelle il y a une guérison pour les gens. Il y a vraiment là une preuve pour des gens qui réfléchissent. (Coran, 16 : 68-69)

Les propriétés antibactériennes et anti-inflammatoires du miel ont été révélées suite à des observations et des recherches cliniques. Le miel est extrêmement efficace, et ce de manière indolore, dans l'éradication des infections et des cellules mortes des zones affectées et dans le développement de nouveaux tissus. L'utilisation du miel dans la médecine est mentionnée dans les écrits les plus anciens. Aujourd'hui, les médecins et les scientifiques redécouvrent l'efficacité du miel pour le traitement des blessures.
Le Dr Peter Molan, un éminent chercheur spécialiste du miel depuis vingt ans et professeur de biochimie à l'Université de Waikato, en Nouvelle Zélande, parle des propriétés anti-microbiennes du miel : "Des études aléatoires ont montré que le miel est plus efficace dans le contrôle des infections sur des brûlures que le sulfadiazine argent, la pommade anti-bactérienne la plus communément utilisée par les hôpitaux pour traiter les brûlures." ("Honey Against Infected Skin Lesions", www.apitherapy.com/honeysk.htm)

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Sources:

http://www‌.healthyfo‌odhouse.com… http://www‌.ncbi.nlm.nih.gov…http://bey‌ondphys1cal.com… http://news.bbc.co.uk… http://www‌.cancertutor.com…

- See more at: http://www.espritsciencemetaphysiques.com/cancer-gueri-incroyable-remede.html#sthash.mHgtfWcR.dpuf

Les médecins sont choqués : un homme chez qui on a diagnostiqué un cancer a complètement guéri grâce à cet incroyable remède naturel

Il n’existe aucun remède pour le cancer, c’est ce que disent les médecins. Et une fois qu’on vous diagnostique un cancer, vous devriez dire adieu à votre vie heureuse et saine ? Ce n’est pas ce que nous pensons. La chimiothérapie était censée être votre seule amie, une « amie » qui vous qui vous fait subir une agonie interminable, et celui qui survit doit partager son expérience.

On ne sait toujours pas pourquoi de plus en plus de gens du monde entier font confiance à la nature et à ses cadeaux. La médecine conventionnelle n’approuvera jamais ces remèdes naturels, car la nature ne dégage aucun bénéfice.

Les gens partagent des histoires étonnantes en expliquant comment ils ont soigné leur cancer. Certains utilisent des carottes, d’autres du chanvre, du curcuma, du bicarbonate de soude, et aujourd’hui, nous avons entendu l’histoire d’un homme qui a guéri son cancer avec du miel.

Il y a 13 ans, on a diagnostiqué l’un des cancers les plus dangereux à Ante Kresich, le cancer du poumon, et les médecins lui ont dit qu’il ne lui restait plus longtemps à vivre.

Mais Kresich a complètement guéri en utilisant du miel et des herbes médicinales, et il a de nombreux documents qui le prouvent.

« J’ai quitté l’hôpital en avril, et en été j’étais déjà un homme complètement différent. Quand je suis allé consulter mes médecins, ils ont eu du mal à croire que j’étais encore en vie, et quand ils ont vu les résultats des examens ils n’en revenaient pas », explique Kresich.

Les médecins lui ont conseillé de poursuivre le traitement. Grâce au miel et aux herbes, le cancer du poumon a complètement disparu, et les résultats n’ont montré aucune trace de la maladie.

Aujourd’hui, en bonne santé et plein d’énergie, Ante a un nouveau passe-temps : les abeilles. Les gens viennent du monde entier pour lui demander des conseils, et il ouvre sont cœur à tous ceux qui désirent vivre et avoir une vie saine.

« Les gens qui ont un destin semblable au mien viennent me voir et je leur raconte mon histoire, l’agonie que j’ai dû subir et le remède qui m’a aidé. Mes recettes les aident, elles leur donnent de l’espoir, » déclare Kresich, et il estime qu’à partir de maintenant il est de son devoir d’aider les autres.

Depuis les temps anciens le miel est connu pour avoir des propriétés curatives. Dans la médecine traditionnelle ce produit des abeilles est utilisé depuis des centaines d’années. Grâce à ses propriétés curatives, on le considère comme la nourriture des dieux, et c’est l’un des remèdes les plus puissants pour de nombreuses maladies et de nombreux troubles.

Dans la tombe de Toutankhamon on a trouvé du miel qui avait probablement plus de 3 000 ans. Pendant les guerres, les Romains et les Grecs utilisaient le miel pour renforcer l’organisme, et aussi pour soigner les blessures. On utilisait également le miel dans les cultes religieux, les rituels d’embaumement, et pendant longtemps, il était réservé à l’élite car il coûtait relativement cher.

Les abeilles produisent ce liquide doré et épais de différentes couleurs, différentes saveurs, en transformant le nectar sucré de la fleur. Kresich et de nombreuses autres personnes sont témoins que lorsqu’on le mélange à des épices comme le pin, le gingembre et d’autres plantes, le miel peut guérir le cancer, même si la médecine conventionnelle n’approuve pas ce remède.  Un femme de Bosnie a envoyé sa recette de miel et de gingembre en espérant qu’elle aiderait d’autres personnes à soigner leur cancer.

On lui avait diagnostiqué un cancer du système endocrinien et elle a passé 20 jours en soins intensifs. Personne ne croyait qu’elle allait rester en vie. Cependant, elle a commencé à utiliser un remède de gingembre et de miel, et en quelques jours elle est revenue à la vie.

Elle a réussi à guérir sans chimiothérapie, et comme elle le dit maintenant, elle est en meilleure santé que jamais, parce que le cancer a complètement disparu, grâce à cet incroyable remède.

Voici la recette :

Vous avez besoin de quelques belles racines de gingembre. Broyez finement le gingembre et mélangez avec ½ kilo de miel. N’oubliez pas que le miel doit être bio et propre, achetez-en à un producteur de confiance.

Conservez ce remède dans des bocaux, et consommez une cuillère à soupe 3-4 fois par jour. Il est également important d’éviter tout contact avec des objets métalliques, utilisez plutôt une cuillère en bois.

Vous devriez voir les premiers résultats en seulement 4 jours.

Il est également important de rester positif, peu importe ce que vous dit votre médecin. Vous devez éviter la dépression, vous devez gagner cette bataille avec toute l’aide dont vous pouvez bénéficier.

Maintenant, vous avez le miel de votre côté, et comme vous pouvez le voir, il peut même guérir tous les types de cancer les plus dangereux, même si on vous dit qu’il ne vous reste pas longtemps à vivre.

Sources:

http://www‌.healthyfo‌odhouse.com… http://www‌.ncbi.nlm.nih.gov…http://bey‌ondphys1cal.com… http://news.bbc.co.uk… http://www‌.cancertutor.com…

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Les médecins sont choqués : un homme chez qui on a diagnostiqué un cancer a complètement guéri grâce à cet incroyable remède naturel

Il n’existe aucun remède pour le cancer, c’est ce que disent les médecins. Et une fois qu’on vous diagnostique un cancer, vous devriez dire adieu à votre vie heureuse et saine ? Ce n’est pas ce que nous pensons. La chimiothérapie était censée être votre seule amie, une « amie » qui vous qui vous fait subir une agonie interminable, et celui qui survit doit partager son expérience.

On ne sait toujours pas pourquoi de plus en plus de gens du monde entier font confiance à la nature et à ses cadeaux. La médecine conventionnelle n’approuvera jamais ces remèdes naturels, car la nature ne dégage aucun bénéfice.

Les gens partagent des histoires étonnantes en expliquant comment ils ont soigné leur cancer. Certains utilisent des carottes, d’autres du chanvre, du curcuma, du bicarbonate de soude, et aujourd’hui, nous avons entendu l’histoire d’un homme qui a guéri son cancer avec du miel.

Il y a 13 ans, on a diagnostiqué l’un des cancers les plus dangereux à Ante Kresich, le cancer du poumon, et les médecins lui ont dit qu’il ne lui restait plus longtemps à vivre.

Mais Kresich a complètement guéri en utilisant du miel et des herbes médicinales, et il a de nombreux documents qui le prouvent.

« J’ai quitté l’hôpital en avril, et en été j’étais déjà un homme complètement différent. Quand je suis allé consulter mes médecins, ils ont eu du mal à croire que j’étais encore en vie, et quand ils ont vu les résultats des examens ils n’en revenaient pas », explique Kresich.

Les médecins lui ont conseillé de poursuivre le traitement. Grâce au miel et aux herbes, le cancer du poumon a complètement disparu, et les résultats n’ont montré aucune trace de la maladie.

Aujourd’hui, en bonne santé et plein d’énergie, Ante a un nouveau passe-temps : les abeilles. Les gens viennent du monde entier pour lui demander des conseils, et il ouvre sont cœur à tous ceux qui désirent vivre et avoir une vie saine.

« Les gens qui ont un destin semblable au mien viennent me voir et je leur raconte mon histoire, l’agonie que j’ai dû subir et le remède qui m’a aidé. Mes recettes les aident, elles leur donnent de l’espoir, » déclare Kresich, et il estime qu’à partir de maintenant il est de son devoir d’aider les autres.

Depuis les temps anciens le miel est connu pour avoir des propriétés curatives. Dans la médecine traditionnelle ce produit des abeilles est utilisé depuis des centaines d’années. Grâce à ses propriétés curatives, on le considère comme la nourriture des dieux, et c’est l’un des remèdes les plus puissants pour de nombreuses maladies et de nombreux troubles.

Dans la tombe de Toutankhamon on a trouvé du miel qui avait probablement plus de 3 000 ans. Pendant les guerres, les Romains et les Grecs utilisaient le miel pour renforcer l’organisme, et aussi pour soigner les blessures. On utilisait également le miel dans les cultes religieux, les rituels d’embaumement, et pendant longtemps, il était réservé à l’élite car il coûtait relativement cher.

Les abeilles produisent ce liquide doré et épais de différentes couleurs, différentes saveurs, en transformant le nectar sucré de la fleur. Kresich et de nombreuses autres personnes sont témoins que lorsqu’on le mélange à des épices comme le pin, le gingembre et d’autres plantes, le miel peut guérir le cancer, même si la médecine conventionnelle n’approuve pas ce remède.  Un femme de Bosnie a envoyé sa recette de miel et de gingembre en espérant qu’elle aiderait d’autres personnes à soigner leur cancer.

On lui avait diagnostiqué un cancer du système endocrinien et elle a passé 20 jours en soins intensifs. Personne ne croyait qu’elle allait rester en vie. Cependant, elle a commencé à utiliser un remède de gingembre et de miel, et en quelques jours elle est revenue à la vie.

Elle a réussi à guérir sans chimiothérapie, et comme elle le dit maintenant, elle est en meilleure santé que jamais, parce que le cancer a complètement disparu, grâce à cet incroyable remède.

Voici la recette :

Vous avez besoin de quelques belles racines de gingembre. Broyez finement le gingembre et mélangez avec ½ kilo de miel. N’oubliez pas que le miel doit être bio et propre, achetez-en à un producteur de confiance.

Conservez ce remède dans des bocaux, et consommez une cuillère à soupe 3-4 fois par jour. Il est également important d’éviter tout contact avec des objets métalliques, utilisez plutôt une cuillère en bois.

Vous devriez voir les premiers résultats en seulement 4 jours.

Il est également important de rester positif, peu importe ce que vous dit votre médecin. Vous devez éviter la dépression, vous devez gagner cette bataille avec toute l’aide dont vous pouvez bénéficier.

Maintenant, vous avez le miel de votre côté, et comme vous pouvez le voir, il peut même guérir tous les types de cancer les plus dangereux, même si on vous dit qu’il ne vous reste pas longtemps à vivre.

Sources:

http://www‌.healthyfo‌odhouse.com… http://www‌.ncbi.nlm.nih.gov…http://bey‌ondphys1cal.com… http://news.bbc.co.uk… http://www‌.cancertutor.com…

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