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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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mondialisation
26 août 2015

La prophétie du Pr. Henry Kissinger sur la 3e guerre mondiale

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« Les Etats-Unis sont en train de donner des coups à la Chine et à la Russie, mais le « dernier coup d’ongle » sera pour l’Iran qui est le principal objectif d’Israël, dit-il. D’ailleurs l’Europe a compris que l’épreuve de force arrive et se dépêche de se constituer en un seul Etat cohérent. Oh, combien j’ai rêvé de ce délicieux moment ! Et d’ajouter plus loin : « la prochaine guerre sera si sévère que seule une superpuissance peut gagner et ce sera nous. Et si vous êtes un homme ordinaire, il faut vous préparer à cela en vous repliant dans une ferme à l’intérieur des terres, mais n’oubliez pas d’emporter des armes avec vous pour vous défendre des hordes affamées. Quant aux élites, elles seront à l’abri dans des paradis protégés » (sic).

« Quant à nos militaires, poursuit M. Kissinger, nous leur avons demandé de mettre la main sur sept pays du Moyen-Orient pour leurs ressources naturelles et ils ont accompli le travail. Reste cependant l’Iran. Mais c’est quand l’Ours russe et la Faucille chinoise se réveilleront, qu’Israël doit se battre avec toutes ses armes et tuer autant d’arabes qu’il pourra. Si tout se passe bien, la moitié du Moyen-Orient sera israélien ».
M. Kissinger conclut cette interview sinistre en prédisant : « De ces cendres nous construirons une nouvelle société et il ne restera qu’une seule superpuissance et ce sera l’avènement du gouvernement mondial. N’oubliez pas, les Etats-Unis ont les meilleurs armes et du matériel qu’aucune autre nation n’a et nous montrerons ces armes au monde quand le moment sera venu ».
Même si ces « prophéties » peuvent prêter à sourire vu l’état actuel de la puissance américaine, elles sont à méditer car à 89 ans Henry Kissinger reste, à l’instar de son  collègue Zbigniew K. Brzezinski, un inspirateur actif de toutes les stratégies de domination mondiale développées depuis la Seconde guerre, par les Etats-Unis et par les centres de pouvoirs occultes qui écument la géopolitique mondiale. D’ailleurs, l’évolution de la situation géopolitique du Moyen-Orient et autour de l’Iran, commencent à corroborer les prédictions de M. Kissinger. La désarticulation de l’Irak, la mise sous contrôle militaire des pays du Golfe et de leurs réserves de pétrole, la mainmise sur la Libye et son pétrole, la tentative d’iraquisation de la Syrie et de récupération des « printemps arabes », sont autant de coups sur l’échiquier qui s’inscrivent parfaitement dans cette vision kissingérienne. Cependant le grand jeu ne fait que commencer par petits pas et la 3ème Guerre mondiale aussi.

Les ingrédients de la conflagration 

Le facteur iranien

Avec l’arrivée au pouvoir de la révolution islamique en 1979, l’Iran et son pétrole ont échappé à la sphère d’influence anglo-saxonne. Mais, originalité de la révolution iranienne, ce pays, au lieu de tomber sous la coupe d’une autre sphère de puissance, a préféré s’ériger lui-même en puissance régionale. Alors que le nouveau régime n’avait qu’un an d’existence, l’Iraq fut encouragé à lui déclarer une guerre atroce qui dura huit ans et au cours de laquelle toutes les armes disponibles à l’époque chez les deux belligérants, furent utilisées, y compris l’arme chimique. La paix revenue,  le pouvoir à Téhéran s’est attelé pendant plus de trois décennies à se doter d’une recherche scientifique et d’une industrie militaire puissantes et d’une économie boostée par l’instinct de survie car ayant pu tenir tête à un dur embargo imposé par le monde occidental. Sur le front des idées, le régime iranien s’est servi avec virtuosité et conviction du ciment religieux et du sentiment nationaliste comme idéologie unificatrice et mobilisatrice, pour maintenir la cohésion nationale face aux attaques psychopolitiques et asymétriques externes.
Plus que cela, le régime iranien s’est mis dans l’idée de se lancer à la conquête de l’énergie nucléaire, pour des besoins civils, ne cesse-t-il d’assurer, mais sans réussir à convaincre Israël et ses alliés occidentaux, les Etats-Unis en tête. Le plus curieux dans cette affaire, c’est que de l’avis de tous les spécialistes militaires de l’armement nucléaire, une éventuelle maîtrise par l’Iran du nucléaire militaire (la production d’une ou de plusieurs bombes atomiques) ne peut en aucun cas représenter une menace réelle pour Israël qui possède déjà et depuis longtemps, entre 200 et 300 ogives nucléaires avec des vecteurs de toutes sortes pour les délivrer sur site. D’un autre côté, en admettant qu’un jour l’Iran arrive à se doter d’une puissance nucléaire militaire significative et opérationnelle, il n’aura aucun intérêt à  l’utiliser car ce serait d’une part suicidaire et contre-productif sur le plan stratégique ; et d’autre part inutile puisque tout le monde sait que les salves de missiles à charges conventionnelles, peuvent suffire pour porter des coups décisifs au cœur de la puissance israélienne. En conséquence, le leitmotiv  qui dit que l’Iran cherche à se doter de l’arme nucléaire et présentera un danger « existentiel » pour Israël, est pour le moins exagéré pour ne pas dire désinformant. Il est vrai qu’il y a danger mais il est ailleurs, à savoir qu’un Iran devenu puissance nucléaire va nécessairement acquérir une stature géopolitique telle qu’il deviendra un acteur régional et international incontournable ; confisquant du même coup le leadership acquis par Israël après sa victoire de 1967. Les enjeux sont donc moins cruciaux que ne les laissent percevoir les guerres psychologiques que se livrent mutuellement les différents acteurs de ce conflit, qui menace de se transformer en conflit armé de dimension universelle. Au stade actuel des choses, seules les opinions publiques qu’elles soient nationales ou internationales, sont les victimes de cette guerre psychologique croisée et tous azimuts.

                                                 300_iran_cible_dr_edito040212.jpg                                                                                  Photo: Guysen International News

Le facteur israélien

De tous les adversaires actuels de l’Iran (et ils sont nombreux dans le camp occidental), Israël est le plus acharné. Les leaders israéliens, toutes couleurs politiques confondues, sont unanimes pour estimer qu’un Iran nucléaire représenterait un danger « existentiel » pour leur pays. Les déclarations outrancières et maladroites du président de la république iranienne Ahmadi Najad concernant      « l’inéluctabilité de la disparition de l’Etat juif », ont pour effet de crédibiliser ce crédo. Néanmoins, tous les experts savent que vu le rapport des forces conventionnelles et de destruction massive (nucléaires notamment) ne permettent pas à l’Iran de détruire Israël, même s’il le voulait. Par contre, Israël peut faire un mal terrible à l’Iran lors d’une première frappe, surtout si les armes atomiques ou à neutrinos sont utilisées.
Vu l’état d’esprit des dirigeants israéliens actuels, le recours aux armes de destruction massive à un stade ou à un autre contre l’Iran est envisageable, pourvu  que les dirigeants de ce pays commettent l’erreur fatale d’être les premiers à commencer les hostilités ou que, à un stade ou à un autre des opérations militaires, les salves de missiles iraniens infligent des dégâts insupportables aux zones industrielles stratégiques de l’axe Tel-Aviv / Haïfa.

Le facteur américain  

Israël n’ayant pas les moyens de terrasser tout seul la puissance militaire iranienne dès la première frappe, celle-ci ne peut se réaliser que si les Etats-Unis et derrière eux les pays de l’OTAN, sont impliqués. Or, de fortes résistances se manifestent aussi bien au niveau de la haute hiérarchie militaire, que dans les milieux politiques américains qui échappent à l’influence de l’AIPAC pour que leur pays ne soit pas entrainé dans un conflit pouvant avoir des conséquences incalculables sur le futur des Etats-Unis en tant que puissance mondiale. En réalité, psychologiquement, économiquement et militairement, les dirigeants américains ne peuvent se lancer de leur propre chef dans une guerre  contre l’Iran, sauf s’ils y sont entraînés par une provocation sous faux drapeau, genre dans lequel  les services secrets israéliens excellent. A ce propos, Marc Femsohn écrit pour le site israélien Guysen International News: « même s'il ne faut pas leur faire confiance aveuglément, on sent actuellement la pleine détermination des Américains et des Européens à faire plier l'Iran.  En cas de frappe israélienne, ils interviendront contre Téhéran bon gré mal gré, parce qu'ils n'ont pas le choix ». Une désinformation de ce genre sera d’ailleurs  difficile à monter, d’une part parce que le précédent iraquien avec l’histoire des « armes de destruction massive » qu’aurait possédées Saddam Hussein rend désormais difficile de faire avaler des couleuvres du même genre à l’opinion publique américaine et internationale. D’autre part, à chaque fois que la guerre psychologique israélienne, relayée par les caisses de résonance occidentales, atteint son paroxysme et menace de provoquer le point de rupture psychodynamique, les dirigeants iraniens communiquent et jettent du lest. Et, de nouveau on est reparti un autre round de négociations sur le programme nucléaire; ce qui a pour effet de dégonfler momentanément la crise. Avec le temps qui passe, la « menace » iranienne se banalise et les cris « au loup !» israéliens ont tendance à perdre de leur crédibilité. 

Le facteur européen  

La crise économique et systémique profonde a enlevé à l’Europe l’envie de jouer aux « va-t-en-guerre ». Néanmoins, le Président français M. Sarkozy et la Chancelière allemande Mme Merkel veulent bien participer à l’action psychologique générale contre l’Iran, tant que cela n’implique pas d’engagement militaire ou financier. L’Union européenne étant au bord de l’éclatement et la monnaie européenne étant menacée de disparition, ne peut courir le risque de se laisser entraîner dans une guerre contre l’Iran qui verrait se tarir le pétrole en provenance de ce pays et de la région du Golfe de façon générale. Certes les ministres des affaires étrangères européens se sont réunis et ont déclaré qu’ils allaient arrêter leurs importations de brut iranien, mais que ce boycott ne commencerait cependant qu’en juin prochain. Les Iraniens, en bon psychopoliticiens, ont rétorqué par la voix de quelques uns de leurs parlementaires que l’Iran allait prendre les devants et arrêter d’elle-même toute exportation de pétrole vers l’Europe et qu’une décision dans ce sens allait être prise par le Majliss (Parlement) iranien. Depuis,  on n’entend plus parler des menaces européennes et des contre-menaces iraniennes. Pourquoi ? Vous l’avez deviné : tout simplement parce que des pays européens se sont dépêchés de faire savoir secrètement au gouvernement iranien, qu’ils souhaitaient continuer d’acheter son pétrole. C’est du moins ce qu’a laissé entendre le ministre iranien des Affaires étrangères, M. Salehi, dans une interview diffusée le samedi 4 février 2012 par la chaîne de télévision du Hizballah « Al Manar ». 

 MAE iranien Ali Akbar Salehi dans son interview à Al Manar

Le facteur russe et chinois

Le rôle de la Russie et de la Chine sur la scène internationale est en train de muter de façon accélérée et les occidentaux n’ont pas l’air de s’en apercevoir, ce qui risque de leur réserver des surprises désagréables dans un proche avenir. En effet, ces deux puissances montantes viennent d’affirmer leur volonté d’endiguer l’expansion impériale occidentale, en opposant d’un seul élan leur ferme véto à une résolution contre la Syrie concoctée par les occidentaux, lors d’une séance du Conseil de sécurité de l’ONU tenue le samedi 4 février 2012.

UN.jpg                                 Les délégués chinois et russe levant la main pour voter contre la résolution (Photo:Donia Alwatan)

Cette séance du Conseil de sécurité et ce vote solidaire des Russes et des Chinois, entrera dans l’Histoire car il aura inauguré une nouvelle ère dans les relations internationales, à savoir leur multipolarisation après une phase de monopolarisation sous leadership américain, qui aura duré de l’invasion de l’Iraq en 2003 au retrait des troupes occidentales de ce pays en décembre 2011. Ce déclin de la puissance occidentale va être consolidé par le prochain retrait d’Afghanistan, l’échec de la tentative de désarticulation de la Syrie, la renaissance de l’Iraq qui deviendra une puissance régionale militaire et économique dans les dix ans à venir grâce à ses propres potentialités et à l’aide multiforme généreusement accordée par l’Iran. Il est à prévoir que dès que l’actuel premier ministre iraquien M. Malki aura consolidé son pouvoir et éliminé les hommes des Etats-Unis et de la Grande Bretagne (le leader sunnite M. Hachemi est déjà sur la touche et M. Allaoui et sur le même chemin), les Etats-Unis vont être invités à faire un second retrait, cette fois-ci d’une grosse partie de leur 15.000 « agents » diplomatiques. Le récent appel du leader shiite Moktada Sadr, contre la présence des drones de la CIA dans le ciel iraquien, est le signe avant-coureur de cette évolution.
Entre-temps, les Russes et les Chinois qui comptent bien faire payer aux occidentaux le tour qui leur a été joué en Libye, peuvent se payer le luxe de voir tout un édifice géopolitique s’effriter petit-à-petit.

Le facteur « Pays du Golfe »

Pour la première fois de leur histoire, ces pays d’habitude prudents et frileux politiquement, ont accepté le rôle que leur ont demandé de jouer les Etats-Unis dans la recomposition géopolitique du nouveau Moyen-Orient cher à Israël et aux néoconservateurs américains. Ce rôle consiste essentiellement à financer et à procurer une couverture diplomatique aux projets occidentaux dans la région. C’est ce qui fut fait en Libye, au Soudan et c’est ce qui est en train de se faire contre le régime syrien. Néanmoins, la terre est en train de bouger sérieusement sous les pieds des deux principaux béliers de tête engagés dans cette aventure, à savoir l’Arabie saoudite et le Qatar. Outre les problèmes que posent les processus de succession politique et de passation des pouvoirs entre les générations de dirigeants, ce qui entraine ipso facto une fragilité politique des régimes en place, ces deux pays risquent gros en se hasardant sans stratégie de recul dans une mêlée de titans. Les dirigeants iraniens ont été clairs : au cas où leur territoire et leurs intérêts vitaux comme la capacité d’exporter leur pétrole, seraient attaqués  par Israël ou par une coalition comme celle qui a envahi l’Iraq, les pays riverains du Golfe arabo-persique ne seront pas épargnés. Le fait est que tous les centres névralgiques (centrales de désalinisation d’eau, centrales électriques, raffineries de pétrole et autres infrastructures pétrolières ou gazières, etc.) sont à portée de missiles iraniens. Selon ce scénario apocalyptique, seule la Mecque restera intact, sauf si les Israéliens la bombarde par un faux avion ou missile iranien, ce qui serait une opération sous faux drapeau qui viserait à monter l’opinion arabe et musulmane contre l’Iran.

http://ledessousdescartes.info/index.php/post/2012/02/05/Vent-de-guerre-sur-le-Moyen-Orient-%3A-La-3%C3%A8me-guerre-mondiale-serait-elle-d%C3%A9j%C3%A0-en-marche

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19 janvier 2015

26 dessins sur la marche du monde actuel

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15 janvier 2014

El Hierro Tsunami campagne de peur pour coller avec une cabale apocalyptique imprimée sur un billet de 100$

El Hierro Tsunami campagne de peur pour coller avec une cabale apocalyptique imprimée sur un billet de 100$
Les médias grand public et les spécialistes de propagande History Channel et National Geographic aimeraient vous faire frémir avec des mots îles Canaries Volcan Tsunami : Jetez un oeil comment The Weather Channel et sites Weather Underground faux rapports...
16 novembre 2013

Le génie génétique, l’eugénisme et l’idéologie des riches

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Quels que soient les buts publiquement affichés du domaine des organismes génétiquement modifiés (OGM) et bien que ses conséquences sur la santé, l’environnement et les producteurs de coton en Inde soient terribles, cette industrie a un aspect encore plus ténébreux.

Afin de gouverner et de contrôler une population autrement que par la violence, il faut obtenir son consentement au moyen de ce que Louis Althusser appelait les appareils idéologiques de l’État : le système éducatif, le divertissement, la religion, le système politique etc. Le livre de Noam ChomskyLa fabrication du consentement traite du rôle important des médias dans ce système  et Antonio Gramsci a beaucoup écrit au sujet de l’hégémonie, des méthodes utilisées par la classe dominante pour légitimer sa position aux yeux des dominés, une sorte de « coercition acceptée » qui camoufle la véritable main du pouvoir.

Cependant, l’eugénisme est probablement la forme la plus fondamentale et la plus efficace de contrôle social. Cette philosophie vise entre autres à réduire la capacité de reproduction des personnes les « moins désirées ».

On craint de plus en plus que l’eugénisme soit utilisé afin de contrôler la population et se débarrasser de segments entiers de la population mondiale considérée comme « excédentaire ». En Occident, une grande partie de la population sera définitivement sans emploi ou sous-employée en raison de l’automatisation et de la délocalisation du travail. La promotion du contrôle des naissances est au programme depuis plusieurs décennies déjà dans des endroits comme la Chine, l’Inde et le continent africain.

Le baron des médias et milliardaire étasunien Ted Turner croit qu’une population mondiale de 2 milliards d’individus serait idéale et le milliardaire Bill Gates a promis des centaines de millions de dollars pour améliorer l’accès à la contraception dans les pays en voie de développement. Fondée sur la prémisse erronée voulant que la planète soit surpeuplée, l’idée d’une population réduite signifie que les élites et les mieux nantis pourront réduire la concurrence pour l’appropriation des ressources qu’ils convoitent tant et maintenir un niveau élevé de consommation. Gates a également acheté des actions de Monsanto à hauteur de quelque 23 millions de dollars. Il a l’intention d’aider Monsanto à répandre ses OGM à grande échelle en Afrique.

Voici où cela devient intéressant. En 2001, Monsanto et DuPont ont acheté une petite entreprise de biotechnologie nommée Epicyte qui avait créé un gène causant la stérilité chez l’homme et la femme. Aux États-Unis, les aliments génétiquement modifiés sont déjà sur le marché et ne sont pas étiquetés. Le secteur des OGM a dépensé des millions pour assurer le statu quo. Les citoyens étasuniens n’ont donc aucune idée de ce qui peut se trouver dans leur nourriture. Par ailleurs, aucune étude indépendante n’a été effectuée sur l’impact de ces aliments sur la santé.

Aimeriez-vous savoir si ce que vous mangez est dommageable pour la santé (d’après le professeur Seralini de l’université de Caen en France)?

Aimeriez-vous savoir si ce que vous mangez contient quelque chose qui pourrait vous rendre stérile?

Le père de Bill Gates a longtemps été impliqué dans  Planned Parenthood (Planification parentale):

« Lorsque j’étais jeune, mes parents faisaient toujours du bénévolat. Mon père était à la tête de l’organisation Planned Parenthood, une organisation très controversée. »

La citation ci-dessus provient d’une interview de 2003 avec Bill Gates.

Planned Parenthood a été fondé selon le concept voulant que la plupart des êtres humains sont des reproducteurs inconsidérés. Gates senior est co-président de la fondation Bill & Melinda Gates et guide la vision et la voie de la fondation, largement centrée sur la promotion des OGM en Afrique et le financement de l’Alliance for a Green Revolution in Africa (Alliance pour une révolution verte en Afrique, AGRA).

La fondation Gates a donné au moins 264,5 millions de dollars à AGRA. D’après un rapport publié par La Via Campesina (La Voie paysanne) en 2010, 70 % des récipiendaires des fonds d’AGRA au Kenya travaillent directement avec Monsanto et 80 % des fonds de la fondation Gates sont voués à la biotechnologie. Le rapport explique également que la fondation Gates a promis 880 millions de dollars pour la création du Global Agriculture and Food Security Program (GAFSP), un promoteur acharné des OGM.

Au lieu d’épouser et de soutenir un véritable essor de la souveraineté alimentaire et d’aborder les problèmes économiques et politiques sous-jacents à l’origine de la pauvreté, la fondation Gates a choisi de promouvoir une agriculture contrôlée par l’entreprise privée, laquelle a dépossédé les agriculteurs.

Alors que le secteur des OGM continue de frapper à la porte de l’Inde, nous avons tous les droits de nous inquiéter, non seulement des conséquences néfastes des monopoles des semences et des OGM sur la santé et l’environnement, lesquelles sont bien documentées, mais aussi des types de gènes pouvant se trouver à notre insu dans notre nourriture.

Le chercheur F William Engdahl affirme que l’on ne peut pas comprendre le génie génétique sans d’abord regarder l’hégémonie  étasunienne. Des personnalités éminentes aux États-Unis ont financé la « révolution verte » dans le secteur agricole de pays en voie de développement afin de créer de nouveaux marchés pour les engrais pétrochimiques et les produits pétroliers ainsi que pour accroitre la dépendance envers les produits énergétiques. La nourriture est maintenant devenue une arme assurant la domination mondiale.

Les problèmes du monde ne sont pas causés par la surpopulation, mais par l’avarice et un système de propriété assurant le flot de la richesse de la base au sommet. Il ne faut pas stopper la croissance de la population, mais plutôt changer une mentalité et un système mondial généralisé fondés sur une dépendance démesurée des produits pétroliers et le tarissement des ressources naturelles et dont les États-Unis sont le principal coupable.

Les milliardaires comme Ted Turner croient que l’on doit continuer à consommer à tout prix, en autant que l’on réduise la population. Il s’agit de l’idéologie des riches qui voient le reste de l’humanité comme un problème « dont il faut s’occuper ». Il affirme qu’il y a « trop de gens qui utilisent trop de choses ». Il ne peut pas être plus dans l’erreur. Par exemple, les pays en développement comptent pour plus de 80 % de la population mondiale, mais ne consomme qu’environ le tiers de l’énergie mondiale. Les citoyens étasuniens en consomment quant à eux 24 % mais ne représentent que 5 % de la population mondiale. En moyenne, un citoyen étasunien consomme autant d’énergie que deux Japonais, six Mexicains, 13 Chinois, 31 Indiens, 128 Bangladeshis, 307 Tanzaniens et 370 Éthiopiens (mindfully.org).

Alors, devrions-nous nous inquiéter qu’un secteur extrêmement connecté politiquement possède des technologies permettant la manipulation  génétique des aliments et un gène qui pourrait être utilisé (ou l’est déjà) pour la stérilisation forcée? Bien sûr que nous devrions nous inquiéter. Il s’agit d’un secteur dont le but affiché est de contrôler toute la chaîne alimentaire, donc, implicitement, la population mondiale.

Dans le monde d’aujourd’hui, piloté par la technologie, les sociétés publiques et privées utilisent une panoplie complète de moyens de haute technologie pour nous contrôler. Il y a quelques décennies, le théoricien et philosophe Herbert Marcuse avait résumé le problème auquel était confrontée la société moderne en disant que les capacités intellectuelles et technologiques de la société contemporaine sont bien plus grandes qu’auparavant, ce qui signifie que l’ampleur de la domination de la société sur l’individu est elle aussi bien plus grande qu’auparavant. Cela est d’autant plus vrai en ce qui concerne le domaine du génie génétique.

Colin Todhunter

Article original en anglais : Genetic Engineering, Eugenics and the Ideology of the Rich

Traduction : Mondialisation.ca

31 mars 2013

La grande terreur : Agenda vers un gouvernement mondial

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Les historiens du futur, lorqu’ils se pencherons sur l’histoire de notre temps en parleront sans doute comme de l’époque des grandes terreurs.

 

Le nom n’est pas nouveau : La grande terreur est le nom du mode de gouvernement instauré par Robespierre entre 1793 et 1794, imposant un régime d’exception sanglant sur fond d’effort de guerre et de crise économique majeure(des assignats) et de construction massive de prisons avec comme objectif d’asseoir le régime.

L’echo avec les terreurs du XXI siècle sont frappantes. Tour à tour chaque aspect temporel de nos existences devient l’objet d’une grande terreur. Une terreur qui aveugle et qui empêche de comprendre l’évolution réelle du monde.

Nous vivons une période extrêmement singulière de l’histoire de l’humanité. Jamais autant de cataclysmes, de crises et de désastres n’ont déferlé en une si petite période de temps ni causé un tel sentiment de terreur parmi les opinions. Jamais non plus nos choix politiques et sociaux n’ont été autant influencés par la terreur.

 

Alors que les générations de l’après-guerre ont connu une période historique exceptionnellement longue de paix et de stabilité dans tous les domaines, notre génération aura connu le réchauffement climatique, l’épuisement du pétrole, l’endettement des états, la crise économique, la crise financière, les pandémies, les désastres naturels, les catastrophes nucléaires et enfin le terrorisme. Une longue litanie de désastres et de chocs consécutifs qui ont profondément marqué les esprits, créant une véritable culture du catastrophisme, illustrée par la popularité des prophéties apocalyptiques comme celle de 2012, culture alimentée et entretenue par Hollywood où l’Armagédon et ses flots ininterrompus de zombies ont balayé toute trace de positivisme.

Pourtant, à y regarder de plus près, la somme de ces dangers, qu’ils soient réels ou qu’ils ne constituent que de simple phobies, n’approche en rien les périls qu’on traversé nos aïeux par exemple lors des deux premières guerres mondiales.

Ainsi le nombre total des victimes civiles de la IIe guerre mondiale dépasse les 40 millions (30 millions rien qu’en Chine et URSS).

Un bilan autrement plus dramatique que les victimes de la « Guerre contre le terrorisme » qui nous a pourtant conduit, en occident, à sacrifier nombre de nos libertés en échange de plus de sécurité.

Cette mise en perspective devrait nous amener à nous questionner sur la hiérarchie des dangers qui nous environnent, que ce soit dans la vraie vie où juste dans l’agitation médiatique et à porter un regard critique sur les choix politiques que nous acceptons en vertu des dangers réelles ou imaginaires que nous percevons.

D’un autre côté, nous devrions sans doute regarder de façon lucide les évolutions successives et cumulatives apportées, choc après choc, au consensus social et éthique de notre civilisation et des grands principes qui ont émergés de victoire sur les barbaries de la première moitié du XXe siècle.

Le détricotage du droit international (la non-ingérence, la convention de Genève, l’autodétermination des peuples) est le pendant diplomatique de la dérégulation financière et commerciale. Ces deux faces de la même médaille ont abouti à l’actuelle rupture de l’équilibre géopolitique et économique du monde, précédent nécessaire à l’établissement de ce qu’il est désormais convenu d’appeler un Nouvel Ordre Mondial dont les tenants ne cachent plus la finalité un gouvernement mondial unique (One World Government).

Ce projet, longuement caressé par les utopistes internationalistes du XIXe siècle, des marxistes en passant par les aux fabiannistes, est en passe devenir réalité sous l’action de longue haleine d’une élite oligarchique et impérialiste.

Cependant, l’instauration de ce gouvernement mondial unique, que le politiquement correct désigne sous l’euphémisme de « gouvernance » ne se fait pas sous de bons augures ce qui ne présage pas favorablement de son régime et l’utopie internationaliste risque bien d’accoucher d’une dystopie assez semblable aux Meilleur des Monde prophétisé par Aldous Huxley dès les années 30.

En occident ou plus exactement de « notre » coté du gap (voir la Nouvelle Carte du Pentagone) la propagande, l’intoxication, la banalisation de la torture, la mise en place de régimes policiers, les lois d’exception, la surveillance numérique offrent un avant goût des valeurs du nouveau régime.

Des menaces nouvelles se succèdent dans les médias sans laisser de répits aux opinions.

La peur du réchauffement climatique a justifié l’établissement de l’Agenda21, premier plan d’action mondial généralisé dont l’implémentation locale viole tous les principes démocratiques et vise à modifier radicalement et unifier l’organisation sociale à travers le globe.

La peur du terrorisme, fondé sur la false flag operation (opération sous fausse bannière) du 11 septembre 2001 un a ouvert la voie à l’implémentation de lois liberticides, l’implication des armées dans le maintien de l’ordre civil et le maintien de l’état d’urgence aux USA depuis 10 ans maintenant.

La peur de la grande dépression a permis aux plus grands financiers mondiaux de mettre la main en 2008 sur un trillion de $ d’argent du contribuable américain (Housing and Economic Recovery Act et Public Law 110-343) ce qui en fait le plus grand hold-up de l’Histoire.

La peur du déclassement des états par les agences de notations permet maintenant de liquider le bien public, non seulement en Grèce pais dans toute l’Union Européenne.

La peur de la pandémie de grippe A, à l’issue d’une campagne éhontée de panique médiatique, a fait jeter par la fenêtre des milliards d’€ au plus grand bénéfice des firmes pharmaceutiques et a amené à vacciner des milliers de gens sans aucun bénéfice pour leur santé. Cette opération est une extension du Prepardeness Program de la FEMA, l’autorité militaire (liée au Pentagone) en charge de la gestion des crises d’urgence aux USA. Les moyens administratifs et politiques de la FEMA ont cru hors des proportions raisonnables avec l’administration Bush, qui, par une suite de décrets (executive orders) en a fait un gouvernement de substitution autorisé à suppléer aux autorités civiles élues en cas de crise environnementale, économique ou industrielle. Cette doctrine, connue sous le nom de Continuity of Government, sur les implications de laquelle le congrès n’a pas pu enquêter, ouvre la porte à un coup d’état militaire renversant la république aux USA à la faveur de la moindre crise d’envergure -accidentelle ou provoquée-.

A la frontière du Nouvel Ordre Mondial se trouve ce que le pentagone appelle le gap, l’ensemble des gouvernements non encore échafaudés.

A la frontière du gap nous assistons depuis les guerres balkaniques à la déstabilisation successive des régimes existants soit par des insurrections séparatistes soit par des révolutions colorées, toutes deux soutenues par des bombardements « humanitaires » cependant qu’une propagande violente et exclusive démonisedémonise les régimes en place. Dans le même temps journalistes du pays déstabilisé sont considérés comme des cibles militaires, en violation des conventions internationales.

Par-delà le gap s’est créé un bloc nouveau, dont les médias ne nous parlent pas, à partir de la signature du Traité de Shanghai. Ainsi presque personne ici n’a entendu parler de l’Organisation de coopération de Shanghai ni de l’alliance militaire l‘Organisation du traité de sécurité collective.

Pourtant, ce nouveau bloc asiatique, fondé par la Chine et la Russie, auxquelles l’Inde, l’Iran et le Pakistan se sont progressivement joints représente désormais le principal adversaire de l’occident et de son programme de Nouvel Ordre Mondial.

La puissance et la détermination de cette nouvelle alliance n’est pas à négliger, et la politique hégémonique de l’oligarchie mondiale a poussé de nombreux pays d’Asie dans leurs bras, conduisant à une prévisible confrontation sur 3 terrains : La finance mondiale, l’énergie (les gisements de la Caspienne) et la stratégie militaire.

Le danger de déflagration est d’autant plus important que la situation de chaos social et économique organisé par les élites financière pour imposer le Gouvernement Mondial Unique aux états-nations d’occident est perçu comme une faiblesse par les puissances montante d’Asie qui ont chacune une revanche à prendre sur l’impérialisme anglo-saxon.

Un bloc asiatique tout disposer à reprendre pied dans sa zone périphérique d’Asie centrale où les USA et l’OTAN peinent à maintenir leurs forces expéditionnaires en état opérationnel en raison de la crise financière occidentale.

Les conditions sont donc réunies pour amener à une déflagration dans la région, sans doute avec l’Iran comme détonateur, impliquant immanquablement les quatre puissances nucléaires voisines. Et ce d’autant plus que les intérêts économiques communs qui liaient la Chine aux USA s’effrite à mesure que le dollar se dévalue.

Les véritables raisons que nous avons d’avoir peur ne résident donc sans doute pas dans la fin du calendrier Maya, l’apparition d’une comète ravageuse ou une pandémie nous transformant en zombies.

Elle réside dans la folle idéologie globaliste qui va nous conduire soit à une confrontation sanglante avec le bloc asiatiquesoit à l’instauration d’une tyrannie planétaire où chacun d’entre nous ne sera plus qu’un numéro gravé sur une puce RFID.

Source : http://www.agoravox.fr

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25 février 2013

Innovons ! Surprenons la Mondialisation ! Exploitons notre potentiel !

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Réunissons les dépôts de nos revenus et de nos épargnes en un même établissement bancaire que nous allons choisir tous ensemble, après avoir mis en concurrence tous les établissements bancaires.

Ce ne sont pas les banques qu’il faut nationaliser, ce sont nos dépôts et nos épargnes qu’il faut « nationaliser citoyennement »!

Si demain, nous sommes 30/40 millions et plus de français unis en un même mouvement, faisant tous nos dépôts dans une même banque et que nous y déposons également toutes nos épargnes, nous serons devenus une véritable force face à la mafia politique, industrielle et bancaire de la Mondialisation.

Si 30 millions de français déposaient mensuellement leurs revenus dans un même et unique établissement bancaire et d’une simple valeur de 1000€, cela représente 1000€ x 30 000 000 = 30 000 000 000€, TRENTE MILLIARDS D’EUROS ! Imaginez la réalité du dépôt !

Nous serons alors une véritable force de frappe !

Cette union sera un partenaire incontournable de l’établissement bancaire choisi et nous pourrons exiger d’être membre du conseil d’administration afin d’avoir droit de regard et de décision sur l’exploitation et les bénéfices de nos dépôts et épargnes.

N’oubliez pas que quand vous déposez 1000€ sur votre compte, la banque s’octroie le droit d’en dépenser 9000€. Donc quand nous déposons mensuellement 30 milliards d’Euros les banques dépensent 270 milliards d’Euros que l’on nous demande de rembourser. Cela fait réfléchir…

Imaginez la tête d’un de ces PDG bancaires recevant une union citoyenne qui lui déclare : « Monsieur le PGD nous sommes 30 millions d’usagers prêts à s’inscrire sur vos livres, soi un dépôt mensuel de 30 milliards d’Euros ou 360 000 000 000 € annuel et un dépôt de 11 000 milliards d’Euros d’épargnes également à votre disposition, comment faisons nous ? »

Je vous laisse apprécier la réaction de ce garçon face à une telle situation. Sans oublier que, si une telle organisation était Européenne, nous ne parlerons plus de 30 milliards mensuels, mais de 300 milliards et voir plus évidemment…

Croyez vous que les choses ne changeraient pas face à un tel état de fait ?

C’est tout le système bancaire et le système politique qui seraient remis en cause, et c’est nous, les citoyens, qui retrouveront notre véritable statut !

L’union fait la force, c’est pour cela que l’escroquerie de la Mondialisation, des banques et de la politique fonctionnent, qu’attendons nous pour nous unir ??

Soyons aussi intelligents que la Mondialisation et les politiques, cette union peut faire levier à tous les niveaux de la société.

Actuellement l’ouverture à la concurrence est une hypocrisie notoire, nous savons que tous les fournisseurs se mettent d’accord entre eux pour mieux nous berner. La concurrence c’est à nous les consommateurs, de la créer, de la gérer et non de la subir.

Si demain nous sommes 30/40 millions de Français unis et que nous mettons tous les fournisseurs en concurrence, que ce soit la nourriture, les services bancaires, l’automobile, la téléphonie, l’énergie, les pétroliers, la politique etc. toute cette mafia viendra nous manger dans la main pour avoir nos bonnes grâces.

Si demain nous sommes 30/40 millions de citoyens unis en même mouvement, le parti politique qui voudra être élu sera obligé de prendre en compte et d’appliquer les demandes des 30 ou 40 millions d’électeurs, la majorité des électeurs.

C’est par la remise en cause citoyenne des usages économiques et politiques au niveau national, européen, que nous retrouverons notre véritable identité citoyenne, que nous retrouverons nos droits et le respect que tous ces gens nous doivent, car c’est nous qui les faisons vivre.

Si un internaute passe le message à 10 de ces amis et que ces 10 amis passent le message à 10 de leurs amis et ainsi de suite, en sept vagues de messages toute la France et même plus peut être informé du système  et s’organiser en conséquence :

1 / 10 amis x 10 amis = 100 contacts

2 / 100 X 10 = 1000 contacts

3 / 1000 X 10 = 10 000 contacts

4 / 10 000 X 10 = 100 000 contacts

5 / 100 000 X 10 = 1 000 000 contacts

6 / 1 000 000 X 10 = 10 000 000 contacts

7 / 10 000 000 X 10 = 100 000 000 contacts

Il existe en France assez de matière grise et de citoyens intègres au chômage et en exercice  pour mettre en place ce système et le faire fonctionner.

Même si on vous a convaincu que vous ne pouviez rien changer, nous pouvons tout changer si nous faisons confiance à nos qualités de citoyens libres et intègres. Nous sommes aussi intelligents que la Mondialisation, les banquiers, mais nous devons devenir solidaires comme ils le sont malgré qu’ils font tout pour nous en dissuader.

Il n’y a que par l’argent que nous pouvons intervenir en notre faveur face à la mafia de la Mondialisation et des politiques, car seul l’argent est leur raison de vivre. Par conséquent l’argent est l’unique moteur pouvant nous permettre de reprendre le pouvoir, le pouvoir qui nous revient de droit conformément à la Constitution Française.

Mon message n’est pas une incitation à la révolution, à la violence, mais un appel solennel à la conscience citoyenne afin de réhabiliter nos droits, nos vies, et protéger celles de nos parents et de nos enfants dans le plus grand respect des institutions et de la solidarité, la vraie.

Considérez ma proposition comme utopique est tout à fait légitime, j’en ai conscience. Rappelez vous en mars 2011, Hollande Président, utopie ! Quand 1953 un fou américain et une poignée de voyous organisent la faillite des états et condamnent à la misère et à la famine la terre entière, utopique aussi ! Qu'en 2013, le Président français accepte l'abolition du droit du travail utopique ??

Non tout cela est bien réel et pourtant aussi incroyable que cela puisse paraître !

L'avenir nous appartient, alors arrêtons les querelles partisanes et agissons vite car la Mondialisation, par la voix de l’Europe et de la « crise » de la zone Euro va finir, et sans tarder, de nous asservir, de nous ruiner avec la complicité des élus sous des prétextes fallacieux comme la perte du triple A, la croissance bloquée tout comme le PIB etc... Tout cela est un synopsis écrit et réalisé par les sectes mafieuses de la Mondialisation et joué par les politiques.

Voulez-vous attendre d’être transformés en esclave comme les grecs, les Italiens, les Portugais, les Espagnols etc., que nos enfants, leurs enfants et petits enfants vivent l’esclave de notre laxisme face à la voyoucratie d’une économie orchestrée dans l'unique but de nous nuire ?

Récemment aucun élu ou prétendant au trône n’a passé d’appel national pour créer une union nationale citoyenne économique semblable à ma proposition, car ils ont pleinement conscience qu’ils perdraient tous les privilèges qu’ils se sont octroyés sur le fruit de nos vies.

Internet c’est la rue d’aujourd’hui !

Passez le message, réagissons, organisons nous, l'urgence est de mise et notre salut ne viendra pas des politiques mais de notre volonté à croire en nous même !

Correspondance sur le site :

http://labolitiondelaraison.over-blog.com

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