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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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federale
25 mars 2015

La Banque d’Angleterre admet qu’une grande partie de l’or autrichien a disparu

 

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La Banque d’Angleterre admet qu’une grande partie de l’or autrichien a disparu gold barOn se souvient d’un précédent entre l’Allemagne et la Réserve Fédérale, affaire qui s’est soldée par un échec, puisque la Fed avait refusé purement et simplement de donner son or à l’Allemagne dans un premier temps. Il semble que ce genre de problématique ne soit pas la dernière.

En effet, encore une affaire où l’or d’un pays a mystérieusement disparu des coffres d’une banque centrale. Cette fois, c’est l’Austrian State Gold qui révèle dans un rapport qu’en 2009, 56 % de l’or autrichien n’existait pas physiquement dans les coffres de la Banque d’Angleterre. L’Autriche, comme de nombreux pays, a stocké ses réserves d’or à l’étranger, mais actuellement, il y a un mouvement global des pays pour rapatrier leur or sur leur territoire. 59% de l’or n’existait que sur le papier Depuis plusieurs années, l’Autriche avait confié 89 % de son or à la Banque d’Angleterre. Et le scandale de l’Allemagne a incité les Autrichiens à effectuer un audit.

Cet audit date de 2009, mais le rapport n’a été publié qu’aujourd’hui. Et c’est une véritable bombe puisqu’il révèle que 59 % de l’or autrichien n’existait plus physiquement à la Banque Angleterre. Pendant une période allant de 2009 à 2013, la Banque affirmait que l’or autrichien était intact, mais cette affirmation n’était uniquement valable que sur le papier. Des audits peu fiables ? La faute revient aussi aux autorités autrichiennes puisque le rapport estime que les audits de contrôle n’ont pas été correctement menés et que toutes les vérifications se basaient sur les déclarations et les rapports sur papier de la Banque d’Angleterre.

Cela signifie que les Autrichiens n’ont jamais demandé à voir les stocks physiques de l’or et qu’ils se contentaient des bilans de la banque. L’Autriche vient d’apprendre à ses dépens sur le fait de faire confiance à des Banques centrales étrangères. Dans les années à venir, on risque de voir l’Autriche se précipiter pour tenter de rapatrier l’or qui reste sur son territoire, en attendant de voir la réaction de la Banque d’Angleterre.

 

Source: http://www.silverdoctors.com/breaking-bank-of-england-admits-large-portion-of-austrias-gold-is-gone/

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25 mars 2015

La manipulation de l’or n'est possible que si les gens ne la comprennent pas

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Chris Powell : Il y a, dans chaque marché, des traders qui agissent mal… mais je ne pense pas que cela éliminera les problèmes sur lesquels nous insistons, c’est-à-dire les interventions secrètes des banques centrales sur le marché de l’or, qui utilisent des banques d’investissement comme intermédiaires.

Bernie Lo : Oui… Et, pour nos auditeurs qui n’auraient pas suivi le début de notre conversation, quelle est la motivation des banques centrales ? Les banques centrales mondiales se surpassent les unes, les autres, avec leurs politiques d’assouplissement monétaire et de taux de plus en plus bas… dans l’espoir de stimuler la croissance et de ralentir la spirale déflationniste…

Chris Powell : Les banques centrales – surtout en Occident – sont toujours intervenues sur le marché de l’or. Auparavant, elles le faisaient ouvertement… dans les années 60, le London Gold Pool permettait de fausser le marché. Mais depuis, elles le font en secret, en utilisant des options sur des contrats à terme, des produits dérivés, le tout en passant par des intermédiaires, de façon à ne pas laisser trop de traces sur le marché… et cela fonctionne ! Mais cela ne fonctionne qu’en trompant les investisseurs et en détruisant des marchés… Nous avons collecté beaucoup de documents à ce sujet à partir d'archives gouvernementales, de déclarations des banques centrales, pendant plusieurs années… et la politique traditionnelle des banques centrales occidentales a toujours été de contrôler le prix de l’or, pour défendre leurs devises et le prix des obligations gouvernementales.

 

Bernie Lo : Avez-vous réalisé des progrès depuis que vous avez commencé ? J’entends dire que vous avez trouvé des preuves, des documents, que votre organisation fait un gros travail, mais y a-t-il un auditoire pour cela, des gens qui pourraient agir ?

Chris Powell : Je crois que si jamais la presse financière traditionnelle se mettait à poser quelques questions bien critiques et spécifiques aux banques centrales, cela éclaterait au grand jour. Mais, malheureusement, la première règle du journalisme entourant le marché de l’or, c’est de ne pas poser de questions aux acteurs les plus importants du marché de l’or : les banques centrales. Il y a tellement de documents… ce serait si facile… mais personne n'interroge les banques centrales au sujet de leurs actions.

 

Bernie Lo : Le processus par lequel est établi le prix de l’or de nos jours est assez inhabituel, n’est-ce pas ? Au lieu d’établir le prix par des ventes de gré à gré, il y a un fixing du prix à Londres… et ceci est en train de changer, n’est-ce pas ? Le processus deviendra électronique…

Chris Powell : Cela vient de changer cette semaine… mais les banques qui font partie du nouveau fixing sont les mêmes qui étaient là à l’ancien… je ne crois pas que ce nouveau mécanisme changera quoi que ce soit… tout du moins jusqu'à ce que des banques chinoises intègrent le comité en charge du fixing, ce qui n'est pas encore le cas.

 

Bernie Lo : GATA… combien de temps cela fait-il que l’organisation existe ?

Chris Powell : Depuis Janvier 1999.

 

Bernie Lo : Vous exposez donc ces preuves depuis une quinzaine d’années… vous attendez-vous à ce que vous efforts portent leurs fruits ?

Chris Powell : Il y a des fois où je me dis que je fais cela par dépit… Mais je l’espère bien, c’est sûr…

 

Bernie Lo : Vous pourriez vous retirer, évidemment…

Chris Powell : Je l’espère. Le contrôle du marché de l’or est le prérequis pour contrôler tous les autres marchés. Cela a détruit les structures de marché aux États-Unis… c’est le mécanisme par lequel l’Occident exploite les pays émergents, c’est le mécanisme par lequel tous les produits et services dans le monde sont évalués, le capital humain… pour exploiter les autres… c’est le mécanisme traditionnel d’impérialisme occidental. Et j’espère que d’exposer ouvertement ce mécanisme y mettra fin, car je crois qu’il cessera une fois exposé. Parce cela ne s’arrêtera que quand les gens comprendront.

 

Bernie Lo : Vos efforts ont-ils donné quelque chose ? Y a-t-il des banques centrales qui changent leur façon de faire ? Qu’est-ce qu'il faudrait faire pour vraiment avoir un impact sur le marché de l’or ?

Chris Powell : Je crois que toute banque centrale qui dispose d’assez de réserves en dollars US pourrait mettre fin à cette manipulation. J’ai tendance à croire qu’elles en font toutes partie… J’ai eu moi-même quelques rencontres avec des banques centrales… je ne m’attendais pas à ce qu’elles me révèlent quoi que ce soit, mais elles ont écouté… et elles semblaient être au courant de certaines des choses dont je faisais état… Mon problème, c’est que je vis dans ce que l’on appelle une démocratie, et plusieurs de nos pays occidentaux se targuent d’être des pays démocratiques, mais nous sommes en réalité gouvernés par des institutions qui opèrent en secret, et cela me dérange énormément.

"GoldBroker.fr tous droits réservés"

Source: CNBC https://www.goldbroker.fr/actualites/manipulation-or-est-possible-que-si-gens-comprennent-pas-745

Des manipulations antérieures reconnues

Si vous pensez que le prix de l’or n’est pas manipulé, vous devez donc penser que les manipulations qui ont été orchestrées dans le passé et qui sont connues comme des faits historiques ont été complètement abandonnées. Mais vous ne pensez pas que les politiques nous ont déjà prouvé dans plusieurs autres domaines qu’ils n’abandonnaient jamais un système qui fonctionne à moins qu’il perde son intérêt. Donc si l’on admet que le contrôle de l’or représente un intérêt stratégique évidant pour les gouvernements. On doit forcément difficilement croire qu’ils aient facilement abandonné l’idée de manipuler artificiellement son prix comme ils ont pu le faire dans le passé. Il suffit de se rappeler le «Pool d’or» qui a été mis en place dans les années soixante par un groupe de huit banques centrales. L’objectif était de coopérer afin de maintenir le prix de l’once d’or à 35 $ en intervenant directement sur les marchés. En clair ils ont officiellement manipulé les prix de l’or pour des raisons économiques.

Donc comme vous le voyez il y a quand même beaucoup de choses qui rendent la manipulation des prix de l’or par le gouvernement et les banques centrales tout à fait crédibles. Tout en sachant que ces arguments ne font que se rajouter aux différentes analyses des prix et des baisses inexplicables que vous avez déjà dû lire dans d’autres articles. En fait il n’y a strictement aucune raison qui pousserait le gouvernement américain de se priver d’un moyen si pratique pour éviter une chute vertigineuse du billet vert.

Source

21 octobre 2013

Le risque d'un défaut de paiement des États-Unis pourrait conduire la Chine à se débarasser du dollar

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Le risque d'un défaut de paiement des États-Unis pourrait conduire la Chine à accélérer la diversification de ses immenses réserves de devises, à l'heure où Pékin appelle à «désaméricaniser» l'économie mondiale et souhaite internationaliser le yuan.

Faute d'un accord budgétaire in extremis au Congrès, le Trésor américain ne sera plus autorisé à emprunter à partir de mercredi soir et les États-Unis pourraient se trouver en défaut de paiement d'ici la fin du mois pour la première fois de leur histoire.Le choc de confiance diminuerait alors la valeur des actifs en dollars de la Chine -- en premier lieu ses énormes réserves de devises, les plus importantes du monde avec 3660 milliards de dollars fin septembre, constituées très majoritairement de billets verts.«Si vraiment un défaut se concrétise, le gouvernement chinois accélérera avec détermination la diversification de ses réserves en devises, et se reportera sur des émissions obligataires d'autres pays jugés plus sûrs», a souligné Liao Qun, économiste de Citic Bank International.«La Chine pourrait ainsi réduire le volume de bons du Trésor (américains) en sa possession. Elle aurait ses raisons pour le faire, même si ce serait extrêmement difficile», a-t-il indiqué à l'AFP.La Chine est le principal détenteur de dette américaine, avec 1277 milliards de dollars en bons du Trésor, suivis de près par le Japon avec 1140 milliards, selon les derniers chiffres du gouvernement américain.Pékin devrait cependant se garder de se séparer d'une trop grosse partie de ses actifs, ce qui risquerait d'amplifier le désarroi des marchés financiers... et de réduire en conséquence la valeur des bons du Trésor et dollars encore en sa possession.D'autant que Pékin n'a guère d'alternative: très rares sont les autres types d'actifs dans le monde en volume suffisant pour offrir un débouché aux gargantuesques liquidités chinoises, avertissent les experts.

À plus long terme, le Japon pourrait lui aussi entreprendre de rééquilibrer son portefeuille, même si la dépendance de Tokyo vis-à-vis de Washington empêchera toute évolution brutale, a noté Yoshikiyo Shimamine, économiste en chef de l'institut Dai-ichi à Tokyo.

«Aucun instrument financier n'est aussi liquide que les bons du Trésor», et il serait difficile pour une économie majeure de s'en passer, a-t-il cependant tempéré.Mais la Chine se montre également très inquiète de l'onde de choc que provoquerait un défaut de paiement de Washington pour l'économie mondiale et la croissance chinoise encore cruellement dépendante des exportations et investissements étrangers.«Un défaut aurait bien entendu un impact très net sur l'économie aux États-Unis et aurait donc des conséquences négatives pour l'économie chinoise», avertit Sun Junwei, économiste de HSBC.

Signe de leur inquiétude grandissante, dirigeants et médias d'État chinois ont multiplié ces derniers jours les avertissements et appels au compromis entre parlementaires américains, pointant les relations «inséparables» qui lient les économies des deux pays.«Nous exigeons que les États-Unis, comme pays émetteur de la principale devise de réserve dans le monde, et en tant que première puissance économique, prennent leur responsabilité», a martelé le vice-ministre des Finances Zhu Guangyao mardi.De son côté, l'agence officielle Chine nouvelle a estimé dimanche dans un commentaire cinglant que c'était «peut-être le bon moment pour une planète abasourdie de commencer à envisager la construction d'un monde désaméricanisé».«Les économies émergentes doivent avoir davantage leur mot à dire dans les institutions financières internationales», a-t-elle plaidé, évoquant «la création d'une nouvelle devise de réserve» pour remplacer le dollar, et une évolution du Fonds monétaire international (FMI), où Pékin ne pèse guère plus que l'Italie.Une réforme de la gouvernance du FMI est préparée depuis trois ans mais son entrée en vigueur est bloquée par le veto de fait des États-Unis qui doivent la faire ratifier par le Congrès.

Dans le même temps, Pékin semble très désireux de promouvoir l'internationalisation du yuan, dont la convertibilité reste pourtant farouchement contrôlée.La Chine a ainsi conclu mardi un accord avec le Royaume-Uni pour renforcer le rôle du renminbi (autre nom de la monnaie chinoise) à Londres -- où des entreprises émettent depuis le printemps 2012 des émissions obligataires en yuans, ce qui demeure encore aujourd'hui exceptionnel en dehors de Hong Kong.De son côté, la banque centrale chinoise a récemment passé des accords de swap monétaire avec ses homologues européenne et britannique, facilitant l'accès aux yuans des établissements financiers basés en Europe.

9 octobre 2013

Ce qu'il faut savoir sur le "shutdown" du gouvernement américain

 

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Amérique du Nord

Publié le 7/10/2013

Vous entendez parler du shutdown du gouvernement américain sans savoir ce qu'est cette suspension temporaire des activités fédérales ? Voici l'essentiel à savoir.

Par Pascal Dray.

À quoi correspond cette procédure du shutdown ?

Tout d’abord, il faut savoir que cette procédure a toujours été utilisée dans le cadre de stratégie dite politicienne. C’est soit le parti républicain, soit le parti démocrate qui déclenche cette procédure. Le Congrès aux États-Unis (à peu près l’équivalent de l’Assemblée nationale) est composé de la chambre des représentants et du sénat. Le Sénat est, lui, composé de 100 sénateurs et la chambre des représentants de 435 représentants.

"Le Congrès américain est chargé d'élaborer, de discuter et de voter les lois. Il exerce également un pouvoir sur le budget fédéral des États-Unis, le commerce et la défense du pays. Le Congrès peut soumettre des amendements à la Constitution. Il peut enfin lancer une procédure d'impeachment pour mettre en accusation le président ; un haut fonctionnaire ou un juge. Le Sénat américain représente les États et la politique nationale, alors que la Chambre s'occupe des problèmes de la vie quotidienne des citoyens. L'un n'est pas supérieur à l'autre. Les deux assemblées doivent travailler en coordination".

Dans le cadre de la procédure de "shut down" déclenchée le 1er  octobre 2013, il y a désaccord sur le financement de la loi dite Obamacare, une loi pour mettre en place aux États-Unis l’équivalent de notre Sécurité sociale. Les républicains soutiennent qu’il n’est pas possible de financer à ce jour la loi dite Obamacare et demandent de reporter son application et son financement en septembre 2014. Les républicains s’appuient sur la situation économique préoccupante du niveau d’endettement américain qui serait fortement alourdi si le financement de l’Obamacare était déclenché aujourd’hui.

Blocage budgétaire et services minimaux

Dans la pratique, les fonctionnaires fédéraux des services non régaliens sont priés de rester chez eux jusqu’au déblocage budgétaire. Les services de police, de justice et d’armée sont assurés, mais du fait d’un blocage dans le processus d’autorisations budgétaires les autres fonctionnaires ne doivent pas travailler.

Depuis 1960, 18 (17+1) procédures de "shut down" ont été déclenchées. La première a été déclenchée sous la présidence de G. Ford, président républicain en 1976. Le Congrès était majoritairement démocrate. Le président mit son véto à un programme lié au département du travail. Ce premier "shut down" s’étala du 30 septembre au 11 octobre. Sous Carter, démocrate avec un congrès démocrate, 5 procédures furent initiées. La plus longue dura 18 jours et concernait le programme Medicaid et le financement d’une centrale nucléaire.

Sous Reagan, républicain où le Sénat était républicain de 1981 à 1986, 9 procédures furent déclenchées. La plus longue dura trois jours. Sous G.H.W Bush (le père), une procédure fut déclenchée. Sous Clinton, 2 procédures furent déclenchées dont la plus longue dura 21 jours et qui concernait la présentation des comptes sur 7 ans, mais avec un budget émanant du département du Budget au Congrès plutôt qu’un budget du département du budget du président. Finalement, un compromis fut trouvé sur le budget.

Depuis le 1er octobre 2013, une nouvelle procédure de "shut-down" vient d’être déclenchée ; elle concerne le déblocage d’un budget pour la mise en œuvre de la loi dite Obamacare. Il s’agit en fait d’un programme dit de protection sociale qui concernerait tous les Américains.

Compte tenu de l’endettement américain qui dépasse 100 % du PIB, les membres républicains de la chambre des représentants ont demandé aux sénateurs et représentants de reporter le financement de la loi sur le système de santé à septembre 2014. Le président américain dénonce ce blocage, mais comme nous l’avons vu celui-ci n’est pas le premier et certainement pas le dernier. Nous ne savons pas combien de temps pourra durer ce "shut down".

Un calendrier risqué

Si cette procédure dure plus de 15 jours, une autre date butoir risque de déboucher sur une nouvelle incertitude. Cette date, c’est la date de relèvement du plafond de la dette. Si celui-ci n’est pas relevé, alors les États-Unis seront déclarés en "cessation de paiement". C’est donc la conjonction de ces deux procédures, "shut-down" et relèvement du plafond de la dette, qui constitue un risque majeur pour les États-Unis, mais aussi pour l’économie mondiale.

En effet, comme la Réserve fédérale a injecté des liquidités depuis la crise de 2008, cette politique laxiste pourrait, si le pire se produisait à savoir que le plafond de la dette n’est pas relevé, conduire à une chute considérable du dollar avec toutes les conséquences en cascade sur les marchés financiers et sur l’économie mondiale (très forte hausse du prix des matières premières, hyperinflation, faillites d’entreprises en cascade, etc.). Évidemment, il existe des solutions que j'ai déjà évoquées dans un article sur Le Cercle Les Échos.

Sortir de l’impasse

Aujourd’hui, les politiques budgétaires et monétaires inspirées par les keynésiens et les monétaristes nous ont menés dans une impasse économique. Plus de croissance et un endettement public devenu la pierre d’angle du système économique. Pour lever les incertitudes liées à ces politiques, pour le moins hasardeuses, il est grand temps de revenir à des principes d’orthodoxie budgétaire et à la mise en place d’un vrai système monétaire reposant sur le libre échange, la division du travail et la spécialisation.

Libérons donc le système et sortons de l’impasse interventionniste !

//www.contrepoints.org/?p=141666

25 février 2013

Innovons ! Surprenons la Mondialisation ! Exploitons notre potentiel !

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Réunissons les dépôts de nos revenus et de nos épargnes en un même établissement bancaire que nous allons choisir tous ensemble, après avoir mis en concurrence tous les établissements bancaires.

Ce ne sont pas les banques qu’il faut nationaliser, ce sont nos dépôts et nos épargnes qu’il faut « nationaliser citoyennement »!

Si demain, nous sommes 30/40 millions et plus de français unis en un même mouvement, faisant tous nos dépôts dans une même banque et que nous y déposons également toutes nos épargnes, nous serons devenus une véritable force face à la mafia politique, industrielle et bancaire de la Mondialisation.

Si 30 millions de français déposaient mensuellement leurs revenus dans un même et unique établissement bancaire et d’une simple valeur de 1000€, cela représente 1000€ x 30 000 000 = 30 000 000 000€, TRENTE MILLIARDS D’EUROS ! Imaginez la réalité du dépôt !

Nous serons alors une véritable force de frappe !

Cette union sera un partenaire incontournable de l’établissement bancaire choisi et nous pourrons exiger d’être membre du conseil d’administration afin d’avoir droit de regard et de décision sur l’exploitation et les bénéfices de nos dépôts et épargnes.

N’oubliez pas que quand vous déposez 1000€ sur votre compte, la banque s’octroie le droit d’en dépenser 9000€. Donc quand nous déposons mensuellement 30 milliards d’Euros les banques dépensent 270 milliards d’Euros que l’on nous demande de rembourser. Cela fait réfléchir…

Imaginez la tête d’un de ces PDG bancaires recevant une union citoyenne qui lui déclare : « Monsieur le PGD nous sommes 30 millions d’usagers prêts à s’inscrire sur vos livres, soi un dépôt mensuel de 30 milliards d’Euros ou 360 000 000 000 € annuel et un dépôt de 11 000 milliards d’Euros d’épargnes également à votre disposition, comment faisons nous ? »

Je vous laisse apprécier la réaction de ce garçon face à une telle situation. Sans oublier que, si une telle organisation était Européenne, nous ne parlerons plus de 30 milliards mensuels, mais de 300 milliards et voir plus évidemment…

Croyez vous que les choses ne changeraient pas face à un tel état de fait ?

C’est tout le système bancaire et le système politique qui seraient remis en cause, et c’est nous, les citoyens, qui retrouveront notre véritable statut !

L’union fait la force, c’est pour cela que l’escroquerie de la Mondialisation, des banques et de la politique fonctionnent, qu’attendons nous pour nous unir ??

Soyons aussi intelligents que la Mondialisation et les politiques, cette union peut faire levier à tous les niveaux de la société.

Actuellement l’ouverture à la concurrence est une hypocrisie notoire, nous savons que tous les fournisseurs se mettent d’accord entre eux pour mieux nous berner. La concurrence c’est à nous les consommateurs, de la créer, de la gérer et non de la subir.

Si demain nous sommes 30/40 millions de Français unis et que nous mettons tous les fournisseurs en concurrence, que ce soit la nourriture, les services bancaires, l’automobile, la téléphonie, l’énergie, les pétroliers, la politique etc. toute cette mafia viendra nous manger dans la main pour avoir nos bonnes grâces.

Si demain nous sommes 30/40 millions de citoyens unis en même mouvement, le parti politique qui voudra être élu sera obligé de prendre en compte et d’appliquer les demandes des 30 ou 40 millions d’électeurs, la majorité des électeurs.

C’est par la remise en cause citoyenne des usages économiques et politiques au niveau national, européen, que nous retrouverons notre véritable identité citoyenne, que nous retrouverons nos droits et le respect que tous ces gens nous doivent, car c’est nous qui les faisons vivre.

Si un internaute passe le message à 10 de ces amis et que ces 10 amis passent le message à 10 de leurs amis et ainsi de suite, en sept vagues de messages toute la France et même plus peut être informé du système  et s’organiser en conséquence :

1 / 10 amis x 10 amis = 100 contacts

2 / 100 X 10 = 1000 contacts

3 / 1000 X 10 = 10 000 contacts

4 / 10 000 X 10 = 100 000 contacts

5 / 100 000 X 10 = 1 000 000 contacts

6 / 1 000 000 X 10 = 10 000 000 contacts

7 / 10 000 000 X 10 = 100 000 000 contacts

Il existe en France assez de matière grise et de citoyens intègres au chômage et en exercice  pour mettre en place ce système et le faire fonctionner.

Même si on vous a convaincu que vous ne pouviez rien changer, nous pouvons tout changer si nous faisons confiance à nos qualités de citoyens libres et intègres. Nous sommes aussi intelligents que la Mondialisation, les banquiers, mais nous devons devenir solidaires comme ils le sont malgré qu’ils font tout pour nous en dissuader.

Il n’y a que par l’argent que nous pouvons intervenir en notre faveur face à la mafia de la Mondialisation et des politiques, car seul l’argent est leur raison de vivre. Par conséquent l’argent est l’unique moteur pouvant nous permettre de reprendre le pouvoir, le pouvoir qui nous revient de droit conformément à la Constitution Française.

Mon message n’est pas une incitation à la révolution, à la violence, mais un appel solennel à la conscience citoyenne afin de réhabiliter nos droits, nos vies, et protéger celles de nos parents et de nos enfants dans le plus grand respect des institutions et de la solidarité, la vraie.

Considérez ma proposition comme utopique est tout à fait légitime, j’en ai conscience. Rappelez vous en mars 2011, Hollande Président, utopie ! Quand 1953 un fou américain et une poignée de voyous organisent la faillite des états et condamnent à la misère et à la famine la terre entière, utopique aussi ! Qu'en 2013, le Président français accepte l'abolition du droit du travail utopique ??

Non tout cela est bien réel et pourtant aussi incroyable que cela puisse paraître !

L'avenir nous appartient, alors arrêtons les querelles partisanes et agissons vite car la Mondialisation, par la voix de l’Europe et de la « crise » de la zone Euro va finir, et sans tarder, de nous asservir, de nous ruiner avec la complicité des élus sous des prétextes fallacieux comme la perte du triple A, la croissance bloquée tout comme le PIB etc... Tout cela est un synopsis écrit et réalisé par les sectes mafieuses de la Mondialisation et joué par les politiques.

Voulez-vous attendre d’être transformés en esclave comme les grecs, les Italiens, les Portugais, les Espagnols etc., que nos enfants, leurs enfants et petits enfants vivent l’esclave de notre laxisme face à la voyoucratie d’une économie orchestrée dans l'unique but de nous nuire ?

Récemment aucun élu ou prétendant au trône n’a passé d’appel national pour créer une union nationale citoyenne économique semblable à ma proposition, car ils ont pleinement conscience qu’ils perdraient tous les privilèges qu’ils se sont octroyés sur le fruit de nos vies.

Internet c’est la rue d’aujourd’hui !

Passez le message, réagissons, organisons nous, l'urgence est de mise et notre salut ne viendra pas des politiques mais de notre volonté à croire en nous même !

Correspondance sur le site :

http://labolitiondelaraison.over-blog.com

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