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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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vampireegregore
4 septembre 2014

Les 13 lignées secrètes de Caïn et le livre de Nod

 

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Adam et Eve eurent deux fils, Caïn et Abel. Tous deux voulurent offrir à Dieu un présent pour lui montrer leur amour. Caïn était cultivateur et Abel, gardien de Brebis. Le premier offrit au Seigneur, les fruits de la terre durement cultivés. Quant au deuxième, il offrit lui aussi à Dieu des prémices de ses bêtes et leur graisse. Le Seigneur tourna son regard vers Abel et son offrande, mais il détourna son regard de Caïn et de la sienne.

Caïn en fut très irrité et son visage fut abattu. Il parla à son frère Abel et, lorsqu'ils furent aux champs, Caïn attaqua son frère et le tua. Le Seigneur lui dit : "Où est ton frère Abel ?" - "Je ne sais, répondit-il. Suis-je le gardien de mon frère ?" - "Qu'as-tu fait ? reprit-il. La voix du sang de ton frère crie du sol vers moi. Tu es maintenant maudit du sol qui a ouvert la bouche pour recueillir de ta main le sang de ton frère. Quand tu cultiveras le sol, il ne te donnera plus sa force. Tu seras errant et vagabond sur la terre."

Caïn dit au Seigneur : " Ma faute est trop lourde à porter. Si tu me chasses aujourd'hui de l'étendue de ce sol, je serai caché à ta face, je serai errant et vagabond sur la terre, et quiconque me trouveras me tuera." Le Seigneur lui dit : " Eh Bien! Si on tue Caïn, il sera vengé sept fois." Le Seigneur mit un signe sur Caïn pour que personne ne puisse le frapper. Caïn s'éloigna de la présence du Seigneur et habita dans la pays de Nod à l'orient d'Eden. (Genèse 4.3-16)

 
Les Premiers Temps retracent la mort d'Abel et le renvoie de Caïn du Paradis.
Ensuite, Caïn est recueilli par Lilith (La Venue de Lilith ), qui le rassure, le soigne puis l'éveille aux disciplines (La magie de Lilith ).
 
Vient ensuite la véritable malédiction, celle où se succèdent les Archanges infligeant à Caïn ce qui fera de lui un vrai vampire : le besoin de sang, la peur du soleil et des flammes, l'immortalité. (La tentation de Caïn ).
 
Les parties suivantes concernent des événements qui se seraient déroulés à la période de la première cité ou peu avant : comment Caïn est tombé amoureux de Zillah, et comment il s'en est fait aimé grâce au lien du sang que l'Ancêtre lui fait découvrir (L'histoire de Zillah ) ; comment il s'est débarrassé de la dite Ancêtre, qui l'avait lié au sang et à qui il avait donné le Baiser (faisant d'elle la 1ère seconde génération) sous son emprise. (Le conte de l'Ancêtre ).
 
L'histoire de la Première Cité occupe une place importante dans cette partie, retraçant la création des Antédiluviens, le Déluge, le départ de Caïn, la rébellion contre les secondes générations, la destruction de la première puis la construction de la seconde cité, et enfin la Diablerie de Brujah : le début du Jyhad.
 
A l'époque où l'humanité est passée de la chasse et la cueillette à l'élevage d'animaux de fermes au développement de l'agriculture, il y avait deux tribus, dont les noms sont issus de ceux de et leurs chefs. Ils étaient appelés peuple de Caïn et peuple d'Abel.
Le peuple d'Abel était un peuple de bergers et d'éleveurs, plus primitif que celui de Caïn. Ils adoraient le puissant Dieu Soleil, qui était un guerrier vivant dans le ciel.
Le peuple de Caïn était agricole, et plus civilisé que celui d'Abel. Parce qu'il était important de prévoir les moissons, il vénérait la Déesse Lune, la Mère Obscure qui était à la fois la fertilité et les mystères de la Lune.
 
Pourtant, les deux peuples n'étaient pas heureux. Le peuple d'Abel attaquait ceux du peuple de Caïn, prétextant qu'ils étaient inférieurs et maudits, puisqu'ils ne chassaient pas comme chassait le Dieu Soleil. Ceux du peuple de Caïn ne savaient que peu de choses de l'art du combat, mais Caïn leur appris à utiliser les objets pointus servant à labourer le sol comme des armes. Tous les hommes, les femmes, les enfants du peuple d'Abel furent tués.
 
Le Dieu Soleil du peuple d'Abel maudit le peuple de Caïn, et plaça une malédiction de sang en eux, afin qu'ils errent dans les étendues sauvages. Il brûla leurs villages et sala leurs champs, et dit à tous de se détourner du peuple de Caïn.
Le peuple de Caïn ne put s'en remettre. Ses membres errèrent dans le désert pendant plusieurs semaines, rencontrèrent de nombreux problèmes et n'eurent plus de nourriture. Alors vint la prêtresse de la Sombre Mère, qui vivait au-delà de la lune. Elle leur offrit repos, secours et sursis. Elle leur enseigna la magie, la chasse, et comment boire du sang. 
 
 
Le Dieu soleil apparut en songe à Caïn, et lui ordonna d'aller se soumettre, lui et son peuple, au peuple de Seth. Caïn refusa.
Alors le Dieu Soleil lui dit que tous les membres de sa tribu seraient maudits pour l'éternité, et il en fut ainsi. Mais la Mère Sombre dit qu'il y aurait toujours un moyen de contourner la malédiction : si le peuple de Caïn venait à Elle, alors à travers son mystère, elle le libérerait de la malédiction du Dieu Soleil.
Dans cette parabole, le peuple de Caïn (et Caïn) représente notre soif de civilisation, les Humanités que nous recherchons constamment. Le peuple d'Abel (et Abel) représente notre nature animale, nos moi sauvages, la Bête qui sommeille en chacun de nous. La Mère Sombre représente le mystère qui guide notre existence profonde : la magie de notre sang, la puissance des Disciplines
 
 
 l'histoire connue de la Première Cité
 
Ce que nous savons de la Première Cité provient d'un petit ensemble de fragments de tablettes, et de monuments gravés découverts après deux millénaires d'enfouissement. La Première Cité était unique dans sa nature vampirique.
Là, les deux générations de la descendance de Caïn, la seconde et la troisième génération, créèrent une société pour eux mêmes, adaptée à leurs coutumes, besoins et pouvoirs.
En dessous de Ceux de la Race se trouvaient les enfants de Seth, c'est à dire tous les humains, excepté un. Il s'agit du Maître des Serviteurs, le premier de ceux qui a servi, appelé Jabal dans certains mythes. De part le peu qui le séparait de Caïn, Jabal avait un statut équivalent à un vampire de la troisième génération. Son corps ne contenait presque plus de son sang : celui de Caïn le remplaçait. 
Ceux qui Servent, les goules d'une période plus tardive, constituaient l'échelon d'en dessous, suivis de tous les serviteurs mortels qui servaient Ceux de la Race. Les autres – les fermiers, les artisans...- constituaient l'échelon inférieur.
 
Les esclaves
 
On pense que les esclaves d'Enoch étaient capturés dans les tribus de Seth, parmi les tribus d'éleveurs engendrés par Noé et sa famille. Cela renforcerait l'idée biblique que la terre commença à être corrompue par le mal au temps de Noé, car très certainement Caïn et ses enfants se repaissaient à l'apogée de cette période.
La plupart des esclaves travaillaient dans les champs afin de produire de la nourriture pour les serviteurs de Caïn et de ses enfants. Ils étaient certainement capturés hors-la-loi ou barbares, et soumis par la Domination.
C'est seulement par le nom d'esclave que nous savons qu'ils étaient esclaves, car tout les pictogrammes les représentant à Enoch les montrent libre et sans attaches.
 
 
Se nourrir
 
la coutume de la Fête de Sang pratiquée par le Sabbat est une reproduction de ce qui se passait en ces temps anciens dans la cour de Caïn. Lors des fêtes, Caïn faisait suspendre des condamnés par les chevilles à une poutre au dessus d'une table.
 
Les Vampires présents pouvaient se nourrir à loisir jusqu'à ce que la victime décède. Des dessins montrent Caïn et plusieurs de ses enfants s'abreuver dans une vasque de sang alimentée par trois mortels suspendus la tête en bas, saignant. 
Les esclaves incapables de travailler aux champs étaient invariablement transformés en esclaves pour la nourriture. 
 
 
Calendrier
 
Enoch suivait les saisons de plantation, comme toutes les sociétés agricoles.
Il existe des preuves attestant d'une grande cérémonie au palais de Caïn à chaque nouvelle lune, et une grande nuit de fête après chaque éclipse.
C'est à cette époque que les Garous devaient être les plus prompts à l'attaque, s'il s'agit bien de Garous et pas de démons comme certains l'ont suggéré.
 
Caïn nous fournit un calendrier lunaire très détaillé pour l'époque. A l'équinoxe d'été une année, il peint une ligne rouge de son sang sur le mur circulaire de son Palais. La ligne bouge magiquement au jour le jour, jusqu'à revenir à son emplacement au solstice. C'est par cet auspice que Caïn fournit à ses citoyens de la Première Cité un calendrier.
 
 
La Descendance
 
Beaucoup a été appris sur la reproduction des humains avec d'autres humains, et les vampires ou les humains contrôlaient les naissances. Les humains se reproduisaient dans des buts spécifiques, tels qu'être forts afin de servir de nourriture, ou être un bon guerrier, ou un bon fermier.
 
Si vous remplissiez bien votre tâche, vous aviez le droit de perpétuer votre lignée. Ceci était accompli dans une maison appelée le temple de Lilith, qui n'était sans doute pas un temple, et encore moins dédié à Lilith. Deux humains procédaient à un cérémoniel sexuel, puis ne se revoyaient plus, spécialement s'ils servaient deux maîtres distincts.
 
Les vampires possédant de l'Auspex étaient apparemment capables de dire immédiatement si un enfant résulterait de cette union. 
 
 
La Religion
 
A la différence de nombreuses cultures des temps anciens, il n'y avait pas de religions à Enoch.
 
Caïn interdit le culte de l'Unique, s'étant détourné de lui, et ne permettaient pas à ses sujets de se rendre au temple afin d'être lavés de leurs pêchés. En fait, Caïn tenait souvent ce discours face à une foule, leur disant qu'ils étaient destinés à rôtir en Enfer, que leurs plaintes tomberaient toujours dans l'oreille d'un sourd lorsque le temps de l'Armaggedon serait là, et insistait sur le côté sournois et mauvais des vampires en temps que race
 
 

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L'Apocalypse des Damnés
 
Une section du Livre de Nod manque. Suivant la tradition, elle aurait été écrite par Seth, première goule et premier magicien, et contiendrait les plus grands secrets des premiers vampires.
 
Certains pensent que son contenu se rapproche de révélations contenues dans les livres de la Kabbale juive, y compris des sections relatant l'existence de mondes créés par Dieu avant le notre.
Leur destruction ne pouvant être totale car création divine, ces écrits décrivent implicitement l'existence de créatures gérées par des lois différentes des nôtres.
 
Après les événements de 1994, il devient évident aux initiés que le vampire connu comme étant la Mort Rouge a possédé des fragments, sinon la totalité de cette Apocalypse, ce qui lui a permis d'invoquer les Sheddim, ces êtres de Feu à l'image de Dieu ne pouvant se manifester sur terre qu'en prenant possession d'un être, et permettant l'expression du pouvoir connu sous le nom de Corps de feu. 
 
 

 
 

 

 

 

 

 

Le livre de Nod est le livre des origines des vampires.
 

Bible des Vampires

 
 
Est appelé « Livre de Nod » un regroupement de fragments de textes anciens, reconnus comme véridique, traitant de l’histoire vampirique ancienne et de tout ce qui est relatif à Caïn et aux prophéties de la Géhenne. Il n’y a que très peu de recueils écrits disponibles aux rares érudits, les passages étant surtout récités par coeur par les prêtres, en particulier des suivants de la Voie de Caïn.
 
Quelques extraits connus font aussi parti de discours « traditionnels » de prêtre associés à des auctoritas ritae
 
Le Livre de Nod est un texte sacré dont la légitimité est la moins discutée parmi les vampires, tous clans confondus. Il est la Bible de la race Caïnite, et cette qualification pourrait être bien plus qu’une simple métaphore.
 
L’écriture du Livre de Nod se base en effet sur une mythologie humaine dont les éléments singuliers ont été largement étudiés par les plus éminents savants de notre race.
La mythologie de Vampire se base sur un texte inspiré de la Genèse, intitulé le Livre de Nod, dont il ne reste aujourd'hui que quelques fragments. Selon le livre qui décrit la cosmogonie de Vampire (Le livre de Nod), et qui occupe dans le monde vampirique la place de la Bible chez les humains, les vampires descendent de Caïn, figure biblique connu pour avoir tué son frère Abel. Celui-ci aurait été contacté trois fois par Dieu et ses Archanges. Ayant refusé par trois fois le pardon de Dieu, de « simple maudit », il serait devenu le premier Vampire, craignant le feu, la lumière et sa descendance qui finirait de toute façon par comploter contre lui.
  
Ces textes sont censés s'inspirer des textes fondateurs hébraïques, comme semble le confirmer la présence de Lilith (en tant que première femme tutrice de Caïn, puis adversaire et maîtresse des démons).
Le Livre de Nod occupe une place controversée dans la société vampirique : là où certains le croient à la lettre, d'autres dénoncent évidemment un ramassis de superstitions pseudo-bibliques.
 
 
Les vampires sont les héritiers de la malédiction de Caïn, qui fut condamné à errer éternellement pour avoir tué son frère Abel. Ils peuvent la transmettre à leur tour à un mortel par un acte qu'ils nomment l'Étreinte, et qui consiste à vider la personne de son fluide vital avant de lui faire avaler un peu de sang de vampire. Le mort se ranime alors, et sera à son tour immortel, mais obligé de se nourrir de sang frais. 
 
Tous les pouvoirs d'un vampire proviennent de son sang; il peut, par exemple, en dépenser pour améliorer sa force physique. Bien entendu, puisqu'il est mort, son coeur ne bat plus, et il ne produit pas non plus de chaleur corporelle propre. Seule la consommation de sang lui permet de préserver son corps de la décomposition. Le vampire doit se nourrir régulièrement, sous peine de sombrer en torpeur en cas de manque prolongé. Heureusement, la quantité nécessaire est suffisamment faible pour qu'ils ne doivent pas tuer leurs victimes (s’ils se nourrissent régulièrement).
  
Comme toutes les caractéristiques du vampire proviennent de son sang, donc de celui de son géniteur à travers l'Etreinte, il acquiert, dans une certaine mesure, les forces et les faiblesses de celui-ci. C'est ce qui donne naissance à des lignées distinctes, les clans. D'autre part, à chaque nouvelle génération, le sang se dilue, et sa puissance diminue. Les jeunes vampires courants sont de la treizième génération depuis Caïn. 
 
 
La première marque de la malédiction de Caïn est la sensibilité aux "forces vitales" que sont le soleil et le feu. Un vampire soumis à la lumière du jour souffre de blessures très graves, et peut même s'enflammer spontanément. D'autre part, les vampires sont généralement inactifs et inconscients pendant la journée, semblables à des cadavres. Ils peuvent éventuellement se réveiller en cas de danger, mais plus ils s'éloignent de l'humain qu'ils étaient et plus cela leur est difficile, tout comme il leur est plus difficile d’agir même s'ils sont conscients.
En tant que créatures maléfiques, les vampires sont également repoussés, non par les symboles religieux comme on pourrait le croire - car ils n'ont pas de puissance en soi -, mais par la foi de la personne qui les brandisse. Heureusement pour eux, les personnes sincèrement pieuses sont très rares...
 
La deuxième marque de la malédiction, et peut-être la plus importante, est l'entrée de la Bête en eux au moment de l'Etreinte. Chaque fois que le vampire est soumis à des conditions de stress, comme sous l'effet d'une soif intense, de la colère ou encore de la peur, ses instincts risquent de remonter à la surface et de le submerger au point qu'il perde tout contrôle de ses actes, risquant souvent de commettre l'irréparable. Et chaque fois qu'il commet un tel crime, il glisse un peu plus sur la pente de l'inhumanité, l'éloignant à jamais de ce qu'il était pour se rapprocher encore de la Bête... Il est dit, cependant, que quelques vampires sont parvenus à atteindre une sorte d'état de grâce, comme Golconda, dans lequel la Bête et l'humanité sont en équilibre, brisant le cercle vicieux. Mais bien peu sont ceux qui ont cette chance. 
 
 
 
Les origines du Livre de Nod.
 
Le Livre de Nod se décompose en trois grandes parties, quelque soit les fragments étudiés :
 
  • La Chronique de CaïnLa Chronique de Caïn est écrit à la première personne, c’est-à-dire que le Père lui-même est supposé être l’auteur du texte. Il décrit sa propre version de la création des vampires et la série de malédiction qui frappe la race dans son ensemble.
  • Le Récit de la Première Cité :  La deuxième partie, appelée « L’histoire de la Première Cité » dans les fragments de Babylone s’étend en fait jusqu’à la chute de la Seconde Cité, la malédiction du Père et à son départ définitif. Des indices dans la narration désignent les auteurs comme étant les enfants de Caïn, il est communément admis qu’il s’agit des Troisième Générations.
  • Prophéties, proverbes et autres maximesEnfin, la troisième partie ne présente aucun indice spatio-temporel, au contraire des deux premiers pans du Livre de Nod et à ce titre est peu importante, car elle aurait pu être rédigée à n’importe quelle période, certainement longtemps après le reste de l’ouvrage. Les prophéties ne seront donc pas l’objet d’une analyse dans cet essai, car leur légitimité historique n’est que trop approximative. En revanche, les concepts étudiés, en particulier la Géhenne, seront largement décortiqués.
 
Les spécialistes en la matière s’accordent à dire que les cinq premiers ouvrages sacrés sont en fait une mise sur le papier, entre le Xème et le VIème siècle av. JC, de mythes issus de la tradition orale. Une sélection a été faîte par la communauté religieuse des légendes qui semblaient les plus pertinentes, les moins falsifiées par le temps. Le reste est communément regroupé sous le terme des livres apocryphes. 
 
 
Si l’hypothèse selon laquelle le Pentateuque et le Livre de Nod dérivent d’une souche mythologique commune est fondée, alors on peut envisager que les croyances Caïnites se sont  trouvées soumises au même principe de sélection.
 
Les humains devant sélectionner les légendes qui allaient devenir les textes sacrés de leur religion ont dû rejeter de nombreuses légendes dont les mythes vampiriques.
Plus tard ou en parallèle, ces récits se sont trouvés compilés et posés à l’écrit : le Livre de Nod était né. Il est évident que cet ouvrage ne pouvait trouver une place dans le canon d’une religion destinée aux humains.
La Chronique de Caïn serait donc un livre apocryphe, qui n’a pas pu faire partie du Pentateuque, tout en puisant à la même source et en restant très lié aux mythes de la Genèse Le Livre de Nod, en ce qui concerne le récit de Caïn, serait donc un dérivé des croyances juives. Le patrimoine hébraïque est tellement présent que l’ouvrage serait même l’un des livres apocryphes, n’ayant pas été intégré au Pentateuque très probablement parce qu’il concernait exclusivement les vampires.
 
 
 
Le culte de Caïn
 
Cette seconde partie va s’attacher à définir le vampire qu’était Caïn à partir des indices laissés par le Livre de Nod. Une lecture historique de la bible vampirique sera ici prolongée, dans la mesure où l’écrivain supposé du livre est en même temps le principal intéressé.
 
 
 
Le Livre de Nod et notre culture
 
Une exégèse un tant soit peu originale doit admettre tout l’impact que le Livre de Nod a encore aujourd’hui sur notre culture. De nombreuses traditions trouvent leurs racines dans les Ecritures vampiriques, notre vision de l’histoire se base sur des concepts apparus pour la première fois dans le Livre de Nod, par exemple le Jyhad et la Géhenne 
 
 
 
Abrégé au Livre de Nod

 

 

 

L’histoire orale des vampires - bien que beaucoup prétendent qu’il s’agit plus d’un mythe que d’une histoire - occupe une place très importante dans la société vampirique, une place de référence.

 

Le mythe le plus populaire et le plus communément accepté est celui de Caïn, premier des vampires et tueur de son frère Abel. Un texte assez évasif connu sous le nom de livre de Nod rapporte le bannissement de Caïn et ses errances dans les contrées à l’Est de ses terres originelles. La majorité des choses sues de Caïn proviennent de divers passages du livre de Nod, bien qu’il existe peu de preuves pour corroborer ce qu’il raconte. 

 

 

 

 

 

‘Extrait’ :

 

 

 

Au commencent était Caïn

 

Caïn qui sacrifia son frère Abel dans un geste d’amour.

 

Caïn qui fut banni.

 

Caïn qui fut maudit pour l’éternité par l’immortalité.

 

Caïn qui fut maudit par le désir du sang.

 

C’est de Caïn que nous descendons tous le Père de nos Pères.

 

Durant tout une ère il vécu dans le pays de Nod

 

Dans la solitude et la souffrance.

 

Pendant un éon il resta seul.

 

Mais la disparition de ses souvenirs noya ses soupirs

 

Aussi il retourna au monde des Mortels

 

Au monde que son frère et les enfants de son frère avaient créé.

 

 

 

 

 

Nombreux sont ceux qui pensent qu’après avoir rejoint les enfants de Seth (nom courant donné par les vampires aux mortels), Caïn entama la construction d’une grande cité où les vampires et les humains coexistèrent. Certains historiens de la Famille parlent de cette période comme d’une ère idyllique d’harmonie, d’autres plus cyniques pensent que les vampires fondirent sur les enfants de Seth tels la peste.

 

On dit qu’à cette époque 13 clans apparurent, fruit des fils que les fils de Caïn avaient engendrés. Des césures dans le fil de la narration suggèrent qu’il y aurait pu y avoir bien plus de 13 membres de la troisième génération, ou plus de 3 de la seconde génération.

 

Certains cultes dédiés aux mythes des progéniteurs prétendent qu’il y aurait eu peut-être jusqu'à 100 membres de la troisième génération, mais aucune preuve n’existe. 

 

 

 

Bien qu’il devint le dirigeant d’une nation puissante, il était toujours seul,

 

Car nul n’était tel qu’il était. Ses regrets surgirent à nouveau.

 

Alors il commis un autre grand péché, en engendrant, [trois enfants]

 

Mais d’eux surgirent d’autres enfants, les enfants de ses enfants,

 

Aussi Caïn dit « Que ce crime s’arrête, il n’y en aura plus d’autres »

 

Et comme la parole de Caïn était la loi, ses descendants lui obéirent.

 

La cité se perpétua longtemps

 

Et devint le centre d’un grand empire. 

 

 

 

Les nuits de la cité étaient comptées, le conte a continué, et Dieu a envoyé le Déluge, afin d’effacer la perversité apportée au monde par les enfants de Caïn . La Bible de mortels rapporte cet événement comme étant celui où Noé a construit son arche afin d’échapper au destin que l’humanité s’était désigné.

 

Les vampires qui ont survécus sont connus sous le nom d’Antédiluviens, car ils ont précédé le déluge.

 

 

 

Alors vint le Déluge, une grande inondation qui se répandit sur le monde. 

 

La cité fût détruite,

 

Et ses habitants avec elle.

 

Une fois encore Caïn tomba dans un profond désespoir et rechercha la solitude,

 

Devenant tel un chien dans les immensités désertes,

 

Abandonnant sa progéniture à son sort.

 

Ils le trouvèrent, et lui demandèrent de revenir,

 

Afin qu’il les aide à reconstruire la Cité.

 

Mais il ne revint pas avec eux,

 

Expliquant que le Déluge était une punition 

 

Car il était retourné au milieu des vivants

 

Et avait été à l’encontre de la vraie loi . 

 

 

 

En l’absence de leur père Caïn, les vampires se chamaillèrent de manière mesquine et la suspicion grandit entre eux. Le meurtre et l’avarice devint leur règle, et bien qu’ils tentèrent d’égaler la gloire de la Première Cité, la Seconde Cité devint un noeud d’intrigues, de tricherie, de soif de sang et de diablerie. Alors ils revinrent seuls vers les humains qui avaient été abandonnés Et annoncèrent qu’ils étaient les nouveaux dirigeants.

 

Chacun d’entre eux créa une lignée, Afin de clamer la gloire de Caïn. Mais ils n’avaient ni sa sagesse ni sa retenu. Une grande guerre se déclara, les Anciens contre leurs enfants, Et les enfants tuèrent leurs parents.

 

 

 

Se furent ces vampires tueurs de mortels qui donnèrent naissance à ce que nous connaissons sous le nom de clans, engendrant les vampires de la Quatrième génération et les suivants. 

 

Leur manque de sagesse, toutefois, les empêcha de prévoir le fait que leurs enfants se retourneraient un jour contre eux, tout comme ils l’avait fait contre leur propre parents.

 

Quand ceci leur apparut enfin comme une issue inéluctable, les Anciens commencèrent le grand jeu, la guerre de suprématie, le Jyhad, et se cachèrent pour diriger leurs opérations  depuis des havres secrets.

 

Inévitablement, la Seconde Cité fût détruite du fait de cette guerre impitoyable, et la Famille et les enfants de Seth se séparèrent, migrant aux confins de la Terre, où ils pourraient vivre relativement préservés de l’influence monstrueuse des Antédiluviens. Cette croyance était folie, le pouvoir et l’influence des Troisième Génération ne connaissant aucune limite. 

 

L’histoire dit que depuis cette époque, le Jyhad fait rage, engageant tout les membres de la Famille comme de pauvres pions dans la guerre cannibale des Anciens

 

 

 

Les rebelles bâtirent une nouvelle cité

 

Et y amenèrent [13] tribus.

 

C’était une belle cité, et le peuple les vénéraient tels des dieux.

 

Ils créèrent d’autres vampires,

 

La Quatrième génération de Vampires. 

 

Mais ils craignaient le Jyhad,

 

Et ils interdirent à ces enfants d’engendrer à leur tour.

 

Les Anciens gardèrent ce pouvoir pour eux.

 

Quand un enfant était engendré, il était pourchassé et tué,

 

Et son Père avec lui.

 

Bien que la cité fut aussi belle que celle de Caïn, il arriva qu’elle devint vieille.

 

Comme toute chose vivante, elle commença à mourir.

 

Dans un premier temps, les Dieux restèrent aveugles à cette réalité,

 

Et quand enfin ils ouvrirent les yeux, c’était trop tard.

 

Leur cité fut détruite et leur pouvoir s ‘éteignit,

 

Et ils furent forcés de fuir, emmenant leur progéniture avec eux.

 

Mais beaucoup d’entre eux furent détruits dans cette fuite, car ils étaient devenus faibles.

 

Leur autorité ayant disparue, tous devinrent libres de créer leurs propres descendances,

 

Et bientôt il y eut de nombreux nouveau membres de la famille,

 

Qui dirigèrent partout sur la terre. 

 

Mais ceci ne pouvait pas durer.

 

Avec le temps, il y eut trop de vampires,

 

Et la guerre éclata à nouveau.

 

Les Anciens se cachèrent une fois de plus soigneusement,

 

Car ils avaient appris la prudence.

 

Mais leurs enfants avaient fondé leurs propres villes et lignées,

 

Et ce furent eux qui furent détruits dans les vagues de cette guerre.

 

La guerre fut si totale,

 

Qu’il n’existe plus de membres cette génération pour parler .

 

Des marées de chairs mortelles furent lancées à travers les continents

 

Pour qu’elles détruisent et brûlent les cités des membres de la Famille.

 

Les mortels étaient persuadés que les guerres étaient de leur propre chef,

 

Mais c’est pour nous qu’ils versaient leur sang.

 

Une fois cette guerre finie,

 

Tout les vampires se cachèrent les uns des autres

 

Et des humains qui les entouraient.

 

Cachés, nous le sommes à ce jour,

 

Car le Jyhad perdure. 

 

 

 

Plusieurs historiens de la Famille croient que cette ligne a été mal traduite entre les millénaires séparant la Première Cité des temps modernes.

 

Les notes de vampires plus anciens indiquent que cette ligne a été traduite, dans certaines transcriptions du Livre de Nod, de la façon suivante : « De cette génération, il y en eut au plus trois » La plupart des vampires conviennent que ce nombre est treize, puisqu’il existe à ce jour 13 clans connus, mais au moins un exemplaire du livre de Nod parle de « dix par les trois » au lieu de « dix et trois » quand il s’agit de la Troisième Génération.

 

Pour certains vampires, ceci montre qu’il y aurait peut-être eut trente clans différents, et qu’ils sont peut-être détruits à ce jour. 

 

 

 

 

 

 Variation du livre de Nod à propos de la Géhenne

 

 

 

Et le monde deviendra froid

 

Et des choses sales surgiront en bouillonnant de la terre

 

Et de grandes tempêtes se feront entendre, des éclairs allumeront des feux

 

Les animaux vont festoyer, puis leurs corps, difformes, vont s’effondrer.

 

Nos Pères vont eux aussi surgir du sol, ils épancheront leur faim sur les premiers d'entre nous

 

Ils nous consumerons tous

 

Et vous serez que ces temps sont venus par

 

Le temps du Sang Pauvre, qui sera la marque des vampires ne pouvant engendrer

 

Et vous le saurez par les Sans Clans

 

Qui un jour dirigeront

 

Vous le saurez par les Sauvages, qui nous chasseront même dans les plus grandes cités

 

Vous le saurez par le réveil de certains des plus Anciens ...

 

Et ceux qui se nourrissent du sang du coeur seront légion

 

Et le vampire chassera ses semblables

 

Et la Vitae sera aussi rare que les diamants ...

 

Noir sera le soleil!

 

Rouge sang sera la lune!

 

La Géhenne est proche

 

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5 août 2014

Des tombes de vampires exhumées en Pologne

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Squelettes du site de Gliwice. Matériel de presse du Conservatoire Régional des Monuments.

 Sources :
The News.pl, Foxnews

Dans la ville de Gliwice (au sud de la Pologne) des archéologues, mandatés à l’occasion d’un projet de construction de route, ont mis au jour des tombes contenant quatre squelettes décapités, dont les têtes avaient été placées entre leurs jambes. Une surprise pour les scientifiques, qui s’attendaient surtout à exhumer des restes de soldats tués durant les combats de la seconde guerre mondiale.

L’histoire exacte des quatre squelettes reste encore inconnue, d’autant que les archéologues, comme en témoigne Jacek Pierzack qui était présent sur place, n’ont pu que constater l’absence totale d’objets aux côtés des dépouilles, comme des bijoux, des boucles de ceintures, etc. qui auraient pu leur permettre de disposer de quelques pistes pour estimer la période à laquelle ces quatre squelettes ont subi ces traitements.

Il reste donc encore quelques tests à faire, mais il semblerait que ces inhumations pourraient remonter au XVIe siècle. Certains hésitent par ailleurs à les attribuer à la peur des vampires ou à une épidémie de choléra.

Le Telegraph rapporte les propos d’historiens locaux qui attestent de telles pratiques après que le christianisme se soit implanté dans les pays slaves. Il semble que la décapitation était vue comme la seule manière fiable pour empêcher les personnes susceptibles de devenir des vampires après leur mort, de se relever de leur tombe.

La dernière inhumation d’une personne suspectée d’être un vampire à l’intérieur des frontières polonaises remonte à 1914, dans le village de Stare Mierzwice. Un mort y aurait en effet été décapité et sa tête placée entre ses jambes de manière à prévenir son retour en tant que créature non-morte.

http://www.vampirisme.com/actualite/des-tombes-de-vampires-exhumees-en-pologne/

10 octobre 2013

Des scientifiques ont découvert les restes d'une «femme vampire» dans l'ossuaire de Lazzaretto Nuovo

vampires

À l'été 2007, une équipe d'archéologues découvre en Irlande une série de tombes d'un genre inhabituel qui datent du Moyen Âge. Deux des squelettes plongent notamment les chercheurs dans une grande perplexité : ils ont été enterrés avec des pierres dans la bouche. Christopher Read et Catriona McKenzie, deux archéologues, sont chargés de percer le mystère de cette singulière découverte. Croisant des sources historiques avec le résultat des observations sur place, ils essaient de trouver comment les défunts sont morts et pourquoi ils ont été enterrés selon cet étrange rite funéraire. Les chercheurs supposent aujourd'hui que les morts en question étaient considérés par leurs contemporains comme des "revenants", des individus qui se seraient échappés du royaume des morts pour tourmenter les vivants. Associées à des scènes de reconstitution, ces découvertes archéologiques témoignent des pratiques visant à empêcher certains défunts de revenir, et éclairent d'un jour nouveau les légendes des vampires et des morts-vivants.(Royaume Uni , 2011, 49mn)

Des scientifiques ont découvert les restes d'une «femme vampire» dans l'ossuaire de Lazzaretto Nuovo, dans la lagune nord de Venise. Le squelette a été déposé là en même temps que les victimes de la peste de 1578. Pour quelle raison?
Durant les épidémies de peste moyenâgeuse, on croyait que la mort noire était l'oeuvre funeste des vampires. Ils sucaient non seulement le sang mais s'attaquaient également aux linceuils des victimes, selon les croyances d'alors.

Pour être sûr de pouvoir se débarrasser définitivement des vampires suspectés, on leur calait donc une grosse pierre dans la bouche lors de l'enssevelissement. Le crâne retrouvé de la femme laisse donc penseer qu'elle était sconsidérée comme une vampire. L'étrange squelette aux dents acérées et à la barre de pierre entre les mâchoires a été retrouvée près de l'hospice des pestiférés, en 1468. Plus la peste prenait de l'ampleur, plus on avait peur des vampires, en particulier des «femmes vampires».
Linceuil sanglant
A l'époque, la croyance des «femmes vampires» s'est répandue, car les morts perdaient du sang par la bouche à cause de la peste.
L'archéologue Matteo Borrini a présenté sa découverte pour la première fois la semaine dernière à l'American Academy of Forensic Sciences de Denver.
D'autres vampires retrouvés
Il y a bien sûr d'autres tombes qui attestent la croyance des vampires.
L'été dernier, en Bohème, on a retrouvé une tombe vieille de 4000 ans. Les prétendus vampires ont été enterrés avec des pierres très lourdes sur la poitrine, afin qu'ils ne puissent pas se relever de si tôt.
Les restes de la «femme vampire» comportent une grosse pierre dans la bouche, afin qu'elle ne puisse pas sucer le sang après sa mort..
http://www.20min.ch/images/content/2/8/6/28614819/11/1.jpg
Mais c’est surtout à partir du XIVe siècle que cette croyance devient générale dans les pays d’Europe centrale. Les apparitions de vampires correspondent d’ailleurs étrangement avec les grandes épidémies de peste…
Ainsi en Silésie, en Bohême ou en Hongrie, on voit des morts sortir de leurs tombes ou, quand celles-ci étaient ouvertes, les corps des défunts apparaissant en parfait état de conservation et maculés de sang ! Jean Marigny, spécialiste du fantastique et auteur de Sang pour sang, sur les vampires, donne une explication fort logique -mais aussi terriblement cruelle- à ces phénomènes : durant les épidémies de peste, les familles étaient si pressées d’enterrer leurs « cadavres », qu’elles ne prenaient pas toujours la peine de vérifier s’ils étaient vraiment morts… Ainsi, de pauvres malheureux se sont-ils sans doute réveillés bien vivants… mais enfermés dans un cercueil dont ils ne pouvaient sortir !
Mais peu importe les explications rationnelles que l’on peut donner actuellement. Les faits étaient là, certains avaient vu de leurs yeux ces morts maculés de sang : il n’en fallait pas plus pour que naisse le mythe du vampire. Cette croyance était même si profondément ancrée dans les esprits qu’en Europe centrale, on prenait l’habitude d’enterrer les morts avec une pièce ou une pierre dans la bouche car les « non-morts » avaient pour usage de s’auto-dévorer et que, se promenant de nuit dans un cimetière, on pouvait parfois les entendre mâcher ! Ces fameux « non-morts » avaient encore une particularité : ils suçaient le sang des vivants…
Des « non-morts » aux vampires
Cette croyance, ainsi que nous l’avons dit, se limitait presque exclusivement aux pays d’Europe centrale… jusqu’au XVIIIe siècle.
En effet, c’est pendant le Siècle des lumières, qui par ailleurs dénonçait si aisément les superstitions et l’obscurantisme, que le mythe atteint son apogée et qu’apparaît pour la première fois le mot « vampire ».
Il semble alors qu’une véritable frénésie de terreur se soit emparée de toute l’Europe, peu après qu’une épidémie de peste ait touché la Serbie. On ouvre alors les tombes et on envoie des émissaires pour constater le phénomène des vampires. Un cas, en particulier, va passionner l’Europe entière, au point que Louis XV et l’empereur d’Autriche le suivront avec minutie : celui d’Arnold Paole. Ce jeune homme, issu de Medrelga, en Hongrie, était mort subitement écrasé par une charrette de foin. Un incident bien banal qui n’aurait effrayé personne si cet Arnold n’avait raconté un fait troublant que rapporte Dom Calmet, un bénédictin, auteur d’un Traité sur les apparitions des esprits et sur les vampires :
Aux environs de Cassova et sur la frontière de la Serbie turque, il avait été en proie à d’insupportables tourments, aussi mystérieux que fréquents, mais il avait trouvé moyen de se guérir en mangeant de la terre du sépulcre du vampire et en se frottant de son sang, précaution qui cependant ne l’empêcha pas de le devenir après sa mort, puisqu’il fut exhumé quarante jours après son enterrement et qu’on trouva sur son cadavre toutes les marques d’un archi-vampire…

http://www.historia-nostra.com/i


Vampires et morts vivants au Moyen Age par non-merci

18 novembre 2012

Les stars sont des idoles qui participent à la vampirisation énergétique de la nouvelle Babylone

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lorsqu'on veut s'élever par la volonté, la recherche du pouvoir, la célébrité et la gloire en ce monde. On peut emprunter une voie de fausse sainteté comme les initiés de la « main droite » qui ont cultivé une personnalité raffinée, ou au contraire - mais cela revient au même – on peut prendre la voie de la « main gauche » en développant la puissance qui vous hisse au dessus de l'humanité ordinaire. Dans les deux cas, si l'on va assez loin dans le développement choisi, on peut s'octroyer un poste dans la hiérarchie terrestre, au service d'un égrégore.

Peut-on devenir un immortel irrégulier par l'art ou la science ?

Tout à fait. Depuis le développement de la médiatisation, un être qui devient célèbre au plan international prend naturellement, grâce à son charisme, une place de choix dans la hiérarchie planétaire. C'est ainsi que des chanteurs de rock ou des vedettes de cinéma ont gagné une promotion sur une dimension invisible. L'artiste peut être totalement dépravé, ou bien au contraire, il peut s'agir d'un grand humanitariste. Le résultat est sensiblement le même car grâce à son charisme médiatique, la personnalité est devenue si lumineuse sur le plan astral, qu'elle règne sur la portion de l'humanité accordée à sa fréquence. Ici, bien et mal ne sont que les deux faces du jeu de la dualité terrestre. Mais, bien entendu, les humains qui se sont hissés au rang de demi-dieux grâce à leur talent ou leur action, sont aux yeux des masses des êtres divins. Le système politique les identifie par des médailles, des décorations, des prix, afin d'authentifier leur pouvoir occulte. Ainsi, lorsqu'un personnage de la scène médiatique reçoit une décoration au niveau national ou international, cela symbolise sa promotion dans la hiérarchie invisible. Ces décorations ont une fonction magique, à l'image des titres ronflants qu'on confère aux initiés de la hiérarchie ecclésiastique ou maçonnique. Chaque grade maçonnique symbolise un degré atteint dans les basses hiérarchies invisibles, mais il faut avoir fait preuve de ses mérites au service du « prince de ce monde » pour gagner une place de choix dans son administration.

Un chanteur de rock, par exemple, peut-il obtenir cette gratification ?
Prenons les exemples célèbres, comme Mick Jagger, Paul Mc Cartney ou Bob Dylan - sans oublier Elvis Presley qui est une idole qui reçoit un culte religieux. Ainsi, aujourd'hui, lorsqu'un américain sait qu'il va mourir, il dit qu'il va rejoindre Elvis !

Mick Jagger, le provocateur des Rolling Stones qui chantait « sympathie pour le diable » a été décoré du titre de Lord d'Angleterre. Symboliquement, c'est recevoir en héritage un domaine sur la face invisible de l'empire britannique. (Idem pour le Beatle Paul Mc Cartney)

Bob Dylan, le prince des poètes de la génération rock, a été promu à un rang élevé par les autorités maçonniques américaines et internationales. On se souvient de son accolade avec Jean-Paul II, après que Dylan soit d'abord passé à la synagogue de Rome. Nombre de pays l'ont décoré du titre de chevalier des arts et des lettres, ce qui témoigne de l'honneur qui lui est accordé sur la dimension occulte.

Ces artistes médiatisés et idolâtrés ont travaillé pour gonfler certains égrégores, et chaque travail reçoit son salaire. Rien n'est laissé au hasard. Que l'on s'appelle Mère Térésa ou Madonna, c'est le même combat professionnel pour la promotion dans la hiérarchie luciférienne. Il n'y a qu'une faible nuance entre la bonté ostentatoire des grands humanitaristes, et la sensualité des stars. Il faut avoir rendu de bons et fidèles services aux basses hiérarchies, que l'on en soit conscient ou pas. A un certain moment, l'initié sait qu'il est un élu car les pouvoirs qui lui sont octroyés en ce monde sont exorbitants – célébrité, richesse, honneur, pouvoir. Toutefois, l'élu qui ne marche pas droit risque d'être jeté aux oubliettes.

Qu'arrive t-il aux célébrités assassinées ou qui meurent prématurément ?
Généralement, elles sont expédiées de l'autre côté pour être utilisées comme médiums afin de transmettre aux loges occultes des informations sur le futur. Tout a un sens dans l'économie des hiérarchies planétaires. Comme on dit : « chaque cheveu est compté ».

Un élu du système hiérarchique planétaire est un être qui dispose de qualités spirituelles particulières. Il a signé un pacte pour obtenir son pouvoir, son talent, et sa fortune anormale. Il s'est engagé à être un serviteur. Il peut focaliser l'énergie de millions d'êtres afin de redistribuer cette énergie astrale sur d'autres dimensions, au bénéfice des basses hiérarchies.

L'immortalité des grands personnages est donc factice et relative ?

Le fantôme d'Elvis Presley ne sera pas éternellement une idole à laquelle l'Amérique rendra un culte. D'autre part, il n'est pas certain que l'entité Elvis Presley soit capable de diriger consciemment sa carrière magique dans l'au-delà. Son image est utilisée, mais l'entité n'avait pas atteint un niveau de maîtrise occulte suffisante. C'est un instrument. Peu à peu l'image astrale s'estompe et disparaît.

Quoi qu'il en soit, la fonction ésotérique de la gloire en ce monde c'est de constituer autour de personnalités charismatiques des foyers d'alimentation énergétique. Les stars sont des esclaves de la Grande Babylone. Les grands personnages politiques sont au dessus des célébrités dans la hiérarchie car les stars ne sont que leurs serviteurs, leurs bouffons, éventuellement leurs prostituées. C'est pourquoi, aucune célébrité du show business n'attaque le système qui la fait vivre, et qui pourrait la faire mourir. Certaines vedettes jouent les révoltés dans un cadre contestataire délimité, mais jamais ils ne dévoileront les secrets initiatiques - à condition qu'ils comprennent comment ça fonctionne !

Le système est protégé. Un artiste peut prendre un profil de rebelle avant d'accéder au succès, mais dès qu'il est célèbre, il joue le jeu comme un enfant obéissant, ou il est renvoyé en bas.

Brigitte Bardot a égratigné le système, mais pas jusqu'aux responsabilités supérieures, car elle en est un produit, dès avant sa naissance.

Elle dispose d'un certain égrégore, et possède une petite niche de « sainteté » dans la hiérarchie, quoique seulement pour le reflet astral de ses années glorieuses. Elle est donc dans le coup, même si le système l'épingle pour ses positions politiquement incorrectes, lesquelles ne lui vaudront pas un titre d'éternelle comme d'autres stars conscientes des mécanismes ésotériques, et qui sont des initiés. Bardot est protégée pour son image astrale, encore vivace mais qui s'effrite.

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Pour tenir un égrégore, il faut avoir développé une conscience luciférienne puissante au service de l'ordre mondial. Bardot sera récupérée après sa mort si elle ne choisit pas de sortir du système.
Ces entités peuvent-elles échapper un jour au désir de briller et d'être reconnues ? Accède t-on au plus haut niveau de la célébrité si on ne le désire pas depuis de nombreuses incarnations ?

Et les grands noms du passé ?
Ces êtres dont la gloire fut posthume n'étaient pas médiatisées de leur vivant, et seule leur image astrale peut être utilisée par les entités occultes qui gèrent la circulation énergétique à leur profit.

C'est comme de racheter les droits d'un auteur en faisant fructifier la valeur commerciale de son nom. Certains égrégores exercent un droit d'exploitation sur l'image de tel saint ou personnage historique et captent ainsi les sentiments attachés à son nom, mais l'âme du personnage n'est plus dans ce circuit.

Par exemple, François d'Assise aurait refusé de servir de stimulant pour entretenir un culte de sa personnalité, mais cela n'empêche pas l'égrégore catholique romain d'utiliser son image de sainteté pour vampiriser les adorateurs du « poverello ».

Cette organisation de vampirisation astrale est la « Grande Babylone », avec ses dieux et ses héros. C'est une mafia occulte qui gère les images des grands personnages mondiaux, lesquels ne sont pas impliqués dans ce syndicat, soit qu'ils sont sortis définitivement du circuit des renaissances, ou sont incarnés à nouveau sur la terre dans le plus grand anonymat.

Par exemple, lorsque Platon s'est réincarné pour la dernière fois, c'est dans la personnalité d'un écrivain du 19° siècle totalement inconnu. Les grands rôles ne sont pas obligatoirement ceux que l'histoire enregistre. Tout ceci est très aléatoire. Par exemple, Vincent van Gogh est mort pauvre et inconnu. Or, l'une de ses peintures est la plus chère du monde. Dès lors, on parle beaucoup de lui, et l'on a construit un mythe autour de son image, sans qu'il soit impliqué dans ce cirque.

Il s'est formé un culte autour de l'image astrale de van Gogh. Il est peu probable qu'il découvre qu'il n'a été durant son périple ici-bas qu'un peintre raté, mystérieusement devenu le plus cher du monde ! Tout cela est très occulte. Pourquoi un homme qui n'aurait pas vendu une croûte de son vivant, devient-il un mort richissime ? Le monde invisible détourne à son profit les œuvres puissantes. On pourrait citer Mozart et nombre de génies, maudits durant leur existence, mais que le système récupère pour son ambiance culturelle qui sinon serait stérile et creuse.

Certains médiums racontent aux gens qu'ils ont été tel personnage du passé. Selon les modes, c'est un prêtre égyptien ou une princesse celtique. C'est de la sottise. Il faut se souvenir que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l'écoute.

Qui gère le circuit de la célébrité ?
Des entités irrégulières se sont octroyées une place dans les basses hiérarchies grâce à un développement occulte qui leur permet de ne pas revenir en incarnation. Ces entités sont organisées en concessions exploitant les réserves énergétiques de l'âme humaine. Ce commerce malsain remonte à une très haute antiquité. Ces entités ont parfois usurpé l'identité et même l'apparence des dieux qui coiffent au le circuit du système solaire. Ces faux dieux et ces entités irrégulières forment les basses hiérarchies planétaires. C'est un circuit fermé rejeté hors du monde divin.

Il s'entretient par la récupération de l'énergie de l'âme humaine qui seule peut synthétiser la force universelle fondamentale. C'est pourquoi, la méthode privilégiée pour capter l'énergie de l'âme demeure les rites et la prière. Du fait que les religions ont perdu le monopole du culte des divinités, il s'est développé un système médiatique international qui pompe une énergie énorme quoique d'un taux vibratoire déprécié. Ce système permet donc aux célébrités d'accéder au statut de demi dieux aux yeux des foules qui veulent des idoles à adorer à la place des divinités démodées.

Cette crise nécessitera au final de faire apparaître un personnage messianique qui se présentera comme le sauveur, l'avatar divin descendu sur la terre. Les loges orientales et occidentales se disputent à ce sujet, sans compter le messianisme juif qui voudrait imposer son roi David.

Un consensus sera adopté, si ce n'est déjà fait. Que le spectacle commence !
Nous avons parlé de la pseudo immortalité des « maîtres » de la hiérarchie planétaire. Nous voyons que pour parvenir à s'élever dans ces degrés il faut avoir développé un pouvoir occulte spécial. Ce pouvoir est lié à la kundalini inférieure, et ne présente aucun caractère libérateur au sens spirituel. Dès lors, comment un être qui n'emprunte pas ce chemin de puissance, peut-il sortir du circuit terrestre ?

La condition pour sortir du circuit c'est de ne pas s'y enchaîner d'avantage. Par conséquent, il faut comprendre que le développement de nos pouvoirs naturels – comme le recommande l'occultisme - est une entrave plutôt qu'une aide.

Nous n'avons pas à rechercher plus de pouvoir si nous voulons sortir d'un circuit planétaire où l'on se hisse précisément en développant une puissance anormale.
Si l'on ne recherche ni la célébrité, ni les pouvoirs occultes, ni la gloire, ni la fortune en ce monde, alors, on est déjà à moitié sorti d'affaire, car nous n'intéressons plus les basses hiérarchies qui vivent de l'exploitation des ambitions mondaines. On nous considèrera alors comme des créatures sans importance, des minables, des ratés, ce qui est tout à notre avantage, car les entités lucifériennes qui surveillent le circuit planétaire, ne peuvent imaginer qu'on puisse rechercher une autre lumière que celle qui illumine leur univers d'illusion.

On devient intérieurement des petits enfants, et l'air de rien, on sort du bac à sable sans se faire remarquer. Bien entendu, il faut couper les liens avec les séductions de la Grande Babylone, ses passions, ses tentations et ses illusions – tout ce qui mobilise les hommes ordinaires.

Ce n'est évidemment pas facile lorsqu'on a une personnalité développée, car celle-ci veut devenir toujours plus grande, plus intelligente, plus forte, plus douée, etc...

Il faut traverser et vaincre les trois tentations dans le désert : l'orgueil, le pouvoir et l'attachement aux richesses. C'est dire qu'il faut prendre le chemin inverse de ceux qui deviennent importants, et qui sont dès lors récupérés par les basses hiérarchies qui les tentent avec l'appât de la gloire, du pouvoir et de la richesse
.

Comment un être doté d'une personnalité développée peut-il se libérer ? Celui qui brille d'un certain charisme, qui est ambitieux, peut-il échapper à la tentation de la célébrité, du pouvoir et de la richesse ?
Il doit prendre conscience que le développement de ses pouvoirs personnels le conduiront à pactiser avec des puissants - au plan visible ou invisible - qui pourraient faire de lui leur allié ou un serviteur, s'ils détectent en lui un potentiel. Les monastères et les loges maçonniques sont remplis d'esclaves qui plient l'échine, à cause de l'orgueil spirituel ou mondain qui les dévore.

Si l'on a une personnalité ambitieuse, volontaire ou téméraire, il est évident qu'on ne doit pas refouler ce que l'on est. Il faut convertir nos défauts en vertus en restituant à l'univers l'essence de nos pouvoirs individuels. Que celui qui a le sens de l'organisation, trouve sa place dans un groupe spirituel de bonne foi où il pourra faire profiter les autres de ses capacités. Que celui qui est ambitieux recherche un but spirituel élevé à la mesure de son désir. Que celui qui est un meneur, aide les autres à avancer vers la lumière, en montrant l'exemple du dévouement et de l'ardeur. Alors, celui qui a des défauts liés à l'orgueil, le goût du pouvoir ou le désir d'expansion, les mettra au service de son désir de vérité et de libération.

Les serviteurs de la vérité ne sont ni indécis, ni dénués de volonté. Leur volonté ardente est convertie en volonté de servir.
Sur la voie spirituelle régulière, on agit avec volonté et détermination, mais on ne cherche pas de profit personnel, alors que sur la voie irrégulière, on recherche uniquement le pouvoir pour soi-même.

Les deux immortalités, la vraie et la fausse, découlent de deux attitudes inverses : servir Dieu ou servir le monde.

Les idées new age, confuses et complaisantes, ainsi que la religiosité mondaine, tentent de conjuguer ces tendances inconciliables. Mais il n'y a qu'une voie d'immortalisation, c'est sortir du circuit de la mort.

Alors, comment devient-on immortel ?
Sur la voie régulière, il faut le désir sincère et conscient de revenir à notre origine - pour autant que l'on ait conservé la nostalgie de ce paradis perdu.

Sur la voie des anormaux des basses hiérarchies, il faut le désir de devenir un dieu en enfer - parce qu'on ne sait plus d'où l'on est venu, et qu'on ne voit pas d'autre façon d'avancer que la fuite en avant.

Entre les deux, il y a les tièdes, ceux qui se demanderont toujours quel chemin est le plus sécurisant, ou pour la majorité, qui ne se demandent rien du tout.

Joël Labruyère,

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