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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
vatican
21 janvier 2019

le but final du NWO n’est pas temporel et matérialiste c'est la guerre contre la foi.

102630120_duncan_long3le but final n’est pas temporel et matérialiste comme
voudraient nous le faire croire ceux qui dirigent la Conspiration. Nous sommes
impliqués dans le mouvement continuel de la révolte luciférienne contre le pouvoir
suprême et l’autorité du Dieu Tout-Puissant que les lucifériens appellent Adonaï.
On nous a enseigné la bonté infinie de notre Dieu, mais on nous a maintenu dans
l’ignorance du fait que la révolte luciférienne commença dans le monde céleste que nous
appelons le Ciel (Paradis). Lucifer contesta et mit en jeu la suprématie d’Adonaï,
prétextant que son plan de Direction de l’Univers était inconsistant et impossible à
mettre en pratique, parce que basé sur l’affirmation selon laquelle tous les êtres inférieurs
ont la possibilité de Le connaître, de L’aimer et de Le servir par respect pour Ses
perfections infinies. Lucifer proclama que la seule façon de diriger l’Univers entier était
d’établir une dictature totalitaire et de faire respecter par la force la Volonté du Dictateur
grâce au despotisme absolu.
Le mot univers tel que l’emploient ceux qui ont accepté l’idéologie luciférienne dans
ce monde céleste ou dans les autres, a pour signification : ‘‘La totalité des choses
existantes, y compris la Terre, les corps célestes et tout ce qui peut se trouver dans
l’espace’’.
On ne peut comprendre cet important sujet dans sa totalité si l’on ne connaît pas
l’entière vérité. Il nous faut donc connaître l’idéologie luciférienne aussi bien que
l’histoire Scripturaire du combat qui s’est perpétué à toutes les époques dans ce monde
entre Dieu et Lucifer, en vue de décider lequel des plans sur la Création seraient
finalement appliqué.
A moins que nous ne sachions l’entière vérité, nous ne pouvons décider par les dons
divins de l’intelligence et de la libre volonté si nous accepterons le plan et l’amour de
Dieu, si nous Le servirons et Lui obéirons pour toute l’éternité, ou bien si nous irons
littéralement au Diable (Lucifer).
Le dessein de ceux qui dirigent la Conspiration Luciférienne est d’empêcher que les
masses – les Goyim, le Bétail humain – ne connaissent toute la vérité parce qu’ils savent
que cela leur ferait automatiquement accepter le plan de Dieu. En conséquence, les
lucifériens comptent sur leur génie pour mentir et pour tromper ceux qu’ils ont
l’intention d’asservir corps et âme, et leur faire croire n’importe quoi, sauf la vérité.
Nous comprenons mieux pourquoi le Christ faisait référence à la Synagogue de
Satan qui dirige la Conspiration Luciférienne sur cette terre : ‘‘Vous êtes les Fils du Diable
et accomplissez ses volontés. Il est un meurtrier depuis le commencement. Il ne possède pas la
vérité parce que la vérité n’est pas en lui’’.


Nous devons également nous rappeler que les mots ‘‘Synagogue de Satan’’ ne
caractérisent pas uniquement les Juifs parce que le Christ fit savoir très clairement qu’elle
inclut aussi ‘‘ceux qui se disent juifs, mais ne le sont pas et mentent’’ (3). La Synagogue de
3 [NDT] : Étudier la plume à la main l’’‘extraordinaire’‘ question des khazars, peuple mongolo-asiate
converti au Judaïsme aux VIII°-IX° siècles après J. -C. Les juifs ‘‘ashkenazim’‘ sont les descendants des
Khazars... donc non sémites Lorsqu’on sait que plus de 82 % des juifs du monde entier sont ‘‘ashkénazim’‘
on mesure avec quelque vertige l’imposture indicible que constitue le soi-disant ‘‘antisémitisme’‘...
Le seul ouvrage relativement ‘‘sérieux’‘ que l’on peut se procurer en France sur ce sujet peu banal est celui
Satan se compose en effet d’hommes et de femmes d’un grand nombre de nationalités
qui remontent jusqu’à Caïn, le fils d’Êve.
J’ai acquis ma connaissance de la Foi Luciférienne en lisant toute la littérature que
j’ai pu me procurer sur le sujet, et en lisant et en étudiant les traductions des écrits de
Son Éminence le Cardinal Caro y Rodriguez, de Santiago, archevêque-primat du Chili.
Je vous livre ces informations pour que vous puissiez décider de la marche des
événements dans un sens ou dans l’autre.
La Foi Luciférienne enseigne que Lucifer était l’esprit le plus brillant et le plus
intelligent de l’Armée Céleste. Son pouvoir et son influence étaient si forts que lorsqu’il
mit en question le pouvoir et la suprématie de Dieu – ‘‘Adonaï’’ – il provoqua la
défection d’un très grand nombre d’esprits célestes des hautes hiérarchies.
Ces derniers quittèrent Dieu et rejoignirent le Prince des Anges, déchu. Parmi ces
traîtres, il y avait Satan, ‘‘le fils aîné d’adonaï’’.


Selon la Croyance Luciférienne, l’Archange St Michel est le frère de Satan ainsi
que le plus jeune fils d’Adonaï. Les enseignements lucifériens reconnaissent que Saint
Michel infligea une défaite aux anges qui avaient opté pour la Cause Luciférienne au
Ciel. Depuis cette époque date l’inimitié éternelle entre Satan et Saint Michel.
D’après les enseignements lucifériens, le mot ‘‘enfer’’ est le mot qui est utilisé pour
désigner le monde céleste dans lequel Dieu bannit Lucifer et les plus intelligents des
esprits célestes, des esprits enténébrés qui avaient suivi le Prince de l’Enfer de leur propre
et libre volonté.
Dieu – ‘‘Adonaï’’ – décida alors de donner à ces créatures une autre chance,
considérant qu’elles avaient été trompées en adoptant la Révolte Luciférienne. Il créa en
conséquence d’autres mondes – dont la Terre et les peupla avec les moins coupables des
anges qui s’étaient séparés de lui, au Ciel, au moment de la Révolte. Il les fit à sa propre
image et ressemblance ; ils étaient dotés de corps auxquels avait été insufflée la lumière
spirituelle de la grâce sanctifiante. En apparence, ils ressemblaient au Christ que Pierre,
Jacques et Jean avaient pu contempler transfiguré, avec sa permission. Dieu plaça ces
anges déchus dans les nouveaux mondes par un processus de naissances qui les priva de la
connaissance personnelle de leurs existences antérieures. Il les dota, toutefois, d’une
intelligence et leur accorda l’usage d’une libre volonté. Leurs esprits étaient ainsi faits
qu’ils pouvaient recevoir des inspirations du Monde Céleste, aussi bien des esprits qui
étaient restés fidèles à Dieu que des esprits qui avaient embrassé la Cause Luciférienne.
Ceux qui en font les frais veulent en général venir à bout de ces inspirations en faisant
usage de leur propre intelligence. Le corps met en oeuvre les décisions de l’esprit, toutes
les actions du corps devant être ou bien positives ou bien négatives. Toute action
pneumatique est enregistrée dans le ‘‘Livre de Vie’’. L’individu décide en toute
connaissance de son futur éternel et par ses actions pneumatiques il prouve s’il a accepté
le Plan de Dieu sur l’Univers ou bien le Plan de Lucifer. Les résultats en sont le ‘‘Bien’’
ou le ‘‘Mal’’.


D’après la Foi Luciférienne, Lucifer fit de Satan le ‘‘Prince de ce Monde’’ à
l’époque de la Création. Son objectif était d’inciter nos premiers parents à se séparer deDieu – ’’Adonaï”-et d’empêcher que leurs descendants ne réalisent son Plan sur la
Création.
Cette ‘‘foi’’ enseigne également que Dieu, au Jardin d’Eden – le Paradis –
accompagnait nos Premiers Parents en les instruisant de Son Plan et de Sa Conception de
la Vie. Jusque là, il n’y a pas de grande différence entre les enseignements de la Foi
Luciférienne et ceux des Saintes Écritures.
La différence commence à se manifester lorsque Satan entre en scène. Les Lucifériens
enseignent – aux initiés des grades inférieurs du Rite Palladien Nouveau fondé par Albert
Pike – que Dieu – ‘‘Adonaï’’ – est un Dieu jaloux et égoïste qui empêcha nos premiers
parents d’avoir connaissance des plaisirs des relations sexuelles – le secret de la
procréation – parce qu’il souhaitait se réserver ces plaisirs !
Vous apprécierez l’abomination de la chose, un mensonge difficile à qualifier
tellement il est épouvantable.
Dieu avait simplement remis à plus tard Sa volonté de faire connaître la procréation
à nos premiers parents, après avoir sérieusement éprouvé leur honnêteté, leur intégrité et
leur obéissance. Il voulait être certain de pouvoir compter sur eux avant de leur confier le
secret, de les savoir dignes d’accomplir cette fonction sainte et sacrée qui donnerait à
d’autres êtres une chance d’accepter Son Plan sur la Création.
Les lucifériens racontent à ceux qui sont initiés dans le rite Palladien nouveau que
Satan gratifia la Race Humaine du don le plus important lorsqu’il initia Êve aux plaisirs
des relations sexuelles, lui faisant ainsi découvrir le secret de la procréation. Les Saintes
Écritures nous apprennent que Satan incita Êve à désobéir à Dieu – ‘‘De l’Arbre de la
Connaissance du Bien et du Mal tu n’en mangeras pas’’ – en lui promettant que si elle
acceptait ses avances, Adam et Elle deviendraient les égaux de Dieu – en pouvoir – et ne
connaîtraient jamais la mort.
En d’autres mots, Satan dévoila à Êve l’idéologie Luciférienne concernant le sexe et
les relations sexuelles – ‘‘connaissance de la chair’’ – qui est en totale opposition avec les
desseins de Dieu, l’acte de procréation devant être accompli par un homme et une
femme unis pour la vie dans les liens du mariage, un acte accompli dans la stricte
intimité, fondé sur des sentiments profonds, des expressions mutuelles de joie, d’estime,
de dévouement et de reconnaissance, le summum devant être atteint par le désir spirituel
de deux êtres de promouvoir le Plan de dieu, c’est à dire le Peuplement du Monde par la
création d’un nouvel être qui grandira pour aimer, obéir et servir Dieu afin de vivre pour
toujours avec Lui dans le bonheur.
La conquête d’Êve par Satan fut d’un genre tout à fait différent car elle reproduisait
le Rituel de la Messe Adonaïcide, la ‘‘Messe Noire’’ Suivant le rituel de cette ‘‘messe’’,
les actes amoureux de Satan étaient calculés de façon à exciter les passions animales en
Êve jusqu’au point où la satisfaction de l’excitation sexuelle prit le dessus sur toutes les
autres considérations.
Satan lui conseilla d’aimer la volupté plutôt que la modestie, d’être ‘‘libérée’’ au lieu
d’être fidèle à son époux, de verser dans l’exhibitionnisme au lieu de respecter la stricte
intimité, de s’enfoncer dans la perversion et de donner libre cours à ses excès au lieu de
garder la modération.
Selon le Satanisme il est parfaitement normal d’employer quelque moyen que ce soit
pour satisfaire le besoin sexuel, qu’il soit animal ou humain ! Le Talmud de Babylone –
qui repose sur les enseignements kabbalistiques des promoteurs de la Conspiration
Luciférienne – enseigne qu’il est parfaitement normal qu’un ‘‘homme’’ abuse d’enfants
âgés de 3 ans pour satisfaire ses diaboliques passions animales !!!
la conspiration mondiale
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La Foi Luciférienne proclame en outre que Caïn naquit de l’union d’Êve et de
Satan ! Sachant que ces horreurs relatives au sexe sont le fruit de l’idéologie Luciférienne,
nous pouvons reconnaître l’influence Satanique qui inspire de telles idées.
Mais nous comprenons difficilement que des ministres des Confessions Chrétiennes
puissent exposer les théories suivantes en ce qui concerne le mariage. Nous lisions
récemment dans des publications de l’Église qui exprimaient les opinions de chefs
religieux de deux confessions différentes, qu’il était parfaitement normal et convenable
pour un couple marié d’avoir des relations sexuelles où il le souhaitait, à n’importe quelle
période – y compris les périodes de menstruations – et dans n’importe quelle position
pourvu que l’acte s’achevât dans la position qui permette la conception !
Après avoir lu ce conseil abominable nous en avons conclu que les auteurs étaient
indubitablement restés célibataires !
Il y a une énorme différence entre la complaisance sexuelle qui vise à purement
satisfaire les passions animales et la relation sainte et sacrée d’un homme avec sa femme
qui est et demeure pure de corps, d’âme et d’esprit ! La satisfaction de la passion animale
est grossière, agressive, souvent perverse et sadique. L’acte d’amour et d’affection entre un
homme et sa femme en disposition d’amour réciproque est une fonction sainte et sacrée
qui est justement qualifiée de ‘‘Sacrement’’.
Sous l’influence de la propagande des Illuminati, nombre de personnes ont contracté
un mariage dans le dessein de légaliser leurs relations sexuelles. De nombreux mariages ne
sont rien moins que de la prostitution légalisée, et davantage encore ne sont que des
mariages de convenance.


N’est-ce pas étonnant, puisque nous, les êtres humains, sommes nés avec la tache du
Péché Originel ? Nous sommes conçus dans le péché parce que l’acte de procréation n’est
pas totalement en accord avec la volonté de Dieu, puisque soumis aux perversions
introduites par Satan lorsqu’il séduisit Êve.
Dieu, dans Sa colère contre nos premiers parents, retira la lumière de la grâce
sanctifiante de leur corps. A cause de leur péché, d’êtres immortels, ils devinrent des êtres
mortels et furent condamnés à souffrir des privations, de la maladie, de la souffrance
physique et de la mort. Mais Dieu, dans Sa miséricorde et Sa bonté, par l’intermédiaire
de Son Fils bien-aimé Jésus-Christ, nous donna une nouvelle chance de rejeter l’idéologie
luciférienne enseignée par les satanistes et d’accepter Son plan sur la Création.
Si ce que nous exposons n’est pas la vérité, pourquoi l’Église Catholique Romaine
accorde-t-elle donc une si grande importance au dogme de l’Immaculée Conception de
Marie, la Mère de Jésus-Christ ? La foi catholique romaine demande à tous ses fidèles de
croire que Marie est la seule créature humaine préservée de la tache du péché originel,
parce qu’elle conçut du Saint-Esprit, conformément au Plan Divin de procréation.
Si Satan n’avait pas perverti la sexualité pour détourner Adam et Êve de Dieu,
pourquoi donc les Skoptsi4 auraient-ils pratiqué l’auto-émasculation bien avant
l’avènement du Christ et continuent aujourd’hui encore à s’émasculer afin de prouver
qu’ils rejettent le sexe dans sa forme pervertie, oeuvre de Satan ? Les Skoptsi croient qu’en
s’émasculant ils pourront se consacrer à fond au service du Dieu Tout-puissant et à la
réalisation de Son Plan sur la Création. Les Skoptsi méprisent les ministres et les prêtres
de la Religion Chrétienne qui craignent de s’émasculer pour rendre un service plus
parfait à Dieu.
4 Fanatiques russes qui déclarent que l’homme est foncièrement mauvais, se donnent pour mission la
destruction de la race humaine et recourent à la castration. Quillet, 1946.
la conspiration mondiale

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Les hommes qui souhaitaient devenir leurs disciples demandaient parfois aux apôtres
du Christ si l’autoémasculation était obligatoire. Saint Mathieu traite de cette très
délicate question dans son chapitre XIX, versets 10 à 12. Le verset 12 nous enseigne : ‘‘Il
y a en effet des eunuques qui le sont de naissance ; il y en a d’autres qui le sont devenu par le
fait des hommes, il y en a d’autres encore qui le sont devenu de leur propre fait à cause du
royaume des cieux. Comprenne qui pourra”.
Traitant de ce même sujet, Saint Paul enseigne à ses disciples qu’il vaut mieux
renoncer aux relations sexuelles qui ressortent de la perversion et détournent de
nombreux êtres humains du Dieu Tout-Puissant. Les Saintes Écritures dans l’Épitre aux
Thessaloniciens (IV, 1-7) nous livrent sa pensée : ‘‘Au reste, frères, nous vous en prions et
supplions dans le Seigneur Jésus, puisque vous avez déjà appris de nous la manière dont vous
devez vous comporter pour plaire à Dieu – ce que vous faîtes déjà – faites-y de nouveaux
progrès. Car vous connaissez les préceptes que nous avons donnés de par le Seigneur Jésus. Ceci
est en effet la volonté de Dieu, le moyen pour vous de tendre à la sainteté : que vous vous
absteniez de toute impudicité, que chacun de vous sache garder son corps en toute sainteté et
respect, sans se livrer aux passions déréglées comme les païens (les Gentils, Lucifériens ou
Satanistes) qui ne connaissent pas dieu ; car Dieu ne nous a pas appelé à l’impureté mais à la
sainteté dans le Christ Jésus notre Seigneur’’.
C’est sur ce principe que Saint Augustin fait reposer son opinion selon laquelle la
perversion de la sexualité qu’avait prévue le Dieu Tout-Puissant, associée à la
désobéissance d’Adam et d’Êve à Sa Loi et à Son Plan Révélé sur la Création, aggravée
par la manifestation du manque de foi en Ses Perfections et en Sa Bonté Infinies,
constituent le Péché Originel.
Lorsqu’on a accepté et compris cette grande vérité, on peut facilement comprendre
comment la Conspiration Luciférienne toujours existante s’est développée sur cette terre
dans le but d’asservir corps et âme les survivants de la Race Humaine. Ce qui explique
également le déluge quotidien de sexualité à la radio et à la télévision, les films
pornographiques, les exhibitions impudiques de la femme, les chansons sexy, le rythme
‘‘Elvis Presley’’, le Rock’N’Roll (5).
Un des magazines les plus importants d’Amérique publiait vers la fin de 1956
l’histoire de la façon dont Kadar avait pris le pouvoir en Hongrie et mit fin au
soulèvement. L’auteur affirmait que Kadar avait été émasculé par ses ennemis lorsqu’il
était entre leurs mains. Cette déclaration est un mensonge. Kadar fut castré par son
propre chirurgien et à sa demande. Il souhaitait devenir un parfait adepte de la Cause
Luciférienne. Kadar était tellement fanatique, qu’après avoir réprimé la Révolte
Hongroise, il ordonna qu’on émascule 45 000 jeunes hongrois qui avaient été faits
prisonniers. Il les envoya ensuite dans des camps spéciaux où ils furent entraînés pour
devenir des Agents des Illuminati et être utilisés pour amener la Conspiration
Luciférienne dans sa dernière phase. Tout cela est foncièrement horrible mais vrai. ‘‘News
behind the News’’(6) affirmait en 1956 que la Révolte Hongroise avait été manigancée par
les Illuminati de l’extérieur et qu’elle avait pour dessein de tester dans la pratique la
possibilité de réalisation du Plan de Pike : provoquer le cataclysme social ultime en
impliquant des peuples contrôlés par les Communistes Athées et des peuples qui
professent le Christianisme. Des preuves que nous avons reçues depuis, établissent
formellement que nous avions absolument raison dans nos affirmations.
La Foi Luciférienne enseigne que la Conspiration progressa à une telle vitesse que
Dieu décida d’envoyer Saint Michel sur la terre, en la personne de Jésus-Christ (!), pour y
mettre un terme et disperser les sicaires de la Synagogue de Satan.


Elle enseigne également que Saint Michel – le Christ – échoua dans Sa Mission.
Pike élabora le Rituel de la Messe Adonaïcide autour de la séduction d’Êve par
Satan, de la victoire luciférienne sur le Christ et de Sa Mort à l’instigation des Illuminati.
Le Christ est venu pour nous racheter et nous libérer des liens avec lesquels Satan
nous avait enchaînés. Il nous a appris que Satan avait obtenu le contrôle de tous ceux qui
exerçaient des fonctions importantes dans les gouvernements, la religion, les sciences et
les autres activités humaines. Sa naissance dans une étable nous apprend que si nous
souhaitons établir le Plan de Dieu sur la Création, nous devons commencer par ce qu’il y
a de plus humble pour éduquer la plus grande partie de l’humanité. Le Christ nous a fait
savoir de la façon la plus claire possible qu’il était inutile et vain de commencer par le
sommet. Si l’on acceptait cette leçon, nous aurions une ‘‘révolution’’ spirituelle ! Le
Christ nous a enseigné aussi qu’il n’y a qu’une seule façon de mettre un terme à la
Conspiration Luciférienne : c’est d’enseigner l’entière vérité concernant cette question
aux peuples de toutes les nations. Il nous a assuré que si nous faisions connaître la vérité
et que si nous expliquions aux masses que l’idéologie Luciférienne requiert leur
asservissement absolu, corps et âme, la réaction serait telle que l’opinion publique
deviendrait une force importante que la Synagogue de Satan ne pourrait plus contrôler.
Weishaupt et Pike reconnurent cette vérité. Ils insistèrent sur le fait que tout agent
d’exécution Illuministe, dans la mesure où ce dernier était suspecté de trahison, devait
être exécuté comme traître.
Weishaupt écrivit que si un seul homme réussissait à divulguer leur secret, leurs plans
feraient un recul de 3 000 ans en arrière ou seraient ajournés définitivement. Cette
information nous satisfait beaucoup. Il s’agit pour nous de mener à bien la directive que
le Christ nous a donnée (7) et de raconter comment Weishaupt se servit de Thomas
Jefferson pour transférer en Amérique sa Conspiration Luciférienne, révisée.
Jefferson faisait partie des financiers, des politiciens, des économistes, des
scientifiques, des industriels, des hommes des professions libérales et des hommes
d’Église qui avaient accepté l’idée qu’un Gouvernement Mondial dirigé par des hommes
de tête (les Illuministes) était la seule solution pour mettre fin aux guerres et aux
révolutions.
Jefferson occupait une position si élevée dans les conseils exécutifs des Illuminati
qu’il avait fait inscrire secrètement leur insigne sur le verso du Grand Sceau d’Amérique,
déjà prêt pour le jour où ils investiraient le gouvernement.
Comme cette information choquera un grand nombre de citoyens américains, nous
citerons donc des documents authentiques et des événements historiques dont l’existence
a été soigneusement dissimulée au grand public du Canada et des États-Unis.
En 1789, John Robison, très haut initié maçon, confirma que les Illuminati s’étaient
infiltrés dans les loges maçonniques américaines.
Le 19 juillet 1798, David A. Pappen, Président de l’Université de Harvard, mit en
garde ses étudiants vis à vis de l’influence que prenait l’illuminisme dans la politique
américaine et dans la religion (Nous nous demandons ce qu’il dirait de Harvard s’il était
encore en vie aujourd’hui !).
Le jour de la Fête d’Action de Grâces de l’année 1789, Jedediak Morse prêcha contre
l’Illuminisme. Il avertit sa congrégation et la population des États-Unis que les
Illuministes dissimulaient leur véritable dessein en s’infiltrant dans les loges maçonniques
et en cachant leurs actions subversives ainsi que leurs intentions sous le masque de la
philanthropie.

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En 1799, John Cosens Ogden révéla le fait que les Illuministes de Nouvelle
Angleterre se consacraient infatigablement à détruire la religion et le gouvernement en
Amérique en feignant de se soucier de leur protection.
En 1800, John Quincy Adams s’opposa à Jefferson pour la Présidence des États-
Unis. Adams avait organisé les loges maçonniques de Nouvelle Angleterre. Il écrivit trois
lettres au Colonel Wm. L. Stone lui exposant les activités subversives de Jefferson. Les
informations contenues dans ces lettres permirent à Adams de remporter les élections.
Les lettres auxquelles nous faisons référence sont – ou étaient – exposées à la Rittenburg
Square Library de Philadelphie.
En 1800, le Capitaine Wm. Morgan sentit qu’il était de son devoir d’informer les
autres francs-maçons des raisons et de la manière dont les Illuminati utilisaient leurs loges
à des desseins subversifs. Les Illuminati déléguèrent un de leurs membres, Richard
Howard pour exécuter le ‘‘traître’’ Morgan. Celui-ci tenta de fuir au Canada mais il
échoua (8).
Un certain Avery Allyn fit une déclaration sous serment à New-York et jura qu’il
avait entendu Richard Howard, lors d’une réunion de Chevaliers Templiers à St John’s
Hall (New-York), faire le récit de sa mission en racontant comment il avait ‘‘exécuté’’
Morgan. Il y eut ensuite des pourparlers afin de ramener Howard par bateau jusqu’à
Liverpool, en Angleterre. Des minutes maçonniques prouvent qu’à la suite de cet
incident des milliers de francs-maçons quittèrent la Juridiction Nord des États-Unis.
En 1829, une Illuministe dénommée ‘‘Fanni’’ Wright fit une conférence à un
groupe soigneusement sélectionné d’Illuministes dans le nouveau Temple Maçonnique
de New-York. Elle expliqua l’idéologie Luciférienne quant à l’ ‘‘Amour Libre’’ et à la
‘‘Liberté Sexuelle’’. Elle informa également les Illuministes américains du fait qu’il était
prévu d’organiser et de financer le Communisme Athée dans le but de poursuivre leurs
propres plans secrets et leurs visées mondiales. Parmi les hommes qui contribuèrent à
mettre en oeuvre cette phase de la Conspiration Luciférienne, nous trouvons Clinton
Roosevelt (un ancêtre direct de F. D. Roosevelt), Horace Greeley et Charles Dana.
En 1834, afin de dissimuler leur véritable dessein, les personnes ci-dessus nommées
organisèrent le ‘‘Loco-Foco Party’’.
En 1835 elles transformèrent son nom en celui de ‘‘Whig Party’’ et l’employèrent à
rassembler les fonds qui financeraient Mordecaï Mark Levi – c’est à dire Karl Marx –
lorsqu’il écrirait le ‘‘Manifeste du Parti Communiste’’ et ‘‘Das Kapital’’ à Soho (Londres).
Ces deux publications furent écrites sous le contrôle direct des Illuminati. Elles étaient
destinées à leur permettre d’organiser le Communisme Athée comme l’exigeait le Plan
d’Adam Weishaupt achevé en 1776.
En 1834, les Illuminati firent de Giuseppe Mazzini leur ‘‘Directeur de l’Action
Politique’’. Ce titre n’était qu’une façade et signifiait en réalité ‘‘Directeur des Activités
Révolutionnaires’’. Léon de Poncins, à la page 65 de son livre ‘‘Les Forces Secrètes de la
Révolution’’ – édition américaine – confirme ce que j’avais publié à ce sujet dans ‘‘Des
Pions sur l’Échiquier’’ et ‘‘Le Brouillard Rouge sur l’Amérique’’, à savoir que Mazzini était
en rapport étroit avec certains dirigeants occultes et conduisait leurs activités
révolutionnaires implantées dans les différentes contrées du monde. Mazzini fit la
connaissance du Général Albert Pike peu après que le Président Jefferson Davis eut
dissous ses Troupes Indiennes Auxiliaires sous le prétexte qu’elles avaient commis des
atrocités, alléguant le fait de guerre.

Pike
En 1850, à l’âge de 41 ans, Albert Pike s’infiltra dans la franc-maçonnerie et fut
initié à la Western Star Lodge de Little Rock dans l’Arkansas. Soutenu par les Illuminati,
il eut une ascension fulgurante dans la maçonnerie.
Le 2 janvier 1859 Pike fut élu Souverain Grand Commandeur du Suprême Conseil
de la Juridiction Sud des États-Unis. Il se lia étroitement à un adepte de la Foi
Luciférienne dénommé Moses Holbrook qui était Souverain Commandeur du Suprême
Conseil de Charleston en Caroline du Sud. Ensemble ils mirent au point le rituel d’une
version modernisée de la ‘‘Messe Noire’’ Luciférienne qui repose sur les enseignements
kabbalistiques. C’est alors que mourut Holbrook.
Pike introduisit la ‘‘Messe Adonaïcide’’ que devaient célébrer les Initiés qui avaient
été admis à recevoir le secret intégral et le dernier grade du Rite Palladien Nouveau. Le
Rituel de la ‘‘Messe Adonaïcide’’ demande au célébrant d’initier la Prêtresse, qui joue le
rôle d’Êve, aux plaisirs du sexe tels que Satan les enseigna à Êve. Ainsi, la victoire de
Satan sur Êve est perpétuée et l’on remémore à ceux qui sont présents comment on
utilise encore le sexe pour obliger les personnes que l’on souhaite contrôler à se détourner
de Dieu. Le Rituel nécessite l’immolation d’une victime humaine, animale ou bien d’un
volatile. Ce sacrifice est offert à Lucifer pour commémorer la victoire de la Synagogue de
Satan sur le Christ. On fait circuler et boire à petites gorgées le sang de la victime aux
participants, puis manger des morceaux de chair. Tout cela pour ridiculiser le Christ
lorsqu’il enseignait : ‘‘Celui qui mange ma chair et boit mon sang aura la vie éternelle’’. (9)
Le célébrant profane ensuite et souille une Hostie consacrée par un prêtre de l’Église
Catholique Romaine. Cet acte est accompli afin de prouver aux personnes présentes que
Dieu – Adonaï – n’est pas tout-puissant. Cela indique aussi leur détermination à détruire
toutes les autres religions (10). Toutes les Messes Adonaïcides se terminent par une orgie
de nourritures, de boissons et de sexe.


Pike déclarait que ‘‘pour qu’un adepte des plus hauts grades soit parfaitement maître de
ses passions qui dévoient tant de coeurs, il lui fallait souvent user des femmes mais sans passion
pour devenir ainsi maître de ses désirs et par là enchaîner les femmes.’’ Pike écrivit également
que ‘‘les loges de frères qui ne s’annexent pas une loge de soeurs pour usage commun sont
incomplètes’’. Nous vous renvoyons à la page 578 du livre ‘‘La Femme et L’Enfant dans la
Franc-maçonnerie Universelle’’ de A.C. de La Rive qui traite précisément des Loges
d’Adoption qui sont utilisées pour introduire les femmes dans les Rites Palladistes (11).
Du fait de son soutien inconditionnel à la Cause Luciférienne, Pike fut élu Souverain
Pontife de la Franc-maçonnerie Universelle et en tant que tel fut assisté de Dix Anciens
de la Suprême Loge du Grand Orient de Charleston, en Caroline du Sud.
Pike travaillait dans la maison de maître qu’il avait fait construire à Little Rock –
Arkansas – en 1840 ; c’est là qu’il dressa le Plan des Phases Terminales de la
Conspiration Luciférienne.
Comme nous le prouverons par la suite, le dernier cataclysme social doit se produire
entre les masses contrôlées par les Communistes Athées et les masses qui reconnaissent la
Religion Chrétienne. C’est ce plan diabolique qui justifie la définition du mot ‘‘Goyim’’:
‘‘bétail humain préparé pour le massacre’’.
Afin de mettre en oeuvre ce complot diaboliquement inspiré, Pike organisa le ‘‘Rite
Palladien Nouveau’’ et donna l’ordre à Mazzini d’établir des Suprêmes Conseils à Rome
et à Berlin pour travailler en coopération avec le quartier général qu’il avait établi à
Charleston.
Le Suprême Conseil de Rome était responsable de l’ ‘‘Action Politique’’, celui de
Berlin constituait le ‘‘Directoire Dogmatique’’.
Les Trois Suprêmes Conseils avaient pour tache de diriger les activités subversives
des 23 autres conseils que Pike avait mis sur pied en des positions stratégiques de
9 [NDA] : La Police de Chicago poursuit ses enquêtes à propos de trois crimes rituels.
10 [NDA] : Très récemment des agents des Illuminati ont volé le tabernacle d’une Église Catholique
Romaine du New-Jersey pour obtenir des hosties consacrées.
11 [NDA] : Une certaine Wilma Montesi mourut après qu’on l’eut utilisée comme Prêtresse lors d’une
Messe Adonaïcide. Elle avait pris part à un marathon sexuel. Morte d’épuisement physique, on constata
également une overdose de ‘‘drogues’’ qu’on lui avait administrée pour stimuler le désir sexuel. Son corps
fut retrouvé sur une plage près de Naples. Le scandale impliquait – en Italie – de Hautes Personnalités de
l’Église et de l’État...
l’Amérique du Nord, de l’Amérique du Sud, de l’Europe, de l’Asie, de l’Afrique et de
l’Océanie (12).


Afin de prouver que le ‘‘Suprême Secret’’ ne se communique qu’aux Adeptes jugés
dignes d’être initiés au Dernier Grade du Rite Palladien – qui les intronise Membres de
la ‘‘Grande Loge Blanche’’ et ‘‘Grands Prêtres de la Foi Luciférienne’’ – nous citerons
une lettre qu’écrivit Mazzini au Dr Breidenstein avant d’avoir reçu le dernier grade.
Mazzini écrivait : ‘‘ Nous constituons une association de frères en tous les points du globe.
Nous souhaitons briser tous les jougs. Cependant, il y en a un d’invisible que l’on peut à peine
sentir et il pèse sur nous. D’où vient-il ? Où est-il ? Personne ne le sait… ou bien ne veut le
dire. Cette association est secrète, même pour nous, les vétérans des sociétés secrètes”.
Ayant en vue l’objectif de provoquer le dernier cataclysme social entre les
Communistes et les Chrétiens, Pike dut placer des Illuministes aux postes de contrôle de
l’État du Vatican. Afin de permettre aux Illuminati de s’y infiltrer, Pike ordonna à
Mazzini de susciter en Europe une atmosphère ‘‘Anti-Vaticane’’ jusqu’à ce que – comme
nous le savons – l’intégrité physique des personnes, à l’intérieur du Vatican, fut mise en
danger.
Karl Rothschild, fils de Mayer Amschel Rothschild, qui avait financé l’Organisation
des Illuminati de Weishaupt, intervint alors en faveur de l’État Pontifical sous le prétexte
qu’il souhaitait empêcher une effusion de sang inutile. C’est ainsi qu’un des plus hauts
membres des Illuminati s’assura la reconnaissance et l’estime du Pape et des Officiels du
Vatican. Il en profita pour placer des agents de la Secte des Illuminati comme Experts et
Conseillers en Finance (13) et en Politiquent ... Ils accomplissaient de façon précise la
prescription de Weishaupt – objet de son orgueil – lorsqu’il écrivit : ‘‘nous nous
infiltrerons dans cette place le Vatican – et lorsque nous serons à l’intérieur nous n’en sortirons
plus jamais. Nous la minerons jusqu’à ce qu’il n’en reste plus qu’une coquille vide’’ !...
Depuis que les Illuminati se sont infiltrés au Vatican la Conspiration Luciférienne a
fomenté deux guerres mondiales qui ont divisé la Chrétienté en armées opposées. Les
Chrétiens de toutes les confessions se sont entre-tués par millions sur cette terre avec
pour conséquence le fait que les masses contrôlées par le Communisme Athée ont
maintenant une puissance équivalente à ce qui reste de la Chrétienté.
Le cours des événements jusqu’à nos jours est strictement conforme aux prescriptions
de Weishaupt et de sa Conspiration Luciférienne. La façon dont cela s’est produit nous
indique que le plan d’action mis au point par Albert Pike de 1850 à 1886 dans sa
demeure de Little Rock – Arkansas – a été scrupuleusement suivi. N’oublions pas que les
Archives Secrètes du Vatican sont les plus complètes du monde. Plus que toutes autres !
Nous mesurons la différence qu’il y aurait eue dans ‘‘le cours de l’Histoire’’ si les
Illuminati n’avaient eu le pouvoir d’instaurer une Conspiration du Silence coiffant tous
les gouvernements, qu’ils soient politiques ou religieux.
J’ai en ma possession de nombreuses lettres de prêtres ayant vécu à Rome et étudié
au Vatican. Elles fournissent bon nombre de preuves qui établissent que le Saint-Père a
un sort comparable à celui d’un prisonnier à l’intérieur du Vatican (14), comme de la
même façon le Président des États-Unis est un prisonnier à la Maison Blanche, la Reine
d’Angleterre une prisonnière à Buckingham Palace et Khrouchtchev un prisonnier au
Kremlin.
Une seule fois, ces dernières années, la surveillance constante que l’on exerçait sur le
Pape s’est relâchée. Ce fut lorsqu’ ‘‘on’’ pensa que Sa Sainteté était à l’antichambre de la
mort. Nous savons qu’il avait tellement décliné que seul un miracle put lui donner la
force de convoquer une personnalité officielle sur laquelle il pouvait compter. Il donna
l’ordre à cette personnalité d’adresser un appel à tous les catholiques romains, leur
demandant de ‘‘prier pour l’Église du Silence’’.


Pike limita l’Initiation dans le Rite Palladien Nouveau aux hommes et aux femmes
qui s’étaient irrémédiablement détournés de Dieu et avaient vendu leur âme à Satan en
échange de la réussite matérielle et des plaisirs charnels. Mais la ruse et l’intelligence des
Maîtres de la Synagogue de Satan sont telles que même les initiés du Rite Palladien
Nouveau ne sont pas admis à recevoir le suprême secret avant d’avoir été sondés à fond.
La manière dont la ‘‘Grande Loge Blanche’’ – les Grands Prêtres de la Foi
Luciférienne – garde leur secret fut parfaitement illustrée lorsqu’un autre Acte de Dieu fit
que des documents top-secrets émis par Albert Pike tombèrent dans des mains qui
n’étaient pas celles auxquelles ils étaient destinés.
Mazzini mourut en 1872. Pike désigna alors Adriano Lemmi pour lui succéder en
tant que Directeur de l’Action Politique. Lemmi, qui avait été initié dans le Rite
Palladien Nouveau, était un adorateur de Satan. Pike l’instruisit en lui révélant le
suprême secret. Il lui expliqua que Lucifer était le seul Dieu en dehors d’Adonaï et que le
dessein ultime de la Conspiration en marche consistait à imposer l’idéologie Luciférienne
à l’Humanité. Les faits qui se rapportent à cet incident furent divulgués dans le livre de
Domenico Margiotta : ‘‘Adriano Lemmi, Chef Suprême des Francs-Maçons’’.
Le fait que seuls quelques Initiés des plus Hauts Grades du Rite Palladien sont en
possession du suprême secret fut de nouveau prouvé lorsque Pike jugea nécessaire de
diffuser la lettre d’instruction suivante aux Illuministes qu’il avait choisis pour diriger les
activités des 23 conseils établis dans le monde entier.
Un exemplaire de cette lettre datée du 14 juillet 1889 fut aussi détourné de son
chemin... Ce courrier est cité par A.C. de La Rive à la page 587 de son livre : ‘‘La Femme
et L’Enfant dans la Franc-Maçonnerie Universelle’’.
Citons ce paragraphe : ‘‘Voici ce que nous devons dire à la foule : Nous adorons un
Dieu, mais il s’agit du Dieu que l’on adore sans superstition... La Religion Maçonnique
devrait être, pour nous tous, initiés des hauts grades, maintenue dans la pureté de la Doctrine
Luciférienne... Si Lucifer n’était point Dieu, est-ce qu’Adonaï, dont tous les actes attestent la
cruauté, la perfidie, la haine de l’homme, la barbarie, la répulsion pour la science – si Lucifer
n’était point Dieu, est-ce qu’Adonaï et ses prêtres le calomnieraient ?
Oui ! Lucifer est Dieu. Et malheureusement Adonaï aussi est Dieu car la loi éternelle
exige qu’il n’y ait point de splendeur sans ombre, de beauté sans laideur, de blanc sans noir.
L’absolu ne peut exister qu’en tant que double élément (Dieux)... Donc, la doctrine du
Satanisme est une hérésie, la véritable et pure religion philosophique, c’est la croyance en
Lucifer, égal d’Adonaï, mais Lucifer Dieu de Lumière et Dieu du Bien, luttant pour
l’Humanité contre Adonaï, Dieu des Ténèbres et Dieu du Mal. ‘‘ !!!
L’Histoire nous enseigne que depuis 1776 la Conspiration s’est déroulée exactement
comme Adam Weishaupt l’avait prévue, tout simplement parce que ceux qui dirigent
cette entreprise démoniaque ont été capables de garder le secret de leur but final, à savoir
l’asservissement corps et âme de ce qui resterait de la Race Humaine.‘‘lorsque nous aurons obtenu le
contrôle, le nom même de Dieu sera efface du livre de vie’’. Dans le jargon des Illuminati,
cela signifie qu’un lavage de cerveau scientifiquement appliqué sera employé pour effacer
des esprits des esclaves humains toute connaissance du Dieu Tout-Puissant : ‘‘Adonaï”.
Les Illuministes ont l’intention de faire des Zombies de tous ceux pour lesquels ils n’ont
pas d’affectation particulière.


Laissez-moi vous donner ce dernier avertissement. Les Guerres – que ce soient les
guerres offensives ou les guerres préventives –, les Révolutions – qu’elles soient ou ne
soient pas appelées contre-révolution –, l’intolérance raciale, l’intolérance religieuse, le
fanatisme religieux, la persécution et la haine ne fourniront aucune solution à notre
problème.
C’est uniquement en faisant connaître toute la vérité que nous mettrons fin à la
Conspiration Luciférienne sur cette terre.
Si nous continuons à garder le silence, à cause des risques que cela implique, la
Conspiration Luciférienne progressera jusqu’au dernier cataclysme social où les Goyim se
massacreront par dizaines de millions avec des bombes atomiques et du gaz à dissoudre
les nerfs (‘‘Nerve Gaz’’) pendant que les Illuminati et leurs amis se chaufferont sur les
plages ensoleillées de leurs sanctuaires et vivront dans le luxe.
Ceux qui désirent résister et combattre pour Dieu, contre Lucifer n’ont pas besoin
d’armes, ils n’ont pas besoin d’argent, non plus. Tout ce qui leur est nécessaire est exposé
clairement dans les Saintes Écritures. Qu’ils méditent l’Épitre aux Éphésiens, chapitre VI,
versets 10 à 17 :
‘‘Au reste, Frères, fortifiez-vous dans le Seigneur de Sa force toute puissante. Revêtez-vous
de l’armure de Dieu pour pouvoir résister aux embûches du diable. Car ce n’est pas contre la
chair et le sang que nous avons à combattre, mais contre les Principautés et les Puissances, les
maîtres de ce monde de ténèbres, les mauvais esprits répandus dans les airs. C’est pourquoi,
endossez l’armure divine, pour pouvoir résister au jour mauvais et, tout devoir accompli,
pouvoir rester debout. Ayez donc les reins ceints de vérité, revêtez la cuirasse de la justice ; que
vos pieds soient chaussés de zèle pour annoncer l’Évangile de la paix ; ayez toujours en main le
bouclier de la FOI, contre lequel viennent s’éteindre les traits enflammés du méchant. Prenez
encore le casque du salut et le glaive de l’Esprit qui est la parole de Dieu’’.
Pourrait-il y avoir autre chose de plus complet ou de plus clair ? Les seules personnes
que nous devrions haïr sont celles qui font partie de la Synagogue de Satan. Ce sont des
loups revêtus de peaux de moutons, les personnes mêmes que le Christ harassait et
accablait de sa vindicte.
Si nous brisons la Conspiration du Silence, si nous insistons pour que nos
représentants ne jouent plus à la politique mais travaillent à l’établissement du Plan de
Dieu sur la Création, alors Dieu interviendra en faveur de ceux qui auront prouvé leur
volonté de figurer parmi Ses élus. Cette alternative nous est laissée.
C’est à nous de décider. Si en toute sincérité nous souhaitons vivre pour toute
l’éternité selon le Plan de Dieu, la seule façon de prouver notre sincérité, c’est de
travailler à la Mise en oeuvre de Son Plan sur la terre. Le Plan de Dieu est révélé dans lesSaintes Écritures. Il n’est bien évidemment pas en accord avec la Charte des Nations
Unies – ONU – ou avec l’idéologie des Mondialistes.
Postez ou distribuez des exemplaires de cette brochure aux personnes auxquelles vous
pensez. Les résultats obtenus sont merveilleux lorsque des exemplaires tombent en de
bonnes mains...
Si vous êtes convaincus de ce que nous avons révélé, alors il est de votre devoir de
communiquer ces informations au plus grand nombre de personnes que vous pourrez
contacter.

glossaire
Quelques unes – très peu – accepteront la connaissance de la vérité. D’autres la
rejetteront. Ce ne sera plus de votre ressort ! Vous serez jugé sur l’effort que vous aurez
consacré à ce travail et non pas sur les résultats que vous aurez obtenus. Vous n’aurez pas
alors à vous en imputer la faute ! Usez de patience ; n’employez surtout pas la force !
Faites preuve de bon sens et surtout ne dénigrez pas ! Soyez aimables et réfléchis, ne soyez
pas batailleurs ou agressifs ! Inclinez les gens à penser et ensuite laissez-les réfléchir euxmêmes
à la question. Les esclaves qui sont au service des Illuminati consacrent tout le
temps dont ils disposent – nuit et jour – au service de leur cause. Pouvons-nous faire
moins si nous voulons obtenir notre récompense éternelle ?
Nous avons besoin de la coopération du clergé de toutes les nations qui enseigne la
croyance en Dieu et combat Lucifer. Nous avons particulièrement besoin du soutien actif
de tous les ministres de la Religion Chrétienne. Si nous pouvons les persuader d’y
regarder d’un peu plus près, de briser la Conspiration du Silence et d’enseigner toute la
vérité à leurs fidèles, les Illuminati ne pourront faire aboutir leur Plan et fomenter la
Troisième Guerre Mondiale ainsi que le Dernier Cataclysme Social.
Les prêtres de Dieu assument une lourde responsabilité lorsqu’ils entrent dans les
ordres. Quelles que puissent être les conséquences, il est de leur devoir et il y va de leur
honneur de révéler à leurs troupeaux l’entière vérité ! S’ils n’acceptent pas de le faire, ils
livrent à leur sort d’innocentes victimes entre les mains des criminels qui cherchent à
prendre possession de leurs âmes immortelles !
En conclusion, je pose aux 900 000 000 de Catholiques éparpillés à travers le monde
entier la question suivante : si ce que je vous ai expliqué dans ces pages n’est pas la vérité,
pourquoi récitez-vous la prière suivante à la fin de chaque messe basse :
‘‘Saint-Michel Archange, défendez-nous dans le combat ; soyez notre secours contre la
méchanceté et les embûches du démon.


‘‘Que Dieu lui commande’’ nous le demandons en suppliant ; et vous, Prince de la Milice
Céleste, repoussez en enfer, par la Puissance Divine, Satan et les autres esprits mauvais qui
rôdent dans le monde pour perdre nos âmes’’.
Ou bien ce que nous vous avons révélé sur la Conspiration Luciférienne est la vérité
ou bien les mots de la prière (17) rapportés ci-dessus ne sont que des absurdités ? !
17 [NDT] : Cette prière a été supprimée dans la ‘‘Liturgie Conciliaire’’ ... Or, cette prière, récitée plus de
400 000 fois par jour autour du globe constituait un barrage de mitrailleuses incroyable contre l’action
diabolique. Les tireurs ont déserté, les démons peuvent passer !

Titre original
‘‘ The conspiraty to destroy all existing Government & Religions ’’
Traduit de l’américain par un ami du Christ-Roi

William Guy Carr, en chrétien honnête, davantage soucieux de la diffusion de la vérité
que des retombées financières, n’a jamais déposé de ‘‘copyright’’ sur ses livres.
N’importe quel éditeur pouvait donc (ré)éditer ses livres – moyennant finance de la part
des acheteurs, cela va de soi, étant donné le coût de l’impression,

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30 novembre 2017

Les Secrets les plus sombres du Vatican

 

La Cité du Vatican est le cœur de l'Église catholique et le pape (Pontifex Maximus) est le chef de l'Église et le chef suprême «spirituel» de tous les catholiques du monde. Mais le Vatican cache certains des secrets les plus sombres que l'on puisse imaginer.

Sedes Sacrorum - Étymologie

Sedes Sacrorum (latin pour Holy Seat), connu sous le nom de Saint-Siège en anglais, est le sceau de l'État de la Cité du Vatican.

SS

Sedes Sacrorum (SS)

"Le culte romain * qui contrôle l'Église catholique soutient que la première personne à utiliser le concept du Saint-Siège était Saint-Pierre.

Ceci est bien sûr impossible car l'étymologie du mot "Sedes" (voir) et sa signification associée n'existaient que des centaines d'années après l'exécution de Saint Pierre en 70 EC au siège de Jérusalem. " [Ref. 1]

* Le Culte romain est un groupe d'ombre de sadomantes assoiffés de sang , impliqué dans « le sacrifice d'enfants, le brûlage de personnes vivantes (depuis le 11ème siècle), le culte démoniaque et le célibat absolu de ses plus petits prêtres.

"Depuis le 1er siècle avant notre ère, ses grands prêtres connus sous le nom de" Pontifes " - une position héréditaire contrôlée par une poignée de familles anciennes - revendiquaient l'ancien titre pré-républicain de Pontifex Maximus après que les empereurs romains se soient portés haut prêtres de Magna Mater (Cybèle).

Coat of Arms

Francis du pape
Blason

"Gardant jalousement leur héritage païen et le droit de sacrifier les gens à leurs dieux démoniaques , les familles sacerdotales ont été bannies de Rome plus d'une fois avec la fermeture du temple du Vatican.

"Cependant, pendant les périodes tumultueuses de l'histoire romaine après l'effondrement de Rome comme centre de l'Empire, les grands prêtres païens ont assumé le rôle de leaders communautaires à Rome et pendant plus d'une période, sont retournés ouvertement à leurs pratiques païennes de sacrifice d'enfants , le cannibalisme et le culte démoniaque aussi tard que 590 à 752, 847 à 872 et même aussi tard que 896, 1057. " [Ref. 2]

"Sous le pape Innocent VIII, le rôle de l'Inquisition et de l'Inquisiteur a changé pour augmenter leur autorité juridique et spirituelle lors de l'envoi des" hérétiques ".

Vers 1483, Tomás de Torquemada fut nommé Inquisidor General d'Aragon, de Valence et de Catalogne. Ses bourreaux et ses miliciens spéciaux ont ensuite été bénis en jurant dans l'ordre sacré le plus élevé du culte romain - les SS ou les Chevaliers du Sedes Sacrorum.

En tant qu'ordre militaire de l'Eglise Catholique Romaine, les Chevaliers du Sedes Sacrorum (SS) ont reçu des ordres légaux du Pontife Romain au nom de l'Eglise Mère pour mener une sainte Inquisition constante contre tous les 'hérétiques', y compris les assassinats, la torture et le contre-espionnage, pour protéger le nom de la Sainte Église Catholique Romaine et représenter directement les intérêts du Saint-Siège en tant qu'ordre primaire des Chevaliers Saints - les SS (Sedes Sacrorum ou Saint-Siège).

En tant qu'ordre spirituel de l'Eglise Catholique Romaine, les SS ont reçu l'extraordinaire grâce catholique romaine d'être pardonnés pour tous leurs péchés mortels (donc peuvent aller au Ciel) que "malheureusement" doit être fait afin d'observer ses ordres temporels.

En d'autres termes, les troupes du Grand Inquisiteur Tomás de Torquemada furent le premier ordre religieux religieux à se voir accorder «l'immunité» de l'Enfer par le Pape à cause de ses actes de torture, de terreur et de mal.

Les derniers sacrifices rituels ouverts sous la Sainte Inquisition datent du début du XIXe siècle. Au début du 20ème siècle, il y avait moins de quelques centaines de soldats SS encore affectés à la Sainte Inquisition.

Cependant, après la nomination du Père Heinrich Himmler SJ en 1929 au NSDAP en Allemagne, une nouvelle armée des SS (Chevaliers du Sedes Sacrorum) de plusieurs centaines de milliers fut créée en 1939 pour mener la plus grande Inquisition jamais entreprise par le Culte Romain - avec plus de 18 millions d'innocents brûlés vifs dans des fours en Russie et en Pologne.

Les SS allemands ont été dissous à la fin de la Seconde Guerre mondiale, avec le manuscrit romain des SS remis aux SS (Service secret / Sedes Sacrorum) en 1945. Les SS des États-Unis ont été officiellement créées en une force militaire / spirituelle après l'assassinat du président William McKinley en 1901.

Après la fusillade organisée en dehors de Blair House en 1950, les SS des États-Unis ont eu la protection absolue du président des États-Unis, le tenant virtuellement prisonnier de l'État sous couvert de protection officielle. " [Ref 3]

Le code caché de la SS


Fish gods

Représentation babylonienne de prêtres avec des costumes de poisson,
travailler avec l'arbre de la vie, tout en tenant des pommes de pin
(glande pinéale) et des seaux - signes d'avancée
connaissances en génétique - être surveillé
par un "dieu" dans un navire volant


Les armoiries des SS et du Pape François ont la mitre papale au centre, qui est une couverture de tête portée par les cardinaux et le pape et remonte aux prêtres Dagon , il y a plus de 4 500 ans.

Vu de profil, la mitre ressemble à une tête de poisson à la bouche ouverte, et c'est exactement ce qu'elle représente. C'est le culte du poisson "dieu", qui serait sorti de l'eau et aurait offert une grande connaissance au peuple.

Le logo du poisson "chrétien" représente le même "dieu" de Dagon.

Dagon ou Oannes était «un dieu du poisson qui a transmis une grande connaissance au peuple et lui a appris à construire des villes.

Il leur a également enseigné les mathématiques et les lois géométriques, et a été crédité de leur donner toutes les connaissances qu'ils recevraient jamais.

La nuit, il retournait dans la mer pour passer la nuit, car il était amphibie. Il avait la tête d'un homme; couvert par la tête d'un poisson, et avait les jambes et les pieds d'un homme et le torse d'un homme, mais était couvert par les écailles et la queue d'un poisson. " - Berossus, à partir de fragments anciens (Isaac Preston Cory) [Ref 4]

Selon le " Livre perdu d'Enki ", le poisson "dieu" n'était autre que Ea (le chef anunnaki de la planète Terre, qui fut plus tard connu sous le nom d'Enki), qui débarqua son énorme vaisseau spatial sur l'eau .

Il a ensuite émergé de l' eau en portant son «costume de poisson» (c'est-à-dire probablement un costume d'astronaute quelconque) et a construit la première colonie pour les Anunnaki sur Terre . Il l'a appelé Edin (l' Eden biblique ), qui signifiait "la maison des justes " (c'est-à-dire la maison des dieux Anunnaki).

(Ce fut dans le Edin que la ville d'Eridu fut établie, ce qui signifiait "la maison de loin".) Le nom, plus tard "émigré" dans toutes les grandes cultures du monde, était connu comme Erde en allemand, Ertz en kurde, Eretz en hébreu et Erthe en anglais moyen, ce qui signifie que nous appelons encore notre planète "la maison de loin" à ce jour). [Ref. 5]

Le fondateur de cette religion était Nimrod ( le roi de Shinar), qui était un nom de Dumuzi . Nimrod / Dumuzi était sur les fils d' Enki , d' où le sang «royal» des Anunnaki. Beaucoup de lignées «royales» d'aujourd'hui sont des descendants de Nimrod.

Les clés trouvées sur les deux logos du Vatican et la façon dont ils sont positionnés, se réfèrent à un secret soigneusement gardé. Dans le symbolisme, la clé représente la connaissance verrouillée et / ou les secrets gardés.

Mais quels secrets le Vatican protège-t-il? La façon dont les clés sont positionnées est seulement un petit indice, indéchiffrable pour les gens ordinaires.

Heureusement, le code caché du Vatican a été critiqué par l'écrivain et chercheur Wayne Herschel , qui a basé ses recherches sur le puzzle pictographique trouvé dans les manuscrits de la "Clé de Solomon".

Solomon Key

Le parchemin hébreu contenant le secret de la clé de Salomon
Crédit d'image: Key of Solomon de Wayne Herschel ;

Orion - Pleiades

Crédit d'image: Wayne Herschel YouTube ;

La clef de Salomon ouvre le mystère derrière les constellations de la maison des "dieux", et il ne sera pas surprenant pour mes lecteurs de les identifier comme la ceinture d'Orion et les Pléiades - les deux mêmes constellations signalées par toutes les civilisations avancées comme maison des dieux, et adorée obsessionnellement par "l'élite" depuis lors.

Vatican STAR_MAP

Ci-dessus: la ceinture d'Orion, les Pléiades et l'étoile de Ra (aka Marduk)
Bellow: Le Vatican représente la ceinture d'Orion, tandis que les sept collines de Rome
représenter les Pléiades. Le triangle formé par les obélisques égyptiens trouvés dans
la Piazza del Popolo et devant le Panthéon, avec Castel Sant'Angelo
(utilisé notamment par l'Inquisition romaine comme prison pour "hérétiques"), représente
les étoiles de la Trinité. La Star Fortress représente également l'étoile de Ra (Marduk).
Crédit d'image: Wayne Herschel ;

En déchiffrant plus avant les secrets des SS, je vais maintenant soumettre à votre attention la croix , qui représente probablement la croix formée par les étoiles de la constellation d'Orion. Une autre théorie se réfère à la croix comme représentant une autre de leurs présumées maisons, Nibiru (qui , selon Sitchin, se traduit par «la planète de la traversée»). [Ref. 6]

Le symbole "chrétien" de Chi-Rho représente les constellations d'Orion et des Pléiades:

 

Chi-Rho

Le symbole "chrétien" de Chi-Rho

Wayne Herschel Star Patern

À droite: la constellation d'Orion et la traversée
A gauche: les Pléiades, la trinité et l'étoile des "dieux"
( Basé sur la preuve, c'est l' étoile de la maison des Anunnaki )
Crédit d'image: Wayne Herschel ;

Pour les gens ordinaires et décents, la croix représente un hommage apporté à Jésus-Christ et à son grand sacrifice, mais comme je vous l'ai déjà montré, la croix est antérieure à la crucifixion du Christ depuis des millénaires . Pour eux, il a un symbolisme différent.

Sur le manteau des armes du pape François nous pouvons également observer: un soleil, une étoile à huit pointes et une pomme de pin.

Le soleil représente probablement l'étoile des dieux (présentée par Ra / Marduk comme son étoile).

L'étoile à huit branches représente Melchizédek, qui était le roi de Salem et un prêtre du «plus haut des dieux». Certains théologiens ont supposé qu'il était Shem, le fils de Noah / Ziusudra, et grand-père de Nimrod (qui devint plus tard le roi de Shinar et prêtre du dieu poisson, comme je l'ai expliqué précédemment). En maçonnerie, Melchizédek est relié au degré de Souverain Sacrificateur (rang élevé de maçon). [Ref. 7]

Le cône de pin est une représentation symbolique de la glande pinéale, qui est également connu comme le troisième œil et l'œil égyptien d'Horus:

Eye of Horus

À gauche: Egyptian Eye of Horus
Droite: la glande pinéale

Le nom pinéale vient de la ressemblance de la glande avec une pomme de pin. Le cône de pin comme symbole de la connaissance suprême peut être trouvé dans de nombreuses cultures anciennes (par exemple babyloniennes, égyptiennes) et le culte romain (la société secrète qui contrôle le Vatican) le révère hautement.

Une statue gigantesque d'un cône de pin peut être trouvée dans la cour intérieure du Vatican et même sculptée sur le personnel du pape .

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En conclusion, le Vatican n'est pas un lieu d'amour et de paix, comme on pourrait l'imaginer. C'est un lieu de rituels sombres et de grand secret.

Leur but est d' enlever la liberté de notre espèce par l'endoctrinement, la peur et le contrôle.

Et parce que les gens ont peur de ce qu'ils ne comprennent pas, l'influence du Vatican et de l'église catholique est immense - plus grande que n'importe quelle armée, tyran ou gouvernement.

1 mars 2017

Le 20 juillet 1933, le cardinal Pacelli – futur Pie XII,signa un accord avec hitler

H21

On n’a rien compris à Hitler si on ne tient pas compte de la période viennoise de son existence. Il a eu deux initiateurs dans sa politique avant 1914 : Lueger et son mouvement social-chrétien et les pangermanistes viennois. Il a assez bien marqué dans Mein Kampf ce qu’il devait aux deux, et la part de Lueger, bourgmestre catholique de Vienne, n’est pas la moindre. Le national-socialisme aurait pu être une sorte de mouvement Lueger. Après tout, ce dernier était bien antisémite, et Édouard Drumont dans son Testament d’un Antisémite (69), l’appelle « Lueger, le vaillant député catholique qui lutte avec tant d’intrépidité contre les Juifs ».
L’Église pouvait accepter qu’un État chrétien ne souhaita pas voir les Juifs prendre une place trop importante dans la société. Il y avait bien eu un ghetto dans la Rome pontificale. Elle pouvait admettre qu’une législation d’État refuse la nationalité allemande aux Juifs. La création de l’État d’Israël a révélé l’existence incontestable d’un sentiment national juif. Mais ce que l’Église ne pouvait admettre, c’était un antisémitisme basé sur l’affirmation d’un postulat d’impérialisme raciste.
S’il ne se fut agi que d’établir une carte du développement plus ou moins avancé des races humaines, ce n’eut été que constater l’ordonnance providentielle du monde, mais l’Église ne pouvait admettre que le catholicisme fut considéré comme une hérésie juive qui a « empoisonné l’esprit allemand » comme le proclamait alors von Schoenerer, chef des pangermanistes, en Autriche, vers 1890.
Avec le national-socialisme, les choses furent beaucoup moins nettes au début. Le 28 mars 1933, à Fulda, les évêques prussiens abrogeaient les mesures que la plupart d’entre eux avaient édictées contre le  nationalsocialisme.
Le Zentrum votait pour Hitler lors de l’unique séance du Reichstag qui suivit l’arrivée du pouvoir du Führer (70). L’archevêque de Cologne autorisait l’accès en uniforme à la réception des sacrements, même en formations collectives et l’entrée des étendards nationaux-socialistes dans l’enceinte du culte (71).
« Nous ne considérons plus comme nécessaires les avertissements et défenses générales édictées à l’endroit du mouvement national-socialiste, avertissements et défenses arrêtées par Nous dans leur temps dans le juste souci du maintien de l’intégrité de la foi catholique et la sauvegarde des droits imprescriptibles de l’Église ? » (72)
« Nous approuvons la responsabilité totale du Chef, laquelle implique le droit à une obéissance absolue » écrivait la Germania, organe du Zentrum (73).
Le Zentrum, en prononçant sa propre dissolution en raison de l’instauration du parti unique, publiait une déclaration de l’ex-chancelier Brüning soulignant que les millions d’Allemands du Zentrum avaient une conscience de leur devoir de citoyens qui ne pouvait être pour le IIIe Reich que d’« un prix inestimable » et qu’ils constituaient « dans l’ensemble de la vie du Pays un facteur précieux qui, disait M. Brüning, ne pourra et ne devra pas être négligé quand il s’agira de défendre l’État et le peuple contre les puissances de décomposition » (74).
Dans un second manifeste, le Zentrum parlait de « contribution positive », de « dévouement sans réserve » à l’affermissement du « nouvel ordre de droit » (75).
Le national-socialisme a donc eu, à son arrivée au pouvoir, au moins la neutralité de l’Église. L’organe rhénan du Zentrum écrivait : « Il faut que les meilleures têtes du catholicisme et principalement la jeunesse ne se contentent pas d’une simple et insuffisante adaptation, mais se vouent avec passion à la tâche historique du national-socialisme. » (76)
Ce sont là des textes qui étonnent aujourd’hui, mais il n’est pas juste d’écrire une histoire en commençant par la fin. Le 20 juillet 1933, le cardinal Pacelli – futur Pie XII, alors secrétaire d’État de Pie XI – signait à Rome avec M. von Papen, agissant au nom du Führer, un Concordat qui reconnaissait que « l’enseignement de la religion catholique dans les écoles élémentaires, professionnelles, moyennes et supérieures est matière ordinaire d’enseignement et sera donné conformément aux principes de l’Église catholique ».
Pour la première fois dans l’Histoire, l’Église catholique obtenait un statut en Allemagne. Décidément, l’Église et l’État national-socialiste vont-ils pouvoir vivre en paix ?
Que disait Mein Kampf là-dessus ? « Je n’hésite pas à déclarer que je vois dans les hommes qui cherchent aujourd’hui à mêler le mouvement raciste aux querelles religieuses, les pires ennemis de mon peuple que ne le peut être n’importe quel communiste internationaliste ». « […] Le protestant le plus croyant [peut] marcher dans nos rangs à côté du catholique le plus croyant », sans que sa conscience entre « le moins du monde en conflit avec ses convictions religieuses ».
Il combattait le Zentrum, sans doute, mais, disait-il, « non pour des raisons religieuses, mais exclusivement au point de vue national, raciste, économiques » (77).
Mais l’équivoque était là, prête à éclater : « Celui qui se tient sur le plan raciste a le devoir sacré, quelle que soit sa propre confession, de veiller à ce qu’on ne parle pas sans cesse à la légère de la volonté divine, mais qu’on agisse conformément à cette volonté qui a jadis donné aux hommes leur forme, leur nature et leurs facultés. Détruite son oeuvre, c’est déclarer la guerre à la création du Seigneur, à la volonté divine. » (78)
Il réclame « à la place d’un commandement de l’Église […] un avertissement solennel invitant les hommes à mettre enfin un terme au vrai péché originel, aux conséquences si durables, et à donner au Créateur tout-puissant des êtres tels que lui-même les a d’abord créés ? » (79)
Évidemment, Hitler et l’Église ne parlent pas le même langage. Placer le péché originel dans la faute contre la race, c’est détourner les mots de leur sens traditionnel.
On a pu espérer à Rome que, du moins, la coexistence pacifique serait possible entre l’Église et l’État. Il y avait quelques raisons d’espérer.
« Les idées et les institutions religieuses d’un peuple doivent toujours rester inviolables pour le chef politique ; sinon qu’il cesse d’être un homme politique et qu’il devienne un réformateur s’il en a l’étoffe ! Une autre attitude, en Allemagne surtout, doit conduire à une catastrophe. Même si une telle confession donne vraiment prise à la critique, un parti politique ne doit jamais oublier le fait que l’Histoire n’enregistre aucun exemple où un parti ait pu aboutir à une réforme religieuse. On n’étudie pas l’Histoire pour oublier ses leçons au moment même où il s’agit de les appliquer dans la pratique ; ou bien pour penser que leurs vérités séculaires peuvent ne plus être appliquées parce que la situation actuelle est tout autre ; on l’étudie pour en retirer des enseignements pour le présent. Celui qui n’est pas capable de faire cela, ne doit point s’imaginer qu’il est un chef politique ; il n’est en réalité qu’un pitre plat, quoique souvent présomptueux, et toute sa bonne volonté ne peut excuser son incapacité politique. » (80)
En août 1936, il assure encore : « Je m’efforcerai de protéger les droits des deux grandes confessions chrétiennes et d’établir l’harmonie avec les conditions de l’État d’aujourd’hui.» (81)
Il est arrivé quelque chose de curieux à Hitler. Il s’était promis de ne pas entrer en conflit avec Rome et il se laissera entraîner par les théoriciens antichrétiens de son parti comme Rosenberg ; il avait fort bien vu que l’avenir de l’Allemagne dépendait d’une entente entre celle-ci, l’Angleterre et l’Italie et il se mettra en situation d’entrer en conflit avec la plus puissante des deux ; il avait retenu de la guerre de 1914 que l’erreur avait été la lutte sur deux fronts et il déclarera la guerre à la Russie en pleine lutte avec les démocraties occidentales. Auparavant, il aura fait alliance avec Staline après avoir dit dans Mein Kampf qu’une telle alliance serait « la fin de l’Allemagne » (82). Et, le plus curieux, c’est que tout ce qu’il avait prédit arriva mais ce fut lui qui en fut cause.
Cet homme, qui a énormément parlé et écrit, s’est-il perdu dans l’immensité de son oeuvre ? S’est-il jamais relu ? Autant sa doctrine forme un tout cohérent qu’on est libre d’approuver ou de rejeter, autant ses actes paraissent incohérents, dictés par des impulsions contradictoires.
À peine a-t-il conquis Sir Neuville Chamberlain à l’idée que les peuples de race germanique ont le droit de s’unir dans un même empire : « Ein Volk, ein Reich, ein Führer ! » qu’il annexe la Bohême, menace la Pologne. Bref, passe de la position solide de l’État völkich au pangermanisme impérialiste absorbant des nationalités non germaniques.
Il y a eu tant d’Hitlers contradictoires qu’on ne sait plus lesquels croire. Il lasse, puis il inquiète. Ses adversaires n’ont pas toujours raison, mais il a de plus en plus tort. Le plus grave, c’est qu’il compromet un certain nombre d’idées justes dans le tourbillon de son agitation.
Il donne leur chance aux démocraties que l’Europe était en train de rejeter. Il permet leur alliance avec le communisme, épuise un peuple admirable de discipline, ne résout rien, complique tout et finit d’une manière tragique dans une sombre horreur.
Jacques Ploncard d’Assac – Doctrines du nationalisme (1958)
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69 Drumont Édouard, Le Testament d’un Antisémite, p. 136.
70 Revue des deux Mondes, 1933, t. II, p. 950.
71 Revue des deux Mondes, 1933, t. III, p. 762.
72 Déclaration des évêques allemands à Fulda, in Revue des deux Mondes, 1933, t. III, p. 771.
73 Cité par la Revue des deux Mondes, 1933, t. IV, p. 478.
74 Revue des deux Mondes, 1933, t. IV, p. 768.
75 Revue des deux Mondes, 1933, t. IV, p. 768.
76 Revue des deux Mondes, 1933, t. IV, p. 774.
77 Hitler Adolf, Mon Combat, p. 559.
78 Ibid., p. 558.
79 Ibid., p. 404.
80 Ibid., p. 121.
81 Hitler AdolfDiscours du 17 août 1934.
82 Hitler Adolf, Mon Combat, p. 659.
12 janvier 2017

les Jésuites sont a l'origine de la science moderne

Jesuits

Nombreux sont les personnes qui pensent que la science etait opposée a la religion , et que la religion a empeché la science de developper ses theories ,alors que ce sont les Jésuites qui ont développé la science ,dans quel but  ,il est étrange ,que  ces sciences  ont servi a ébranler la bible et sa génése etrange pour des hommes censés etre des hommes d'église qui ne travaillaient qu'à la négation de leur dogme .

À l’issue d’un accident de guerre, en 1521, au siège de Pampelune, Ignace de Loyola, grièvement blessé à la jambe par un boulet de canon, a sublimé son énergie sexuelle de manière contrôlée. Ce n’est pas nouveau, car c’est la base même de l’occultisme. Mais il a codifié un système de développement occulte très efficace en liaison avec la force de la planète Mars ou, tout au moins, avec l’un des esprits de cette sphère.

On amuse les gens avec le yoga de la Kundalini, mais les hauts initiés jésuites détiennent de puissants secrets. De plus, leurs chefs sont dirigés par des entités occultes supérieures tel celui qui inspira Ignace de Loyola, ainsi que son incarnation suivante, le clairvoyant Swedenborg. Le « Jésus » des Jésuites est un prête-nom, une couverture fallacieuse car jamais Jésus ne commanda la ruse et le meurtre pour faire avancer le royaume de Dieu. Loyola était un militaire espagnol du XVIe siècle qui rêvait de conquérir le monde, mais qui réalisa que la religion était le meilleur moyen pour entrer chez l’ennemi avec des paroles de paix à la bouche. Blessé, il resta longtemps allongé ce qui lui permit d’analyser ses mécanismes psychiques les plus subtils. Il sublima l’énergie sexuelle et mit au point un système de développement psychique qui fabrique des anormaux. Il se fit prêtre pour infiltrer l’Église, débarqua à Rome, promit au pape de sauver son trône du danger de la Réforme, établit une milice totalitaire camouflée en ordre religieux et partit à la conquête de l’univers « Pour la plus grande gloire de Dieu ». C’est ainsi qu’il devint l’agent du destin dans l’âge noir. Il se mit au « service du Pape », ce qui signifie exactement le contraire si l‘on connaît le langage Jésuite. C’est dire que la religion catholique est totalement entre les mains du général de l’ordre, le pape noir, qui n’est lui-même que la pointe de la pyramide visible.

Tous les Jésuites du monde sont dans une obéissance absolue, et selon leur formule « s’abandonner comme un cadavre », ils sont comme des robots entre les mains de leurs chefs. Ils forment donc un corps militaire d’élite – à la fois prêtres et guerriers – présent dans tous les pays. C’est une armée démoniaque qui a investi la Terre, et la liaison des Jésuites avec les Gris extraterrestres est plus que probable.
Ils contrôlent les polices secrètes, les armées et les organismes internationaux.

À travers ces relais, ils expérimentent ce qu’ils veulent sur les populations. Par exemple, la guerre du Viêt-Nam leur a permis d’éliminer leurs adversaires dans ce pays, et le génocide du Cambodge a nettoyé un million de bouddhistes récalcitrants à la conversion chrétienne. Les bouddhistes de la tradition du Petit Véhicule ont particulièrement souffert, alors qu’au contraire les Lamas tibétains sont financés par les Jésuites. Sans cette aide, le lamaïsme ne serait pas connu du public et le Dalaï-Lama ne bénéficierait pas d’une telle publicité. Il faut un sérieux coup de pouce pour monter aussi haut lorsqu’on est un pauvre réfugié sans patrie ni argent.

Autre info qui n’est pas anodine, le sceau des illuminati était déjà utilisé par les jésuites en 1744, soit 26 ans avant leur création par Weishaupt.

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2 fondateurs de la géologie, et Roger Boscovich (1711 - 1787), pionnier de la théorie atomique moderne. Un chapitre important de cette période est la saga des astro nomes jésuites de Chine où, à partir de l’arrivée de Matteo Ricci (1552 - 1610) à Pékin, ils introduisirent l’astronomie européenne et dirigère nt durant 150 ans l’Observatoire impérial. Les travaux des astronomes jésuites en Inde et en Indochine sont moins connus. La découverte de l’Amérique fut pour les Jésuites l’occasion d’étudier la terre, la faune et la flore du nouveau monde , et d’explorer des territoires in connus depuis le Canada jusqu’à la Patagonie. A partir de leur intérêt pour la géographie, les Jésuites dessinèrent les premières cartes de nombreuses régions d’Amérique, de Chine, d’Inde, du Tibet et d’Ethiopie. Alors que les travaux scientifiques des Jésuites connaissaient un sommet, ils furent interrompus par la suppression de l’ordre en 1773. Un nouveau chapitre des travaux scientifiques des Jésuites démarra avec la restauration de l’ordre en 1814. A partir de 1825, les Jésuites fondèr ent un nouveau réseau d’environ 70 observatoires astronomiques, météorologiques et sismologiques dans le monde entier.

Ceux qui étaient installés en Afrique, en Asie et en Amérique Centrale et Amérique du Sud firent partie, dans beaucoup de cas, des premières institutions scientifiques de ces pays. Durant cette période, les Jésuites apportèrent des contributions importantes, particulièrement dans l’étude et la prévision des ouragans tropicaux a insi que dans la recherche en sismologie et dans le magnétisme terrestre. Parmi les personnalités marquantes de cette période, citons Angelo Secchi (1818 - 1878), directeur de l’observatoire du Collège romain et pionnier de l’astrophysique ; Stephen Perry (1833 - 1889), directeur de l’observatoire de Stonyhurst (Grande - Bre tagne), l’un des premiers chercheurs en géomagnétisme e t en physique solaire ; James Macelwane (1883 - 1956), professeur de géophysique à l’université Saint Louis (USA) et directeur de l’Association s ismologique jésuite , et Pierre Teilhard de Chardin (1881 - 1 955), paléontologue qui travailla sur les premiers fossiles humains de Chine et devint célèbre par ses idées sur l’évolution et sur l’avenir de l’humanité. De nos jours, les Jésuites dirigent 133 universités et environ 200 collèges du second degré dans le monde entier. Un certain nombre de professeurs de science jésuites allient l’enseignement et la recherche, gardant ainsi vivante la tradition scientifique de la Compagnie de Jésus. 2. Science et spiritualité jésuite Nous en arrivons à la question suivante : comment peut - on expliquer la présence particulière des Jésuites en science ? Il ne fait pas de doute que d’autres ordres religieux ont aussi connu de hautes figures scientifiques, comme par exemple Gregor Mandel, pionnier de la génétique faisant partie de l’ordre des Augustiniens. Cependant, avec les Jésuites, nous constatons une présence continue et institutionnelle depuis les tout premiers jours de leur fondation jusqu’à présent. Un signe de cette présence particulière dans le domaine scientifique rési de dans le fait que , dix - huit ans après la naissance de l’observatoire du Vatican, le pape Pie X en confia la d irection aux Jésuites, comme c’est encore le cas aujourd’hui. Cet engagement dans les sciences apparut durant la première période de l’histoire d e la Compagnie de Jésus et dura jusqu’à la suppression de l’ordre en 1773 ; elle fut poursuivie après sa restauration en 1814 jusqu’à nos jours, ainsi que nous l’avons vu dans le court résumé précédent. Il est, par conséquent, pertinent de poser la questio n de la spécif icité jésuite expliquant cet engagement dans les domaines scientifiques. Steven J. Harris écrivit l’ une des premières tentatives de réponse à cette question 2 .

Il l’a basée sur les seuls Jésuites des XVIIème et XVIIIème siècles, mais on peut aussi appliquer ses idées aux Jésuites modernes. Dans une analyse très bien fondée et détaillée, Harris situe la base de l’engagement des Jésuites en faveur de la science s ur ce qu’il appelle la « spiritualité apostolique », qui est au cœur de « l’idéologie jésuite ». L’expression « idéologie jésuite » fut employée pour la première fois par Ritka Feldhay pour décrire leur façon de considérer la connaissance comme moyen du sa lut 3 . Pour Harris, 2 Steven J. Harris, Transposing Merton’s thesis: Apostolic spirituality and the establishment of the Jesuit scientific tradition. Science in Context , 3 (1989), 29 - 65. 3 Rivka Feldhay, Knowledge as salvation in Jesuit culture. Science in C ontext , 1 (1987), 195 - 213. 3 les principaux éléments de cette spiritualité sont les suivants. En premier lieu, l’importance attribuée au service chrétien qui a canalisé les sentiments religieux vers l’extérieur et dans des activités mondaines qui ne sont pas habitue llement associées à la vie religieuse. A cela, il ajoute un engagement actif avec le monde, qui conduit au respect de l’expérience ou au fait de « tester au moyen de l’expérience » et à « la preuve par l’expérience », qui sont devenus des méthodes standard pour évaluer les idées et les projets. Dans le domaine scientifique, l’importance a été accordée aux aspects expérimentaux des observations et des expériences.

C’est ainsi que, pour Harris, la spiritualité apostolique , qui constitue la force de base forma nt le caractère de toute activité de tout Jésuite, comprend la motivation pour un travail scientifique. Un autre élément est une « estime pour le savoir » particulière. Cet aspect conduit à ce qu’il appelle la « sanctification du savoir », responsable de l ’énorme effort des Jésuites depuis leur origine dans le domaine de l’éducation, avec la fondation des collèges et des universités. D’après Harris, la sanctification du savoir les a conduits à prendre des engagements avec les activités séculières mises au s ervice de buts spirituels in fine, autrement dit le salut des âmes. Il voit cette action menée dans trois domaines principaux : dans l’éducation, dans les monarchies d’ Europe et dans les missions étrangères. Des facteurs historiques, également mentionnés par Harris, ont joué un rôle important. Tout d’abord, il cite la coïncidence entre la fondation de la Compagnie de Jésus et le début de la science moderne et son engagement envers l’éducation dans les écoles et les universités. Quand ils ouvrirent leurs éco les, les Jésuites ne souffraient d’aucune tradition doctrinale pour les conditionner, comme ce fut le cas, par exemple, des Dominicains et des Franciscains. Les Jésuites ont pu plus facilement incorporer leur enseignement dans les courants neufs de la scie nce moderne et ainsi répondre aux exigences sociales de l’époque.

De cette façon, les Jésuites ont pu incorporer dans leur enseignement les nouveaux courants des sciences mathématiques et expérimentales. Clavius, de par son influence, fit un grand effort p our introduire l’enseignement des mathématiques dans les collèges jésuites, ce qui fut finalement accepté comme norme établie pour tous les établissements du Ratio Studiorum. Il insista sur le fait que les mathématiques sont une vér itable science, à l’enco ntre de l’opinion générale des cercles traditionnels de son temps, et sur leur nécessité absolue pour étudier la philosophie naturelle. L’introduction des sciences mathématiques comme élément important des programmes des collèges jésuites constituait égale ment une réponse à l’importance sociale croissante que la science moderne était en train d’acquérir. Christopher Schneider était conscient de cette exigence sociale et de son importance apostolique. Dans une lettre à Johannes Rader, il observa que l’étude des mathématiques devrait être mieux prise en compte parmi les Jésuites. A Paul Gudin, professeur de mathématiques au collège de Graz, il écrivait : « Il est évident que les mathématiques sont le filet avec lequel on peut attraper les élites et les nobles, et les enrôler au service de Dieu 4 ». La nouveauté de l’engagement des Jésuites envers les sciences mathématiques est exprimée dans le document adressé au roi d’Espagne Philippe IV par les professeurs des universités de Salamanque et Alcalá de Henares tra itant de la montée du collège des Jésuites de Madrid, le Collège Impérial, au rang universitaire de Reales Estudios (Etudes Royales). Ils étaient opposés aux projets du roi et écrivaient qu’il n’était ni convenable ni « décent » pour des religieux d’enseig ner des matières profanes telles que les mathématiques, l’astrologie, la navigation et les sciences militaires. Les Jésuites répondirent qu’ils pouvaient justement enseigner ces matières car elles faisaient partie des programmes d’une école ecclésiastique et religieuse, qu’elles étaient nécessaires pour enseigner la philosophie, et qu’elles étaient utiles pour éviter « le recours abusif du public en général à la superstition et à la prévision de l’avenir 5 ». Après la restauration de la Compagnie de Jésus au XIXème siècle, la présence de Jésuites en science était également justifiée en tant qu’argument apologétique contre ceux qui, à l’époque, attaquaient 4 Steven J. Harris, Les chaires de mathématiques. Luce Giard (ed.), Les Jésuites à la renaissance . Paris : Presses Universitaires de France, (1995) , 239 - 262, (253 - 254). 5 José Simón Díaz, Historia del Colegio Imperial de Madrid . Madrid: Consejo Superior de Investigaciones Científicas (1952), 72 - 84. 4 l’Église en disant qu’elle était ennemie de la science. La présence de savants jésuites et l’ existence de leurs institutions scientifiques furent présentées comme argument évident sur la fausseté de ces accusations et comme exemple de la compatibilité entre la science et la foi chrétienne. Aloysius Cortie (1859 - 1925), directeur de l’observatoire d e Stonyhurst, écrivant en 1923 au sujet d’Angelo Secchi, remarquait : « Les ennemis de la Sainte Église ont fait un tel usage abusif de la science comme arme pour attaquer ses vérités les plus fondamentales , que l’impression s’est manifestée parmi beaucoup de ses enfants selon laquelle l’étude de la science est nuisible et dangereuse pour la foi...

Le Père Secchi est un exemple frappant de quelqu’un qui savait unir religion et science 6 ». Outre ces éléments historiques , en liaison avec les besoins apostolique s dans le travail éducatif des collèges et universités, il nous faut chercher des éléments intrinsèques plus spécifiques dans la spiritualité jésuite. On peut également trouver quelques éléments d’une spiritualité apostolique dans d’autres ordres religieux modernes (fondés après le XVIIème siècle) , certains à la suite de l’exemple jésuite, mais n’offrant pas une telle présence dans les domaines scientifiques. Il nous faut, par conséquent, chercher des éléments plus spécifiques dans la spiritualité jésuite a postolique afin d’expliquer cette tradition scientifique particulière On peut trouver les traits fondamentaux de ce qu’on appelle « la spiritualité ignat ienne », fondés sur les expériences ascétique s et mystiques de Saint Ignace, dans ses deux grands ouvra ges : les Exercices spirituels , et les Constitutions

7 . Les E xercices spirituels, corpus de prières et de méditations pour un mois, au début et à la fin de la formation de tout Jésuite, et répété durant huit jours chaque année, forment le cœur de cette spir itualité. C’est là qu’il nous faut chercher les motivations qui peuvent expliquer l’engagement particulier des Jésuites envers la science. La caractéristique la plus imp ortante de la spiritualité ignat ienne est une mystique du service, compris comme servic e à Dieu à travers le ministère apostolique envers les hommes

8 . Les Constitutions définissent le but de la Compagnie de Jésus « non seulement pour aider au salut et au perfectionnement de ses propres membres par la grâce divine, mais à l’aide de la même gr âce pour aider au salut et au perfectionnement de leurs frères humains

9 ». Saint Ignace comprend ce service comme un service à l’Église. Il a souvent répété dans ses écrits ce qui est devenu la devise des Jésuites, que tout doit être fait pour « la plus gr ande gloire de Dieu » ( Ad majorem Dei Gloriam ). On peut déjà trouver cela dans Saint Paul : « faites tout pour la gloire de Dieu » (1Co 10,31), mais Saint Ignace a ajouté le comparatif « plus grande » pou r indiquer que les Jésuites ont le devoir de rechercher non seulement la gloire de Dieu, mais la plus grande gloire. Dans la première méditation des Exercices spirituels, « Principe et Fondation » , il exhorte chacun à agir à chaque occasion, « en désirant et en choisissant seulement ce qui nous cond uit le mieux vers le but pour lequel nous avons été créés

10 ». Le terme « plus » (en latin magis ) est un élément important de cette spiritualité. En tout temps et en toute circonstance, cette spiritualité est ce qui pousse les Jésuites à chercher « plus » d ans leur activité. Ce que de nombreux Jésuites ont trouvé dans leur activité scientifique. Saint Ignace insiste aussi souvent dans ses écrits sur le fait de « trouver Dieu en tout es choses » ; Il parle ainsi d’une conscience croissante de ce que l’on peut trouver Dieu en chaque personne, en chaque lieu et en chaque chose ; c’est la forme que prend une attitude de prière dans la vie active. Il s’agit là d’un aspect important présent dans la dernière méditation des Exercices spirituels et intitulée « Contempl ation pour atteindre l’amour ». Dans cette méditation, il est demandé de « voir comment Dieu est présent dans les créatures, dans les éléments, dans les plantes, dans les animaux, dans les hommes (en moi, moi - même), [...] et de considérer comment Dieu s’emploie à travailler pour moi dans tout ce qui est créé sur la terre ». Voilà qui transforme tout : choses, gens, circonstances, en occasions de trouver Dieu.

De plus Saint Ignace, en insistant sur l’humanité du 6 A. L. Cortie, Angelo S e cchi, S. J. (1818 - 1878). En B. Windle (ed.) Twelve catholic men of science . L ondres: Catholic Truth Society, (1923), 149 - 164. 7 S. Ignacio, Obras , 221 - 238, 432 - 646. 8 Jean - Claude Dhôtel, La spiritualité ignatienne. Points de repère. Paris 1991. 9 S . Ignacio, Obras , (Examen Primero y General, Cap. 1. 3), 466. 10 S. Ignacio, Obra s , 272 - 273. 5 Christ, nous invite à voir que tout ce qui est h umain, et on peut y inclure la science, peut nous servir à rencontrer Dieu. Jerónimo Nadal, un des compagnons de St Ignace, décrit cette attitude par l’expression « contemplatifs dans l’action » pour parler de ce qu’on a appelé « la façon jésuite ». Elle i mplique une union entre la prière et l’action ; on peut trouver Dieu dans le silence de la prière , et dans l’activité du travail. Par conséquent, il n’y a pas d’activité, pas de sujet quelque profane qu’il paraisse, qui ne puisse être transformé en prière. Enseigner les mathématiques ou la physique dans une université, observer la lumière d’une lointaine galaxie ou dessiner la carte d’une région inconnue sont des activités qu’un Jésuite trouve parfaitement compatible s avec sa vocation et à travers laquelle il peut essayer de trouver Dieu dans sa vie. Dans d’autres groupes religieux, ce peut être aussi une attitude personnelle, mais pour les Jésuites, elle jaillit du cœur de leur spiritualité. Angelo Secchi, le célèbre astrophysicien, disait : « La contemplat ion de l’œuvre de Dieu est l’une des activités les plus nobles de l’esprit ; c’est le but principal de l’étude de la nature

11 ». De cette façon, les Jésuites s’impliquent dans des activités, parmi lesquelles la recherche scientifique, que d’autres considère nt incompatibl es, ou du moins peu convenables pour des religieux. On peut les trouver actifs dans un emploi social, responsables de paroisse, chercheurs en biologie ou en astrophysique, écrivains poètes, avec chez tous une motivation basée sur la même spir i tualité : chercher Dieu en toutes choses. Un autre aspect de l a spiritualité apostolique ignat ienne est sa préférence pour choisir des situations ou des activités dont nous dirons qu’elles sont « aux frontières ». Ce que nous voulons signifier ainsi c’est que les Jésuites, au lieu de se consacrer à des activités pastorales traditionnelles à l’intérieur de l’Église, essaient d’entrer en contact avec des activités extérieures parfois considérées non conventionnelles. Le pape Benoît XVI le reconnu t quand il dit aux Jésuites : « Comme mes prédécesseurs vous l’ont dit à plusieurs occasions, l’Église a besoin de vous, compte sur vous et continue à se tourner vers vous avec confiance, en particulier afin d’atteindre ces lieux physiques et spirituels que d’autres n’atteignent pas ou peinent à atteindre

12 ». Voici pourquoi nous pouvons trouver un Jésuite en pri ère dans un monastère bouddhique ou poursuivant des recherches en physique dans un accélérateur de particules. Les Jésuites sont toujours conduit s aux frontières, vers des lieux et des situations où le message chrétien est encore inconnu. Par exemple, c’est cet esprit qui conduisit Ma t teo Ricci et ses compagnons au XVIIème siècle à se présenter à la cour impériale de Chine en tant qu’astronomes occ identaux, à adopter les costumes et les manières des lettrés chinois. Au XIXème siècle et au début du XXème, on considérait que la science était un domaine étranger, sinon hostile, à la religion. Les Jésuites ont senti que leur responsabilité était de mont rer, grâce à leurs travaux scientifiques, qu’il n’y a pas d’incompatibilité entre science et foi, et que le travail scientifique lui - même peut aussi être une façon de trouver Dieu. De cette attente naquit la fondation du réseau d’observatoires jésuites dis séminés dans le monde. L’homme de science jésuite moderne considère la communauté scientifique comme sa paroisse, brisant ainsi par sa présence de nombreuses frontières et des barrières d’incompréhension. Daniel Linehan (1904 - 1987), inlassable sismologue e t explorateur, conscient de son rôle de prêtre et de savant, fit graver sur le pied de son calice : « Première Messe au Pôle Nord Magnétique 1954 » et « Première Messe au Pôle Sud 1958 ». Ses priorités étaient claires à ses yeux quand il déclara à un journ aliste du magazine Life : « Je donnerais toute ma sismologie pour célébrer une seule Messe comme celle à laquelle vous avez assisté ce matin

13 ». 3. Témoignages de Jésuites hommes de science Les savants jésuites des XVIIème et XVIIIème siècles ne ressentaient pas le besoin de justifier leur activité, qu’ils considéraient comme parfaitement normale. Quelques scientifiques jésuites modernes, cepend ant, ont considéré nécessaire d’écrire à ce sujet. Secchi a été parmi les premiers à 11 Angelo Secchi, Le soleil , Paris : G authier - Villar, 1875 , (Prologue), 6. 12 Discours du pape Benoît XVI à la Congrégation Générale 35. 13 Charlotte B. Harvey, The voyage of the Monte Carlo. Boston College Magazine , ( Fall 2000 ) . 6 le faire. Il a considéré que son travail était une express ion de la compatibilité entre science et religion, sujet controversé à son époque (XIXème siècle) : « La vraie foi n’est pas hostile à la science, mais les deux domaines sont comme deux rayons venant du même Soleil qui devrait illuminer nos esprits au moyen de la vérité

14 ». Teilhard de Chardin, commentant en face d’un groupe de jeunes Jésuites la lettre du Père Général Johannes Janssen de 1947 sur l’apostolat intellectuel, présenta ce qu’il pensait de l’engagement des Jésuites envers la science dans le contexte de sa pensée

15 . Il commença par insister sur l’énorme importance de la science dans le monde moderne, en disant que c’est devenu ce qu’il appelle la Grande Affaire du Monde , « fonction humaine aussi vitale que la nutrition et la reproduction ». Pour lui, la recherche scientifique constitue la pointe de la flèche de l’évolution humaine. Il s’est demandé pourquoi il est si important pour nous, Jésuites, de prendre part à la recherche scientifique, et il répondit que « c’est l a forme sous laquelle est cachée et opère plus intensément dans la nature qui nous entoure la puissance créatrice de Dieu ». A travers elle, ajoute - t - il, de nouveaux progrès de conscience apparaissent dans le monde. Teilhard est convaincu du besoin de réco nciliation du « problème des deux fois », la foi en Dieu et la foi en l’homme. Cette réconciliation est nécessaire afin de faire avancer dans le monde le Royaume de Dieu. Pour lui, ces deux fois sont en fait les deux composants essentiels d’un mystique hum ano - chrétien complet. On ne peut rendre présent dans le monde leur réconciliation et leur synthèse à moins que ce soit vécu concrètement, d’où l’importance de la recherche scientifique chez les Jésuites. Teilhard finit sur ces mots : « Nous, prêtres jésuit es, non seulement nous devons nous intéresser, nous prêter, mais nous devons croire à la Recherche parce que la Recherche (poursuivie ‘avec foi’) est le terrain même sur lequel a des chances de s’élaborer la seule mystique humano - chrétienne qui puisse fair e demain une unanimité humaine

16 ». C’est ainsi que nous pouvons trouver dans une formulation diffé rente la même spiritualité ignat ienne qui discerne dans la recherche scientifique le meilleur moyen pour conduire à l’expansion du Royaume de Dieu grâce à la réconciliation des deux fois. Dans son célèbre essai La Messe sur le Monde , Teilhard exprime sous une formulat ion différente le principe ignat ien : trouver Dieu en toutes choses

17 . Dans cette prière, il consacre à Dieu tous les efforts et toutes les souffra nces des hommes, hostie universelle sur l’autel du monde. Dans les années 1960, il y avait un bon nombre, près de 300, de scientifiques jésuites aux Etats - Unis. Ce qui conduisit certains d’entre eux à poser explicitement la question de la vocation du prêtr e - homme de science et du Jésuite - homme de science. C’était un aspect particulier du problème plus général de ce que l’on appelait à l’époque le prêtre avec trait d’union, c’est - à - dire le prêtre avec d’autres activités professionnelles. Frank Haig, professe ur de physique, considère que le prêtre - scientifique ne peut seulement s’expliquer par l’intérêt personnel ou par le rôle apologétique de défense de l’Église

18 . Pour lui, ce sont des raisons nécessaires mais non suffisantes , et il propose que le prêtre - scientifique exerce avant tout un rôle symbolique dans l’intégration d’une vie de la science et d’une vie de la grâce. Il a justifié cette intégration par le besoin vécu maintenant dans l’Église de repenser son message dan s la langue du monde scientifique, et d’être ainsi présente aux frontières de la connaissance. D’après Haig, le prêtre - scientifique « essaie de rendre le monde de la foi et le monde de la science transparents l’un envers l’autre ». Ernest Spittler, professeur de chimie, applique ces concepts a u cas concret des Jésuites et donne une position centrale à leur rôle en tant que prêtres, médiateurs entre Dieu et les hommes

19 . Ce rôle doit être réalisé à l’intérieur de l’Église, 14 Cité par Van Tricht , Secchi (1878), 370. 15 Teilhard de Chardin, Sur la valeur religieuse de la recherche . Science et Christ. Oeuvres 9 , Paris : Éditions du Seuil, 19 65 , 255 - 263 . 16 Ibid., 263 17 Teilhard de Chardin, La Messe sur le monde Le cœur de la Matière Oeuvres 13 , Paris : Éditions du Seuil ( 19 76) , 139 - 156 . 18 Fra n k. R. Haig, vocation of the priest - scientist. Bull. American Association of Jesuit Scientists, 36 (1961), 3 - 21. 19 Ernest G. Spittler, The priest - scientist in the Church. Bull. American Association of Jesuit Scientists, 39 (1962), 30 - 37. 7 et il est « médiateur » à l’égard de la communauté scientifique, et des laïcs catholiques et non - catholiques. Il constitue un véritable apostolat, lequel est souvent caché et , en ce qui concerne les Jésuites, il sera souvent exercé à travers l’éducation. William Meissner, psycho - analyste, l’applique plus directement au Jésuite - scientifique qui adopte deux rôles, celui de prêtre, et celui de scientifique, et déclare que l’individu est ainsi placé dans une situation qui n’est pas libre de conflits, de frustrations, d’insécurité et d’anxiété

20 . Afin de résoudre ces conflits, il propose la nécessité d’intégrer les valeurs de la science et les valeurs de la vie jésuite. Le prêtre - scientifique est avant tout un prêtre, et il exerce une fonction spécifiquement religieuse, apostolique et symbolique en même temps. Elle est apostolique dan s la mesure où il passe pour quelqu’un qui porte témoignage de la vérité. Elle est symbolique dans la mesure où il est le signe visible de la plénitude de la vie religieuse chrétienne : « Il est, alors, le symbole de l’unification dans la vérité des savoir s religieux et scientifiques, de la foi et de la raison, de la sagesse catholique et du savoir séculier, de l’Église et de la science moderne ». Meissner présente ce qui est spécifiquement jésuite dans ce qu’il nomme la « proposition jésuite », que nous co mprenons comme la spiritualité jésuite. Il commence par considérer les moyens permettant à la Compagnie de Jésus de poursuivre ses fins, telles qu’elles sont proposées par St Ignace dans les Constitutions, et dont certaines sont surnaturelles et d’autres n aturelles

21 . Si on l’applique au Jésuite - scientifique, ceci implique la complémentarité de l’idéal religieux de la sainteté personnelle et de l’engagement pour la science. Pour un Jésuite, le travail scientifique doit toujours être apostolique et Meissner i nterprète cette obligation comme étant « de l’incarnation », c’est - à - dire participant à la présence du Verbe incarné de Dieu parmi les hommes pour la sanctification de toute activité humaine. Il reconnaît les difficultés inhérentes à l’exécution de cette f onction , qui doit être une synthèse dynamique entre le fait d’être, authentiquement, homme de Dieu et homme de science. C’est un rôle complexe, Meissner l’admet, et en conséquence il y aura toujours une certaine tension dans la vie d’un Jésuite - scientifiqu e. Timothy Toohig, Jésuite travaillant sur la physique des particules au Fermilab, essaie de trouver la connexion entre son travail de physicien et sa spiritualité 22 . Il démarre en considérant que la physique cherche à comprendre la structure ultime de la m atière, ses constituants élémentaires et les forces qui les lient, en même temps que l’origine et le destin final de l’univers. Pour cette raison, dit - il , ne soyons pas surpris que des physiciens tels qu’Albert Einstein et Werner Heisen b er g et, plus récemm ent, Stephen Hawking et Steven Weinberg, dans certains de leurs écrits, parlent d es questions ultimes de l’existence , et finissent par parler, d’une façon ou d’une autre, de Dieu. Toohig essaie de montrer qu’il existe une certaine analogie entre le travail des physiciens et la recherche de Dieu. Il examine la façon dont Einstein et Niels Bohr reconnaissent la présence d’un mystère caché derrière la structure de l’univers qui reste toujours ouvert à de nouvelles intuitions et de nouvelles inspirations. Tous deux, selon Toohig, avaient une approche intuitive des problèmes physiques et pratiquaient leurs travaux avec la profonde conviction de l’existence d’une simplicité sous - jacente de la structure de la matière. Il se demande si ces attitudes ne témoignent pa s d’une spiritualité sous - jacente et d’une certaine expérience implicite de Dieu. Toohig, dans son analyse, utilise le concept d’ « expérience transcendantale » développé par le théologien jésuite allemand Karl Rahner, signifiant par là une expérience de la transcendance présente chez chacun, et constituant en soi une « connaissance anonyme et non - thématique de Dieu ». Toohig pense qu’il y a une similitude entre cette expérience transcendantale et l’expérience des physiciens en face du mystère de l’univers. Il affirme que, bien que ce ne soit pas dit, on peut considérer la recherche en physique comme une quête de Dieu. On peut mettre en question cette similitude, mais on peut comparer son intention de trouver un certain sens « religieux » dans l’expérience sc ientifique elle - même à la propositio n 20 William W. Meissner, The Jesuit as a priest - scientist. Bull. American Association of Jesuit Scientists, 40 (1963), 25 - 33. 21 San Ignacio, Obras, ( Constituciones X, 3, 813 - 814), 641 - 642. 22 Timothy E. Toohig, Physics re search, a search for God. Studies in the Spirituality of Jesuits , 21/2 (1999), 1 - 26. 8 ignatienne de trouver Dieu en toutes choses. Toohig présente également des analogies entre certains autres aspects de la spiritualité ignat ienne tels, par exemple, que l’expérience de la rédemption personnelle à de profonds niveaux de la vie, proposée dans les Exercices spirituels, et la faim que les physiciens montrent dans leur vie pour une pénétration toujours plus profonde du mystère de l’univ ers. Il va jusqu’à suggérer une certaine similitude entre l’expérience d’Einstein découvrant de nouvelles théories physiques et l’expérience mystique de St Ignace sur la création , près du fleuve Cardoner. L’approche de José Gabriel Funes, actuel directeur de l’observatoire du Vatican, est plus spécifique ; il démarre en déclarant que la tradition scientifique jésuite a ses ra cines dans la spiritualité ignat ienne

23 . Il discute les défis à la foi chrétienne posés par la science de nos jours et l’appel à l’« ap ôtre scientifique » à être présent aux frontières entre l’Église et le monde de la science, et il offre son propre témoignage selon lequel il n’existe pas de conflit entre les deux. A l’objection pratique selon laquelle il existe de nos jours d’autres prob lèmes plus urgents pour un prêtre, Funes répond par la scène de l’onction de Jésus à Béthanie (Mc 14, 3 - 9) justifiant ce que l’on peut considérer comme une vie « gâchée » dans l’étude des galaxies, mais accomplie au service du Seigneur. Il termine avec l’i dée, déjà mentionnée par d’autres, que le prêtre - scientifique joue le rôle de pont entre l’Église et la communauté scientifique. Un autre membre de l’équipe de l’observatoire du Vatican, Paul Gabor, essaie de répondre à la question : l’implication des Jésu ites dans la science est - elle une expression de l’identité jésuite elle - même, c’est - à - dire est - elle de l’ordre du charisme, ou bien est - ce le résultat d’influences extérieures

24 ? Il commence par un panorama du travail scientifique dans la Société depuis Cl avius au XVIème siècle jusqu’à la Congré gation Générale 31 de 1961. A nalysant la motivation derrière ce travail, Gabor présente d’abord les motivations extérieures, par exemple apologétiques et utilitaires, qu’il considère comme insuffisantes. Puis il exam ine les motivations internes et relie la recherche scientifique avec la spiritualité igna ienne dans les Constitutions et les Exercices spirituels de St Ignace. Gabor déclare que « la science est pratiquée pour son propre intérêt dans la Société, en tant qu e véritable quête spirituelle ». C’est ainsi qu’il déclare que les raisons étrangères, telles que pragmatiques, pastorales, pédagogiques et spirituelles ne sont pas nécessaires et que la motivation fondamentale des scientifiques jésuites est la recherche e lle - même. Il affirme également que l’on peut trouver de nombreux parallèles entre la vie scientifique et la vie spirituelle. En ce qui concerne en particulier la physique, Gabor trouve qu’il y a plusieurs aspects dans le travail du physicien, tels que le goût du jeu, la poursuite de la sagesse, les implications et dimensions ascétiques, qui sont des exemples de ses affinités spirituelles. Il termine en disant qu’« il existe une affinité indiscutable entre la science et la spiritualité ignatienne ». Dans ces quelques témoignages nous avons vu que les scientifi ques jésuites voient eux - mêmes leur activité non seulement compatible avec, mais conséq uence de leur spiritualité ignat ienne , justifiée en elle - même et non seulement par des motivations utilitaires apost oliques. Nous avons vu aussi qu’il y a un véritable effort pour montre r les affinités entre le travail scientifique et cette spiritualité, bien qu’il ne soit pas parfaitement clair de définir en quoi consiste nt ces affinités. Gabor reconnaît qu’il existe d es témoignages plutôt que des analyses approfondies, mais il trouve frustrant le manque d’études systématiques concernant la spiritualité du travail scientifique. Funes déclare que parmi les Jésuites il existe différentes façons de vivre l’apostolat scient ifique, de même qu’il y a de nombreuses façons différentes de vivre la vocation jésuite elle - même. Comme exemple, il présente les différences entre un Matteo Ricci et un Teilhard de Chardin , et il s’identifie davantage avec le premier

25 . Tous les témoignages débutent par le postulat selon lequel pendant presque toute son histoire, les Jésuites se sont distingués dans l’Église en tant qu’appartenant à l’institution qui a eu, et a encore, un engagement spécial et une implication dans la science. Leur conclusion fait, d’une certaine façon , le 23 José G. Funes, Una imagen evangélica para el apostolado científico (Mc 14, 3 - 9). Rev. de Espiritualidad Ignaciana , 37, (2007) 87 - 95. 24 Paul Gabor, Jesuit identity and science. An inside look. En Petra Čemus (ed.) Proceedings of the Bohemia Jesuitica Conference (Prague 25 - 27 April 2006) Prague: Carolinum (2010), 647 - 660. 25 Funes, Una Imagen (2007), 92. 9 lien entre cette implication et la spiritualité igna t ienne, fondement de la vie jésuite, bien que cette relation soit exprimée à partir de différents points de vue et que d’autres études soient nécessaires. 4. Pr atique scientifique et vie jésuite Il y a encore une question que nous devons étudier sur la façon dont l’engagement envers la science a été vécue de fait par les Jésuites dans le contexte de le ur propre ordre religieux et comment il a été vu par d’autres Jésuites, en particulier par leurs supérieurs. Tout d’abord, il nous faut tenir compte du fait que les hommes de science ont été, et sont toujours, une petite minorité parmi les Jésuites. Leur formation, en quelque sorte, les sépare du reste de leurs frère s, qui s’occupent plus spécialement de théologie, de philosophie et d’humanités, ou de travail pastoral direct. Il est vrai qu’ils ont suivi une formation théologique et philosophique similaire, mais leur formation et leur travail scientifiques ne sont pas partagés par les autres. Voilà pourquoi, parfois, le scientifique jésuite peut se sentir un peu incompris, ou isolé dans son travail, un peu un « outsider » dans sa propre communauté. Les supérieurs regrettent aussi parfois ne pas pouvoir dédier les scien tifiques à d’autres tâches qu’ils considèrent plus utiles. Mordechai Feingold examine la situation en détail avec les Jésuites scientifiques des XVIIème et XVIIIème siècles, et il pose la question : pourquoi, parmi eux, n’y a - t - il pas de savants de premièr e grandeur comme Galilée, Descartes ou Newton

26 ? Bien qu’il soit permis de s’interroger sur la pertinence de cette question, puisque les savants de ce niveau sont si rares qu’il est difficile à une institution d’apporter une seule contribution. Mais la que stion permet à Feingold d’examiner une série de circonstances qui dressent des obstacles dans les activités des scientifiques jésuites. Il se demande même s’il n’existe pas de réelle incompatibilité entre la vocation jésuite et l’engagement envers une scie nce séculière, puisque pour eux la science est toujours un moyen vers une fin et non une fin en elle - même. Il nous faut admettre que pour un Jésuite le travail scientifique, comme n’importe quelle autre activité de Jésuite, est finalement orientée vers le but apostolique du salut des âmes. Cependant, ceci n’invalide pas leur engagement pour la science, puisque même les plus grands savants ont une variété de motivations dans leur travail. La pureté de la poursuite de la science pour elle - même est, en fait un mythe, comme l’a montré le sociologue de la science Robert K. Merton

27 . Feingold examine une série de problèmes pratiques qui pourraient placer des obstacles dans la progression de la carrière scientifique d’un Jésuite. Parmi eux, il place le peu d’intérêt de ses supérieurs pour ce type d’études et l’urgence présentée par d’autres domaines considérés comme plus importants. Un exemple concret en est la priorité attribuée par les supérieurs aux besoins d’enseignement dans les collèges et les universités par r apport à la recherche. Un autre exemple de ce problème réside dans la priorité donnée à la publication de livres scolaires par opposition aux résultats de recherches. Feingold pose que les Jésuites ont excellé davantage en tant que professeurs et formateur s dans les domaines scientifiques qu’en tant que chercheurs eux - mêmes. Citons en exemples les étudiants de collèges jésuites tels que Torricelli, Descartes, Laplace, Volta, Buffon et Lalande. D’autres obstacles rencontrés par les Jésuites dans leur travail scientifique, selon Feingold, sont les réticences des supérieurs à l’égard des nouveautés, les règles pour l’unité de la doctrine, la censure intérieure de l’ordre et l’auto - censure des auteurs eux - mêmes. Un problème con cret qui affecta les scientifiques jésuites au XVIIème et au XVIIIème siècles fut l’acceptation du système de Copernic en astronomie et en physique atomique. Il nous faut reconnaître la présence de ces problèmes, reconnus par les scientifiques jésuites eux - mêmes, mais ce ne furent pas des obstacles insurmontables. Nous ne pouvons pas non plus séparer de façon aussi drastique l’enseignement et la recherche ; si les Jésuites ont été de si bons professeurs de science, c’est qu’ils unissaient enseignement et re cherche. 26 Mordechai Feingold, Jesuits : Savants. En M. Feingold (ed.), Jes uit science and the republic of letters . Cambridge (Mass.): The MIT Press (2002), 1 - 45. 27 Robert K. Merton, La sociología de la ciencia . Madrid, Alianza Universidad (1973), (Las pautas de conducta de los científicos) 423 - 443. 10 L’œuvre scientifique des Jésuites dans la Société restaurée après 1814 a été principalement centrée sur les observatoires et les universités. Cette époque ne connaissait plus de préjugés contre les théories scientifiques depuis que la science étai t séparée des questions philosophiques et théologiques. Les scientifiques jésuites jouissaient d’une liberté complète dans leurs travaux du domaine scientifique. Teilhard de Chardin, par exemple, n’eut jamais aucun problème pour la publication de ses trava ux scientifiques. De plus, ses supérieurs lui conseillèrent de rester dans le domaine scientifique et de ne pas se mêler de questions théologiques. Les travaux des nouveaux observatoires, fondés après 1824, étaient grandement appréciés par les Jésuites, no urris et encouragés par les supérieurs jusqu’aux années 1970, où ils commencèrent à décliner. En 1893, le Père Général Luis Martin, parlant des travaux effectués à l’observatoire de Manille (Philippines), déclara qu’ils contribuaient non seulement à la « s plendeur de la science et à la bonne réputation de notre Société, mais aussi à l’utilité des scientifiques et à l’assistance des âmes, but de toutes nos études et activités selon notre institution

28 ». Pierre Lejay (1898 - 1958), directeur de l’observatoire d e Zikawei (Chine), se plaignait en 1933 de ce que le travail scientifique de l’observatoire n’était pas suffisamment apprécié par la Mission jésuite chinoise, quelques missionnaires le considérant comme une perte de temps. Le Père Général Wladimir Ledochow ski lui écrivit pour lui dire qu’« il avait toujours protesté personnellement contre cette opinion injuste » et pour mettre en évidence « la haute importance du travail intellectuel et la faveur qu’il a toujours eu e dans l’ Église et les traditions missionn aires 29 ». Nous pouvons conclure que le travail scientifique jouit encore d’une grande estime parmi les Jésuites, sauf par quelques critiques qui ne comprennent pas son importance. Dans les temps modernes, l’importance donnée à l’enseignement, que nous avon s vue dans la période précédente, est toujours d’actualité, du fait du plus grand nombre d’universités dirigées par des Jésuites et du besoin de professeurs jésuites dans les départements des sciences. Ernesto Gherzi (1886 - 1976), dernier directeur de l’obs ervatoire de Zikawei qui travailla ensuite à l’observatoire géophysique jésuite de Montréal, se plaignait en 1970 du peu de soutien qu’il rencontrait chez les autres Jésuites dans ses recherches de géophysique. Louis Larendeau, Provincial de la province ca nadienne française jésuite, reconnut que les supérieurs n’étaient pas souvent familiers du monde de la science de sorte que la vocation des scientifiques jésuites est rarement récompensée, spécialement en ce qui concerne ceux qui font de la recherche. Cependant, il concède que l’enseignement est mieux reconnu et accepté

30 . Carl - Henry Geschwind, écrivant dans le contexte des travaux jésuites contemporains de sismologie aux Etats - Unis pose aussi la question, comme Feingold : les Jésuites ont - ils travaillé en s cience pour la science ou bien poursuivaient - ils d’autres fins ? Il déclare qu’au XIXème siècle la tradition scientifique jésuite s’était effacée et qu’en Amérique du Nord « idéologiquement, une absence de goût pour une libre recherche » s’était développée

31 . C’est faire fi de personnalités telles que Angelo Secchi, Stephen Perry et Benito Viñes qui, au XIXème siècle, apportèrent des contributions durables et significatives en astrophysique, en géophysique et en météorologie. Il fait la différence avec l’attitude envers la recherche sismologique de Frederik Odenbach et James Macelwane, considérant que seul le deuxième bénéficiait d’une véritable mentalité scientifique. Nous avons déjà mentionné la complexité des motivations dans le travail scientifique, et comment la présence chez des scientifiques jésuites d’un but religieux ultime n’invalide pas leurs travaux d’hommes de science. Conclusion 28 Lettre au P. Miguel Saderra (3 Nov 1893), Archivum Romanum Societatis Iesu ( ARSI ), Lettres du P. Luis Martín, 1892 - 1906,158 29 Lettre au P. Pierre Lejay (17 Abril 1933). ARSI , Lettres du P. Wladimir Ledochowski, 1915 - 1942, 482 - 483 , . 30 Lettre du provincial de la Province G allo - canadienne Louis Laurendeau au P. Ernesto Gherzi (Montreal, 3 février 1970) Saint - Jérôme, ASJCF , Bo - 214 - 35. 31 Geschwind, Embracing science (1998), 28 y 49.

rien néchappe a ces jésuites ils ont meme un téléscope surnommé lucifer  tres en accord avec leur manigance.

LUCIFER, de son nom complet le Large Binocular Telescope Near-infrared Spectroscopic Utility with Camera and Integral Field Unit for Extragalactic Research, soit en français « Installation spectroscopique proche infrarouge du Grand Télescope binoculaire avec caméra et unité intégrale de champ pour la recherche extragalactique », est un instrument utilisé en astronomie sur le télescope appelé Large Binocular Telescope. L'ensemble fait partie de l'Observatoire international du Mont Graham, construit en 1989. Il est situé sur le Mont Graham, dans le sud-est de l'Arizona aux États-Unis LUCIFER a été mis en service au début 2011 après 10 années de développement et de test. Le sigle correspond à « Instrument pour le Télescope à Large Binoculaire, spectroscopique proche de l'infrarouge avec Caméra et unité intégrale de champs pour la recherche extragalactique1 » : il s'agit d'une caméra couplée à un spectrographe qui viennent compléter le télescope. Ce télescope est considéré comme l'un des télescope les plus puissants au monde.

 

17 novembre 2016

Méditation pour libérer les Obélisques à Rome et les lignes telluriques : une arnaque nuageuse

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Une fois l’environnement scellé par l’énergie négative, l’esprit devient très faible et vulnérable aux brèches lors des émotions de vibration négative qu’on émet depuis l’intérieur des centres énergétiques. Ces émotions négatives sont comme les nuages chargés de particules positives et négatives qui s’entremêlent pour donner des éclairs foudroyants lors des orages ou des tornades. Ils se comportent comme des dents ou des billes d’une machine qui tournent dans un sens programmé ; dès que vous introduisez un fer ou un bâton à l’intérieur, ils s’arrêtent, se bloquent ou se désagrègent, provocant ainsi d’importants bouleversements qui affectent la machine. Ce sont les mêmes observations à l’intérieur du corps subtil en présence des émotions négatives d'où, une importante perte d’énergie positive qui laisse place à de l’énergie négative qui ouvre les brèches naturelles et des fissures dans l’esprit ; on parle alors de "brèches émotionnelles". Ces émotions négatives ont aussi tendance à réduire le taux vibratoire de notre corps. Sur le plan physique et métaphysique, lorsqu’on éprouve ces émotions négatives, le système métabolique et endocrinien produit un poison appelé "toxine" qui innerve le sang et les organes affaiblissant progressivement le système immunitaire. Les personnes éprouvées par ces phénomènes sont donc vulnérables aux possessions, aux cas de dépressions, de blocage à divers niveaux, de toutes sortes de maladies et du contrôle de leur esprit.

le corps de lhomme est la terre etant similaires au niveau energetique la terre a aussi des breches qui sont créent par les obélisques ses veritables point dacupuncture qui bloquent l'emission de bonne énergie pour l'aura de lhomme , ainsi que les pyramide qui elles joue le role de controle de lesprit et de sa blande pinéale ainsi le diable de part sa technologie controle les points vitaux de la terre excepté ceux sur lesquelles on pratique de pures invocations religieuse et non des sacrifices humains qui transforme l'énergie blanche en négativité et qui affecte lenvironnement des villes et nourrie les entités du bas astral vous verrez souvent des accidents pres de ces obeliisques.et beaucoups d'énervement ........ Une Lexus et un Tiguan sont entrés en collision sur le CD 231 au carrefour dit « de l'obélisque » à Villeneuve-le-Comte, ce dimanche, vers 14 h... ... Jeff Ribeiro, 18 ans, est mort sur la N 36 au niveau de l'obélisque de Villeneuve-le-Comte. ..Deux jours après l'accident mortel sur la N 36, un nouveau ... les deux sens au niveau du carrefour de l'Obélisque et du rond-point de Tigeaux.Un accident grave de la circulation est signalé ce vendredi en milieu ... Les deux enfants enlevés avaient été retrouvés près du Havre : trois Chinois jugés .... de Tigeaux (D21/N36) et le croisement de l'obélisque (D231/N36).

 

On peut lire
Notre travail sur les obélisques et  les lignes telluriques a libéré beaucoup d’énergies.

 

oui on en doute pas
Ce travail doit continuer jusqu’à ce que le dernier vestige de l’ancien système de contrôle soit éliminé pour toujours. 
Vous avez pris l’engagement d’effectuer ce travail à travers la méditation, jusqu’à ce que tout ce qui est corrompu soit découvert et éliminé. et les +-+obélisque symbole du diable ne sont pas corrompus peut être ,pourquoi ne pas inviter les gens a prier leur créateur contre le mal sur terre ,dites moi ce serait plus efficace ,mais évidemment le but c'est de donner votre énergie aux démons sur des ley lignes qui leur servent de passage ,T
C’est le travail le plus important qu’on vous a demandé de faire. 
Nous avons besoin que vous encouragiez le plus de monde possible à le faire avec nous.évidemment

Ne participez pas a ces libération ,car ils libèrent des êtres désincarnés dans notre dimension avec la participation des humains parce que ces êtres ne peuvent entrer que si vous les invitaient vous voyez un peu l'arnaque comme inviter son cambrioleur a rentrer chez vous en lui donnant les clefs pour entrer .......

La preuve est ici

le son AUM ou le mantra AUM NAMAH SHIVAYA, SHIVAYA NAMAH AUM que ces sectes vous demande de faire ce sont est un appel direct en PCV de tout ce qui est tordu dans les mondes .......un agneau va t il dans la savanne appeller le lion pour se faire dévorer !!!!

   

«Om Namaha Shivaya» est l'un des plus puissants mantras sanskrits (les mantras sont des phrases créées pour provoquer un changement de niveau de conscience).Ce mantra commence avec le son primordial "OM". Le mot "Namah" signifie s'incliner, ou honorer.shiva

qui est shiva ?
Helena Petrovna Blavatsky (Société Théosophique) indique dans "Isis dévoilée" : «Maintenant, nous devons nous rappeler que SHIVA et l'Autorité palestinienne BAAL, MOLOCH et SATURNE sont identiques ..." Il n'y a pas de contradiction ici, chez les Egyptiens SETH, est le diable comme SHIVA est le diable et le dieu indien de destruction. Les deux noms, SETH et SHIVA, sont également énumérés dans la " Bible Satanique " comme un autre nom pour SATAN !

 

Enfin nous envoyons le Mantra OM dans mère Terre pour sceller l’accord.oui un drôle d'accord  il est amusant que ceux qui rejette les religions adoptent sans le savoir la religion de leur ennemi non content de les avoir fait rejeté Dieu il les fait prier pour lui et bien bravo vous êtes vraiment des etres de lumières maintenant, comme bon vous semble l'enfer est pavée de bonnes intentions ,réveillez vous bon sang ......
Ommmmmmmmmmmmmmmmm
Imaginez comment ce son scelle tout contre toute obscurité et négativité une fois pour toutes.pipeau c'est l'inverse vous vous soumettez au chef des genie de sang bleu....le voila votre ami le chef des reptilien le plus rusé de la création.

Un égrégore est la synthèse d’une force collective, il contient les buts, les espoirs et les désirs de l’ensemble des individus qui s’y rattachent.

Cette force créée n’est pas uniquement mystique, il existe des égrégores pour tous les groupes de personnes formés, évolutifs ou involutifs, spirituels ou profanes. Il faut toutefois noter que seuls les égrégores spirituels sont volontairement alimentés, entretenus et utilisés (les groupes de magie noire s’appuient aussi sur le mouvement de leur égrégore). Les autres existent, parce que la nature répond à des lois, mais ces égrégores ne sont pas structurés et donc difficilement contrôlables.

Il n’y a pas de mot hébreu qui corresponde directement au mot égrégore, le plus vraisemblable serait « Malakh » (מאלך) .

Ce mot désigne généralement un ange et veut littéralement dire « messager », c’est-à-dire intermédiaire ; un égrégore joue aussi le rôle d’intermédiaire entre l’esprit et la matière, les membres du groupe, le visible et l’invisible.

La tradition enseigne que lorsque dix personnes se réunissent pour prier, elles créent un ange (malakh). Les dix personnes réunies s’appellent un « Minyan » (מנין), c’est le nombre minimum de personnes nécessaires pour accomplir certains rites et réciter certaines prières (Kaddish). Ainsi, la prière d’un Minyan forme un Malakh (un égrégore), dont la vocation et l’énergie sont motivées par la Kawanah (intention) du groupe.

Si ce malakh (ange-égrégore) est régulièrement dynamisé, il grandira en énergie et deviendra de plus en plus puissant ; dans le cas contraire il s’épuisera. Les qualités du Malakh formé seront scellées par un nom, un sceau magique, des couleurs, des parfums et des invocations, que les membres du groupe utiliseront pour mettre en action la force de leur Malakh.e en l'occurence cet ange c'est satan en faisant donc cela on augumente son pouvoir ..........

la lignée au sang bleue ......

sang bleue hybrides reptiliensdjinn

Nous sommes la Lumière et l’Amour infini qui libère cette magnifique planète bleue qu’est la Terre. Célébrons dans nos cœurs, et accueillons notre Famille des Etoiles à bras ouverts. Nous sommes prêts.( une sacrée famille des étoiles habitaient par des démons et génies de tout poils ) un beau discours digne du film les visiteurs on sait comment çà se termine vous remplacez extraterrestres par démons et vous serez plus près du resultat...

 

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1 novembre 2016

Des anciens Mystères Babyloniens au système de Rome

110386074Si l'on trouve cette coïncidence générale entre les systèmes de Babylone et de Rome, on se demande est-ce tout ? Nous répondons : bien loin de là. – Comparons seulement les anciens Mystères Babyloniens au système de Rome et nous verrons combien l'un a emprunté à l'autre. Ces mystères furent longtemps enveloppés de ténèbres ; mais aujourd'hui ces ténèbres épaisses commencent à se dissiper. Tous ceux qui ont prêté la moindre attention à la littérature de la Grèce, de l'Égypte, de la Phénicie ou de Rome, savent quelle place les Mystères occupaient dans ces pays ; ils savent aussi que malgré des diversités secondaires, ces mystères étaient les mêmes sur tous les points essentiels dans ces diverses contrées. Or, de même que les paroles de Jérémie déjà citées semblent montrer que Babylone fut la source première de tous ces systèmes d'idolâtrie, ainsi les déductions des historiens les plus compétents, basées uniquement sur des faits historiques, ont abouti à la même conclusion (1). Zonaras (2) nous apprend que les témoignages des anciens auteurs qu'il avait consultés amènent au résultat dont nous parlons, il nous dit en effet, à propos de l'arithmétique et de l'astronomie : "Ces deux sciences, dit-on, sont venues des Chaldéens aux Égyptiens, et de ceux-ci aux Grecs." Si les Égyptiens et les Grecs ont pris aux Chaldéens l'arithmétique et l'astronomie, du moment que ces sciences étaient des sciences sacrées dont les prêtres avaient le monopole, cela prouve suffisamment qu'ils ont puisé leur religion à la même source. Bunsen et Layard, dans leurs recherches sont arrivés au même résultat. Le premier déclare en effet que le système religieux de l'Égypte venait d'Asie, "et du premier empire de Babel (3)". Layard à son tour, quoique envisageant le système des mages Chaldéens à un point de vue plus favorable, parle ainsi de ce système : "Il est évident que ce culte primitif remonte à une haute antiquité, et nous avons le double témoignage de l'histoire sacrée et de l'histoire profane pour établir qu'il prit naissance chez les peuplades Assyriennes. On lui donna l'épithète de parfait, et on crut que c'était le plus ancien des systèmes religieux, antérieur même à celui des Égyptiens. (Egyptiis vero antiquiores esse Magos Aristoteles auctor est in primo de Philosophia libro-Theopompi Frag) (4). L'identité", ajoute-t-il, "de beaucoup de doctrines Assyriennes avec celles de l'Égypte est indiquée par Porphyre et Clément", et toujours sur le même sujet il cite les passages suivants de Birch sur les cylindres et les monuments de Babylone : "Les signes du Zodiaque montrent d'une manière indubitable que les Grecs avaient emprunté aux Chaldéens leurs notions et leur disposition du Zodiaque (et par conséquent leur mythologie qui lui était associée). L'identité de Nemrod et de la constellation d'Orion ne peut être contestée (5)." Ouvaroff, lui aussi, dans son savant ouvrage sur les Mystères d'Eleusis est arrivé à la même conclusion. Après avoir cité ce fait que les prêtres Égyptiens réclamaient l'honneur d'avoir transmis aux Grecs les premiers éléments du polythéisme, il conclut ainsi : "Ces faits certains prouveraient assez, même sans la conformité d'idées, que les Mystères transportés en Grèce qui s'y sont alliés à un certain nombre de notions locales, n'ont jamais perdu le caractère de leur origine, qui remonte au berceau des idées morales et religieuses de l'univers. Tous ces faits séparés, tous ces témoignages épars confirment ce principe fécond en conséquences qui fait de l'Orient le centre de la science et de la civilisation (6)." Si nous avons ainsi la preuve que l'Égypte et la Grèce ont emprunté leur religion à Babylone, nous avons aussi la preuve que le système religieux des Phéniciens sort de la même origine. Macrobe démontre que le caractère distinctif de l'idolâtrie Phénicienne doit avoir été importé d'Assyrie, qui pour les écrivains classiques comprenait Babylone. "Le culte de Vénus Architès, dit-il, florissait autrefois chez les Assyriens comme aujourd'hui chez les Phéniciens (7)."

Or pour établir l'identité entre les systèmes de l'ancienne Babylone et de la Rome papale, il n'y a qu'à chercher à quel degré le système de la papauté s'accorde avec le système établi dans ces Mystères de Babylone. Dans une pareille recherche, nous avons à surmonter des difficultés considérables ; car de même qu'en géologie, il est tout à fait impossible d'atteindre les couches profondes qui s'étendent sous la surface de la terre, ainsi il ne faut pas croire que dans aucun pays nous puissions trouver un exposé complet et harmonique du système qui y est établi. Mais cependant comme le géologue, en examinant ici l'intérieur d'une fissure, là une éminence, ailleurs les différents aspects de la surface elle-même, peut déterminer, avec une merveilleuse certitude, l'ordre et les contenus généraux des différentes couches de toute la terre, il en est ainsi pour la question des mystères Chaldéens. Ce qui manque dans un pays est fourni par un autre, et ce qui apparaît dans plusieurs directions, détermine nécessairement le caractère de bien des faits qui ne se montrent pas directement au grand jour. Étant donc admis l'unité et le caractère Babylonien des anciens Mystères de l'Égypte, de la Grèce, de la Phénicie, et de Rome, prenons ces deux traits pour la clef qui doit nous guider dans nos recherches, et comparons point par point la doctrine et la pratique des deux Babylones, celle de l'Ancien et celle du Nouveau Testament.

Nous remarquerons, en premier lieu, l'identité des objets de culte de Babylone et de Rome. Les anciens Babyloniens, exactement comme les Romains modernes, croyaient formellement à l'unité de la Divinité ; et tout en adorant une infinité de divinités secondaires, qui, disait-on, possédaient une certaine influence sur les destinées humaines, ils reconnaissaient distinctement l'existence d'un seul Créateur infini, et tout-puissant, élevé au dessus de tout (8). La plupart des nations faisaient de même. "Dans les âges reculés de l'humanité, dit Wilkinson dans les « Anciens Égyptiens », on semble avoir cru généralement à une divinité unique et toute-puissante qui a créé toutes choses ; la tradition apprit aux hommes les mêmes notions sur ce sujet, notions qui plus tard ont été adoptées par toutes les nations civilisées (9)." "La religion Gothique, dit Mallet, enseignait l'existence d'un Dieu suprême, maître de l'univers auquel, disait-on, tout obéissait, tout était soumis" (Tacite de Morib. Germ.). L'ancienne mythologie de l'Islande l'appelle "l'auteur de tout ce qui existe, l'Être éternel, vivant et terrible, celui qui scrute les choses cachées, l'Être qui ne change jamais". Elle attribue à cette divinité "un pouvoir infini, une connaissance illimitée, une justice incorruptible (10)". C'était là aussi, nous en avons des preuves, la foi des anciens Hindous. Bien que le moderne Brahmanisme reconnaisse des millions de dieux, les livres sacrés des Hindous montrent qu'autrefois il n'en était nullement ainsi. Le major Moor dit, en parlant de Brahma, le Dieu suprême des Hindous : "Aucune image ne peut le représenter, lui dont la gloire est si grande. Il éclaire tout, réjouit tout, de lui viennent toutes choses ! C'est lui qui fait vivre les êtres vivants, c'est à lui que toutes choses reviennent." (Veda)(11). Dans les décrets de Manou il est ainsi caractérisé : "Celui que l'esprit seul peut percevoir : dont l'essence échappe aux organes sensibles, qui est invisible, qui exista de toute éternité : l'âme de tous les êtres, qu'aucune créature ne peut concevoir (12)." Dans ces passages, il y a quelques traces de panthéisme, mais le langage même témoigne qu'il y a eu parmi les Hindous une période où la foi était beaucoup plus pure.

Non seulement les Hindous célébraient hautement les perfections naturelles de Dieu, mais il est certain qu'ils connaissaient parfaitement son caractère miséricordieux, tel qu'il se manifeste dans ses relations avec un monde coupable et perdu. C'est ce qui apparaît clairement dans le nom même de Brahm qu'ils ont donné au Dieu unique, éternel et infini. On s'est livré à bien des spéculations peu satisfaisantes sur le sens de ce nom ; mais si l'on considère avec soin les différentes citations relatives à Brahm, il devient évident que ce nom n'est autre chose que l'Hébreu Rahm avec le digamma préfixe, très usité dans les mots sanscrits dérivés de l'Hébreu ou du Chaldéen. Rahm en hébreu signifie "le miséricordieux ou le compatissant (13)". Mais Rahm signifie aussi le ventre (14) ou les entrailles, comme siège de la compassion.

Or on parle de Brahm, le seul Dieu souverain, dans un langage tel qu'on ne peut l'expliquer à moins de supposer que Brahm avait la même signification que le mot Hébreu Rahm. Ainsi, nous voyons que le dieu Crishna, dans l'un des livres sacrés des Hindous, affirmant sa dignité souveraine, sa divinité et son identité avec le Dieu suprême, se sert des expressions suivantes : "Le grand Brahm est mon sein, dans lequel je place mon foetus ; c'est de lui que procèdent toutes choses. Le grand Brahm est le sein de toutes les formes diverses qui sont conçues dans chaque sein naturel (15)." Comment aurait-on jamais pu appliquer un pareil langage au "suprême Brahma, le Dieu Très-Haut, l'Être divin, au-dessus de tous les autres dieux ; sans généalogie, le Seigneur tout-puissant, Dieu des dieux, le Seigneur universel (16)" sinon à cause de cette analogie entre Rahm "les entrailles", et Rahm "le miséricordieux" ? Nous voyons donc que Brahm est exactement le même que "Er-Rhaman (17)" le Tout miséricordieux, titre appliqué par les Turcs au Très-Haut, et que les Hindous, malgré leur profonde dégradation religieuse, avaient autrefois reconnu que le Très-Saint, le Très-Haut est aussi le Dieu de miséricorde, en d'autres termes, qu'il est un Dieu juste et Sauveur (18). En développant cette interprétation du nom de Brahm, nous voyons que leur croyance religieuse concernant la création coïncidait exactement avec le récit de l'origine de toutes choses tel qu'il se trouve dans la Genèse. On sait que les Brahmanes, afin de se faire valoir comme une caste sacerdotale à moitié divine, devant laquelle toutes les autres devaient se prosterner, ont longtemps prétendu que, tandis que les autres castes venaient des bras, du corps, des pieds de Brahma (le représentant visible et la manifestation de l'invisible Brahm avec lequel il s'identifiait) eux seuls étaient issus de la bouche du Dieu Créateur. Or, nous trouvons dans leurs livres sacrés des déclarations qui prouvent que jadis on enseignait une doctrine toute différente. Ainsi, dans l'un des Védas, il est dit expressément, à propos de Brahma : "toutes choses sont créées par sa bouche (19)". Dans ce passage on a essayé d'obscurcir le sujet : mais si on le rapproche du sens du nom de Brahm que nous avons déjà donné, qui peut douter du sens précis de cette citation, bien qu'elle soit opposée aux orgueilleuses et exclusives prétentions des Brahmanes ? Elle veut dire évidemment que celui qui depuis la chute s'était révélé à l'homme comme étant le Miséricordieux (20) et le Dieu qui fait grâce (Exode XXXIV, 6) était en même temps connu comme le Tout-puissant qui au commencement "parla, et la chose fut faite, commanda, et toutes choses comparurent, et qui fit toutes choses par sa parole puissante". – Après ce que nous venons de dire, tout lecteur qui consulte les "Recherches Asiatiques", vol. VII, p. 293, peut voir que c'est en grande partie par suite d'une falsification criminelle du titre divin de Seul Dieu vivant et vrai, titre qui aurait dû être si cher aux pécheurs, que surgirent toutes les abominations morales qui rendent si odieux au regard de la pureté les symboles païens des temples Hindous (21).

L'idée Babylonienne de l'unité divine était tellement idolâtre, que Jéhovah le Dieu vivant blâmait sévèrement son peuple de la partager à quelque degré que ce fût : "Ceux qui se sanctifient et qui se purifient au milieu des jardins, d'après les rites d'Achad (22), mangeant de la chair de porc, des choses abominables et des souris, seront consumés tous ensemble" (Ésaïe LXVI, 17). Dans l'unité de ce Dieu unique des Babyloniens il y avait trois personnes, et pour symboliser cette doctrine de la Trinité, ils employaient, comme le prouvent les découvertes de Layard, le triangle équilatéral, absolument comme l'Église Romaine le fait de nos jours (23). Dans les deux cas une telle comparaison est injurieuse pour le Roi Éternel, et ne sert qu'à pervertir les esprits de ceux qui se la permettent comme s'il y avait ou s'il ne pouvait y avoir aucune ressemblance entre une pareille figure et celui qui a dit : "à qui comparerez-vous Dieu, et à quoi le ferez-vous ressembler ?" (Ésaïe XLVI, 5).

  Cliquez pour agrandir. Agrandir la figure. Triple divinité qu'adoraient les anciens Assyriens.
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ig. 3

La papauté a dans quelques-unes de ses églises, comme par exemple dans le monastère des Trinitaires de Madrid, une image du Dieu en trois personnes, avec trois têtes sur un seul corps (24).

Les Babyloniens avaient quelque chose de similaire. Dans son dernier livre, M. Layard donne un spécimen de cette triple divinité qu'adoraient les anciens Assyriens (25) (fig. 3).

La gravure ci-dessous (fig. 4) d'une autre divinité qu'adoraient les païens de la Sibérie, est empruntée à une médaille du Cabinet impérial de St-Pétersbourg et donnée dans le "Japhet" de Parson (26).

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                    Divinité qu'adoraient les païens de la Sibérie.
Fig. 4

 


Les trois têtes sont arrangées autrement dans le spécimen de Layard, mais toutes les deux sont évidemment destinées à symboliser la même grande vérité, bien que toutes ces représentations de la Trinité avilissent les idées de ceux parmi lesquels on trouve ces images, au sujet de ce mystère sublime de notre foi. Dans l'Inde, la divinité suprême est aussi représentée de la même manière dans l'un des temples les plus anciens de ce pays ; elle a trois têtes sur un seul corps et porte le nom de "Eko Deva Trimurti (27)", "un Dieu à trois formes". Au Japon, les Bouddhistes adorent leur grand dieu Bouddha avec trois têtes, sous la même forme et sous le nom de "San Pao Fuh (28)". Toutes ces images existaient depuis l'Antiquité. Tout en étant empreinte d'idolâtrie, la notion d'une Trinité était universelle chez toutes les nations anciennes du monde : cela montre combien était profondément enracinée dans l'humanité la doctrine originelle qui vient si manifestement de la Genèse (29). Les symboles de la figure de Layard dont nous avons parlé, sont très instructifs si on les examine attentivement. Pour lui, le cercle de cette figure signifie "le temps illimité". Mais il est évident que le sens hiéroglyphique de ce cercle est bien différent. En Chaldéen un cercle se dit Zéro (30) ; et Zéro signifie aussi la semence. Aussi, d'après le génie du système mystique des Chaldéens, qui était dans une large mesure fondé sur des mots à double sens, ce qui pour le vulgaire était simplement un Zéro, "une circonférence", était pour les initiés Zéro "la semence". Maintenant si on considère à ce point de vue l'emblème triple de la Divinité suprême des Assyriens on voit clairement quelle avait été à l'origine la foi patriarcale. Tout d'abord, il y a la tête du vieillard, puis il y a le Zéro, ou le cercle, c'est-à-dire la semence ; enfin, les ailes et la queue d'une colombe (31), tout cela montre, d'une manière blasphématoire, l'unité du Père, de la semence ou du Fils, et du Saint-Esprit. Telle était la manière dont l'idolâtrie païenne avait tout d'abord représenté le Dieu en trois personnes, cette représentation avait duré même après Sennachérib ; mais il n'en est pas moins certain qu'à une époque plus reculée, les notions Babyloniennes de la Divinité s'étaient profondément modifiées ; et les trois personnes étaient devenues le Père Éternel, l'Esprit de Dieu incarné dans une mère humaine et le divin Fils, fruit de cette incarnation.


1. Voir HÉRODOTE, liv. II, ch. 109, et DIOGÈNE LAERCE, proem, p. 2.
2. Liv. I, 6, p. 34.
3. BUNSEN, L'Égypte, vol. I, p. 444.
4. LAYARD, Ninive et ses ruines, vol. II, p. 440.
5. ibid. p. 439-440.
6. OUVAROFF, Mystères d'Eleusis, sect. II, p. 20.
7. Saturnalia, liv. I, ch. 21, p. 79.
8. JAMBLICHUS, sect. VIII, ch. 2. – MACROBIUS, Saturnalia, p. 65.
9. WILKINSON, vol. IV, p. 176.
10. MALLET, Antiquités du Nord, vol. 1, p. 78-79.
11. MOOR, Le Panthéon, p. 4.
12. Col. KENNEDY, La Mythologie Hindoue, p. 290.
13. Voir PARKHURST, Lexique Hébreu, sub voce n° V.
14. ibid. n° II.
15. PARKHURST, Lexique Hébreu, sub voce n ° IV.
16. MOOR, Le Panthéon, Crishna, p. 24.
17. GITA, p. 68, apud Moor.
18. Pour plus de clarté sur la croyance des Hindous à ce sujet, voir à la fin de l'article suivant.
19. Recherches Asiatiques, vol. VII, p. 294. Londres, 1807.
20. Le mot de l'original dans l'Exode est exactement le même que Rahm niais sous la forme du participe.
21. Si tel est le sens du mot Brahma, le sens de Deva, nom générique de Dieu chez les Hindous lui est presque identique. Ce nom vient du sanscrit Div, briller. C'est seulement une forme différente de Shiv qui a le même sens et qui vient aussi du Chaldéen Ziv, éclat ou splendeur (Daniel II, 31) et certainement lorsque le culte du soleil vient se greffer sur la foi des patriarches, la splendeur visible du luminaire divinisé pouvait être suggérée par ce nom. Mais on a des raisons de croire que Deva a une origine plus noble et que ce mot venait réellement à l'origine du Chaldéen Thad bon, que l'on peut aussi prononcer Thev, ou dans sa forme emphatique Theva, ou Theva le Bon. La première lettre représentée par le Th, comme le montre Donaldson dans son "Nouveau Cratylus", se prononce souvent Dh. De Dheva ou Theva le Bon vient naturellement le sanscrit Deva, ou sans le digamma, comme cela arrive souvent Deo, Dieu, en latin Deus, en Grec, Theos, le digamma disparaissant de l'original Thevo-s, comme novus en latin devient neos en Grec. Cet aspect du sujet donne de l'autorité à la parole du Seigneur (Matthieu XIX, 17). Il n'y a qu'un seul bon, c'est (Theos) Dieu. – (le Bon).
22. Quelques-uns traduisent : (derrière un arbre) ; mais il n'y a dans le texte aucun mot signifiant arbre ; et Lowth admet, avec les meilleurs orientalistes, qu'il faut traduire "d'après les rites d'Achad", c.-à-d. "de celui qui est unique". On objectera qu'il n'y a pas d'article ; mais l'objection a peu de portée ; ce même mot "Achad" est usité sans article dans le Deutéronome, quand l'unité de la Divinité est affirmée de la manière la plus solennelle : "Écoute, Israël, l'Éternel notre Dieu est le seul Éternel" (Deutéronome VI, 4). Pour affirmer avec le plus de force possible l'unité de la divinité les Babyloniens employaient le mot Achad (Macrobii Saturnalia, liv. I, ch. 23, p. 73).
23. LAYARD, Ninive et Babylone, p. 605. Les Égyptiens se servaient aussi du triangle comme d'un symbole de leur divinité à trois formes (voir MAURICE, Antiquités indiennes, vol. IV, p. 445, Londres 1794).
24. PARKURST, Lexique Hébreu, sub voce Cherubim. D'après l'extrait suivant du Catholique Laïque, de Dublin, journal protestant compétent, décrivant un tableau romain de la Trinité, récemment paru dans cette ville, on verra qu'il s'est manifesté, aux portes mêmes de l'Angleterre, une tendance analogue à cette manière de représenter la Divinité. Au sommet du tableau est une représentation de la Trinité. Nous en parlerons avec le respect nécessaire. Dieu le Père et Dieu le Fils sont représentés par un homme ayant deux têtes, un corps et deux bras. L'une de ces têtes est comme les portraits ordinaires du Sauveur. L'autre est la tête d'un vieillard surmontée d'un triangle. Au milieu du tableau, on voit l'Esprit-Saint sortir sous la forme d'une colombe. Nous pensons que tout chrétien verra ce tableau avec tristesse, et répugnance. Le Laïque Catholique, 17 juillet 185.
25. Ninive et Babylone, p. 160. – On a dit que la forme du pluriel du nom de Dieu, dans l'hébreu de la Genèse, ne fournit pas d'argument pour la doctrine de la pluralité des personnes dans la Divinité, parce que le même mot au pluriel est appliqué aux divinités païennes. Mais si la Divinité suprême chez presque tous les peuples païens était triple-une, la futilité de l'objection est évidente.
26. Japhet. p. 184.
27. Col. KENNEDY, La Mythologie Hindoue, p. 211. Le Colonel Kennedy s'oppose à ce qu'on applique le nom de Eko Deva à la triple statue qui a été découverte dans le temple souterrain d'Elephanta, parce que, dit-il, ce nom n'appartient qu'au suprême Brahma. Mais il faut avouer qu'on peut remarquer là une inconséquence : si Kennedy admet que Brahma, la première personne de cette statue à la forme triple, est identifiée au Brahma suprême ; plus loin, il indique cependant qu'une malédiction est prononcée contre tous ceux qui font la distinction entre Brahma, Vichnou et Siva, les trois divinités qui sont toutes représentées par cette même statue.
28. GILLESPIE, Pays de Sinim, p. 60.
29. La triple invocation du nom sacré alors que Jacob bénit les enfants de Joseph est à remarquer car elle est extrêmement frappante : Et il bénit Joseph, et dit : "Dieu devant qui ont marché mes pères Abraham et Isaac, le Dieu qui m'a nourri toute ma vie jusqu'à ce jour, l'ange qui m'a délivré de tout mal, bénisse ces enfants !" (Genèse XLVIII, 15-16). Si l'ange mentionné ici n'eût pas été Dieu, Jacob ne l'aurait pas invoqué comme l'égal de Dieu. Dans Osée XII, 3-5, l'ange qui a racheté Jacob est expressément nommé Dieu : "Dans sa vigueur il lutta avec Dieu, il lutta avec l'ange, et fut vainqueur ; il pleura et lui adressa des supplications ; Jacob l'avait trouvé à Béthel, et c'est là que Dieu nous a parlé. L'Éternel est le Dieu des armées ; l'Éternel est son nom."
30. Notre propre langue nous fournit la preuve que zéro était un cercle chez les Chaldéens. Qu'est-ce en effet que zéro, le nom d'un chiffre, sinon un cercle ? Et d'où avons-nous cette expression sinon des Arabes, comme eux-mêmes l'avaient prise aux Chaldéens, le premier peuple au sein duquel aient fleuri l'arithmétique, la géométrie et aussi l'idolâtrie ? Zéro, dans ce sens vient évidemment du Chaldéen zer, "entourer", qui, à son tour, a donné naissance au nom Babylonien appliqué à une grande période de temps, "saros", (BUNSEN, tome I, p. 711-712). Celui que les Chaldéens regardaient comme le Grand Germe étant tenu pour le soleil incarné (voir ch. 3, art. 1) et l'emblème du soleil étant une circonférence (BUNSEN, tome I, p. 335, n°4), la relation hiéroglyphique entre zéro la circonférence et zéro la semence s'établit aisément.
31. D'après Genèse I, 2, l'Esprit de Dieu flottait sur les eaux (c'est l'expression dans l'original) ; il est évident que la colombe avait été de bonne heure l'emblème du Saint-Esprit.
4 avril 2016

62 bonnes raisons de préférer la messe traditionnelle à la nouvelle messe

  1. Parce que la nouvelle messe n’est pas une profession de foi catholique sans équivoque (ce qu’est la messe traditionnelle), elle est ambiguë et protestante. Donc puisque nous prions selon ce que nous croyons, il s’en suit que nous ne pouvons pas prier avec la nouvelle messe à la manière protestante et croire encore comme des catholiques !
  2. Parce que les changements n’étaient pas de petits détails mais avaient en fait « trait à une rénovation fondamentale… un changement total… une nouvelle création ». (Mgr A. Bugnini, co-auteur de la nouvelle messe)

    messe-tradi

  3. Parce que la nouvelle messe nous amène à croire « que les vérités… peuvent changer ou être traitées comme si elles n’existaient pas, sans qu’il y ait infidélité envers le dépôt sacré de la doctrine à laquelle la foi catholique est liée à jamais. »*
  4. Parce que la nouvelle messe « s’éloigne de façon impressionnante de la théologie catholique de la Sainte Messe, telle qu’elle a été formulée à la XXIIème session du Concile de Trente » qui, en fixant les « canons », a fourni une « barrière insurmontable pour toute hérésie qui s’attaquerait à l’intégrité des Saints Mystères. »*
  5. Parce que la différence entre les deux messes n’est pas purement de détail ou de simple modification de cérémonie, mais « tant de choses éternelles s’y trouvent reléguées à une place mineure (dans la nouvelle messe), – pour autant qu’elles y trouvent encore une place. »*
  6. Parce que les « récentes réformes ont suffisamment démontré que de nouveaux changements dans la liturgie ne pourront pas se faire sans conduire au désarroi le plus total des fidèles qui déjà manifestent des signes de troubles et de diminution de la foi. » *
  7. Parce qu’en des temps de confusion tels que les nôtres, nous sommes guidés par les paroles de Notre-Seigneur : « Vous les connaîtrez à leurs fruits ».
    Les fruits de la nouvelle messe sont : une baisse de 30% dans l’assistance à la messe du dimanche aux USA (NY Times 24/5/75), 43% de baisse en France (cardinal Marty), 50% de baisse en Hollande (NY Times 5/1/76).
  8. Parce que « dans la meilleure part du clergé le résultat pratique (de la nouvelle messe) est une torturante crise de conscience… »*.
  9. Parce que, moins de 7 ans après l’introduction de la nouvelle messe, les prêtres dans le monde sont passés de 413’438 à 243’307 … une baisse de près de 50% ! (Statistiques du Saint-Siège).
  10. Parce que « les raisons pastorales avancées pour justifier une telle rupture avec la tradition… ne nous semblent pas suffisantes. »*
  11. Parce que la nouvelle messe ne manifeste pas la foi dans la présence réelle de Notre-Seigneur, la messe traditionnelle la manifeste sans équivoque.
  12. Parce que la nouvelle messe établit une confusion entre la présence réelle du Christ dans l’Eucharistie et sa présence MYSTIQUE parmi nous (se rapprochant de la doctrine protestante).
  13. Parce que la nouvelle messe brouille ce qui devrait être une différence bien marquée entre le sacerdoce hiérarchique et le sacerdoce commun des fidèles (comme le fait le protestantisme).
  14. Parce que la nouvelle messe favorise la théorie hérétique que c’est la FOI du peuple et non LES PAROLES DU PRÊTRE qui rend le Christ présent dans l’Eucharistie.
  15. Parce que l’insertion de la « Prière des fidèles » luthérienne dans la nouvelle messe suit et met en avant l’erreur que tous les fidèles sont des prêtres.
  16. Parce que la nouvelle messe supprime le Confiteor du prêtre – le rend collectif avec le peuple -, promouvant ainsi le refus de Luther d’accepter l’enseignement catholique selon lequel le prêtre est juge, témoin et intercesseur avec Dieu.
  17. Parce que la nouvelle messe nous donne à entendre que le peuple concélèbre avec le prêtre, ce qui va à l’encontre de la théologie catholique !
  18. Parce que six ministres protestants ont collaboré à l’élaboration de la nouvelle messe : George, Jasper, Shepher, Kunneth, Smith et Thurian.

    Pasteurs-protestants-avec-Paul-Vi10-avril-1970

  19. Parce que de même que Luther a supprimé l’offertoire – parce qu’il exprimait très clairement le caractère sacrificiel et propitiatoire de la messe – de même les inventeurs de la nouvelle messe l’ont supprimé, le réduisant à une simple préparation des oblats.
  20. Parce qu’on en a retiré suffisamment de théologie catholique que lesprotestants peuvent utiliser le texte de la nouvelle messe sans difficulté, tout en gardant leur antipathie pour la véritable Église Catholique romaine.
    Le ministre protestant Thurian (co-consulteur pour le projet de la nouvelle messe) a dit qu’un fruit de la nouvelle messe « sera peut-être que des communautés non-catholiques pourront célébrer la Cène du Seigneur en utilisant les mêmes prières que l’Eglise catholique. » (La Croix, 4/30/69)
  21. Parce que le ton narratif de la consécration dans la nouvelle messe implique que c’est seulement un mémorial et non un vrai sacrifice (thèse protestante).
  22. Parce que par de graves omissions, la nouvelle messe nous amène à croire que c’est seulement un repas (doctrine protestante) et non pas un sacrifice pour la rémission des péchés (doctrine catholique).
  23. Parce que les changements tels que : la table au lieu de l’autel, l’orientation face au peuple au lieu du tabernacle ; la communion dans la main, etc. accentuent des doctrines protestantes
    (par ex. la messe n’est qu’un repas ; le prêtre n’est qu’un président de l’assemblée ; l’Eucharistie N’EST pas le Corps, le Sang, l’âme et la divinité de Jésus-Christ, mais simplement un morceau de pain, etc.)
  24. Parce que les protestants eux-mêmes ont dit :
    « les nouvelles prières eucharistiques catholiques ont abandonné la fausse (sic) perspective d’un sacrifice offert à Dieu ». (La Croix, 10/12/69)
  25. Parce que nous sommes confrontés avec le dilemme :
    soit nous devenons protestants en rendant un culte avec la nouvelle messe,
    soit nous préservons la foi catholique en adhérant fidèlement à la messe traditionnelle, la messe de toujours.
  26. Parce que la nouvelle messe a été faite selon la définition protestante de la messe :
    « La Cène du Seigneur ou messe est la synaxe sacrée ou assemblée du peuple de Dieu qui se rassemble sous la présidence du prêtre pour célébrer le mémorial du Seigneur. » (§7 de l’Instructio generalis, définissant la nouvelle messe 6/4/69).
  27. Parce qu’au moyen d’ambiguïtés, la nouvelle messe prétend plaire aux catholiques tout en plaisant aux protestants ; ainsi elle parle undouble langage et elle offense Dieu qui a en horreur cette sorte d’hypocrisie :
    « Maudits soient… les hommes au langage double car ils détruisent la paix d’un grand nombre. » (Sirach)
  28. Parce que les beaux hymnes catholiques si familiers aux peuples qui les avaient inspiré pendant des siècles, ont été mis aux ordures et remplacé par de nouveaux hymnes de tendance fortement protestante, accentuant encore davantage l’impression que l’on n’assiste plus à un service catholique.
  29. Parce que la nouvelle messe contient des ambiguïtés qui favorisent de façon subtile l’hérésie, ce qui est plus dangereux que si elle était clairement hérétique puisque une semi-hérésie ressemble à moitié à la Vérité !
  30. Parce que le Christ n’a qu’une seule Epouse, l’Église catholique, et son culte ne peut pas servir également des religions qui lui sont hostile.
  31. Parce que la nouvelle messe suit la forme de la messe anglicane hérétique de Cranmer, et que les méthodes utilisées pour la promouvoir calquent précisément les méthodes des hérétiques anglais.
  32. Parce que notre Sainte Mère l’Église a canonisé les nombreux martyrs anglais qui furent tués pour avoir refusé de participer à une messe semblable à la nouvelle messe !
  33. Parce que les protestants qui se sont convertis au catholicisme sont scandalisés de voir que la nouvelle messe est la même que celle à laquelle ils assistaient en tant que protestants. L’un d’eux, Julien Green, demande : « Pourquoi nous sommes-nous convertis ? »
  34. Parce que les statistiques montrent une grande baisse des conversions au catholicisme à la suite de l’utilisation de la nouvelle messe.
    Les conversions qui atteignaient les 100.000 par an aux USA, ont diminué jusqu’à moins de 10.000 !
    Et le nombre de gens qui quittent l’Eglise excède de beaucoup ceux qui y entrent.
  35. Parce que la messe traditionnelle a forgé de nombreux saints.
    « Des saints innombrables ont été nourris abondamment avec la piété convenable envers Dieu par elle… » (Pape Paul VI, Const. Apost. Missale Romanum).
  36. Parce que la nature de la nouvelle messe est telle qu’elle facilite les profanations de la sainte Eucharistie, qui se produisent avec une fréquence jamais connue avec la messe traditionnelle.
  37. Parce que la nouvelle messe, en dépit des apparences, véhicule une foi nouvelle, et non la foi catholique.
    Elle véhicule le modernisme et suit exactement les tactiques du modernisme, utilisant une terminologie vague pour insinuer et faire avancer l’erreur.
  38. Parce qu’en introduisant des variations à options, la nouvelle messe sape l’unité de la liturgie, chaque prêtre étant sujet à des déviations selon son gré sous prétexte de créativité.
    Le désordre résulte inévitablement, accompagné par un manque de respect et de l’irrévérence.
  39. Parce que beaucoup de bons théologiens catholiques, de canonistes et de prêtres n’acceptent pas la nouvelle messe, et affirment qu’ils ne peuvent la célébrer en bonne conscience.
  40. Parce que la nouvelle messe a éliminé des choses telles que : les génuflexions (il n’en reste que trois), la purification des doigts des prêtres dans le calice, la préservation de tout contact profane des doigts du prêtre après la consécration, les pierres d’autels consacrées et les reliques, les trois nappes d’autel (réduites à une), tout ce qui « sert seulement à accentuer à quel point la foi dans le dogme de la présence réelle est outrageusement et implicitement répudiée. »*
  41. Parce que la messe traditionnelle, enrichie et mûrie par ces siècles de tradition sacrée, a étécodifiée (non pas inventée) par un pape qui était un saint, Pie V ;
    tandis que la nouvelle messe a été artificiellement fabriquée par six ministres protestants et unfranc-maçon du 33ème degré, à savoir Mgr A. Bugnini qui fut plus tard exilé du Vatican à cause de ses liens avec la franc-maçonnerie.

    Annibale-Bugnini-1912-1982

  42. Parce que les erreurs de la nouvelle messe qui se trouvent accentuées dans la version vernaculaire sont présentes même dans le texte latin de la nouvelle messe.
  43. Parce que la nouvelle messe, avec ses ambiguïtés et son esprit permissif, nous expose à la colère de Dieu en facilitant le risque de consécrations invalides.
    « Les prêtres dans un avenir proche, qui n’auront pas reçu la formation traditionnelle, et qui comptent sur le Novus ordo Missæ avec l’intention de « faire ce que l’Église fait », consacreront-ils validement ? Il est permis d’en douter ! »
  44. Parce que l’abolition de la messe traditionnelle rappelle la prophétie de Daniel (8, 12) : « Et il lui fut donné pouvoir contre le sacrifice perpétuel à cause des péchés du peuple » et la remarque de St Alphonse de Liguori : « parce que la messe est la meilleure et la plus belle des choses qui existe dans l’Église ici-bas, le diable a toujours cherché au moyen des hérétiques, à nous en priver. »
  45. Parce que dans les endroits où la messe traditionnelle est préservée, la foi et la ferveur des gens sont plus grandes. Tandis que l’opposé est vrai là où règne la nouvelle messe (Rapport sur la messe, diocèse de Campos, Roma, Buenos Aires n° 69, 8/81).
  46. Parce qu’avec la nouvelle messe viennent aussi un nouveau catéchisme, une nouvelle morale, de nouvelles prières, un nouveau code de droit canon, un nouveau calendrier, – en un mot, une NOUVELLE ÉGLISE, une complète révolution par rapport à ce qui était.
    « La réforme liturgique… ne vous laissez pas tromper, c’est là que commence la révolution ». (Mgr Dwyer, archevêque de Birmingham, porte-parole du synode épiscopal).
  47. Parce que la beauté intrinsèque de la messe traditionnelle attire les âmes par elle-même, tandis que la nouvelle messe dépourvue d’attirance en elle-même, doit inventer des nouveautés et des spectacles pour attirer les gens.
  48. Parce que la nouvelle messe rassemble de nombreuses erreurs condamnées par le pape Pie XII (ex. : l’autel en forme de table. Voir Mediator Dei).
  49. Parce que la nouvelle messe tente de transformer l’Église catholique en une nouvelle église œcuménique embrassant toutes les idéologies et toutes les religions – le bien et le mal, la vérité et l’erreur – un but dont ont longtemps rêvé les ennemis de l’Église catholique.
  50. Parce que la nouvelle messe, en retirant les saluts et la bénédiction finale quand le prêtre célèbre seul, manifeste un refus et une absence de foi dans le dogme de la communion des saints.
  51. Parce que l’autel et le tabernacle sont maintenant séparés, marquant ainsi une division entre le Christ dans son prêtre et dans son sacrifice sur l’autel et sa présence réelle dans le tabernacle « deux choses qui par leur nature même doivent rester ensemble » (Pie XII).
  52. Parce que la nouvelle messe ne constitue plus un culte vertical entre Dieu et l’homme, mais plutôt un culte horizontal entre l’homme et l’homme.
  53. Parce que la nouvelle messe, bien que se conformant en apparence aux dispositions du Concile Vatican II, s’oppose en réalité à ses instructions, puisque le concile lui-même a déclaré son désir de conserver et de promouvoir le rite traditionnel.
  54. Parce que la messe traditionnelle latine du pape St Pie V n’a jamais été légalement abrogée et en conséquence demeure un véritable rite de l’Église Catholique Romaine au moyen duquel les fidèles peuvent remplir leur obligation dominicale.
  55. Parce que le pape St Pie V a accordé un indult à perpétuité, valide « pour toujours », pour célébrer la messe traditionnelle librement, licitement, sans scrupule de conscience, sans punition, sentence ou censure (Bulle papale « Quo primum » ).
  56. Parce que le pape Paul VI, en promulguant la nouvelle messe, a déclaré lui-même : « Le rite… en lui-même n’est pas une définition dogmatique. » (19/11/69)
  57. Parce que le pape Paul VI, quand le Cardinal Heenan d’Angleterre lui a demandé s’il abrogeait ou interdisait la messe tridentine, a répondu : « Ce n’est pas notre intention d’interdire absolument la messe tridentine. »
  58. Parce que « dans le Libera nos de la nouvelle messe, la Sainte Vierge, les apôtres ettous les saints ne sont plus mentionnés, leur intercession n’étant ainsi plus demandée, même en temps de péril. »
  59. Parce que dans aucune des trois nouvelles prières eucharistiques (de la nouvelle messe) il n’y a de référence… à l’état de souffrance de ceux qui sont morts, dans aucune d’elles il n’y a la possibilité d’un Mémento particulier ; on sape ainsi la foi dans la nature rédemptrice du Sacrifice.
  60. Parce que nous reconnaissons l’autorité suprême du Saint-Père dans son gouvernement universel de la Sainte Église, mais que nous savons que même cette autorité ne peut pas nous imposer une pratique qui est si CLAIREMENT contre la foi : une messe qui est équivoque et qui favorise l’hérésie et en conséquence qui déplaît à Dieu.
  61. Parce que, comme l’a affirmé le concile Vatican I, « le Saint-Esprit n’a pas été promis aux successeurs de Pierre, pour qu’ils fassent connaître sous sa révélation une nouvelle doctrine, mais pour qu’avec son assistance ils gardent saintement et exposent fidèlement la Révélation transmise par les apôtres, c’est-à-dire le dépôt de la foi. » (DzH 3070)
  62. Parce que l’hérésie, ou tout ce qui favorise clairement l’hérésie, ne peut pas être matière à obéissance.
    L’obéissance est au service de la foi et non la foi au service de l’obéissance !
    Ainsi donc, dans le cas concerné, « Il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes » (Actes 5, 29).
    * Note : toutes les citations suivies d’un astérisque sont tirées de la lettre des cardinaux A. Ottaviani et A. Bacci au Pape Paul VI, datée du 25 septembre 1969, qui incluait « une étude critique du Nouvel Ordo Missæ ».
    http://www.dominicainsavrille.fr/62-raisons-pour-lesquelles-nous-ne-pouvons-pas-en-conscience-assister-a-la-nouvelle-messe/

21 septembre 2015

Sémiramis L'emblème apocalyptique de l'église romaine

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"Les Mystères chaldeennes remontent aux jours de Sémiramis... cette belle reine de Babylone, bien qu'abandonnée, 'Mère' des dieux.... la Mère de toutes sortes d'impuretés,... [celle qui] a érigé la ville même où elle a régné comme un siège d'idolâtrie démesurée et consacré à la prostitution. Ainsi était cette reine chaldéenne, prototype remarquable de la "femme" de l'Apocalypse, tenant sa coupe d'or, et avant sur son front, le nom 'Mystère, Babylone la Grande, la Mère des impudiques et des abominations de la terre.' Cet emblème apocalyptique de la prostituée tenant une coupe était deja exprimé dans les symboles d'idolâtrie de l'ancienne Babylone, comme ils sont exposés en Grèce... et il nous paraît singulier, que de nos jours, aussi loin qu'on soit capable de le yoir pour la première fois, l'Eglise de Rome a adopté ce même symbole comme emblème. En 1825, le pape Leon XII a fait frapper une médaille, portant à l'avers sa propre image, et à l'envers, celle de l'Eglise de Rome symbolisée par une femme tenant dans sa main gauche une croix, et dans sa main droite, une coupe, avec cette inscription autour d'elle, 'Sedet super universum', signifiant, son siège est le monde entier.'

"... Donc, c'etait une question de nécessité, si l'idolâtrie devait y être amenée, et spécialement une idolatrie si impudente tel le système babylonien, que ce devait être en plein secret. Les prêtres chaldéens étaient les seuls dépositaires de connaissance religieuse; ils n'avaient qu'une vraie tradition par laquelle les écrits et les symboles de la religion publique devaient être interprétés. Il fallait donc une soumission implicite et aveugle sans laquelle ce qui est nécessaire au salut ne pouvait être appris. Maintenant comparez ceci à l'histoire de la papauté, à son esprit, à son modus operandi à travers les siècles, et quelle coincidence!  Etait-ce pendant une période de lumière patriarcale que le système corrompu des 'mystères babyloniens a commencé? C'était dans un âge de plus grande lumière que ce système impie, profane, et sans base scripturaire a débuté. C'était pendant le siècle même des apôtres, quand l'église primitive fleurissait, quand les fruits glorieux de Ia Pentecôte étaient visibles partout, quand des martyrs ont scéllé de leur sang leur témoignage à la vérité. Et même quand l'Evangile brillait de son plus bel éclat, l'Esprit de Dieu a communiqué ce message à Paul: 'le mystère de l'iniquité agit déjà.' (2 Thes. 2:7). Ce système d'iniquité.... au temps voulu serait rudement révélé, et continuerait jusqu'à ce qu'il soit détruit par le souffle du Seigneur, et anéanti par l'éclat de son avènement.' (Ibid, v. 8). Mais le début de son introduction dans l'Eglise s'est produit secrètement, à Ia dérobée, avec toutes sortes de 'seductions de l'iniquité'. Il a œuvré 'mystérieusement' sous un beau mais faux visage, éloignant les hommes de la simplicité de la vérité qui est en Jésus. Et ceci, il l'a fait en secret pour la même raison que l'idolâtrie était secrètement introduite dans les anciens mystères de Babylone. Il n'y avait donc aucune sécurité d'agir autrement. Ce n'était pas prudent. La vraie église, bien que dépouillée de tout pouvoir civil, prise de zèle, se serait réveillée pour mettre à l'index ce faux système et tous ses complices, si le dit système s'était révélé tout d'un coup dans toute sa bassesse et sa vilenie; et ceci aurait fait cesser son progrès. Par conséquent, tout s'est fait en secret, et peu à peu, insensiblement une corruption est introduite après une autre, comme dans tout processus d'apostasie, et l'église, marchant à reculons, était prête pour tolérer cet état de choses jusqu'à ce qu'il ait atteint la proportion gigantesque que nous voyons maintenant.... le système de la papauté.

"... Astucieusement et graduellement, Rome posa Ia fondation de son système de clergé duquel il a élevé plus tard une si vaste superstructure. A son debut, 'mystère' était l'empreinte gravée sur son système.... Le pouvoir du clergé romain a atteint son apogée avec l'érection du confessional. Le confessional est aussi un emprunt de Babylone... Concemant la confession, la Bible déclare: 'Confessez donc vos péches les uns aux autres (Jacques 5:16), ce qui signifie que le prêtre devrait confesser au peuple tout comme le peuple confesse au prêtre, si l'un aurait péché contre l'autre... Rome, délaissant la Parole de Dieu, a eu recours au système babylonien. Suivant ce système, la confession secrète au prêtre, suivant des ordonnances bien précises, était requise de tous ceux qui étaient admis aux 'Mystères'.... Maintenant cette confession est faite par chaque individu, en privé et dans la solitude à un prêtre [sous peine de perdition] assis et vêtu au nom et avec l'autorité de Dieu, investi du pouvoir d'examiner la conscience, de juger, d'absoudre, ou de condamner suivant son bon plaisir... Sans cette confession, dans l'Eglise de Rome, on ne peut pas être admis aux sacrements, tout comme dans les jours du paganisme, il n'y avait pas d'admission aux Mystères sans la confession. Ceci est le grand pivot sur lequel tout le 'Mystère de l'Iniquité' incarné dans la papauté tourne; et partout où il est introduit, il sert admirablement le dessein de contraindre des hommes dans une soumission abjecte au clergé." (The Two Babylons, traduit Les Deux Babylones, pp.5-11). [Ce n'est donc pas étonnant que la fausse vierge Marie ait dit aux visionnaires qui l'ont vue à Medjugorje ce qui suit: "On doit encourager le peuple à aller à la confession tous les mois. La confession mensuelle sera un remède pour l'Eglise qui se trouve dans l'Ouest. Ce message doit être donné dans l'Ouest!" (The Thunder of Justice, p. 198)].

"Conformément aux principes qui ont permis le développement du confessional, l'Eglise, c'est-à-dire, le clergé, se déclare être le seul dépositaire de la vraie foi du christianisme. Tout comme les prêtres chaldéens se croyaient les seuls à posséder la clé pour comprendre Ia mythologie de Babylone, une clé qui leur fut transmise de toute première antiquité, ainsi les prêtres de Rome se sont organisés pour être les seuls interprètes des Saintes Ecritures... Par conséquent, ils ont exigé une foi implicite dans leurs dogmes; tous les hommes étaient astreints à croire tout ce que l'Eglise croyait, alors que l'Eglise pouvait façonner sa foi selon son bon plaisir... Nous voyons donc qua tous égards, comment Rome porte à juste titre ce nom inscrit sur son front, 'mystère, Babylone la Grande."' (Les Deux Babylones, p.11).

Sémiramis as vénus as diane
L'emblème apocalyptique de la femme impudique avec la coupe d'or à la main était même compris dans les
symboles de l'idolâtrie dérivée de l'ancienne Babylone, tels qu'ils étaient représentés en Grèce, c'est ainsi, en
effet, qu'on représentait Vénus à l'origine ; et ce qui est curieux, c'est que même
de nos jours, et pour la première fois, paraît-il, l'Église romaine vient de
s'approprier ce symbole pour en faire l'emblème de son choix. En 1825, en effet,
à l'occasion du Jubilé, le pape Léon XII fit frapper une médaille portant d'un côté
sa propre image et de l'autre l'Église de Rome symbolisée par une femme qui tient
à la main gauche une croix et de l'autre une coupe avec cette légende: "Sedet super universum
", elle a pour siège le monde entier  Sémiramis vivant à une époque où la foi patriarcale était encore

assez puissante dans l'esprit des hommes, puisque Sem était encore en vie pour rallier les âmes fidèles
autour de la bannière de la vérité et de la cause divine, il aurait été téméraire
de proclamer tout à coup et publiquement, un système comme celui qui
fut inauguré par la reine de Babylone. Nous savons, d'après la déclaration de Job, que parmi les tribus
patriarcales qui n'avaient rien à faire avec les institutions mosaïques, mais qui adhéraient à la foi pure des
patriarches, l'idolâtrie, à n'importe quel degré, était considérée comme un crime qui devait attirer sur la tête
du coupable un châtiment terrible et sommaire: "Si j'ai regardé le soleil quand il brillait et la lune quand elle
s'avançait majestueuse, si mon coeur s'est laissé séduire en secret, si ma main s'est portée sur ma bouche, c'est
un crime que doivent punir les juges, et j'aurais renié le Dieu d'en haut" (Job XXXI, 26-28). S'il en était ainsi
du temps de Job, à plus forte raison en était-il de même à l'époque plus reculée où les mystères furent
institués. Si donc l'idolâtrie s'introduisait, et en particulier une idolâtrie grossière comme celle que le système
Babylonien contenait en principe, il fallait nécessairement que ce fût en secret et à la dérobée

. Le but était de soumettre tout le genre humain d'une manière aveugle et absolue, à une hiérarchie
qui dépendait entièrement des souverains de Babylone. À cet effet, toute la science sacrée et profane fut
monopolisée par le clergé qui la distribuait à ceux qu'il initiait aux Mystères,  selon que le demandaient les intérêts de son grand système de despotisme spirituel. C'est ainsi que partout où se propagea le système Babylonien, les hommes furent livrés à la domination des prêtres. Ceux-ci étaient les seuls dépositaires des connaissances religieuses, seuls ils avaient la vraie tradition par laquelle on devait interpréter les rites et les symboles de la religion du peuple, et sans une soumission aveugle et entière, les prêtres refusaient de faire connaître ce qui était nécessaire au salut. Comparez cela avec les origines de la Papauté, avec son esprit et son ; modus operandi; à travers tout son développement, et vous verrez combien la ressemblance est exacte

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Tu affirmes que tu nous parles de la part du SEIGNEUR. Mais nous ne voulons pas t’écouter. Nous continuerons plutôt à faire tout ce que nous avons promis. Nous offrirons de l’encens et du vin à la déesse Astarté, la Reine du ciel. Nous avons toujours fait cela, ainsi que nos parents, nos rois et nos ministres, dans les villes de Juda et dans les rues de Jérusalem. Nous avions alors assez à manger, tout allait bien pour nous, et nous ne connaissions pas le malheur. Mais un jour, nous avons arrêté d’offrir de l’encens et du vin à la Reine du ciel. Et depuis, nous manquons de tout et nous mourons par la guerre et la famine. Les femmes ont dit encore: «Quand nous offrons de l’encens et du vin à la Reine du ciel, est-ce que nos maris ne sont pas d’accord avec nous ? Quand nous faisons pour elle des gâteaux qui la représentent, quand nous lui offrons du vin, ils le savent bien. Mais Jérémie a dit à tous, hommes et femmes, qui lui avaient répondu de cette façon: C’est vrai, vous offriez déjà de l’encens dans les villes de Juda et dans les rues de Jérusalem, vous, vos parents, vos rois, vos ministres et les autres gens de Juda. Et le SEIGNEUR s’en est bien souvenu, il ne l’a pas oublié. Mais le SEIGNEUR n’a pas pu supporter vos actions mauvaises ni les choses horribles que vous avez faites. C’est pourquoi votre pays est devenu un tas de ruines, un lieu horrible, sans habitants, et on le prend comme exemple pour lancer une malédiction. Tout le monde peut voir cela aujourd’hui”.; Jérémie 44.16-22 (cf. aussi: Ezéchiel 8:14)

Le culte de la mère et de l’enfant est toujours directement ou indirectement associé à l’exercice du pouvoir temporel. La plupart des mythologies de l’antiquité en font état par le biais d’une légende qui ne varie jamais, et exalte une Vierge Divinisée qui donne le jour à un fils destiné à régner sur le monde. Seuls varient les noms attribués à la Mère et à l’Enfant :

 

 

Isis et son fils Osiris en Egypte
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   Isi et son fils Iswara en Inde,
    Cybèle et sont fils Décius en Asie Mineure,
    Irène et sont fils Plutus en Grèce,
    La Fortune et son fils Jupiter Puer à Rome…

Plus tard, la Rome Catholique emprunta certains éléments de son culte aux mythologies de la Rome Païenne; l’on comprend mieux pourquoi elle fit de Marie la médiatrice et la Reine du Ciel. Le magistère de l’Eglise romaine reprenait à son compte une très ancienne tradition païenne à seul fin de se rendre populaire auprès des peuples qu’il désirait dominer. Ce faisant, il s’éloignait de texte biblique qui aurait dû servir de critère et édifiait un système religieux que plusieurs ont qualifié de “Babylonien”. C’est pourquoi beaucoup d’exégètes bibliques soutiennent que la nouvelle “Babylone” mentionnée dans le livre de l’Apocalypse n’est ni plus ni moins que l’EGLISE CATHOLIQUE ROMAINE.

Cette “Babylone” est assise sur de “grandes eaux” (Apocalypse 17:1b).  250px_Whorebab

Ce qui signifie qu’elle exerce une autorité spirituelle incontestable sur des peuples, des foules, des nations, et des langues”, en leur imposant sa philosophie religieuse. Elle est à la fois Mystique (semblant de spiritualité) et Agnostique (elle renie la Foi; elle est apostate, c’est à dire très éloignée de ce qui était au départ).

Elle est ivre du sang de Saints (Les vrais disciples de Jésus-Christ) et du sang des Témoins de Jésus (17:-a). 
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Un exégète britannique de la fin du 19ème siècle mentionne qu’au cours des âges, l’Eglise Romaine s’est rendue responsable de l’assassinat de plus de 50 millions de Témoins de Jésus-Christ. On comprend l’étonnement de Jean. Comme aurait-il pu supposer que cette “chrétienté” suscitée par Dieu pour manifester Christ au monde serait à l’origine d’un tel désastre ?! Dans ces temps de la fin, la religion officielle imposée aux hommes aura gardé les objectifs et les apparences d’un authentique culte au Vrai Dieu.
Il ne suffit pas de se dire chrétien, ou d'afficher une vague croyance en la Bible pour recevoir le salut gratuit des enfants de Dieu : il faut avant tout obéir à Dieu.

        Jésus a dit :
        Tous ceux qui me disent : Seigneur ! Seigneur ! n'entreront pas dans le Royaume des cieux; mais celui qui fait la volonté de mon Père qui est aux cieux.
        Matthieu 7:21
Je me suis toujours senti très attristé en pensant que ces hommes et ces femmes qui ont placé leur foi dans les doctrines catholiques, sont devenus malgré eux des brebis conduites dans un culte démoniaque, par des loups ravisseurs.
Par manque de connaissance biblique, ils se confient dans des traditions humaines, fêtant l'arbre de Noël, les oeufs de Pâques, l'Assomption de la Vierge, formant des processions, pliant le genou devant des statues, communiant avec des reliques abominables, sans avoir conscience de reproduire des cultes païens antiques
dyn008_original_518_389_pjpeg_2571946_618a3ba5a3a8103940558e72bd72f5a9 Vous avez vu leurs abominations et leurs idoles, le bois et la pierre, l’argent et l’or, qui sont chez elles. Deutéronome 29:17
Tu ne te feras point d’image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre.

Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point.

L'idolâtrie est grave pour plusieurs raisons :

 

      Elle est un outrage à Dieu, l'Eternel, le tout Puissant, le Créateur du ciel et de la terre,  qui est esprit, invisible, seul vrai Dieu. 1 Timothée 1.7

      Elle est une injustice. Romains 1:18/23  La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive, ... ils ont changé la gloire du Dieu incorruptible en images représentant l’homme corruptible, des oiseaux, des quadrupèdes, et des reptiles.

      Elle est un culte mensonger qui entraîne ceux qui la pratiquent vers une piété, qui peut être sincère, mais en réalité est superstitieuse et vaine. Jérémie 16:19 Les nations viendront à toi des extrémités de la terre, Et elles diront: Nos pères n’ont hérité que le mensonge, de vaines idoles, qui ne servent à rien.

      C'est un culte rendu aux démons. 1 Corinthiens 10.14 à 22

      Dieu jugera les idolâtres. 1 Corinthiens 6.9 - Apocalypse 22:15 - Jonas 2:8 Ceux qui s’attachent à de vaines idoles éloignent d’eux la miséricorde.   

Dieu a toujours mis son peuple en garde contre la tentation des idoles, l'idolâtrie, que ce soit sous l'Ancienne Alliance avec Israël, depuis sa sortie d' Égypte, ou sous la Nouvelle Alliance avec l'Église de Christ.

Vous ne vous ferez point d'idoles, vous ne vous élèverez ni image taillée ni statue, et vous ne placerez dans votre pays aucune pierre ornée de figures, pour vous prosterner devant elles,  car je suis l'Eternel, votre Dieu.  Lévitique 26:1 



comment peut on se dire véridique et croyant si on ne respecte pas les commandements de Dieu..

l'orgueil a fait croire aux hommes qu'ils détenaient la vérité alors qu'ils se sont égarés à cause de leur intellect trompeur .
la plus belle des églises c'est dans le coeur qu'elle se trouve.
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4 juin 2015

Le chronoviseur ? non ce n'est pas de la Science Fiction

Le chronoviseur ? non ce n'est pas de la Science Fiction… Paru chez Albin Michel, en février, ce dernier ouvrage du père François Brune traite du chronoviseur, une sorte de machine à remonter le temps et surtout à enregistrer les événements  du passé.

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Cet appareil fantastique  a été inventé et mis au point par des physiciens du Vatican, dirigés par le Père Bénédictin Ernetti Pellegrino dans les années 60.

 

Nous vous présentons sur ce sujet des photos et un article paru en 1975, extraits de nos documents.

Tout d'abord, voici le Père Ernetti Pellegrino

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Comment se fait-il qu'une invention d'une telle importance - peut-être la plus grande découverte de notre époque - soit aussi mal connue ?

 

La vérité fait - elle peur ? Est-ce la principale raison qui fait que ce chronoviseur soit rélégué au plus profond des sous sols à Rome ?

Basé sur les principes mêmes de la physique quantique, cet appareil permettait de filmer avec sons et images toutes les scènes du passé.

La revue " L'heure d'ëtre " en Novembre 1972 publiait à ce sujet un article de Vicenzo Maddoloni qui fut repris en 1975 par la revue " Vues Nouvelles " dans son n° 2 de Janvier.

Dans son numéro de Janvier / Février 2001, Le NET-Journal publiait, en allemand un article intitulé " Prof. Pellegrino Ernettis Zeitmaschine - die sensationellste Entdeckung der Neuzeit ? "

Le Père François Brune qui a connu le Père Pellegrino publie l'enquête qu'il a menée sur place pour tenter d'élucider ce mystère que certains voudraient oublier à jamais.

Le père Pellegrino était physicien, musicologue, spécialiste de l'étude des chants polyphoniques qui vont de l'antiquité jusqu'au XIII ème siècle.

A-t-il, comme certains le disent, été aidé dans ses travaux par Enrico Fermi, Werner Von Braun ?

Même si les détails techniques sont rares, rien ne nous empêche de réfléchir sur cette invention surprenante, à la lumière des travaux de Kenneth Ring, Ruppert Sheldrake, David Bohm, Karl Pribram et Boris Iskakov etc.

(voir une de nos dernières pages) "Allier la Science et la Religion " de Boris Iskakov

 

Voici dans sa traduction française présentée par "Vues Nouvelles" l'article du 2 mai 1972 de " La Domenica del Corriere " .

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7 février 2014

L’histoire secrète de la seconde guerre mondiale

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La Commission des Crimes de Guerre de Yougoslavie, en 1946, aboutit à l’accusation d’une demi-douzaine de prêtres oustachis, parmi lesquels l’ancien franciscain Miroslav Filipovic-Majstorovic, commandant du camp de concentration de Jasenovac.
Ante Pavelic le Führer Croate chef des Oustachis surnommé « le boucher de dieu » et responsable de la mort de 840 000 êtres humains (juifs, orthodoxes, tsiganes, communistes) se cacha au Vatican après la guerre, déguisé en prêtre catholique.
Un rapport déclassifié (12 septembre 1947) du Counter Intelligence Corps, le CIC, les services secrets de l’armée américaine à Rome, prouve aujourd’hui qu’Ante Pavelic était caché par l’Eglise.

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 Le Vatican le fit passer ensuite en secret de Rome à Buenos Aires, vers le régime fasciste de Peron. Lors du décès de Pavelic, en décembre 1959, le pape Jean XXIII prononça personnellement la bénédiction à son égard.

Des filières d’exfiltrations appelées « Ratline » furent en effet mises en place par le franciscain Krunoslav Draganovic qui était un membre du mouvement oustachi afin de protéger les criminels de guerres nazis ou fascistes en se servant de l’or amassé par Ante Pavelic.
L’agent Emerson Bigelow de l’OSS fit un rapport le 21 octobre 1946 concernant un chargement d’or d’une valeur de 200 millions de francs suisses venant de la Banque Nationale de Croatie qui devait servir à financer ces filières. Source : U.S. News and World Report, A Vow of silence p 36, 30 mars 1998.

En plus de Pavelic, Adolf Eichman, Klauss Barbie, Josef Mengele, Franz Stangl (commandant des camps d’extermination de Sobibor et de Treblinka) pour les plus connus bénéficièrent de la filière « Ratline ».
La plupart des criminels nazis et oustachis furent exfiltrés vers l’Argentine où ils mirent en place les escadrons de la mort qui, avec l’aide de la CIA, furent chargés d’assassiner les activistes communistes.
Par exemple, Stangl a avoué que c’est l’évêque Mgr. Alois Hudal lui-même qui lui a fourni un logement, de l’argent et les papiers qui lui permettront ensuite de partir en Syrie (source : Gitta Sereny, « Au fond des ténèbres », Paris, Denoël pp. 311-314).

La plupart des catholiques ne sont pas au courant de cela et dans leur grande majorité, ils étaient contre le racisme et les massacres. En effet, le 14 mars 1937, Pie XI publia l’encyclique « Mit brennender Sorge », condamnant le paganisme et le racisme qui révulsa Hitler et une partie de la haute hiérarchie catholique.
Le point culminant du conflit entre Pie XI, Hitler et Mussolini fut atteint en février 1939, lorsqu’à l’occasion du dixième anniversaire des accords du Latran, le pape convoqua tous les évêques d’Italie (le 11 février exactement) pour leur lire un discours dénonçant les guerres à venir et les persécutions raciales de l’Allemagne et de l’Italie. On l’assassina le 10 février, la veille de son discours.

D’après le cardinal Eugène Tisserant, ce sont Hitler et Mussolini qui firent assassiner Pie XI. Eugène Tisserant était un anti-nazi notoire dont les contacts fréquents avec le directeur de la Surveillance du territoire (DST), Roger Wybot, étaient connus et qui, de plus, était protégé par un agent du contre-espionnage français, Jacques de Pressac.
Roger Faligot, Jean Guisnel, Rémi Kauffer, Renaud Lecadre, dans « Histoire secrète de la V e République » (Paris, La Découverte, 2006), aux pages 603-607 écrivent :
"Le cardinal (Tisserant) avait été affecté en 1917 comme lieutenant au 4e bureau de l’état-major du détachement français de Palestine. Sa connaissance des langues orientales et de la région, où il avait étudié dix ans plus tôt, le fit passer au 2e bureau et à la tête d’un peloton de spahis."
Ancien officier des services secrets français et cardinal, il savait donc de quoi il parlait.
Source : http://www.cf2r.org/fr/notes-histor...

De plus, Tisserant avait été nommé en 1957 gardien des archives secrètes du Vatican et préfet de la bibliothèque Vaticane. Il était donc particulièrement informé et connaissait la plupart des secrets de l’église.

Il déclara à la presse française en janvier que Pie XI avait été empoisonné par le médecin du Vatican qui était aussi le père de Clara Petacci, la maîtresse de Mussolini. Etrangement, Eugène Tisserant est mort quelques semaines plus tard, le 21 février 1972 exactement.
Dans leur livre « Le roman du Vatican secret » Baudouin Bollaert, Bruno Bartoloni confirment cette affirmation. Ancien rédacteur en chef au Figaro, maître de conférences à Sciences Po et à Paris II, Baudouin Bollaert a vécu six années à Rome comme correspondant permanent du Figaro, d’Europe 1 et de La Libre Belgique. Bruno Bartoloni a été correspondant de l’Agence France-Presse au Vatican pendant de longues années. Aujourd’hui, ce journaliste italien de renom suit l’actualité du Saint-Siège pour le Corriere della Sera et Paris Match.
Paris Match publia les révélations posthumes de Tisserant dans son numéro 1201 Du 13/05/1972.
Source : http://gillesbonafi.skyrock.com/286...

Pie XII

Eugenio Pacelli, devenu Pie XII, le 2 mars 1939 succéda à Pie XI, or, son parcours n’est pas anodin.
Il a en effet été nommé nonce apostolique en Bavière en 1917 (évêque la même année). C’est lui qui était chargé de la négociation de tous les concordats avec l’église (Lettonie, Bavière, Pologne, Roumanie, Allemagne).
Il existe un point que personne ne soulève. Le concordat signé entre l’Eglise et l’Allemagne sous Hitler permet en effet d’obliger chaque citoyen allemand à payer un impôt versé à l’Eglise (protestante et catholique), le grand retour de la dîme. D’ailleurs, le 26 mars 1957 la cour constitutionnelle allemande a reconnu la validité du concordat et les allemands paient aujourd’hui encore une dîme évaluée à plus de 8 milliards d’euros par an.

On le voit ici, Pie XII a passé la majeure partie de son temps en Allemagne ce que confirme l’extrait du rapport sur la conversation entre von Ribbentrop, ministre des Affaires étrangères du Reich nazi, et Pie XII du 11 mars 1940 :
« Après que le ministre des Affaires étrangères du Reich lui eut transmis les hommages du Führer, le pape ouvrit l’entretien en rappelant ses dix-sept années d’activité en Allemagne. Il dit que ces années passées dans l’orbite de la culture allemande correspondaient certainement à la période la plus agréable de sa vie, et que le gouvernement du Reich pouvait être assuré que son cœur battait, et battrait toujours pour l’Allemagne ».
( Source : Archives secrètes de la Wilhelmstrasse, RAM. 10 A).

Il fut donc directement impliqué avec von Papen dans la politique du Vatican qui a favorisé l’accession au pouvoir des nazis et surtout, c’est lui qui a donné l’ordre à Ludwig Kaas (un prélat catholique sous sa responsabilité directe), le dirigeant du Zentrum, de voter en faveur de Hitler en 1933.
Ludwig Kaas entretenait des relations de longues dates avec Pacelli lorsqu’il était nonce du pape en Bavière et en Allemagne. Kaas était devenu son conseiller car il était spécialiste des relations entre l’état et l’église catholique et professeur de droit canon. Il accompagnait souvent Pacelli dans ses voyages à Rome. Celui-ci lui fit d’ailleurs obtenir un poste à Rome de notaire papal le 20 mars 1934, et, le 20 août 1936, de secrétaire de la Congrégation de la Fabrique de S. Pierre (chargé de l’entretien et de l’administration de la Basilique), une récompense pour ses bons et loyaux services.


Le mystérieux Von Papen

Von Papen (1879 – 1969) fut vice-chancelier de Hitler du 30 janvier 1933 au 7 août 1934, puis ambassadeur, d’abord à Vienne (1934) ensuite à Ankara jusqu’en 1944.
Il fut le seul acquitté au tribunal de Nuremberg puis condamné par les tribunaux de dénazification. Face au tollé soulevé il purgera cinq ans dans une prison dorée avant de terminer chambellan du pape Jean XXIII en 1959, lui aussi récompensé pour bons et loyaux services. Il a d’ailleurs déclaré : « Le IIIème Reich est la première puissance du monde, non seulement à reconnaître, mais à traduire dans la pratique les hauts principes de la papauté. » (Robert d’Harcourt, résistant catholique, de l’Académie Française, Franz von Papen l’homme à tout faire...,journal L’Aube du 3 octobre 1946)


Joachim C. Fest, historien spécialiste du troisième Reich et mondialement reconnu, dans son livre « Les maîtres du IIIe Reich » publié en 1965, reconnaîtra le rôle prépondérant de von Papen dans l’avènement politique du nazisme.

Von Papen était en effet l’éminence grise du Zentrum avant d’en être exclu fin 1932. La Deutsche Zentrumspartei « Centre » était un parti politique catholique allemand, fondé en 1870 et dissout le 5 juillet 1933. En 1933, le dirigeant du Zentrum était un prélat catholique Ludwig Kaas qui, avec l’appui de von Papen fit voter son parti en faveur d’Hitler et lui accorda donc les pleins pouvoirs en lui permettant d’atteindre la majorité des 2/3 au Reichstag, majorité obtenue par l’arrestation avant le vote des députés communistes.
Bien sûr, le Zentrum n’émit aucune protestation.
La loi du 24 mars 1933 visant au « soulagement de la détresse du peuple et de l’État » (Gesetz zur Behebung der Not von Volk und Reich vom 24. März 1933), que certains ont nommé loi des pleins pouvoirs, était une loi allemande adoptée le 24 mars 1933 qui donna à Adolf Hitler le droit légal de gouverner par décret, c’est-à-dire de promulguer des lois sans en référer au Reichstag.

Le vote de cette loi eut lieu juste après l’attentat qu’Hitler avait provoqué en brûlant le Reichstag. Afin de modifier la constitution, il fallait en effet une majorité des 2/3 des voix soit 430 voix or, il manquait à Hitler 90 voix. Les deux partis catholiques, le Zentrum et le BVP (Le Bayerische Volkspartei (BVP - Parti populaire bavarois) fournirent 91 votes.
Tout le monde savait à l’époque que cette loi conduirait à la dictature et il est intéressant de constater que Hitler a pris le pouvoir de façon « démocratique ».

C’est encore Eugénio Pacelli, futur Pie XII qui ordonna au Zentrum de s’auto-dissoudre, laissant seul le NSDAP, le parti nazi. Sa responsabilité était totale.
William L. Shirer, dans livre « Le IIIe Reich - Des origines à la chute », écrivit que von Papen a été « plus responsable de l’avènement d’Hitler que tout autre Allemand » or, il ne faut pas perdre de vue qu’il était lui aussi sous les ordres directs du futur Pie XII.

Après le concordat, von Papen ira plus loin. Il comptait en effet tout faire pour se débarrasser des SA, la Sturmabteilung (Section d’assaut) l’organisation paramilitaire du NSDAP (le parti nazi) qui prônait une révolution sociale et effrayait la droite conservatrice fidèle à l’église.
Le soutien de l’église et des grandes multinationales avait pour condition l’abandon d’une politique économique et sociale que certains jugeaient communiste.
Le 17 juin 1934, il prononça donc le fameux discours à l’université de Marbourg qui signa l’arrêt de mort des SA.
Il les accusa donc d’utiliser des « méthodes terroristes dans le domaine de la justice » et surtout affirma que « l’Allemagne ne saurait vivre dans un état de troubles perpétuels, dont nul ne voit la fin ». Savamment orchestré et relayé par les médias (le Frankfurter Zeitung) ce qui était étrange dans un pays hyper contrôlé, le discours fit l’effet d’une bombe dans l’opinion.
Hitler ordonna donc le massacre, la nuit des longs couteaux, qui eut lieu du 29 juin au 2 juillet 1934.

Ernst Röhm avec une centaine d’officiers de la Sturmabteilung furent sauvagement assassinés et remplacés par les SS. Un millier d’arrestation brisa net la SA. Hitler en profita pour faire assassiner Jung, von Bose et Klausener qui avaient participé au discours de Marbourg.
On le voit ici, c’est l’intervention directe de von Papen qui a tout déterminé et d’ailleurs, Hitler lui en voudra énormément. Il n’avait pas supporté que l’on décide de ce qu’il fallait qu’il fasse, des orientations de son parti, mais il n’avait pas le choix, des forces supérieures étaient en jeu. Ainsi, le 7 août 1934, il obligea von Papen à démissionner. Pourtant, il restera un fidèle soutien de la politique allemande et Winston Churchill, dans son ouvrage « L’orage approche », raconta que le but d’Hitler en nommant von Papen ambassadeur en Autriche était de « miner la position des personnalités marquantes de la politique autrichienne, ou les gagner à la cause allemande ».

D’ailleurs, après l’Anschluss, l’annexion de l’Autriche par l’Allemagne nazie en 1938 il obtiendra du cardinal Innitzer qu’il ordonne que toutes les églises d’Autriche prient pour Adolf Hitler à chacun de ses anniversaires et arborent le drapeau à croix gammée.
Le Vatican désirait en effet briser l’Hégémonie de la Prusse protestante en faisant entrer l’Autriche catholique au sein du Reich.
Le Mercure de France du 15 janvier 1934 à la page 262 explique par ailleurs :
« Au Vatican, on avait, pendant longtemps, pensé, en effet, à changer le centre de gravité du Reich grâce à l’Anschluss : la compagnie de Jésus travailla ouvertement dans ce sens, surtout en Autriche. Or, l’on sait à quel point Pie XI compte sur elle pour faire triompher ce qu’il appelle « sa politique ».

Annie Lacroix-Riz, professeur d’histoire contemporaine à l’université Paris VII publia dans Golias, n° 63, novembre-décembre 1998, p. 52-59 une étude dont une partie est intitulée « La politique Vaticane jusqu’aux années trente » et dont voici un extrait essentiel pour comprendre :

« De cette politique à l’Est, la dimension anti-serbe - les Serbes apparaissant comme les principaux ennemis de l’expansion autrichienne - s’imposa avec une continuité totale, sans négliger un seul pontificat, à commencer par celui de Léon XIII, ouvert l’année même de la naissance définitive de la Serbie au congrès de Berlin de 1878...

Vienne s’appuya ouvertement dans sa mission anti-serbe sur la Curie et sur ses prélats, en tête desquels figurait Stadler,évêque croate de Sarajevo depuis les années 1890, chef de fait des jésuites voués à la catholicisation des masses, et décrit en ces termes par le consul de France à Sarajevo : « il est devenu en peu de temps un des gros capitalistes de Bosnie-Herzégovine comme il en est aussi un des politiciens les plus actifs. Ses seules préoccupations semblent être de thésauriser et d’autrichianiser ». « Très allemand d’origine et de sentiments », d’une extrême violence, cette brute était un spécialiste de la conversion forcée, dont les épisodes répétés étaient rapportés avec indignation par les diplomates français : les musulmans, population de même souche que tous les Slaves de cet ensemble balkanique, mais constituée des héritiers des propriétaires fonciers qui avaient emprunté à l’ère de la conquête ottomane la religion du vainqueur, et que Vienne s’efforçait de séduire contre les Serbes, se plaignaient à cet égard du prélat presque autant que les Serbes orthodoxes.

La ligne Stadler, fixée par Vienne et le Vatican, incarnait la ligne d’expansion du germanisme et du catholicisme contre le slavisme et l’orthodoxie adoptée dans la perspective du règlement de comptes imminent. Le régime impérial, après avoir transformé en arsenal, croatisé et catholicisé en masse, de gré ou de force, la Bosnie-Herzégovine qu’elle dirigeait de fait depuis le congrès de Berlin de 1878,
l’annexa enfin en octobre 1908. »

Surtout, c’est Eugénio Pacelli qui a oeuvré en faveur d’une politique de conversion dans les pays orthodoxes, l’axe central de la politique de l’église dans les pays de l’Est.
Outre les soutiens de l’église, Hitler pouvait aussi compter sur ceux de la grande finance et des grandes multinationales. Ford, IBM, IG Farben, finançaient ainsi à tour de bras le régime d’Hitler. Le grand père de Georges Bush fut lui-même impliqué et tous désiraient un pouvoir fort de type fasciste permettant la fusion de l’église, des entreprises et de l’état.
Hitler avait d’ailleurs été consacré « homme de l’année » par le magazine Time en janvier 1939.
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Nous le voyons ici, l’histoire officielle doit être réécrite. La seconde guerre mondiale (l’œuvre au noir fasciste et nazie) devrait être analysée sous l’angle d’une guerre qui a surtout exterminé les athées communistes, les juifs et les orthodoxes, une guerre de religion, une croisade, ce que personne (ou presque) ne fait.

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