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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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5 mars 2017

AUTISME : ACIDES GRAS et chlorella CONTRE METAUX LOURDS

2013_03_08__12_23_enfant_autisteTrès grande

Le Dr Patricia KAYNE est une spécialiste reconnue de la nutrition et de l'empoisonnement aux métaux lourds chez les enfants. Ses travaux de recherche ont surtout porté sur les acides gras face aux dommages causés par les métaux lourds. Elle a prouvé qu'il était possible de réparer le système nerveux dans des dégradations graves telles que l'autisme, les difficultés d'apprentissage, l'épilepsie ou l'hyperactivité, simplement par un changement alimentaire et la consommation de graisses particulières.

C'est une autre vision de l'intoxication aux métaux lourds qui mène à des solutions entièrement nouvelles, associées aux travaux du Dr KLINGHARDT : "Mort lente par les métaux lourds, comment y échapper ?"

Le cerveau, est constitué essentiellement de myéline, 60% de lipides et d'acides gras. Comme le mercure est soluble dans les lipides, c'est donc un lieu particulièrement propice à son accumulation.

Dans les cellules nerveuses, certains des acides gras stockés sont des graisses saturées, mais les acides gras essentiels indispensables dans notre alimentation sont des graisses insaturées.

Les graisses insaturées ont des fréquences vibratoires élevées alors que les graisses saturées ont des vibrations basses. Plus les chaînes carbonnées sont longues, et plus elles sont saturées. Plus elles présentent de pliures, plus elles vibrent vite. Le mercure se fixe aux points de plus grande vibration pour commencer son travail de destruction.

L'acide gras se raidit et se paralyse. Ceci se traduit par une perte de vitalité. On peut dire que les personnes intoxiquées au mercure se rigidifient en quelque sorte de l'intérieur.

La paroi cellulaire est composée de phospholipides contenant eux-mêmes des acides gras essentiels. Le cholestérol est un composant de la paroi cellulaire et qui la stabilise.

Les Américians et les Allemands ont complètement abandonné l'idée que nous devons diminuer notre taux de lipides sanguins : c'est la stupidité que croit le corps médical depuis près de 40 ans.

On sait très bien que si l'on diminue les lipides sanguins par des médicaments, les patients meurent plus tôt !

Et pourtant, les personnes qui prennent des hypolipidémiants sont toujours légion !

En fait, on peut avoir une grande quantité de lipides dans le sang tout en présentant une carence au niveau cellulaire. L'analyse des lipides dans le sérum sanguin est donc d'un intérêt moindre.

Par contre, il est intéressant de savoir si, au niveau cellulaire, les graisses sont normales ou altérées.

Ne pas oublier que les métaux lourds endommagent les lipides des membranes cellulaires.

Par ailleurs, les graisses animales, comme le beurre et la crème, contiennent un taux élevé d'acides gras saturés qui raidissent les cellules.

L'élasticité cellulaire est assurée par les acides gras essentiels insaturés que l'on trouve dans l'huile de tournesol, l'huile de chardon, l'huile de poisson et l'huile de lin (cette dernière longtemps interdite en France, est depuis peu à nouveau autorisée :  à conserver au réfrigérateur impérativement, et vérifier la date limite d'utilisation généralement courte.) On devrait d'ailleurs conserver toutes les huiles végétales au froid et en tout cas à l'abri de la lumière.

L'acide arachidonique a mauvaise réputation en Europe.

On le trouve dans les oeufs, la viande, le fromage, le beurre.

En réalité, c'est le plus important des acides gras, car il contrôle tous les autres.

Dans le cas d'une intoxication aux métaux lourds, le corps brûle d'avantage d'acides gras oméga 6 et oméga 3.

  • Les omégas 6 se divisent en deux sous-groupes :

- ceux contenus dans l'acide arachidonique

- ceux qui sont contenus dans l'huile de chardon, de tournesol, de primevère et qui sont transformés ensuite en prostaglandines 1.

Ces prostaglandines permettent la communication intercellulaire. L'information est transportée par l'acide arachidonique. Si l'on tombe en carence d'AGE (Acides Gras Essentiels), soit suite à une trop faible consommation, soit suite à la présence de métaux lourds, la communication intercellulaire n'est plus possible.

  • Les omégas 3 sont présents en grande quantité dans l'huile de lin (57%), de loin la plus riche de toutes. Ils sont aussi présents dans les huiles de poisson qui contiennent en outre de l'EPA et du DHA.

Equilibrage des omégas 6 et omégas 3

Le cerveau ne peut pas fonctionner sans consommation de corps gras. On insiste toujours sur la nécessité d'absorber des protéines tout en négligeant l'importance des huiles.

Dans le traitement des patients intoxiqués au mercure, végétariens ou non, les huiles sont l'élément le plus important de la prise en charge nutritionnelle.

Le Dr YEHUDA conseille de consommer 4 parts d'oméga 6 pour 1 part d'oméga 3.

Cette proportion, largement vérifiée, peut être obtenue très simplement en mélangeant 4 parts d'huile de tournesol avec 1 part d'huile de lin.

Beaucoup de personnes,  surtout sur le pourtour méditerranéen,  y compris les scientifiques, croient à tort que l'huile d'olive contient tous les acides gras essentiels. Ce qui est faux, elle n'a pas assez d'oméga 3.

Métabolisme des huiles

 Souvent, on  a tendance à gaver les enfants d'huile de poisson (les plus anciens se rappellent avec "délices" la trop fameuse huile de foie de morue !!!).

Mais si l'on prend trop d'oméga 3, les omégas 6 se trouvent inhibés.

La digestion des huiles commence par l'enzyme pancréatique nommée "lypase".

Il faut ensuite les acides biliaires dans l'intestion grêle pour émulsifier les graisses, c'est à dire de les rendre solubles dans l'eau en vue d'être assimilées. Ce qui pose problème aux personnes intoxiquées aux métaux lourds car leur pancréas et leur vésicule biliaire fonctionnent très mal.

La bile est très importante, car elle permet l'élimination de toutes les toxines et d'une partie des métaux.

Elle permet aussi l'absorption des huiles qui vont contribuer à réparer les lésions cérébrales et leurologiques.

Mécanismes de défense cellulaire

Dans les membranes cellulaires, les acides gras sont stockés par les phospholipides.

En cas d'intoxication, leur structure est détruite. Le mécanisme de défense cellulaire consiste à produire de grandes quantités de phospholipase PLA2.

Mais les AGE sont souvent endommagés aussi en présence de mercure.

Dans les cas d'intoxication LOURDES, voici une liste de tous les éléments qui stimulent la production de PLA2 et qui doivent impérativement être mis à l'écart :

- les hydrates de carbone (sucres, amidons)

- l'insuline

- les extraits pancréatiques

- les pesticides

- l'acide glutamique

- l'aspartame et l'acide aspartique

- le calcium additionnel.

TOUS CES PRODUITS stimulent l'enzyme PLA2 d'une façon anormale, ce qui produit les effets suivants :

- perte des phospholipides membranaires

- baisse du contrôle de la synthèse des prostaglandines

- altération de la perméabilité membrannaire

- accumulation de peroxydes lipidiques

- gêne de la communication intercellulaire

- certaines substances sont absorbées alors qu'elles ne devraient pas l'être

- les toxines ne peuvent pas être éliminées

- perte de l'homéostasie : déséquilibre entre le taux normalement élevé de potassium et le taux faible de sodium.

Ce qui entraîne :

engourdissement

paralysie

sensation anormale

perte d'ATP (molécule de l'énergie permettant au corps de fonctionner) ce qui explique la fatigue chronique des personnes intoxiquées.

LE REGIME DES GRANDS INTOXIQUES

En règle générale : SUPPRIMER les céréales, surtout celles à gluten.

Ce qui revient à supprimer le pain, les gâteaux, les biscuits, les pâtes et les céréales.

Restent les légumes, un peu de viande, de poisson et d'oeufs.

Ce régime est à faire aussi dans le début du traitement de la sclérose en plaques, de la sclérose latérale, et pour les enfants qui souffrent de crampes.

Les inhibiteurs de phospholipases

Les médicaments psychotropes habituellement utilisés agissent comme des inhibiteurs de phospholipase PLA2.

Mais il y a des moyens moins connus de faire baisser les PLA2 :

- la niacine (vitamine D3)

- l'acide nicotinique contenu dans les cigarettes est très proche de la niacine. On ne va donc pas conseiller de fumer aux enfants hyperactifs, mais on peut utiliser le patch à la nicotine, tout comme pour sevrer les fumeurs, et ça marche très bien !

MULTIPLES MANIFESTATIONS DES METAUX LOURDS

On a montré dans une étude qu'après une attaque cardiaque, les cellules du cerveau contiennent de longues chaînes d'acides gras. Ces longues chaînes étaient certainement déjà présentes avant l'attaque, à cause des métaux lourds présents, et sont donc la cause de l'attaque.

Avec la présence des métaux lourds, la formation des longues chaînes lipidiques accélère le vieillissement.

Les personnes atteintes ont l'air vieux avant l'âge.

Aujourd'hui tout le monde est d'accord : ce sont les acides gras qu'il faut prendre en considération et non pas les seules protéines.

Le cerveau est touché bien avant que les affections se déclarent.

Il y a ces dernières années de plus en plus d'enfants autistes.

Ils ont été intoxiqués soit par leur mère, via le placenta, soit par le mercure des vaccins.

Ces enfants sont caractérisés par leur pâleur en raison de leur hémoglobine qui est liée au mercure au lieu d'être liée au fer.

Leur intelligence est souvent normale, mais leur appréhension du monde est complètement faussée.

Les graisses "renégates" (les longues chaînes d'acides gras) existent dans la nature, comme par exemple dans l'huile d'arachide, le beurre de cacahuète, la moutarde et l'huile de colza.

Ces aliments sont dont absolument à éviter pour les personnes intoxiquées aux métaux, car dangereux.

LES HUILES AU SECOURS DES CELLULES NERVEUSES

Nous avons vu que le mercure désoorganise la composition en acides gras de membranes cellulaires du système nerveux. On constate un effondrement des omégas 3 (acide alpha linoléique EPA et DHA) qui sont remplacés par des omégas 6 (acides linoléique et arachidonique).

La solution qui consiste a détoxiquer le corps des métaux lourds peut prendre du temps. L'urgence réside donc dans l'apport immédiat des acides gras en déficit pour sauver le système nerveux.

Comme déjà mentionné, l'huile de lin serait la plus efficace vu son extrême richesse en omégas 3. Son goût qui n'est pas particulièrement agréable, ainsi que sa conservation délicate a fait qu'elle a été jusqu'à tout récemment interdite en France. Lorsqu'on le peut, on la préfèrera toujours.

A défaut, on peut utiliser de l'huile de cameline, de l'huile de sardine et un complexe huileux baptisé "OMEGA-Pensée", créée par Maximiliano BUSTOS.

On trouve aussi en magasins diététiques des mélanges d'huiles intéressants, et il faut signaler aussi l'huile d'argan du Maroc, qui en plus d'être riche en omégas 3 présente un agréable goût de noisette qui embaumera les salades, le riz, les pommes de terre à l'eau. Gros incovénient : elle est très chère !

L'huile de cameline, très ancienne, remonte à l'âge de bronze. Sa productivité est peu rentable, et elle a donc été un peu oubliée. Lorsqu'on a réalisé sa teneur de 30 à 35 % d'omégas 3, on s'est rendu compte que cette huille convient pour l'ensemble des problèmes inflammatoires, cardio-vasculaires, osseux, respiratoires et cutanés.

Utilisation : 1 cuill. à café au lever à jeun, pendant 1 mois, renouvelable.

L'huile de sardine est surtrout intéressante par sa richesse en omégas 3 sous ses formes les plus élaborées : EPA et DHA. Hélas, nous sommes confrontés au problème du mercure dans les mers et par conséquent dans les poissons.

L'huile de sardine contient pourtant 20 fois moins de mercure que l'huile de foie de morue ou de saumon, ces deux derniers étant des poissons carnassiers qui accumulent en plus le mercure de leur proies.

La sardine est un poisson végétarien qui se nourrit surtout de phytoplancton et seulement d'un peu de zooplancton.

L'huile de sardines contient environ 19 % d'EPA et 5 % de DHA.

Elle élimine les mauvaises graisses, renforce le système cardio-vasculaire et le système nerveux.

Utilisation : 2 à 6 capsules par jour.

OMEGA-PENSEE

Les cellules les plus riches en DHA sont celles du cerveau, moelle épinière, et rétine. Un déficit chez les jeunes mammifères entraîne donc une baisse des facultés d'exploration et d'apprentissage, ainsi que de la vision. 

Chez les bébés humains intoxiqués aux métaux lourds, on constate une déficience en DHA, ainsi que chez les personnes atteintes de troubles de l'attention ou de la mémoire, ainsi que celles atteintes d'agitation mentale.

Maximiliano BUSTOS a réalisé un concentré de 50% de DHA et 10% d'EPA, et qui ne contient ni métaux lourds ni dioxine.

A conseiller à toutes personnes adolescentes ou adultes soumises à un travail intellectuel intensif.

Utilisation : Enfants : 6 gouttes à 1/2 cuill. à café/jour ou 1 à 12 capsules par jour

Utilisation : Adolescents et adultes ; 15 gouttes à 1 cuill. à café/jour ou 3 à 5 capsules par jour.

L'incontournable poison collectif

 

Les métaux lourds, tels que le mercure, sont maintenant cachés partout. Il faut révéler que des maladies telles que des infections virales, des mycoses, la tuberculose, le cancer, la sclérose en plaques, les maladies auto-immunes, les dérèglements de la glande thyroïde, certains maux de tête, certaines allergies, certains problèmes dermatologiques, pieds et mains froids (symptôme important), suées nocturnes, candidoses, herpès et mononucléose, sont dus à la présence de mercure. Particulièrement dans le cas des candidoses, le système immunitaire conduit le corps à produire des microchampignons ayant pour fonction de se lier au mercure. Le corps se débrouille mieux avec ces microchampignons qu'avec des dépôts intra ou extracellulaires.

Il existe deux sources principales de pollution au mercure :
1) les plombages
2) la mère

Le corps de la mère utilise le fœtus comme "poubelle" pour se débarrasser de ses propres métaux lourds. Des quantités importantes de mercure passent du corps de la mère au fœtus. On trouve aussi beaucoup de mercure dans le lait maternel. Cet empoisonnement du jeune enfant a pour conséquence une croissance diminuée, un plus petit cerveau, un système immunitaire et un poids corporel réduits.

La plus grande erreur de la médecine est de combattre les infections sans se soucier d'éliminer les métaux.

Par ailleurs, l'accumulation de neuro-toxiques dans le corps provoque un effet de synergie destructive. On peut prendre l'analogie d'un chat dans un magasin de porcelaine : sa présence ne comporte que peu de danger. Il en est de même pour un chien. Mais s'ils sont mis ensemble dans ce magasin, cela peut entraîner un désastre. Récemment, dans une émission télévisée américaine de Scott Mayer, il a été dit que le sang de tous les sujets contient actuellement plus de 70 produits chimiques.

Voici une grande découverte : lorsque le mercure est évacué du corps, les autres toxines s'échappent d'elles-mêmes. Par contre, tant que le mercure est présent, les autres toxines doivent être éliminées une par une.

 

 

Stopper le cycle infernal

 

Les neuro-toxines soit chimiques, soit métalliques, sont filtrées en permanence par le foie et transportées dans l'intestin par la bile. Mais celui-ci les réabsorbe, créant un cycle sans fin, générateur de maladies chroniques. Si l'on peut rompre ce cycle par un capteur à neuro-toxines, on peut asister à une guérison rapide. Cela est possible avec une algue appelée la Chlorella.

Aujourd'hui, la meilleure méthode est de se désintoxiquer en permanence en consommant de la Chlorella (à chaque repas), car il est devenu impossible de se soustraire à la pollution générale.

En cas de maladie chronique sérieuse, les doses sont de 5 à 6 g, 4 fois par jour pendant 6 semaines. Au bout de ces 6 semaines, la quantité de substances neuro-toxiques circulantes est réduite de 90%. On observe des améliorations dans un temps plus court lorsque les doses sont plus importantes.

Nota : Si l'on possède des amalgames dentaires conventionnels, il convient de les faire enlever au plus tôt, mais progressivement, chez un dentiste équipé et conscient des dangers du mercure.

A savoir que 50% du mercure est absorbé par le cerveau.

Ceux et celles qui ne veulent pas prendre en compte le fait que la plupart des aliments actuels sont des vecteurs neuro-toxiques cumulatifs, devront choisir entre la sclérose en plaques, le cancer du sein et autres. Les végétariens n'échappent pas au système.

Un nettoyage permanent est donc devenu indispensable pour garder la santé.

De même, qu'il se produit une synergie entre les méthodes efficaces de traitement. Aussi, l'efficacité de la Chlorella est très améliorée par l'adjonction d'ail des ours, et encore améliorée avec la coriandre. Le mercure sort alors par la peau, la respiration, les selles et les urines.

 

 

L'importance des acides gras

 

Il est possible de réparer le système nerveux par une simple consommation d'acides gras. Actuellement, les maladies neurologiques sont statistiquement en grande augmentation. Les neuro-toxines sont les principales responsables de la sclérose en plaques, du Parkinson et de toutes les altérations de la fonction cérébrale.

Nous savons maintenant que l'autisme est lié aux bactéries intestinales résultant des lésions du système immunitaire provoquées par les vaccins et les métaux lourds. Le traitement de l'autisme consiste simplement à sortir les métaux lourds et rajouter des acides gras.

C'est une illusion de croire que l'on peut drainer des vaccins uniquement avec l'homéopathie – car les dommages des vaccins atteignent les enzymes et les acides gras du corps. Il faut donc agir sur les métabolismes et réparer les enzymes un par un. Pour cela, on doit sortir le cuivre, le plomb, le mercure et les métaux lourds de l'organisme. Là seulement, les enzymes affaiblis peuvent réassimiler les graisses indispensables au système nerveux.

Dans les maladies infantiles en général, la recette est la suivante : 6 g de Chlorella 4 fois par jour. C'est une dose forte qui représente 24 comprimés 4 fois par jour. Cela supprime les neuro-toxines circulantes. La flore intestinale se renormalise et tous les germes anaérobies disparaissent de l'intestin.

On peut soigner l'autisme, l'épilepsie, les retards d'apprentissage chez les petits enfants avec une thérapie simple : 6 g de Chlorella 4 fois par jour + ail des ours 5 gouttes de teinture mère.

 

 

Les réactions au traitement de désintoxication

 

Avant, on traitait la syphilis avec du mercure. En enlevant le mercure, certaines bactéries se redéveloppent. C'est pour cela que pendant la désintoxication, des infections apparaissent. C'est un problème qui a fait reculer beaucoup de patients. Il y a une phase où toutes les maladies chroniques ressortent.

Il n'y pas de désintoxication des métaux lourds sans apparition d'infections. La maladie dont on est atteint semble s'aggraver. On a des courbbatures, des maux de tête... et on sait à ce moment qu'on évacue vraiment les métaux lourds.

L'étape suivante, c'est le traitement des infections. Il n'y a plus de difficultés car, en l'absence de métaux toxiques, les maladies répondent très facilement aux thérapies classiques, alors qu'en leur présence, les traitements ne marchent pas.

 

 

L'intoxication au plomb

 

En 1997, une étude a été faite sur les squelettes humains morts depuis 400 ou 500 ans et aussi sur d'autres morts depuis 10 ans. Il apparaît que le taux de plomb dans nos os est actuellement 500 à 1000 fois plus élevé qu'il y a 500 ans. Ceci explique tous les problèmes de développement neurologique des enfants, les flambées de leucémie, de lymphome, d'anémie et de désordre du sang.

À partir de ces données, le Dr Kane a pu traiter des patients atteints de lymphome avec uniquement des injections de DMPS pour chélater le plomb.

Le DMPS est un chélateur crée en URSS pour soigner les mineurs intoxiqués par les métaux lourds. Lors de la catastrophe de Tchernobyl, les patients reçurent du DMPS à raison de deux injections hebdomadaires. Les personnes ainsi traitées ont eu la chance d'éviter une dégénérescence de la moelle épinière. Le DMPS a en effet la propriété d'évacuer rapidement plusieurs sortes de métaux.

Ce produit appelé EDTA en Allemagne, est réservé au corps médical.

Depuis, pour éviter le plomb dans l'essence, on l'a remplacé par de nouveaux produits qui sont carrément cancérigènes. Ainsi, on a pu voir aux USA la courbe des cancers augmenter suite à la suppression du plomb dans l'essence.

 

 

La fragilité de l'organe Cerveau

 

Les Dr. Klinghardt et Kane ont travaillé sur de multiples patients atteints de SEP, de Parkinson, d'épilepsie, d'Alzheimer... avec des résultats considérables. Leur recommandation de base est que, dans tous les cas, il faut absolument protéger le cerveau car il est très vulnérable.

Le cerveau est composé de 60% de lipides et d'acides gras. C'est un organe essentiellement graisseux. Les neurones sont protégés par de la myéline. Or, le mercure est soluble dans la graisse. D'où l'extrême vulnérabilité de cet organe.

Est-il possible de réparer les dégâts ? Oui, même dans le cas de maladies très sérieuses – et beaucoup de médecins travaillent maintenant aux Etats-Unis selon les méthodes du Dr Klinghardt.

 

 

Comment agit le mercure ?

 

Depuis des années, les mitochondries génératrices de l'énergie cellulaire font l'objet de tous les efforts dans la recherche en biologie.

Pas de chance, ce n'est pas là que s'effectuent les opérations de désintoxication, mais dans le peroxyzome que les graisses sont brûlées. De longues chaînes d'acides gras s'y forment lorsqu'il y a une intoxication au mercure, et ces chaînes ne peuvent plus être détruites. Au contraire, elles s'allongent de plus en plus et s'agglutinent à l'intérieur du peroxyzome qui, du coup, ne peut plus faire son travail de désintoxication.

Par ailleurs, on a récemment découvert l'existence de microtubules qui servent aux échanges internes dans le cerveau. Lorsque celui-ci est intoxiqué au mercure, les microtubules sont détruits. De nombreux travaux confirment maintenant que le mercure détruit le GTP, enzyme qui fabrique les microtubules...

Les cellules, privées d'échanges, sont rapidement paralysées.

Le mercure détruit aussi les protéines en se fixant sur celles-ci. Les dommages sont identiques à ceux que l'on retrouvent sur les protéines d'un cerveau Alzheimer.

À noter que le taux de mercure dans un Alzheimer est 4 fois plus élevé et pourtant tout le monde se précipite sur le facteur aluminium.

 

 

Le traitement de fond : la Chlorella

 

La quantité recommandée en moyenne est de 3 à 5 comprimés par jour pendant les repas.

Certains patients ne le supportent pas, pour une raison simple : des petites quantités de Chlorella mobilisent plus de mercure qu'elle ne peut en évacuer. Cela signifie que, lorsque l'on prend de la Chlorella en petites quantités, on agite le mercure dans tout le corps. C'est pourquoi il est recommandé d'ingérer environ tous les 10 jours, une dose de 40 à 50 comprimés.

Nous avons constaté que les personnes qui ne supportent pas 3 à 4 comprimés, se sentent extrêmement bien si elles en prennent 60. En fait, 60 comprimés évacuent davantage de mercure qu'ils n'en mobilisent.

La règle est simple : si quelqu'un ne supporte pas la Chlorella, on lui en donne davantage.

 

 

Pour enlever les amalgames

 

Si on en enlève 4 ou 5 le même jour, il est conseillé au patient d'avaler 20 comprimés juste avant la consultation. Quand les amalgames sont enlevés, et avant de poser les nouvelles obturations, faire un bain de bouche d'une dizaine de minute avec de la Chlorella diluée dans l'eau.

Ensuite, recracher ce liquide et bien se rincer la bouche. Lorsque le patient sort de chez son dentiste, il devrait prendre 20 comprimés de Chlorella. Il fera de même encore le soir de l'intervention et le lendemain matin.

Cette façon de faire est formidable car nous n'assistons plus à l'effondrement du patient comme c'était souvent le cas.

https://www.natesis.com/chlorella-metaux-lourds_copie,fr,8,114.cfm

Extrait de "PRENEZ EN MAIN VOTRE SANTE 2" de Michel DOGNA

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22 décembre 2016

Histoire secrète du SIDA deuxieme partie

 

Lettre-de-Jean-Jacques-Crèvecoeur-sur-la-vaccination-620x350Très grande

 

Cet article vient compléter celui publié sur de nombreux médias citoyens cette semaine. Le sujet peu sembler vu et revu depuis des années et pourtant, en constatant le doute qui persiste chez beaucoup de lecteurs, il convient de creuser le sujet afin de démêler le vrai du faux. Officiellement, la médecine indique que le SIDA, ayant officiellement causé 28 millions de morts à ce jour, proviendrait du virus d’immunodéficience humaine (VIH). Certaines théories indiquent quand à elles qu’aucun virus VIH n’a jamais été détecté chez un malade du SIDA et d’autres qu’il s’agit d’un virus crée en laboratoire. Tout cela n’est pas très clair. Alors qu’en est-il vraiment? Cet article retranscrit essentiellement les recherches du Dr Boyd Graves s’étant penché réellement sur la question sans passer par le prisme de la pensée unique.state

Une vidéo du Dr Horrowitz et divers documents déclassifiés du gouvernement viennent confirmer ses dires. Le Dr Graves décédera le 18 Juin 2009 d’une infection par la bactérie Escheria Coli. Les plaintes en justices engagés contre le gouvernement des Etats-Unis ont été à chaque fois étouffées. (voir l’organigramme plus en détail). organigramme VIH Pour les sceptiques qui penseraient que ce sont de faux documents, vous trouverez ici un ensemble de 5000 pages de documents du congrès déclassifiés qui montrent que ce sont des documents originaux. Ils parlent précisément des armes biochimiques US (l’aspartame y serait d’ailleurs mentionné). L’histoire du développement du SIDA Le Dr Boyd E. Graves 28 septembre 2002 Extrait du livre «State Origin: The Evidence of theLaboratory Birth of AIDS » « La véritable histoire de l’origine du sida peut être retracée tout au long du 20ème siècle en commençant par 1878. Le 29 Avril de cette année les Etats-Unis ont adopté une «Loi fédérale de quarantaine ». Les Etats-Unis ont fait un effort significatif pour enquêter sur les «causes» des épidémies. En 1887, l’effort a été renforcée grâce au «Laboratoire d’hygiène ».

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Ce laboratoire était dirigé par le Dr Joseph J. Kinyoun, un raciste pur et dur, qui servait l’idéologie eugéniste. Deux ans plus tard, en 1889, nous avons pu identifier les « mycoplasmes », un agent transmissible, qui est maintenant considéré comme étant le cœur des maladies humaines, y compris le SIDA. En 1893, nous avons renforcé la Loi fédérale sur la quarantaine et tout à coup il y a eu une explosion de la polio. En 1898, nous savions que nous pourrions utiliser des mycoplasmes pour provoquer des épidémies, parce que nous étions en mesure de le faire chez les bovins et dans les plants de tabac. En 1899, le Congrès américain a commencé à étudier la lèpre aux Etats-Unis. En 1902, nous avons organisé une « observatoire d’évolution expérimentale » et avons pu identifier les maladies de nature ethnique. En 1904, nous avons utilisé des mycoplasmes pour provoquer une épidémie chez les chevaux. En 1910, nous avons utilisé des mycoplasmes pour provoquer une épidémie chez les volailles. En 1917, nous avons formé la «Fédération de la Société Américaine pour la Biologie Expérimentale» (FASEB). En 1918, le virus de la grippe tue des millions de gens sans crier gare. C’était un virus de la grippe modifié avec un mycoplasme aviaire pour laquelle les primates humains n’avaient aucune « immunité acquise ». En 1921, le théoricien de l’eugénisme Bertrand Russell, soutient publiquement la «nécessité d’organiser des « fléaux » contre la population noire. En 1931, des tests sont faits secrètement sur les Afro-Américains et expérimentons le SIDA sur les moutons. En 1935, nous apprenons que l’on pourrait cristalliser le mycoplasme du tabac et qu’il resterait infectieux. En 1943, nous commençons notre programme de guerre biologique.

Peu de temps après, nous étudions les mycoplasmes chez les humains en Nouvelle Guinée. En 1945, nous assistons au plus grand afflux de scientifiques étrangers de l’histoire dédiés au programme biologique américains. L’Operation Paperclip restera dans les annales comme étant l’un des programmes les plus sombres d’un gouvernement parallèle véreux faisant une fixation sur le génocide. En 1946, la marine américaine engage le Dr Earl Traub, un biologiste raciste notoire.En mai, une séance de la Commission des Finances confirme l’existence d’une arme biologique « secrète ». En 1948, nous savons que les États-Unis ont confirmé l’approbation de «l’élaboration d’un projet » dans lequel la question de la surpopulation de certains groupes raciaux est évoquée.

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Un mémo de George McKennan du Département d’État permet de mettre en exergue le mensonge eugéniste nécessaire au génocide de millions d’innocents. En 1949, le Dr Bjorn Sigurdsson isole le virus VISNA. Visna a été crée par l’homme et partage une partie de l’ADN du VIH. Voir, Proceedings of the United States, NAS, Vol. 92, pp. 3283 – 7, (11 Avril, 1995). En 1951, nous savons maintenant que notre gouvernement a mené sa première attaque de virus sur les Afro-Américains en Pennsylvanie. En Pennsylvanie, des cageots sont infectés afin de découvrir combien de manutentionnaires noirs en Virginie seraient atteints d’un virus placebo.Ils ont également infecter expérimentalement les moutons et les chèvres. Selon l’auteur Eva Snead, la première conférence mondiale sur un virus semblable au SIDA a lieu. En 1954, le Dr Bjorn Sigurdsson publie son premier article sur le virus Visna et s’impose comme le « grand-père du virus du sida. » Il va rencontrer la concurrence du Dr Carlton Gajdusek. En 1955, ils réussissent à créer artificiellement le virus de la mosaïque du tabac. Les Mycoplasmes seront toujours au cœur du programme de guerre biologique US.

En 1957, le futur président américain, Gerald Ford (ndlr: un franc-maçon du 33ème degrés, autant dire un sataniste pur et dur) et quelques autres donnent au Pentagone la permission de déployer des agents biologiques pathogènes. Il n’y a pas de cas signalé de SIDA avant 1957, date de la création du « special operation x » (La SOX), programme qui a servi de prototype pour le programme du « virus spécial » qui commencera en 1962. En 1960, Nikita Khrouchtchev était au courant de l’arme biologique. Sa déclaration de 1960 restera longtemps le reflet de l’arrogance de la collusion secrète entre le communisme et la démocratie. Les deux pays s’accordent en Novembre 1972 pour la réduction de la population noire. En 1961, le scientifique Haldor Thomar publie que les virus provoquent le cancer. En 1995, lui, Carlton et Gajdusek informent la National Academy of Sciences que «l’étude sur le visna sur les moutons serait le meilleur essai pour d’éventuels médicaments contre le HIV. » En 1962, sous couvert de recherche sur le cancer, les États-Unis tracent le chemin pour commettre des meurtres prémédités, le programme « Spécial Virus » commence le 12 Février. Dr. Len Hayflick met en place un laboratoire de mycoplasme à l’Université Stanford. On pense que le programme « Spécial Virus » a commencé en Novembre 1961 avec un contrat de Pfizer. À compter de 1963 et les années suivantes, le programme « Spécial Virus » menait des compte rendus annuels au Hershey Medical Center, Hershey, en Pennsylvanie. Les réunions annuelles sont emblématiques de la nature agressive de la recherche des E.U. sur le développement du SIDA. En 1964, le Congrès des États-Unis a donné son plein appui à la recherche sur le virus de leucémie / lymphome (SIDA).

En 1967, l’Académie nationale des sciences a lancé un assaut à grande échelle sur l’Afrique. La CIA (Division Technical Services) accepte son programme secret d’inoculation. En 1969, 18 Juillet, Fort Dietrick informe des scientifiques dans le monde et le Pentagone demande davantage d’argent, ils savent qu’ils peuvent fabriquer le SIDA. La note de service secrète sur le « Surpeuplement » de Nixon au Congrès marque le début de la chaîne de l’holocauste du SIDA. En 1970, le président Nixon (ndlr:Franc-maçon) signe PL91-213 et John D. Rockefeller (ndlr: illuminati), III est devient «tsar de la population. » Le Mémo de Nixon relatif à la sécurité nationale ne laisse aucun doute quant à la nature génocidaire du dépeuplement. En 1971, Sortie du Compte Rendu n°8. L’organigramme (p.61) reste à tout jamais l’acte de naissance du SIDA en laboratoire.Le rapport d’avancée n ° 8 est délivré. Au fil du temps, le programme Spécial Virus produira 15 rapports et plus de 20.000 notes scientifiques.

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L’organigramme constitue le lien entre tous les documents scientifiques, l’expérimentation et les contrats des Etats-unis. Il restera « manquant » jusqu’en 1999. Les scientifiques du monde entier sont stupéfaits. L’organigramme prendra tout son sens au cours du 21ème siècle. Il apparaît aussi que les expériences poursuivies dans la Phase IV-A de l’organigramme offrent la meilleure piste vers une thérapie plus efficace pour les porteurs du VIH/SIDA. Les 60 premières pages du Compte Rendu n°8 du programme Spécial Virus dévoilent de façon probante le but de l’opération. En Juin 1977, le programme Spécial Virus avait produit 66 000 litres de SIDA. Le virus du SIDA était ajouté aux vaccins envoyés en Afrique et à Manhattan. Cependant, grâce à la franchise d’auteurs tels que le Dr. Robert E. Lee, nous apprenons que le Laboratoire de Mycoplasmes de Stanford publie un des premiers rapports incluant le terme SIDA dans son titre : « Infections Virales chez l’Homme Associées au Syndrome d’Immuno-Déficience Acquise ».

Le scientifique initial, le Dr. Thomas Merigan, était « conseillé » dans le programme Spécial Virus Le compte rendu n ° 8 page 104-106 prouve que le Dr Robert Gallo travaillait secrètement sur le de développement du virus avec le plein appui du secteur du gouvernement américain qui cherchait à tuer ses concitoyens. Dr Gallo ne peut pas expliquer pourquoi il a exclu son rôle de «chef de projet» pour le programme Spécial Virus dans sa bibliographie. Les premiers travaux et découvertes du Dr Gallo peuvent être mis en relation avec l’organigramme de 1971. Nous savons maintenant comment chaque expérience s’y imbrique. La logique de recherche est une preuve irréfutable de l’existence d’un « Manhattan project » visant à élaborer un cancer contagieux qui tue sélectivement. Le document de 1971 du Dr Gallo est d’ailleurs identique à son annonce faite en 1984 sur le SIDA. Le compte rendu n ° 8 page 273-286 prouve que nous avons inoculé le sida à des singes. Depuis 1962, les Etats-Unis et le Dr. Robert Gallo ont infecté des singes et les ont relâchés dans la nature. Ainsi, même des scientifiques du gouvernement sont stupéfaits de constater l’apparition soudaine du HIV-1 et HIV-2 chez deux espèces de singes d’origines différentes, au cours des cent dernières années. Une étude japonaise de 1999 révélera finalement l’origine anthropique du virus du SIDA chez les singes. Les résumés des expériences faites sur les singes prouvent définitivement que le virus d’immunodéficience simienne est également fabriqué par l’homme. En 1972, les Etats-Unis et l’Union soviétique signent un accord biologique qui signe l’arrêt de mort de la population noire. L’accord de 1972 pour la collaboration et la coopération dans le développement d’agents biologiques offensifs fait toujours partie de la politique des Etat-Unis. En 1973, le scientifique de renommée mondiale, Garth Nicolson fait un rapport sur son projet, «« Rôle de la Surface Cellulaire pour Echapper à la Surveillance Immunitaire » (Role of the Cell Surface in Escape From Immunological Surveillance).

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Son rapport est accompagné de sept articles publiés. Le Dr.Nicolson a travaillé en collaboration avec le programme Spécial Virus de 1972 à 1978. Il est considéré par certains comme étant le collaborateur de la côte ouest du Dr Gallo. Il est fortement suspecté qu’en raison du Dr.Nicolson, le Dr Robert Gallo et le Dr Luc Montagnier se seraient secrètement rencontrer en Californie du Sud pour se mettre d’accord sur ce qu’ils pourraient dire et ne pas dire sur le programme de développement du « spécial virus ». En 1974, Henry Kissinger (ndlr: Franc-maçon de 33ème degrés) produit son NSSM-200 (plan américain de lutte contre la surpopulation). Il est le seul sujet de discussion lors de la Conférence mondiale de la population à Bucarest, en Roumanie. Les hommes de l’ombre avaient gagné, tout le monde était d’accord pour secrètement abattre la population africaine. Aujourd’hui, c’est l’Afrique et d’autres qu’ils considèrent indésirables. Demain, cela pourrait être vous. 3-7acb1db600 En 1975, Le Président Gerald Ford signe le Mémorandum de Défense de la Sécurité Nationale n°314. Les Etats-Unis implémentent le NSSM-200 de Kissinger . En 1976, les Etats-Unis produisent le compte rendu n ° 13 du programme « Spécial Virus ». Le rapport prouve l’existence d’accords internationaux des États-Unis avec les Russes, Allemands, Britanniques, Français, Canadiens et Japonais. Le complot visant à tuer des Noirs a un large soutien international. En Mars, la production du virus du sida commençet, en Juin 1977, le programme avait produit 66 000 litres de SIDA. Le président Jimmy Carter autorise la poursuite du plan secret pour abattre la population noir. 4-fe3c2b19a6 En 1977, le Dr Robert Gallo et les scientifiques soviétiques se réunissent pour discuter de la prolifération des 66 000 litres de SIDA. Ils intègrent le SIDA dans le vaccin de la variole pour l’Afrique et le vaccin expérimental de l’hépatite B pour Manhattan. D’après les auteurs Juin Goodfield et Alan Cantwell, le lot n ° 751 a été administré à New York à des milliers de personnes innocentes.

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Ce gouvernement ne sera jamais en mesure de réparer le mal fait aux personnes pour le viol sociale, l’humiliation et les préjudices faits aux personnes qui font face au VIH / SIDA quotidiennement. Les hommes de l’ombre avaient calculé avec précision que vous ne vous soucieriez pas de la mort de noirs et d’homosexuels. En fait, vous ne vous souciez pas que près d’un demi-million de vétérans de la guerre du Golfe soient infectés par quelque chose de contagieux. Bientôt, il n’y aura plus de population noir ni de militaires handicapés, les Blancs âgés commenceront alors soudainement à mourir et vous n’auraient toujours rien compris.» Cela vous permettra peut être de mieux comprendre la situation. Cette vidéo réalisée par le docteur Léonard Horowitz confirme les recherches du Dr Grave. Le Dr gallo y est pris en flagrant délit de mensonge en fin de vidéo. (Si quelqu’un veut se dévouer pour une VOSTFR…) Soudain, tout comme le président Nixon l’avait prédit, le nombre de morts explosait. Le 4 Novembre 1999, la Maison Blanche annonçait, …. « Dans un délai de cinq ans, tous les nouveaux infectés par le VIH aux Etats-Unis seront afro-américains …. »Il faudra tôt ou tard que nos experts soient autorisés à prendre en compte l’histoire de ce programme de virus. Il serait invraisemblable, sans cela, de tenter d’élucider l’étiologie du SIDA. Davantage de détails sur l’histoire du programme de virus secret peut être trouvé dans les archives du Dr. John B. Moloney. L’examen des fichiers du Dr Moloney permettra encore d’identifier d’autres dates et archives qui correspondent à l’une des plus grande prolifération de maladie dans l’histoire de la race humaine. Nous avons trouvé le chaînon manquant. Le fondement de la logique logique de recherche d’un programme fédéral destiné à tuer. Nous pouvons identifier quelques-unes des personnes qui ont travaillé dans l’ombre comme les Drs Robert Gallo et Garth Nicolson. Connaissant les mécanismes d’attaque par lesquels nous pouvons stopper le SIDA, il est désormais temps que plus personne ne puisse être touché par cette chimère de mycoplasme synthétique. Aider ceux d’entre nous qui sont encore là pour réaliser une vie épanouie et contributive.

Nous sommes tous un même peuple. Le 28 Septembre 1998, j’ai déposé une plainte contre les Etats-Unis pour la «création», «production» et «prolifération» du SIDA. Le 7 Novembre 2000, la cour d’appel s’aligna sur la décision du tribunal de première instance jugeant que l’allégation de fabrication du SIDA était « sans fondement ». » Le monde attend toujours que la cour se prononce sur les éléments de ce dossier. Le tribunal ne peut pas continuer à simplement écarter nos experts et l’organigramme du gouvernement.(ndlr: et pourtant si…il suffit que la cour soit composée de franc-maçons qui sont tenus par serment de s’entre-aider et le tour est joué: c’est beau la justice n’est-ce pas?). On m’a demandé de donner mon point de vue en ce qui concerne le programme fédéral MK-NAOMI. Le signle MK-NAOMI est le nom de code prévu pour désigner le développement du SIDA. La partie «MK» sont les initiales des deux co-auteurs du virus du SIDA, Robert Manaker et Paul Kotin. La partie « NAOMI » signifie « les noirs ne sont que des individus temporaires. » ( Negroes are Only Momentary Individuals). Le gouvernement américain continue à orchestrer le silence des très hauts échelons du Congrès et des militaires. À l’heure actuelle, personne ne prend ses responsabilités. Les honnêtes gens finiront par créer un tsunami d’indignation dans l’opinion public. Nous ne pouvons pas permettre à l’Etat un droit autocratique de gouverner en dehors de la constitution. Notre société est structurée de façon à dissimuler les crimes d’Etat, tout en punissant les citoyens pour des délits mineurs.

Leur stratégie est basée sur la confusion générale qu’ils peuvent créer en manipulant les médias. Ils sont très habiles à ce jeu là. Nous devons nous concentrer sur la présentation régulière de l’organigramme qui est le chaînon manquant qui prouve l’existence d’un programme de recherche coordonné pour développer un virus du cancer qui détruit le système immunitaire. Cette compilation de documents judiciaires et de correspondances est l’accomplissement du véritable effort d’un homme afin de résoudre le mystère de l’origine du sida. Nous avons trouvé l’origine du SIDA, c’est nous. ~ Boyd 'Ed' Graves 7 Juillet 1952 au 18 Juin 2009 ~ Boyd ‘Ed’ Graves 7 Juillet 1952 au 18 Juin 2009 L’origine du SIDA est aussi à l’origine de presque tous les virus du cancer qui existent. Le Lymphome, la leucémie et le SIDA sont une petite partie d’une longue liste de maladies crées par l’homme. Ces cancers ont été développés dans un endroit appelé Fort Dietrich, Maryland, États-Unis, dans une installation de l’armée. En 1971, Fort Detrich changea de mains, et sous le couvert de l’Institut national de la Santé (NIH) la «recherche» biologique a continué, après que le président Nixon ait déclaré que les Etats-Unis réduiraient le financement et l’arrêt de la «recherche» biologique, en fait, ce financement pour la recherche biologique a augmenté en 1970 avec l’appropriation de 10 millions de dollars pour créer un virus de suppression immunitaire « pour lequel aucune immunité naturelle ne pouvait être obtenu ». L’OMS est dirigée par l’ONU et à son tour, l’OMS répercutent les plans du nouvel ordre mondial sur le peuple. Les vaccinations de masse, les pénuries alimentaires, les prédictions pandémie. Si vous n’êtes pas déjà au courant du but de l’ONU, l’OTAN, l’OMS, l’AMA (American Medical Association), faites des recherches, l’information n’est pas si difficile à trouver, vous avez juste à regarder dans la bonne direction.

l’AMA a été créée pour stopper les établissements d’enseignement de santé alternatifs aux États-Unis et pour faire en sorte qu’il ne soit possible de se former que dans les universités. C’est pourquoi la plupart des médecins ne connaissent pas les bienfaits de l’oxygène et la vrai santé et ne connaissent pas grand chose comme remèdes. Comme Hippocrate le disait: « soyez votre propre médecin ». Nous avons été tellement endoctrinés à penser que notre santé est si complexe, et avons appris qu’il n’y a pas de remède de fond pour la maladie, mais la vérité est que la maladie humaine est soignable facilement, la toxicité externe et le cancer crée par l’homme est une autre chose, mais là encore il existe des remèdes avec une variété d’options, qui sont tenue à l’écart du peuple par la mafia médicale aux commandes car «un malade guéri est un client perdu». » Conclusion: Que dire si ce n’est que ce médecin a tout compris. Merci à lui pour ses recherches qui démontrent que les plans génocidaires de l’élite sataniste qui nous gouvernent ne datent pas d’hier. Méfions-nous de leurs manigances. Non, les gouvernements ne veulent pas notre bien-être (l’article montre bien que des accords ont été passés avec divers pays, y compris la France), non l’OMS ne s’intéresse pas à notre santé (au contraire, ils sont là pour diminuer la population mondiale, typiquement par le biais de ce genre de programmes). Si par hasard, cette hiver on voit un virus mutant de la grippe aviaire faire son entrée, on saura pourquoi.

 

Sources: http://www.boydgraves.com/flowchart/ http://fr.scribd.com/doc/20536742/Boyd-Graves-ESP-1-HIV-AIDS-Development-Timeline http://fr.scribd.com/doc/20272035/hb-15090 http://www.mpwhi.com/hr_dod_1970.htm Traduction / Synthèse: Fawkes News

28 juin 2015

stérilisation de masse, des médecins kenyans ont trouvé un agent anti-fertilité dans le vaccin contre le tétanos

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Un exercice de stérilisation de masse, déclarent des médecins kenyans qui ont trouvé un agent anti-fertilité dans le vaccin contre le tétanos

Des pays africains sont sans nul doute, depuis des décennies, des laboratoires in vivo d’expérimentations de masse (stérilisation, mutations génétiques, infections, virus, etc.) qui sont dirigés par des firmes pharmaceutiques privées, par le département militaire des maladies infectieuses et qui sont financés par les Bill Gates de ce monde.

Je rappelle que tous les pays occidentaux vaccinent contre le tétanos, sans compter le calendrier vaccinal des enfants, les vaccins saisonniers, les vaccins contre la méningite, vaccin contre le cancer du col de l’utérus……..

Selon un communiqué publié mardi par l’Association des médecins catholiques du Kenya, l’organisation a trouvé un antigène dans un vaccin administré à 2,3 millions de filles et de femmes qui provoque des fausses couches. Ce vaccin est administré par l’Organisation Mondiale de la santé (OMS) et l’UNICEF.

« Nous avons envoyé six échantillons provenant de partout au Kenya à des laboratoires en Afrique du Sud. Ils ont été testés positifs pour l’antigène HCG », dit le Dr. Muhame Ngare du Mercy Medical Centre à Nairobi au LifeSiteNews.

Le Dr. Ngare, porte-parole de l’Association des médecins catholiques au Kenya, a déclaré dans un bulletin publié le 4 novembre:

« Cette campagne de l’OMS n’est pas d’éradiquer le tétanos néonatal, mais c’est un exercice bien coordonné de stérilisation de masse avec un vaccin qui régule la fertilité. Cette preuve a été présentée au Ministère de la Santé avant le troisième tour de vaccination, mais elle été ignorée ».

 

lifesitenews.com

http://www.reso-off.fr/

19 avril 2015

Exceptionnel – Luc Montagnier : ses dernières découvertes sur la Mémoire de l’Eau

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Jusqu'à sa mort en 2004, Jacques Benveniste (chercheur à l'Inserm) disait avoir découvert une capacité que l'eau détient qui consiste à enregistrer les vibrations d'une cellule vivante "ADN, Molécule, virus, bactérie...", ce que l'on a appelé la mémoire de l'eau, un sujet tabou et décrié dans le milieu de la recherche qui lui valut d'être renié par ces pères et la communauté scientifique.

Mais le professeur Montagnier, Prix Nobel reçu pour sa découverte du virus du SIDA, intrigué depuis toujours par la découverte de Pr Benveniste et dans sa quête de solution pour éradiquer la transmission du virus du SIDA, il a orienté ses recherches vers la capacité de cette mémoire de l'eau. Recherches dont les résultats risquent de surprendre.

Le documentaire sur les travaux de Luc Montagnier en relation avec la mémoire de l´eau a été diffusé sur France 5 le samedi 5 juillet à 19 h et rediffusé le lundi 7 juillet à 14 h 30. 
Avec Luc MONTAGNIER qui relate se dernières découvertes et Marc HENRY qui explique en détaille le fonctionnement.

Ce reportage de 52 mn va bouleverser les conceptions que l´on a de la biologie, la pharmaceutique, la médecine et certainement l'impact du milieu scientifique sur l'avenir de la qualité de l'eau.

Il y est démontré que l´on peut non seulement coder un ADN tout entier sur de l´eau liquide, mais aussi lire la trace électromagnétique mémorisée sur cette même eau liquide pour reproduire fidèlement l´ADN utilisé lors de la dilution... Selon Luc Montagnier, il serait même possible d´identifier des bactéries encore inconnues de la science et responsables de maladies graves par la simple trace électromagnétique qu´elles laissent dans le sang...

8 juin 2014

Les Poppers, cause cachée du SIDA

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Les poppers, vous connaissez ? Sans doute que non, puisque ces petits flacons contenant un médicament vasodilatateur sont surtout connus de certains homosexuels qui les « sniffent » pour stimuler leur sexualité parfois débridée. Ce qui est plus étrange, c’est que cette drogue « récréative » continue d’être méconnue alors que sa consommation augmente et que les effets toxiques des nitrites inhalés sont largement démontrés. Même leur interdiction récente de vente libre en France est passée quasiment inaperçue, hormis dans les milieux gays qui en banalisent l’usage festif et se scandalisent des mesures restrictives. Avec ce dossier, Néosanté entend briser le tabou et rappeler que les poppers sont à tout le moins un facteur de risque associé au SIDA, voire LA cause la plus probable du syndrome d’immunodéficience acquise. Car si ce que vous allez lire peut avoir des allures de révélation, l’enquête de Renaud Russeil ne réinvente nullement l’eau chaude : dès le début des années 80, les petites bouteilles qui font « pop » étaient déjà identifiées parmi les suspects. Trente ans plus tard, leur culpabilité demeure bien plus crédible que celle du virus VIH !

 

Le lien entre la toxicomanie et la chute des défenses immunitaires est connu depuis longtemps. C’est ainsi que de nombreuses études ont spécifiquement démontré la relation de cause à effet entre la consommation de nitrites et les maladies que développèrent les premiers malades du sida, des homosexuels des régions de Los Angeles et de New York. Mais les poppers n’entraient pas dans la liste des drogues dures jusqu’à une époque récente ; ceux qu’ils ont rendu malades et probablement tués ne sont pas classés dans la catégorie des « morts par toxicomanie ». Les effets immunosuppresseurs connus des poppers et des autres drogues ont été par la suite attribués à un rétrovirus, le VIH. Pourtant, si l’on met bout à bout les informations scientifiques disponibles sur le sujet, les causes réelles qui déterminèrent l’apparition du sida aux Etats-Unis prennent un autre éclairage. En 1984, quand on annonce que le VIH est le seul responsable du syndrome d’immunodéficience acquise, plus personne ne parle des poppers à l’exception des dissidents(1) . Il est donc nécessaire de remonter aux débuts de l’épidémie pour comprendre le rôle joué par les nitrites inhalés dans l’apparition et la définition du sida.

Un médicament de dernier recours

Le nitrite d’amyle est synthétisé pour la première fois en 1844 par le pharmacien français Antoine Jérôme Balard. Il est mis en valeur quelques années plus tard pour ses effets dans le suivi des patients ayant souffert d’une angine de poitrine, maladie cardiovasculaire aussi appelée angor. Bien entendu, la prise de nitrite d’amyle à des fins médicales reste très occasionnelle. Elle intervient quand le patient souffre de spasmes coronariens, une insuffisance respiratoire causée par le rétrécissement des artères, provoquant le manque d’oxygène irrigué vers le coeur. A ce stade, la thérapie a peu d’effets secondaires indésirables.
Quand le sida apparaît, en 1979, le syndrome est d’abord appelé GRID, Gay Related Immune Deficiency (le déficit immunitaire lié à l’homosexualité). Michael Gottlieb, médecin spécialisé en maladies vénériennes contractées par de jeunes homosexuels mâles, est le premier à identifier le phénomène à Los Angeles. New York sera la deuxième ville touchée. Mais pourquoi la maladie frappe-t-elle uniquement des homosexuels, uniquement dans ces deux régions ? Comment expliquer cette anomalie s’il s’agit réellement d’une maladie infectieuse ?

L’emblème de la cause gay

A cette époque, il existait deux catégories d’homosexuels. La grande majorité menaient une vie normale, en couple, ou avec un partenaire occasionnel ; au lieu d’être hétéros, ils étaient homos, point final. Le deuxième groupe, de taille beaucoup plus petite, se concentrait dans les régions de Los Angeles et New York ; il s’adonnait à des « pratiques extrêmes » : sexualité totalement débridée, soutenue par la consommation de produits hautement toxiques et immunosuppresseurs, allant de la cocaïne ou de l’héroïne à l’alcool, en passant par les poppers. Pourquoi les poppers ? Les inhalants à base de nitrites et de solvants possèdent des propriétés répondant aux besoins de cette clientèle : 1) ils intensifient et prolongent la sensation d’orgasme lors de l’acte sexuel, 2) ils provoquent un relâchement des muscles du sphincter , ce qui facilite les pénétrations anales, 3) ils soulagent les douleurs provoquées par des pénétrations fréquentes et répétées, 4) ils ont des effets psychotropes puissants. Dans les Seventies, la vogue poppers atteint son apogée ; tous les magazines gays sont emplis de publicités vantant les effets miraculeux des nitrites. On voit régulièrement dans les clubs homosexuels, des gars les yeux hagards, qui se baladent un flacon de poppers sous le nez. Historiquement, cette drogue moderne est associée au mouvement de libération de la cause gay aux USA des années 70. Si les homosexuels sont les premières victimes historiques du sida, il est facile de comprendre que tous les homosexuels ne sont pas concernés au même titre. Michael Callen fut l’un des premiers malades à New York, atteint de nombreuses maladies opportunistes. A cette époque, le sida nous est présenté comme une maladie qui tue en quelques mois. Paradoxalement, pendant 11 ans, Michael Callen sera l’un des meilleurs avocats de la cause gay aux Etats-Unis, dénonçant le style de vie des malades dont il fait partie, comme l’une des causes premières du sida (voir encadré).

Un dérivé de la dynamite !

Le terme nitrite vient de nitroglycérol, ou encore trinitrine, autrement dit le TNT, ou encore la dynamite. En fait, cette dernière possède de nombreux dérivés utilisés en médecine pour leurs facultés vasodilatatrices (2) . C’est le cas du nitrite d’amyle, qui a des origines communes avec le Viagra. Ils furent tous deux conçus pour faciliter les besoins respiratoires des angineux. Et comme le Viagra, le nitrite d’amyle stimule les organes sexuels masculins.
A l’origine, le médicament se vend sous forme liquide, dans de petites ampoules de verre à l’intérieur d’un tissu (Le Vaporole); elles portent le nom de « perles ». Le consommateur écrase l’ampoule dans un mouchoir, qu’il porte aussitôt devant son nez pour en inhaler les émanations. Au moment où l’ampoule se brise, elle émet un petit bruit sec, un « pop », qui lui vaut son nom, popper. Le plus important producteur de ce médicament à base de nitrite d’amyle est le géant pharmaceutique Burroughs Welcome. Les inscriptions de la boîte de Vaporole indiquent clairement de chaque côté du couvercle, « POISON ». Curieusement, Burroughs Welcome est aussi le futur fabricant de l’AZT. L’AZT est ce médicament antiviral longtemps vanté comme la seule thérapie pour lutter contre le sida. Pourtant, l’AZT n’a jamais guéri personne ; il a surtout déclenché une vaste polémique à cause de ses effets secondaires excessivement toxiques(4) . Dans les années soixante, quand le Vaporole est remplacé par des dragées (à base de nitroglycérol), son fabricant lui cherche de nouveaux débouchés.

Une drogue de combat

L’Amérique est en pleine guerre du Vietnam et Burroughs Welcome(3) se tourne vers les soldats. Car en plus des effets vasodilatateurs répondant aux besoins des angineux, le nitrite d’amyle produit une pulsion vitale intense, immédiate (en une quinzaine de secondes), qu’accompagne une forte sensation d’euphorie. Les poppers deviennent le stimulant des GI en Asie du Sud-Est, leur drogue légale (la toxicomanie des GI pendant la guerre du Vinam est un fait historique établi). Quand ils rentrent au pays, ces GI réclament leur drogue favorite. Ils accomplissent les démarches nécessaires et grâce à l’aide des fabricants, la vente de poppers est légalisée par la Food & Drug Administration (FDA). Le grand public peut s’en procurer sans ordonnance. Un an plus tard, les résultats sont catastrophiques : nombreuses brûlures cutanées, évanouissements, problèmes respiratoires, anomalies sanguines… La vente de poppers est de nouveau soumise à ordonnance par la FDA.

Le boom commercial

C’est alors qu’un étudiant homosexuel californien, Clifford Hassing, utilise un autre dérivé, le nitrite de butyle, également mis au point à la fin du 19ème siècle, qui n’a jamais servi à des fins médicales (Brunton, 1897). Puis des laboratoires privés produisent le nitrite d’isobutyle et de propyle. Tous les nitrites d’alkyle aliphatiques ou cycliques possèdent des effets vasodilatateurs : ils relâchent les muscles des vaisseaux sanguins. Quand ces effets atteignent les vaisseaux cérébraux, ils augmentent la pression à l’intérieur de la boîte crânienne, produisant une sensation euphorique de « hauteur » ; ils accroissent aussi les performances sexuelles (Everett, 1975 – Hollister, 1975). Mélangés à des solvants, ils envahissent bientôt le marché, conditionnés dans des flacons opaques de 20 à 30 ml, de couleur marron, vendus dans les sex-shops, les lieux publics fréquentés par les homosexuels, par correspondance via les magazines gays, puis par internet. Le consommateur dévisse le bouchon du récipient près de son nez pour en inhaler les émanations toujours extrêmement volatiles, rappelant l’odeur froide et la sensation corrosive du kérosène. L’effet d’une inhalation est de courte durée, 5 à 10 minutes en moyenne. Il est donc nécessaire d’en inhaler fréquemment pour maintenir les effets toute une soirée, ou toute une nuit.

Des aphrodisiaques… désodorisants

Malgré l’obligation de présenter une ordonnance pour obtenir des nitrites pharmaceutiques, leur utilisation en tant que drogue gagne du terrain. Les premiers effets toxiques sont répertoriés. En 1976, le NIDA (National Institute on Drug Abuse) enregistre 13 admissions aux urgences dues à des effets secondaires de prise de nitrites, tandis que 84 autres cas d’effets indésirés sont enregistrés par les services de santé aux USA. Les nitrites sont devenus les aphrodisiaques de la communauté gay moderne et libérée des Seventies. Sous la pression des fabricants, la FDA accepte qu’ils soient remis en vente libre, à condition d’être étiquetés et vendus comme des désodorisants d’intérieur. Le journaliste gay du New York Native, John Lauritsen, dénonce alors un scandaleux tour de passe-passe : « Si une drogue comme le nitrite de butyle peut être commercialisée en tant que «désodorisant d’intérieur», cela veut dire que l’on peut vendre ce que l’on veut comme on veut. On vendra bientôt de l’héroïne en prétendant qu’elle soigne les piqûres de moustiques (en usage externe uniquement), et des grenades serviront de presse-papier. » Si l’utilisation des poppers comme drogue récréative a donc commencé au début des années 60, la « folie poppers » a pris toute son envergure entre 1974 et 1979. On évalue qu’en 1978, il s’est vendu plus de 100.000 flacons de nitrites pour un chiffre d’affaires de 50 millions de dollars. En 1980, les ventes atteignent les 100 millions de dollars ; le NIDA estime alors que 5 millions de personnes respirent des nitrites plus d’une fois par semaine. La quasi-totalité sont des gays. En 1979, 19 cas de sarcome de Kaposi et de pneumocistis sont identifiés, 56 cas en 1980. En 1981, la consommation de poppers est officiellement, médicalement associée à ces maladies. Pourtant, par un second tour de passe-passe, ces cas sont bientôt renommés « sida », la nouvelle maladie infectieuse qui cherche désespérément son virus jusqu’en 1984.

Les premiers cas de sida

En 1980, Thomas Haley, toxicologue américain renommé, publie un résumé de deux pages contenant 115 références associées aux effets toxiques des nitrites. En 1981, quand apparaît le sida (alors appelé GRID), toutes les personnes qui étudient les effets de la consommation toxicomane de nitrites savent qu’ils sont l’une des causes du Sarcome de Kaposi (KS) et de la Pneumocystis Carinii Pneumonia (PCP), les deux maladies du sida des homosexuels aux USA et en Europe (Goedert et al., 1982). Le fait est établi d’un point de vue épidémiologique et biologique. Mais seule une catégorie d’homosexuels est concernée : ce sont les toxicomanes intenses dont la drogue favorite est le popper. Harry Haverkos, cadre du CDC, puis responsable du sida pour le NIDA, a conduit une étude sur 87 patients homosexuels souffrant de KS et de PCP . Cette étude confirmait le style de vie toxicomane de tous les patients, dont l’organisme est massivement imbibé par des drogues en tous genres : poppers (97% des patients), amphétamines (93%), cocaïne (66%), LSD (65%), mandrax (59%), chloroethane (48%), barbituriques (32%), héroïne (12%), drogues intraveineuses (17%). De plus, 58% des patients utilisaient au moins 5 drogues différentes et de manière très intense. Ajoutons à cela la sexualité exacerbée de ces patients, les échanges de pathogènes (MST) et la prise régulière importante d’antibiotiques à titre prophylactique. Ces personnes pouvaient-elles être en bonne santé ?

Le tour de passe-passe

Le profil des premières victimes homosexuelles du sida est donc établi. Le Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire des années 80-90 confirme cette tendance en France : qu’ils soient homosexuels et/ou des utilisateurs de drogues intraveineuses, la très grande majorité des malades du sida soumettent leur organisme à des produits reconnus hautement toxiques, immunosuppresseurs. Malgré cela, après l’annonce de la découverte du VIH (officialisée en avril 1984), médias et pouvoirs publics se désintéressent de l’incidence de la consommation de poppers (et autres drogues) sur la santé des homosexuels. Ils relaient uniquement l’information d’un virus transmis par des fluides corporels ou lors du partage d’aiguilles(6) . Les tentatives cherchant à démontrer que les principales pathologies qui affectent les patients homosexuels, le Sarcome de Kaposi (KS) et la pneumocystis (PCP), ont un lien direct avec leur mode de vie et principalement la consommation de nitrites, sont bannies de la recherche : elles ne trouvent pas de financement. Pourtant, de nombreuses études ont déjà démontré que l’inhalation de nitrites à doses concentrées pendant une longue période, a des effets cancérigènes, mutagènes et immuno-suppresseurs, des causes pouvant générer le KS et la PCP. De plus, les symptômes de ce cancer de la peau (le KS) apparaissent généralement sur le visage, autour du nez et sur la cage thoracique des patients, les deux parties de leur corps par où passent les nitrites inhalés avant d’atteindre le cerveau.

Des dangers avérés

Il faut attendre dix ans pour que l’orthodoxie médicale accepte de réviser sa copie. Le 24 mai 1994, Harry Haverkos organise une réunion intitulée, « Revue technique sur les inhalants nitrés ». Harry Haverkos a déjà publié plusieurs articles sur le lien entre les nitrites et le sarcome de Kaposi lié au sida. Robert Gallo, alors considéré comme le co-découvreur du VIH (avant d’être banni pour fraude scientifique) participe à la réunion. Lui aussi propose d’importantes révisions sur l’étiologie de la maladie. Le groupe de scientifiques présents établit plusieurs faits : 1) il est absolument nécessaire de prendre en compte les co-facteurs, dont les poppers; 2) le VIH ne cause pas le KS, il l’aggrave tout au plus; 3) le VIH n’est plus responsable de la mort des cellules T, son action est indirecte.
De fait, la littérature scientifique compte une quantité faramineuse d’études démontrant les effets toxiques des nitrites inhalés à fortes doses, comme dans le cas des toxicomanies pour lesquels ils ont été fabriqués et vendus. On sait que ces composés, comme toutes les drogues dures, répriment le système immunitaire. Goedert et al. (1982) soulignent que le ratio des lymphocytes dans le sang périphérique est moins élevé chez les utilisateurs que les non-utilisateurs. Hersch et al. démontrent en 1983 les effets immuno-suppresseurs des nitrites sur les leucocytes (globules blancs) du sang périphérique. Pendant leurs travaux, ils remarquent que les effets du nitrite d’isobutyle peuvent contribuer au développement de maladies infectieuses et de cancers ; pourtant, la durée d’exposition ne dépasse pas deux heures. Jacobs et al. (1983) démontrent la toxicité cellulaire des nitrites sur des souris. La diminution des cellules naturelles tueuses (défenses immunitaires) est démontrée par Lotzova et al. (1984). Ce n’est pas tout. Les nitrites provoquent aussi des déficiences pulmonaires, des lésions cérébrales, le rétrécissement artériel, l’atrophie du thymus, etc. Enfin, deux études révèlent que des homosexuels ne sont plus capables d’accomplir l’acte sexuel s’ils n’ont pas d’abord été stimulés par des poppers(8) .

Science sans scrupules

Seules deux études considèrent que les poppers ne sont pas des drogues dangereuses. La première fut réalisée sur des souris exposées à des vapeurs de nitrite d’isobutyle équivalentes à une désodorisation d’ambiance, conformément à la classification commerciale du produit (9) . Elle affirme en conclusion qu’aucun animal ne présentait avec certitude des réactions immunotoxiques. Les magazines et fabricants de poppers en firent leurs choux gras, heureux de posséder une référence provenant du CDC, qui ouvrait la porte à leur commerce très lucratif. Cette étude exonérant les poppers accompagna la nouvelle vague de publicités dans les magazines. Aujourd’hui, les scientifiques dénient cette étude, dont les protocoles ne correspondent à aucune réalité. Les homosexuels malades du sida, les consommateurs de poppers, respirent des nitrites à très fortes doses pendant 15 à 20 heures par jour, sur une durée allant de plusieurs semaines à plusieurs mois. Lors de la réunion du 24 mai 1994 convoquée par Harry Haverkos, Daniel Lewis, l’un des signataires de l’étude, expliqua lui-même les raisons pour lesquelles cette étude ne pouvait plus être prise en compte.
La seconde étude fut longtemps considérée comme la «bible des poppers». Commandée en 1978 par Pharmex (fabricant d’une marque de poppers les plus vendues) qui l’a finança (200 000 dollars), elle força la décision du gouvernement de Californie de libéraliser la vente des nitrites sous forme de désodorisant d’ambiance (10). Pour la seconde fois, les doses de nitrites utilisées pour étudier leurs effets ne correspondaient pas à la réalité de la toxicomanie dont ils font l’objet dans la réalité.

Les poppers 50 ans plus tard

Fin juin 2011, le Baromètre Santé de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes, France) constate dans son rapport public que la consommation de poppers a significativement augmenté. En 2000, 2,4% des jeunes affirmaient en avoir déjà utilisé ; ils étaient 13,7% en 2008. Les cas d’abus et de dépendance sont relévés chez une population de plus en plus jeune. Effets psychotropes, quête de sensations fortes, ce sont des drogues idéales pour les raves qui s’étalent sur plusieurs jours, les orgasmes à rallonge, le besoin de sensations fortes, le kick pour relancer la machine, etc. Bien entendu, la grande majorité des jeunes gens ne consomment pas des poppers dans les mêmes conditions que les homosexuels des Seventies. Ils doivent néanmoins savoir que les produits utilisés sont de plus en plus frelatés et clandestins. Ils présentent donc des risques inconnus importants, comparés à ceux provenant des laboratoires pour usage médical. Les premiers nitrites fabriqués hors laboratoires contenaient déjà du kérosène, de l’acide chlorhydrique ou de l’anhydride sulfureux parmi d’autres impuretés. Rappelons aussi le témoignage de Michael Callen (encadré). Il n’y a pas de secret aux maladies consécutives à la prise de poppers et autres drogues. Des vies humaines sont en jeu ! C’est pour cette raison que les pouvoirs publics de la plupart des pays ont désormais interdit cette drogue aux effets reconnus mortels.

Les poppers et la loi

En France, le premier texte interdisant les poppers remonte à 1990 (décret n°90-274). Il ne prend en compte que les produits à base de nitrites de butyle et de pentyle. En 2007, un second décret (n° 2007-1636, 20 novembre) complète le premier, mais il est annulé en Conseil d’Etat le 15 mai 2009, suite à la requête du fabricant (France Conditionnement Création) et du distributeur (Men’s Club), au motif que, «le Premier Ministre, en l’état des éléments versés au dossier, a adopté une mesure excessive et disproportionnée au regard que risque la commercialisation de ce produit pour la santé et la sécurité des consommateurs.»
Par contre, depuis le décret daté du 29 juin 2011, paru au Journal Officiel le 7 juillet 2011 (Arrêté du 29 juin portant application d’une partie de la réglementation des stupéfiants aux produits contenant des nitrites d’alkyle aliphatiques, cycliques ou hétérocycliques et leurs isomères – Ministère du travail, de l’emploi et de la santé), les poppers, substances inhalées, sont interdits en France par les autorités sanitaires, à l’exception d’un usage strictement médical. Cette nouvelle loi, si elle perdure, met un terme au flou global qui régnait sur le sujet, entre revirements juridiques et commercialisation sauvage (cette dernière est toujours d’actualité). En Belgique, la loi dit que les poppers ne peuvent être délivrés ou vendus au détail que par les pharmaciens d’officine (annexe IV de l’arrêté royal du 22 décembre 1997) ; ils sont aussi repris dans les substances vénéneuses et toxiques (MB du 20/02/1998). Néanmoins, les consommateurs français se vantent de pouvoir se fournir sans problème en Belgique. Aux USA, vendus un temps comme des désodorisants d’intérieur et des parfums d’ambiance, puis comme des produits de nettoyage pour les lecteurs video, des dépoussiérants, les poppers sont désormais interdits, sinon très réglementés dans la quasi-totalité des états. Au Royaume-Uni, le nitrite d’amyle a été reclassé comme médicament délivrable uniquement sur ordonnance depuis le 13 janvier 1997. On peut en posséder, mais il est interdit d’en vendre si les nitrites sont inhalés. Ils sont uniquement délivrés en pharmacie et autres points de vente accrédités.

Dégâts en vue

Bref, ll semble que les autorités commencent enfin à prendre la mesure du danger que représentent les poppers. A ce jour, les substances volatiles inscrites au tableau des toxicomanies (dont les nitrites) ne sont cependant listées ni dans la Convention unique sur les stupéfiants des Nations Unies, ni dans la Convention sur les substances psychotropes de cette même organisation. Et dans les pays occidentaux, on se procure encore facilement cette drogue « sous le manteau » ou sur internet. Comme elle peut toujours être prescrite sur ordonnance, elle jouit par ailleurs d’une aura pharmaceutique qui fait dire aux groupements homosexuels qu’elle est moins dangereuse que l’acool ou le tabac. Certains sites gays vont même jusqu’à plaider que la substance est, à l’instar du canabis, victime d’une « politique hypocrite». Un produit de synthèse hautement toxique mis sur le même pied qu’une plante millénaire ! Plus troublant : les avertissements officiels portent sur les risques d’intoxication et d’atteintes oculaires, mais jamais sur les effets dévastateurs des nitrites contre le système immunitaire. A fortiori, la corrélation n’est jamais évoquée entre les poppers et le SIDA. D’ici à ce que que le lien soit (r)établi, les sinistres petites bouteilles risquent donc de faire encore beaucoup de dégâts….

Par Renaud Russeil

EN SAVOIR PLUS

Publications :
1. Aids, the failure of contemporary science de Neville Hodgkinson
2. Health and hazard of nitrites inhalents, chap 1, Nitrite inhalants, historical perspective de Guy R. Newell, Margareth R. Spitz, Michael B. Wilson.
3. The Aids War de John Lauritsen, chap 10, Poppers, the end of an era
4. Death Rush, de John Lauritsen et Hank Wilson (1986) rassemble et résume les articles publiés dans la littérature scientifique démontrant le danger que représentent les poppers (p19 David Durack – p24-25 Haverkos – p28 Harold Jaffe – p29 – p30, l’étude qui aurait voulu faire croire que les poppers n’étaient pas dangereux, avec explications).
5. Poppers – Compound risk for HIV infection (recherche bibliographique) – rassemble les études démontrant les effets toxiques des nitrites.
6. The story of poppers, par Ian Young
7. Enquête sur le sida : les vérités muselées – Renaud Russeil, Editions Vivez Soleil, 1997.

Des sites internet à consulter :
1. www.ofdt.fr
2. http://www.emcdda.europa.eu/publications/drug-profiles/volatile/fr
3. www.drogues.gouv.fr/autres-consommation/poppers-colles-solvants/
4. Vienna NGO Committee on Drugs

(1) Parmi les pionniers qui dénoncèrent des erreurs dans l’orthodoxie scientifique, on trouve Peter Duesberg, de l’Université de Berkeley, leader dans la recherche sur les retrovirus, et un journaliste gay newyorkais, John Lauritsen. Ils seront rapidement soutenu par Kary Mullis, prix Nobel de Chimie, Serge Lang, le monsieur propre de la science, Joe Sonnabend, médecin specialisé dans le traitement des maladies homosexuelles, et de nombreux scientifiques reconnus..
(2)Nitrostat, Nitrolingual, Nitro-Dur, Nitro-Bid, Minitran, Deponit, Transderm-Nitro, etc.
(3)BurroughsWellcome est devenu Glaxo Wellcome en 1996. Glaxo Wellcome a fusionné avec SmithKline Beecham en 2000, pour devenir GlaxoSmithKline, n°2 mondial de la pharmacie.
(4) D’après John Lauritsen, cette chimiothérapie était tellement dangereuse qu’elle avait été écartée du marché (pas d’AMM).
(5)Disease manifestation among homosexual men with acquired immune deficiency syndrome (Aids) : a possible role of nitrites in Kaposi sarcoma, 1982
(6) Alors que le risque de transmission du VIH est aujourd’hui reconnu comme infime – voir Neo Santé n°2, juin 2011 – les travaux de Nancy Padian.
(7)En 2009, il fera des révélations étonnantes dans le film House of Numbers, sur la mise en place de la stratégie sida aux USA.
(8)Ronald W. Wood, The Acute Toxicity of Nitrite Inhalants, NIDA Research Monograph 83.
(9)CDC, «An evaluation of the immunotoxic potential of isobutyl nitrite», Morbidity and Mortality Weekly Report, pp. 457-58, 64, 9 septembre 1983.
(10)Isobutyl nitrite and related compounds, par Nickerson, Parker, Lowry et Swenson – 95 pages.
(11)L’existence du sida et ses effets mortels ne sont remis en question par personne. Ceux que l’on taxe de « négationnistes » en soulignent seulement les origines non virales tels que modes de vie et toxicomanie.

REMEMBER
MICHAEL CALLEN

En 1982, Michael Callen apprit qu’il était atteint par le nouveau syndrome. Dès lors, il consacra les 11 dernières années de sa vie à convaincre les scientifiques et les homosexuels qu’il est nécessaire de prendre en compte le mode de vie de la communauté gay la plus touchée, pour comprendre les raisons de ses maladies (KS et PCP). Interviewé dans les années 90 par le journaliste du Medical Time de Londres, Neville Hodgkinson, il lui répondit ceci : « Essayez de vous envoyer 3 000 hommes avant d’avoir atteint 26 ans, et sans tomber malade ! J’étais un gosse. J’ai vécu la première vague de ceux qui eurent le sida : c’était les fondateurs du club des 10 000, ils avaient eu au moins 10 000 partenaires sexuels différents. » Michael Callen précisa que seule une minorité de gars dans cette communauté était branchée sexe de manière aussi extrême; tout le monde savait que les malades du sida appartenaient à ce groupe. Michael Callen fut l’un des premiers à dénoncer la responsabilité des drogues qui les aidaient à avoir des échanges sexuels répétés pendant des nuits entières (les poppers). Avec le recul, il comprit avec évidence que ces hommes concentraient, par effet de promiscuité, la totalité des microbes transmissibles qui existaient sur la planète. Concrètement, ils étaient tous constamment malades et s’infectaient les uns les autres. Dans son livre Surviving Aids, Michael Callen se souvient ne s’être posé aucune question en apprenant qu’il était atteint par la nouvelle maladie. Pouvait-il en être autrement ? Pas besoin de virus, sa sexualité et les drogues qu’il prenait pour l’assumer faisaient de lui le parfait candidat.
Il se rendait aux bains une fois par semaine, parfois deux. Là, il avait au moins quatre partenaires, ou plus. Cela dura pendant neuf ans, multiplié par cinquante-deux semaines – soit plus de 1800 contacts sexuels. Aux bains s’ajoutaient d’autres lieux fréquentés par les gays de New York, où il avait au moins trois partenaires par semaine – 780 de plus. Et il y avait les orgies ! L’Institut National du Cancer (USA) a confirmé, sur la base des études réalisées par le CDC en mars 1982 (Centre for Control Disease, Centre de Contrôle des Maladies infectieuses, USA), que «le nombre moyen annuel de partenaires sexuels mâles chez les patients homosexuels (du sida) durant leur vie était de 1160…»
Entre 1973 et 75, Michael Callen développa toutes les pathologies possibles et imaginables consécutives à son mode de vie : une mononucléose infectieuse (généralement provoquée par le virus d’Epstein-Barr) et une urétrite (infection de l’urètre). En 1975, il eut sa première blennorragie (infection des organes génito-urinaires). L’effet boule de neige se précipita. Les maladies se répétèrent chaque année, une ou plusieurs fois, en plus d’une infection amibienne, une infection shigelle (dysenterie bacillaire), suivie d’une première syphilis. A partir de 1981, chaque relation sexuelle se traduisait par le réveil d’une maladie sexuellement transmissible (MST), auxquelles s’ajoutèrent bientôt un herpès, des verrues vénériennes, des salmonelles, le virus d’Epstein-Barr, etc., jusqu’au diagnostic final. En 1982, on annonça à Michael qu’il était atteint du GRID sous forme de cryptosporidiose (infection intestinale touchant habituellement les bovins, inconnue chez l’homme), accompagné de déshydratation irréversible. Le traitement n’existait pas.
Michael Callen signa alors avec Richard Berkowitz, un remarquable article dans le New York Native de novembre 1982, intitulé «Nous savons qui nous sommes» : «Nous sommes restés silencieux parce que nous avons été incapables, ou parce que nous avons refusé d’accepter la responsabilité qu’ont joué nos propres excès vis-à-vis de nos problèmes de santé. Mais nous savons profondément qui nous sommes, et nous savons pourquoi nous sommes malades. » Michael est décédé le 27 décembre 1993, officiellement de complications liées au sida. Mais son décès n’obère nullement sa lucidité : un tel mode de vie et une tel passé pathologique ont plus sûrement usé son organisme que le trop commode coupable viral .

Source: http://www.neosante.eu/les-poppers-cause-cachee-du-sida/

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11 février 2011

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